16, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons
Rue du Vieux-Marché-aux-Poissons n° 16 – VI 233 (Blondel), O 125 puis section 19 parcelle 126 (cadastre)
Façade rebâtie en 1597 par le fourbisseur April Brosier
Façades des numéros 16 à 12 – Étages du n° 16, les montants des fenêtres du premier étage sont ornées de moulures en volutes
Façade rue du Vieil-Hôpital à l’arrière des n° 14-16 (août 2022),
La maison de 14 pieds de long est inscrite au nom de Jean Schmaltz dans le Livre des communaux (1587). Elle comprend notamment un balcon en bois et deux encorbellements dont l’un au-dessus du balcon. Le fourbisseur April Brosier l’achète peu de temps après et rebâtit la façade en l’avançant sur le communal : il remplace en 1592 son auvent en bois par des tuiles, il demande comme ses voisins en 1597 d’avancer l’alignement entre les maisons Koleffel et celle de Marstaller pour pouvoir aménager une arcade et une porte. L’arcade et la porte sont terminées en 1598, il refait alors les portes de cave et pose un auvent au-dessus de sa nouvelle arcade. Le loyer communal correspondant est payable pour la première fois en 1601. La maison appartient ensuite au cordonnier Henri Vogt (1611-1625). Ses héritiers la vendent au boulanger Jean Rauscher, elle restera propriété d’un boulanger jusqu’à la fin du XIX° siècle. Les préposés autorisent en 1676 le boulanger Georges Kilian, deuxième du nom, à reconstruire le bâtiment arrière sur les anciennes fondations en avant de l’alignement (vers le fossé Ulmergraben) ; des dissensions s’élèvent au sujet des chenaux qui déversent les eaux dans le fossé. L’auvent et la boutique imposés depuis plus d’un siècle sont supprimés en 1771 par le boulanger Jean Philippe Reumann.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 175 – Cour A (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison dont le rez-de-chaussée et le premier étage sont en maçonnerie et les deux étages supérieurs en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la cinquième à gauche du repère (s) : une porte et une arcade au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres chacun, toiture à trois niveaux de lucarnes. La cour E représente l’arrière (1-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (2-3), le côté sud (3-4) et le côté nord (1-2). La face postérieure du bâtiment arrière donne sur le fossé Ulmergraben (cour A) à droite du repère (5).
La maison porte d’abord le n° 84 (1784-1857) puis le n° 16.
Cour E
Plan des Ponts-et-Chaussées (1856, ADBR cote 2 SP 52). La maison 84 en pierre a trois étages, construction solide
Jacques Œhl refait en 1902 sa devanture bien qu’elle dépasse de l’alignement. Louis Schott (société anonyme Louis Schott et Compagnie) fait transformer les bâtiments entre 1968 et 1970 : le rez-de-chaussée et une partie du premier étage serviront de locaux commerciaux, le restant sera aménagé en logements (une pièce et cuisine et studios). Les deux piliers qui encadrent la devanture doivent rester apparents sur l’avis de l’architecte des Bâtiments de France. Le coiffeur Gilles Aubert fait poser en 1988 une nouvelle devanture qu’il fait modifier en 1995.
Nouvelle devanture, 1898
Elévations lors des travaux de 1969 et de 1989 (dossier de la Police du Bâtiment)
Volutes sur les encadrements de fenêtre au premier étage (août 2022)
août 2022
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
April Brosier, fourbisseur, et (1588) Marie Riegel puis (1604) Marie Frœreisen, remariée (1610) avec le cordonnier Jacques Schreiber – luthériens | ||
1611 | v | Henri Vogt, cordonnier, et (1593) Marie Betz – luthériens |
1625 | v | Jean Rauscher, boulanger, et (v. janv. 1622) Apollonie Nortz – luthériens |
1637 | v | Georges Kilian, boulanger, et (1626) Marie Rod, d’abord (1622) femme du boulanger Jean Dautel, puis (1639) Esther Straub, d’abord mariée (1629) avec le journalier Nicolas Eyerich puis (1634) le charpentier Sébastien Hamm – luthériens |
1667* | h | Georges Kilian, boulanger, et (1668) Barbe Roth, remariée (1684) avec le boulanger Isaac Jund – luthériens |
1699 | h | Georges Kilian, boulanger, et (1699) Marie Barbe Christianus – luthériens |
1742 | h | Jean Michel Stahl, boulanger, et (1722) Marie Barbe Christianus, veuve de Georges Kilian – luthériens |
1760 | h | David Kilian, boulanger, et (1738) Anne Salomé Dürrbach – luthériens |
1767 | h | Jean Philippe Reumann, boulanger, et (1754) Marie Elisabeth Hüttner, (1758) Marie Salomé Diemer puis (1767) Anne Salomé Dürrbach veuve de David Kilian – luthériens |
1794 | h | Jean Philippe Reumann, boulanger puis employé à l’octroi, et (1801) Anne Catherine Kopp |
1828 | v | Jean Jacques Schæff, juriste, célibataire († 1830) |
1834 | v | Jean Chrétien Stoll, boulanger, et (1813) Marguerite Elisabeth Thomann |
1845 | v | Chrétien Stoll, boulanger, et (1837) Salomé Amélie Rumpp |
1864 | v | Joseph Fritsch, boulanger, et (1858) Louise Gries |
1879* | v | Jacques Œhl, fabricant de pâtés, et (1867) Frédérique Schmid |
1918 | v | Ernest Friedrichs, commerçant, et Mathilde Gangloff |
1947* | h | René Bureau et son épouse née Friedrichs |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 325 livres en 1666, 1 750 livres en 1720, 1 900 livres en 1741, 1 250 livres en 1755, 1 500 livres en 1765
(1765, Liste Blondel) VI 233, David Killian
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Rehman, 2 toises, 0 pied et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 125, Stoll, Chrétien, boulanger Vieux Marché aux Poissons 83 – maison, sol – 1,3 are
Locations
1624, Frédéric Jacques Stahl, marchand
1813, 1822, Jean Chrétien Stoll, boulanger (futur propriétaire)
1872, Jacques Œhl, fabricant de pâtés
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 15
Jean Schmaltz qui loue sa maison de 14 pieds de long au revendeur Samuel Schlosser règle une livre deux sols et dix deniers, à savoir pour un balcon en bois, un encorbellement (saillie de 6 pieds ½, 14 pieds de long), un auvent devant l’encorbellement du bas (saillie de 3 pieds ½) un autre encorbellement au-dessus du balcon (saillie de 2 pieds 2 pouces, environ 14 pieds de long), une porte de cave inclinée (5 pieds ½ de long, 4 pieds ½ de large), devant la porte une marche en bois à crampons en fer (4 pieds de long, un pied de large), un étal de revendeur (3 pieds de long, 3 pieds de large) et un étal (3 pieds de long, 2 pieds de large)
En marge, le fourbisseur April Brosier a rebâti l’avant de la maison et avancé sur le communal
Gegen der Newen Metzig hinüber Vnd hinder der Altten Metzig widerumb hinauff gegen dem Visch Marckh zugemessen
Hans Schmaltz hatt vor seinem Hauß da Samuel Schlosser der Gremp Inn sitzt vf der Allmendt 14 schu lang, darauff ein hültzener Gang, sampt einem Vsstoß 6 ½ schu herauß, Vnd 14 schu lang, Item ein Wettertächlin vor dem Vndern Vsstoß 3 ½ schu herauß, Item obwendig dem Gang noch ein ausstoß 2 schu 3 Zoll heraußer, vnd durchauß 14 schu lang, Ein ligende Kellerthüer 5 ½ schu lang 4 ½ schu breit, Mehr vor der Thüeren ein hültzine Staffel mit Isenen Klammen 4 schu lang. j schu breit, Item ein Grempen Banckh 8 schu lang vnd 2 schu breit, Mehr ein Banckh 3 ½ schu lang vndt 2 schu breit, Soll Allmend sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, j lb ij ß x d
[in margine :] Aprilis Brosier der Schwerdtfeger hatt seithero dißes Hauß vornen anderst gebawen vnd die Allmend darzu genommen
Livre des loyers communaux VII 1446 (Zinßbuch D) f° 278
Le coutelier April Brosier règle 2 livres 9 sols 10 deniers pour avoir enclos un terrain communal devant sa maison en bas du Vieux-Marché-aux-Poissons, face à la Mauresse, suivant le protocole des préposés aux communaux et la décision des Conseillers et Vingt-et-Un, pour la première fois en 1601.
Item ii lb ix ß x d gibt Aprilis Brosier der messerschmidt von Ingezogener Almend vornen In seinem hauß vnden am vischmarck gegen der Mörin vber gelegen, Inhalt der Almend herren Memorials vnd Erkandtnuß beÿ Rhat xxi ergangen, gefallt vff Martini Anno 1601. Zum erstenmal.
(rub.) Jetzt hanß Rausch d weißbeck
Neü 107.
1652, Livre des loyers communaux,VII 1461 (1652-1672) f° 107-v
Georges Kilian doit 5 sols pour un auvent, 5 sols pour une boutique de boulanger et 2 livres 9 sols pour sa maison, ce dernier loyer reporté du registre D.
Görg Kilian, Soll gemeiner Statt, Vom einem wetterdach seiner behaußung neben Josiæ Gernern ([biffé] Paul Helwigs Erben) vf dem Fischmarck, Jahrs vf Annunt: Mar: 5 ß
Man: fol. 140
New fol. 93
Ext. 1652
Idem Von dem Beckenladen, erstgemelter behaußung Jahrs vf Urbani 5 ß d
Man: fol. 169
New fol. 93
Ext. 1652
Idem Von gedachtem Hauß gegen der Möhrin Über, Jahrs vf Martini 2 lb 9 ß d
Alt. d. f. 278
New fol. 93
Ext. 1652
(Quittungen 1653-1672)
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 93-v
Mêmes loyers reportés dans le registre suivant
Georg Kilian(s Erben / Wb) Soll von einem Wetterdach seiner behaußung vff dem Fischmarckh, Jahrs vf Annun: Mariæ, 5 ß
Ferner von dem Beckenladen erstgemelter Behaußung Jahrs vff Urbani, 5 ß
Mehr von gedachtem hauß gegen der Mörin über Jahrs vff Martini, 2 lb 9 ß 10 d
St. Zinnßb. p. 107
[biffé] ietzt Isaac Funth
(Quittungen 1673-1741)
Neuzb Fol 489°
1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 489-b
Mêmes loyers reportés dans le registre suivant. L’auvent et la boutique sont supprimés en 1771. Les contribuables sont ensuite Jean Michel Stahl, Diebold Kilian et Jean Philippe Reumann
alzb. 93-b
Georg Kilian solle von einem Wetterdach seiner behaußung auf dem Fischmarck, Jahrs auf Ann: Mariæ, 5 ß (ist hinweggemacht)
Ferner von dem beckenladen erstgemeldter Behaußung Jahrs auf Urbani, 5 ß (ist hinweggemacht)
Mehr von gedachtem Hauß gegen der Mörin über Jahrs vff Martini (id est 11. Nov.), 2 lb 9 ß 10 d [in margine :] 21. Brumaire
(Quittungen 1740-1771, 2 lb 19 ß d – 1772-An 10, 2 lb 9 ß d)
Jetzt Joh: Michael Stahl
Jetz David Kilian
Jetzt Johann Philipp Reumann Rathh.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1592, Préposés au bâtiment (VII 1308)
April Brosier est autorisé à supprimer son auvent en bois (14 pieds de long, saillie de 5 pieds ½) et à le remplacer par des tuiles comme ses voisins
(f° 18) Donstags den 10. Februarÿ. Aprilis Brosier schwertfeger
Aprilis Brosier der schwertfeger begert das hültzin wetterdächlin An seiner behausung nidwendig gedachten hauß so viertzehen schu lang und sechtthalben schu breit Ist hinweg Zuthun und d. selbige mit Zieglen Zumachen, Ist Ime sein begeren Zugelaßen seinen nachbaren aber haben gleich Zumachen, doch d. Allmend sein vnd pleiben soll.
1597, Préposés au bâtiment (VII 1312)
Thomas Odino, April Brosier, Jean Jacques Spiess, Pierre Larus qui habitent tous les quatre entre la boutique de Koleffel et celle de Marstaller demandent d’avancer leurs maisons selon une ligne droite. Thomas Odino obtiendrait trois arcades, Jean Jacques Spiess deux, April Brosier une et une porte. Les chefs de chantier constatent que l’empiétement serait trop important à l’angle Marstaller et demandent un complément d’enquête. Le chef des travaux déclare qu’il existe un dessin des maisons telles qu’elles se présentaient autrefois. Il faudra trouver quelles autorisations les Conseillers et les Vingt-et-Un ont données à Charles Spielman et à Jacques Koleffel. Hormann a trouvé que Jacques Koleffel a été autorisé à avancer sa maison en 1587 et en 1588 comme son voisin. Le dessin pourrait se trouver dans le cabinet de curiosités dont Gottesheim détient la clé. Les préposés tirent le premier novembre un cordeau entre les boutiques Marstaller (saillie de 6 pieds 8 pouces ½) et Koleffel (saillie de 9 pieds). Les chefs de chantier sont chargés de mesurer la surface enclose par chacun pour déterminer leur loyer.
Thoman Ottino, Aprilis Prosier, Hanns Jacob Spieß, Peter Laruß, Alle vier underhalb Koleffels gaden, vnd oberhalb Marstallers gaden begeren Zubawen
(f° 179-v) Dienstag 20.ten Octobris Augenschein – Thoman Odino so in Jacob Rühlings hauß wohnet, Mehr Prosier der Meßerschmidt baß herauff und Spieß d. hutmacher Zwischen nechstgemelten beden Wohnend, die bitten vnd begeren alle Ihnen Zu gönnen, mit Ihren heusern von grund vff herauß Zufahren so weit als Spielman, Koleffel, Boch & vnd begert Thoman odino 3 bögen, Hans Jacob Spieß 2 bögen, Aprilis Brosier ein bogen vnd ein thier Zumach. damit es In gleichheit Khome & Daruff den Werckheüth. beuohlen die schnuor Zu Ziehen will unden beÿ der Marstaller Eck gar Zuweit herauß khomen, das Bawh. und 3 nit eigentlich wißen, wer vnder der termin sein soll & derhalben beuohlen man solle diese Erkhandnuß vnd was hierin gehandelt eigentlich vffsuch.
sonderlich sagt d. Lonh. sein ein Prett vorhand. gewesen, daruff die heuser wie sie von alter her abgerissen gezeichnet so gezogen worden, welche schnur obige Erkhandt, wißen nit & Soll man nachsuch.
NB. hab vffm Pfenningthurn gesucht vnd gefragt, fünde wol das d. würth Zum Bock, Carl Spielman, Jacob Koleffel Ihr alte heüßer etwaß lassen Was Ihnen aber von Rhat XXI bewilligt Ist damit Zufind.
D Horman hat nachgesucht, fündet Jacob Koleffels hab Im Prothocol 87 & 88 bericht das Ihm herauß Zufahren bewilligt, nit der schnur nach so Zog. word. stonde so weit als sein nachbur d. Spengler hauß gewesen, ob er oben weiter* herauß gefahren wiß er nit, So wuß er auch in anzognem brett nichts, mag In der Visier od. Kunst Cammer sein, da Zu heb H Mathis von Gotth. die schlüssel, Ist In beÿsein H. W Goteßheims auch gesucht, aber nichte fund. worden
(f° 188-v) Zinstag den ersten 9.bris. – Thoman Ottino, Aprilis Prosier, Hanns Jacob Spieß, Peter Laruß, Alle vier underhalb Koleffels gaden, vnd oberhalb Marstallers gaden begeren Zubawen und herauß Zufahren wie Andere daruff Ist auch mercklich die schnuor gezogen, vnd mit H. Stettmr Bocken und H Heinrich Obrecht Alt Amrs. als Almend herrrn wissen vnd rhat einmal od. 2. geredet vnd vnderredet worden, wie weit man unden beÿ der Marstaller gaden herauß, ob man grad der schnuoren nach herauß oder ob mans gegen des Marstallers hauß vßlauffen lassen will erstlich verglichen vnd beschlossen, man soll die schnuor vnden etwas vff 2 od. 3 schuh lassen hiemit fallen vnd an des Marstallers obern eck so gantz steÿnen vnd noch ein new hauß Ist von demselben eck sechs schuh neundthalben Zoll herauß vffs Almend messen und pfal schlagen vnd die schnuor Ziehen von Koleffels hauß (.so 9 schuh haussen.) biß an des Marstallers ober eck, daselbst 6 sch 9= Zoll breit haussen bleiben Also das die schnuor 2 schuh 2 schuh iii+ Zoll hinein fürde, und dißer schnuoren nachstellen, sie Ihro schwellen legen, bögen schlagen, vnd von gantz sein vff fahren vnd bawen,
Doch soll Johann Kemer mit solchem baw fürfahren, sonder wan sie vß dem fondament dem bod. gleich seind, die Wercklüth dazuforderen, die Ihnen die schwelle bitz* helffen vnd maß vnd ordnung geben sollen, als dan auch ordentlich abmeßen, was und wieuil Jeder vom Almend habe, damit man Ihnen ein Zinß daruff schlag. könne vndt werde man sie halten wie Andere,
Ist Ihnen angezeigt, Seindts zufriden.
1598, Préposés au bâtiment (VII 1313)
Le coutelier April Brosier demande l’autorisation de faire deux portes de cave verticales (deux pieds de large) au-dessous de l’arcade et le seuil de porte qu’il vient de faire faire, elles seront de plain pied et pourvues de grilles. Il demande aussi l’autorisation de faire un auvent au-dessus de sa nouvelle arcade comme ses voisins (saillle de deux pieds ½, 13 pieds 9 pouces de long) et un trou pour un pieu. L’autorisation est accordée pour les trois demandes mais lui et ses voisins devront régler un cens communal.
(f°123-v) Zinstag den 23.ten Maÿ 98. Aprilis Brosÿer der Meßerschmidt begert auch 2 stehende kellerfenster In sein Keller vnder seiner new gemachten bog. vnd haußthier schwellen ein schuh vffs Almend Zumach. doch dem boden eben od. gleich mit eisernen gerempsen, Jedes 2 sch Im liecht Item begert an solch newen bog. ein wetterdächlin wie die Andern nachburen ii+ sch herauß 13 sch 9 Zoll lang, Item ein Pfolloch vff der gassen. Erkandt, Ist Ihm In seinem begeren willfahrt In all 3 puncten, doch würt man Ihm ein Zinß ernennen wie anderen auch.
1600, Conseillers et XXI (1 R 79)
Damien Jung, Jacques Schœll, Charles Spielmann, April Brosier, Thomas Odino, Valentin Thielmann et Nicolas Frœlich demandent aux Conseillers et aux Vingt-et-Un une réduction du cens communal dont leur maison près de celle de Jacques Koleffel a été chargée. L’assemblée demande réflexion.
(f° 294-v) XI Octobris. – Damian Jung, H Jacob Schöll, Carle Spielman, Aprilis Brossing, Thoman Odino, Veltin Thielman, Claus Frölich beschweren sich Allmendt gelts
Damian Jung, Hans Jacob Schellen, Carle Spielman, Aprilis Brossing, Thoman Odino, Veltin Thielman, Claus Frölich vbergeben ein supplôn vnd beclag. sich sambtlich gleichformig das Allmendt gelts so Innen abgefordert dorumb d. sie d. Allmendt vnder Iren Heusern eingezaunt vnd war* nemlich gemacht, vnd geben m. Hrn Zuerkennen wie unzuchtige weiber dieb vnd schelm darunder [f° 295] also d sie sollens u. fe*uß nit gesichert genossen v doher Jacob Kolloffeln daß er sich dessen beschwert, von m herrn beschlissig Zumachen vergohnt seÿ doher sie auch mit vorwißen der Pfenningthurns also hernach* geruckt vnd solche Almend vnder Iren Heusern verwarlich gemacht nach der von den Werckmeistern gezogenen schawen, d. sey Innen nit gewehrt sonder von dem dreyern vnd andern fürnehmen leutten erinnert vnnd nnnnier* d Keiner der Zinß in etwas Zubefahren hab den m hen an solchen gebewen der Zu der Statt Zwecks dienet ein wolgefallen hatt, wie sich auch anderst nit ein klden Konnen den sie sonst wolten vnderlaßen haben. Seÿen auch seithero deßwegen new Zu red gesetzt den Jungst* von den Allmendherrn so Inen er vermeldet d. sie von Jedem schu In die langs und breits vnd also Zweyfach j batzen almend Zinß nit allein ins kunfftig Jerlich sondern seither dem baw welches ein namhaffts anlaufft Zellen sollen. Nun werd. m herrn denstlich* erachten Konnen* wie hoch ein Jedes hauß beschwert wurde d. vber m*dere beschwerd. Kein besserung mehr sein würde. daher sie verhoffen wollen m Hrn [f° 295-v] werd. solche beschwerden mildern vnd abstellen vnd wid. alt herkommen mit belastig lassen. Dan die Zeitten theur. Funff Jerigs schatzung auferlegen vnd mherren *ff* vil mehr 2 ß d. reines Jedes *gtes nahrung Zu *ch* den geringst werde. Betten aber d all herkommen sie Zuerstatten erbiettig, weg. verfloßener ledig Zu Zalen vnnd* ins Kunfftig milte und verglichs gleichheit mit Innen Zu treffen. In massen mit andern heusern auch beschehen, Wo aber mherren solche beschwerd hind.lich außkauffen Zulaßen gemeint weren, wolten sie sich der billichkeit gemäß erzeig. den sie auf dem widrig fall eher in vorig. standt richten wolten. Wollen sich doch eines andern Zins ehren sonderlich d. sie in disser löblich freyen statt wid. Alt herkommen mit neuwen untreglich bürgen vnd auflag Zu Iren u. der Iren h*schenden nit beschwerdt werd.
