7, rue de la Haute-Montée


Rue de la Haute-Montée n° 7 – III 148 (Blondel), N 638 puis 70 n° 24 (Cadastre)

Haute Montée 7 et 9
Le numéro 7, sur la gauche de l’image, en 2011 avant sa démolition

Maison modeste à bâtiment sur rue et bâtiment arrière à demi toit reliés par un bâtiment latéral vers l’ouest, elle appartient au cours des XVII° et XVIII° siècles à des artisans : armurier, chapelier et tailleur d’habits. Différents voisins passent en 1672 un accord sur la vidange de la fosse d’aisance commune. La description de 1735 mentionne un seul étage. Depuis sa reconstruction à une date indéterminés au cours du XVIII° siècle, elle présente un aspect caractéristique d’une maison modeste de l’époque.

70 élévations a-f
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 70

L’Atlas des alignements clos en 1829 signale un rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie surmontés d’un troisième étage en bois, le tout en bon état. Les plans des Ponts est chaussés de 1823 et de 1856 mentionent une maison entièrement en pierres à trois étages. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve à droite du repère (b) : deux fenêtres et une porte eu rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun et deux niveaux de combles. La cour E représente la façade arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (2-3) sur la gauche de la cour, le bâtiment (3-4) au fond de la cour et le mur (4-1) de la propriété voisine à l’est.
Louis Bedicam achète la maison en 1878 et la fait aussitôt agrandir : son revenu passe de 288 à 583 francs. Le local commercial est occupé par une chapellerie (1904-1956). Le grand magasin les Grandes Galeries aménage les étages pour servir de réserve, voir le croquis. Les plans de 1956 portent la mention explicite que la maison est destinée à la démolition. La maison partage ensuite la destinée de la voisine, le n° 9. toutes deux sont démolies en juin 2011.

juillet 2010

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1635 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Jacques Kraut, peintre
1635 v Jean Jacques Feyler, armurier, et Agathe
1663 v Jean Christophe Dürrbach, chapelier, et (1661) Anne Marie Kamm veuve du chapelier Sébastien Mittel puis (1684) Catherine Hollænder – luthériens
1714 v Jean Georges Busch, tailleur d’habits, et (1694) Catherine Müller – luthériens
1730 h Jean Georges Busch, tailleur d’habits, et (1723) Marie Salomé Merckel puis (1741) Marie Salomé Witz – luthériens
1766 h Catherine Salomé Busch femme (1762) de Jean Henri Staudt, tailleur d’habits – luthériens
1775 v Jean Paul Busch, assesseur au Grand Sénat et employé à la Douane, au Zollkeller marié en troisième noces (1741) avec Marie Salomé Weiss – luthériens
1777 v Jean Stammler, maître menuisier, et (1777) Susanne Catherine Wagner – luthériens
1826 h Salomé Stammler femme (1809) de Vincent Eude, propriétaire
1836 h Edouard Eude, fabricant de savon et de chandelles, et Elisabeth Caroline Dietz
1842 v Charles Louis Braun, agent des salines de l’Est, et (1832) Charlotte Emma Gerhard
1875* François Erot, propriétaire
1879* Louis Léon Constant Bedicam
1911* Edmond Werner
1956 société les Grandes Galeries

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 325 livres en 1684, 500 livres en 1706, 800 livres en 1727, 900 livres en 1735

(1765, Liste Blondel) III 148, Jean Georges Busch
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Stammler, 3 toises, 1 pied et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 638 – Eude, Vincent, fabricant de chandelles – maison, sol 2,35 ares – puis Braun Louis fils 1,45 are

Locations

1706, Laurent Leitel, chaudronnier
1844, Auguste Henri Francké, fabricant de savon et de chandelles, et Marie Louise Rohr

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1733, Préposés aux affaires foncières (VII 1395)
Jean Georges Busch est autorisé à modifier la porte de sa cave pour que l’eau ne pénètre plus dans la cave

(f° 117-v) Dienstags den 17. Februarÿ 1733. Johann Georg Busch – Johann Georg Busch der schneider berichtet, daß er an seinem hauß beÿ der Kleinen Metzig, neben dem schwartzen Vaß eine liegende Kellerthür habe, welche Zu abwendung des Regenwaßers, so jhme häuffig dardurch in den Keller fallet, gern auffrichten möchte, ohne jedoch dieselbe weder Länger noch breiter Zumachen. Herr Werckmeister Pflug, deme die jetzige Kellerthür abzumeßen befohlen worden, referirt, daß selbige in dem Liecht 6. schuhe hoch, und 5 ½ schuhe breit seÿe. Erkannt, in diesem Meß die Änderung Willfahrt

Jean Georges Busch – Le tailleur d’habits Jean Georges Busch expose que sa maison voisine du Tonneau noir à la Haute Montée a une porte de cave horizontale qu’il souhaite redresser pour éviter que l’eau de pluie n’entre dans sa cave, sans cependant a faire plus longue ni plus large. L’inspecteur Pflug auquel on a ordonné de mesurer la porte actuelle rapporte qu’elle a extérieurement 6 pieds de haut et 5 pieds et demi de large. Décision, la modification est accordée en gardant ces dimensions

Description de la maison

  • 1706 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière et un bâtiment latéral, une cour et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de mille florins.
  • 1727 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, buanderie, atelier de potier d’étain, cave voûtée, petite cour dallée et puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 600 florins.
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, à l’étage trois chambres, sous les combles deux chambres séparées par des cloisons en lattes, maison arrière à entrée et demi toit où se trouve la chambre des officiers et une chambre, au rez-de-chaussée le bûcher, cour, puits, cave voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la petite Boucherie (folio 21)

nouveau N° / ancien N° : 26 / 104
Stammler
Rez de chaussée et 2 étages en maçonnerie le 3° étage en bois bon état
(Légende)

Ponts et Chaussées

1823 (ADBR, cote 2 SP 52) N° 104, Toute en pierre, 3 étages, en bon état
1856 (ADBR, cote 5 K 123) N° 104, Braun, Louis 3 E P S (Maison à trois étages, constructions en pierre, solide)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 179 case 2

Braun Louis fils à Strasbourg, Rue des hallebardes 10

N 638, maison, sol, R. des petites boucheries 104
Contenance : 1,45
Revenu total : 288,75 (288 et 0,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 11 / 8

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 697 case 2

Braun Louis fils rue des Hallebardes 1
1875 Erot Frantz, Eigenthümer / Rentner, Hoher Steg 7
1879 Bedicam, Ludwig Leo Constant

N 638, maison, sol, Rue de la petite boucherie 7
Contenance : 1,45
Revenu total : 288,75 (288 et 0,75)
Folio de provenance : (179)
Folio de destination : Vergr.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1881
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 10

Contenance : 1,45
Revenu total : 583,75 (583 et 0,75)
Folio de provenance : verg.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1881
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36 / 29
fenêtres du 3° et au-dessus : 24 / 19

1881, Zugang – Bedicam Ludwig f° 697-II, N 638, Haus, Reinertrag 583, Vergrößerung, vollendet 1878, steuerbar 1881, besteuert 1881
(Abgang) Bedicam Ludwig f° 697-II, N 638, Haus, Reinertrag 288, Vergrößerung 1878, Zeit 1881

Cadastre allemand, registre 30 p. case

Parcelle, section 70, n° 24 – autrefois N 638
Canton : Am Hohen Steg Hs N° 7 (biffé 5)
Désignation : Hf, Whs
Contenance : Hf, Whs ([biffé] u. NG)
Revenu : 1,31
Remarques :

(Propriétaire), compte 1806
Bedicam Ludwig Leo Konstant Wittwe
1911 Werner Edmund und Ehefrau
(4335)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 67 des Petites Boucheries (p. 121)
(maison n°) 104

Pr. – Stamler Jean Mre. Menuisier – charpentiers
loc. – Momi Catherine veuve
loc. – Derasse Madeleine Veuve
loc. – Vickenhouser Jean Baptiste – Privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

(Seite )

(Haus Nr.)

Dossier de la police du bâtiment (cote 845 W 25)

Haute Montée 7, façade en 1914On ne signale pas de transformation avant que les Grandes Galeries n’aménagent les étages pour servir de réserve en 1956 : on couvre la cour intérieure pour agrandir la surface disponible. Les autres documents sont des demandes d’occuper la voie publique (ravalements) et de poser des enseignes ou des devantures. Le magasin est une chapellerie (Beuriger puis Meyer-Werner jusqu’à la vente de 1956). Les plans de 1956 portent la mention explicite que la maison est destinée à la démolition.
Croquis de la façade en 1914 lors du litige sur les échafaudages.

Sommaire
  • 1885 – L’entrepreneur Oswald est autorisé à installer une vitrine à volet roulant et à occuper la voie publique
  • 1896 – E. Marcus est autorisé à poser une enseigne perpendiculaire
  • 1902 – L’entrepreneur Auguste Schuler (peinture, enseignes) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1904 – La Police du Bâtiment constate que Frédéric Beuriger (confection de chapeaux) a posé sans autorisation un éclairage électrique – Demande – Autorisation
  • 1906 – L’entrepreneur Griesbach et Grossmann (peinture, 41 quai des Bateliers) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1906 – La Police du Bâtiment notifie au propriétaire, Mme Bedicam née Hatsch, de faire ravaler la façade
  • 1906 – La Police du Bâtiment constate que Frédéric Beuriger (confection de chapeaux) a posé sans autorisation une enseigne plate – Le successeur de M. Beuriger, M. Meyer-Werner, répond que l’enseigne est en place depuis deux ans – L’enseigne est soumise à un droit puisqu’elle avance de plus de 16 centimètres – Demande – Autorisation
  • 1909 – L’entrepreneur Fritsch et Rett (installations électriques, 25 rue du Jeu-des-Enfants) demande l’autorisation de poser un éclairage électrique – Autorisation
  • 1911 – Rapport des pompiers : feu de cave dans la propriété Wernert
  • 1914 – L’entreprise Griesbach et Grossmann demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour poser un échafaudage – Autorisation
    Rapport sur l’échafaudage qu’a posé l’entreprise Griesbach et Grossmann pour poser un nouveau crépi. L’inspecteur de la Police du Bâtiment demande qu’il soit modifié pour répondre aux règles de sécurité (schéma) – Journal qui fait état de l’échafaudage dangereux
  • 1916 – Rapport de la Commission des logements militaires : tenir propre les latrines au premier étage – réparer la gouttière qui conduit les eaux de pluie dans la cour – tenir propre la gouttière sur le toit en verre – réparer le pourtour de la cour intérieure – réparer le toit en verre à la sortie du deuxième étage
  • 1920 – L’entreprise Sigel Frères (peinture et vitrerie, rue des Juifs) demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour poser des lettres dorées en zinc à la maison Meyer-Werner – Autorisation
  • 1924 – La Police du Bâtiment constate que Meyer-Werner, chapellerie, transforme sans autorisation la devanture en la faisant revêtir de marbre – La Marbrerie de la Schachenmuhle demande l’autorisation de procéder aux travaux conjointement avec les entreprises Nuss et Stiegler – Autorisation accordée à la maison Meyer-Werner, chapellerie
  • 1938 – La Grande chapellerie Moderne, Meyer-Werner, demande l’autorisation de poser un panneau provisoire sur la façade de l’immeuble au cours du mois de décembre
  • 1941 – L’entreprise Zavagno-Riegel (crépissage, 1 rue Saglio) demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour poser un échafaudage – Autorisation
  • 1947 – La Marbrerie de la Schachenmuhle est autorisée à occuper la voie publique pour laver la façade
  • 1949 – L’entrepreneur Seybold (rue de l’Anneau à Cronenbourg) est autorisé à occuper la voie publique pour crépir la façade
  • 1951 – M. Edmond Werner est autorisé à occuper la voie publique pour poser un échafaudage et crépir la façade – Lettre : Edmond Werner fait enlever et repolir le marbre qui a souffert des intempéries et des bombardements et fait remplacer l’ancien store par un nouveau identique – Il demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en fer forgé (dessin) – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire au néon
  • 1956 (Avril) – Edmond Werner, Chapellerie Meyer-Werner, change d’adresse et demande à poser un panneau qui en informe le public au premier étage – Autorisation – Le panneau est enlevé, juillet 1956
  • 1956 – M. Robert Jung, directeur des Grandes Galeries, fait une demande de permis de construire (architecte, Théo Berst, 16 rue Boecklin) : aménagement provisoire de locaux commerciaux. La courette sera fermée au rez-de-chaussée, au premier et au deuxième étage pour servir de réserve de marchandises, « quelques communications seront faites entre le N° 5 et le N° 7 de la Haute Montée » – Plans – Permis de construire : aménagement de devantures au rez-de-chaussée et transformation à l’intérieur de l’immeuble – Travaux terminés, décembre 1956
    Autorisation de poser un échafaudage
    Demande de poser une cloison en bois sur la façade pour remplacer le marbre
  • 1967 – Les Grandes Galeries sont autorisées à poser un échafaudage devant les n° 7, 9 et 11

