13, rue Sainte-Madeleine
Rue Sainte-Madeleine n° 13 – IX 165 (Blondel), O 676 puis section 22 parcelle 34 (cadastre)
Reconstruite en 1749, maître d’ouvrage Chrétien Kausch, tourneur
Façade en juin 2017 (devanture rose), en mai 2025 (devanture grise, sans la partie saillante)
La maison à côté du passage qui mène à l’impasse appartient à la fin du XVI° siècle à Jean Wacker sans être portée sous son nom au Livre des communaux (1597). Elle appartient au tailleur Paul Wacker (1609) et passe à la fondation Saint-Marc, sans doute en rétribution de son entretien. Le pelletier Michel Frœreisen acquiert la maison qu’il habite. Les propriétaires suivants sont les catholiques André Hirt, marchand de fruits (1692), Jean Jacques Hoffstetter (1744) et Antoine Grandjean (manant, 1746). Qualifiée de petite et délabrée, la maison est estimée à une valeur minimale de 125 livres en 1720. Le tourneur Chrétien Kausch l’achète en 1749 et la fait reconstruire selon les obligations qu’il contracte. Il est autorisé la même année à empiéter sur le communal pour faire une fosse d’aisances et poser une marche devant sa porte. Daniel Friess achète successivement la maison (1771) puis une autre dans l’impasse (1775) qu’il est autorisé à relier par un passage au-dessus du communal à condition de rester toujours ouvert ; le maître maçon Jacques Frédéric Hertelmeyer est chargé des travaux. Daniel Fries fait aménager en 1786 une forge à fabriquer les ceintures au deuxième étage par le maître maçon Philippe Ketterer.
Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt) La maison est l’un des bâtiments bas au milieu de l’alignement
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 209 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (y’’) : porte au rez-de-chaussée; premier étage à deux fenêtres, deuxième à une fenêtre, toiture à un niveau de lucarnes. La cour (X’) montre la face arrière à droite du repère (1). On remarque que le troisième étage est omis sur ces dessins.
La maison porte d’abord le n° 9 (1784-1857) puis le n° 13, en outre le n° 2 de l’impasse des Pénitents.
Plan, cour Y’
Extrait du plan Blondel (1765, exemplaire des Archives départementales (1 L plan 5), plan cadastral de 1897
Les propriétaires suivants, le fruitier Jean Georges Moll, le menuisier Pierre Rey et le cordonnier Frédéric Otto habitent leur maison. Jacques Hirsch fait poser une devanture et abaisser la cave en 1890. Les conjoints Cusin et le cabinet France Immobilier font transformer le local commercial en studio et aménager les combles sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau (1999-2000).
Devanture (1890, dossier 739 W 271) – Plan du bâtiment avant et du bâtiment arrière (7, impasse des Pénitents, 1910, dossier 739 W 271) – Porte sous le passage (mai 2025)
Devanture en 1991 (dossier 739 W 271) – Vue en septembre 2025
septembre 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Michel Schad, tailleur, et (1559) Anne Herlin, remariée (1566) avec Jean Wacker – luthériens | ||
1597 | h | Abraham Schad, portier, et (v. 1594) Barbe Zimmermann, (1609) Salomé Knaus puis (1610) Ursule Sattler – luthériens |
1609 | v | Paul Wacker, tailleur, et (1598) Ursule Schwartz – luthériens |
v | Paul Wacker, tailleur, et (1629) Cléophée, veuve du tailleur Paul Schiess – luthériens | |
1660* | adj* | fondation Saint-Marc |
1670* | v | Michel Frœreisen, pelletier, et (1644) Madeleine Kügler – luthériens |
1689 | v | Daniel Eyrer, aubergiste, et (1671) Eve Susanne Kœrner – luthériens |
1692 | v | André Hirt, marchand de fruits, et (1687) Anne Marie Villing, veuve de François Blum – catholiques |
1714 | h | Jean Michel Hirt, musicien, et (1713) Marie Claire Krebs – catholiques |
1736 | h | Jean Hirt, soldat, célibataire († 1744) – catholique |
1744 | v | Jean Jacques Hoffstætter, cordonnier, et (1723) Elisabeth Conrad, veuve de Barthélemy Dressel, puis (1727) Marie Elisabeth Krafft, remariée (1747) avec le cordonnier Joseph Wild – catholiques |
1746 | v | Antoine Grandjean, employé dans les vivres, et (1716) Anne Catherine Jasmin ou Karcher – manants, catholiques |
1749 | v | Chrétien Kausch, tourneur, et (1715) Marguerite Werner, d’abord (1696) femme du tourneur Jean Adam Vierling, puis (1749) Marie Madeleine Stœltzel, d’abord (1746) femme du boulanger Jean Jacques Neustœckel – luthériens |
1771 | v | Philippe Daniel Friess, tourneur, et (1771) Marie Salomé Kayser – luthériens |
1797 | v | Jean Louis Kreuscher, saucissier, et (1785) Marie Barbe Kætzel – luthériens |
1808 | v | Jean Georges Moll, fruitier, et (1791) femme Madeleine Held – luthériens |
1840 | v | Pierre Laurent Rey, menuisier, célibataire († 1863) héritière Elisabeth Rey et (1827) André Burguer, chef de station |
1863 | v | Frédéric Otto, cordonnier, et (1850) Louise Reeb, d’abord (1840) femme du tailleur Jean Piblinger |
1885 | v | Jacques Hirsch, commerçant, et (1878) Marie Esther Weil |
1920* | h | Moïse Hirsch |
1922* | v | Jacques Riss, boucher, et (1919) Eve Zimmer |
1939* | v | Joseph Müller |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 125 livres en 1720, 550 livres en 1746 – Valeur vénale, 175 livres en 1744, 250 livres en 1746, 300 livres en 1749, 1000 livres en 1771
(1765, Liste Blondel) IX 165, Chretien Kausch
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Frieß, 1 toise, 5 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 676, Kiehm, Auguste, place du Château – maison, sol – 0,43 / Rey Pierre
Locations
aucune
Livres des communaux
1741, Livre des loyers communaux VII 1472 (1741-1802) f° 720
Le tourneur Chrétien Kausch doit six sols à la Tour aux deniers, à savoir cinq sols pour une fosse d’aisance et une ouverture de vidange sur le communal dans la venelle, un sol pour une marche devant sa maison, d’après décision consignée au folio 145 du registre de 1749.
Le tourneur Philippe Daniel Friess (contribuable suivant) doit en outre cinq sols pour relier ses deux maisons par un passage ouvert d’après décision des Quinze rendue le 8 juillet 1778.
Les loyers passent ensuite à Louis Kreischer
Christian Kausch der Träher solle Von einem gewölb Zum S: V: Secret und einem Loch Zum Außführen auf dem allmendt im Schlupff in der Uttengaß 5 ß und einer staffel Vor seinem Hauß allda 1. ß also Zusammen jahrs auf Trium Regum und A° 1751. I.mo L. Prot. 1749. fol: 145, id est 6. Januarii (17 Nivos), 6 ß
(Quittungen 1751-1776)
Philipp Daniel Frieß, der dreher solle ferner vor die Erlaubnus seine beede ane der Uttengaß gelegene Häuser mit einem offenen Gang zusammen zu hangen, laut Erk. Gnäd. Herren XV.en vom 8. Julii 1775. Jahrs auf den 8. Julii und A° 1776. Erstmals ane Zins, 5 ß
(Quittungen 1777-an 10)
C. 347
modo Philipp Daniel Frieß dreher
Ludwig Kreischer
Préposés au bâtiment (Bauherren) et protocole des Quinze
1749, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Le tourneur Chrétien Kausch demande l’autorisation de faire une fosse d’aisance sur le communal (5 pieds ½ de large, 6 pieds ½ de long), une ouverture (2 pieds carrés) pour sa vidange et une marche devant la porte qui s’ouvre dans la venelle. Les préposés se rendent sur place et donnent leur accord moyennant 5 sols pour les latrines et un sol pour la marche à condition qu’elle ne dépasse pas le pilier qui surplombe la venelle.
(f° 145-v) Montags den 22. Decembris 1749. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden – Christian Kausch
An Christian Kausch des trähers Hauß im Schlupff in der Uttengaß, welcher um erlaubnus gebetten ein 5 ½. schuhe breit, und 6 ½. schuhe Langes gewölb Zu einem S.V. Secret auf das Allmendt, und ein 2. schuhe in das geviert großes Oben bedecktes Loch Zum Außführen Zumachen, wie auch ein staffel für eine thür die er in dem schlupff brechen will Zu legen.
Erkandt, in beÿden Stücken Willfahrt, solle aber wegen des Secrets 5 ß und wegen der staffel die er so Legen solle, daß Sie nicht für die Unter des Nachbaren Hauß über dem schlupff stehende Pfeiler Hervorgehe, 1 ß Zinß gegen so er acceptirt.
1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le maître maçon Hattelmeyer est autorisé à faire une porte à la maison du tourneur Daniel Fries en avril 1775 puis à réparer la maison dans l’impasse en mai.
(f° 182-v) Dienstags den 11. Aprilis 1775. – Mr Daniel Fries dreher
Mr Hattelmeÿer der Maurer, nôe. Mr Daniel Fries, des drehers bittet zu erlauben an deßen Behausung in der Uttengass eine Thür zu machen. Erkannt, Augenschein.
(f° 196-v) Dienstags den 9. Maji 1775. – Daniel Fries dreher
Mr Härtelmeÿer, der Maurer nôe. Daniel Fries, des drehers, bittet Ihme Zu erlauben an deßen in der Uttengaß gelegenen behausung im Schlupf einige Reparationen Zu machen. Erkannt, Willfahrt.
1775, Protocole des Quinze (2 R 186)
Philippe Daniel Fries demande l’autorisation de relier ses deux maisons par un passage ouvert au-dessus du communal. Les préposés acceptent moyennant une rente annuelle de cinq sols à condition de ne jamais couvrir le passage.
Durchbruch Philipp Daniel Frieß drähers pt° eines Gangs in der Magdalenen Gaß 292.b, 387
(p. 292.b) Sambstags den 27. May 1775. – [-] Johann Daniel Frieß der burgers und drährers [-]irt memoriale Juncto petito samt beÿlag sub [-] A. pt° eines Gangs, Bitt wie darinn. Erkandt [-] Bauherren
(p. 387) Sambstags den 8.ten Julii 1775.
Iidem [Obere Bau Herren] laßen per Eundem [Secretarium Stædel] referiren, es Habe Philipp Daniel Frieß der burger und dräher allhier den 27.ten May jüngst ein unterthäniges Memoriale mit beÿlag sub litt. A. übergeben Juncto petito MGhh geruheten ihme allenfalls nach vorgenommenem augenschein Zu erlauben seine beede häußer mit einem offenen gang zusammen zu hangen.
Auf geschehene weißung und angenommenem augenschein, vermög deßen ersichtlich, daß der Implorant ane dem Schlupf in der Magdalenä gaß, zwischen zweÿen Ihme eigenthümlich gehörigen häußlein einen Communications gang über das Allmend Zuführen gesinnet, hätten die Hh. Deputirte auf vorgewießenen plan und angehörten Nachbaren welche Declarirt, daß sie nicht darwider einzuwenden hätten, und angehörtem gutachten gemeiner Statt geschwohrener werckleuthe dafür gehalten, daß dem Implorant den in dem vorgelegten Riß sub litt. A. bezeichneten gang verfertigen Zu laßen dergestalt zu willfahren seÿe, daß besagter gang offen bleiben und Zu keiner Zeit bedeckt werden, auch der Implorant deßwegen einen jährlichen Boden Zinnß von Fünff schilling auf Gemeiner Statt Pfenningthurn Zu entrichten wie nicht weniger die augenscheins kösten Zu erlegen Schuldig seÿn solle. Erk. Bedacht befolgt.
1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le vitrier Jean Chrétien Adam Meel, le fourbisseur Jean Jacques Beck, le tourneur Philippe Daniel Fries et le farinier Frédéric Henri Fleischhauer demandent à être exemptés de l’entretien du puits communal parce que le Magistrat les a autorisés à creuser à leurs frais un puits dans la venelle.
(f° 257-v) Dienstags den 3. Octobris 1775 – Joh: Christian Adam Meel, Johann Jacob beck, Philipp Daniel Fries, Friedrich Heinrich Fleischhauer pt° brunnens an der Uttengaß
Johann Christian Adam Meel, der Glaser, Johann Jacob Beck, Schwerdtfeger, Philipp Daniel Fries, dreher, Friedrich Heinrich Fleischhauer, Melmann, bitten Sie von dem beitrag des Allmend brunnens am Eck der Uttengaß zu befeÿen, weilen sie mit bewilligung Mghh. einen brunnen in dem Schlupf in der Uttengaß auf ihre Kösten graben laßen, deren Unterhalt ihnen ebenfals Oblieget. Erkannt, Seÿen die Imploranten an den hochverordneten Oberbronnherr zu verweisen.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon (Philippe) Ketterer expose les travaux qu’il va faire rue Sainte-Madeleine chez le tourneur Fries, à savoir une forge à fabriquer les ceintures au deuxième étage.
(p. 591) Mittwochs den 12.ten Novembris 1783
Meister Frieß der dreher will in seiner ane der Magdalenä gaß gelegenen behaußung im Zweiten stock ein gürtler Eß auf ein gewölb setzen, mit Caminschoß wohl versehen, das Rohr am steinernen gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkannt willfahrt. Mstr. Ketterer
Description de la maison
- 1720 (billet d’estimation traduit) Petite et délabrée, la maison comprend un poêle, chambre, vestibule, petite cave voûtée, estimée à 250 florins
- 1746 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier de cordonnier, au premier et au deuxième étage un petit poêle, vestibule où se trouve le fourneau, sous les combles deux chambres, un pignon en bois et un en pierre, toiture couverte de tuiles plates, cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1100 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue Ste Madeleine
nouveau N° / ancien N° : 17 / 9
Moll
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 222 case 1
Rey Pierre
O 676, maison, sol, R. Ste Madeleine
Contenance : 0,43
Revenu total : 63,22 (63 et 0,22)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24/ 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 959 case 1
Rey Pierre
1865 Otto, Frédéric, Cordonnier
1887/88 Hirsch, Jacob, Eigenthümer
O 676, Maison, sol, Impasse des pénitentes 7
Contenance : 0,43
Revenu total : 63,22 (63 et 0,22)
Folio de provenance : (222)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24/ 20
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre allemand, registre 30 page 282 case 3
Parcelle, section 22, n° 34 – autrefois O 676
Canton : Büßergäßchen und St. Magdalenengasse Nr 2 bzw. Nr 13
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,27
Revenu : 600 – 700
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1922), compte 549
Hirsch Jakob
1920 Hirsch Moses, Kaufmann in Strassburg
gelöscht 1922
(Propriétaire à partir de l’exercice 1922), compte 4459
Riss, Jacques maître boucher et son épouse Eve née Zimmer (chacun pour moitié) en communauté de biens
(3395)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1939), compte 6030
Muller Louis & son épouse
(3065)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 355 Rue de Ste Magdeleine ou R. D’Uton (p. 510)
9
Pr. Fries, Ph. Daniel, tourneur – Charpentiers
loc. Mertz, Jean, Invalide
loc. Finck, Mathias, Invalide
loc. Tauberich, Catherine, veuve d’Invalide – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Magdalenengasse (Seite 106)
(Haus Nr.) 9
Münch. Friseurmeister. 01
Jung, Tagner. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 271)
13, rue Sainte-Madeleine (1890-1991)
Le propriétaire Hirsch charge en 1890 les architectes entrepreneurs J. et E. Klein de poser une devanture et d’abaisser la cave. L’entrepreneur en bâtiment A. Wieger aménage en 1910 un nouveau cabinet d’aisance à l’étage du bâtiment arrière. Le boucher Jacques Riss reprend en 1920 le commerce de Jules Hampe qui avait fait installer sans autorisation un hachoir électrique au sous-sol.
Commerces – boucherie – disques de jazz (1973-1975, Michel Golder) – Anne Marie Krafft (1989, 1991)
Propriétaires, 1960, veuve Louis Muller de Sarreguemines – 1966, Edouard Neppel, demeurant 13, rue des Orphelins
Sommaire
- 1890 (septembre) – Les architectes entrepreneurs J. & E. Klein (9, rue Fritz) demandent au nom du propriétaire Hirsch l’autorisation de poser une devanture et d’abaisser la cave – Le maire répond que le projet n’est par recevable puisque la maison dépasse de l’alignement légal et que les nouveaux éléments doivent être en bois de sapin – Nouvelle demande – Autorisation de refaire le rez-de-chaussée pour agrandir la devanture et d’abaisser la cave. – Travaux terminés, décembre
- 1890 (octobre) – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Klaus l’autorisation de faire une prise pour environ cinq becs – Autorisation – Travaux terminés, décembre 1890.
- 1907 – Rapport du service des incendies. Un feu de cheminée se déclare dans la propriété du sieur Hirsch. La Police du Bâtiment note qu’il n’y a pas de dégâts.
- 1908 (mai) – Le maire notifie Jacques Hirsch (demeurant 3, rue Saint-Fridolin) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1908
1908 – Levy Frères (peintres en bâtiment, 140, Grand-rue) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation - 1909 – Le service municipal de construction informe la Police du Bâtiment que les projets de canalisation prévoient d’aménager un nouveau cabinet d’aisance au premier étage du bâtiment avant. La Police du Bâtiment répond qu’il n’y a pas de nouveau cabinet.
1910 (janvier) – L’entrepreneur en bâtiment A. Wieger (30, Faubourg de Pierre) demande l’autorisation d’aménager un nouveau cabinet d’aisance à l’étage du bâtiment arrière – Autorisation – Travaux terminés, juillet, il faut encore recouvrir de plâtre les parois en bois. – Le plâtre a été posé, septembre 1910 - 1899 – La Police du Bâtiment constate qu’il manque une plaque en tôle sous le fourneau. Courrier au propriétaire Hirsch (121, Grand rue) – La plaque est posée, mai 1899
Commission contre les logements insalubres, 1898 Impasse des Pénitentes n° 2 et 7. propriétaire, Hirsch demeurant 121, Grand rue. Le bâtiment comprend une pièce et une cuisine. Logement bien tenu, cabinet d’aisance au premier étage de la maison arrière, rigole menant les eaux vers la rue. Il manque une plaque en tôle sous le fourneau.
1903 (2, impasse des Pénitentes). Les premier et deuxième étages sont fermés, les autres logements bien tenus
1903 (13, rue Sainte-Madeleine), Charcuterie sans employé. Idem 1905
1906, charcuterie Hampe. Travaux à faire dans l’atelier
1906 (propriétaire Hirsch, 3, rue Saint-Fridolin) Travaux à faire en six points – Travaux terminés, septembre 1906 – Le propriétaire est mort (1910), le nouveau propriétaire est Graff, demeurant 9, rue de Bouxwiller, rien à signaler
1915, Commission des logements militaires, les logements sont bien tenus. Le locataire Hampe a un clapier dans une remise, 1917. - 1920 – Le boucher Jacques Riss déclare avoir repris l’affaire de Jules Hampe. Comme il ne retrouve pas l’autorisation de poser un hachoir électrique, il en demande une nouvelle à son nom – L’inspecteur du travail n’a pas d’objection à faire contre la machine qui existe depuis dix ans à condition qu’aucun employé n’y travaille. – L’autorisation ne peut être accordée parce que la hauteur de l’atelier est insuffisante (1,76 à 2,08 mètres), qu’il se trouve au sous-sol et que l’aération est insuffisante enfin que le même endroit sert de dépôt de houille et de briquettes. – Jacques Riss déclare que l’atelier ne sert que quatre à six heures la semaine et qu’il ouvre les portes. Il s’engage à installer un ventilateur – Description de la machine – Dessin
- 1929 – Le locataire Ernest Schneider se plaint que le cabinet d’aisance qui sert à quatre familles est dépourvu de chasse d’eau – La Police du Bâtiment constate les faits et écrit au propriétaire Charles Riss – Travaux terminés, novembre 1929
- 1960 – L’entreprise B. Weis (84, avenue Jean-Jaurès) demande au nom du propriétaire la veuve Louis Muller de Sarreguemines l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la maison.
