18 (b), rue de la Mésange
Rue de la Mésange n° 18 (partie b) – III 202 (Blondel) – N 610 puis section 62 parcelle 17 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Michel Retzloff, 1768
La façade de la maison à la Mésange (partie du n° 18) est la troisième entière à partir de la droite
La maison appartient depuis la moitié du XVII° siècle à des artisans (tailleurs et passementiers). Elle a deux étages comme en témoigne l’expertise de 1741. Jean Michel Retzloff la reconstruit en 1768 en avançant la façade suivant le nouvel alignement. Elle a un rez-de-chaussée et trois étages construits selon le goût de l’époque : chaînage latéral, fenêtres en anse de panier ornées de mascarons (les quatre saisons), appuis galbés à ferronnerie. Le bandeau qui souligne le rez-de-chaussée est surmonté d’une mésange sculptée et de l’inscription ZUR MÆIS GE NAND (appelée à la Mésange).
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 61
Sur les élévations de 1830, le passage vers la rivière s’ouvre à droite du repère (b’). On voit ensuite le n° 203 du plan Blondel (actuel n° 20), suivi de la maison à la Mésange (partie gauche de l’actuel n° 18), peinte en blanc. Le rez-de-chaussée a une porte et une arcade de boutique, chacun des trois étages deux fenêtres. Le bâtiment se termine par un toit à trois niveaux de combles. L’arrière de la maison donne sur le fossé des Tanneurs (cour A), c’est la quatrième maison à partir de la gauche ou la deuxième après les escaliers de droite ; rez-de-chaussée et trois étages, surmontés de deux niveaux de combles, chaque étage a trois ouvertures. Au centre des bâtiments s’ouvre la cour (T) : on voit entre (3) et (4) l’arrière du bâtiment sur rue, entre (4) et (1) le bâtiment latéral à l’est, entre (1) et (2) l’avant du bâtiment qui donne sur le fossé et entre (2) et (3) le mur de séparation avec la maison voisine à l’ouest.
Ilot 61, cour (A, fossé des Tanneurs), cour (T)
Les maisons 202 et 201 (III canton) appartiennent au même propriétaire depuis 1827 et forment une seule parcelle depuis 1845. Le cadastre signale qu’on ajoute un quatrième étage à l’exercice 1850. La façade acquiert alors son aspect actuel, sauf le rez-de-chaussée dont le local commercial n’a plus qu’une seule ouverture.
février 2014
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1655 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h),contrat alimentaire (al) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Catherine Berner et (1616) Jean Taufferer, docteur en théologie, puis (1628) Jean Jacques Kast, marchand, enfin (1639) Jean Raoul Saltzmann, docteur en médecine – luthériens | ||
1655 | v | Wendelin Ehemann, tailleur, et (1632) Barbe Murning puis (1660) Agnès Widmann – luthériens |
1670* | h | Christophe Ehemann, tailleur, et (1659) Anne Marie Lehner – luthériens |
1710 | h | Jean Michel Baum, passementier, et (1682) Anne Ursule Hebding – luthériens |
1742 | h | Jean Christophe Baum, passementier, et (1719) Susanne Madeleine Falckenhauer puis (1753) Ursule Richshoffer veuve du passementier Jean Michel Stamm – luthériens |
1767 | h | Jean Michel Retzloff, passementier, et (1753) Marie Salomé Baum – luthériens |
1811 | v | Samuel Schultz, sellier, et (1800) Christine Dorothée Anderegg |
1820 | v | Jean Philippe Lange, négociant, et (1793) Marie Hyacinthe Guillaume puis les héritiers et (1861) les demoiselles Lange |
1889* | h | Philippine Clémentine Lange, rentière |
1893* | h | Jean Baptiste Vetter, rentier puis (1913) les héritiers |
1914* | Joseph Offerle la veuve Marie Charbonnel et Marie Mathilde Charbonnel | |
1923* | h | Marie Mathilde Charbonnel sans profession et copropriétaires pour moitié |
1947* | h | Pierre Denis Offerle et son épouse à Paris et copropriétaires pour moitié |
(1765, Liste Blondel) III 202, Jean Christophe Baum marchand
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Retzloff, 2 toises, 1 pied et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 610, Lange, Jean Philippe veuve / la famille – maison, sol – 0,72 are
Locations
1684, Elisabeth Roser veuve de Jean Jacques Schott, boulanger
1819, Henri Stratté, marchand sellier
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1768, Préposés aux affaires foncières (VII 1413)
Jean Michel Redslob construit une nouvelle façade en avançant sur le communal (comparer les alignements de 1765 et de 1830)
(f° 5-v) Dienstags den 9. Februarÿ 1768. Joh : Michael Redslob (dt. d. 19. Maÿ 1768, 36 fl. 5 ß 7 d.) – H: Werner erstgemeldt producirt ferner d. allignement von Joh: Michael Redslob des Paßmentirers hauß Zur Meiß genannt, gegen dem berstettischen hauß über gelegen, vermög welchem jhme 3 Claffter, 3 sch. 11 Z. 3 L. quadrat vom Allmendt einzuziehen Zugefallen. Erkannt, Solle à 10 fl. vom quadrat Claffter 36 fl. 5 ß 7 d. bezahlen.
(traduction) Mardi 9 février 1768. Jean Michel Redslob (payé le 19 mai 1768 36 florins 5 sous 7 deniers) – Ledit (inspecteur foncier) Werner a en outre produit l’alignement de la maison du passementier Jean Michel Redslob, appelée à la Mésange face à la cour de Berstett. Il appert qu’il devra enclore 3 toises 3 pieds 11 pouces 3 lignes carrés de communal. Décision, il devra payer, à raison de 10 florins le pied carré, 36 florins 5 sous 7 deniers.
Description de la maison
- 1741 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée un étroit vestibule à droite duquel s’ouvre un petit poêle, petite cuisine à l’arrière, dépense, puits et cave solivée, au premier et au deuxième étage poêle, cuisine et vestibule, un petit pôele et deux vieilles chambres, le fourneau se trouve dans le vestibule, chambre à soldats, très vieux comble, greniers non dallés, le toit est couvert d’un côté de tuiles creuses et de l’autre côté de tuiles plates. Le tout estimé 1 800 florins
Atlas des alignements
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Mésange (f° 20)
nouveau N° / ancien N° : 17 / 9
Schultz
Rez de chaussée en pierre de taille et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 20 f° 173 case 1
famille Lange à Strasbourg
N 610, maison, sol, R. de la mesange 9
Contenance : 0,72
Revenu total : 468,37 (468 et 0,37)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 31 / 40 / 26
N 610, maison, sol, R. de la mesange 10
Contenance : 1,10
Revenu total : 468,94 (468 – 0,37 et 0,57)
Folio de provenance : 173
Année d’entrée : 1845
N 610, maison, sol, r. de la Marseillaise
Contenance : 1,10
Revenu total : 500,94 (500 et 0,94)
Folio de provenance : N.