Relevé d’actes

Le peintre Jean Jacques Kraut et ses enfants vendent la maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière à l’armurier Jean Jacques Feyler et à sa femme Agathe

1635 (18. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 65
(ingros. d. 30. 8.bris A° 1635) Hannß Jacob Feÿler, Waffenschmid. – Wir & ut supra, erschienen unser Burger hannß Jacob Kraut der Maler für sich selbsten vnd Martin Ebinger der Jünger Küeffer Alß von vns geordneter Vogt ersternants Krauten ehelich erzeugter Kindern mit beÿstand vnserer Mitrahts Verwanthen Eberhard Zetzners und Hieronimi Hatten, alß auß vnsern mitel hierzu insonderheit deputirt und verordnet, wie auch mit beÿstand vnsers alten Rahts v.wanthen Amandi Heischen ubnd Anthoni Rauschen deß Schaffners, alß hierzu gezogener nechsten Verwanthen (verkaufft)
auch vnserm Burger hanß Jacob Feÿler dem Waffenschmidt und Agathæ seiner ehelichen haußfrawen
Ein Vorder: vnd hinderhauß, hoffstatt vnd höfflin, mit allen andern ihren gebäwen & gelegen in vnserer St. St. beÿm Hohensteeg, einseit neb. Daniel Grabners see: witib und Erben, and. seit neben diebold (-) dem Kornmeßer, hinden vff ehegenannte witib und Erben stoßend, dauon gehen Jährlich vff Andreæ 5 pfund 5 schilling d. Zinßes Mathiß Rohten dem Gartner in hauptgut mit 105. pfund d Item 3 gulden gelts vnserer Straßburgischen wehrung auff Luciæ et Ottiliæ dem Stifft zum alten S. Peter alhie mit 60. gulden besagter wehrung abzulösen, so seind die Häußer auch noch verhafftet umb 100. pfund dem hochgelehrten Gall Lucken medicinæ Doctori Item umb 155 pfund, sein deß verkäuffers dreÿen Jüngsten döchter für ihr Müeterlich guth (…) Mehr umb 50. Pfund Amando Heischen obgedacht, Item vmb 25. pfund d. Christian Schellen XXI.er So dann umb 25. pfund d vnsern Alten ammeister herrn Henrich Trauschen (vff sich genommen) – umb 332 Pfund

La veuve et les enfants de l’armurier Jean Jacques Feiler hypothèquent la maison au profit du marchand Esdras Mangin pour lequel accepte son associé Jean Jacques Saltzmann

1652 (13. X.br), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 706-v
Erschienen Agatha, Weÿl. hannß Jacob Feÿhelers deß waffenschmidts seel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand hannß Ludwig Schneiders deß Weißbeckhen ihes Vogts, Ferners hannß Michael Frieß der iüng. Seÿler, Georg Bratfisch Rothgerber, hannß Jacob Wipff der leinenweber alle treÿ alß Ehevögt Mariæ, Margarethæ und Rosinæ, Weiters hannß Kräntzler der Schneider alß Vogt Michaeliß und Ursulæ, alle Geschwisterde und eingangß genanndts Feÿhelers seel. Kind. und Erben,
haben in gegensein H Johann Jacob Saltzmanns deß iüngern im nahmen H Esdras Mangin seines Schwähers und für sich selbst. alß Gewerbßgemeiner – schuldig seÿen 249 R.
Underpfand sein soll ihr d. Feÿhelerisch. Behaußung alhie beÿm Thomanloch einseit neb. der Behaußung zum schwartzen Faß, anderseit neben hannß Schleiffenheim dem Käufflern, hind. auch vff die gemeldte Behaußung Zum schwartz. Faß stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 18. ß dem Stifft Allheilig., so ist solche behaußung auch noch verhafftet umb 200 R. weÿl. H Dr. Gall Linckh. seel. Erben, Item umb 200. R. Mathiß Roth Gartnern und. wagnern

Agathe veuve de Jean Jacques Feiler passe avec son fils Michel Feiler un contrat alimentaire. La mère lui cède les outil du métier d’armurier contre son entretien sa vie durant

1662 (20. febr.), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 115
Erschienen Agatha, Weÿl. hannß Jacob Feÿhelers geweßenen Wafenschmidts nunmehro seel. nachgelaßene wittib, mit assistentz hannß Ludwig Schneiders deß weißbeckh. ihres Curatoris, wie auch hannß Michael Frieß. deß Ssaÿlers, hannß Jacob Wipffen deß leinenwebers, und Daniel Füeßels deß Schuhmachers, ihrer dochtermänner, an einem,
So dann Michael Feÿheler der wafenschmid ihr eheleiblich. Söhn, am andern theil
Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, daß Sie die Muter, ihme dem Sohn, alle den Zum wafenschmid handwerckh gehörig. und in obermelts hannß Jacob Feÿhelers Inventario specificirten Werckzeug. (eigenthümlich übergeben)
daß Er der Sohn, hingeg. die Muter in seiner Behaußung und. an seinen tisch vffnehmen, eine Kammer nach der Muter wahl, Ihro eingeben (…)

La veuve et les enfants de l’armurier Jean Jacques Feiler vendent la maison au chapelier Christophe Dürrbach et à sa femme Anne Marie moyennant 368 livres et les rentes qui y sont garanties

1663 (21. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 312-v
(Prot. fol. 29. fac. 2. – 500. lib) Erschienen Fr. Agatha weÿl. hannß Jacob Feÿhelers geweßenen wafenschmidts nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit assistentz hannß Ludwig Schneiders deß weißbeckh ihres Curatoris, Ferners Maria hannß Michael Frieß. deß Seÿlers Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogt, weiters Abraham Ratzge der leinenweber alß Vormund hannß Jacobs und Rosina der Wipffisch. Geschwisterd. Mehr Michael Feÿheler der Waffenschmid für sich selbst, So dann Ursula Daniel Füeßels deß Schuhmachers Eheweib, mit beÿstand erstbenambsts ihres Ehevogts und Er d. Vormund insonderheit mit assistentz H. Johann Christmann Merckhlins und H. Andres Fischers beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel ad Contractus minorum insonderheit Deputierter
in gegensein hannß Christoph Dürrbachs deß huetmachers und Annæ Mariæ seines Eheweibs
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit dero hoffstätten höfflin, und allen übrig. Gebäwen, Begriffen, Zugehördt. und Gerechtigkeit. alhie beÿm hohen Steg einseit neben hannß Schleüffenheim dem Käufflern, anderseit neben einer Behaußung d. Ellend. herberg gehörig, hind. auch uff diße Behaußung stoßend gelegen, davon gehend iahrs termino Luciæ Otiliæ 3 ß straßb. wehr. lößig mit 60. R. welche dem Stifft Zum alren St. Peter, Item 5. lib termino Michaelis lößig mit 100. lib H. M. Jacobo Paulo Linckh Pfarren Zu Ingweiler – umb 368 Pfund

Christophe Thierbach fait dresser l’inventaire de ses apports
1662 (31.5.), Me Ursinus (Jérémie, 60 Not 30) n° 18
Inventarium über Mr Christoph Dürrbach Huetmachers Undt Burgers alhie Zu fraun Annæ Mariæ Kammin seiner lieben hsfr. in die Ehe gebrachte undt darinn ererbte Nahrung, auffgerichtet 1662. – als Vermög Ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändt Gueth theils in den Ehestandt Zugebracht, theils von weÿl. frn. Elisabeth Röddererin seiner lieben Mutter seel. theils von weÿl. frau Anna Maria Röddererin, auch weÿl. Jost Stierlers geweßenen Ledderbereithers vndt Burgers alhier beed. seel. hind.laßener wittwen, wie auch von weÿl. Jfrn Magdalena Röddererin, beeden seinen baaßen vndt Mutter seel. Schwestern ererbt – So beschehen auff Sambstags den 31. Maÿ A° 1662.
Sa. Haußraths 69, Sa. Silbers 4, Sa. Guldinen Ring 3, Summa summarum 77 lb

Jean Christophe Thierbach a épousé Anne Marie Kamm veuve du chapelier Sébastien Mittel en 1661
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 112-v, n° 37), 1661 – Eâdem dominica [XIIX Trinitatis] Johann Christoff Dürrbach der Huetmacher Johann Lorentz Dürrbach, burgers und Schumachers alhie ehelicher Sohn, und Anna Maria, Sebastian Mittels, gewesenen burgers undt Huetmachers alhie hinderlassene Wittib. Eingesegnet Eod. sdie zum Jung St Peter (i 124)

L’hospice des pauvres passants, propriétaire de la maison à l’ouest (III 147) passe un accord avec ses voisins Jean Christophe Dürrbach (maison III 148) et Jérôme Waltz (III 149) d’après lequel les frais de vidange de la fosse d’aisances seront supportés non plus pour un tiers par chacun des propriétaires mais pour moitié par l’hospice et pour un quart par chacun des voisins eu égard au nombre d’habitants de l’hospice.

Anne Marie Kamm meurt en 1784 sans enfant en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison 395 livres. La masse propre au veuf est de 252 livres, celle des héritiers de 1 386 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 877 livres, le passif à 1 524 livres.

1684 (6. 7.br), Me Winckler (Elie, 61 Not 5) n° 18
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsamen frawen Annæ Mariæ Kammin, Herrn Johann Christoph Thierbach, hutmachers und burgers Zu Straßburg gewesener haußfr. seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1684. – nach Ihrem Sambstags den 11. August. Jüngst aus dießem mühesamen traur: und kummervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen, Welches alles auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der per Testamentum instituirt und ane hernach volgendem blat beschriebenen Erben ersucht durch hierangememten herrn Johann Christoph Thierbach den wütwer beÿständlich deß Ehrenvest und rechtsgelehrten Friderich Redwitz Notarÿ publici und burgers alhie – Actum Straßburg Mitwochs den 6. Septembris Anno 1684.
Die Abgestorbene Frau seelig hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. Erstlich die Ehren und tugendreiche Frau Evam Kammin des Ehrenhafft und Achtbaren Meister Alexander Horneckels gewesenen Schneiders und burgers alhie Zu Straßburg seel. wüttib, Ihrer Eheleibliche Schwester für einen halben Stamm theÿl, welche beÿständlich deß ehrenvest, fürsichtig und weisen herrn Johann Zieglers E. E. Kleinen Raths beÿsitzers Ihres geschwornen theÿlvogts, wie auch deß Edel Ehrenvest und hochachtbarhren Johann Sebastian Hornecks Straßb. bischoflichen hoffraths Secretarÿ, Zu Elsas Zabern Ihres eheleiblichen Sohns und H hans Jacob Wachenheim, Schneider und burgers alhie Ihres eheleiblich. dochtermanns in gegenwärtiger Inventation Persönlich beÿgewohnt,
So dann die Ehren: und tugendsamen Fraw Catharinam Kühnin, deß Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn Johann Heinrich Westerfelds, hochgräffl. Hanau: Pfarrers Zu hohen Atzenheim und Mittelhaußen, Eheliebste, für den Andern Stammtheÿl, Welche beÿständlich gerührts Ihres herrn Ehevogts wie auch deß Edel, Ehrenvest fürsichtig, wohlweiß. und hochgelehrten herrn Johann Jacob Claußmars J. U. Doctorandi Eines wohl Ehren hochweißen Großen Raths alten und E. E Kleinen Raths ane eines Constofflers statt ietzigen beÿsitzers als auß deßen Mittel hierzu Insonderheit deputirten herren, der Inventation ebenmäßig in Persohn beÿgewohnt.

