2, quai Saint-Thomas
Quai Saint-Thomas n° 2 – VII 364 (Blondel), P 1125 puis section 12 parcelle 11 (cadastre)
Bâtiment avant reconstruit en 1572 (Louis de Müllenheim) puis en 1787 (maître d’ouvrage François Walter, maître maçon Jean Régnard Pfauth, au moins pour la partie gauche)


Façade à cordon entre les étages et chaînages aux extrémités et au léger angle central (mars 2019) – Portail à arc surbaissé et arrière voussure (image Fabien Romary, Archi-wiki)
Louis de Müllenheim est autorisé en 1571 à reconstruire sa maison en partie sur un terrain communal, en démolissant la petite maison qui a au-dessus de la rivière un encorbellement remplacé par un oriel ; les travaux ont lieu en 1572. Philippe André de Müllenheim loue en 1659 un nouveau bâtiment et vend en 1685 sa propriété au marchand réformé Jacques Hoser qui exploite une fabrique avec son associé Jean Nicolas Herff. Un lavoir à l’extrémité de la propriété voisine qui appartient au chapitre Saint-Thomas sert à laver les fils et les tapis. La maison a une issue dans la rue de l’Ail (actuel n° 6) en passant au-dessous de la propriété du voisin à l’arrière. Jacques Hoser aménage en 1688 un jardin sur un terrain communal sur la suggestion du gouverneur de Chamilly qui en a un semblable en face. Il passe un accord avec le chapitre Saint-Thomas, son voisin à l’ouest, qui laisse subsister à titre précaire les fenêtres et les cheminées ; l’accord est ratifié par les nouveaux propriétaires lors des ventes ultérieures en 1745 puis en 1787. La maison appartient ensuite au capitaine de batellerie Gaspard Meyer puis à sa fille, femme de Jean Jacques Sauer, entrepreneur des mines et directeur d’une fabrique de galons à Sainte-Marie-aux-Mines. Comme Jean Jacques Sauer a nettement sous-estimé sa fortune en réglant ses impôts, le bureau de la Taille saisit les loyers.

Plan-relief de 1727 (Musée historique). La maison en L se trouve à l’extrémité gauche du quai.
Le banquier André Christophe Sommer achète la maison en 1745. Son gendre Jean Raoul de Bayer fait aménager en 1767 le premier étage de l’aile droite par le maître maçon Jean Laurent Gœtz. Sa veuve et le tuteur de ses enfants mettent la maison en vente en 1787. Les préposés au bâtiment estiment que l’occasion se présente d’acquérir une partie de la maison Debayer pour continuer le quai entre le pont Saint-Thomas et le pont Saint-Nicolas afin de faciliter l’accès à la halle commerciale. Les chambres secrètes acceptent à la majorité la soumission d’un acquéreur (François Walter) qui devra reconstruire l’année même la partie saillante de la maison Debeyer dans l’alignement de la partie en retrait. Le règlement des conditions de vente amène à dresser une expertise dont il résulte que la taxe initiale de 87 livres est portée à 147 livres. François Walter charge la même année (1787) le maître maçon Jean Régnard Pfauth d’aménager l’aile gauche. Comme le bâtiment construit en 1571 se trouve le long de la rivière, il n’est pas du tout certain que le jardin enclos en 1688 ait été surbâti comme le supposent les préposés en 1787.

Plan levé en 1787 : Maison de Mr de Bayer – 23 pieds (AMS, cote 312 MW 126)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 153 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (b) : la partie droite comprend au milieu le portail et une fenêtre de chaque côté, deux étages à trois fenêtres, étage mansardé et toiture à un niveau de lucarnes. La partie gauche (qui correspond à la construction de 1787) dont la largeur est identique à la première comprend cinq fenêtres à chaque niveau. La cour M représente l’arrière (1-7-6) de la façade sur quai. Le côté ouest comprend un premier bâtiment (1-2), suivi d’un autre (2-3-4) qui avance dans la cour. La remise (4-5) se trouve au fond de la cour dont le côté droit (5-6, à l’est) prolonge dans une première partie le bâtiment du fond, la deuxième partie étant comparable au bâtiment sur le quai.
La maison porte d’abord le n° 10 (1784-1857) puis le n° 2.




Plan, cour M
Buanderie au fond de la cour (1900, dossier 1198 W 428)
Carte postale Le Strasbourg disparu n° 172 (1860). La maison est la troisième à partir de la droite
Le négociant Sigismond Frédéric Klose passe de nouveaux accords avec la fondation Saint-Thomas en 1818 puis en 1834 quand il construit un deuxième étage sur l’aile gauche. Les parties confirment les tolérances en 1864 puis passent un accord qui convertit les anciennes tolérances en droit perpétuel. Edmond Klose cède en 1878 son droit de passage vers la rue de l’Ail au propriétaire du 6, rue de l’Ail. L’association Bethesda (soins aux malades) fait construire une buanderie et une terrasse au fond de la cour, Marie Fritz fait aménager les mansardes en 1909. La Société Immobilière Maison de la Boulangerie du Bas-Rhin transforme le rez-de-chaussée en bureaux en 1954. Elle fait refaire en 2007 la toiture qui retrouve son aspect du XVIII° siècle tel que le représente le plan-relief de 1830.





Etages, le linteau de la fenêtre central est mouluré – Cour, côtés sud, sud-ouest, nord-ouest, nord-est (septembre 2025)


Elévation en 1909 lors de l’aménagement des mansardes (ajouts en rouge) puis en 1995 (dossier 1198 W 428)
décembre 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1577 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
| Louis de Müllenheim et Ursule de Bærenfels, remariée avec Christophe Waldner de Freundstein (1540) – luthériens | ||
| 1570* | h | Philippe de Müllenheim Rosheim et Susanne Baumann (1578) – luthériens |
| 1587* | h | Bernard Frédéric de Müllenheim Mutzig (1564-1614) et Barbe Truchsess de Rheinfelden – luthériens |
| 1614* | h | Philippe Henri de Müllenheim Rosenburg († 1653), préteur, et Ursule Wurmser de Vendenheim – luthériens |
| 1657 | h | Philippe André de Müllenheim Rosenburg (1616-1686) et Marie Madeleine Rosetti de Roseneck – luthériens |
| 1685 | v | Jacques Hoser, marchand, et (1679) Marie Catherine Bayer, veuve du secrétaire Christophe Deublinger à Heidelberg – réformés |
| 1701 | h | Jean Nicolas Herff, marchand, et (1686) Madeleine Mangin – réformés |
| 1708 | v | Jean Gaspard Meyer, capitaine de batellerie, et (1691) Anne Marie Schell, remariée (1715) avec Jean Daniel Frid – luthériens |
| 1715 | h | Jean Jacques Saur, banquier, et (1708) Anne Marie Meyer – luthériens |
| 1745 | v | André Christophe Sommer, banquier, et (1711) Marie Dorothée Langrœthiger, d’abord (1692) femme du marchand Henri Reuter, puis (1741) Sara Wettstein d’abord (1709) femme du négociant Jean Jacques de Beyer – luthériens |
| 1751* | h | Jean Raoul de Beyer (Jean Rodolphe de Beyer), conseiller intime des comtes de Deux-Ponts, et Anne Salomé Sommer puis (1775) Sophie Elisabeth de Dietrich – réformé et luthériennes |
| 1787 | v | François Walter, marchand, et (1776) Chrétienne Sophie Saltzmann puis (1800) Anne Chrétienne Peters, veuve du négociant Jean Overmann – luthériens |
| 1806 | v | Sigismond Frédéric Klose, négociant, et (1790) Marguerite Salomé Willig, veuve du pasteur de Dinglingen Chrétien Grill, puis (1802) Caroline Sophie Hecht |
| 1843 | h | Sigismond Frédéric Edmond° Klose, négociant, banquier, et (1834) Climène Julie Laure° Koechlin |
| 1900 | v | Association Bethesda, association de soins aux malades |
| 1907 | v | Elisabeth Marie° Fritz, célibataire (1869-1952) |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 5 200 livres en 1715
Valeur vénale : 6 000 livres en 1708, 7 355 livres en 1745, 11 250 livres en 1787
(1765, Liste Blondel) VII 364, M. de Baÿer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Debeÿer, 11 toises, 2 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1125, Kloze / Klose, Sigismond Frédéric, négociant – maison, sol, cour – 9,4 ares
Locations
1659 (nouveau bâtiment), Marguerite Kollœffel, mère de Nicolas Conrad Schach
1659, 1669, Jean Philippe Wittich, marchand, auparavant Jean Frédéric Baltz
1686, major Labadie
1703, Beaulieu et Hogguer, fermiers de la Monnaie
1718, Anne Marie Schell, veuve de Jean Jacques Sauer, femme de Jean Daniel Frid
1725, Thomas Wachter, banquier
1737, Antoine de Muntz, conseiller du roi et Commissaire des guerres, et Marie Madeleine Barnier
1737 (sous-bail), Jean Jacques Saur l’aîné et son fils Jean Jacques Saur le jeune
1787, Jean Egide Uhlenhuth, négociant
1787, major d’infanterie Brunnier
Livres des communaux
1562, Livre des loyers communaux, VII 1445 (Zinßbuch C) f° 87
Louis de Müllenheim devra réhler 15 sols pour la première fois à la Saint-Jean d’été 1573 pour un terrain communal enclos à côté de sa maison au Rheineckel le long de la Bruche. Le loyer est ensuite dû pas le gentilhomme Philippe de Müllenheim.
Item xv ß gibt Jungh. Ludwig von Mülnheim von dem Ingezeuntten Allmend blatz An seÿner behußung vff Rhÿneck An der Breuschen gelegen, Ist Imme vnnd Ime von vnsern herrn Zuuerbuwen Zugelaßen vnnd bewilligt word., gefallet der Erst Zinns vff Sanct Johans tag Zu Sÿnngichten Anno & Lxxiij
gibt Jetzt Jungherr Philips von Mulnheim
1562, Livre des loyers communaux, VII 1445 (Zinßbuch D) f° 150-v
Même loyer dans le registre D. Le loyer est porté à 2 livres suivant la révision de 1627. Le contribuable est ensuite le consul Georges Müeg.
Item xv ß gibt J: Ludwig von Mülnheim von dem Ingezeuntten Allmend blatz An seÿnem huß vff Rhÿneck Am waßer der Breuschen gelegen vnnd Ime von vnsern herrn Zuuerbuwen gewilligt worden Zwölff schuh breitt heruß vnnd Zwantzig dreÿ schuh lang, Actum mittwochs den 12.t Decembris Anno & Lxxj vnnd gefallet der Erst Zinns vff sanct Johans tag Anno & Lxxiij
gibt Jetzt Jungherr Philips von Mulnheim
Jetz 2. lb A° Martÿ 1627.
Jetz herr Georg Mueg, Ammeÿster
Neü 291.
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 245
Le gentilhomme Philippe de Müllenheim demeurant à Rosheim doit 10 sols 8 deniers pour sa maison, à savoir un oriel en pierre à cinq fenêtres et trois corbeaus en pierre (9 pieds ½ de large, saillie de 3 pieds ½). Une note mentionne que la maison appartient aussi à Bernard Frédéric de Müllenheim Mutzig.
Uffm Rheineck
Junckher Philips von Müllenheim zu Roßheim hatt an seinem hauß vff das Wasser Nebens ein steinen Erckher mit fünff Liechtern, Vndt vff dreÿen steinen Kepffern x= schu breit, iii+ schu herauß, Bessert &, x ß. viij d.
Nota, Mann würdt berichtet, das dises auch Bernhardt Friderichen Von Müllenheim Zu Mutzig zu stehen solle
1652, Livre des loyers communaux VII 1461 (1652-1672) f° 291-v
Report du loyer mentionné dans le registre D, au nom de l’ancien consul Philippe Henri de Müllenheim. Le loyer est ensuite versé par le commandant de Müllenheim qui a accepté le maison en 1657 puis par Jean Philippe Wittich (locataire, voir les Préposés au bâtiment de 1668 et le relevé d’actes)
Junckher Philipp Heinrich von Müllenheim, Altten Stättmeisters seelig. Erben, Sollen gemeiner Statt, Vom eingezeüntem Allmendt ahn dem Reineckel, Jahrs vf Johis Baptistæ 2 lb d
Altt. d. f. 149
New fol. 249
den 4.t Martÿ A° 1654 Ist uf der Fraw Wittib beÿ Meinen Gnädig Herren den Fünff Zehen beschenen Suppliciren, daß halbe nachgelaßen Worden
1654 Last die Fraw wittib lüfern
1661 Lüfert H. Major von Müllenheim
der H. Major bericht d. Jr Müllenheim den 7. Aug: 1657 d. hauß ahngenommen habe
1668 von H. Joh: Philipp wittich biß 1667 empfangen
1671 Zahlt H. Wittich
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 249-v
Même loyer dans le registre suivant. Contribuables successifs, Jacques Hoser, Jean Nicolas Herff, Gaspard Meyer, Daniel Fried, enfants de Jean Jacques Saur. Un nouveau loyer d’ajoute en 1688 pour un terrain en nature de jardin enclos devant la maison puis en 1712 pour une fosse à fumier près de l’abreuvoir du Rheineckel.
Die adeliche Müllenheimische Erben Sollen vom eingezäunten Allmend, an dem Rheineckel vff Joh: Bapt. 2 lb
St. Zinßb. p. 291
jetzt Herr Jacob Hoser
Jetzt Herr Johann Niclaus Herff
jetzt Herr Caspar Meÿer Königl. Schiff Capte.
Jetzt Herr Daniel Fried
Jetzt Herr Johann Jacob Sauren Kinder bezalt H. Contr: Actuarius Oesinger
1675 Zalt Jr. Philip Andres von Müllenheim p. 1672. 73. 74. et 75.
(Quittungen 1678-1690)
Idem soll laut der oberbauherren Erkandtnuß de dato 26. Martÿ A° 1688. wegen eingezäunten Allmendts vor seinem hauß, so er zu einem gartten braucht Jahrs vff Annunc: Mariæ und 1689. i.mo, 1 lb
(Quittungen 1690-1714)
Ferner soll Er von einem Mistkasten, so Er am tränckh beim Rheineckel machen laßen, jahrs auf Joh: Baptæ und Anno 1712. i.mo 10 ß
(Quittungen 1715-1741)
Neuzb fol 564-b
1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 564-b
Report dans le registre suivant. Le loyer pour la fose à fumier n’est plus perçu à partir de 1761. Contribuables suivants, André Christophe Sommer puis de Bayer.
alzb. 149-b
Joh: Jac: Sauren Kinder sollen vom eingezäunten Allmend, 12 Schu breit heraus und 23. Schu lang, an dem Rheineckel auf Joh: Bapt. (id est 24. Junii), 2 lb
Ferner wegen eingezäunten Allmendts vor seinem hauß, so er zu einem gartten brauche, Jahrs auf Ann: Mariæ (id est 26. Martii), 1 lb
Ferner von einem Mistkasten, so Sie am tränckh beÿm Rheineckel machen laßen auf Joh: Bapt., 10 ß [in margine :] der Mistkasten ist weggemacht
im Zßb. D. d. 1562. f. 149.b
(Quittungen 1741-1771, le loyer de 10 sols n’est plus perçu à partir de 1761)
H. Andreas Christoph Sommer modo Hr De Bayer
Conseillers et les Vingt-et-Un, Quinze
1571, Conseillers et XXI (1 R 38 et 39)
Louis de Müllenheim déclare le 11 juin 1571 avoir l’intention de reconstruire sa maison sur le quai en démolissant la petite maison délabrée donnant vers la rivière. L’encorbellement (trois pieds sur l’eau) de cette petite maison sera supprimé. Le propriétaire demande (1) l’autorisation d’établir un oriel de trois pieds de large vers la rivière, eu égard que le terrain communal devant sa maison ne sert à personne et qu’il s’y trouve parfois des immondices. (2) d’enclore le terrain entre l’angle de sa maison et la risberme où se trouve actuellement un pieu en chêne, d’y aménager un portail, (3) de construire le nouveau bâtiment sur un terrain communal de neuf pieds de large. Les préposés nomment une commission.
Le 10 septembre, les préposés accordent le droit d’établir un oriel et de construire sur un terrain communal mais refusent que le pétitionnaire édifie un mur de dix ou onze pieds de haut jusqu à la risberme.
(f° 542) Junius XI. – Ludwig von Mülnheim – Bedacht, Bauwherren v Dreyer
Isaac Reblin Inn nammen des Glor vnd vesten Ludwig von Mülnheim vbergibt Supplication, so verleßen des Inhalts, seyn principal vorhabens an seyner behausung alhie am gstaden gelegen, Zu bauwen, vnd dß Alte bauwfellig heuslin so auffs wasser stosse, abzubrech. vnd vom fondament wid. von newem auffzuführen, Welches Alte heüßlin eynen vberhang vffs wasser auff drey schuoch habe, das dadurch auch hinweg gebrochen wurde, Bitt darauff an desselben sant* Ime Zuvergonnen Eyn Ercker vffs wasser auf drey schuoch breit, außstossend auff füren Zulaß. Inn betrachtung solchs nÿemannd Keinen schaden noch hinderung bringen mög füegens & am andern theyl dz der Allmend platz vor seyner behußung nyemands Zugebrauchen, sonder Zu Zyten* allerhand unrhat, dahin geschütt wurde, Zu bitt L* Ime zuvergönnen, das er sollcher platz vom eck seyner behausung hinüber vntz an die landueste des wassers, wie Jetzig. Zyt eyn eichener pfal, * vberzwwercht* damit nÿmand hinder faren* konte, geleg. word. mitt eyner mauwr auff Zehn oder elff schuoch Inzuziehen vnd Zuzumach. doryn eyn thor nach seyner notturfft Zur Infart *ge mitt *tung dauon Eyn allmend Zinß was meyne hn. daruff schlagen werd. dauon Zugeb. vnd Zureich. Im fall Aber sollchs nit statt hab. [f° 43] möchte So bitt Er Ine gnediglich Zuerlauben, mitt vorhabenden neuwen bauw heusser auff sollchen Allmend platz auff neün schuch breit Zufaren daruff zubauwen, Sye Er Alments* & bitten vor solchen Järlich was billich Zu Allmend gelt Zugeben & Erkandt mann soll Bauwherren vnd dreyen die Supplication Zustellen das Augenschein Zuzunemmen, Was Ime Zuzulassen Zu bedencken, vnd dasselbig widderumb* hör Zubringen. Soll h Heinrich Trausch, Isaac Reblin sagen meyne herren wöllen sich bedencken.
(f° 817) Septembris X – Ludwig von Mülnheym. Bauwherren vnd dreyer. Ercker bauwen.
die Supplication so Juncker Ludwig von Mülnheym durch Isaac Reblin Am xj Junÿ vbergeben lassen, widderumb geleßen, wiedderauff durch herr Niclaus Meyger referirt, Bauwherren vnd dreyer s* auff dem Augenschein gewesen vnd bedacht souyl der erster puncten belangt Ime Zuge* dß. er eynen Ercker auffs wasser auff drey schuoch breitt außstoßen und auffüeren möchte, sollte man Ime dasselbig Zulassen weyl es eyn wolstandt vnd nymands Irren* würde
der ander puncten betreffendt Ime Zuvergonnen Eyn Allmend platz vor syner behausung haruber vnz an die landueste des wassers mit eyner mauren vff zehen od. elff schuh hoch Zubezihen, Zu Zumach. vnd daryn eyn thor Zu echn* solle man Ime dasselbig abschlagen,
der dritt. punct berurend Ime Zugestatten ane seynen vorhabenden neuwen bauw herausser auff solchen Allmend platz vff neun schuh breitt Zu faren vnd vffzubawen, vmb eyn gebur. Allmendgeltt, soll mann Ime daselbige Zulassen vnd weyl er Zusammen Inn breite vnd lenge 348 schuh thate* fünffzehen od. sechzehen schilling Allmend Zinß daruff schlagen, doch sollen sy Es alles Zumeynen herren.
Erkannt mann soll Ime den Ercker wie* durch drey vnd Buwherren bedacht bewilligen, * von d. Allmend Ime * Zulaß. sonder die andre bede puncten freundich abschlagen, Segern * Anwalt H Niclaus Meyg vndt H Heinrich Trausch
(f° 1003)
(f° 1115)
1572, Protocole des Quinze (2 R 2)
Isaac Reblin demande au nom de Louis de Müllenheim des pierres pour construire sa maison. Il est autorisé à en prendre derrière le boulevard de Cronenbourg où il y en a.
(f° 13) Sambstag den IX. Februarÿ – J Ludwig von Mülnheim.
Isac Reblin prackerador, Innamen J Ludwig von Mülnheim, pitt Ime Zu seinem vorhabenden Baw alhie, 82 schuh gradstuck vnd 52 schu gewand vermög der ordnung volgen Zulassen, seye Ir hochvonnöthenn
Erkandt Man soll erkundigen ob diser gattung stein souil vorhanden deren man entbehren mag It ob Jüngling der Werckmeister den baw verdingt hab sein dazu Zugeben, vnnd sollen die Bauherren beuelch vnd gewalt haben Ime Zu willfahren od. abzuweißen, dem Reble soll man sag., man habs Zu bedacht gezogen, möge bitz Montag wid. ansuchen Sag Ime J. Georg Joham vnd H Schach
(f° 66-v) Sambstag den XVII. Maÿ. – J Ludwig von Mülnheim.
Johann Zeissolff der Ellendschaffner, Innamen seins Juncker Ludwigen von Mülnheim p. Reble Sein Juncker prck Inn einem baw vnd sey Ime am vorrath Zerrungen* d. er von wegen mangels an Maursteinen mit dem Baw stillstehen muesse. Weyll dann hinder dem Bollwerck bey Cronenburg vil alter mauerst. ligen, Bittet Ime 50 Kerch vmbs gelt wecken* Zulaß. Erkandt, Ime willfahren sofern vorhanden.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1668, Préposés au bâtiment (VII 1360)
Philippe André de Müllenheim est autorisé à régler les arriérés de son cens communal par des intérêts de la Tour aux deniers à verser par Philippe Wittich (son locataire)
(f° 147) Dienstags den 11. Eiusdem [Feb.] – Andreß. v. Müllenh.
Jr. Philipp Andreß von Müllenh. soll von eingezeunten Allmend ufm Reineckel à 2 lb p. 1658. bis 1664. 14. lb. vnd pro 1665. 66. et 67. 6. lb in summa 20. lb d hanß Phlillip Wittich will Ihme solches der Pfthrns Zinßen abschreiben laßen. Erk. Willfart.
1681, Préposés au bâtiment (VII 1369)
Le marchand Jean Nicolas Herff demande l’autorisation de construire un lavoir pour rincer son fils et ses tapis à l’extrémité du petit cimetière de Saint-Thomas. Il donnéese une clé pour ouvrir la clôture. Il est autorisé à établir un lavoir de huit pied sur six qui servira à rincer le fil et les tapis sans qu’ils perdent de leur couleur. Jean Nicolas Heff estime que le loyer annuel d’une livre dix sols est trop élevé. Jacques Hoser propose de donner 10 sols. Les parties s’accordent pour une livre le autre juin.
Nicolas Herff est autorisé à employer un compagnon menuisier pour faire des tapisseries que les Hollandais qui résident chez lui ne font pas.
(f° 45) Dienstags den 31. May – H. Johann Niclaus Herff. Pritsch am Leichthöffel
H. Johann Niclaus Herff, handelßmann haltet an Ihne Zuerlauben, eine pritsch auffs waßer zu end des leichthöffels beÿ St: Thoman, in seinem auff zurichten, daß Er darauff seine Wullene Garn vnd Teppich abwaschen laßen könte, und weilen das gäßlin allmend und mit einem gater beschloßen, Ihme auch einen schlüssel Zueröffnung des gaters Zuvergönnen.
Erkannt, und auff angehörte relation H. Lohners, daß solch vorhaben niemand hinderlich, soll nachmahlen besichtigung des orts allwa mann auff dem waßer ohne daß einen augenschein Vorhatt, eingenommen werden.
(f° 45-v) Eod. hora 1. – H. Johann Niclaus Herff. H. Jacob Hoser.
Augenschein an dem Leichthöffel beÿm Waßer eingenommen, allwo H. Joh: Niclaus Herff, beneben H. Jacob Hoßern seinem Gemeinern einen platz Zu auffrichtung einer pritschen auff dem waßer von 8. schuh lang vnd 6. sch. breit verlangt, hat sich gefunden daß solches wohl sein könnte, und niemand beschwährlich were, es were dann das die Teppich und das Garn so solte darauff abgewaschen werden, die farben von sich gehen ließen, warauff H. Herff aber berichtet, das nichts Von farben abgehe, sondern allein die wahren im Waßer geschwencket werde. Erk. bedacht.
(f° 47) Mitwochs den 1. Junÿ – H. Johann Niclaus Herff. Pritsch. p. 398.
p° auffrichtung der Pritschen ist auf eingenommenen augenschein H. Johann Niclaus Herffen vnd H. Jacob Hosern erlaubt worden, die Verfertigung Zum stand Zu bring. mit beding, daß wegen der Vergönstgung vndt deß genüßenden platzes im Waßer Jahrs 1. lb 10 ß d Zinnß solten bezahlt werden. H. Herff beschwärt sich Jacob offerirt 10. ß Zubezahlen Jährlich, schluß, ist auff 1. lb d. moderirt worden, so H. Herff Zu bedacht gezog. endlich hat H. Hoßer Zu entrichtung 1. lb d verstand. vff Joh. Bapt: 1682. p° Zubezalen.
(f° 104) Freÿtags den 11. Novembr. – H : Niclaus Herff.
H. Niclaus Herff erhaltet dato einen Zimmergesellen auff 8. tag lang, damit deßen Vorhabendes werck könne verfertiget werden, umb einen anfang ane den Tapezereÿen Zumachen, in deme die beschriebene frembde personen auß hohland sich bey Ihme eingefunden und bißhero mußig waren, und sein H. Herffen Costen sich enthalten.
1688, Préposés au bâtiment (VII 1373)
Les préposés se rendent chez Jacques Hoser auquel le gouverneur de Chamilly a ordonné d’aménager un jardin comme en face à la maison qu’occupe Chamilly. Les préposés soumettent le terrain à un cens d’une livre pour éviter qu’à l’avenir le bénéficiaire ne prétende que le terrain lui appartient. Jacques Hoser rechigne à accepter le cens.
Le maître maçon Jean Jacques Kiehl déclare que Hoser auquel le gouverneur a promis exemption veut commencer les travaux bien que le cens ne soit pas encore fixé.
(f° 25) Freÿtags den 26. hujus [Martÿ] – H Jacob Hoßer
Augenschein eingenommen in H Jacob Hoßers behaußung auf dem Rheineckel, allwo Mr de Chamilly ihme befohlen, ein dergleichen balustre Zu einem garten Zumachen, wie gegen ihme hinüber an Mr de Chamilly hauß auch seÿe, darzu er dann ein stück Allmendts benötiget. Weilen sich ein gefunden, daß solches niemand hinderlich noch schädlich, sondern vielmehr ein Wohlstandt sein würde, alß ist ihme allein pro recognitione Jährlich 1. lb. d. boden Zinß gefordert worden, damit er dießen platz in d. Künfftige nicht vor sein Eigenthumb ansprechen möge, So er aber Zugeben sich geweigert. Erkandt, bedacht.
(f° 31) Freÿtags den 23. Aprilis – H Jacob Hoßer
Ego berichte ferner, daß hannß Jacob Kiehl der Maurer angezeigt habe, H Hoßer wolle dannoch mit dem bau vor seinem hauß, darvon s. p. 25. gemeldet, fortfahren, ohnerachtet der boden Zinß noch nicht richtig, Weilen ihme der H. Gouverneur versprochen haben solle, daß er nichts darvon geben dörffe.
Erkandt, solle demselben angezeigt werden daß mann ihme daß geforderte 1. lb. d. an seinem quartal de facto werde abziehen.
Protocole de la tribu des Maçons (XI 238)
La veuve du maître maçon Michel Guth demande une estimation du travail qu’a fait son mari chez le banquier Debeyer (remarque, les travaux peuvent avoit été faits soit aux Grandes Arcades soit quai Saint-Thomas).
(f° 153-v) den 3.ten Februarÿ 1752. Wurdte auf Ansuchen Mr Johann Michael Guth gewesten Steinhauers undt Maurers allhier hinderlaßene wittib umb solch Ihres Verstorbenen Ehemanns in H. Debeyer des Banquier hauß gemachte arbeit Zu Examiniren, undt abzuschätzen, H. Georg Michael Müller Und Mr Johann Philipp Wöhlern Von hochgebiethenden Herrn Oberherrn Zu Experten ernennet.
[in margine :] die gebühr ist nicht Verrechnet
1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Les héritiers Debayer demandent le 26 janvier à être exemptés du cens communal dû (a) pour un passage depuis longtemps supprimé devant la maison, (b) une galerie elle aussi supprimée et (c) une fosse à fumier déjà rayée du rôle. Le secrétaire consulte le registre des communaux de 1587 dans lequel figure un cens de deux livres et les registres des loyers communaux d’après lesquels Jacques Koser (sic) a été autorisé à établir un jardin et un garde-fou moyennant un cens d’une livre. Les dix sols dus propre la fosse à fumier ont été rayées du rôle en leur temps. Le plan dressé par l’inspecteur Boudhors montre que les deux terrains ont servi à construire le bâtiment en saillie sur une largeur de 23 pieds. Les préposés concluent que le cens de trois livres est perçu à juste titre.
Le marchand François Walter demande le 6 mars 1787 l’alignement à suivre pour la bâtiment sis au 10, Rheineckel.
(f° 212) Dienstags den 16. Januarii 1787. – Weil. Hrn. Debayer behausung betr.
Ich, der Secretarius referite, daß da die in weiland Herrn Debayer Verlaßenschaft gehörige Behausung dermalen versteigt werden solle, der Zeit Punct vorhanden, solche zu acquiriren, um den vorhabenden Staden von der Thomas: bis an die Niclaus Bruck dießeits des Flußes einrichten Zu laßen, wolte daher um Ausweisung gebetten haben, was dermalen disfalls vorzukehren. Ihro Excellenz Herr Prætor Regius liesen sich vernehmen, daß würklich Zween Particuliers sich vernehmen laßen, daß die gesonnen wären die Debayerische Behausung zu acquiriren, und mit löblicher Stadt des Zurücksetzens wegen zu contrahiren.
Erkannt, Seÿe die Sach Gnädigen Herren der drei Geheimen Stuben geziemenst vor zu tragen, und Hochderselben weitere Erkanntnus und allenfallsige autorisation zu erwarten*, Ob vo Seiten Löblicher Stadt die Debayerische Behausung an sich Zu steigern und vornen gegen dem Fluß soweit abzuschneiden als es die breite des Stadens erfordert, das übrige aber als dann wieder zu verkaufen oder solche in statu quô wieder zu versteigern unter der Bedingung, daß dieselbe vornen gegen dem Fluß sogleich auf eine gewiße weite abgeschnitten werde. Oder aber, ob mit dem etwaigen Käufer der Debayer’schen Behausung Zu conveniren gegen Erlag einer zu stipulirenden Summ das Zum Staden erforderliche Terrein Löblicher Stadt zu überlaßen.
(f° 214) Dienstags den 23. Januarÿ 1787. – Weil. Hrn. Debayer behausung auf dem Rhein Eckel gelegen beteffend
Herr Lic. Herrmann nôe Weiland Herrn Debayer hinterlaßener Frau Wittib und Erben, bittet um Ausweisung, was es vor eine beschaffenheit habe mit dem von Löblicher Stadt Pfenningthurn als auff der Debayer’schen an dem Rhein Eckel gelegenen Behausung haftenden ansprechenden 3. lb d Boden Zinß. Es seÿe zwar wahr, daß in den Kauf briefen enthalten, daß Jährlich auf Löblicher Stadt Pfenningthurn 3. lb 10 ß abzurichten seÿen, allein da ehemahls ein Gang vor dem Haus war, so längstens weggeräumt worden, wovon 2. lb d. bezalt wurden, als seÿen solche gefallen, desgleichen 1. lb d. so vor eine vor solcher behausung befindlich geweßte galerie, so ebenfalls nicht mehr vorhanden, und dann 10 ß d Vor einen gehabten Mistkasten, so schon bei deßen wegräumung in den Zins Büchern gestrichen worden, als glaube Er, daß die Völlige 3. lb 10 ß d gefallen und Zu steichen seÿen, Wie dann auch nun weiland Herr Debayer bei seinem Lebzeiten jederzeit behauptet, daß solcher bodenzinß nicht mehr zu bezalen seÿe, daher Er auch solchen seit 1771. nicht mehr abgerichtet. Worauf ich meinen Gnädigen Herren verweise, daß nach Ausweis Zinßbuchs erneuert A° 1562. sub Lit. D. fol. 149. Jr. Ludwig von Mülnheim den 12. Decembris 1571. Von dem Zu obgedachter behaußung eingezäunten Allmend Platz zwölff Schuh breit heraus und 23. Schuh lang 15 ß d. angesetzet, so den 1. Martii 1627 auf 2. lb d. erhöhet worden.
Ferner daß Zufolg Erkanntnus Gnäd. Oberbauherren vom 26. Martii 1688. Herr Jacob Koser vor obiger Behaußung einen Allmend Platz um einen Garten und einem Ballustre, wie gegen über war, Zu machen, Zuerkannt worden, wovor ihme allein pro recognitione jährlich 1. lb d boden Zins angesetzt wurde.
Diese vorstehend beede Plätze sind zweifels ohne bei Erbauung solcher behausung eingezogen worden und machen dermalen das von dem Alignement des Rheineckels gegen dem Fluß stehene Vorgebäu aus, worauf die 3. lb d boden Zins haften daher solche mit allem Recht gefordert werden.
