32, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons
Rue du Vieux-Marché-aux-Poissons n° 32 – VI 226 (Blondel), O 117 puis section 19 parcelle 118 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Bleifuss, gainier (1765)
La partie droite correspond au numéro 32 et la partie gauche au n° 34
Etroite maison d’artisan à deux fenêtres par niveau, elle a déjà trois étages au début du XVIII° siècle. Elle appartient depuis le milieu du XVII° siècle à Georges von Lohe, tailleur venu de Hambourg, qui la transforme en 1648 en l’alignant avec la voisine au Bouc. Elle se transmet par héritage jusqu’à ce que Marguerite Madeleine Bleifuss veuve de Jean Frédéric Wegener la vende en 1844.
Elle est reconstruite en 1765 en même temps que sa voisine (actuel n° 34) que le propriétaire souhaitait rebâtir à neuf mais qui n’avait pas de mur indépendant : « étant donné que le voisin a l’intention de démolir sa maison et de la bâtir à neuf, la maison doit aussi être détruite et reconstruite puisqu’elle n’a ni mur de séparation ni cloison (…) ». Cela explique que les deux maisons voisines ont le même aspect extérieur bien qu’elles aient appartenu à deux propriétaires différents. Si le rez-de-chaussée été entièrement refait, les fenêtres aux étages ont des encadrements caractéristiques de l’époque. Les clés des linteaux sont décorées aux deux étages inférieurs. Les deux maisons seront effectivement réunies en une seule à partir des années 1860.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 175
La maison est la cinquième après le repère (r), c’est-à-dire la deuxième des maisons aux fenêtres en anse de panier. On constate que le rez-de-chaussée a été entièrement transformé depuis lors et que les combles ont été réaménagés. L’arrière de la maison donne sur le fossé dit Ulmergraben (cour A de l’îlot), à droite du repère (12). Elle a en outre une petite cour (P) jumelle de la maison voisine n° 34 : le mur de séparation s’étend entre (1) et (2), suivi du bâtiment qui donne sur le fossé. Le bâtiment en galerie se trouve au sud de la cour. On voit entre (4) et (1) une partie du bâtiment avant sur rue.
août 2013
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1662 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Georges von Lohe, tailleur, et (1645) Anne Marie Schreckenberger puis (1648) Cécile Lanton veuve du cuisinier Nicolas Werung – luthériens | ||
h | Jean David von Lohe, boutonnier, et (1685) Anne Marie Rumpel – luthériens | |
h | indivis entre Jean David von Lohe, boutonnier, et (1723) Marie Elisabeth Rapp Catherine Elisabeth von Lohe, épouse (1719) de Jean Georges Stoltz, tailleur – luthériens |
|
1745 | h | Marie Elisabeth Rapp, ci-dessus, et (1727) Jean Daniel Bleifuss, gainier, puis (1738) Jean Etienne Meyer, gainier – luthériens |
1765 | h | Jean Bleifuss, gainier, et (1759) Anne Marie Jost – luthériens |
1805 | h | Jean Frédéric Wegener, gantier, et (1795) Marguerite Madeleine Bleifus |
1844 | v | Gustave Hoffmann, pelletier, et (1838) Caroline Sauer |
1863* | v | Antoine Serre, fabricant de parapluies |
1890* | Elisabeth Teyssie | |
1896* | v | Mathias Netter, commerçant, et Valérie Moser |
1944 | Directeur de l’administration civile en Alsace-Lorraine | |
1947* | 1952 Maurice Moser, négociant à Paris pour 1/3 et cohéritiers |
(1765, Liste Blondel) VI 226, Jean Etienne Meyer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bleÿfuß, 1 toise, 2 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 117, Wegener, Jean Frédéric, veuve Vieux Marché aux Poissons 77 – maison, sol – 0,7 are
Locations
1695 et 1708, Antoine Legrand dit Laclume, parfumeur, manant
1708, Jean Nicolas Mannberger le jeune, coutelier
1705, 1724, 1739 Jean Daniel Bauer marchand de cuir
1745, Jean Frédéric Schall, coutelier
1771, Jean Jacques Fischer
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Livres des communaux
L’auvent de la maison est imposé depuis la décision que rendent les Préposés au bâtiment en 1707 (voir plus bas)
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 541
Johann David Von Lohe Kinder, sollen von einem 9. Schuh 4. Zoll Lang und 4. Schuh. 2. Zoll vom hauß herauß breiten Wetterdach, sampt einem 2. Schuh und 5. Zoll breiten dielen an Ihrer auf dem untern fischmarckt liegenden behaußung, Jahrs auf Matthäi und laut Prot: de 1707. fol. 230. A° 1708. I.mo, 2 ß 6 d
(Quittungen) 1708-1741
Neuzb fol 494-b
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1648, Préposés au bâtiment, VII 1350
Georges von Lohe aligne sa maison avec la voisine au Bouc, il ravance le rez de chaussée, supprime l’oriel et construit une galerie
(f° 20) Montags den 7. Augusti. Georg von Lohe – Augenschein eingenommen i. Beÿ Georg von Lohe dem Schneider, der bat Ihme Zuvergönnen, den boden vnden in seinem hauß 9 ½ sch. heraußer, wo ietzt die thür ist, Zu rucken vnd oben darüber ahne statt deß Erckerlins, welcher 3 ½ sch. herauß gangen, vnd 2. fenster breit gewesen, ganz heraußer dem bock gleich Zufahren, ins gesamt 9 sch. und 3. Zoll breit und herauß 3 ½ sch. auch oben ein genglin mit gedrehten stollen darauf Zusezten. Erkannt, Ihme weil Er auf sein eÿgenthumb bawt willfahrt, ohne entgelt bod. Zinß, hatt aber 30 ß aug.sch. erlegen. actum d. 9. Aug. 1648 p. Oberb.
(traduction) Lundi 7 août. Georges von Lohe – Visite des lieux. Visite chez le tailleur Georges von Lohe qui demande l’autorisation de bâtir devant sa maison sur le terrain de 9 pieds ½ où se trouve actuellement la porte, de ravancer l’étage qui aura 9 pieds 3 pouces de long sur 3 pieds ½ dans l’alignement de la maison au Bouc en remplaçant l’oriel d’une largeur de 3 pieds ½ et de la longueur de deux fenêtres, enfin de construire en haut un passage à colonnes tournées. Décision, accord sans rente foncière puisque la construction se trouve sur sa propriété, il devra cependant régler 30 sous de visite des lieux. Fait le 9 août 1648, les Préposés au bâtiment.
1705, Préposés au bâtiment, VII 1381
Jean David von Lohe est autorisé à faire réparer son auvent
(f° 149-v) Dienstags den 21. Ejusdem [Aprilis 1705]. Johann David von Lohe pt° eines Wetter: dachs – Johann David von Lohe, der Knöpffmacher, beÿständlich Johann Flucken, des Zimmermanns undt burgers alhier, Zeigt an, daß das an seiner oberhalb dem Hauß Zum bockh genant, gelgegenen behausung befindliche Wetterdach dergelstalten schadhafft worden, daß es herunter fallen wolle, weilen nun kein handtwercksmann ohne Mghh. erlaubnuß Ihme ein newes machen will, alß wolte Er Mghh. Hiermit underthänig ersucht haben, Ihme gnd. Zuerlauben, daß Er daßelbe machen laßen dörffe. Erk. Soll durch der Statt Werckmeister abgemeßen und Ihme gegen abstattung eines jährlichen billigen Zinnßes ein newes solcher größe machen Zulaßen erlaubt sein.
1707, Préposés au bâtiment, VII 1382
Le tuteur des enfants von Lohe est autorisé à faire de nouveau réparer l’auvent. Il est imposé quelques temps plus tard parce qu’il avance davantage sur le communal. Cette rente est portée au Livre des loyers communaux (voir ci-dessus)
(f° 211-v) Donnerstag den 11. Ejusdem [Augusti 1707]. Johann David von Lohe Kind. pt° eines Wetterdachs – Herr Lucas Schaff der Schneider, mit beÿstand herrn Johann Michael Bindenschuhs, des Zimmermanns, ersucht MGhh. underthänig Ihme gn. Zuerlauben, daß Er das Vor seiner Vogts Kindern, Weÿland Johann David Von Lohe, des Knöpffmachers hinterlaßenen Kindern, auff dem Untern Fisch Marckh, oberhalb dem Hauß Zum Bockh genant, gelegener behausung, befindliche schadhaffte Wetterdach wieder repariren laßen dörffe. Erk. Bleibt beÿ dem am 21. aprilis Anno 1705. ertheilten bescheidt.
(f° 230) Dienstags den 20. 7.br. 1707. Johann David von Lohe Kind. pt° eines Wetterdachs – Wegen der am 11. Augusti jüngst auff ansuchen Herr Lucas Schaffen des Schneiders, alß Vogten Johann David Von Lohe, des Knöpffmachers hinterlaßenen Kinder auff dem Undern Fisch: Marckh gelegener behausung ergangenen Erkandtnuß, referiren der Statt Werckmeistere, daß das reparirte Wetterdach 9. schuhe 4. zoll lang und 4 schuhe 2 Zoll Vom Hauß heraus breit seÿe, und noch ein diehlen der 2. schuhe 5. zoll breit ist daran gemacht worden. Erk. Soll jährlichen auff Matthæi und Anno 1708. primo in ansehung dieser Kinder dürfftigkeit allein 2 ß 6 s. allmend Zinnß davon bezahlt werden.
1766, Préposés au bâtiment, VII 1412
Jean Bleyfuss se plaint que l’eau qui tombe du toit et de l’auvent de son voisin abîme les marchandises qu’il expose devant sa boutique. Les proposés renvoient à la décision que va prendre le Magistrat et demandent de retirer l’étal devant la maison
(f° 6-v) Mittwoch den 19. febr. 1766. Johannes Bleÿfuß g.tra H. Johannes Saum – An Johannes Bleÿfuß Jun: des Säcklers seinem hauß auff dem untern fischmarckt, welcher g.tra H. Johannes Saum seinen nachbarn Klagt, daß jhme durch das waßer so auß dem naach Saumischen haußes vom dach herabschießet als auch deßen so von dem wetterdach abtropffet, die waaren in seinem laden darneben verspritzet und verderbt werden, mit bitte jhme Klägern entweder zu erlauben auch wieder ein wetterdach zu machen oder aber beklagten anzuhalten das seinige auch abzubrechen und das Regenwaßer von dem dach seines haußes durch ein rohr herab zu leiten. Erkannt, wird Kläger Zur gedult verwießen biß die allgemeine Verordnung die wetterdächer, überhäng und Kellerthüren betreffendt wird Kundtbar gemacht seÿn, jhme wird aber wie auch Joh. Michael Schawer dem Kürschner seinem nachbarn anbefohlen die vor jhrer häußer auff das allmendt gestellte vorbänck ohnverzüglich hinweg zu thun und abzuschaffen, welches H. Georg Michael häring dem handelsmann in der Spießgaß und schneidergraben in gleichem zu injungiren.
[in margine :] Johann Michael Schawer und Georg Michael häring
(traduction) Mercredi le 19 février 1766. Jean Bleyfuss contre Jean Saum – Le gainier Jean Bleyfuss le jeune, propriétaire d’une maison au bas du marché au poissons, se plaint de son voisin Jean Saum. Comme l’eau qui tombe du toit de la maison Saum et celle qui s’égoutte de son auvent éclaboussent les marchandises de sa boutique, le plaignant demande soit d’être autorisé à remettre un auvent soit d’enjoindre le défendeur de démolir le sien et de faire couler dans un tuyau l’eau qui provient de son toit. Décision, on demande au plaigant de prendre patience et d’attendre que soit publiée l’ordonnance générale relative aux auvents, aux encorbellements et aux portes de cave, en lui ordonnant par ailleurs, de même qu’à son voisin le pelletier Jean Michel Schauer, de retirer sans délai les étaux posés sur le communal, injonction qu’il faut aussi adresser au marchand Georges Michel Hæring rue des Hallebardes et fossé des Tailleurs.
