12, quai Saint-Jean


Quai Saint-Jean n° 12 – I 16 (Blondel), P 39 puis (1872) P 311, ensuite section 55 parcelle 13 (cadastre)

Nouveau bâtiment vers 1727 (maître d’ouvrage, Daniel Vogt, marchand de bois) puis en 1881 (maître d’ouvrage, Edouard Fritsch)


Quai Saint-Jean, le n° 12 est la maison à droite de l’image (avril 2010)
Façade (image Roland Burckel), porte (image Yves Clady, publiées sur Archi-Wiki)

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du jardinier Laurent Voltz. Les créanciers de son fils Thiébaut Voltz la vendent en 1648 au jardinier Martin Wurtz qui la transmet à sa fille, femme du jardinier Jean Dominique Huber. Le marchand de bois Daniel Vogt l’achète en 1726 et la reconstruit, peut-être en 1727, date à laquelle il est autorisé à poser deux marches sur le communal. Le négociant Jean Martin Fritsch achète la maison en 1765, charge le maître maçon Michel Hatzung d’aménager le deuxième étage en 1766 et supprime les marches en 1768. Il meurt célibataire en 1785 en délaissant une fortune dont il avait déclaré seulement une petite partie au fisc. Sa servante Anne Ursule Bürcki est légataire de la maison qu’achète en 1787 le gentilhomme Frédéric Henri Bock de Blæsheim et Gerstheim.


Plan-relief de 1827 (Musée historique). La maison est la première à gauche de l’enclos Saint-Jean
Photographie de Charles Winter (prise entre 1848 et 1864, Strasbourg disparu n° 42)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 17 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la première sur la droite : porte cochère, porte ordinaire et deux fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à cinq fenêtres chacun, toiture à un niveau de fenêtres (mansardes) puis un niveau de lucarnes. La cour G représente l’arrière (5-6) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral gauche (7-10) à simple rez-de-chaussée, au fond de la cour la remise (1-2) contre laquelle s’appuie l’édicule (2-4), à l’arrière se profile le bâtiment voisin.
La maison porte d’abord le n° 56, ensuite le n° 21 (1784-1857) puis le n° 12.


Cour G – Plan

Le boucher Abraham Gerber est propriétaire de la maison pendant vingt-huit ans (1803-1833). Le sculpteur statuaire André Friedrich place un buste du général Kleber dans une niche de la façade (voir Adolphe Seyboth, p. 272), acquiert en 1856 de la ville de Strasbourg la mitoyenneté d’une partie du mur des bâtiments de Saint-Jean et passe en 1860 avec son voisin Auguste Klein un accord relatif à une fenêtre dans le bâtiment arrière. Le négociant Edouard Fritsch achète la maison en 1880, la fait démolir et en reconstruit une nouvelle qui est achevée en 1881. Le notaire Joseph Allonas devient en 1885 propriétaire de l’immeuble où il transfère son étude, reprise à sa mort (1906) par son successeur Frédéric Heng.
Jean Hartmann et Lucie Gunther veuve d’Edouard Schirck font aménager en 1947 un logement dans les combles. La société civile immobilière 12, quai Saint-Jean fait faire en 1956 un garage à droite au fond de la cour. La société anonyme Wärtsilä Diesel International, locataire, charge en 1992 l’architecte Henri Kubler de surélever le bâtiment arrière, d’aménager des garages au rez-de-chaussée et des bureaux aux étages.



Façade sur rue, façade du bâtiment latéral (existant et projet, 1992, architecte Henri Kubler) – Coupe (projet)

décembre 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1584 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Laurent Voltz, jardinier, et (1585) Anne Rench – luthériens
1634 h Thiébaut Voltz, jardinier, et (1630) Aurélie Westermann – luthériens
1648 v Martin Wurtz, jardinier, et (1645) Marie Trenss – luthériens
1670* h Jean Adolphe Huber, jardinier, et (1666) Aurélie Wurtz – luthériens
1726 v André Voltz, jardinier, et (1726) Barbe Riehl – luthériens
1726 v Daniel Vogt, marchand de bois, et (1701) Barbe von Fridolsheim, (1718) Catherine Marguerite Richshoffer puis (1741) Anne Marguerite Engelhard, d’abord (1701) femme du pasteur Jean Jacques Ehrlen – luthériens
1765 v Jean Martin Fritsch, marchand, célibataire († 1785) – luthérien
1785 h Anne Marie Bürcki, servante, célibataire, († 1787) – luthérienne
1787 v Frédéric Henri Bock de Blæsheim et Gerstheim, capitaine, et (1737) Eléonore Louise de Landsberg – luthériens
(héritières) Charlotte Chrétienne de Landsperg et Barbe Constantine de Landsperg
1805 v Abraham Gerber, boucher, et (1794) Anne Marie Walter
1833 v André Friedrich, statuaire, et (1829) Marie Anne Weber puis (1839) Marie Antoinette Momy – à André Friedrich seul, 1858
(héritière) Erwinie Léopoldine Friedrich, femme du marchand Jean Auguste de Jaffa
1880 v Edouard Fritsch, rentier (° 1858)
1885 v Joseph Allonas, notaire, et (1873) Marie Madeleine Hænning
1935* v Edouard Schirck, clerc de notaire, et (1926) Marie Lucie Günther, d’abord (1910) femme de Charles Schirck – et copropriétaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 425 livres en 1717, 475 livres en 1725, 750 livres en 1748

(1765, Liste Blondel) I 16, veuve Daniel Vogt
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Martin Fritsch, 6 toises, 3 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 39, Friederich, André, sculpteur – maison, sol, cour, bâtiment – 5,6 ares

Locations

1882, Ernest Lemaître, agent d’assurances

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 439
Le jardinier Laurent Voltz paie 3 sols pour le fumier posé devant sa maison

Umb das Eckh beÿ Sanct Marx hinumb ane dem Wasser graben hinauff nach Dem Zolthor Zu.
Lorentz Voltz Der Garttner hatt d. Allmendt vor seinem Hauß mit mist verschlagen, Bessert & iij ß d

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 279
Daniel Vogt doit à partir de 1728 deux sols pour deux marches en pierre devant sa maison (celle du bas ayant 7 pieds de long et celle du haut 5 pieds) d’après le registre de 1727 folio 132 verso

H. Johann Heinrich Metzger, Soll Von Zwoen Stafflen des Haußes oberhalb St: Marx am Kagenecker bruch vff Weÿhenachten 3 ß
St. Zinnßb. p. 330
Ferner von zween Holtzplätzen im Kagenecker bruch beÿ der tränckh, vff Martini, 10 ß
St. Zinßb. 634
jetzt dieboldt Vogt ([corrigé en] Daniel Vogt) vid. 314. 333. 662. 394

(Quittungen 1673-1727)
Ferner solle Er von zweÿen Steinern Stafflen so Er vor Seiner neben der Herrn Johanniter Hauß habenden wohnung legen laßen deren jede ein schuh breit die untere 7. und die obere 5. schu lang ist, Jahrs auf Liechtmeß und laut Prot: de 1727. fol: 132-b A° 1728. i.mo 2 ß
(Quittungen 1728-1741)
Neuzb fol 31-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 31-b
Même loyer dans le registre suivant. Les marches sont supprimées en 1768.

alzb. 279
Daniel Vogt (…)
alzb. 279 Ferner solle Er von zweÿen Steinern Stafflen so er vor seiner neben der Herrn Johanniter Hauß habenden wohnung legen laßen deren Jede ein schuh breit, die untere 7. und die obere 5. schuh lang ist, Jahrs auf Liechtmeß 2 ß
[in margine :] H. Johann Martin Fritsch dieße 2 ß.
die Stafflen sind in A° 1768 weggemacht worden

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1727, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Les préposés autorisent Daniel Vogt à poser sur le communal deux marches d’un pied de large, celle du bas ayant 7 pieds de long et celle du haut 5 pieds.

(f° 132-v) Montags den 27. Januarÿ 1727. Seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden – Daniel Vogt wegen Staffelen
An Herrn Daniel Vogten Hauß beÿ den Hh. Johannitern An welchem er Zweÿ steinere Stafflen, jede 1. schuh breit, die Untere 7. und die Obere 5 schuhe Lang auf das allmendt Legen Zulaßen, umb erlaubnus gebetten. Erkannt Willfahrt, doch daß er jährlich 2 ß. Zinß davon Zahlen solle, so er acceptirt

Accord passé entre Frédéric Jean de Bock et son voisin Christophe Otto

Chartier de Nidernai – Papiers, cote 123
5-7. Litige opposant Frédéric Henri Bock au négociant Christophe Otto, son voisin dont les latrines contaminent l’eau de son puits (1788) 3 p. all.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Michel Hatzung expose les travaux qu’il va faire dans la maison du marchand Martin Fritsch, aménager au deuxième étage un poêle vers la rue et une cuisine par derrière.

(p. 96) Freÿtag d. 4. Aprilis 1766 – H. Martin Fritsch burger und handelsmann will in seiner beÿ St. Johann gelegener behaußung im Zweÿten Stock lincker hand eine Stube gegen der gaß, hinten daran eine Küche mit Herd und Caminschoß machen, das rohr an einem alten darneben befindlichen hinauf führen von allem Holtz entfernt. Erkanndt Willfahrt – Meister Hatzung

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Quai St Jean

nouveau N° / ancien N° : 6 / 56
Gerber
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 11 case 4

Friederich André sculpteur

P 39, sol, Maison bat. et c, Quai St Jean 56
Contenance : 5,60
Revenu total : 218,91 (216 et 2,91)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 47 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 186 case 2

Friederich André sculpteur

P 39, Maison, sol, Quai St Jean 12
Contenance : 5,60
Revenu total : 218,91 (216 et 2,91)
Folio de provenance : (11)
Folio de destination : theilw. zerst.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 39, Haus
Revenu total : 170,91 (168 et 2,91)
Folio de provenance : (11)
Folio de destination : theilw. zerst. Berichtigung
Année d’entrée : 1871
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :
1871, Maisons détruites pendant le blocus – Friederich André f° 186, P 39, revenu 216

P 39, maison
Revenu total : 218,91 (216 et 2,91)
Folio de provenance : Rectif.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 48
fenêtres du 3° et au-dessus :
1875 – Friederich Andreas f° 186-I, P 39, maison, revenu 216, rectification

Cadastre napoléonien, registre 24 f° 214 case 2

Friederich Andreas Bildhauer
1879 von Jaffa August, Kaufmann zu London
1881 Fritsch Eduard, Rentner
1886/87 Allonas Joseph, Notar

P 311, Hofraum, Haus, St Johannstaden 12
Contenance : 5,60
Revenu total : 218,91 (216 et 2,91)
Folio de provenance :
Folio de destination : (Hfr) Gb – (Haus) Abbruch
Année d’entrée :
Année de sortie : 1882
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 48
fenêtres du 3° et au-dessus :
1882 – Fritsch Eduard f° 214-II, P 311, Haus, Reinertrag 216, Abbruch, Zeit 1880

P 311, Haus
Revenu total : 716,91 (700 et 14 et 2,91)
Folio de provenance : Neub.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1884
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 58 / 46
fenêtres du 3° et au-dessus : 29 / 23
1884 – Fritsch Eduard f° 214-2, P 311, maison, Reinertrag 700, Neubau, vollendet 1881, steuerbar 1884, besteuert 1884
id. P 311, maison de derrière, Reinertrag 14, Neubau, vollendet 1881, steuerbar 1884, besteuert 1884<
/p>

P 311, Pförtnerhaus
Revenu : 14
Folio de provenance : Neub.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1884
Année de sortie :

Cadastre allemand, registre 31 page 261 case 5

Parcelle, section 55, n° 13 – autrefois P 311
Canton : St Johannesstaden N° 12
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G.
sol, maison et bât. acc, droit de créance et de superficie
Contenance : 5,64
Revenu : 5000 – 6650 – 6150
Remarques : 1911 Minderung
1952 dim. à p. 263 c. 3 – 1952 annulé

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1933), compte 1726
Allonas Joseph d. Erben u. Witwe
(-)

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1933), compte 230
Bonnaymé Peter
1933 Fries Henri Entrepreneur son épouse née Stuhlmann
(1493)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1933), compte 5427
Allonas Joseph notaire, veuve née Madeleine Haenning
1935 Schirck Edouard principal clerc de notaire sa veuve et copropriétaires

Cadastre allemand, registre 31 page 263 case 3

Parcelle, section 55, n° 13
Canton : Quai St Jean N° 12 (compte 6602)
Désignation : sol, maison et bât. acc, droit de créance et de superficie
Contenance :
Revenu :
Remarques : 1952 de page 261 c. 5 – 1952 annulé

(Propriétaire), compte 5427

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton I, Rue 16 Quai de St Jean p. 32

56
Pr. de Bock, Fréd. Henri – Noble
loc. Denner, Martin, Receveur
loc. Seifert, Joseph, Cap°
loc. Bleifus, Salomé – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Johannesstaden (Seite 66)

(Haus Nr.) 12
Ott, Pförtner. 0
Allonas, Justizr. Notar. E 01
Dreyfuss, Gerbereibes. 2
Naegele, Wwe. 3
Somborn, Professor. 3

Annuaire d’adresses, 1910
12
Allonas, M. Rentnerin. E 1
Heng, F. Justizrat, Notar. 0
Dr. Allonas, Rechtsanw. 01
Somborn, K. Professor. 3
Ott. A. Spengler u. Pförtner. H 0

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 223)

12, quai Saint-Jean (volume I, 1880-1993)

L’entrepreneur de construction Albert Lohmüller est autorisé en 1880 à surélever le bâtiment d’un étage. L’avocat Allonas fait poser en 1909 quatre stores dans les baies des fenêtres. Le notaire Jacques Hartmann retire son panonceau en 1940. Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage en partie le bâtiment. Jean Hartmann et Lucie Gunther, veuve d’Edouard Schirck, font aménager en 1947 un logement dans les combles sous la direction de l’architecte A. Kintz. La Police du Bâtiment déclare en 1957 que la loge du concierge au fond de la cour est inhabitable. Léon Loos, gérant de la société civile immobilière 12, Quai Saint-Jean, fait aménager en 1956 un garage à droite au fond de la cour. La partie arrière de la cour est couverte en 1960. La société anonyme La Strasbourgeoise (diffusion textile) transfère en 1965 son siège du 15, rue du Maire Kuss au 12, quai Saint-Jean. La société anonyme Wärtsilä Diesel International, locataire, charge en 1992 l’architecte Henri Kubler de suréléver le bâtiment arrière, d’aménager des garages au rez-de-chaussée et des bureaux aux étages.

Sommaire
  • 1880 (septembre) – L’ingénieur d’arrondissement Pfersdorff transmet à l’agent voyer Ruppert la demande de l’entrepreneur de construction Albert Lohmüller de surélever d’un étage le bâtiment sis 12, rue Saint-Jean
    L’agent voyer déclare que le soubassement ne devra dépasser que de 10 centimètres au plus de l’alignement alors que le projet prévoit un empiétement de 12 à 15 centimètres
    Réponse du commissaire de police von Saldern à l’entrepreneur Lohmüller (demeurant 3, quai de l’Abattoir) qui demande l’autorisation de réparer et de surélever le bâtiment.
  • 1909 – L’avocat Allonas demande l’autorisation de poser quatre petits stores – La Police du Bâtiment note que les stores déjà posés dans les baies de fenêtres ont un mètre de large. – Autorisation de poser quatre petits stores à enroulement.
  • 1916 – Commission des logements militaires – Travaux à faire dans le logement du concierge et à la toiture de la buanderie – Travaux terminés, septembre 1916
  • 1923 – L’entrepreneur de peinture Hegenhauser (9, rue Saint-Maurice) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord
  • 1927 – La Police du Bâtiment constate que l’avocat Allonas a suspendu sans autorisation une antenne de T.S.F. entre la maison et celle sise 1, rue du Vieux-Marché-aux-Vins – Le rappel reste sans effet – Le maire fait un courrier au procureur de la République (biffé) – L’avocat présente une demande – Autorisation
  • 1940 – Le notaire Jacques Hartmann déclare avoir retiré son panonceau en saillie – La Police du Bâtiment constate le fait.
  • 1941 – Rapport d’incendie dans la maison du notaire Hartmann. Le plafond d’une chambre a brûlé sur deux mètres carrés près de la cheminée, au rez-de-chaussée du bâtiment en aile – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de remplacer la poutre endommagée. La cheminée peut être supprimée puisqu’il y a un chauffage central.
  • 1946 – Le bombardement aérien du 25 septembre 1944 endommage en partie le bâtiment. Certificat de sinistre accordé à Robert Muckensturm
  • 1947 – Jean Hartmann et Lucie Gunther veuve d’Edouard Schirck demandent l’autorisation d’aménager un logement dans les combles – La Division I transmet à la Division V les plans signés par l’architecte A. Kintz (23, rue de la Première Armée) – Autorisation (arrêté portant permis de construire) – Travaux terminés, février 1948. – Certificat de conformité, août 1948
  • 1956 – Les consorts Schirck Hartmann sont autorisés à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la façade
  • 1957 – La Division I demande à la Division V s’il faut considérer que le logement du concierge est habitable ou non. La Police du Bâtiment déclare que la loge du concierge au fond de la cour est inhabitable, le plancher étant pourri.
  • 1956 – Léon Loos, gérant de la société civile immobilière 12, Quai Saint-Jean (demeurant 37, rue Erckmann-Chatrian) dépose une demande de permis de construire pour aménager un garage au fond de la cour sur la droite – Plan de situation, dessin – Arrêté portant permis de construire, 21 mai 1958 – Les travaux qui consistent à percer une porte et retirer des cloisons sont terminés en juin 1958
  • 1960 – Michel Bossert, président de la société (demeurant 8, rue Boussingault) dépose une demande de permis de construire pour faire couvrir la partie arrière de la cour par la société de Constructions métalliques Geyler (91, route des Romains à Kœnigshoffen et 4, rue Schweighaeuser) – Plan de situation, dessin (plan de couverture d’une cour, propriété de M. Martin 12 quai St Jean) – Arrêté portant permis de construire, mai 1960 – Travaux terminés, juin 1960.
  • 1965 – La société anonyme La Strasbourgeoise (diffusion textile) transfère son siège du 15, rue du Maire Kuss au 12, quai Saint-Jean. Elle est autorisée à poser une enseigne perpendiculaire – L’autorisation est périmée sans que l’enseigne soit posée
  • 1968 – Le maire demande à la société civile immobilière 12, Quai Saint-Jean (37, rue Erckmann-Chatrian) de faire ravaler la façade
    1968 – Nouveau courrier au président de la Société d’immeubles
  • 1969 – Réponse du maire à Gaston Levy (gérant de la société immobilière) suite à des infiltrations provenant de la galerie qui prolonge l’église Saint-Jean – Le conservateur régional des Bâtiments de France Jean Dumas renvoie l’affaire à la Ville de Strasbourg, propriétaire des lieux – Rapport sur la galerie
    1969 (février) – Le ravalement est lié à celui de la clôture (galerie) à côté de l’église. La Ville a isolé la terrasse de la galerie et déposé la balustrade dont une partie menaçait de tomber sur le trottoir
    1969 (octobre) – La société civile immobilière déclare qu’elle fera ravaler la façade dès qu’elle aura été indemnisée des dégâts causés par les infiltrations (factures jointes)
    1970 (mars) – La société civile immobilière déclare qu’elle fera ravaler la façade dès que le mur sera entièrement sec, en se référant à un courrier du service d’architecture
    1972 – L’entreprise P. Parini (3, rue Marbach) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, mai 1972.
  • 1982 – Les notaires associés Robert Riedel et Roland Schmitt (5, quai Desaix) demandent des renseignements d’urbanisme relatifs à l’immeuble qui appartient à la société civile immobilière 12, Quai Saint-Jean
  • 1989 – L’entreprise L. Scherberich (162, rue du Ladhof à Colmar) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1992 (février) – Henri Kubler (49, rue Erwin) dépose une demande de permis de construire pour transformer le bâtiment arrière (surélévation, aménagement de garages au rez-de-chaussée) – Photographies
    1992 (mars) – L’entreprise André Nonnenmacher (24, avenue de Strasbourg à Brumath) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
    1992 (février) – Pentti-Johani Hintikka (demeurant 2, rue Hannong à Lingolsheim), demande au nom la société Wärtsilä Diesel International S.A. l’autorisation de transformer le bâtiment arrière sous la direction de l’architecte Henri Kubler pour y aménager des bureaux. Propriétaire, S.C.I. 12, quai Saint-Jean (domiciliée 12, rue Fischart). Hauteur du bâtiment, 19,50 mètres, surface habitable 128,61 m² – Dessins
    Notice de l’architecte intitulée Restructuration fonctionnelle de l’immeuble. Bâtiment sur rue, deux nouvelles lucarnes identiques à celles qui existent déjà. Bâtiment sur cour, bureaux au rez-de-chaussée convertis en garages, toiture surélevée aux 4° et 5° étage à la hauteur du mur mitoyen. Eera Teerikangas atteste au nom de la société que les locaux ne sont pas destinés à accueillir le public.
    1992 (mars) – Prescriptions de la Direction départementale du travail
    1992 (avril) – Prescriptions du service des incendies
    Le maire délivre le permis de construire
    1992 (mai) – Déclaration d’ouverture de chantier. Les travaux ont commencé, juin 1992
    1992 (novembre) – Déclaration d’achèvement des travaux
    1992 (décembre) – Les travaux sont conformes à l’autorisation
    1993 (mars) – Observations du service des incendies – Certificat de conformité
  • 1992 (juillet) – Henri Kubler demande au nom de la société Wärtsilä Diesel International l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Wärtsilä Diesel Group) en caractères peints sur le mur mitoyen – Dessin
    1992 (août) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation – L’autorisation est périmée sans que l’enseigne soit posée

Autre dossier
12, quai Saint-Jean (volume II, 1993-1994) cote 954 W 124


Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du jardinier Laurent Voltz.