- 1966 – Le service des incendies informe la Police du Bâtiment que la cheminée du 13, impasse des Pénitents est obstruée. – La maison appartient à Edouard Neppel, demeurant 13, rue des Orphelins – L’agence E. Schmitt qui gère la maison informe la Police du Bâtiment que le propriétaire fera faire les travaux au cours de l’été. – Le maître ramoneur René Arnold (demeurant à Schiltigheim&) établit un certificat de conformité, mai 1966.
- 1973 – Michel Golder demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (texte, Jazzland, single discs, Shop, Pop, Import Jazz) – Autorisation – L’enseigne plate est posée
1975 – Le maire autorise la maison Jazzland à faire une vente de liquidation - 1980 – Le maire invite le propriétaire Edouard Neppel à faire ravaler la façade
1981 – Arrête portant injonction de ravalement
1982 – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable pour poser un échafaudage, les pierres de taille ne devront pas être peintes
1982 – L’entreprise Nocera (126, route du Polygone) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Ravalement terminé, août 1982 - 1989 – Anne Marie Krafft (demeurant 23, rue des Fleurs à Bischheim) demande l’autorisation de transformer la façade du magasin en dégageant la devanture en bois. L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable à condition de dégager les éléments du XIX° siècle – Photographie
1991 – Anne Marie Krafft (magasin AMKA) demande l’autorisation de repeindre les boiseries extérieures – Devis de l’entreprise Bottemer (13, rue du Vieux-Marché à Erstein) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1308 W 146)
2, impasse des Pénitents (1999-2000, nouveau logement)
Les conjoints Cusin (20, rue Philippe Grass à Strasbourg) font transformer un local commercial en logement (studio) sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau en 2000 (il s’agit du bâtiment arrière 8, impasse des Pénitents)
Sommaire
- 1999 (décembre) – J.-J. Cusin (demeurant 20, rue Philippe Grass à Strasbourg) demandent l’autorisation de convertir un local commercial en logement (studio) sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau (1, rue Sainte-Odile) – Plan de situation, section 22 n° 36 – Dessins, élévations (façade nord, façade sud), plan (rez-de-chaussée, étage, combles) 1999 et plan 2000
2000 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable
2000 (février), Arrêté portant permis de construire
2000 (novembre), Travaux terminés
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1308 W 1737)
13, rue Sainte-Madeleine (1999-2001, aménagement des combles)
Le cabinet France Immobilier (20, rue Philippe Grass à Strasbourg) fait aménager les combles et ravaler le bâtiment sous la direction de l’architecte Hugues Chalumeau en 1999-2000
Sommaire
- 1999 (juillet) – Le cabinet France Immobilier (20, rue Philippe Grass à Strasbourg) demande l’autorisation d’aménager les combles et de ravaler le bâtiment – Plan de situation, section 22 n° 34
Rapport de l’architecte Hugues Chalumeau après visite des lieux en présence de l’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest (31 août 1999)
1999 (octobre) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable
1999 (octobre) – Le maire ne s’oppose pas aux travaux
2000 (mai) – Les pompiers interviennent en constatent que la toiture est en mauvais état, la cheminée et des tuiles menacent de tomber sur la voie publique – Le maire notifie le cabinet France Immobilier de déposer les matériaux en question – Le cabinet répond que es pompiers sont intervenus au n° 8 et non au n° 14 et qu’il n’est plus propriétaire des lieux.
2000 (novembre) – Travaux terminés
Plans du rez-de-chaussée, des quatre étages et des combles – Photographies
Autres dossiers
2, impasse des Pénitents (ravalement, 1999-2001), cote 1331 W 197
2, impasse des Pénitents (2000), cote 1331 W 1114
2, impasse des Pénitents (modification des baies, 2001) cote 1539 W 252
Relevé d’actes
Susanne Rittel vend la maison en 1597.
Originaire de Sélestat, Michel Schad épouse en 1559 Anne Herlin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 134-v n° 483)
1559. Dnicâ 16. Michel Schad von schlestat Anna Herlin von Strasburg, sind zu Kirchen gangen auff Montag (i 140)
Michel Schad de Sélestat devient bourgeois par sa femme Anne, fille de Gaspard Herlin
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 162
Michel Schadt von Schlettstatt hatt das burgkrecht Empfangen von Anna härlerin weÿland Caspar herlins dochter seiner ehefrawen vnd dientt Zu den schneidern eod. die [den 5.t Decembris A° xLix]
Baptême d’Abraham, premier enfant de Michel Schad et de sa femme Susanne (Rittel d’après l’acte ci-dessus et le suivant)
Baptême, cathédrale (luth. f° 178)
1562. Suntag den 25. Octobris P. Michel schad, Schneider M. Susana, I. Abraham (i 186)
Susanne Rittel, veuve du tailleur Michel Schad, se remarie en 1566 avec Jean Wacker, originaire de Lückkirch (peut-être Leutkirch en Allgäu)
Mariage, cathédrale (luth. p. 160)
1566. Suntag den 17 Nouemb. Hans Wacker von Luckkirch, Susanna Rittlerin, Michel Schaden des schneiders seelig witwe. Eingesegnet Montag den (-) decemb hora 9. a. M. (im 84, i 157)
Jean Wacker devient bourgeois par sa femme quelques jours plus tard
1566, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 181
Hans Wackher von lückkürch der schneider hatt das burgrecht Empfang. von Susanna Ridlerin weÿlandt Michael schaden sellig. wittwen seiner ehfraw. und dient Zu den schneidern Eod. die [24.t Decembris A° & Lxvj]
Susanne Rittel, veuve du tailleur Jean Wacker, et ses enfants en secondes noces (Ursule Wecker femme du graveur Hermann Valloi, Gaspard, Paul, Susanne, Jean et Marie Wecker) vendent la maison à leur fils et demi-frère respectif Abraham Schad, portier à l’hôpital, fils de la venderesse en premières noces avec le tailleur Michel Schad qui s’y réserve l’habitation viagère.
1597 (20. octob.), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 102
Kauffbrieue Abraham Schaden des Pforttners Im Spittal vber seiner Mutter behausung In Uttengäßlin
Erschienen Geörg Wetteßweiler der Kheüffer als verordnet vnnd geschworener Vogt Susanne Rittlin weilandt Hanns Wacker deß Schneiders selig. wittib beneben erstbemelter seiner Vogtsfrawen vnd dann Niclaus Ferber der Schumach. alls Vogt Caspar, Paulus, Susannen, Hansen vnd Marien, ermelter Susanne Rittlin mit Hans Wecker selig In anderer ehe erzielter Kinder, wie auch Herman Valloie der Kupfferstuck stecher alls ehevogt Ursule Weckerin Vnnd
Haben Inn gegenwertigkheit Abraham Schaden deß verordneten Portners Im Spittal alhie Ihr Susanne obgemelt mit w. Michel Schaden dem Schneider Ihrem ersten haußwürt selig. erzielt. Sohns (verkaufft)
Ein behausung mit allen derselben begriffen weiten rechten vnd gerechtigkeit. gelegen alhie Inn Uttengaßen einseit neben Jost Mincken, anderseit ein Eckh an einem Schwibbogen In ein gäßlin gehend, hinden Inn ein gäßlin so nit gar durchgehet stoßend, dauon gehen Jars 5 fl. W. s. vff Martini Zu St. Marx ablösig mit 100 fl. ermelter wh. dergestalt angenommen das er die Mutter alls verkheüfferin Ihr lebenlang dar Inn wölle laß. wohnen, Aber auch Ihrem todt schuldig sein den vbrig geschwisterden 60 pfund d daran (…)
Abraham Schad vend la maison au tailleur Paul Wacker et à sa femme Ursule
1609 (31. 8.bris), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 444-v
(in Protocollo fol: 468.) Erschienen Abraham Schad Pfortner Im Spittall Hatt (verkaufft)
Paulus Wacken dem Schneid. vnd Ursulen seiner ehegemahlen Inen &
Hauß vnd hoffstatt, geleg. In d. Vttengaß, Einsit ein Eck an einem allmendt geßlin, 2.sit Thoman Pfÿffer dem Schumach hinden auch vff d. allmendt geßlin gegen der Schaffneÿ behausung, Dauon gendt v fl. gelts ablößig mit j C gld. St. Vf Martini dem Closter St. Marx Vnd sindt auch noch v.hfft v vnderpfand für Marien Wackerin xx gld. Item xx gld. Susanna Wackerin daran aber die Khoüffere nun* x gld vber sich nemmen sollen zu erlegen Vnd die vbrig x gld der Kheuffer vber sich nemmen sollen, Item Ime dem Kheüfer auch noch für xx gld, daran alle halb Jahr v gld erlegt werd. vnd vf weÿhenachten nechst khünfftig Zum ersten mal, Sunst ledig eÿgen, der kauff zugangen vmb xxv lb d
Le tailleur Paul Wacker épouse en 1598 Ursule, fille du potier Jean Schwartz de Gengenbach (en Bade)
Mariage, cathédrale (luth. p. 36)
1598. Auf pfingsten den 3. Iunÿ. Paulus Wacker der schneider Ursula Hans schwartzers deß kachlers von gengenbach n: g: tochter (i 21)
Paul Wacker met son fils Jean en apprentissage chez le marchand Balthasar Caœmox de Nuremberg
1616 (ut spâ [ix. Julÿ]]), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 325-v
(Inchoat. in Prot. fol. 354.) Erschienen Paulus Wacker d. schneÿd. vnd Ursula sein haußfr. hannß Schweÿtzer d. gartner Inn Crutenauw, Vnd Peter Aubrÿ der Kupffertrucker burger Zu Straßburg
haben in gegensein h. Balthasar Caömox handelßmanns Zu Nüremburg bekhandt,
Demnach ermelt. h. Caömox sein Pauli Wacker sohn hannß Jacob Wacker Süben Jahrlang Zu einem Jung vff vnd Angenommen, So vff Jacob Anno 1615. Albereith Angefang. (…)
Le tailleur Paul Wacker passe un contrat de mariage avec Marguerite, veuve de Jonas Hegenauer (sans que le mariage soit célébré)
1628 (24. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 285
Erschienen Paulus Wacker der schneid. burg. Zu St. alß hochzeiter mit beÿstand Peter Brentzen deß Kappenmachers auch burgers
dann Margreth weÿl. Jonas Hegenawers deß Kürschners see. alhie hinderlassene Wittib als hochzeiterin mit beÿstand Conrad Scherers deß Wullenwebers ihres Vogts vnd Paul Zetzner deß Küblers am and. theil
Le tailleur Paul Wacker épouse en 1629 Cléophée, veuve du tailleur Paul Schiess de Binsdorf (près de Geislingen en Wurtemberg) : contrat de mariage, célébration
1629 (21. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 595-v
(Eheberedung) Erschienen Paulus Wacker der Schneid. burg. Zu St. Alß hochzeiter mit beÿstand Simon Walters deß Wächters vfm Münster an einem,
So dann Cleophe weÿ: Philipps Schießen deß Schneiders von Bintzdorff seeligen witib Alß hochzeiterin, mit beÿstand Dauid Schlachtmans deß Körbmachers burgers Zu St. ihres negsten Vetern vnd erpetenen Vogts am and. theil
Mariage, cathédrale (luth. p. 278)
1629. Doîca 1. Advent. 29. 11.bris. Paulus Wacker der schneider vnd Cleophe Philips Schieß des schneiders n. wittwe, eingesegnet Zinstag 8. 10.br. (i 144)
Baptême, cathédrale (luth. p. 464)
Eadem [Dnicâ 4. Trin: 3. Julÿ]. Paren. paulus wacker schneider vnd Cleophe. Inf. paulus. Comp. hans Martin wurm schuster, Christoff Körner, satler, vnd J. Magdlen Hans Siegfried n. tochter (i 470)
D’après les tenants et aboutissants des immeubles voisins, la maison appartient ensuite (1665) à la fondation Saint-Marc puis à Michel Frœreisen
Fils du cordonnier du même nom, le pelletier Michel Frœreisen épouse en 1644 Madeleine Kügler, fille du marchand Charles Kügler : contrat de mariage, célébration
1644 (22.7.), Not. Hippolytus (Jean Louis, 64 not 1)
(Expedirt vff Pergament d. 16. Maÿ 1646 – Außgefertigt ist auf papeÿr den 24. Januarÿ 1682) Eheberedung
zwischen dem Ehrbaren Michell Fröreißen dem Kürschner gesellen, weÿland Michael Fröreißens geweßenen schuhmachers unndt burgers alhier Zu Straßburg seel. Hinderlaßenen ehelichem Sohn an einem,
So dann der Ehren: vnd Tugendreichen Jungfrauwen Magdalena Küglerin, weÿl. des Ehrenvesten H. Caroli Küglers geweßenen burgers vnndt Handelßmanns alhier ehelichen tochter andern theils
Beschehen vnd verhandelt auff der Pfaltz In der Almend stub Montags den 22.ten Julÿ A° 1644. [unterzeichnet] Michel frörißen als hochzeiter, hanß Ulrich Wildt des hochzeiters Vockt, Conrad Meÿer der Jungfraw Hochzeiterin Vogt, Michaell Zentgraff Alls schwager der Jungfrauw hochzeiterin beken wie obstet
Mariage, cathédrale (luth. p. 477)
1644. Domin: 13. Trinitatis. Michel Fröreisen, der Kirschner, Michel Fröreisen des gewesenen Schuhmachers vndt Burgers allhier ehelicher Sohn, vndt Jungfr. Magdalena, Carlen Küglers, geweßenen Burgers allhie eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster Dienst. 24. Sept. (i 243)
Michel Frœreisen et sa femme Madeleine Kügler qui est alitée et gravement malade font un codicille dans leur maison rue Sainte-Madeleine
1669 (11. 9.br), Not. Wehrbeck (Jean Christophe, 1 AH 6301)
Codicill – persönlich erschienen der Ehrengeachte Meister Michael Fröreißen, Kürschner vnd beneben ihme die Ehren vnd Viel tugendsame fraw Magdalena Küglerin, beede Eheleuthe vnd burgere alhie Zur Straßburg, Er Meister Michael gesundes gehend vnd stehendes leibes, Sie Fraw Magdalena aber Zugestandener beschwehrlicher Kranckheit halber vff einem bett sitzend, beede aber von der Gnaden deß lieben Gottes, annoch ohnversehrten richtiger Sinnen Vernunfft gespräch vndt wissens, (…)
Welches alles beschehen vnd Zugangen Inn des heÿligen Reichß Freÿen Statt Straßburg, Inn einer beeden Codicillirend. Ehegemächt Inn der Vttengaßen gelegenen behaußung deren wohnstube vff die gaß sehendt, vff Donnerstag den 11.ten Novembris 1669. Zwischen 5 et 6. Vhren nachmittag
Madeleine Kügler deshérite sa fille Elisabeth, femme du fabricant de chausses Philippe David Marschal
1679 (13.12.), Not. Werbeck (Jean Christophe, 1 AH 6257)
Testamentum nuncupativum – persönlich erschienen die Ehren: v Viel Tugendtsame Fraw Magdalena Küglerin deß Ehren vnd Vorgeachten Meister Michael Fröreißen Kürßners v. burgers alhier eheliche haußfrau, Zwar etwas Kranckhen v. bawfälligen leibs Jedoch aber von der Gnaden deß grundgüttigen Gottes, annoch guten richtigen Verstandts, Sinnen v. Vernunfft gespräch vndt wissens, (…)
dieweilen aber Fürs dritten Ihre dochter Elisabeth, Philipß dauids Marschal deß Hoßenstrickers eheliche fr Wächter vff dem Münster, ihro bißhero alle betrübnuß vnd viel leÿd angethan auch Sie mit Schand: vnd schmächworten wied. alle schuldigkeit vnd schuldige gebühr angegriffen vnd schwerlich beleidiget, dergestalten daß Sie Vermeine gutt fueg v. recht Zu haben dieselbe Zu exhærediren vndt Zu enterben, alß will Sie dieselbe gedachte Ihre dochter Elisabeth vmb vielfaltiger beleydigung will. hiemit exhæredirt v. von aller Ihrer Nahrung excludirt haben, ohgehindert aller Männiglichs,
hingegen aber Zu Ihren rechtmäßig. und wahren Erben Ihre noch vbrigen mit obgedachtem Meister Michael Fröhreißen erziehlende Kindere benantlichen Magdalenam, Michaele, burgern alhie, Ferner Isaac, den burger, Kurschner gesellen, Ursulam Ernst Friderich Klenckhen deß buchbindern eheliche haußfrau, Anna Mariam vnd dann Mariam Martham hiemit nominirt ernennet vnd eingesetzt haben (…)
Welches alles beschehen Inn deß heÿligen Reichß Freÿen St. St. Inn Einer d. Frawen v. Ihrem haußwürth eÿgenthümblich gehörigen behaußung Inn der Vttengaßen gelegenen gelegen dero wohnstuben vff die Gaß sehendt, Vff Montag den 13.ten Decembris 1679. Zwischen 5 et 6. Vhren. – Johann Christoph Werbeck Notarius
Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5891, Protocole) f° 88
Michel Frœreisen et Madeleine Kügler hypothèquent la maison au profit du pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann
1680 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 430
Michael Fröreißen der Silberbott und Magdalena Küglerin, beede Eheleuth und Zwar sie Magdalena insonderheit mit beÿstandt der ehrenvest Fürsichtig und Weißen herrn Daniel Richshoffers und herrn Abraham Gollen beeder alß alß E: E: Großen Raths mittel ane statt nächster Verwanthen hierzu deputirter
in gegensein Herrn Johann Rudolph Saltzmanns U. J. Ddi im nahmen deß hoch Ehrwürdig hochgelehrten herrn Balthasar Friderich Saltzmanns des ältern S.S. Theologiæ Licentiati und Pfarrers des Münsters seines eheleiblichen Vatters – schuldig seÿe 150. fl.
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und zugehördten alhier in der Utengaßen im Schlupff, beÿ des Closters zur Rewern Schaffneÿ behaußung, einseit neben nachstehender behaußung, anderseit neben Emanuel Leichtgeb des Kürßners Kindern, hinden auff Christoph Strintzen den Specereÿ händlers zum theil und theils auff eine behaußung der hohen schuel alhier gehörig stoßend gelegen
So dann eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebaüen und Zugehörden auch alhier in der Utengaßen einseit neben hievorgeschriebener Behaußung anderseit neben Andres Gimpeln dem Schneider hinden auffs Allmend stoßend gelegen
Michel Frœreisen meurt en décembre 1681 en délaissant sept enfants. Il est propriétaire de deux maisons contiguës rue Sainte-Madeleine. Les actes d’achat son tau xmains du créancier Balthasar Frédéric Saltzmann. La masse propre à la veuve est de 90 livres, celle des héritiers de 237 livres. L’actif de la communauté s’élève à 237 livres et le passif à 219 livres.