In hernach eingetragen und in die theÿlbahr Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor deren Cammern, In der Cammer C, In der hindtern Stuben, In der obern vordern Stuben, In der Obern Kuch, Im obern haußöhren, In der Cammer D, In der undern Wohnstuben, In der Kuch
Eÿgenthumb ane einer Behaußung So Theÿlbahr. Item hauß, hoffstatt und höfflein, sampt allen deßen gebäwen, begriffen, zugehörden rechten und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg beÿm hohen Steeg gegen der Kleinen Metzig, ein seith neben hieronimus Waltzen dem barchet krämer, Anderseith neben einer behaußung der Elenden herberg gehörig, hinden auff gedacht behaußung stoßend, darvon gehend Jahrs termino Simonis et Judæ, dreÿ Gulden Straßburger wehrung, stehnd in haubtgutt lößig mit 80 gulden, ermelter wehrung dem Stifft Alten St Peter alhie, sonsten freÿ ledig eigen und durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeister inhalt beÿm Concept in gegenwärtigen Inventarÿ befündliche Abschatzung æstimirt und angeschlagen für 790 gulden, thut über Abzug oberwehnter beschwerd alhie außzuwerffen 363. lb 12 ß 6 d. Darüber sagt ein Perg. Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahrt datirt d. 21. Maÿ Anno 1663. Darbeÿ ferner Perg: Kauffbrieff, auch mit d. St: St. anhangendem Contract Insigel verwahrt datirt d. 18. August. Anno 1635. Und dann ein Pappÿrner vergleich wegen der Profeÿ sub dato d 16. Novembris Anno 1639. mit altem N° 1 notirt, alles aber mit Newem N° 16. bemerckt.
– Abschatzung dinstags d. 12. 7.b: 1684. Weillandt deß Ehrenhafften Vnd bescheidenen Meister Christoff Dirbachs hudt Machers Vnd deßen Erben behaußung beÿ der Kleinen Metzig, Ein seitzs Neben herrn hieronimus Waltz dem barchat hendler Anderseits Neben Einer behaußung dem Stifft Ellenden herberg gehörig Zum schwartzen faß genandt welche behaußung sampt dero begriff und gerechtigkeit durch die gerodnete Werckhleut Dem Jetzigen preiß Vnd Wehrt Nach angeschlagen von vnd vmb Sibenhundert vnd Neuntzig Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckh Leite. Joseph Lauttenschlager alter Werckhmeister, Andres Schmidt Werckmeister deß Maurhoffs, Johann Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs
des Wittwers Nahrung, haußrath 48, Silber geschmeid 1, Schulden 175, Ergäntzung 28, Summa summarum 252 lb
der Erben Nahrung, haußrath 60, Wein und lehrer faß 1, Silber geschmeid 4, Guldener Ring 1, Pfenningzinß hauptgüter 100, Ergäntzung (1685, abzuziehen 291, restirt) 1393, Summa summarum 1561 lb – Schulden 175, Nach deren Abzug 1386 lb
theilbare Nahrung, haußrath 34, Wein und lehrer faß 8, baarschafft 292, werckzeug und unaußgemachte arbeit wie auch woll zum hutmacher handwerck gehörig 14, Pfenningzinß hauptgüter 2177, Sa. Eÿgenthumbs einer behaußung 363, Schulden 2, Summa summarum – Schulden 1524, Nach deren Abzug 1353 lb
Verschaffte Legata 44 – Conclusio finalis Inventarÿ 2935 lb
Ergäntzung deß wüttwers unveränderten guts, auß deßelben für unverändert in die Ehe gebrachte Nahrung durch herrn Jeremiam Ursinum den 31. Maÿ Anno 1664. auffgerichteten Inventario, 28. lb
Ergäntzung der Erben unveränderten guts, Aus dem über Weÿl. Meister Sebastian Mittel der abgeleibten frauen seel. erstern haußwürths seel. Verlassenschafft den 16. Maÿ Ano 1660. durch weÿl. herrn Jeremiam Ursinum den Notarium seel.
Copia der Eheberedung
Copia Testamenti nuncupativi
Copia Codicillarischen Nach Disposition
Publication und Erklärung über Vorbeschrieben Testamentum nuncupativum und Nach Disposition

Jean Christophe Thierbach se remarie avec Catherine Hollender, fille de chapelier
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 315-v)
1685 – Domin. Quasimod. 29. April: Johann Christoph thierbach der huthmacher v. burger alhier V. Jfr. Catharina Weÿl. Johann Daniel hohlenders geweßenen Huthmachers V. burgers alhier Nachgel. ehel. tochter. cop. d 7. Maÿ (i 330)

Inventaire après le décès d’un locataire, Marie Salomé Schurer femme du farinier Jean Martin Cammerer

1705 (17. 9.br), Me Rohr (Daniel, 46 Not 14) n° 557
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab V. Nahrung So weÿland die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Salome gebohrne Schurerin deß Ehrsam V. bescheidenen hanß Martin Cammerer Meelmann und burgers allhier geweßene eheliche haußfraw nunmehr seelig nach Ihrem den 27. April. dießen 1705.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und Begehren deß Ehrenvest, wohl vorgeachten herrn Johann David Scherer biersieder Zum Roßenkrantz und burgers allhier zu straß. alß Geordnet und geschworenen Vogts Annä Salome der abgeleibten Seelig mit Vorgemeltem Ihrem hinterbliebenen wittibern Ehelich erzeügtem döchterlein und ab intestato nachgelaßenen eintzigen Erbens fleißig inventirt – So beschehen allhier in fernerem gegensein der Viel Ehren und tugendsamen Frawen Mariæ Dorotheæ Schurerin gebohrner Hammererin deß Kinds und Erbens geliebter Großmutter dienstags den 17. 9.bris 1705.
Hierauff Volgt nun die Inventation und beschreibung der Verlassenschafft Vor und ane sich selbsten und Zwahr under einem titul alß theilbar weilen zwischen beeden nunmehr zertrennten Ehepersonen weder Eheberedung auffgerichtet noch der zusammen gebrachte Nahrungen inventirt worden, Vor und ane sich selbsten
In einer allhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig gelegenen Herrn Christoph Dürrbach dem huthmacher und burgern allhier eigenthümlich zuständigen behaußung volgender maßen befunden worden

Jean Christophe Thierbach meurt en 1706 en délaissant trois fils de son deuxième mariage. La description de la maison est reprise de l’inventaire dressé en 1684. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre à la veuve est de 61 livres. L’actif de la succession s’élève à 693 livres, le passif à 135 livres.

1706 (3.5.), Me Winckler (Elie, 61 Not 28) n° 12
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Herrn Johann Christoph Thierbach, hutmachers und burgers Zu Straßburg seel. Verlassenschafft, auffgerichtet in Anno 1706. – nach seinem dienstags den 19. Januarÿ aus dießem mühesamen traur: und kummervollen Leben, genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen, Welches alles auf gebührendes erfordern des Ehrenhafften herrn Johann Paul von Hipßheim, hutmachers und burgers Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts 1. Johann Christophs, 2. Johannis und 3. Friderichs, allen dreÿ gebrüder und deß verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinderblieben wittib Ehelich erzeugtter Söhn und nach tod Verlaßener ab intestato nächster Erben ersucht durch die Ehren und tugendsahme frau Catharinam Thierbachin gebohrne Hollenderin die wittib beÿständlich deß Ehrenhafften Meister Simon Hollenders ebenmäßigen hutmachers und burgers Zu erwehnen Straßburg, Ihres geordnet und geschwornenn Vogts – weÿl. H Eliam Winckelrn Geweßenen Notm. am 3. Maÿ Jünhsthin oedentlcih beschrieben alldieweilen aber derselbe mitler weis dieses Zeitliche Gesegnet und seine hinderlaßene Notariat Geschäfft vn E. Hochlöbl. Magistrat mir underzeichnetem beeÿdigtem Inventir Notario Gnädig Anvertraut, Gegenwärtiges Inventarium durch mich expedirt und Außgefertigt wordn, so beschehen den 29. 8.bris A° 1706. J. H. Lang Sen. Nots.

In hernach eingetragen und in der Statt Straßburg gegen der Newen Metzig gelegener behaußung, befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In deß officiers stub, Im obern haußöhren, In der Cammer D, In der undern Stub, In dem underen haußöhren, Im Hoff und Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt und höfflein, sambt allen deßen gebäwen, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg beÿm hohen Steeg gegen der Kleinen Metzig, ein seith neben Georg Schmiden dem Schuhmacher, Anderseith neben einer behaußung der Elenden herberg gehörig, hinden auff gedachte behaußung stoßend, so freÿ, ledig und eigen und durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeister inhalt beÿm Concept in gegenwärtigen Inventarÿ befündliche Abschatzung Sub dato den 3. Maÿ Anno 1706 angeschlagen für 500 lb. Darüber sagt ein Pergam. Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahrt, datirt d. 21. Maÿ Anno 1663. Darbeÿ fernere Pergamin Kauffbrieff, auch mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahrt, datirt d. 18. Augusti Anno 1635. Und dann ein Pappÿrner Vergleich wegen der Profeÿ, sub dato d 16. Novembris Anno 1639. mit altem N° 1 et 16. notirt. Ferner ist vorhanden ein Pappÿrine Quittung, über 60 gulden Straßburger Wehrung von Probst Decan und Capitul deß stiffts S. Michaelis et Alten St. Peter ertheilt und mit deß Capituls daselbst aufgetrucktem Insigel bekräfftigt, Sub dato d. 16. Decembris Anno & 1602. deß inhalts, Weilen die Obligation über wolches abgelößten Capital nicht finden wolle, solche den verstorbenen seel. auß Zuhändigen deß wann sich diselbe ins für künfftig hervorthun solte, solche nicht mehr gültih sein solle auch mit N° 16. signirt.
– Abschatzung 3. Maÿ aô 1706. Weÿland des Ehrhafften und bescheidenen herrn Johann Christoph dirrbach gewesenen huthmachers seel. hinderlaßene fr. Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegen eiseits neben einer behaußung Zu der Eledenherberg gehörig anderseits neben Meister Georg Schmidt Schumacher hinden auch auff Vorgedachte behausung stosendt Welche behausung hindergebaw Nebens haus höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornene Werckleuth sich in der besichtigung befunden undt jetzigem preiß nach angeschlagen wirdt Vor undt Umb Ein tausendt gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Wÿdumb Welchen der Verstorbene von Weÿl. Fr. Anna Maria Gebohrner Kammin seiner verstorbenen Erster Haußfr. seeligen ad dies vitæ Genoßen, Wavon das Eigenthumb nunmehro Auff Weÿl. Herrn Sebastian Hornecks Geweßenen hochfürstl. Bischoffl. Straßburgischen Hoffraths Secretarÿ seel. Kinder Und Erben Zurück gefallen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermög. Sa. haußraths 17, Sa. Silbers 6, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 9, Sa. Schuld 25, Sa. Ergäntzung (4, Abzug 8, Zuviel 4), Summa summarum 65 lb – abzuziehen 4, Nach solchem abzug 61 lb
Der Erben unverändert und theilbar Gutt anlangend. Sa. Haußraths 56, Sa. Werckzeug zum hutmacher handwerck gehörig 4, Sa. silbers 1, Sa. baarschafft 44, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 500, Sa. Schulden 86, Summa summarum 693 lb – Schulden 135 lb, Nach deren Abzug 557 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 729 lb

Catherine Hollænder veuve Dürrbach, loue la maison au chaudronnier Laurent Leitel

1706 (8.5.) Chambre des Contrats, vol. 579 f° 376-v
Cath: Dürrbachin wittib geb. Hohlländerin beÿständlich Simon Hohlländers huetmachers ihres vogts [unterzeichnet] Simon Holländer
in gegensein Lorentz Leithel Kupferschmids [unterzeichnet] Lorentz Leÿtel
entlehnt, in ihrer behaußung allhier gegen der kleinen metzig neben dem Schwartzen vaß folgende gemach : Nemlichen stueb, Kuchen u. 2. Cammern, Item d. haußehren u. den hintersten keller, platz zuem holtz im holtzhauß u. platz im obern haußehren 2 Kästen zu stellen, auf 5 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1706 – Worbeÿ de verleiherin der freÿe ein u. außgang in der stueb angedungen worden, Item im Haußehren platz für einen zu walcken u. zu filzern, so dann soll 6 lt 10 ß von deß sohns lehrgeld abgehen, solte aber die verleiherin vom platz im haußehren nicht brauchen so soll selbiger dem entlehner zu genießen stehen – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Jean Paul von Hipsheim, tuteur des enfants de Jean Christophe Dürrbach, hypothèque la maison au profit du messager Henri Seyler

1709 (12.10.) Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 35-v
Johann Paul von Hipßen der hüetmacher als vogt weÿl. Johann Christoph dürrbachs gewesenen hutmachers 3 Kinder darvon das eine H. Johann dürrbach Schuelmeÿster zu St Aurelien hierbeÿ zugegen war
in gegensein Heinrich Seÿlers des Rathsbotten – schuldig seÿe 62 pfund
unterpfand, eine behausung Höfflein Hoffstatt mit allen gebaüen, rechten und zugehörd. allhier gegen der Kleinen Metzig über, einseit neben dem Hauß zum schwartzen Faß genannt anderseit neben Johann Georg Bauren Schuemachern hinten auf ged. schwartzen Faß stoßend gelegen

Inventaire après le décès de Catherine Hollænder veuve du chapelier Jean Christophe Dürrbach avec qui elle s’est mariée en 1693. Elle laisse deux fils dont l’aîné, chez qui elle loge, est chantre et maître d’école à Sainte-Aurélie. La succession s’élève à 563 livres.