Fils d’Ulric Voltz, Laurent Voltz épouse en 1585 Anne, fille d’Adam Rench
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p 105 n° 3)
1585. den 1. Februarÿ. Mit diesen seind eingesegnet Lorentz Voltz Vlrich Voltzen nachgelaßener Son vnd Anna, Adam Renchen nachgelaßene Tochter (i 54)

Sa fille Aurélie épouse en 1607 le jardinier Gabriel Braunstein : contrat de mariage, célébration
1607 (9. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 52
(Inchoat. fo: 61. [Eheberedung]) Erschienen der Erbar Gabriel Brunsteÿn Gartner alhie ane einem
So dann der Ehrenhafft Lorentz Voltz auch gartner burg. alhie Inn nammen vnd Vonn Weg. Jungfr. Aurelien seiner lieben dochter Am Anderntheÿl
demnach sie beÿde Gabriel Brunsteÿn und Aurelia Voltzin den 20. Januarÿ diß gegenwertigen 1607. Jahrs einander ehelichen Zugesagt

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105 n° 16)
1607. Gabriel Braunstein gartner Daniel Braunstein verlasner Sohn, vnd J. Aurelia Lorentz Voltzen des gartners tochter 7. Febr: (i 107)

Anne, fille de Laurent Voltz, épouse en 1611 le jardinier Paul Siffrid
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 127 n° 118)
1611. 26. Novemb. Paulus Syfrid der Gartner, J. Anna, Lorentz Voltzen deß Gartners Tochter (i 130)

Fils de Laurent Voltz, le tondeur de draps David Voltz épouse en 1624 Susanne, fille du tondeur de draps Jacques Kips
Mariage, cathédrale (luth. p. 180)
1624. Dominica XI. Trin. 8. Aug. Dauid Voltz der Tuchscherer, Lorentz Voltzen des gartners e. sohn, vnd J. Susanna Jacob Kips des tuchscherers dochter. Eingesegnet Zinstag 17. Aug. (i 95)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 170-v) 1624. Dominica XI. Trin. 8. Aug. Dauid Voltz d. tuchscherer, Lorentz Voltz Gartners selig. nachgelaßener Sohn, J. Susanna Jacob Kipßen deß Tuchscherers allhier eheliche tochter. 17. Aug. im Münster (i 175)

Le sénateur Gabriel Braunstein, le tondeur de draps David Voltz, Anne Voltz assistée de son mari Paul Siffrid vendent en leur nom et en celui de Laurent Voltz, engagé dans les troupes, la maison au jardinier Thiébaut Voltz

1634 (ut spâ [14. Febr:]), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 99-v
(Protocollat. fol. 16.) Erschienen Gabriel Braunstein Kleinen Rhat v.wanther, Dauid Voltz, Tuchscherern Anna Voltzin mit beÿstand Paul Sÿfridts deß gartners haußwürths für sich vnd innamen Lorentz Voltzen, so dem Kriegswesen nachziehet (verkaufft)
Dieboldt Voltzen gartner vnd. Wagner
hoff, hauß, hoffstat, Scheür vnd Ställ, mit allen And. gebawen & alhie vorm Speÿrthor einseit neben ein hauß, S. Marx gehörig & neben hanß Guten gewesenen Schultheissen se. Zu Kleinfranckenheim erben, hind. vf S. Marx garten, dauon gehen 3. fl. bod. Zinß dem Stifft Jung. S. Peter, So ist diser hoff auch noch verhafftet vmb 100. lb hanß Voltzen grossen Rahts Verwanthen – p. 300. lb

Bien que l’acte ne mentionne pas que l’acquéreur est propriétaire d’une partie de la maison, il est probable que Thiébaut Voltz soit le frère des vendeurs, marié en 1630 avec Aurélie, fille du jardinier Jean Westermann

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 5-v)
1630. Dominica Vocem Jucunditatis. Diebold Voltz der gartner Lorentz Voltzen deß Gartners nachgelaßener Sohn, J. Aurelia Hanß Westerman deß gartners eheliche dochter ii. Maÿ (i 7)

Le jardinier Thiébaut Voltz, fils de Zacharie, épouse en 1613 Anne Klein
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 25)
1613. Theobald Voltz der Gartner Zacharias Voltz. seligen gewesenen Gartners vnd Burgers alhier ehelicher Sohn, vnd J Anna Kleinin Lorentz Kleinen selig. hinterlaßene tochter (i 13)

Fils du remueur de grains Laurent Voltz, Thiébaut Voltz lui aussi remueur de grains épouse en 1621 Barbe, fille de Laurent Deiner
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 336)
1621. Dom: 23. Trinit: Dieboldt Voltz der Kornwerffer Lorentz Voltzen des Kornwerffers Sohn, J: Barbara Deiners Lorentzen des Kornwerffers selig Hinderlaßene tochter, eingesegnet Montag 12. Octobris (i 173 – Proclamation Saint-Pierre-le-Vieux f° 157-v Dom: XXIII Trin. Diebold Voltz d. Kornwerffer Lorentz Voltzen deß Kornwerffers ehelich. Sohn J. Barbara Dennings Lorentzen deß Kornwerffers allhier nachgelaßene tochter. Zum J. St. Peter 12. 9.br (i 162)

Le jardinier Thiébaut Voltz hypothèque la maison au profit du jardinier Georges Schell

1637 (ut spâ [21. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 392
Erschienen Diebold Voltz gartner und. Wagner
hatt in gegensein Georg Schellen auch gartners daselbsten – schuldig seÿ 100. lb
dafür Vnd.pfand sein soll hoff, hauß, hoffstat, Scheür vnd Ställ mit allen andern ihren gebäwen, alhie vorm Speÿrthor neben eim hauß S. Marx gehörig & handelsmann Guten see: zu Klein Franckenh. erb. hind. vff S. Marx garten stoßend, dauon gehen Jarß 30. ß bod. Zinß dem Stifft jungen S. Peter, So seind sie auch noch v.hafftet umb 100. lb. H hanß Voltz. It. vmb 50. lb. d Mathiß Nartz, witib, It. umb 25. lb Martin Kauffer, Mehr umb 50. lb. Margreth Voltzin Kindern, So dann umb 50. lb Anna Voltzin

Les syndics de la masse de feu le jardinier Thiébaut Voltz vendent la maison au jardinier Martin Wurtz le jeune

1648 (28. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 199
(Prot. fol. 47.) Erschienen H Johann Kolb und H Laurentius Treutel der Notarius beede alß vß E.E. Kleinen rhats mittel Zu Weÿl. Diebold Voltzen Gartners under Wagner nunmehr seel. Verlassenschafft und deren Distraction insonderheit Deputirte, mit beÿstand H Georg Camehlß dero Recht. Doctoris und wohlgeachts Rhats Actuarÿ & Referendarÿ
haben in gegensein Martin Wurtz. deß iüngern Gartners under wagner mit beÿstand Martin Wurtz. deß ältern von Eckhboltzheim und Beat Trennß. Gartners und. Wagner beed. seiner Vettern
hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Stallung, mit allen deren Gebäwen vor dem Speÿrthor beÿ St. Marx einseit neben einer Behaußung dem Stifft St Marx gehörig, anderseit neben weÿl. hannß Guten deß Schultheiß. Zu Klein Franckhenheim Erben, hind. vff deß Stiffts St Marx Garten stoßend gelegen, davon gehnd iahrs j. lb. 10. ß bodenzinß dem stifft iung. St Peter – umb 395. lib

L’acte précédent comme les ventes ultérieures figure dans le Chartrier de Nidernai comme ayant appartenu au noble de Bock à la fin du XVIII° siècle
art. 1414 puis 1520-1521 (1726, vente à André Voltz), 1566 (1765, à Martin Fritsch)

Fils d’André Wurtz, Martin Wurtz épouse en 1645 Marie, fille de Béat Trenss
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 120 n° 8)
1645. Dom. Rem. Martin Wurtz, Andreß Wurtz. s. sohn, J. Maria Bath Drensen s. de eltern tochter (i 63)

Martin Wurtz hypothèque la maison au profit de Barbe Wild, belle-fille du jardinier André Lix

1664 (17. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 591
Erschienen Martin Wurtz Gartner Vnderwagner
in gegensein Andres Lixen Gartners alda im nahmen Barbaræ Wildin seiner Stieff dochter – schuldig seÿen 50 Pfund
Unterpfand sein solle, Hauß, hoff, hoffstatt Scheur mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Vorstatt Vnderwagner, beÿ St. Marx, einseit neben Michael (-) Von Doßenheim, anderseit neben einer behaußung dem großen gemeinen allmosen Zu St. Marx gehörig, hinden uff gd. Allmosens Scheur stoßend gelegen, davon gehend iährlich. 1 lb 10. ß d Zinnß dem Stifft Zum Jungen St. Peter,
Item sein deß Debitoris fünffter theil an all dem Jenigen, so derselbe von weÿl. Aurelia Rothin seiner eheleiblichen Muter nunmehr seel. geerbt und hannß Von Fridolßheim der älter Gartner Vnderwagner ad dies vitæ Usufructuarié Zugenießen habe
dabeÿ ist gewesen Maria, deß Schuldners Eheweib

Marie Drens, femme de Martin Wurtz, meurt en 1668
Sépulture, Sainte-Aurélie (luth. f° 7-v)
1668. Maria Drensin, Martin Wurtzen fr. den 1.ten Febr. (i 9)

La maison revient à la fille des précédents, Aurélie Wurtz, qui épouse en 1666 le jardinier Jean Adolphe Huber, fils du jardinier Jean Philippe Huber

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 153) 1666. Donnerst. den 8.ten Febr. Jung. St. Peter. Hans Adolff Huber Gartner, hans Philips Hubers Gartners Sohn, vnd Jfr. Aurelia, Martin Wurtzen des Gartners ehel. tochter (i 79)

Jean Adolphe Huber, jardinier au Faubourg de Pierre et Aurélie Wurtz hypothèquent la maison au profit du maréchal ferrant Jean Hoh

1670 (6. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 511
Erschienen Hannß Adolph Huober Gartner ahne Steinstraß Vnd Aurelia sein eheweib, Vnd Zwar Sie Aurelia mit assistentz Martin Würtzen und Lorentz Schotten ihres Vatters und Schwagers
in gegensein Hannß Hohen deß Huoffschmidts – schuldig seÿen 37. Pfund
Unterpfand, Ein trittel ahne Einer Behaußung und all. deren Gebäwen & beÿ St Marx, einseit neben Michael Doßenheim & cons. von Schnerßheim, anderseit neben St. Marx Behaußung, hind. uff St. Marx Closter Maur stoßend gelegen, von welch. gantz. Behaußung gehen iahrs 1 lib. 10 ß dem Stifft Zum Jung. St. Peter

Jardinier au Faubourg des Charrons, Jean Adolphe Huber meurt en 1717 en délaissant six petits-enfants issus de son fils Jean Philippe et de sa fille Marguerite. L’inventaire mentionne les bien avenus à la veuve de sa mère Marie Drenss. Les experts estiment la maison 425 livres. La masse propre à la veuve est de 551 livres, celle de l’héritière de 2 465 livres. L’actif de la communauté est de 1297 livres, le passif de 322 livres.

1717 (25.1.), Not. Mader (6 E 41, 673) n° 246
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Hannß Adolph Hubers geweßenen Gartners under Wagnern und Burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1717. – nach seinem den 4. 9.bris deß zurückgelegten 1716.ten Jahrs beschehenem tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft denn auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der ane Nachfolgendem folio in specie benambßter Erben Inventirt und ersucht, durch die Tugendsame Fraw Aureliam Hueberin gebohrne Wurtzin die hinterbliebene Wittib beÿständlich des Ehrengeachten Diebold Schär des Gartners ane Steinstraß und burgers allhier dero geschwornen vogts (…) So Geschehen in Straßburg den 25. Januarÿ Anno 1717.
Der in Gott ruhende Adolph Hueber seel: hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie Volgt. 1. Weÿl. Hannß Philippß Huebers geweßenen Garthners unter Wagnern seel: mit auch Weÿl. Aurelia gebohrener Riehlin seiner Ersten haußfrauw nunmehr auch seel. Nachgelaßene Zweÿ Kinder, benantlichen Margaretham und Jacob Hueber, in dero Nahmen aber Zugegen gewesen Hanß Drenß Garthner under Wagnern dero geordnete und geschwohrne Vogt, So dann Barbaram Hueberin erstgedachten Hanß Philipß Huebers mit Fraun Barbara Lixin seiner Zweÿten Haußfrauen erzeügtes Töchterlein, in dero Nahmen hiebeÿ erschienen der Ehrengeachte Michel Hügel, der Garthner unter Wagner dero geordnete und geschwohne Vogt, also alle dreÿ in den ersten Stammtheil
So dann in den Zweÿten Stammtheil 2. Weÿl. Frawen Margarethä Hügelin gebohrner Hueberin mit erstgedachtem Michel Hügel in erster Ehe erzeugte dreÿ Kinder benantlichen und 1. Margaretham Riehlin gebohrene Hüegelin, Diebold Riehlen des Jüngern auch Gartners allh. Ehefrau, welche mit beÿstand deßelben dießem geschäfft abgewarthet, 2. Mariam und 3. Annam Hügelin, weilen aber dieselbe annoch minorennes, alß ist in dero Nahmen anweßend geweßen der Ehrengeachte Hanß Lix Garthner daselbst, dero geordnete und geschworne Vogt, Alle Sechß deß Verstorbenen seel. Enckel und ab intestato Erben.

In einer in der Statt Straßburg beÿ St. Marx gelegene und in diße Verlaßenschafft gehörig behaußung ist befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreiner Werck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Wohn Stub, Im Haußöhren, In der Kuchen
Eÿgenthumb an Einer Behaußung (W. 66 lb 10 ß 8 d, 5/6 F. 304 lb 3 ß 4 d) Item eine Behausung, hoff, hoffstatt Scheür und Stallung mit allen deren übrigen Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg beÿ St.Marx gelegen, einseit neben den Johanniter herr Zum Grünen Wörth anderseit neben H Schuldtheißen Von Wingersheim, hinden auff Vorgedacht H. Johannitter herrn, davon gehen Jährl. auff Weÿhenachten 1. lb 10 ß d: bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter alhier, lößig in unvorgreifflichen Capital mit 60. lb d Sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig und eÿgen, und durch die Stadt Straßburg geschworne Werck Meistere Crafft beÿ mein Notarÿ Concept befindl. Abschatzung Sub dato 21. Januarÿ Anno 1717 angeschlagen pro 425. lb d. Dauon seind abzuziehen obige Beschwerde sothun 60 lb Nach solchem Abzug Wird ane Vorstehendem Anschlag annoch übrig bleiben 365. lb. Darüber meldet ein teutsch pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. Stuben gefertiget und mit dero anhangendem Insigel verwahret datirt den 28.t. Martÿ 1648. mit altem Lit. A. bezeichnet und nach besichtigung darbeÿ gelaßen
Ergäntzung der Wittib unverändert Guths. Innhalt Inventarÿ Zugebrachter Nahrung durch Weÿland herrn Johann Thoman Thromern geschwornen Notarium publicum in Anno 1666. gefertiget hat mann der Wittib Zu Ergäntzen alß Volgt
Vermög Theil Registers über alles dasjenige, was der Wittib beÿ Weÿl. Frauen Maria Drenßin gebohrene Wurtzin, Ihrer Mutter seeel. Erblichen Zu: und angefallen, durch Weÿland Herrn Johann Thromern geweßenen Notarium publ. in Anno 1669. gefertiget, hat mann der Wittib ferner Zu Ergäntzen, wie volgt
Series hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 7, Sa. Silbergeschirrd undt geschmeids 5, Sa. Eigenthums an einer behaußung 60, Sa. Eigenthum ane liegenden güthern 168, Sa. beßerung 1, Sa. Ergäntzung (31, Abzug 2, Rest) 28, Summa summarum 271 lb
Der Erben ohnverändertes Vermögen, Sa. haußraths 26, Sa. Faß und Bütten 6 ß, Sa. guldener Ring 14 ß, Sa. der baarschafft 8 ß, Sa. Eigenthum ane Eÿgenthümblich Liegenden Veldt 120, Sa. der beßerung ane Erb und Lehengüther 12, Sa. Ergäntzung (300, abzug 5, Rest) 294, Summa summarum 454 lb
Das Theilbahre guth, Sa. haußraths 50, Sa. Lerer Faß 8 ß, Sa. Früchten 19, Sa. Schiff und geschirrs 15, Sa. Pferdt und Rindt Viehes 10, Sa. Strohes 1, Sa. beßerung 13 ß, Sa. Schleißhanffs 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 22, Sa. goldene Ring 3, Sa. der baarschafft 65, Sa. Pfenning hauptguths 225, Sa. Eigenthumbs an einer behaußung 204, Sa. Eigenthums ane Liegenden Veldt güther 669, Sa. der Beßerung 6, Summa summarum 1297 lb – Schulden 322 lb, Nach deren Abzug 964 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1700 lb

Aurélie Wurtz meurt en juillet 1725. Les experts estiment la maison à 475 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 464 livres, le passif à 322 livres.