Année d’entrée : 1850
Augmentations, 1850
Famille Lange f° 173, N 477 [sic], Maison, revenu 32, Aug.en du 4° Etage
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 691 case 1
Lange, la famille
1861 Lange les demoiselles
1889/90 Lange Philippine Clementine Rentnerin
1893/94 Vetter Johann Baptist Rentner
(ancien f° 439)
N 610, maison, sol, Rue de la mesange 18
Contenance : 1,82 (0,72 et 1,10)
Revenu total : 500,94 (500 et 0,94)
Folio de provenance : (173)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 55
fenêtres du 3° et au-dessus : 35 / 52
Cadastre allemand, registre 32 p. 442 case 2
Parcelle, section 62, n° 17 – autrefois N 610, 611
Canton : Meisengasse Hs. N° 18
Désignation : Hf; Whs u. NG – sol, maison
Contenance : 1,92
Revenu : 7000 – 13 000 – 12 000
Remarques : 1910 Berufung
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1914), compte 3607
Vetter Joh. Baptist
1913 Vetter Joh. Bapt. Amadeus u. Miterben
1914 gelöscht
(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 4063
Offerle Joseph Wittwe Maria geb. Charbonnel u. Charbonnel Marie je ½
1923 Charbonnel Marie Mathilde sans profession pour la ½ et copropriétaires
1947 Offerle Pierre Denis et son épouse à Paris pour ½ et copropriétaires
(3151)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton 3, Rue 71, Partie de la Rue de la Mésange
9. Loc. Mr Gabory Robert Adam tailleur – tailleu
9. Loc. Mr Cannot Louis, Comœdien – Privilegié
9. Loc. Mr Dupont Louis, Maître d’armes
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 71 de la Mesange (p. 116)
(maison n°) 9
lo. Mr Gabory Robert Adam tailleur – tailleurs
lo. Mr Cannot Louis, Comœdien – Privilegié
lo. St Victor Louise, Comœdienne
lo. Mr Dupont Louis, M.re d’Armes
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Meisengasse (S. 112)
(Haus Nr.) 18
Hammerschmitt, Kautschuk-Manufaktur. 0
Singer, Buchhandlung. 0
Vetter, Rentner. E 1
Wach, Kaufmann. 2
Saarbach, Immobilienag. 3.
Besana, o. Gew.
Schaeffer, Masch.-Schloss. 4
Dossier de la Police du Bâtiment
Relevé d’actes
La maison appartient au milieu du XVII° siècle à Catherine Berner qui épouse en premières noces (1616) Jean Taufferer, docteur en théologie, en secondes (1628) Jean Jacques Kast, marchand, et en troisièmes (1639) Jean Raoul Saltzmann, docteur en médecine
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 384, n° 1178)
1616. Dominica 9. Trinitatis. H. Johannes Taufferer der Heÿligen Schrift Doctor vnd der alhiesiger universitæt Professor, vndt Jungfraw Catharina, Herrn Christoph Berner eheliche tochter (i 396)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 43) 1616. Dominica 9. Trin. den 28. Julÿ. H. Johannes Taufferer der H Schrift doctor und professor alhie und J. Cätherin H. Christoph Berners tochter (eingesegnet zu S ; Thoman Zinstag den 6. Augusti) – (i 26)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 247)
1628. H Hans Jacob Kast der handelsmann und fr. Cätherin H Johan Taufferer der H. doctoris und in der alhisigen Vniversitet profes: n. wittwe (eingesegnet Zinstag 11. 10.bris) – (i 128)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 238-v)
1639. Domin. Trinit: 16 : Junÿ. H. Johannes Rudolphus Saltzmann Medicinæ D. der Elter, hiesiger Statt bestelte Physicus, beÿ der Universität Professor Undt deß Stiffts D. Thomæ Decanus, Fraw Catharina weÿl. H. Johann Jacob Kasten gewesenen burgers alhie Nachgelaßene wittib. Eingesegnet dinstags d. 25. Junÿ St: Thoman (i 245)
Catherine Berner femme de Jean Raoul Saltzmann vend 287 livres la maison au tailleur Wendelin Ehemann
1655 (13. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 425-v
(Protocoll. fol. 56.) Erschienen Fraw Catharina Bernerin H Johann Rudolph Saltzmanns deß ältern Med. Doct. Profess. Und Statt Physici senioris wie auch der Erschienent St: Thoman Decani eheliche haußfraw mit beÿstand ersternants ihres H Ehevogts
in gegensein Wendling Ehemanns deß Schneiders Und burgers alhier
Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen Und Zugehördten alhie Vff dem Kleinen Roßmarckh neben einer Behaußung der Fabric deß Münsters gehörig Zum Wildenmann genannt, ein Vnd anderseit neben Clauß Kleinen Von Lamparthein Und Consorten hinden vff den Graben stoßend gelegen, Und Zur Maÿßen genannt – umb 287 Pfund
Le tailleur Wendelin Ehemann originaire de Simmershofen en Franconie épouse en 1632 Barbe Murning originaire de Riedheim près de Bouxwiller
Mariage, Temple-Neuf (luth. p. 311)
1632. Doîca 2. Trinit. 10. Junÿ. Wendling Ehmann der Schneider Von Simmershoffen in Franckenlandt, und J. Barbara Jacob Murrin Zu Rieden beÿ Goßweÿler N. tochter. eingesegnet Zinstag 19. Junÿ (i 160)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 127)
1632. Eatem [Dom. II. Trinit. 10. Junÿ] Wendling Ehmann d. Schneider Von Simmershoffen inn Franckhenlandt, hieronÿmi Ehmanns deß baurs mans v. burgers Zu Simmershoffen nachgelasener Sohn, undt J. Barbara Jacob Murnings gewesenen baursmanns Zu Rieden beÿ Buchsweÿler hinderlasene tochter. Cop. 19. Junÿ Im Münster
Barbe Murning meurt en 1660. Le veuf se remarie avec Agnès Widmann l’année suivante. Il meurt lui-même en 1670. La maison revient alors à son fils Christophe Ehemann
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 9, n° 75)
1660. November. Barbara, Wendling Ehmann deß Schneÿders fraw. Donnerst. 8.b. ad Lepros. (i 9)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 117-v, n° 24)
1661 Eâd. Dominica [Dominica Rogat. 19. Maÿ] Wendling Ehmann, den Schneÿdern Undt Burgern allhie Undt Jfr. Agneß Weÿl. Lorentz Widmanns Burgers Undt wulle Webers allhie nachgel. ehl. Tochter. Copulavi eod. die [Mont. 27. Maÿ] (i 130)
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 114, n° 43)
1670. Junius. Mr. Wendling Ehmann der Schneÿder v. Burger alhier. Mont. 6.t ad Lepros. (i 62)
Le tailleur Christophe Ehemann épouse en 1659 Anne Marie Lehner, fille du tailleur Erard Lehner
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 103, n° 22)
1659. [den 17. Aprilis] Mehr Zum 2.mahl Christoph Ehemann der Schneider, Wendling Ehemann des Schneiders undt Burgers alhie ehel: Sohn, undt Jfr. Anna Maria, Erhart Lehners Schneiders und Burgers alhie ehel: Tochter. Montags den 25. Apr. Freiburgst: Münster, herrnstub. (i 104)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 99-v, n° 15)
1659. Dominicâ Misericordias, Christoph Ehe Mann der Schneider Wendlin Ehemanns des Schneiders undt Burgers alhie Ehelicher Sohn, und Jungfr. Anna Maria Ehrhart Lieners des Schneiders und burgers alhie eheliche Tochter. Copulabant Mont. d. 25.t Aprilis im Münster
Inventaire après décès d’une locataire, Elisabeth Roser veuve du boulanger Jean Jacques Schott
1684 (27.5.), Me Winckler (Elie, 61 Not 5) n° 10
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsamen Frawen Elisabethæ Roserin, auch weÿland herrn hans Jacob Schotten gewesenen weißgerbers und burgers alhie Zu Straßburg hinterlaßene wüttib seel. verlassenschafft
In einer ane dem Roßmarckh gelegen, Meister Johann Christoph Ehemann dem Schneider eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Les préposés de la Taille transmettent aux Quinze l’inventaire d’Anne Marie Lehner qui acquittait des impôts sur une fortune déclarée de 700 florins alors que la somme finale de l’inventaire se monte à 1 300 florins. La vérification montre que 400 florins proviennent de la plus-value de la vente d’une maison sise rue du Poumon. . La différence entre les sommes déclarées et les sommes inventoriées n’est donc que de 200 florins, ce qui ne justifie pas un redressement fiscal par les Quinze. L’affaire est donc renvoyée aux préposés de la Taille.