Erkant, vorige Hn sollen disser Supplôn nach bedencken.
1605, Préposés au bâtiment (VII 1320)
April Brosier demande que ses voisins Loup von Molsheim et Gall Weltz soient obligés de supprimer les chenaux qui proviennent de leur évier et s’écoulent dans le fossé Ulmergraben près de sa maison. Comme le pétitionnaire a lui-même deux chenaux dont les voisins pourraient avoir motif de se plaindre, les préposés lui demandent de les modifier.
(f° 152-v) Donnerstag 19. Sept. – Aprilis Brosier clagt das dahinden Im Ulmergraben Zween Nachburen Im Spittalgeßlin Wolff von Molßh. und Gall Weltz 2 Nääch haben wom wasserstein die schiessen biß an sein hauß bittet solches ab zu schaffen, weil aber er Aprilis selbst auch 2 solche hat, darab die Anderen Zu clag. ursach hette, Ist Ihm antzeigt, er soll seine 2 selbsten Zuuorderst also mach. wan dasselb geschehen, soll ers vffm d.th. an Zeig. so will man die Andern auch dahin anhalten, wills thun.
1676, Préposés au bâtiment (VII 1364)
Les préposés inspectent le mur qui a été étayé vers la ruelle (le fossé). Ils estiment que l’étai est inutile puisque le mur est solide. Ils constatent que le charpentier démolit la maison arrière qui anticipait d’un pied sur le communal et autorisent Georges Kilian à reconstruire le mur sur ses anciennes fondations.
(f° 183-v) den 9. Junÿ 1676. – Augenschein in Georg Kilians des Weißbecken behaußung am fischmarck gelegen, eingenohmen, alwo derselbe in seinem hindern Stock in das gäßlin an der Mauren, ein Stitz von Maurwerckh an deßen Maur Zu mehrern Versicherung anzusetzen willens geweßen, nach deme aber sich befunden, daß die alte Maur noch gut vnd 2 schuh dick seÿe, also dißer Stitzen nicht nöthig seÿe, ist solches begehren vermitten blieben, weiters hat sich auch befunden, daß das hindergebäw, welches ietzo durch den Zimmermann ohne vorwißen abgebrochen word. beÿ ein Schuh herauß vnd in das gäßlin gesetzt geweßen, welches gedachter Kilian wid. von newem vff seine Maur vndt gleichfalls ein schuh herauß in das ermelte gäßlin sehend auffzulegen gesinnet ist, Erk. Willfahrt.
(f° 194-v) den 1. Aug. 1676. – Georg Kilian se plaint que ses voisins Jean Büchel et Josias Gerner ont ajouté un étal devant leur boutique, ce qui empêche ses clients de voir son pain. Les voisins objectent que Georges Kilian brosse son pain à l’extérieur et que la farine se répand que leurs tissus.
Georg Kilian der Weißbeckh clagt, daß H. Johann Bühel vnd Josias Gerner, beede handelßleüth, an ihren Vorbäncken Vor ihren Laden am Vndern Fischmarck, noch einen Vorbanck gemacht, und darauff ihre wahren außlegen, daß also sein brod am Laden nicht wohl wargenommen werden könte. H. Josias Gerner præsens entschuldiget sich, hette seinen vorbanck von selbsten ohnlängst hinweggethan, damit beÿ nächtlicher Weil die Arme leüth darunder sich nicht auffhalten könnten Auch hätte H. Büchel, so für dißmahlen die Saurbronnen Chur begriffen, ein gleiches Zuthun Verlauten laßen, vnd were beÿden Nachbarn beschwärlich, daß Cläger allen bachtag sein brodt am Laden abfege, wardurch das Meel Ihme Gernern an sein Getüch im Laden anhenckhe. Erk. soll H. Büchel nach deßen widerkunfft Von Ihme Clägern in güte besprochen, vnd auff widrige resolution die sach beÿ Obern Bawherren wider angebracht werden.
1677, Préposés au bâtiment (VII 1365)
Suite de l’affaire. Le plaignant déclare que l’affaire est en suspens devant le Sénat. Les préposés décident le 13 novembre que Jean Büchel et Gaspard Maurer devront retirer les étaux devant leur échoppe. Le chenal devra rester dans l’état où il est. Jean Büchel déclare qua la mère du plaignant a fait rallonger le chenal par un morceau de tôle que le plaignant a retiré. Georges Kilian accepte d’en remettre un nouveau à condition qu’il soit en cuivre et non en tôle. Jean Büchel et Gaspard Maurer devront régler les frais d’inspection chacun pour moitié.
(f° 124-v) Freÿtags den 2. Octobr. 1677 – Georg Kilian Ca. H. Johann Büchel und Hans Caspar Maurern
Augenschein eingenohmen vff begehren Georg Georg Kilians des Weißbecken, welcher wider H. Johann Büchel den Handelßmann und und Hannß Caspar Maurern auch Handelßmann, beede Nachbaren geclagt, daß dieselbe mit ihren Vorbäncken vor ihren Laden am Vndern Fischmarck, noch einen Vorbanck gemacht, und darauff ihre wahren außlegen, daß also sein Brod am Laden nicht wohl gesehen werden könne, Über dißes beschwere hingegen H. Büchel sich über sein Clägers welcher etwas kurtz seÿe, vnd beÿ regenwetter deßen getüch verspritzt w.den. Cläger entschuldiget sich, daß diese sach beÿ E: E: Rhat dahie solches gleichwohlen nicht gehörig, angebracht hette, das hauß vnd Nach Von seinem Vorfahren in solchem stand bekommen vnd wann H Büchel den einen Vorbanck einstellen würde, Könnte der regen Ihme kaumen schaden thun. Erkannt, bedacht.
(f° 127-v) Dienstagß den 13. Novembr. 1677 – H. Johann Büchel Caspar Maurern vnd Georg Kilian
P° Eingenommenen Augenscheins beÿ H. Johann Büchels und Caspar Maurers beeder handelßleüth Vorbänckh am Vndern Fischmarch, warwider Georg Kilian des Weißbeckh vorem Jahr und ohnlängsten sich beschwärdt, Ist Erkannt, Sollen beede Becklägte H. Beüchel vnd Maurer ihre Vorbänckh beÿ Straff 5. lb d. fürderlich hienweg thun, hiengegen Clägere, daß jenige gemahlte thuch, so Er Zwerck herab an H. Büchels seiten und an deßen außgehenckten Rocken etlich mahl herab gehenckt, vndt nicht ferners und beÿ ebenmäßiger straff herab machen, belangend den Nach soll solcher in dem standt, wie Er anietzo sich befindet gelaßen werden, Zumahlen der beÿ E: E: Kleinen Rhat dieses Nachs halben angefangene process, weilen solches in die bewegschäfft einlaufft, hiemit auffgehoben sein. H. Büchel bericht, daß dieser Nach Vor diesem länger gewesen, Vnd sein Kilians Muter Vor diesem vf sein Büchels anhalten ein Stuck blech an disen Nach mit einem trat anhängig gemacht, damit deßen trauff Ihme H. Büchel nicht schädlich sein können, welches Blech aber Cläger wider weggethan, mit bitt Ihme Cläger dahien anzuhalten, daß Er den Nach vmb etwas verlängern solte, Erbietet Sich Zugleich, vff sein Kilians verwegerung, die Verlängerung in seinen Costen werckstellig Zumachen, Kilian wolte sich anfänglichen nicht darzu verstehen, endlich. aber sich ercläret, die Verlängerung wann Sie mit Kupffer geschehen würde vnd nicht mit blech geschehen Zulaß. warzu Sich dann H. Büchel verstand. vnd haben beede beklagte H Büchel v. H. Maurer die wegen des Augenscheins auffgegangene vncosten ½ der 1. lb 10. ßd. ieder theil die helffte daran Zuerleg. H. Büchel beschwert sich weiters daß hinden im höfflin ein bret gemacht, daruff das waßer fallet, vnd Ihne od. die jenige so in hoff kommet, sprütz. thäte. Erk. ist Vor E: E: Kleinen Rhat verwieß.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du vieux marché aux Poissons
nouveau N° / ancien N° : 41 / 84
Reimann
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 33 case 1
Stoll Chrétien vieux marché aux poissons N° 84
O 125, maison, sol, vieux marché aux poissons 84
Contenance : 1,30
Revenu total : 225, 68 (225 et 0,68)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 303 case 2
Stoll, Chrétien (1866)
1866 Fritsch, Joseph, boulanger
1879 Oehl, Jakob, Pastetenbecker
O 125, maison, sol, Rue du vieux marché aux poissons 18
Contenance : 1,30
Revenu total : 225, 68 (225 et 0,68)
Folio de provenance : (33)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
Cadastre allemand, registre 30, p. 232 case 5
Parcelle, section 19, n° 126 – autrefois O 125
Canton : Alter Fischmarkt Hs N° 16
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,12
Revenu : 2300 – 2800 – 2500
Remarques
(Propriétaire), compte 913
Oehl, Jakob
1918 Friedrichs Ernst Kaufmann und Ehefr. Mathilde geb. Gangloff
1947 Bureau René et son épouse née
(1025)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 164 Marché aux Poissons (p. 318)
Pr. Reumann, Jean Philippe, Boulanger – Boulangers
lo. Scodofsky Jean Sébastien, Musicien – Privilégié
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Alter Fischmarkt (Seite 40)
(Haus Nr.) 16
Schenck’s Schokoladenhaus. 0
Oehl, Rentner. E 1
Heiligenstein, Wwe. 2
Gruber, Buchhalter. 3
Schmidt, Krankenwrtn. 4
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 947 W 127)
16, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons (1885-1995)
Jacques Œhl est autorisé en 1898 à refaire sa devanture bien qu’elle dépasse de l’alignement. Les travaux sont faits en 1902 après une nouvelle demande par l’architecte Ch. Stieffel.
Louis Schott (société anonyme Louis Schott et Compagnie) fait transformer les bâtiments en 1968. Le rez-de-chaussée et la partie ouest du premier étage serviront de locaux commerciaux et de bureau. Le reste du premier étage et les deux étages supérieurs seront aménagés en logements (une pièce et cuisine et studios). L’escalier du rez-de-chaussée au premier étage sera refait à neuf. La toiture vitrée au rez-de-chaussée est remplacée par des lanterneaux en verre synthétique. Les deux piliers qui encadrent la devanture doivent rester apparents sur l’avis de l’architecte des Bâtiments de France. Les travaux sont terminés en janvier 1970.
Nouveau locataire, le coiffeur Gilles Aubert fait poser en 1988 une nouvelle devanture sous la direction de l’architecte Corinne Nisse-Duchesne, mars 1988. Il la fait modifier en 1995 par les architectes Pierre Belli et Richard Finck.
Commerces
1908, marchande de chocolats Rose Eckart
1911, pharmacien droguiste Georges Keller
1914, boulangerie Biehl
1915, ressemelage Mathilde Friedrichs
1953-1968, bonnetier René Bureau (corsets, soutien-gorge, gaines, corsages, lingerie fine)
1970, L’Affiche (transactions directes par affichage)
1987, coiffeur Gilles Aubert
Sommaire
- 1885 (mai) – Le maire notifie Jacques Oehl de faire ravaler la façade vers le fossé Ulmergraben (deux notifications successives, expédiées respectivement à Lingolsheim et 56, rue du Faubourg National) – Travaux terminés, novembre
- 1898 – Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police. Le sieur Oehl est autorisé à refaire sa devanture bien qu’elle dépasse de l’alignement. Dessin – Droits payés pour deux ouvertures à un local commercial, une devanture, une corniche sur la devanture. Le permis est périmé sans que les travaux aient été faits.
1902 – L’architecte Ch. Stieffel présente à nouveau la même demande – Autorisation – La devanture est posée, la peinture est en cours, novembre - 1902 (novembre) – Charles Schwenck (4, rue des Orfèvres) demande l’autorisation de poser une enseigne plate et un volet roulant – Autorisation
1903 (janvier) – La Police du Bâtiment constate que Charles Schwenck a posé une lampe sans autorisation – Demande pour une lampe électrique – Autorisation
1904 – Nouvelle demande pour une lampe électrique. La Police du Bâtiment renvoie à l’autorisation précédente. - Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Ohl [sic], demeurant sur place
1905. Le maire notifie le propriétaire de faire les travaux demandés (non cités) et de nettoyer les avances vers le fossé Ulmergraben.
1912. Il faut interdire aux locataires de jeter des ordures vers le fossé.
1913. Un jugement a déclaré que le fossé Ulmergraben ne dépendait pas des bâtiments adjacents mais devait être assimilé à une voie publique. La Ville a donc demandé aux propriétaires d’en ravaler les façades
1915. Commission des logements militaires, rien à signaler
1916. Les fenêtres vers le fossé ne sont pas grillagées - 1908 – La marchande de chocolats Rose Eckart demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
- 1910 – La veuve Oehl et le maître maçon Adolphe Stückle (5, rue des Bateliers) sont autorisés à ravaler la façade (autorisation délivrée après coup)
- 1911 – Le pharmacien droguiste Georges Keller demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Dessin signé Aug. Schuler G.m.b.H. – Autorisation – L’enseigne est posée, décembre 1911.
- 1912 – Le maire notifie Françoise Oehl née Schmid de faire ravaler la façade – Travaux terminés, mars 1912.
- 1912 – Le maître boulanger J. Grossmann qui a l’intention d’acheter la maison demande s’il pourra y ouvrir une petite boulangerie comme celle qu’il exploite au 21, route de Colmar. La Police du Bâtiment répond que les locaux doivent avoir trois mètres de haut alors qu’ils ne font que 2,70 mètres mais que le préfet peut délivrer une dérogation. L’affaire n’a pas de suite, le dossier est classé (juillet 1912)
- 1913 – La société Othon Quantz, représentée par Jules Wolf (rue Sainte-Thérèse au Neudorf) est autorisée à poser une inscription
- 1914 – Mme Biehl déclare que son mari à fait part l’année précédente à la Police du Bâtiment que sa boulangerie a été transférée au 5, rue des Charpentiers – La Police du Bâtiment répond que l’article n’a pas été annulé et que les droits sont dus.
- 1915 – Mathilde Friedrich informe le Police du Bâtiment qu’elle a posé une enseigne plate (Friedrichs Feinsohlwerk, ressemelage Friedrich) et une inscription sur la devanture. Il s’agit d’un dépôt dépendant du magasin principal sis 3, rue du Vieux-Marché-aux-Grains. – Autorisation de poser une enseigne plate et de reprendre un volet roulant
- 1916 – Dossier ouvert après un courrier du commissaire de police. Un incendie s’est déclaré dans le magasin – La Police du Bâtiment demande au gérant Reebmann (boulevard du Faubourg blanc) de faire les travaux nécessaires. Le gérant répond que tous les revenus sont passés dans les droits de succession de la propriétaire. Le maire accorde un délai. Travaux terminés, novembre 1916.
- 1919 – Mathilde Friedrich se plaint de la gouttière endommagée de la maison voisine n° 18. La Police du Bâtiment constate que le tuyau de descente vers la cour est bouché, l’eau s’écoule le long du mur. La Police du Bâtiment écrit à Noiriel (9, ruer Stœber) – Travaux terminés, novembre.
1921. – Nouvelles plaintes de la même. Le bâtiment arrière de son voisin provoque de l’humidité dans le sien et fait pourrir le solivage. La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée et écrit au gérant de la maison (Bermont, demeurant 43, rue du Faubourg de Pierre renvoie à Steieglmann, demeurant 1, rue du Bouclier) - 1933 – Le maire notifie le cordonnier Ernest Friederichs de faire ravaler la façade – Travaux terminés, mai
- 1941 – La Police du Bâtiment constate que le nom de Friederichs apparaît six fois sur la façade. Ernest Friederichs déclare avoir supprimé toutes les enseignes sauf une qu’il souhaite laisser jusqu’au printemps suivant.
- 1953 – L’entrepreneur en bâtiment A. Fistarol (13, rue de Mulhouse du Neudorf) est autorisé à poser un échafaudage devant la maison. Il est exempt de droits de voirie, les travaux relevant des dommages de guerre.
- 1953 – La Police du Bâtiment constate que René Bureau a posé sans autorisation une enseigne sur lambrequin – Demande – Autorisation
- 1961 – Ernest Friederichs est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade vers la rue du Vieil-Hôpital
- 1965 – La Police du Bâtiment constate que le bonnetier René Bureau (corsets, soutien-gorge, gaines, corsages, lingerie fine) a posé sans autorisation une enseigne en lettres détachées – Demande – Autorisation
- 1969 – La société anonyme Louis Schott et Compagnie est autorisée à occuper la voie publique devant le bâtiment.
L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à l’enseigne lumineuse L’Affiche. – Dessin des façades avant et arrière – Le maire autorise L. Schott et Compagnie à poser l’enseigne – L’enseigne est posée
1970 – Le droit de l’enseigne L’Affiche (transactions directes par affichage) est mis au nom de René Bureau - 1968 – Louis Schott dépose une demande pour transformer le bâtiment sous la direction de l’architecte Georges Jacques Haudenschild (7-9, rue des Grandes Arcades) qui transmet les dessins et la description des travaux – Plan de situation, plan du rez-de-chaussée, du premier étage, du deuxième étage, du troisième étage, façade avant, façade arrière. L’ancien propriétaire exploitait une mercerie bonneterie avec bureau, dépôts et logements aux étages. Le rez-de-chaussée et la partie ouest du premier étage serviront de locaux commerciaux et de bureau. Le reste du premier étage et les deux étages supérieurs seront aménagés en logements d’une pièce et cuisine ou en studios. L’escalier du rez-de-chaussée au premier étage sera refait à neuf. La charpente est conservée. La toiture vitrée au rez-de-chaussée est remplacée par des lanterneaux en verre synthétique.
L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable, les deux piliers qui encadrent la devanture doivent rester apparents, les appuis des fenêtres devront être dégagés. Le permis est refusé, 13 décembre 1968.
L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées et le directeur départemental de l’équipement donnent leur accord.
1969 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable au nouveau projet
1969 (avril) – Le maire accorde le permis de construire
La façade principale est consolidée par des piliers et des sous poutres métalliques. Les cloisons en maçonnerie sont en cours aux étages, avril 1969. L’aménagement intérieur est en cours (juin). Les travaux sont terminés, le rez-de-chaussée est exploité (janvier 1970)
1970 (mars) – Les installations sanitaires ne sont pas conformes au règlement – Elles sont conformes, mai 1970
1972 (mars) – Certificat de conformité - 1974 – Le propriétaire voisin (Baer, n° 14) déclare que la toiture du n° 16 s’affaisse
- 1979 – Le maire notifie le propriétaire Louis Schott et compagnie de faire ravaler la façade
1980 – Le propriétaire sollicite une subvention – Devis de l’entrepreneur Grieshaber (rue d’Auteuil à Eckwersheim), Wetzler et fils (rue du Languedoc à la Meinau). La peinture peut être subventionnée mais pas la couverture.