Belangend die vor den s.v. Mistkasten Zu bezalen geweßte 10. ß d. so sind solche nach deßen Wegräumung gestrichen worden, mithin hat diese Sach seine Richtigkeit.
Nachdeme Meine Gnädige Herren den von Herrn Bau Inspector Boudhors über die Debayer’sche Behausung errichteten local Plan eingesehen und daraus abgenommen, daß vorherige beede Plätze Zu dem Vorgebäu auf den Fluß gezogen worden masen von dem hintern Gebäude bis vornen an den Fluß die in dem erstern Platz angezeigte 23. Schuh just eintreffen, als wurde Erkannt, Seÿen die 3. lb d als auf solcher behausung haftenden Bodenzinß mit recht Zu halten und zu fordern.
(f° 238) Dienstags den 6. Martii 1787. – Hr Frantz Walter Handelsmann
Mr Pfauth, der Maurer, nôe Herrn Frantz Walter, des Handelsmanns, bittet Anzeig des Alignements seines an dem Rhein Eckel gelegenen Behaußung N° 10. Erkannt bedacht.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Gœtz expose en 1767 les travaux qu’il va faire dans l’aile droite de la maison Debayer au Rheineckel (aménager une cuisine au premier étage)
(f° 134) Dienstags d. 11.ten Augusti 1767. – H. Debaÿer
Hr. Debayer will in seiner auf dem Reineckel gelegenen behaußung im flügel rechter hand im ersten stock eine Kuchen gegen dem Hof mit Herd und Caminschoß machen das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holz entfernt. Erkandt, Willfahrt. – Hr. Götz.
Le maître maçon Pfaud expose en 1787 les travaux qu’il va faire au premier étage du bâtiment principal et aux premier et deuxième étage du bâtiment latéral à gauche
(f° 648) Mittwochs den 7.ten Novembris 1787.
H. Walther will in seiner ane dem Rheineckel gelegenen behaußung im ersten stock Rechter hand der steeg ein Zimmer mit einem frantzösischen Camin auf einem gewölb wohl versehen machen das Rohr mitten durch das gebäuw von allem holtz entfernt, Linckerhand im nebens gebäu eine Kuchen mit heerd und Camin schoß Wohl versehen das Rohr am steinerenen gäbel hinauf von allem holtz entfernt, im Zweiten stock ein Zimmer mit einer frantzösischen Camin wie im ersten stock. Erkannt Willfahrt. Mstr Pfaud
Chambres secrètes
Délibération du 18 janvier 1787 – Le Magistrat s’est déjà entendu avec le chapitre Saint-Thomas pour pouvoir disposer du terrain nécessaire à établir un quai entre les ponts Saint-Thomas et Saint-Nicolas en decà de la rivière, il ne reste plus qu’à acquérir un bâtiment qui appartient aux héritiers Debayer. La Ville peut soit acheter la maison Debayer, en soustraire la partie nécessaire au quai et revendre le restant ou la revendre aussitôt avec une clause correspondante, soit convenir avec l’acquéreur de céder à la Ville le terrain moyennant un somme à déterminer. Après discussion, trois solutions se présentent (1) la Ville acquiert la maison, ce qui semble revenir cher, (2) la Ville s’entend avec un acquéreur, (3) le chapitre Saint-Thomas acquiert la maison et passe un accord avec la Ville. L’assemblée nomme une commission.
Délibération du 26 février 1787 – Les rapporteurs proposent (1) de voir ce qui a été décidé en 1772 et (2) de lever un plan et déterminer le prix du nouveau quai. Le Magistrat s’est entendu en 1772 avec le chapitre Saint-Thomas et a déjà engagé des sommes pour électrique un quai qui ouvrirait une nouvelle communication avec la halle. La commission ainsi que l’inspecteur Boudhors font cependant observer que le nouveau quai ne pourrait pas servir à de grandes voitures puisque différentes rues dont la rue du Bouclier sont trop étroites pour les manœuvrer mais seulement à de petits chariots. La nouveau quai ne servirait pas à améliorer le commerce mais seulement la circulation publique. Quant au prix, il s’élèverait à 40 320 livres dont 22 000 livres pour entretenir le mur pendant huit ans, à quoi il faut ajouter le dédommagement à verser au propriétaire soit au tuteur plus de 60 000 livres. La commission propose par conséquent d’abandonner le projet. La Ville pourrait passer un accord avec le propriétaire qui établirait une voûte pour assurer le passage sous le bâtiment en saillie.
Le préteur royal communique la soumission d’un acquéreur inconnu qui s’engage à démolir le bâtiment dans les dix ans moyennant une indemnité de 20 000 livres. Les héritiers Debayer communiquent une autre soumission selon laquelle l’acquéreur d’engagerait à édifier une nouvelle façade avant le fin de l’année, moyennant certaines conditions, dont une idemnité de 20 000 livres que verserait la Ville et une exemption des droits en proportion du bâtiment à démolir.
L’avocat général Mogg estime que le prix est trop élevé pour des avantages trop incertains et prpose de ne pas intervenir dans la vente de la maison Debayer. L’avocat Hold estime que le Ville a déjà engagé des sommes importantes et qu’elle pourrait offrier 20 000 livres pour la partie de maison à démolir. L’avocat Fischer ne se prononce pas. Le consul régent estime que la Ville a d’autres dépense plus urgentes mais que le projet pourrait être envisagé si la somme n’excédait pas 20 000 livres. Le consul Poirot estime le projet trop coûteux. Le consul Türckheim estimé que le circulation serait tout de même amélioré et que la Ville pourrait accepter la deuxième soumission.
L’assemblée décide à la majorité la deuxième soumission, à condition que la partie saillante de la maison Debeyer soit reconstruite dans l’alignement de la partie en retrait selon le plan, que la démolition ait lieu l’année même, que la Tour aux deniers règle en tout et pour tout 20 000 livres et l’acquéreur soit exempté des droits de mutation et des droits royaux en proportion du bâtiment à démolir.
1787 (18.1.), Geheime Stuben (4 R 85)
(p. 1) Donnerstag den 18. januarius – Vorschlag der Hh Oberbauh. die Debayer-sche behausung zu acquiriren und den Staden zu eröfnen wird ad deputationem verwiesen
Lect. bericht der hoch und wohlv. Oberbauherren des innhalts das die Nothwendigkeit einen Communications Staden von der thomas brucken bis an die Niclaus bruck diseits des Fluses zu haben, schon vor mehreren jahren eingesehen und daher auch beschlossen worden, weshalben schon mit löbl. collegial stift St .Thomæ so weit deren stifts häuser längst dem Flus hinziehen, um das benöthigte terrain einen Staden zu formieren abzutretten, tractiert worden [p. 2] nun bleibe nicht übrig, als das die in Weÿland H. Debayer Verlasenschaft gehörige behausung von dem Flus zurück gesetzt werde, so könte in kurzer Zeit der Staden in ordnung gebracht werden, wodurch dem Kaufhaus eine neue demselben so nothwendige communication verschaft würde.
da nun dermalen der Zeitpunct vorhanden, das die Debayer-sche behausung zum Verkauf ausgesetzt wird, als könte der Wunsch, einen communications Staden einzurichten, erfült werden. Zween Wege stünden löbl. Stadt offen diesen Zweck zu erlangen. der 1.te, die Debayer-sche behausung an sich zu steigen, und vornen gegen dem Flus so weit abzuschneiden als es die breite des Stadens erfordert, das übrige aber alsdann wieder zu verkauffen, oder solche wieder in statu quo zu versteigen, unter der bedingung, das dieselbe vornen gegen dem Flus sogleich auf eine gewise Weite abgeschnitten werde. Der 2.te mit dem etwaigen Kaufer der Debayer-schen behausung zu conveniren gegen erlag einer zu stipulirenden Summe das zum Staden erforderliche terrein löbl. Stadt zu überlasen. Welches die hoch und wohlv. oberbauh. vor nöthig erachten vortragen zu lasen und Mhh. Ausweisung auch allenfalsige autorisation darüber zu erwarten.
Nachdeme die Hh. general advocaten auf eine nähere untersuchung des Vorschlags und ad deputationen angetragen und nachdem H. Prætor regius angemerkt, das die umstände der einrichtung des Stadens und der vorgeschlagenen abschneidung des Debayerschen hauses günstig, das aber wofern die acquisition an eine deputation verwiesen würde, man die vorsicht brauchen müße Mghh. absichten geheim zuhalten, damit nicht durch der bekannt werdung die conditionen erschweret und die foderung* gesteigert würden. das drey wege vorhanden 1° Ankauf des Deb: hauses von seiten der Stadt, 2° übereinkunft mit einem etwaigen Steigerer 3° wenn wie zu vermuthen das capitul S. Thomæ sich entschliesen wolte diese ihm so wohl der lage als andere umstände nach anständige behausung zu acquiriren und sich hernach des zu eröfnenden Staden wegen mit löbl. Stadt auf billige conditionen abzufinden. der erste Weg seye viele Andencklichkeiten unterworfen, da allem vermuten nach gemeine Stadt sehr theuer kaufen, aber wohlfeil wieder das [p. 3] übrige haus verausern würde. der 2.te Weg dahero so mehr vorzuziehen, da verlauten will das einige particuliers sich melden würden, die auf eine bestimmte Summe zu tractieren gesonnen. Es seÿe ihme von 18.000. Livres gesprochen worden. das vorzüglichste aber würde wohl seÿn, wenn die Hh. canonici des Stifts st thomæ sich zu einer billigen Negociation verstehen wolten.
Wurde auf den Auftrag des regirenden H. Ammeisters Lemp vermittelst gehaltener umfrag der Vorschlag samt den von H. Prætore regio gemachten Anmerkungen an eine hochans. deputation verwiesen, um mit zuziehung der hoch und wohlv. oberbauherren ein Gutachten zu eröfnen. deputati Hh. von Neuenstein, Am. turckheim, XIII Hennenberg, XV Kien, XXI Ottmann
(p. 13) Montag den 26. Februarius 1787
Eine hochansehnliche Deputation läst per XIII. Secretarium referiren. G. G. Hh. die hoch und wohlverordnete Oberbauherren haben unterm 19. Januarius E. G. den vorschlag eroefnen lassen, die dermalige Gelegenheit des bevorstehenden Verkaufs der in die debayersche Verlaßenschaft gehörige behausung zu benutzen, um den schon vor mehreren Jahren als nothwendig beschloßenen Communications Staden von der Niclaus bis an die Thomas brücke diseits des Flußes eröfnen und in ordnung bringen zu können. Lect. den dießer wegen eingegebene bericht ut supra pag. 2.
Gegen den ersten von den hoch: und wohlverordnete Oberbauherren vorgeschlagene Weeg, nehmlich die gantze Debayer’sche behausung an löbl. Stadt zu ersteigern, und dann nach geöffneten Staden den übrigen Theil wieder zu verkaufen, sind schon dermahlen bey Euer Gnaden mehrere Einwendungen vorausbericht worden, dahero der zweÿte, fals es sich anwenden ließe nemlich einer auf eine gewiße billige Summe bestimmten ubereinkunfft mit dem etwaigen Käufer des hauses vorgezogen, und besonders der Wunsch geäusert worden, daß löbl. Stift St Thomæ dieße ihme in mehrerem betracht anständig seÿn könnende behausung acquiriren und sich hernach mit gemeiner Stadt abfinden wollte, in diesen umständen haben E. G. geruhet die nähere untersuchung und behandlung des vorgeschlagenen Projects an eine abgeordnete Deputation mit Zuziehung der herren oberbauherren zu verwiesen. dieße hat sich auch angelegen seÿn laßen, in mehrere Sitzungen alle Mittel in Erwägung zu ziehen, welche dem Interesse gemeiner Stadt beÿ dießer Acquisition am angenehmsten seÿn möchten.
Allein da eines Theils das Stift St Thomæ sich erkläret nicht die geringste Absicht auf die Acquisition des Debayer’schen haußes zu haben und den geschehenen Antrag von sich gewießen, da auch anderntheils von seithen keiner particularen solche Soumissionen eingegeben werden wollen, auf die man sich beÿ E. G. hoffnung gemacht hatte, demnach kein anderer weeg zur Ausführung des projects übrig zu bleiben schiene, als der einer kostspieltigen Acquisition des gantzen, als siehe sich eine hochansehnliche Deputation veranlaßt die vorausgesezte und angeprießene Nutzbarkeit der vorgeschlagenen Antrage genauer zu untersuchen, theils auch 1° dasjenige nachzuschlagen, was dießerwegen Anno 1772 abgehandelt und beschlossen worden, endlichen 2° durch vorzulegende Plan und bestimmte berechnungen den uberschlag sämtl. löbl. Stadt durch Anlegung des neuen Stadens zu verursachender Kosten zu beurtheilen.
Ad I.mum ist aus dem beÿ E. G. den 4 Aprilis 1772 ratificirten bedacht ersichtlich, daß die Eröffnung dießes Stadens nicht nur beschlossen, sondern an dießelbe dadurch hand angelegt worden, daß löbl. Stadt, kraft der mit dem Stift St Thomæ getroffenen Übereinkunft vor das abgetrettene [p. 14] Terrain 6000 Livres würcklich bezahlt, sich zu fernere 1200 Livres verpflichtet und endlichen sich auf immer und ewig zu der unterhaltung des Stadens und der Staden Mauer verbunden. Lectum Protocoll de dicto die 1772. Es muß demnach damalen die Nützlichkeit dießes Stadens einmuthig anerkannt worden seÿn, da man sich zu einer ubereinkunft verstanden, deren folgen und kostspieltige Unterhaltungs und Wiederbauungs kosten vorausgesehen werden mußten. Es ist zu vermuthen daß die Absicht dem Kaufhaus eine neue Communication zu verschaffen auch damahlen schon besonders in Rechnung gebracht worden. Es ergibt sich aber aus der beÿ einer hochansehnlichen Deputation eingezogenen berichten sowohl von den beamten des Kaufhaußes als des H. Boudhors selbst, daß in Ansehung der großen Rouliers und Güterwagen dieße Communication keinen Nutzen bringen würde, weilen 1° dießelbe bloß die ein und ausfuhr durch das Weißenthurn: thor zum Gegenstand haben würde 2° die von St Thomæ aus dahin ziehende Straßen aber, sogar die großschiltzgaß zu eng und gegen die lange Straß statt 22 Schuh nur 13 ½ breit, dahero das Umkehren zu beschwerlich, 3° daß auch in jedem Fall die wenige Fuhren die von der Weißenthurn Straß herein kommen immer den bequemern Weeg der langen Straße und über den Fischmarkt vorziehen würden, daß alßo dieße Communication nur vor kleinern Wagen, Karren und dann vor die Kutschen dienlich seÿn wird, alßo der eigentliche Vortheil welche von dießer Anlange zu erwarten, das publicum mehr als das Commercium interressire.
Ad II.um belauft sich der von herren Boudhors gegebene Uberschlag der zu Einrichtung dießes Stadens nöthigen baukösten laut specificirten berechnung auf 40.320 L. /Lect: Etat estimatif/ wobey jedoch zu bemercken daß, wie die von Hh. Boudhors gegebene Erläuterungen aufweißen /vid. questions au Sr. Boudhors et Reponses/ auch als dann, wenn auf die oefnung des Stadens auch gäntzlich Verzug gethan würde, dennoch der größern theil dießer Summen aus wenigstens zweÿ und zwanzig tausend livres zur Unterhaltung der Mauer und zwar innerhalb acht Jahren verwendet werden müßten.
Wenn zu dießen baukösten der 40.320. L. dasjenige gerechnet werden muß, was sowohl an die Debayer’sche Eigenthümer als an löbl. Stift St Thomæ noch zu bezahlen seÿn wird, so belauft sich der annoch zu machende Aufwand dieses Stadens über die 60 M. L. Weilen nun eine so beträchtige Ausgabe die Vortheile zu übersteigen und auch vor löbl. Stadt Finanzen in den damaligen Umständen zu beschwerend schiene, andern theils von seithen der Debayer’schen auf baldige Erörterung und Antwort gedrungen wurde, als hatten die Majora derer Hh. Depp. ihr Votum dahin gegeben, daß die vorgeschlagene Acquisition auf sich zu lassen, und den Debayer’schen Erben freÿe hände zu laßen, mit dem Verkauf des haußes in Statu quo fortzufahren, löbl. Stadt ohnbenommen früh oder spat mit dem etwaigen Eigenthümer des Haußes, falls er gerne die hände dazu biethen wolle, entweder wegen Anlegung einer Voute oder durchfahrt unter dem [p. 15] hauße, als wohin H. Stättmeister von Neuenstein angetragen hatte, oder auch wann dieses nicht thunlich, wegen gäntzlicher Abtrettung des Stadens zu tractiren.
Es wurden auch die HH. Depp. einmuthig dem œconomischen Entschluß dieses Project aufzugeben beÿgestimmet haben, wenn die Sache noch in integro und in dem nemlichen Zustand wäre als sie vor der ubereinkauff de 1772. geweßen, allein da löbl. Stadt schon um 6000 L. und um die kostspieltige unterhaltungs Kosten der Staden Mauer, die wie oben angemeldet einen aufwand von mehr als 20 M. L. erfordere, engagirt, sich auch einiger maßen zur Ausführung dieses Degagement verpflichtet, welches vor das publicum in mehrerem betracht nützlich, angenehm und erwünscht seÿn würde, als haben mehrere Hh. Depp. den Wunsch geäusert, daß man mit einem oder dem andern Käufer vorläufig übereinkommen könne, und überlaßen es E. G. folgende beÿ einer hochans. Deputation erst anheut vorgelegte Soumissionen in betracht zu ziehen.
Lectum sofort per Extractum 1° eine von Hh. Prætore regio an Herrn XIII Hennenberg communicirte Soumission, durch welche sich der unbekannte submittent anheischig machet, sich mit den Debayer’schen Erben abzufinden, falls löbl. Stadt eine Summe von 20 M. L. sogleich zu dem Kaufpreiß vorschießen wollte, mit der Vergünstigung jedoch daß die würkliche Wegräumung des vorstehenden Gebäudes erst in 10. Jahren vor sich gehen solle ex. dieser Submission wurde beÿ einer hochans. Deputation die Bemerckung beÿgesetzt, daß man die Summe auf 20 M. L. den Zeitraum aber auf acht Jahr reducieren könnte, wenn dießer Vorschlag genehmigt werden sollte.
Lectum 2° die von H. Lt. Herrmann als Debayer’schen Kinder Vogt vorgeschlagene Submission, folgenden Innhalts :
Es findet sich ein Liebhaber, welcher mit löbl. Stadt wegen der an dem Rheineckel allhier gelegene de Beyer’schen Behausung auf folgende Art zu tractiren anbietet.
1° Will sich derselbe mit unterschriebenem de Beyer’schen Kindervogt unter E. E. großen Raths Autorisation wegen dem Kaufpreiß der behausung abfinden.
2° Ist derselbe erbietig das hervorragende Eck in der Flucht desjenigen theils des haußes welches in dem Hintergrund stehet, sogleich wiederzureißen und die facade noch dieses Jahr wieder aufzuführen.
3° hingegen soll löbl. Stadt
dem Käufer einem hießigen burger
1) alle und jede Materialien des niederzureißenden Ecks über: [p. 16] laßen als welche ohnehin demselben zugehören.
2) für bemeldtes Eck die Summe von 20.000 L. bezahlen, dieße aber à fonds perdu auf den Kopf eines kindes welches acht Jahr und zwey Monath alt ist zu 8 pro Cto verzinnßlich annehmen.
3) denselben von Pfundzoll und Contract Gebühren befreÿen.
4) königliche und Stadt Abgaben nach Proportion der 20.000. L. auf den gantzen Kauf Preiß verwiegern.
den Verkäufern
1) Hundert Louis d’or an Stadelgeld* bezahlen
2) sie von den von löbl. Stadt Pfenningthurn angesprochene in Circa 42. lb d für rückständigen bodenzinß à 3. lb. d. per annum los sprechen, um somehr, als leicht erwießen werden kan, daß von besagter Summe 14 lb. indebite gefordert werden und der verstorbene Herr de Beyer mehrere Jahre lang zu viel bezahlt und deswegen in Ruckstandt verblieben.
3) die bisherigen Versteigerungs Kösten zu vergüten und respective auf sich zu nehmen.
Wann löbl. Stadt geneigt ist obige Bedingungen anzunehmen, dennoch verlangten 20.000. L. nicht à fonds perdu behalten wollte, so wäre es dem Käufer zwar ein leichtes dießelben zu Paris in die offentliche fonds zu 10. p. C. zu geben. Es hat aber derßelbe mehr zutrauen in löbl. Stadt und will der Mühe die Renten in Pariß zu beziehen überhoben seÿn. Es scheint aber daß in diesem Fall leicht Rath geschafft werden könnte. Löbl. Stadt dürfte nur die 20.000. L. anstatt solche dem Käufer anzubezahlen, auf den Kopf erwähnten Kindes zu Pariß à fonds perdu zu 10. p. C. anlegen, dem Käufer die jährliche Rente von 1600. L. garantiren und durch seinen Agenten die perception besorgen laßen. Auf dieße Weiße würden sogar 16.000. L. hinlänglich seÿn, wenn anders ein solches darleÿhen offen ist. unterschrieben Herrmann XV secret. adj. der de Beyer’schen Kindervogt.
Facta Lectione wurde bemerckt, daß beÿ besesener Deputation besonders Rücksicht darauf genommen, gegen die Annahme à rentes viageres aber mehrere bedencklichkeiten geäußert worden, alßo daß dießer Vorschlag in soweit annehmlich befunden worden, in wie weit die 20.000. L. in baarer Zahlung stipulirt, die Schlißelgelder aber auf fünfzig Louis d’or reducirt werden könnten, sollten aber Mhh. incliniren, lieber eine Rente viagere zu bewilligen, so könnte dießelbe füglich statt 1600. L. auf 1500. L. heruntergesetzt werden.
[p. 17] Consultis Deputatis, meldete H. Advocat Mogg, daß da die Anlage des vorgeschlagenen Stadens denjenigen Vortheil nicht bewürken würde den man sich in Ansehung des Kaufhauß davon versprochen, der übrige Nutzen den man davon erwarten könnte, mit den Kosten des Ankaufs und der Unterhaltung in keinem Verhältniß stehe, trug dahero an von dem Project abzustehen, und den de Beyer’schen Erben freÿe Hände zu laßen.
H. Advocat Holdt sagte, man würde dießer Meÿnung einstimmig beÿgepflichtet haben und nicht mehr auf die Anlaage des Stadens bedacht seÿn, wann res noch in integro esset, allein da dieße Anlaage schon seith mehreren Jahren beschlossen und schon ein wichtiger theil der Ausgabe theils bestritten, theils übernommen worden, und wie aus H. Boudhors Erläuterungen zu ersehen, ohnehin nächstens bestritten werden müßen, so glaube er den Umständen angemeßen, die Ausführung dieser Anlaage zu beförderen. Was die Soumissionen betrifft, scheinen dießelben zu sehr complicirt, es sollte sich löbl. Magistrat in dieße Detail nicht einlaßen, sondern simpliciter 20.000 L. vor den theil des Haußes der weggeräumt werden muß offeriren.
H. Advocat Fischer, da sämtliche Vorschläge und Bemerkungen deutlich vorgetragen worden, so überlaße er die Wahl Mghh.
Der regierende Herr Ammeister eröfnete sein Votum mit dem wunsch, daß eine hohere Deputation beÿ ihrem ersten Gutachten geblieben wäre, den Ankauf auf sich und den Verkäufern freÿe Hände zu laßen. die vorgehabte Anlage wird löbl. Stadt bis auf 80. und 90.000. Livres zu stehen kommen. der Schuldenlast und die Umstände ließen dieße Ausgaabe nicht zu, mehrere andere Gegenstände dringeten eher auf die Erbauung des Rathhaußes bedacht zu seÿn. Sollten aber Mghh dennoch auf die Acquisition geneigt seÿn, so müßte man sich wenigstens auf höchstens 20.000. Livres baare Zahlung einschräncken, alle nebens Foderungen der Soumissionen aber weglassen, der Staden müße gleich geöfnet, das völlige zu dessen Einrichtung aber könnte nach und nach bestritten werden.
Herr Amstr. Poirot votirte das Project als zu kostspieltig und ohne Vortheil, gäntzlich auf sich zu laßen.
Herr Amstr. Türckheim bemerkte, daß sich die Anlaage zum besten des Publici vor die Karchzieher, Kutschen und brouettier empfehle [p. 18] löbl. Stadt einigermaßen die Verbindlichkeit auf sich genommen dießen Staden zu öfnen, die weiße* depense müße doch gemacht werden, die Reparationen an der übernommenen Mauer dringend. Er glaube daher, daß die 2.te Soumission annehmlich, in wie fern von der begehrten Rente viagere abstrahirt, die 20.000. Livres baar bezahlt, die Schlüßelgelder aber auf 50. Louis d’or reducirt würden. die übrige nebens Foderungen der Soumissionen, als Nachlaß der Pfundzoll Gebühren, Ersetzung der Kösten & Seÿen von keiner Wichtigkeit und giengen von selbst, er trage also an vorgeschlagenen Maaßen zu willfahren, und mit dem Soumissionnaire zu schließen.
Nachdem aber bei dießer ersten Umfrag die Vota sich getheilt, die Helfte dem Voto des regirenden Herrn Ammeisters, die andere Helfte aber dem des herrn Ammeisters von Türckheim beÿgepflichtet, einige der erstere aber als H. von Wurmser erkläret, daß er dem zweÿten Membro des von H. Ammeister eröfnete Voti, nehmlich der Acquisition zu 20.000. Livres adhærirt habe, wurde zu einer zweÿten Umfrag geschritten, beÿ welcher 9 stimmen dem H. Amstr. Poirot gefolgt, die Acquisition gäntzlich auf sich zu laßen, 4 stimmen dem regierenden H. Ammeister auf 20.000. Livres sine plus. 13. Vota aber auf den Antrag H. Städtmstrs von Wurmser und H. Ammeisters Türckheim, welches sein ersteres Votum wiederholte, die von Herrn Herrmann eingegebene Soumission in sofern eingewilligt und agréirt, in wiefern die Zahlung der 20.000. Livres baar, die Stadelgelder aber auf 50. Louis d’or reducirt würden.
Es fiele demnach per majora die Erkanntnuß dahin aus, daß unter der bedingung das bis an das Waßer hervorstehende Eck des de Beyer’schen Haußes, in der Flucht desjenigen theils der in dem Hindtergrund stehet, in specie nach dem beÿ uns vorgelegten Plan und darauf gezogenen Allignement, welches Plan von denen Parthen und unßerm Secretario zu unterschreiben, noch in dießem Jahr abzureißen, und die Fenster wand wieder aufzubauen, ihme dem Käufer alle und jede Baumaterialien des abzubrechenden theils, jedoch soviel die Mauer am Waßer anlangt, nur bis auf brusthöhe überlassen, sofort die Summe von Zwanzig tausend livres pure et simpliciter von löbl. Stadt Pfenningthurn bezahlt werden sollen, mit dem fernern Anhang und Verspruch, daß es der Käufer von dem Pfundzoll und Verschreibung gebühren befreÿet, auch die von dem Hauß zu reichende königliche und Stadt Abgaaben nach Maßgabe des mindern Werths deßelben, namentlich der oberwähnten Zwanzig tausend Livres in Verhältnuß mit dem ganzen Kaufpreiß, vermindert werden, übrigens [p. 19] aber dem H. Vogt, in seiner Eigenschaft, für seine Curanden die Summa von fünfzig Louis d’or als Schlüßelgeld bezahlt, auch die von den Hh. drey löbl. Stadt Pfenningthurns, an die de Beyer’sche Verlassenschaft angesprochene ruckständige Bodenzinnße erlaßen, anbeÿ die bereits aufgelaufene Versteigerungs: Kösten von löbl. Stadt übernommen werden, vorbehältlich E. E. großem Raths, soviel den Zwischen dem herrn Vogt und dem von ihme aufgestellten, dermahlen noch unbekannten liebhaber, zu errichtenden Kauf selbst betrifft, einzuholender Autorisation.
Les charges royales devaient être diminuées à proportion de la partie cédée à la Ville aux termes du contrat passé avec François Walter, mais comme ces droits se paient sur le revenu et non sur le prix d’achat, le magistrat ordonne une expertise dont il résulte que la taxe initiale de 87 livres est portée à 147 livres.
1787 (21.12.), V 61, 4 (vingtième)
Verification du 21 Decembre 1787
Mr. François Walter, Negt. a acquis de la Succession de feu Mr. de Bayer par Contrat du 26. fév. 1787. la Maison sise au coin du petit Rhin (Rheineckel) à coté de Mr. Saum, pour une somme de 48.000 livres Sur laquelle Somme la Ville lui a payé celle de 20.000. lb à condition d’en démolir la partie de la maison sur le devant pour y aménager un passage sur le quai. Dans led. Contrat il se trouve encore une autre Condition : » que les Charges et Droits Royaux et de la Ville seroient diminués à proportion de la différence desd. 20.000. livres du prix d’achat entier » Voici les Termes » Unter der Bedingung das bis an das waßer hervorstehende Eck vorerwähnten De Beyer’schen Haußes, in der Flucht desjenigen Theils, der in dem Hintergrund stehet, in specie nach dem bei uns vorgelegten Plan und darauf gezogenen Allignement, welcher Plan von den Partheien und unßerm Secretario zu unterschreiben, noch in dießem Jahr abzureißen, und die Fensterwand wieder aufzubauen, ihme dem Käufer alle und jede Bau Materialien des abzubrechenden theils, jedoch soviel die Mauer am Waßer anlangt, nur bis auf Brusthöhe, überlassen, sofort die Summe von 20.000. livres pure et simpliciter von löbl. Stadt Pfenningthurn bezahlt werden sollen, mit dem fernern Anhang und Verspruch, daß er der Käufer von dem Pfundzoll und Verschreibungs gebühren befreÿt, auch die von dem Hauß zu reichende könig. und Stadt Abgaben nach Masgab des minderen Werths deßelben, namentlich der oberwähnten 20.000. livres in Verhältnis mit dem gantzen Kaufpreiß, vermindert werden, auch die von den Hh. dreÿ löbl. Stadt Pfenningthurns an die De Bayer’sche Verlassenschaft angesprochene rückständige Bodenzinnße erlaßen, anbei die bereits aufgeloffene Versteigerungs Kösten von löbl. Stadt übernommen werden.
Mais cette diminution ne pouvant avoir lieu, les Vingtiemes se payant à raison du produit, Et non à raison du prix d’achat, suivt. tous les Arrets y relatifs, Messieurs les Commissaires ont ordonné une Verification nouvelle pour constater led. produit, pour en fixer la Taxe. Par cette Verification il s’est trouvé que le Produit actuel de cettte maison surpasse de beaucoup celui dont Mr. de Bayer payoit le XX°. et qui etoit fixé à 1100 livres vû le Registre des Verif. de 1755. 7. C. 88 p. 40 et 41.
En voici le Detail de la présente Verif.
La Maison consiste au Res de Chaussée de 6. pieces, Cuisine, grand’cour, Cave, Remises, Ecurie et Magasin
au premier Etage de 8. pieces et Cuisine
au second Id.
Grenier
Le Tout bien arrangé et dans un bon Etat.
Produit de la Maison
Le Res de Chaussée loué à Mr. Bronner, Major pour un loyer annuel de 400 livres
Le 1. Etage loué à Mr. Uhlenhout Negt. et à Mr. de Prin ensemble pour 800. suivt. le dire du propriétaire
le 2. Et. occupé par led. Proprietaire et Estimé par lui même à 300 livres. En comparant cette Estimation avec le Loyer du 1. Et. on voit bien que Cet Etage peut bien etre estimé à 500.
Et le Magazin loué à Mr. Salzmann libraire pour 120.
Ensemble 1820 livres
Sur cette Somme de 1820 livres il convient de déduire
1. la 12° pour les Reparations annuelles suivt. l’Arret du Conseil d’Etat du 26 Aout 1778 art. 1, 151. 13. 4.
2. Et la Taxe p. l’Exemtion du logement des gens de guerre ci 64 (total) 215. livres 13. 40
Reste 1604. livres 6. 8.
D’où resulte pour premier vingtieme une somme de 80 livres 4 s. 4 d.
Et suivt. le Tarif de 1787 une Taxe de 147. livres 1. s. 3. d.
En Comparant cette Taxe avec celle portée au Rolle qui est 87. 1. – on voit qu’il y a une augmentation de 60 livres – 3. d.
Description de la maison
- 1715 La maison comprend un bâtiment latéral, un bâtiment arrière, un passage (qui les relie), une cave voûtée, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 10 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Quai St Thomas
nouveau N° / ancien N° : 16 / 10
Klose
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 376 case 1
Klose Sigismond Frédéric, Négociant
P 1125,, sol, maison et cour, Quai St Thomas 10
Contenance : 9,40
Revenu total : 724,89 (720 et 4,89)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 65 / 52
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 414 case 1
Klose Sigismond Frédéric, Négociant
1901 Bethesda Verein für allgemeine Krankenpflege
P 1125, Maison, sol, Quai St Thomas 2
Contenance : 9,40
Revenu total : 724,89 (720 et 4,89)
Folio de provenance : (376)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 65
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 29 page 143 case 9
Parcelle, section 12, n° 11 – autrefois P 1125
Canton : St. Thomasstaden N° 2
Désignation : Hf, Whs u NG
Contenance : 9,62
Revenu : 6000 – 7500 – 8000
Remarques : 1912 Neubau
(Propriétaire), compte 58
Bethesda, Verein f. allgem. Krankenpflege
1909 Fritz Elisabetha Maria
(1511)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VII, Rue 246 Quai de l’Esprit dt. Rheineckel, Enclos de St Thomas
399
Canton VII, Rue 246 Quai de l’Esprit dt. Rheineckel, Enclos de St Thomas
Près de St. Thomas
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Thomasstaden (Seite 180)
(Haus Nr.) 2
Verein Bethesda, leitende Schwester Elis. Brechbühler. 02
Dr. Freund, Univ.-Prof. und Dir d. Hebammensch. 1
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1198 W 428)
2, quai Saint-Thomas (1876-1996)
L’association Bethesda charge en 1900 l’entrepreneur Emile Widmann de remplacer le soubassement en dalles de la façade par un nouveau en ciment puis de construire une buanderie et une terrasse au fond de la cour. Marie Fritz charge en 1909 l’entrepreneur en bâtiment A. Wieger d’aménager les mansardes.