1714 (15.1.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 31)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung so weÿl. die Ehren und tugendsame Fraw Catharina Dürrbachin gebohrne Holländerin, auch Weÿland des Ehrenhafft. H. Johann Christoph Dürrbachs geweßenen Hutmachers und burger alhier seel. hinderlaßene Wittib nun auch seel. nach ihrem Sambstags d. 23.n 10.bris des abgelegten. 1713.ten Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Wohl Ehrenvesten, vorachtbaren und wohlgelehrten Hn Johann Dürrbachs wohlbestellten Cantoris et Ludimoderatoris zu St. Aurelien und burgers alhier, wie auch des Ehrsamen und bescheidenen Friderich Dürrbachs noch ledigen Kupfferschmidts Gesellen, mit beÿstand des Ehrenhafft und achtbaren H. Simon Hollenders, Hutmachers und burgers alhier seines geschwornen Vogts beeder der In Gott ruhenden Frauen seel. mit obernandten ihrem Zu vor verstorbenen hauß würts ehelich erzeugter Söhn und ab intestato Zu Zween gleichen theilen Verlaßener Erben inventirt – Actum Straßburg Montags den 15.ten Jan: 1714

In dem Schuhlhauß zu St: Aurelien hat sich befunden wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Item hauß, hoffstatt und höfflein mit allen deßen Gebäuen, begriffen, Weiten Rechten, Zugehörd. und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg beim hohen steg Geg. der Kleinen Metzig eins. neben Georg Schmid. dem Schuemacher, ands. neben einer behaußung der elenden herberg alhier Zuständig, Und Zum schwartz. vaß genandt, hinden auff erstgedachte behaußung stoßend, Davon gehen Jahrs 3. lb 2 ß 6 d zinß à 5. pro Cento Jahrs auff den 28° Julÿ H. Heinrich Seÿler, dem rathsbotten, in Capital ablössig mit 62 lb 10 ß, sonsten freÿ ledig und eig. durch die Geschworne Werckmeister alhier über vorstehende beschwerd annoch æstimirt pro 487 lb. Darüber sagt i. Perg. Kbr. mit der Statt Straßb: anhang. Contract Ins. verwahrt, datirt den 21. Maÿ A° 1663. Darbeÿ ferner i. Perg: Kauffbrieff mit der St. Straßb anhang. Contract Insigel verwahrt, dat. den 18° Aug: 1635. Sambt verschied. andern Scripturen mehr, darunder Insonderheit ein Papÿr. quittung über 60. R. straßb. wehrung Vom Probst, Dechan und Capitul des Stiffts. St: Michaelis et alten St. Peter ertheilt, v: mit des Capituls daselbst auffgetruckht. Insigel bekräftiget, sub dato den 16° 10.bris 1692. des Inhalts weilen die obligation über solches abgelöste Capital sich nicht find. wollen, solche der abgeleibten frawen hauß würth seel. auff Zuhändig. daß wann sich dieselbe ins fürkünfftige hervor thun solte solche nicht mehr gültig sein solle
Abzug, Sa. hausraths 69, Sa. Silbers 4, Sa. guld. rung 8, Sa. der behaußung 487, Summa summarum 570 lb – Schulden 6 lb Nach solchem abzug 563 lb

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 315-v)
1685 – Domin. Quasimod. 29. April: Johann Christoph thierbach der huthmacher v. burger alhier V. Jfr. Catharina Weÿl. Johann Daniel hohlenders geweßenen Huthmachers V. burgers alhier Nachgel. ehel. tochter. cop. d 7. Maÿ (i 330)

Les deux enfants Dürrbach vendent la maison à Jean Georges Busch, tailleur d’habits, et à Catherine Müller pour 1 300 livres

1714 (11.6.) Chambre des Contrats, vol. 587 f° 407
hr. Johann Dirrbach schuelmeister zu St Aurelien, Item Simon holländer huetmacher alß vogt Friedrich Dirrbach des ledigen Kupferschmidts
in gegensein Joh: Georg Busch schneiders und Cath: geb. Müllerin
zweÿ häußer ein vorderes und ein hinteres mit dero hofstätten höfflein u. allen übrigen gebäuden, begriffen, zugehörden und Gerechtigkeiten beÿm hohen steeg, einseit neben einer behaußung zuem schwartzen vass genant anderseit neben Georg Schmidt schuemacher hinten auf gedachtes hauß zum schwartzen vass genannt – umb1300 pfund (1300)

Jean Georges Busch, tailleur d’habits natif d’Uffingen en Franconie, épouse en 1694 Catherine Müller fille d’un patissier de Barr qui vient d’acquérir le droit le bourgeoisie et devient lui-même bourgeois quelques mois plus tard.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune
(luth. f° 53-v), 1694 – Domin: XI et XII post Trinit. proclamati sunt Joh: Georg Busch d. schneid. gebürthig von Üffing auß dem franckenlandt, Georg Busch deß leinenwebers in gemeltem flecken Üffing. Ehl. Sohn, V. Jfr. Catharina weÿl. Andreas Müllers geweßenen Pastetenbecks zu Barr nachgel. ehl. tochter, copulati sunt Mittwoch d. 1. 7.bris [unterzeichnet] hans Jörg Busch als hochzeiter, o signum sponsæ (i 56)

3° Livre de bourgeoisie f° 1136
Catharina Müllerin von Barr, weÿl. Andreß Müllers des geweß: Pastetenbecken daselbst hinterl: tochter empfangt das burgerrecht gratis ist annoch ledig. standts und wird Zu E.E. Zunfft der Schneider dienen. Promis. d. 30 aug. 1694

3° Livre de bourgeoisie f° 1147
Joh: Georg Busch der schneider Von Vffingen in Franckenland Georg Buschen des Leinenwebers daselbst Ehl: sohn empfangt das burgerrecht gratis, war Zu vor ledigen standts und wird zu E.E. Zunfft der schneider dienen Jurav: den 8. dito [Januarÿ] 1695

Inventaire après le décès de Jean Georges Busch, tailleur d’habits. La maison et estimée 800 livres

1727 (20.11.) Me Brieff (Jean Philippe, 6 Not 13) n° 202
Inventarium und beschreibung aller und Jeeder Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und fahrender, ohnverändert und theilbahre, Nichts davon außgenommen, so weÿland der Ehrengeachte Herr Johann Georg Buschen geweßenen burger und Schneider alhier nach seinem am 24.ten Septembris dießen zu end lauffenden Jahrs genommenen tödlichen hinscheiden, hinter sich verlaßen – auf Ansuchen herrn Johann Georg buschen Jun. burgers und Schneiders und H. Johann Paul buschen ledigen burgers und Schneiders deß seelig verstorbenen mit hernach gemelter hinterlassener Fraw wittib erzeugten Söhne – durch fraw Catharinam buschin geb. Müllerin die hinterbliebene wittib mit beÿstand herrn Johann Philipp Martin burger und Knöpffmachern dero geordnet und geschworenen vogts – So geschehen Straßburg den 20.sten Nov: 1727

In einer in der Statt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegenen in die Verlassenschafft Eigenthüml. gehörigen behaußung hat sich befunden als volgt
Bericht über gegenwärtige Verlassenschafft (kein Inventarium illatorum)
Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten guths – daß sie in anno 1718 beÿ dero seeligen Mutter frawen Annæ Mariæ Müllerin geb. Baurin verlassenschafft einen Fünfften theil ererbt
Eigenthum ane einer behaußung, Item eine behaußung, höfflein hoffstatt und hintergebäulein gelegen alhier gegen der Kleinen Metzig über einseit neben H. Johann Jacob Bauren burgern und schuhmachern, anderseith neben einem hauß Zum schwartzen faß genant so dem mehrern Hospital alhier gehörig hinten auff ermeltes hauß stosend, sampt allen anderen deren gebauen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten, wie solches von der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern Crafft Abschatzung vom 27.t Nov 1727 angeschlagen worden pro 800 lb
– Abschatzung d. 27.ten 9 bris 1727 – Auff begehren Weÿland des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Geörg Busch gewesenen Schneiders seel hinter laßene frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg gegen der Kleinen Metzig über gelegen, einseits Neben Johann Jacob Baur schumacher, anderseits Neben dem hauß zum schwartzen faß genand, so allhiesigem Spithal zugehörig, hinten auch auff bemeltes hauß stosend, welche behausung hinter gebäu, Nebens gang, Stuben, Cammeren, Küchen, hauß Ehren, bauch Küche, Kangießer Werckstatt gewolbter Keller, höffel so mit platten belegt und bronnen sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb 1600 Gulden, [unterzeichnet] Michel Ehrlacher Werck meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib Vermögen, Sa. der Goldener Ring 1, Sa. Ergäntzung 91, Sa. schulden 35, Summa summarum 128 lb
der Erben Nahrung, Sa. hausraths 7 lb
das theilbare guth, Sa. hausraths 58, Sa. Lähren Faß 2, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 3, Sa. behaußung 800, Sa. Activ Schulden 115, Summa summarum 983 lb – Sa. Schulden 492, Nach solchem abzug 490 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 591 lb
Copia Eheberedung – zwischen dem vorgeacht: und bescheidenen Meister Johann Georg Buschen leedigen Schneider Meister Georg Buschen Leinenwebers und burgers zu Itfingen in Francken, Adel. Jurisdiction, Sohn, als bräutigam an einem, So dann der Ehr: und Tugendreichen Jungfrauen Catharinæ weÿl. des Ehrengeachten und bescheidenen Andreä Müllers geweßenen Pastetenbecks und burgers zu Barr nachgelaßene Tochter als der Jungfer Hochzeiterin andern theils – den 31. aug. 1694, von mir aber außgefertiget den 23. Jan. 1728, Not. Joh: Martin Brieff

La veuve de Jean Georges Busch et Jean Paul Busch vendent leurs parts de maison à leur fils et frère Jean Georges Busch, tailleur d’habits sur l’estimation totale de 3 250 livres. La mère de réserve un droit d’habitation dans la maison cédée

1730 (25.7.) Chambre des Contrats, vol. 604 f° 339-v
Fr. Catharina Buschin geb. Müllerin weÿl. Johann Georg Busch gewesten Schneiders hinterlassenen wittib beÿständlich ihres geschwornen Vogts Johann Philipp Martin des Knopffmachers, Ferner dero jüngster Sohn Johann Paul Busch auch Schneider
in gegensein ihres respective Sohns und bruders mithin zum theil Miterben ahne vätterlichen verlassenschafft Johann Georg Busch schneiders
¾ t theil vor ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorderhauß hinder gebäu Bronnen höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auch allem dem so daselbst eingemaurt ist, welches hauß gegen der kleinen Metzig über, einseit neben Johann Jacob Baur dem Schuemacher und Consorten anderseit und hinten neben und auff eine zum schwartzen Faß genannte allhießigem Mehrern Hospital eigenthümlich zuständig behausung – als ein von ihr und ihrem Ehemann seel. währender ehe erkaufft innfolgig theilbar und jedem beeder Ehegatten vermög vor weÿl. H. Not. Johann Heinrich Merckel am 31. aug. 1694 gestiffteter Ehepacten zum halben theil gebührendes guth zur helffte ihme Johann Paul Busch als haeredis ex semisse seines verstorbenen vatters zu einer 4.den theil und kauffendem Johann Georg Busch ebend ged. auch zu einem 4.t theil alles vor ohnvertheilt
hat sich der Käuffer verglichener maßen verpflichtet ahne statt der zinnßreichung seiner Mutter, welche usufructuaria universalis ad dies vitæ ihres ehemanns seel. verlassenschafft vermög § 5.t ged. Ehepacten ist, so lang sie im leben verbleiben wird in obbeschriebener behausung in losament und denen bereits innhabenden gemachen deren gemeinschafftlichen gebrauch ihr verbleibet beÿ sich zu behalten – auff den fueß von 3250 pfund