Description de la maison
- 1725 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un petit bâtiment arrière, poêles, chambres, petite cuisine, four de cuisson, cendrier, boutique, vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, cave voûtée et petite cour dallée en pierre, estimée avec toutes ses appartenances à 2500 florins
- 1752 (billet d’estimation traduit) à côté de l’entrée de la maison se trouve la boutique, au premier étage un poêle, une chambre et un vestibule où se trouvent le fourneau et la cheminés, le deuxième et le troisième étage sont en tout point pareils au premier, au quatrième étage il y a une chambre, au-dessus le comble à double couverture de tuiles plates, il y a aussi une cave voûtée et une petite cour, la largeur totale de la maison est de dix pieds et demi, estimés à 2300 florins
Atlas des alignements
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du vieux marché aux Poissons
nouveau N° / ancien N° : 25 / 77
Wegner
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 31 case 1
Wegener Jean Frédéric veuve, vieux marché aux poissons N° 77
Hoffmann, Jean Gustave (subst.on pr. 1845)
O 117, vieux marché aux poissons 77, maison, sol
Contenance : 0,70
Revenu total : 180,37 (180 et 0,37)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 299 case 2
Hoffmann Jean Gustave
1863 Serre Antoine fabricant de Parapluies
(puis biffé)
O 117, Rue du vieux marché aux poissons 32, maison, sol
Contenance : 0,70
Revenu total : 180,37 (180 et 0,37)
Folio de provenance : (31)
Folio de destination : 299 (1° c.)
Année de sortie : 1864
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 299 case 1
Berst Jacques
1863 Serre Antoine fabricant de Parapluies
1890/91 Teyssier Elisabeth, Kräuterin*
1896/97 Netter Mathias, Kaufmann und Ehefr. Valerie geb. Moser in Gütergemeinschaft
O 117, Rue du vieux marché aux poissons 32, maison
Contenance : 1,40
Revenu total : 490,73 (180
Folio de provenance : 299 (2° c.)
Folio de destination : 299 Augm.
Année d’entrée : 1864
Année de sortie : 1866
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 40
fenêtres du 3° et au-dessus : 45 / 36
Cadastre allemand, registre 30 p. 231 case 7
Parcelle, section, 19 n° 118 – autrefois O 116, 117
Canton : Alter Fischmarckt , Hs. N° 32 u. 34
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,49
Revenu : 1600 – 6000
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1944), compte 897
Netter Mathias u. Ehefr. in Gg.
1924 Netter Mathieu veuve Valérie née Moser
gelöscht, 1944
(Propriétaire à partir de l’exercice 1944), compte 1532
Elsass-Lothringen Landesverwaltung (Landesausschuß)
1944 Chef der Zivilverwaltung im Elsass-Lothringen
clos, 1952
(Propriétaire à partir de l’exercice 1952), compte 6311
Moser Maurice, négociant à Paris pour 1/3 et cohéritiers
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 164 Marché aux Poissons (p. 318)
(maison n°) 77
Pr. Bleÿfusz, Jean, Gainier – Miroir
lo : Stuber Jean, Relieur – Chausses Pelletier
lo : Jean George, Tailleur – Tailleurs
Registres de population
(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Alter Fischmarkt (p. 40)
(Nr. 32-34)
Diemer, Delikathdlg. 01
Hüsselstein, Tagner. 2
Moser, Wwe. 2
Rappe, Lehrer. 3
Ludwig, Schriftsetzer. 4
Peytrignet, Wwe. H 1
Ramstein, Kohlenhändl. 4
Neumann, Schneider. H 3
Ginzburger, Wwe. H 4
Goeb, Nähein H 5
Relevé d’actes
La maison appartient au tailleur Georges von Lohe, originaire d’Altona près de Hambourg, qui épouse d’abord en 1645 Anne Marie Schreckenberger de Wissembourg puis en 1648 Cécile Lanton veuve avec un enfant du cuisinier Nicolas Werung. Tous trois sont inscrits au livre de bourgeoisie
Mariage, Saint-Thomas (luth. 273-v)
1642. Domin. LX. 13. Feb. Georg Von Lohe der Schneid. Georg Von Lohe deß handelßmanns Undt Burgers Zu Hamburg nachg. Sohn, Anna Maria weÿl. H Johann Schreckenbergers Teutschen Schuel Undt Rechenmeisters Zu Cronweÿßenburg nachgelaßene Tochter. Eingesegnet Montags 21. Feb. St. Thoman.
1641, 3° Livre de bourgeoisie p. 892
Georg von Lohe Von Alttenen der Schneider erkaufft d. burgerrecht für sich vnd sein haußfraw Anna Maria Schreckenbergerin von Cronweißenburg umb 20 goldtguld. und will Zu der Ersamen Zunfft der Schneider dienen Actum den 10 Marty Anno 1642.
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 35)
1648. Eadem [do.ica Septuagesima] Georgius von Loh d. schneid. v. burg. alhie Und Cæcilia Nicolai Werungs deß Kochs von Aßweiler nachgel. Wittib (i 46)
1647, 3° Livre de bourgeoisie, p. 918
Cecilia Lanton Von Cleve, Weÿland Nicolai Weron, Herren Obristen von Schmidbergs geweßenen Kochs hinderlaßene Wittib, Erkaufft daß Burgerrecht für sich Vmb 10 GoldR. bringt mit sich ein kind Nahmens Wolff Friderich hat kein Eigen gut. Wird beÿ E.E. Zunfft Zum Spiegel dienen V,d 100 fl. Verstallen den 30. 7.bris 1647.
Cécile veuve de Georges von Lohe, pour laquelle agit le tailleur Jean Funck, rembourse le capital d’une obligation souscrite en 1457 et garantie sur la maison
1680 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 463
fraw Elisabetha Schwartzin gebohrne Bischoffin, wittib, mit beÿstand Herrn Emanuel Fischers deß huetstaffierers ihres curatoris
in gegensein herrn Johann Funckhen deß Schneiders alß Vogts Cæciliæ weÿl. Georg Von Lohe geweßenen Schneiders nunmehr seel. hinderlaßener Wittibin
daß Die die Lohische Wittib ihro der Schwartzischen Wittibin die Jenige 10. lb so Sie, deroselben ahne 20. lb mehrern Summ Vermög eines lateinischen pergamentinen sub dato 2. Calend. April. a° 1457. mit deß Bischofflichen Hoffs anhangendem Contract insigel uffgerichteten zinnßbrieffs und dabeÿ befindlichen Transfixes von uff und ab dero alhier am undern fischmarckh neben dem hiebevor geweßenen Würths hauß Zum Bockh gelegener behaußung iährlichen termino Adolphi Zu verzinnßen schuldig geweßen abgelößt habe (…), Und weilen fraw Salome Stöhrin wittib in dero nahmen herr Johann Georg Brimmer Cancelleÿ Contractstuben susbstitutus ihr dochtermann zu gegen war, Ihro der Lohischen wittibin, obige 10. lb. et quidem cum pacto de insistendo hergeschoßen (…)
Cécile veuve de Georges von Lohe hypothèque la maison au profit de l’ancien ammestre Jean Léonard Frœreissen pour délivrer à son fils David von Lohe le legs de 100 florins que lui a fait Georges von Lohe
1680 (23.7.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 503-v
Fraw Cecilia, Weÿl. herrn Georg Von Lohe des Schneiders nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstandt H. Johann Funckhen des Schneiders Ihres Vogts
daß Sie dem Edel, Vest, Fürsichtig undt hochweißen herrn Johann Leonhardt Fröreÿßen Alten Ammaÿstern und dreÿ Zehnern, schuldig seÿe 75 lb, daß Sie damit David Von Lohe dem Knöpffmacher Ihren eheleiblichen sohn, umb die Ihme in Vätterlicher disposition Vermachte 100 Rchthlr contentiren können
unterpfand, hauß, und hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier am undern Fischmarckt einseit neben Conradt Simon dem barbierer, anderseit neben Johann Friderich Lobstein dem Posomentirer, hinden uff dem Ulbergraben stoßend gelegen, davon gehendt Jährlichen 1 lb d lößig mit 20 lb weÿl. H. Nicolai Philippi Scheidten Med. D. nunmehr seel. nachgelaßenen Erben
Une fois sortie de l’indivision, la maison reviendra au boutonnier Jean David von Lohe qui épouse en 1685 Anne Marie Rumpel
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 129-v, n° 8)
1685. Zum 2. mahl Joh: David Von Lohe der Knöpffmacher Wd. Hr. Georg Von Lohe geweßenen Schneiders u. Burgers alhie nachgelaß. ehel. S. Jfr. Anna Maria Weiland Georg Rumpels geweßenen Schneiders u. Burgers alhier nachgelaß. ehel. T. Mont. den 19.ten Febr. Zun Predigern (i 131)
Jean David von Lohe et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Sachs, receveur à l’Orphelinat
1686 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 36
Johann David Von Lohe der Knöpffmacher und Anna Maria beede Eheleuthe und zwar dieselbe mit beÿstand H. M. Johann Georg Rumpel Pfarrers zu Monoltzheim und Lucas Schafen deß Schneiders Ihres Ehe leiblichen bruders und Schwagers
in gegensein H. Johann Friderich Sachßen alß Schaffners deß Weÿßenhaußes – schuldig 200 fl.
unterpfand, eine behaußung höfflein, hoffstatt, sambt allen übrigen deren gebäwen, begriffen, weithen, Rechten und zugehördten, allhier auff dem Fischmarckt einseit neben H. Conrad Simon der barbierer anderseit neben Friderich Lobstein dem Paßmentirer gelegen
Le tailleur Jean Adam Thalmann et sa femme Sybille Susanne von Lohe hypothèquent leur tiers de la maison au profit de Luc Schaaff receveur de l’hospice des vérolés. En marge quittance délivrée en 1758 à Marie Elisabeth Rapp veuve de Jean Etienne Meyer
1686 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 284-v
Johann Adam Thalmann, der Schneider und Sibilla Susanna von Loh deßen eheliche haußfrau und zwar dieselbe mit beÿstand Johann David von Loh, deß Knöpffmachers ihres bruders und Lucæ Schaff deß Schneiders ihres Schwagers
in gegensein H. Peter Webers deß Schaffners im blaterhauß – gedachtem blaterhauß schuldig seÿen 100 Reichsthaler oder 150. fl. in guter Reichswehrung
unterpfand, Ein dritter theÿl an hauß, hoffstatt und höfflein, sambt einem hinderhauß mit allen deren Gebäuen, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier am undern Fischmarckt einseit neben der vormals gewesenen herberg Zum bock anietzo H. Johann Conrad Simon dem Barbierer zuständig anderseit Friderich Lobstein den Paßmentierer hinden auff den Ulbergraben stoßend gelegen, und zum alten hauer genandt, Von welchem gantzen hauß gehen jährlich 3 lb. d ablößig mit 75. lb. d. adel. Landspergischen Erben (…)
[in margine :] (…) in gegensein Fr. Mariä Elisabethä geb. Rapin weÿl. Stephan Meÿer gew. Säcklers wittib, als dermahligen proprietariæ hievor verpfändeter behaußung (quittung) den 23. dec. 1758.