La Société Immobilière Maison de la Boulangerie du Bas-Rhin, propriétaire, fait aménager en 1954 des bureaux au rez-de-chaussée sous la direction de l’architecte Pierre Félix. Elle présente en 1961 la même demande de désaffecter les logements du rez-de-chaussée pour les transformer en bureaux sous la direction de l’architecte Haudenschild, les plans de Pierre Félix n’ayant pas été approuvés. La société civile immobilière charge en 1975 l’architecte décorateur Pierre Drexler de réaméager le rez-de-chaussée en déplaçant des cloisons. Elle fait agrandir deux lucarnes en 1995.
Ed. Seeboth exploite en 1947 une laboratoire de prothèse dentaire dans le bâtiment arrière
Sommaire
- 1876 – La veuve A. Weyer demande au nom du sieur Klose l’autorisation de réparer la façade (courrier de l’ingénieur d’arrondissement Pfersdorff) – L’agent voyer note que la façade suit l’alignement. – Travaux terminés, août 1876
- 1885 – Le maire notifie Edouard Klose, demeurant sur place, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1885
- 1894 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le locataire E. Bœckel soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1894
- 1895 – Le maire notifie la veuve Klose de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les cinq volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique – Rappel, 1898 – Travaux terminés, janvier 1899
- 1900 – L’entrepreneur Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom de l’association Bethesda l’autorisation de réparer le crépi de la façade – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1900
- 1900 – L’entrepreneur Emile Widmann demande au nom de l’association Bethesda l’autorisation de remplacer le soubassement en dalles de la façade par un nouveau en ciment (22 mètres de long) – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1900
- 1900 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du préfet de police. L’association Bethesda demande l’autorisation de tenir un bazar au rez-de-chaussée – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire.
- 1900 (octobre) – L’entrepreneur Emile Widmann demande au nom de l’association Bethesda l’autorisation de construire une buanderie et une terrasse au fond de la cour – Autorisation de construite une buanderie comprenant un séchoir et une salle de repassage, octobre 1900 – Les murs extérieurs sont en construction, les poutres en fer au-dessus su rez-de-chaussée sont en partie posées, novembre. Le gros œuvre est terminé, janvier 1901. Travaux terminés, mars 1901
- 1909 – L’entrepreneur en bâtiment A. Wieger (30, Faubourg de Pierre) demande au nom de la veuve Fritz l’autorisation de modifier le bâtiment – Autorisation d’aménager les mansardes
Les travaux ont commencé, novembre. Les plâtriers travaillent, janvier. Le plafond n’est pas à l’épreuve du feu, avril 1910. L’architecte répond que la sécurité contre l’incendie est assurée par un plafond intermédiaire dans l’entrait retroussé – Le certificat de réception est délivré, juin 1910. - Commission contre les logements insalubres (propriétaire, Association Bethesda puis veuve M. Fritz). 1906, les logements sont bien tenus, les cabinets d’aisance raccordés aux canalisations
Commission des logements militaires, rien à signaler, 1916 - 1923 – P. Fritz, frère de la propriétaire M. Fritz, demande au nom du Cercle Oberlin (Union Chrétienne de Jeunes Gens, anciennement Cercle français) l’autorisation de poser une enseigne plate – L’enseigne est posée, novembre 1923
- 1924 – René Krausbauer (entreprise de peinture Meyer-Reyhle, 3. impasse Saint-Nicolas) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire transmet au maire – Accord
- 1947 – Ed. Seeboth (laboratoire de prothèse dentaire dans le bâtiment arrière) demande l’autorisation de poser une plaque à la porte d’entrée
L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à la demande du dentiste Seeboth de poser une enseigne plate, soit en métal soit en verre – L’enseigne est posée, juillet 1948 - 1954 – Jules Meyer dépose au nom de la Société Immobilière de la Boulangerie du Bas-Rhin, propriétaire, une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Pierre Félix (7, rue de Berne) en joignant le plan de l’état actuel et du projet
1954 (novembre) Jules Meyer est autorisé à transformer le rez-de-chaussée. L’entreprise Barthelmebs frères (2, rue de la Brigade Alsace-Lorraine) est chargée du gros œuvre. Le rez-de-chaussée aménagé en bureaux est terminé, la réception finale ne donne lieu à aucune objection, février 1955. - 1957 – L’entreprise Oscar Weber (69, route des Romains à Kœnigshoffen) est autorisée à occuper la voie publique au nom du Syndicat des patrons boulangers pour crépir la façade et réparer le cordon mouluré – Prolongation
- 1961 – Le président de la Fédération patronale de la Boulangerie du Bas-Rhin demande l’autorisation de désaffecter les logements du rez-de-chaussée pour les transformer en bureaux. La Division I donne son accord à condition d’aménager un logement de trois pièces dans les combles. – L’architecte Pierre Felix a établi en 1956 des plans qui n’auraient pas été approuvés par l’architecte des Bâtiments de France. Le propriétaire charge l’architecte Haudenschild d’un nouveau projet.
- 1964 – La société civile immobilière la Boulangerie est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
- 1975 (février) – L’entreprise de construction Sigrist (5, rue des Jardins à Duppigheim) est autorisée à poser une palissade de chantier (12 mètres de long, 1,80 mètre de large)
1975 (mars) – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis favorable à la demande déposée par la S.C.I. de la Fédération des Boulangers pour ravaler et réparer la façade
1975 (février) – La S.C.I. de la Maison de la Boulangerie dépose une demande de permis de construire pour travaux intérieurs sous la direction de Pierre Drexler (cabinet d’architecture et de décoration, 11, rue du Petit Marais à la Montagne Verte), en déplaçant des cloisons – Plan d’arpentage
1975 (janvier) – L’inspecteur du travail n’a pas d’objection à formuler.
1975 (juin) – Le dossier incomplet est classé. Les travaux intérieurs exécutés sans autorisation sont terminés conformément aux plans. - 1981 – Le maire demande à la Fédération patronale de la Boulangerie du Bas-Rhin de faire ravaler les façades sur cour
Devis par la Société d’exploitation de l’entreprise André Nonnenmacher et Fils (24-a route de Strasbourg à Brumath) – Devis par le menuisier ébéniste Paul Hecker (1-3 rue de Graffenstaden à Lingolsheim)
1982 – R. Matter, gérant de la Fédération patronale de la Boulangerie et Boulangerie-pâtisserie du Bas-Rhin, dépose une demande de subvention
1982 (avril) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable – Le maire autorise le propriétaire à poser un échafaudage sur la voie publique – Factures de la société Nonnenmacher, Clemessy Renov-cheminées (18, rue du Stade à Eckbolsheim), Georges Hunsinger, menuisier (Weislingen), S.A. Fourquin –Metz-Magny) – La Ville de Strasbourg verse la subvention, septembre 1984
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1684 W 608)
2, quai Saint-Thomas (2007-2008, toiture et façades)
La Fédération des Boulangers fait refaire la toiture. Un premier projet n’est pas conforme aux dispositions de Plan de sauvegarde et de mise en valeur. Le deuxième projet tient compte des remarques de l’architecte des Bâtiments de France (la toiture devrait retrouver son aspect du XVIII° siècle).
Sommaire
- 2007 (octobre) – Jean-Claude Fritsch demande au nom de la Fédération des Boulangers l’autorisation de refaire la toiture et de ravaler la façade – Photographies
Devis par l’entreprise André Nonnenmacher et Fils (Brumath) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour le projet non conforme aux dispositions de Plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV) – Compte rendu d’entretien avec l’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix – Les établissements Pierre Garnier (11, rue des Jardins à Ringeldorf) se chargent de fournir un état du bâtiment sur la maquette du plan-relief pour satisfaire aux observations de Chantal Lavillaureix. Rapport fondé sur les ouvrages d’Adolphe Seyboth, de Klein-Recht-Fœssel, le plan-relief et des photographies anciennes.
2007 (décembre) – Léon Olland dépose une nouvelle demande – Nouveaux devis – L’architecte des Bâtiments de France Serge Bentrup émet un avis favorable
2008 (janvier) – Arrêté portant permis de construire
Autres dossiers
2, quai Saint-Thomas (2005-2007) cote 1677 W 1521
2, quai Saint Thomas (2007-2008, réfection de la toiture, ravalement [refus]) cote 1684 W 250
2, quai Saint-Thomas (2011-2012, remplacement de châssis [refus]), cote 1688 W 1096
2, quai Saint-Thomas (2011-2012, remplacement de châssis [refus]) cote 1688 W 1101
2 quai Saint-Thomas (2011-2013, nouvelle issue de secours, remplacement des fenêtres au rez-de-chaussée) cote 1689 W 155
Relevé d’actes
Louis de Müllenheim règle à partir de 1573 un cens pour un terrain communal dont il jouit. La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de Philippe de Müllenheim Rosheim et de Bernard Frédéric de Müllenheim Mutzig. Le loyer passe ensuite à Philippe Henri de Müllenheim.
La famille de Müllenheim Rosenburg figure dans les tableaux publiés par Jules Kindler von Knobloch dans le volume III de son ouvrage Oberbadisches Geschlechterbuch (Livre de généalogie badoise).
Fils de Hildebrand de Müllenheim Rosenburg, Louis de Müllenheim épouse Ursule de Bærenfels qui se remarie ensuite avec Christophe Waldner de Freundstein
Kindler von Knobloch, III p. 151
Ludwig von Müllenheim von Rosenburg,
1540, 1560, Pfründner von Allerheiligen;
uxor: Ursula von Baerenfels, n. 1537.1.12., rem. an Christoph Waldner von Freundstein.
(Sohn v. Hildebrand von Müllenheim von Rosenburg Clara Bock von Hagenau)
Son cousin Philippe de Müllenheim Rosenburg qui demeure à Rosheim épouse Susanne Baumann
Kindler von Knobloch, III p. 150
Philipp von Müllenheim, 1578, 1601, in Rosheim gesessen;
uxor: Susanna Baumann, 1585, t Straßburg 1622.
(Sohn v. Philipp von Müllenheim von Rosenburg, Brigitta Ingold)
1590, Protocole des Quinze (2 R 19)
H Philipp von Mülnheim. 12. 31. 130. 134. (schutz und beiwohnung)
Le Livre des loyers communaux mentionne que la maison appartient pour partie à son neveu Bernard Frédéric de Müllenheim Rosenburg, aussi appelé Frédéric le jeune, qui épouse Barbe Truchsess de Rheinfelden
Kindler von Knobloch, III p. 150
Bernhard Friedrich, auch Friedrich der Jüngere von Muellenheim von Rosenburg, bapt. Straßburg, S.-Thomas-K. 1564. 19. 11., t 1614. 3. 1., sep. Allerheiligen, wohnte in Mutzig;
uxor: Barbara Truchseß von Rheinfelden, 1586, 1616
(Sohn v. Heinrich von Muellenheim, Susanna Widergrün von Stauffenberg
Heinrich von Muellenheim, Sohn v. Philipp und Brigitta Ingold)
Bernard Frédéric de Müllenheim est baptisé en 1564 à Saint-Thomas
Baptême, Saint-Thomas (luth. n° 1858)
1564. Dnca 25. Iuncker Heinrich von Müllenheim der iunger, pater, das Kind Bernardus Fridericus, gevattern Iuncker Adolph von Mittelhausen, die alt fraw Sturmin (im 239)
La maison passe ensuite à son fils Philippe Henri de Müllenheim Rosenburg qui épouse Ursule Wurmser de Vendenheim. Il est préteur en 1649, 1651 et 1652)
Kindler von Knobloch, III p. 150
Philipp Heinrich von Muellenheim von Rosenburg, n. 1587, t Straßburg 1653. 26. 5. (26. 2. ?), sep. Allerheiligen, Stättmeister in Straßburg 1649, 1651, 1652, Gouverneur von Benfeld;
uxor: Ursula Wurmser von Vendenheim
(Sohn v. Bernhard Friderich, Barbara Truchsess v Rheinfelden, wohne in Mutzig)
Guillaume Sébastien Mieg est élu assesseur des Quinze le 2 mars 1653 après la mort de Philippe Henri de Müllenheim
1653, Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 31-v) Mittwoch d. 2. Martÿ – Jr. Philipp Heinrich von Müllenheim – Jr Mieg Wurdt Zu einem XV.er erwöhlt
Der Regirendt Amr. proponirt d. der Allerhochste Gott den Wohl Edlen Vnd Gestrengen Jr Philipp Heinrich von Müllenheim auß dißem Zeitlichen leben abgefordert, Ob Er nun Wohl Stettmeister geweß. so seÿe es Jetzmahl nicht darum Zu thun, stond bloß Ober die Fünff Zehener stell, Werde also die ordnung *ßen abgeleß. Vnd Ein anderer an sein. platz erwöhlt word.
Erk. Electus per maiora Jr Wilhelm Sebastian Mieg Zu einem XV.er
Né à Dorlisheim en 1616, son fils Philippe André de Müllenheim Rosenburg épouse Marie Madeleine Rosetti de Roseneck
Kindler von Knobloch, III p. 150
Philipp Andreas von Muellenheim von Rosenburg, bapt. Dorlisheim 1616. 28. 1., f ultimus lineae 1684. 18. 1.
uxor: Maria Magdalena Rossetti von Roseneck zu Praewald und Nußdorf, n. 1626. 11. 3., t Westhofen auf der Rosenburg 1686. 11. 1
(Sohn v. Philipp Heinrich u. Ursula Wurmser von Vendenheim)
Philippe André de Müllenheim loue la partie de maison au Rheineckel dont jouissait auparavant Jean Frédéric Baltz au marchand Jean Philippe Wittich. Le preneur pourra aussi occuper le nouveau bâtiment loué par le gentilhomme Botzheim s’il le quitte.
1659 (28. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 324
Erschienen der Wohl Edelgebohrne Gestreng H. Philipß Andreß von Müllenheim
in gegensein H. Hannß Philipß Wittichs deß Handelßmanns
verlühen, den gantzen alten Stockh mit allen deren Gebäwen und Zugehördten Zusampt der Stallung in dem Müllenheimischen alhie am Rheineckhel gelegener Behaußung allermaßen solches H Johann Friderich Baltz biß anhero in Lehnung gehabt hatt, Vff Neün Jahr lang, Von Joh. Bapt: dißes 1659.ten Jahrs angerechnet, für und umb einen Jährlich. Zinnß benantlich 12. lb
dabeÿ insonderheit Verglichen worden, Wann in Zeit währender Lehnung der newe Stockh in dißer Müllenheimischen Behaußung wider lähr sein, Und von dem ietzmahligen beständern, Jrn Botzheim, nicht mehr bewohnet würde, auch nicht höh. alß umb 18. lb.d. Jährlich. Zinnßes wider Verlühen werden könnte, daß Ihme Entlehnern alß dann solchen newen Stockh Jedoch geg. Entichtung 18. lb. Jährlich Zinnßes selbsten Zu beziehen freÿ stehen
[in margine :] Erschienen hierinngemelter Junckher Verleÿher, hat in gegensein hierin genannts Entlehners bekannt, daß auch die Jenige Stallung, so Junckher Botzheim bißhero inngehabt hatt, in dißer Lehnung begriffen sein solle, Vnd habe zugleich der Junckher Verleÿher dem Entlehnern bewilligt, in dem Underschlagenen Keller noch 3: od. 4: Schuh braÿt weiter hienauß Zufahren Und damit den entlehnten theil Zuerweitern – Actum den 25.t Julÿ A° 1659.
Philippe André de Müllenheim loue le nouveau bâtiment à Marguerite Kollœffel, mère de Nicolas Conrad Schach
1659 (13. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 610-v
Erschienen der Wohl Edelgebohrne Gestreng H Philipß Andres von Müllnheim
in gegensein H Claus Conrad Schach im nahmen Fr. Margarethæ Kollöffelin seiner eheleiblich: Fr. Muter
verlühen habe den gantz. newen Stockh mit allen einen Gebäwen, Begriffen und Zugehördt. in der adelich. Müllnheimisch. alhie am Rheineckhel gelegenen Behaußung, vff Neun Jahr lang von iüngst verwich. Joh. Bapt: angerechnet für und umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 22 Pfund
Philippe André de Müllenheim loue toute la maison au marchand Jean Philippe Wittich
1669 (29. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 340-v
Erschienen H Philipß Andres von Müllenheim
in gegensein H Hannß Philipß Wittichs deß handelßmanns
verlühen, der gantze Müllenheimische Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen und Zugehördten alhie am Rheineckhel, einseit neben H Jacob Spielmann dem handelßmann, anderseit neben deß Stiffts St. Thomann Canonicat Behaußung so anietzo H Professor Böckhle bewohnt gelegen, Neun Jahr lang von ietzt verschienen Joh. Bapt: angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich. treÿßig treÿ Pfund 10 schilling pfenning
Susanne Ursule et Marie Catherine, les deux filles célibataires de Philippe André de Müllenheim, obtiennent la permission de jouir de la manance pendant trois mois.
1674, Conseillers et XXI (1 R 157)
(p. 169) Sambstag d. 25. Aprilis aô 1674. – Müllenheimische Töchter.
Jr. Philipp Andres Von Müllenheim 2 ledige töchter Susanna Ursula Vndt Maria Catharina, bitten per D. Bitschen Vmb den Schirm auff ¼ Jahr lang. Erk. Willfahrt Vndt Ahn Mghhh. die XV. gewiesen. H. XXI König Rthh Spielmann
La régence de Hanau à Bouxwiller intercède en faveur de son capitaine Philippe André de Müllenheim pour résilier le bail accordé au marchand Jean Philippe Wittich
(p. 231) Mittw. den 10. Junÿ 1674. – Hanaw. Räth. Zu Buchsweÿler. Philipp Andres Von Müllenheim Ca. Joh: Philipp Wittich
Lect. Schreiben der Gräff. Hanaw. Regierungs Räthe Zu Buchsweÿler vom 6. huius, die Intercediren für dero Statt vnd Land Capitaine, Philipp Andres Von Müllenheim, contra Johann Philipp Wittichen den handelßmann vnd burger allhier, vmb rescindirung des mit Ihme getroffenen haußlehnung accords. Erk. Ahn E. E. Rath gewießen.
Philippe André de Müllenheim demande un an plus tard qu’une décision soit prise dans la même affaire
1675 Conseillers et XXI (1 R 158)
(p. 226) Montag den 5. Julÿ 1675. – Jr Philipp Andres Von Müllenheim Ca. Hannß Philipp Wittich
Lect. Schreiben von Jr. Philipp Andres Von Müllenheim sub dato Buchsweiler d. 3. Julÿ bitt maturationem sententiæ in seiner strittigen sachen Ca. Johann Philipp Wittich. Erk. an E. E. Rath gewiesen
Philippe André de Müllenheim demande aux Treize que lui soit réglé le loyer dû par le major Labadie qui occupe sa maison. Le litige porte sur le montant du loyer, le majour ayant promis cent écus. La ville versera un loyer de cent florins, en l’occurence cinquante florins pour six mois
1683, Protocole des Treize, 3 R 40
(f° 534) Mittwochs den 1.ten 7.br. 1683. – Jr Philipp Andres Von Müllenheim Umb seinen hauß Zinnß
der Regirende Herr Ammeister bericht, daß Jr. Philipp Andres Von Müllenheim Umb 3. quartal Zinß Wegen des haußes, so Mons. L’Abady le Major bewohnt, sich angemelt und sich auff 100. thaler, so gedachter Major ihme Vor den jährlichen Zinß Versprochen haben soll, beruffen hätte, Weßwegen Er heuth beÿ dem protocoll Nachsehen lassen, Und finde sich Zwar, daß der Major ihm 100. thaler Versprochen Mghh. aber Ihme dazumahlen anzeigen laßen, daß Vor Martini 1682. an ihme fürterhin mehr nicht als 100. fl. des jahrs solten bezahlt werden. herr Amt. Fröreißen hätte Ihme durch ein billet berichtet, daß Mons. L’Abady Ihme 4. duplones auff dießem Zinnß vorgestreckt habe, die Fridische Erben hätten sich auch verlauten laßen, daß Sie Wegen eines, auff bemelter behaußung habenden Capitals Und dauon viel außständigen Zinnßen einer arrest auff dießen Zinß legen wollten. Weilen Sie aber endlichen sich dahie Weißen laßen, daß Sie sich biß auff Künfftige Martini gedulden, Mons.L’abady auch nicht hier, Er, Hr von Müllenheim, aber Umb circa halben Zinß jnständig gebetten, als stünde beÿ Mghh. Ob Sie Ihme 50. fl. Zahlen laßen Wollten.
herr Dr Obrecht einwend*, daß herr Syndicus Kempfer durch ein billet herrn Syndico Güntzer beditten habe, daß Jr. von Müllenheim ferners mit 100. fl. des jahrs nicht Zu friden seÿn könte, Herr Syndicus aber hätte Ihme positivé geantworttet, daß man ihme mehr Nicht geben würde, und Wart Herr Major ihme Viel Versprochen, Er es an ihn Zusuchen hätte. Erk. Soll Ihme 50. lb. von dem Pfenningthurn pro ein halb jahr bezahlt werd.
Philippe André de Müllenheim Rosenburg, dernier représentant mâle de sa lignée, meurt à Westhoffen le 11 janvier 1686 à l’âge de soixante-dix ans.
Sépulture, Westhoffen (luth. n° 2)
1686. Freÿtags d. 11. Januarÿ. der weÿl. Reichsfreÿ hoch Edelgebohrne herr Philipß Andreas von Müllenheim zu Rosenburg, der letzte seines Stammes und Nahmens, Zur Erden bestattet word. ætaris 70. Jahr weniger 3. woch. v. 4. tag (i 46)
Philippe André de Müllenheim vend par procuration donnée à Westhoffen la maison au marchand Jacques Hoser moyennant 4 500 florins.
1685 (18.4.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 230
der freÿ hoch Edelgebohrne Herr Friderich Ludwig Von Schmidberg, alß deß auch freÿ hoch Edelgebohrnen Herrn Philipp Andreßen Von Müllenheim, krafft eines sub dato Westhoffen den 30.ten Aug. a° 1684. außgestellten (…) Gewalt scheins hierzu constituirter Mandatarius
in gegensein Herren Jacob Hosers deß handelßmanns
hauß, hoff, hoffstatt sambt einem außgang in die Knoblochs Gaß auch allen desen Gebäwen begriffen, weithen, zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Statt Straßburg auff dem so genannten Rhein Eckhel einseit neben weÿl. Herrn Jacob Spielmanns geweßenen dreÿ Zehners nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit zum theil neben einer behaußung dem Stifft St. Thomæ gehörig und theils neben Herrn Philipp Albrecht Wesener fünff Zehn Secretario, hinden uff die Knoblochß Gaß stoßend gelegen, davon gehend iahrs 2. lb d bodenzinß der Statt Straßburg – umb 4500 Gulden à 15. batzen
Natif de Genève, le marchand célibataire Jacques Hoser achète le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1675, 3° Livre de bourgeoisie p. 996
H. Jacob Hoser der handelßmann Von Genff erkaufft das burgerrecht für sich p. 20. golt fl. welche Er auff dem Pfenning thurn erlegt hatt, ist ledigen standts vnd will Zu den Spieglern dienen. Jur. d. 10. Jan. 1676.
Jacques Hoser sollicite le droit de bourgeoisie au nom de sa fiancée Marie Catherine, veuve du secrétaire Christophe Deublinger au service de l’électeur palation de Heidelberg.
1679, Conseillers et XXI (1 R 162)
(f° 335-v) Sambstag den 11.t Octobris 1679. – H. Jacob Hoser umb burgerrecht vor seine verlobte.
Herr Jacob Hoser, der Jüngere, Handelßmann und Burger alhier, berichtet per Eundem, daß er Vorhabens seÿe, sich mit Frawen Maria Catharina Weÿland Herrn Johann Christoph Deüblingers, gewesenen Chur: Pfältzischen Ober Amptschreibers Zu Heÿdelberg hinderlaßener Wittib in eheliche Verlobnuß einzulaßen, bittet derowegen umb Obrigkeitlichen consens und Ihro an gehörigen orthen præstitis præstandis das Burgerrecht von Ihme umb den gewohnlichen Burger schilling in gnaden Zukommen Zulaßen. Erk. An E. E. Raht gewiesen. Herr XXI. Saladin, Herr Krauth.
Mentions de Jacques Hoser dans différents registres
1687, Protocole des Quinze (2 R 91), H Jacob Hoßer pt° Pfenningthurns Capital. 143.
1690, Préposés au bâtiment (VII 1374), H. Jacob Hoser. 64. 71. continuation der admodiation.
1696, Préposés au bâtiment (VII 1377), Herrn Jacob Hosern, dem Admodiator der fournirung der Bett und servce in den Cazernen. 53. 82.
Melchior Frédéric de Müllenheim déclare au nom de sa femme Susanne Ursule de Müllenheim que la maison vendue par Philippe André de Müllenheim à Jacques Hoser avec la permission du Directoire était grevée d’un capital au profit de docteur en médecine Marc Seublin. Comme la dette a été contractée par un fidéi-commissaire qui à ce titre n’était pas habilité à prendre hypothèque, l’accord met l’acquéreur Jacques Hoser à l’abri des prétensions des héritiers Seublin.
1691 (27.7.), E 759, Directoire
Erschienen (…) Herr Melchior Friderich Von Müllenheim als Ehevogt Frauen Susannæ Ursulæ, gebohrener Von Müllenheim, Anzeigend, daß nach den Im Jahr 1684. Im Monat Septembri, Auf erhaltenen Consens, Löblich. Nieder Elsäßischer Ritterschafft durch Herrn Philipp Andreß Von Müllenheim, deß Letzten dießes Stammens, die sogenannte Müllenheimische Behausung, Auf dem Rheineckel zu Straßburg gelegen, vor freÿ ledig und eigen, Ahn Herrn Jacob Hoßern, dem Handelsmann Verkaufft worden, In zwischen Aber weÿland Herrn Marx Seüblins, geweßenen Medicinæ Doctoris Erbens Erben Eine gewiße prætension so von (-) Von Müllenheim herrühren soll, welcher aber als nudus usufructuarius und nicht fundator fidei Commissi, Keines weegs berechtiget gewesen, gedachte Behaußung Auf Ewigs weiß zuverpfänden, sondern nur von dem dominio utili ad dies vitæ Zu disponiren, dahero Er Herr Hoßer die annoch restirende 600. fl. Kauffschillings Rest, Als welche Auf assignation, Ahn Ihro Hohadel. Gestr. Herrn Dagobert Wurmsern Von Vendenheim Zu Sundhausen Zu bezahlen, vmb den werckh Aber Einmahl Ein Endschafft Zu machen, So obligirt und verspricht Er Herr Von Müllenheim, uxorio nomine, nach beschehener Entrichtung Vor Herrn Hoßern ahn Edelbemelten Herrn Von Wurmsern wegen künfftig von den Seübelinischen Erbens Erben p° solcher behaußung Auf Einige weiß und weeg etwa formirenden prætension Ihme Herrn Hosern die gäntzliche Schadloshaltung, beÿ verpfändung daher rührender Müllenheimischer Haab und Nahrung (…)
Accord entre Jacques Hoser et sa femme Marie Catherine Deublinger née Bayer après séparation de corps et de biens.
1692 (7.* Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 181-v
Erschienen H. Jacob Hoser der handelßmann an einem,
So dann H. Johann Jacob Schatz, Juris Practicus, alß bißheriger assistent Fr. Mariæ Catharinæ gebohrner Beÿerin, seiner H. Hosers ad thorum et mensam separirten haußfrau am andern theÿl
haben prod. Einen Zwischen Ihme Hn Hosern und ged. deßen geschiedener haußfrau deren Güther wegen getroffen und beÿ E. E. Großen rath am 25.t. Feb. jüngst producirten auch confirmirten Verglich, und darauff begehret daß derselbe Zufolg ged. Großen Raths Erkanntnus auch in der Contract Stub möchte enregistrirt und verzeichnet werd. (…)
Demnach auff des Zwischen /:s.t:/ herrn Jacob hoser burgern und vornehmen handelßmann allhier, und Fr. Maria Catharina Deublingerin gebohrner Baÿrin beÿ E. löbl. Ehe Gericht allhie den 10.t Jun. nächsthien erganges separations Urthel: erstwolbesagter Frau auß verschiedenen erheblichen motiven nun gäntzlich * vnd vest entschloßen sich von hier Zu den Ihrigen Zu begeben, solches aber ohne vorhergehendte ersuch: und außlüfferung Ihrer so wol Zugebrachten alß auch sonsten Ihro gebührender Güther nichts ins werck gerichtet werden kan (…)
Accord entre Jacques Hoser et son voisin le chapitre Saint-Thomas dont la maison est occupée par le chanoine et professeur Jean Joachim Zentgraff. Jacques Hoser, acquéreur de la maison Müllenheim, prétend avoir le droit d’avoir d’établir quatre fenêtres et trois cheminées vers la propriété du chapitre. Les préposés au bâtiment ont déjà rendu une décision en 1682, une procédure est en cours devant le Petit Sénat (20 octobre 1695 et 3 mars 1695). Si aucun accord n’intervient entre les parties, Jacques Hoser sera tenu de démolir les cheminées et de remettre les choses en leur état initial. Quant aux fenêtres dont quatre sont nouvelles et d’autres ont été agrandies, faute d’accord entre les parties, Jacques Hoser propose de les laisser en l’état mais de les grillager, il s’engage à verser chaque année trois florins pour conserver les cheminées sa vie durant. L’accord est ratifié en décembre 1745 par André Christophe Sommer en qualité d’acquéreur de la maison des héritiers du capitaine Meyer puis en août 1787 par François Walter en sa qualité d’acquéreur de la maison des héritiers Debeyer.
1695 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 272-v
H. Johann Joachim Moseder, der Scribent im Nahmen herrn Johann Jacob Moseders Schaffners zu St. Thomæ, seines leiblich. Vatters, hat producirt Einen Von Hn Jacob Hosen dem Handelßmann eÿgenhändig geschrieben und und.schriebenen, am 8.t huius datiert und mit deßen gewohnlichen pitschafft signirten Revers im Nahmen E. Ehrs. Capituli zu ged. S. Thomæ, begehrend d. solcher Revers dem Contract protocoll möchte einverleibt werd.
Demnach Zwischen E.E. Capituli St. Thomæ allhier an einem und Mir Ends Und.schriebenen am andern theil wegen eines prætendirten Liechter: und Camin Rechtens in der jenigen Behaußung, welche von der hochadelichen Müllenheimischen familia erkaufft, einer seiten auff dem Rheineckel gelegen, anderseiten aber an den Garten derjenigen Curiæ Capitularis, welche an dem Gäßlein deß so genannten Leichthöffleins lieget, und anietzo von dem hoch Ehrwürdigen und hochgelehrten Herrn Johanne Joachimo Zentgraven SS. Theol. D. Phil. Pract. Professore auch deß Collegiat: Stiffts S. Thomæ Canonico bewohnet wird, stoßend, so viel diejenige Maur welche auff ged. Gartten stoßet, betrifft, einige differentien und Miß verständnüße, vorgefallen, In deme E.E. Capitulum nur beÿdes in solcher Maur kein freÿ und unbeschrencktes Liechtererrecht alß auß wendig an derselben kein Überhangs recht und so wenig einen andern Uberhang, alß insonderheit einige Überhangende Camin zu führen gestehen wollen, dahingegen Ich nicht allein Zu ein und anderm befugt Zu sein, sondern auch durch respective erhalt: und erbauung dreÿer Camin und 4. Neuer Fenster, beÿ würcklich Zu exerciren Vermeint, darüber Er dan, laut mehrern Inhalt der vor E. Löbl. Collegio der Obern bauherren in Anno 1682 so dann vor E.E. Kleinen Rath alhier die 20. 8.bris 1694. biß 3.t Martÿ 1695 verhandelter Actorum, auch wol Ehrenged. Capituli dahin gehörigen protocolli beeder theÿl so lang beedes extra alß judicialiter contestirt haben, biß daß den 3. Martÿ jüngsthien von E.E. Kleinen Rath nachfolgende End und beÿ Urthel publiciret worden, In Sachen deß Stiffts St. Thomæ allhier Schaffners, Clägers, contra herrn Jacob Hooser den handelßmann Und burger allhier beklagter, Ist auff eingeführte Clag und gegen antworten eingenommenen augenschein, wie auch Unßers Rath Deputirter und geschworner Werckmeister abgelegter relation, und alles übrige, theilß schrifftl: theilß mündliches Vorbringen, puncto der Camin mit Urthel Zu Recht Erkandt, Daß Beklagter, im Fall Er sich mit E. Ehrw. Capitul in Güthe nicht vergleich. könte, einiges Camin auß wendig an seinem Gebel auffzuführen Und Uber deß Stiffts Gartten zu projiciren im geringsten nicht berechtiget, ein folgig alle solche widerrechtliche Camin zu demoliren und alles wider in vorig. Stand zu setzen schuldig seÿe, alß Wir dann denselben hiemit auff obbeschriebenen Fall ad demolitionem et restitutionem condemniren.