La veuve de Jean Georges Busch meurt en 1744 en délaissant une succession uniquement mobilière
1744 (8.4.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 35) n° 738
Inventarium über weÿl. Frauen Catharinæ Buschin gebohrner Müllerin, auch weÿl. Herrn herrn Johann Georg Buschen gewesenen Schneider und burgers allhier zu Straßburg nachgelaßenen wittib nunmehr seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 12.ten Martÿ dieses Jahrs beschehenen tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen und begehren herrn Johann Georg Busch und herrn Johann Paul busch, beeden Schneider und burgere allhier als der Frau seel: mit vorgemeltem ihrem lieben haußwürth seel. ehelich erzeugter und ab intestato zu erben Verlassenschaffter beeder Söhne fleißig inventirt – so beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 8. Aprilis Anno 1744.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 46, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 1, Sa. Schuld 1300, Summa summarum 1349 lb – Schulden 84 lb – Nach deren Abzug 1265 lb

Jean Georges Busch le fils a épousé Marie Salomé Merckel fille d’un teinturier en 1723
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune
(luth. f° 62, n° XII), 1723 – Dominica V et VI. Trinit. proclamati sunt, Johann Georg Busch der ledige schneider v. burg. alhier Johann Georg Busch deß schneiders v. burg. alhier ehl. sohn, V. Jgfr. Maria Salome weÿl. Johann Georg Mercklin geweß. Schwartz V. Schön: ferbers V. burg. alhier nachgelaßene ehl tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 7. Junÿ [unterzeichnet] Johann Georg Busch als Hochzeiter, Maria Salome Mercklin als hochzeiderin (i 86)

Inventaire après le décès de Marie Salomé Merckel femme de Jean Georges Busch, tailleur d’habits

1735 (28.12.) Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 20) n° 418
Inventarium über Weÿl. Frauen Mariæ Salome Buschin geb. Merckelin, herrn Johann Geörg Buschen, Schneiders und burgers allhier geweßener Ehegattin nunmehr seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 5. May dieses zuend lauffenden 1735.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf Ansuchen herrn Johann Philipp Bucken, Schreiners und burgers allhier alß geschwornen Vogts Geörg Friderich, Catharinæ Salome und Johann Daniel der Verstorbenen seel. mit (dem) Wittiber erzeugter und per Testamentum zu Erben Verlaßener dreÿ Kinder fleißig inventirt

in hernach inventirer behaußung befunden
Eigenthum ane einer Behaußung. (W.) Nemlichen eine behaußung bestehend in Vorderhauß, hindergebäu, bronnen, höfflein und hoffstatt, mit allen derselben Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, Recht. und Gerechtig Keiten, gegen der Kleinen Metzig über, einseit neben Jacob Burger dem Schuhmacher und Consorten, anderseit und hinden neben und auf eine Zum schwartzen Faß genannte, allhiesigem mehrern hospithal eigenthümblich zugehörige behaußung stosend gelegen, welche behaußung die hernach passive eingetragenen Posten freÿ ledig und eigen und durch die allhiesig geschworne Werckmeistern in deren unterm 4 Julÿ 1735 außgestellten Abschatzung æstimirt worden pro 900 lb, Ane dieser behaußung hat der wittiber von vätterlicher verlassenschafft einen Vierdten theil ererbt und die übrige dreÿ vierte theil von seiner annoch lebenden Mutter und bruder Joh: Paul buschen per Cessionem laut der den 25. Julÿ A° 1730. in der Contract Stuben vorgegangenen verschreibung überkommen
(E.) Nemlichen ein hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden, und Gerechtig Keiten gelegen allhier in dem Finckweiler (…)
– Abschatzung dem 4. Julÿ: 1735 – Auff begehren deß Wohll achtbahren und bescheitenen Herrn Johann Jörg Borsch deß schneiters ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg an der Kleinen Metzig gelegen, ein seits Neben Jackob burger dem schu macher, anderseits an ein Stifts hauß so zum hoch Spittall gehörich, hinden auch auff getachtes Stiffts hauß stoßendt welche behaußung Stuben, Cammeren, Kuchen hauß Ehren ihm obern Stock 3: Cammern zweÿ Cammeren under dem tach mit tiellen zu geschlagen hinderhauß mit ein gang und halben tach worinen die officier Stuben und Cammer unden darunder daß holtz hauß hoff und bronen gewölbter Keller sambt aller gerechtig Keitt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wird Vor und Umb 1800 Gulten
Der 2 t: begrieff ist auch alhier in der Statt Straßburg ihm finckweiller gelegen (…), [unterzeichnet] Michel Ehrlacher Werck meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs

Ergäntzung, Innhalt Inventarÿ in A° 1725 durch weÿl. herrn Daniel Rohren auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers unverändert Vermögen, Sa. hausraths 6, ß Silbers 9, Sa. baarschafft 5, Sa. anschlags des haußes 900, Sa. Ergäntzung (89, Sa. abgang 275), Summa summarum 920 lb, Schulden 1735 lb, In Compensatione 814 lb (passiv onus)
der Erben unverändert Guth, Sa. hausraths 87, Sa. Silbers 18, Sa. Goldener Ring 113, Sa. baarschafft 24, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. anschlag des haußes 125, Sa. Activ Schuld 100, Sa. Ergäntzung 520, Summa summarum 1038 lb
die theilbare Verlassenschafft, Sa. hausraths 39, Sa. leerer faß 15, Sa. silbers 3, Sa. baarschafft 291, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Sa. Activ Schulden 714, Summa summarum 1563 lb Schulden 1650 lb, Conferendo 87 lb (passiv onus) – Restirende Nahrung dem Stall tax nach 136 lb – Zweiffelhaffte Schulden in der theilabre Nahrung zugeltend 476 lb
Copia der Eheberedung
Copia Codicilli, in Anno 1723 Montag den 28. Junii, Maria Salome Merckelin weÿl. des Ehren und vorgeachten, Herrn Johann Georg Merckels des geweßenen Schönfärbers und burgers allhier nachgelaßene tochter – Not. Johann Lobstein
Copia Testamenti nuncupativi in Anno 1724 vor weÿl. Herrn Daniel Rohr auffgerichtet

Jean Georges Busch, veuf, se remarie en 1741 avec Marie Salomé Wirtz fille d’un chapelier
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 162-v, n° IV.), 1741 – Dominica V et IVdrag. proclamati sunt, H. Johann Georg Busch der schneider u. burger allhier und Jgf. Maria Salome Hn David Witz des hutmachers u. burgers allhier eheliche Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 22. febr: [unterzeichnet] Johann Georg Busch als Hochzeiter, maria Salome Witz als hochzeiterin (i 167)

Inventaire après le décès de Marie Salomé Witz femme de Jean Georges Busch, tailleur d’habits et assesseur au Grand Sénat. La succession comprend non seulement la maison face aux Grandes boucheries (estimée à 900 livres, prix de l’inventaire dressé en 1735) mais aussi une autre vers l’arrière au Thomanloch

1753 (15.10.) Me Griesbach (6 E 41, 1313) n° 32
Inventarium über Weÿland der Viel Ehr und tugendbegabten Frauen Mariæ Salome Buschin geb. Witzin Herrn Johann Georg Buschen, E.E. Grosen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers wie auch Schneiders gewesten frau Eheliebstin nunmehro seel. Verlassenschafft – nach ihrem am 30. Julÿ dieses lauffenden 1753. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen von hinnenscheiden, hie zeitlichen verlaßen hat – auf Ansuchen erfordern und begehren Hn David Niclaus Witzen, des Informatoris und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ und Catharinæ Salome Buschin der verstorbenen seelig mit (dem) Wittiber erzeugter Kinder und ab intestato verlaßene Erben – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auf Montag den 15. Octobris et sequentibus Anno 1753

In hernach beschriebener dem H. Wittiber eigenthümlich zuständiger beÿ kleinen Metzig gelegenen behaußung, folgender maßen befunden
Eigenthum ane Behaußungen. (W.) Erstl. eine behaußung bestehendt in vorder hauß, hinter Gebäu, bronnen, höfflein und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, Recht. und Gerechtigkeiten, alhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über, I. seit neben Jacob Burger dem Schuhmacher und Consorten, 2. s. und hinten neben und auf eine Zum schwartzen Faß genannte, allhiesigem Mehrern Hospithal eigenthümblich gehörige behaußung stoßendt gelegen, welche behaußung in der über weÿl. fr. Mariæ Salome buschin geb. Merckelin des Hn Wittibers sel. geweseter erstern frau Eheliebstin Verlassenschafft durch H. Johann Philipp Lichtenberger, Notarium publicum in Anno 1735 aufgerichteten Inventario fol. 53. facie I.ma durch der Statt Straßburg geschwornen H. Werckmeistern angeschlagen auch dißorts auf eingeholte approbation der Wohlverordneten Herrn dreÿ löbl. Statt Stalls dabeÿ gelaßen worden pro 900 lb, Ane dieser behaußung hat der H. Wittiber von vätterl. Verl. einen vierdten theil und beÿ Mütterl. Verl. auch einen vierdten theil ererbt, die zweÿ restirende vierdte theil oder helfte aber ist Ihme von seinen H. bruder Hn Johann Paul busch dem schneider und burger allhier d. 25. Julÿ 1730. vermög einer in hieisger löbl. Cantzleÿ Contract Stuben vorgegangenen cession eigenthümlich überlaßen worden, und hat sich dermahlen weiters des wegen nichts schrifftliches befunden
(E.) Item eine behaußung, hoffstatt, höfflein auch Gemeinschafft eines bronnens, alhier hinter dem hohensteeg (…)
Gülthen von liegenden güthern, zu Osthoffen
Ergäntzung, Vermög Inventarÿ vor H. Johann Philipp Lichtenberger Notario publico in anno 1742 aufgerichtet
Widemb, Welchen der Hr Wittiber Von weÿl. Frauen Maria Salome Buschin geb. Merckelin seiner ersten Frau Eheliebstin seeligen Verl.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers unverändertes guth, Sa. hausraths 129, Sa. leerer Vaß 17, Sa. Silbers 18, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2000, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 900, Ergäntzungs Rest 1589, Summa summarum 4662 lb, Schulden 1424 lb, Nach deren Abzug 3237 lb
Der Erben ohnverändertes Vermögen, Sa. hausraths 81, Sa. silbers 21, Sa. Goldener Ring 12, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 375, Sa. Gülth von liegende güthern 34, Sa. Schulden 50, Ergäntzungs rest 192, Summa summarum 766 lb, Schulden 700 lb, In Vergleichung 66 lb
das gemein und theilbar guth, Sa. hausraths 34, Sa.Faß und Weins 137, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 30, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 600 lb, Sa. Gülth von liegende güthern 51, Sa. Schulden 618, Summa summarum 1488 lb, Schulden 2694 lb, In Compensatione, passiv onus 1205 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 3473 lb
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehren und wohlachtbaren Hn Johann Georg Buschen Schneider Wittiber, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Salome Witzin Hn David Witzen huthmachers und burgers allhier tochter, den 9. feb. 1741, Not. Johann Philipp Lichtenberger

Inventaire après le décès de Jean Georges Busch, tailleur d’habits et assesseur au Grand Sénat. Il délaisse trois enfants de son premier mariage et deux de son second. La maison est estimée au prix établi à l’inventaire précédent, soit 900 livres. La somme taillable s’élève à 3 530 livres.