Jean David von Lohe hypothèque la maison au profit du mineur Michel Guthmann
1692 (29. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 819
Johann David von Loh, der Knöpffmacher
in gegensein Anthoni Michel deß haußfeurers alß Vogts weil. Samuel Guthmanns gewes. Weißbecken sel. nachgelaßenen Sohns Michel – schuldig seÿe 175 pfund
unterpfand, Eine behaußung sambt einem höfflein hind. hauß, und dero hoffstätt. auch allen andern deren Gebäuen, recht. und Zugehördt. allhier am undern Fischmarckt, einseit neben Hn Johann Conrad Simon dem Barbierer und wundartzt anderseit neben Johann Friderich Lobstein dem Knöpffmacher, hind. auff d. Ülber graben, stoßend gelegen, und Zum alt. Hauer genandt, darvon gehend jährlich vff Johannis Baptistæ und Weihnacht. 3 lb lößig mit 75 lb den Edlen von Landsperg
Le boutonnier Jean David von Lohe loue une boutique au parfumeur Antoine Legrand
1695 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 504
Jean Dauid de Loh Bouton. (signé) Johann dauidt von Loh
Bail à Antoine le Grand Marchand Parfumeur (si +)
Vne boutique qui est dessous la Maison du Bailleur scise au Marché aux poissons, Pour une année à commencer à la St. Michel de l’année courrante, pour le prix et somme de 100 livres tournois faisant 25 liures de Strasbourg
Le tuteur des enfants de Jean David von Lohe et Jean Adam Thalmann louent une partie de la maison au coutelier Jean Nicolas Mannberger le jeune
1708 (11.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 581, f° 692
Hr Lucas Schaf schneider alß vogt weÿl. Joh: David von Loh Knöpffmacher KK, Item Joh: Adam Thalmann schneider
in gegensein Joh: Niclaus Mannbergers jun: messerschmidts
entlehnt, in dem Lohischen hauß neben dem bock folgende gelegenheiten, Erstlichen den vordern Keller, Item platz zuem holtz, Item dem laden, Item zwo stuben über einand. auf die gass, Item ein Kuchen u. Cammer, Item oben auf eine Cammer auf die gass, Item die bühnen ins gemein, auf 6 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1709 – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 lb
Jean Adam Thalmann et le tuteur des enfants de Jean David von Lohe louent une partie de la maison au manant Antoine Legrand dit Laclume
1708 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 581, f° 408
Johann Adam dalmann Schneider für sich und H. Lucas Schaaff auch Schneider alß vogt Johann david Lohen Knöpffmachers 2. Kinder (signé) Joh: Adam thalma
in gegensein Anthoine le Grand dit la Clume des Kauffmanns und Schirms Verwanthens (signé) Laclume
entlehnt, in dem lohischen auff dem Untern Fischmarckt neben dem gewesenen Wirthshauß zum bock gelegenen Hauß nachfolgende gemach und Gelegenheiten, Nemblich den vordern größern Keller, den lad: oben darüber, Ferner die Zwo Stüben über einander auff die Gaß sehend, die Küch an d. undern Stuben, Item zwo Cammeren Nemblich die oberste auff die Gaß und die jenige ahn der ged. Küchen, Item das Holtzhauß + (+ und hoff doch also daß er thalmann allda Kästen und sein Holtz legen Kan), So dann d. gemeinen Gebrauch des Hoffs und des s.v. secrets, Waß die soldaten Cammer betrift, der bleibt vorbehalten Vor die Einlogirung Welche er Entlehner mit obged. dalmann welcher einen virdten theil an obbeschriebenen hauß eÿgenthümlich hat Undt des Weg. die übrige hierin nicht benambte Gemach und Gelegenheiten Vor sich behält (+ auch des Wegen Jährlich à parte 12 lb 10 ß zu zinnß zu reichen hat) ins gemein zu leiden hat, auff ein Jahr lang anfangend auff Joh. Bapt: 1708 – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund
Le tuteur des enfants de Jean David von Lohe et Jean Adam Thalmann louent la maison au marchand de cuir Jean Daniel Bauer
1715 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 588, f° 112-v
H. Lucas Schaaf Schneider und EE. kleinen Raths alter beÿsitzer alß vogt Looischer zweÿ Kinder So dann Johann Adam Thalmann schneiders
in gegensein Johann Daniel Bauren des lederhändlers
entlehnt, das Looische hauß allhier auf dem fischmarckt einseit neben H. Sommer neben Engelhard hinten auff dem Ulmergraben gelegen nichts als sein Thalmanns wohnung wie er sie bißher inngehalb und noch inn hatt ausgnommen und wie er baur solches biß dato schon 3 ½ jahr lang beseßen, auff fernerer dreÿ Jahr lang auff Johannis Baptistæ 1715 – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund
Quatrième compte de tutelle que rend le tuteur des deux enfants de Jean David von Lohe. Y figurent les loyers et le nom des différents locataires
1716 (25.6.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 22) n° 574
Rechnung Mein Lucas Schaaffen, Frauenzimmer Schneiders und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts, Joh: David, leedigen Knöpffmacher und Jgfr. Catharinæ Elisabethæ der Lohen, weÿl. H. Joh: David von Loh geweßenen Knöpffmachers v. b. alh. seel. hinterlaßener zweÿer Kinder, Inhaltend alles daßjenige was ich von Anno 1711 als dem beschluß meiner 3.ten Rechnung, biß den 25. Junÿ 1716 gedacher meiner Curanden wegen Eingenommen Vnd außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiß Verrichtet und Verhandelt habe. – Vierdte Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus der Jährlich fallenden Haußzinnßen.
Erstlichen reichte Vormahls und Zahr biß Joh. Bapt: Anno 1715. reichte Herr Joh: Niclaus Mannberger der Jüngere Schwerdtfeger und burger allhier auß dem Vordern stock und Laden in der allhier ahne dem fischmarckh j. seith neben Weÿl: H Heinrich Reütters deß Weiß Lein Wanth händlers Wittib 2. seith neben H. Christoph Engelhard dm handelßmann gelegener behaußung Jahrs auff Joh. Bapt: anjetzo aber Herr – Bawer der Lederhändler auff Ebensolchen termin und Anno 1716. erstenmahls 75. lb
Item Johann Adam Thalmann der Schneider und burger allhier alß Welchen ein Vierder theil ane erwehnter behaußung eigenthümlich Zuständig gibt auß dem Hindern Stöcklein solcher behaußung und Zwahr auch auff Joh. Bapt: Zu zinnß 13. ß 6 ß 8 d
So dann reicht H. Hiob Bäst der Waffenschmidt v. b. allhier von seinem in dem hauß stehen habenden Wahren Kasten auch Jahrs auff Joh. Bapt: Zu Zinnß 2 lb
Cinquième compte de tutelle
1720 (30. 9.br), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 27) n° 733
Rechnung Mein Lucas Schaaffen Schneiders und burgers allhier zu Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts Johann David, leedigen Knöpffmachers und Jgfr. Catharinæ Elisabethæ der Lohen, Weÿl. H. Johann David von Loh geweßenen Knöpffmachers und Burgers allhier seel. hinterlassener zweÿen Kinder, Inhaltend alles dasjenige Was ich Vom 25.t Junÿ Anno 1716 biß den 30. 7.bris Anno 1720 berührter meiner Vogts Persohnen halben Eingenommen und außgegeb. auch sonsten Vögtlicher Weiß Verhandelt und Verrichtet habe – Fünffte Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus der Jährlich fallenden Haußzinnßen.
Erstlichen reichte Herr Johann Daniel Baur der Lederhändler und burger allhier auß dem Vordern Stock und Laden in der allhier ahne dem fischmarck, einseith neben Herrn Sommer dem Weiß Leinwanth händler uxorio nomine Wittib 2. seith neben H. Christoph Engelhard dem handelßmann gelegener behaußung Jahrs auff Joh. Bapt: und zwar biß 1718. inclusive 75 l. Anno 719 et 1720. aber gab Er veraccordirte maßen jährl. nur 55. lb
Item Johann Adam Thalmann der Schneider und burger allhiern als Welchem ein Vierder theil ane erwehnter behaußung eigenthümlich Zuständig gibt auß dem Hindern Stöcklein solcher behaußung und Zwar biß 1716 inclus. jährl. auch auff Joh. Bapt: Zu zinnß 13. ß 6 ß 8 d. Anno 1717. 1718. aber nur 10. lb. IN Annis 1719 et 1720. hab Er endlich 8 lb
So dann reicht Herr Hiob Bäst der Waffenschmidt und burger allhier von seinem in dem hauß stehen habenden Wahren Kasten auch Jahrs auff Joh. Baptista Zu Zinnß 2 lb
Dernier compte de tutelle
1722 (Joh: Bapt.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 30) n° 786
Stuck oder Schluß: Rechnung Mein Lucas Schaaffen Frawen Zimmer: Schneiders und burgers allhier zu Straßburg als noch ohnentledigten Vogts H. Johann David von Lohe, Ledigen Knöpffmachers und Fr. Catharinæ Elisabethæ von Lohe, so nunmehr ahne H. Joh: Georg Stoltzen den Schneidern und burgern allhier verehelichet ist, weÿl. herrn David Von Lohe geweßenen Knöpffmachers und burgers allhier seeligen hinterlaßenen ehelichen Kinderen außweißend Was ich vom 30.ten Septembris Anno 1720, alß von dem beschluß meiner abgelegten fünfften Rechnung, biß Johannis Baptistæ Anno 1722 für erwehnte zweÿ Geschwistrige ferner eingenommen und außgegeben habe
Einnahm ane Eingegangenen Haußzinnßen.
Nemblichen Herr Johann Daniel Bauer der Lederhändler und burger allhier zahlte von seinem in lehnung habenden Gemachen und dem Laden Zinnß von Joh. Bapt: Anno 1720 biß Wieder ahne solchen Termin A° 1722 also für Zweÿ Jahr à 45. lb, 90 lb
Item Mstr. Johann Adam Thalmann der Schneider soll Von seinenbewohnenden Gemachen solchen Haußes ahne Zinnß von Joh. Bapt: Anno 1720 biß dahien Anno 1722 also für Zweÿ Jahr à 8 lb, 16 lb
It. Weÿl. Herrn Hiob Bästen deß Waffenschmidts Wittib Zahlte Von Ihrem in dem Hauß stehen habenden Wahren Kasten in Jahrs Zinnß auff Joh. Bapt: Anno 1721 et 1722 Verfallen à 2 lb, mit 4 lb
Item soll Hr Johann Georg Stoltz der Schneider und burger alhier alß der vogts tochter Ehemann Von seinen inhabenden Gemachen, die Zinnß ahn solchen termin Anno 1722 alß für Zweÿ Jahr à 10. lb, Thut 20 lb
Comme le montre le compte de tutelle, la maison appartient par indivis aux deux enfants de Jean David von Lohe, Jean David et Catherine Elisabeth qui épouse en 1719 le tailleur Jean Georges Stoltz : contrat de mariage tel qu’il est transcrit à l’Inventaire après décès, célébration, inventaire des apports
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrbaren und bescheidenen Meister Johann Georg Stoltz, ledigem Schneider Meister Georg Stoltzen auch Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg Ehelichem Sohn hochzeitern ane Einem, So dann der Ehr und tugendsamen Jungfrauen Catharinæ Elisabethæ von Lohe weÿland herrn Johann David von Lohe gewesten Knöpffmachers und burgers allhier seelig hinderlaßener Ehelicher tochter hochzeiterin andern theils – So geschehen v. verhandelt seindt dieße ding in der königlichen Statt Straßburg dem 10. Octobris Anno 1719., Johann Peter Kolb, Notarius juratus
Mariage, Temple-Neuf (luth. 322-v, n° 1325)
1719. Mittwoch den 1. Novembr. seind nach Zweimahliger Proclamation copulirt und ehelich eingesegnet worden, Johann Georg Stoltz der ledige Schneider und burger allhier, Johann Georg Stoltzen deß Schneiders und burgers alhier ehel. Sohn, und Jfr. Catharina Elisabetha, weiland Johann David von lohe, geweßenen Knöpffmachers und burgers allhier nachgelaßener ehl. tochter. [unterzeichnet] Johann Georg Stoltz als hochzeiter, Catharina Elisabeth Lohin (i 322)
Inventaire des apports dressé dans la maison qui appartient en partie à l’épouse
1722 (4.5.), Me Kolb (Abraham, 22 Not 21) n° 502
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeeder Haab undt Nahrung, so Mstr. Johann Geörg Stoltz der Schneider undt fr. Catharina Elisabetha gebohrne von Lohe beede Eheleuthe undt burgere allhier Einandter alß unverändert in den Ehestandt gebracht – Actum Straßburg in fernerem beÿsein H. Lucæ Schaaffen deß ältern Schneidters auch burgers allhier der Ehefr. gewesten vogts. auff Montag den 4.ten maÿ 1722.