1690, Protocole des Quinze (2 R 94)
(f° 125-v) Freÿtag den 21. Julÿ – Stall Ca Christoph Ehemann
Obere Stallherren lassen per me proponiren, daß die H. dreÿ des Stalls gegenwärtiges Inventarium über Weÿl. Frauen Annæ Mariæ Lehnerin Meister Christoph Ehemanns, des scheids geweßenen Haußfrauen, Verlaßenschafft besagend, eingelüffert hätten mit angehendten bericht, daß, Weilen dießelbige sich auß 1300 fl. belauffe, hingegen die bißherige verstallung allein 700 fl. gewesen, Und also 600 fl. Zuwenig verstallt worden seÿe, sie das geschäfft ratione mulctæ an MGhh. gewiesen haben wollten.
Worauff mann das Inventarium durch gang. vnd fol. 30.b et 31.a gefunden, daß solches meisten theils von der, jnn der Lungengaß gelegenen, Und den 6. Maÿ jüngst allererst Verkaufften behaußung herrühre, Welche er, Ehemann, anfangs, Lauth vorgelegter Contract Verschreibung, nur umb 900 fl. an sich erkaufft, Nach der Frauen absterben aber umb 1300 fl. also umb 400 fl. theurer Verkaufft habe, die er Nur doch Wochenlang genossen, dahero sie von den Zu Wenig Verstallten 600 fl. abzuziehen seÿn würden, Und Weilen dießen Nach die Frag nur Von 200 fl. so Nicht Verstallt worden, seÿe, so habe mann dafür gehalten, daß die erörterung der sach eigentlich Vor die Herren dreÿ des Stalls gehöre, An die, Wann Mghh. es beliebig, es gewießen werden Könte. Erk. Beliebt.
Christophe Ehemann passe un contrat alimentaire avec le passementier Jean Michel Baum et sa femme Anne Ursule Hebding. Il leur lègue sa maison contre son entretien sa vie durant
1710 (13.3.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 184
Erschienen Christoph Ehmann Schneider
in gegenseÿn Joh: Michel Baum, Paßm: und Annæ Ursulæ Gebohrner hepttingin deßen haußfrawen
alß seÿe sein ernster u. unwiderrufflicher will, daß seine behaußung c. appert: allhier auf dem Rossmarckh, einseit neben Lorentz Brucker anderseit neben Bauren von Lambertheim hinten auff den graben stoßend, gelegen /:zur Meiß genandt:/ mit allen begriffen Rechten und Gerechtigkeiten, nach sein Ehmanns todt, ihnen beeden Eheleuthen alß ein wahres eÿgenthumb sambt übriger seiner verlassenschafft, nichts außgenommen, active et passive seÿn und bleiben solle, alles auff arth und weiß eines Leibgedings, Dahingegen Versprechen Sie beede Eheleuth Ihm biß in seinen todt alles Liebes u. Guttes zu erweißen, auch Ihm den hauß zinnß biß dahin richtig, wie biß dato Zu reichen, Was die Legata betrifft, bleibt es beÿm testament, und bestehen dieselbige in 15. lb. dem Wwaÿßenhauß, Item 5 lb Hn Wendling Ehemanns geweßenen Pfarrern in der Ruprechtsaw sonsten nichts
Christophe Ehemann meurt en 1714 en laissant pour héritiers Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding. Les experts estiment la maison à 610 livres. L’actif de la succession s’élève à 571 livres, le passif à 492 livres.
1714 (26.4.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 38) n° 12
Inventarium und beschreibung aller derJenigen Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrnhaffte Christoph Ehemann, geweßener Schneider und burger zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 22.ten Martÿ Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche verlassenschafft auf erfordern Ansuchen und Begehren Herrn Johann Michael Baumen Paßmentierers und Fr. Annæ Ursulæ Gebohrner Heptingin beeder Eheleuth und burgere alhier als Crafft hernach inserirten Leibgedings deß Verstorbenen rechtsmäßiger Erben, Vorgenommen, ersucht und inventirt – Actum Straßburg den 16. Aprilis Anno 1714.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckh gelegener Zur Meÿßen genandter und In dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung befund. worden wie folgt.
1. Summa haußraths 13, 2.da Silbergeschirr 8
Eÿgenthumb an einer behaußung. Item Ein hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen rechten zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem kleinen Roßmarckh Zur Meÿßen genandt, einseit neben einer behaußung der fabric deß Münsters modo Lorentz Brucker deß Küblers w. gebürtig und zum wildenmann genandt, 2.seit neben Clauß Kleinen von Lampertheim et Consorten, hinden uff den Graben stoßend, welche behaußung annoch umb 50. lb. Herrn Caspar Schmidten E.E. Großen Rahts alten beÿsitzern verhafftet, sonsten gegen männiglich freÿ ledig und eig. und ist dieße behaußung durch der Statt Straßburg geschwornen werckhleuth Lauth einer unterm 14.ten Apr. ao: 1714. datirten schrifftlichen Abschatzung über ermelte beschwerd hiehero æstimirt umb 550. lb. Darüber Vorhaden j. perg. Kbrieff auß alhieß. C.C. Stub Sub dato 13. Julÿ 1655 mit dero anhanenden C: Contr. Insiegel verwahrt, mit altem N° 1 notirt und für dießes mahl darbeÿ gelaßen. Darbeÿ noch underschiedene pergament. Kauff: und abgelößte Zinnßbrieff befindlich.