1725 (17.6.), Not. Mader (6 E 41, 683) n° 517
Inventarium über Weÿland der tugend sahmen Fr. Aureliæ Huberin gebohrener Wurtzin auch Weÿland Hanß Adolph Hubers geweßenen guw. seel. nachgelaßener Wb. nunmehr auch seel. Verlaßensch. auffgerichtet Anno 1725. – nach ihrem Sambstags den 14. Julÿ deß fortlauffenden 1725.ten Jahrs beschehenem tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft denn auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der ane hernach folgendem folio in specie benamßter Erben Inventirt (…) So Geschehen in der königlichen Statt Straßburg auff dienstag d. 17. Julÿ 1725.
Die verstorbene Frau seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. die tugendsahme Frau Margaretha Mollin gebohrene Huberin deß Ehrsamen Diebold Mollen Garthners unterwagnern und burgers allhier Zu Straßb. Ehefrau, welche mit assistentz gedachten ihres Ehemanns dießer Inventation abgewarthet, 2. Jacob Hubern Leedigen GUW, so auch mit beÿstand deß Ehrengeachten Hanß Drenßen ebenmäßig Garthners daselbsten, deßen Geschworner vogt, dießem Geschäfft beÿgewohnet, dieße Zweÿ von Weÿl. Hanß Philipp Hubern Geweßenen GUW und burgern allhier, mit Fr. Aurelia gebohrner Riehlin seiner ersten Haußfrauen ehelich erzeugt: und nachgelaßene Kinder, in den Ersten Stamm
So dann in den Zweÿten Stammtheil 1. die tugendsahme Frau Margaretham Riehlin gebohrne Hügelin, deß Ehrsamen Diebold Riehlen des Jüngern auch Garthners allda Ehefr. welche beÿstand. ged. ihres mariti dießer Inventur gleichfalls beÿgewohnet, 2. weÿl. der tugendbegabten Mariæ Wundererin gebohrner Hügelin, deß Ehrbahren Hanß Wunderer Lorentzen Sohns GUW geweßener Ehefr. seel. nachgelaßenes töchterlein nahmens Maria in deßen Nahmens Zugegen geweßen der Ehrengeachte Michel Hügel ebenmäßiger Garthner Unterwagnern, deßen Geschworner vogt, 3. die tugendbegabte Frau Annam Börßin, gebohrne Hügelin, deß Ehrsahmen Andreæ Von Borßen GUW ihres mariti welche beede persönlich hierbeÿ Zugegen Geweßen, Dieße dreÿ von Weÿland Margaretha gebohrner Huberin mit obged. Michel Hügel ehelich erzeugt und hinterlaßene Kinder. Alle fünff d. v.storbenen Fr. seel: hinterlaßene Enckel und ab intestato nächste Erben Zugleichen portionen und antheilen

In einer in der Statt Straßburg vorstatt unterwagnern ohnfern S. Marx gelegenen in diße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Nebens Cammer, Im untern Haußöhren, In der untern Wohn Stub, In d. Kuch. In d. Magd Cammer, Im Keller
Eÿgenthumb an Einer Behaußung (4/9.te theil Margarethä Riehlin gebohrner Hügelin prælegat, 5/9.te theil Mariä Wunderein gebohrner Hügelin seel. hinterl. Kindts Legat). Eine Behausung, Hoff, Hoffstatt Scheür und Stallung mit allen deren übrigen Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg beÿ St. Marx gelegen, 1.s. neben dem Closter St Johann Zum Grünenwörth 2.s. neben Herrn N. Schultheißen Von Wingersheim, hinten auff Vorgedachtes Closter stoßend, davon Gehen Jährl. auff Weÿhenachten 1. lb 10 ß d: bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter allhier, lößig in unvorgreifflichem Capital mit 60. lb d sonsten gegen männiglichen freÿ ledig und eigen, und vermög der unterm 23. Julÿ 1725 von den Geschwohrnen Hh Werckmeister, mir Notario eingehändigten Abschatzung angeschlagen worden vor 475. lb d. Dauon seind abzuziehen obige Beschwerde so thun 60 lb, restirt also ane dem anschlag solcher behaußung annoch so in Außwurff Zubringen mit 415. lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentener Kffbr. in allh. C. C. st. gef. und mit dero anh. Inns. v.w. dat. d. 28.t. Mart: 1648. mit altem Lit. A. bezeichnet und nach besichtigung darbeÿ gelaßen.
Der Erben unuerändert Vermögen, Sa. haußraths 26 (beßerung 13), Sa. leerer Faß 6 ß, Sa. guldener Ring 14 ß, Sa. baarschafft 8 ß, Sa. Eigenthum ane liegenden güthern 120, Sa. beßerung 12, Sa. Ergäntzung (300, Abzug 5, Rest) 294, Summa summarum 468 lb
Die Theilbahre Nahr. betr., Sa. haußraths 50 (beßerung 25), Sa. Leerer Vaß 8 ß, Sa. Früchten 19, Sa. Schiff und geschirrs 15, Sa. Pferdt und Rindt Viehes 10, Sa. Stroh 1, Sa. Tung und beßerung 13 ß, Sa. Schleißhanffs 1, Sa. Silbergesch. und Geschmeids 22, Sa. goldener Ring 3, Sa. d. baarschafft 65, Sa. Pfgzß hbtg 225, Sa. Eigenthumbs an einer behaußung 204, Sa. Eigenthums ane Liegend. Feldt güther 669, Summa summarum 1464 lb – Passiva 322 lb, Detrahendo verbleibt 1218 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2261 lb
Wÿdumb, Welchen die Verstorbene seel. von ihren haußw. weÿl. H hannß Adolph Hubern gewes. G. u. W. v. b. allh. längst weel. inhalt hievorn einverleibten Codicilli Reciproci ad dies vitæ genoßen

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 900 florins (450 livres) sur un total de 4 500 florins
1727, Livres de la Taille (VII 1176) f° 109
GUW. F. N° 4094. – Weÿl. Aureliæ gebohrner Wurtzin auch Weÿl. Hannß Adolph Huber gewesenen Gartners und burgers alhier hinderbliebener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Mader.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 114 – 2261. lb 10. ß, die machen 4500. fl
Verstallte 3600. fl. also zu wenig 900. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 2. lb. 14 ß – 16. lb. 4. ß
Und auff vier Jahr in simplo à 1. lb 7. ß. – 5. lb. 8 ß
Extat das Stallgeltt pro 1726 et 1727 – 10. lb 16. ß
Gebott, 4 ß
Abhandlung, 2. lb 12. ß 6. d – Summa 35. lb 4. ß 6. d.
Straff 6. lb 10. ß
Auff bitten der Erbs Interessenten und weilen dieselbe nicht in mora gewesen haben die Herren dreÿ die Straff wieder Völlig nachgelaßen.
dt. 26.t Aprilis 1727.

Les héritiers Huber vendent la maison à André Voltz, jardinier au Faubourg des Charrons, moyennant 800 livres

1726 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 508-v
weÿl. Johann Adolph Huber gew. g.u.w. und deßen wittib Aureliae geb. Würtzin nachgelaßene Enckelin Margaretha geb. Hügelin Dieboldt Riehl g.u.w. ehefrau beÿständlich deßelben, Ferner Michael Hügel auch g.u.w. als großvatter und vogt Maria geb. Hügelin Hannß Wunderer auch g.u.w. verstorbenen ehefrau hinterlassenen lebendigen einigen kindts obged. Huberischer eheleuth Uhrenckelin Maria Wundererin so dann er Wunderer für sich selbst als Erb seines nach erstbemeldter einer hausfrauen seel. todt verstorbenen töchtereins Anna Wundererin
in gegensein Andreas Voltz g.u.w., ahm 16. Aprilis vorgegangen: und ahm 20. ejusdem obrigkeitlich confirmirter versteigerung
Eine Behausung Scheur Stallung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten beÿ St Marx, einseit neben dem ordens hauß zu St Johann allhier, anderseit neben dem Schultheißen von Wingersheim hinten auff ged. Closter und Ordenshauß zu St Johann – davon soll man 1 lb 10 ahne ewigen etwann bodenzinß dem Stifft zum Jungen St Peter – ihme Wunderer zu 5/18 seinem Kind auch zu 5/18 so dann der Riehlischen ehefraun zu 8/18 theilen – um 800 pfund

Fils du jardinier André Voltz, André Voltz épouse en 1726 Barbe, fille du jardinier Jean Riehl
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 111 n° 9)
1726. Mittw. d. 20. Martÿ wurden, nach zweÿmal. proclamation Ehl. copulirt vnd Eingesegnet Andreas Voltz lediger gartner v. burger alhier, Andreas Voltzen gartners v burgers allhie Ehl. Sohn, vnd Jungfr. Barbar weil. Johannis Rielen gartners und burgers alhier nachgel. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Andretz Voltz als hoch Ziter, Barbara Rielin als Hochzeitrin, zeugt mit diesem Zeichen +, diewolt Riehl alß bruter der Jgf. hochzeitrin (i 112)

André Voltz revend le même jour la maison au marchand de bois Daniel Vogt moyennant 900 livres

1726 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 510
Andreas Voltz g.u.w.
Daniel Vogt holtzhändlers
Eine Behausung Scheur Stallung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten außerhalb dem Speÿerthor beÿ St Marx oder zu St Johann, einseit neben dem Ordenshaus und Closter zu St. Johann anderseit neben (-) dem Schultheißen von Wingersheim und Consorten hinten auff ged. Closter und Ordenhauß zu S Johann – davon soll man dem Stifft zum Jungen St Peter 1 lb 10 ahne ewigen so etwann ane bodenzinß 1 lb 10 – geschehen um 900 pfund

Fils du marchand de bois Thiébaut Vogt, Daniel Vogt épouse en 1701 Barbe, fille du jardinier Abraham von Fridolsheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 77 n° 5)
1701. Heut dato den 4. Martÿ Seindt Ehelichen Copulirt word. Daniel Vogt der Ledige Holtz handler Herrn Thieboldt Vogten des burgers vndt Holtz händlers allhie Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr: Barbara Hr Abraham Von Fridelsheim burgere v. gartners Wie auch Brn der Christ. Gemein Zum Alten St. Peter verordneten Kirchen Pflegers Eheliche Tochter [unterzeichnet] Daniel Vogt als hochzeitter, Barbara Von Frid als hoh Zeirin (i 78)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 313 livres, ceux de la femme à 507 livres.
1701 (29.6.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 11) f° 348
Inventarium deß Ehrengeachten Herrn Daniel Vogten holtzhändlers und der Ehren und tugendsahmen frauen Barbaræ von Fridolsheim beeder Eheleuth vnd burgere zue Straßburg einander in den Ehestand zugebrachten Haab und Nahrung auffgerichtet Anno 1701. – in ihrem ohnlänst angetrettenen Ehestand Zugebracht, welche durch die beede Eheleute in beÿsein des Ehrengeachten Abraham von Fridolsheim Abrahams Sohns Garthners vnderwagnern vnd burgers alhie der frauen vatters geäugt und gezeigt (…) Beschehen Straßburg Mittwochs den 29.ten Junÿ Anno 1701.
Forma Hujus Inventarÿ. Des Herrn in Ehestand gebrachtes gutt, Haußrath, Kleÿder und weißer gezeug 93, Geschirr Zum holtzhandel gehörig 1, Silber 13, baarschafft 205, Summa summarum 313 lb
Volgt nun auch der frawen im Ehestand gebrachtes guth Zuvorderst darbeÿ der haußrath 151, Früchten 30, Wein 4, Pferdt 37, Silber 9, guldener ring 13, baarschafft 261, Summa summarum 507 lb
Haußrath 49 lb, darahn gebühren dem Herrn zween dritte theÿl thun 32 lb und der Frauen Ein dritter theÿl thut 16 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession de Barbe von Fridolsheim dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 000 florins (500 livres) sur un total de 6 200 florins
1718, Livres de la Taille (VII 1175) f° 273-v
Zimmerleüth. F. N° 2022 – Weÿl. Frauen Barbaræ gebohrner Fridolßheimin H. Daniel Vogten Holtzhändlers und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang sen.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 136, 3102. lb 19. ß 5. d, die machen 6200. fl
Verstallte 5200. fl. also zu wenig 1000. fl.
Warvon der Nachtrag alß von theilbarem Guht gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 3. lb. d, th. 18. lb
Und auff vier Jahr in simplo à 1. lb 10. ß. trifft 6. lb
Extat das Stallgeltt pro 1718. mit 10. lb 13. ß
Gebott, 1 ß 4 d.
Abhandlung, 3. lb 7 ß 6. d – Summa 38. lb 1. ß 10. d.
Auff bitten haben die Herren dreÿ nachgelaßen 2. Jahr in duplo und 1 Jahr in simplo th. 7. lb. 10. ß – restirt noch 30. lb. 11. ß. 10. d
dt. 4.t Julÿ 1718.

Daniel Voltz se remarie en 1718 avec Catherine Marguerite, fille de Daniel Richshoffer, employé à la Tour aux Deniers
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 75-v)
1718. d. 16. Octob. seind Ehelich eingesegnet word. herr Daniel Vogt der verwittibte Burger vnd Holtzhändler allhier vndt Jgfr. Catharina Margaretha Weiland herr Johann Daniel Reichshoffers geweßenen Burgers vndt dreier knechts auff allhießigem Pfenning thurn nachgelaßene Eheliche Tochter [unterzeichnet] Daniel Vogt als hochzeitter, Catharina Margaretha Richßhofferin als hochzirin (i 78)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 5894 livres, ceux de la femme à 356 livres.
1719 (7.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 45) n° 3
Inventarium über deß Ehrenvorgeachten und Wohlachtbahren Herrn Daniel Vogten, Holtzhändlers, und der Viel Ehren: und Tugendreichen Frawen Catharinæ Margarethæ gebohrner Richshofferin beeder Eheleüth und burgere zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1719. – Actum Straßburg in fernerer præsenz der Viel Ehren und Tugendreichen Fr. Mariæ Barbaræ Vogtin gebohrner Borstin deß Ehemanns geliebter Mutter, und fr: Ursulæ Richßhofferin gebohrner Strintzin der Ehefr: geliebter Mutter, Dienstags den 7.tr, Februarÿ A° 1719.
Nota Die Zwischen Eingangs gemelten beÿden Eheleüthen Verglichene Heüraths Abred ist den 9. Septembris A° 1718. durch mich Notarium verschrieben (…)

In einer allhier Zu Straßburg ohnweit St. Marx gelegener und dem Ehemann Eigenthümb. zuständiger behausung befunden worden als Volgt.
Eigenthumb ane Holtzplätzen. (M.) Item Zwenn dritte theil für ungetheilt von und ane Zween holtzplätzen in der Statt Straßburg Vorstatt beÿ dem Kagenecker bruch (…)
Wahren Zum Holtzhandel gehörig
Wÿdumb, Welchen Fr. Barbara Vogtin gebohrne Borstin Weÿl. H. Diebold Vogten deß ältern geweßenen Holtzhändlers und burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßene Wittib als deß Eheherrn gebleibte Mutter ad dies vitæ genüßt, wovon Ihme Ehehern aber das Eigenthum gehörig und Verfangen (…)
Wÿdumb, Welchen der Eheherr Von Weÿland Frawen Barbare Vogtin gebohrner von Friedolßh. seiner Verstorbenen, Ersten haußfrauen seel. loco alimentationis et Educationis der mit derselben ehelich erzeugter Vier Kinder, Nahmentlich Johann Theobalds, Annæ Barbaræ, Annæ Mariæ und Johann Friderichen der Vogte, Zu genüßen hat (…)
Series Rubricarum hujus Inventarÿ deß Eheherrn unverändert Gutt, Sa. haußraths 572, Sa. Wahren Zum Holtzhandel gehörig 1716, Sa. der früchten auff dem Kasten 122, Sa. Taback 22, Sa. Weins v. Leerer Vaß 748, Sa. Pferdt sampt Schiff v. geschirr Zum Fuhrwerckh gehörig 175, Sa. Häw vnd Stroh 24, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 130, Sa. der Guldenen Ring 19, Sa. Baarschafft 1623, Sa. Blumen auf dem Veld 7, Eÿgenthum Ane Holtzplätzen o, Eÿgenthum ane Liegenden Güttern o, Gülth von liegenden güthern o, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 1300, Sa. Schulden 1446, Summa summarum 7912 lb – Schulden 2018, Nach deren Abzug 5894
Dießem nach wird auch der Ehefrawen unverändert Gutt beschrieben, Sa. haußraths 239, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 31, Sa. Guldenen Ring 41, Sa. baarschafft 43, Summa summarum 356 lb
Haussteur 70 lb daran gebührt dem Eheherrn vor Zween dritte theil 46, Und der Ehefrauen für die übrige eine tertz 23 lb

Jean Daniel Vogt est élu fabricien à Saint-Pierre-le-Vieux
1736 Conseillers et XXI (1 R 219)
Zu einem Kirchen: Pfleger beÿm Alten St. Peter Wird Johann Daniel Vogt erwöhlt. 72.

L’inventaire dressé après la mort de Catherine Marguerite Richshoffer n’est pas conservé mais figure dans le répertoire du notaire Stœber

1740, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 52
Inventarium über Weÿl. Fraun Catharina Margaretha Vogtin geb. Richshofferin H. Daniel Vogt holtzhslrs. und Kirchenpflegers zum alten St. Peter Ehefrau Verlassenschafft

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 200 florins (600 livres) sur un total de 15 800 florins
1740, Livres de la Taille (VII 1179) f° 7
Zimmerleüth N. 8125. – Weÿl. Fr. Catharinæ Margarethæ gebohrner Richßhofferin H. Daniel Vogt, holtzhändlers und Burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Stöber.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 253 – 9103. lb.
Gehet ab der Haußraht mit 584. 4. 5., die nicht genoßene activa 623. 4. 9., Summa Abgangs ist 1207. 9. 2., restirt 7896. 11. 2. die machen 15.800. fl
Verstallte allein 14.600. fl. also zu wenig 1200. fl.
Nachtrag 8 Jahr in duplo à 3. lb. 12 ß. d. macht – 28. lb. 16. ß
Und 6 Jahr in simplo à 3. lb 6. ß. – 10. lb. 16 ß
Ext. Stallgeltt pro 1740 – 23. lb 5. ß
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 9. lb 17. ß 6. d – Summa 72. lb 16. ß 6. d.
Von den Obern Stallherren nachgelaßen 24. lb. 12. ß., Rest 48. lb. 4. ß 6. d
dt. 11. Junÿ 1740.