1980 (août) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable au décapage à condition que ni les pans de bois ni la pierre de taille ne soient peints
1982 (janvier) – Les travaux sont terminés, la subvention versée - 1987 – Gilles Aubert demande l’autorisation de poser une enseigne. Jacqueline Rocher, présidente de la S.A. L. Schott et Compagnie, autorise le coiffeur Gilles Aubert à faire poser une enseigne. – Dessin par l’architecte Corinne Nisse-Duchesne, devanture, façade – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. Accord sur la teinte – Le maire accorde l’autorisation, novembre 1987
1987 (septembre) – Gilles Aubert demande l’autorisation de poser une nouvelle devanture sous la direction de l’architecte Corinne Nisse-Duchesne, (1, quai Charles Frey à Strasbourg) – Promesse de bail par la société Schott à Gilles Aubert pour 60.000 francs par an – Dessins (élévations de la façade avant, de la façade arrière, plan du rez-de-chaussée et de l’étage, état ancien et état projeté) – Avis de la commission de sécurité – L’inspecteur du travail ne fait pas d’objection
1987 (novembre) – Le préfet signe les prescriptions relatives à une déclaration de travaux.
L’ancienne devanture est déposée, décembre 1987. Les travaux sont conformes aux plans approuvés, mars 1988. - 1989 – Le maire refuse que le Rendez-vous oriental (5, rue du Vieil-Hôpital) pose une pré-enseigne, qui équivaut à une publicité interdite dans le secteur sauvegardé.
- 1989 – Le coiffeur Gilles Aubert demande l’autorisation de poser une enseigne en caisson (libellé, Gilles Aubert Coiffure) – Dessin par les établissements Kappeler (à Fegersheim) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation – L’enseigne est posée, février 1990.
1991 – Gilles Aubert retourne une facture pour une enseigne retirée. Les droits restent dus pour l’année en cours. - 1991 – La Police du Bâtiment constate que Gilles Aubert a posé sans autorisation un store à banne – Demande – Autorisation
- 1995 – Gilles Aubert dépose une demande pour modifier la devanture – Dessin par le cabinet d’architectes Pierre Belli et Richard Finck (BFA, 12, rue des Moulins à Strasbourg) – Photographie – Le dossier est incomplet – Le maire ne fait pas opposition aux travaux, septembre 1995.
Autres dossiers
1308 W 1140 – D.T. 482 99 v 0194, ravalement (1999)
1689 W 1016 – ADS-PC-482 13 v-0006, ravalement et réfection de la toiture.(2013)
Relevé d’actes
La maison appartient depuis les années 1590 à April Brosier qui achète le droit de bourgeois en 1571 en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux.
1571, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 181
Aprilis Brosier Meßerschmidt hatt das burgkrecht kaufft und dient Zun schmiden Act. den 21.ten Junÿ A° 71
April Brosier épouse en 1588 Marie, fille du boulanger Othon Riegel
Mariage, cathédrale (luth. p. 151)
1588. Dominica XVII post Trinitatis. 22. Septembris. Aprilis Brosier der Schwertfeger, vnd Maria othman Riegels des Becken nachg. dochter (i 179)
B 1589 Jacob f° 57 n° 77 i 60, 1590 Margaretha f° 74 n° 91 i 77 – 1592 Maria f° 85 i 90 – 1596 Maria f° 65 i 67 (manque année 1593)
Le fourbisseur April Brosier hypothèque sa maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière au profit d’Antoine Kopff
1603 (27 Maÿ), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 178
(Inchoat. fo: 191.) Erschienen Aprilis Brosier Schwerdfeger burg. alhie
Hatt in gegensein h. Anthoni Kopffen burg. alhie – schuldig sein 50 Pfund Pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt Zweÿ heüser ein Vorders vnd hind. mit Iren and. gebeüwen gelegen In d. St. St. Vnd. am vischmarck gegen d. Zunfftstuben Zur Mörin hienüber einseit Jost Schwanfeld. Scheiden mach. and.seit, Hanns Jacob Spieß hutmach. stoßend hinden vff den Vlmer Graben, Vnd seind aber solche Heüßer Hoffestatt vnd höfflin noch verhafftet für 200 guldin Straßburg. werung Weÿland herr Hannß Schmaltzern seligen Erben Zu etlichen zielen Zubezahlen
[in margine :] Erschienen Gilg Hoffmann Hatt in nammen sein Vnnd Von wegen Martin Büherlers deß Kachlers, Alls Erben Anthoni Kopffen seligen, In gegensein Aprilis Brosiers (…) Actum den 22. Julÿ Anno & 1606
Le fourbisseur April Brosier hypothèque sa maison au profit du licencié en droit Jacques Trausch
1604 (xxiij tag Martÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 131
(Inchoatum in Proth. fol: 127.) Erschienen April Brosier der Schwerdtfeger burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Jacob Trausch. der Recht. Licentiat – schuldig sige 150 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Hauß, hoffestatt hofflin vnd hinderhauß, mit Allen Ihren gebeuen & geleg. Inn d. St. Straßburg vnd. Am Fischmarck, einseit neben Jost Schwanfelder dem scheÿdenmacher, Anderseit nebent hannß Jacob Spieß dem huotmacher, stoßend hind. vff den Vllmer graben, Dauon gond & guldin gelts Ablösig mit ij C gl Straßburger werung, Wilhelm Schmaltz. vnd ij lb x ß d gelts Allmend gelt der Statt Straßburg
Erschienen h Martin Trausch burger Alhie hatt in gegensein Lazari Himmels Als ehevogt Margrethen April Brosiers selig. dochter (…) quitt. Actum 5. Maÿ Anno 1612.
April Brosier se remarie en 1604 avec Marie, fille du cordonnier Georges Frœreisen : contrat de mariage, célébration
1604 (15. Aprilis), Not. Strintz (Daniel, 58 not 53, Prothocollum 1597-1605)
Eheberedung Zwüschen Meÿster Aprili Brosier dem schwerttfeger und Jungfrauwen Marien Frör Isin, beed. versprochenen ehepersonen
(…) Zwüschen dem ehrenhafften Meister Aprili Brosier dem schwerttfeger vnd burger Zu Straßburg Ane einem
So dann der ehren vnd tugendsamen Jungfrauwen Marien Frör Isin, des Auch ehrenhafften Meister Georg Frör Isens schuhmachers vnd burgers Zu Straßburg seeligen ehelichen hind. lassener dochter, Am Andern theÿl
Auch darbeÿ Inn beÿsein vnd durch vnd.handlung der Ehrenuesten fürnehmen weißen Achtparen, erbaren vnd bescheÿdenen herrn Samuel Erlers großen rathsbewanten, Jacob Lampen holtzverwaltters, des hochzeitters Kinder vogts, herren Caroli Rehmen Handelsmanns, vnd Absalon Simon deß Notarÿ vff seiner deß Breüttigams, So dann vff der Jungfrawen Hoch Zeiytterin seitten Caspar Erichs schuhmaners Ihres vnd Simon Rudolph Buchbinders Ihrer mutter vögtt, Ulrich Netter schuhmachers vnd Hannß Völckhen mangmeisters Ihres schwagers vnd gutten freündts, Aller burgere Zu Straßburg
Hingegen sovÿl der Jungfrauen Hochzeiterinn vätterlich erb belangt, hat frau Susanna Jungin Ihre Mutter dasselbige ad dies vitæ Zunutzenn (…)
Beschehen Inn deß heÿlig. Reichß freÿen statt Straßburg Sonntags den 15. Aprilis In dem Jar deß herren Alß man Zalte 1604.
(autre exemplaire, Not. Strintz (Daniel, 58 Not 54)
Mariage, cathédrale (luth. p. 133)
1604. Dominica Misericordias den 22. Aprilis. April Brosier der schwertfeger und Maria Georg fröreÿsin des schuemachers n.g. dochter
Marie Anne veuve d’April Brosier se remarie en 1610 avec le cordonnier Jacques Schreiber
Mariage, cathédrale (luth. p. 241)
1610. Dominica Invocavit. H. Jacob schreiber der schumacher
Maria Anna Aprilis Brosÿ des schumachers n.g. witwe (i 124)
1605 VII 1320 Bauherren
Aprilis Brosier der schwerdfeger contra Jost Schwanfelder. 152.
Le diacre Georges Reiter dépose à la Tour aux deniers un capital appartenant à Catherine, fille d’ April Brosier et de Marie Rigel. La capital est mentionné en 1611, 1613 et 1614.
1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Vogteÿ geldt vffgelegt, Aprilis Brosiers des schwerdtfegers. 199.
(f° 199-v) Mittwoch 23. octob. 1611. – M. Georg Reüter der helffer Im Münster als vogt Aprilis Brosiers des schwerdfegers Catharine mit Maria Rigelin beder s: erzilt, haben angelegt vogteÿgelt 220 h d
haben darumb derselben seiner vogtdochter verkaufft 9 h 15 ß d vff Soîs vnd Judæ fallend. Zugeschriben folio 161.
1613, Préposés au bâtiment (VII 1328)
Vogteÿ geldt vffgelegt, Aprilis Prosiers meßerschmidts dochter. 166.
(f° 166-v) Sambstag 30. octob. 1613. – H Georg Reüter Als vogt Catharine Weiland Aprilis Prosiers meßerschmidts selig dochter mit Maria Rÿgelin erzeltt hatt gelüffert 100 h d.
Ihm sein vogtdochterle verkaufft 4 h 10 ß d Vogteÿ geldt vff Simonis Jude fallende. Zugeschriben folio 214.
1614, Préposés au bâtiment ( VII 1329)
Vogteÿ geldt vffgenommen, April Brosiers dochter. 175.
(f° 175) Montags den 21. Novembris. – H M. Georg Reüter der helffer Im münster als vogt Catharine Weiland Aprilis Brosiers dochter gelüffert In baren gelt vd* v.fallenen Zinßen 70 h d
haben darumb gemelte Catharina Brosierin Zukauffen geben 3 h 3 ß. vf Catharine fallendt. Zugeschriben folio 214.
Le cordonnier Jacques Schreiber vend au nom de sa femme Marie Frœreisen un tiers de la maison aux deux filles d’April Brosier
1611 (19. Junÿ), Chancellerie, vol. 391 (Imbreviaturæ Contractuum) n° 25
Kauffverschreÿbung vber einen dritten theÿl an einer Behausung auff dem Fischmarckt neben Jost Schwanfeldern, Catharinæ vnd Margarethæ Aprill Brosier selig rechten vnd Stieff Tochter
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1611 folio 71. Zubefinden.) Erschienen Jacob Schreiber d. Schumacher alß Ehevogt Mariæ Fröreÿßin Weiland April Prosier des schwertfegers s. wittib mit beÿstand Ulrich Notters des Schumachers vnnd Simon Rudolffen des Buchbind.s Ihres negsten Verwanten bekhant,
Nachdem sein Prosiers behausung alhier vffm Vischmarck einseit neben Jost Schwanfeldern des Scheidenmachers s. Erben, anderseit neben Paul N dem Meßerschmidt hind. vff den Ulmergraben stoßend Von* samptlichen vnd. den Erb. vnnd derselb. verwanten vmb 1050 lb angeschlagen davon man Jhars vff Martini 2 lb 9 ß 10 d Allmend geltt d. Hauptgutt hierin für 50. lb. gerechnet, mehr 2 lb 10 ß vff Adolphi lößig mit 2 lb 10 ß vff Adolphi vnd dann Ottman Siegels wittib 27 lb 10 ß ablößig mit 550 lb vff den 21. Julÿ hernach benand. Erb. An den vbrig 400 lb d Ihnen beden Ehegemechden ein drittheil die vbrigen 2 drittheil auch den volgend. Erben Zuständig gepüren thut, das sie vmb beßern Ihres Nutzes vnd frommens willen solchen Ihren dritteil Herrn Georg Reittern helffern Im Münster Alß vogt Catharina vnd dann Lazarus Himmel Als Euogt Margarethen Weiland April Brosiers des schwertfegers hind.laßenen rechten Ihr Mariæ aber Stieffdöchtern vbergeben vnd zugestelt, doch dergestalt, d. sie die Töcher od. derselben vögt 133 pfund (…) erlegen
Le diacre Georges Ritter au nom de sa pupille Catherine Brosier (ensuite femme de Loup Raoul Schoner) et le notaire Lazare Himmel au nom de sa femme Marguerite Brosier vendent la maison au cordonnier Henri Vogt et à sa femme Marie Betz. La fille aînée est faussement attribuée à Marie Frœreisen, deuxième femme d’April Brosier
1611 (10. Julÿ), Chancellerie, vol. 391 (Imbreviaturæ Contractuum) n° 28
Kauffverschreÿbung Heinrich Vogten deß Schumachers über ein Behausung am Vischmarckt
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1611 folio 82. Zubefinden.) Erschienen Herr Magister Geörg Ritter Diaconus Im Münster alhie alß geschworner Vogt Catharine w. April Brosier d. Schwerdfegers mit Maria Rigelin beid. seligen In erster Ehe erzielt vnd verlaßener dochter, It. Lazarus Himmel der Notarius als ehevogt Margreth auch erstgedacht. April Brosier mit Maria Fröreÿsin In and. ehe erzeugter dochter
vnd haben in gegenwertigkeyt Heinrich Vogten deß Schumachers angezeigt und bekandt (…) und Mariæ Betzin sein ehelich. haußfr.
Ein Behausung vnd hoffstatt höfflin vnd hinder heußlin mit aller derselb. begriffen, weith. Recht. vnd gerechtigkeiten geleg. alhie vff Vischmarck einseit neben w. Jost Schwanfelder deß Scheidenmachers s. erb. anderseit neben Paul (-) dem Meßerschmidt hind. vff den Ulmergraben stoßend, dauon gehnd Jars vff Martini der Statt bod. Zins 2. lb 9 ß 10 d hieher angeschlagen vmb 50. lb vnd were der Khauff vber solche beschwerd. die der Kheüffer vff sich genomm. geschehen vmb 125. pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Wolff Rudolff Schoner ehevogt Catharinæ April Brosier dochter und Lazarus Himmel auch ehevögtl. Weiß haben in gegensein des kauffers (…) Actum Sambstags den 30. Octobris Ao 1615.
Originaire de Brégence (Bregenz, dans le Vorarlberg), le cordonnier Henri Vogt achète le droit de bourgeoisie le 8 février 1592
1592, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 556
Heinrich Vogt von Pregütz d Schuhmach. Kaufft daß Burckrecht mit beistand Gabriel Blumen Rhatsverwandt vnd will Zu den Schuhmachern dienen. Act. 8. feb. A. 92.
Il épouse l’année suivante Marie, fille de Jean Betz, de Reutlingen.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 182 n° 539)
1593. Domin. 1. Trinitatis. Heinrich Vogt, der Schuomacher, vnd Maria Hans Betzen von Reitlingen nachgelaßene dochter, eingesegnet 24. Junÿ (i 196)
Henri Vogt meurt sans enfant en 1616. Georges Gudensohn, de Bezau (Bentzenauw) dans l’arrière juridiction de la forêt de Brégence (hinterer Bregenzerwald) recueille au nom de sa femme Dorothée, sœur du défunt, la succession dont la veuve a la jouissance viagère. Il charge son parent Jacques Gudensohn (Gesensohn), maréchal ferrant à Strasbourg, de racheter les droits dont la veuve a la jouissance. Les Quinze décident d’appliquer le règlement sans dérogation.
1617, Protocole des Quinze (2 R 45)
(f° 82-v) Sambstags den 5 Aprilis – Georg Gudensohn Ca. Stall weg. Abzugs frembder erben – Heinrich Vogten erben. 83
Georg Gudensohn vonn Bentzenauw auß den hindern Pregentzer Waldt sampt einem beÿstand, welcher aber nicht benant worden, erschienen, vnd vbergibt p. Lt. Bittlingern ein vnnterthänige Supplication, so verlesen worden, darinnen Würdt vermeldet, das in verschienenem 1616. Jar, ein allhiesiger burg. Heinrich Vogt der Schuhmacher verstorben, Keine leibs erben, aber sein Supplicanten eheliche haußfrau Dorotheam Vögtin sein leibliche schwester zu einer natürlichen erbin hinderlaßen, sich durch einen letzten willen verordnet, das sein Wittib den usum fructum seiner nahrung, vnd nach erloschenen Widems nüeß, Supplicant. vnd seiner schwester Kinder das eigenthumb haben sollen, Nun befindet such das Künfftig seinen Kindern 1076. lib. 5 ß 1 heller gebüeren würdt, deren sechs vnnd theils noch ohnerzogen, vnd schwehrlichen des falls erwarten können, sondern Inen nutzen vnd besser, wann sie Jetzund waß hetten, damit sie Zu handtwercken od. and.en ehrlichen handtierungen möchten gepracht werden, derentwegen er, mit seiner Obrigkeit vorred der Kinder Vögten vorwissen Crafft vonn denselben empfangenen vnd beÿ einem Ers: Kleinen Rhat producirten gewalts, sich mit Jacob Gudensohn burgern und hueffschmidt alhier in einen Kauff eingelaßen welcher beÿ Hilario Meÿgern verschriben, vnd dahien gerichtet. d. der keüffer allen Inventur vnnd anderen vncosten vff sich nehmen, vnd weÿlen die Widumbs nießerin noch ein rüwige fraw 1300. fl. à 15. batzen außzahlung soll vff welche Summam er daran auch mit den dreÿen des Stalls des abzugs halben sich abfinden wollen [f° 83-v] die Inen aber solchen ohnangesehen Conrad Dilgers Kleinen Rhats Verwanthen rechnung nach Welcher Ime Zugeordnet worden. Vber abzug Uncostens am Kauffschilling vber 1200 fl. nicht restiren würden, von der völligen Summ derr 1076. lib. abgefordert. Wann er dann ein armer gesell, seine Kind. außer dißem fall wenig Zum besten, auch albereit vil vff reißen gang, der nachlaß allhier verpleibt, vonn der Nießerin die gebüer darvon erstattet, vnd deren Keüffer künfftig Zugeschriben würdt, Zu dem der Pfundzoll vonn dießem Kauff abzurichten vnd Jacob Gudensohn als seinem landtsmann, von seiner Obrigkeit alß er sein nahrung beÿ Irenen abgeholt allein vonn baaren geldt der abzug fünff vom Hundert, abgenohmen worden, So were sein underthänig Bitt, mein Hrn wollen Ime vnnd seinen armen Kindern die genat erzeigen, vnnd dero Verordneten vfm Stall bevohlen, das sie Ime den Abzug allein von den Jenigen Summen, die er allhier empfahet vnnd hienweg pringt, rechnen solle, &
heruff meldet Lt. Bittlinger ferner mündlich wann meine Hrn in die narata der Supplication Zweiffel setzen solten, So kondten sie Conrad Dilgern, welcher Jetzund eben ohne das in der Kleinen Rathstuben selbs darüber hören, Vnnd weÿl Supplicant allein dißer sachen halben sich mit vertrosten allhier vffhalten thut, bitte er desto mehr umb befürderung. Erkant, vnnd last man die dreÿ des Stalls beÿ Irer habenden ordnung verpleiben, welches Jenen auch angezeigt werden soll.
[in margine :] Ist dem Stallschreiben angezeigt den 7. Aprilis 1617.
Le cordonnier Gaspard Merckel dépose un capital à la Tour aux deniers au nom de Marie Betz, veuve de Frédéric Vogt
1617, Préposés au bâtiment (VII 1332)
Vogteÿ geldt angelegt, Heinrich Vogt des schuemachers Wb. 27.
(f° 27-v) Caspar merckel schumach. als vogt Marie betzin, weiland Heinrich Vogt des schuemachers s. W. hat angelegt 50 h d.
derselben verkaufft 2 h 5 ß d geltts vff mathis tag fallende. Zugeschriben folio 314.
Gaspard Mercklé loue au nom de Marie Vogt une partie de la maison au marchand Frédéric Jacques Stahl. Le bail est conclu pour le restant de la vie de la bailleresse.
1624 (ut spâ [xxviiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 58-v
(Inchoat. in Prot. fol. 45.) Erschienen H. Friderich Jacob Stahl handelßmann burger Zue Straßburg
hatt in gegensein Caspar Merckhle schuhmacher burgers Zue Straßburg Alß vogt Marien Betzin Weÿlandt Heinrich Vogt schuhmachers Witwen bekandt,
daß er Stahl Ihme & Von gedachter Marien Betzin so lang sie Im leben sein würdt, denselben Ihren gaden Vnden Ane dem Vischmarckh gegen der Möhrin Zunfftstuben über, neben Isaac Borsten ein vndt Ands. neben Paul Helbeckhen bed. Messerschmiden gelegen, Inn den Messen Allein Zugebrauchen, entlehnt vndt bestanden hatt, für Vndt Vmb ein Jährlichen Zinß nämlich xxij lb
Les héritiers de Frédéric Vogt et de Marie Betz, soit Jacques Gesensohn qui a racheté les droits de succession du mari et du côté de la femme Marie Kehrer femme du cordonnier Sébastien Hueter et Scholastique Bentz femme de Jacques von Mutzig, vendent la maison au boulanger Jean Rauscher et à sa femme Apollonie Nortz.