– Abschatzung den 14.ten April: 1714: weÿlandt, deß Ehren hafften Vnd bescheÿten H: Christoff Ehman: Seel: hinter Laßene Erben, Jist Eine behaußung, alhie, in der statt Straßburg, am Rossmarckh, in der Meissen, genandt, gelegen, Welche behaußung hoff, hoffstatt, Gebelckhter Keller, hinder gebeÿ, holtz hauß, Vnd brunen, Sampt aller ihrer Recht, Vnd gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werckhleüthe, sich in der besichtigung, befundten Vnd dem Jetzigen Preiß Nach angeschlagen Wirt. Vor und Umb Ein Tausent Zweÿ hunder Gultin. Bezeichnüß, durch der Statt Straßburg geschworen Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff
3.tia Summma, Eigenthumbs ane einer behaußung 550, Summa summarum 571 lb
Passiva, It. H. Johann Michel Baum fordert für vier Jahr, daß er dem Verstorbenen, alle speißen gerichtet und andere Verpflegung gethan à 200 fl. deß Jahrs th. 400.
ferner hätte derselbe vor 21. Jahr da der Verstorbene im Spital geweßen für beständigen Abwartung v. Gerichtete Speißen ein Ansehnliches Zufordern, alldieweilen aber die Verlassenschafft Zu entrichtung deßelben beÿ weitem nicht Zu länglich wäre, so hatt mann dafür Jedoch ohne einig. præjudidium Zwar nichts Außwerfen, Jedoch dießes Zum bericht hiehero annectiren wollen. Sa. Schulden 492 lb
Summa finalis Inventarÿ 78 lb
deß Weÿßenhaußes legat 15 lb, Hn Wendling Ehemanns Geweßenen Pfarrers in der Ruprechts Aw legat 5 lb, Summa 20. lb – Nach solchem abzug 58 lb
Copia deß Zwischen dem Verstorbenen und Eingangs gemelten beÿden Baumischen Eheleuthen auffgerichteten Leibgedings – Actum den 13. ten Martÿ 1710. CContract Stub
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 149)
1714. Donnerstag d. 2.t. Martÿ nachts nach 8 Uhr starb und ward Samstag d. 24.r Martÿ hor. 10. antem Zu St. Helenæ begraben Christoph Ehemann der Schneider und Burger allhier Æt. 78. jahr, 2. Monat, 3 wochen [unterzeichnet] Johann Michäel Baum, Johan Christoph Baum (i 152)
Le passementier Jean Michel Baum épouse en 1682 Anne Ursule Hebding fille d’un boucher de Riquewihr
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 99, n° 3)
1682. Dom: Reminiscere. Zum 2. mahl Joh: Michael Baum Paßmentmacher, Johann Baumen auch Paßmentmachers u. Burgers ehel. S. Jfr. Anna Ursula Weiland Barthelme Hertings gewesenen Metzgers u. Burgers Zu Reichenweÿer fürstl. Würtenberg. Herrschafft nachgelaß: ehel: T. Mittw. den 5.ten Mart: Zur Predigen (i 100)
Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding hypothèquent la maison au profit des Pénitentes
1717 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 238
Joh: Michel Baum paßm: und Anna Ursula geb. hebdtingin beÿständlich Joh: Martin Lindauer Kürßners und Christian Hennig drehers
in gegensein immediate supra Edelgedachter herren Pfleger und schafners d.n., wohlgedachten Gotteshauß [S.T. Hr Ludwig Heinrich von Müllenh: Stättm: und S.T. Hr Frantz Joseph Scherer alter Ammeister und xiii.ers beede alß hochvordnete Pfleger deß Closters zue denen Reuerin beneben H. Georg Friedrich Bindern schaffnern daßelbst] – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: auf dem roßmarckt zuer meiß genannt, einseit neben Lorentz Brucker dem kübler anderseit neben einem bauren von Lambertheim hinten auff den graben
Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding hypothèquent la maison au profit de Gaspard Schmidt
1719 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 340-v
Joh: Michael Baum Paßmentirer und Anna Ursula geb. hepdinin beÿständlich Joh. Martin Lindauers Kürßners und Jacob Kälberer weißbeckers
in gegensein H. Caspar Schmidt – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: auff dem roßmarckt zuer meißen genannt, einseit neben H. Kolb dem schneider anderseit neben Lorentz Brucker hinten aufs wasser
Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding hypothèquent la maison au profit de François baron de Freintsfeldt pour garantir un emprunt de leur gendre Chrétien Henning et leur fille Anne Marie Baum
1721 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 86-v
Christian Hening hohldrähers und Anna Martha geb. Baumin beÿständlich Johann Michael Baumen ihres Vatters und Johann Christoph Baum ihres bruders
in gegensein S.T. H. XXI. Johann Peter Nauendorff im nahmen des hoch Edelgebornen H. François Baron de Freintsfeldt Lieutenant Colonel à la suite de Strasbourg, H. Baron von freinfeldt – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ahne dem Roßmarckt zur Meißen genannt geleg. so obgedachter Johann Michael Baumen der correorum debendi respective Vatter und Schwähern (sich) verbürget eigenthümlich zuständig
Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding hypothèquent la maison au profit de la confrérie des maîtres chanteurs
1723 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 281
Johann Michael Baum der Paßmentirer und anna ursula geb. hebdingin beÿständlich Johann Christoph Baum des Paßmentirer ihres Sohns und Christian henning des hohldrähers ihres tochtermanns
in gegensein Johann Andreas Daubert des Kammachers, als Obermeisters und Johann Friedrich demmberger als Büchsenmeisters E. E. Gesellschafft der Meistersänger – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs allhier ahm kleinen Roßmarckt einseit neben Kolben dem Schneider anderseit neben Lorentz Brücker dem kübler hinten auff den innern Stadtgraben
Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding hypothèquent la maison au profit du serrurier municipal Sigismond Falckenhauer
1726 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 510
Johann Michael Baum Paßmentirer und Anna Ursula geb. hebdingerin mit beÿstand ihres Sohns Johann Christoph Baum Paßmentirers und ihres tochtermanns Christian henning hohldrähers
in gegensein H. Sigmund Falckenhauer Stattschloßers – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm kleinen Roßmarckt, einseit neben Lorentz Brucker dem Kübler anderseit neben Vincentz Kolb dem Schneider hinten auff dem graben
Jean Michel Baum et Anne Ursule Hebding hypothèquent la maison au profit de leur fils Christophe Baum
1732 (21.10.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 438
Johann Michael Baum der Paßmentirer und Anna Ursula geb. Hebdingin mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Paul Fanck Paßmentirers und H. Falckenhauer EE. kleinen Raths beÿsitzers
in gegensein ihres sohns Johann Christoph Baum ebenfalls Paßmentirers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eines Behausung hindergebäu und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten am Kleinen Roßmarckt, einseit neben Vincentz Kolb dem Schneider anderseit neben Lorentz Brucker dem Kübler hinten auff den Rindshäutergraben, und zur Meÿßen genannt
Autre hypothèque entre les mêmes
1735 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 107
Johann Michael Baum der Paßmentirer und Anna Ursula geb. Hebdingin mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Fanck Paßmentirers und Johann Martin Lindauer des Kürßners und wächters beÿ jeweiligem Regierendem H. Ammester
in gegensein ihres sohns Johann Christoph Baum des Paßmentirers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung, hoff, hinderhauß und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am kleinen Roßmarckt einseit neben Lorentz Brucker dem Kübler anderseit neben Johann Vincentz Kolb dem Schneider hinten auff den Rindshäutergraben
Nouvelle hypothèque entre les mêmes
1739 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 58
Johann Michael Baum der Paßmentirer und Anna Ursula geb. Hebdingin mit beÿstand ihrer tochtermänner Johann Matthias Lindauer des kürßners und Ammeister Wächters und Johann Paul Fanck des Paßmentirers
in gegensein Johann Christoph Baum des Paßmentirers ihres sohns – schuldig seÿen 175 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein, hoff, gebäuden und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäu, begriffen, weithen, zugehör und gerechtigkeiten am kleinen Roßmarckt, einseit neben weÿl. Vincentz Kolb Schneiders wittib und Erben, anderseit neben Lorentz Brucker des küblers, hinten auff den Rindshäutergraben – als ein von weÿl. Christoph Ehrmann des schneiders vermittelst errichteten Leibgeding erhaltenes guth
Anne Ursule Hebding meurt en 1741 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison à 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 934 livres, le passif à 1 010 livres.