Daniel Vogt se remarie en 1741 avec Anne Marguerite Engelhard, veuve du pasteur Jean Jacques Ehrlen : contrat de mariage par lequel le mari assure à sa future épouse la jouissance viagère d’une partie de la maison, célébration
1741 (12.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 50
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren Vest und Großachtbahren H. Daniel Vogt Vornehme holtzhändler und beÿ der Evangelischen Lutherischen Gemeind Zum alten S. Peter allhier wohlmeritirten Kirchen pfleger wie auch vornehmen burgern allhier, alß dem H. Hochzeiter ane einem
So dann der Edlen, Viel Ehren und tugendreichen Frauen Annä Margarethä Ehrlinin gebohrener Engelhardin, weÿland S. T. H. Mag. Johann Jacob Ehrlin geweßenen treueÿfferigen Pfarrherrs und Selsorgers der Evangelischen Lutherischen Gemeinde St. Aureliæ wie auch hoch Verdienten Canonici Löbl. Collegiat Stifft St. Thomä und vornehmen burgers allhier seel. hinterbliebenen frau Wb. als der Frau hochzeiterin andern theils
Vor das Sechßte, Verschreibt der H Hochzeiter seinem liebwertesten Frau Hochzeiterin Zu einem lebtägigen aber nach dero todt wieder rückfälligen wÿdemb benantlichen 2000 gulden hießig courrent jeedem zu XV. batzen oder 60 Creutzer gerechnet, Sodann in seiner neben dem ordens hauß St: Johann gelegenen behaußung folgende gemach und begriff alß die untere Stub, Stub Cammer, haußöhren und Kuchen, In dem dritten Stock die neben St: Johann befindliche mit denen fenstern auff die gaß außsegende Cammer und die auff solchem stock befindliche Kleinere Cammer neben dem Baurenhauß in den hoff mit denen fenstern gehend den Kleineren Keller, so mit latten Von dem grösern unterschieden, und dann das Kleine holtzhauß hinder des officiers Zimmer, so vornen mit latten versehen
So beschehen und Zugegangen in der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 12. Januarÿ Anno 1741.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 180 n° 3)
1741. Mittwoch den 1. febr. sind nach vorhergegangener Zweÿmahliger Proclamation auff Erlaubnuß deß regierend. H. Ammeisters Zu Hauß ehelich copulirt und eingesegnet word. H. Daniel Vogt holtzhändler burger und Wittwer auch beÿ dieser Kirchen Sen: Pet: wohlmeritirter Kirchenpfleger und Fr. Anna Margaretha weÿl. H. M. Joh: Jacob Ehrlen gewesenen Pfarrers Zu St: Aurelien und Canonici zu St. Thomä hinterlaßene Wittib, Deus adsit [unterzeichnet] Daniel Vogt als hochzeiter, Anna Margaretha Ehrlin als hochzeiterin M. Johann Georg Schweigheußer alß tochtermann auf seiten der fr hochzeiterin, Johann Michael Saum, als Schwager von H. hochzeiter (i 182)

Fille du pasteur Jean Louis Engelhard, Anne Marguerite épouse en 1701 le pasteur de Sainte-Aurélie Jean Jacques Ehrlen
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 71-v n° 11)
1701. Mittw. d. 26. Octobr. Wurden nach 2.mahliger Proclamation Ehl. Copulirt der Wohl Ehr Würdige Hoch v. Wohlgelehrte Hr. M. Joh: Jacob Ehrlen, Treu Eÿferiger Pfarrer v. Seelsorger d. Evang. Gemeind. Zu S. Aurelien vnd Canonicus diu* Thomæ, Jgfr Anna Margaretha, Weÿl. H. M. Johann Ludwig Engelhards gew. Treu Eÿfrigen Pfarrers div. Thomæ wie auch desselben Collegiat Stifft Canonici hinterlaßene Ehel. Jungfr. Tochter [unterzeichnet] M. Joh: Jacob Ehrlen Pastor Aurelianus als Hochzeiter, Anna Margaretha Engelhardtin als hochzeiterin (i 73)

L’inventaire des apports n’est pas conservé mais figure dans le répertoire du notaire Stœber
1741, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 118
Inventarium illatorum Fraun Annæ Margarethæ Vogtin geb. Engelhardin H. Daniel Vogt Holzhändl. und Kirchenpflegers zum alten St. Peter Ehefraun

Jean Daniel Vogt meurt en 1748 en délaissant trois enfants de sa première femme Barbe von Fridolßheim et cinq de sa deuxième femme Catherine Marguerite Richshoffer. L’inventaire mentionne que le défunt a reconstruit la maison, ici estimée à 750 livres, après avoir démoli celle qu’il a achetée en 1 726. La masse propre à la veuve est de 576 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 9 927 livres, le passif 1 420 livres.

1748 (5.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1145) n° 565
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrenvest und großachtbahren Herrn Daniel Vogts geweßenen Holtzhändlers und Wohlverdienten Kirchenpflegers der allhießigen Evangelischen Kirch zum alten St: Peter wie auch vornehmen burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1748. – als der liebe Gott Ihne Mittwoch den 1. Maÿ dießes 1748.gsten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit die seelige Ewigkeit versetzet nach sich Verlaßen (…) durch die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Annam Margaretham Vogtin gebohrene Engelhardin die hinterbliebene Frau Wittib mit assistentz S. T. Herrn Johann Rudolph Dinckel, Notarÿ publici jurati und berümbten practici auch Vornehmen burgers allhier, die Sie ane Vogtsstatt Zu Ihrem herrn Assistenten erbetten, wie auch die anweßende Leibs Interessenten selbsten (…) geäugt und gezeigt – So beschehen Straßburg Mittwochs den 5.ten Junÿ et seqq. Anno 1748.
Der Verstorbene Herr Vogt seeliger per Testamentum Zu Erben Verlaßen, wie folgt. Erstlichen herrn Johann Diebold Vogt, der Holtzhändler und burgern allhier, welcher Vor ohngefähr sieben Jahren sich von hier absentirt und wo Er sich anjetzo befinde, dießorts nicht wißend ist, so fern Er annoch im leben, in die helffte des erstern achten haupttheils, Und in die übrige helffte solchen haupttheils oder wann solcher Sohn seines herrn Vatters seeligen tod nicht erlebet hätte in den Völligen erstern haupt: oder Stammtheil, deßen mit weÿland Frauen Maria Barbara gebohrener Meÿerin seeligen ehelicher erzeugte Tochter, alß dißortige Enckelin, Nahmens Jungfrau Margaretham Barbaram Vogtin dero geschworner Vogt ist Ihr Herr Großvatter mütterlicher linie herr Johannes Meÿer berühmter Chirurgus und burger allhier, welcher beneben S. T° Herrn Mathiä Koch, Notario publico jurato und berumbten practico auch Vornehmen burgern allhier den Er Herr Meÿer zu seinem Herrn beÿstand angesprochen beÿ diesem geschäfft erschienen
Zweÿtens Frau Annam Barbaram Eckertin gebohrene Vogtin herrn Johann Georg Eckert, deß Schwatzbecken und burgers allhier jetzige Ehefrau und zwar nur in legitimam und in den überrest ihres haupttheils dero nach tod verlaßende Kinder gleichwohl aber daß Sie solcher Kinder großvätterlich guth die Zeit Ihres Lebens Zu genießen haben solle, und seind die würcklich vorhandene mit Nahmen Georg Friedrich und Margaretha Magdalena deren ordinari Vogt ist Herr Johann Friedrich Vogt der holtzhändler und burger allhier, in dem aber dieser dießorts selbsten zu Erbe gehet, ist denenselben zu einem Theilvogt geordnet worden herr Christoph Saum der älter, Seÿler und burger allhier, welcher beneben seiner Curanden eheleiblichen Eltern dießem geschäfft abwartete
Drittens Herrn Johann Friderich Vogt erstgemelten holtzhänlder und burger, allhier, der sich auch beÿ dießem Geschäfft eingefunden hat, dießem obigen Diebold Vogt und Frau Annam Barbaram Eckertin hat der entseeltte seeliger in erster Ehe mit weÿland Fraun Barbara gebohrener Von Fridolßheim die, den 20.ten Februarÿ A° 1718. das zeitliche gesegnet, erziehlet
Viertens S. T° herr Johann Daniel Vogt, der Zeit treueÿffrigen Feldprediger unter dem Löblichen Regiment Royal Suedois genand, weilen nun derselbe abweßend ist Von seithen E: E: Kleinen Raths Zufolg Extractus deßen memorialis Vom 27.ten Maÿ jünngst Zu dießem Geschäfft abgeordnet worden S° T° Herr Johann Friderich Ströhlin, Vornehmer Apothecker und Edelgedachten Kleinen Raths beÿsitzer wohlverdienter herr beÿsitzer, welcher dießem geschäfft persönlich beÿwohnete
Fünfftens Frau Margaretham Salome Ehrlenin geb. Vogtin, H. M. Johann Ludwig Ehrlen p.t. treueÿffrigen Pfarrers und Seelenhirten der Evangelischen Gemeinde Zu Waßlen Frau Ehegattin damit deßen assistenz beÿ dießem geschäfft Erschinnen.
Sechstens Frau Annam Catharinam Hitschlerin gebohrene Vogtin herrn Johann Daniel Hitschler des Handelßmanns und burgers allhier Ehefrau gleichwohl aber in mehrer nicht als in legitimam, in das übrige dero Haupttheils aber Ihrer nach todt verlaßende Kinder oder Kind, doch so, daß Sie dererselben großvätterlich guth die tag Ihres lebens Zu genießen berechtiget seÿn solle, die würcklich erzielte Kinder namentlich Johann Daniel und Catharin Salome, solches jüngere Kind ist Vor wenig. tagen da das ältere würcklich mit obigem herrn Johann Georg Eckert bevögtigt ware, Zur Welt gebohren worden, und weilen Er herr Eckert ehevögl. weiß hierbeÿ interessiret, alß hat S. T° herr Johann Daniel Langheinrich Notarius publicus juratus und berümbter practicus sich zu einem Theilvogt hitschlerischer Kinder ansprechen auch obrigkeitlich confirmiren laßen, welcher dann auch in solcher qualitæt dießes geschäfft abwartete, sonsten aber weilen Sie Frau Hitschlerin in der Kindbett hatt Sie Ihme Herrn Not° Langheinrich beÿständ. Ihres Ehemanns dato schriff. Vollmacht ertheÿlet auch Ihr Interesse hierbeÿ zu besorgen
Siebendens Emanuel Vogt, den ledigen Gastgeber, welcher ohngefäfr 20. Jahr alt
So dann Achtens Johann Gottfried Vogt, der bald 16 Jahr auf sich, dieße beede letztere seind bevögtiget mit Herrn Johann Michel Stall, dem Paßmentirer und Seidenhändler auch burgern allhier, welcher Kranckheits halben beÿ dießem Geschäfft Zu erscheinen ohnvermögend, dannenhero Er. S. T° Herr Johann Philipp Lichtenberger Notarium publicum juratum und berühmbten practicum auch Vornehme burgern allhier Zu seinem Mandatario constituiret habe, in deßen heutiger Abweßenheiy aber hay dannoch Er Herr Stamm in des geschäffts Anfang consentiret und dahero obigen herrn Deputatum Strohlin schrifftlich ersuchet, das behörig biß Zu deß H. Mandatarÿ Lichtenbergers anweßenheit beliebigst zu beobachten
die vorgedachte fünff jüngere Söhne und Frauen Töchtere hat der herr Vogt seelig mit gleichfalls weÿland Frauen Catharina Margaretha gebohrener Richßhofferin seiner den 24. Januarÿ 1740. verstorbenen Zweÿten Ehefrauen seelig ehelich erzeuget
Copia der Eheberedung – Copia des von dem nun in Gott ruhenden H Vogt seeligen vor mir Notario und Gezeugen den 15.ten Julÿ A° 1744 gestiffteten Testamenti nuncupativi

In einer allhier Zu Straßburg oben ane dem Kageneckerbruch gelegenen und hernacher mit mehrerem beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der mittlern Bühn, In der Kammer A, In der hintersten Kammer, In der obern Stubkammer, In der Kammer B, Im obern haußöhren, In der Studier Stub, In der obern Kuchen, In der Wohnstub, Im untern haußöhren, In der untern vordersten Kuchen, In der untern hintern Kuchen, In der Officier Stub, In des officiers Knecht Kammer, In der Stub Kammer, In der neuen Stub, Im Keller
Eigenthumb ane Haußeren und Holtz Plätzen. Erst. I. behaußung hoff hoffstatt Scheur und Stallung ane dem Kageneckerbruch (…)
Item ein Kleines Häußlein und hoffstatt ane dem Kageneckerbruch am Waßer oder Stattgraben gegen Vorbeschribener behaußung hinüber (…)
I. langer holtz Platz gelegen allhier Zu Straßburg dero Vorstatt beÿ dem Kageneckerbruch Von der Speÿerbrucken langs hienauff (…)
It: Zwen holtz Plätz auch in allhießiger Statt dero Vorstatt davon der eine gelegen oben ane dem Kageneckerbruch (…)
(f° 38) It. I. Holtz Platz hinter dem Bierhauß Zum Wildenmann in dem grünen bruch (…)
(f° 39) Eigenthumb ane Häußeren so Zwischen dem H. seelig und denen Kinderen zweÿter Ehe gemeinschafftl. Erst. eine behaußung hoff hoffstatt Scheür Stallung mit allen derselben Gebäuden begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg außerhalb des Speÿrthors I. s. neben dem Ordenshauß und Closter St: Johann 2. s. neben einiger bauren Von Verschiedenen orten Ihrem hauß hinten auf gedachtes Closter St: Johann stossend gelegen davon man jährl. dem allhießig. Stifft Jungen St: Peter ane ewigem Zinß so etwann boden Zinnß ist 1. lb 10 ß d und dann 2. ß dem allhießigen Pfenningthurn Zugeben hat, sonsten ist dieselbe gegen männiglich freÿ leedig eigen und durch den H. Lohner und die herren Werckmeistern inhalt mehrberührten Abschatzung Zeduls angeschlagen worden pro 750. lb Nach Abzug aber erwehnter beschwehrde Zu doppeltem Capital gerechnet antreffende 64 lb Sind außzuwerffen 686.
Über die Vormahls auf dießer hoffstatt gestandene behaußung so aber abgebrochen und dagegen Vorherige erbaut worden meldet ein teutscher perg. Kffbr. in allhies. C. C. St. gefert. mit dero anhang. Ins. Verw. dedato 7.ten 8.bris A° 1726. mit altem Lit. C bemerckt dabeÿ ferner I. dergl. perg. Kgffbr. daselbsten errichtet und mit solchem Insiegel bekräfftiget sub dato 7.ten 8.bris A° 1726. Und dann noch I. älterer teutscher perg. Kffbr. mit der Statt Straßb. Contract Insigel Verw. datirt den 28.ten Martÿ A° 1648. mit altem Lit. A. notirt
It. eine behaußung ane der obern langen straß ohnweit der alten S. Peter Kirch über (…)
(f° 41) Wÿdemb Welchen die Frau Wittib aus erster Ehe von weÿl. S. T° M. Johann Jacob Ehrlen geweßenen treueiffrigem Pfarrherr Zu St. Aurelien und des Löbl. Collegiat Stiffts St. Thomä wohlverdienten Canonico Ihrem erstern Eheherrn seeligen lebtägig Zu genießen berechtiget
Eigenthumb ane einer Behaußung Garthen. Nembl. eine behausung zu Straßburg dero Vorstatt Unterwagnern ane der heÿdengass (…)
(f° 42) Ergäntzung der Frau Wittib ermanglenden ohnveränderten guths. Von deroselben in die Ehe gebrachten Vermögen worüber von mir Notario den 15.ten Aprilis A° 1741. ein Inventarium ist errichtet worden ist
(f° 43) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Fr. Wb. eigenthümlich Guth, Sa. haußraths 49, Sa. Weins und faß 8, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 12, Sa. goldener Ring und dergl. Geschmeids 27, Sa. baarschafft 127, Sa. pfenningzinß hauptgüter 74, Sa. Schulden 74, Erg. 1, Summa summarum 576 lb
Dießemnach wird auch des Hn seel. hinterlassenes Vermögen so denen Erben erblich anfällig ist, Sa. Holtz und anderer holtzwaaren 248, Sa. Pferdt samt deren geschirrs 31, Sa. Fuhrgeschirr und Chaise wie auch übrigen geschirrs 13, Sa. der Schaaff 3, Sa. der Frucht und Meels 38, Sa. heu und Strohe 2, Sa. der bluhm auf dem feld 1, Sa. Weins und faß 242, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 133, Sa. goldener Ring und dergl. geschmeids 41, Sa. der baarsch. 524, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 1978, Sa. Schulden 1106, Schulden 196, Sa. Eigenthums ane heüßern und holtzplätzen 4010, Sa. Eigenthum ane häußern 924, ane liegenden güthern 32, Eigenthum ane i. matt 5, Summa summarum 9927 lb – Schulden 1420, Nach solchem abzug 8506 lb
Stall Summ 9399 lb – Zweiffelhaffte schulden in das Erbe Zugeltend 73, so zwischen dem Hn Vogt und dem Sohn H Johann Friedrich Vogt gemeinschaftlich 24
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Donnerstag den 12. Januarÿ Anno 1741, Johann Daniel Stöber Notarius requisitus
Copia Testamentum nuncupativi – 1747 (…) Sambstag den 15.ten Julÿ Johann Daniel Stöber Notarius requisitus
Aufrichtung derer Vor: und Nach Wÿdemb Welche der vogt seelig der hinterbliebenen Wittib bestimmet und gerodnet hat (…)
Außliefferung derer von dem Herrn Vogt seelig. geordneten prælegaten (…)

Anne Marguerite Engelhard meurt en 1761 en délaissant quatre enfants de son premier mari Jean Jacques Ehrlen. L’actif de la succession s’élève à 97 livres, le passif à 471 livres.

1761 (2. 9.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1185) n° 1265
Inventarium über Weiland der viel Ehren und Tugendreichen Frauen Annä Margarethä geb. Engelhardin, letztmals weil. des Ehrenvest und Vorachtbaren Herrn Daniel Vogt gew. Holtzhändlers und beÿ der Evangelischen Kirch zum alten St Peter wohlverdienten Kirchen Pflegers und angesehenen burgers allhier zu Straßburg seel: hinterbliebener Fr. Wb. nun auch seelig Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1761. – nach Ihrem Dienstags den 29.ten des jüngst abgelegten Monaths Septembris und Zu end eilenden 1761.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen (…) So beschehen Straßburg Montags den 2.ten 9.bris Anno 1761.
Die Abgeleibte Frau seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. Erstlichen Weil. Frauen Margarethä Elisabethä Buschin geb. Ehrelenin mit S. T. Herrn Johann Friderich Busch, berühmten Chirurgo und brn. allhier Ihrem hinterbliebenen Herrn Wr. ehelich erziehlte Zweÿ Kinder als der Seel. Enckel benand. Jgfr. Margaretham Salome, die ohngefehr 19 jahr alt und Johann Jacob tertiæ curiæ Discipulum welcher ohngehehr 12. jahr am leben, deren geordnet und geschwohrner Vogt ist S. T. Herr Johann Michael Schweighäußer vornehmen Handelsmann und brs. allhier welcher sicj persönlich hierbeÿ eingefunden, gleich wohl aber vor seine Curanden diesse Erb und Verlaßenschafft anderer gestalten nicht dann cum beneficio legis et Invÿ anzutretten sich erkläret hat
Zweÿtens S. T. Herr M. Johann Ludwig Ehrlen, p.t. treueifrigen Diaconum und Seelsorger der Evangelischen Gemeinde Zu St Aurelien und br. allhier, so verehelichet ane Frau Margaretham Salome geb. Vogtin, so beede diessem geschäfft beÿwohneten, drittens S. T. H. Mag. Gottfried Ehrlen treueifrigen pfarrers und Seelsorgers der Evangelischen Gemeinde Zu Rappoltsweiler und brg allhier welcher verheurathet ane Fr, Mariam Salome gebohrene Kratzin und weilen derselbe diesem Geschäfft nicht hat beÿwohnen können, so hat Er seinen beeden herren Brüdern unterem 22.ten 8.bris Jüngst schrifft. Vollmacht Zugeschickt (…) So dann Viertens Herr Johann Friderich Ehrlen, beÿ allhie. hochlöbl. Universität hochverdienten Professorem Juris, welcher diessen Geschäfft persönlich abwartete, Und hat die abgeleibte Frau Vogtin seel. solche dreÿ Herren Söhne und der Buschische Ehefrau seel. in erster Ehe mit weil. S. T. Herrn M. Johann Jacob Ehrlen gew. treueiferigen Pfarrer und Seelsorger der Evangelischen gemeinde Zu S. Aureliæ wie auch des hochlöbl. Collegiat Stiffts St. Thomä hochverdienten Canonico auch brs. allhier seel. erziehler und anjetzo ab intestato Zu dreÿ vier resp. Haupt und Stammtheilen Zi Erben verlaßen
Widem Welche die Abgeleibte Frau seelig auß erster Ehe von ob wohlgedachtem Herrn Pfarrer Ehrlen seelig biß ane dero Todt genoßen hat
Eigenthum ane einer Behausung und Garthen zu Straßburg dero Vorstatt unter Wagnern ane der heÿden gaß (…)
Widem den die Frau seelig aus zweÿter Ehe biß an dero Todt genossen hat. Naml. so hatt eingangs gedachter Herr Daniel Vogt seel. deroselben in der mit Ihro den 12.ten Januarÿ 1741. errichteten Eheberedung §. 6.to zu einem lebtägigen aber nach dero todt wieder rückfälligen widem zugestanden und zwar in allhier zu Straßburg außerhaln des Speÿrthors 1.s neben dem ordens hauß und Closters St Johann, 2.s neben einigen Bauren von verschiedenen orten Ihrem Hauß hinten auf gedachtes Closter St. Johann stoßend gelegenen behausung (…)
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ, Sa. haußraths 48, Sa. Silber Geschmeids 4, Sa. Goldenen Rings 16 ß, Sa. activorum 44, Summa summarum 97 lb – Schulden 471 lb, der Abgeleibten seelig verlaßenes passiv onus 373 lb
Beschluß summa gegenwärtigen Inÿ. Anfänglich erträgt des Abgeleibten Frauen seel. aus erster Ehe genossenen Widem 570, Und dann macht deroselben aus Zweÿter und letzter Ehe genosene widem 1728 (zusammen) 2298, Über erkundigung der Verstallung Summa weillen sonsten aber ohne præjudiz v* derselben hinterlaßenes passiv onus hier wegzunehemen 373, Welchem nach die eigentliche Beschluß und Verstallungs Summ gegenwärtigen Invÿ anlangt, Stall Summ 1925 lb