1682 (24.1.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5906) n° 24
Inventarium undt beschreibung aller undt jeder haab, Nahrung undt Güth. so weÿland d. Ehren: undt vorgeachte Meister Michael Fröreiß. geweß. Kürßner burg. alhie nach seinem d. 3. Aprilis Jüngsthin vndt die Ehren: undt Tugendtsahme fraw Magdalena Kuglerin, nach Ihrem d. 10. Xbris Jüngsthin, beed. Eheleüth seel. auß dieß. welt tödtlich. undt seelig genommenem hienscheid. hind. Ihnen verlaß. welche Verlaßenschafft auf freündtliches ansuchen erfordern undt begehren nachstehend. Erben so an volg.den blatt beschrieb. durch die Erb. und einand. selbst. (…) geäugt undt gezeigt – bescheh. Dienstags d. 24. Jan: 1682.
d. verstorbene seelig hatt ab intestato Zu Erben Verlaß. seine mit d. verstorb. fr. seel. ehelich erzeügte Kind. wie volgt 1. die Tugendtsahme Elisabeth, Philipp David Marschalls des Hoß.strickers Zu Speÿr wohnhaft vndt abwesendte, haußfr. so nicht mehr alhie verburgert, d.ntweg. d. wohl Ehrenvest undt weiße herr Johannes herrenschneid. E. E. Kleinen Raths beÿsitzer als auß ermelt. rathsmittel deputirt und Zugeg. 2. den Ehrengeacht. Micheln Fröreiß. Kürßnern, burg. alhier anwesendt, 3. d. Ehrenhaffte Isaac Fröreiß. Kürßnern burgern alhier anwesendt, 4. die Tugendtsahme Ursulam fröreißin des Ehrengeachten Ernst fried.rich Glencken deß buchbinders burgers allda, eheliche haußfraw, bede Zugeg. 5. 6. 7. die Tugendtsahme Jungfrauen Magdalenam, Annam Mariam u. Mariam Martham d.entweg. d. Ehrenhaffte Gerhardt Weiß wullenwebers burg. alhier d° geschworne Vogt Zugeg.
der Verstorb. sel. aber hat Zu Erben p. Test. Nunc. verlaßen, die letßt vorbeschrib. 6. Kind. u. Erben wavon die erste docht. Elisabeth gäntzlich exhæredirt und ererbt.
In einer inn d. Statt Straßburg inn d. goldschmidtgaß. gelegenen und hieh. nicht gehörig. behaußung ist befund. word. wie volgt, Inn einer Cammern
Eÿgthumb ahne hauß. so theilbar. It. hauß undt hoffstatt mit allen Ihren gebäwen, begriff. weith. Recht. Zugehörd. undt gerechtigkeit. gelegen alhie inn d. Statt Straßburg inn d. Uttengaß, eins. neb. d. Erb. selbst. and. Emanuel Leuchtgeb, des Kürßners Erb. hind. auf H. Carl Strintz. Erben undt auf die hohe schul stoßendt davonn gohnd Jahrs 3 ß gelts, stohnd inn hauptguth mit 80. fl. abzulöß. Straßburg. wehrung Jahrs auff Mariæ Annunciationis fallendt herrn Ddo. Johann Ursino d. Statt stall Actuario Ehevögtl. weiß sonst ledig undt eÿg. und durch die Hh. Werckmeistere angeschlagen p. 150. fl. thut ub. abzug d. beschwerdt 33. lb. Darüb. vorhand. i. teutsch. pergam. k.brieff d. dato (-) so Herr Lt. Balthasar Friderich Saltzmann Pfarrer beÿ d . Predig. und.pfandts weiß inn hand. mit N° 1, dabeÿ noch i. teütsch. alt. pergam. Kauffbrieff d. dato d. 23. Julÿ aô 1616. inn allhießig. Canc. Contr. stub. verfertiget, mit d.selb. anhang. Ins. verwahrt, mit N° 4. alt notirt mit newen N° 1. ferner i. pergam. teutsch. brieff mit d. Statt straßb. gefertiget. mit d.oselb anhang. Ins. v.wahrt d dato 11. Apr. 1633. mit newen N° 1. u. alten N° 4.
It. I. häüßlein mit all. and. Ihren gebäwen begriffen. weith. recht. Zugehörd. u. gerechtigkeit geleg. auch alhier inn d. Statt Straßburg inn Crautenaw d. Utt. gaß eins. neb. vorbeschrib.er behaußung and.s. Andres Gimpeln, davon ghnd Jahrs 2. lb 10. ß d Zinß auff d. 30. April dem Stifft S. Marx lösig mit 50. lb d u. ohne ub. solche veschwerdt angeschlag. umb 50. lb d ist also außzuwerffen u Zusetz. o. Darüber soll vorhand. seÿn i. pg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Can: Contract stub Ins. v.wahrt so H. Lt. Balthas. Fried.ich Saltzmann Pfarrer beÿ d . Predigt. und.pfandts weiß inn hand.
Sa. haußraths 78, Silb. undt Geschmeidt 15, guld. Ring 4, Pfenning Zinß hauptgut 31, Eÿgenthumb ahne häuß. 33, Schulden ins erb Zugeltendt 74, Sa. 237 lb
Volgt nun hierauff die Inventation undt Beschreibung d. Verlaß. für undt ahne sich selbsten. Und vorderist d. frawen seel. Erben ohnvädt v.mög, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 31, Ergäntzung 58, Summa summarum 90 lb
It. Ernst Friderich Glockhen dem dochtermann soll man vor hauß Zinß 3. lb
Copia der Eheberedung (…) M. Johann Ludwig Hippolÿtus, Montags d. 22. Julÿ Anno 1644
Extractus Auß dem von Michel Fröreiß. dem Kürßer und Fr. Magdalena Küglerin vor Herrn Not° Johann Christoph Wehrbecken d. 11. 9.bris 1669. auffgerichteten Codicillo
Copia Testamenti nuncupativi frawen Magdalenæ Kuglerin Meister Michael Fröreiß. des Kürßners haußfrauwen, stehet inn mein Noti. mundirt. Prothocollo
Ergäntzung d: Frawen Erben ohnverändert ermanglend. Guths, Auß Conradt Meÿers als geordnet und geschworenen Vogts Jungfr. Magdalenæ Küglerin der nunmehr verstorb. frawen
Sa. haußraths 78, Silb. undt Geschmeidt 15, guld. Ring 4, Pfenning Zinß hauptgut 31, Eÿgenthumb ahne häuß. 33, Schulden ins erb Zugeltendt 74, Sa. 237 lb seel. abgelegt. i. d. 9. Aprilis 1645. beÿ E. E. Vogteÿgericht confirmirt rechnung.
Theilbahr Verlaßenschafft Sa. haußraths 78, Silb. undt Geschmeidt 15, guld. Ring 4, Eÿgenthumb ahne häuß. 33, Schulden ins erb Zugeltendt 105, Sa. 237 – Schulden 219, Nach deren Abzug 18 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 108 lb
Les enfants et héritiers de Michel Frœreisen vendent la maison à Eve Susanne Kœrner, femme séparée de l’aubergiste Daniel Eyrer
1689 (1.8.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 482-v
Michael Fröreÿsen der Kirschner, Ursula Fröreÿsen, Ernst Friderich Klencken deß buchbinders eheliche haußfrau, mit beÿstand deßelben, So dann Maria Martha Fröreÿsin Philipß Ochßen deß Schiffknechts eheliche haußfrau, alle dreÿ für sich selbst und im nahmen übriger weÿl. Michael Fröreÿsen gewesenen Silberbotten allhier nachgelaßener Erben
in gegensein Evæ Susannæ Körnerin, Daniel Aÿrers gewesenen Wildenmann Würths geschiedener haußfrau mit beÿstand Hn Johann Georg Heckers deß beständig. Regiments d. H. dreÿ Zehen beÿsitzers
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. recht. Zugehördt. und Gerechtigkeit. allhier in der Utengaßen einseit neben den. Verkaüffern selbsten, anderseit neben weÿl. Andres Gümpels deß Schneiders nachgelaßener wittib, hind. uffs Allmend stoßend gelegen, welche behaußung umb 100 guld. Capital dem großen gemeinen Allmosen zu St Marx, so dann umb 50 fl. (verhafftet) – geschehen umb 150 gulden
Fils de l’aubergiste à la Couchette Daniel Eyrer, l’aubergiste au Sauvage Daniel Eyrer épouse en 1671 Eve Susanne, fille de l’aubergiste David Kœrner de Kehl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 286 n° 8)
1671. Dom: 60.s. 26. Febr: Hr: Daniel Eÿrer, Wirdt Zum Wilden Mann, burg. alhier, weÿl. Danielis Eÿrers deß gewesenen Wirdts Zum Spahn wer hinterlaßener Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Eva Susanna weÿl. hr: David Körner deß geweß. Wirdts Zur Crohn. in Keÿl hind.laßene Eheliche Tochter . Cop . Zu St: Cl. 9. Martÿ (i 305)
Susanne Kœrner devient bourgeoise par son mari un mois après son mariage
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 385
Susanna Körnerin, von Keÿl, empfangt daß burger recht Von ihrem verlobten Daniel Eÿrer dem Würth Zum Wildenmann, und burger, Alhie, umb 8. Gold fl. so beÿ der Cantzleÿ erlegt Worden den 22. Febr. 1671. eingeschrieben aber den 19. Aprilis A° 1671.
Eve Susanne Kœrner, femme séparée de l’aubergiste Daniel Eyrer, vend la maison au marchand de fruits André Hirth
1692 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 364
(prot. fol. 46. b.) Erschienen Eva Susanna gebohrne Körnerin Daniel Aÿrers, gewesenen Würths zum wilden Mann geschiedene haußfrau, mit beÿstand /:tit:/ Hn Johann Georg Häckers, deß beständigen regiments d. Hh. XIII. beÿsitzers, Ihres Vogts
hatt in gegensein Andres Hirth deß Obß Krempen (verkaufft)
hauß, hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, begriffen weith. rechten, zugehördt und Gerechtigkeit. allhier in d. Uttengaß einseit weil. Andres Gimpels gewes. Schneiders sel. nachgelaßener Wittib, and. seit neb. Johann Woniglich dem Schneider. hind. auffs Allmend stoßend gelegen, welche behaußung umb 75 Pfund Capital dem großen Allmosen Zu St. Marx verhafftet – umb 125 pfund
Fils de Jean Hirt de Reichstett, André Hirt épouse en 1687 Anne Marie originaire du Tyrol et veuve de François Blum
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 90) 1687. Huius solemniter in facie Ecclesiæ fuerunt Intronizati Honestus Adolescens Andreas Hürt ex Reistät episcopatûs huius Jôis Hürt pm Et Ursulæ Würtzin Conjug. filius legitimus Et Honesta Anna Maria filia Francisci Blum hic defuncti relicta Vidua tyrolensis ex Jusler* gericht* factâ trinâ promulgatione (…) Lamarche de l’Epoux o, signe d’epouse p (i 50)
Baptême de Jean Michel, fils d’André Hert et de Marie Filinger, le 8 novembre 1688
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 320)
1688. Die octava Nouembris baptizatus fuit Joannes Michael Andreæ Hert Incolæ Argent. et Mariæ filinger vxoris eius filius legitims Patrinus fuit Wilibaldus Tolheimer Sartor Matrine Catharina Trierin (i 167)
Marchand de fruits jusqu’à présent manant, André Hirth achète le droit de bourgeoisie pour lui et pour sa femme Marie Villing, originaire du Tyrol. L’enfant qu’ils apportent suit la coutume (il ne devient pas bourgeois).
1689, 3° Livre de bourgeoisie p. 1047
Andreas Hirth, der Obß Kremer, und bißhero geweßen schirms Verwandten allhier erkaufft das Burgerrecht Vor sich und Mariam gebohrne Villingin auß Tyrol seiner Haußfraw p. 2. gold fl. 16 ß. so er bereits auff dem Pfenningthurn erlegt, bringt ein Kind mit mit welchem es beÿ ordnung gelaßen werden, vnd wird beÿ E. E. Zunfft der Möhrin diennen. Jur: den 17. 9.bris 1689.
Décision de la tribu des Tonneliers à l’encontre des débitants d’eau-de-vie, dont André Hirt
1696, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 33) Dienstags den 20. Martÿ Anno 1696 – Philipps Haffner d. Schuhmacher, Anna Römerin die Nagelschmidtin und Anna Maria Schellenbergerin due Meßerschmidtin erschienen auff Vorgebott denenselben ward beditten, daß sie sich deß brandwein Schancks Künfftig Mäßigen od. gewärtig sein sollen, daß er an höherer orth gelangen werde.
Johann Thomas Weber und Andreas Hirt, beede Krempen, erschien auff Vorgebott umb eben dergleichen Ursachen willen, denen auch obigen beditten worden.
La tribu des Tonnelier accorde à André Hirth le droit de servir de l’eau-de-vie
1699, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 144-v) Donnerstags den 2. Junÿ Anno 1699
Hernach folgende Krempen seind wegen deß bißherigen nunmehro aber verbottenen brandenwein Zäpffens, auff Vorgebott erschienen, denen dann der Articul deütlich Vor und abgelesen worden. (…) Andreas Hirth
(f° 154-v) Dienstags den 11 Augusti Anno 1699 – Andreas Hirth, empfang auf Ansuchen und vorlegung eines Scheins, daß Er seith Anno 1689 das Krempenrecht erlanget, weg. des Brandwein schanckens gegen erlag der gebühr nahml. 2. lb 10. ß 6 d.
Les administrateurs de l’Orphelinat vendent un tiers indivis de la maison au musicien Jean Michel Hirt et à sa femme Marie Claire Krebs
1714 (6.9.à, Chambre des Contrats, vol. 587 f° 630
(100) S.T. hr. Jacob Wencker alter Ammeister XIII.ner und Scholarcha alß mitpfleger deß Waÿßenhauß beneben H Joh: Heupel alß Schafnern
in gegensein Joh: Michel Hürt musici und Maria Claræ geb. Krebsin
eine tertz für unvertheilt ahn hauß und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Uttengaß einseit neben hanß Heinrich Keller anderseit neben Joh: Peter Trattör hinten auff d. allmendt – 100 pfund
Le musicien Jean Michel Hirt épouse en 1713 Claire Krebs : contrat de mariage, célébration
1713 (23.6.), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorachtbahren herrn Johann Michael Hirten, dem Musico und Burgern allhier alß dem Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren undt tugendsamen Jgfr. Claræ Krebsin, alß der Jfr. hochzeiterin ane dem andern theil
Beschehen und Verhandelt sein dieße ding in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, auf Freÿtag den 23. Junÿ A° 1713 [unterzeichnet] Joh. Michäl hirt als hoch Zeiter, + der Hochzeiterin handzeichen
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 15)
Die 17. Mensis Julÿ Anni 1713 (…) sacro Matrimonÿ Vinculo Copulti sunt honesti adolescentes Joannes Michael Herd Argentinensis ac parochianus noster et Maria Clara Krebsin ex Parochia ancti Stephano factis prius de more proclamationibus tribus (signé) Joh: Michäl hirt, + signum sponsæ (im 17)
Fille de Chrétien Krœpser, mineur à Grandfontaine en Lorraine, Marie Claire Krœpser qui est fiancée au musicien célibataire Jean Michel Hirth fait dresser un état de sa fortune
1713 (30.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Verzeichnus) Jungfer Maria Clara, Weÿland Christian Kröpßer, geweßenen Ertz Knapp und burger Zu Grandfontaine in Lothringen seel. nachgelaßeneer Tochter, Verlobt mit H. Johann Michel Hirthen dem ledigen Musicanten und burgern alhier hat würcklich eÿgenthümblich in Vermögen Wie Sie Solches heüt dato nach abgelegter Handtrew fleißig geeigt und gezeigt (…)
Haußrath 64, Silber und Guldenen ring 65, baarschafft 30, Summa 159. Sig. Straßburg den 30.ten Maÿ Anno 1713.
Le musicien Jean Michel Hirth meurt en 1720 en délaissant un fils. Les titres répertoriés de la maison que les experts estiment à 125 livres sont ceux de 1714 et de 1692. La masse propre à l’héritier est de 95 livres. L’actif de la communauté s’élève à 118 livres, le passif à 178 livres
1720 (26.2.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 3) n° 112 (106)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab vnd Nahrung, so weÿland der Ehrenachtbahre herr hanß Michel Hirth, gewesener Musicus vnd burger allhier Zue Straßburg nunmehr seel. nach seinem d. 3.t febr. dießes innstehend. 1720.t Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundlich ansuchen erfordern und begehren H. Johannes Studhammer Musicj und burgers allhier Zu ged. Straßb. als geordnet und geschworenen Vogts Johannis hirten, deß abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib Ehelich erzeugten söhnleins und ab intestato einzig hinterlaßenen Erben fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren undt tugendsame Frau Mariam Claram gebohrene Kreppsin die hinterbliebene wittib mit beÿstand H. Joh: Lorentz höchster Pfeiffenmachers allhier Ihres Curatoris (…) Actum Straßb. Montags d. 26.t Februarÿ 1720.
Bericht. Ob zwarwohlen eine Eheberedung Von beeden geweßenen Ehepersohnen Zur Zeith Ihrer Verheürathung auffgerichtet word. so haben Sie sich demnach darinn weder Ihre Zubringende Nahrung reservirt noch ein Ergäntzung Stipulirt, weniger ein Inventarium Zugebrachter Nahrung auffgerichtet (…)
Inn einer allhier Zue Straßburg in der Uttengaß gelehenen und in dießer Verlaßenschafft eÿgenthümblich gehörigen behausung sich folgender maßen befunden worden
Eÿgenthumb ahne einer behaußung (E. & T.) It. ein häußlein hoffstatt sampt allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zue Straßburg, in der Uttengaß, einseith neben hannß Peter Tratter dem bittschiergrabern, anderseit neben Fr. Ursula Kellerin gelegen hinten auf das Sackgäßel stoßend, davon gibt man Jährlich Zu dem allhießigen Stifft waÿßenhauß ablößig in Cap. mit 115. lb. d., Item ferner (-) Zinß Jr Jgfr (-) Jahrs auf verfallend abzulößen in hauptgut mit 100 lb, summa beschwerd. 175. lb ([in margine:] Nota, die Capitalien sind beÿ beschreibung der behaußung außzulaßen, hiengeg. vnter die Passica Zubring.) gegen Männiglich freÿ leedig Und Eig. vnd ist dieße behaußung durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeistere Vermög einer Zu dem Concept gelüfferten schrifftlich. Abschatzung dedato 2. Martÿ 1720. angeschlagen worden pro 125. lb. Darüber und Zwar nur vber dießehender Ehe erkauffte Zwo tertzen besagt in teutscher pergamentiner Kauffbrieff in allhiesiger C. S. stub gefertigt vnd mit dero größern Innsiegel vwahrt datirt d. 6. 7.bris 1714. mit neuem Lit. A. notirt. Dabeÿ befind. sich noch ein In d. C. C. stub gefertigter perg. Kbr. dedato 24. Martÿ 1692. mit N° 1.