Inter Easd. pto. der Fenster, so theils neu gemacht, theilß erweitert worden, ist rescissa* ex officio conclusione, Erkandt, wolte Kläger die fundamenta seiner hoc pto. prætendirter servitutis activæ beÿbringen Und krafft derer erweißlich machen, daß beklagter in seiner eÿgenen Maur Keine mehrere Liechter, alß Zuvor gewesen, ein Zubrechen, nach auch die würcklich gestandene Zu erweitern macht habe, so ergieng hoc pto. alß dann ferner was recht ist deren Ersten zufolg beÿ E.E. Capitulo umb einen Güthliche Vergleich nicht geziemend angemeldet welches auch Zu bezeugung guter Nachbarlichen Freundschafft mir ad dies vitæ meæ so weit gratificirt, daß wofern per literas expresse dahien mich reversiren würde, daßelbe, so viel das in suspenso gelaßenes Liechterrecht anbelangt, salvo jure partis utriusque, die neu erbauten Vier Fenster, in demjenigen Stand, darinnen solche heut dato sich befinden, und verkrämbst sein sollen, ohne weitere eigenmächtige Neuerung Zu laßen, nicht erschweren wolle, So viel aber das abgesprochene Camin recht betrifft, E.E. Capitulum Zwar der gerichtlich erkandten demolition und restitution der überhangenden dreÿ Caminen, mich Zu erlaßen nicht ohngeneigt were, Ich aber die permission solches überhangs, alß eine bloß personal duld: und Vergünstigung zu recognisciren schuldig sein und jährlichen dreÿ gulden, under dem Nahmen einer Vergünstigungs Ergötzlichkeit, würcklich recognisciren, so dann die bißherige protestation, augenschein und gerichts Kosten allein leid. wolle, Alß bekenne hiermit und in Krafft dießes offentlich, daß vorgeschriebener maßen /:salvo jure partis utriusque in causa luminum seu deß Liecherrechtens:/ Ich gemeldten Uberhang der dreÿ Camin, wie ietzo alßo ins künfftig von E.E. Capitulo alß eine bloße personal duld und Vergünstigung zu recognisciren schuldig und verbunden seÿe, gestalten dann nach bezahlung ged. Unkosten jährlich auff Annunc. Mariæ und nächst künfftigen 1696.ste jahr zum Ersten mahl mit dreÿ Gulden einer vergüntigungs Ergötzlichkeit zu recognisciren verspreche, Mich dazu auff den kräfftigst reversirend und verbindend
[in margine :] Auf Ansuchen des Stiffts St. Thomä Schaffers H. Benedict Heinrich Marbach ist nachstehender revers dem Contractuum protocollo von wort zu wort enregistrirt worden. Ich Andreas Christoph Sommer burger und banquier allhier zu Straßburg thue hiemit Kund und zu wißen, vor mich meine Erben nachkommen und jeweilige besitzer meines Von Weÿl. H. Cap. Meÿers H. Erben erkaufften und auf allhiesigem sogenanten Rheineckel gelegenen haußes demnach ein hochwürdig. Capitul zu St. Thoman mit nebst denen in gedachter meiner behausung in der gegen S. T. H. Dr. Reuchlin Canonicat hauß stehenden Maur bereits befindlichen Fenstern, annoch etliche Löcher auszubrechen und Creuztstöck Welche alle Von mir vergrämßet und mit eisernen gätern verwahret werden sollen, daran zu setzen gütig erlaubet, als bekenne und reuersire ich mich so wohl vor mich selbsten, als auch vor meine Erben, Nachkommen und jeweilige besitzer dießes meines mehrgemeld. Haußes in Krafft dießes offentlich, daß alle diese sowohl neu als alt gemachte Öffnungen und Fenster nun und immer mehr als ein mir Zugehöriges Recht, sondern als eine bloße duld: und vergünstigung angesehen werden sollen, wie auch dann auch ein solches auf diese Weiße und nicht anderst recognosciren. In Urkund deßen ich gegenwärtigen revers nicht nur eigenhändig unterschrieben sondern auch begehret daß derselbe zu mehrerem bekräfftigung dem dießer Ursach halben bereits den 8. aprilis 1695. geschloßenen und in allhießiger Cantzleÿ Contractstub verschriebenen Vergleich angehänget und beÿgesetzt werden solle, so geschehen in Straßburg d. 4. Decembris 1745. – vorgelegt den 17. Jan. 1746
[in margine, folio 273-v] auf Ansuchen Herrn Frantz Walter der burger und handelßmann ist nachstehender Revers dem Contractuum protocollo einverleibt worden, wort zu wort lautend – Ich Frantz Walter burger und handelßmann allhier zu Straßburg thue hiemit Kund und zu wißen, vor mich, meine Erben, nachkommem und jeweilige besitzer meines von weÿland Herrn Debeyers Erben erkaufften und in allhießigem sogenannten Rhein Eckel gelegenen haußes, demnach Ein wohl Ehrwürdig Capitul zu St. Thoman mir nebst denen in gedachter meiner behaußung in der gegen SS H. Dris Reuchlin Canonicat hauß stehenden Maur bereits befindlichen Fenstern, gutig erlaubt annoch einen anderen Creutzstock auszubrechen auch anderen zu Versetzen welche alle Von mir vergrembßet und mit eißernen gittern Verwahrt werden sollen, als bekenne und reversire ich mich sowol vor mich selbsten auch vor meine Erben nachkommen und jeweilig besitzer dieses meines haußes in Krafft dieses offentlich, daß diese gemachte öeffnungen und fenster so wohl als alle vorhergemachte, nun und nimmermehr als ein mit zugehörendes Recht, sondern als eine bloße dult: und Vergünstigung angesehen werden sollen wie in dann auch ein solches auf dieße weiße nicht anderst erkenne In urkund deßen ich gegenwärtigen Revers nicht nur eigenhändig unterschrieben sondern auch begehrt daß der selbe zu mehreren bekräfftigung dem dießen ursach halben bereits den achten aprilis 1695 geschloßenen und in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub verschriebenen Vergleich angezeiget und beÿ gesetzt werden soll, So geschehen Straßburg den 17. augusti 1787 – Vorstehender Revers ist mit sein von ermeldten H. Walter Vorgelegt und krafft unterschrifft wieder bezogenen originali gleich lautend befunden worden actum Straßburg d. 28. augusti 1787
Ancien de la paroisse réformée, Jacques Hoser meurt le 14 mai 1701
Sépulture (réformés, f° 24-v)
Herr Jacob hoser gewesener Eltister beÿ d. Reformirt. Gemeind starb sel. den 14. Maji 1701. morgens zwisch. 3 und 4 Uhren, begrab. den 16 dito Zu St: Gallen (i 29)
La maison revient à son associé Jean Nicolas Herff
Jean Nicolas Herff loue les lieux qu’il occupe dans la maison aux sieurs de Beaulieu et Hogguer, fermiers de la Monnaie.
1703 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 32
Erschienen Herren Johann Niclaus Herff handelsmann wie auch Jean Jacques Hogguer producirten folgenden zwischen ihnen getroffenen Contract unterm 13. hus. mit bitt ihn zu enregistriren, welches geschehen u. lautet selbiger in copia wie folgt.
Fut présent Sr Nicolas Herff marchand
loué a loyer aux Srs. de Beaulieu et Hogguer fermiers de la monnoye en lad. ville
les appartemens et lieux de la maison qu’occupe présentement le dt. Sr Herff sçize au Rheineckel cy apres specifiez : Sçauoir une Grande salle en bas, une chambre a cheminée, un petit poele et deux Chambrettes le tout joignant ladte. salle, l’éscurie et la Chambre du valet attenant l’une à l’autre et qui sont à main droite en entrant la porte cochere, une place pour mettre une carosse dans la remise qui est au bout de la grande cour, une place au dessus pour mettre du foin, Item la petite cour, la cuisine et le Cabinet attenant, auec les lieux communs qui seront uniquement pour l’usage des dts. Srs. Preneurs et de leurs gens, une petite caue pour y mettre trois à quatre tonneaux, l’armoire qui est joignante ladte. Caue, Item de l’appartement du premier étage de la dte. maison, ce qui suit : Sçauoir un petit poele et Chambre à cheminée joigant qui prend jour sur le balcon, un petit poele au bout du balcon, son entrée et Chambre joignante. Le surplus de toute la dte. maison le dt. Sr bailleur se le reseruant même la condition de ne pouvoir par les Domestiques des dits Srs Preneurs se seruir de la faculté des lieux communs qui sont sur le balcon mai bien les Sieurs preneurs que le Sieur Bailleur se reserve espressément comme aussy le dt. Sieur bailleur se reserue la faculté de pouvoir se seruir de la Chaudiere qui est dans la petite cour qu’il loüe auxdts. Sieurs Preneurs dans laquelle Il pourra faire faire le lescive cinq ou six fois l’année, Le présent bail fait pour le temps et Espace de deux ans et demi à commencer du premier feurier prochain (pour un loyer annuel de) 700 livres tournois, le 13. Januier 1703
Jean Nicolas Herff vend par procuration passée à Bâle la maison au capitaine de batellerie Gaspard Meyer moyennant 6 000 livres
1708 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 330
(6000) Hr Frantz Peter Crugot der handelßmann als Vermög eines Von hrn Johann Niclaus Herffen dem ältern handelßmann teils in frantzösischen theils in deutschen Sprach zu Basel am 6 hujus datirten Missivs
herrn Caspar Meÿers Schiff Capitains
eine behaußung Hoff hoffstatt mit allen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier am Rhein Eckel einseit theils neben einem Canonicat Hauß dem Stift St Thomæi gehörig theils neben hrs Philipp Albrecht Wesenern dreÿzehenern anderseit neben denen Spielmännischen Erben vornen auf das Waßer hinten einen außgang Unter obged. hrn xiii Waßners behaußung in die Knoblochs gaß habend gelegen dar Von gehen jährlich 3 fl. zinß wegen dreÿer Camin welche außerhalb der Mauer gegen dem Garten an obged. Canonicat Hauß auffgeführt seind obbemeld: Stifft St Thomä so dann 2 ½ fl. ane allmend zinß wegen des Vor dem Hauß eingeschloßenen Allmendplätzlein – um 6000 pfund
Fils du batelier Gaspard Meyer, Jean Gaspard Meyer épouse en 1691 Anne Marie Schell, fille du sellier Jacques Schell : contrat de mariage, célébration
1691 (5.4.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Schiffer Johann Caspar Meÿern, ledig. Schiffmann und burgern in Straßburg, weÿl. des wohl Ehrenvesten und vorgeachten herrn Caspar Meÿers, gewesenen vornehmen Alten Schiffmann vnd burgers allhier seel. hinderlaßenem ehelichem Sohne, alß dem Bräutigamb ane Einem,
So dann der Ehren: und Tugendsamen Jungfrawen Anna Maria Schellin, des Ehrenvesten herrn Jacob Schellen, Sattlers und Burgers alhier ehelichen Tochter, alß der Jungfrauw hochzeiterin am andern Theil
mit wißen, will. guten Consens vnd Underhandling des Ehrenvesten vnd vorgeachten herrn Philipp Sandrockhs, Haupt Kandtens, beÿ E. E. Zunfft der Äncker alß noch ohnentledigten vogts des hochzeiters welcher beneben fr. Ursula Krieckin gebohrner Bachin, H. Hanß Jacob Kriecken Schiffmanns vnd burgers alhier haußfrauwen des hochzeiters leiblichen Mutter auf seiten des hochzeiters erschienen, So dann auff der Hochzeiterin seiten obgemelten Ihres Vatters, ferner Herrn Johann Schellen, ebenmäßig Sattlers v. b. allhier, Ihr der Hochzeiterin Bruders
So geschehen in der König. Freÿ. Statt Straßburg Donnerstags d. 5. Aprilis A° 1691. [unterzeichnet] Ich Johann Caspar Meÿer als Hochzeiter bekenn wie obsteht, Ich Anna Maria Schellin als hochzeitern beken Wie Vorsteht
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 14-v)
1691. auff heut mittwoch d. 27. jun. seind nach zweÿ mahliger außruffung in der Kirchen Zu st. Aurelien von Endtsunterschriebenen eingesegnet worden Johann Caspar Meÿer der ledige Schiffmann und burgers hinterlaß. h sohn, und Jungfr. Anna Maria Jacob Schellen deß Sattlers und burgers alhier ehelich. dochter [unterzeichnet] Johann Caspar Meÿer als hochzeiter, Anna Maria Schellin als hoch Zeitern (i 18, proclamation Saint-Guillaume f° 32 n° 26)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison quai des Bateliers. Ceux du mari s’élèvent à 445 livres, ceux de la femme à 224 livres.
1691 (24.7.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 17) n° 21
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güetter, so der Ehrengeachte H. Johann Caspar Meÿer, Schiffmann, vnd die Ehren und Tugendreiche Fraw Anna Maria Meÿerin gebohrne Schellin, beede Eheleuth und burgere in Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, vnd vermög auffgerichteter Eheberedung Sich für unverändert vorbehalten haben (…) Actum und angefangen in der Königlichen. freÿ Statt Straßburg, in fernerer Gegenwarth des Ehrenvesten herrn Philipp Sandrocks, E. E. Zunfft der Äncker hauptkandtens, burgers allhier, des Manns noch ohnentledigt. Vogts, auf sein des Manns, sodann auf der frauen seithen der Ehrenvesten herrn Jacob Schellen, Sattlers v. b. allhier vnd der Ehren: und Tugendreichen fr. Barbaræ Schellin beeder Eheleute der Fr. geliebte Elternn Dienstags den 24. Julÿ A. 1691.
In einer der Statt Straßburg ane dem Staden unden ane der Newen brucken gelegenen behaußung ist befunden word.
Abzug in dießes Inventarium gehörig. deß Manns in den Ehestand gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 126, Schiff und geschirr 138, Silbergeschirrs 35, baarschafft 144, Summa summarum 445 lb
Der Frauen unverändert Guth, Sa. haußraths 131, Silbergeschmeid 2 ; Guldene Ring 16, baarschafft 74, Summa summarum 224 – Haussteuren 16 lb
1691, Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Codicill H Hannß Caspar Meÿers Schiffmanns und Annæ Mariæ Schellin
Jean Gaspard Meyer meurt en 1714 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison à 5 250 livres. L’actif de la succession s’élève à 24 638 livres
1715 (23.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 36) n° 1266
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung undt Güthere, Liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland der hoch Edel Vest und Mannhaffte Herr Johann Caspar Meÿer Von Ihro Königlichen Maÿestäth in Franckreich und zu Navarra, Unserm allergnädisgten König und Herren, Wohlverordnete Capitain über eine freÿ Compagnie de fusiliers Bateliers, nach Seinem den 19.t Octobris nechst verfloßenen 1714.ten Jahrs aus dießer welt genommenem tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Edlen hoch Ehr und tugendreichen Frauen Annä Mariä Saurin gebohrner Meÿerin, des Edlen wohl Ehren Vesten und Großachtbahren herrn Johann Jacob Sauren, vornehmen Banquier und burgers allhier Zu Straßburg geliebter Fr. Ehegattin des in Gott ruhenden Herrn Capitains mit hernachgemelter Seiner hinterbliebenen Fraw Wittib ehelich erzeugter Fraw Tochter und ab intestato nachgelaßener eintziger Fr. Erbin, fleißig inventirt und ersucht durch die hoch Edel hoch Ehr und tugendbegabte Fr. Annam Mariam gebohrene Schellin die hinterbliebene Fraw Wittib nach beschehener errinnerung augens und Zeigens (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg, Freÿtags den 23.ten Aug. Anno 1715.
In Einer allhier Zu Straßburg auff dem Rheineckel gelegenen vndt in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Wohn Stub, In der Schlaff Cammer, In der Newen Stub, In der Neben Cammer Im Kleinen Stübel, In der Camin Cammer, Im obern haußöhren, Im Kleinen Haußöhren, In der Küchen, In der Magd Cammer, Im Hindern Stübel, Vor dießem Stübel, In der Schwartz Gethüch Cammer, Im Contor, Im Saal, In der Saal Cammer, In der Gutschers Cammer, Im Garthen Säälelein, In der Garten küchen, Im Garthen Häußel, Im Garthen hauß Cämmerlein
Eÿgenthumb ahne häußern vnd Gärthen. Erstlich eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten vnd Gerechtigkeiten, allhier am Rhein Eckel ein seiths neben einem Canonicat hauß dem Stifft St. Thomæ allhier gehörig, theils neben Tit. Herrn Johann Philipp Weßnern E. E. Großen Raths alten beÿsitzer, anderseith neben denen herren Spielmännischen Erben vornen auf daß Waßer, hinden einen außgang under vorgedachten Hn Rathher. Weßners behaußung in die Knoblochs gaß habendt gelegen, davon gehen Jährlichen 3. lb Zinnß wegen dreÿer Camin welche außerhalb der Maur gegen dem Garten an obgedachtem Canonicat hauß auffgeführt seind, obgemeltem Stifft St. Thomä, So dann 2 ½ fl. Allmend Einß wegen des vor dem hauß eingeschloßenen Allmend Plätzleins sonsten gegen männiglichen freÿ leedig vnd eigen vnd ist solche behaußung durch die allhießig geschworne Werckmeistere vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 21.ten Augusti Anno 1715. æstimirt worden pro 5250. Darüber besagt ein teutscher perg. Kbr. mit der St. St. anhangendem Conc. Insiegel verwahrt datirt d. 8. Maÿ A° 1708.
I. Ein Gartten in gemeiner Statt burg bann außerhalb des fischers Thor, zwischen den Waßern am Neßelsteeg (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 867, Sa. Früchten 20, Sa. Wein und Leerer vaß 62, Sa. Pferd und Gutsch 159, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 744, Sa. goldener Ring vnd geschmeids 517, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1385, Sa. Eigenthum ane häußern 8417, Summa summarum 24.638 lb
Abschatzung den 24. Aug: anô 1715. Weÿlandt deß Ehren Hafften vnd bescheitenen H: Caspar Mäÿer: Schiff Cappitenn: Sell hindter Laßnen: Frau: Witib vnd Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg auff dem Rein Eckhel gelegen, Ein Eckh Auff daß Waßer, Ein Seitz, Neben der Frau XV. spillmänin, Ander seitz Neben: H: professor bart Stein, hindten auff: H: XV.er weßner Erben Stoßent: Welche behaußung, hoff, hoffstatt, Neben gebeÿ, hinder gebeÿ, Neben gang, Stallung, Gewölbter Keller hoff vnd brunnen, Sampt aller Ihrer Recht vnd gerechtigkeit, Wie solches sich in besichtigung befunden vnd durch der Statt Straßburg geschwohne werck leüthe, dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirt Vor vnd vmb Zehen tausendt Fünff Hundert Gulten
Der Ander begrieff, ist Alhier Vor dem Fischer Tor beÿ Oßel Stöckhe (…)
Bezeich Nüß, durch der Statt Straßburg geschwohren werckh leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten und bescheidenen Herrn Johann Caspar Meÿern, dem Ledigen Schiffmann und burgers alhie in Straßburg, weÿland deß Wohl Ehren Vesten und Vorgeachten herrn Caspar Meÿers, geweßenen Vornehmen Alten Schiffmanns und burgers alhier seeligen hinderlaßenen ehelichem Sohn als dem Bräutigam ane Einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Anna Maria Schellin des Ehren Vesten herrn Jacob Schellen Sattlers und burgers alhier ehelicher Jungfraw Tochter alß der Hochzeiterin am andern Theil (…) mit gutem Consens, Wißen Willen und genehmhaltung der Ehrenvesten und vorgeachten herrn Philipp Sandrockhs E. E. Zunfft der Äncker in Straßburg Haupt Kandens deß hochzeiters annoch ohnentledigten Vogts und der Viel Ehren und tugendsamen Frawen Ursula Krieckin gebohrner *chin Hanß Jacob Kriecken Schiffmanns und burgers alhier haußfrauwen deß hochzeiters geliebten Mutter auff Sein des Bräutigambs Seithen So dann auff der Jungfrauw Hochzeiterin saithen obgemelten Ihres Vatters und Herrn Johann Schellen ebenmäßig Sattlers und burgers alhier, Ihres Bruders (…) So beschehen Verhandelt und zugangen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 5. Aprilis St: N: Anno 1691. Stephan Cornelius Saltzmann Notar. publ. et Academ.
Anne Marie Meyer, femme de Jean Jacques Saur, rachète les parts de sa mère lors de la liquidation.
1715 (16.12.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 37) n° 1274
Abtheilungs-Concept Über Weÿland Tit. Johann Caspar Meÿer geweßenen Wohlverordneten Capitains über ein freÿ Compagnie de fusilier Bateliers nunmehr seel. Verlaßenschafft, de Anno 1715.
In Einer allhier Zu Straßburg auff dem Rhein Eckel gelegenen: und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden
Abhandlung der behausung vndt Gartten. Dieselbe ist dato Beliebter maßen pro 7000. lb d angeschlagen worden da dann Fr. Saurin als die fr. Tochter vndt Erbin 1555. lb pro Legitima Zu prætendiren, und die fraw Mutter Ihro heraus Zuegeben hat
Die beede vor dem Fischerthor gelegenen inventirte Gärtten hat die fr. Wittib und Fr. Erbin beÿ dem daselbst befindlichen anschlag gelaßen, vnd machen solche beede posten Sammenthafft 3167 lb (…)
Act. Straßb. d. 16. Xbris Anno 1715.
Fils du marchand Jean Jacques Saur, le banquier Jean Jacques Saur épouse en 1708 Anne Marie, fille du capitaine Jean Gaspard Meyer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 198 n° 883)
1708. Mittwoch den 5.ten 10.mbr. sind nach 2 mähl. Proclamation offent. copulirt worden, Herr Johann Jacob Saur der Ledige Handelsmann, H. Joh: Jacob Sauren, b. vnd Handellsm. allhier ehl. Sohn, und J. Anna Maria H. Johann Caspar Meÿers, Königl. Schiff und brucken Capitains ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Saur Jünger alß hochzeither, Anna Maria Meÿerin alß hochzeither (i i 197)
Jean Jacques Saur loue une partie de la la maison à Anne Marie Schell qui s’est remariée en 1715 avec Jean Daniel Frid
1718 (letzten Octob.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 546
ut immediate supra (hr: Joh. Jacob Saur handelsmann nahmens H. Joh: Jacob Saur auch handelsmanns und
andern theils obige Fr Friedin (S.T. F. Anna Maria geb. Schellin beÿständlich H. Daniel Friedt E.E. großen Raths beÿsitzers ihres mariti)
in ihrem hauß diejenige wohnung so Sie beÿ H. Capitain Meÿers zeithen innen gehabt – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 pfund
Anne Marie Meyer meurt en 1724 en délaissant cinq enfants. La masse propre au veuf est de 1 309 livres, celle des héritiers de 6 606 livres. L’actif de la communauté s’élève à 11 343 livres, le passif à 15 192 livres. La succession comprend une métairie à Sainte-Croix-aux-Mines et une mine à Musloch (Lièpvre). Le veuf est propriétaire d’une &fbs& de galons à Sainte-Marie-aux-Mines. La maison propre à la défunte n’est cependant pas portée dans l’inventaire.
1727 (15.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 54)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so Weÿland die Edle, Viel Ehren und tugendreiche Frau Anna Maria Saurin gebohrne Meÿerin, des Edlen Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Sauren, des jüngern Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßene Viel geliebte Hauß Frau nunmehr seel. nach ihrem Montags den 3.t Julÿ Anno 1724. aus dießem mühesamen Leben genommenem tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des Ehrengeachten u. Vorachtbahrrn Herrn Johann Schellen, Sattlers und burgers allh. als geordnet: und geschwohrnen Vogts Johann Jacobs, Annä Mariä, Johann Daniels, Mariä Margarethä und Mariä Elisabethä Saurin, der Verstorbenen Frauen seel. mit hievor edel ernandtem ihrem hinterbliebenen H. Wittwer ehelich erzeügter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben, mit beÿstand der Wohl Edel Vest und hochgelehrten Herrn Francisci Ösingers J. V. Licti et Cancellariæ Contractuum wohl meritirten Actuarÿ (…) Actum Straßburg in fernerer Gegenwart des Wohl Edel Vest, Hoch gelehrt: und Großachtbahren Herrn Frantz Rudolph Mollingers, J. V. Lti und der Statt Straßburg wohlverordneten Lohnherrn als nechsten Anverwanthen, Freÿtags den 18. 8.bris 1726., ausgefertigt aber den 15. Julÿ 1727.
In einer allhier Zu Straßburg auff dem Rhein Eckel gelegener behaußung ist befunden worden wie folgt
Höltzen: und Schreinwerck. Im obern hauß Ehren, In der Kleinen Camin Cammer auff den Gang, In des Knechts Cammer, In der obern Wohnstub, Im kleinen Kinderstübel, In der obern Kuchen, Im obern kleinen Hauß Ehren, In der Camin Cammer neben der grosen stub, In der andern Cammer neben der grosen Stub rechter seith, In der Mägd Cammer, In H Sauren Hauß am Kornmarckt
(f° 29-v) Eigenthumb ane einer Melckereÿ, so Theilbar. Solche bestehet in einem Hauß, Stallungen und garten, benebens 2 tagen Matten Zu St. Bläsen hochfürstl. Pfaltz Birckenfeldischer Jurisdiction gelegen (…)
(f° 30) Eigenthumb ane einem Bergwerck, so theilbar. Das bergwerck zu La Croix Mißloch und zugehörder orthen Zum theil Hochfürstl. Lotharigischer überigen thails aber hochfürstl. Pfaltz Birckenfeldischer Jurisdiction gelegen (…)
(f° 33) Ergäntzung der Herrn Wittwers unveränderten guths, Vermög des über eingangs gemelter beed. Eheleute in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch weÿland H. Daniel Rohren Notarium seel. den 5. Julÿ 1709. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 36) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des H. Wittwers unverändert Guth, Sa. Haußraths 127, Sa. Silbers 28, Sa. guldenen Rings 225, Sa. Ergäntzung 1178, Summa summarum 1559 lb – Schulden per se, Nach solchem abzug 1309 lb
Der Erben unverändert Nahrung, Sa. Haußraths 1008, Sa. Silbers 179, Sa. guldenen Ring und geschmeids 509, Sa. Schuld 250, Sa. Ergäntzung 4658, Summa summarum 6606 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. Haußraths 1898, Sa. gutsch und wäg 85, Sa. Schiff und geschirrs Zur Silberin vnd guldenen Gallaunen fabric gehörig 3122, Sa. Silbers 432, Sa. guldenen Ring und geschmeids 892, Sa. baarschafft 600, Sa. Eigenthums ane einer Melckereÿ 1125, Sa. Eigenthums ane einem bergwerck 3187, Sa. Schulden o, Summa summarum 11.343 lb – Schulden 15.192, Ubertreffen also die Theilbare Passiva die theilbare Activ: Nahrung umb 3498 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4065 lb
Testamentum. 1710 (…) Mittwoch den 12. Novembris Abendts Zwischen Fünff undt Sechs Uhren (…) persönlich kommen und erschienen seind der Wohl Ehren Veste vndt Großachtbahr Herr Johann Jacob Sawr Junior vornehme Banquier vndt handelßmann vndt beneben Ihme die Edle viel Ehr vndt tugendreiche Fraw Anna Maria gebohrene Meÿerin, beede EheLeüth und burgere allhier zu Straßburg, von Verliehung Göttlicher Gnaden gesunden gehend vndt stehender Leibere, auch guter richtiger Sinnen vndt verstandts (…)
Par devant nous Nicolas La Marche Auocat à La Cour Souveraine de Lorraine et Barrois, Preuost Bailliager Chef de police de Ste Marie aux mines et val de Liepvre, Juge particulierement nommé par S. A. R. de la manufacture de Galons d’or et d’argent Etablie audit Ste Marie, est Comparu le Sieur Jean Jacques Saur, Banquier de Saditte A. R. propriétaire de laditte Manufacture, Lequel nous a representé que par le decès de Damoiselle Anne Marie Schelle vivante femme en secondes noces zu Sieur Daniel Fried L’un des Conseillers au Grand Sénat de Strasbourg cy devant veuve du Sieur Jean Caspard Meyer, Capitaine de La Compagnie des Batheliers de adite Ville (…)
Le tuteur des cinq enfants issus du mariage entre feue Anne Marie Meyer et le banquier Jean Jacques Saur le jeune louent une partie de la maison au banquier Thomas Wachter
1725 (10.11.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 573
weÿl. Fr. Anna Maria geb. Meÿerin mit H. Johann Jacob Saur Juniore Banquier hinterlassenen 5 Kinder geschwornen Vogt Johannes Schell Sattler und gedachter H. Saur als usufructuarius gedachten seiner Kinder mütterlichenen Guths, mit zuziehung H. Lt. Lorenz Rudolph Mollinger Stattlohners
in gegensein H. Thomas Wachter Banquier
entlehnt, In der curandnen eigenthümlich allhier ahm Rheineckel einseit neben der Spielmännischen Fr: wittib und Erben anderseit neben einer dem Stifft zu St. Thomas gehörigen Canonicat behausung hinten auff H. Altenburger gelegene behausung Unten auff dem boden alle daselbst befindliche gemach nichts davon als das nächst ahm dem Spielmännischen hauß gelegenen Contoir, die Stallung, remise de Carrosse, das kleine beschlüßige holtzhauß als welches H. Saur zu seinem eigenen gebrauch sich vorbehaltet ausgenommen, Ferner den gemeinschaftlichen gebrauch des hoffs und bronnens, den gantzen Keller außer einem kleinen abgesonderten und von ihm H. Sauren gleichfals vorbehaltenen platz darinn Mehr den ersten stock eine Stiege hoch ohne einige ausnahm, so dann alle bühnen außer zweÿen daselbst befindlichen zu H. Sauren gebrauch gewidmeten kleinen Kammern deme auch der gantze zweÿte stock vorbehalten bleibt – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen weÿnachten um einen jährlichen Zinß nemlich 175 pfund oder 700 livres tournois
Les préposés de la Taille lèvent la saisie sur les loyers dus par le Wachter qui loue la maison au Rheineckel, le tuteur des enfants Saur est autorisé à louer les localités qu’occupe leur père.
1732 (18. Aug.), Livres de la Taille (VII 1177) f° 171
Mont. den 18° dito. Auf Ansuchen H. Lt. Ößingers C. C. actuarÿ alß Anwald H. Johann Jacob Sauren jun. des handelßmanns Fünff Kinder Vogten, Johann Schellen des Sattlers haben die Obere Stall herren Erkannt daß ihme H. Sauren dispensando abgeschrieben werden möge, und solle der beÿ H. Wachtern auf den Hauß Zinnß der behaußung auf dem Rhein Eckel abgelegte arrest wieder aufgethan werden, hiengegen H. Wachter gleichbalden auf abschlag der Extanzen Zweÿ Jahr und in das künfftige biß Zur endlichen richtigkeit neben dem lauffenden Jährigen ein Extanz und Zwar Zur sicherheit des Vogts per modum Executionis erlegen anbeÿ auch dem Vogt erlaubet seÿn die Von H. Sauren inhabende Gemächer Zu Verlehnen und sich dardurch Zu indemnisiren.
Jean Jacques Saur, entrepreneur des mines de Lorraine, meurt d’hydropisie à Sainte-Marie-aux-Mines après une longe maladie. Son corps est inhumé dans la chapelle de Fertrupt.