Les héritiers Vogt vendent la maison au marchand Jean Martin Fritsch moyennant 2020 livres

1765 (2.8.), Chambre des Contrats, vol. 639 n° 522
Fr. Margaretha Barbara geb. Vogtin H. Johann Daniel Würtz des goldarbeiters eheliebstin, Fr. Anna Barbara geb. Vogtin Johann Georg Eckert des hausfeurers ehefrau, er Eckert zugleich als vogt Johann Daniel Hitschler des handelsmanns kinder Johann Daniel, Catharina Salome und Sophia der Hitschler, H. Emanuel Vogt der gastgeber vor sich selbst und als mandatarius H. Johann Daniel Vogt des hochfürstl. Zweibruckischen Consistorial raths und Oberpfarrer zu Trarbach und Fr. Margaretha Salome geb. Vogtin H. M. Johann Ludwig Ehrlen des pfarrers beÿm alten St Peter eheliebstin, H. Johann Friedrich Vogt der holtzhändler vor sich selbst und als procurator seines bruders Johann Gottfried Vogt des pfründers im mehrern hospital
in gegensein H. Johann Martin Fritsch des handelsmanns
eine behausung, hoff und hoffstatt, scheur, stallung samt mit allen übrigen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten außerhalb des Speÿerthors einseit neben dem ordens haus und closter St Johann anderseit neben verschiedenen bauren vom land hinten auff gedachten Closter St Johann – davon gibt man dem Stifft Jungen St Peter 1 lb ane ewigen zinß und hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen den stafflen vor dem haus 2 ß ane bodenzinß – um 2020 pfund

Fils de Jean Martin Fritsch et de Marthe Agathe Lamprecht, Jean Martin Fritsch meurt le 24 novembre 1782 à l’âge de 82 ans. Les témoins sont ses neveus Jean David de Papelier et Jean Martin Papelier.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1765-1786, f° 201 n° 38)
1783, Montag den 24. Novembris, Abends um neun Uhr starb dahie, und ward Donnerstag darauf nach einer zu alt St. Peter gehaltenen Leichenpredigt, Zu St. Galli beerdiget weil. Herr Johann Martin Fritsch ehemaliger Handelsmann und Burger dahier deßen Eltern waren weil. H. Johann Martin Fritsch angesehener Burger alhie, und seine Ehegattin Fr. Martha Agatha geb. Lamprechtin, seines Alters 82. Jahr 9. Monat 3 tage, diß bezeugen [unterzeichnet] Joh: David v. Papelier als Neveu, Johann Martin Papelier als Neveu (i 206)

Le greffier du bureau de la Taille produit aux Quinze un extrait du testament de Jean Martin Fritsch en proposant que les héritiers règlent un arriéré de 900 livres. La commission constate que le défunt réglait ses impôts d’après les biens hérités de ses parents et de son frère alors que sa fortune a beaucoup augmenté au cours des trente-deux dernières années. Les Quinze rejettent la proposition et ordonnent que la succession soit traitée suivant le règlement.
1783, Protocole des Quinze (2 R 193)
(p. 427) Sambstags den 13.ten Decembris 1783 – Johann Martin Fritsch
Obere Stall H. lassen per me referiren es seÿe denenselben von H. Stall actuario Sontag ein Extract Aus weÿland H. Johann Martin Fritsch gewesenen Burgers und Handelsmanns Testament Communicirt worden woraus ersichtlich daß der defunctus, in rucksicht, daß er mehr nicht dann sein ererbte Elterlich und brüderliches Vermögen verstallet mithin sein Vermögen beÿ der Inventur sich höher belaufen könte, verordnet daß aus seiner verlaßenschafft eine summ von 900 lb dieser wegen auf löbl. Stadt Stall aus bezahlet werden in Hoffnung daß die H. dreÿ sich damit begnügen werden.
Die Hh. Deputirte haben beÿ Genauer überlegung wahrgenommen, daß der Defunctus sich würcklich im fall des nachtrags vermeinet und solchen seinen Erben mittelst eines willkürlichen legati Zu erspahren gedacht.
Da aber eines orths derselbe wie er selbst andeutet binnen 32 Jahren sein Vermögen vermehret mithin seine Obliegenheit die schuldige abgaben davon Zu entrichten nicht auskommen mögen, anderen orts aber derlei legata welche um sich einer vorhergesehenen nachtragung der gebühren und verwürckten Strafe Zu befreÿen, den bis an das absterben gehabten vorsatz die diesfalls bestehende gesetze Zu Eludiren nicht andeutlich an tag leget, anbeÿ auch der würde eines löbl. Magistrats nicht angemessen seÿn würde, sich mit demjenigen Zu begnügen, was eine denen offentlichen abgaben unterworfene person, statt denen nicht abgerichteten, nach willkuhr darbietet an zu nehmen, da mann nach ordnung und herkommen in dem besitz des Rechts sich befindet solche nach maaßgaab des Verlaßenschaffts Inventarii nebst der verwürckten strafe einzufordern, als haben die H. Deputirte geglaubt daß denen H dreÿ löbl. Stadt Stall die ausweisung Zu ertheilen, auf das ihnen loco des nachtrags anerbottenen legat zu renunciren und des verstorbenen succession nach ausweis der hierüber besagenden ordnungen Zu behandlen, nach gehaltener umbfrag ist Erkandt daß die anerbottene 900. lb loco des nachtrags abzuschlagen, des verstorbenen verlaßenschafft nach ordnung Inventiren und von denen H. dreÿ nach ausweis der hierüber besagenden ordnungen Behandelt werden solle.

Le chancelier de Papelier, héritier de Jean Martin Fritsch, introduit une nouvelle demande le 21 janvier. Le préteur royal produit le 14 février une requête en français du chancelier qui propose une somme de 6 000 livres tournois (1 500 livres strasbourgeoises) pour régler la succession avec dispense de faire dresser un inventaire. Les Quinze acceptent la somme mais demandent un état des différents legs.
1784, Protocole des Quinze (2 R 194)
(p. 13) Sambstags den 21.sten Januarii 1784.
Osterrieth nomine weÿl. H Johann Martin Fritschen gewesten Handelsmanns und burgers allhier Testaments Erben H. von Papelier Hochfürstlich Pfaltz Zweÿbrückischer Cantzler producirt unterthäniges memoriale juncto petito samt beÿlag sub litt. A puncto befreÿung vom Inventario. Erkandt Obere stallh.

(p. 74) Sambstags den 14.ten Februarii 1784.
Herr Prætor Regius Gebe folgendes Hochdemselben Zugestelte Memoire ad Protocollum
Le Chancellier de Papelier ayant en sa qualité de légataire universel de feu le Sr Martin Fritsch son oncle, fait présenter à M. M. les XV un memoire aux fins d’etre dechargé de la confection d’Inventaire moyennant une somme proportionnée aux arrerages qui peuvent etre dus à la Chambre des tailles pour raison de cette succession et croyant devoir à cet egard s’executer d’une maniere qui puisse determiner en faveur de cette demande, Il a l’honneur d’offrir celle de 6000. liv. en supliant M. le Préteur Royal & Ms les XV. de vouloir bien en consideration des motifs allegués dans le susdit memoire et des egards personnels que son respect et son Zele lui font esperer de leur equité et de leur bonté agréer l’offre qu’il fait pour faciliter la Consommation de cette affaire.
Factâ lectione wurde Erkandt daß H. Implorant aus bewegenden ursachen und ohne Consequenz auf andere fälle unter dem verdienst seines oblati welches hiemit angenommen wird von vorlegung eines ordentliches Inventarii unter diesen bedingungen, daß er denen H dreÿ Löbl. Stadt Stall eine specificirte berechnung der durch den verstorbenen H. Fritschen verschafften legaten vorlege und die Abhandlungs gebühr von sothaner Verlaßenschafft Gn. H. dreÿen abführe.

Le notaire Greiss dresse un état des délivrances. Jean Martin Fritsch a institué pour légataire universel Jean David de Papelier et a légué la maison à sa servante Anne Marie Bürcki, native de Barr

1784 (7.4.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 884) n° 220
Auslüfferung der von weiland Herrn Johann Martin Fritsch ehemals geweßenen handelsmanns und burgers alhier Zu Straßburg, zufolg seiner Verschloßen errichteten und bei mir unterschriebenen Notario deponirten dreÿen letzten Willens Verordnungen geordneten Legaten.
Es hat der Verstorbene Kraft eines Verschloßen errichteten Testamenti vom 29.ten Januarii 1782 und deßen 22. Puncts der fabric der Evangelischen Kirch Zum Alten S. Peter alhier in baarem Geld 20.000 livres legirt
Nach dem Inhalt seines den 19.ten Octobris besagten 1782.ten Jahrs verschloßen errichteten Codicills §° 7.mo hat et derselbe jenen 22. testamentspunct dahin abgeändert, daß erst benambßter fabric aus seiner künftigen Verlaßenschafft in baarem hießigen currenten Geld Legatsweis Zu kommen und geliefert werden solle die summ von 40.000 Livres (…)
Inhalt §i 5.ti des Verstorbenen, Herrn Fritschen Verßloßen errichteten Testaments vom 29.ten Januarii 1782. Verordneter derselbe, daß nach seinem Ansterben seiner dienstmagd Jungfer Annä Ursulä Bürckin von Barr gebürtig eine summ vom 2400 Livres eingehändigt werden solle (…)
Krafft des Zweiten Paragraphi des Verstorbenen Herrn Fritschen Verschlossen errichteten Codicilli vom 19.ten Octobris 1782, legirte derselbe vorbenahmster Jungfer Annä Mariä Bürcki seiner Dienstmagd Von Barr gebürtig seine eigenthümliche an der Vorstatt Zwischen der Weißen Thurn und Cronenburgerstras neben dem Closter St. Johann allhier liegende behaußung mit und beneben allen seinen nach tod hinterlaßenen in besagter behaußung sich befindlichen Mobilien ohne Unterschied als Haußrath, Kleidung und weis Gezeug, Wein und Faß, auch Silber und Goldengeschmeid nicht das geringter davon ausgenommen, als ein wahren Eigenthum
Zufolg dieser Verordnung nun haben Ssis Ttis Herr Cantzler Johann David von Papelier der disortige Herr Universal Erb sie die Legatariam in den Würcklichen Besitz der vorbeschriebenen legirten behaußung gesetzt, deroselben auch die darüber besagende Documenta ausgelüfert, in gleichem Ihro alle in dießer legirten behaußung sich befunden Vorangemerckte Mobilien eigenthümlich überlaßen, welches alles dieselbe quittirend bescheint (…) Straßburg den 5.ten Maÿ 1784. [unterzeichnet] + Jgfr. Annä Ursulä Bürck selbstgemachtes handzeichen
Verzeichnis dererjenigen Legaten, welche weiland Herr Johann Martin Fritsch, geweßener ehemaliger Handelsmann und burger allhier Zu Straßburg Zufolg seiner dreier Verschlossen errichteten und bei dem unterschriebenenen Notario deponirten letzter Willens Verordnungen gestifftet hat

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 180 600 florins (90 300 livres) sur un total de 191 500 florins. Les Quinze ont accepté que l’héritier universel de Papelier verse 1 500 livres au bureau de la Taille.
1784, Livres de la Taille (VII 1180) f° 347
Maurer F. N° 167 – Weÿland Herrn Johann Martin Fritsch des gewesenen ehemaligen Handelsmanns alhier Verlaßenschafft betreffend, producirt, loco Inventarii, als von deßen Vorlegung Herr von Papelier, Hochfürstl. Pfaltz: Zweÿbrückischer Cantzler, dißortiger Testaments: Erb: Zufolg Erkandtnus Gnädiger Herren der Fünffzehen vom 14. Februarii 1784. aus bewegenden Ursachen Inventur ohne Consequenz auf andere Fälle, ist dispensirt worden, die ihme in erstgedachter Erkandtnus Zu liffern auferlegte specificirte Berechnung der durch den verstorbenen Herrn Fritsch verschaften Legaten.
Diese langen in Summa an 95.770. lb 1. d. und machen 191.500. fl. Verstallte 10.900. fl. also Zu wenig 180.600. fl.
Hievon solte Zwar der Nachtrag angerechnet werden, da aber Gnädige Herren der Fünfzehen das von Herrn Erb gethane Oblatum, ane statt des Nachtrags eine Summ von 1500. lb. d. Zu bezalen nach maßgab vorallegirter Erkandtnus angenommen haben, so ist hier nur in Auswurf zubringen 1500. lb.
Extat Stallgeltt pro 1783 – 16. lb 7. ß
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 131. lb 7. ß 6. d – Summa 1647. lb. 16. ß 6. d.
dt. 3. Maji 1784.

Fille du cloutier Jean Bürcki, Anne Marie Bürcki devient bourgeoise à titre gratuit en 1786 en s’inscrivant à la tribu des Maçons (où cotisait aussi son ancien maître Jean Martin Fritsch)
1786, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 100-v
Anna Ursula Bürcki die ledige von Barr gebürtig weÿland Meister Johann Bürcki gewesenen Nagelschmids vnnd burgers daselbst hinterlassene tochter erhaltet das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis will dienen Zur E. E. Zunfft der Maurer promisit d. 1. feb. 1786.

Anne Ursule Bürcki meurt le 10 mai 1787 à l’âge de 64 ans en délaissant des héritiers collatéraux. Les experts estiment la maison à la somme de 2 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 883 livres, le passif à 336 livres.

1787 (mai-juillet), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 888) n° 356 [numéro restitué – moitié haut de page détruite]
[Inventaire de la succession d’Anne Ursule Bürcki, intitulé en déficit]
[Copia Testamenti, haut de page] zu sich in die ihro [- zu]ständigen an der Vorstadt zwischen der Weißenthurn und der Cronenburgerstraß neben dem Kloster [St] Johann gelgenen behaußung berufen laßen, daselbsten zwo stiegen hoch mit denen fenstern auf die Gaß aussehend – [setzt zu ihren Erben ein, 1. Fr. Salome geb. Haaßin Johann Sebastian Mertz des maurers zu Barr ehefrau 5 kinder nahmens David, Maria Salome, Johann Jacob, Anna Ursula und Paulus in die eine helfte des ersten 4.t Stammteils, Item Ursula Dietzin gebore]ner Haaßin Daniel Dietz [des strumpff]webers in Barr Ehefrau a[ls der testire]rin vorbenamster verstorbenen schwester noch lebende tochter in die andere helfte des ersten 4.t Stammteils, 2. weÿl. Johannes Bürcki gewesenen Nagelschmidts zu Heiligenstein als der testirerin verstorbenen bruders hinterlassenen erzeugte 2 Kinder namentlich fr. Magdalena geb. Bürcki Georg Heÿwang des schuhemachers in Heiligenstein Ehefrau und Johannes Bürcki des buchbinders zu Barr [haut de page, diese beÿde zu dem zweÿten stammtheil, Item Johann Hanßconrad der jüngere lebküchler zu Barr kinder nahmens Maria Barbara, Maria Elisabetha, Margaretha, Anna Ursula und Johann,] ferner Fr. Elisabetha geb. [Hanßconradin] Johannes Willm des schuhmachers zu Barr Ehefrau als der testirerin vorbenamßer verstorbenen Schwester Conradin hinterlassenen noch lebende tochter auch in die tertz des dritten 4.t Stammtheils und Frau Catharina geb. Conradin Johannes Hütt des Schuhmachers zu Barr Ehefrau als der testirerin vorbenamßer verstorbenen Schwester Conradin dermalen noch lebenden tochter, 4. Johann Georg Bürcki der Schneider in Mietersholz als der testirerin noch lebenden bruders erzeugte der testirerin todesfall erlebende Kinder [Christian Bürcki der schneider zu Miederholtz, Item Johann Georg Bücki], den 14. feb. 1787 Not. Joh. Friedrich Greiß

[haut de page – hoff]statt Scheur und Stall [-] übrigen deren Gebäuden [-] zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen auserhalb des Speÿerthors einseit neben dem Ordenshauß und Kloster St Johann anderseit neben H. Joh: Christoph Otto dem handelsmann hinten auff auf gedachtes Kloster St Johann stoßend, davon gibt man jährlich dem Stift Jungen St Peter 1 pfund 10 schilling an ewigen zinß hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen der Stafflen vor dem Hauß 2 ß an bodenzinß, (laut) abschatzung vom 26. maÿ 1787 æstimirt und angeschlagen um die summ von 2000 pfund, Wann aber die 1 lb 12 bodenzinßes zu doppeltem Capital à 5 p.C° gerechnet und davon abgezogen werden mit 64
[haut de page] Kaufbrieff sub [2.] aug. 1765, Ferner ein papÿrener Extractus aus Gnädiger herren der Fünfzehn der stadt Straßburg Feur Augenschein Memoriale vom 4. Aprilis 1766 kraft dessen dem Verstorbenen H. Fritsch erlaubet in solcher behaußung im zweÿten Stock lincker Hand eine Stube gegen der Gaß, hinten daran eine Küche mit Herd und Caminschoß zu machen das Rohr an einem alten darneben befindlichen hinauf zu führen von allem Holtz entfernt, Sonsten sind auch über diese behaußung vorhanden 3 alte in C.C. Stub gefertigte Kaufbrieff deren zween vom 7. oct. 1726 und einer vom 28. mart. 1648 datirt ist
Series rubricarum hujus Inventarÿ, [haut de page] leerer [-], silbers 22 lb, Pfenningzinß hauptgüter 170 lb, behaußung 1936 lb, schulden 2503 lb, Summa summarum 4883 lb – Schulden 336 lb, [haut de page] summa Legaten 175 lb, bleibe 4369 lb
[haut de page] Fr. Ursula Dietzin geb. Haaßin Erbs Ratum, Fr Magdalena Heÿwangin geb. Bürcki Erbs portion, Johannes Bürcki erbschaft, [haut de page] hanß Conrad Erbs Ratum, Hüttischer Kinder Erbs portion, Christian Bürcki erbschaft
Norma hujus inventarii, (-) silbers 22 lb, Pfenningzinß hauptgüter 170 lb, behaußung 1936 lb, schulden 2503 lb, Summa summarum 4883 lb – Schulden 339 lb, summa Legaten 175 lb, restirt 4369 lb, [-] Beschluß summ 4544 lb, Stall summ 439- lb,

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1786-1788, f° 15-v n° 11)
1787, Donnerstag den 10. Maÿ morgens nach sechs Uhr starb dahie, und ward Sambstag darauf, nach einer Zu alt St. Peter gehaltenen Leichenpredigt, Zu St. Gallen beerdiget weil. Jfr. Anna Ursula Birki deren Eltern waren weil. Johannes Birki, Burger u. Nagelschmid in Barr u. weil. Fr. Anna Ursula geb. Wolfin. Ihres Alters 64 Jahre weniger 18 Tage, diß bezeugen [unterzeichnet] Johannes Bürki als Bruders Sohn, Johannes Hanß Conradt als schwester Sohn, Georg heÿ wang als Verwanter (i 18)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 7 500 florins (3 750 livres) sur un total de 84 700 florins
1787, Livres de la Taille (VII 1181) f° 48-v
Maurer. N° 1045 – Weÿland Jungfr. Annä Ursulä Bürcki, von Barr gebürtig, der gewesenen Burgerin alhier Verlaßenschaft inventirt H. Not. Greiß.
Concl. fin: Inv: ist fol: 129. ded. deducendis 4394. lb. 5. ß 1 ½. d, die machen 8700. fl. Verstallte allein 1200. fl. also zu wenig 7500. fl.
Wovon Nachtrag, weilen die Verstorbene erst seit Anno 1786. das Burgerrecht erhalten hat, nur vor ein Jahr in simplo, thut 11. lb. 5 ß
Ext. kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß 6. d.
Abhandlung, 7. lb 6. d – Summa 18. lb 8. ß
dt. 11. Julÿ 1787.