Copia der Eheberedung (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Erben Vermögen, Sa. haußraths 5, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 41, Pfenningzinß hauptgüter 621, Summa summarum 107 lb – Schulden 12. lb, Nach deren Abzug 95 lb
die Theilbahre Nahrung betr. Sa. haußraths 27, Sa. Musicalischen Instrumenten 7, Sa. Guldener Ring 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 83, Summa summarum 118 lb – Schulden 178 lb, In Compensatione 59 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 48 lb
Abschatzung d. 2.t Martzÿ: anô: 1720: Weÿlandt deß Ehrenhafften vnd bescheÿten: Joh: Michäll hirth, Spiellman: seel: hinder Laßen, Fra: Witib, und Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, in der Rudern gaßen gelegen, Ein Seith Neben hanß Peter bretter, Bitschier graber, Ander seith, Neben Frau Ursuls Kelterin, hinden auff daß Sackgeßell stoßend, welche behaußung, hoffstatt, Stub Cammer, hauß Ehren, Ein gewölbtes Kellerlein, welche behaußung schlecht vnd Kleinn, Sampt Aller Ihrer gerechtig Keith wie solches, durch der Statt Straßburg Geschwornen werckh leüthen in der besichtigung befundten Vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Wirt Vor vndt umb Zweÿ Hundert Vnd Fünffzüg Gulten. Bezeichnüß der Statt Straßburg geschwohren wërckh leüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Compte dressé après l’inventaire
1726 (14.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 53)
Summarischer Calculus Über Weÿland Johann Michael Hirthen geweßenen Musici vnd burgers allhier seel. Verlaßenschafft auß dem durch H. Johann Jacob öhlingern Notm. in Anno 1720 darüber auffgerichteten Inventario entworff.
Des Erben unverändert guth Guth, in Kleÿden vnd weißen Zeüg Ane dem leib gehörig (…) 5
Eigenthum ane einer behaußung betreffend thut fol. 13.-a dem anschlag nach 41, bleibt dem Kind als ohnverändert außgesetzt
Pfenningzinß hauptgüter 33, Item sind die Jenige Güter Zu Heßelshurst welche hiebevor Roman Walyer alda in lehnung gehabt, verkaufft (…) 33 lb
Summa des Erben unveränderten guths ist 75 lb
Le cordonnier Joseph Grætel rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à Jean Hirt, fils du musicien Jean Michel Hirt
1732, Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 62)
Rechnung Mein Joseph Grätels, Schumachers und burgers allhier, alß geordneten Vogts Johann Hirten, weÿl. Herrn Hanß Michael Hirten geweßenen Musici vnd burgers alhier hinderlaßenen Sohns, inhaltend waß Ich seinetwegen vom 9. Jan. 1726 alß ich Vogt worden biß dato alß den 10. Septembris 1732 eingenommen vnd dargegen wid. außgegeben habe.
Marie Claire (veuve) Hirt vend les deux neuvièmes qui lui appartiennent dans la maison à son fils Jean Hirt qui devient ainsi propriétaire de la totalité
1736 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 962
Ganthkauff, den 26. sept. 1736 – die Mariæ Claræ Hirttin der wittib zugehörige zween neundte theil einer behausung ahne der Uttengaß, einseit neben hannß Peter Trotter dem Pitschirergraber anderseit neben Ursula Kellerin hinten auff das Sackgäßlein
ist an Joseph Grädel dem schuemacher als vogt Johann Hirtten deme zuvor schon 7/9 theil an gedachtem hauß eigenthümlich zuständig waren, umb 133 fl. adjudicirt worden
Jean Hirt hypothèque la maison au profit de la conférie des garçons cordonniers
1736 (12.10.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 840-v
Joseph Grädel der schuhmacher als vogt weÿl. Johann Michael Hirtt Musici hinterlassenen einigen Kinds Johann Hirtt
in gegensein der Gesellschafft derer ledigen Schueknecht Ladenmeisters Johann Georg Mößner ledigen Schueknecht als altgesellen – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten an der Uttengaß, einseit neben Johann Jacob Hoffstätter dem schuhmacher anderseit neben Philipp Jacob von Hipßen dem fastenspeishändler hinten auff das sogenannte Sack: oder Magdalenæ gäßlein gelegen – maßen er 7/9.te theil von seinem vatter ererbt und die übrige 2.t theil ahne hiesiger ganth d. 26. Septembris jüngst erkaufft hat
Jean Hirt, grenadier au régiment de Monaco en garnison à Dunkerque, hypothèque la maison au profit du revendeur manant Antoine Grandjean
1743 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 372-v
Maria Clara geb. Krepperin weÿl. Johann Michael Hirt des Musici wittib mit beÿstand Johann Georg Stoltz des schneiders mandatario ihres sohns Johann Hirt des grenadier unter dem Löbl. regiment Monaco dermalen zu Dünkirchen in garnison [unterzeichnet] o
in gegensein Antoine Grandjean des schirmers und krempen – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Uttengaß, einseit neben (-) dem krempen, anderseit neben Georg Hoffstätter dem schuhmacher, hinten auff einen schlupff – ihrem ehemann so als ein vätterliches erbguth
Marie Claire Krepper veuve du musicien Jean Michel Hirt, héritière de son fils, vend la maison au cordonnier Jean Jacques Hoffstætter moyennant 175 livres
1744 (27.8.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 455-v
Maria Clara geb. Krepperin weÿl. Johann Michael Hirt des Musici wittib mit beÿstand H. Lt. Johann Jacob Schübler EE. kleinen Raths alten beÿsitzers [unterzeichnet] +
in gegensein Johann Jacob Hoffstätter des schuhmachers
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, zugehörden und rechten ane der Uttengaß, einseit neben N. Vetter dem krempen, anderseit neben Bartholomeus Dreßel ledigen schuhmacher, hinten auff einen schlupff – (um 100 pfund capital verhafftet) ihro als ein von ihrem Sohn ererbtes guth, um 175 pfund
Originaire de « Sarn » en Suisse dans le diocèse de Constance, Jean Jacques Hoffstætter épouse en 1723 Elisabeth Conrad, veuve de Barthélemy Dressel : contrat de mariage non conservé, célébration
1723, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Jacob Hochstätters Schumach: Vnd Fr. Elisab: Barthel Dreßels Wb.
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 64)
1723. die 18 Maii (…) sacro matrimonii vinculo copulati sunt (…) joannes jacobus Hochstetter oriundus ex sarn in helvetiâ diœcesis constantiensis et Elisabetha Conradin vidua defuncti bartholomei dressler ambo parochiani nostri (signé) Johann hesteter+ signum sponsæ (i 63)
Originaire du canton d’Unterwalden, Jean Jacques Hoffstætter aciquert le droit de bourgeoisie par sa femme Elisabeth, veuve du cordonnier Barthélemy Dressler
1723, 4° Livre de bourgeoisie p. 893
Johann Jacob Hochstäter d. schuem: Von unterwalden geb. erhalt d. Burgerrecht Von seiner ehefr. Elisabetha weÿl. Barthell dreslers b. und schuem. hinderlaß. wb. umb die tertz des alt. burger schillings will beÿ E E Zunfft d. schuem. dienen. Jur. d. 19.t Junÿ 1723.
Originaire d’Autriche (Hanfland selon l’acte de mariage, Laub selon le livre de bourgeoisie), Barthélemy Dressel épouse en 1707 Elisabeth, fille du &meunier Laurent Conrad de Dinsheim près de Mutzig
Mariage, Dinsheim (f° 2)
Hodie 25.ten die 8.bris 1707 (…) sacro Matrÿ vinculo copulavi honestum et pudicum Bartholomeum dressel Ex Austria Andreæ dressell civis in hanfland in austria et Barbara Kielingerin filium legitimum cum pudica virgine Elisabetha Conradin Laurenty Conrads civs et molitoris Ex pago Dingsh. et Annæ Mariæ Kientz filia legitima (i 23)
Premier baptême à Strasbourg
Baptême, Saint-Etienne (cath. p. 543)
Hodie die 12. Maÿ Anni 1708 fuit à me infra scripto baptizata Maria Francisca ante quadrantem nata legitima filia Bartholomæi Dressel sutoris civis hujus urbis et Elisabetha Conradin conjugum suscipientes fureunt Antonius Rosset civis quoque hujus urbis et Maria Francisca cattin nata saurin (i 84)
Barthélemy Dressel de Laub en Autriche et Elisabeth Conrad de Dinsheim achètent le droit de bourgeoisie.
1707, 3° Livre de bourgeoisie p. 1268
Bartholomeus Dreßel d. schumacher v. Laub auß Österreich Weÿl. Andreas dreßel gew. ackersmanns daselbst hint. sohn, vnd sein Fr: Elisabetha Conradtin Von dingsheim erkauffen d. burgerrecht pro 6 gold fl. 16 ß W. beÿ den Schumachern dienen J. d. 1. Xbris
Jean Jacques Hoffstætter se remarie en 1727 avec Marie Elisabeth Krafft, originaire de Baden près du Rhin : contrat de mariage (minute non conservée, ici selon la copie jointe à l’inventaire après décès), célébration
1727, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Jacob Hochstätters Schumach: und Jfr Mar: Elisabethæ Krafftin
Copia der Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Meister Johann Jacob Hochstätter, Schumacher und burger Zu Straßburg mit beÿstand des Edlen und vesten Herrn Frantz Anthon Kellermanns der Zeit Wohlverordneten Schaffners des Closters Sanctæ Mariæ Magdalenæ Zu den Rewern alhier, alß Bräutigemb an einem, So dann die Ehren und tugendsamee Jungfrau Maria Elisabetha Krafftin, des Ehrenvesten Herrn Frantz Ignatÿ Krafften burgers und Gastgebers Zur Blum in Margraff baden eheliche dochter, mit assistentz erst gemelten ihres Vatters, Herrn Niclaus Anstätts, E. E. Großen raths alten beÿsitzers und Herrn Joseph Krafften, Gastgebers Zum Rindsfuß Zu ermeltem Baden ihres Vettern, alß Hochzeiterin anderntheils – So beschehen in Straßburg dienstags den 9. Aprilis Anno 1727. – Jacob Christoph Pantrion, Notarius
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 86)
Hodie die 5. Mensis Maÿ Anni 1727. (…) sacro matrimonÿ Vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti sunt Joannes Jacob Hochstätter Viduus defunctæ Mariæ Elisabethæ Conradin et Maria Elisabetha Grafftin oriunda ex Baden prope Rhenum (i 88)
Marie Elisabeth Krafft fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 231 livres
1740 (3.10.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1268) n° 5
Inventarium über der Ehr: und tugendsahmen Frawen Mariæ Elisabethæ gebohrener Krafftin Meister Johann Jacob Hoffstätter des Schuhmacher und burgers allhier Zu Straßburg eheliche haußfraw in Ihren Vor Etlichen Jahren mit Gott angetrettenen Ehestand Zugebrachter Nahrung auffgerichtet in Anno 1740. – So beschehen Straßburg den 3.ten 8.bris 1740.
Sa. Haußraths 40, Sa. Silber Geschirr undt Geschmeids 17, Sa. goldener ring 17, Sa. baarschafft 156, Summa summarum 231. lb
Jean Jacques Hoffstætter meurt en 1746 en délaissant pour héritiers ses cinq frères et sœurs. La masse propre à la veuve est de 428 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 275 livres, le passif 721 livres.
1746 (15.6.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1271) n° 96
Inventarium über Weÿl. Mstr. Johann Jacob Hoffstätter geweßenen Schuhmachers und Burgers allhier Zue Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in anno 1746.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güther Liegent und Vahrender keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. Meister Johann Jacob Hoffstätter geweßener Schuhmacher und Burger allhier nunmehr seel. nach seinem am 9.ten Maÿ jüngst genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren hienach auff folgendem blatt benambster Geschwisterte und ab intestato hinterlaßener rechtmäsiger Erben und Hn Deputati, heüt dato ordungs mäßig inventirt und ersucht durch Mariam Elisabetham Hoffstätterin gebohrene Krafftin die hinterbliebene Wittib mit hülff und beÿstand Meister Joseph Stolch Schuhmachers und burgers allhier, Ihres Leibl. Schwagers (…) So beschehen Straßburg den 15.ten Junÿ 1746.
Der Verstorbene seel. hatt ab intestato Zur Erben Verlaßen wie folgt. 1. Melchior der Burger und Einwohner zu Alt dann Im obern Elsaß, 2. Egidi auch im obern Elsaß wohnhaft, 3. Joseph Ein taglöhner deßen domicilium unbekant, 4. Balthasar, Soldat in Königlichen. Frantzösischen diensten sich dermahlen auffhaltet, 5. Annam Mariam Verheürathet in St. Marien Thal, wohnhaft, Alle Fünff gebohrener Hoffstätter, als des Verstorbenen seel. Von Vatter und Mutter rechte Geschwisterdten und ab intestato zu gleichen portionen und antheÿlern hinterlaßene Erben, weilen nun dieselbe frembt und ohnverbuergert, als ist in dero Nahmen, Von E. E. Kleinen Rath unterthänig erbetten und gnädig deputirt worden, der Ehren und wohlvorgeachte auch wohlweiße H. Johann Heinrich Schaumann Kunsterfahrene jubilirer und Ermelten E. E. Kleinen Raths dermahliger wohlmeritirter beÿsitzer v. dem Geschäfft in Persohn abgewartet
In einer allhier Zu Straßburg ahne der genannten Utengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eÿgenthümblich gehöriger hernach Folio (-) beschriebener behaußung folgender maßen befund. worden
(f° 8) Eigenthumb ahn einer Behaußung (T.) Eine Behaußung und Hoffstatt, gemeinschafft eines Allmend höffleins oder gäßleins, mit allen derselben gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden Recht und gerechtigkeiten allhier in der Uttengaß ein seith neben Daniel Inckel dem Glaßer, ander seith neben Georg Hintzinger dem Schneider, hinden auff ged. Allmend gäßlein od. höfflein stoßend und eine thür in dasselbe habent gelegen davon gibt man jährl. Von der Keller thür und profeÿ so auff dem allmend stehet 4 ß der Statt Pfenningthurn, und ist diesses hauß Vermög der Statt Straßburg geschwornen Werckleüth überschickter schrifftl. Abschatzung unterm 25.sten Maÿ jüngst über 300. lb capital H Daniel Walter dem Weißleinwandhändler und 150. lb Capital H Notario Kolben Verzinßlich æstimirt und angeschlagen für 1400. lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff auß allhiesig cancleÿ contract stuben sub dato 6. Maÿ 1734. und dero anhangenden Insigel Verwahrt Verfertiget.
Ergäntzung der Wittib abgangen unveränderten Vermögens, Nach Anleitung Inventarÿ jllatorum durch mich unterschriebenen Notarium Anno 1740. auffgerichtet
(…) So dann Ist Ferner innhalt Register von Hn Ignatio Dilg hohfürst. Marg. Badischer Statt: und Ambtschreiber: Baden so den 31. Decembris 1743. auffgerichtet besagent was die wittib Von Hn Frantz Ignatÿ Crafften geweßenen Raths Verwanth und Gastgebers Zur blumen alda Ihrem Vatter seel. vor einem siebenten Stammtheil Erbl. Zugefallen
(f° 12) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 36, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 4, Sa. activ Schuldt 50, Sa. Ergäntzung 333, Summa summarum 428 lb
Wird die übrige Verlaßenschafft unter Einem Titul alß theÿlbahr, Sa. haußrath 29, Sa. Silber 4, Sa. Vaß, wein und bütten 18, Sa. Leder, gemachte arbeit und werck 122, Sa. Eigenthums einer behaußung 100, Summa 275 lb – Schulden 721 lb, Übertreffen die theilbahre passiva die wenige so genannte theÿlbahre Verlaßenschafft benantlichen umb 446 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg dienstags den 9. Aprilis Anno 1727. – Jacob Christoph Pantrion, Notarius
Copia Codicilli – 1731 (…) auff Montag den 13. Augusti Nachmittag zwischen dreÿ und vier uhren, vor mir unterschriebenem geschwornem Notario (…) persönlich kommen und erschienen ist der Ehrenhafft und vorachtbare H. Johann Jacob Hoffstätter, Schumacher und mit und neben Ihme die Ehren: und tugendsame Fraw Maria Elisabetha gebohrene Krafftin beede Eheleute und burgere zu Straßburg von den Gnaden des grundgütigen Gottes gesunder: gehend: und stehender Leibes (…) Jacob Christoph Pantrion, Notarius publicus juratus
Abschatzung dem 25. Maÿ: 1746. Auff begehren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen Meister Johann Jackon Hoffstetter deß gewëßenen schumacherß seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der utten gaßen gelegen, einseitß an Meister Daniell ringler dem glaßer, anderseitß en Frantz holtzinger dem schneiter hinden auff dem allment stoßendt welche behaußung unden die schumacher wërckstatt oben ihm Ersten und Zweÿten stock, ein Stübell, hauß Ehren darinnen der herdt, under dem tach, 2. Camren, ein holtzrer und steiner gebell daß tach mit breidziglen belegt ein getrëmbter Keller sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent und Ein hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Elisabeth Krafft, veuve de Jean Jacques Hoffstætter, se remarie en 1747 avec le cordonnier Joseph Wild, originaire de la Wantzenau : contrat de mariage, célébration
1746 (11.7.), Not. Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1289) n° 93
Eheberedung Zwischen dem Ehrsamen Joseph Wild Leedigem Schuhmacher Auß der Wantzenauw gebürtig als hochzeitern ane Einem
So dann der Ehr: und Tugendsahmen Frawen Elisabetha Hoffstätterin gebohrener Craftin Wittib und burgerin allhier als hochzeiterin anderntheÿls
So beschehen Straßburg den 11. Julÿ 1746. [unterzeichnet] Joseph Wilt, Maria Elisabetha hoffstetter
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 105)
Die 15. Maÿ Anni 1747 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Josephus Wild, sartor professione suæ filius legitimus defuncti Michaelis Wild, Civis dum viveret ac nautæ in Wantzenau et Annæ Brumerin, oriunda ex dicto Wantzenau, modo vero in hâc civitate ac parochiâ commorans, Er Maria Elisabetha Krafftin, vidua defuncti Joannis Jacobi Hoffstetter Civis dum viveret ac sutoris hujatis, parochiana nostra (signé) Joseph wilt, Maria Elißiabetha krafftin (i 69)
Jean Jacques Hoffstætter vend la maison à Antoine Grandjean, manant employé dans les vivres
1746 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 13
Johann Jacob Hoffstätter, schuhmacher
in gegensein Antoine Grandjean des schirmers und employé dans les vivres /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI
eine behausung und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Uttengaß, einseit neben Johann Daniel Jnckel dem glaßer, anderseit neben Bartholomäus Dreßel dem ledigen schuhmacher, hinten auff einen schlupff – als ein am 27. Augusti 1744 erkaufftes guth – um 250 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente au manant Antoine Grandjean en dispensant les parties de faire dresser une estimation
1745, Conseillers et XXI (1 R 228)
(p. 525) Sambstag d. 8.ten Januarÿ 1746 – Joh: Jacob Hoffstatt erhalt erlaubnuß ein häüßlein an Antoine Grandiean den schirmer Verkauffen zu dörffen.
Römer, Nomine Johann Jacob Hoffstatt des hiesigen burgers und schumachers, der bitt unterthänig ihme gnädig Zu erlauben, sein allhier in der Ruthengaß gelegenes häüßlein an Antoine Grandiean den Schirmer und Employé dans les vivres umb sieben hundert gulden, nebst übernahm aller unkösten Verkauffen Zu dörffen, und umb hochgeneigte Dispensation vom augenschein, Cristmann, nomine gedachten Antoine Grandiean, bitt gehorsambst also kauffen zu dörffen, und ebenfalls umb Dispensation vom augenschein.
Ist Erkandt, Wird denen Imploranten Dispensando aus bewegenden ursachen von dem sonst gewohnlichen augenschein, die beederseits gebettene Erlaubnus mit diesem beding und anhang Obrigkeitlichen Willfahrt, daß der Kauff in hiesiger Contract: Stub in gegenwart H. Rathh. Wildermuths und H. Rht. Walthers solle Verschriben, undt derenselben alß Zu diesem geschäfft abgeordneten Commissarÿs gemeiner Statt deßfalls versirendes Interesse bestens Zu besorgen recommandirt werden.