1741 (15.11., Me Marbach (Jean, 34 Not 6) n° 215
Inventarium über Weÿl. der Ehr: und Tugendsahmen Frauen Annä Ursulä Baumin gebohrner Heptingin des Ehrsamen Joh: Michael Baumen des geweßenen Paßmentirers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehelichen Hauß Frauen nunmehro Seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 17. Monats Julÿ lauffend. 1741 aus dießem Jammerthal genommenen tödlichen hientritt hinter Ihro Zeichnungen Verlaßen, welche Verlassenschafft dato auf Freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der vff Volgendem blatt benambßter Kinder und Encklen und ab intestato Erben und dero respective vogt inventirt und ersucht – So beschehen Straßburg in beÿsein des Ehren wohl Vorgeachten H Johann Daniel Langen des Knöpffmachers und burgers allhier welcher Zu dießem Geschäfft umb des hinterlaßenen wittibers welcher höhen alters halben ohnvermöglich und Kindisch Sein Interesse Zu beobachten als beÿstand erbetten worden – Mittwochs den 15. Monats Novembris A° 1741
Die Verstorbene Frau Seelig hatt ab intestato Zu Erben verlaßen 1. Weÿl. der Ehr: und tugendsamen Frauen Maria Salome Fanckin gebohrnen Baumin, des Ehrs. und bescheidenen Mr. Joh: Paul Fancken deß Paßmentirers und burgers allhier ehelich erziehlt und nach tod verlaßene dreÿ Kinder mit Nahmen Joh: Michael, Christian und Joh: Heinrich, der verstorbenen Frauen Seel. Enckelin, in deren Nahmen der Ehrengeachte H Joh: Martin Braun der Paßmentirer und burger allhier deroselben Theÿl vogt herbeÿ anweßend war und dero Interesse beobachtet, 2. die Ehr: und Tugendsahme Frau Anna Martha Henningin gebohrne Baumin weÿl. des Ehrs. Christian Hennings des Hohlträhers und burgers alhier nachgelaßene wittib der verstorbenen leibliche Tochter so in Persohn mit beÿstand des Ehrengeachten H Joh: Friderich Redtslob des Schumachers und burgers allhier dießem Geschäfft beÿgewohnet, Und dann 3. dem Ehen wohlvorgeachten Herrn Joh: Christoph Baumen den Paßmentirer und Seidenhänldern und burgers allhier so hiebeÿ Zugegen war, und das Seinige in Persohn observirt. Alle der Verstorbenen Frauen mit dem hinterlassenen wittiber ehelicherziehlt und nach verlaßene Kinder und Von deroselben ehelich erziehlte Enckel Zu gkeichen theilen.
Bericht in gegenwärtiger Inventur nöthig. Beÿ anfang dießes Inventations Geschäfft berichtet Hr. Joh Christoph Baum der Sohn und übrige Erbes Interessenten daß Keine Eheberedung noch eine letzte willens verordnung wie Ihnen bewußt vorhanden mit dem beÿsatz Sie hätten deßhalben nachgesucht aber nichts im genringsten befunden, derohalben ist mit allerseits genehmhaltung und umb abschneidung aller weitläuffigkeiten die gantz Verlassenschafft unter einer Rubric als theilbar inventirt
In einer allhier in der Statt Straßb. ohnfern dem Roßmarck gelegenen in dieße Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung als volgt befunden
In der obern Cammer, In der hintern Wohn stub (…)
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung. Eine behaußung und Hoffstatt mit all deßelben recht und gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem Roßmarck Zur Meiß genant, I.s neben Lorentz Brucker d. Kübler 2. neben weÿl. Joh Vincenz Kolben des Schneiders nachgelaßenen Erben, hinden vff den Rindts häutter stoßend. So welche behaußung von denen geschwornen Werckmeistern des Maur und Zimmerhoffs vermög des Zu dem Concept überschickthen Abschatzungs schein vom 4. Nov. ohnlängst æstimirt und angeschlagen worden vor 1800 Gulden so in die Außwurff thun 900. lb.
die auff Solchem hauß stehende Capitalien befinden sich under denen passivis eingetrag. Darüber Vorhanden ein teutsch Perg: Kauffbrieff aus allh. Cantzl. Contr. Stub gefertigt und mit dero Insigel Verwahrt datirt den 13. Julÿ 1655. außweißend wie weÿl. wendling Ehemann der Schneider und burger allhier Solche behaußung von H. Joh Rudolph Saltzmann sen. Med. Doct. und Profess. seniore und Canonico Zu St. Thomæ Ehevogtl. weiß umb 287. lb 10 ß ane Sich erkaufft, mit alten N. 1 notirt und dabeÿ gelaßen.
Ferners ein Pap. Extract aus allhießiger Cantz. Contr. Stub gefertigt und mit dero auffgetruck. Insiegel verwahrt sub dato 13. Marty 1710. außweißend welcher Gestalten Christoph Ehemann der Schneider und burger allhier Solche behaußung der verstorbenen Frauen Seel. und dem hinterlaßenen Wittiber als ein und durch ein getroffen leibgeding eigenthümlichen cedirt und uberlaßen mit N 2 notirt.
Item noch ein t. Perg. Kauffbr. aus allh. Cantzl. C. stub gefertigt und mit dero Innsiegel verwahrt sub dato 1598. Item ein alterer Perg: Kauffbr aus dem bischoffl. hoff gefertigt und mit dero Innsiegel verwahrt datirt den 18. Julÿ 1571. Dabeÿ noch verschiedene altere Perg: Verschreibungen über dieße behaußung besagend Sich befunden.