Les héritiers d’Anne Ursule Bürcki vendent la maison au gentilhomme Frédéric Henri de Bock, chevalier de l’ordre du mérite militaire, seigneur de Blæsheim, Gerstheim et Obenheim

1787 (6.8.), Chambre des Contrats, vol. 661 n° 324-v
Fr. Salome geb. Haaßin Johann Sebastian Mertz des maurers zu Barr ehefrau 5 kinder nahmens David, Maria Salome, Johann Jacob, Anna Ursula und Paulus geordneter vogt Johannes Riehl der kieffer zu Barr, Item Fr. Ursula geb. Haaßin Daniel Dietz des strumpffwebers zu Barr, zu dem ersten stammtheil, Item Fr. Magdalena geb. Bürcki Georg Heÿwang des schuhmachers zu Heiligenstein ehefrau, Item Johann Bürcki der buchbinder zu Barr, diese beÿde zu dem zweÿten stammtheil, Item Johann Hanßconrad der jüngere lebküchler zu Barr kinder nahmens Maria Barbara, Maria Elisabetha, Margaretha, Anna Ursula und Johann geordneter vogt, anfangs gedachter Georg Heÿwang respective theilvogt Johann Hanßconrad der ältere zoller und lebküchler zu Barr sothaner kinder großvatter, Item Fr. Elisabetha geb. Hanßconradin Johannes Willen des schuhmachers zu Barr Ehefrau, Item Fr. Catharina geb. Hanßconradin Johannes Hütt des schuhmachers zu Barr kinder nahmens Johannes und Maria Catharina theilvogt Johann Jacob Burgermeister der weißbeck zu Barr diese zusammen vor den 3.t vierten stammtheil, Item Christian Bürcki der schneider zu Miederholtz, Item Johann Georg Bürcki geordneter theilvogt H. Johann Martin Hosch des windenmachers alhier diese vor den 4.t letztern stammtheil, als Erben weÿl. Fr. Anna Ursula Bürcki nachlassenschafft
in gegensein H. Johann Martin Denninger vor und innahmen des freÿ hochwohlgebornen freÿherrn Friedrich Heinrich von Bock, chevalier de l’ordre du mérite militaire, herrschafft zu Bläßheim, Gerstheim und Obenheim
die in ermelten nachlassenschafft gehörig gewesten behausung, hoff, hoffstatt, brunnen, scheur, stallung mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten außerhalb dem Speÿerthor beÿ St Johann, einseit neben der commandureÿ St Johann anderseit neben H. Johann Christoph Otto dem handelsmann hinten auff ermelte Commandureÿ – davon soll man dem collegiat stifft Jungen St Peter 3 gulden ane ewigen zinß – um 2290 gulden meistgebotten

Fils d’Antoine Evrard Bock de Blæsheim et Gerstheim et de Chrétienne Sophie Forstner, le capitaine Frédéric Henri Bock épouse en 1737 Eléonore Louise de Landsberg, fille de Jean Sigismond de Landsberg et de Susanne Bœcklin de Bœcklinsau
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 164-v n° 620)
1737. Montags d. 9.ten Sept. sind Zu Lingelsheim in dem Hochadelichen Landspergischen Hauß daselbsten, beÿ einer Hochadelichen Versammlung, Ehelich copulirt und eingesegnet worden, der Freÿ Wohlgebohrne Herr, H. Friedericus Heinricus Bock Von Bläßheim und Görstheim geweßener Capitain unter Löbl. Regiment Appelgreen Weÿl. deß Freÿ Wohlgebohrnen Herrn, H. Anthon Eberhard Bock Zu Bläßheim und Görstheim, der Statt Straßburg Hochverdienten Ältisten Stättmeisters XIII.ners auch dasiger Löbl. Universitæt Hochansehnl. Cancellarÿ, mit der auch Freÿ Wohlgebohrnen Frauen Fr. Christina Sophia Bock Von Bläßheim gebohrner Förstnerin ehelich erzeugter hinterlaßener Sohn, Und die Freÿ Wohlgebohrne Fräulein Fräulein Eleonora Louisa Von Landsberg deß Freÿ Wohlgebohrnen Herrn H. Johann Sigmundt Von Landsberg mit der auch Freÿ Wohlgebohrnen Frauen Frauen Susanna Von Landsberg geb. Böcklin Von Böcklins: au ehelich erzeugte Fräulein tochter [unterzeichnet] Friderich Heinrich Von Bock als Hochzeiter, Eleonora Luise von landsperg hochzeiterin (im 169)

Leur fils François Sigismond de Bock meurt en 1768
1769 (24.4.), Not. Zimmer (6 E 41, 1449) n° 161
herr herr Friedrich Heinrich von Bock Chevalier de l’Ordre militaire du Mérite, herr zu Bläsheim Gerstheim und anderen orten, ferner Joseph Wilhelm der Weinhändler und burger alhier, so dann Jungfrau Anna Maria Schmidtin die haushälterin dahier, anzeigend wie daß der auch freÿhochwolhgebohrne herr herr Frantz Sigmund von Bock im leben geweßter Lieutenant Collonel beÿ dem löbl. teutschen Infanterie Regiment Elsaß und à la suitte des Königlichen Infanterie, des hochadelsichen H. Comparenten herr Sohn, den 23. junÿ anno 1768 allhier zu Straßburg in sein H. Wilhelms behaußung das zeitliche mit dem ewigen verwechßelt habe und außer der um und ane seinen leib gehörig geweßten Kleidung und weißen gezeugs nur einige weenige Effecten weiter aber nichts verlaßen hätte, daß diese von Ihme gelaßene Posten während die des hochadelichen H. Compareten abwesenheit durch Joseph N des verstorbenen H. Sohns bedienten wegen den, vor lidtlohn zu fordern gehabten 530 livres wären verkaufft aber aus denselben weit nicht soviel erlößet worden

Leur fils cadet Charles Léopold de Bock meurt après avoir contracté des dettes. Son père renonce à la succession.
1773, Not. Haering (6 E 41, 1374)
N° 480 Anno 1773. Donnerstag den 29.ten Aprilis – hr. Lt. Johann Georg Albert advocatus et procurator ordinarius beÿ E. hochöbl. Ritter Directorio præsidial des freÿunmittelbaren Adels im untern Elsaß exercirend, als bestelter Sachverwalter der freÿwohlgebornen Fräulein Louisæ Eleonoræ Amaliæ freÿfräulein von Bock zu Gerstheim und Bläßheim, wie auch herr Friedrich Jacob Röderer Procurator vicarius alhier wohnhaft als Syndicus Creditorum nun weiland des freÿwohlgebornen herrn Carl Leopold freÿherrn von Bock, mithin in dießer qualität alß deßen Representanten anzeigend, daß sie bereit seÿen, das zufolg ritterschafflicher Erkandnus Vom 16. Martÿ 1772 über weiland der freÿhochwolgebornen frau Luisä Eleonorä von Bock zu Gerstheim und Bläßheim geborener freÿin Von Landsperg des freÿhochwolgebornen Herrn Friedrich Heinrich von Bock zu Gerstheim und Bläßheim Ritter Vom Königl Orden des Kriegs Verdiensts A° 1766 Verstorbenener Frau ehegemahlin seel. Gedächtnus Verlaßenschafft zu verfertigen anbefohlene Inventarium durch mich den hochrichterlich dazu bestellten Inventir schreiber errichten zu laßen
6. maÿ – Summa 14.023 fl, abzuziehen 402 fl, annoch 13.621 fl

N° 479 – Vor dem unterschriebenen offenbaren geschwornen Notario und Niederelsaßisch ritterschaftl. Inventir Schreiber, ist an unteb gesetztem tag persönlich erschienen erschienen der Freÿhochwolhgebohrne Herr Friedrich Heinrich von Bock Zu Gerstheim und Bläßheim Ritter Vom Königl. Orden des Kriegs Verdiensts anzeigend, demnach sein Jüngster Sohn, weiland Juncker Carl Leopold von Bock ohnlängst das Zeitliche mit dem ewigen Verwechßelt, und aber ohne sein des herrn Vaters Vorwißen noch bewilligung Verschiedene passiv Schulden contrahirt, daß sogar seiner geringen Mass ein Syndicus und Curator gesetzt worden, welche passiv Schulden Er Herr Comparent Er hier durch und in Krafft dießes sich feÿerlich erklären wolle, auch erkläret, daß Er an seines ged.n Sohns hinterlassenen haabseeligkeiten und Guth weder theilnehmer noch an seinen gemachten Schulden das mindest bezalen wolle (…) so beschehen Straßburg den 31.ten Martÿ
Mobilien Verkauf n° 479 b und c

Frédéric Henri de Bock de Blæsheim meurt le 6 septembre 1791. Son corps est inhumé au cimetière Sainte-Hélène.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. p. 211 n° 39)
Im Jahr 1791 den 6. Septembris Nach Mittags um fünf Uhr starb an Alters Gebrächen Herr Friderich Heinrich Bock von Bläsheim alter Grenadier Hauptmann und Ritter des frantzösischen Kriegsordens von Verdienst, des weÿl. Herrn Anton Eberhard Bock von Bläsheim ehemaligen Stättmeisters und XIII dieser Stadt mit weÿl. Frau Christina Sophia Bock Von Bläsheim geborner Forstnerin ehelich erzeugter Sohn, welcher in der Ehe lebte mit weÿl. Frau Louisa Bock von Bläsheim geborne Von Landsberg der Leichnam wurde nach dem er 46 Stunden todt gelegen, den 8. Septembris Nach Mittags um dreÿ Uhr nach der Neuen Kirche gebracht, woselbst die Leichen Rede gehalten worden, und sodann auf dem Gottes Acker St. Helenæ in einem alter von 79 Jahren und Zweÿ Monaten beerdiget (i 111)

Frédéric Henri de Bock de Blæsheim meurt en délaissant pour unique héritière sa fille Louise Eléonore Amélie qui meurt quelques mois plus tard. La succession revient à ses nièces Landsperg, héritières substituées. Le défunt demandait dans son testament à être enterré auprès de ses aïeux à Blæsheim. L’actif de la succession s’élève à 28 779 livres strasbourgeoises, le passif à 3 730 livres.

1791 (26. 7.br), Not. Zimmer (6 E 41, 1492) n° 21
Inventarium über Weiland Herrn Friedrich Heinrich von Bock Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1791.
Anno 1791 Montag den 26. Septembris Vormittags auf Ansuchen H Johann Friderich Zimmer dermaliger Präsident des Strasburger District Directorii, als vermög vorgewiesener, von Jungfrau Ludovicä Eleonorä von Bock, in ihrer Eigenschaft als einzige dochter und Erbin weiland H. Friedrich Heinrich von Bock, ihres den 6. dieses Monats alhier Zu Straßburg verstorbenen, H. Vaters, den 17.ten dieses sub signatura privata ausgestellter und den 19.ten daraufhin gehörig enregistrirter Vollmacht bestellter Mandatarius und Herrn Johann Daniel Ensfelder, Notarii publici alhier, als wegen der von dem Verstorbenen in seinem beÿ H. Not. Lacombe den 5.ten Martÿ 1787. verschloßen hinterlegten den 9.ten Septembris 1791. eröfneten und den 10.ten daraufhin enregistrirten lezten Willens, Zu Gunsten H Frantz Maria von Landsperg mit Fraun Sophia Elisabetha Julia Francisca geborener von Bock deßelben Ehegattin ehelich erzeugter Jungfraun Töchter verordneten Substitution (…) ernannter Substitutions Vogt (…)
von Martin Denier Verwalter und seiner Ehefraun Christinä geborener Duverno, Philipp Jacob Schöpf dem Kutscher, Michael Ebendem Bedienten und Margarethä Fischerin der Köchin (…) geäugt und gezeigt

Der Verstorbene H. Friedrich Heinrich von Bock hat vermög seines den 5.ten Martÿ 1787. beÿ H. Notario Lacombe allhier zu Strasburg verschloßen hinterlegten (…) letzten Willens und deßelben 8. Artickels Zu seiner einigen Erbin hinterlaßen Jungfrau Ludovica Eleonora Amalia von Bock, sein des Verstorbenen einige eheliche Tochter (…)
(f° 3) In einer alhier Zu Straßburg beÿ S. Johann N° 56 gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Auf dem ersten Stock, Im Zimmer N° 1, Im Zimmer N° 2, Im Zimmer N° 3, Im Zimmer N° 4, Im Bedienten Zimmer, In der schwarzen Getüch Kammer, In der Köchin Kammer, In dem Rez de chaussée In der Gesinds Stub
(f° 15) Eigenthum an einer Behaußung und Zugehörden in der Stadt Straßburg. Nemlich eine Behaußung, Hof, Hoffstatt, Bronnen, Scheur und Stallung samt allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg an dem Johanniter Staden, einseit neben dem Ordens hauß St Johann, anders. neben H Johann Christoph Otto, dem Handels M. alh: hinten auf gemeltes Ordens haus stoßend, davon man jährl. vormals dem Collegiat Stifft Jungen S. Peter nun aber der Nation 3 fl. ewigen Zinns Zu entrichten schuldig sonst freÿ ledig und eigen geachtet pro 15.000 L.
Über diese Behaußung besagt eine in alhiesiger CC stub auf Pergament gefertigt Kauffverschreibung datirt den 6. Aug. 1787. Ferner eine von H. Zæpfel vormaligem Rathschreiber unterschriebene Copia der Steigerungs Procès verbaux über solche behaußung vom 12.ten Jnuii 3. u. 17. Julii 1787. It. I. Extract aus E. E. Großen Raths Memoriali die Confirmation der Adjudication an H. von Bock enthaltend datirt vom 11. Aug. 1787. It. I. Extract aus E. E. Kleinen Raths Augenschein Memoriali vom 25.ten Junii 1788. den bronnen berührend. I. vier ältere pergamentener Kauffbrieffe alle in alhiesiger Cantzleÿ Contract Stub errichtet, der erste vom 2.ten aug. 1765. der 2. u. 3.ten vom 7. Octobris 1726. der 4.te vom 28. Martii 1648.
Series rubricarum hujus Inventarii. Und Zwar erstlich der Hausrath beneben andern Rubriquen so in einer alhier Zu Straßburg beÿ St Johann N° 56 gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt, Sa. Haußraths L. 2957, Sa. Wein, Faß und Bütten 505, Sa. Kutschenpferde 300, Sa. Gefährter und Kutschengeschirrr 1360, Sa. Frucht 156, Sa. Heus 120, Sa. Brennholzes 12, Sa. baarschafft 31.675, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 2471, Sa. Goldes und dergleichen Geschmeids 822
Folget nun die Beschreibung des Hausraths und andern Rubriquen so in dem Schloß zu Bläsheim befunden worden, Sa. Haußraths 1847, Sa. Weins und leerer Faße 428, Sa. Früchten 1466, Sa. Heu und Strohes 24, Sa. Brennholtzes und Wellen 342
Folget nun die Beschreibung des übrigen von dem Verstorbenen& hinterlaßenen Vermögens, Sa. Pfenningzinß und deren Hauptgüter 25.840, Sa. Schulden 15.243, Sa. Geld, Frucht und Weingefälle 14.544, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 15.000, Summa summarum 115.117 – Schulden 14.922, Nach deren Abzug 100.195
Woran gebührt Dlle Louisæ Eleonoræ von Bock, der Eingangs gedachten Tochter und Erbin dieTerz pro Legitima mit 33.398
Da dieselbe aber vor Endigung dieses Inventarii d. 2. Januar jüngst, auch bereits mit Tod abgangen, so triyytt nun Zufolg derselben beÿ H. Not. Lacombe den 7. Novembris 1791 beschloßen hinterlegten und den 16. Januarii jüngst eröffneten auch gehörig enregistrirten Letzten Willens an ihre Stelle 1° Frau Francisca Sophia Elisabetha Juliana gebohrene von Bock H. Frantz Maria von Landsperg dermalen Zu Bläsheim wohnhaft Ehegattin, und Zwar diese für die eine Helfte, 2. Fräulein Wilhelmina von Bock in Bläsheim wohnhaft für den dritten vierten Theil, 3.tio Louisa Amalia gebohrene von Bock weil. H. Carl Christian Ludwig Eckbrecht von Dürckheim hinterbliebene Wittib, in Stadgardt wohnhaft für den letzten vierter Theil
Volget endlich die Beschreibung der Stammgüther und Gefälle, Welche der Verstorbene Herr Friedrich Heinrich von Bock in Gefolg des von seinem H. Vater weiland H. Antoni Eberhard von Bock den 2.ten Martii 1723. beÿ auch weiland H. Jacob Christian Pantrion gewesenen Notario publico alhier verschloßen hinterlegtsen und den 14.den Februarii 1730 durch weiland Herrn Wolfgang Courtz gewesenen Notarium pubicum alhier eröfneten Testaments (…)
(f° 40) Copia Testamenti clausi (…) Je demande à etre enterré à Blæsheim avec mes Ancêtres (…) Je donne et legue à Martin Denier natif de Lingolsheim et à sa femme nommée Duverné mes valet de Chambre et Menagere (…), Je donne et legue à Dlle Amelie de Dürckheim fille de Monsieur le baron de Dürckheim et de ma nièce la Baronne de Bock

Louise Eléonore de Bock meurt à Blæsheim le 2 janvier 1792 à l’âge de 47 ans.
Sépulture, Blæsheim (luth. p. 52)
Montags den 2. Januarÿ im Jahr 1792 nachts ein viertel vor eilf Uhr starb allhier die Fräulein Louisa Eleonora von Bock, des weiland Herrn Friderich Heinrich von Bock gewesenen Chevalier de l’ordre de mérite mit weiland Frauen Louisa Eleonora gebohrner von Landsperg nachgelaßene ehelich erzeugte ledige Tochter und wurde Donnerstags darauf als den 5. ejusdem, nach dem sie in die 59. Stunden todt im Hauß gelegen Christlich und ehrlich Zur Erden bestattet ihres Alters 47 Jahr und 3 Monat (i 16)

Charlotte Chrétienne de Landsperg et Barbe Constantine de Landsperg vendent la maison au boucher Abraham Gerber et à sa femme Anne Marie Walter