1766 (22.1.) Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 623) n° 51
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest und Großachtbaren herrn Johann Georg Busch E.E. großen Raths geweßenen alten wohlverdienten beÿsitzers, wie auch Schneiders und burgers allh. seel. Verlassenschafft – nach seinem den 28. 9.bris jüngst verfloßenen 1765.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen
Der Verstorbene seel. hat ab intestato zu Erben verlaßen, 1° S.T. Herrn Georg Friderich Busch, treueifferigen Pfarrer der Gemeind Gerstheim, 2° Frau Catharinam Salome Staudin geb. Buschin, Herrn Joh: Heinrich Staudt des Schneiders und burgers allhier Eheliebstin, 3° S.T. Herrn Joh: Daniel Busch, J.V.Ltum, dieße 3. mit weÿl. Fraun Maria Salome geb. Merckelin in erster Ehe erzeugt,
4° Frau Mariam Magdalenam Lieboldin geb. Buschin, Herrn Joh: frid. Liebold, des Klein Uhrenmachers Eheliebstin, 5°. Jungfrau Mariam Salome Buschin, so 21 Jahr alt welche beÿst. H. Joh: Ulrich Mahns des Silberarbeiters und burgers allhier, beede letztere mit weÿl. Fr. Maria Salome geb. Witzin seel. in 2.ter Ehe erziehlt, Alle 5. des Verstorbenen seel. hinterlaßenen Kinder und Erben

In einer alhier ane der kleinen Metzig gelegenen dißorts hieher gehörigen behaußung hat sich befunden als
Eigenthum ane Häußern. Erst. eine behß. bestehend in Vorderhauß, hinter Gebäu, bronnen, höfflein und hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten, alhier zu Str. gegen der kleinen Metzig über, I. seit neben Jacob Burger, dem Schuhmacher und Consorten, 2. s. und hinten neben und auf eine Zum schwartzen Faß genannte, allhiesigem Mehrern hospithal eigenthüml. gehörige bhß. stoßend gelegen, welche bhß. freÿ und eig. und in dem über Weÿl. fr. Mariæ Salome buschin geb. Witzin, des Verstorbenen seel. geweßter 2.t. fr: Eheliebsten Verl. durch herrn Joh: Jacob Grießbach Not. Publ. et Practicum in anno 1753 aufgericheten Inv° folio 56-a angeschlagen, auf dißorts auf eingeholte approbation der wohlverordneten H. dreÿ löbl. Statt Stalls dabeÿ gelaßen worden pro 900 lb, Dieße behß beruhet aus des verstorbenen seel. elterl. Verl. her, und ist dermalen nichts schrifftliches darüber vor gewiesen worden
(der Kind. 2.ter Ehe vor unverändert gehörig) It: eine Behß. hoff, hoffstatt, höfflein auch Gemeinschafft eines bronnens, an dem sogenanten Thomas loch (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 144, Sa. leerer faß 29, Sa. Silbers 22, Sa. Goldener Rings 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3450, Sa. Eigenthum ane Haüßern 1275, Sa. liegende güther 135, Summa summarum 5059 lb – Sa. der Schulden 989 lb, In Vergleichung 4070 lb – (…) Nach deßen Abzug verbleibt an der Mass dem Stalltax nach 1766 lb – Verstallungs Summa 3530 lb
Copia Codicilli der Verstorbenen seel. vor Herrn Notario Johann Jacob Grießbach – 1754, den 18. Martÿ – Herr Johann Georg Busch, E.E. großen Raths alter und E:E: kleinen Raths dermahlig. Wohlverdienter beÿsitzer, wie auch Schneider – in einer Stuben auf dem Ersten Stockwerk mit denen fenstern auf gedachte Kleine Metzig außsehend

Les héritiers de Jean Georges Busch vendent pour 2 250 livres leurs parts de la maison à leur sœur Catherine Salomé Busch femme du tailleur d’habits Jean Henri Staudt

1766 (19.2.) Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 623) joint au n° 51 – enreg. Chambre des Contrats, vol. 640, f° 172-v le 5 mars
Abtheilungs Register (f° 5) Cession der Behaußung gegen der Kleinen Metzig über gelegen
persönlich erschienen S.T. Herrn Joh: Daniel Busch, J.V.Ltus vor sich und als bevollmächtigter S.T. Herrn Georg Friderich Busch, treueifferigen Pfarrers der Evangelischen Gemeind Gerstheim, ferner Frau Maria Magdalena Lieboldin geb. Buschin, H. Joh: frid. Liebold, des Klein Uhrenmachers Eheliebstin, so dann Jgf. Maria Salome Buschin beÿstädl. H. Johann Ulrich Mahns des Silberarbeiters und burgers allhier
Fraun Catharinæ Salome Staudin geb. Buschin, H. Joh: Heinrich Staudt des Schneiders und burgers allhier Eheliebstin
eine behaußung bestehend in Vorderhauß, hinter Gebäu, bronnen, höfflein und hoffstatt, mit allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörd., Recht. und Gerechtigkeiten, sambt denen Vorfenstern liegerling in dem Keller, Tapeten in der Stub Kammer auf dem ersten Stock bauchkößel und einem vierecket eisernen Öfelein auf dem zweÿten stock im hintern hauß, Welche behß. allhier zu Str. gegen der kleinen Metzig über, einseit neben H. N. Dunquet dem Silberarbeiter anderseit und hinten neben und auf eine Zum schwartzen Faß genannte allhiesigem Mehrern hospital eigenth. zugehörige bhßg. stoßend gelegen – umb 2250 pfund welche die Cessionaria in die unvertheilt Erbschaft einschießen und daran als Miterbin ihren antheil wiederum beziehen solle – den 4. Martii 1766 ist hie vorstehende Erbs cession dem Contractuum Protocollo enregistrirt worden, wie zu sehen reg. de dicto anno f. 172-b

Catherine Salomé Busch a épousé en 1761 le tailleur d’habits Jean Henri Staudt natif de Hohenlohe. Ils font dresser l’inventaire de leurs apports
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune
(luth. f° 222-b)
1761 – Sonntag Jubil et Cant. pcl. d 22. Aprilis copulati Joh: Heinrich Stauth, lediger schneider Meister u. b. h. l. geb. v. Hohenloh, Laumburg, weÿl. Hn Joh: Michael Stauth gew. Herrschafftl. Försters ehel. Sohn u. Jgf. Catharina Salome H Joh: Georg Busch schneiders u. b. h. l. a. E.E. Gr. raths gew. beÿsitzers filia [unterzeichnet] Johann Heinrich Staudt Hochzeiter, Catharina Saloma buschin Hochzeiterin (i 227)

Inventaire des apports dressé dans la maison paternelle de l’épouse
1762 (25.2.), Me Griesbach (6 E 41, 1316) n° 130
Inventarium über der Ehrenfest: und Großachtbaren Herrn Johann Heinrich Staudt des Schneiders und der Viel Ehr: und tugendgezierten frauen Catharinä Salome Staudtin gebohrner Buschin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg Einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachter Nahrungen – der Ursachen wegen alldieweilen in der vor mir Notario den 9.ten aprilis des 1761.sten Jahrs aufgerichteten Eheberedung sich vorbelaten haben – So beschehen auf Montas den 15. februarii 1762

In einer allhier zu Straßburg ane der Klein Metzig gelegenen der Ehefrauen Herrn Vatter eigenthümlich zuständigen behaußung folgendermasen befunden worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, so einig und allein in Silber und dergleichen Geschmeid bestehet 15 lb, die helffte ane der haussteuren 48 lb, des Ehemanns gesammten in die ehe gebrachte Vermögen 63 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 126, Sa. Silbers und dergleichen geschmeids 19, Sa. Goldener Ring 72, Sa. baarschafft 334 lb, Summa summarum 551 lb, Und wann die helffte von denen haussteuren dazu gerechnet, aso ausmacht 48, Als dann thut der Ehefrauen gesamtes ohnverändertes in die Ehe gebrachtes Vermögen 599 lb

Catherine Salomé Busch, femme de Jean Henri Staudt, meurt sans enfant en 1774. La succession comprend la maison, estimée au prix de l’inventaire de 1766, soit 900 livres, la somme taillable est de 1 078 livres

1774 (15.6.), Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 624) n° 94
Inventarium über Weiland des Viel Ehren: und Tugendbegabten frauen Catharinæ Salome Staudin geb. Buschin Hn Johann Heinrich Staud des Schneiders u. brs. allhier zu Straßburg gewesener Ehegattin nun seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 14.den May dieses laufenden 1774.sten Jahrs beschehenen todt. hintritt hie Zeitlich verlaßen – So beschehen in der königl. Stadt Straßburg in fernern Gegenseÿn Hn Joseph Kreitzer des Schloßers und brs. alhier E:E: kleinen Raths dermaligen beisitzers, als von solchen Ehrsamen Rath zu diesem Geschäft abgeordneter Hn Deputati, Auf Mittwoch den 15.Junii Anno 1774.
Die Verstorbene seel. hat per Testamentum solenne inscriptis Zu Erben verlaßen wie folgt. 1.mo S.T. Hn Joh: Daniel Busch J.U. Ltum und Secretarium auf löbl. Pfenningthurn auch brn. alhier in deßen Namen S.T. H. Joh: Friderich Liechtenberger Not. publ. jur. et Pract:, 2.do Frau Mariam Magdalenam Lieboldin geb. Buschin Hn Joh: Friderich Liebold des Klein Uhrenmachers u. brs. alh. Ehegattin, 3.tio frau Mariam Salome Lienhardin geb. Buschin Hn Joh: Ernst Lienhard des Schneiders u. brs. zu Stuttgart Eheliebste, Alle dreÿ der verstorbenen seel. hinterl. Geschwistrige zu dreÿ gleichen Antheilen

In einer alhier zu Straßburg ane der Kleinen Metzig gelegenen hiehero eigenthümlich gehöriger behaußung folgender maßen befunden worden
Ergäntzung, Zufolg Inventarii illatorum anno 1762. durch Herrn Notarium Johann Jacob Grießbach errichtet
(f° 13) Eigenthum ane einer behaußung (E.) Nemlichen eine behaußung bestehend in Vorderhauß, hintergebäu, bronnen, höfflein und hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Recht. und Gerechtigkeiten, alhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über, einseit neben Jacob Burger, dem Schuhmacher und Consorten, anderseit und hinten neben und auf eine zum Schwartzen Faß genannte, allhießigem mehrern hospithal eigenthüml. gehörige behaußung stoßend, welche behaußung freÿ leedig und eigen, und in dem über weÿl. herrn Johann Georg Busch geweßenen Exsenatoris Schneiders und burgers allier, der defunctæ herrn Vaters seel. Verlassenschafft durch mich den unterschriebenen Notarium in Anno 1766 aufgerichteten Inventario angeschlagen, auf dißorts auf eingeholte approbation der wohlverordneten Herrn dreÿ löbl. Stadt Stalls dabeÿ gelaßen worden pro 900 lb, Darüber besagt Erbs Cession den 19.ten februarii 1766 vor mir dem unterschriebenenn Notario passirt si den 4.ten Martii dicti anni in alhießiger Cantzleÿ Contract stub ordnungs mäßig enregistrirt worden. Die ältere über diese behaußung meldende Documenta sind dermahlen nicht vorgewiesen worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. Silbers 16 ß, Sa. Ergäntzung (62, abzuziehen 1, annoch übrig) 61, Summa summarum 62 lb
der Erben unverändert Nahrung, Sa. hausraths 296, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 1, Sa. Silbers 25, Sa. Goldener Ring und geschmeids 43, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 900, Sa. Gülthen von eigenthümlichen liegenden güthern 165, Sa. Ergäntzung (419, abgezogen 493, Compensando 74), Summa summarum 1434 lb – Schulden 74 lb, In Vergleichung 1360 lb
das gemein, verändert und theilbare Guth, Sa. haußraths 127, Sa. Werckzeug Zum Schneider handwerck gehörig 10 ß, Sa. Silbers 15, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 25, Sa. Schulden 580, Sa. Gülthen von eigenthümlichen liegenden güthern 165, Summa summarum 915 lb, Sa. der Schulden 774 lb, In Vergleichung 140 lb – Beschluß und Verstallungs Summa 1078 lb – Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung 225 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Heinrich Staudt, dem Leedigen Schneidermeister und burgern allhier zu Straßburg, Weÿland herrn Johann Michael Staudt gewesenen harstaufseher beÿ jhro hochgräfflichen Excellenz Herrn Graffen Von hohenloe Langenburg, mit frauen Anna Barbara gebohrner Zieglerin Ehelich erzeugtem Sohn als hochzeiter ane einem, So dann der viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Catharinä Salome Buschin, S.T. Herrn Johann Georg Busch, des Schneiders und E.E. großen Raths dahier alten beÿsitzers mit Weÿland frauen Maria Salome gebohrner Mercklinin ehelich erzeugten Jungfer tochter – So beschehen in der königlichenen Stadt Straßburg auf Donnerstag den Neunte Aprilis Anno 1761 – Johann Jacob Grießbach Not.