– Abschatzung dem 8. Nov: 1741. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johann Michell Baum deß baßmëntirers ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg auff dem roßmarck gelëgen, ein seitß Nëben Lorënt brucker dem kübler, anderseitß Neben dem Kolbischen Erben hindten auff dem gërber Graben stoßent, wëlche behausung unden ein schmalleß hauß Ehren Neben dar an rechter handt ein stübell hinden daran die küchell Nebenß Cammer der bronen und getrëmbten Keller, oben dar über ihm Ersten und Zweÿten stock ein stuben Kuchen und hauß Ehren ein Klein Stübell Zweÿ alte Cammern daß hauß Ehren darinnen der herdt, soltaten Cammer, worüber daß tach mit einem sehr alten tach stull unbesetzte bienen, daß tach ein seitß mit holl zieglen anderseitß mit breÿt Ziglen belegt, sambt aller gerechtigkeit Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërckh Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wirdt Vor und umb Ein tausent und Acht hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Norma Hujus Inventarii, Sa. Haußraths 30, Sa. Silbers 1, Sa. eines goldenen Rings 16 ß, Sa. baarschafft 1, Sa. eigenthumbs ane einer behaußung 900. Summa summarum 934. lb – Schulden auß der Verlassenschafft zubezahlend 1010. lb. Übertreffen also die Passiva die gantze Verlassenschafft benantlichen umb 76 lb
Jean Christophe Baum rachète les parts de la maison en devenant ainsi seul propriétaire
1742 (13.3.), Me Marbach (Jean, 34 Not 6), Joint au n° 215 du 15 nov. 1741
Vergleich und überlaßung der in die Verlassenschafft gehörigen behaußung.
Zuwißen nach deme die Inventur zu endgebracht ein formblich Inventarium darüber außgefertigt und Lobl. Statt stall beraits producirt und daselbst abgehandelt worden, So Seind ane endstehendem dato gesambte Erbs Interessenten und dero vogt und beÿständere Zusammen Kommen, umb das Geschäfft ferners auffzurichten und in Erörtterung Zu bringen, So ist mann allvorderisten Zu der in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung so gelegen allhier ahne dem Roßmarck Zur Meiß genant, I.s neben Lorentz Brucker dem Kübler 2.s neben weÿl. Joh Vincenz Kolben geweßenen Schneiders v. b. allhier nachgelaßenen Erben hinden vff den Rindts häutter graben stoßend. Wie solche in dem Inventario weitkauffiger beschrieben insonderheit geschritten, umb solche im Erb einem oder dem andern Interessenten Zu überlaßen, damit mann Von dißer bürde in ansehung der vielen darauff hafftenden Capitalien gäntzlichen befreÿet werden möge,
da dann Hr Joh: Christoph Baum der Seidenhändler und burger allhier der Mit Interessent Vff solch. behaußung endlichen umb 2050 Gulden und die nöthige deßhalben aufflauffende unkosten darzu zu übernehmen als Mit Erb annehmen sich declarirt (…)
alß haben darauff die übrige Mit Erbs Interessenten samblich (…) in erwegung daß Solche behaußung sehr bawfällig und Solche nicht höher könne verkaufft werden umb angeregte 2050 Gulden und übernahm angeregter hierzu erforderlicher unkosten ins Erbs weiß als Mit Erben eigenthümlichen überlaßen – Straßburg den 13. Marty A° 1742
Jean Christophe Baum s’adresse aux Quinze après que le corps des passementiers lui a refusé l’autorisation de présenter son chef d’œuvre parce qu’il n’a pas terminé son compagnonnage. L’enquête montre que son tour de compagnon n’a duré que six semaines. Jean Christophe Baum prétend qu’il ne lui a pas été possible de trouver du travail à cause de la guerre et que son père lui a conseillé de revenir chez lui en attendant des temps plus propices. Sous la pression de sa famille, il est ensuite resté auprès de son vieux père qui a perdu la vue. Il cite d’autres cas qui se rapprochent du sien et de situations contraires au règlement. Les passementiers demandent qu’on s’en tienne au règlement. La commission estime qu’on pourrait prendre en compte la santé de son vieux père et lui permettre de faire son chef d’œuvre moyennant paiement d’une dispense. Les Quinze adoptent la proposition
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
Joh: Christoph Baum Ca. E. E. Meisterschafft der Paßmentirer pt° Meisterstücks
(p. 27) Sambstag d. 30. Januarÿ 1717. Goll nôe Joh: Christoph Braunen des ledigen Paßmentirers Citirt E. E. Meisterschafft der Paßmentirer Ober meister, Principal hat sich gehöriger orthen umb das Meisterstück Zu verfertigen angemelt, welches Ihme aber ursach er die Zeit nicht Verwandert abgeschlagen worden, bitt Deputatione, und Facte relatione Ihme dispensando gnädig Zu willfahren. Saltz. Citatus præs. Cons. in Deput. Erk. Obere Handwerck herrn.
(p. 88) Sambstag d. 27. Februarÿ 1717. Goll nôe Joh: Christoph Baum des ledigen Paßmentirers Ca. E. E. Meisterschafft der Paßmentirer Ober meister, Principal prod. Underthg. gehorsambst ansuchen und bitten pro Continuatione Deputationis. Saltz. bitt Copeÿ diesen einlag und ad proximam. Goll setzts Zur Deput. Erkandt, wird Copia producti und Deputation Zugelaßen.
(p. 207) Sambstag d. 19. Aprilis 1717. Iidem [Obere Handwerck herrn] lassen per Eundem [Secretarium] Referiren, daß Christoph Baum der ledige Paßmentirer contra E. E. Meisterschafft der Paßmentirer geklagt, daß die nicht Zum Meisterstück admittiren wolte, Weil Er die Völlige Wanderzeit nicht außgestand. mit unterthäniger bitt beÿ Ihme gnädig Zu dispensiren.