1625 (letzten Jan:), Chancellerie, vol. 454 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 159-v
Kauffverschreybung hannß Rauschen deß Weißbecken vber sein hauß
(Extendirt wie Im Contractbuch de Anno 1624 folio 145. zubefind ) Erschienen Heinrich Vogten deß schuhmachers vnd Maria Betzin beeder Ehegemechdt vnd burgere alhie nachgelaßene Erben mit namen Jacob Gößesohn der hufschmidt vnd Anna Nägelin sein eheliche haußfraw alß an stat ern.ts. Vogten see: Erben so alle frembd, vnd sie ersternannte beede Ehegemechdt von ersternten Vögtischen Erben (weil obgemelte Maria Betzin von auch obgedachtem ihrem haußwürth, all deßelben verlaßenschafft ad dies vitæ Zunüeßen gehabt) ihr deßorts anerstorbenen Erbfalls halben außgekaufft, wie dann solcher Außkauff den 5. Aprilis 1617. beÿ hilario Meÿgern dem Contract Noto. v.schrib. word. So dan Maria Kehrerin mit beÿstandt ihres haußwürts Bastian Hueters deß schuemachers alhie, vndt Scholastica Beltzin mit beÿstandt hannsen Jacob von Mutzig ihres haußürths, bekand
in gegensein hanß Rauschen deß Weißbecken alhie vnd Aureliæ Nartzin seiner ehewürthin
daß er Gösensohn vnd sein haußfr. ihren abgehörter maß an sich erkaufften Zweÿen, Sie Maria Kehrein vnd Scholastica Betzin aber ihren von mehrgedachter Maria Betzin ererbten dritentheil ane hernach specificirter behaußung (verkaufft haben)
Eine Behausung alhie am vnd.n fischmarck gegen der Zunfftstuben Zur Mörin hinüber, einseit neben Paul helbeck dem schwerdtfeger, 2.seit Isaac Borsten dem Meßerschmidt. hind. vff den Ulmergrüen stoßend gelegen, dauon gehen 2 lb 9 ß 10 d. Bod. oder Allmendt Zinß d. St. Straßb. Jahrß vff Martini sonst eÿg. Vnd ist der Kauff vber ietzangeb.ne beschw.d so der Keüffer vff sch genohmen geschehen p. 1700 Pfund
Geschehen in besein H Caspar Merckels alten g. Rhats v.wanthen vnd H Daniel Strintz. Notÿ. vff der v.keüffern So dann deß Käuffers seiten ohl Christmann deß jüngern gartners vnder wagners sein Schwehers vnd Peter Berner deß schusters den letzten Jan: 1625.
[in margine :] Erschienen Anna Negelin hieringemelts Jacob Geßensohns hinderlaßene wittib anietzo hanß Christoph Küstners eheliche haußfrau mit beÿstand hanß Walters Ihres Kind. Vogt hat in gegensein hanß Rauschers deß Kaüffers bekant (…) Actum den 28. Octob. 1633.
Originaire de Hohengœfft, Jean Rauscher devient bourgeois le 30 janvier 1623 par sa femme Aurélie, fille du jardinier Jacques Nortz
1623, 4° Livre de bourgeoisie p. 51
Hanß Rausch von hohengefft d. Weißbeckh Empfangt d. Burg.recht von Fraw Aurelia Jacob Nortz deß Garttners vnd.den wagnern eheliche Tochter vnd Wüll Zu den Beckh. diennen. Actum den 30. January Ao 1623.
Un enfant naît en novembre 1623. La mariage ne semble pas célébré à Strasbourg
Baptême, cathédrale (luth. f° 270-v)
1623. Donnerstag 13. 9.bris. Paren. Hans Rausch der weisbeck vnd Aurelia. Inf. Anna Maria. Comp. Niclas Kochen, Anna Jörg Dambachs fraw, vnd J. Susanna Conrad binders tochter (i 275)
Jean Rauscher dans les registres des Quinze et des Conseillers et Vingt-et-Un (à faire)
1631, Protocole des Quinze (2 R 57)
Hanß Rauscher. 164. 172. 195. 201. 214.
1635 Conseillers et XXI (1 R 118) Jacob Rauschers Erben. 62. [page fausse]
1637 XV (2 R 62)
Hanß Rauscher. 127. [der Beck, frembder Erbfall, Abzug]
Jean Rauscher meurt en 1636 en délaissant des héritiers collatéraux, ses frères Laurent Rauscher de Westhoffen, Thiébaut Rauscher de Hohengœffr, Georges Rauscher de Marlenheim, la fille de Quirin Rauscher, les deux enfants de Thiébaut Burger et d’Odile Rauscher de Zeinheim, les quatre enfants de Jean Fritsch et d’Anne Rauscher de Lochwiller. La succession comprend la maison et une porcherie hors les murs. Les frais de construction à la charge de la communauté s’élèvent à 300 livres. La masse propre à la veuve est de 709 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 633 livres, le passif à 924 livres.
1636 (24. 8.br), Not. Oesinger (David, 37 Not 5) n° 4
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeder liegendt v. fahrend. haab Nahrung v. Güther, So Weÿland d. Ehrengeachte Hanß Rauscher geweßener Weißbeck. v. burg. allhie Zu Straßb. nach seinem tödlich. v. seelig. abscheidt aus dieß. weltt verlaßen vndt auf bescheh. begehren erfordern v. ansuch. des Ehenvest. fürsichtig v. weÿß. herrn Johann Georg Marbachen E. E. Vogteÿgerichts alhier beÿsitzers als erbettenen beÿstandts Lorentz Rausch. Diebo von Westhouen, Dieboldt Rauschen von hoh. Göfft, Georg Rausch. von Marlenheimb, Aller dreÿ des verstorbenen sehl. nachgelaßener brüdere, So alle selbsten Zugegen, Item Annen, Quirin Rauschen geweßenen burgers Zu Veßenheimb mit Salome N. ehelich erzeugten Töchterlins vndt mehrbemelten verstorbenen sehl. bruders Kindt, Item Hanß. v. Dieboldts beed. brüd. Otiliæ Rauschin mit Wendlings Dieboldten burgern Zu Zeünheimb, So dann Catharinen, Margareth, Jacob. vndt Lorentzen Aller vier geschwistrigen Annen Rauschin mit Hanß Fritsch burgern zu Lochtweÿler ehelich erzeugter vndt obgedachten hanß Rausch. sehl. hinderlaßener Schwester Kinder vndt ab intestato rechtmäsig. gesampter Erben /:In welcher Kinder Nahmen oberwehnte dreÿ brüder, Alß derselben nechste Verwanthe auch erschinnen:/ fleißig Inuentirt, ersucht, durch die Ehren vndt tugendsame Fr. Aureliam Nartzin die hinderlaßene Witwe mit beÿstandt deß Ehrsammen vndt bescheidenen Mathiß Hüegels deß Weißbecken Auch burgers Zu Straßb. Ihres geordneten v. geschworenen Vogts (…) Bescheh. Inn beÿweß. Persönlich. deß Ehrenvesten,vordt weÿß. H. Daniel Steinbock E E Kl. Rht. allhier Beÿsitzers von d. Wittiben erbettenen beÿstandts Montags d. 24. Octobris Ao 1636.
In einer Behaußung In der Statt straßb. vnd. an d. fisch Marckh gegen d. Zunftstuben Zur Möhrin gelegen, so in diße Verlaßenschafft gehörig, vndt hernach specificirt wirdt, Ist befunden worden wie volgtt
Vff der Oberst. bünen, Vff d. 2. bod. Vff d. 3. bod. In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. Cammer C, In d. Cammer D, Im Nebens Cämmerl., Vor der Cammer D, In d. Ober Stuben, Im Haußöhrn, In d. vndsten Wohnstuben, Im Vnd. haußohren, Im Keller
Eÿgenthumb Einer Behaußung so Theilbar. It. eine behaußung, hoffstatt vnd höfflin sambt allen andern Ihren gebeuwen, begriffen, weÿth. Zugehörd. vnd gerechtigkeiten vnd. an dem Fischmarckh geg. der Zufftstuben Zur Mörin hinüber mit einer seiten neben Paul hölweckh dem Schwerdth feger mit der andern seith neben H Isaac Beücheln dem Lederbereiter geleg. hind. vff d. Ulmergraben geleg. Dauon gehendt 2. lb 9 ß 10 d. It. von dem wetterdach 5 ß, So dann 5 ß von dem brodlad. Gemeiner Statt Bod. vndt Allmendt Zünß, Sonsten allerdings freÿ ledig vnd eigen, welche behauß. hiehero über Jetzt specificirte darauff stehende beschwerd. æstimirt und angeschlag. word. für vnd vmb 1700. lb. Darüber sagt ein Teutsch Pergamentener Kauffverschreib. mit der Statt Straßburg anhangend. Kleinern Insigel verwahrt, deren datum Sambstags den 5. Monats tag Februarÿ Im Jahr alß man nach Christi Jesu vnßers einig. Erlösers geburth Zalte 1625. signirt mit N° 1 Inhaltendt vnd außweißendt welcher gestalt hanß Rausch selige obbeschribene behauß. von weÿland Heinrich Vogten des Schuemachers vnd Mariæ Betzin beed. ehegemecht selig nachgelaßenen Erben erkhaufft. Darbeÿ noch Andere vnderschiedliche Latinische vnd Teutsche Pergamentene Kauffverschreibung, Spruch: vnd hüttenbrieff, wie auch vergleichung.
It. j. Schweinstall sambt j. gärtlin daran zwisch. d. Jud. und vischer Thor, hind. d. habermüelen (…)
Ergäntzung der Fr. Wittib unveränderten gueht (…) It. ist der Fr: witwe auch für das Jenige So Sie von Agnes Ohlin Ihrer Großmuter selig Zum Sübend. theil ererbt (…)
It. ist Ihro In Ergäntzung Zu bring. d. Jenige So Sie von fr. Maria Rhötin Ihres vatters selig. voriger haußfr. ererbt (…)
Abzuschreiben (…) It. ist Sie In Abtheillung Jacob Nartz des Gartners Ihres Vatters selig. Verheurathet mit Ihrem bruder Hanßen (…)
Baw Costen So Theilbar. Item es Ist Inen hieuorbeschriebener Behausung verbawen vnd verbeßert word. So hiehero Zusetzen, benantlich. 300. lb
(Der Wittiben Erbin Vermögen) Sa. haußraths 107, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 7, Sa. guldener Ring 10, Sa. Guths Ergäntzung 513, Sa. Schulden 85, Summa summarum 724 lb – Schulden, Nach solchem abzug 709 lb
(Theilbar) Sa. haußraths 146, Sa. Werckzeug 2, Sa. Früchten 93, Sa. Lähren vaßen 35, Sa. Brennholtz 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 59, Sa. Guldener Ring 5, Sa. Baarschafft 1076, Sa. Behaußung und Gärtlins 1815, Sa. bawcostens 300, Sa. Schulden 95, Summa summarum 3633 – Schulden 924, Nach deren Abzug 2698 lb
Conclusio 1619 lb – Summa finalis 3333 lb
General Theilbuch, Inhaltend vnd außweißendt, Welcher gestalt nach absterben weÿland H hanß Rausch. geweßenen weißbecken vnd burgers allhier vnd fr. Aureliä Nartzin seiner hinderlaßener wittibin nunmehr auch seel. deroselben beed. Verlaßenschafft vnder Ihren beiderseits Erben vertheillt, auch sonsten deßweg., abgehandelt v. verglich. word. vffgericht Anno 1637. (…) Vndt dann die Ehren vnd Tugendsame Fr. Aurelia Großin weÿl. des Ehrsamen Christmann Ohlen des Eltern geweßenen burgers v. Gartners allhier seel. nachgelaßene witwe obberührt Aureliä Nartzin seel. Mutter v. p. Testamentum nuncupativum instituirte eintzige Erbin Zum 3. theil mit beÿstand Jacob Jud. deß ältern auch Garthers vnd.wagner Ihres geschwornen Vogts Andern theils
Les héritiers de Jean Rauscher vendent la maison au boulanger Georges Kilian
1637 (8. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 455
(Protocollat. fol. 51.) Erschienen weÿ: Hannß Rauschers deß Weißbecken alhie und Aurelia Nortzin beed. Ehegemechden see: nachgelaßene Erben, mit namen Lorentz Rauscher von Westhofen, Item Diebold Rauscher von Hohengöfft und Georg Rauscher von Marlenheim, alle dreÿ gebrüedere für sich selbst, Mehr Hannß Fritschen Zu Lochweiler, mit Anna Rauschin seel. erzeugter Vier Kindern Vogt Zacharias Sennwig Küeffer Von Maurßmünster, Item Michel Burner von Zeinheim, Alß vogt weÿ: Wendlings Diebolden mit Ottilia Rauscherin s: erzeugter zweÿer Kinder, Item Quirin Rauscher Zu Vessenheim nachgelaßener dochter Vogt Hannß Rhein daselbsten, diße Zum zweÿtentheil, So dann Aurelia, weÿ: Ohl Christmanns deß gartners Vnderwagner wittib, mit beÿstand ihres Vogts, Jacob Juden auch gartners daselbsten zum dritentheil (verkaufft)
Georg Kilian dem Weißbecken burgern Zue Str. So Zugegen
Ein Vorder und Hinderhauß, hoffstatt und Höfflin, mit allen andern ihren gebäwen & gelegen alhie am Vndern Fischmarckt, gegen der Zunfftstub Zur Mörin Hinüber neben Paul Helbick dem Schwerdtfeger && Isaac Büchel dem Lederbereiter hinden vff den Ulmer graben stoßend, dauon gehen Jährlich vff Martini 2. lb. 9 ß 10. s Bodenzinß hiehero für 50. lb. Capital gerechnet, Item von dem wetter dächlein 5 ß, So dann von dem Brottladen 5 ß Allmendt gelts, der Statt Straßburg sonst freÿ ledig eÿgen. Undt were dießer Kauff, darinnen auch alles Schiff und geschirr zum Becken handwerck gehörig begriffen, Vber die beschwerden, so der Käuffer über sich genommen, geschehen für und umb 2100 Pfund
Darbeÿ geweßen Herr Johann Georg Marbach großen Rhats v.wanthen, Hanß Kilian der Schneid. deß Käuffers Brud. und hanß Bandel der Grempp
[in margine :] Erschienen weÿl. Aureliæ Goßin Erb. mit nahmen Hannß Gob der Küeffer alß Ehevogt Mariæ Nartzin, Item hannß Kuortz, Gartner ahne Steinstraß, alß Ehevogt Agneß Nartzin, vnd dann Wolff Reubel Gartner und. wagner alß vogt Hannß Nartzen, haben in gegensein Georg Kilian deß Weißbeckh. alß Keuffers (…) quittirt Act. den 21. maÿ a° 1642.
Fils du boulanger Georges Kilian à Colmberg près d’Ansbach en Franconie, Georges Kilian épouse en 1626 Marie, veuve du boulanger Jean Dautel.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 146 n° 31)
1626. Dominica XXIII. Trinit. I. vice. Georg Kilian der weißbeck von Collenberg in der Marggrafschaft Anspach gelegen bürtig, Geörg Kilian deß Becken vnd burgers daselbsten ehelich sohn, vnd Maria, Hans Daudel deß weißbecken vnd burgers allhier hinderlasene Wittwe. Mont. post 24. Trin. Zu S. Claus (i 159)
Originaire de Bouquenom, Jean Dautel épouse en 1622 Marie, fille du cordonnier Matthieu Rad.
Mariage, cathédrale (luth. f° 129)
1622. Dominica Invocauit 10. Martÿ. Hans Dauttel der weißbeck von Bockenheim und J. Maria Matthes Radts des Schuhmachers n. tochter, eingesegnet Montag 18. Martÿ (i 69)
Georges Kilian (ici Gelian) devient bourgeois par sa femme Marie veuve de Jean Dautel en novembre 1626.
1626, 4° Livre de bourgeoisie p. 90
Georg Gelian von cölnberg Marg: Enoltzbach obrigkeitt seines handtwercks ein weißbeckh empfangt d. Burg.recht von Maria weÿlandt hanß Daudelß deß weißbeck. vnd Burgers Alhier hind.laßener wuttib will beÿ den Beckh. Zünfftig sein, den 28. 9.bris aô 1626.
Georges Kilian se remarie en 1639 avec Esther Straub, veuve du charpentier Sébastien Hamm
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 105-v n° 6)
1639. Domin. Reminiscere 10. Martÿ. Geörg Kilian d. Weißbeck Und burger alhier und Esther Straubin Sebastian Hammen gewesenen Zimmermanns Vnd Waßermeisters alhier Wittib. Zinst. 19. Martÿ Zu S. Claus (i 219)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 45) 1639. Dnca Reminiscere 10. Martÿ. Geörg Kilian der Weißbeck vndt burger alhier, Esther Sebastian Ham gewesenen Wassermeisters nachgelaßene Wittib. Zinst. 19. Martÿ St. Claus (i 46)
Sébastien Hamm épouse en 1634 Esther, veuve du journalier Nicolas Eyerich
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 24-v) 1634. Dominica IX. post Trin. Sebastian Hamm d. Waßermeister alhier, Esther, Claus Eyehrich deß tagners nachgelaßene Wittib, 17. Augusti (i 26)
Nicolas Eyerich épouse en 1629 Esther, fille du cordonnier Georges Straub de Wissembourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 99) 1629. Dom. VI. Trinit. 12. Julÿ. Clauß Eÿrich der Tagner vnd burger alhier vndt Esther Jeorg Strauben selig gewesenen burgers vnd schumachers Zu Weisenburg nachgelaßene tochter. Cop. 21. Julÿ Zu J. St. Peter (i 51)
Nicolas Eyerich épouse en premières noces en 1623 Ursule, fille du musicien Jean Freytag, originaire de la juridiction d’Ansbach.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 161)
1623. Dominica post Circumcis. Clauß Eyerich der tagner hanß Eyerich deß tagners allhier ehelich Sohn, Ursula, Hans Freytag deß Spielmans Zue ußerlpurg* dem Marggraffen Von Anspach Zugehörig nachgelaßene tochter. 13. Jan. (i 166)
Le tailleur Jean Kilian et le boulanger Georges Kilian s’accordent au sujet de la succession de leur père Georges Kilian à Colmberg
1634 (7. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 475-v
Zuwißen, daß in der Cantzleÿ der St. St. vor dem zu den Contracten insonderheit verordnetem Notario erschienen hanß Kilian der schneider und desselben Bruder Georg Kilian der Weißbeck beede burgere alhie,
haben in gegensein weÿ: Georg Kilians gewesenen Becken see: zu Colmberg frst. Marggräfischer Onoltzbachischer Jurisdiction ihres Vaters see: Jüngern Kindern vnd respectiué ihrer Miterben abgeordneten Machtboten hanß Kernen von Rotenburg Auf der Tauber, angezeigt und bekannt
demnach sie beede Brüder erwehnten ihren Mit erben zu besagtem ihres in Gott v.storbenen Vatters Verlaßenschafft Abtheilung beschrieben word., vnd Sie aber nit allein wegen ferne des wegs sondern auch vnd meistentheils der ietzigen mehr alß gefahrlichen leüffen beschwehrlichen kriegs und theürren Zeiten halben ihnen zureisen vnd das wenige, so ihnen vber abzug der Schulden auß dem Erb, noch an Vätterlicher Erbschafft gebüren möchte, Abzuholen gantz unthunlich, mißlich* und unrahtsam befunden, daß hierauff Er Hanß und Georg die Kilian gebrüederen vff alles daß jenigen so ihnen von gemeltem ihrem lieben in Gott ruhenden Vater see: erblich angefallen sein möchte (…)
Le receveur de l’hôpital cède à Ulric Koch un capital garanti sur la maison de Georges Kilian
1659 (17. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 733-v
Erschienen H Johann Friderich Schied alß Schaffner deß mehrern Hospitals
in gegensein H Ulrich Kochen Kleinen Rhatsverwanthens
in solutum cedirt habe 200. lb vermög der am 18. april a° 1657. in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteter und in deß mehrern Hospitals registrand. D. de a° 1645. & seqq. fol. 245. fac. 2. befindlich. Pfrund Verschreibung, vff Georg Kilians deß Weißbeckhen alhie am undern Fischmarckh gelegenen Behaußung hafftend. Capitals
Vente par les enfants et héritiers de Sebastian Hamm et d’Esther Straub, remariée à Georges Kilian.