Le veuf, Jean Henri Staudt, renonce moyennant une rente viagère à son droit d’usufruit sur la maison au profit de sa belle-sœur Marie Salomé Busch femme de Jean Ernest Lienhard, tailleur d’habits à Stuttgart

1774 (1.7.), Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 624) Joint à l’acte 94 du 15 juin 1774
persönlich erschienen Herr Johann Heinrich Staudt der Schneider und burger alhier, als usufructuarius weÿland frauen Catharinæ Salome Staudin gebohrner Buschin seiner gewesenen Ehefrauen Salome Staudtin gebohrner Buschin seine geweßene Ehefrauen seel. Verlassenschafft an einem,
So dann frau Maria Salome Lienhardin gebohrne Buschin Herrn Johann Ernst Lienhard des Schneiders und burgers zu Studtgardt Ehegattin, als ane solche Verlassenschafft Künftige Wÿdembs Erbin Vor ein dritten theil von gedachtem ihrem Ehemann hierzu insonderheit autorisirt und verbeÿstandet am andern theil, anzeigend daß Sie mit einander nachfolgenden Vergleich wißentlich und wohlbedächtlich mit einander getroffen und beschloßen hätten,
Nemlichen und zum Ersten renuncirt Er herr Staudt zu Gunsten frauen Leinhardin auf den Natural Genuß derjenigen dritten theils ane einer behaußung, höfflein bronnen und hoffstatt, mit allen Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über, einseit neben Jacob Burger dem Schuhmacher und Consorten, anderseit und hinten neben und auf eine zum schwartzen Faß genannte, allhießigem mehrern hospithal gehörige behaußung stoßend, welcher Ihro frauen Lienhardin als Wÿdumbs Erbin eigenthümlich zuständig, dergestalten daß dieselbe damit ohngehinder männiglichs von nun an schalten und walten Könne und möge. Dahingegen und zweÿtens Verspricht Sie frau Lienhardin Ihme Herrn Staudt solang derselbe am Leben seÿn wirdn davor einen Jährlichen Zinß von 75 Gulden hießiger Währung – So geschehen Straßburg den Ersten Julii Anno 1774. [unterzeichnet] Johann Heinrich Staudt, Maria Salome Lienhardtin Gebohrne Buschin, Jg: Johann Ernst Lienhardt

Jean Henri Staudt, veuf, se remarie en 1776 avec Marie Marguerite Remes fille d’un armurier
1775 (6.11.) Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 461
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Joh: Heinrich Staudt, dem Schneider, Wittiber und burgern allhier zu Straßburg als dem Hn bräutigam ane einem, so dann der Ehren und tugendgezierten Jungfer Mariä Margarethä Remesin, Weÿl. Hn Johann Remes geweßenen Waffenschmidts und burgers allhier seel. mit frauen Maria Margaretha geb. Schaaffin ehelich erzeugten hinterlaßenen tochter als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil – so beschehen in Straßburg in præsentia (…) auf Ihr der Jgfr. hochzeiterin Seithen H. Joh: Lucä Schaaff Küblers Ihres gel. Hn Oncle, auff Montag den 6.ten Novembris A° 1770 – [unterzeichnet] Johann Heinrich Staudt, Maria Margareth Rämesin, Johann Lucas Schaaff

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 37-b)
In dießem 1776.sten Jahr sind nach zweÿmal nacheinander geschehenen proclamation zur ehe eingesegnet worden H. Johann Heinrich Staud wittwer burger und schneider Meister allhier mit Jgfr. Maria Margaretha Römeßin weÿl. Johannes Römes geweß. burgers und waffenschmids alhier hinterlassener ehelicher dochter. So geschehen dienstag den 16. Januarÿ morgens um Zehen uhren [unterzeichnet] Johann Heinrich Staudt Alß Hochzeiter, Maria Margaretha Römesin als Hochzeiterin (i 40)

Inventaire des apports dressé dans une maison proche du poële de la Lanterne
1778 (13.6.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 736) n° 1035
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Herrn Joh: Heinrich Staudt, Schneiders und der Ehren: und tugendsahmen fraun Mariä Margarethä Staudtin gebohrner Remesin beeder Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – und sich Vermög der Vor mir unterschriebenen Notario den 6.ten Novembris 1775 errichteten Eheberedung Vor Unverändert Vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in præsentia herrn Johann Lucä Schaaffen, Küblers und burgers allhier der Ehefrauen geliebten Oncle und erbettenen beistandts auf Sambstags den 13.ten junÿ A° 1778

In einer allhier zu Straßburg hinter der Hhn. Stub gelegener und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns eingebrachten Guts, Sa. Haußräthlichen Mobilien 33, Sa. Silbers 15, Summa summarum 44 – Haussteuren 26, des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Gut 74 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. Haußraths 115, Sa. Silbers 30, Sa. Goldener Ring 13, Sa. baarschafft 159 lb, Summa summarum 319 lb, haussteuren 26 lb, der Ehefr. in die Ehe gebrachtes Vermögen 345 lb

Les frères et sœurs et héritiers de Catherine Salomé Busch femme du tailleur d’habits Jean Henri Staudt vendent la maison à Jean Paul Busch assesseur au Grand Sénat et employé au Zollkeller (Douane). Vente provisoire devant le notaire et vente effective passée à la Chambre des Contrats

1774 (25. 9.br), Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 624) Joint à l’acte 94 du 15 juin 1774
persönlich erschienen Ssi Uq. Tlis. Herr Johann Heinrich Staud d. Schneid. u. b. alhier als Wittwer und usufructuarium, Herr Johann Daniel Busch J.U. Ltus und Secretarius auf Löbl. Stadt Pfenningthurn, frau Maria Magdalena Lieboldin gebohrne Buschin, Herrn Johann Friderich Liebold des Klein Uhrenmachers und burgers alhier Ehegattin beÿständlich und unter autoritæt deßelben, So dann Herr Johann Jacob Lung Notariatus Candidatus als Mandatarius frauen Mariæ Salome Lienhardin gebohrner Buschin Herrn Johann Ernst Lienhard des Schneiders und burgers zu Studtgardt Ehefrau, dieße dreÿ letztete als Testaments Erben weÿland frauen Catharinæ Salome Staudin gebohrner Buschin ihrer Schwester seel. ane einem, So dann herr Johann Paul Busch Es. En. großen Raths alter wohlverdienter beÿsitzer beamter in hießigem Zollkeller und burger alhier am andern theil, anzeigend daß Sie nachfolgenden Kauff und Verkauff wißend und wohlbedächtlich mit einander getroffen und beschloßen hätten, und Zwar unter nachstehenden conditionen, nahmentlich und Zum ersten, renuncirt herr Staudt der Wittiber zu Gunsten Herrn Secretarÿ Buschen und frauen Lieboldin auf den Natural Genuß ihrer eigenthümlichen Zweÿ dritten theilen ane nachbeschriebener behaußung, wie er solches würcklich in ansehung des übrigen dritten theils durch acte vor mir Notario den 1.ten Julii jünst passirt, zu Gunsten frauen Lienhardin gethan (…), Zweÿtens verkaufft herr Secretarius Busch, frau Leiboldin und herr Lung nomine quo agit,
herrn Rathherrn Johann Paul Busch
die in schongemeldter Frau Staudtin seel. Verlassenschafft gehörige behaußung, höfflein bronnen und hoffstatt, mit allen Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg gegen der Kleinen Metzig über, einseit neben herrn Vincent Marie Tunquet dem Silberarbeiter, anderseit und hinten neben und auf eine zum schwartzen Faß genannte, allhießigem mehrern hospithal gehörige behaußung stoßend – um eine summ von 4500 Gulden – Welchen Interims Kauff und Verkauff (…) So geschehen Straßburg den 25.ten Novembris anno 1774

Les frères et sœurs et héritiers de Catherine Salomé Busch femme du tailleur d’habits Jean Henri Staudt vendent pr 2 100 livres la maison à Jean Paul Busch assesseur au Grand Sénat et employé au Zollkeller (Douane)

1775 (1.4.) Chambre des Contrats, vol. 649 f° 143-v
H. Lt Johann Daniel Busch ober secretarius löbl. Stadt Pfenning Thurns und Fr. Maria Magdalena Lieboldin geb. Buschin H. Friedrich Liebold des klein Uhrenmachers eheliebstin, Fr. Maria Salome Lienhardin geb. Buschin H. Johann Ernst Lienhard des schneider meisters zu Stuttgardt Ehegattin, H. Johann Jacob Lung notariatus candidatus von derßelben autorisirt, samtlich alß Testaments erben weÿl. Fr. Catharinæ Salome Staudin geb. Buschin H. Johann Heinrich Staud des schneidermeisters Ehegattin ihrer vollbändigen Frau schwester, mehr erstbenannter H. Staud alß wÿdums nießer
in gegensein H. Johann Paul Busch EE. Großen Raths alten beÿsitzers und dermahlen beamten in allhiesigen zollkeller – H. Staud auff den natural genuß ein vor alle mahl verzug thut
die in mehrermelter verlassenschafft gelegen gehörige behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen der kleinen Metzig über, einseit neben H. Vincent Marie Tunquet dem silberarbeiter, anderseit und hinten auff eine zum schwartzen Faß genannte allhiesigen mehrern hospital zuständige behausung – um 4200 gulden

L’acquéreur, Jean Paul Busch, est l’oncle des vendeurs.

Jean Paul Busch assesseur employé au Zollkeller vend pour 2 250 livres la maison à Jean Stammler, maître menuisier

1777 (21.8.) Chambre des Contrats, vol. 651 f° 280-v
H. exsenator Johann Paul Busch der beamte in allhiesigem Zollkeller
in gegensein Johann Stammler des schreiner meisters
eine behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen denen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten bloß der offen in der boutique samt stein und rohr außgenohmen gegen der kleinen metzig über, einseit neben Mr Jost dem schloßermeister, anders. u. hinten zum Schwartzen faß genannt allhies. mehrern hospital zustän. behausung – um 4500 gulden

Jean Stammler, menuisier, a épousé en 1777 Susanne Catherine Wagner fille d’un cordier
1777 (16.1.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 480
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Herrn Johannes Stammler dem leedigen Schreiner Meister und burgern allhier zu Straßburg, Hn Johannes Stammler Schneiders und burgers allhier ehelich erzeugtem Sohn als dem Hn bräutigam ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Susanna Catharina Wagnerin Hn Daniel Wagners Seilers und burgers allhier ehelich erzeugten tochter als der Jungfer hochzeiterin ane dem andern theil – so beschehen in Straßburg auf Donnerstag deb 16. Januarÿ A° 1777 [unterzeichnet] Johannes Stammler, Susanna Catharina Wagnerin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 52)
Im Jahr 1777 (…) dienstag den 8. Aprilis copulirt worden, Johannes Stammler lediger Schreiner meister hr. Johannes Stammler Schneiders und burgers allhie und weil. fr: Mariæ Salome gebohrner Wittmännin ehelicher sohn und Jgfr. Susanna Catharina hr. Johann Daniel Wagners Seilers und burgers allhier und fr. Susannä Catharinä gebohrner Krapffin eheliche tochter, [unterzeichnet] Johannes Stammler als Hochzeiter, Susanna Catharina Wagnerin als Hochzeiterin (i 55)

Inventaire des apports dressé dans une maison rue des Serruriers
1777 (29.8.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 736) n° 1017
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Herrn Johannes Stammler Schreiners und der Ehren und tugendsamen fraun Susannæ Catharinä Stammlerin geb. Wagnerin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander vor ohnverändert einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – und sich vermög der vor mir unterschriebenem Not° unterm 16. Januarÿ 1777 errichteten heuraths Verschreibung vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in fernerem Gegenseÿn Hn Johannes Stammlers Schneiders und burgers allhier des Ehemanns gel. Hn Vatters und Hn Johann Daniel Wagners des jüngers Seiler Meisters der Ehefraun gel. Hn. bruders auf freÿtag den 29.ten Augusti A° 1777

In einer allhier ane der Schloßergaß gelegener und in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Hausraths 130, Sa. Werckzeugs und holtz zur Schreiner profession gehörig 264 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 22, Summa summarum 390 lb, Haussteuren 27 lb, (Summa) 417 lb
der frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. Hausraths 75, Sa. Silbers 13, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 78, Summa summarum 182 lb, Haussteuren 27 lb lb, (Summa) 210 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 628 lb

Inventaire après le décès de Susanne Catherine Wagner femme de Jean Stammler, menuisier