Deputati ijdem Zu anzeigung des Bescheids.
Fils du tailleur Jean Grandjean de Neuf-Brisach, Antoine Grandjean épouse en 1716 Anne Catherine Jasmin, fille du soldat Jasmin, dont la mère nourricière est Marie signal Kelter couche du tailleur Philippe Jacques Stern : contrat de mariage, célébration (la femme est ensuite appelée tantôt Jasmin tantôt Karcher)
1716 (23.2.), Not. Humbourg (6 E 41, 38)
(Mariage) furent presents Antoine Grandjean fils de Jean Grandjean Maitre tailleur d’habits & Cabaretier au Neuf brisack, assisté de Henry Marchand aussy Maitre tailleur et Bourgeois de Strasbourg par pouuoir Special dud. grandjean pere, ainsy qu’ils ont declaré et stipulant au Nom d’jceluy d’une part
Anne Catherine Jassemin fille du Nommé Jasmin sergent au Regt. de Foix Infanterie, eslevée comme orpheline aux depens de Messieurs du Magistrat de Strasbourg, assistée de Marie Salomé Kelterine sa Mere Nourriciere veuve de feu Philippe Jacob Stein, viuant Tailleur & Manant de cette dite ville, stipulante pour Ladite Jassemin, et de son Consentement d’autre part
(signé) antoine grandjean, + marque de la future épouse qui a dit ne scauoir signer, maria salome konllerrein
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 145)
Hodie 24. februarÿ Anno 1716. (…) sacro matrimonii vinculo copulati Antonius Grandjean neo Brisacensis et Catharina jassemain Argentinensis (signé) antoine grandjean, + sponsæ
Antoine Grandjean et Catherine Karcher hypothèquent la maison au profit de la fondation du Corps des pensions
1749 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 294
Antoine Grandjean der schirmer und Catharina geb. Karcherin mit beÿstand H. Piccard und H. Ströhlin beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein des Stiffts corporis pensionum Schaffners H. Philipp Jacob Oesinger – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane der Uttengaß einseit neben Daniel Inckel dem glaßer, anderseit neben Bartholome Dreß dem ledigen schuhmacher hinten auff einen schlupff – als ein am 10. Januarÿ 1746 erkaufftes guth
Antoine Grandjean qui habite alors à Offenbourg passe une vente provisoire devant notaire au profit du tourneur Chrétien Kausch
1749, 94 Z 3 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Zuwißen seÿe hiemit, daß anz Zu end gemeltem dato Vor mir offentlichen geschwornem Notario persönlich erschienen seÿe Sieur Antoine Grandjean commis der vivres und Schirmer allhier dermalen aber beÿ Offenburg wohnhaft, dießer declarirte in gegensein herrn Christian Kauschen, des drähers und burgers allhier, wie daß er vor sich und seine Erben, ihme herrn Kauschen und seinen Erben auffrecht, fest und unwiderrufflichen verkaufft, und Zu Kauffen gegeben habe seine inhalt Kauffverschreibung vom 10.ten Januarÿ Anno 1746 an sich erkauffte behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der utten gaß, einseit neben meister Johann Daniel Inckeln, dem Glaßern, anderseit neben Barthomoneo dreßeln, dem ledigen Schuhmachern, hinden auff den schlupff stoßend, so außer 200. lb. d. so mann dem Stifft hohen Schul herrn Schaffnern in Capital schuldig, wie der Verkäuffer handtreulich versicherte, sonst ledig eigen, und seÿen der Kauff und Verkauff Zugangen und beschehen Vor und umb 300 Pfund d. (…) Geschehen Straßburg den 18.ten Octobris Anno 1749. – Frantz Heinrich Dautel, Notarius jur. requisitus.
Antoine Grandjean et sa femme Catherine Jasmin qui sont intentionnés de devenir bourgeois d’Offenbourg donnent procuration à Martin Schæffer pour vendre la maison
Ich Endts unterschribener Urkunde und bekenne hiermit in Krafft dieses, daß, dieweilen ich dermahlen beÿ Einer Löbl. Reichs-Statt Offenburg umb nach burgerlich allda niederzulaß. auch das fiat erhalten, mithin ich und meine Ehefrau Catharina gebohrne Jasmjna Vor gut erachten zu unseren besseren nutzen unser in Einer Löbl. Statt Straßburg befindlich Aigenthümliche behausung in der Ruttengaßen Zu verkauffen, Alß haben Wir solches Vor und im Nahmen Unser Martin Schäffer Schürmer und Instructor Zu Ermelten Löbl. Statt hierzu denominiren, und demselben gegenwärtige gewalt und Vollmacht hiemit geben und ertheilen wollen (…) So geschehen Offenburg den 4. 9.bris [unterzeichnet] Grandjean, Handzeichen Catharinæ Grand jean gebohren Jasmjna +, T. J. Hessel, Procurator et fiscalis
La tribu de la Mauresse réintèrent en 1752 Antoine Grandjean dans sa qualité de tributaire après que sa femme y a renoncé sans son autorisation en 1747.
1752, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 54-v) Mittwochs den 16.ten Januarÿ Anno 1752 – Resignirtes und wieder accordirtes Schirmer Grempen Recht
H. Antoine Grandjean, der bißherige Fastenspeishändler und Schirmer allhier deßen Ehefrau Anno 1747. ohne sein vorwißen daß Recht resignirt, bittet ihme daßelbe gegen Nachtrag der Jährlichen Gebühr wieder Zukommen Zu laßen.
Erkandt, weilen die Ehefrau ohne des Imploranten Vorwißen und ohne seinen Befehl das Fastenspeishandel Recht aufgegeben, alß solle ihme in seinem begehren, jedoch gegen Erlag der Rückständigen Zunfft und Handwercks gebühren, willfahrt seÿn.
dt. die Rückständige Zunfftgebühren pro annis 1747. 1748. 1749. 1750. et 1751 à 1 ß d. 5 lb
dt. vor das Findlinghauß 10 ß
die Rückständige handwercks gebühren soll derselbe beÿm handwerck erlegen
Etat des effets que feu Antoine Grandjean, autrefois aubergiste dans les fortifications de Kehl, a apportés à Strasbourg, déclarés par sa veuve Catherine Karcher. L’inventaire esy dressé à Krutenau dans la maison du batelier Wurtz
1756 (21.7.), Not. Elles (6 E 41, 1341) n° 36
Designatio Aller v. jeeder Effecten so weÿl. der allhier zu Straßb. Verstorbenen Hr. Antoine Grandjean der geweßene Würth auf der Glacie des Hornwercks Zu Kehl nun seel. ohnlängst mit sich von ermel. Kehl zu seinem nothwendigen Gebrauch hiehero überbracht v. nach seinem den 11.t Julii dießes lauffenden 1756. Jahrs beschehenem töd. ableiben dahier Hinterlaßen, welche wenige allhier sich befindenden Effecten, So wie sie von der tugendsamen Catharina Grandjean geb. Karcherin der hinterbliebenen Wittib (…) geäugt und gezeigt – So geschehen in der Königl. Statt Straßburg in beÿsein T. Herrn Johann Jacob Herrenbergers E. En. Großen Raths alten v. Es. En. Kl. Raths jetzmahlig. wohlmeritirten Assessoris als hierzu in Specie nominirten Deputati, und Mittwoch den 21. Julii Anno 1756.
In einer allhier Zu Strb. ane der Vorstatt Crautenau gelegenen Hn Wurtz dem Schiffmann v. bs. dahier zuständigen behaußung, allwo der Verst. seel. das Seit. gesegnet, befunden worden wie folgt
Summa der gesamten vorspecificirten Effecten belaufft sich dem billigen Anschlag nach auf 5 lb 15 ß
André Grandjean, mari de Catherine Jasmin (Chassemin), meurt le 10 juillet 1756. Son frère utérin est Joseph Rossier est témoin de l’acte.
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 216-v)
Anno domini 1756 die vero 10. julii Sacramentis Ecclesiæ munitus pie in domino obiit Antonius granchan mercator et cuis maritus Catharinæ Chassmain, et die 13. a me infra scripto sepultus est in cœmeterio solito, præsentibus josepho Rossier miles invalidus fratre uterino et Renato Labourse Editui nostræ Ecclesiæ, + sig. nunc fratris (i 223)
Soldat invalide au Fort Blanc, Joseph Rozier meurt le 6 octobre 1760 à l’âge de quatre-vingt-deux ans en délaissant sa veuve Anne Villaumé
Sépulture, Saint-Marc (cath. p. 156)
Hodie 8. mensis Octobris anni 1760 sepultus fuit a Me infra scripto nudius tertius Mortuus sacramentis pœnitentiæ et extremæ unctionis Munitus Josephus Rozier octoginta duorum annorum Miles invalidus fortalitii albi subd: dubois capitaneo Maritus viduæ superstitis anna villaumée In coemeterio ad stam helenam præsentibus Jean devoudel Ejusdem cohortis Et fortalitii Instructoris Er Carolo gouthier Eiusdem Legionis Et fortalitii Instructore qui ambo Mecum subscripserunt (signé) Jean Deuoudel, charle gouttier (i 83)
L’enseignant Martin Schæffer vend au nom d’Antoine Grandjean la maison au tourneur Chrétien Kausch et à sa femme Marie Madeleine Stœtzel
1749 (24.10.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 623-v
Martin Schäffer der Informator und schirmer als gewalther Antoine Grandjean des schirmers und vormaligen employé dans les vivres
in gegensein Christian Kausch des holdrehers und Mariæ Magdalenæ geb. Stötzel
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Uttengaß, einseit neben Johann Daniel Inckel dem glaßer, anderseit neben Johann Jacob Hanß dem meelmann, hinten auff einen schlupff – als ein am 10. Januarÿ 1746 erkaufftes guth, (um 200 lb verhafftet, geschehen um 100 pfund)
Fils du brasseur Georges Kausch de Magdebourg, Chrétien Kausch épouse en 1715 Marguerite, veuve du tourneur Jean Adam Vierling : contrat de mariage, célébration
1715 (6.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 73) n° 3
Eheberedung Zwischen dem Ehrbaren Christian Kauschen Ledigen trehern von Magdeburg gebürtig, weÿl. Geörg Kauschen geweßenen Brau Meisters allda Ehl. Sohn, mit Assistentz des Ehren vnd vorgeachten H. Johann Alsdorff Paßmentireren vnd burgern alhier ane Einem
Und der Viel Ehren vnd tugendsamen Frau Margarethæ Vierlingin, weÿl. Johann Adam Vierlings gewesenen treger vnd burgers allhier nunmehr seel. hinterlaßene Wittib, mit beÿstand der Ehren Vesten und vorachtbahren H. Johann Daniel Kugler trehers Ihres Vogts H. Joh: Samuel Schollen Sattler, der Kk. erster Ehe Vogt, H. Johann Flachen Kieffern Ihres Schwagers und H. Frantz Werners Pastetenbecks Ihres bruders andern theils – Actum Donnerstags d. 6.ten Junÿ 1715. [unterzeichnet] christ gan kausche alß hochzeider, Margaretha virlingin als hocht Zeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 58)
Anno 1715. d. 27. Nov. seind Ehelich eingesegnet word. Christian Kausch der ledige hohlträher vnd Burger Weiland herrn Georg Kauschen gewesenen Burgers vndt Biersieders Zu Magdeburg. nachgelaßener Ehelicher Sohn, vndt frau Margaretha weiland Johann Adam Vierlings gewesenen Burgers und hohldrähers allhier nachgelaßene Witwe [unterzeichnet] Christ gan Kaus alß hoch Zeiter, Margaretha vierlein alß hoch Zeiterin (i 60)
Jean Adam Vierling épouse en 1696 Marguerite, fille du pasteur François Wernert
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 54)
den 4. Aprilis 1696. sind Copulirt Worden Johann Adam fürling lediger träher Andreæ fürlings glaßers v burgers alhie hinterlaßener ehelicher Sohn, vnd Jungfraw Margaretha Herren M. Frantz Wernerts Caplans in hiesigem Spittal hinderlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Adam Vierling Alß Prautigam, Margaretha wernerin Anna Maria hoch Zeiterin (i 56)
Chrétien Kausch devient bourgeois par sa femme Marguerite.
1715, 4° Livre de bourgeoisie p. 818
Christian Kausch der dreher Von Magdenburg, weÿl. Georg Kausch gew: biersieders daselbst h. sohn, emp. das Burgerrecht V. seiner Fr. Margaretha p. 2. gold. fl. 16 ß Wird beÿ den Zimmerleuthen dienen. J. d. 12. Xbr: 1717.
Chrétien Kausch est reçu tributaire chez les Charpentiers
1715, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 14) Dienstags den 17.ten dito [Xbris 1715] – Mstr Christian Kausch der hohltreher Von Magdeburg gebürtig prod. Stallsch. de dato 12. xbr. 1715 bittet derselben als einen Zünfftigen anzunehmen. Erk. willf.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Grand rue qui appartient à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 510 livres.
1716 (3.12.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 2) n° 16 (16)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vnd Güetere, so der Ehrsam: vnd bescheidene Meister Christian Kausch Hohltreher Vndt die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Margaretha Vierlingin, beede Eheleute vndt burgere allhier zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, vnd sich deren Jeedes nach Anzeig Ihrer mit einander auffgerichtet. Eheberedung für unverändert vorbehalten hat (…) Act. in der könig. Statt Straß. in beÿsein v. persönlicher gegenwarth, Herrn Joh: Samuel Schnell der Ehefr. erster Ehe Kk. Vogts, Montags d. 3. Xbr. 1716.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen straßen gelegenen und der Ehefr. eigenthümlich zuständigen behausung hat sich befunden alß volgt.
Eÿgenthumb ane einer behaußung (F.) It. eine Behausung, Hoffstatt, höfflein, hinterhauß vnd bronnen v. allen deren gebäuwen ane der Obern straßen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns Nahrung bet. Kleÿdung vnd weiß gezeugs 31, Werckzeugs Zum treher handwerck gehörig 3, Silbers 3, Summa summarum 37 lb – Schulden 3 lb, Nach deren Abzug 34 – Dazu gelegt sein ane den haussteuren gehörige antheil 15 lb, des Ehemanns Vermögen 49 lb
Der Ehefraun Vermögen bet. Sa. haußraths 267 Sa. holtz und werckzeugs Zum treher handwerck gehörig 75, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ringe 18, Sa. baarschafft 13, Sa. Eÿgenthumb ane einer behausung 100, Sa. Schulden 3, Summa summarum 494 lb – Adde Ihrem den haussteuren gehörige helffte machend 15, der Ehefrau Vermögen 510 lb
Chrétien Kausch obtient des Quinze l’annulation de la sentence rendue par la tribu par laquelle elle lui infigeait une amende pour avoir commandé des poulies de puits sans en remettre une partie à d’autres tourneurs, la sentence ayant été rendue sans observer le règlement. Les Quinze renvoient quant au fond l’affaire à la maîtrise.
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
(p. 341) Sambstag den 20. Sept. 1727. – Christian Kausch Ca. Handwerckh der dreher
Moss. nôe Christian Kausch burgers undt Hohl drehers C. E. E. Handwerckh der Hohl dreher Ober M. prod. vndt.ge Appellations Klag mit beylag Lit. A. bitt und.th dieße Appellation gnädig Zu recipiren, und will ad 1.am post ferias darzu Verkund. laßen. Erk. Soll Verkund. werd.
(p. 406) Sambstag den 22. Nov. 1727 – Moss. nôe Christian Kausch des trehers C. E. E. Handwercks der dreher Ober M. erholt appl. Vom 20. Sept. Bitt Deput. et facte relatione den Imploranten von der Straff gnädig Zu entlad. Fuchß bitt auxch Deput. und die Sach beÿ ergangenem bescheidt Zu laßen. Moss priora. Erk. ut ante [wird mit gebettener Deput. willfahrt]
(p. 426) Sambstag den 29. Nov. 1727 – Christian Kausch Ca. Handwerck der Hohl dreher
Iidem [Obere Handwerck herren] laßen per Eundem [herrn Secret. Kleinclauß] referiren, daß Christian Kausch der burger undt Hohl dreher allhier contra E. E. Handwerckh der allhießigen Hohldreher d. 20. Sept. jüngst eine Vnd.thge Appellats-Klag mit beÿlag Lit. A. betrifft einen handtwercks bescheid so d. 9. Sept. jüngst, und Zwahr ohne beÿsein der hochverordneten Ober Handwerck herren ertheilt besag welches sie Meister Kauschen, weilen er in Verwichener Meß bronnen scheiben bestelt, undt dießelbe allein behalten, mit dreÿ pfundt straff belegt, undt concludirt Kausch dahien in Rechts Zu erkennen außzusprech. daß in erster Instantz /:weilen die hochverordnete Ober Handwerckh herren, Wie es doch nach Klahrer disposition der ordnung sein soll, nicht præsentes geweßen:/ null undt nichtig geurtheilet werden, oder daß er doch wegen seinen im obigem producto enthaltenen gravaminibus Von der angesetzten straaff in gnaden mochte entladen werden ref. Expensis.
Auff dieses productum habe gedachte handwerckh umb Deputation und die sach beÿ ergangenem bescheid ref. Exp. Zu laßen gebetten, welche Deput auch willfahrt undt Kürtzlich beseßen worden, da der Appellant sich auff den jnhalt seines producti bezogen,
Nahmens der Appellaten seÿen Vorgestanden Johann Daniel Frieß, und Johann Adam Vierling, welche quoad formalia geantwortet, daß sie die Handwercks ordnung nicht gewußt, die articul so sie hätten, setzten die straaff an, undt sie nicht, quoad substantalia, so habe gegner wieder einen Klahren articul Vom 13. 9.bris 1674. die quæstionirte Scheiben bestellet, Auff Welches der Appellant replicirt, er gestehe daß er die Scheuben bestellet gehabt, es seÿe aber wehrender Meß gewesen. Auff seithen der Hh. Depp. finde man daß nach Disposition der handwerckhs-ordnung §° 1.mo der Vorgelegte handwercks bescheid alß da es nicht umb 10. ß straff sondern umb 3 lb. zu thun, alß null und nichtig Zu erklähren, undt die haupt Sach in beÿsein der Ober Handwerck herren beÿ versamleter Meisterschafft wohin dieselbe Zu remittiren de novo Zu examiniren, undt Zu erörtern seÿe. die Genehmigung Zu Mghh stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.
Nouvelle affaire relative à un mémoire de frais (les passages de simple procédure ne sont pas transcrits)
1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134, notes du greffier 2 R 133)
Christian Kausch 41, 46, 51, 56, 61, 78, 131, 282, 304, 310 (taxa), 312, 375, R 77, R 100, R 107, R 123, R 145, R 160, R 401
(notes p. 131) Sambstag den 13. Martÿ 1728 – Iid: [Obere Handwh.] ref. daß E. E. mstrsch der hohldreher allhier Ca. Christian Kausch auch bgr. und hohldreher ein unther. mem. mit beÿlagen sub n° 1. 2. et 3. prod. Worauff Erk. Hwks bescheidt vorgelegt undt berichtet habe, daß ged. bescheidt nur ein interloc. bittet deßweg. die sach nochmahl ahn d. hwkh zu Verweißen ref. exp. R. habe man ersehen, daß es umb eine revision der Von bek. aô 1725. gestalten obermstrs rechnung Zu ths seÿe, undt k. Vorgeben, daß bek. einige posten außgelaßen und andere duplicirt habe, und weilen die abhör sothaner rechnungen, volglich dann auch deren revision vor die Von H. R. XIII. abgeordnete Oberhwksh. gehörig ist, alß verneme man, daß dieße sach auch ahn dieselben Zu remittiren seÿe reserv. exp.