Inn Einer allhier in der Statt Straßb. auff dem fischmarckh gelegenen undt der Ehefr. Zum theil gehörig. hernach beschriebener behaußung hat sich befunden als volgt.
Eÿgenthumb ane Einer behaußung so der Ehefrauen ohnverändert. Solche ist weillen dieselbe noch ohnvertheilt außgesetzt verblieben, undt in der Vätterl. Verlaßensch. Invent. undt in deren vogteÿ rechnung mehren bericht derezn zu erfindten
Norma huius Inv. des Ehemanns sein ohnv. Verm. deßelb. Kleÿd. und weißgez. 55, des Silbers v. gesch. 9, Summa summarum 65 lb
auff solches volgt nun auch d. Ehefr. in die Ehe Zugebr. ohnv. guth. Sa. hausraths 91, Sa. Silbers v. gesch. 9, Sa. guld. ring 20, Summa summarum 121. lb – Pas. schuldt 28 lb – Nach Abz. solch. pas. sch. 92 lb
Anne Marie Thalmann vend son quart de maison à Jean Georges Stoltz
1723 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 19
Jfr Anna Maria geb. dahlmännin so majorennis und ohnbevögtigt beÿständlich ihres Vatters Johann Adam dahlmann des Schneiders
in gegensein Johann Georg Stoltzen auch Schneiders
Einen vierdten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahn Untern Fischmarckt, einseit neben H. Sommer dem Banquier anderseit neben Engelhardt dem huetstraffirer hinten auff den Ulbergrün, woran die übrige ¾ theil für ohnvertheilt des Käuffers ehefrau Catharina Elisabetha Stoltzin geb. von Lohe und dero bruder Johann david von Lohe dem ledigen knopffmacher jeden zur helffte zuständig, von solcher gantzen behausung gehen hiesiger Stadt Pfenning Thurn ane allmend zinß 2 ß 6 d – um 60, 25, 375 und 75 pfund verhafftet, welche der Käuffer zum vierdten theil übernohmen – umb 275 pfund
Jean Georges Stoltz et Jean David von Loh louent une partie de la maison au marchand de cuir Jean Daniel Bauer
1724 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 182-v
Johann Georg Stoltz Schneider und Johann david von Loh der Knopffmacher
in gegensein Johann Daniel Baur des Lederhändlers – beede schwäger ihme bauer
entlehnt, In der ihnen proprio et uxorio nomine eigenthümlich zuständig allhier ahm Fischmarckt einseit neben H. Sommer banquier anderseit neben H. Engelhardt huetstraffirer gelegenen behausung Unten auff dem boden den Laden ad dies vitae des entlehners – anfangend auff Michaelis fürwährenden Jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden
[in margine] cassirt d. 1. sept. 1739
La moitié indivise de la maison appartient à Jean David von Lohe qui épouse en 1723 Marie Elisabeth Rapp, fille du pasteur de Sessenheim
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 8-v, n° 34)
1723. Mittw. d. 21. April. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: David Von Looh, der ledige Knöpffmacher v. b. alhier, weÿl. Joh: David Von Looh, geweßenen b. v. Knöpffmachers nachgel. ehl. Sohn v. Jgf. Maria Elisabeth H M. Georg Jacob Rapp geweßenen Evgl. Pf. Zu Sesenheim freÿherrlich: flecksteinischer Herrschafft ehl. Lb, [unterzeichnet] Johann dv& von loh als hochzeiter, Maria Elisabetha Rappin als hochzeiterin (i 12)
1723, 4° Livre de bourgeoisie f° 891
Maria Elisabetha gebohrne Rappin ahn Johann David Von Lohe den burger und Knöpffmacher Verheÿrathet erhalt das burgerrechtwegen wohl Verhalten gratis, will beÿ E.E. Zunfft Zum spiegel dienen, prom: den 19.ten May 1723.
Inventaire d’accession à la bourgeoisie et certificat de bonne conduite accordé à Marie Elisabeth Rapp
1723 (9.3.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 67)
(Designation und Verzeichnüs) Jgfr. Maria Elisabetha des Wohl Ehrwürdig undt Wohlgelehrten Hn Georg Jacob Rappen Vormahls Zu Niederröderen hernachmahlen aber Zu Seßenheim freÿ Herrl. Fleckensteinischer Jurisdiction ehel. Tochter, so Verlobt an Johann David von Loh, den Ledigen Knöpffmacher und burgern alhier, hat Volgendes eÿgenthümblich in Vermögen, darüber Sie mir die Handtreu abgelegt, alß
baarschafft 5 Neüe Louis d’or à 11 lb 5 ß, 56 lb 5 ß
In Silber Sorten 108. 15, Sa.165 lb.
Sig. Straßburg den 9. Martÿ 1723. [unterzeichnet] Maria Annaa Elisabetha Rappin
Zuwißen, daß auff heüt dato zu end gemelt, Vor mir offenbahren und geschwornen Notario, persönlich Kommen und erschienen ist der Ehrenvest und Großachtbare Hr Andreas Christoph Sommer Vornehme Kauffmann und burger alhier hat beÿ seiner gegebenen handtreü glaubwürdig declarirt und außgesagt, wie daß Jungfer Maria Elisabetha gebohrne Rappin beÿ ihme über die Eilff Jahr lang continué gedienet und in solcher Zeit, anderst ihme nicht bewust, sich getreü fleißig fromm und gottsfürchtig, wie sich es ohne dem gebühret, Verhalten deßen Zu mehrerer Gezeügnüs hat sich der Hr Deponent neben mir Notario eÿgenhändig hiehero unterschrieben, Sigl. Straßburg den 10. Martÿ Ano 1723. [unterzeichnet] Andreas Christoph Sommer.
Jean David von Lohe meurt en 1725 en délaissant un enfant qui mourra à son tour. C’est sa mère qui héritera de sa part de maison, estimée 1 250 livres par les experts. La masse propre à la veuve s’élève à 123 livres, celle du défunt à 114 livres et la masse de la communauté présente un passif de 100 livres
1725 (19.3.), Me Kolb (Abraham, 22 Not 22) n° 576
Inventarium und beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte H. Johann Davidt von Lohe gewester Knöpffmacher undt burger allhier zu Straßburg nach seinem Donnerstags den 11. Januarÿ dieses lauffend. 1725. Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen H. Johann Georg Steltzen deß Schneiders auch burgers allhier alß geschwornen vogts Johann Davidt von Lohe deß abgeleibten mit seiner nachgemelten hinterbliebener Wittib Ehelich erziehlten undt hinderlaßenen Einigen Söhnleins und ab intestato Erbens, Inventirt, (…) durch die Tugendbegabte fr. Mariam Elisabetham gebohrner Rappin die hinderbliebene wittib beÿständlich H Johann Wörnerts Antoni auch Knöpffmachers undt burgers alhier ihres geschwornen, H Curatoris geäugt und gezeigt – Actum Straßburg auff Montag den 19.ten Mertz 1725.
Inn einer Allhier in der Statt Straßb. undt Einer daselbsten auff dem fischmarckh gelegener und hernach beschriebener behausung hat Sich befunden alß volgt.
(E.) Eigenth. an Einer behaußung. It. 3/8. theil , wovon die übrige 5/8.te Mr Joh: Georg Stoltz dem Schneidters eingangs gedacht undt seiner Ehefr. Zuständig an Einer Behaußung hoff, hoffstatt sambt aller Zugehördt. Recht. undt gerechtigkeit allhier in Straßb. auff dem fischmarckh gelegen 1.s H. Christoph Engelhardt dem hueth staffierer, a. neben H. Christoph Andres Sommer dem Banquier, hinden auff dem Ulwergraben stoßendt, undt ist diese gantze behaußung den 6. april. 1725. durch die geschwornen herren Werckmeister vor ledig undt Eigen æstimirt undt angeschlagen wordten umb 1250. lb
Davon gehen ane Capital, Erstl. Georg Stoltzen Schneider ged. zuvor fr. Sontagin 50. lb, Item dem Stifft Weÿßenhauß 100 lb. Item Ottomannisch. Stifftung 150, (zusammen) 300 lb, [in margine :] hierzu hatte der v.storbene seel. die helffte und Fr. Stoltzin die andere helffte Zu leiden, maßen solche dem bericht nach von deß verstorbenen Vatter seel.auff seine an dieser behßg. gehabte 6/8.t theill Nach abzug dieser 300 lb verbleib. und obigen aparté auffgenommen undt anschlag derf 1250. lb auch übrig Entlehnt wordt.