1821 (9.4.) Strasbourg 2 (48), Me Weigel n° 1084 – Enregistrement de Strasbourg, acp 152 F° 61 du 1.4.
Inventaire de la succession de Susanne Catherine Wagner épouse de Jean Stammler, ancien menuisier décédée le 23 oct. dernier, à la requête 1. du veuf, 2. Catherine Salomée Stammler épouse de Vincent Eudes, fabricant de chandelles seule et unique héritière de sa mère – Contrat de mariage Me Langheinrich 16. jan. 1777, inventaire des apports 29 août 1777

immeubles, une maison avec cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 104, d’un côté les veuve et héritiers Ohlmann d’autre Martin Lehmann derrière audit Lehmann – acquis de Jean Paul Busch à la Chambre des Contrats le 21 août 1777 – occupé par la requérante estimée 12 000 fr
Titres et papiers, a) arrangement 16 nov. 1639 entre la veuve et héritiers Daniel Braun d’une part et Jean Jacques Feigler, taillandier, et Georges Keller, amidonnier d’autre part à cause des lieux d’aisances qui se trouvent indivis entre eux. Cet arrangement porte en substance. Attendu que d’après le jugement rendu par le petit Sénat le 5 juin 1637 il a été statué que les latrines doivent être vuidées et les ordures transportées à travers la maison de Feigler et que celui ci par cette circonstance ne doit supporter que le tiers des frais, les 2/3 devant tomber à la charge de la veuve Braun. Mais comme cette vuidange incommode beaucoup la maison Feigler et lui est très nuisible et comme elle pourrait être faite sans grand inconvénient par la maison de derrière de la De Brauner [sic] les parties sont convenues que ladite veuve ferait vuider dorénavant les commodités par sa maison de derrière et qu’en revanche elle ne payeroit qu’un tiers aux frais et que les deux autres tiers seroient supportés par ledsits Jacques Feigler et Georges Heller, et pour prix de cette concession la De Braun a reçu 10 florins et une corde de bois
Expédition, Chambre des Contrats 20 avril 1775, Jean Daniel Busch licencié en droit secrétaire général de la Tour aux Pfennigs, et Marie Madeleine Busch femme de Jean Frédéric Liebold, horloger, et Marie Salomé Lienhard femme de Jean Ernest Lienhard tailleur d’habits à Stüttgard vendent à Jean Paul Busch, employé à l’octoi de Strasbourg la maison détaillée sous la rubrique des immeubles de la communauté – Chambre des Contrats, vente de Jean Paul Busch à Jean Stammler pour 4500 florins
dans la maison mortuaire rue des Petites Boucheries n° 104 – propres de l’époux 1848 fr, passif propre de l’époux 148 francs
garde robe de la défunte 50 fr avec apports mobiliers 2806 fr
communauté, meubles dans une chambre aux mansardes éclairée sur la cour, dans une chambre aux mansardes éclairée sur la rue 188 fr – ensemble 12 188 francs – passif 3603 francs

Inventaire après le décès de Jean Stammler, menuisier. La succession revient à sa fille Catherine Salomé femme de Vincent Eudes qu’elle a épousé en

1826 (10.1.) Strasbourg 2 (59), Me Weigel n° 4072 – Enregistrement de Strasbourg, acp 176 F° 128 du 14.1.
Inventaire de la succession de Jean Stammler, menuisier décédé le 14 juillet dernier, à la requête de Catherine Salomé Stammler sa fille femme de Vincent Eudes fabricant de chandelles seule et unique héritière

dans la maison mortuaire rue des Petites Boucheries n° 104
communauté, meubles dans une chambre au mansardes éclairée sur la cour, dans une autre chambre aux mansardes éclairée sur la rue, 138 francs
une maison avec cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 104 d’un côté les héritiers Ohlmann d’autre Martin Lehmann, derrière audit Lehmann, estimée 12 000 fr, la moitié 6000 fr
total de l’actif 6191 fr, passif 100 fr – garde robe 52 fr

Catherine Salomé Stammler épouse Vincent Eude, loueur de carosses natif du Gast (Calvados), veuf de Catherine Barbe Schwing
1808 (6.9.), Strasbourg 13 (29), Me Bremsinger n° 4470 – Enregistrement de Strasbourg, acp 107 F° 99 du 9.9.
Contrat de mariage – Vincent Eude, maître cocher, veuf de Catherine Barbe Schwing
Catherine Salomé Stammler fille majeure de Jean Stammler, menuisier, et de Susanne Catherine née Wagner

Mariage, Strasbourg (f° 187-v, n° 406)
L’an 1808 le 17 Novembre, Vincent Eudes agé de 32 ans, loueur de carosses domicilié en cette ville depuis dix ans, né au Gast, Département du Calvados, le 16 Novembre 1776, majeur fils de Vincent Eudes, cultivateur audit lieu, et de Jeanne Renaud, veuf de Catherine Barbe Schwing décédée en cette ville le 27 août 1806, et Catherine Salomé Stammler agée de 23 ans née en cette ville le 28 novembre 1784 y domiciliée, majeure, fille de Jean Stammler menuisier, et de Susanne Catherine Wagner (i 11)

Inventaire des apports
1809 (8.5.) Strasbourg 13 (29), Me Bremsinger n° 4700 – Enregistrement de Strasbourg, acp 111 F° 98 du 18.5.
Inventaire des apports de Vincent Eude maître cocher et de Catherine Salomé née Stammler, Contrat de mariage souss. le 6 sept. dernier
en la maison appartenante à Mde Schwing sise rue Elisabeth n° 16
le mari – meubles 166 fr, bijoux 30 fr, voiturier 4020 fr, total 4216 fr, moitié des présents de noces 51 fr, total 4267 fr, passif 1074 fr, reste 3193 fr
apports de la femme – meubles 1559 fr, numéraire 640 fr, dettes actives 800 fr, total 2999 fr, présents de noces 51 fr, total 3050 francs

Salomé Stammler femme du propriétaire Vincent Eude fait donation de la maison à son fils Edouard Eude, fabricant de chandelles

1836 (18.10.) Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 312, n° 32 – Strasbourg, Me F. Grimmer du 24.7.br, Donation – Enregistrement de Strasbourg, acp 244 f° 14-v du 1.10.
Salomé Stammler épouse de Vincent Eude, propriétaire
à Edouard Eude son fils, fabricant de chandelles
une maison sise à Strasbourg rue de la Petite Boucherie n° 104 d’un côté et derrière autrefois Sr Lehmann, boucher, aujourd’hui Sr Dangler épicier, d’autre le Sr Ohlmann propriétaire, devant la rue, évaluée à 1200 fr de revenu ou un capital de 24 000 francs – hérité dans la succession de Jean Stammler son père, menuisier, seule et unique héritière, Inventaire Me Weigel le 10 jan. 1826, M. Stammler l’a acquis de Jean Paul Busch, employé en la même ville, Chambre des Contrats le 20 août 1777 – passé à la campagne de M. Eude situé hors la porte Hôpital canton dit près le Rhin Tortu n° 33

Catherine Stammler femme de de Vincent Eudes meurt en 1837 en laissant trois enfants
1837 (10.7.) Strasbourg, Me F. Grimmer, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 251 F° 53 du 127.
Inventaire de la succession de Catherine Salomé Stamler épouse de Vincent Eudes décédée le 22 mars dernier – à la requête 1. du veuf commun en biens par contrat de mariage passé devant Me Bremsinger le 6 sept.1808, 2. Auguste Eudes, 3. Salomé Eudes épouse d’Antoine Paulus, 4. Edouard Eudes, ces trois seuls enfants de la défunte

Veuf, Vincent Eudes se remarie avec Catherine Christine Franck
1839 (21.2.), Strasbourg 10 (95), Me Zimmer n° 3111 – Enregistrement de Strasbourg, acp 266 f° 44 du 27.2.
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Vincent Eude, propriétaire domicilié hors la porte d’Austerlitz veuf avec trois enfants de Catherine Salomé Stammler
Catherine Christine Franck veuve de sans enfant de Jean Georges Stampfer

Edouard Eude, fabricant de savon et de chandelles, et Elisabeth Caroline Dietz vendent pour 37 000 francs la maison à Charles Louis Braun, agent des salines de l’Est

1842 (9.2.) Strasbourg 9 (88), Me Becker n° 1509, Vente et bail
Vente et bail – Monsieur Edouard Eude, fabricant de savon et de chandelles et Dame Elisabeth Caroline Dietz
A Monsieur Charles Louis Braun, agent des salines de l’Est demeurant à Strasbourg
Une Maison consistant en bâtiment de devant, bâtiment latéral et bâtiment de derrière avec cour, puits et autres appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des petites boucheries N° 104, tenant d’un côté au Sr Ohlmann, propriétaire, de l’autre et par derrière au Sr Dangler
Sont compris dans cette vente 1° Sept poëles en fayence & deux poëles en fer de fonte avec leurs tuyaux et pierres* se trouvant placés dans les différens logements de ladite maison, douze doubles fenêtres et neuf persiennes pour les différentes croisées se trouvant dans ladite maison, 2° Et les outils et ustensiles ci-après désignés servant à la fabrication de savon et d. chandelles et qui font partie de ladite maison comme immeubles par destination, savoir (…)
M Eude est devenu propriétaire de ladite maison au moyen de la donation que lui a faite Madame Salomé Stammler, sa mère, épouse Mr Vincent Eude, propriétaire demeurant ensemble à Strasbourg suivant acte passé devant Mr Georges Louis Frédéric Grimmer le 24. sept. 1836 transcrit volume 312 N° 32 (pour la somme de) 30 000 francs à laquelle la maison en question avoit été évaluée lors de ladite donation ainsi que Mr et Mad. Eude le déclarent (…). Les vendeurs declarent en outre que Mad. Eude née Stammler avait recueilli ledit immeuble dans la succession du Sr Jean Stammler son père en son vivant menuisier à Strasbourg sont elle était seul et unique héritière ainsi que cela resulte de l’Inventaire après le décès de ce dernier dressé par Me Weigel le 10 janvier 1826. Ledit Sr Stammler en était devenu propriétaire au moyen de l’acquisition qu’il en avait faite du Sr Jean Paul Busch employé à Strasbourg suivant contrat passé à la Chambre des Contrats le 20 août 1777. Enfin le Sr Busch avait acquis la maison présentement vendue des héritiers et légataires universels de De Catherine Salomé Busch épouse du Sr Jean Henri Staudt, tailleur d’habits à Strasbourg, suivant contrat passé à ladite Chambre des Contrats le 1. avril 1775 – pour 37 000 francs
Mr Braun donne à titre de bail à loyer pour quinze années entières et consecutives qui commencent à courir la 24 Mars prochain, à M. et Mde Eude, la maison ci-dessus désignée avec toutes ses appartenances et dépendances, les objets mobiliers qui s’y trouvent placés notamment les outils et ustensiles servant à l’exploitation de la fabrique de Mr Eude qui ont été estimés ci-dessus à la somme de 630 francs – Ce bail est fait et consenti moyennant un loyer annuel de 2200 francs

Charles Louis Braun, négociant, a épousé en 1832 Charlotte Emma Gerhardt fille de négociant
1832 (1.10.), Strasbourg 9 (anc. cote 64), Me Hickel n° 4314 – Enregistrement de Strasbourg, acp 212 F° 193 du 8.10.
Contrat de mariage, communauté d’acquets – Charles Louis Braun, négociant fils de Daniel Louis Braun, inspecteur général de la régie des sels de l’Est, et de Louise Caroline Karth
Charlotte Emma Gerhardt fille de Samuel Gerhardt, négociant, et de Henriette Charlotte Weber

Charles Louis Braun loue la maison et les outils du métier à Auguste Henri Francké, fabricant de savon et de chandelles, et Marie Louise Rohr

1844 (29.2.), Strasbourg 9 (90), Me Becker n° 2223
Bail – Mr Charles Louis Braun, négociant demeurant à Strasbourg, bail à loyer pour 12 années entières & consécutives qui commenceront à courir le 25 mars prochain
A Mr Auguste Henri Francké, fabricant de Savon & de chandelles & à De. Marie Louise Rohr son épouse
L’immeuble ci après désigné savoir, Une maison consistant en bâtiment de devant, bâtiment latéral & bâtiment de derrière, avec cour, puits & autres appartenances & dépendances, situé à Strasbourg rue des petites boucheriers N° 104, tenant d’un côté au Sr Ohlmann de l’autre & par derrière au Sr Dangler
sont compris dans la bail 1° Sept poeles en fayence & deux poeles en fer de fonte avec leurs tuyaux & pierres se trouvant placés dans les différents logements de la dite maison, douze doubles fenêtres & neuf persiennes pour les différentes croisées se trouvant dans la même maison, 2° et les outils & ustensiles ci-après désignés servant à la fabrication de savon & de chandelles é qui font partie de la dite maison comme immeubles par destination savoir (…), total de l’estimation des dits outils & ustensiles 660 francs. Ainsi au surplus que la dite maison & les dits objets mobiliers se poursuivent & se comportent, sans en rien excepter ni reserver & telles qu’en a joui ou du jouir Mr le bailleur comme propriétaire en vertu de l’acquisition qu’il en a faite suivant contrat passé devant ledit Me Becker le 9. Février 1842. – moyennant un loyer annuel de 1800 francs


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.