(p 160) Sambstag den 24. Aprilis 1728 – Obere Handwerck herren laßen durch herrn Secret. Kleinclauß referiren, daß Comm. nachstehender bescheide seÿe begehrt und willfahrt, dieselbe sofort wie folgt Zu papier gebracht worden
Sambstag den 29. Novembris 1727. In Sachen Christian Kausch des burgers und Hohldrehers alhier Appellant an einem entgegen und wider E. E. Handwerck der Hohldreher (…)
(p. 401) Sambstag d. 27. Novembris 1728 – Christian Kausch Ca. Handwerck der Hohl dreher pt° taxa
Iidem [Obere Handwerck herren] laßen ferner per Eundem [herrn Secret. Kleinclauß] referiren, daß Christian Kausch der burger undt Hohldreher contra E. E. Handwerckh der Hohldreher d. 25. Sept. jüngst ein Vnd.thg Memoriale mit Zweÿ beÿlag sub Lit. A. et B. /:Lit. A. ist der beÿ E. E. Handwerck der dreher den 11. May 1728. ertheilt bescheid, Lit. B. aber die Specification der unkosten à 19 fl. 8 ß 11 sich erstreckend:/ eingelost, Worauff der Ober Meister umb Deputation, undt die Sach alß ausgemacht beÿ ergangenem bescheid Zu laßen, Ref. Exp. gebetten, Kausch replicirt Es seÿe der punct* taxæ.
Auff geschehener Remission habe man die parthen ferner gehört, da man ersehen, daß es allein umb taxirung eines unkosten Zettuls Zu thun seÿe welche unkosten Von seithen der Meisterschafft an Ihne d. Implorant gefordert werde, so sich auff 19. fl. 8 ß 11 d. lauffen, die man aber nach deme man selbig von posten Zu posten durchgangen auff 17. fl. 2 ß 8 d taxirt haben, Zu Mghh stellend, ob Sie es dabeÿ laßen oder ein andern erkennen wollen. Erk. werden die in der beylag Lit. B. specificirte und auff 19 fl. 8 ß 11 d. sich belauffende unkosten vorgeschlagener maßen auff 17 fl. 2 ß. 8 d. taxirt.
(Notes p. 374)
Marguerite Werner meurt en 1747 en délaissant deux enfants de son premier mariage. L’inventaire est dressé dans la maison provenant de la défunte. La masse propre au veuf est de 71 livres, celle propre aux héritiers de 262 livres. L’actif de la communauté s’élève à 54 livres, le passif à 39 livres
1747 (28.12.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 53) n° 1388
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsamen frauen Margarethæ Kauschin gebohrner Wörnerin, Herrn Christian Kauschen, Hohldrehers und Burgers alhier zu Straßburg gewesener ehelichen Haußfrauen nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1747.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen, so liegend alß fahrender, unverändert, verändert und theilbarer Haab Nahrung und Güthere, Schulden und Gegen Schulden, überall nichts davon außgenommen, so Weÿl. die Ehren und tugendsame Frau Margaretha Kauschin gebohrne Wörnerin, Herrn Christian Kauschen, des Hohldrehers und Burgers alhier zu Straßburg gew. Ehefrau nunmehr seel. nach ihrem den 1.ten Novembris dieses annoch wehrenden 1747.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren ihrer mit Weÿl. H. Johann Adam Vierling auch gewesenem Hohldreher und Burgern dahier, ihrem erstern Ehemann ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zu ihren rechtmäsigen Erben verlaßener Zweÿ Kindere (…) Actum Straßburg den 28.ten Dec: 1747.
Denominatio hæredum. Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Ihren rechtmäsigen Erben Verlaßen, wie volgt. 1. Herr Joh: Adam Vierling den hohltreher v. burger, allhier so dem geschäfft in eigener Persohn abwartete, in die eine helffte, und 2. frau Margaretham Salomeam Kipsin gebohrne Vierlingin, weÿland Joh: Daniel Kipsen des Jüngern geweßenen tuchscherers und burgers allhier hinterbliebene Wittib so ebenfalls gegenwärtig vnd diesem geschäfft vnter beÿstand Herrn Jacob Schultzen Weißbecken vnd burgers dahier beÿwohnete In die andere helffte. Also beede der Verstorbenen, seel. mit auch weÿl. H. Joh: Adam Vierling gewesenen hohltr. vnd burger allhier Ihrem erstern haußwürt seel. Ehelich erzielte Kinder vnd ab intestato Zu gleichen portionen v. anteilen verlaßene Erben
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
In einer alhier zu Straßburg in der Langenstraß gelegenen, in diese Erb: und Verlaßenschafft gehörigen Behausung hat sich befunden, als folgt
Wÿdemb, Welchen die abgeleibte seelig von weÿl. Herrn Johann Adam Vierling dem gewesenen Kunsttreher Ihrem Ertern Ehemann seel. lebenslänglich genoßen vnd dermahlen auf Ihre Eingangs gemelte zweÿ Kinder wieder anheim fällt
(f° 12) Eigenthum ane einer Behaußung. (E.) Nemlich die helffte einer Behaußung
$ hinten auff dem Müntzhoff stoßend
Ergäntzung des Wittibers abgangenen Unveränderten guths, Nach anzeig Inventarii illatorum de anno 1716.
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers Nahrung, Sa. Silbers 1, Sa. Sa. 94, Sa. der Ergäntzung (19, abzug 10 ß, Remanet) 18, Summa summarum 114 lb – Schulden 43, Nach deren Abzug 71 lb
Der Erben anerstorbenen Mütterlich guth, Sa. haußraths 71, Sa. Werckzeugs zum treher handwerck gehörig 14, Sa. Silbers 2, Sa. Goldenen Ring 4, Sa. Eigenthum ane 1. behausung 350, Sa. Schulden 283, Sa. Ergäntzung (101, abgang 80, restiret) 21, Summa summarum 347 lb – Schulden 485, Conferendo restiert 262 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 39, Sa. holtz vnd werckzeugs zum treher handwerck gehörig 5, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 1, Sa. Schulden 5, Summa summarum 54 lb – Schulden 39, In Vergleichung 15 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 214 lb – Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Verlaßenschafft Zugeltend 3
Marguerite Werner meurt le 3 novembre 1747 à l’âge de 78 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 57, reg. 1736-1765)
1747. Mittwochs den 3. Novembr. abends umb 9. vhr ist Fr. Margaretha Kauschin an lang außgestandener blödigkeit vnd alters schwachheit gestorben Fr. Margaretha geb. Wörnerin, deß Vorachtbaren Mstr. Christian Kausch Kunsterfahren Hohlträhers vndt burgers allhier geweßene Ehefrau vnd folgenden freÿtags als den 3.ten ejusdem beÿ gehaltenen leichpredigt auff den Gottesacker Zu St. Galli Zur erden bestattet worden, Ihres alters 78 jahr 3. monath 19. Tag [unterzeichnet] Christian Kausch als wittwer, Johann Adam Vierling als Sohn (i 63)
Chrétien Kausch de remarie en 1749 avec Marie Madeleine Stœltzel, veuve du boulanger Jean Jacques Neustœckel : contrat de mariage, célébration
1749 (16.6.), Not. Koch (6 E 41, 499) n° 172
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren v. Vorgeachte Herr Christian Kausch, der Dreher v. burger allhier Zu Straßburg als Bräutigam, ane Einem
und die Viel Ehren vnd Tugendsame Frau Maria Magdalena, gebohrne Stöltzelin, Weÿl. H Joh. Jacob Neustöckels, geweßenen Weißbecken v. Burgers allh. seel. nachgel. Wittib, als Hochzeiterin, am Andern Theil, beÿständ. wie zu End gedacht
auff Montag d. 16.den Junii A° 1749. [unterzeichnet] Christian Kausch als Hoch Zeider, Maria Magtalena Steltzlrin all hzierin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 55)
1749. Mitwochs d. 2. Julii 1749. sind nach vorhergeschehener Zweÿmahligen Proclamation Ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr Christian Kausch der wittwer, hohl dräher und burger allhier und Fr. Maria Magdalena gebohrene Stöltzlerin weÿl. Johann Jacob Neustöckel, gewesenen Weißbecken und burgers allhier hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Christian kausch als hozeider, Maria Magdalena Nuckerin (i 31)
Fille du tailleur Jean Frédéric Stœltzel, Marie Madeleine Stœltzel épouse en 1746 Jean Jacques Neustœckel
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 145 n° 31)
aô 1746. d. 17 Aug. Seind nach Zweymahliger ausruffung Dom: IX.no et X.mo nach Trinitatis in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich copulirt und eingesegnet worden H. Johann Jacob Neustöckel, der Weißbeck, Wittwer u. burger alhier, und Jungfrau Maria Magdalene, Wey. Johann Friderich Stöltzlin, Schneiders u. burgers allhier nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob neustökcel als hoch Zitter, Maria Magdalena steltzlin (i 148)
Chrétien Kausch et Marie Madeleine Stœltzel hypothèquent la maison au profit du receveur de la Chartreuse pour en régler les frais de construction
1750 (18.7.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 352
Christian Kausch der holdreher und Maria Magdalena geb. Stötzelin mit beÿstand ihres schwagers Johann Ludwig Neustöckel des paßmentirers und ihres vettern Johann Jacob Bollender des strumpffstrickers
in gegensein des stiffts Carthauß schaffneÿ substituti H. Lt Frantz Jacob Dorßner, zu bauung hiernach beschriebener behausung, schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane der Uttengaß, einseit neben Daniel Jnckel dem glaßer, anderseit neben Johann Jacob Hanß dem meelmann, hinten auff einen schlupff
Autre hypothèque dans le même but au profit du chaudronnier municipal Jean Kugler
1750 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 397
Christian Kausch der holdreher und Maria Magdalena geb. Stoltzelin mit beÿstand ihres schwagers Johann Ludwig Neustockel des paßmentiers und ihres vettern Johann Jacob Bollender des strumpffstrickers [unterzeichnet] Neusteckel
in gegensein H. Johann Kugler des Stadt kupfferschmidts E.E. kleinen Raths alten beÿsitzer, zu bauung hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 250 lb
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane der Uttengaß, einseit neben Daniel Jnckel dem glaßer, anderseit neben Jacob Hanß dem meelmann, hinten auff einen schlupff
Chrétien Kausch et Marie Madeleine Stœltzel hypothèquent la maison au profit de Jean Adam Vierling
1758 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 291
Christian Kausch der dräher und Maria Magdalena geb. Stöltzlerin mit beÿstand Johann Georg Hügel und Johann Daniel Mäyer beede schiffleuthe
in gegensein Johann Adam Vierling – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Uttengaß, einseit neben Johann Christmann dem meelmann, anderseit neben den Jnckelischen wittib und erben, hinten auff ebendenselben
Chrétien Kausch meurt en 1771 en délaissant pour héritiers les enfants Vierling. La maison est portée à l’inventaire à son prix de vente à Philippe Daniel Friess. L’actif de la succession s’élève à 1 063 livres, le passif à 1 200 livres. La veuve cède le 30 mai 1771 par acte notarié (vente provisoire) la maison à Philippe Daniel Friess pour régler les créanciers.
1771 (3.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1214) n° 1717
Inventarium über Weÿland Meister Christian Kausch, des geweßenen drähers und brs allhier Zu Straßburg nunmehr selig. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1771.
Inventarium und Beschreibung derjenigen Haab, Nahrung und Güther so weiland Mr Christian Kausch, geweßener dräher u. br. allhier Zu Straßburg nach seinem Sonntags den 13. Aprilis dieses innstehenden 1771.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeit. verlaßen, welche Verl. auf gebührendes ansuchen, Erfordern und begehren Frn. Mariä Magdalenä Kauschin geb. Steltzelin der hinterbliebenen Wittib, beÿständlich ihres Vettern Joh: Georg Hügel des Schiffmanns u. brs allhier den Sie ane Vogtstatt Zu ihrem beÿstand hierzu angesprochen, wie auch des Verstorbenen selig per Testamentum hinterlaßenen Substitutions Erben (…) ane dieselbe wie auch Jungfrau Juliana Margaretha Wilhelmina Friderica Nigrin, weil. H. Georg Adam Nigrin gew. Evangelischen Pfarrh. in allhiesigem Hospital selig hinterlassene tochter, welche sich dißorts in die 10. Jahr lang in Wohnung aufhält, geschehene (…) handtreu – So geschehen Straßburg Montags den 3.ten Junÿ A. 1771
Der Verstorbene seelig hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. Weil. H. Johann Adam Vierling des gew. Kunst und Silberdrähers auch bs.. allhier selig. hinderlaßene dreÿ eheleibliche Kinder als 1.mo Frau Mariam Magdalenam Fichtnerin geb. Vierlingin weil. Hrn Johann Georg Fichtner des gew. Kunstdrehers u. geschwornen Courtier auch brs allhier selig hinterbliebene Wittib die unter assistentz nachgemelten dero ältern bruders sich hiebeÿ eingefunden. 2.do H. Johann Christian Vierling den frippier u. br. allhier, So dann 3.tio H. Georg Friderich Vierling den Kunstdräher u. brn. allhier der auch diesem Geschäfft persönlich beÿwohnten, Alle dreÿ des abgeleibten selig per substitutionem Zu gleichen portionen u. Stammtheilen verlaßene Erben, die aber gegenwärtige Erb und Verl. andern gestalten nicht dann cum beneficio legis et Inventarÿ anzutretten sich hierbeÿ erkläret haben
In einer allhier Zu Straßburg ane der sogenannten Utten: oder Magdalenä Gaß gelegenen und in dieße Verl. gehörig, dannenhero hernach beschriebener behausung befunden worden wie folgt.
Eigenthum ane einer Behausung. Näml. i. behaußung u. Hoffstatt m. allen deren Gebäuden, begriffen, Weitern, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß I. s. neben Mr Johann Christian Adam Mehl dem Glaser 2.s. neben Johann Friedrich Fleischhauer dem Meelhändler, Hinten auf seinen Schlupf stoßend gelegen davon man nunmehro gemeiner Statt Pfenningthurn jährl. auff Trium Regum 6 ß allmend Zinß Zu reichen verbunden, sonsten über hernachfolgende Passiv Capitalia und den Vingt° ledig und eigen
Es wird aber selbige behaußung um denjenigen Preiß welche Mr Philipp Daniel Frieß der dräher u br. allhier zu geben den 29.t Maÿ jüngst schrifftlich ausgestelt, hier außgeworfen um 1000. Hierüber meldet 1. teutsch perg. Kfbr. in allh. C.C. Stb errichtet m. dero anhngd. Ins. vers. de dato 24. 8.bris A. 1749. Dabeÿ weiter dergl. perg. Kfbr. daselbst errichtet m. solch Ins. bestärckt datirt den 10.t Jan. 1746. Sonsten bes. auch darüber und Zwar über 2.theil derselben 1. deutsch. perg. Ganthkaufbrf. m. E. E. kl. Raths anhngd. Ins. verw. sub dato 26. Septembris A° 1736. Und dann über Zwo tertzen der Behaußung meldet i. deutsch perg. Kfbrf. in der C. C. Stb errichtet, m. dem anhangd. Ins. bekräfftiget respectivé 6.t 7.bris 1714 et 15.t Junÿ 1716. m. a. Lit. A. bemerckt.
Bericht wegen gegenwärtige Verl. Es seind beede geweßte Eheleute den 2.ten Juny A. 1749. copulirt worden, und da Sie in ihrer vorher verglich. eingetragenen Eheberedung §° 2.do unter andern wohlbedächtlich verglichen daß das zusammenbringende Vermögen einem jeden und seinen Erben unverändert verbleiben und das davon abgehende Zu seiner Zeit wieder ergäntzt werden sollte. Und aber dazumalen selbiges Zu inventiren unterlaßen werden, so hat Zwar die jetzige Wb. ane Georg Adam Mann den Metzger und deßen Ehefrau weißt Contractuum Protocollo de 1746. fol. 1021.b in Capital 600 lb d Zu erfordern gehabt
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ, Sa. haußraths 52, Sa. Werckzeug zum dräher handwerck gehörig 10, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthum an j. behaußung 1000, Summa summarum 1063. lb – Schulden 1200 lb, Mehr Schulden dann guth 136 lb
Copia der Eheberedung (…)
Extractus aus dem von Weiland Meister Christian Kausch dem Hohltreher und auch Weiland Fraun Margarethæ gebohrner Wernerin beeden gewesenen Eheleuten und burgern allhier vor herrn Notario Johann Jacob Oelinger und darzu berufenen sieben Gezeugen am 6.t Januarii 1739. (…) auffgerichteten Testamento und respective Codicillo (…) zu seinen wahren, rechten, einzigen und ohngezweiffelten Erben ernannt, instituirt und eingesetzt habe, Johann Daniel Kipsen, Herrn Johann Daniel Kipsen des Tuchscherers mit Fraun Margarethæ Salome gebohrener Vierlingin ehelich erzeugtes Söhnleins, deßen Pfetter jedoch daß er von solchem Erb Alexander Peter Kauschen, dem träher Zu Magdeburg des testirers Bruder oder deßen Kindern 100 gulden als ein legat davon Zustelle Hernächst gehet sein des Testamentoris Vorsehung dahin, wann der instituirte Erb leedigen Stands mit tod abgienge, daß daßelben dießortige acquirirte Erbschaft auf deßen Mutter obgedacht, oder dero Kinder kommen und fallen würden, aber auch da die Mutter Margaretha Salome gebohrne Vierlingin ohne Kinder S* das Zeitliche gesegnete, so wollte Er der Testator derselben mittelst dießes ihren Bruder Meister Hannß Adam Vierling oder deßen Leibes Erben am kräftigsten substituirt und untersetzt (…)
Zuwißen seÿe hiermit, daß ane heut zu end gemeltem dato Zur vor mir Notario persönlich kommn und erschienen Frau Maria Magdalena Kauschin geb. Stöltzelin weiland Mr Christian Kausch gew. Kunst und hohldrähers auch brs. allhier seelig. Wb. beÿständlich ihres Vettern Johann Georg Hügel des Schiffmanns u. brs allhier anzeigende, demnach in Ansehung vorhandener passiv Capitalien und davon berstrichener Interesse auch sonstiger dergl. Schulden aus dero Ehemanns selig. Verl. Zu bezahlend außer was Sie vor ihrer manglend Gut aus selbiges Zu erfordern hätte, Ihro ohnmöglich seÿe die in selbige Verlt. gehörige allhier Zu Straßburg ane der sogenannten Utten oder St: Magdalenä Gaß gelegenen behaußung beÿzubehalten, als hat Sie Viel lieber und mit Consens der Hh. Creditoren wie auch Zum theil hiebeÿ gegenwärtig solche behaußung nebst dem darinnen befindl. Zur personal Einquartierung gewidmeter bett und bettlad und die Zweÿ kleine dännene Kästlein ane dem Stegenlanderen nebst dem was Wand und Nagelvest ist außer des Werckzeugs ane Mr Philipp Daniel Frieß den dräher und bn. allhier werkaufet, welcher dann auch selbige erkauft zu haben hiebeÿ bezeuget vor und umb 2000 gulden (…) Welche also Zwischen ihro Kauschischer Wb. u. ihme dem Käufer geschehene Handlung Zugegangen u. geschehen in fernerem beÿsein H. Johann Daniel Frieß des Kunst- u. Hohldräher des Kaufers eheleiblichen Vaters H. Joh: Christian Vierlig frippier u. brs allhier wie auch deßen beeder Geschwisterden Fr. Mariä Magdalenä Fichtnerin geb. Vierlingin Wb. u. H. Georg Friderich Vierling ebenfalls Kunst- u. Hohldrähers allhier so dann H. Johannes Christmann des jüngern Meelhändlers u. brs allhier – Straßburg den 29.ten Maÿ A° 1771
Marie Madeleine Stœltzel vend la maison au tourneur Philippe Daniel Friess
1771 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 312-v
Maria Magdalena geb. Stötzlerin weÿl. Christian Kausch den hohlderhers hinterlassene wittib beÿständlich Johann Georg Hügel des schiffmanns
in gegensein Philipp Daniel Frieß des hohldrähers
eine behausung und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Uttergaß, einseit neben Mr. Johann Christian Adam Mehl dem glaßer, anderseit neben Johann Friedrich Fleischhauer dem meelmann, hinten auff einen Schlupff – davon gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn auf Trium regum 6 ß ane Allmend zinß – als ein in vorbeschriebenen (ihres ehemanns verlaßenschafft) maßen ane sich gebrachtes guth – (umb 200, 250, 250, 250 pfund verhafftet, geschehen um 700 pfund)
Fils du tourneur Jean Daniel Friess, Philippe Daniel Friess épouse en 1771 Marie Salomé Kayser, fille du tisserand Philippe Jacques Kayser : contrat de mariage, célébration
1771 (3.1.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 560
Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Jüngling Philipp Daniel Frieß, Hohldreher Meister H Johann Daniel Frieß Kunstdreher Meisters und Frau Margarethä Dorotheä geb. Schefferin beeder Eheleute und burger alhier ehelich erzeugtem Sohn, als Bräutigam an einem
So dann der Eren und Tugendsamen Jungfrau Maria Salome Kaÿßerin, weiland H Philipp Jacob Kaÿßer, geweßenen geschwornen Leinenweber Mrs und hiesigen bs. mit längst weil. Frau Anna Maria geb. Geÿlerin ehelich erzeugter tochter als braut an dem andern theil
Beschehen Straßburg Donnerstags den 3. Jenner im Jahr der Gnaden 1771 [unterzeichnet] Philipp Daniel Frieß als Hoch Zeider, Maria Salome Kaÿserin als hochzeilerin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 189)
Im Jahr Christi 1771 Mittwochs den 13. Februarÿ wurden nach Dominica Sexagesimæ et Quinquages: als den 3. und 10. Februarÿ geschehenen ordnungsmäsigen Proclamationen ehelich copulirt und Christlich eingesegnet, Philipp Danjel Fries, ledigen Dreher von hier, Johann Danjel Friesen, drehers und burgers allhier, mit Frau Margaretha Dorothea gebohr. Schäferin ehelich erzeugte dochter und Jgfr. Maria Salome Kayserin, weiland Philipp Jacob Kaÿsers gewesenen Leinen webers und Burgers allhier, mit weiland Fr: Anna Maria gebohrner Geÿlerin ehelich erzeugte nachgelaßene Tochter [unterzeichnet] Philipp Daniel Frieß als Hochzeider, Maria Salome Kayserin als hoch Zillerin (i 197)
Philippe Daniel Friess devient tributaire chez les Charpentiers en janvier 1771
1771, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
(f° 102-v) Mittwochs den 9. Januarÿ 1771 – Erschienen Mr Philipp Daniel Frieß der hohltreher und burger alhier producirt Stallschein dedato 5.ten Januarii 1771. bittend ihme vermög deßelben beÿ dieser Ehrsamen Zunft als einen Zünftigen Zu recipiren sub oblato præstanda zu præstiren. Erkannt Willfahrt. Juravit.