Sépulture, Sainte-Marie-aux-Mines (luth. f° 20-v)
Dienstag Nachmittag Zwischen Ein und Zwey Uhr starb alhier in Markirch an einer langwierigen Kranckheit und wassersucht, den Elfften Jenner im Jahr 1757. S. T. Herr Johann Jacob Saur Einen Entrepreneur et directeur des Mines de Lorraine vnd wurde donnerstags darauf den 13. Jenner nach gehaltener Leichenpredigt allhier von H. pf. Kleinmann vicario Zu Ostheim in der Capelle Zu Fortelbach begraben seines alters 70 Jahr 1 Monath 2 Tage [unterzeichnet] Joh: Rud. Saltzmann p., Kroeber
Le tuteur des enfants d’Anne Marie Meyer et de Jean Jacques Saur, domicilié à Sainte-Marie-aux-Mines, louent la maison à Antoine de Muntz, conseiller du roi et Commissaire des guerres, et à sa femme Marie Madeleine Barnier
1737 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 48-v
Johannes Schell der sattler als vogt weÿl. Fr. Anna Maria geb. Meÿerin mit H. Johann Jacob Saur juniore banquier und burgers zu Markirch wohnhafft hinterlassenen 5 kinder
in gegensein H. Antoine de Muntz Conseiller du Roy et Commissaire des guerres und Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Barnier
entlehnt, Eine den Curanden eigenthümlich zuständige am Rheineckel einseit neben weÿl. Fr. dreÿzehnerin Spielmännin Erben anderseit neben einem dem Stifft zu St Thomas gehörigen Canonicat hauß hinten auf H. Jacob Bernoully den handelsmann stoßend gelegene, einen außgang in die Knoblauchsgaß habende behausung, Nebens: und hindergebäu, hoff, stallung, Bronnen und hoffstatt mit allen deren zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, nichts davon als den vor dem hauß befindlichen auff das waßer gehenden dermahlen unbrauchbaren altan oder gallerie ausgenommen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Annunciationis Mariæ fürwänrenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 500 gulden
Antoine de Muntz sous-loue une pièce de la maison à Jean Jacques Saur l’aîné et à son fils Jean Jacques Saur le jeune
1737 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 49-v
H. Antoine de Muntz Conseiller du Roy et Commissaire des guerres und Fr. Maria Magdalena geb. Barnier
in gegensein H. Johann Jacob Saur sen: und deßen sohns H. Johann Jacob Saur Jun: handelsleuthe
affterlehnungsweiße In obbeschriebener Saurischen kindern gehörigen denen affterverlehners heutigen tags velehnter allhier am Rheineckel liegender behausung, Unten auff dem boden die nächst an dem Spielmännischen hauß befindliche zweÿ Comtoirs, den gemeinschaftlichen gebrauch des hoffs, Bronnen und der Bauch küchen, das holtzhauß so die entlehner würcklich inhaben, den kleineren theil des kellers und den hindern kleinen stall wie auch den platz zu einer Chaise so Sie ebenfalls bereits genießen, zwo stiegen hoch in dem vordern hauß alle zimmer keines davon ausgenommen auff der bühn des vorder haußes zwo kammeren – auff 6 nacheinander folgenden jahren auf Annunciationis Mariæ fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 150 gulden
Jean Jacques Saur, demeurant à Eisleben, hypothèque un cinquième de la maison au profit des enfants mineurs de Jean Daniel Spielmann
1742 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 55-v
H. Lt. Johann Friedrich Mollinger EE. kleinen Raths alter beÿsitzer als mandatarius seines vettern H. Lt. Johann Jacob Saur dermalen zu Eißleben sich auffhaltend
in gegensein H. Johann Jacob Frid Med. D. und Practici als vogts weÿl. H. Rathh. Johann Daniel Spielmanns 4 kinder zweÿter ehe Maria Barbara, Maria Magdalena, Johann Daniel undt Maria Dorothea der Spielmann – schuldig seÿe 1000 lib.
unterpfand, einen 5. theil vor unvertheilt ane einer behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentis am Rhein eckel einseit neben einem dem Stifft St Thomä gehörigen Canonicat hauß theils neben H. Bernoulli dem handelsmann anderseit neben H. Sigmund Weitz dem handelsmann hinten auff besagten H Bernoulli und unter deßen hauß einen ausgang in die Knoblochsgaß habend, von solcher gantzen behausung besagtem stifft 1 lb 10 ß zinß und 1 lb 5 ane allmend zinß
ferners hypothecirt er ein 5. theil vor unvertheilt ane einem 9 acker groß. garten vor dem Fischer thor oberhalb der Auen: bruck gegen dem Spitalfeld allerseits neben dem Allmend
Le tuteur des enfants mineurs de Jean Jacques Saur vend la maison au banquier André Christophe Sommer pour 7 355 livres
1745 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 90
H. Johann Heinrich Jahreiß Oberschreiber des Stiffts Frauenhaußes als mandatarius H. Lt. Johann Jacob Saur von demselben zufolg eines missivs de dato Markirch vom 6. hujus, als fernerer Mandatarius H. Lt. Jacob Friedrich Mollinger EE. kleinen Raths alten beÿsitzer als vogt der 4 Saurischen minorennen kinder Jfr. Anna Maria H. Johann Daniel, Jfr. Maria Elisabetha und Jfr. Maria Margaretha die Saur
in gegensein H. Andreas Christoph Sommer des banquier, versteigerung
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten am Rheineckel einseith theils neben einem dem Stifft St Thomä gehörigen Canonicat hauß theils neben H. Johann Bernoulli dem handelsmann, anderseit neben H. Sigmund Weitz dem handelsmann, hinten auff besagten H. Bernoulli und unter deß. hauß einen außgang in die Knoblauchsgaß habend – davon gehen hiesiger Stadt Pfenning Thurn 3 lb. 10. ß. ane allmend zinß und dem Stifft St Thomas von 3 Caminen 1 lb. 10 ß zinß, so seÿen auch zwo tertzen ane solcher behausung H. Johann Jacob Saur sen. derer verkäufer vatter mit lebtägigen wÿdem verfangen auf deßen natural genuß derßelbe verzug gethan – als ein großelterliches erbguth – um 7355 pfund
Fils de Jean Jacques Sommer, pasteur à Ravensbourg, André Christophe Sommer achète le droit de bourgeoisie en 1711
1711, 3° Livre de bourgeoisie p. 1279
Andreas Christoph Sommer der handelsmann Von Ravenspurg H. Joh: Jacob Sommers des Pfarrers daselbst sohn erkaufft das burgerrecht p. 6. gold fl. 16 ß d. 29. Dito [Aprilis], wird Zum Spiegel dienen
André Christophe Sommer épouse en novembre 1711 Marie Dorothée, veuve du marchand Henri Reuter
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 233, n° 1018)
1711. Mitwoch den 18.ten 9.mbr. Seind nach 3 mähl. Proclamation ehelich copulirt worden, H. Andreas Christoph Sommer der ledige handelßmann herrn Johann Jacob Sommer Evang. Pfarrer in der freÿen reichstatt Ravenspurg ehl. Sohn und fr. Maria Dorothe weÿl. H Heinrich Reuters gew. b. und Handelsm: alh. nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Andreas Christoph Sommer alß hochzeiter, Maria doroteha Reütterin als hochzeiterin (i 232)
Le marchand Henri Reuter épouse en 1692 Marie Dorothée, fille du marchand de drap Georges Langenretger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 29-v n° 180)
1692. Dom: 3. post Epiphanien, seind Zum 2 mahl außgeruffen Word. Hr Heinrich Reütern handelßmann, Weiland Hrn Samuel Reüters handelßmanns vnd Burgers nachg: ehel. S. Jfr. Maria Dorothea Weiland hrn Georg Langerettgers, Weiß: Leinwad: händlers und Burgers nachg: ehel. T.
Seind den 6.t Febr: Würcklich copulirt worden [unterzeichnet] Heinrich Reütter Alß hochzeiter, Maria Dorothea Langerötgin als hochzeiterin (im 32)
L’inventaire dressé par le notaire Lobstein après la mort de Marie Dorothée Langrœthiger n’est pas conservé, il ne figure pas non plus dans le répertoire dressé après la mort du notaire. Le succession est traitée par les préposés de la Taille parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 11 400 florins (5 700 livres) sur un total de 20 900 florins, contrairement à de plus de moitié. Les Quinze auxquels l’affaire est renvoyée ajoutent une amende de 53 livres.
1727, Livres de la Taille (VII 1176) f° 104-v
Spiegel F. N° 4088 – Weÿl. Fr. Mariæ Dorotheæ gebohrner Langröthigerin H. Andreæ Christoph Sommer Banquier und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Lobstein
Concl. Fin Inv. ist fol. 254. 9158 lb 14 ß 2 ½ d Nachdeme aber die behaußung auf Erkandnus g. Herren der XV.er durch die beaÿdigte Experts de novo æstimirt worden, so selbige nach Abzug des boden Zinßes angeschlagen vor 4520. lb d so gehet wieder ab, das darauf stehende Capital der 2000 lb. d. wie auch die bereits in auswurff gebrachte 964. lb. d. und restirt nach solchem Abzug so der beschluß Summæ beÿzusetzen 1286., Summa 10.444. lb. 14 ß 2 ½.d
die machen 20.900. fl. es wurde hiengegen allein Verstallet 9500 fl. alßo Zu wenig 11.400. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 3 ß lb 4 ß d macht 205. lb 4 ß
und auff vier Jahr in simplo à 17. lb 2 ß, 68 lb 8 ß
Extat das Stall geltt pro 1727 mit 15 lb 12 ß
Gebott 12 ß
Zu Zerschiedenen mahlen die lüfferung des Inventarÿ halben angesetzte und verwürckte Straff 53 lb
Abhandlung 12 lb 19 ß 6 d, Summa 355 lb 15 ß 6 d
Weilen nun so viel Zu wenig verstallet worden alß wurde das Geschäfft der Straffhalben an G. Herren die XV.rn Verwießen.
Zufolg g. herren der XV.en Erkanntnus Vom 19. Aprilis 1727 ist es beÿ obigen 355. lb 15 ß 6 d nicht nur durchaus gelaßen sondern auch eine Straff von 409. lb d ohnnachläßig Zu erlegen beÿgesetzt worden.
N. von obstehenden 53. lb d. Straff seind 15. lb 12 ß d. wegen ohnkosten Zu dem XV. Prothocoll gelüfert word.
dt. 21° Aprilis 1727
Les préposés de la Taille soumettent l’inventaire aux Quinze qui constatent que le maison au Vieux-Marché-aux-Poissons est notablement sous-évaluée
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
(p. 116) Samstag den 29. Marty 1727 – H. Christoph Andreas Sommer pt° zu weniger Verstallung
Ober Stallherrn laßen per me proponiren, Es habe H. Andreas Christoph Sommers des Burgers und Handelsmanns allhier gewesene Ehefraw schon A° 1722 in dem Monath Decembri dieses zeitliche geseegnet, die Inventation dieser Verlaßenschaft seÿe aber biß in den Monath [p. 117] Martio in Vorigen Jahrs verzögert, undt endtlichen vor etlichen wochen das über sothane Verlaßenschafft auffgerichtete Inventarium denen hrn dreÿ des Stalls eingehändiget worden, weilen nun diese gesehen daß gedachte Verlaßenschafft auch nur dem in ged. Inventario enthaltenen anschlag nach sich auff 9158. lb. erstrecke, H. Sommer aber mehr nicht als 9500 fl verstallet so hätten nach ordnung gedachte herren dreÿ das geschäfft nicht beÿ sich behalten Können sondern Ihnen, denen wohlverordneten Ober Stallherrn nebst einem Schriftl. Stallbericht, damit solches durch Mghh. Decision erörtert werde, communicirt. Nun befinde sich unter dießer Verlaßenschafft eine auff dem Fischmarck gelegene Behausung, welche die damahlige Hh. Werckmeister nach abzug 8. livres 8. ß jährlich allmendzinßes undt 2000. lb darauff stehenden Capital allein pro 964. lb. angeschlagen, da doch aus eben diesem Inventario fol. 110.a. erhellet daß erst vor einigen Jahren 3014. lb. Meliorationes undt Bawkösten in dieser Behausung angewendet worden, so daß solches, Zu mahlen sei auch eines von denen schönsten auf dem Fischmarck gelegene Häusern, mehr alß sothaner anschlag werth sein muß, maßen die hrn dreÿ aus daßelbe nicht auff erst angeregtem Fuoß des jüngsten anschlags, sondern umb 6639. lb. 18. ß. 6. d. in Außwurff gebracht, so daß auff diesen Fuoß H. Sommer 16.100. fl. zu wenig verstallet hätte, Wavon der Nachtrag alß von einem theilbar und errungenen guth gerechnet werde auff 6 Jahr in duplo à 48. lb. 6. ß, thut 289. lb. 16. ß, und 4 Jahr in simplo, 96. lb. 12. ß.
der H. Sommer die Zu Zerschiedenen mahlen der Liefferung des Inventario halben angesetzte und verwürckte Straaff, 53. lb.
Beÿ diesen Umbständen vermeine man daß vor allen dingen sothane Behaußung nochmahlen durch à part denominirte und beeydigte Experts solle nach [p. 118] anleytung der Stallordnung æstimirt werden, da dann wann diese eingelieffert sein wird das geschäfft ferner könnte untersucht, und ein satter bedacht darin gefaßt werden. Zu Mghh. stellend ob Sie es also erkennen wollen.
Herr Prætor Regius votirte hierauff er sehe es auch alß eine sehr nöthige formalitæt an daß das quæstionirte hauß nochmahlen durch Expertos welche mit einem sonderen eydt zu belegen, nach billigkeit, undt nach anleitung der Stall ordnung solle æstimirt, deren relation Zum protocoll gelieffert, das geschäfft sofort durch die Hrn Deputirten seiner wichtigkeit reiffen* bedacht undt sofort wieder für Mghh. Zu deren erörterung gebracht werden solle. Erk. Hrn Prætori Regio gefolgt.
(p. 134) Sambstag den 19 Aprilis 1727 – H. Christoph Andreas Sommer pto zu weniger Verstallung (…)
André Chrétien Sommer contracte un abonnement auprès du bureau de la Taille
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
Andreas Christoph Sommer erhalt ein abonnement. 628, 632
André Christophe Sommer prend à bail la fourniture du sel
1724, Protocole des Quinze (2 R 29), Andres Christoph Sommer pt° Saltz Contracts, 59, 64-71, 71
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
Saltz, Christoph Sommer et Compagnie, 36, 47, 69
André Christophe Sommer se remarie en 1741 avec Sara Wettstein, veuve du négociant Jean Jacques de Beyer.
André Christophe Sommer, banquier et conseiller commercial de l’électeur palatin, meurt à l’âge de soixante-huit ans le 10 mars 1751.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1728-1752 p. 424 n° 1260)
1751. Mittw. d. 10. Martÿ Vormittag ein Viertel nach 9. Uhr entschlieff, nach außgestandenen Vielen blödigkeiten, in Christo seelig S. T. Herr Andreas Christoph Sommer, geweßter Vornehmer Banquier, Churfürst. Pfältzischer hochverdienter Commercien-Rath und hochangesehener burger allhier. Ward Freÿtags d. 12. Ejusdem in seine Ruhe Kammer nach St. Gallen gebracht, nachdem er in dießer welt gelebet 68. Jahr 2. Monath und 19. Tag, welches bezeugen [unterzeichnet] Johann Rudolph de Beyer als Tochtermann, Johann Caspary Jünger als Enckel (i 217)
Règlement de la succession de Marie Dorothée Langrœthinger, femme d’André Christophe Sommer, qui laisse pour héritières ses deux filles, Marie Dorothée Reuter épouse Caspary et Anne Salomé Sommer épouse Debeyer. La masse propre au veuf est de 4 764 livres, celle propre aux héritières de 5 482 livres. L’actif de la communauté s’élève à 27 373 livres, le passif à 12 706 livres
1754, Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 295)
Summarische Berechnung und respectivé Untersuchung Über Weÿland Frauen Mariä Dorotheä Sommerin gebohrener Langröthingerin, nun auch Weÿl. H. Andreä Christoph Sommers geweßenen Vornehmen Bancquier und burgers allhier Zu Straßb. geweßener Frauen Eheliebstin längst seel. Verlaßenschafft und das darüber in A° 1729 durch nun auch weÿl. H. Not. Johann Lobstein gefertigte Inventarium nach dem Stall tax wie solches auch gestelt worden, simpliciter und ohne reflection auf die quæstionirte Transaction aufgerichtet.
Nota. Es ist Zum vorauß Zusagen, daß Vor E: E: großen Raths bescheid vom 10.ten Junÿ Anno 1758. unter anderen dahien ertheilt Worden, dasjenige, was währender Ehe errungen und gewonnen worden, Zuberechnen, Nun Zeiget das verlaßenschafft Inventarium de A° 1726. daß die Frau Sommerin den 30.ten Decembris 1722. gestorben und hingegen die Verlaßenschafft erst den 6.ten Martÿ et sequentibus Anno 1726. inventirt worden seÿe, wäre alßo alles das, was nach Zertrennter Ehe geschehen und gehandelt worden, nicht in dißortigen Calculi Zu bringen, Allein, wann in betrachtung gezogen werden solte, daß die Verlaßenschafft biß an den Tag der Inventur ohnerörtert und eine Massa geblieben, so mag auch bestehen, daß das in solchem intervallo temporis entstandene lucrum et damnum auch dahin gehörig seÿe, dahero auch dißortige berechnung mit inbegriff deßen, deren Meinungh auch doe herren handels Experten und eingerichtet worden, jedoch dießes salvo meliori in contrarium argumento.
Hierauff ist fordersembst zu præmittiren daß Zwischen nun zertrennten beeden Sommerischen Ehepersohnen vor herrn Notario Johann Georg Langen seniore den 6.ten Novembris A° 1711 eine heuraths abrede auffgerichtet worden, darinnen §° 2.do Sie Frau Sommerin dem hinterbliebenen H. Wittiber 500 fl. Zur Morgengaab verschrieben habe (…)
Demnach folgen dan die berechnung und Ersuchungen vor und ane sich selbsten und Zwar davon Erstlichen
des Herrn Wittibers ohnveränderten Guth, Sa. haußraths 20, Sa. Silbers 9, Sa. Schulden 250, Sa. Ergäntzung (14.353, Nach Rabbat 5054) 9298, Summa summarum 9679 lb – Schulden 4914, Nach deren Abzug 4764 lb
Derer beeden Frauen Erbinnen unverändert Nahrung berührend, Sa. haußraths 186, Sa. leeren Faß 2, Sa. Silbergeschirrs, Sa. gold. Ring Ketten und dergl. geschmeid 219, Sa. baarschafft 34, Sa. Eigenthums ane einer behaußung (964 und weilen damahlen das Metzische Passiv Capital abgezogen worden, nach heutiger verordnung aber selbiges unter die unveränderte Passiva gesetzt werden solle und gesetzt wird, als gehen zu die abgezogene 2000, Macht demnach dieße Rubric in außwurff) 2964, It. so solle der hinterbliebene hr Wittiber seiner Verstorbenenn Ehefrauen wie hieuor demselben passive abgezogen zusehen 4914, Einzubringen 37, Sa. Ergäntzungs rest 478, Summa summarum 8952 lb – Schulden 3470, im Rest 5482 lb
Das Theilbahre Guth, Sa. haußraths 272, Sa. gewerbswaaren 4528, Sa. Kutsch 38, Sa. Pferd 45, Sa. Frucht 11, Sa. leerer Faß 869, Sa. Silbergeschirr und geschmeid 49, Sa. baarschafft (2535, abzuziehen 755) 1779, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 680, Sa. Activ Schulden (5124, passivé 4393, rest) 729, Sa. Schulden 9851, Sa. Activis 7262, von dem wein und brandenwein lager in Compagnie H. Saucin und Baucin in Basel Zu H Sommers seel. Einschuß 571, Summa summarum 27.373 lb – Passiva 12.706, In Compensatione 14.667 lb
Des H. Wittibers gantzes Vermögen in Eigenthum (12.103) und Wÿdemb (4270), zusammen 16.373 lb, Hievon hat der Herr Wittiber in Crafft der Eheberedung §° 6.to einen Kindstheil, das ist Weilen die zwi Frauen töchter beÿ Leben damahlen geweßen, einen drittentheil Zeit lebens wÿdumbs weiße Zu genießen, macht 4270 lb
Und solle eine Jede derer Frauen Töchtere mithien auch Frau Maria Dorothea Casparÿn gebohren Reuterin, die Frau Tochter erster Ehe auch Zu einem drittentheil ane Mütterl. guth Loco Legitimæ haben 4270, hierzu addirt deroselben destinirt rückständig vätterl. guth 1220
Welchemnach Sie Frau Maria Dorothea Casparÿn gebohrene Reuterin die tochter erster Ehe ane Vätter: und Mütter: guth loco Legitimæ zuempfangen habe dem Stalltax nach 5490
So dann gebühret Jungfrauen Sommerin, modo Frauen Annä Salome Debayerin, der Frauen Tochter letzter Ehe ane Mütterl. guth loco legitimæ vor einen drittentheil dem Stalltax nach 4270
Zweiffelhaffte Schulden in der Herrn Wittibers unveränderte Nahrung gehörig 1087 lb Ungewiß und verlohrene Schulden in derer beeden Frauen Erbinnen unverändert guth gehörig 14.901 lb, Ungewiße Pfenningzinß hauptguth in die Theilbare Nahrung Zugeltend 2000, Zweiffelhaffte Schulden in die Theilbare Verlaßenschafft Zugeltend 5800 lb
Vollkommene Berechnung über Weÿland herrn Andreä Christoph Sommers vornehmen Bancquiers und auch Weÿland Frauen Mariä Dorotheä Sommerin gebohrener Langröthigerin
3913 Baukösten
3924 Bericht und Resp° Vergleich Wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft 11. Xbris Anno 1726
Jean Raoul de Beyer (Jean Rodolphe de Beyer) épouse en premières noces Anne Salomé Sommer (ni contrat de mariage ni célébration ne se trouvent à Strasbourg) dont il a plusieurs enfants qui meurent après leur mère, de sorte qu’il hérite de la maison qui appartenait à son beau-père.
Jean Raoul de Beyer (né en 1712) se remarie en 1775 avec Sophie Elisabeth de Dietrich (née en 1754, voir les tableaux généalogiques dans De Dietrich, Le tricentenaire, La Nuée Bleue 1986), fille de Jean Nicolas de Dietrich et de Marguerite Salomé Gloxin : contrat de mariage, célébration
1775 (2. 7.br), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) f° 158
Eheberedung – zwischen dem hochwohlgebornen Herrn Johann Rudolph de Beyer, hertzoglich Zweÿbrückischen allhier zu Straßburg residirenden Geheimden Rath als dem Herrn Bräutigam ane einem
So dann der Freÿwohlgebornen Fräulein Sophia Elisabetha von Dietrich, weil. des Freÿwohlgebornen Herrn Johann Niclaus von Dietrich, des beständigen geheimen Regiments derer Herren Fünffzehen alhier geweßten hochansehnlichen Mitglieds mit der hochwohlgebornen Frauen Margaretha Salome von Dietrich gebohrner Gloxinin ehelich erzeugter Fräulein tochter als der Fräulein braut, ane dem andern theil – So geschehen alhier zu Straßburg den 2. Septembris Anno 1775.
Mariage, Niederbronn (luth. p. 10)
Im Jahr 1775 den 4. Septembris wurden nach vorher gegangener gewöhnlichen Ausrufung allhier ehelich eingesegnet S.T. Herr Johann Rudolph de Beyer des Herrn Herzogs von Pfaltz Zweÿbrücken Hochfürstl. durchleucht wirklichen Geheimden Rath und S.T. Fräulein Sophia Elisabetha von Dietrich des S.E. weÿl. herrn Johann Niclaus von Dietrich des beständigen Regiments der Herrn Fünffzehn in Straßburg hochansehnlichen Mitgliegs ehelich erzeugte ledigenFräulein tochter, [unterzeichnet] Johann Rudolph de Beyer als brautigam, Sophia Elisabetha von Dietrich als braut
Proclamation Saint-Nicolas (luth. f° 185 n° 24), 1775 den 3. herbstmonat (…) und den Montags darauf zu Niederbronn ehelich eingesegnet worden herr Johann Rudolph De Beyer des Herrn Herzogs von Zweÿbrücken Hochfürstlich durchleucht wirklich Geheimden Rath, weÿland Frauen (-) gebohrner Sommerin hinterlaßener Wittwer und Jungfer Sophia Elisabetha von Dieterich weÿland herrn Johann Niclaus von Dieterich des beständigen Regiments der Herrn Fünffzehn gewesten Mitgliegs mit deß. hinterlassenen wittib Fraun Margaretha Salome gebohrner Gloxinin ehelich erzeugte tochter (i 188)
Dissertation que Jean Raoul de Beyer présente à l’université de Strasbourg en 1753
Dissertatio inauguralis juridica, sistens theses
De jure belli et pacis in imperio romani-germanico
quas Deo Præside, ex decreto et auctoritate Illustris Jurisconsultorum ordinis
in alma argentoratensi universitate
Pro licentia summos in utroque jure honores et privilegia doctoralia rite consequendi, solenni eruditorum examini submittit
die XXIII. martii, A. C. MDCCLIII.
h. l. q. c.
Joh.Rudolphus de Beyer, argentoratensis.
Argentorati, Typis Simonis Kürsneri, Cancellariæ Typographi.
Jean Raoul de Beyer meurt en 1786 en délaissant trois filles. L’inventaire est dressé dans la maison au Rheineckel (quai Saint-Thomas). La masse propre à la veuve est de 17 689 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 37 640 livres, le passif à 17 087 livres. Le veuf est devenu propriétaire de la maison suite à la mort de ses enfants issus de sa première femme née Sommer.
1786 (16.11.), Not. Zimmer (6 E 41, 1437) f° 764
Inventarium über Weiland des Hochwohlgebornen Herrn Johann Rudolph de Beyer, des alhier zu Straßburg wohnhaft gewesten Hertzoglich Zweÿbruckischen Geheimden Raths Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1786. (…) nach seinem den 13.ten Octobris dieses 1786.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen der Freÿ Hochwohlgebornen Frau Sophia Elisabetha von Dietrich, der hinterbliebenen Frau Wittib beiständlich Herrn Ernst Friderich Mollinger des Beamten in allhießigem Kaufhaus und sein des Verstorbenen Herrn mit deßen Frau Wittib ehelich erzeugt und nachgelaßener dreÿ Kinder und Erben geordneten Herrn Vogts alle nach diesem Eingang insonderheit benamset, inventirt und ersucht durch die Frau Wittib, Johannes Fenger, der Cammerdiener, Ignatius Eßlinger den Bedienten, Elisabetha Grieneckin die Cammerjungfer, Sophia Schwartzerin die Köchin, und Anna Maria Greÿin die Dienstmagd (…) So geschehen und angefangen alhie Zu Straßburg den 18. Novembris Anno 1786.
(f° 25) Der Eingangserwehnte verstorbene Herr de Beyer hat ab intestato Zu seinen einigen Erben hinterlaßen 1° Dlle Maria Margaretha Sophia de Beyer ihres Alters 9 Jar, 2° Dlle Eleonora Charlotta de Beyer und 3° Dlle Louise Amalie de Beyer, bede letztere Zwillinge und 8 Jahr am Leben, Alle dreÿ sein des Verstorbenen Herrn mit Eingangs erwehnter deßen hinterbliebener Frau Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheiler nachgelaßene Erben, deren geordnet und geschworener Vogt ist Hr Johann Friderich Herrmann J.V. Ltus und secretarius adjunctus des beständigen geheimen Regiments derer Hh. Fünfzehen dahier, welcher in dieser seiner qualtitæt sogleich declarirt, wie daß Er diese Verlaßenschafft schlechterdings anzutretten gedencke.
In einer alhier zu Straßburg an dem sogananten Rhein Ecklein gelegenen & hiehero gehörigen und hernach beschriebenen Behausung befunden worden, wie folgt
Ergäntzung der Fraun Wittib abgegangnen unveränderten Guts. Nemlich da die Wohlerwehnter Frau Wittib in der hieoben copeilich einverleibten Eheberedung §° 10° derselben Zum theil als eine Ehesteur verschriebene 60.000 livres von Ihro würklich baar in die Ehe gebracht worden (…) 15.000 lb
Hernachbeschriebene Mobilien und Effecten so sich auf dem Landguth in der Ruprechts-Au befinden (…)
Bibliotheca und Naturalien-Cabinet in Mineralien, Muscheln und andern See: Producten bestehend
(f° 23) Eigenthum ane einem Landguth und Zugehörden in Ruprechts-Au gelegen. (E. et T.)
(f° 24) Eigenthum ane einer behausung und Zugehörden alhier zu Straßburg. (E. et T.) Nemlich eine behausung, Hoff und Hoffstatt, mit allen derselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg an dem sogenanten Rhein Eckel, einseit theils neben einem löbl. Stift St. Thomä gehörigen Canonicat Haus, theils neben H. Ensfelder Not° publico und practico alhier, anderseit neben H. N. Saum, dem Handelsmann dahier, vornen auf das Wasser und bemeltes Rheineckel und hinten auf berührten H. Notm. Ensfelder stosend, unter dessen Haus diesortige Behausung einen Ausgang in die Knoblochsgaß hat. Wovon jährlich Löbl. Stadt Pfenningthurn 3 lb. 10. ß ane Allmendzinß und Löbl. Stift St. Thomä von drei Caminen 1 lb 10. ß Zinß zu entrichten, sonsten frei, ledig, eigen, Welche behausung und Zugehörden hier ohnnachtheilig angeschlagen wird vor 11.500.
Hierüber besagen drei in alhiesiger C.C. Stub auf Pergament gefertigte und mit Löbl. Stadt anhangendem Insiegel verwahrte Kauffbrieff dedatis 16.ten februarii 1745. 8.ten Maÿ 1708. und 18.ten Aprilis 1685. Und dann ist zu berichten daß der Verstorbene Hr. Geheime Rath obige behausung und Zugehörden von deßen mit weiland D° de Beyer geborener Sommer in erster Ehe erzeugten aber nach dieser ihrer Fraun Mutter verstorbenen Kindern erb- und eigentümlich überkommen hat.
(f° 25-v) Bericht wegen dieser Verlaßenschafft. Zufolg der vorher copeÿlich einverleibten Eheberedung §° 4.to wurde Zwar verabschiedet und verglichen, daß der nun Zertrennten Ehegatten in der Ehe gebrachtes und während derselben etwa ererbendes Vermögen, als eigen und unverändert seÿe und das davon abgegangene wider behörig ergäntzt, daher dann um der Ordnung Willen, bald auch vollzogener Copulation hat inventirt und angeschlagen werden sollen, Wie aber des Verstorbenen Herren Frau Wittib auf beschehene Anfrage declarirt, so seÿe bederseits in die Ehe gebrachtes Guth weder inventirt noch angeschlagen, auch stehender Ehe nichts ererbet worden (…)
(f° 26-v) Series rubricarum hujus Inventarii. copia der zwischen beden zertrennten Ehegatten den 2. Septembris 1775. in duplo errichteten Eheberedung (…)
Der Fraun Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 94, Sa. Silbers und Geschmeids 109, Sa. Gold und Geschmeids 486, Sa. Schuld 2000, Sa. Ergäntzung 15.000, Summa summarum 17.689 lb
Nota ! Außer dem ist der Fraun Wittib annoch für unverändert gehörig das von deroselben Herrn Vater ererbte Guth, welches aber ihr der Fraun Wittib eheleiblicher Fraun Mutter ohnuntersucht in Handen gelassen, und von derselben bis daher genossen worden, hier zum Bericht
Dießemnach wird auch alles übrige vorhandene Guth unter einem Titul und einer Mass als in des verstorbenen Herrn Verlaßenschaft gehörig, beschrieben, Sa. Haußraths 2889, Sa. Kutschen und Chaises 530, Sa. Bibliothec und Naturalien-Cabinet 300, Sa. Wein und leerer faß 310, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 2469, Sa. Gelds 235, Sa. Baarschafft 221, Sa. Eigentums ane einer behausung 11.500, Sa. Eigentums ane einem Landguth 3000, Sa. Schulden 16.184, Summa summarum 37.640 lb – Schulden 17.087, Nach deren Abzug 20.553 lb
Rentes viagères, Summa vorheriger von der Frau Wittib und ihren vorgedachten drei Dlles töchtern in vorbesagte Weise järlich zu beziehen habenden Rentes viagères beträgt 60 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen alhier Zu Straßburg den 2. Septembris Anno 1775, Zimmer, Notarius
Catalogue de livres de diverses matières notamment de mathématiques, physique, histoire naturelle, voyages, histoire et belle littérature qui seront vendus à l’enchère au quai de l’Esprit dans la maison Nro. 10. Lundi le 18. décembre prochain & les jours suivans. A Strasbourg chez Jean Henr. Heitz, Impr. de l’Université 1786.
Jean Raoul de Beyer meurt le 13 octobre 1786 à l’âge de 74 ans. Son corps est inhumé au cimetière Saint-Gall.
Sépulture (réformés, f° 20)
Anno 1786 Freÿtags den 13. Octobris nach mittag um dreÿ Uhr starb allhier der hochwohlgeborene Herr Johann Rudolf De Beyer, im Leben gewesenen hertzoglich Zweÿbruckischen Geheimde Rath und Burgers von Basel Seines Alters 74 Jahre sechs Monath und 13 tag. Sein Leichnam ward Sonntag den 15. Ejusdem auf St. Galli gottesacker beerdiget [unterzeichnet] Freÿh. Von Dietrich als Oncle Graf Von Steinthal, freÿherr Johann Niclaus von Dietrich als Schwager (i 66)
Notoriété, Pierre Lalleman, notaire à Paris (AN MC / ET / IV / 925)
(…) connaissent parfaitement Sophie Elisabeth Dietrich veuve de Jean Rodolphe De Beyer Née le 13 décembre 1754 et Marie Marguerite Simon Debeyer née le 26 août 1777 et que c’est a tort que dans deux inscriptions au Grand livres de la dette viagere (…) le nom propre De Beyer a été écrit simplement Beyer au lieu de Debeyer qui est la veritable manière d’ecrire le nom ainsi que le constate 1° un extrait de l’acte de naissance dud. Jean Rodolphe De Beyer inscrit aux registres de la Cyd. paroisse helvétique à Wolfisheim a la date du 3 avril 1712 (…) un extrait de l’acte de naisance de ladite Marie Marguerite Sophie De Beyer inscrit aux registres de la Cydvt paroisse St Nicolas à Strasbourg (…)
L’an huit de la République française une & indivisible le 16 thermidor
Le tuteur des enfants Debeyer vend la maison au marchand François Walter avec les charges envers la fondation Saint-Thomas telles qu’elles sont établies dans un accord passé en 1695 et ratifié en 1745.