Auff geschehene remission habe man die Parthen ferner gehört, da Kläger dieses beÿgefüget, Er hätte Zwahr mehr nicht alß sechß wochen gewandert, auß ursach er in dem Reich Keine arbeith hätte finden Können, indeme der Fried erfolget die trouppen in diesem Land auff allen seithen allgedancket, hingegen im Reich die Werbungen starck fort gesetzet worden, so daß die handwercks burst nicht sicher hätten fort kommen können, wadurch Er gemüßiget worden seinem Vatter hiehero Zu schreiben, undt Von Ihme Zu vernehmen, was er Zu thun hätte, Sein Vater habe Ihme geantwortet, daß Weil Er Keine arbeith haben Könte, Er eine Zeit lang Wieder nach Hauß Kommen, und nachgehends beÿ beßerer gelegenheit wiederumb Verreisen solte, Also Er aber hernach die wanderschafft Von newen hätte antretten wollen, hätte seine geschwisterte und übrige Verwandte Ihne Vermacht, allhier beÿ seinem Vatter so alt und nicht mer im stand die arbeith zu befördern Zu bleiben, undt Ihme an der hand zu gehen,
Nomine der Meisterschafft seÿe erschienen Johann Ludwig Stuber alß Ober meister, Johann Michael Fanck und Johann Philipp Lobstein, welche gemeldet daß des Klägers begehren unbillich, Weil er Keine eintzige ursach habe, sich der Wandeschafft zu entübrigen, da er doch groß und Verstädig genug darzu wäre. 2.do seÿe dießen begehren nicht nur Ihme selbst, sondern auch dem handwerck præjudicirlich, sintemahlen Er sein handwerck in der Frembde beßer ergreiffen Könte, über das wann Ihme willfahrt werden solte, andere ebenmäßig suchen würden, 3.tio So hätten sie einen Articul Krafft deßen eines Meisters Sohn Zweÿ jahr zu wandern schuldig, mit bitt sie gnädig dabeÿ zu manuteniren, Zumahlen Kein Exempel vorhanden, daß einer Zu dem Meisterstück admittirt werden, der, wie Gegner, Gar nicht gewandert,
Auff Welches Cläger inständig gebetten, Ihme Zu erlauben seine angelegenheit schrifftlich beÿzubringen, wie er dann d. 27. febr. ein Memorial producirt, in welchem er obiges Wiederhohlt, mit dem beÿsatz, daß es dann nicht alßo wie die Meisterschafft Vorgebe, daß Kein Exempel vorhand. da dispensirt worden, maßen einer nahmens Johann Philipp Rögner, der über ein halb Jahr nicht gewandert, ferner Daniel Ullmann, undt Benedic Klein, Welche auch nicht nach in der frembde geweßen, dergleichen dispensation erhalte, Deme des Imploranten Vatter beÿ beseßener Conferentz beÿgefügt, daß nicht allein Er, sondern auch alle Meister, außer denen geschwornen, sich höchlich verwunderte, daß man seinem Sohn nicht gleiche gnad gedeÿen laßen wolte, er seÿe schon 61. Jahr alt, und hätte das Gesicht Verlohren, und wann Ihme dieses seines Sohns hülff entzogen werden solte, er sehr übel daran sein würde,
Welches Vorgeben obgemelte nomine der Meisterschafft also beantwortet daß sie sich nicht wenig beschwehreten, daß gegner die Geschwornene s. v. lugen bezüchtige, 2.tens daß Er gemelt Ob wären Meister unter Ihnen die unehlich Kinder gehabt, und dannoch das Meisterstück gemacht hätten /:wie Er in der schrifft gemelt:/ 3.tio daß einige gar nicht gewandert hätten. Quoad j.um So seÿen sie wahrhaffte leüth, quoad 2.um wußte sie hichts hievon, wollen sich informiren, und die Sach für das Handwerck gelangen laßen, Quoad 3.um wäre Zwahr beÿ underschiedenen dispensirt worden, hetten aber doch langer in der Frembde gearbeithet alß Kläger, mit underth.ger bitt wann aus sonderbahrer Gnad beÿ Klägern dispensirt werdten solte der laden Kräfftig eingedenckt zu seÿn.
Über welches hien man die protocolla auffgeschlagen, und in dem de A° 1709. (vid. fol. 197.) gefunden daß beÿ gemeltem Rögner Zwar dispensirt werd. doch daß er einige Jahr ohne Jungen sein sollte, hatte 17. wochen gewandert, und wegen Leibsblödigkeit nich länger draußen bleiben Können. Beÿ Ullmann deßgleichen doch gegen erlag 3. lb. Auff seithen der Hh. Deputirten habe man den Articul gantz Klahr gefund. und anfänglich Vermeint daß es dabeÿ sein Verbleibens haben solte, allein es werde Zu Mghh. gestellt, ob sie beÿ dem Imploranten aus consideration seines alten Vatters gegen erlag 5. lb halb der Statt halb dem hannß dispensiren, und Ihne Zu dem Meisterstück gnädig admittiren wollen. Erkandt bedacht geliebt, und gegen erlag 5. lb dispensirt, doch daß Implorant 3. Jahr lang keinen Jungen lehren soll.
Le passementier Jean Christophe Baum épouse en 1719 Susanne Madeleine Falckenhauer, fille de Sigismond Falckenhauer (voir sa maison) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de 1738, célébration, inventaire des apports
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren Wohl vorgeachten Mr Johann Christoph Baumen dem ledigen Paßmentirern und burgern allhier in Straßburg, des auch Ehrengeachten herrn Johann Michael Baumen, ebenmäßigen Paßmentirers und burgers hierselbsten ehelichen Sohn, als dem hochzeitern ane einem, so dann der Ehr und tugendsamen Jungfer Susannä Magdalenä gebohrner Falckenhauerin, weÿland des Ehrenvest und großachtbahren herrn Sigmund Falckenhauers gewesenen wohlmeritirten dreÿers der Statt umbelds und Schloßers, auch burgers allhier, nachgelaßener ehelicher tochter als der Jungfer hochzeiterin andern theil – So geschehen in der Königlich freÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 22. des Monats Junÿ Anno 1719. – Johann Marbach Notarius publicus juratus
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 322, n° 1323)
1719. Mittwoch den 20.ten octobr. seind nach Zweÿmaliger Proclamation copulirt und ehelich eingesegnet worden, Johann Christoph Baum, der ledige Paßmentirer und burger allhier, Johann Michael Baum deß Paßmentirers und burgers allhier ehelicher Sohn, und Jfr. Susanna Magdalena weiland herr Sigmund Falckenhauers geweßenen Schloßers und burgers wie auch beÿsitzers beÿ E.E. Kleinen Rath und dreiers hißigen ungelt nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Christopf baum als hochzeitter, Susanna magdalena falckenhauerin als hochzeiterin (i 321)
Inventaire des apports dont la minute n’est pas conservée
1719, Me Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über H. Johann Christoph Baumen Paßmentirers u. Fr. Maria Magdalena geb. Falckenhauerin beed: Ehl: einander zugebr. Nahrung
Le passementier Jean Christophe Baum demande l’autorisation de prendre un apprenti puisque les trois années pendant lesquelles il n’y était pas autorisé sont écoulées. L’enquête montre que le pétitionnaire prend comme date de départ celle où on lui a donné le sujet de son chef d’œuvre et la tribu celle à laquelle a été prise la décision concernant les apprentis. Les Quinze estiment que c’est cette dernière qu’il faut prendre en compte et déboutent le pétitionnaire de sa demande.
1720, Protocole des Quinze (2 R 124)
Johann Christoph Baum Ca. Handwerck der Paßmentirer pt° annehmung eines Jung.
(p. 239) Sambstag d. 8. Junÿ 1720. Moss. nôe Johann Christoph Baum Paßmentirer undt burgers Cit. E. E. handwerckhs der Paßmentirer Obermeister, Weilen die dreÿ Jahr Welche Principalen keinen Jungen Zu Lehren angesetzt word. Vorbeÿ seind und E. E. handwerckh Ihme ohne Mgh. Erkandtnus nicht erlauben will einen Jungen einschreiben Zu laßen, alß bitte Underthg. gng. Zu erkennen, daß Ihme solches erlaubt sein soll, Gug Es seind Von denen angesetzten dreÿ Jahren nur Zweÿ Verfloßen, butt Zu untersuchung der Sach Deputation. Moss setzts. Erk. Obere Handwerck herrn.