Comptes que rend son tuteur à Marie Salomé Kayser
1771, Not. Haering (6 E 41, 1382)
(92) Rechnung Mein Johann Heinrich Vogel, Schuhemachers und hießigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrau Mariä Salome Kaÿßerin, welche mit Philipp Daniel Frieß hohldreher Meister und hießigem burger Verlobt ist, inhaltend was Ich seit Annunciationis Mariæ 1768 als dem Schluß meiner Zweÿten dießer Vogts tochter halben abgelegten Rechnung biß den 23. Jenner 1771 ihrentwegen ferner eingenommen und außgegeben habe – Dritte und zugleich letzte Rechnung dießer Vogteÿ
(93) Rechnung Mein Johann Heinrich Vogel, Schuhemachers und hießigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts weiland Frau Annä Mariä Kaÿßerin geb. Geÿlerin und auch weiland Mr Philipp Jacob Kaÿsers gew. Lwbrs. u. Bs alh. beeder seel. erzeugte und anch tod Verlaßener jüngern töchterleins Mariä Salome Kaÿßerin, inhaltend was Ich seit Anno 1758 als der Übernahm gegenwärtiger Vogteÿ biß Annunciationis Mariæ 1765. ged. Curandæ halben eingenommen und außgegeben auch sonsten gehandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ.
(94) Rechnung Mein Johann Heinrich Vogel, Schuhemachers und hießigen burgers als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrau Mariä Salome Kaÿßerin, weiland Mr Philipp Jacob Kaÿsers gew. Lwbrs. mit längst weil. fr: Anna Maria geb. Geÿlerin beeder seel. ehelich erzeugt und nach tod Verlaßener Jüngern Tochter, inhaltend was Ich seit Annunc. Mariæ 1765 als dem Schluß meiner am 9. Maÿ ged. Jahrs Vor. E. Löbl. Vogteÿ Gericht abgehandelten ersten Rechnung biß Annunc. Mariæ 1768 ihrentwegen ferner gehandelt, eingenommen und außgegeben habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ
Philippe Daniel Friess achète en 1775 une maison dans l’impasse qu’il réunit à sa propriété (elle forme ensuite la maison arrière)
1775 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 158-v
Fr. Maria Barbara Stephanin geb. Kälberzahnin weÿl. Jacob Stephan des schneiders wittib beÿständlich H. Johann Michael Widt des handelsmanns
in gegensein Mr Philipp Daniel Frieß des drehers
die behausung mit allen denen gebäu, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Uttengaß in dem schlupff vornen und beeden seiten auf das Allmend, hinten auf den Closter der Reuerinnen – an welchem haus ein s.v. proveÿ sich befindet worzu etliche nachbarn den zugang haben – alß ein von ihrem ersten ehemann weÿl. Johann Heinrich Stahlschmidt gewesenen schneiders ererbtes guth – um 350 gulden
Le tourneur Philippe Daniel Friess qui demeurant alors à Zornhoffen (près de Saverne) vend la maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière à Jean Louis Kreuscher moyennant 5 000 livres tournois
1797 (7 nivôse 6), Strasbourg 7 (34), M° Stoeber n° 985
burger Philipp Daniel Friess, dräher dermalen zu Zornhoffen wohnhaft, dieser hat
in gegensein b. Johann Ludwig Kreuscher, Mezgers allhier freiwillig angezeigt und bekandt daß Er hiemit für sich und seine Erben auch vest und unwiderrufflich verkaufen, cediren, abtretten und überlassen wolte ihm Johann Ludwig Kreuscher
Eine Behausung bestehend in Vorder und Hintergebäuden, Hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden & Rechten alhie Zu Straßburg an der Uttengaß N° 9, 1.s. neben Joh: Christian Adam Mehl dem Glaser, 2.s. br. Joh: Friderich Fleischhauer Mehlhändler hinten auf das Vormahlige Closter S. Magdalena Ziehend, davon man jährlich der hiesigen Commune 1 l. 4 Allmendzinß zureichen Gebunden, sonst über 200 livres darauf hafftenden u. Jgfr. Susannä Salome Schäffer gebührigen Capital ledig eÿgen, woran der Verkäufer die Vordere behausung samt Zugehörden Von Fr. Maria Magdalena gebohrene Stöltzler weil. bs. Christian Kausch holdrähers wb. Vermög deren hies. Vormaligen Contract Stub d. 1. July 1771 passirten Kauffverschreibung erlangt habe und die hintere behausung Von Frau Stephanin Schneiderin wittib gekauft habe.
Und ist gegenwärtiger Kauf und Verkauf ubergab und annahme zugegangen und geschehen Vor und um die summa der 5000 livres
Enregistrement, acp 57 F° 18 du 15 niv. 6
Jean Louis Kreuscher vend la maison au fruitier Jean Georges Moll et à sa femme Madeleine Held
1808 (13.9.), Strasbourg 7 (39), M° Stoeber n° 2908, 8639
Jean Louis Kreuscher saucissier
à Jean Georges Moll fruitier et Madeleine née Held
une Maison consistant en deux corps de logis appartenances et dépendances située en cette ville de Strasbourg rue d’Utton ou de la Madeleine n° 9, d’un côté Jean Chrétien Adam Mehl vitrier, de l’autre le Sr Jean Christmann marchand farinier aboutissant sur le Sr Dietsch fabricant de draps – dont on annuellement à la ville une rente communale de 2,20 francs – acquis suivant acte reçu par le soussigné notaire le 7 nivôse 6. Plus il a été stipulé que les acquéreurs ne pourront vendre ou aliener la maison de derrière séparement sans le consentement expresse du vendeur ou de ses ayant cause puisque sans cette clause le contrat n’aurait pas eu lieu, le vendeur se reserve en ce Cas le droit de preference de l’acquerir au même prix qu’un autre en payeroit – moyennant 4938 francs ou 5000 livres
Enregistrement, acp 108 F° 22 du 23.9.
Fils du cultivateur Osvald Moll de Schiltigheim, Jean Georges Moll épouse en 1791 Marie Madeleine Held, fille du cultivateur Jean Georges Held de Neuwiller : contrat de mariage, célébration
1791 (6.9.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 57 altes 273
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Johann Georg Moll lediger Schumacher von Schiltigheim gebürtig, Oßwald Moll, des burgers und Ackersmanns daselbst ehelich erzeugter Sohn unter Autorisation dieses seines Vaters an einem Theil
So dann Jungfer Maria Magdalena Heldtin von Neuweiler gebürtig, weiland Johann Georg Heldt gewesenen Ackersmanns und Burgers daselbst hinterlaßene eheliche tochter, so majorennis und ohnbevögtigt Zu seÿn declarirte disorts aber mit H. Johann Daniel Graffenauer dem Knöpffmacher und Seidenhändler auch Burger alhier verbeistandet ware, an dem andern Theil
Geschehen zu Straßburg den 6. Septembris Anno 1791 [unterzeichnet] Johann Georg Moll, m m heldt
acp 6 (vol. 12) f° 41 – stipulant communauté par moitié, apports réservés, don matutinal 100 livres en faveur de la future
le survivant aura la jouissance de tous biens sauf la légitime
déclare le futur époux de son revenu n’excède par 300 livres
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 37 n° 55)
Im Jahr Christi 1791 Dienstags den 4. Octobris Nachmittags umb halb Zweÿ Uhr wurden nach vorhergegangenen gewöhnlicher Proclamationen die 14. et 5. post festum Trinitatis in dier hiesigen Prediger Kirche öffentlich Zur Ehe eingesegnet Johann Georg Moll der ledige Schuhmacher von Schiltigheim, des Oswald Molls Ackersmanns daselbst mit Frauen Maria Magdalena einer gebohrnen Fuchsin* ehelich erzeugter Sohn, 35. Jahr alt, und Jungfrau Maria Magdalena Heldtin von Neuweiler, weÿland Johann Georg Heldt gewesenen Ackersmanns daselbst mit weÿl. Frauen Anna Maria einer gebohrnen Hammin ehelich erzeugte tochter, 34 Jahr alt [unterzeichnet] Johann Georg Moll Hochzeiter, o der Maria Magdalena Heldin als braut Handzeichen (i 125)
Registre de population (600 MW 148) 1820 sqq. f° 278, Rue Madeleine N° 9 (i 283)
Moll Jean Georges, 1756, Schiltigheim, bs rhin, mari, (à Str. depuis) 40 ans, (auparavant) rue Dauphine N° 4, (entrée) 1809, (sortie) 15. 8.bre 1822, q. St Nicolas 82
Moll née Heldt, Madeleine, 1754, Neiweiller, bs rhin, épouse, (à Str. depuis) 40 ans
Testament de Jean Georges Moll
1847 (30.11.), Geoffroi Becker
Dépôt du testament olographe de Jean Georges Moll propriétaire à Strasbourg, ledit testament olographe en date à Strasbourg du 8 décembre 1843 enregistré cejourd’hui aux acte ssp f° 16
acp 367 (3 Q 30 082) f° 50-v du 3.12.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 101 (3 Q 31 600) f° 16 du 3.12.
8 décembre 1830, Testament – Je soussigné Jean Georges Moll demeurant à Strasbourg ordonne par les présentes que mon neveu Georges Merckel à Schiltigheim sera exclu comme héritier de ma succession future par contre un legs de 3000 francs reviendra à ses enfants et petits enfants, lequel sera employé à l’acquisition de biens fonds et soigné par mon neveu Jacques Büchel de cette ville, lequel devra replacer en capitaux le produit annuel jusqu’à la majorité des enfants
décédé le 30 9.bre 1847
Jean Georges Moll meurt en 1847 en délaissant des héritiers collatéraux.
1847 (23.12.), Strasbourg 9 (96), Geoffroi Becker n° 3724
Inventaire après le décès du Sr Jean Georges Moll, en son vivant propriétaire cidevant graissier à Strasbourg où il est décédé le 30 novembre 1847.
L’an 1847 le Jeudi 23 décembre à une heure de relevée, à lla requête 1) de Dame Anne Marie Klein, veuve du Sr Philippe Schmidt en son vivant cultivateur demeurant à Schiltigheim, 2) de Dame Madeleine Schuster, épouse du Sr Jacques Büchel, garçon de bureau chez M. Eschenauer négociant en villen ladite D° Büchel agissant sous l’autorisation de son mari à ce présent, tous deux demeurant ensemble à Strasbourg, 3° du Sr Geoffroi Schuster, garçon de bureau chez M. Ottmann, négociant à Strasbourg où il demeure, agissant tant en son propre nom et comme mandataire du Sr Georges Schuster, majeur domicilié à Schiltigheim, soldat au deuxième régiment d’infanterie de ligne en garnison à Paris (…), 4) de Dame Salomé Schuster, épouse du Sr Charles Ehrhardt garçon de bureau chez M. Herrenschmidt, négociant au Wacken banlieue de Strasbourg, ladite Dame Ehrhardt agissant aussi sous l’autorisation de son mari, à ce présent, les deux demeurant ensemble à Schiltigheim, 5° de Dlle Dorothée Schuster, majeure demeurant à Strasbourg où elle est en service à l’hôtel de la Ville de Paris, 6) du Sr Chrétien Schuster, ouvrier tanneur demeurant audit Schiltigheim, 7° dudit Jacques Büchel, agissant au nom en comme mandataire du Sr Charles Schuster, garçon boulanger domicilié à Schiltigheim, soldat au troisième régiment d’infanterie de ligne (…), 8) Et du Sr Benjamin Schuster demeurant à Schiltigheim mineur émancipé aux termes d’une déclaration faite par M. le juge de paix du canton de Schiltigheim (…) ledit Sr Benjamin Schuster assisté de dudit Sr Geoffroi Schuster son curateur
Lesdits D° veuve Schmidt née Klein, Dame Büchel, Sr Geoffroi Schuster, Sr Georges Schuster, D° Ehrhardt, Dlle Schuster, Sr Chrétien Schuster, Sr Charles Schuster et Sr Benjamin Schuster, habiles à se dire et porter héritiers pour les parts et portions ci après indiquées du Sr Jean Georges Moll, en son vivant propriétaire et cidevant graissier à Strasbourg leur oncle et grand oncle respectif, savoir ladite Dame veuve Schmidt née Klein pour moitié, comme représentant pour pareille portion de Dame Marie Madeleine Moll en son vivant épouse du Sr Jean Georges Klein décédé tonnelier à Schiltigheim, sa mère et sœur germaine dudit Sr Moll défunt
et lesdits Dame Büchel Sr Geoffroi Schuster, Sr Georges Schuster, D° Ehrhardt, Dlle Schuster, Sr Chrétien Schuster, Sr Charles Schuster et Sr Benjamin Schuster ensemble pour l’autre moitié ou chacun pour un 16° comme enfants issus du mariage du Sr Geoffroi Schuster décédé menuisier à Schiltigheim avec Dame Marie Madeleine Klein sa femme défunte, leur mère & autre fille de ladite Dame Klein née Moll dont ils sont représentants pour l’autre moitié, les requérans faisant observer que les descendans de ladite Dame Klein née Moll sont seuls habiles à se porter héritiers dudit défunt puisque le Sr Jean Georges Merckel, cultivateur demeurant à Schiltigheim qui comme neveu de feu ledit Sr Moll, aurait été habile à se porter héritier du défunt pour partie a été exclu de la succession ainsi qu’il résulte du testament olographe dudit St Moll (…)
dans le logement faisant partie d’une maison sise à Strasbourg quai Saint-Nicolas N° 82 dont le défunt était usufruitier et où il est décédé le 30 novembre dernier
acp 368 (3 Q 30 083) f° 27 (déclaration du 26 mai 1848 N° 217) Il dépend de la succession 1) une créance hypothécaire montant à 1800, intérêts échus 36, 2) créances dans un biller 10.150, intérêts échus 542, 3) argent comptant 265
Par testament reçu Becker le 17 avril 1839 le défunt a légué à Madeleine Schuster femme Büchel tous objets mobiliers et une somme de 300 francs, objets sont délivrés à la légataire
1848, Geoffroi Becker
17 avril 1839 – Testament par Jean Georges Moll propriétaire à Strasbourg contenant 1° legs par préciput et hors part à Madeleine Schuster majeure à Strasbourg, sa petite nièce, de tous les biens meubles à l’exception des créances et de l’argent comptant, 2° legs par préciput et hors part à ladite Schuster d’une somme de 300 francs payable six mois après l’Inventaire de la succession, 3° les droits d’enregistrement devront être acquittés par la susdite légataire et le passif de la succession le sera par les héritiers appelés par la loi – décédé le 30 novembre 1847
acp 368 (3 Q 30 083) f° 5-v du 23.12.
Jean Georges Moll vend la maison au menuisier Pierre Laurent Rey
1840 (21.3.), Strasbourg 4 (90), Me Hatt n° 12.091
Jean Georges Moll, ancien fruitier
à Pierre Laurent Rey, célibataire menuisier
Ville de Strasbourg, une maison consistant en deux corps de logis, appartenances et dépendances situé rue de la Madeleine n° 9, d’un côté M. Christmann, de l’autre le Sr Rhein vitrier – sont compris un puits qui dépend de la susdite maison, cinq fourneaux en fer de fonte avec tuyaux et pierre et une chaudière à lessive dans la buanderie – acquis durant le mariage avec Madeleine Held de Jean Louis Kreuschler, saucissier, suivant acte reçu M° Stoeber le 16 septembre 1818, devenu propriétaire de la maison entière pour avoir été institué par sa femme héritier universel, suivant testament reçu M° Hatt le 13 juillet 1824 – moyennant 6500 francs
Enregistrement, acp 277 F° 2-v du 28.3.