1787 (12.3.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 93
H. Lt. Johann Friedrich Herrmann des geheimen collegii der H. fünffzehner secretariorum adjunctus gerichtlich bestellter vogt weÿl. H. Johann Rudolph Debeyer des herztoglichen pfaltz zweÿbruckischen geheimen raths allhiesigen inwohner nachgelassene 3 minorennen kinder
in gegensein H Frantz Walter, des handelsmanns
die besagten curanden als vätterlich ererbtes guth eigenthümlich zuständige behausung, hoff und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem sogenannten Rhein eckel, eins. neben einem dem löbl. Stifft St Thomä canonicat hauß theils H. Johann Daniel Ensfelder notario publico, anders. neben H. Johann Saum dem handelsmann, vornen das waßer und bemeltes Rhein eckel, hinten benannten H. Not. Ensfelder, unten deßen hauß die dißortige behausung ein außgang in die Knoblochß gaß hat, diese behausung nun ist der curanden Fr. mutter in krafft eheberedung mit natural genuß verfangen, schon unterm 15. Decembris jüngsthin beÿ dem Inventur geschäfft auff solch gegen nutznießung des erlößes verzug gethan, betreffend aber die 3 pfund pfennig so man d. löbl: Stadt Pfenning Thurn ane allmend oder ane bodenzinß in zween posten jährlich abzutragen hatte, da die objectis welcher wegen sothanen zinß abgefordert worden künnftig hier nicht mehr beschehen werden dann er gibt sich dießes real onus vor obbeschriebenen immobile abfällt deßen ungibigkeit verkauffender H. vogt dem H. käuffer garantirt so viel aber die gerechtsame die löblich stifft St Thomä in krafft documentorum vom monat märtz und april 1695 und submissions schein vom 1. Decembris 1745 – mit meubles und effecten worunter auch das bachöfflein in der küch im ersten stock begriffen – um 22.500 gulden
François Walter loue une partie de la maison au négociant Jean Egide Uhlenhuth
1787 (12.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1105) n° 26
Bail – M François Walter négociant, bail à loyer pour 6 années qui commencent à courir à la St Michel prochaine,
au Sr Jean Egide Uhlenhuth, négociant à Strasbourg
un appartement dans la maison à luy appartenante en cette ville sise au Rhein Eckel savoir la nouvelle aile qui vient d’être batie consistant en un apartement, en une grande salle, chambre, chambre à coucher et cabinet y attenant, 2 places derrière le cabinet, une chambre a poelle et armoires le tout de plain pied au premier étage, une cuisine au rez de chaussée, place pour le bois, une cave séparée des lattes et place pour une voiture – moyennant un loyer annuel de de 500 livres tournois
Il loue une autre partie au major d’infanterie Brunnier
1787 (19.7.), Not. Laquiante (6 E 41, 1106) n° 30
Bail – M François Walter, bail à loyer pour 6 années consécutives qui commencent à courir à la St Michel prochaine
M. Brunnier, major d’infanterie au service de France acceptant pour luy Sr Philippe Jacques Krieg, négociant
un appartement dans la maison appartenant au Sr bailleur situé au quartier du Rehnecker et consistant dans tous les appartements généralement qualconques situés au rez de chaussée, cuisine, deux enclos fermés dans la cave, une chambre pour le linge salle et un autre pour le domestique aux mansardes, l’usage commun de la buanderie, une écurie pour deux chevaux, une place dans la cour pour une chaise et un grenier à foin – moyennant un loyer annuel de 600 livres tournois
Fils du marchand Gérard Walter, François Walter épouse en 1776 Chrétienne Sophie Saltzmann, fille du pasteur Jean Raoul Saltzmann et de Marie Elisabeth Saur (laquelle est fille de Jean Jacques Saur, de Sainte-Marie-aux-Mines, voir plus haut) : contrat de mariage, célébration
1776 (29.11.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 476
Eheberedung – Zwischen dem Wohl Ehrenvest: und Vorachtbahren Herrn Francisco Walter, dem leedigen Handelsmann, Weÿland S.T. Herrn Gerhard Walters, gewesenen vornehmen Handelsmanns und Es. En. Großen Raths alten Wohlverordneten Beÿsitzers auch Burgers allhier seeligen mit S.T. frauen Catharina Salome gebohrener Schubartin ehelich erzeugtem Herrn Sohn, als dem Herrn Bräutigam, ane einem,
So dann der Viel Ehr: und hoch tugendgezierten Jungfer Christianæ Sophiæ Saltzmännin S. T. Herrn Johann Rudolph Saltzmans treueÿfferigen Diaconi und Seelsorgers beÿ der Predigen Gemeinde auch burgers allhier mit Weÿland S. T. frauen Maria Elisabetha gebohrene Saurin seel. ehelich erzeugten Jungfer tochter, der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf freÿtag den 29. Novembris Anno 1776 [unterzeichnet] François Walter als Bräutigam, Christiana Sophie Saltzmännin als Braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 146-v)
Im Jahr Christi 1776 Dienstags den 10. Decembris morgens gegen Zwölf Uhr sind nach geschehenen gewöhnlichen proclamationen Dominica prima et secunda adventus in der Kirchen copulirt und ehelich eingesegnet worden Herr Frantz Walther der leedige Handelsmann und burger allhier, weÿland Herrn Gerhard Walthers geweßenen Handelsmanns und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers und burgers allhier und Frauen Catharinä Salome geborner Schubartin ehelicher Sohn und Jungfrau Christiana Sophia Saltzmännin, mein Johann Rudolph Saltzmanns, diaconi beÿ der Prediger Gemein und burgers allhier und weÿland Frauen Mariä Elisabethä geborner Saurin eheliche tochter [unterzeichnet] Frantz Walter als hochzeiter, Christiana Sophie Salzmännin als hochzeiterin (i 199)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient pour moitié au mari au Vieux-Marché-aux-Poissons. Ceux du mari s’élèvent à 18 814 livres, ceux de la femme à 2 038 livres.
1777 (2.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 736) n° 1003
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Vorachtbahren Herrn Francisci Walters vornehmen Handelsmanns und der Viel Ehr und hoch tugendgezierten fraun Christianæ Sophiä Walterin geb. Saltzmännin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen aufgerichtet Anno 1777. (…) und sich vermög der unterm 29.t 9.bris 776. miteinander errichteten heuraths Verschreibung vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in præsentia Sis Tis frauen Catharinä Salome Walterin geb. Schubartin, weÿl. H. Gerhard Walters gewesenen Vornehme handels Mans seel. nachgelaßene Fr. Wittib des Eheherrn gel. frau Mutter ingleichem herrn Joh: Rudolph Saltzmann, treueifferigen Diaconi und Seelsorgers beÿ der Prediger oder Neuen Gemeind und Hr Joh: Friedrich Christian Corvinus Med. hochefahrenen Doctoris et Practici der Ehefrauen noch ohnentledigten Hn Vogts auff freÿtag den 2. Maÿ A° 1777.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Obern fischmarckt gegen der fischmauer über gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung Zur helffte gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane Häußern. (H.) Nemblichenen due helffte ane dreÿen neben und hinter einander gelegenen häußern davon 2. am Obern Fischmarckt gegen der Fischmauer über gelegen (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Eheherrn in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 524, Sa. Waaren, baarschafft und auf Wechsel breiff ausstehende Schulden 11.191, Sa. Wein und Faß 164, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 19, Sa. Goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 160, Sa. Antheil ane Häußern 6500, Summa summarum 18.560 lb – Darzu gelegt die ihm vermög der Eheberedung paragrapho 5.to gebührende Helffte und denen verehrten Haussteuren 253 lb – Macht also des Eheherrn sambtlich in die Ehe gebrachtes Vermögen dießer Inventation Anschlag nach 18.814 lb
Diesemnach wird nun auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Nahrung und Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 437, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 15, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 582, Sa. baarschafft 259, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 490, Summa summarum 1784 lb – Deme nun beÿzurechnen die Ihro gebührige helffte an den haussteuren 253, Beträgt also der Ehefrauen gesamte in die Ehe gebrachte Nahrungin allem dem billigen Werth nach benantlich 2038 lb
Jean François Walter devient cotisant au Miroir en mars 1778 puis tributaire en octobre de la même année
1778, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 191) Montags, den 23. Martii 1778 – Geldzünftiger
Hr Johannes und Hr Joh: Frantz Walter, des Weil. H. Rathh. Gerhard Walter, gew: leibzünfftigen Glashändlers Zur Stelz alhier, Söhn, welche eben dahier mit Leib dienen, deren jener die handlung bei H. Rathh. Joh: Carl Schubart, dieser aber bei den Hhn. Kuhn und Ruhlmann alhier erlernet hat, ist jeder gegen Erlag 2. lb 13 ß 4. s diesorts Geldzünftig als Glashändler recipirt worden. prom. & (dt. 2 lb 3 13. ß 4 d, 1. 11. 8. Find) (dt. 2 lb3 13. ß 4 d, 1. 11. 8. Find)
(f° 201-v) Montags, den 26. Octobris 1778 – E. Leibzünfftiger dt. 1. lb 10. ß Findl.
Hr Frantz Walter, der Hdlsm. stehet vor und meldet, daß Er sein den 23. Martii 1778. diesorts erkauftes Geldzunftrecht in das Leibzunftrecht verwandeln wolle. Legt Zu dem Ende Stallschein vom 5. hujus vor. Bittet um seiner Erklärung Verzeichnus.
Erkannt Willfahrt, Ist ein Spiegelhändler. promisit obedentiam.
François Walter se remarie à Bruxelles avec Anne Chrétienne Peters, veuve du négociant Jean Overmann, après avoir passé un contrat de mariage à Bruxelles (voir la vente ci-dessous). Le mariage est proclamé à Strasbourg.
Publication de mariage, Strasbourg (n° 89)
Cejourd’hui 5° frimaire l’an huit de la République une et indivisible (…) la promesse de mariage entre François Walter, âgé de 44 ans, homme de lettres, né et domicilié en cette Commune, fils légitime de feu Gerard Walter négociant et de feüe Catherine Salomé Schubart, Veuf de Chrétienne Sophie Salsmann, d’une part, Et Anne Christine Peters, agée de 25 ans, domiciliée à Bruxelles, Chef lieu de canton, Département de la Dyle, native de Brunswick en Allemagne, fille légitime de feu Jean Christophe Peters & de feüe Marie Madeleine Constance Horre, veuve de Jean Overman, négociant à Bruxelles, d’autre part (i 26)
François Walter et sa petit-fille Caroline Overman, issus de sa fille Sophie Walter et de Henri Overman, vendent la maison au négociant Sigismond Frédéric Klose.
1806 (11.4.), Strasbourg 10 (47), Not. Zimmer n° 1968, 2730
François Walter rentier demeurant quay Thomas N° 10 en qualité de propriétaire pour 2/3 de la masse avec feu Christianne Sophie Saltzmann son épouse par l’article 4 du contrat de mariage dressé par M° Jean Daniel Langheinrich le 29 nov. 1776 et au nom de Dlle Caroline Overman sa petite fille demeurant à Bruxelles issue du mariage de Sophie Walter sa fille avec M. Henri Overman Négociant, seule enfant unique héritière de la défunte
à Sigismond Frédéric Klose négociant demeurant quay Thomas N° 10
La maison avec cour bâtiments appartenances & dépendances droit et servitudes actifs et passifs scise à Strasbourg quay Thomas N° 10, d’un côté une Maison dépendante de la fondation de St Thomas en partie celle M Louis Ensfelder d’autre M Saum Pere Negociant devant led. Quay derrière Maison dudit Ensfelder sous laquelle ladite maison vendue a la propriété d’un passage a issue dans la rue de l’Ail – acquis à la Chambre des Contrats le 12 mars 1787
que ledit vendeur conservera de son logement le sallon et le Cabinet y attenant sur la droite au second étage jusqu’à la St Michel prochaine – pour 57.283 francs
est Intervenue Anne Christine Peters veuve Overmann épouse dud. M Walter vendeur, qu’étant séparée quant aux biens de son époux par Contrat de mariage devant Me Coppyn à Bruxelles département de la Dyle le 27 nivose 8 elle n’a aucune prétention a exercer contre ledit immeuble
acp 99 f° 102-v du 12.4
Natif de Lahr, Sigismond Frédéric Klose épouse en 1790 à Lahr Marguerite Salomé Willig, veuve du pasteur de Dinglingen Chrétien Grill. Il en divorce à Strasbourg en 1802.
Divorce, Strasbourg (n° 319) Du 22° jour du mois de Germinal l’an dix de la République française à trois heures de relevée. Acte de divorce de Sigismond Frédéric Klose, agé près de 37 ans, négociant domicilié en cette ville au quai de l’Esprit N° 10, né à Lahr, en Brisgau, le 26 avril 1765, fils légitime de Frédéric Jacques Klose, négociant audit lieu et de Christine Barbe Fischer,
Et de Marguerite Salomé Willig, âgée de 44 ans, née à Lahr le 24 octobre 1757, y domiciliée fille légitime de feu Jean Georges Willig, négociant audit lieu, et de Marguerite Elisabeth Müller, veuve de Chrétien Grill, ministre du culte à Dinglingen, en Brisgau
Les actes préliminaires sont l’acte de non conciliation du 22 Pluviose derner duëment enregistré le même jour, et l’ordonnance en bas de la requête à moi présentée par laquelle j’ai donné acte aux requérants de leurs demandes, et indiqué aujourd’hui heure présente pour pronocer la dissolution de leur mariage. Lesdits Sigismond Frédéric Klose et Marguerite Salomé Willig ont demandé tous deux à haute voix la dissolution de leur mariage contracté à Lahr le 17 janvier 1790. – Enregistré à Strasbourg le 23 Germinal an 10 f. 34 (i 167)
Sigismond Frédéric Klose se remarie quelques mois plus tard avec Caroline Sophie Hecht, fille du pharmacien Louis Henri Hecht.
1802 (5 compl. 10), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 278, 1338
Eheberedung – br Sigmund Friedrich Klose handelsmanns als von Fraun Margaretha Salome Willig von Lahr gebürtiger durch acte so vor dem hießigen offenlichen beamten den 22. germinal X passirt geschiedener Ehemann
Jungfrau Carolina Sophia Hecht des verstorbenen Ludwig Heinrich Hecht, ehemaliger Apothecker mit Fraun Christina Louisa geb. Nicolai tochter
Enregistrement, acp 85 f° 131-v du 5 compl. 10
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 261 431 francs (dont une campagne à la Robertsau), ceux de la femme à 15 838 francs
1804 (5 prairial 12), Strasbourg 10 (17), Not. Zimmer n° 290, 1993
Inventarium illatorum des bürgers Sigismund Friedrich Klose handelsmanns und Fraun Carolinæ Sophiæ geb. Hecht in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, noch verbeÿstandet mit dem br. Ludwig Heinrich Hecht ehemaligen Apothecker ihrem eheleiblichen Vater
in der beder Eheleuthe Wohnung an dem thomas staden N° 10
des Ehemanns in die ehe gebrachten Vermögens, hausrath 5084 lb, wein leere Faß und bütten 350 fr, silber und gold 1647 fr, Pferd Chaise und Geschirr 1322 fr, vieh auf dem Landguth 300 fr, handlung betreffend 252.727 fr
Landguth in Ruprechtsau so der Ehemann in die Ehe gebracht, Nemlich ein Landgut bestehend in herrschaffthauß Meÿerhauß geräumigen hof Remise Stallung gras und Kuchengarten, alles in einem Umfang teils mit dielenwand theils mit lebendigem haag umgeben, so ohngefehr 2 ha 9 ares oder circa 8 und einen halben acker enthält, samt allen deßen begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen in Ruprechtsau an der Wehrgaß N° 225 einseit theils neben dem Allmend theils neben Jacob Müller und Caspar Spahr anderseit neben H Senator Bruneteau Ste Susanne vornen auf bemelte Gaß und hinten auf einen Allemendweeg, aus der Masse Pelay durch eine vor Notario Lex den 1. pluviose 9. jahrs gehaltenen Steigerung an sich gebachtes Eigenthum über ein neben besagtem guth gelegenes und vor die Ehe noch dazu gekauftes guth, unterschriebenn Notario den 26. fructidor 10
Summa summarum 261.431 fr
der Ehegattin in die ehe gebrachtes Gut, hausrath 2700 fr, Gold 3138 fr, Baarschafft 10.000 fr, summa summarum 15.838 fr
Enregistrement, acp 92 f° 13 du 6 prairial 12
Caroline Sophie Hecht meurt en 1832 en délaissant quatre enfants
1832 (12.11.), Strasbourg 10 (86), Louis Frédéric Zimmer n° 1390
Inventaire de la succession de Caroline Sophie Hecht femme de Sigismond Frédéric Klose, négociant, décédée le 8 septembre 1832 – à la requête 1. du veuf, comme étant commun en biens suivant contrat de mariage reçu M° Zimmer le 28 septembre 1802, et inventaire dressé le 25 mai 1804 (5 prairial 12), et comme père et tuteur légal d’Alexandre Théodore, 2. Sigismond Frédéric Edmond Klose, majeur négociant, 3. Sophie Antoinette Eugénie Klose femme d’André Panon baron du Hazier, chef d’escadron retiré, officier de la Légion d’Honneur, 4. Caroline Louise Camille Klose femme d’Eugène Cailliot, docteur en médecine, héritiers pour un quart de la défunte -en présence de Louis Hecht, professeru à l’école de pharmacie établie à Strasbourg, subrogé tuteur
dans une maison quai St Thomas n° 10
meubles 35.097 fr dans la maison quai St Thomas n° 10, Au premier dans la salle à manger, dans le salon, dans la petit pièce à côté, dans le salon vert, dans la chambre à coucher de M. Klose, dans la chambre de domestique de M. Klose père, dans la chambre du commis M. Lembenauer, dans le corridor, dans l’antichambre du salon donnant dans la cour, dans l’antichambre de la salle à manger, dans le corridor de la cuisine, dans la cuisine, dans la chambre de servante, au garde manger. – Au second étage ci devant chambre de domestique, dans l’appartement de la femme de chambre, dans l’alcove de M. Alexandre Klose, dans la chambre de M. Alexandre Klose, dans la salle d’armes, chambre à coucher à côté de la salle d’armes, au salon, dans la chambre de M. Edmond Klose, chambre d’étrangers, aux mansardes, dans une antichambre, dans la chambre de domestique de M Edmond Klose, dans le corridor, au grenier dans une mansarde, dans une autre mansarde, chambre du cocher, dans la cour – Au rez de chaussée, comptoir dans le cabinet de M Klose à côté du comptoir, à l’écurie dans la remise, dans les magasins, dans la buanderie, dans la cave
Dans la campagne à la Robertsau rue dite Wehrgass n° 225, chez le jardinier. Maison de maitre, au rez de chaussée, Au premier étage, dans le corridor, appartement de M. Klose père à côté dans les deux pièces à gauche en montant. Aux mansardes, chambre de domestique, appartement de la femme de chambre, chambre de la cuisinière, appartement de M. Alexandre Klose, dans la pièce à côté, dans la cave
II. dans la campagne à la Robertsau rue dite Spitzengass n° 52 chez le fermier, maison de maître, au belveder
avec bijoux 50.367 fr, foin 40 fr, fonds de commerce 814.765 fr, créaces, total général de la masse mobilière 1.293.003 fr
immeubles. Une maison sise à Strasbourg quai St Thomas n° 10, une maison située à Strasbourg quai St Thomas n° 10, d’un côté un jardin dépendant de la Fondation St Thomas et à une maison appartenant à ladite fondation et en partie maison ci devant Ensfelder aujourd’hui Vaccari maire de Dorlisheim, de l’autre la maison de la veuve De Billy née Saum, derrière la maison appartenant à M Vaccari. De la propriété de cet immeuble dépend une servitude active consistant dans le droit de passage avec issue par la maison ci devant Ensfelder, (cette maison a été) acquise de François Walter, Dlle Caroline Overmann petite fille de ce dernier, suivant vente reçue M° Zimmer le 11 avril 1806. Ledit Walter l’avait acquise à la Chambre des Contrats le 12 mars 1787. La maison entièrement occupée par M Klose et ses deux fils est évaluée à 30.000 fr
un magasin situé à Strasbourg quai St Nicolas dans la ruelle du Bouc n° 5, un magasin avec puits, droits, appartenances et dépendances quai St Nicolas dans la ruelle du Bouc n° 5 (…)
terres et jardin à la Robertsau. 1. ha 20 ares ou environ un arpent de terre à la Robertsau canton dit Raumer (…)
2. 40 ares ou environ 2 arpents de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
3. 20 ares ou un arpent de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
4. 20 ares ou environ 1 arpent de terre de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
5. 20 ares ou environ 1 arpent de terre de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
6. 40 ares ou 2 arpants arpent de terre de terre à la Robertsau canton dit im Raumert (…)
7. 20 ares ou un arpent de terre de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
8. 20 ares ou 1 arpent de terre de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
9. 20 ares ou un arpent de terre de terreà la Robertsau canton dit Raumert (…)
10. 20 ares ou 1 arpent de terre de terre à la Robertsau canton dit Raumert ou Weillelen (…)
11. un jardin planté de vignes et d’arbres fruitiers de la contenance d’environ 20 ares canton dit im Raumert (…)
campagne située à la Robertsau rue dite Pizzengass n° 52. Uune maison de maitre avec cour, puits et jardin le tout de la contenance d’environ 20 ares enclavé en partie par une clôture en planche et en partie par une haie (…)
biens à Wingersheim, Dahlenheim, Drusenheim, forêt à Herlisheim, Weyersheim, Obernai et Bernhardswiller, total général de la communauté 1.509.971 fr
Propres, garde robe 1663 fr, remploi 15.838 fr, héritage de Louis Henri Hecht et Christine Louise Nicolay père et mère de la D° Klose, totalité des propes 64.109 fr
Désignation de la masse propre de M Klose, reprise des immeubles propres, 1. une maison de campagne composée de maison de maitre et de fermier, remise, écurie, jardin verger et potager avec une vaste cour, le tout de la contenance d’environ 140 ares ou 7 arpents située à la Robertsau rue dite Wehrgass n° 225 (…)
2. environ 32 ares ou un arpent ¾ de terre à la Robertsau canton dit Raumert (…)
totalité des remplois 272.360 fr, récompense due à la communauté 284.410 fr, passif communauté 62.442 fr
acp 213 (3 Q 29 928) f° 169 du 21.11.
Sigismond Frédéric Klose conclut avec son fils Sigismond Frédéric Edmond Klose un contrat de société pour régulariser leur situation et éviter que les bénéfices sociaux ne soient considérés comme une libéralité déguisée
1833 (27.12.), Strasbourg 6 (57, nouv. cote 59), Emile Triponé n° 2999
Du 27 décembre 1833. Acte de société – ont comparu Monsieur Sigismond-Frédéric Klose, père, négociant demeurant à Strasbourg, patenté pour 1833 première classe, deuxième cathégorie, à la date d’aujourd’hui
Et Monsieur Sigismond-Frédéric-Edmond Klose, fils, négociant, demeurant également à Strasbourg, pourvu d’une patente pour 1833, en date du 5 août dernier de la deuxième cathégorie, première classe, sous le N° 2179.
Lesquels ont dit et arrêté ce qui suit.
Le premier février 1828, M. Sigismond-Frédéric Klose, père, seul chef jusqu’alors de la maison de commerce établie sous son nom à Strasbourg, voulant récompenser le zèle et l’asisuité die M. Sigismond-Frédéric-Edmond Klose son fils aîné, avoit mis à le seconder dans ses affaires, lui accorda un intérêt d’un quart dans son commerce et lui confia la signature.
Cette mesure, usuelle de la part des négocians qui ont à coeur le maintien d’un établissement honorablement fâmé, fut dès lors communiqué à tous les parens et amis des deux compraans et acquit une véritable notoriété par l’annonce qui en fut faite à tous les correspondans de Strasbourg et du dehors.
Néanmoins elle ne reçut une exécution réelle qu’à partir du premier Mai 1828. Le premier Mai 1831, l’intérêt de M. Klose fils fut porté à un tiers et un an après à moitié. Jusque là, aucune convention écrite n’était intervenuë entre les associés, ils s’étaient contentés de constater la part afférente de chacun &d’eux aux bénéfice et pertes annuels d’une manière que le visa du Président du Tribunal de Commerce met à l’abri de tout soupçon d’antidate. Ce n’est que le 14 novembre 1832 qu’ils signèrent un acte de société, enregistré à Strasbourg le même jour f° 3 (…) mais cet acte ne fut point suivi des formalités prescrites par les art. 42, 43 et 44 du Code de Commerce et par le Décret du 12 février 1814. Forts de leur loyauté, de la réalité de leur association et de sa notoriété, ils croyaient avoir ainsi régularisé leur position, ils ignoraient les formalités qu’on vient de rappeler, à plus forte raison ils n’avaient aucune idée de l’art. 854 du Code civil qui exige l’authenticité de l’acte de société avec un successible pour que les bénéfices sociaux de ce dernier ne soient point réputés une libéralité déguisée. Avertis enfin de l’importance des formes, ils voulurent savoir où ils en étaient pour la passé. On leur dit que la prescription sévère de la loi commune pourrait, d’après l’art. 1873 du Code civil, être balancée dans une société toute commerciale par les nombreux et irrécusables documents qui prouvent que M. Klose fils n’a point été admis à des profits déjà échus et certains, qu’il n’a participé qu’à des bénéfices postérieurs à l’association dont la date est constatée par l’avis donné aux correspondants et par la notoriété publique et qu’enfin il a connu pleinement la chance des pertes comme cemme des bénéfices. (…)
Dans ce conflit d’opinions opposées et à défaut de jurisprudence fixée, M. Klose père voulant étouffer tous germes de procès entre ses héritiers, déclare solennellement qu’il n’y a point eû libéralité de sa part dans la concession d’un intérêt commercial à son fils comparant, que la société a été réelle avec toutes des chanches de pertes et de gains dès le premier Mai 1828 (…) Après avoir ainsi pourvû au passé par une disposition évnetuelle que M Klose fils accepte avec reconnaissance, tout en conservant l’espoir de n’être jamais forcé d’y avoir recours, les comparants vont assurer l’avenir par le contrat authentique dont les clauses et conditions suivent.
Art. 1. La société existant entre M. Sigismond-Frédéric Klose père et M. Sigismond-Frédéric-Edmons Klose fils est prolongée à partir du premier janvier 1834 pour un tems indéfini. (…)
Lors de la liquidation, le veuf recueille tous les immeubles.
1834 (30.4.), Strasbourg 10 (88), Louis Frédéric Zimmer n° 1755
Liquidation et Partage – 1. Sigsimond Frédéric Klose père, négociant, veuf de Caroline Sophie Hecht décédée le 8 septembre 1832, maraîcher tant en son nom que pour et au nom d’Alexandre Théodore Klose, négociant à Marseille, 2. Sigismond Frédéric Edmond Klose, négociant, 2. Caroline Louise Camille Klose et d’Eugène Caillot, docteur en médecine son épouse à Strasbourg, 3. André Panon baron Duhazier chef d’escadron retiré, officier de la légion d’Honneur, père et tuteur légal d’André Frédéric et Sophie Esther, ses enfants procréés avec feu Sophie Antoinette Eugénie Klose, suivant inventaire reçu M° Rencker le 29 avril 1833 et contrat de mariage reçu M° Zimmer le 22 septembre 1802 (5 complémentaire 10), Mme Klose est décédée le 8 septembre 1832, inventaire de sa succession de a été dressé par M° Zimmer le 12 novembre même année
Expertise des immeubles, Les parties majeures ayant voulu partager en nature par voie du sort les immeuble contre les mineurs Duhazier (suivant) jugement rendu par le Tribunal Civil le 16 décembre 1833 et rapport d’experts dressé le 16 janvier 1834 entériné par jugement rendu le 27 janvier 1834
à M. Klose tous les immeubles
actif, immeubles. 1. une maison à Strasbourg quai St Thomas n° 10, estimée 52.000 fr
2. la maison contenant le magasin sise ruelle du Bouc n° 5, estimée 18.000 fr
la Robertsau, 1. 2 ha 60 ares ou 13 arpents en nature de jardin potager et verger inscrits sous la section R16 22 à 29 inclusivement et 33 aujourd’hui réunis à la campagne situés à la Robertsau rue dite Wehrgass n° 225, propres à M. Klose, 7800 fr
2. la maison de campagne avec appartenances et dépendances située à la Robertsau rue dite Pizzengass n° 52 et les terres labourables et autres appartenances qui y sont contiguës, le tout de la contenance de 9 ha 77 ares 50 ca ou 48 arpents 5/6 de terres labourables, prairies, 32.275 fr
immeubles à Wingersheim, Dahlenheim, Drusenheim, Herlisheim, Weyersheim, Obernai
actif de la communauté 1.603.576 fr, passif 62.445 fr
(Annexe) Rapport d’experts du 16 janvier 1834, Philippe Jacques Hennenberg, architecte, Charles Auguste Kern et Jean Philippe Lauth, propriétaire
1. une maison située à Strasbourg au quai St Thomas n° 10, d’un côté en partie un jardin appartenant à la fondation St Thomas et à une maison dépendances de cette même Fondation et en partie maison de M. Vaccari maire de Dorlisheim, de l’autre la maison de Mde veuve Debilly derrière la maison de M Vaccari. Cette maison jouissant de la servitude active de passage avec issue dans la rue de l’Ail par la maison Vaccari. Elle est composée d’une maison principale avec porte cochère, logement de portier avec cuisine, comptoir, cabinet et trois autres pièces au rez de chaussée, deux salles, quatre autres pièces, deux passages, un cabinet au premier même distribution à peu près au second au dessus comble avec mansardes et enfin les greniers, cette maison principale n’ayant point de cave
Dans la cour se trouvent cinq autres bâtiments servant de dépendances dans la maison principale ils renferment les cuisines, buanderie, lieux d’aisances, écurie, remise, grenier à foin et un magasin sur une cave voutée, il est à observer toutefois que les voutes de cette cave sont extrêmement lézardées
La cour renferme un puits avec pompe et auge. Toutes les couvertures sont en tuiles doubles, matrice section DD 403 évalué à 52.000 francs
2. une autre maison ruelle du Bouc n° 5 (…)
3. 2 ha 60 ares 13 ca nature de jardin potager et verger section E 16 22 à 29 et 33, ont été réunis à la campagne située à la Robertsau rue dite Wehrgass n° 225, ne sont point sujets à inondations et le terrain en bonne qualité, estimé 7800 fr
4. la Robertsau, une maison de maitre avec ferme, basse cour, jardin, etrres labourables et prairies dépendances rue dire Fitzzengass n° 52 de la contenance totale de 9 ha 70 ares 50 ca, cette propriété est composée des immeuble suivants (…)
4. 2 ares 40 ca ou 12 arpents E 20 51 et 52.A au même canton dit Hinterort en nature de jardin et terre labaorables (avec autres terres) 32.275 fr
acp 224 (3 Q 29 939) f° 178 du 6.5. – Masse active de la communauté. 1° Meubles meublans et effets détaillés dans l’inventaire passé devant le notaire (vacation du des 12, 13, 14 et 16 novembre 1832) 35.097, 2° diamants prisés lors de la vacation du 2 mars 1833, 15.270, 3° foin se trouvant au jour du décès dans une grange à Wingersheim et contenat la quantité de 10.000 myriagrammes, 4000, 4° partie du fonds de commerce qui appartenait à ladite communauté déduction faite de la partie apportée en mariage par le veuf 814.765, 5° créances actives en cinq articles 27.200, 6° actions dans l’établissement industriel Haussmann frères et Cie à Colmar 15.000, 7° actions dans la filature de tissages mécaniques du Bas Rhin à Huttenheim 140.000, 8° actions dans la filature de Poutay 50.000, 9° emprunts de la filature de Poutay 3000, 10° obligations de Dollfus Mieg & Cie à Mulhouse 24.000, 11. 600 piastres de rente sur l’Espagne 6639, 12° emprunt mexicain 64.567, 13° emprunts colombiens 8552, 14° créances pour prix de vente d’immeubles à Obernai 12.296, 16° fruits, canons et fermages 2506, 17° créances pour la vente de coupes de bois dans la forêt Mühlwald banlieue de Herrlisheim 1486, 18° récompense due par M. Klose père à la communauté 12.049, Total généralement 1.306.540 francs
Immeubles dont l’évaluation a été faite par procès verbal d’experts du 16 janvier 1837 enregistré au bureau des actes judiciaires le lendemain. 18° maison à Strasbourg quai St Thomas 52.000, 19° maison en ladite ville rue du Bouc 18.000, 20° Robertsau terres et campagne, propre à M. Klose père 7800, 21°et 22° maison de campagne rue Pizengass N° 52, 32.275, 22° 4 ha de terres 9975, 23° Ban de Wingersheim 7500, 24° Ban de Dahlenheim 7800, 25° Ban de Drusenheim 22.446, 25° Ban de Herlisheim 17.000, forêt 20.000, autre forêt appelée Oberriedwald 15.000 28° ban de Weyersheim terres et prés 78.140, 2° grange à Weyersheim 5000, Ban d’Obernai 4100, total de l’estimation des immeubles 297.036
Total général de l’actif 1.603.576, Passif 62.445
Succession de ma défunte, reprises 62.445, garde robe 11.663, part dans le bénéfice de la communauté 512.710, total général 677.819, moitié est grevée d’usufruit en faveur du veuf, l’autre moitié forme le portion disponible revenant aux héritiers 288.909
Attributions (…)
Sigismond Frédéric Klose passe un accord avec la fondation Saint-Thomas, représentée par son receveur. Il est autorisé à ouvrir des jours au deuxième étage qu’il construit au-dessus de l’aile gauche.
1834 (15.11.), Strasbourg 10 (89), Louis Frédéric Zimmer n° 1874
Déclaration – Jean Frédéric Wieger, receveur de la Fondation St Thomas, en qualité de fondé de pouvoir, par délibération du 8 septembre 1834
et Sigismond Frédéric Klose, négociant en qualité de propriétaire de maison sise en cette ville quai St Thomas n° 10.
Ladite maison donnant par son pignon et son aile gauche qui y fait suite sur le jardin d’une maison dépendant de ladite Fabrique et habitée par ledit M. Wieger son receveur. Ainsi que lesdits pignon et aile gauche sont figurés sur un croquis.
M. Klose a préalablement exposé qu’étant inentionné de faire élever sur ladite aile gauche de sa maison un second étage et ne pouvant donner aux appartements de cet étage la vue et jour nécessaires qu’en agrandissant les ouvertures qui se trouvaient dans le mur de cette aile du bâtiment joignant immédiatement le jardin appartenant à la Fondation de St Thomas, il s’est adressé dans le courant du mois d’août dernier à l’Administration de St Thomas pour obtenir d’elle à titre précaire la concession nécessaire à cet effet, ainsi que le tout est plus amplement énoncé dans ladite délibération dont une expédition se trouve jointe au présent acte
Extrait du registre des délibérations de St Thomas du 8 septembre 1834. Vu la pétition de M Klose père présentée en son nom par M. Alexandre Klose, négociant demeurant à quai St Thomas n° 10, qu’étant intentionné de faire élever un second étage sur l’aile gauche du bâtiment attenant au jardin de la maison de la Fondation de St Thomas occupée par le Sr Wieger receveur de ladite Fondation entre ledit jardin bâtiment dans le mur duquel il se trouve déjà trois croisées marquées en noir AAA au croquis que M. Klose désirerait agrandir d’après l’indication en couleur rouge BBB pareilles à celles du premier étage, qu’en conséquence il demande à l’Adminstration de la Fondation de St Thomas de lui accorder la concession qu’il demande à titre précaire afin de pouvoir dans le plus bref délai procéder à la construction dont il est question, s’engageant d’ailleurs à supprimer les mêmes croisées à la première réquisition de la part de ladite Fondation [suivent les articles qui accordent l’autorisation]
acp 228 (3 Q 29 941) f° 125 du 17.11.