1662 (6. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 531-v
Erschienen Bastian Hamm der Zimmermann für sich selbst, hannß Jacob Möhrer der Duchscherer alß Ehevogt Ursulæ Hammin, Vnd Ester Georg Kilians deß Weißbeckhen Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, alle im nahmen gemelt und Zugleich weg. Michael Hammen deß Wafenschmidts Zu Schwäbisch hall für daß. sie de ratihabitione cavirten /:alß Weÿl. Sebastian Hammen deß ältern geweßenen Zimmermanns nunmehr seel. nachgelaßene Wittib Kind. und Erben:/
in gegensein H. Johann Marcelli Schenckh Schaffners zu Allerheilig. im nahmen deß Freÿ Reichß wohl Edelgebohrnen H. Blasÿ von Müllenheim deß beständigen Regiments der herren Fünffzehn
daß Sie demselben für ihrer beÿ Jacob Nöppel Zu Kolbsheim hindergestandenen Achtzig Viertel waÿtz. hauß baw Cost.
Georges Kilian meurt le 16 juin 1666 en délaissant un fils de son premier mariage avec Marie Rod et deux enfants de son deuxième mariage. Les experts estiment la maison à 1 325 livres. La masse propre à la veuve est de 265 livres, celle des héritiers de 753 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 093 livres et le passif à 817 livres.
1667 (2.3.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 20) n° 6 (979)
Inventarium vndt beschreibung aller hab nahrung vndt güetter, so weÿland der Ehrenthafft Herr Georg Kÿlian geweßener weisbeckh vndt burger alhie Zu Straßburg, welcher den 16. Junÿ verwichenen 66.ten Jahrs tödlichen verblichen, hinderlaßen, So vff erfordern vndt begehren des verstorbenen herrn seeligen per Testamentum instituirter vnnq ane nachgemelten folio benambsten Erben durch die viel ehren vndt tugendreiche frau Ester Straubin die hinderlaßene wittib mit beÿstand des Ehrenvesten fürsichtig und weißen herrn Johann Israel Fausten eines Ehrsammen großen Rahts beÿsitzers, dero geordnet und geschworenen Vogts, geeygt vnd gezeigt (…) Actum den 13.ten Augusti Anno 1667.
Der Verstorbene herr seeliger hatt per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehrenhafften herrn Jacob Kÿlian barcheret Kremern und burgern alhie des Abgeleibten herrn seeligen Inn erster Ehe mit weÿland der viel ehren vndt tugendreichen frauwen Maria Rohtin selig erzeigten vnd hinderlaßenen Sohn mit beÿstand des Ehrenvesten herrn Nicolai Reben Notarÿ Jurati
2. weÿland Ester Kÿlianin mit auch weÿland Andrea Ebingern geweßenen Kueffern ehelich erzeügtes vndt verlaßenen döchterlin, Martha genandt, deßen geordneter vndt geschworner Vogt den Ehrenhafft Hanns Georg Bernegger Schuemacher vnd burger alhie, So dem geschäfft Inn persohn beÿgewohnt
3. den Ehrsamen vndt bescheidenen Georg Kÿlian, ledigen weißbeckhen, deßen geordneter vndt geschworner vogt der Ehrenvest fürsichtig vndt weis herr Hanns Hamm weißbeckh vndt eines Ehrsamen Cleinen Raths beÿsitzer, welcher dem geschäfft beÿgewohnt, beede des Inn Gott ruhenden herrn selig *der hind.laßenen fr. ehelich erzeugten dochter und Sohn, Alle dreÿ des verstorbenen herrn seel. per Testamentum instituirte Erben
Eheberedung den 5. martÿ 1639.
Inn einer Inn der Statt St. vff den vndern Fischmarck gelegenen vndt In diße Nahrung gehörigen beh. ist befunden worden wie volgt
Ane haußraht, Auff d. obern büenen, Inn d Cammer A, Im hindern Stock, Inn d Cammer B, Im vordern Stock Inn d Cammer C, Inn d Cammer D, Inn der Cammer E im hindn stockh, Inn der obern Stuben, vor der Stuben, Inn der vndern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb ane Haüsern (E.) Item ein vorder vndt hinder haus hoffstatt vndt höfflein mit allen andern ihren gebeüwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten vndt gerechtigkeiten, gelegen Inn der St St ane den vndern Fischmarckh gegen der Zunfft Stuben Zur Möhrin hienüber einseit etwann neben herrn Paul Hellwig dem Schwerdtfeger vndt Alten großen Rahtsbewanthen, Jetzo Herrn Josia Gernern dem handelsmann, Anderseit herrn Johann Beücheln dem handelsmann hinden vff den vlmergraben stoßendt, davon gehet Jährlichen vff Martini 2 lb 9 ß 10 d bodenzins Inn hauptguet für 55 lb d gerechnet, Item vom wetterdächlin fünff schilling pfenning,vndt von dem brodt laden fünff schilling d allmendt gelt Alle dreÿ posten de Statt Str: sonsten ledig vndt eÿgen vndt uber obgemelte beschwerden æstimirt per 1235 lb
Davon gehet wider ab so wehrender Ehe Aurelia Rauscherin weÿland Ohl Christmanns gewesenen garttners vndderwagnern nachgelaßener wittib vndt dann hanns Reiners von feßenheim als vogt Weÿland Quirin Rauschers seelig. dochter vor darauff gestandenes capital bezahlt worden 650 lb d. Welche hernacher folio (-) vor eine theilbare beßerung eingetragen, Pleibt demnach Ane obgemelten Anschlag noch vberig benantlich 585 lb
Darüber sagt i. pergamenter Kauffbrieff mit d. Statt Str. Contract Innsiegel verwahrt datirt den 8.ten Maÿ Anno 1637. m. alten N. 1 notirt vndt dabeÿ gelaßen
(T.) Theilbare Beßerung ane der Erben unveränderten behaußung (…) 650
(E.) It. eine behs. mit einem hinderhaus Im golldgießen (…)
Schulden aus dem Erbe Zugeltend – Item Vermög Inventarÿ vber weÿl. Estern Kylianin Auch weÿl. Andreä Ebingers geweßenen bierbrauers haußfr des abgeleibten deßes Ehe erzeugten dochter Inn den Ehestand Zugebracht (…)
Ergäntzung der fr. Wittib unveränderten guets. It. vermög einen In der alhiesiger Cancelleÿ Contract Stuben d. 6.ten Octob. 1662. vffgerichteten Verschreibung (…)
Ergäntz. der Erben unveränderten Guts, Inhalt Inv. über des Abgeleibten H. seel. In den Ehestand Zugebracht durch Weÿl. Petrum Gündel Notarium Inn Anno 1639 vffgericht
Abzug in dießes Inventarium. Der Fr. Wittib unverändert Gutt, Sa. haußraths 36, Sa. Silbergeschirrs v Geschmeidts 17, Sa. Goldener Ring 5,Sa. Ergäntzung (208, Abzug 2, Pleibt noch) 206, Summa summarum 265 lb
Der Erben unverändert Gutt, Sa. haußraths 43, Sa. Silbergeschirrs v Geschmeidts 15 ; Sa. Eigenthumbs ane häußern 753
Sa. Ergäntzung (1083, abzug 596, Pleibt noch) 486, Summa summarum 1280 lb – Sa. 396, Nach deren Abzug 884 lb
Theilbar Gutt, Sa. haußraths 100, Sa. Früchten, Meel vndt Werckzeug Zum becken handwerckh gehörig 123, Sa. Wein vndt lährer Vaß 4, Sa. Silbergeschmeidts 3, Sa. Guldener Ring 4, Sa. baarschafft 51, Sa. Beßerung ane der Erben unveränd. häußer 800, Sa. der Schulden 3, Summa summarum 1093 – Schulden 817, Nach deren Abzug 275 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1621 lb
Species Facti
La maison revient ensuite au fils du deuxième mariage Georges Klilan qui épouse en 1668 Barbe, fille du boulanger Michel Roth
Mariage, cathédrale (luth. f° 103, n° 30)
1668. Dom. 9. post Trin. Zum 2. mal Georg Kilian der ledige Weißbeck, Weiland Georgÿ Kilian deß gewesenen Weißbecken u. Burgers alhier nachgelaß. ehel. Sohn, Jfr. Barbara Michael Rothen auch Weißbecken u. Burgers alhier ehel: T. Montags den 27.ten Julÿ Münster (i 105)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 280, n° 13) 1668. Dom. 10. et 11. Tr. Geörg Kilian der Weißbeck, weÿl. Georgÿ Kilian deß gewesenen weißbeck. vnd Burg. hind.laßener Ehelicher Sohn, Und Jungfr. Barbara Michaelis Roth. deß Weißbecken vnd burgers alhier, eheliche Tochter, Cop. im Münster den 27. jul. (i 298)
La veuve se remarie en 1684 avec le boulanger Isaac Jund
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 28 n° 26)
1684. Domin. XX & XXI Trinit. Isaac Jundt der Burger und ledige Weißbeck alhie Hr. Johann Jundt deß burgers und Weißbecken alhier ehelicher Sohn undt Barbara, wÿland Georg Kilians des burgers und Weißbecken alhier nachgelaßene Wb. Copul. Zu St. Niclaus d. Mont 13/23. 8.bris (i 29, proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 312 i 326))
Les trois enfants de Georges Klilan (le compagnon Georges Klilan et ses deux sœurs) louent la maison boulangerie à leur beau-père Isaac Jund
1691 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 704-v
H. Georg Wagner, E:E: kleinen Raths beÿsitzer und von wegen Georg Kilian deß ledig. beckenknechts, so in d. Frembden hierzu insonderheit deputiret, so dann hans Jacob Riedel der Haußfeurer, alß Vogt weil. Georg Kilian gewesenen Weißbecken nun längst sel. hind.laßene übrig. Zwo töchtere
in gegensein Isaac Jundten deß weißbecken, mit beÿstand Hn Jacob Luthers E.E. großen Raths alt. Beÿsitzers – Im nahmen ged. Kilianischen Erben ihme Jund. deren Stieffvatter
entlehnt, Eine becken behaußung mit allen deren Gebäuen und zugehördt. /:außgenomm. eine Cammer, so denen Verleihend. Vogts Kind. Zu ihren mobilien vorbehalt. wird:/ allhier am undern Fischmarckt einseit neb. H. Johann Büchel, dem handelßmann and.seit neb. H. Quinzar, dem handelßmann, geleg. auff dreÿ jahr lang von weihnacht. dieß jahrs anzurechnen, umb einen wochentlich. Zinß nemblich Ein pfund. für jede woch macht iedes Viertel jahr d. ist iede 13 woch. 13 pfund
Compte que rend le boulanger François Roth, tuteur de Georges Klilan, engagé dans les troupes en Flandre, fils de Georges Klilan et de Barbe Roth. La boulangerie est exploitée par Martin Hermann, mari de sa sœur Susanne.
1695, Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 3)
Rechnung Mein Frantz Rothen, Weißbeckhen vnd burgers alhier, alß geordnet vnd geschwornen Vogts Georg Kilians, des becken Knecht, so der Zeit inn Flandern In Kriegs diensten begriffen Weÿl. Georg Kilians, Geweßenen Weißbecken vnd burgers alhier, mit auch weÿl. Frauen Barbara Rothin, seiner haußfr. seel. ehelich erzeugten hinderlaßenen Sohns, Inhaltendt alles daß Jenige, Waß Ich vom 3. Maÿ 1693. da ich dieße Vogteÿ auffgeschwohren, biß den 18.ten 9.bris 1695. Inn allerhand Wege eingenommen, dargeg. wid. außgeb. auch sonsten Inn andere Wege Vögtlicher weÿs verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht dießer Rechnung. Zuwiß. demnach H Jacob Rädel, Schwartzbeck v. burger alhier, als geweßener vogt obernanten Meines Curandi, Wie auch Barbaræ vnd Susannæ Kilianin deßen Schwestern /:darund. aber Barbara sich noch beÿ des vorigen vogts leben verheirathet:/ Zu angang des 1693.ten Jahrs Zeitlichen Todes Verfahren, Ich darauff deßen stell obernandtem Georg Kilian vnd deßen Schwester Susannæ welche aber nunmehr auch verheurathet mit Hans Martin Hermann dem weißbecken, meinem Schwager (…)
Corpus meines vogts sohns Jährlich fallend Haußzinßes. Die Meinem vogtsohn vnd obgemelten beed. verheuratheten Schwestern Barbaræ und Susannæ Kilianin Zu 3. gleichen portionen Gehörige, In der Statt Straßburg ane dem vndern Fischmarckt Geg. der Zunfft stuben Zur Mörin Gelegene vnd ihnen beÿ Mütterlicher verlaßenschaffts abtheilung als ein respectivé vätterliches Guth assignirt vnd verglichener maß zugefallene becken behaußung, so der Zeit Johann Martin Herrmann dem Weißbecken ersternandter Susannæ Kilianin Ehevogt, verlühen, erträgt wochentlich vermög des mit ihme getroffenen vergleichs und gemachter lehnung Zwen Guldin, macht Jährlichen deß Jahr à 52. Woch.
Autre compte de tutelle, Georges Kilian est alors de retour à Strasbourg.
1696, Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 4)
Rechnung Mein Frantz Rothen, des Weißbecken als geordnet und geschwornen Vogts Georg Kilians, des sich anietzo alhier befindlichen ledig. becken Knechts, weÿl. Georg Kilians, geweßenen Weißbecken und burgers alhier, mit auch weÿl. frauen Barbara Rothin seiner haußfrauen seel : ehelich erzeugten hinderlaßenen Sohns, Inhaltend alles das Jenige, waß ich vom 18.ten Novembris. Anno : 1695. biß den 15.ten Aprilis Anno. 1696. obgemelts meines Vogtssohns halber inn verschiedene Wege eingenommen, dargeg. wid. außgeben auch sonsten in andere Wege vögtlicher weiß verrichtet und verhandelt habe. Zweite Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus meines vogts sohns Jährlich fallend Haußzinßes. Die meinem vogtsohn vnd deßen beed. verheuratheten Schwestern Barbaræ und Susannæ Kilianin Zu 3. gleichen portionen Gehörig : In der Statt Straßburg ane dem vndern Fischmarckt Geg. der Zunfftstub Zur Mörin Gelegene vnd ihnen beÿ Mütterlicher verlaßenschaffts abtheilung als ein respectivé vätterliches Guth assignirt vnd verglichener maß zugefallene becken behaußung, so der Zeit Johann Martin Herrmann dem Weißbecken ersternandter Susannæ Kilianin Ehevogt, verlühen, erträgt wochentlich vermög des mit ihme getroffenen vergleichs und gemachter lehnung 1 lb, macht Jährlichen deß Jahr à 52. Woch.
Barbe Kilian femme du boulanger Frédéric Braun, cède son tiers de la maison à son frère. En marge, acte passé quelques jours plus tard, par lequel Susanne Kilian femme de Martin Hermann cède le dernier tiers à Georges Kilian qui devient ainsi seul propriétaire de la maison
1699 (7.3.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 128-v
Barbara geb. Kilianin, Friderich Braunen, deß Weißbecken Haußfrau mit beÿstand deßelben
in gegensein Georg Kilian deß ledigen weißbecken, mit beÿstand Samuel Rothen auch Weißbecken deßen noch ohnentledigtenen Curatoris, Ihme Kilian Ihrem leiblich. bruder
Einen dritten theÿl für ohnvertheilt an einem Vorder: und hinderhauß, hoffstatt und höfflein, mit allen anderen deren Gebaüen, begriffen, weit. recht. Und Zugehördten, allhier an dem undern Fischmarck geg. der Zunfft Stuben zur Möhrin hinüber einseit neben weÿl. H. Josiæ Gerners gewesenen handelsmanns sel. wittib und Erben, anderseit neben weÿl. H. Johannis Büchels auch handelsmanns sel. hinderlassene Erben hinden auff den Ulmergraben stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehend jährlich auff Martini gemeiner Statt 2 lb 9 ß 10 ß bodenzinß, ferner von einem wetterdächlein 5 ß und von dem brodladen auch 5 ß allmendgeld Gemeiner Statt Pfenningthurn, So haben auch Isaac Jund der Verkäuferin und deß Kaüffers Stieffvatter annoch 300 lb widems Capital auff der gantzen behaußung zu genüßen – Zumalen dem Kaüffer ein dritter theÿl vorhin zuständig – umb 666 pfund
[in margine :] Susanna geb. Kilianin Martin Hermanns deß weißbecken haußfrau, in gegensein deß in vorstehenden Verschreibung gemeldten Georg Kilians, mit beÿstand wie daßelbst, an der hierin verschriebenen behaußung gebührend. eÿgenthümlich. dritten theÿl verkaufft, umb 825 pfund, den 2. Aprilis 1699
[in margine :] vorbemel. Martin Herrmann, So dann Susanna geb. Herrmänin sein Herrmanns leibliche Tochter mit beÿstand Christian Stengers Weißbecken ihres Ehe vogts (quittung), den 18. martÿ 1717
Georges Kilian et Marie Barbe Christianus hypothèquent la maison au profit du chaudronnier Jean Christianus, leur beau-père et père respectif.
1700 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 368
Georg Kilian der Weißbeck Und Maria Barbara geb. Christianußin mit beÿstand Hn Andres Röderer des Gerbers und Led. händlers und Andres Mentzers deß Kirßners, Ihrer Vettern [unterzeichnet] Gorig Killian, Maria Barbara Killianin
in gegensein Hn Johannis Christiani, deß Kupfferschmids, ihres respect. Schweher und leiblich. Vatters – schuldig seÿen 700 pfund
unterpfand, Eine vord. und hind. behaußung hoffstatt und höfflein mit allen deren gebaüen, Recht. und Zugehördt. allhier am Undern Fischmarckt geg. d. Möhrin über, einseit neben H. Isaac Gerners, gewesenen handelsmanns sel. wittib und Erb. and. seit neb. H. Johann Büchel, den handelsmann, hind. auff d. Ulmergraben stoßend geleg. Von welcher gantzen behaußung gehend jährlich auff Martini gemeiner Statt 2 lb 9 ß 10 d bodenzinß, ferner von einem wetterdächlein 5 ß Und von dem brod lad. auch 5 ß allmend geld gemeiner Statt Pfenningthurn
[in margine :] in gegensein Johann Michael Stahl, des Weißbecken, als proprietarÿ hievor verpfändter behaußung (Quittung), den 28. 7.bris 1745
Les experts estiment la maison à 1 750 livres en 1720 à l’inventaire dressé après la mort de Jean Georges Kilian. La maison est mentionnée à l’inventaire des apports dressé après le remariage de sa veuve avec le boulanger Michel Stahl.
Jean Michel Stahl et Marie Barbe Christianus hypothèquent la maison au profit du boulanger Frédéric Braun
1722 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 709
Johann Michael Stahl der weißbeck und Maria Barbara geb. Christianußin beÿständlich Christoph Christianus des Kupfferschmidts ihres bruders und Jacob Böckel des Rothgerbers ihres schwagers
in gegensein Friedrich Braun des weißbecken – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine weißbecken behausung mit dero zugehörden und gerechtigkeiten ahm Untern Fischmarckt einseit neben der Quinssardischen behausung anderseit neben Kaÿßer dem handelsmann hinten auff dem Ullwergraben – davob gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn ane bodenzinß 2 lb 10 ß
La tribu des Fribourgeois inflige une amende au boulanger Jean Michel Stahl pour avoir transmis un certificat d’hébergement non conforme. Jean Michel Stahl déclare que le séjour a été autorisé par le consul régent.
1736, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 24-v) Dienstags den 26.ten Junii A° 1736 – Johann Michael Stahl der Weißbeck citiret, wegen eines den 25.ten Apr. & c. überschickten straffbahren Nacht Zeduls, anerwogen Er darinnen nicht gemeldet woher die Persohn were, so Er logiret.
Ille præsens Sagt, Er habe den Nacht Zedul nicht selbsten geschrieben, sondtern Schreiben laßen, auch wegen der Persohnen, so er logiret, von Ihro Gn. den Regirenden Herrn Ammeister Erlaubnuß gehab.