Pierre Laurent Rey hypothèque la maison au profit du capitaine Auguste Oppermann (mention des legs par la femme de Jean Georges Moll)
1848 (17.7.), Strasbourg 9 (97), Geoffroi Becker n° 3874
17 juillet 1848. Obligation – A comparu le Sr Pierre Laurent Rey, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par ces présentes reconnu devoir bien et légitimement
à M. Auguste Oppermann, capitaine adjudant major au premier régiment de ligne en garnison à Tours, domicilié à Strasbourg, pour lequel est ici présent et accepte le Sr Frédéric Charles Jaeger, clerc de notaire, demeurant à Strasbourg, la somme de 4000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque. Une maison d’habitation, bâtiment de derrière, droits, circonstances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue de la Madeleine N° 9 ayant pour confronts d’un côté le Sr Rhein, vitrier, de l’autre M. Arnold ancien architecte par devant ladite rue et par derrière les sieurs Muller et Scherges
Etablissement de la propriété. L’immeuble ci-dessus désigné et devenu la propriété du sr Rey au moyen de l’acquisition qu’il en a faite du sr Jean Georges Moll en son vivant propriétaire à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Hatt notaire à Strasbourg le 21 mars 1840, enregistré. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 10.050 francs duquel le sr Moll a subrogé et délégué le Sr Rey à payer (…)
Aux termes de son testament reçu par ledit M° Hatt le 24 août 1824, enregistré le premier mars 1827, la Dame Moll ci-dessus dénommée a légué en toute propriété à ses neveu et nièces ci après nommés, savoir au sieur Georges Held ancien soldat au deuxième régiment d’artillerie demeurant à Strasbourg une somme de 2000 francs et à Madeleine Held veuve du Sr Henri Gall en son vivant maçon à Bouxwiller où elle demeure une somme de 200 francs. Ce testament renferme encore d’autres legs. Aux termes de son second testament reçu par ledit M° Hatt le 13 juillet 1827, enregistré le premier mars 1828, la même dame Moll a révoqué toutes les dispositions contenues dans le premier testament à l’exception toutefois des deux legs ci-dessus mentionnés et d’un troisième legs fait à un nommé Jacques Held son neveu, lesquels ont été maintenus par ce testament. La dame Moll est décédée sans délaisser d’héritiers directs ni à réserve (…) Ces qualités d’héritiers sont constatées par l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de M Moll par le ministère de M. Becker l’un des notaires soussignés en date au commencement du 23 décembre 1847.
Registre de population (600 MW 214) 1840 sqq. f° 836, Rue Madeleine N° 9 (i 64)
Rey, Laurent Pierre, 1801, Strasbourg, Menuisier & propriétaire, célibataire, (auparavant) rue du Loup 87, (entré) 4 avril 1840
Laurent Pierre Rey meurt célibataire le 3 avril 1863 dans sa maison rue Sainte-Madeleine
Décès, Strasbourg (n° 641)
Acte de décès. Le 4 avril 1863 à dix heures du matin (…) ont comparu Michel Zinstein âgé de 39 ans, menuisier, voisin du défunt domicilié à Strasbourg, et Philippe Wexler, cordonnier, voisin du défunt domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Laurent Pierre Rey, âgé de 62 ans, né à Strasbourg, menuisier, non marié, domicilié à Strasbourg fils de feu Jean Pierre Rey, journalier et de feu Marie Barbe Karcher est décédé le 3 avril 1863 à sept heures du soir en la maison rue St Madeleine 13 [in margine :] Pneumonie (i 65)
Testament de Pierre Laurent Rey
1863 (11.4.), Hippolyte Momy
Dépôt du testament olographe de Pierre Laurent Rey, Menuisier à Strasbourg, ledit testament en date du 10 novembre 1855, enregistré ce jourd’hui
acp 521 (3 Q 30 236) f° 6 du 15.4.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 137 (3 Q 31 636) f° 34-v du 15.4.
10 novembre 1855. Testament – Js soussigné Pierre Laurent Rey, menuisier à Strasbourg, lègue à ma sœur Elisabeth Bourger née Rey, à Habsheim, toute ma fortune et l’institue mon héritière universelle sous la condition 1° qu’elle payera à ma sœur veuve Beyert 300 francs en trois fois et dans le délai de trois ans après mon décès, 2° qu’elle me fera faire in cercueil de chêne et une croix de chêne avec les couronnes et les guirlandes telles que cela se convient et 3° qu’immédiatement après mon décès elle fera dire 3 messes basses pour le repos de mon âme et que pendant trois ans elle fera dire une messe basse le jour de ma mort
Laurent Pierre Rey laisse pour héritière testamentaire sa sœur Elisabeth Rey qui épouse en 1827 André Burguer, natif de Russ près de Schirmeck
1827 (3.11.), Strasbourg, Frédéric Grimmer
Ccontrat de mariage – André Burguer, employé, fils d’André Burguer en son vivant cultivateur à Russ et d’Agathe Gerome demeurant à Strasbourg d’une part
et Elizabeth Rey, fille majeure de Jean Pierre Rey, employé à l’imprimerie, et de Salomé Karle demeurant en ladite ville d’autre part
acp 186 (3 Q 29 901) f° 76 du 5.11. réserve d’apports et des habillements et linge propres à chacun, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, donation au survivant de la succession du prédécédé, en cas d’existence d’enfant, cette donation sera réductible et ne portera que sur l’usufruit de la moitié de la fortune délaissée par le prédécédé
Envoi en possession
1864 (10.2.), Strasbourg 15 (111), Hippolyte Momy
Dépôt – (…) de mettre au rang des minutes à la date de ce jour la grosse d’une ordonnance rendue par le Président du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg le 26 août 1863, enregistré envoyant Mad. Elisabeth Rey épouse de M. André Burguer chef de station du chemin de fer de l’Est à la gare de Habsheim, en possession du legs universel fait à son profit par le Sr Pierre Laurent Rey en son vivant menuisier à Strasbourg suivant son testament olographe en date du dix novembre 1855, déposé en minute à M° Momy l’un des notaires soussignés par acte passé devant celui-ci le 11 avril 1863.
Mme Elisabeth Rey femme d’André Bourgeur, chef de la station de Habsheim, vend la maison au cordonnier Frédéric Otto et à sa femme Louise Reeb
1863 (18.9.), Victor Noetinger
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 957 (3124) n° 10, 29 sept.
a comparu Mr André Bourguer, courrier sur la ligne de chemin de fer de Strasbourg à Bâle, demeurant à Strasbourg, agissant comme mandataire de Mme Elisabeth Rey épouse de Mr André Bourgeur, chef de Station avec lequel elle demeure à Habsheim aux termes d’une procuration (…) lequel a par les présentes vendu et abandonné en toute propriété
à M. Frédéric Otto, cordonnier, et Dame Louise Reeb, son épouse de lui dument assistée et autorisée demeurant ensemble à Strasbourg acquéreurs solidaires ci présents et acceptant l’immeuble ci après désigné
Désignation. Une maison composée d’un bâtiment de devant et d’un autre de derrière avec pompe commine aux acquéreurs et à deux autres propriétaires, droits et dépendances sise à Strasbourg rue de la Madeleine n° 13 (ancien N° 9), tenant d’un côté à M. Renn vitrier, de l’autre à Mme veuve Arnold, derrière à l’impasse des pénitents et devant à la rue. Tel que cet immeuble se poursuit se comporte (…)
Origine de la propriété. Mme Bourger est propriétaire de l’immeuble ci-dessis désigné pour l’avoir recueilli dans la succession de M. Pierre Laurent Rey son frère vivant menuisier à Strasbourg où il est décédé le 3 avril 1863 après avoir institué Mme Bourguer pour sa légataire universelle en toute propriété aux termes d’un testament olographe en date à Strasbourg le 10 novembre 1855, déposé pour minute à M° Momy notaire en ladite ville le 11 avril dernier, conformément à l’ordonnance rendue par M. le Président du tribunal civil de Strasbourg le même jour. Elle a été envoyée en possession de son legs par le même magistrat le 26 août dernier aux termes d’une ordonnance de ce jour-là. M. Rey avait possédé ce même immeuble pour l’avoir acquis de M. Jean Jacques Moll, ancien fruitier demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Hatt alors notaire en ladte ville le 21 mars 1840, transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le 30 dudit mois volume 856 N° 98 avec inscription d’office au volume 322 N° 249. L’acquisition a eu lieu pour le prix de 65000 francs (…). M. Moll avait acquis cet immeuble durant son mariage avec Dame Madeleine Held son épouse défunte de M. Jean Louis Kreuscher saucissier à Strasbourg en vertu d’un contrat passé devant M° Stoeber alors notaire en ladite ville le 13 septembre 1808 et il devint propriétaire de l’intégralité de ce bien pour avoir été institué légataire universel de sa femme en vertu d’un testament dcité par elle à M° Hatt notaire à Strasbourg le 13 juillet 1827.
Jouissance et conditions (…) Prix. La vente a été conclue pour le prix de 7000 francs (…) Réserve de privilège (…) Assurance contre l’incendie (…). Etat civil des vendeurs. Mr Bourguer déclare sous les peines de droit auxquelles il soumet Mme bourgeur sa mandante que cette dernière est mariée sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de son contrat de mariage passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 3 novembre 1827 et qu’elle n’a jamais eté chargée de tutelle ni d’autres fonctions emportant hypothèque légale. Remise des titres (…)
acp 525 (3 Q 30 240) f° 29 du 26.9.
Fils du serrurier Frédéric Otto, Frédéric Otto épouse en 1850 Marie Louise Reeb, veuve du tailleur Jean Baptiste Beblinger (Piblinger)
1850 (19.6.), Strasbourg 4 (105), Auguste Frédéric Lauth n° 4110
Du 19 Juin 1850. Contrat de mariage – Furent présens M. Frédéric Otto, ouvrier cordonnier, demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur en légitime du sieur Frédéric Otto, en son vivant serrurier en cette ville et de Dame Marguerite Eissenkolb, sa veuve demeurant et domicilié en la même ville, stipulant pour lui et en son nom du consentement de sa dite mère, ainsi qu’il le déclare, comme futur époux, d’une part
Et Dame Marie Louise Reeb, veuve sans enfans du sieur Jean Baptiste Beblinger, en son vivant tailleur à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, fille majeure et légitime du sieur Daniel Reeb, tonnelier et de dame Madeleine Roost son épouse, demeurant et domiciliés en la même ville, stipulant pour elle et en son nom, du consentement de ses père et mère, ainsi qu’elle le déclare, comme future épouse d’autre part
acp 392 (3 Q 30 107) f° 18-v, sous le régime de la communauté réduite aux acquêts. Les apports du futur consistent en une somme de 350 francs. Ceux de la future consistent en un mobilier estimé à 600
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession
Originaire de Sarreguemines, Jean Piblinger épouse en 1840 Marie Louise Reeb, fille du tonnelier Jean Daniel Reeb
Mariage, Strasbourg (n° 174)
Du 7° jour du mois de Mai l’an 1840 à dix heures du matin Acte de: mariage de Jean Piblinger, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 août 1817 à Sarreguemines (Moselle) domicilié à Strasbourg, Tailleur, fils de feu Jean Piblinger, tailleur décédé à Sarreguemines le 30 août 1829 et de feu Rosine Schran décédée à Sarreguemines le 16 novembre 1824
et de Marie Louise Reeb, mineure d’ans, née en légitime mariage le 5 février 1821 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Daniel Reeb tonnelier, et de Marie Madeleine Rost, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) Johann Piblinger, Marie Louise Reeb (i 4)
Frédéric Otto et Louise Reeb habitent dans leur maison
Registre de population (600 MW 355) 1850 sqq (i 90)
Otto, Frédéric, Strasbourg 16, h.m., cordonnier, français, (à Str. depuis) 54 derechef
id. née Reeb, Marie Louise, Strasbourg 21, f.m., sa femme français
Bruder, Marie, 31, f. servante, Bade, (à Str. depuis) 52, p.p. ses foyers
Rue des Ecrivains 1 (sorti) 2. Janv. 186.
r. Ste Madeleine 13
Frédéric Otto et Louise Reeb hypothèquent la maison au profit du propriétaire François Théodore Simonis de Wolxheim
1876 (14.10.), Strasbourg 8 (97), Gustave Edouard Loew
14. October 1876. Obligation – sind erschienen herr Friderich Otto, Schuhmacher, und seine von ihme ermächtigte Gattin frau Maria Louise Reeb, beide wohnhaft in Straßburg, dieselbe bekennen hiemit
an herrn Frantz Theodor Simonis, gutsbesitzer, wohnhaft zu Wolxheim, vertreten durch den mit anwesenden für ihn annehmenden herrn Ferdinand Vix, Eigenthümer, wohnhaft zu Straßburg ein Darlehen von 4000 Mark zu verschulden (…)
als Spezialhypothek, Ein Haus bestehend in Vorder und Hintergebäude, Brunnen, welcher mit zwei Nachbarn gemeinschaftlich ist, Rechten und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Sankt Magdalenengasse N° 13, einerseits herr Dubesi anderseit Wittwe Arnold, hinten das Büssergäßchen, vorn die Magdalenengasse. Die Schuldner haben dieses Anwesen gemeinschafft gekauft von Elisabeth Rey, Gattin des Bahnhofsvorstandes Andras Burger zu Habsheim, laut Urkunde des Notars Viktor Nötinger dahier, überschrieben am hiesigen Hypothekenamte den 29. desselben Monats Band 957 Nr 10 um einen Preis von 7000 Franken (…)
Frédéric Otto et Louise Reeb vendent la maison à Jacques Hirsch
1885 (16.12.), Strasbourg 8 (130). Gustave Edouard Loew n° 17.599
16. December 1885. Kauf – sind erschienen Herr Frédéric Otto, Schuhmacher und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Marie Louise Reeb, beide wohnend in Straßburg, dieselbe, verkaufen und überlassen hiermit zu vollem Eigenthum (…)
an den mitanwesenden, dies annehmenden Herrn Jacques Hirsch, Eigenthümer wohnhaft zu Straßburg
Ein Haus bestehend in Vorder und Hintergebäude, Brunnen, welcher mit zwei Nachbarn gemeinschaftlich ist, Rechten und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Sankt Magdalenengasse N° 13 und Büssergäßchen N° 7, einerseits herr Dubesi anderseit Wittwe Arnold, hinten das Büssergäßchen, vorn die Magdalenengasse. Als mitverkauft gelten die im Hause stehenden Oefen. (…)
Eigenthumsnachweis. Eheleute Otto haben das Anwesen gemeinschaftlich gekauft von Elisabeth Reys, Gattin des Bahnhofvorstandes Andreas Burger zu Habsheim, laut Urkunde des Notars Viktor Noetinger dahier vom 18. Septembris 1863, überschrieben am hiesigen Hypothekenamte den 29. desselben Monats, Band 957 Nr 10. der bedungene Preis ist ganz bezahlt, wie dem Käufer Herrn Hirsch nachgewiesen worden ist.
Hypothek-Belastung (…), Genussantritt (…), Bedingungen (…), Kaufpreis, 8000 Mark, davon werden 4000 Mark dadurch berichtigt (…) die restigen 4000 Marx werden in eine vom Käufer den Verkäufern auf deren Lebenszeit zu leistede Rente verwandelt, diese Rente beginnt vom ersten Oktober 1885 und beträgt bis zum Tode eines der Verkäufer für beide zusammen jährlich 960 Mark, von dort bis zum Tode des Ueberlebenden für dieses allein jährlich 640 Mark (…) Feuer Versicherung (…), Vorzugsrechtsvorbehalt (…)
acp 773 (3 Q 30 488) f° 23-v du 24.12.
Le dossier de la Police du Bâtiment mentionne que Jacques Hirsch est mort en 1910.
Originaire de Hatten, Jacques Hirsch épouse en 1878 Marie Esther Weil, originaire de Wolfisheim
Mariage, Hatten (n° 7)
Strassburg am 17. Dezember 1878. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Handelsmann Jakob Hirsch, israelitischer Religion geboren den 19. Juni des Jahres 1848 zu Hatten, wohnhaft zu Hatten, Sohn des Handelsmanns Isaak Hirsch und dessen Ehefrau Fanny geb. Kahn, ohne Stand, beide verstorben und zuletzt wohnhaft zu Hatten
2. die gewerblose Marie Esther Weil, israelitischer Religion, geboren den 10. Oktober des Jahres 1856 zu Wolfisheim Bezirk Unter-Elsass), wohnhaft zu Wolfisheim, Tochter des Metzgers Heymann Weil und dessen Ehefrau Theresia geb. Levy ohne Stand, wohnhaft zu Wolfisheim (i 10)
Jacques Hirsch meurt à l’âge de soixante-deux ans le 7 octobre 1910 au 43; rue de Cronenbourg (aujourd’hui rue du Faubourg de Saverne)
Décès, Strasbourg (n° 2342)
Strassburg am 7. Oktober 1910. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Rechtsanwalt Doktor Arthur Hirsch, wohnhaft in Strassburg, Kronenburgerstraße 43, und zeigte an, daß der Kaufmann Jakob Hirsch, Ehemann von Maria Esther Hirsch gebornen Weil, 62 Jahr 3 ½ Monate alt, israelitischer Religion, wohnhaft in Straßburg geboren zu Hatten, Unter-Elsaß, Sohn der verstorbenen Eheleute Isaak Hirsch, Kaufmann und Fannÿ geborner Kahn, beide zuletzt in Hatten wohnhaft, zu Straßburg Kronenburgerstraße 43 am 7. Oktober des Jahres 1910 vormittags um zwei Uhr verstorben sei (i 83)
La société d’assurances Mutuelle du Bas-Rhin accepte la transcription de la police d’assurance dont copie est jointe au nom de Jacques Hirsch
1886 (30.7.), Strasbourg 8 (134), Gustave Edouard Loew n° 18.275
Annahme – ist erschienen herr Philipp Riebel, direktor der Gegenseitigen Versicherungsgesellschaft im Unterelsaß, wohnend in Straßburg, derselbe erklärt hiermit, Kenntniß erhalten zu haben, daß durch Urkunde des Notars Loew vom 16. Dezember 1885 die hiesigen Eheleute Frédéric Otto, Schuhmacher und Marie Louise Reeb
ihr haus und Zugehör dahier, Sankt Magdalenengasse N° 13 und Büssergäßchen N° 7 an den hiesigen Eigenthümer Herrn Jacques Hirsch um einen Preis von 8000 Mark verkaufft haben (…)
(Police d’assurance) Die Gegenseitige Brandversicherungsgesellschaft im Unterelsaß (Ehemalige Mutuelle du Bas-Rhin). Duplicat für Herrn Jacob Hirsch, N° 25.447-B vom 3. December 1885.
Straßburg St. Magdalenengasse N° 13 gelegenes Eigenthum.
10.500. Franken auf das Vorderwohnhaus
6.500 Franken auf das Hinterwohnhaus
10.000 Franken auf Rekurs der Nachbarn des obigen Eigenthums, Sa. 27.000
D’après le cadastre, le propriétaire est Jacques Riss à partir de 1922
Originaire de Hœrdt, le boucher Jacques Riss épouse en 1919 Eve Zimmer, originaire d’Eckwersheim
Mariage, Strasbourg (n° 378)
Strassburg am 1. April 1919. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Metzger Jakob Riss, evangelischer Religion geboren den 7. Februar des Jahres 1885 zu Hoerdt (Unter-Elsass), wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Ackerers Georg Riss, und seiner Ehefrau Magdalena geborenen Wäffler Gall, wohnhaft zu Hoerdt
2. die Eva Zimmer, evangelischer Religion, geboren den 24. April des Jahres 1888 zu Eckwersheim (Unter-Elsass), wohnhaft in Strassburg Magdalenengasse 18, Tochter des Bäckers Theobald Zimmer und seiner Ehefrau Anna geborenen Pfrimmer, wohnhaft in Eckwersheim (i 228)