Nouvel acte de société
1842 (28.9.), Joseph Charles Théodore Striffler
Acte de société, commerce et exploitation d’une raffinerie et sucrerie établie à Offenbourg sous le nom de Sigismond Frédéric Klose
acp 302 (3 Q 30 017) f° 77-v du 29.9.
Testament olographe
1842 (24.11.), Louis Frédéric Zimmer
Dépôt du testament olographe de Sigismond Frédéric Klose, décédé négociant à Strasbourg en date du 10 août 1842 enregistré le 23 décembre suivant f° 52 N° 69 ainsi que l’ordonnance du président du tribunal du 23 de ce mois qui a constitué M° Zimmer dépositaire
acp 305 (3 Q 30 020) f° 62-v du 30.12.
Sigismond Frédéric Klose meurt en décembre 1842 en délaissant six enfants de ses deux mariages
1842 (23.12.), Strasbourg 1 (91), Marie Guillaume François Rencker n° 16.753
Inventaire dressé après le décès de Sigismond Frédéric Klose
L’an 1842 le 23 décembre à onze heures du matin, à la requête et en présence 1. de Monsieur Sigismond Frédéric Edmond Klose, négociant, 2. de Mr Théodore Alexandre Klose, aussi négociant, 3. de Mr le Baron André Panon du Hozier, ancien chef d’Escadron, officier de la légion d’honneur, agissant en qualité de tuteur légal d’André Frédéric & de Sophie Esther Panon du Hozier, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec feu Dame Sophie Eugénie Antoinette Klose & desquels mon dit Sieur Sigismond Frédéric Edmond Klose est subrogé tuteur, 4. de Mr Eugène Prosper Guibert, propriétaire, agissant au nom et comme poursuivant les droits de Dame Amélie Klose, son épouse, 5° Mr Eugène Cailliot, Docteur en médecine, agissant au nom et comme poursuivant les droits de Dame Louise Caroline Camille Klose, son épouse, 6. et Mr Georges Frédéric Alfred Schnéegans, substitut du Procureur du Roi près le tribunal de première instance de Wissembourg, venant par représentation de Dame Wilhelmine Klose sa mère, en son vivant Epouse de feu Mr Georges Henri Guillaume Schnéegans, négociant, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg.
Mr Sigismond Frédéric Edmond Klose, Mr Théodore Alexandre Klose, les enfants Duhazier par représentation de leur mère, Madame Cailliot, Madalme Guibert & Mr Schnéegans, agissant en qualité de seuls et uniques héritiers Chacun pour un 6° de feu Mr Sigismond Frédéric Klose en son vivant négociant domicilié à Strasbourg, leur pere & ayeul respectif, décédé en cette ville le 6 décembre Courant
Meubles à la Robertsau. Ancienne maison Ste Suzanne (…)
Immeubles dépendant de la Communauté qui a existé entre le défunt & D° Caroline Sophie Hecht son épouse défunte
I. Maison à Strasbourg. Une Maison sise à Strasbourg quai St Thomas N° 10, tenant d’un côté en partie à un jardin dépendant de la fondation St Thomas & à une maison appartenant à ladite fondation & en partie à la maison cidevant Ensfelder aujourd’hui le Sr Vaccari, maire à Dorlisheim, de l’autre à la maison de Mad. veuve Debilly née Saum, par derrière sur l’immeuble appartenant à M. Vaccari. De la propriété de cet Immeuble dépend une servitude active consistant dans le droit de passage avec une issue dans la rue de l’ail par la maison cidevant Ensfelder. Cette maison a été acquise par le défunt de Mr François Walter, rentier demeurant à Strasbourg & de D.lle Caroline Overmann petite fille de ce dernier, de laquelle il s’est porté fort, suivant contrat de vente passé devant M° Georges Frédéric Zimmer pere, Notaire en ladite ville le le 11 avril 1806, Enregistré. Mad.elle Overmann a ratifié ledit contrat par acte passé devant le même Notaire le 14 octobre 1834 (…). Mr Walter avait acquis la Maison dont s’agit suivant acte passé à la ci devant chambre des contrats de Strasbourg le 12 mars 1787
acp 305 (3 Q 30 020) f° 55 – Il dépend de la succession un mobilier estilé à 21.637 francs
acp 305 (3 Q 30 020) f° 72-v (vacation du 27 et 28 décembre) – Il dépend de la succession des fermages arriérés 12.234, argent comptant 1142, fonds étrangers 298.518, valeur des marchandises depuis l’étranger 208, valeur nominale des actions appartenant au défunt 206.000, créances montant à 12.576, foin et bétail à Wingersheim 7738
acp 306 (3 Q 30 021) f° 11-v (vacation du ) I. Une maison à Strasbourg quai St Thomas N° 10
II. 4 ha 4 ares 20 terre et pré ban d’Obernai et Bernhardswiller en 32 pièces
III. 4 ha 18 ares 97 ca terres et pré ban de Wingersheim en 16 parcelles
IV. 20 ares de terre ban de Hohatzenheim
V. 75 ha 37 ares 62 ca de prés ban de Weyersheim plus ine grange, estimés 89.530
Immeubles de l& communauté. VI. moitié de 50 ha 38 ates de forêt canton Mühlwald ban de Herrlisheim
VII. moitié de 6 ha 75 ca de terre, moitié de 6 ga 83 ares 32 ca, moitié indivise du terrain formeant la cour et la moitié indivise des granges, écurie et étables lieu dit Junggrund ban de Drusenheim, estimé à 17.446 francs
VIII. 4 ha 20 ares de terres et jardins ban de la Robertsau canton dit Raumer en 11 pièces
VIII. Une maison de maître à la Robertsau rue Pizzengass et 12 ha 62 ares 50 ca de terres et prés à la Robertsau
X. 2 ha 5 ares 68 ca terres et prés en 11 parcelles et une maison avec dépendances à Wingersheim
XI. 5 ha 20 ares 4 ca terre en 4 pièces ban de Mussig (Sélestat)
XII. 6 ha 30 ares 70 ca prés ban de Strasbourg
XIII. Un bien de campagne plus un ha 80 ares terres canton Raumert
XIV. 12 ha de terre ban de Duttlenheim canton die Haardt
Immeubles propres. Une maison de campagne à la Robertsau rue Wehrgass N° 225 et 32 ares de terres même ban canton Raumer
Rapports à faire par les héritiers 939.333 francs
Biens de la seconde Communauté. Une somme de 39.000 pour différentes ventes d’immeubles
Commandite de la maison Sigismond Frédéric Klose
acp 306 (3 Q 30 021) f° 84-v – 30 ares de terres ban de la Robertsau im Raumert et pour au défunt
Passif de la succession, 14 901, plus restant de compte courant à la maison de commerce les fils de S.F. Klose 5971
Description des baux des immeubles loués
Les héritiers passent un accord entre eux pour éviter toute constestation qui pourrait s’élever après un partage trop inégal. Les deux fils conservent les apports que leur père a faits dans la nouvelle société mais renoncent à la donation que leur père leur a faite des immeubles à Strasbourg, notamment de la maison quai Saint-Thomas et les meubles et les statues qui s’y trouvent.
1843 (2.1.), Marie Guillaume François Rencker
Transaction – entre 1° Mr Sigismond Frédéric Edmond Klose, négociant, 2° Mr Théodore Alexandre Klose, négociant, 3° Mr le baron André Panon Duhazier, ancien chef d’Escadron officier de la Légion d’Honneur, agissant au nom et comme se portant fort d’André Frédéric et de Sophie Esther Panon Duhozier, ses deux enfants mineurs procréés de son mariage avec feu Dame Sophie Eugénie Antoinette Klose son épouse (…), 4° D° Amélie Klose, épouse assistée et autorisée de Mr Eugène Prosper Guibert, propriétaire, 5) D° Louise Caroline Camille Klose, épouse de Mr Eugène Cailliot, docteur en médecine, demeurant et domiciliés à Strasbourg, 6° et Mr Georges Frédéric Alfred Schnéegans, substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance séant à Wissembourg, demeurant en ladite ville mais domicilié à Strasbourg, ce dernier représentant feu D° Wilhelmine Klose sa mère, en son vivant épouse de Georges Henri Guillaume Schnéegans, Négociant à Strasbourg
Lesquels ont déclaré que l’inventaire qui a été dressé de la succession de Mr Sigismond Frédéric Klose leur père et aïeul respectif par M° Rencker et Zimmer, notaires soussignés le 23 décembre dernier et jours suivans ainsi que les propres trouvés dans la succession leur ont fait connaître les forces et charges de cette succession et leur situation réciproque,
que par acte passé entre Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose d’une part et feu Me Klose d’autre part devant M° Striffler Notaire à Strasbourg et son collègue le 28 septembre dernier, il a été créé une société sous la raison des fils de Sigismond Frédéric Klose entre Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose. Cette société a pour objet la liquidation de la Maison Sigismond Frédéric Klose qui a été dissoute et la continuation des affaires de cette maison qui consiste dans un commerce de marchandises à Strasbourg et dans l’exploitation d’une sucrerie et raffinerie de sucre de betteraves établie à Strasbourg.
Mr Klose père s’est engagé à fournir à la nouvelle société un fonds de commandite de 750.000 francs. M.M. Klose fils ont mis en société en toute propriété l’avoir de chacun d’eux dans les immeubles, le matériel les ustensiles, le mobilier, les créances, deniers comptants, matières premières, marchandises fabriquées ou en fabrication composant l’actif de la maison Sigismond Frédéric Klose dissoute par l’article premier du nouvel acte de société, sans rien excepter ni réserver de ce qui appartient à cette maison.
Cette maison en société a été faite et acceptée à charge par la nouvelle société de supporter tout le passif de la maison dissoute. Il a été stipulé que la nouvelle société se trouverait ainsi activement et passivement aux lieu et place de l’ancienne, il y auroit lieu à la rigueur de régler la situation de cette dernière au jour du contrat pour pouvoir créditer Mr Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose sur les registres de la nouvelle société de la part nette de chacun d’eux. Mais que la nouvelle société étant contractée au milieu de l’un des exercices de l’ancienne maison Sigismond Frédéric Klose qui feroit ses inventaires au 30 avril de chaque année, il faudrait interrompre la fabrication à son moment le plus actif si l’on voulait dresser un nouvel inventaire, que, prenant cette circonstance en considération et connaissant parfairement la situation au 30 avril dernier et ce qui s’étoit fait depuis, Mr Klose père a consenti à ce que cette situation au 30 avril dernier soit prise pour base de l’apport de MM. Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose dans la nouvelle société, à condition que cette dernière profitera des bénéfices de l’ancienne société ou en supportera les pertes depuis ledit jour 30 avril dernier, en conséquence il a été convenu que M.M. Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose seront crédités chacun en fonds capital des sommes dans lesquelles se résume à leur profit la situation au 30 avril dernier, qu’à cet effet un état de la dite situation, visé par le commanditaire, sera conservé avec les livres de la société et servira de point de départ à ses écritures, qu’enfin la société nouvelle bien que ne commençant que le 28 septembre 1842 est mise et subrogée activement et passivement dans les résultats des opérations de l’ancienne depuis me 30 avril dernier et ce à forfait et sans indemnité de part et d’autre, soit qu’il y ait bénéfice soit qu’il y ait perte.
Les 750.000 francs formant la commandite de Mr Klose père a été fournie par lui au moyen de pareille somme qu’il avoit versée en compte courant dans l’ancienne maison Sigismond Frédéric Klose qui en était débitrice. Depuis le décès de Mr Klose père, les comparans ont fait dresser un inventaire estimatif *ant des valeurs actives de la maison de commerce des fils de Sigismond Frédéric Klose, lequel a été à l’instant signé par les comparans pour demeurer annexé et sera enregistré en même temps que les présentes. Il résulte de cet inventaire que le fonds de la commandite de Mr Klose père est entièrement épuisé, de manière qu’en admettant l’acte tel que ce dernier l’a accepté et signé il n’y aurait plus aucun recours à exercer pour récuperer soit la totalité soit partie seulement de cette commandite.
D’un autre côté Mr Klose pere a par son testament olographe en date du 10 août 1842 enregistré à Strasbourg le 23 décembre 1842 (…) légué 1° à ses deux fils M.M. Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose avec dispense de rapport en nature sa maison quai St Thomas N° 10 à Strasbourg avec les meubles meublans et statues qui s’y trouvent, à charge de tenir compte à sa succession d’une somme de 50.000 francs pour le tout,
2° aux enfants de Mr Théodore Alexandre Klose avec réserve de jouissance du legs au profit de ce dernier jusqu’à la majorité de ses dits enfants sa campagne sise à la Robertsau rue dite Wehrgass avec toutes les dépendances, la ferme au lieu Bitzengass plus tous ses chevaux, bestiaux et le bétail, les instruments aratoires et tous autres accessoires, de même que tous les biens fonds qui en font partie, les biens fonds au canton dit Doernel en un mot tous les immeubles qu’il possède à la Robertsau à l’exception de la campagne ci devant Ste Suzanne et ses dépendances, plus deux de des actions de la filature de Hüttenheim,
3° à Mr Sigismond Frédéric Edmond Klose la campagne Ste Suzanne telle que le défunt l’a acquise à charge par le légataire de tenir compte pour tout rapport à la succession d’une somme de 30.000 francs.
Dans cet état des choses, les parties, connaissant les intentions que le défunt avait souvent manifestées d’égaliser autant que possible ses enfants du premier lit avec ceux du second lit, pour ne pas laisser subsister entre ses six enfants une trop grande disproportion de fortune, en considérant d’ailleurs que la commandite telle qu’elle a été établie pourrait donner lieu à des constestations qui entraveraient et retarderaient la liquidation des affaires de la succession et attendu qu’il importe aux parties de sortir de l’indivision le plus tôt possible, il a été arrêté la transaction suivante.
1° Mr Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose renoncent purement et simplement au profit de la succession aux legs de la maison quai St Thomas N° 10 à Strasbourg, des meubles et statues qui s’y trouvent. De plus Mr Edmond Klose renonce de même au legs de la campagne cidevant St Suzanne.
2° Mr Théodore Alexandre Klose agissant tant en son nom que comme se portant fort de ses enfants nommés Alfred, Mathilde et Camille Klose, renonce en faveur des enfants de Mr Duhazier à la valeur du sixième du legs qui a été fait à ses enfants, ce sixième évalué à 20.000 francs, en conséquence pour indemniser les enfants Du Hazier de cette somme il délègue Mr Duhazoer ou ses enfants à recevoir pareille somme de 20.000 francs par priorité sur ses valeurs ou sommes qui lui seroient personnellement assignées dans la succession de Mr Klose père lors du partage et de la liquidation qui vont être faits.
Les parties admettent à l’égard de M.M. Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose l’acte du commandite tel qu’il a été passé avec le défunt et M.M. Klose fils, ayant seuls profité des sommes que leur leur père a versées pour le fonds de la commandite ils s’engagent a payer à Mde Guibert et à Mr Schneegans une indemnité qui est réglée ainsi qu’il suit.
M.M. Sigismond Frédéric Edmond Klose et Théodore Alexandre Klose délèguent à Mr Guibert et Mr Schneegans chacun la somme de 68.000 francs à prendre par priorité et à rang égal avec les enfants du Hazier sur les sommes et valeurs qui leur reviendront lors de la liquidation de la succession de Mr Klose père, tant comme héritiers partiaires de ce dernier qu’en qualité de créanciers de cette succession pour héritage maternel. Mde Guibert et Mr Schneegans partageront par moitié entre eux le produit de ces deux délégations. La somme de ces deux délégations est fixée à 136.000 francs dans l’hypothèse où ces droits successifs et droits de reprise d’élèveront à uen somme totale de 228.000 francs, en telle sorte qu’il toucheraient 160.000 francs chacun et que le surplus de 68.000 francs servira à remplir la délégation faite par chacun d’eux. S’il arrivoit que la liquidation produisît une somme supérieure à 228.000 francs pour chacun (…) Si au contraire la liquidation ne produisait pas 228.000 francs (…)
acp 305 (3 Q 30 020) f° 93-v du 11.1.
Cahier des charges dressé pour vendre les immeubles, dont la maison quai Saint-Thomas
1843 (15.4.), Strasbourg 1 (91), Marie Guillaume François Rencker n° 16.958
15 avril 1843. Cahier des charges – ont comparu 1° Monsieur Sigismond Frédéric Edmond Klose, Négociant, 2° Monsieur Théodore Alexandre Klose, aussi négociant, 3° Dame Amélie Klose, Epouse assistée & autorisée de Monsieur Eugène Prosper Guibert, propriétaire, 4° Dame Louise Caroline Camille Klose, Epouse assistée & autorisée de Mons. Eugène Cailliot, Docteur en Médecine, 5° Mons. Georges Frédéric Alfred Schnéegans, Substitut du Procureur du Roi près le tribunal de première instance de Wissembourg, représentant feu sa mère Dame Wilhelmine Klose, en son vivant épouse de Monsieur Georges Henri Guillaume Schnéegans, négociant, 6° Et Mons. le Baron André Panon du Hozier, ancien Chef d’escadron, officier de la Légion d’honneur, agissant en qualité de tuteur légal d’André Frédéric & de Sophie Esther Panon du Hozier, ses deux enfants mineurs procréés de son mariage avec feu Dame Sophie Eugénie Antoinette Klose et desquels mondit sieur Sigismond Frédéric Edmond Klose est le subrogé tuteur, tous les Comparans domiciliés à Strasbourg. Lesquels ont exposé ce qui suit.
Suivant jugement rendu contradictoirement entre les parties par le tribunal civil de première instance de Strasbourg le 26 octobre dernier, il a été ordonné que par Messieurs Lauer, architecte, Serres, ancien inspecteur des forets les deux demeurant à Strasbourg & Ulrich, meunier à Geudertheim experts à ce nommés d’office, les Immeubles dépendant de la communauté qui a existé entre entre feu Monsieur Sigsimond Frédéric Klose en son vivant négociant à Strasbourg & Dame Caroline Hecht, son épouse en secondes noces & de la succession dudit sieur Klose père, indivis entre les parties, seraienr visités à l’effet de reconnaître s’ils sont commodément partageables entre les intéressés suivant leurs droits, (lesdits experts) dressèrent le rapport le 28 mars dernier (…). Suivant autre Jugement contradictoire en date du 3 avril 1843 le tribunal a entériné ledit procès verbal d’expertise & a ordonné que par devant M° Rencer & Zimmer, notaires soussignés à ce commis, il serait procédé à la vente par forme de licitation des Immeubles désignés au procès verbal d’expertise – Charges, clauses et conditions (…)
Désignation des Biens à vendre. Immeubles dépendant de la seconde Communauté appartenant pour deux tiers aux six héritiers de Mr Klose père et pour un tiers aux quatre héritiers de Mad° Klose née Hecht.
Premier Lot. Une Maison sise à Strasbourg Quai St Thomas N° 10, ayant porte cochère, cours, écuries, magasins & autres dépendances tenant d’un côté à un jardin & à une maison appartenant à la fondation St Thomas, en partie à la maison Vaccari, de l’autre à la maison de Madame veuve Debilly née Saum, donnant par devant sur le quai par derrière encore sur la maison Vaccari. Le propriétaire de cette maison a le droit de passage & d’issue par la maison Vaccari dans la rue de l’ail. Estimée par les experts à 60.000 francs
Titres de propriété. Feu Monsieur Klose a acquis cette maison pendant son mariage avec Madame Klose née Hecht du sieur François Walter, Rentier à Strasbourg & de Demoiselle Caroline Overmann petite fille de ce dernier, en vertu de contrat passé devant feu M° Zimmer pere, Notaire à Strasbourg le 11 avril 1806, ratifié par Mademoiselle Overmann par acte passé devant le même Notaire Zimmer le 14 octobre 1834 enregistré. Monsieur Walter avait acquis ce même Immeuble en vertu d’acte passé à la ci devant chambre des contrats de Strasbourg le 12 mars 1787.
Deuxième Lot. Bans de Wingersheim et Hohatzenheim (…)
Edmond Klose se rend adjudicataire de la maison
1843 (29.5.), Strasbourg 1 (92), Marie Guillaume François Rencker n° 17.118
L’an 1843 le lundi 29 mai à dix heures du matin ont comparu 1° Monsieur Sigismond Frédéric Edmond Klose, Négociant, 2° Monsieur Théodore Alexandre Klose, aussi négociant, 3° Monsieur Eugène Prosper Guibert, propriétaire, agissant en qualité de mandataire de Dame Amélie Klose, son épouse qu’il autorise, 4° Monsieur Eugène Cailliot, Docteur en médecine, agissant comme mandataire de Dame Louise Caroline Camille Klose, son épouse qu’il autorise (…), 5° Monsieur Georges Frédéric Alfred Schnéegans, Substitut du Procureur du Roi près le tribunal de première instance de Wissembourg, représentant feu sa mère Dame Wilhelmine Klose, en son vivant épouse de Monsieur Georges Henri Guillaume Schnéegans, Négociant, 6° Et Monsieur le Baron André Panon du Hozier, ancien chef d’Escadron, Officier de la légion d’honneur, agissant en qualité de tuteur légal d’André Frédéric & de Sophie Esther Panon du Hozier, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec feu Dame Sophie Eugénie Antoinette Klose & desquels Monsieur Edmond Klose susnommé est le subrogé tuteur, tous domiciliés à Strasbourg. Et ont Messieurs les Comparans déclaré qu’en exécution d’un jugement rendu contradictoirement entre les parties par le tribunal civil de première instance de Strasbourg le 3 avril 1843 (…). Clauses additionnelles au Cahier des charges (…)
Clause relative à la Maison sise à Strasbourg 10 quai St Nicolas. L’adjudicataire de la maison sise à Strasbourg quai St Thomas Numéro 10 sera tenu d’exécuter envers la fondation St Thomas de cette ville toutes les dispositions retenues en un acte passé entre Monsieur Klose, défunt, & M. Jean Frédéric Wieger, receveur de ladite fondation, à ce spécialement autorisé devant M° Zimmer & et son collègue, notaires à Strasbourg le 15 novembre 1834 ainsi que celles retenues en un autre acte déposé pour minute à feu M° Zimmer, père sous la date du 14 novembre 1818, par lesquels actes feu Mons. Klose a reconnu que ce n’est qu’à titre précaire & temporaire que l’administration de la fondation St Thomas a laissé pratiquer des jours dans les murs de l’aile gauche de la maison dont s’agit & avancer la toiture au-delà de la face extérieure du mur qui donne sur la propriété de ladite fondation. En conséquence l’adjudicataire sera tenu conformément auxdits actes de garnir de barres de fer, à la première réquisition de ladite administration de St Thomas, toutes les ouvertures donnant sur la propriété de la fondation, même de les murer si elle l’exige, comme aussi de couper la partie saillante de la toiture donnant sur la même propriété.
Division des Biens au Ban de Herrlisheim (…) – sans mise
Et cejourd’hui 30 mai 1843 à dix heures du matin (…) le premier lot du Cahier des charges comprenant la Maison sise à Strasbourg 10, quai St Thomas a été exposée aux enchères sur le mise à prix, fixée par les experts, de 60.000 francs. Une bougie ayant été allumée il a été fait une mise de 100 francs par Mr Edmond Klose l’un des Cohéritiers, ce qui a porte ledit prix à 60.100 francs. Et deux autres bougies ayant été allumées successivement & s’étant éteintes sans qu’il ait été fait d’autre mise la maison dont s’agit a été attribuée à mondit Sieur Sigismond Frédéric Edmond Klose, sans soulte ni retour par ses cohéritiers
acp 310 (3 Q 30 025) f° 89-v
Sigismond Frédéric Edmond Klose épouse en 1834 Climène Julie Laure Koechlin, fille du député Nicolas Kœchlin, de Mulhouse
1834 (12.8.), Strasbourg 6 (58, nouv. cote 60), Emile Triponé n° 3147
Du 12 Août 1834, Mariage – Ont comparu Monsieur Sigismond Frédéric Edmond Klose, négociant demeurant à Strasbourg, fils de Monsieur Sigismond Frédéric Klose, négociant demeurant à Strasbourg, et de défunte Dame Caroline Sophie Hecht, épouse de ce dernier, stipulant pour lui et en son nom, de l’agrément de Monsieur son père aussi présent, d’une part
Mademoiselle Climène Julie Laure Koechlin, mineure demeurant à Mülhouse, Département au haut-Rhin chez Monsieur son père ci après nommé, fille de Monsieur Nicolas Koechlin, propriétaire, membre de la Chembre des députés demeurant à Mülhouse et de feu Dame Marie Baumgartner, épouse de ce dernier, stipulant pour elle et en son nom, sous l’assistance de Monsieur son père aussi présent,
3) apports du futur époux (…) 3° une maison de campagne située à la Robertsau, banlieue de Strasbourg, canton dit Grieswoerth sur le chemin principal conduisant au Rhin portant n° 231. Elle consiste en maison de maitre, logement de jardinier, étables, échoppes, serre, écurie, remises, orangerie, cour, basse cour, batiment d’explotation, jardins, terres encloses et non encloses, le tout de la contenance d’environ 3 ha 80 ares et pouvant être d’une valeur de 26.000 francs
acp 226 (3 Q 29 ) f° 115-v du 13.8. – communauté réduite aux acquets
Le futur époux fait apport 1° de 400.000 francs montant de son compte capital à la date du 30 avril dernier dans la maison de commerce Sigismond Frédéric Klose aux bénéfices et pertes de laquelle il participe pour moitié en vertu de l’acte de société passé devant le notaire rédacteur le 27 décembre 1833, 2° des somems auxquelles s’élèveront jusqu’au jour du mariage les intérêts et bénéfices de la maison de commerce revenant au futur époux depuis le dernier règlement, ce qui sera calculé au prorata des jours écoulés jusqu’audit jour du mariage lors du prochain inventaire annuel, sans égard au plus ou moins d’importance des opérations commerciales exécutées avant ou après le mariage, 3° de 30.000 francs pour son fonds de Commandite dans la société établie à Grandfontaine près Framont (Vosges) sous la raison Hamelin et Compagnie, 4° maison de campagne à la Robertsau 26.000, 5° une somme de 72.222 francs faisant partie du quart recueilli par le futur époux dans la succession de sadite mère suivant liquidation et partage devant M° Zimmer, notaire à Strasbourg do 30 avril dernier, Total 528.227 – Passif du Sr Klose 13.000, rste 515.227
plus 1000 francs valeur des meubles meublants, tableaux, chevauxn voitures, bibliothèque, bijoux 6000, Total 521.227
la future épouse est dotée en avancement d’hoirie par son dit père d’une somme de 50.000 francs payable à la première réquisition avec intérêt légal de 5 pour cent, 1° d’un trousseau en meubles meublans, hardes, linge, effets, bijoux évalué à 20.000, 2° de sa part évaluée à 214.000 d’après l’inventaire passé devant Ebersol notaire à Mulhouse le 10 octobre 1826 dans la succession de sa dite mère 212.452 francs
les époux se font don mutuel et réciproque au survivant d’eux de l’usufruit viager de la moitié de tous les biens mobiliers et immobiliers
Sigismond Frédéric Edmond Klose et Laure Kœchlin hypothèquent la maison au profit de Paul Lehr, Frédéric Auguste Stuber, Marguerite Frédérique Weber et Louise Guillaumine Stuber.
1843 (15.9.), Strasbourg 10 (101), Louis Frédéric Zimmer n° 4906
15 septembre 1843. Obligation – ont comparu Mr Sigismond Frédéric Edmond Klose, Négociant & D° Laure Koechlin son épouse qu’il autorise dûment à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg. Lesquels reconnaissent, par les présentes, devoir bien légitimement & solidairement
1° à M. Paul Lehr, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg la somme principale de 35.000 francs
2° à Mr Frédéric Auguste Stuber, architecte demeurant et domicilié à Strasbourg la somme principale de 12.000 francs
3° à Mad. Marguerite Frédérique Weber, demeurant et domiciliée à Strasbourg la somme principale de 12.000 francs
4° & à Mad. Louise Guillaumine Stuber, demeurant et domicilié à Strasbourg la somme principale de 11.000 francs, Ensemble la somme principale de 70.000 francs (…)
affectent en hypothèque Une maison sise à Strasbourg quai St Thomas N° 10 ayant porte cochère, cours, magasins & autres dépendances tenant d’un côté à une maison appartenant à la fondation St Thomas & en partie à la maison Vaccari, de l’autre à la maison de M. de Billy, donnant par devant sur le quai par derrière encore sur la maison Vaccari. Cette Maison dépendait de la communauté qui a existé entre entre M. Sigismond Frédéric Klose, vivant négociant & D° Caroline Sophie Hecht, son épouse, les deux décédés, père et mère de M. Klose comparant, & elle a été attribuée à ce dernier sans soulte ni retour ainsi que cela résulte d’un acte de licitation & partage dressé par M° Rencker, notaire à Strasbourg & M° Zimmer soussigné en date des 29 & 30 Mai de la présente année & d’un acte de liquidation dressé par les mêmes notaires le 28 août de la présente année.
Les époux Klose certifient sous les peines de droit que l’immeuble cidessus désigné leur appartient encore en toute propriété & qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège, hypothèque ni inscription
Prorogation de société
1861 (25.5.), Henri Eugène Rœssel (jeune)
Déclaration par Edmond Klose, négociant à Strasbourg, que la société Klose & compagnie a été prorogée pour dix ans, ainsi qu’il résulte d’une délibération prise par les membres de ladite société le 15 avril 1861, enregistrée en ce bureau le 21 dit.
acp 499 (3 Q 30 214) f° 25-v du 27.5.
Accord entre Edmond Klose et la fondation Saint-Thomas par lequel les parties confirment les tolérances contenues dans les actes de 1818 et de 1834.
1864 (15.10.), Strasbourg 10 (152), Louis Frédéric Zimmer
Déclaration de concession à titre précaire. 15 octobre 1864. – a comparu M. Sigismond Frédéric Edmond Klose, banquier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de propriétaire de la maison sise en cette ville quai St Thomas n° 2, contiguë à la propriété de la fondation de St Thomas sise rue de l’Ail 4 donnant par derrière sur ledit quai
Lequel après avoir pris connaissance 1) d’un acte sous seing privé en date à Strasbourg du 14 mai 1818, enregistré le 10 novembre suivant folio 89 recto case 7 (…) déposé pour minute en l’étude de M° Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg par acte du 14 novembre 1818
2) d’un acte de concession à titre précaire reçu par M° Zimmer notaire soussigné le 15 novembre 1834 par lesquels feu Mr Sigismond Frédéric Klose père du comparant et ci-devant propriétaire de la maison susdésignée a déclaré que toutes les fenêtres et autres ouvertures qui existent dans le mur et la toiture donnant sur la propriété de la fondation de St Thomas ont été ouvertes du consentement de l’administration de cet établissement et seulement à titre précaire, et que c’est à ce même titre précaire qu’il lui a été permis d’avancer la toiture de la même maison au-delà de la face extérieure du mur donnant sur la propriété de la fondation de St Thomas
déclare, par les présentes, confirmer en tant que besoin, les susdites déclarations, ainsi que toutes celles qui peuvent avoir été faites par les pédécents propriétaires de ladite maison au sujet de ces concessions, et s’oblige en conséquence à garnir ces ouvertures de barres de fer et même à les faire murer à la première réquisition de l’administration de la dite fondation et à couper la partie saillante de la susdite toiture à la même réquisition.
Le tout ainsi accepté par Mr Jean Frédéric Bruch doyen de la faculté de théologie, Professeur du Séminaire de la confession d’Augsbourg et Vice-directeur par intérim du dit Séminaire administrant la fondation de St Thomas
acp 536 (3 Q 30 251) f° 94 du 17.10.