Erkandt, Seÿe citatus pro nunc nur in 6 ß d Stradd Zu Condemniren Ihme aber auch die Nacht Zedul ins Künfftige nach Ordnung Zu Fertigen Sub arctiore zu injungiren.
Les experts estiment la maison à 1 900 livres en 1741 à l’inventaire dressé après la mort de Marie Barbe Christianus.
Les enfants et héritiers de Georges Kilian cèdent la maison à leur beau-père Jean Michel Stahl
1742 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 316-v
Johann David Kilian der haußfeurer vor sich selbst und als mandatarius H. Notarÿ Johann Daniel Papelier als theilvogts weÿl. Johann Georg Kilian des weißbecken dreÿ kinder Maria Magdalena, Anna Maria und Maria Salome der Kilianin, mehr Fr Maria Salome geb. Kilianin weÿl. Johann Altsdorff beÿständlich ihres schwagers Johann Michael Braun des Musici, mehr Johann Jacob Kilian lediger knopffmacher, ferner Fr. Maria Dorothea geb. Kilian erstgedachten Braunen ehefrau, mehr Jgfr. Maria Barbara Kilianin beÿständlich Johann Jacob Braun weißbecken und dieses letztern als vogt Johann Friedrich Kilian ledigen schwerdfegers, samtlicher erben weÿl. Johann Georg Kilian des weißbecken ihres respe. vatters und großvatters
ihres stieffvatters Johann Michael Stahl weißbecken, laut erkanntnus vom 23. maÿ jüngst obrigkeitlich confirmirten versteigerung
eine weißbecken behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und gerechtigkeiten ane dem unteren Fischmarckt einseit neben H. Sigmund Felckenhauer dem Stadt: schloßers und EE. kleinen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben weÿl. Fr. XV Quinsard erben, hinten auff den Ulwergraben – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lt 19 ß 10 ane bodenzinß – als ein respective groß: und vätterlichen erbguth – um 725 und 350 pfund verhafftet, geschehen um 1435 pfund
Jean Michel Stahl hypothèque la maison au profit du meunier Philippe Jacques Lauth
1742 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 318
Johann Michael Stahl der weißbeck
in gegensein Philipp Jacob Lauth des Dinsen: müllers EE. kleinen Raths beÿsitzers – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine am heutagen tag erkaufft und aus jetzigem vorschuß zum theil bezalte behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane dem unteren Fischmarckt einseit neben H. Sigmund Felckenhauer dem Stadt: schloßers und EE. kleinen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben weÿl. Fr. XV Quinsard erben, hinten auff den Ulwergraben – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb 19 ß 10 ane bodenzinß
Jean Michel Stahl meurt en 1755 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à la somme de 1 230 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 355 livres, le passif à 945 livres.
1755 (24.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1165) n° 942
Inventarium über Weiland des Ehren und vorachtbaren H. Johann Michael Stahl, gew. weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1755. – nach seinem Sambstags den 26. Octobris dießen Zu end eilenden 1755.gsten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorachtbahrn Herrn Johann Michael Stahl, leedigen Lang Meßerschmidts und burgers allhier, den der abgeleibte seelig mit weiland Frauen Maria Barbara Stahlin gebohrner Christianiin, seiner am 25. 7bris 1741. verstorbenenn Ehefrauen seelig ehelich erziehlet und ab intestato Zu seinem universal Erben verlaßen, inventirt (…) So beschehen Straßburg Montags den 24.ten Novembris 1755.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischmarck gelegenen und in dieße verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung. Neml. eine behaußung in Vorder und hindergebäu bestehend, hoffstatt und höfflein mit allen deren gebäuden begriffen weiten Zugehörden rechten und gerechtigkeiten allhier zu Straßburg ane dem undern fischmarckt gegen der E.E. Zunfft der Möhrin Zunfftstub über, 1.s. neben H. Johann Daniel Bär dem Goldarbeiter 2.s. neben H. Sigmund Falckenhauer dem Stattschlosser und E. E. großen Rahts alten beÿsitzern, hinten auf den Ullmer graben stoßend gelegen davon man Jährl. auf Martini dem allhießigen Pfenningthurn 2. lb 9 ß 10 d ane bodenzinß, ferner dahien wegen des Wetterdachs 5. ß und wegen des brodladens auch 5. ß zu lüffern schuldig, sonsten aber über solche real beschwerden und die hernach beschriebene passiv: Capital gegen männiglich freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) zu folg des zu mein Notarÿ Concept übergebenen Abschatzungs Zeduls vom 13.ten hujus angeschlagen pro 1250. lb. Abgezogen jene real beschwärde Zu doppeltem Capital ohnvorgreifflich gerechnet antreffende 120 lb, So restiren außzuwerffern 1130. Dieße behaußung und dero Zugehörde war hievor des abgeleibten seel. seinem Ehevorfahr weil. H Johann Georg Kilian dem gew. weißbecken und burgern allhier zuständig welche Er auf seiner Ehefrauen und vormaliger Kilianischen fr. We. eingangs gemelter Fr. Mariæ Barbaræ geb. Christianiin seel. absterben in Aô 1742. in der beÿ E. E. großen Rath vorgegangen Versteigerung erkauffet hat und ist der in allhießiger C. C. stub darüber verfertigte Kauffbrieff dermalen nicht vorhanden. Sonsten sagt darüber 1. teutsch. perg. Kauffbrief in allhies. C. C. stb gef. de dato 8.ten Maÿ 1637. mit a. N° 1 bemerckt, und dermahlen wieder dabeÿ gelaßen.
Widem Welchen der verstorbene seel. von weil. Fr. Maria Barbara Stahlin geb. Christianin seiner Ehefr. seelig bis ane einen todt
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach anleÿtung des über beder nunmehr durch den tod Zertrennten Eheleute Zugebrachte Nahrungen in A° 1722. durch Hn Notarium Christoph Michael Hoffmann auffgerichteten Inventarÿ
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Sa. haußraths 48, Sa. Schiff und geschirr Zum becken handwerck gehörig wie auch Meel und Kleÿen 21, Sa. Frucht 9, Sa. Weins und faß 16, Sa. Sibers 2, Sa. baarschafft 100, Sa. Eigenthum ane j.r behaußung 1130, Sa. Activorum 27, Summa summarum 1355 lb – Schulden 945, Nach deren Abzug 410 lb – Stall Summ 676
Son fils coutelier Jean Michel Stahl vend la maison à (son demi-frère) David Kilian et à sa femme Anne Salomé Dürrbach
1760 (27.9), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 288
H. Johann Michael Stahl der langmeßerschmidt
in gegensein David Kilian des weißbecken und Annæ Salome geb. Dürrbachin
eine behausung bestehend in vorder und hinter hauß, höfflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten am untern Fischmarckt gegen der Zunfft stub zur Möhrin hinüber, einseit neben Johann Daniel Bär dem goldarbeiter, anderseit neben weÿl. H. rathh. Falckenhauer wb. und erben, hinten auff den Ullwergraben – davon gehen auf Martini hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2. lb. 9. ß.10. d. ane bodenzinß, Item vom wetterdächlein 5 sch. und vom brodladen auch 5 ß – um 2750 pfund
Marie Salomé Ziegler veuve du boulanger Jean Jacques Karcher rompt ses fiançailles avec Jean David Kilian
1733 (16. 7.bris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 70) Varia
Requisition respective Declaration und Protestation In Ehe Verspruchs sachen Johann David Kilian des Ledigen weißbecken und burgers alhier Ca. frauen Mariam Salomeam Karcherin gebohrner Zieglerin weißbeckerin und burgerin allhier
Mittwoch den 16. Septembris Anno 1733 bin auff requisition und begehren des Ehrengeachten Johann David Kilian, Ledigen weißbecken und burgers alhier, ich der unterschriebenene Notarius Benebst denen zu end gemelten Zweÿer gezeugen,
Zu frauen Mariæ Salomeæ Karcherin gebohrner Zieglerin, weÿl. Hn Johann Jacob Karchers geweßenen weißbecken und burgers alhier seel. nachgelaßenen Wittib in der Steinstraß wohnhafft gegangen, und Sie nachtrucklich befragt, ob Sie denjenigen Zwischen gemelten requirirenden und ihre Frau Karcherin in beÿseÿn ihres Vogts Hn Pfehlers des Specieres und burger alhier Kurtz verruckter Tagen hochteurlich Vorgegangen Ehe Verspruchs annoch geständig und ihne Kiliaan heÿrathen wolle. darauff mehrgemelte Frau Karcherin Wittib mit in antwortt ertheilt, daß Zwar der Ehe Verspruch Zwischen ihnen geschehen aber aus ehrlichen und beÿ sich habenden trifftigen Motiven und ursachen Keines weegs gesinnet wäre ihne Kilian Zu heÿrathen, es mag auch hien kommen, wo es will und desten* was es wolle, So will Sie derer gegungsam red und antwort geben, welches alles ich ad referendum und Zu gleich meinen abschied genommen, im mittelst aber wieder alle daraus entspringende weitläuffigkeit und Unoosten Solemniter protestirt und alle remedia juris bestermaßen reservirt,
So beschehen in beÿseÿn Meister Johann Jacob Schäff des Küblers und burgers alhier und Joh: Daniel Lautensack mein des Notarÿ scribenten von hier gebürtig
Jean David Kilian épouse en 1738 Anne Salomé Dürrbach, fille du boutonnier François Dürrbach : contrat de mariage, célébration
1739 (16.10), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 79) n° 405
Eheberedung – entzwischen dem Ehren vnd vorgeachten Herrn David Killian, dem Ledigen haußfeurer, Weÿland des Ehren: und Wohlvorgeachtrn herrn Johann Georg Killians, des geweßenen weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nachgelaßenem Sohn als dem Bräutigamb ane einem
So dann der viel Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Anna Salome Dürbachin des Ehren und wohlvorgeachten herrn Friderich Durbachs Knöpffmachers und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlter Jungster Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin, ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auff Freÿtag den 16.ten Octobris Anno 1739. [unterzeichnet] David Kilian als hochzeiter, Johann Michael Stahl als stief vatter, Anna Salomea Dierbechin Als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 176, n° 23)
Mitwoch den 17. Novembr. sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet word. Joh: David Kilian der Ledige haußfeurer und burger alhie, weÿl. Joh: Georg Kilian gewesenen Burgers und weißbecken allhier hinterlaßener ehel. Sohn und Jfd. Anna Salome H Friderich Dürbachs burgers und Kupfferschmids allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johan diebold Kilian als Hochzeiter, Anna Salome dierbechin Als hochzeiterin (i 178)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue face à la rue des Meuniers. Ceux du mari s’élèvent à 144 livres, ceux de la femme à 278 livres.
1740 (13.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 53) n° 1190
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Vorgeachte Herr David Kilian, der Schwartzbeck und die Ehren und tugendsahme frau Anna Salome Kilianin, gebohrne Dürrbachin beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit Europe auffgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem Gegenseÿn H, Friderich Dürrbachs, Kupfferschmidts und burgers allhier der Ehefrauen gebielbten herrn Vatters und frauen Mariä Barbarä Stahlin geb. Christianußin, des Ehemanns Eheleibliche Mutter, auf Montag den 13.ten Junÿ Anno 1740.
In einer allhier zu Straßburg ane der Langenstraß gegen dem Müllergäßlein über gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behausung befunden Worden Wie volgt
Abzug In gegenwärtige Zugebrachte Nahrung gehörig, des Manns ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Schiff und geschirrs Zum becken handwerck gehörig 2, Sa. Frünchten und Meels 32, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 21, Summa summarum 75 lb – Deme beÿzufügen der halbe theÿl ane den haussteuren 69 lb, Des Manns Völlig in die Ehe gebracht eigenthümlich Vermögen 144 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht guth, Sa. haußraths 72, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. goldener Ring 15, Sa. baarschafft 108, Summa summarum 209 lb – Hierzu ist nun ferner beÿzusetzen der halbe theil ane denen verehrten haussteuren 69 lb, Der Fr. Völlig in die Ehe eingebracht guth 278 lb
Le boulanger en pain noir Jean David Kilian devient boulanger en pain blanc
1743, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 20-v) Dienstags den 25. Junÿ – Handwercks veränderung (1 lb d)
Johann David Kilian der bißherige Schwartzbeckh dahier Erschienen will das handwerck verändern, undt weißbeckhen, bittet deßfalls umb gerihtliche permission.
Erkandt, Kan Ihme nach ordnung gegen der gebühr willfahrt seÿn, Jedoch der Zunfft ohne præjuditz undt dem proprietario des haußes ohne nachttheill.
Jean David Kilian est comdamné à une amende pour avoir vendu du pain au-dessous du tarif
(f° 122-v) Montags den 20.t Februarÿ 1747 – Straff (10 ß)
David Kilian der weißbeckh ist accusirt daß Er ein paar Weiß brodt vmb 5. d und also wider articul unter dem Tax verkaufft, ipse præsens sagt er Wiße nichts davon, seine leuth müßten Es gethan haben.
Erkandt, soll nebst 5. ß in 10 ß Straff Condemnirt werden.
La tribu des Boulangers inflige une amende à Jean David Kilian pour avoir vendu davantage de pain sec que ne l’autorise le règlement
(f° 128) Donnerstags den 16. martÿ 1747 – Straff (1. lb)
David Kilian der Weißbeckh accusirt, daß Er den 20. Hornung Vor 28 ß undt also wider die geordnete anzahl brodt auff den trockenen Marck gehabt, beklagter præsens sagt sein Jung habe besteltes vor einem Maurer dabeÿ gehabt, auff der beeÿdigten Rüeger außsag ist Erkandt, soll beklagter nebst 5 ß unkosten auch in 1. lb d Straff Condemnirt sein.
Le farinier Jean David Kilian devient boulanger en pain blanc
1755, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 35) Donnerstags den 18. Decembris 1755 – Handwercks änderung
Johann David Kilian der bißherige Meelmann Will den Meelhandel in das Weißbecken handwerck verändern, bittet ihme solches zu erlauben. Erkannnt seÿe ihme in seinem begehren nach ordnung gegen Erlag der Gebühr zu Willfahren.
Les contrôleurs font grief à Jean David Kilian d’avoir vendu des craquelins frais le jour où il est censé vendre du pain sec. Il s’en justifie, il est condamné aux simples dépens.
(f° 100) Mittwoch den 13. Decembris 1758 – angeklagt
Iidem (die Rügere) klagen Cra. David Kilian den Weißbecken daß derselb d. 12. 9.bris als an seinem trockenen tag Weiche Brettstellen gebachen v. verkaufft, bitten denselben deßweg. gebührend abzustraffen. Derselbe sagt Zur Verantwortung, Er hätte bestelt Eÿerbrod Zu bachen gehabt, da hatte Er einige Brettstellen mehr gebachen, welche er inwendig in seiner Stuben verkaufft, diejenige so auff dem Laden gelegen wären trocken gewesen, bitt dahero absolutionem.
Erk. seÿe bekl. nur in 3. ß. d die Riegern v 2. ß Gerichts Cösten Zu condemniren.
Jean David Kilian est condamné à une amende pour avoir vendu du pain brioché frais un jour où il doit vendre du pain sec.
(f° 171-v) Mittwochs den 6. Januarÿ 1762 – Iidem (die Rügere) Cra. David Kilian den Weißbecken den Weißbecken daß derselbe am Letzt verfloßenen Neu Jahrs tag, so sein trockenes tag ware, wider den Tenor des Zehenden Articuls erneurten Articul Buchs vor 9 ß frisch gebachenen Weichen Stollen Vom Laden hinweg verkaufft requiritren denselben dem Art. nach abzustraffen, idq. ref. Exp. Und Erk. Zugegen Anfängl. der Anklag in Abrede suchen wollen, durch Klagende Rügere aber Sattsam überwießen Worden.
Jean David Kilian est condamné par contumace pour avoir vendu des craquelins frais
(f° 174-v) Dienstag den 22. Junii 1762 – Straff 1 lb 10 &&
Iidem (die Rügere) Cra. David Kilian den Weißbecken daß derselbe den 14. Aprilis Jüngst nach erlaubter Zeit frischgebachene Brettstetten Verkaufft, Bitten denselben dem Articul nach in Straff v. in die Gerichts Costen, v. Zwar wegen Nicht Erschienen par deffaut Zu Condemniren.
Nach eingeführter Klag, ersehener Citation vom 16. hujus so bekl. den 17. durch dißortigen Zunfft Büttel behörig insinuirt worden v. nach dem weder Bekl. noch jemand in seimen Nahmen Erschienen
Ist Erk. worden, seÿe Wider Bekl. in Contumaciam Zu sprechen v. deme Zufolg derselbe in 1 lb 10 ß Straff v in 2. ß 6 d Gerichts Cösten Zu condemniren
[Citations Zedul]
Jean David Kilian est condamné par contumace pour avoir vendu du pain aux œufs frais
(f° 180-v) Donnerstags den 16. Decembris 1762 – Straff 2 lb 10 ß
Iidem (die Rügere) Cra. David Kilian den Weißbecken daß derselbe den 11. 9.bris Jüngst als an seinem trockenen v. unerlaubten tag, öffentl. weich v. frisch gebachen Eÿerbrod vom Laden Hinweg verkaufft, requiriren deselben in 5. lb d als die deßhalb im 10. Articul erneurten Arcticul Buchs angesetzte Straff v. in die Gerichts Uncosten, Zu condemniren Und Bekl. Zugegen,der Anklag nicht in Abrede seÿn Können.
Ist Erk. werden seÿn Bekl. in 2. lb 10 ß Straff v. in 2 ß 6 s Gerichts Cösten Zu condemniren.
Les deux dernières amendes infligées à Jean David Kilian condamné par contumace pour avoir vendu des craquelins frais sont réduites
Jean David Kilian est condamné par contumace pour avoir vendu des craquelins frais (f° 185) Donnerstags den 10. Martii 1763. – Straff Moderation
Ferner wurde David Kilian von 2. mahlen außständige Straff ad 2. lb 5 ß moderirt
(f° 211) Sontags den 13. Januarÿ 1765 – (Straff 5 lb)
Iidem (die Rügere) Cra. David Kilian par deffaut, Erk. Straff 5. lb s Gerichts Cösten 2 ß 6 d
Jean David Kilian est condamné par la tribu des Fribourgeois pour avoir transmis un certificat d’hébergement non-conforme. Il déclare que le séjour était autorisé par le consul régent.
1764, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 238) Dienstag den 14.ten deß Monaths Augusti in Anno 1764. – David Kilian der weißbeck auff dem Fisch Marckht alhier wohnhaft, citirt worden wegen eines Ihro Gnaden dem Regirenden Herrn Ammeister sub dato 8. Aprilis überschickten Straffbahren Nachtzedul Maßen derselbe die qualitæt von Christian Badholtz auß Sachßen Und nicht wohin derselbe seÿe auch die Jahrzahl darinnen außgelaßen.
Ille præsens, Sagt Er habe es nicht beßer Verstanden, undt wegen dem logiren Erlaubnuß von Ihro Gn. dem regirenden Herrm Ammeister gehabt.
Hierauff Ist Erkanndt worden, würdt der Citatus pro nunc nur in 6 ß d Straffe condemnirt und anbeÿ hinführo ahne die genaue observance der ordnung beÿ der darinnen enthaltenen Straffe Verwießen.
Jean David Kilian meurt sans enfant en 1766 après avoir institué des héritiers testamentaires (ses frères et sœurs à l’exception de sa sœur Salomé). Les experts estiment la maison à 1500 livres. La masse propre à la veuve est de 549 livres, celle propre aux héritiers de 220 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1959 livres, le passif à 3256 livres.
1766 (30.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 807) n° 422
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren und wohl Vorachtbahren Herrn Johann David Kilian, des geweßenen Weißbecken und burgers alhier Zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1766.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weiland der Wohl Ehren und wohlvorgeachte Herr Johann David Kilian, der geweßene Weißbeck und burger alhier Zu Straßburg nun seeliger, nach seinem Mittwochs den 4.ten Decembris des erstabgewichenen 1765.sten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen Erfordern und begehren der Viel Ehren und Viel Tugendgezierten Frauen Annä Salome Kilianin, gebohrner Dürrbachin, der hinterbliebenen Wittib beiständlich herrn Johann Daniel Dürrbach als Kupferschmids und burgers dahier, dero Bruders wie auch des Verstorbenen, seel. per Testamentum Verlaßener Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 30.ten Januarÿ 1766.