Gehet ferner ab, Erstl. dem Stifft St. Marx allhier 375. lb, It. dem mehrern Hopsital allhier 26., It. H. Baron von Lützelburg 60. lb, Und vorberührten Mstr. Georg Stoltz, zuvor denen Runckelisch. Erben 10, (Zusammen) 471. lb [in margine :] daran hatt Hr Stoltz uô. nôe. 3/8 und so Er wehrendter Ehe an sich erkaufft 28. und der verstorbene sein 3/8 Zu ent*
Diesemnach verbleibe ane dem anschlag nach im rest 478. lb. Davon seindt die allhie gehörige 3/8.t theil 179. lb 10 ß 7 ½ in außwurff zu bringen. Über sothane behaußung meldet ein teutscher perg. Kbr. mit der Cancelleÿ Contractstub anhangendem Insigell datirt den 27. 9.br. 1647. Ferners ist vorhanden ein Papirener vergleich de dato den 5. Xbr.is: 1715. pt° der Mauer d* so H Sommer an seinem hauß auffgeführet welcher d. 7.ten ejusdem beÿständlich E.E. Kl. Rath. alhier confirmirt wordt, so beedes mehrged. Mstr Joh: Georg Stoltz der Schneider in handen
– Abschatzung d. 6.ten april ao. 1725. auff begehren Weÿland des Ehren Vesten und Vorachtbahren Herrn Johann Davidt Von Loh, geweßenen Knöpffmachers seel. hinterlassene Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg auf dem Fischmarck gelegen, Einseits Neben H Johann Christoph Engelhardt Huthstaffierer, anderseit Neben H Johann Christoph Andreas Sommer Banquier, hinden auf den Ulmer graben stosend, welche behaußung, hindergebäwlein, Stuben, Cammern, Küchel, bauch offen, Esch kasten, laden, hauß Ehren mit Herd und Waßerstein, gewölbter Keller und Klein höffel mit steinern platten belegt, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Tausend und Fünffhundert Gulden. bezeichnuß, durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleüth. [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs
Norma. Bericht. Zuwißen, obwohlen Sich beede Eheleuth in dero mit einander auffgerichteten Eheberedung ihr Zubringendes alß ererbendes als Ein Unverändert Guth (…)
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Erg. 16, Silber 3, goldene Ring 1, activ Schulden 102, Summa summarum 123 lb
diesem nach wirdt auch deß Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. Kleid. u. weißgezeugs 12, Werckzeug Zum Knopffr. gehörig 2, silber 15 ß, goldene Ring 1, Eigenthum ane Einer behaußung 17 lb, Summarum 181 lb – Schulden 67 lb, Nach deren Abzug 114 lb
Volget nun auch die beschreibung der gemein und Theilbaren Nahrung, Sa. haußraths 3, Sa. wahren und werckzeug Zur Knöpffmacher handtierung gehörig 53, Summa summarum 56 lb – Schulden 157 lb, Übertreffen demnach die theilbare passiva die theilbare active nahrung dem Stall tax nach umb 100. lb – Conclusio finalis 147 lb
Marie Elisabeth Rapp épouse en deuxièmes noces le gainier Jean Daniel Bleifuss : célébration, inventaire des apports et Inventaire après le décès de Jean Daniel Bleifuss (non conservés)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 56, n° 35)
1727. Eod. d. [Mittw. d. 29. 8.br] sind nach 2.maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Daniel Bleÿfuß der b. säckler v. Wittber v. fr. Maria Elisabeth weÿl. Joh: David von Looh, gewes. b. v. Knöpffmachers Nachgel. Wittib [unterzeichnet] danie bleÿfus als hochzeiter, maria Elisabetha Von Lohin als hoch zeiterin (i 59)
1727, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11), n° 849
Invent: über Johann Daniel Bleÿfueßen des Säcklers und Fr. Mariæ Elisabethæ gebohr. Rappin beeder Eheleuthe und burgere allhier einand. für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen
1734, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1359
Inventarium über weÿland H. Daniel Bleÿfus des Säcklers und burgers alhier seel. Verlassenschafft
Jean Georges Stoltz et Jean Etienne Meyer louent une partie de leur maison au marchand de cuir Jean Daniel Bauer
1739 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 393
Johann Georg Stoltz der schneider und Johann Stephan Meyer der säckler beede schwäger
in gegensein H. Johann Jacob Baur des Lederhändlers beÿständlich seines vatters H. Johann Daniel Baur auch Lederhändlers
der verlehnern Eheweibern eigenthümlich zuständig am Fischmarckt, einseit neben H. Christoph Sommer dem Banquier anderseit neben weÿl. Christoph Engelhard gewesten huetstraffierers Erben gelegenen Behausung unten auff dem Boden Einen gewerbs: laden, solchen des entlehners obbemelten vatter bißher verlehnt gewesten Ladens, auff 18 nacheinander kommende jahren anfangend von verfloßenen Johann Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund
[in margine :] auffgehoben d. 1. julÿ 1745
Marie Elisabeth Rapp se marie en troisièmes noces avec le gainier Jean Etienne Meyer : célébration, inventaire des apports
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 175-v, n° 662)
Anno 1738. Mittw. d. 27.ten Aug. seind nach ordentl. außruffung Ehl. Copulirt u. eingesegnet worden, Johann Stephan Meÿer der led. säckler von Colmar weÿl. Salomon Meÿer geweß. säcklers u. burgers daselbst hinterlaß. Ehel. Sohn u. Fr. Maria Elißabetha geb. Rappin weÿl. Johann Daniel Bleÿfuß geweß. säcklers u. b. allhier hinterl. wittib [unterzeichnet] Johann Stephan Meÿer als hohzeiter, maria Elisabetha daniel bleifus Sen wittib als hoch zeiterin (i 180)
Inventaire des apports où figure la maison
1739 (22.9.), Me Marbach (Jean, 34 Not 6) n° 202
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Joh: Stephan Meÿers des Säcklers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Maria Elisabetha Meÿerin gebohrne Rappin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg Einander in Ehestand vor ohnverändert zugebrachten Guths – und Krafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung Ihren und Ihrer Erben als ein ohnverändert und vorbehalten Guth mithien der Ergäntzung deroselben expresse reservirt conditionirt und bedungen – So Beschluß summa in beÿsein herrn Christian Erichsohn des Schreiners der Ehefraueb annoch ohnentledigten Vogts und burgers allhier Straßburg den 22. Monats Septembris Anno 1738.
In Einer in der Statt Straßburg ane dem Fischmarckt gelegen der Ehefr. Zum theil Vor ohnverändert gehörign behaußung als Volgt befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Gesellen Cammer, In der untern hintern Cammer, In der obern Vordern Cammer, Vor dießer Cammer, In der Wohn Stuben
Eigenthumb ahne Einer behaußung Solche dreÿ achte theÿl hatt die Ehefr. von Joh: David von Lohe Ihrem in erster Ehe mit Weÿl. Johann David von Lohe dem geweßenen KnopffM. und burgern allhier nun Seel. ehelich erziehlten Söhnlein So Verstorben ererbt. Und ist die gantze behaußung nach Volgenden ahne Cap. verhafft und versetzt als, Erstlichen dem Stifft Waÿßen Hauß Vor 100. Pfund pfenning, Item der allhießigen Ottonianischen Stifftung vor 150 Pf, Machen beede Capitalien in summa zusammen 250 Pfund, Woran Sie die Ehefrau die eine und Johann Georg Stoltz der Schneider und deßen Ehefrau die übrige Helffte schuldig seind, und die helffte hierian dahero 125. Pfund
Item dem Stifft St.Marx allhier solle mann ane Capital 375 Pfund Pf.
Item dem allhiesigen mehren Hospital ane capital 26 Pfund 5 schilling
Item H Baron von Lützelburg ane Capital 60. Pfund Pf.
Machen dieße dreÿ Capitalien zusammen in summa 461. Pfund 5 Schilling
Wovon beede vorgedachte Stoltzische Eheleuth 5/8. Theil Zu leiden, Und die übrige 3/8. theÿl gehören der Ehefrauen so Thun 172. Pfund 19 schilling 4 und ½ Pf. Dieße 3/8. theÿl Haußes seind dermahlen nicht angeschlagen noch deßhalben in außwurff gebracht worden dahero zum bericht.
Wÿdem, so der Mann in die Ehe gebracht. So deß Ehemanns geliebte Mutter Maria Salome Meÿerin gebohrne Bellerdin weÿl. Mr. Salomon Meÿers geweßenen Säckhlers in Colmar Seel. nachgelaßene Wittib als des Ehemanns geliebten Vatter erstattetem bericht nach lebtag Zu nutzen und zugenießen berechtiget (…), solcher Wÿdumb bestehet nun Crafft hiebeÿ von Herrn Jäger dem Gericht Schreiber Zu Colma den 26. Julÿ 1738. über weÿl. Mr. Salomon Meÿers geweßenen burgers und Sacklers zu Colmar des Ehemanns geliebten Vatters Seel. auffgerichteten Invent. de A° 1736. gefertigten Verlassenschaffts Inventario
Norma hujus inventarÿ. Des Ehemanns in Ehestand gebrachtes Vermögen, ssaa silbers, Per se 4 lb
Nach dießem wird auch der Ehefrauen in den Ehestand Zugebrachtes ohnverändertes Guth consignirt und beschrieben, Sa. Haußraths 142, Sa. Silbers 21, Sa. goldener Ring 18, Sa. Waaren 161, Antheils ane einer behaußung -, Summa summarum 342 lb – Schulden 145 lb, Nach deren Abzug 197 lb
Haussteuren 23. lb – Beeder Eheleuth gantzes Guth 225. lb
Catherine Elisabeth von Loh femme du tailleur Jean Georges Stoltz hypothèque sa part de maison au profit du vitrier Jean Daniel Spach
1741 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 305
Fr. Catharina Elisabetha geb. von Loh Johann Georg Stoltz des schneiders ehefrau
in gegensein Johann Daniel Spach des Glaßers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, 3/8 theil vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane dem unten Fischmarckt, einseit neben H. Christoph Sommer dem Banquier, anderseit neben der Engelhardischen Wittib, hinten auff den Ullwergraben – von solchem gantzen hauß gibt man 2 ß 6 ane bodenzinß – zu 3/8 als ein vätterlichen erbguth
Jean Georges Stoltz et Catherine Elisabeth von Lohe vendent leur part de maison à Jean Etienne Meyer et à sa femme Marie Elisabeth Rapp, veuve en premières noces de Jean David von Lohe
1745 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 212-v
Johann Georg Stoltz der schneider und Catharina Elisabetha geb. von Lohe beÿständlich deßelben
in gegensein Johann Stephan Meÿer des Säcklers und Mariæ Elisabethæ geb. Rappin
5/8 vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten am untern Fischmarckt, einseit neben H. Christoph Andreas Sommer dem Banquier, anderseit neben weÿl. Johann Christoph Engelhard des huthstraffirers wittib, hinten auff den Ullwergerben – von solch gantzen behausung gehen hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 ß 6 ane allmend zinß, dem Stifft St Marx 375, 75, 100, 150 und 60 pfund (verhafftet), als ein theils ererbt theils am 15. jan. 1723 erkaufftes guth – um 525 pfund
sich aber auch vorbehalten in sothaner behausung den gantzen zweÿten stock im vierten stock zweÿ kammern und den hindern keller lebens lang gegen ein jährlichen zinß von 30 gulden
Jean Etienne Meyer loue une partie de sa maison au coutelier Jean Frédéric Schall
1745 (19.11.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 835
Johann Stephan Meÿer der Säckler
in gegensein Johann Friedrich Schall des langmeßerschmidts
entlehnt, In sein des verlehners ane dem untern Fischmarckt, einseit neben der Engelhardischen wittib anderseit neben H. Andreas Sommer dem banquier gelegenen behausung, den Laden samt deßen zugehörden – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff auff nächst künfftigen weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden
Etienne Meyer et femme Marie Elisabeth Rapp hypothèquent la maison au profit du gainier Geoffroi Rœderer
1748 (29.4.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 378-v
Stephan Meÿer dem säckler und Maria Elisabetha geb. Rappin mit beÿstand Johann Jacob Kärcher des schreiners und Johann Gottfried Müller des säckers beede ihrer tochtermänner
in gegensein H. Gottfried Röderer des knopff machers und seidenhändlers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, einer behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt am untern Fischmarckt, einseit neben H. Christoph Andreas Sommer dem Banquier, anderseit neben der Engelhardischen wittib, hinten auff den Ullwergerben – gehen hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 ß 6 ane allmend zinß
Inventaire après le décès de Jean Georges Stoltz qui continue d’habiter la maison après en avoir vendu sa part.
1749 (17.1.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 250) f° 376
Inventarium v. beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung, Keinerleÿ außgenommen, so weÿland der wohl ehrenachtbare v. bescheidene Mr Johann Georg Stoltz der geweßene Schneider v. b. allh. zu Straßb. nunmehr seelige nach seinem den 10. Julÿ des abgewichenen 1748.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableib. Zeitlichen verlaßen – ersucht dh. die viel ehren v. tugendsame Frau Catharinam Elis. geb. von Lohe, die hinterbliebene Wittib mit assistentz H. Joh: Stephan Meÿers des Säcklers v. b. allh. hierzu erbetten – So geschehen allh. Zu Straßb. auff Freÿtag den 17. Jan. Anno 1749.
Der verstorbene seel. hab ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. den ehrenachtbaren Mr Joh: Georg Stoltzen den Schneidern v. b. allh. so beÿ dießer Inventur gegenwärtig, 2. den ehrenachtbaren Jacob Balthasar Stoltzen den ledigen Schneider so nechstens zu dem Meisterstück gelangen werde. 3. Georg Friderich Stoltzen den ledigen Peruquenmachern v. dermalen zu Paris sich aufhaltend. So dann 4. Johann Sebastian Stoltzen so die Schneider Profession erlernet. Welche beede letztere Söhne, weilen sie annoch minorennes, dato bevögtigt mit dem ehren v. vorgeachten meister Joh: Friderich Schneid. dem Schneidern v. burgers allh. so auch im nahmen derselben beÿ dießer Inventur gegenwärtig geweßen. Alle vier aber mit eingangs ermelter hinderbliebener Wittib ehelich erzeugt v. ab intestato zu gleichlingen Parten nach tod verlaßene Kinder V. Erben
In einer allhier zu Straßburg ane dem Fischmarckt gelegen H Stephan Meÿern dem Säcklern eingangs ermelt eigenthümlich gehörigen behaußung folgender Masen sich befunden.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Kammer Lit. A, In der Soldaten Cammer, In der küchen, In der Wohnstub
Ergäntzung der Wittib ermanglenden ohnverändert Guths, Nach außweiß des über beeder nun zertrennten Ehepersonen Zur Zeit ihrer Verehelichung einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch H Notm. Abraham Kolben in A° 1722. auffgerichteten Invii.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der wittib unverändert Vermögen, Sa. hausrath 2, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Schuld 35, Sa. d. Erg. 264, Summa summarum 452 lb
Der K.K. und Erben unverändert und Theilbar Guth, Sa. Hausraths 23, Sa. Silbers 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 400, Summa summarum 425. lb – Schulden 657 lb – conferendo ergiebt sich daß der E. unverändert und theilbare passiva die gesambte deroselben activ nahrung dem Stall tax nach übersteigen 228 lb – Stall Sa. 224. lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg dem 10. Octobris Anno 1719., Johann Peter Kolb, Notarius juratus
Registre de vente après la mort de Catherine Elisabeth von Lohe veuve de Jean Georges Stoltz en 1778
1778 (25.6.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 282) n° 1443
Verkauf und Erlös Registerlein über Weÿland Frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrner von Loh, auch weÿl. Mr Johann Georg Stoltzen geweßenen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg hinterlaßene wittib seel. hinterlassene Effecten
Jean Etienne Meyer meurt en 1752 en délaissant un fils. L’inventaire décrit la maison de la veuve en en mentionnant les titres, dont un accord concernant le mur moyen passé avec le voisin (actuellement n° 30) en 1715. Elle est estimée 1 150 livres par les experts. La masse propre à la veuve s’élève à 169 livres, celle du défunt à 32 livres. L’actif de la communauté est de 982 livres, inférieur au passif de 1 029 livres.