Edmond Klose reste seul gérant de la société en commandite Ed. Klose & Compagnie
1865 (3.4.à, Strasbourg 6 (95), Henri Eugène Roessel n° 4839
Acte de dépôt – A comparu M. Edmond Klose, banquier demeurant à Strasbourg, agissant au nom & comme gérant de la société en commandite par actions établie et ayant son siège à Strasbourg sous la raison sociale Ed. Klose & Compagnie, suivant acte société reçu par M° Roessel l’un des notaires soussignés le 23 octobre 1852, M. Klose élu aux fonctions de seul gérant de ladite société suivant délibération (…)
ladite société ainsi que la gérance de M. Klose prorogée (…) il a été fait quelques modifications aux statuts de ladite société
acp 541 (3 Q 30 256) f° 85-v du 3.4.1865
Edmond Klose et la fondation Saint-Thomas passent un acte d’après lequel les anciennes tolérances sont converties en droit perpétuel
1876 (2.5.), Strasbourg 10 (180), Frédéric Antoine François Pierron
Vertrag – sind erschienen 1) Herr Eduard Cunitz, Direktor des St. Thomas Stiftes von Straßburg, wohnhaft in derselben Stadt, handelnd im Namen genannten Stiftes und hierzu gehörig ermächtiget durch Beschluß (…), genanntes Stift gehörig ermächtiget durch Beschluß des Herrn Ober-Präsidenten von Elsass-Lothringen vom 25. Februar 1876 (…) einerseits
2) und herrn Sigismund Friedrich Edmund Klose, Rentner in Straßburg wohnhaft, in seiner Eigenschaft als Eigenthümer eines Hauses in letzterer Stadt gelegen St Thomas Staden N° 2, welches einerseits durch das Eigenthum genannten Stifts begränzt ist, anderseits
Welche Comparenten, um Zur Feststellung der hernach dem Herrn Klose zu ertheilenden Rechte zu gelangen, vorläufig bemerkt haben
das St Thomas Stift besitzt in Straßburg ein Haus in der Knoblauchsgasse N° 4 gelegen (wirklich im Niederreißen begriffen) nebst einem Garten welche auf der Ostseite an das obenbezeichneten Haus de Herrn Klose stößt
zu verschiedenen Malen ist dem Herrn Klose Comparenten und seinen Vorfahren durch das Thomasstift gestattet worden, in diesem Hause und in der Mauer welche beide Liegenschaften von einander trennt Oeffnungen anzubringen, dieselben selbst zu vermehren und zu vergrößern, so wie das dach und das Obergesimsen hervorragen zu laßen. Alles jedoch nur geduldeter Weise und mit Beding auf erstes Begehren des Stifts dieselben zu vergittern und sie sogar zuzumauren, so wie dieses bestätigt ist 1) durch eine Erklärung vom 18. Mai 1818 durch Herrn Klose, Vater, in der Schreibstube des Herrn Georg Friedrich Zimmer damals Notar in Straßburg durch Act vom 14. November desselben Jahres hinterlegt, 2) einem Act durch Herrn Georg Friedrich Zimmer damals Notar in Straßburg den 15. November 1834 errichtet und 3) einem andern act durch denselben Notar den 13. Oktober 1864 errichtet, beide Vorgänger des unterschriebenen Notars.
Um den Wunsche des Herrn Klose Genüge zu leisten dieße Oeffnungen beibehalten zu können ist folgendes übereingekommen worden,
1. Herr Cunitz im Namen des Thomasstiftes ertheilt dem Herrn Klose und den nachfolgenden Eigenthümern des Hauses Thomasstaden N° 2, das Recht auf ewige Zeiten die Fenster Oeffnungen in seinem Hause, so wie sie sich wirklich befinden in seiner Scheidemauer bis zur Tiefe den 24. Meter wovon hernach die Rede ist, beizubehalten, und sogar noch andere anzubringen, entweder in dem Erdgeschoß oder in ersten oder zweiten Stock.
Alle im Erdgeschoß sich wirklich befindlichen oder später noch angebrachten Fensteröffnungen müßen vergittert und mit Eisenstäben versehen, und kann keine derselben mit äußern Läden versehen werden.
2. Das Recht solche Fensteröffnungen anzubringen ist wohlverstanden nur auf das Erdgeschoß und die würcklich bestehenden zwei Stockwerken beschränkt, und bezieht sich nicht auf andere Stockwerken welche Herr Klose oder dessen Nachfolger in diesem Hause könnten errichten laßen. Die höhe der Fensterbänke der Fensteröffnungen des Erdgeschoßes hat sich nach der Höhe des Pflasters des Hofes des Eigenthums des Stifts zu richten.
3. Das Stift muß bei den Gebäulichkeiten welche dasselbe beabsichtigt in demselben Garten aufführen zu laßen auf mindestens vier Meter breite von der Gränze der beiden Liegenschaften entfernt bleiben, auf eine Tiefe von 24 Meter von der Außenseite des Klose’schen Hauses am Thomasstaden angerechnet.
4. Das Recht Fensteröffnungen anzubringen ist auff den Theil der Mauer des Hauses Klose beschränkt welcher würcklich auf den Garten des Stifts Aussicht hat, und ist auf die 24 Metzer länge beschränkt wovon im vorhergehenden Artikel die Rede ist.
5. Ausnahmsweise muß die Fensteröffnung im Erdgeschoß, welche sich am nächsten an dem Thomasstaden befindet immer zugemauert bleiben.
6. Es ist ausdrucklich bedungen, daß Herr Klose und die Nachfolger in seinem Hause von diesen gestatteten Rechten keinen andern Gebrauch machen können, als sich Luft und Licht zu verschaffen, und ist denselben und den Hausbewohnern ausdrucklich untersagt weder Unrath noch sonstige Gegenstände in das Eigenthum des Stiftes zu werfen oder selbst Teppiche auszuschütteln.
7. Die Dachhervorragung bleibt in dem jetzigen Zustandt aber das Thomasstift kann eingehalten werden Regenwasser oder sonstige Flüssigkeiten von dem Hause Klose durch das Eigenthum des Stiftes durchlaufgen zu laßen.
Gegenwärtige Rechts Ertheilung ist geschehen und angenommen für den Preis von 12.000 Mark oder 15.000 Franken
acp 652 (3 Q 30 367) f° 31 du 20.5.
Edmond Klose cède à son voisin Charles Auguste Widmann le droit de passage par son immeuble (sis 6, rue de l’Ail)
1878 (12.9.), Charles Victor Holtzapfel
Verkauf – Sigismund Friedrich Edmond Klose, Rentner und dessen Ehefrau Climene Julie Louisa Koechlin in Straßburg
an Carl August Widmann, Schlossermeister in Straßburg und dessen Ehefrau Catharina Braun
von dem Durchgangrecht, welche Herr Klose durch das Widmannsche Haus zu Straßburg Knoblochgasse N° 4, um den baar bezahlten und quittirten Preis von 800 Mark
acp 683 (3 Q 30 398) f° 10 n° 3193 du 13.9.
Edmond Klose meurt en décembre 1885 en délaissant une fille (Emilie Laure Klose, veuve de Léon Adolphe Auguste Belly à Paris) et les représentants de son autre fille (Sophie Marie Klose, femme de Henri Morin-Pons à Lyon).
1886 (5.4.), Strasbourg 10 (214), Frédéric Pierron n° 7671
Inventar nach dem Absterben des Herrn Sigismund Friderich Edmund Klose zu Strassburg
Im Jahre 1886 Montag den 5. April um Zwei Uhr nachmittags, Auf Ansuchen 1. der Frau Climène-Julie-Laure Koechlin, Rentnerin Wittwe des Herrn Sigismund-Friderich-Edmund Klose, bei Lebzeiten Eigenthümer, ehemaliger Bankier zu Strassburg, handelnd eigenen Namens wegen der zwischen ihr und ihrem genannt verstorbenen Ehegatten auf Grund ihres durch Notar Triponé zu Straßburg den 12. August 1834 aufgenommenen Ehevertrags bestandenen, auf das Errungene beschränkt gewesenen und zur Hälfte theilbaren Gütergemeinschaft, sowie wegen der Vortheilen die laut demselben Vertrag und nacherwähntem eigenhändigen Testament zu besprechen hat,
2. des Herrn Carl Eduard Sommerau, ersten Notariat Gehülfes zu Strassburg wohnend, handelnd als Bevollmächtigter der Frau Emilie Laure Klose, Rentnerin, wohnhaft zu Paris, quai d’Orsay N° 71, Wittwe des allda verstorbenen Eigenthümers Herrn Léon Adolph August Belly auf Grund einer Vollmacht (…) 3. Und des Herrn Just Xaver Sutter, Bank Angestellter zu Strassburg wohnend, handelnd als Bevollmächtigter a) der Frau Gabriele-Laure Morin Pons, Ehegattin des Herrn Gérard de Wattenwyl genannt de Watteville, Eigenthümers, b) der Frau Marie-Henriette Morin-Pons, Ehegattin des Herrn Adrien Edmund Achard, Eigenthümers, c) des Herrn Heinrich Morin-Pons, Bankier, alle zu Lyon (Frankreich) quai St Clair N° 15 wohnend, Alles laut Vollmacht (…), die Frauen de Wattenwyl & Achard eigenen Namens und Herr Heinrich Morin-Pons als Vater und gesetzlicher Vormund seines minderjährigen Sohns Herrn August Paul Heinrich Robert Morin-Pons, letzterer und die frauen de Wattenwyl & Achard entsprossen aus der Ehe des genannten Herrn Heinrich Morin-Pons mit seiner zu Lyon den 10. Februar 1878 verstorbenen Ehegattin Frau Sophie Marie Klose, von welcher sie die einzigen Erben je zu einem drittel waren
Und in der Gegenwart des Herrn Ludwig Valentinn Bankier zu Strassburg wohnend, Handelnd als Bevollmächtigter des Herrn Ludwig Johann Jacob Marie Bellay, Prokurist des zu Lyon bestehenden Bankhauses veuve Morin Pons & Cie, wo er wohnt rue Terme N° 1 (…) als Nebenvormund des genannten Minderjährigen (…) Genannte frau Wittwe Belly erbberechtigt für eine Hälfte oder 3/6 am Nachlasse ihres Vaters des genannten Herrn Klosen Und die frauen de Wattenwyl & Achard mit dem Minderjährigen Herrn Morin-Pons durch Vertretung ihrer genannten Mutter die eine Tochter des Herrn Klose war, mit einander erbberechtigt für die andere Hälfte
Sowie sich Alles vorfunden wird in einem Hause gelegen zu Strassburg Thomasstaden N° 2, das die Wittwe bewohnt und woselbst ihr Gatte den 20. Dezember 1885 verstorben ist
Mobiliar Gegenstände der Gütergemeinschaft welche der Erblasser seiner Wittwe laut nacherwäntem Testamente sämmtlich vermacht hat. Im Salon, Im Bibliothekzimmer, Im Speisezimmer, Im ersten Schlafzimmer, Im zweiten Schlafzimmer, In einem andern Zimmer, In einem andern Zimmer, In einem andern Zimmer, In einem weiterern Zimmer
Titer & Papiere. Cote Eins. Ehevertrag (…), Cote Zwei. Testament (…), Cote drei, Ersatzforderung der Wittwe (…), Cote vier, Ersatzforderung des Nachlasses (…)
Cote fünf, Immöbel des Nachlasses. Elf Schriftsücke. das erste ist ein Auszug aus einem durch genannten Notar Rencker & Zimmer den 29. und 30. Mai 1843 unter der in einem durch die nämlichen Notare den 15. April vorher errichtetem Lastenheft enthaltenen Bedingungen & in Vollzug eines durch das Civil: Gericht der Stast Straßburg den dritten des nämlichen Monats erlassenen Urtheils aufgenommenen Steigprotokolls wadurch der Erblasser von der Verlaßenschaft seines genannten Vaters nachbeschriebenes Haus Lizitations weise ersteigert hat, nämlich
Beschreibung. Ein Anwesen bestehend aus einem Wohnhaus mit Vorder- Seiten: und Hinter Gebäuden, Hof, Stallungen, Brunnen, Rechten und Zugehörden Alles gelegen zu Straßburg Thomanstaden N° 2 früher quai St Thomas N° 10, grenzend einseits an das St Thomasstift, anderseits an Herrn de Billy vorn an den Thomasstaden, hinten die Eheleute Wittmann und anderen. Das Erwerbspreis wurde, wie gesagt, in fernere Liquidation verrechnet. Das Zweite und das dritte Schreiftstück sind die Ausfertigung & vollstreckbaren Aktes aufgenommen durch Notar Georg Friedrich Zimmer zu Strassburg den 11 April 1806, wodurch gedachter Vater Klose *es Haus erworben hatte von Frantz Walter Rentner und Fräulein Caroline Overman beide von Strassburg
das vierte ist die in vorhergehender Vert* aufgeführte vollstreckbaren Ausfertigung des Aktes vom 2. Mai 1876, wodurch der Erblasser verschiedenen seines Haus betreffende Rechte erworben hat
das fünfte ist die Ausfertigung eines durch genanntem Notar Zimmer den 15. November 1834 aufgenommenen Aktes wodurch zwischen Herrn Klosen Vater & dem Sankt Thomasstift ein Abkommen betreffs in fraglichem Hause angebrachten Oeffnungen getroffen worden ist
das sechste ist ein vom 4. Dezember 1845 datirtes Dokument, das siebente ist ein vom 26. Februar 1786 datirtes dokument, das achte die Abschrift eines durch das S. Thomasstift zu Strassburg den 5. April 1695 gefaßten Beschlusses, Das neunte ist die Abschrift eines durch letzteres Stift ausgelieferten Bescheinigung ohne datum, Sämmtliche dokumente betreffend deinstbarkeiten in Bezug auf obiges Haus.
Das zehnte Schriftstück ist ein Kaufvertrag der hiesigen Contractstuben vom 12. März 1787, wodurch genannter Herr Frantz Walter fragliches Haus von Johann Friedrich Herrmann erkauft hatte. Und das elfte Schriftstück ist ein 2s Haus betreffenden *.
acp 775 (3 Q 30 490) f° 84 du 15.4. (T. Bd. 71 Bl. 98 N° 278 – Sterbfall vom 28. Juni 1886 Nd. 150 Nr 144) Gütergemeinschaft, Mobilien 7029, Kleider 393, Alles der Wittwe vermacht laut Testament hinterlegt bei Notar Pierron den 9. Januarÿ 1886, bares Geld 590,
Ersatzforderung der Wittwe 251.170 und 136.980
Ersatzforderung des Nachlasses (182.467) 272.819
Ein Anwesen Thomasstaden 2
Lebens Versicherung summe geschuldet durch die Gesellschafft la Nationale in Paris 80.000
Werthpapiere 555.175, Kontovorrath Forderungen 143.906, Mietzinsausstand 944
Ersatzansprüche der Wittwe 9508
Testament du banquier Edmond Klose
1886, Strasbourg 10 (213), Frédéric Pierron
9. Januar 1881 – Testament des zu Strassburg wohnhaft gewesenen und daselbst am 20. Dezember 1885 gestorbenen ehemaligen Banquiers Edmund Klose, wonach derselbe seiner Ehefrau Laura Koechlin außer der Lebens Versicherungssumm von 100.000 fr. um welche der Erblasser sein Leben bei der Gesellschaft La Nationale versichert hatte die lebenslängliche Nutznießung an seinem Vermögen, soweit dies das Gesetz zuläßt schenkt
acp 772 (3 Q 30 487) f° 36 n° 3492 du 12.1. (Tabelle Bd. 71 Bl. 98 N° 278, Sterbf. Erk. vom 18. Juni 1886 Bd. 150 Nr 144
Acte de notoriété qui mentionne les héritiers
25. Januar 1881 – Offenkunde, bestätigend, daß Sigismund Friderich Edmund Klose, Banquier zu Strassburg, Ehemann von Climene Julie Laura Koechlin daselbst am 20. Dezember 1885. gestorben ist und als Erben hinterlaßen hat
1. seine Tochter Emilie Laura Klose, Wittwe des Eigenthümers Leo Adolph August Belly in Paris, 2. die Kinder seiner verlebten Tochter Sophie Marie Klose, Ehefrau von Heinrich Morin, Banquier in Lyon, a) Henriette Morin, Ehefrau von Edmund Achard, Banquier, b) Laure Gabriele Morin, Ehefrau von Gérard de Watteville, c) August Robert Paul Morin, minderjährig, alle in Lyon
acp 772 (3 Q 30 487) f° 48-v n° 3637 du 26.1.
Liquidation de la succession
1887 (22.1.), Strasbourg 10 (218), Frédéric Pierron n° 8324
Liquidation und Theilung 1. der Gütergemeinschaft die zwischen dem verlebten Herrn Sigismund Friderich Edmund Klose, bei Lebzeiten ehemaliger Bankier zu Strassburg & seines daselbst wohnenden Wittwe Frau Climène Julie Laure Koechlin bestanden hat 2. und des Nachlasses des Herrn Klose
Sind erschienen 1. Frau Climène Julie Laure Koechlin, Rentnerin zu Straßburg wohnend, Wittwe des Herrn Sigismund Friderich Edmund Klose, bei Lebzeiten Eigenthümer, ehemaliger Bankier in selbiger Stadt, handelnd eigenen Namens wegen der zwischen ihr und ihrem genannt verstorbenen Ehegatten auf Grund ihres durch Notar Triponé zu Straßburg den 12. August 1834 aufgenommenen Ehevertrags bestandenen, auf das Errungene beschränkt gewesenen und zur Hälfte theilbaren Gütergemeinschaft, sowie wegen der Vortheilen die laut demselben Vertrag und nacherwähntem eigenhändigen Testament zu besprechen hat,
2. Herr Carl Eduard Sommerau, erster Notariat Gehülfe zu Strassburg wohnend, handelnd als Bevollmächtigter der Frau Emilie Laure Klose, Rentnerin, wohnhaft zu Paris, quai d’Orsay N° 71, Wittwe des allda verstorbenen Eigenthümers Herrn Léon Adolph August Belly auf Grund einer Vollmacht (…) 3. Und Herrn Just Xaver Sutter, Bank Angestellter zu Strassburg wohnend, handelnd als Bevollmächtigter a) der Frau Gabriele Laure Morin Pons, Ehegattin des Herrn Gérard de Wattenwyl genannt de Watteville, Eigenthümers, b) der Frau Marie Henriette Morin-Pons, Ehegattin des Herrn Adrien Edmund Achard, Eigenthümers, c) des Herrn Heinrich Morin-Pons, Bankier, alle zu Lyon Frankreich quai St Clair N° 15 wohnend, Alles laut Vollmacht (…), die Frauen de Wattenwyl & Achard eigenen Namens und Herr Heinrich Morin-Pons als Vater und gesetzlicher Vormund seines minderjährigen Sohns Herrn August Paul Heinrich Robert Morin-Pons, letzterer und die frauen de Wattenwyl & Achard entsprossen aus der Ehe des genannten Herrn Heinrich Morin-Pons mit seiner zu Lyon den 10. Februar 1878 verstorbenen Ehegattin Frau Sophie Marie Klose, von welcher sie die einzigen Erben je zu einem drittel waren, Genannte frau Wittwe Belly erbberechtigt für eine Hälfte oder 3/6 am Nachlasse ihres Vaters des genannten Herrn Klose, Und die frauen de Wattenwyl & Achard mit dem Minderjährigen Herrn Morin-Pons durch Vertretung ihrer genannten Mutter die eine Tochter des Herrn Klose war, mit einander erbberechtigt für die andere Hälfte
Vorbemerkungen. I. Verehelichung der Ehegatten Klose-Koechlin (…)
II. Tod des Herrn Klose. Herr Klose verstarb zu Strassburg den 20. Dezember 1885 und hinterließ als einzige Erben seine vorgenannten zwei Töchter beziehungsweise deren Vertreter
III. Inventar (…) errichtet durch unterzeichneten Notar den 5. April 1885. IV. Testament
acp 786 (3 Q 30 501) f° 43-v n° 3864 du 29.1. (Sterbfall Erk. vom 18.6.86 Bd 150 n° 144) Gütergemeinschaft baares Geld 590, Werthpapiere, 708.910 – Passivmasse, Ersatzforderungen der Wittwe 378.642, Ersatzforderungen des Nachlasses 272.819, Kosten des Inventars 170, Zusammen 651.631 – bleiben 57.279
Nachlass, ½ der Gemeinschaft 28.639, Ersatzansprüche 272.819, Erbeinschüsse durch Frau Belly 88.000, Kinder Morin Pons 88.000, zusammen 477.458
Berechnung der disponiblen Quote – Zutheilungen
f° 46 du 31.1. Bruttoberechnung
Laure Kœchlin fait des legs à l’établissement des Diaconesses et uax hospices civils
1887 (13.4), Frédéric Pierron
Schenkung durch Climene Julie Laure Koechlin, Wittwe Sigismund Friderich Edmund Klose hier
an die Diakonissenanstalt hier eine summe von 8000 Mark, zahlbar spätestens biß 31. Dezember 1887, unter verschiedenen Auflagen
Annahmeermächtigung vom 15. Juni 1885, wodurch die nicht endgültig gewordene Schenkung durch Eheleute Klose Köchlin vor Notar Pierron vom 25. Februar 1885 von 8000 M bereits genehmigt worden war
acp 787 (3 Q 30 502) f° 96 n° 290 du 21.4.
Schenkung durch genannte Wittwe Klose an den Civilhospizien hier einer Summe von 8000 Mark, unter verschiedenen Auflagen. Auch den Civilhospizien hatten Eheleute Klose durch Urkunde vom 25. Februar 1885 8000 M geschenkt, ohne daß die durch den Bezirkspräsidenten am 1. Mai 1885 ertheilte Annahmeermächtigung den p. Klose zugetstellt worden war
acp 787 (3 Q 30 502) f° 96-v n° 292 Pierron 13.4.
1887 (19.4.), Frédéric Pierron n° 286
Offenkunde über das Ableben des zu Straßburg wohnhaft gewesenen und daselbst am 20. Dezember 1885 gestorbenen Rentners Friderich Edmund Klose
acp 788 (3 Q 30 503) f° 17-v du 19.4.
Partage de la succession de Laure Kœchlin
1900 (1.6.), Jean Hammann
Theilung über den Nachlass des am 9. April 1900 dahier verstorbenen Climene Julie Laura Koechlin, Wittwe Sigismund Friedrich Edmund Klose
acp 968 (3 Q 30 683. III) f° 90 n° 383 du 8.5. (E.E. v. 14 VIII 00, 259-262) Auf Anstehen der nachgenannten Tochter und Enkel durch eigenhändigen Testament vom 20. November 1892 vermachte die Erblasserin dem Bürgerspital dahier ein steuerfreien Vermächtniß von 8000 M, deren Einkünfte verwendet werden sollen zu Begräbniskosten armer Pfründer und eventuell zur Vertheilung an solchen zur Weihnanchtszeit. Als Last des Vermächtnisses hat das Spital die Gräber der Familie Klose zu unterhalten.
Normaltag 9. April 1900. Bei den Werthpapiere ist der Kurs vom nämlichen Tage angenommen, die *lung des frantzösischen Kurses ist zu 81,20 M per 100 fcs. erfolgt
Die Masse begreift Werthpapiere 634.233, Kontokurrent Guthaben 104.404, 7014, 854, Summa 746.506
Als Passiva, darunter obigen Vermächtniß an dem Bürgerspital 45.000, Bleiben zu theilen 701.506.
Woran der Tochter ½ mit 350.753 und den 3 Enkeln ½ zusammen oder je 1/6, 116.917
I. Leo Adolph August Rellÿ, Eigenthümer Wittib Emilie Laura geb. Klose in Paris erhält (…)
II. die 3 Kinder der vorverstorbenen Tochter Sophie Maria Klose, Ehefrau Heinrich Morin-Pons, Bankier in Lyon, nämlich 1) Gerard Wattenwyl, genannt de Watteville, Wittwe Gabriele Laure geb. Morin-Pons in Lyon, 2) Adrian Edmund Achard, Eigenthümer Ehefrau Maria Henriette geb. Morin-Pons in Lyon, 3) August Paul Heinrich Robert Morin-Pons, Bankprokurist in Lyon
Les héritiers Klose vendent la maison à l’association Bethesda par un acte passé le 12 septembre 1900 devant le notaire André Lamey à Vatimont (Lorraine), voir l’acte suivant
L’association Bethesda, reconnue d’utilité publique par décret impérial du 13 mars 1896, vend la maison à Marie (Marie Elisabeth) Fritz, fille majeure de Charles Maximilien Théodore Fritz et de Marie Pauline Zeyssolff. L’acte renvoie à celui de 1900 pour ce qui concerne les servitudes avec la fondation Saint-Thomas. La dessaisine a lieu le 9 octobre 1908.
1907 (11.11.), Strasbourg 8 (260), Adolphe Riff n° 3804
(Verkauf ohne Auflassung) 11. November 1907. Kauf – ist erschienen Herr Julius Studle Vereinsvorsteher wohnhaft in Straßburg, handelnd Namens und als Vorsteher des durch kaiserliche Verordnung vom 13. März 1896 als gemeinnützige Anstalt anerkannten Vereins Bethesda, Verein für allgemeine Krankenpflege, mit dem Sitze zu Straßburg, zu dessen Vertretung er selbsthändig befugt ist (…) auch hat der Verkauf die nechgesuchte Genehmigung des Herrn Kaiserlichen Bezirkspräsidenten des Unter Elsass erhalten zufolge des beigeheften Beschlußes, derselbe verkaufft und übergibt hiermit zu vollem Eigentum (…)
an die mitanwesende, dies annehmende Fräulein Elisabeth Marie° Fritz, großjährig und gewerblos, wohnhaft in Straßburg Kaufhausgasse N° 1-3, Tochter des verstorbenen Gutsverwalters Herrn Carl Maximilian Theodor Fritz und dessen überlebenden Wittwe Frau Maria Pauline geborene Zeyssolff, wohnhaft daselbst, das nachgeschriebene Anwesen als
Stadt Strassburg, das Anwesen zu Strassburg Sankt Thomasstaden N° 2, bestehend aus einem zweistöckigen Vorderhaus auf der rechten und linken Seite unmittelbar daran stoßenden und mit dem Vorderhaus verbundenen zweistöckigen Seitengebäuden aus Hintergebäuden enthaltend Remise und Stallungen, Hof, Rechten und Zubehörungen, alles ein zusammenhängendes Ganzes bildend, begrenzt vorn durch den St. Thomasstaden, einerseits von Julius Daniel Billy, anderseits durch Eigenthum des St. Thomasstiftes, hinten von Carl Widmann und Ludwig Ensfelder.
Im Eigentumsbuche Straßburg steht das Ganze Blatt 414 auf Namen des Vereins Bethesda mit folgender Bezechnung eingetragen, Flur P N° 1125, St. Thomas staden N° 2 neun und vierzig Quadratmeter Hof, Wohnhaus und Nebensgebäude. Nach des im Gang befindlichen Neuerermessung führt des Anwesen die Bezeichnung Flur 12 N° 11, St. Thomas staden N° 2 neun Ar zwei und sechzig Quadratmeter Hof, Wohnhaus und Nebensgebäude.
Das Anwesen geht im jetzigen Zustand, Umfang und Begrenzung ohne Ausnahme, Vorbehalt oder Haftung (…) auf die Käuferin über, welche alles wohl zu kennen erklärt. An beweglichen Sachen werden nur mitverkauft die Öfen und Herde nebst Steinen und Rohren, soweit sie sich als Eigenthum des Verkäufers herausstellen werden.
Eigenthumsnachweis. Der Verein Bethesda erwarb das Anwesen von 1. Frau Emilie Laura Klose, Rentnerin in Paris, Wittwe des Eigentümers herrn Leo Adolph August Belly, 2. Frau Gabrielle Laura Morin Pons, Rentnerin in Lyon, Wittwe des Eigentümers Herrn Gérard de Wattenwyl genannt de Watteville, 3. Frau Maria Henriette Morin-Pons, Ehefrau des Eigentümers Herrn Adrian Edmund Achard in Lyon und Herrn Paul Heinrich Robert Morin-Pons, Bankier daselbst auf Grund Kauffvertrages vor Notar Lamey in Wallersberg (Lothringen) vom 12. September 1900.
Das verkaufte Anwesen rührt aus dem Nachlasse des Herrn Sigismund Friedrich Edmund Klose, Eigenthümer in Straßburg, welcher mit seiner Ehefrau Klimene Julia Laura gebohrene Koechlin in Errungenschaft gemeinschaft verheiratet war, gemäß Ehevertrags vor dem damaligen Notar Triponé dahier vom 12. August 1834. Herr Klose ist zu Straßburg am 20. Dezember 1885 gestorben, die vorgenannte Frauen Belly, de Wattenwyl und Achard sowie Herrn Morin Pons als seine einzigen Erben hinterlassend, wie dies bestätigt ist in dem nach dessen Ableben durch den damaligen Notar Pierron dahier am 5. Aprilis 1886. errichteten Nachlassinventar. Die der überlebenden Wittwe Klose zufolge vorerwähnten Ehevertrages an dem Anwesen zugestandenen Nutznießungsrechten sind durch deren am 9. April 1900 erfolgtes Ableben erloschen.
Grunddienstbarkeiten. Auf dem verkauften Anwesen ruhen Grunddienstbarkeiten, bestehend nameltlich in Fensterrechten als Vereinbarung mit dem Nachbarseigentum des Thomasstiftes & die in dem Kaufvertrage des Notars Lamey vom 12. September 1900 ausführlich angegeben sind, hierwegen des Näheren Bezug genommen wird.
Hypothekenbelastung (…), Bedingungen (Genuß 5 November 1907 mit Steuren) – Kaufpreis 140.000 M.
Übertragungsvorbehalt. Gegenwärtiger Verkauf bewirkt noch keinen Eigentumsübergang. Es werden nur durch ihn der Verein Bethesda einerseits und Fräulein Fritz anderseits einander verpflichtet, nachträglich durch ihre beiderseitige notarielle Auflassungserklärung den Eigenthumübergang auf die Käuferin herbeizuführen. Zur Sicherung des Anspruchs der Käuferin auf Uebertragung des Eigenthums bewilligt und beantragt Herr Studle hiermit die Eintragung einer entsprechenden Vormerkung an dem Kaufobjekte im Eigentumsbuche Straßburg
acp 1074 (3 Q 30 789. I) f° 71-v n° 2351 du 25.11.
9. Oktober 1908. Adolf Riff N° 5185- Auflassung – sind erschienen 1. Herr Julius Studle, Vereinsvorsteher, wohnhaft in Straßburg, handelnd Namens und als Vorsteher des Vereins Bethesda, Verein für allgemeine Krankenpflege, mit dem Sitze zu Straßburg, zu dessen Vertretung er selbsthändig befugt ist (…) 2. Frl. Elisabeth Marie Fritz, volljährig und gewerblos, wohnend in Straßburg, dieselben erklärten bei gleichzeitiger Anwesenheit zu Beurkundung den folgenden Nachtrag zu der vorstehenden Urkunde des amtienden Notars vom 11. November 1907, wodurch der gedachte Verein sein Anwesen zu Straßburg Skt. Thomassatde 2 an frl. Fritz vorbehaltlich nachträglicher Übertragung des Eigenthums verkauft hat. Namens des Vereins übertrage ich Julius Studle hiermit das Eigenthum an dem verkauften Grundstück auf die Käuferin und bewillige die Eintragung derselben als Eigenthümerin des Grundstücks im Eigentumsbuche Straßburg. In meinem eigenen Namen nehme ich Elisabeth Marie Fritz diese Übertragung an und beantrage die Eintragung auf mich allein, da ich ledig bin, sowie die Löschung des Auflassungsvormerkung.
Das Eigentum der Frl. Fritz wurde im Eigentumsbuche Straßburg Blatt 3232 am 12. Oktober 1908 eingetragen.
acp 1083 (3 Q 30 798. I) f° 89 n° 1646 du 23.10. – Auflassung zu dem Kauf amt. Not. vom 11. November 1907 reg. 25. Nov. 1907 Bd. 1074 N° 2351 zu Gusten von Elisabeth Marie Fritz, ledig hier
[Annexe] Abschrift eines Beschlusses, welcher einem Kaufvertrage des unterzeichneten Notars Andreas Lamey mit dem Amtssitze zu Bergheim vom 23. Oktober 1906 beigeheftet ist. Beschluss. Auf dem Antrag vom 28. August d. Js erteile ich dem durch Kaiserliche Verordnung vom 13. März 1896 als gemeinnützige Anstalt anerkannten Verein Bethesda für allgemeine Krankenpflege im Elsaß und der Schweiz mit dem Sitze in Straßburg gemäß §. 5. der Satzung des Vereins die Genehmigung zur Ankauf einer am Zornstaden und Spitalgartenweg belegenen ca. 5516 Qm. großen, im Kataster unter Sekt. C 1089 eingetragenen Bodenfläche zum Preise von M. pro Qm. zwecks Erbauung eines Schwesterheims verbunden mit einer Krankenabteilung für innene Krackheiten. Gleichzeitig genehme ich, daß das Thomasstaden No. 2. hieselbst gelegene Anwesen des Vereins erkauft wird. – der Bezirkspäsident, I.A . gez. Pohlmann
[Annexe, copie du folio 414 du Livre foncier]
André Lamey, Vatimont (Wallersberg)
Charles Maximilien Théodore Fritz meurt à Guebwiller en 1887 en délaissant cinq enfants. Elisabeth Marie, née à Guebwiller le 29 août 1869, meurt à Strasbourg le 3 juin 1952.
1887 (20.7.), Strasbourg 8 (139), Gustave Edouard Loew n° 19.194
20. Juli 1887. Offenkunde – (…) bezeugen Herrn Charles Maximilien Théodore Fritz, Gutsverwalter, wohnend in Gebweiler, wohl gekannt zu haben, sowie zu wissen
daß herr Fritz am 23. Januar 1887 in Gebweiler verstorben ist, mit seiner jetzigen Wittwe Frau Marie Pauline Zeyssolff inhaltlich Ehevertrags vor Notar Loew vom 14. November 1868 in der auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft ohne anlegungs- und *angelungsgeding verheirathet war und als einzige Erben die fünf nachbezeichneten Kinder aus der Ehe mit seiner Wittwe, welche über sie die Vormundschaft führet, hinterlaßen hat
1. Elisabeth Marie Fritz, geboren den 29. August 1869
2. Charles Jérémie Ernest Fritz, geboren den 1. September 1870
3. Léonie Hilda Fritz, geboren den 3. Juni 1873
4. Charles Abdallah Fritz, geboren den 1. Juli 1875
5. Pierre Paul Fritz, geboren den 25. März 1884
acp 791 (3 Q 30 506) f° 8 du 23.7.
Naissance, Guebwiller (n° 337)
L’an 1869 le lundi 30 août à dix heures du matin (…) est comparu le sieur Charles Maximilien Théodore Fritz, agronome âgé de 37 ans, domicilié à Guebwiller, né à Strasbourg (bas rhin) lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin né en cette ville hier à l’heure de midi & demie, de lui déclarant & de dame Marie Pauline Zeyssolff, sans état âgée de 27 ans, domiciliée en cette ville, son épouse & auquel il a déclaré donner les prénoms d’Elisabeth Marie
[in margine :] Décédée à Strasbourg le 3 juin 1952 (i 455)