Des Verstorbenen seeligen per Testamentum Verlaßene Erben seind 1.mo H Johann Jacob Kilian, der leedige Knöpffmacher so sich in ostindien aufhalten soll, und Von deme man schon seith a° 1744 keinen genauen Bericht hat einziehen können, so allhier annoch verburgert und in deßen Nahmen Vermög Extractus memorialis (…) S. T. H. Georg Daniel Meinicken, E: E: Großen Raths alter und E: E: Kleinen Raths jetzig wohlverordneter Hr beisitzer, welcher seinen Nutzen hier besorgte, In den Ersten Fünfften Stammtheil,
2.do, Frau Maria Dorothea geb. Kilianin, herrn Johann Jacob Gerstlauers des bürstenbinders und burgers dahier Ehefrau welche beneben dießem ihrem marito dem Geschäfft abwartete, In den Zweÿten Fünfften Stammtheil, 3.tio Weil. Fr. Mariæ Barbarä geb. Kilianin, Herrn Johann Georg Reichard, des Tabachändlers und burgers dahier, gewesener Ehefrauen seeligen, nachgelaßene beede Kinder als 1. Johann Georg und 2. Barbara Salome, die Reichard, deren geordneter Vogt ist vorgedachter Herr Johann Jacob Gerstlauer, der bürstenbinder und burger dahier, weilen aber derselbe bei dießem geschäfft selbsten uxorio nomine interessirt, als ware als theilvogt zugegen hr. Jacob Friderich Ludwig der Strumpffweber und burger dahier, welcher dero Interesse besorgte, In den dritten Fünfften Stammtheil, 4.to Hr Johann Friderich Kilian, der Langmeßerschmidt und burger in Franckfurth hier abwesend, in deßen nahmen bei gegenwärtigen Verlaßenschafft Inventur nebst schon genanntem H. Deputati erschienen Hr Johann Daniel Hatt der Weinhändler und burger dahier und Zwar solches Zufolg ausgestellter Vollmacht sub dato Franckfurt am Maÿn d. 17. Xbris 1765. so durch Hn Notarium Johann Jacob Diel daselbst bekräfftiget word. In den Vierden Fünfften Stammtheil, und dann 5.to Hr Johann Michael Stahl, der Langmeßerschmid und burger dahier, welcher in selbst eigener Persohn dießem Geschäfft beiwohnete, in den Füntthen und letsten Stammtheil, Alle seind des Verstorbenen seel. theils Voll und theils halbbändige Geschwüsterde auch Schwester Kinder und per Testamentum zu 5. gleichlingen Stammtheilen Verlaßene Erben
Copia der Eheberedung – Copia des Verstorbenen seel. d. 11. 7.bris 1765. errichteten und eodem die beÿ mir Notario deponirten Testamenti clausi
In einer alhier Zu Straßburg ane dem untern fischmarckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 9) Eygenthumb ane einer behaußung. (T.) Neml. I. behaußung bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflin und hoffstatt, mit allen deren begriffen, rechten und Gerechtigkeit, gelegen allhier Zu Straßburg am untern fischmarkt gegen der Zunfftstube Zur Mörin hinüber, 1 s. neben H. Michel Burckel, dem frippier, 2.s neben H Carl Ludwig Süß dem handelsmann dahier, hinden auf de, Ullwergraben stoßend, davon gibt man jährl. auf Martini löbl. Statt Pfenningthurn 2. lb 9 ß 10. d Bodenzinß für 50. lb d hauptgut angeschlagen, It. v. wetterdächlein 5 ß und Vom brodladen auch 5 ß d sonsten außer hernach inentirten darauf hafftenden Passiv Capital gegen männiglichen freÿ leedig eigen, und dh. Hn (Werckmeister) vermög Abschatzung Zeduls vom 28.ten hujus Mensis et anni bewürdiget pro 1500 lb, abgezogen d. Pfenningthurns Capital mit 50 lb, und die 10 ß d. in 2.en posten bodenzinß so Zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 25. lb, macht beedes 75 lb, Mithin restirt noch in anschlag 1425. Hierüber meldet ein in allhießiger löbl. C. C. stub gefertigter pergamentner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Insiegel verwahrt, Sub dato 27.t 9.bris 1760. mit jetzigem N° 1 notirt
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib Wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt des über beeder nun zertrennter Eheleute einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch weil. H. Notarium Johann Lobstein in anno 1740.
(f° 15) Series rubricarum hujus Inventarÿ Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. hausraths 27, Sa. Silbers 3, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzungs Rests 444, Summa summarum 549 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 30, Sa. Silbers 2 ß, Sa. Ergäntzungs Rests 264, Summa summarum 295 lb – Schulden 75, Nach solchem abzug 220 lb
Das Theilbare Guth, Sa. haußraths 214, Sa. Weins und lährer Faß 68, Sa. holtzes 7, Sa. Meels und Kleÿen 77, Sa. Silbers und dg. Geschmeids 29, Sa. baarschafft 131, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1425 Summa summarum 1959 lb – Schulden 3256 lb, In Compensatione 1296 lb
Mehr Schulden als Nahrung in vero pretio 527 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die theilbahre Verlaßenschafft Zugeltend 81 lb
Anne Salomé Dürrbach se remarie en 1767 avec le boulanger Jean Philippe Reumann : contrat de mariage, célébration
1767 (7.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 260
Eheberedung – zwischen dem wohl Ehren und wohlvorachtbahren Herrn Johann Philipp Reumann, Weißbecken Wittiber und Burgern dahier Zu Straßburg, als Hochzeiter ane einem
So dann der Viel Ehren und Viel tugendgezierten Frauen Annä Salome gebohrener Dürrbachin, weiland Herrn Johann David Kilian, gewesenen Weißbecken und burgers allhier seeligen nachgelaßener Wittib als der Frauen hochzeiterin ane dem andern theil
Geschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 7. Septembris Anno 1767 [unterzeichnet] Johann Philipp Reumann Als hochzeiter, Anna Salome Kilianin als hoch Zeiterin
Mariage, Robertsau (luth. p. 512)
Montag den 5. October 1767 sind nach zweÿmaliger Proclamation in den Kirchen Zu St Wilhelm und St. Nicolai allhier auf Erlaubniß Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters Ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr Johann Philipp Reumann Wittwer, Burger und Weißbeck in Straßburg und Frau Anna Salome Dürrbächin, weÿland Johann David Kilian gewesenen Burgers und Weißbecken daselbst nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Johann Philipp Reumann Als Hochzeiter, Anna Salome Kilianin Als Hochzeiterin (i 267)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 66 n° 35) In dem Jahr 1767 den 27. Septembris und vierten Octobris wurden allhier auf den 15. und 16. Sonntag nach Trinitatis in der Kirchen Zu St. Niclaus und St. Wilhelm nach Ordnung ausgerufen und auf Erlaubnus des Regierenden Herrn Ammeisters Montag den 5. Octobris in der Evangelischen Gemeinde in Ruprechtsau Zur Ehe eingesegnet Herr Johann Philipp Reumann der Wittwer, weißbecker und burger auch E. E. Zunft der Becker wircklicher Zunft: Meister und burger allhier, welcher in letzter Ehe gelebet hatte mit weiland Frau Maria Salome gebohrner Diemerin und Frau Anna Salome Geborne Dürrbachin, weiland Johann David Kilian gewesenen weißbeckers und burgers allhier nachgelaßene eheliche Wittib, Dieses wird hier Zum Bericht gemercket (i 69)
Fils du boulanger Jean Frédéric Reumann, Jean Frédéric Reumann épouse en 1754 Marie Elisabeth Hüttner, fille du meunier Conrad Hüttner : contrat de mariage, célébration
1754 (18.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 78) n° 1288
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbahren herrn Johann Philipp Reumann leedigem weißbeckhen vnd burgern allhier zu Straßburg, weÿland herrn Johann Friderich Reumann auch gewesenen Weißbecken vnd burgers allhier, mit auch weÿland fraun Maria Salome gebohrner Lautin Ehelich erzeugtem vnd nach tod verlaßenem Sohn, als hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Elisabethæ Hüttnerin, weÿland herrn Conrad Hüttner Zornenmüllers Und burgers Zu gedachtem Straßburg und frauen Annæ Catharinæ gebohrner Stammin beeder eheleute seeligen Ehelich erzeugt vnd nach tod Verlaßener tochter als hochzeiterin am andern theil
Actum Straßburg den 18.ten Aprilis 1754. [unterzeichnet] Johann Philipp Reumann Als Hochzeiter, Maria Elisabetha Hüttnerin als Hochzeiterin
Mariage, Robertsau (luth. p. 112, n° 580)
Mittw. den 1.ten Maji 1754. seind auff Obrigkeitliche Erlaubnuß, nach gewohnlicher Außruffung ehelich eingesegnet worden H. Joh: Philipp Reÿmann, der ledige Burger und Weißbeck Zu Straßburg, weÿl. H. Johann Friderich Reÿmans Burgers und Weißbecken daselbst nachgelaßener ehelicher Sohn, Und Jfr. Maria Elisabetha weÿl. H. Joh: Conradt Hüttners, Burgers und Müller daselbsten nachgelaßene Tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Reumann aks Hoch Zeitter, Maria Elisabeta Hüttnerin als Hochzeiterin (i 62)
Jean Philippe Reumann se remarie en 1758 avec Marie Salomé Diemer, fille du boulanger Jean Jacques Diemer : contrat de mariage, célébration
1758 (7.2.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 78) n° 1330
Eheberedung – entzwischen herrn Johann Philipp Reumann, weißbecken Wittiber vnd burgern allhier Zu Straßburg vor sich und in seinem nahmen als hochzeiter ane einem
So dann die Ehren und tugendsahme Jungfrauen Maria Salome gebohrner Diemerinn herrn Johann Jacob Diemer Schwartzbecjen vnd burgers dahier mit weÿland der Viel Ehren vnd tugendbegabten frau Maria Salome gebohrner Roßerin ehelich erziehlte und nach tod verlaßener tochter als hochzeiterin am andern theil
Dienstag den 7. Februarÿ anno 1758 [unterzeichnet] Johann Philipp Reumann Als hochzeiter, Maria Salome Diemerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 214-v n° 7)
Aô 1758. d. 22.ten Februarÿ Seind in der Kirche Zu S. Wilhelm nach Zweÿmahliger Ausruffung so Dominicis Quadragesima und Reminiscera gewesen Zur Ege eingesegnet worden, Johann Philipp Reumann, Weißbeck Wittwer und burger allhier und Jungfrau Maria Salome H Johann Jacob Diemer, Schwartzbecken und burgers allhie und Weÿl. Maria Salome Roserin ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Philipp Reumann Als Hochzeiter, Maria Salome Diemerin Als Hochzeiterin (i 220)
Jean Philippe Reumann et Anne Salomé Dürrbach vendent leur tiers de la maison à leur fils boulanger Jean Philippe Reumann
1794 (29 floreal 2), Strasbourg 7 (32), Not. Stoeber n° 282
bürger Johann Philipp Reumann der ältere beck und deßen Ehegattin Anna Salome geb. Dürrbach
ihres Sohns bürgers Johann Philipp Reumann des jüngern becks
den dritten theil für unvertheilt an einer becker behausung bestehend in Vorder und hinterhauß, höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen und Rechten gelegen am untern Fischmarckt N° 84 gegen der Vormaligen Zunfftstueb zur Mörin, einseit neben Müller dem frippier anderseit neben Carl Ludwig Käß handelsmanns hinten auf den Ullmergraben ziehend, davon man jährl. der hies. Commune 9 lb 19 s 4 d bodenzinß entrichtet, der Verkäuferin als ein in Voriger Ehe mit weiland Johann David Kilian dem gewesenen beck alhier erkauftes Gut bisher eigenthümlich zuständig war, so sie ahne Johann Philipp Reumann dero jezigen Ehemann in der mit ihme vor weil. Not. Lobstein den 7. 7.bris 1767 errichteten Eheberedung Verschrieben hat, und woran die übrige zwo terzen dem Käufer selbst nach anleitung der den 4. floreal jüngst Vor mir Not° passirten Kauffverschreibung eigenthümlich zuständig – um 3333 livres
acp 23 f° 104 du 1 prairial 2
Jean Philippe Reumann épouse Anne Catherine Kopp en 1801 : contrat de mariage, célébration
1801 (25 frimaire 10), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 249, 1029
Eheberedung – bürger Johann Philipp Reumann ehemaliger becker
Frau Catharina Barbara geb. Kopp deßen Ehegattin, daß sie zwar vor dem antritt ihrer Ehe den 3. thermidor 9.ten Jahrs vor Notario Stoeber eine Eheberedung miteinander errichtet hätten (…)
Enregistrement, acp 83 f° 17 du 25 frimaire 10
Mariage, Strasbourg (n° 409)
Du 19° jour du mois de Thermidor l’an neuf de la République française, Acte de mariage de Jean Philippe Reumann, agé de 44 ans, ci devant boulanger, né en cette ville le 6 septembre 1756, y domicilié, fils légitime de feu Jean Philippe Reumann, boulanger et de feu Marie Elisabeth Hüttner, Et de Catherine Barbe Kopp, agée de 45 ans, née en cette ville le 25 août 1755, y domiciliée fille légitime de feu Philippe Jacques Kopp, boutonnier, et de Marie Marguerite Zabern (signé) Jeann Philipp Reumann, Catharina Barbara Kopp (i 208)
Jean Philippe Reumann loue la maison au boulanger Jean Chrétien Stoll
1813 (5.2.), Strasbourg 10 (56), Not. Zimmer n° 5840
Bail de 6 années à commencer le 24 juin prochain – Jean Philippe Reumann employé à l’octroi de la ville de Strasbourg
à Jean Chrétien Stoll boulanger (est) intervenu Jean Georges Stoll père du preneur huilier à Hoerth
la maison appartenant audit bailleur sise à Strasbourg marché aux poissons n° 84 entre la D° Berger et les héritiers Müller avec la seule exception du premier étage de la maison de devant et de derrière & la cave sous ce dernier bâtiment et de la moitié de la chambre au quatrième étage sur le devant que le bailleur fera séparer par une cloison en planches – moyennant un loyer annuel de 960 fr
Enregistrement, acp 121 f° 126-v du 6.2.
Nouveau bail entre les mêmes
1822 (5.9.), Strasbourg 2 (52), Me Weigel n° 1922
Bail de 18 ans – Philippe Reumann, employé à l’octroi, et Catherine Barbe Kopp
à Jean Chrétien Stoll, boulanger
la maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84 entre la D° Berger et les héritiers Müller – les bailleurs se réservent le droit d’habiter gratuitement leur vie durante le premier étage de cette maison tant sur le devant que sur le derrière, d’avoir pour eux la chambre au linge sale au quatrième étage telle qu’ils l’ont occupée jusqu’à présent et d’y avoir en outre la cave qui se trouve sous le bâtiment de derrière – moyennant 900 fr et par semaine 3 kg de pain, 19 livres de charbon, évalués 98 fr
Enregistrement, acp 159 F° 18-v du 5.9.
Jean Philippe Reumann meurt en 1822 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs ou leurs représentants
1823 (16.1.), Strasbourg 10 (27), Me Zimmer
Inventaire de la succession de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi de la ville de Strasbourg décédé le 6 septembre dernier – à la requête de 1. Barbe née Kopp la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Zimmer notaire à Strasbourg le 25 frimaire 10, à la requête des enfants représentants de Jean Jacques Reumann frère du défunt, seuls et uniques héritiers institués par testament olographe du 1 mai 1816 déposé aau rang des minutes du soussigné notaire le 13 novembre 1822, plus Anne Marie Barthel veuve de Jean Jacques Reumann, usufruitière à vie succession du défunt, Georges Riess, boulanger, subrogé tuteur. Ledit défunt a délaissé pour ses seuls et uniques héritiers 1. Jean Jacques Reumann, garçon jouailler, 2. Marie Caroline Reumann épouse de Jean Baptiste Dumey, commis négociant à Bruges dans le Royaume des Pays Bas, représenté par Marie Guillaume François Rencker notaire royal, 3. Sophie Wilhelmine Reumann majeure, 4. Marie Julie Reumann majeure à Strasbourg présentement ouvrière modiste à Mülhouse, représentée par Jean Jacques Reumann son frère, 5. Frédérique Reumann majeure, 6. Amélie Sophie Reumann majeure née le 30 frimaire 12, 7. Charles Théodore Reumann née le 15 messisor 13
propres des héritiers. Maison et boulangerie, savoir une maison avec boulangerie, petite cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84 d’un côté la maison ci devant Müller et celle de Mde Berger née Sües, derrière fossé dit Ulmergraben – louée à l’exception du logement du défunt à Jean Chrétien Stoll, boulanger pour (5) années consécutives à compter du 5 septembre 1822 pour 900 francs par an suivant bail reçu M° Weigel le 5 septembre 1822, estimée 21.000 francs
propres, garde robe 297 fr, mobilier 180 fr, numéraire 18 fr, ensemble 496 fr, la veuve réclame la reprise 605 – total des propres 21.496 fr ; passif propre, 9000 fr,
propre de la veuve 6439 fr
communauté mobilier 397 fr, vins et tonneaux 1370 fr, argenterie 106 fr, créances 1873 fr, numéraire 148 fr, masse de la communauté 7371 fr – passif de la communauté 5868 fr
Enregistrement, acp 161 f° 37 du 22.1. – vacation du 14 février (acp 161 F° 115-v du 15.2.)
Caroline Reumann vend son septième de la maison à Jean Jacques Schæff
1827 (23.4.), Strasbourg 4 (64), Me Hatt n° 3388
Vente à réméré de 5 années – Jean Baptiste Dumey, employé des contributions directes, et Caroline Reumann
à Jean Jacques Schaeff, propriétaire
un 7° par indivis dans une maison et boulangerie sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger – avenue à la venderesse du chef de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi, son oncle
l’acquéreur n’entrera en jouissance qu’après le décès de Barbe née Kopp veuve de Jean Philippe Reumann qui en la jouissance par contrat de mariage reçu M° Zimmer le 25 frimaire 10 et qu’après le décès de Marie née Bartel mère de la venderesse qui en a l’usufruit par testament olographe dudit Jean Philippe Reumann en date du 1 mai 1816 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 novembre 1816 – moyennant 600 francs
Enregistrement, acp 183 F° 114-v du 24.4.
Louise Frédérique Reumann vend son septième de la maison à Jean Jacques Schæff
1827 (19.8.), Strasbourg 4 (65), Me Hatt n° 3599
Louise Frédérique Reumann, fille majeure, assistée de Josse Fortuné Adolphe Lienard, fourrier dans la cinquième compagnie du deuxième régiment d’artillerie à pied en garnison à Strasbourg son futur
à Jean Jacques Schaeff, propriétaire
un 7° indivis dans une maison et boulangerie sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger – avenue à la venderesse du chef de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi son oncle – l’acquéreur n’entrera en jouissance qu’après le décès de Barbe née Kopp veuve de Jean Philippe Reumann qui en la jouissance par contrat de mariage reçu M° Zimmer le 25 frimaire 10 et qu’après le décès de Marie née Bartel mère de la venderesse qui en a l’usufruit par Testament olographe dudit Jean Philippe Reumann en date du 1 mai 1816 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 novembre 1816 – moyennant 600 francs
Enregistrement, acp 185 F° 44 du 21.8.
Marie Julie Reumann vend son septième de la maison à Jean Jacques Schæff
1828 (29.8.), Strasbourg 4 (67), Me Hatt n° 4270,
Vente à réméré de 5 années – Marie Julie Reumann, fille majeure
à Jean Jacques Schaeff, propriétaire
un 7° indivis dans une maison et boulangerie sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger – avenue à la venderesse du chef de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi son oncle – l’acquéreur n’entrera en jouissance qu’après le décès de Barbe née Kopp veuve de Jean Philippe Reumann qui en la jouissance par contrat de mariage reçu M° Zimmer le 25 frimaire 10 et qu’après le décès de Marie née Bartel mère de la venderesse qui en a l’usufruit par Testament olographe dudit Jean Philippe Reumann en date du 1 mai 1816 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 novembre 1816 – moyennant 600 francs
Enregistrement, acp 191 F° 25 du 5.9.