1752 (20.3.), Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 375) n° 475
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Stephan Meÿers, des geweßenen Säcklers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft – als derselbe Freÿtags den 25.ten Februarÿ dießen Lauffenden 1752.sten Jahrs dieses Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und Wohl Vorachtbahren Herrn Salomon Meÿers, des Schumachers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Gottfried Meÿers, des seelig verstorbenen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlten Sohns und ab intestato Verlaßenen Universal Erben, so zwölff und dreÿ quart Jahr alt, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und tugendsame Frau Mariam Elisabetham Meÿerin gebohrne Rappin, die hinterbliebene wittib, mit assistentz des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Daniel Remp des Säcklers und burgers allhier, Ihres ane Vogts statt erbettenen beÿstands – So beschehen in Straßburg auf Montags den 20.ten Martÿ Anno 1752.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Undern Fischmarckk gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer behaußung (W.) Dreÿ achtetheil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Undern Fischmarckh einseit neben Weÿland herrn Christoph Andreä Sommers geweßenen Bancquiers nachgelaßener Erbin, anderseit neben Weÿland herrn Johann Christoph Engelhards gewesenen huthstaffirers nachgelaßener Wittib, hinden auf den Ullmergraben stoßend, von dießer gantzen behaußung gibt mann Jährl. auf Matthiæ der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. ß 6. d ane allmend Zinnß Sonsten ist dieselbe für freÿ Ledig und eigen durch (die Werckmeister) vermög überschickter Schrifftliche Abschatzung Vom 24.ten Martÿ 1752. über gemelten allmendzinnß angeschlagen pro 1145. lb. Machen daran die hiehero gehörige dreÿ achtetheil, so die Wittib von weÿland Johann David von Lohe, Ihrem Verstorbenen in erster Ehe mit auch Weÿland herrn Johann David Von Lohe, dem gewesenen Knöpffmacher und burger allhier seel. ehelich erziehlten Söhnlein ererbt, 429. 7. 6. Die übrige Fünff achtetheil seind in Wehrender dießer Ehe von nun auch Weÿland Johann Georg Stoltz geweßenem Schneider und burgern allhier und Frauen Catharina Elisabetha gebohrner Von Lohe, beeden Eheleuthn erkaufft worden, mithien in dißseithige theilbahre Nahrung gehörig, deren Sie auch hieunden Fr. – fac. einverleibt befindlich. Über die gantze behaußung ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ contract Stub gefertigt und mit dero anhangendem Insiegel corroboriert, de dato 27.ten Novembris Anno 1647. mit altem N° 1 signirt. Dabeÿ ein papÿrener Vergleich Wegen des steinernen Gäbels, welchen Vorgedachter herr Sommer ane seinem Hauß aufgeführt durch Vermittlung E.E. Kleinen Raths herren Deputirten den 5.ten Xbris 1715. getroffen, welcher den 7.ten ejusdem beÿ Ehrengedachtem Kleinen Rath confirmiret worden. Ferner ist hierüber Vorhanden ein pergamentener Zinnßbrieff über 50. fl. Straßburger Wehrungs Capital, so mann dem Mehren Hospithal allhier auf solcher behaußung schuldig geweßenen, aber den 29.ten Martÿ 1715. inhalt der à tergo darauff gesetzten quittung abgelößt worden. Weiter eine auff Kündigung derer an Madame Von Litzenstein in Capital schuldig geweßenen 60. lb d deren eine Frantzösische quittung über deren ablößung annectirt Von Madame La Contesse de Lutzelbourg Dimling eigenhändig unterschrieben und mit dero aufegruckhten hochadel. Pitschafft Verwahret, de dato 30. Jeanvier 1747.
(T.) It. Fünff achtetheil für ohnvertheilt Von und ane der hieoben fol: fac: et sequentibus beschriebenen behaußung bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentÿs allhier zu Straßburg ane dem Undern Fischmarckh, einseit neben Weÿland herrn Christoph Andreä Sommers, des Bancquiers nachgelaßener Erbin, anderseit neben Weÿland herrn Johann Christoph Engelhards des huthstaffirers Wittib, hinden auf den Ullmergraben stoßend gelegen, so über 2. ß 6. d von der gantzen behaußung der Statt Straßburg Pfenningthurn Jährlich abzurichten habenden allmend Zinnß vor freÿ Ledig und eigen durch der Statt Straßburg Herrn Lohner und geschworne Werckmeister æstimirt vor 1145. lb. Treffen die hiehero gehörige Fünff achtetheil an 715. 12. 6. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contractstub aufgerichtet und mit dero anhangenden Insiegel corroborirt de dato 29.ten Martÿ Anno 1745. auf welchem à terg angemerckt daß die dm Stifft St Marx auf der gantzen behaußung schuldig geweßene 375. lb. d. Capital abgelößt worden. Dabeÿ ferner noch ein dergleichen Kauffbrieff über einen viertentheil solcher behaußung, so Johann Georg Stoltz der Schneider ane sich erkaufft hatte, besagend de dato 15.ten Januarÿ Anno 1723.
– Abschatzung Von 24. Martÿ 1752. Auff begehren Weÿland Johann Stephan Meÿers deß geweßenen Säcklers seel. hinterlaßener Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, auff dem Fischmarckt, einseits neben Fraw Engelhardin, und hinden auff Meister Taubert dem Strehlmacher stoßend gelegen, Neben dem Eingang dieser behaußung ist der laden, in dem Ersten stock ist eine Stube ein Kammer und haußöhren, worinnen der herdt und Caminschooß, der zweÿte und dritte stock seind dem Erstern gantz gleich, in dem Vierten Stock ist eine Kammer, darüber ist der tachstuhl so mit breit ziegeln doppelt belegt, hat auch einen gewölbten Keller undt ein Kleines höfflein die gantze breite dieses haußes ist Zehen und ein halben Schue. Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornenn Werckmeistern nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Zweÿ Tausend und Dreÿ hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner, Werckmeister
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guth. Nach besag Inventarÿ über eingangs gedachter beeder Geweßenen Eheleuth ein ander für ohnverändert Geweßener Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1738. durch weÿl. herrn Notarium Johann Marbach aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Heuraths Verschreibung
Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 32, Sa. Werckzeugs Zum Säckler handwerck gehörig 1, Sa. Lährer Faß 18 ß, Sa. Silbers 5, Sa. goldener Ring 1, Sa. antheils ane einer behaußung 429, Sa. Schuld 25, Summa summarum 496 lb – Sa. Schulden 326 lb – Detrahendo verbleibt 169. lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. hausrathß 19, Sa. Silbers 11 ß, Sa. Schuld 25, Sa. der Erg. 12, Summa summarum 57 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 32
Endlichen Wird auch das Gemein Verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. hausraths 24, Sa. Wahren zum Säckler handwerck gehörig, Sa. Weins 6, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 23, Sa. Antheil ane einer behaußung 715, Sa. Schulden 42, Summa summarum 982 lb – Sa. Schulden 1029 lb, Theilbar passiv onus der Stall æstimation nach 46 lb – Stall summ Et Conclusio finalis Inventarÿ 255 lb
Wÿdemb Welchen die Wittib Von Weÿland Herrn Daniel Bleÿfuß dem geweßenen Säckler und burgern allhier Ihrem Zweÿen Ehemann nunmehr seeligen ad dies vitæ Zu usufruiren hat. (200 lb) Ane deren statt aber Ihro nach deßen absterben vermög des über seine Völlige Verlassenschafft durch Weÿland Herrn Notarium Christoph Michael Hoffmann seel. den 21. Jultiers Anno 1735. gefertigten (…) Summarischen Calculi
Wÿdembs Verfangenschafft Welche Frau Maria Salome Meÿerin gebohrne Bellerdin, Weÿland Herrn Salomon Meÿers geweßenen Säcklers und burgers zu Collmar nachgelaßene Wittib des Verstorbenen seel. eheleibliche Mutter von gedachtem Ihrem Ehemann seel. lebtägig zu genißen haben solle. Inhalt eines durch Herrn Jäger Gerichtsschreibern zu collmar den 26. Julÿ Anno 1738. aus gedachten Herrn Salomon Meÿers Verlassenschafft Inventation gefertigten Extractus
(Copia der Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Stephan Meÿer dem ledigen Säcklern gebürtig von Colmar weÿland des Ehrsamen Meister Salomon Meÿers auch gedachten Säcklers und beÿsitzers zu erstgedachtem Cllmar nachgelaßenen Ehelichen Sohn als dem Hochzeiter an einem, So dann Maria Elisabetha Bleÿfueßin gebohrner Rappin, weÿland des auch Ehrengeachten Meister Daniel Bleÿfueßen ebenmäßig Säcklers und burgers alhier Zu Straßburg Seelig nachgelaßenen wittib als der Hochzeiterin andern theils – In der königlichen Statt Straßburg dienstags den 12. Monats Augusti 1738. Johann Marbach Notarius publicus juratus
Marie Elisabeth Rapp mourra en 1775 dans une maison rue des Drapiers. Elle délaisse une fille et un fils de son deuxième mariage avec Jean Bleufuss et un fils de son troisième mariage avec Jean Etienne Meyer
1775 (6.2.), Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 419) n° 1311
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Mariä Elisabethä Meÿerin gebohrner Rappin auch weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Stephan Meÿers des geweßenen Säcklers und burgers allhier Zu Straßburg längst seeligen hinterlassener Wittib nun seeligen Verlassenschafft – nachdeme dieselbe Sambstags den 21. Januarÿ dießes lauffenden 1775. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem seeligen Absterben zeitlich hinder sich verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Montag den 16. Februarÿ Anno 1775.
Die seelige Verstorbene hat zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen als folgt. 1° Frau Catharinam Salome Schmidtin gebohrne Bleÿfußin, Herrn Johann Christoph Schmidt, des Sattlers und burgers allhier Eheliebstin welche mit beÿhülff deßelben in Persohn dem Geschäfft abgewartet, 2° Herrn Johann Bleÿfuß, dem Seckler und Burgers allhier welcher ebenmäßig in Persohn præsens ware, dieße beede der Abgelegten seel. in 2.ter Ehe mit weÿl. Hn Daniel Bleÿfuß dem geweßenen Secklers und burgers allhier längst seel. ehelich erziehlte H. Sohn und Frau tochter,
3° herrn Johann Gottfried Meÿer den Gastgeber auf E.E. Zunfft der Gerber Zunfftstube und burgern allhier, welcher gleichergestalten in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden, dießer in 3.ter Ehe mit auch Weÿl. Hn Joh: Stephan Meÿer dem geweßenen Seckler und burgern allhier längst seel. ehelich erziehlten Hn Sohn. Alßo alle 3. ab intestato zu 3.en gleichen Portionen und stammtheilern verlaßene rechtsmäßigen Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane de tucherstub gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft nicht gehörign behaußung befunden worden wie folgt.