1805 (30 prairial 13), Obernai (7 E 37, 2, 7) Striffler n° 72
Charlotte Christine et Barbe Constantine de Landsperg Dlles majeures domiciliées à Nidernay assistées de M François Marie de Landsperg leur père, propriétaire à Nidernay
au Sr Abraham Gerber, marchand boucher, et Anne Marie Walter
une maison, cour, bâtiment logeable dans la cour, puits, grange, écurie, aisances, appartenances et dépendances sise en la ville de Strasbourg au quai St Jean ou des Johannites portant n° 56, d’un côté ci devant commdanderie de St Jean, de l’autre Jean Vetter, devant la rue et quai susdit, derrière ladite Commanderie St Jean – cette maison et dépendances qui autrefois payaient à la ci devant Collégiale St Pierre le Jeune et ensuite à la République une rente annuelle et perpétuelle de 6 fr laquelle rente a été dument rachetée suivant liquidation par le Préfet du département le 7 nivose 9 enreg. 26 floréal ensuivant, sont avenues aux Dlles venderesses en vertu de la substitution ouverte à leur profit par la mort de Dlle Louise Eléonore Amélie de Bock, héritière testamentaire, grévée de substitution de feu M Henry de Bock son père en vertu d’un Testament mystique déposé par le Sr de Bock chez M° Lacombe le 5 mars 1787 ouvert le 9 septembre 1791, lequel Sr de Bock est devenu propriétaire de cette maison contrat d’acquisition à la Chambre des Contrats le 6 août 1787 confirmé par le Grand Sénat le 11 du même – pour 14.000 francs

Originaire de la Wantzenau, Abraham Gerber épouse en 1794 Anne Marie Walter, fille du journalier Jean Walter
Mariage, Strasbourg (n° 832)
Cejourd’hui le 28 Ventôse de l’an second de la République française (…) sont comparus en la maison commune pour contracter mariage d’une part antoine abraham Gerber, Boucher agé de 27 ans, domicilié en cette commune depuis huit ans, natif de la Wantzenau, Département du bas-Rhin, fils légitime de feu antoine Gerber, boucher, et d’anne marie Wolff, de l’autre part anne marie Walder, agée de 24 ans, née et domiciliée en cette commune, fille légitime de jean Walder, journalier et de madelaine Giltmann (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 4 mars 1767 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 5 septembre 1769 (i 110)

Registre domiciliaire 600 MW 28 (1815 sqq) f° 530 (i 288)
Quai de Jean N° 56
Gerber, Abraham, 1767, Boucher, marié, Wanzenau (à Strasbourg depuis) 1784 – dél. V. M. aux Vins 81
id. née Walter, Anne Marie, 1769, Ep. Strasbourg
id. Madeleine, 1799, Strasbourg, Strasbourg
id. Marie Anne, 1800, Strasbourg
id. Frédéric, 1801, Strasbourg – dél. faub. de Saverne 8
id. Dorothée, 1803, Strasbourg
id. Caroline 1808, Strasbourg
id. Sophie, 1810, Strasbourg
Walter née Goettel, Madeleine, 1743, veuve, Winsehlé (à Strasbourg depuis) 1760

Abraham Gerber et Marie Anne Walter vendent la maison à Anne Marie Weber, femme du statuaire André Friedrich

1833 (22.8.), Strasbourg 2 (75), M° Weigel n° 8148
Abraham Gerber ci devant boucher et Marie Anne Walter
à Anne Marie Weber épouse d’André Friedrich, statuaire
la maison avec cour, grange, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai St Jean n° 56 avec tous objets d’un côté la ci devant Commaderie de St Jean, de l’autre les veuve et héritiers de Jean Fetter, devant ledit quai, derrière ladite Commanderie St Jean – sont compris quatre poeles en fer de fonte avec tuyaux & pierres, un trumeau au premier étage – Titres de propriété, acquis de Charlotte Christine de Landsperg et Barbe Constantine de Landsperg de Niedernai suivant acte reçu M° Striffler à Obernay le 30 prairial 13 – pour 20.000 francs
Enregistrement, acp 219 F° 159-v du 30.8.

Originaire de Ribeauvillé, André Friederich épouse en 1829 Marie Anne Weber, native d’Oberachern en Bade
1829 (30.6.), Strasbourg 7 (79), M° Stoeber n° 11.804
Contrat de mariage – André Friederich, sculpteur statuaire en cette ville natif de Ribeauvillé fils de Xavier Friederich, propriétaire sculpteur à Ruffach, et de feue Thérèse Ruhlmann
Marie Anne Weber fille majeure de feu Philippe Weber, cultivateur, et de Christine Busam à Ober-Achern (Grand duché de Baden)
acp 195 (3 Q 29 910) f° 85-v du 4.7. – réserve d’apports, des habillements et linges propres, communauté d’acquets partageable par moitié, au décès de l’un d’eux usufruit au survivant de la succession du prémourant
Le futur se constitue en propre 15.000 francs, la future 11.650 en numéraire et valeurs mobilieres

Marie Anne Weber meurt en 1839 en délaissant trois enfants dont l’un meurt peu de temps après sa mère

1839 (2.2.), Strasbourg 4 (88), M° Hatt n° 11.167
Inventaire de la succession de Marie Anne Weber épouse d’André Friderich, sculpteur statuaire, décédée le 8 octobre dernier et de la succession de Joséphine décédée peu de jours après sa mère
à la requête d’André Friderich le veuf commun en biens suivant contrat de mariage reçu Stoeber jeune le 30 juin 1829, père et tuteur légal d’Amélie âgée de 4 ans et Victor Hugo âgé de 2 ans, mineurs
en la maison de M. Friderich quai St. Jean n° 56
immeuble, une maison avec cour, bâtiments latéraux, bâtiment de derrière, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg Quai St Jean n° 56 estimée 20.000 francs, d’un côté Mad. veuve Fetter, de l’autre l’Hôtel du Mont de Piété.
Titres et papiers, expédition du Contrat d’acquisition de la maison d’Abraham Gerber ci devant boucher et Marie Anne Walter devant M° Weigel le 22 août 1833
acp 266 (3 Q 29 981) f° 3 du 11.2. – La prisée des meubles de la communauté s’élève à 3921
La garde robe de la défunte 687, argent comptant 2000, créances actives 950
Il dépend une maison à Strasbourg quai St Jean N° 56 estimée 30.000 francs
Continuation 6. juillet – reprises de la succession s’élèvent à 2623 et celles de la succession [sic] à 15.000

André Friederich se remarie avec Marie Antoinette Momy
1839 (13.2.), Strasbourg 4 (88), M° Hatt n° 11.194
Contrat de mariage – André Friederich, sculpteur statuaire à Strasbourg veuf avec deux enfants de Marie Anne Weber
Marie Antoinette Momy fille majeure d’André Romain Momy et de feue Marie Joséphine Schauer
acp 266 (3 Q 29 981) f°25 du 18.2. – sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts
Le futur se constitue la part et portion qui lui revient dans sa première communauté et la future se constitue les biens qui lui seront échus dans la succession de sa mère.
Les futurs époux de sont donation au survivant d’eux savoir le futur à la future de l’usufruit de tout ce que la loi lui permet de disposer et la future au futur l’usufruit de tous les biens qu’elle délaissera

Inventaire des apports
1840 (10.1.), Strasbourg 4 (90), M° Hatt n° 11.901
Inventaire des apports – ont comparu André Friederich, sculpeur statuaire, et Marie Antoinette Momy, mariés suivant contrat de mariage passé devant M° Hatt le 13 février dernier
acp 274 (3 Q 29 989) f° 94 du 17.1. – Les apports du Sr Friedrich consistent tant en ses biens propre et sa part à la communauté avec Anne Marie Weber sa première femme que dans sa part à la succession de de Joséphine Friedrich sa fille défunte ainsi qu’elle a été constatée par inventaire dressé par M° Hatt notaire à Strasbourg le 2 février dernier et aussi dans sa part à la succession de Victor Hgo Friedrich son fils.
Les apports de la dame Friedrich consistent en ce qui lui est avenu dans la succession mobilière de sa mère Marie Joséphine Schauer, laquelle succession de mobilière est évaluée à 3460 francs

André Friedrich renouvelle l’hypothèque passée en 1825 et garantie sur la maison

1854 (3.5.), Strasbourg 6 (83), Henri Eugène Roessel (Roessel le jeune) n° 1706
Titre nouvel du 3 Mai 1850 – Ont comparu 1. André Friedrich, statuaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel que comme tuteur légal de son enfant mineur dlle Amélie Friedrich, sans état demeurant et domiciliée avec son père, de laquelle il promet au besoin la ratification dès sa majoroté d’une part
2. Mlle Adèle Widmann, fille majeure sans état demeurant et domiciliée à Strasbourg, d’autre part
Lesquels comparans (déclar)ent 1. que par acte reçu M° Grimmer notaire à Strasbourg le 4 janvier 1825 le Sr Abraham Gerber boucher et sa femme Marie Anne Walter demeurant à Strasbourg ont reconnu devoir à Mme Sophie Concorde Klingelmeyer veuve de M. Geoffroi Widman demeurant à Strasbourg une somme de 7000 francs en principal
2. Qu’à la garantie de ce capital les époux Gerber ont hypothéqué au profit de ladite veuve Widmann une maison avec cour, puits, grange, écurie, droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg Quai Saint Jean n° 56 autrefois et actuellement n° 21 entre la cidevant commanderie de Saint Jean d’une part et M. Schott d’autre part donnant par devant sur le rue et par derrière sur ladite commanderie, cette hypothèque est inscrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 novembre 1844 volume 417 Numéro 73 en renouvellement de précédentes inscriptions.
3. Que par acte reçu par M° Weigel notaire à Strasbourg le 22 août 1833 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 septembre 1833 Volume 273 Numéro 100 et inscrit d’office Volume 226 Numéro 546 inscription d’office renouvelée par celle du 11 novembre 1844 déjà relatée les époux Gerber ont vendu à Marie Anne Weber épouse en premières noces du dit M. Friderich la maison ci avant désignée, avec délégation de payer sur le prix de cette vente la somme de 7000 francs due à Mme Widmann et grevant ledit immeuble.
4. Que depuis cette vente et sans que ladite somme de 7000 francs soit payée la dame Friedrich est décédée laissant trois enfants qui sont Joséphine, Amélie et Victor Hugo Friedrich ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé par M° Hatt alors notaire à Strasbourg en date du commencement du 2 février 1839.
5. Que depuis la mort de leur mère lesdits Joséphine et Victor Hugo Friedrich sont également décédés, de sorte que la dette de 7000 francs dont s’agit tombe à la charge dudit André Friedrich et de sa fille Amélie Friedrich comme héritière partiaire de sa mère et de ses frère et sœur et le comparant Friedrich comme héritier partiaire pour le surplus de ces derniers ses enfants
6. Que la dame veuve Widmann est également décédée et que ladite créance de 7000 francs a été attribuée à la dlle Widmann comparante ainsi qu’il résulte du partage reçu par M° Roessel aîné notaire à Strasbourg le 22 janvier 1844.
En conséquence ce de qui précède et pour éviter la prescription trentenaire Mlle Widmann déclare accepter le délégation de 7000 francs faite au profit de sa mère par lesdits époux Gerber à la charge des époux Friedrich (…)

La Ville de Strasbourg cède à André Friedrich la mitoyenneté d’une partie du mur des bâtiments de Saint-Jean

1856 (14.4.), Maire
approuvé le 25 – Cession par la Ville de Strasbourg
à André Friederich statuaire à Strasbourg
de la mitoyenneté sur une portion d’un Mur séparant sa propriété sise au quai St Jean N° 21 à Strasbourg des bâtiments de St Jean appartenant à la dite Ville moyennant la somme de 271 francs
acp 450 (3 Q 30 165) f° 34 du 7.5.

La maison revient à André Friedrich lors de la liquidation de la communauté avec Marie Anne Weber

1858 (28.1.), Louis Charles Zeyssolff (minutes en déficit)
Liquidation et partage I. de la communauté de biens qui a existé entre entre André Friedrich, Sculpteur statuaire, et Marie Anne Weber son épouse
II. de la succession de la dame Frédéric, décédée à Strasbourg le 8 octobre 1838
III. de Joséphine Friedrich, mineure décédée le 22 décembre 1838
IV. de Victor Hugo Friedrich décédé le 6 mars 1839
dressé à la requête 1. du Sr Friedrich, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Stoeber le jeine le 30 mars 1829, comme héritier pour un quart de ses deux enfants susdénommés, 2) Amélie Friedrich, célibataire à Strasbourg
acp 466 (3 Q 30 181) f° 73 du 3.2. (successions déclarées le 4 avril 1839, 22 juin 1839, 5 septembre 1839) Communauté, masse active 1) mobilier estimé 3921, 2) objets formant l’atelier de Mr Friedrich 8761, 3) numéraire 2000, 4) créances 950, 5) une Maison à Strasbourg quai St j& 30.000, total 45.632
Masse passive 38.983, bénéfice 6649, la moitié 3324
Abandonnements, à M° Friedrich (…) la maison

Amélie Friedrich meurt après avoir institué son père pour légataire universel
1858 (24.4.), Louis Charles Zeyssolff (minutes en déficit)
Testament d’Amélie Friederich, célibataire à Strasbourg par lequel elle institue André Friedrich statuaire à Strasbourg, son père, légataire universel
acp 468 (3 Q 30 183) f° 95 du 29.4. (succession déclarée le 1. 7.br.1858)

1858 (12.8.), Louis Charles Zeyssolff (minutes en déficit)
Notoriété constatant que Delle Amélie Friederich, décédée à Strasbourg a par testament reçu Zeyssolff notaire le 24 avril 1854 institué son père André Friedrich statuaire à Strasbourg son légataire universel
acp 471 (3 Q 30 186) f° 61-v du 16.8.

Erwinie Léopoldine Friedrich, femme du marchand Jean Auguste de Jaffa, demeurant à Londres, vend la maison à Albert Lohmiller qui déclare l’avoir acquise pour Edouard Fritsch, demeurant 3, quai de l’Abattoir. L’acte mentionne la cession du mur mitoyen en 1856 et un accord passé en 1860 avec le voisin Auguste Klein, relatif à une fenêtre dans le bâtiment arrière.

1880 (27.7.), Strasbourg 8 (110), M° Gustave Edouard Loew n° 12.401
Bedingnisheft 1. Juli 1880 – sind erschienen 1) Herr Friedrich August Adolph Silberzahn, Lizentiat der Rechte, erster Notariatsgehülfe, wohnhaft zu Straßburg, handelnd als bevollmächtigter Vertreter von Frau Erwinie Leopoldine Friderich Gemahlin des Kaufmanns Herrn Johann August von Jaffa, beide zu London wohnhaft, sowie als substituirter Bevollmächtigterer des genannten Herrn von Jaffa (…) In derselben handelte Herr von Jaffa zugleich als Verwaltter des eigenen Vermögens seiner Kinder aus der Ehe seiner besagten Gemahlin Namens 1) Christine Erwinia, 2) Hathlene Hedwige, 3) Elfriede Louise Augustine von Jaffa, sämtlich minderjährig (…) 2) Herr Johann Ludwig Joseph Lindner, Rentner und früherer erster Notariatsgehülfe, wohnhaft Zu Straßburg, handelnd als durch öffentliches Testament vor dem unterzeichneten Notar vom 9. August 1876 ernannter Testamentvollstrecker des Herrn Friederich, diese Parteien Theilungskläger, vertreten durch ihren Prozeßanwalt herrn Blumstein in Straßburg, 3) Herr Theodor Kuntz, Bildhauer, wohnhaft zu Schiltigheim, handelnd als Hauptvormund der zu Straßburg wohnhaften und entmündigt in der Irrenanstalt zu Stefansfeld untergebrachten Frau Maria Antonie Momy, Wittwe des obigen herrn Friederich, Theilungsbeklagter, im Prozesse vertreten durch den kaiserlichen Rechtsanwalt herrn Weber zu Straßburg, 4) Herr Gustav Adolph Riff, Rechtsanwalt beim kaiserlichen Landgerichte Straßburg, wohnhaft daselbst, handelnd als Vertreter des zu Paris wohnenden Advokaten herrn August Bloch, welcher als Gläubiger der Ehegatten von Jaffa durch Akt des Gerichsvollziehers Porst in Straßburg vom 23. März 1867 gegen Theilung des Nachlasses ohne seine Zuziehung Widerspruch erhob,
dieselbe ersuchten den Notar unter Bezugnahme auf das obige, unter den genannten Parteien erlassene Urtheil des Kaiserlichen Landgerichts Strassburg, durch welches die Auseinandersetzung und Theilung der zwischen den Ehegatten Friedrich bestandenen Gütergemeinschaft sowie die vorgängige Versteigerung der unten beschriebenen Liegenschaft verordnet wurde, Bedingnisheft zur angeordneten Versteigerung zu errichten

Bezeichnung. Es kommt zur Versteigerung Ein Haus in Straßburg, Johannesstaden N° 12, bestehend aus Vorderhaus, Seiten- und Hintergebäude, einerseits Schott, anderseit die städtische Realschule, vorn der Johannesstaden, hinten Eigenthum der Gemeinde. Anschlagspreis 56.000 Mark
Eigenthumsnachweis. Das Anwesen gehörte zu der Gütergemeinschaft, welche zwischen Herrn Friederich und seiner ersten Gattin Frau Marie Anna Weber bestand, und war gekauft worden von den Metzgersehegatten Abraham Gerber und Frau Anna Maria Walter zu Straßburg, laut Vertrags vor dem damaligen Notar Weigel daselbst vom 22. August 1830 überschrieben beim Hypothekenamte Straßburg den 28. folgenden Monats Band 273 N° 100. Ehegatten Gerber hatten das Haus durch Urkunde des damaligen Notars Striffler zu Oberehnheim vom 30. Prairial Jahr dreizehn von den Fräulein Charlotte Christine von Landsberg und Barbara Konstantine von Landsberg aus Niederehnheim gekauft.
Frau Friederich geborne Weber starb zu Straßburg den 8. October 1838 und hinterließ als einzige Erben drei minderjährige Kinder, Nahmens Josephine, Victor Hugo und Amalia Friederich. Auf ihr Ableben folgte Inventar vor Notar Hatt in Straßburg vom 2. Februar 1839. Die drei Kinder starben sämtlich bald nach der Mutter. Josephine starb den 22. December 1838 und wurde zu zwei Achteln von ihrem Vater und zu sechs Achteln von ihren zwei Geschwistern, Victor Hugo am 6. März 1839 seinen Vater zu einem Viertel und seine Schwester zu drei Viertel als Erben hinterlassend, Amelie den 24. April 1858 nachdem sie durch Testament vor Notar Zeyssolff Vorfahrer des unterschriebenen Notars vom nämlichen Tage ihren Vater zum Erben und Universallegatar eingesetzt hatte.
In seinem mit seiner zweiten Gattin geborne Momy am 13. Februar 1839 vor dem damaligen Notar Hatt in Straßburg errichteten Ehevertrage vermachte Herr Friederich derselben schenkungsweise den lebenslänglich de, lebenslänglichen bürgschaftsfreien Nutzgenuß an dem gantzen Theile seines Verlaßenschafft über welche ihm das Gesetz zu verfügen erlauben würde, und am 9. August 1876 errichtete Herr Friederich vor dem unterschriebenen Notar ein am 12. März 1877 registrirtes Testament, das in seinem verfügbarer Theil lautet, Ich vermache der gebornen und noch geberen werdenden Kindern aus der Ehe meiner Tochter Erwina Leopoldine Friederich mit August Jaffa, beide in Hamburg ansässig, eine Summe von 32.000 Mark. Zur Sicherheit dieses Vermächtnisses verordne ich hypothekarische Einschreibung auf meinem Hause dahier am Johannesstaden. Das Vermächtniß ist in gleicher Theilen einem jeden bedachten am Tage seiner Großjährigkeit auszuhändigen, bis dahin genießt die Mutter die Zinsen. Zur Währung dieses Vermächtnisses ernenne ich als Testamentsvollstrecker den Rentner und vormaligen ersten Notariatsgehülfen Herrn Johann Ludwig Joseph Lindner, wohnhaft zu Straßburg, der zu diesem Zwecke alle nöthigen Maßnahmen zu treffen hat. (…) Herr Friedrich starb in Straßburg am 9. März 1877 und hinterließ ausweislich des auf sein Ableben durch unterschriebenen Notar am 16. April darauf errichteten Inventars seine Tochter Frau Jaffa zu einziger Erbin.
Mauergemeinschaft und Dienstbarkeit. Durch Privatvertrag mit dem Datum Straßburg den 14. April 1856, registrirt zu Straßburg den 7. folgenden Monats f° 34 recto (…) erwarb Herr Friederich von der Stadt Straßburg bezüglich der sein Eigenthum von der städtischen Sankt Johannesgebäuden trennenden Mauer die theilweise Gemeinschaftlichkeit mit dem Rechte des Überbauens, wobei er verlangte, daß die Stadt binnen sechs Monaten zwei, duldungsweise zu ihren Gunsten in der Mauer befindliche Oeffnungen beseitige.
Unterm 20. April 1860 ertheilte Herr Friedrich dem Eigenthümer des Hauses Sankt Johannesstaden N° 11, Herrn August Klein, Wagenvermiether, zur Erhaltung der Freundnachbarlichkeit die Erlaubnuß, in der die beiden Anwesen vom Hintergebäude des Hofes scheidenden Giebelwand eine Fensteröffnung anzubringen. Diese Oeffnung zu 30 Centimeter Breite und 35 Centimeter Höhe wird im Speicher hergestellt und erleuchtet eine als Taubenschlag benutzte Kammer im Kleinschen Anwesen dem Herrn Friedrich blieb das Recht, dasselbe jederzeit ohne gerichtliche Förmlichkeit wieder beseitigen lassen.
Steigbedingungen (…)
27. Juli 1880. Versteigerung. Heute Dienstag den 27 Juli 1880 (…) Anschlagpreis 56.000 Mark. Bei brennenden Kerzen bat der anwesende Herr Albert Lohmiller, Bauunternehmer wohnhaft zu Straßburg den Ansatzpreis mit 65.000 Mark. Derselbe erhielt, nachdem drei weitere angebrannte Kerzen ohne nachfolgendes Mehrgebot erloschen waren hierfür den endgültigen Zuschlag
29. Juli 1880. Ankaufserklärung. Ist erschienen Herr Albert Lohmiller, Bauunternehmer wohnend zu Straßburg, derselbe erklärt hiermit, daß er das ihm in dem vorstehenden Protokolle (…) zugeschlagene Haus mit Zugehör dahier Johannesstaden Nr 12 für Herrn Eduard Fritsch, Rentner, wohnend zu Straßburg, Schlachthausstaden Nr 3, angekauft hat.
acp 704 (3 Q 30 419) f° 80-v du 30.7.