Théodore Reumann vend son septième de la maison à Jean Jacques Schæff
1828 (11.3.), Strasbourg 4 (66), Me Hatt n° 3939
Théodore Reumann, professeur de musique
Jean Jacques Schaeff, propriétaire
un 7° indivis dans une maison et boulangerie sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger – avenue au vendeur du chef de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi son oncle – l’acquéreur n’entrera en jouissance qu’après le décès de Barbe née Kopp veuve de Jean Philippe Reumann qui en la jouissance par contrat de mariage reçu M° Zimmer le 25 frimaire 10 et qu’après le décès de Marie née Bartel mère de la venderesse qui en a l’usufruit par Testament olographe dudit Jean Philippe Reumann en date du 1 mai 1816 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 novembre 1816 – moyennant 600 francs
Enregistrement, acp 188 F° 127 du 18.3.
Sophie Guillaumette Reumann vend son septième de la maison à Jean Jacques Schæff
1828 (16.4.), Strasbourg 4 (67), Me Hatt n° 4015
Sophie Wilhelmine Reumann fille majeure
Jean Jacques Schaeff, propriétaire
un 7° indivis dans une maison et boulangerie sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger – avenue à la venderesse du chef de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi son oncle – l’acquéreur n’entrera en jouissance qu’après le décès de Barbe née Kopp veuve de Jean Philippe Reumann qui en la jouissance par contrat de mariage reçu M° Zimmer le 25 frimaire 10 et qu’après le décès de Marie née Bartel mère de la venderesse qui en a l’usufruit par Testament olographe dudit Jean Philippe Reumann en date du 1 mai 1816 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 novembre 1816 – moyennant 600 francs
Enregistrement, acp acp 189 F° 23 du 17.4.
Amélie Sophie Reumann vend son septième de la maison à Jean Jacques Schæff
1828 (16.7.), Strasbourg 4 (67), Me Hatt n° 4186
Vente à réméré de 5 années – Amélie Sophie Reumann, fille majeure
à Jean Jacques Schaeff, propriétaire
un 7° indivis dans une maison et boulangerie sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger – avenue à la venderesse du chef de Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi son oncle – l’acquéreur n’entrera en jouissance qu’après le décès de Barbe née Kopp veuve de Jean Philippe Reumann qui en la jouissance par contrat de mariage reçu M° Zimmer le 25 frimaire 10 et qu’après le décès de Marie née Bartel mère de la venderesse qui en a l’usufruit par Testament olographe dudit Jean Philippe Reumann en date du 1 mai 1816 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 novembre 1816 – moyennant 600 francs
Enregistrement, acp 190 F° 97 du 21.7.
Jean Jacques Schæff meurt célibataire en 1830
Jean Jacques Reumann vend son septième de la maison à Jean Chrétien Stoll
1834 (26.8.), Strasbourg 12 (134), Me Noetinger n° 6559
Jean Jacques Reumann, marchand de vins, et Catherine Salomé Roederer et Anne Marie Barthel veuve de Jacques Reumann, aubergiste
Chrétien Stoll, boulanger
le 7° par indivis d’une maison boulangerie consistant en bâtiment de devant et de derrière, petite cour, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du Vieux Marché aux Poissons n° 84 d’un côté l’acquéreur, d’autre Mde Duvernoy, devant la rue, derrière le fossé des Tailleurs dit Ulmergraben
le covendeur Jean Jacques Reumann recueilli un 7° dans la succession de son oncle Jean Philippe Reumann, employé à l’octroi, suivant inventaire reçu M° Zimmer le 16 janvier 1823 – ledit Reumann en a acquis deux tiers par acte reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 4 floréal 2, un autre tiers le 29 floréal même mois,, ladite Barthel est usufruitière viager de la totalité de l’immeuble, chargé d’un 7° d’une rente annuelle envers la ville de Strasbourg de 9 francs – moyennant 1500 fr
Enregistrement, acp 226 f° 161 du 27.8.
Les héritiers de Jean Jacques Schæff vendent leurs parts au même Jean Chrétien Stoll qui devient seul propriétaire de la maison
1834 (30.8.), Strasbourg 12 (134), Me Noetinger n° 6574
Jean Frédéric Schaeff, propriétaire, et Catherine Dorothée Schaeff veuve de Georges Louis Schlag, pelletier
à Chrétien Stoll, boulanger
les six 7° par indivis d’une maison boulangerie consistant en bâtiment de devant & de derrière, petite cour, pompe, appartenances & dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du Vieux Marché aux Poissons n° 84 d’un côté l’acquéreur, d’autre Mde Duvernoy, devant la rue, derrière le fossé des Tailleurs dit Ulmergraben
les vendeurs l’ont recueilli dans la succession de feu son frère Jean Jacques Schaeff, propriétaire, dont ils sont seuls et uniques héritiers suivant acte de notoriété dressé par M° Hatt le 31 mai 1833, annexé à la mainlevée de M° Noetinger le 1 juin 1833 – acquis savoir 1) de Jean Baptiste Dumey, employé des Contributions directes, et Caroline Reumann par acte reçu M° Hatt le 23 avril 1827 transcrit au bureau des hypothèques volume 201 n°44, 2) de Louise Frédérique Reumann, majeure, par acte reçu M° Hatt le 19 août 1827 transcrit au bureau des hypothèques volume 204 n° 15, 3) de Théodore Reumann, professeur de musique, par acte reçu M° Hatt le 11 mars1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 210 n° 19, 4) de Sophie Wilhelmine Reumann, majeure, par acte reçu M° Hatt le 16 avril 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 211 n° 58, 5) de Marie Julie Reumann, majeure, par acte reçu M° Hatt le 29 août 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 216 n° 10, 6) d’Amélie Sophie Reumann, majeure, par acte reçu M° Hatt 16 juillet 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 214 n° 58. La De Dumey, les Dlles Reumann l’avaient recueilli dans la succession de Jean Philippe Reumann, employé de l’octroi, leur oncle suivant inventaire reçu M° Zimmer le 16 janvier 1823, ledit Reumann l’avait acquis par acte dressé par M° Stoeber père le 4 floréal 2 – chargé d’une rente annuelle et perpétuelle de 9 fr envers la ville de Strasbourg – moyennant 7800 francs
Enregistrement, acp 226 f° 191 du 5.9.
Originaire de Hœrdt, Jean Chrétien Stoll épouse en 1813 Marguerite Elisabeth Thomann, fille de boulanger
1813 (13.11.), Strasbourg 8 (7), Not. Roessel n° 1536
Contrat de mariage – Jean Chrétien Stoll, boulanger demeurant en cette ville fils majeur de Jean Georges Stoll, laboureur à Hoerdt, issu de Catherine Happel
Marguerite Elisabeth Thomann, fille majeure de Nicolas Thomann, boulanger, et de Catherine Salomé Braun
Enregistrement, acp 123 F° 175-v du 15.11.
Marguerite Elisabeth Thomann meurt en 1845 en délaissant des héritiers testamentaires
1845 (25. 9.bre), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 18.119
25. 9.bre 1845 – Inventaire de la succession de Dame Marguerite Elisabeth Thomann en son vivant épouse de M Jean Chrétien Stoll, propriétaire demeurant à Strasbourg où elle est décédée le 2 juillet 1845.
L’an 1845. le 25 novembre à trois heures de l’aprrès-midi à Strasbourg en la maison mortuaire, à la requête et en présence 1° de M. Jean Chrétien Stoll, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant en sa qualité de commun en biens avec feu dame Marguerite Elisabeth Thomann son épouse décédée à Strasbourg le 22 juillet dernier, II. en qualité d’usufruitier de toute la succession mobilière et immobilière de ladite défunte en vertu de leur contrat de mariage ci apès allégué et analysé,
2° de Dame Anne-Catherine Clausz, veuve de M. François Joseph Grimm, boulanger décédé à Strasbourg, elle y demeurant, agissant I. comme usufruitière du tiers des biens délaissés par ladite Dme Stoll née Thomann aux termes du testament ci-après relaté, II. comme mère et mère et tutrice légale de a) d’Eugène Grimm confiseur demeurant à Strasbourg âgé de 19 ans, b) d’Adolphe Grimm, relieur demeurant en cette ville, âgé de 17 ans, ces deux enfants procréés de son légitime mariage avec ledit défunt Sr François Joseph Grimm, sont encore mineurs,
3° Dme Caroline Grimm, épouse du Sr Edouard Kammerer, restaurateur aux Contades banlieue de Strasbourg y demeurant
4° M. Nicolas Thomann, officier en retraite demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire substitué de Dame Barbe Clausz épouse de M. Jean Georges Voll, officier de santé demeurant à Landau, Bavière rhénane (…) Lesdits Dame Kammerer, M. Eugène Grimm et M. Adolphe Grimm agissant en qualité de légataires universels chacun d’eux pour un tiers de la succession de de Dme Marguerite Elisabeth Thomann épouse de M. Jean-Chrétien Stoll ancien boulanger actuellement propriétaire demeurant à Strasbourg
Et les même ensemble légataires pour un tiers de l’usufruit des biens délaissés par la même Dame Stoll, ladite Dame Grimm née Clausz en qualité de légataire de l’usufruit du tiers des mêmes biens, Et enfin ladite Dame Voll aussi en qualité de légataire de l’usufruit du dernier tiers des mêmes biens et d’ailleurs comme légataires à titre particulier de la même Dame Stoll née Thomann (…) ainsi qu’il résulte du testament olographe de la défunte en date de Strasbourg du 28 juin 1845, enregistré à Strasbourg le 30 juillet suivant folio 72 (…)
En présentce de M. Joseph-Alexis Stoltz, docteur en médecine, professeur à la faculté de médecine de la Ville de Strasbourg, Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant en cette ville, agissant en qualité de subrogé tuteur lesdits deux enfants mineurs Grimm
La présente opération sera basée sur le contrat de mariage passé entre les époux Stol, reçu par M° Roessel père alors notaire en cette ville le 13 novembre 1813
Immeubles. 65. Une maison avec cour appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue du vieux Marché aux poissons N° 83
acquise de Dame Marie Madeleine Siess veuve de Jean Frédéric Berger en 1829
$ 175
acp 343 (3 Q 30 058) f° 71-v (succession déclarée le 19 janvier 1846 n° 206) La masse active de la communauté s’élève à la somme de 927, 2° argent comptant 923, 3° garde robe de la défunte 104, créances actives 165
Immeubles, Une maison sise à Strasbourg rue du vieux Marché aux poissons N° 83 d’un revenu annuel de 1300, en capital 26.000 francs, ensemble 43
950
Masse passive 4052, 2) remplois à la succession de la défunte 4650, 3° au veuf 3327, ensemble 12.029
Pour ce qui concerne la garde robe, le veuf tout en renonçant à l’usufruit qui lui compete, en a fait la délivrance immédiate aux héritiers de la défunte
Jean Chrétien Stoll et Marguerite Elisabeth Thomann vendent la maison au boulanger Chrétien Stoll et à sa femme Salomé Amélie Rump
1845 (30.6.), Strasbourg 12 (166), Me Noetinger n° 17.855
Ont comparu M. Jean Chrétien Stoll, propriétaire & D° Marguerite Elisabeth Thomann, sa femme qu’il autorise, tous deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont vendu
à M Chrétien Stoll, boulanger & à D° Salomé Amélie Rump conjoints demeurant à Strasbourg acquéreurs solidaires
Une maison boulangerie consistant en bâtiment de devant, bâtiment de derrière, petite cour & dépendances située à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons N° 84, tenant d’un côté à la propriété de Madame Duvernoy, de l’autre à une maison appartenant aux vendeurs par devant à la rue, par derrière le fossé dit Ulmergraben (…) Les vendeurs se réservent pour eux & pour le survivant d’eux & jusqu’au décès de ce dernier la jouissance et l’usufruit gratuit de la totalité dudit immeuble. Ils en sont devenus propriétaires 1° pour en avoir aquis un 7° du Sr Jean Jacques Reumann marchand de vins & de D° Catherine Salomé Roederer, conjoints, et de D° Anne Marie Barthel veuve du Sr Jacques Reumann aubergiste tous de Strasbourg suivant contrat de vente passé devant le notaire Noetinger le 24 août 1834, transcrit au bureau des hypothèques le 2 septembre suivant volume 285 N° 56, 2° & pour en avoir acquis les six 7° restans de Jean Frédéric Schaeff propriétaire & de D° Catherine Dorothée Schaeff veuve de Georges Michel Schlag pelletier tous de Strasbourg suivant contrat reçu par ledit notaire Noetinger le 30 août 1834 (…) En outre la présente vente a été conclue pour le prix de 28.000 francs
acp 337 (3 Q 30 052) f° 93-v
Usufruitier de la maison, Jean Chrétien Stoll la loue aux nu-propriétaires Chrétien Stoll et Amélie Rumpp
1858 (9. déc.), M° Noetinger
Bail – Monsieur Jean Chrétien Stoll, propriétaire demeurant à Strasbourg, Lequel a par les présentes déclaré louer à titre de bail à loyer pour 25 années consécutives qui commenceront à courir le 24 juin 1849 pour finir à pareil jour de l’année 1884, sous la réserve ci après
A Monsieur Chrétien Stoll, boulanger et sous son assistance et autorisation à Dame Amélie Rump sa femme demeurant ensemble à Strasbourg preneurs solidaires à ce présents et acceptant
Toute la maison boulangerie consistant en bâtiment de devant, bâtiment de derrière, petite cour et dépendances située à Strasbourg rue du vieux marché aux poissons N° 84, tenant d’un côté à la propriété de Madame Duvernoy, de l’autre à une maison appartenant au bailleur par devant à la rue, par derrière le fossé dit Ulmergraben, tel que cey immeuble se comporte en ce moment (…) à l’exception du fourneau en faïence placé au deuxième étage que le bailleur se réserve et à l’intention de faire emporter. De plus Monsieur le bailleur se réserve également le droit de faire fermer quand il le jugera convenable et à propos la porte de communication intérieure existant entre la maison présentement louée et celle qui est à côté et qui lui appartiennt aussi mais entièrement à ses frais et sans pouvoir demander aux preneurs à y contribuer pour leur part – moyennant un loyer annuel de 850 francs
acp 474 (3 Q 30 189) f° 72 du 18. X.br
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 754 (2899) n° 120 du 11 Janvier 1859
Chrétien Stoll et Amélie Rumpp vendent la maison au boulanger Joseph Fritsch et à sa femme Louise Gries
1864 (2.7.),M° Noetinger
Vente – 1) Chrétien Stoll, boulanger, et Salomé Amélie Rump sa femme à Strasbourg, 2) Jean Chrétien Stoll l’aîné, propriétaire à Strasbourg
à Joseph Fritsch, boulanger, Louise Gries sa femme à Strasbourg
une Maison sise à Strasbourg rue du Vieux Marché aux poissons n° 16, moyennant 30.000 francs
à compte de laquelle somme les acquéreurs sont délégués de payer au Sr Chrétien Stoll l’aîné susnommé 16.000 francs suivant acte Noetinger le 30 juin 1845
acp 534 (3 Q 30 249) f° 54-v du 12.7.
Originaire d’Eckwersheim, Joseph Fritsch épouse en 1858 Louise Gries, originaire de Dingsheim : contrat de mariage, célébration
1858 (20.5.), M° North (Brumath, 7 E 2, 2) 142 n° 1855
Ont comparu Le Sr Joseph Fritsch, ouvrier boulanger, demeurant à Strasbourg, fils majeur de feu le Sr Jacques Fritsch, cultivateur, et de Dame Marie Madeleine Fritsch sa veuve survivante, demeurant à Eckwersheim, agissant et stipulant du consentement et sous l’assistance de sa mère ci présente, comme futur époux d’une part
Et Delle Marie-Louise Gries, fille majeure sans profession demeurant à Strasbourg, agissant aux présentes comme future épouse
article trois. La future épouse déclare qu’elle apporte en mariage I. Les immeubles suivants situés au ban de Wingersheim (…) II. Les objets mobiliers suivants (…) III. Une somme de 1000 francs qui lui est due par son frèere Thiébaut Gries cultivateur à Dingsheim
(signé) François Joseph Fritsch, Marie Louise Greis
Mariage, Eckwersheim (n° 6)
Du 29 juillet 1858 à dix heures du matin, Acte de mariage de François Joseph Fritsch, garçon majeur âgé de 25 ans, né à Eckwersheim le 29 avril 1833, boulanger domicilié à Eckwersheim fils légitime de feu Jacques Fritsch, décédé à Eckwersheim le 11 juin 1855 et de Marie Madeleine Fritsch, âgée de 53 ans, ci présente et consentante, et de Marie Louise Gries, fille majeure âgée de 28 ans, née à Dingsheim le 9 avril 1830, domiciliée à Dingsheim, fille légitime majeure de Louis Gries, décédé à Dingsheim le 4 mai 1846 et de feu Barbe Quirin décédée à Dingsheim le 9 mars 1851, (…) les aïeuls tant paternels que maternels de la future tous les quatre domiciliés et décédés à Dingseim comme le prouvent les extraits 1° Gries, Georges, décédé le 21 avril 1807, 2° Koebel, Catherine, décédée le 25 février 1845, 3° Quirin, Jean-Thiébaut äïeul maternel décédé le 20 octobre 1800, 4° Fritsch Salomé décédée le 6 nivôse l’anXII de la République (…) un contrat de mariage a été passé à Brumath devant M° North le 21 mai 1858 (i 4)
François Joseph Fritsch loue la maison au fabricant de pâtés Jacques Œhl
1872 (12.9.), M° Stromeyer
Pacht – Frantz Joseph Fritsch, Beckermeister in Straßburg, für zehn Jahre vom 29. September 1872
an Jakob Oehl, Pastetenbecker in Straßburg
vom einem Hause in Alter Fischmarkt N° 16 für einen Pacht von 2500 Franken
acp 608 (3 Q 30 322) f° 87-v n° 3536 du 21.9.
Inventaire de séparation de biens entre François Joseph Fritsch et Marie Louise Gries
1873 (31.10.) M° Metz
31. October und 4 November – Güter trennungs Inventar zwischen Joseph Fritsch, ehemals Becker zu Straßburg und Maria Louise Gries seiner Ehefrau dazu ermechtigt durch Urtheil des Landgerichts von Straßburg vom 20. October 1873.
Beschreibung des Ehevertrags vor Notar North zu Brumath den 20. Mai 1858
Gemeinschafft, Mobilien 194. Verkaufs Preis des Hauses 43.817
Ersatz Forderung 1° des Ehemanns 13.400, 2° der Ehefrau 5000, Passiv 49.150
acp 621 (3 Q 30 336) f° 50 n° 4927 du 11.11.
Liquidation et partage entre les mêmes
1873 (7.11.), M° Metz
Liquidation und Theilung der Gütergemeinschaft die zwischen Joseph Fritsch, früher Becker jetzt Kaffeewirth und Louise Gries, seiner Ehefrau zu Straßburg existirt hat, welche durch Urtheil des Landgerichts vom 21. October 1873 aufgelöst wurde.
Gemeinschafft, Mobilien 194, Ersatz Forderung der Wittwe geschuldet 1858
Preis des gekauften Hauses 44.480 (Zusammen) 46.532
abzuziehen den Einbringen beider nach Ehevertrag vor Notar North zu Brumath den 20. Mai 1858, des Ehegatten 13.400, der Ehefrau 5074 (zusammen 18.475, Rest 28.058, die ½ 14.025)
Die Ehefrau hat zu bekommen ½ der Gütergemeinschaft& 14.029, Ihr Einbringen 5074, (zusammen) 19.103
1) Mobilien 586, 2) vom Preis des Hauses 37.1501, (zusammen) 37.687
Sie hat zu bekommen 19.103, Zu viel 18.584.
acp 621 (3 Q 30 336) f° 59 du 13.11.
Le locataire Jacques Œhl achète la maison. Originaire de Hainfeld près de Landau, il épouse en 1867 Frédérique Schmid, originaire de Metzingen en Wurtemberg
Mariage, Strasbourg (n° 167)
Du 25° jour du mois d’avril l’an 1867 à neuf heures du matin, Acte de mariage de Jacques Oehl, majeur d’ans, né en légitime mariage le 2 octobre 1836 à Hainfeld (Bavière rhénane) domicilié à Strasbourg, confiseur, fils de Jean Oehl, vigneron absent de son domicile depuis 14 ans, et d’Anne Barbe Geiger, sans profession domiciliée à Hainfeld, et de Frédérique Schmid, majeure d’ans, née en légitime mariage le 17 octobre 1836 à Metzingen, bailliage d’Urach (Wurtemberg), domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de Jean Schmid, boucher, et de Catherine Schwaemle, conjoints domiciliés à Metzingen, ci présente et consentante (…) le futur époux produit une expédition d’une acte de notoriété constatant l’absence de son père qui lui a été délivré le 30 janvier 1867 par M. le juge de paix à Edenkoben (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 35)