Wÿdemn Welchen die Abgeleibte seelige von auch Weÿl. herrn Daniel Bleÿfueß dem geweßenen Seckler und burgern allhier Ihrem Zweÿte Ehemann Längst seeligen annoch in handen gehabt und biß an Ihr seeliges Ende genoßen hat. Solcher erstercket sich inhalt des über gedachten Weÿland Herrn Daniel Bleÿfuß seeligen Verlassenschafft durch Weÿland Herrn Notarium Christoph Michael Hoffmann seeligen den 21. Julÿ Anno 1735. gefertigten (…) Summarischen Calculi. (…) Daran ist nunmehro eigenthümlichen anheim fällig, Vorderistens Frauen Maria Magdalena Kärcherin gebohrner Bleÿfußin, Herrn Johann Jacob Kärchers des Schreiners und burgers allhier Ehegattin der dißortigen Stiefftochter, Ferner Frauen Catharinä Salome Schmidtin gebohrner Bleÿfußug Herrn Johann Christoph Schmid des Secklers und burgers allhier Ehegattin, So dann Johanni Bleÿfuß dem Seckler und burgern allhier
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 5, Sa. Silbers 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 800, Summa summarum 806 lb – Schulden 363 lb, Detrahendo verbleibt 443 lb
Stall summ Et Conclusio finalis Inventarÿ 517. lb
Marie Elisabeth Rapp loue à son fils Jean Bleifuss une partie de sa maison par accord passé lors de son contrat de mariage avec Anne Marie Jost
1759 (13.9), Me Dinckel (6 E 41, 426) n° 319
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Bleÿfueß, dem Ledigen Seckler, Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Daniel Bleÿfueß, des auch geweßenen Secklers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlassenem mit der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Elisabetha gebohrner Rappin ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Anna Maria Jostin, des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Paul Jost des Schumachers und burgers allhier mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Maria Magdalena gebohrner Rucktenstuhlin ehelich erziehlter Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
Siebendens, hat eingangs gedachte Frau Maria Elisabetha gebohrne Rappin, anjetzo Weÿland Herrn Johann Stephan Meÿers geweßenen Secklers und burgers allhier seeligen nachgelaßene Wittib, des hern bräutigams eheleibliche Mutter, Ihme Ihrem geliebten Sohn in Ihrer Zum theil eigenthümlichen und zum theil Wÿdembs Weiße besitzenden ane dem Undern Fischmarckt allhier Liegenden behausung den Undern Laden sambt der wohnung im Zweÿten stock und denen darzu gehörigen bequemlichkeiten als lang dieselbe annoch im leben seÿn wird und biß an Ihrn Tod umb einen Jährlichen Zinnß von 50 Gulden in Lehenung übergeben – beschehen in Straßburg auf donnerstag den 13. Septembris Anno 1759. [unterzeichnet] Johann Bleÿfuß als hochzeiter, Anna Maria Jostin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 218-v, n° 15)
1759. Mont. XXI. XXII. Trinit. pclamati, Mittw. d. 14. Novembris copulati Johannes Bleyfuß lediger säckler u. b. h. l. weÿl. Joh: Daniel Bleÿfuß gew. säcklers u. b. h. l. ehel. sohn, und Jgfr. Anna Maria, Joh: Paul Jost, schuhl. u. B. h. l. ehel. tochter [unterzeichnet] Johannes bleÿfuß als hochzeiter, Anna Maria Jostin als hoch zeiterin (i 223)
Inventaire des apports
1759 (3.12.), Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 395) n° 628
Inventarium über des Ehren: und Wohl vorachtbahren Herrn Johann Bleÿfuß des Secklers und der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Bleÿfußin gebohrner Jostin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteten Eheberedung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – so beschehen in Straßburg in fernerù beÿsein des Ehren und Wohl vorachtbahren herrn Johann Paul Jost des Schuhmachers und burgers allhier der Ehefrauen eheleiblichen Vatters, auf Montag den 3. Decembris Anno 1759.
In einer allhier zu Straßburg ane dem Undern Fisch Marckt Gelegenen in dieße Zugebrachte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 5, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 153, Summa summarum 163 lb – der halte theil ane denen haussteuren 18 lb – Trifft demnach des Ehemanns völligen in die ehe gebracht Guth 181. lb
Dießenmach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 76, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 14, Sa. baarschafft 118, Summa summarum 215. lb – der halte theil ane denen haussteuren 18 lb – Belaufft sich alßo der Ehefrauen Völligen in die Ehe gebracht Vermögen, 233 lb
Marie Elisabeth Rapp et son fils Jean Geoffroi Meyer cèdent leurs parts de la maison à leur fils et demi-frère respectif Jean Bleyfuss par un acte annexé à l’inventaire Meyer, ensuite transcrit à la Chambre des Contrats, où figurent les raisons de la cession : « étant donné que le voisin a l’intention de démolir sa maison et de la bâtir à neuf, que la maison doit aussi être détruite et reconstruite puisqu’elle n’a ni mur de séparation ni cloison en pan de bois et qu’ils ne veulent pas se charger des frais (…) »
1765 (3.5.), Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 375), Joint au n° 475 du 20 mars 1752
persönlich erschienen Frau Maria Elisabetha Meÿerin gebohrne Rappin, Weÿland Herrn Johann Stephan Meÿer, gewesenen Säcklers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlassene Wittib mit assistentz Herrn Johann Martin Hosch, des Windenmachers und burgers allhier Ihres hierzu erbettenen beÿsitzers und deroselben in Letzter Ehe mit besagtem Weÿland herrn Johann Stephan Meÿer seeligen ehelich erzeugter Sohn Johann Gottfried Meÿer der Ledige Gastgeber so Zwantzig und sechs Jahr alt zu seÿn Versicherte, dahero Majorennis und ohnbevögtiget, zeigten in gegensein Herrn Johann Bleÿfuß des Säcklers und burgers allhier Ihres respecivé eheleiblichen Sohns und halb bruders an, demnach die zum theil Ihro Frauen Meÿerin der Mutter für ohnverändert und Zum theil in Ihres Verstorbenen Letstern Ehemanns besagten herrn Johann Stephan Meÿers seeligen theilbahre Verlassenschafft gehörige an dem Undern Fischmarck allhier Liegende behaußung, in ansehung der Nachbar seine behaußung würcklich abzubrechen und Neu aufzubauen Vorhabens ist, ebenmäßig weilen dieselbe mit keiner eigenen Scheid Maur oder Riegelwand Versehen muß abgebrochen und neu aufgebauen werden, Sie sich aber damit nicht beladen wollen, als Wären Sie gesinnet, sothane behaußung besagtem herrn Johann Bleÿfuß Ihrem respectivé Sohn und halb bruder zu überlaßen, waß wegen dann sowohl Sie Frau Maria Elisabetha Meÿerin gebohrne Rappin die Mutter als auch Er Herrn Johann Gottfried Meÿer beede vor Sich und Ihre Erben
gedachtem Herrn Johann Bleÿfuß Ihrem respectivé Sohn und halb bruder eigenthümlichen cedirt
die obgedachte behaußung bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Undern Fischmarck einseit neben herrn Johann Saum dem handelsmann, anderseit neben Weÿland herrn Johann Michael Schauer dem Vöchhändler, hinden auf den Ulmergraben stoßend, so annoch Löbl. Statt Pfenningthurn umb 2. ß 6. d Jährlichen Allmend Zinnßes, So dann dem Stifft Waÿßenhauß allhier umb 100 Pfund pfenning ane Capital Verhafftet – umb 1500 Pfund – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿstand Herrn Johann Paul Jost des Schuhmachers und burgers alhier des herrn Cessionarÿ Schwäher Vatters den dritten Maji Anno 1765. Und solle dieße Cession auf requisition des herrn Cessionarÿ welcher hierzu authorisirtet wird, in allhießiger Cancelleÿ Contract stueb enregistrirt werden. [unterzeichnet] maria Elisabetha meÿerin, Johann Martin Hosch als beÿstand, Johann Gottfried Meÿer, Johannes Bleÿfuß, Johann Paul Jost
1765 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 533-v
auf ansuchen Johannes Bleÿfuß des säcklers, nachstehende cession
vor H. Not. Joh. Rudolph Dinckel
Jean Bleyfuss et Anne Marie Jost hypothèquent la maison au profit de Marie Barbe Reinthaler
1765 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 458-v
Johannes Bleÿfuß der säckler und Anna Maria geb. Jostin beÿständlich ihres vatters Johann Paul Jost und ihres schwagers Lorentz Landgraff beede schuhmacher
in gegensein Jfer Mariæ Barbaræ Rheinthalerin beÿständlich H. Johann Wilhelm Hartmann des Einspännigers – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Fischmarckt, einseit neben H. Johannes Saum dem handelsmann, anderseit neben H. Johann Michael Schauer dem veechhändler, hinten auff den Ulmergraben
Jean Bleyfuss hypothèque la maison au profit de Marie Madeleine Lœw née Lobstein
1765 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 639 n° 754
Johannes Bleÿfuß der säckler
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ Löwin geb. Lobsteinin – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Fischmarckt, einseit neben H. Johann Michael Schauer dem veechhändler, anderseit neben H. Johannes Saum dem handelsmann, hinten auff den Ulmergraben – (hat sich vor dieße schuld verbürgt) Maria Elisabetha Meÿerin geb. Rappin beÿständlich Lorentz Landgraff des schuhmachers
Jean Bleyfuss le jeune loue un logement de sa maison à Jean Jacques Fischer
1771 (26.6.), Me Lacombe (6 E 41, 142)
Lehnung – zwischen dem H. Johannes Bleÿfuß Jünger auf dem Fischmarckt einem theil und
Johann Jacob Fischer anderen theil, Lehnung contract
eine wohnung und Laden an Johann Jacob Fischer bestehend und einem Laden auf dem boden zum Tabac Verkauff & Cra. in welchem eine brettenen scheidwand die wie es bishero gewöhnl. war gebraucht wird auf der rechte seite des außgangs im Laden ist ein wand Kasten zum gewärb gebrauch des H. Johann Bleÿfuß den er für sich und seine Profession genießet, ferner den ersten stock bestehende in einer Stuben vornen herauß sehende und darhinter seÿende Kämmerlin einer kuche und darhinter seÿende stube hinter auß sehende dann zweÿ Kämmeren im vierten stock davon eine Vornen die andere aber hinten auß sehende, so dann den unter dem laden liegend. vordern keller nebst dem bronnen seÿenden holtzplatz ([barré :] und einer kleinen bühn zum trocknen) – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren von gegenwärtigen Johannis anzu zahlen, um einen jährlichen Zinß nemlich 86 gulden
Anne Marie Jost femme du gantier Jean Bleyfus meurt en l’an IV. L’original n’est pas conservé
1796 (22 mess. 4), Strasbourg, Me Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) et Enregistrement de Strasbourg, acp 41 F° 107 du 2 ther. 4
ad 758 Inventaire de la succession d’Anne Marie Jost femme de Jean Bleyfuss gantier 9 ther III
acte par lequel Jean Frédéric Wegner Ganthier et Marguerite Madeleine Bleyfus s’oblige de nourrir le frere de la derniere nommé Jean Daniel Bleyfus imbecille sa vie durante
abandonne aux conjoints Wegner tous biens maternels dudit imbecille
et pour l’immobilier il y a la 9° partie d’une maison fauxbourg de Pierre n° 1 estimé ledit 9° à 1000 livres
terres à Dorlisheim
Cession par Jean Bleyfus gantier au nom de son fils imbecille Jean Daniel aux conjoints Wegener gantiers du 2 thermidor
Jean Bleyfus meurt à son tour en 1805 en délaissant deux filles mariées et un fils imbécile.