L’entrepreneur de construction Albert Lohmiller rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à son beau-frère Henri Edouard Fritsch, l’un des trois enfants de Chrétien Edouard Fritsch, ancien avocat, et de Françoise Virginie Leleux, tous deux internés à l’hospice d’aliénés de Stephansfeld. La plupart des biens proviennent de Caroline Heusser, veuve en premières noces de Chrétien Fritsch, grand mère du pupille.
1879 (20.11.), Strasbourg 24 (29), M° Joseph Allonas
Rechnung erstellt durch H. Albert Lohmiller, Bauunternehmer zu Straßburg wohnhaft, An dem in nämlicher Stadt wohnenden Handlungsgehülften Heinrich Eduard Fritsch geboren hierselbst den 14. Juli 1858.
Ueber die Uberwachung und Vermögensverwaltung des H. Heinrich Eduard Fritsch, wovon er betraut war in Ersatz dessen interdizirten und in der Irren Anstalt von Stephansfeld Gemeinde Brumat untergebrachten Eltern H. Christian Eduard Fritsch ehemaliger Advokat und Franziska Virginie geborener Leleux, laut Beschluß des Familienraths seines Mündels erfaßt unter dem Vorsitze des Kaiserlichen H. Friedensrichters I. dahier am 13. October 1875.
Die genannten Eltern des Herrn Heinrich Eduard Fritsch sind, gemäß Urtheils der Kaiserlichen Landgerichts Straßburg vom 10. März 1875, interdizirt und genannter H. Albert Lohmiller zu Folge Beschluß des Familienraths dieser Eheleute Fritsch-Leleux gefaßt unter dem Vorsitze des Kaiserlichen Herrn Friedensrichters I dahier vom 2. Aprilis desselben Jahres zu derem Vormund ernannt worden
Und so Herr Lohmiller als vermög Verwalter des genannten H. Heinrich Eduard Fritsch damals noch unmündig und dessen Bruder den noch unmündigen Herrn Julianus Fritsch, seine beide Schwäger, an Stelle derern interdizirten Eltern ernannt worden ist, wie schon hieoben gesagt, beginnt die Verwaltung der H. Schmitter nicht am 13. October 1875. Tag seiner Ernenung Vermögens Verwalter der zwei minderjährigen Herren Fritsch, sondern geht zurück auf den Tag seiner Ernennung als Vormund der entmündigten Eltern Fritsch 2. April 1875.
Bestand des Vermögens von H. Heinrich Eduard Fritsch, über welcher Herr Lohmiller die Verwaltung hatte – Laut ihrem eigenhändigen Testament de dato zu Straßburg vom 10. Februar 1863, und dem H. Stromeyer damals Notar dahier als Urkunde hinterlegt wie erhellet aus einem Hinterlegungsakte von selbem Notar vom 13. des folgenden Monats März (…) hat Frau Carolina Heusser Wittwe in erster Ehe von Herrn Christian Fritsch Vater und in zweiter Ehe von H. Theodor Barbaras aus Straßburg wo sie gestorben ist, die Kinder ihres Sohns der genannt interdizirte H. Christian Eduard Fritsch, als ihre drei Enkeln
a) Frau Melanie Fritsch, Ehefrau des H. Albert Lohmiller,
b) genannter H. Heinrich Eduard Fritsch,
c) und genannter H. Julianus Fritsch
als ihre Legataren, je zu einem dritten theil, an der Hälfte ihres zu hinterlassenden Vermögens eingesetzt

Henri Edouard Fritsch naît le 14 juillet 1858
Naissance, Strasbourg (n° 1301)
Acte de naissance le 16 juillet 1858 à une heure du soir (…) a comparu Chrétien Edouard Fritsch âgé de 25 ans, rentier domicilié à Strasbourg lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin né à Strasbourg le 14 juillet 1858 à quatre heures du soir en la maison N° 18, rue St Nicolas, et nommé Henri Edouard, fils de lui déclarant et de Françoise Virginie Leleux son épouse (i 28)

Son frère Julien Fritsch épouse en 1882 Marie Pauline Vallon, fille de l’horloger François Louis Vallon de Strasbourg
Mariage, Dorlisheim (n° 20)
Dorlisheim am 16. November 1882. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Weinhändler Fritsch Julian August, katholischer Religion, geboren den 17. August 1861 zu Paris, wohnhaft zu Dorlisheim, Sohn des Rentners Fritsch Eduard Christian und dessen Ehefrau Franziska Virginie geb. Leleux wohnhaft zu Stephansfelden b. Brumath in der Irren Anstalt
2. die Maria Pauline Vallon, katholischer Religion, geboren den 10. Dezember des Jahres 1854 zu Strassburg i/E wohnhaft zu Dorlisheim, Tochter des verlebten Uhrenmachers Frantz Ludwig Vallon und dessen verstorbenen Ehefrau Christina geb. Thomas zu Strassburg i.E.
Als Zeugen waren zugezogen und erschienen (…) 2. der Weinhändler Fritsch Eduard, 24. Jahre alt, wohnhaft zu Dorlisheim (gez.) Julien Fritsch, Marie Pauline Vallon (i 20)

Ernest Lemaître, demeurant dans la maison, est le représentant de la compagnie anglaise d’assurances Le Lion (The Lion)

1882 (20.2.), Strasbourg 1 (218), M° Alfred Ritleng aîné n° 11.752
Wohnsitz Erwählung – Ernest Lemaître wohnhaft in Straßburg St Johannes Staden N° 12, handelnd in der Eigenschaft als Bevollmächtigter der englischen Feuerversicherungsgesellschaft genannt The Lion, Feuerversicherungsgesellschaft Limited, mit dem Hauptsitze zu London Lothbury N° 5 (…) Welcher Herr Comparent in gedachter Eigenschaft und um den dispositionen des Elasses des Herrn Ober-Präsidenten von Elsass-Lothringen de dato 19. Juli 1872 Genüge zu leisten, welcher Erlaß bestimmt, daß dem Geschäfftsbetriebe ausländischer Versicherungsgesellschaften kein Hindernuß im Wege stehet, unter der Voraussetzung daß sie (…)

Eugène Burrus, créancier de Henri Edouard Fritsch, appelé Edouard Fritsch, demeurant autrefois à Strasbourg et à Dorlisheim, actuellement à Paris, associé de la société Frères Fritsch, vend la maison par adjudication judiciaire au notaire Joseph Allonas

1885 (1.4.), Strasbourg 4 (164). M° Charles Lauterbach n° 9434
Heute den 10. März 1885. Vor dem unterzeichneten Kaiserlichen Notar Karl Lauterbach, im Amtssitz zu Straßburg, hierzu ernannt durch den hiernach beschriebenen Zwangsvollstreckungsbeschluß. Erschienen Herr Jacob Knapp, Gerichtsmann in Straßburg wohnhaft, handelnd in seiner Eigenschaft als Prozeß bevollmächtigter des Herrn Eugen Burrus, Faßdaubenhändler in Dambach wohnhaft, Letzterer betreibender Gläubiger des Herrn Heinrich Eduard Fritsch auch Kurtzweg Eduard Fritsch genannt, früher Zu Straßburg und zu Dorlisheim, jetzt zu Paris rue Laferrière N° 11 bis wohnhaft, theilhaber der Firma Gebrüder Fritsch zu Dorlisheim (…)
Zwangsvollstreckungsbeschlüsse, Ueberschreibung & Zustellung derselben. (…) wegen des dem Gläubiger aus einem vollstreckbaren Urtheil des Kaiserlichen Amtsgerichts zu Molsheim vom 29. Mai 1883, welches gegen die Kaufleute Gebrüder Fritsch erlassen ist und wozu der Schuldner Eduard Fritsch laut Bescheinigung des Bürgermeisters zu Dorlisheim vom 14. August 1884 gehöht zustehenden Anspruchs auf Zahlung von 191 Mark (…)
Bezeichnung des Grundstücks. Ein Wohnhaus zu Straßburg, Sankt Johannesstaden N° 12, Sektion P 311 von fünf Ar 60 Centiar Flächeninhalt, bestehend aus Hof, Vorderhaus, Seiten- und Hintergebäude, einerseits früher Wittwe und Erben von Ignatz Klein und Friedrich Bernhard später August Lohmüller und nun Johann Baptist Worm, anderseit die städtische Realschule, vorn der Sankt-Johannesstaden und hinten Stadteigenthum. Ausgenommen sind das Hof- und Eingangsthor sowie die in dem Wohnhause angebrachten Wandschräncke, soweit sie Eigenthum der Miether dieses Immöbels sind. Angebot 60.000 Mark. Kaiserliches Amtsgericht, Gezeichnet Dubois. Dieser Beschluß ist beim Hypothekenamte zu Straßburg den 22. August 1884 im Bd. 132 Nummer 37 überschrieben worden und wurde dem Schuldner am 16. September darauf zugestellt. (…)
Eigenthumsnachweis der zu verkaufenden Liegenschaft. Die Gebäulichkeiten der zu versteigenden Liegenschaft hat Herr Eduard Fritsch selbst erbauen lassen an die Stelle eines andern Hauses das er abgerissen und nebst dem Grundboden erworben hat von 1. Frau Erwinie Leopoldine Friedrich Ehegattin des Kaufmanns Herrn August von Jaffa, beide zu London wohnhaft und 2. von Frau Maria Antonie Momy Wittwe zweiter Ehe des Bildhauers Herrn Andreas Friedrich, welche interdizirt und in der Irrenanstalt zu Stefansfeld damals unterbracht war und sich unter der Vormundschaft des Herrn Theodor Kuntz, Bildhauer zu Schiltigheim wohnhaft befand, laut Versteigerungsprotokoll des Notars Loew in Straßburg vom 27. Juli 1880 überschrieben beim Hypothekenamte daselbst den 17. August 1880 im Bd. 1889 N° 11 mit gleichzeitiger Offizialeinschreibung bei Bd. 1421 N° 131.
Dieselbe Liegenschaft gehörte zur Gütergemeinschaft welche zwischen genanntem Herrn Friedrich und seiner ersten Ehefrau Marie Anna Weber bestand und war während dieser Ehe von Herrn Abraham Gerber Metzger und Frau Anna Maria Walter Eheleute zu Straßburg laut Versteigerungs protokoll des Notars Weigel daselbst vom 22. August 1830 überschrieben beim Hypothekenamte zu Straßburg den 28. September darauf Bd. 273 N° 100. Ehegatten Gerber hatten das Haus laut Urkunde des Notars Striffler zu Oberehnheim vom 30. Prairial des Jahres dreizehn der frantzösischen Republick, von der Frl. Charlotte Christine von Landsberg und Barbara Konstantine von Landsberg aus Niederehnheim gekauft.
Frau Friedrich geborene Weber starb zu Straßburg den 8. October 1838 und hinterließ als einzige Erben drei minderjährige Kinder Nahmens Josephine Friedrich, Victor Hugo Friedrich & Amalia Friedrich, wie bestätigt wurde durch Inventar errichtet durch Notar Hatt in Straßburg den 2. Februar 1839. Diese Kinder verstarben sämmtlich bald nach ihrer Mutter und zwar Josephine Friedrich den 22. December 1838 und wurde beerbt zu zwei Achteln von ihrem Vater und zu sechs Achteln von ihren Geschwistern, Victor Hugo Friedrich den 6. März 1839 und wurde beerbt von seinem Vater zu einem Viertel und von seiner Schwester zu drei Viertel, und Amalie Friedrich verstarb den 24. April 1858 nach dem sie durch Testament vor Notar Zeyssolff in Straßburg am nämlichen Tage bestätigt ihren Vater zum Universalerben eingesetzt hatte. Zufolge seinem, mit seiner zweiten Ehegattin geborenen Momy am 13. Februar 1839 vor dem damaligen Notar Hatt in Straßburg errichteten Ehevertrage vermachte Herr Friedrich seiner Ehegattin für den eingetroffenen Fall ihres Ueberlebens die lebenslänglich bürgschaftsfreie Nutznießung der gesetzlichen verfügbaren Quote seines Nachlasses, ferner errichtete Herr Friedrich am 9. August 1876 vor Notar Loew in Straßburg ein den 12. März 1877 registrirtes Testament, dessen verfügbarer Theil lautet, Ich vermache der gebornen und noch geberen werdenden Kindern aus der Ehe meiner Tochter Erwina Leopoldine Friedrich mit August Jaffa beide in Hamburg ansässig eine Summe von 32.000 Mark. Für Sicherheit dieses Vermächtnisses verordne ich hypothekarische Einschreibung auf meinem Hause dahier am Johannes staden. Das Vermächtniß ist in gleicher Theilen einem jeden bedachten am Tage seiner Großjährigkeit auszuhändigen, bis dahin genießt die Mutter die Zinsen. Zur Währung dieses Vermächtnisses ernenne ich als Testamentsvollstrecker den Rentner und vormaligen ersten Notariatsgehülfen Herrn Johann Ludwig Josef Lindner, wohnhaft zu Straßburg, der zu diesem Zwecke alle nöthigen Maßnahmen zu treffen hat. (…) Herr Friedrich starb in Straßburg am 9. März 1877 und hinterließ ausweislich des nach seinem Ableben durch genannten Notar Loew am 16. April darauf errichteten Inventars seine Tochter Frau Jaffa zu einziger Erbin.
Mauergemeinschaft & Dienstbarkeit. Das dem obenerwähnten Versteigerungs Protokoll des Notars Loew in Straßburg vom 27. Juli 1880 zu Grunde gelegte Bedingnußheft dieses Notars vom ersten desselben Monats enthält folgende Nachweise betreffend die Dienstbarkeit. Durch Privatvertrag de dato Straßburg 14. April 1856 registrirt daselbst den 7. des darauffolgenden Monats f° 34 (…) erwarb Herr Friedrich von der Stadt Straßburg bezüglich der sein Eigenthum von der städtischen Skt. Johannes Gebäuden trennenden Mauer, die theilweise Gemeinschaftlichkeit, mit dem Rechte des Ueberbauens, wobei er verlangte daß die Stadt binnen sechs Monaten zwei, duldungsweise zu ihren Gunsten in der Mauer befindliche Oeffnungen beseitige.
Unterm 20. April 1860 ertheilte Herr Friedrich dem Eigenthümer des Hauses St. Johannesstaden N° 11, Herrn August Klein, Wagenvermiether zur Erhaltung der Freundnachbarlichkeit die Erlaubnuß in der die beiden Anwesen im Hintergebäude des Hofes scheidenden Giebelwand eine Fensteröffnung anzubringen. Diese Oeffnung zu 30 Centimeter Breite und 35 Centimeter Höhe wird im Speicher hergestellt und erleuchtet eine als Taubenschlag benutzte Kammer im Kleinschen Anwesen dem Herrn Friedrich blieb das Recht dasselbe jederzeit ohne gerichtliche Förmlichkeit wieder beseitigen lassen.
Verkaufsbedingungen (…)
Versteigerung. Und heute Mittwoch den ersten April 1885 (…) Indem während dem Brennen dreier anderen Kerzen kein Mehrgebot erfolgte, so wurde die fragliche Liegenschaft dem dies annehmenden gennannten herrn Joseph Allonas, Notar in Straßburg, zu seinem Gebote außer der Lasten zugeschlagen 100.020 M.
acp 761 (3 Q 30 476) f° 40-v du 8.4.

Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1935, le clerc de notaire Edouard Schirck naît en 1898 à Muttersholtz. Il se marie en 1926 avec Marie Lucie Günther, native d’Ernolsheim-lès-Saverne, veuve de son frère Charles Schirck, aussi clerc de notaire, qu’elle avait épousé en 1910 (généalogie).

Mariage, Strasbourg (n° 1138)
Strassburg am 11. Oktober 1910. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Notariatssekretär Karl Schirck, evangelischer Religion, geboren den 21. September Jahres 1883 zu Müttersholtz (Unter Elsass), wohnhaft in Strassburg, Türkheimstaden 11-bis, Sohn des Webers Johann Schirck und seiner Ehefrau Salome geborenen Jaquet wohnhaft in Müttersholtz
2. Maria Lucia Günther, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 5. Mai des Jahres 1888 zu Ernolsheim (Unter Elsass) wohnhaft in Straßburg, Kleine Renngasse 2, Tochter des Fabrikarbeiters Heinrich Günther und seiner Ehefrau Marie geborenen Schaettel, wohnhaft in Ernolsheim (i 201)

Naissance, Muttersholtz (n° 10)
Müttersholz am 6. April 1898. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Weber Johann Schirck wohnhaft zu Müttersholz N° 6, evangelischer Religion, und zeigte an, daß von der Salome Schirck gebornen Jaquet seiner Ehefrau, evangelischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Müttersholz in seiner Wohnung am 5. April des Jahres 1898 Vormittags um drei Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden sei, welches den Vornamen Eduard erhalten habe.
[in margine :] Marié à Strasbourg le 17 août 1926 avec Marie Lucie Günther (i 8)

Tables cécennales, Strasbourg. Edouard Schirck, marié le 17 août 1926 n° 1012 – Marie Lucie Günther, idem


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.