1805 (11 floréal 13), Strasbourg 9 (anc. cote 14), Me Bossenius n° 248, 2335 – Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 122-v du 2j flor. 13
Inventaire de la succession de Jean Bleyfuss ancien Gantier décédé le 13 ventose dernier – à la requête de Pierre Frédéric Schott Savonnier et Laurent Beck Cordonnier en qualité de tuteur et subrogé tuteur d’André et Geofroi Reyth les deux enfants d’Anne Marie née Bleyfuss procréés avec André Reyth faiseur d’amadou, Louis Henri Hecht Membre de la Commission administrative des hospices civils exerçant les fonctions de tuteur de Sophie, Anne Marie, Jean Daniel, Caroline et Jean Frédéric Reyth aussi enfants mineurs d’Anne Marie Bleyfuss et André Reyth, Marguerite Madeleine Bleifuss femme du Cit. Jean Frédéric Wegener Gantier représent conjointement avec son mary Jean Daniel Bleifuss majeur et hors d’état de vaquer a ses affaires pour cause d’imbecillité suivant acte Me Saltzmann 22 messidor 4, héritiers pour un tiers du défunt
dans la maison rue du marché aux poissons n° 77 faisant partie de la présente succession
Immeuble, Savoir une maison avec cour appartenances et dépendances sise marché aux poissons N° 77, d’un côté les Dlles Schauer sœurs, d’autre le Sr Saum père Négociant, derrière un petit fossé communal dit Ulbergraben, rapporte en loyer La boutique et le troisième occupé par les mêmes 200 fr, Plus le premier étage occupé par le Sr Beck Garçon imprimeur 120 fr, Enfin le second étage occupé par le Sr Oberer aussi Garçon imprimeur 230 fr, ensemble 440 fr de revenu, en capital 8800 fr, Les titres de propriété sont trois contrats de vente passés à la Chambre des Contrats les 27 novembre 1647, 15 janvier 1723 et 29 mars1745, Plus cession par Me Dinckel le 3 mai 1765 transcrite à la Chambre des Contrats le 13 août de la même année, Plus une convention pour le pignon de ladite maison passée le 5 décembre 1715 confirmé par le ci devant petit sénat le 7 du même, Enfin extrait du régistre dud. Senat en date du 21 janvier 1768 portant convention pour le mur de séparation de lad. maison
meubles 81 fr, total général 8881, passif 14 180 fr, compensation faite 5299 fr
Les héritiers vendent la maison par enchère à leur cohéritiers, Jean Frédéric Wegener et Marguerite Madeleine Bleifus
1805 (19 mess. 13), Strasbourg 9 (anc. cote 30), Me Bossenius n° 1866, 2385 – Enregistrement de Strasbourg, acp 97 F° 21 du 20 mess. 13
Cahier des charges du 29 prairial 13, adjudication définitive n° 2410 – en exécution d’un jugement rendu par le Tribunal Civil le 10 du présent mois, Sr Pierre Frédéric Schott Savonnier et Laurent Beck Cordonnier, le premier en qualité de tuteur et l’autre comme subrogé tuteur d’André et Geofroi Reyth, enfants mineurs délaissés par Anne Marie née Bleifuss procréés avec André Reyth faiseur d’amadou, plus le Sr Louis Henri Hecht Membre de la commission administrative des hospices civils faisant les fonctions de tuteur de Sophie, Anne Marie, Jean Daniel, Caroline et Jean Frédéric Reyth, aussi enfants mineurs délaissés par Anne Marie Bleyfuss reçus comme elèves dans l’hospice des orphelins, et enfin De Marguerite Madeleine Bleyfuss femme du Cit. Jean Frédéric Wegener Gantier tant en son nom qu’en celui de cessionnaire et représentant conjointement avec son mary le nommé Jean Daniel Bleyfuss, seuls et uniques héritiers du Cit. Jean Bleyfuss ancien Gantier à Strasbourg
Jean Jaeck Potier de terre, pour Jean Frédéric Wegener Gantier et Marguerite Madeleine Bleifus pour 10 100 francs
une maison avec cour appartenances et dépendances sise marché aux Poissons N° 77, d’un côté les Dlles Schauer sœurs, d’autre le Sr Saum père Négociant derrière un petit fossé communal dit Ulbergraben – mise à prix 10 000 fr
Le gantier Jean Frédéric Wegener est originaire de Berlin et s’est almrié avec Marguerite Madeleine Bleyfus en l’an III : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports
1795 (9 ther. 3), Strasbourg, Me Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) n° 384 et Enregistrement de Strasbourg, acp 36 F° 59 du 9 ther. 3
Contrat de mariage – Jean Frédéric Wegener Gantier
Marguerite Madeleine Bleyfus
(enregistrement, revenu industriel 300 livres)
Mariage, Strasbourg (f° 146, n° 589)
Cejourd’hui 12° Thermidor l’an trois de la République française une et indivisible (…) d’une part Jean Frédéric Wegener agé de 25 ans, gantier, domicilié en cette commune depuis quatre ans, natif de Berlin dans l’électorat de Brandebourg en Allemagne, fils de feu Jean Jacques Wegener, Gantier audit lieu, et de feüe Anne Dorothée Hoffmann, de l’autre part Marguerite Madeleine Bleyfuss, agée de 25 ans, née et domiciliés en cette commune fille de Jean Bleÿfuss, Gantier, et de feüe Anne Marie Jost (…) 1° de l’acte de Naissance du futur, portant qu’il est né à Berlin le 22 Novembre 1769 (…) 2° de l’acte de Naissance de la future, portant qu’elle est née en cette commune le 16. septembre 1769 (…) – (signé) Johann Friderich Wegener, Margaretha Magdalena Bleÿfuß (i 152)
Inventaire des apports
1795 (18 brum. 4), Strasbourg, Me Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) n° 770 et Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 174-v du 18 brum. 4
Inventaire des apports Jean Frédéric Wegener gantier de Strasbourg et de Marguerite Madeleine Bleyfus
6194 livres
Jean Frédéric Wegener meurt en 1819 en délaissant deux enfants. La maison est estimée 6 000 francs
1819 (3.8.), Strasbourg 9 (anc. cote 40), Me Hickel n° 292 – Enregistrement de Strasbourg, acp 144 F° 6 du 5.8.
Inventaire de la succession de Jean Frédéric Wegener, gantier, décédé le 2 juin dernier, à la requête de I. Marguerite Madeleine Bleyfuss la veuve mère et tutrice légale de Jean Frédéric, II. Sophie Wegener majeure, en présence de Georges Frédéric Redslob marchand de cuir subrogé tuteur ses enfants
dans une maison vieux Marché au Poisson n° 77
habillements 91 fr – communauté mobilier 268 fr, marchandises 120 fr, ensemble 479 fr
Titres et papiers, adjudication sur licitation Me Bossenius commissaire en cette partie le 29 prairial, 19 messidor 13 d’une maison avec appartenances et dépendances sise en cette ville Marché au Poisson n° 77 dépendant de la succession de de Jean Bleyfuss gantier pour 10 100 fr
immeuble, Il résulte de la cote 3 qu’il dépend de la masse communauté une maison avec appartenances sise à Strasbourg vieux Marché au Poisson n° 77, d’un côté Dlle Schauer, d’autre M Picquet négociant, derrière fosse dit Ulbergraben. La boutique au rez de chaussée de cette maison ainsi que le troisième étage occupés par la présente succession, évalués 150 fr, le premier étage occupé par le Sr Ruland tailleur d’habits 90 fr et le second étage occupé par le Sr Schiffer perruquier 60 fr, total 300 fr en capital 6000 fr
passif 11 931 fr – Titres et papiers, Contrat de mariage Me Saltzmann le 9 therm. 3
Marguerite Madeleine Bleyfus veuve de Jean Frédéric Wegener vend la maison qui lui appartient en propre au pelletier Gustave Hoffmann et à Caroline Sauer
1844 (2.4.), Strasbourg 9 (91), Me Becker n° 2277
Dame Marguerite Madeleine Bleyfus veuve de M. Jean Frédéric Wegener, en son vivant gantier à Strasbourg où elle demeure
à M Gustave Hoffmann pelletier et à Dame Caroline Sauer spn épouse
Désignation. Une maison avec cour, pompe et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons n° 77 tenant d’un côté à la propriété du sieur Boersch, de l’autre à celle de Madame Dauer, par derrière au fossé dit Ulmergraben. Sont compris dans la présente vente trois fourneaux en fayence et trois en fonte ainsi qu’une chaudiere à lessive – Etablissement de la propriété. La venderesse déclare qu’elle a recueilli un tiers dudit Immeuble dans la succession du Sr Jean Bleifus en son vivant gantier à Strasbourg son père dont elle est héritière pour pareille portion ainsi qu’il résulte de l’Inventaire après le décès dudit défunt dressé par Me Bossenius le 11 floréal an treize. Que suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par le même notaire le 19 prairial an treize et déclaration de command du même jour, la totalité dudit Immeuble a été adjugée à la venderesse et à son mari défunt, mais la Dale Wegener ayant déjà été propriétaire d’une part indivise dudit Immeuble, la totalité de la maison est devenue sa propriété exclusive aux termes des dispositions de l’article 1408 du code civil – pour 16 000 francs
Gustave Hoffmann a épousé Caroline Sauer en 1838
1838 (21.5.), Strasbourg 9 (73), Me Hickel n° 5920 – Enregistrement de Strasbourg, acp 259 F° 82-v du 23.5.
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Jean Gustave Hoffmann, garçon pelletier à Saarunion fils de Jean Auguste Hoffmann, pelletier, et de Christine Kimmenack
Sophie Caroline Sauer fille de feu Jean Michel Sauer, pelletier, et de Marie Elisabeth Bertrand
Gustave Hoffmann et à Caroline Sauer garantissent sur leur maison un capital à verser à Caroline Philippine Sauer
1846 (13.6.), Strasbourg 9 (94), Me Becker n° 3113
Obligation – M. Jean Gustave Hoffmann pelletier et Dame Sophie Caroline Sauer son épouse d’une part
Mlle Caroline Philippine Sauer non encore majeure maisn émancipée par le Sr Sauer son père ci après dénommé et qualifié suivant déclaration faite devant Mr le juge de paix du canton Nord de cette ville le 18 mai dernier, Ladite Dlle Sauer demeurant aussi à Strasbourg, assistée de M Georges Frédéric Flamm, rentier, demeurant en la même Ville, curateur de ladite mineure (…) d’autre part, Et M. Jean Frédéric Charles Sauer charcutier demeurant aussi à Strasbourg de troisième part. Lesquels comparans ont exposé ce qui suit. Par acte passé devant ledit Me Becker le 29 mai dernier, ledit Sr Sauer comme ayant été père et tuteur légal de ladite Dlle Sauer a rendu à cette dernière le compte de la gestion et de l’administration qu’il avait eu de la portion de sadite fille. Il résulte de ce compte que les droits de la Dlle Sauer s’élevaient savoir (…) 3582 francs (…) Les époux Hoffmann s’obligent solidairement de rendre et rembourser à ladite Dlle Sauer ladite somme de 3500 francs
Hypothèque. Une maison avec cour pompe et autres appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons n° 77 tenant d’un côté à la propriété du Sr Boersch, de l’autre à celle de Mad. Dauer, par derrière au fossé dit Ulmergraben. – Etablissement de la propriété. Les conjoints Hofmann sont propriétaires de l’immeuble cidessus désigné au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de Dame Marguerite Madeleine Bleyfus, veuve de M. Jean Frédéric Wegener, en son vivant gantier à Strasbourg, suivant contrat passé devant ledit Me Becker le 2 avril 1844. Pour ce qui concerne l’établissement de la propriété dudit immeuble sur la tête de ladite Dame Wegener, les parties déclarent s’en référer au contrat dont il vient d’être question qui contient à ce sujet toutes les énonciations nécessaires