(p. 263) Sambstag d. 15. Junÿ 1720. Obere Handwerck herrn laßen per Eundem referiren, Es habe Johann Christoph Baum der Paßmentirer und burger allhier in seinem contra E. E. Handwerck der Paßmentirer gehaltenen recess berichtet, daß die dreÿ jahr die Ihme Keinen jungen Zu Lerhen angesetzt word., Vorbeÿ seÿen, E. E. Handwerck aber ihme ohne Mgh. Erkandtnuß einen jungen einschreiben Zu laßen nicht erlauben wollen, bäte er also gnädig Zu erkennen, daß ihme solches erlaubt sein soll. Welches petitum er beÿ gehaltener Conferenz Wiederhohlet.
noê E. E. Handwerckhs seÿe Vorgestand. Johann Philipp Lobstein und Georg Carl Kielhorn beede Paßmentirer welche geantwortet, daß Gegner erst auff Joh. Bapt: 1718. Meister worden, folglich seine 3. Jahr die Er ohne Jungen Zu bringen solle, noch nicht Verfloßen seÿen, mit bitt Ihme an die Von Mghh. ertheilte Erkanntnus Zu Verweißen.
Beÿ dem auffschlagen habe sich ergeben, daß den 19. Aprilis 1717 Mghh. Erkantnuß dahien außgefallen, daß der Implorant vi dispensationis in consideration seines Alten Vatters Zu dem Meisterstück gelaßen Werden solte, jedoch mit dem Verbott, Zeit dreÿ jahren Keinen jungen Zu lehren, Weilen er aber Von Zeit allegirter Erkantnuß aber ein jahr Verfließen laßen, ehe und bevor er sein Stück Verfertiget, alß entsteh nunmehrso die Frage, Ob diese dreÿ Jahr Von Zeit ertheilter Erkantnuß oder aber Von Zeit des erhaltenen Meister Rahts dem Imploranten Zurechnen seÿen ? auff den ersten fall würde dem Imploranten Zu Willfahren sein, auff dem andern aber nicht. Beÿ welcher beschaffenheit man die Interpretation Mgh. vberlaßen wollen.
Erkandt, solle der Termin abgehen Von Zeit des Verfertigten und im stand gesetzten Meisterstücks, maßen der Kläger Zuvor ohne dem Kleinen jungen annehmen dörffe, folglich wird derselbe mit seinem begehren ab: und seiner Zeit Zu erwarthen angewießen.
Jean Christophe Baum se sépare de Susanne Madeleine Falckenhauer. L’inventaire est dressé dans la maison à la Mésange
1738 (13. 8.br), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 66) n° 586
Inventarium über Herrn Johann Christoph Baumen Paßmentirers und Seÿdenhändlers und Frauen Susannä Magdalenä Baumin gebohrner Falckenhauerin, beeder geschiedener Ehe Persohnen und burgere allhier Zu Straßburg nunmehro habend: und besitzende Nahrung – welche auf Ursachen, allweilen Sie beede Ehe Persohnen den 1.ten dieses Monats Octobris beÿ E: löblichen Ehegericht allhier, biß auf anderwärttig Christliche Versöhnung Zu tisch und zu bett geschiedene und dahero auch wegen Ihrer Zeitlichen Haab, Nahrung und Güthere richtigkeit mit einander zutreffen gesinnet – So beschehen Zu Straßburg in beÿseÿn und persönlicher gegenwarth S.T. Herrn Johann Daniel Cappaunen, J.U. Lt. und wohlverordneten Secretarÿ auf allhießiger löbl. Cancelleÿ, des Ehemanns hierzu erbettenen herrn Assistenten, ingleichem S.T. Herrn Johann Ludwig Freunden J.U. Lti und beÿ löbl. Ammeister Audientz wohlbestelten Advocati et Procuratoris Ordinarÿ der Ehefrauen hierzu erbettenen herrn beÿstands auf Montag den 13.ten Octobris et seqq. Anno 1738.
In einer alhier Zu Straßburg an dem Roß Marckh gelegenen Zur Maÿs genandten des Ehemanns beed. noch lebenden Elttern gehörigen behaußung befunden worden, wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Soldaten Cammer, Auff der obersten bien, In der Schlaff Cammer, In der Wohnstub, In der obern Kuchen, Im Sommer hauß, In der untern Cammer, Im hauß Öhren neben der untern Cammer, In der untern Kuchen, Im Vordern hauß Öhren, Im Laden, Auff der öbersten bien
(f° 15) Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung, hoff und hoffstatt sambt bauch küchen und übrigen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, besonders auch dem Rechten sich des in Certemontischen hauß befindlichen bronnens Zu bedienen, und die Propheÿ durch erstgedachten haußes hoff ausführen, wie auch des Regen und anderes waßer durch selbigen abzuleÿten und lauffen Zulaßen, nebst mehr anderen in einer über besagtes Certemontisches hauß, in hießiger Cancelleÿ Contract stub am 9.ten Augusti 1723. auffgerichteten Kauffverschreibung beschriebenen Juribus sambt einem angemachten bräter und eingemaurten Kupffernen bauch Keßel, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseith ist theils ein Eck, an derselben, und theils neben weÿland Hn Gilbert Du plessières de Certemont, geweßten Brigadier des Armées du Roy, anderseith neben dem Cabaischen, Jean Rondouin dem Zimmer meister gehörigen hoff, hinten auf gedachte Certemontische Erben stoßend, wavon mann und zwar wegen der am Laden befindlichen beeden Stafflen gemeiner Statt Pfenningthurn jährlichen Zween schilling Allmend Zinnß Zureichen schuldig, sonsten aber freÿ Ledig und eig. und weilen man dieselbe erst den 27.ten Martÿ 1736. Von Weÿl. Hn Martin Jacob Euthen geweßten handelsmanns allhier seel. hinterlassener Wittib und Erben umb 3750. fl. erkaufft, hiernechst seithero ohngefeht einige 100. fl. darinnen Verbauen, als ist dieselbe dißorths wie wohl gantz ohnverfänglichen in Außwurff Zubringen beliebet worden pro 2000. lb. Deßwegen Vorhanden ein teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhießiger Canc. Contr: stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insigel bekräfftiget, datirt den 27.ten martÿ Anno 1736.
Ergäntzung der Frauen abgegangenen ohnveränderten Guths. durch Herrn Notarium Jacob Christoph Pantrion in Anno 1719. außgefertigten Inventarÿ
(f° 36) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns ohnveränderte Rubricen, Sa. hausraths 5, Sa. Werckzeugs zum Paßmentiren gehörig 11, Sa. Silbers 5, Sa. goldenen Rings 1, Sa. der baarschafft 1, Sa. Ergäntzung (170, abzug 1, per Rest) 169, Summa summarum 194 lb – Schulden 100 lb Nach solchem abzug 94 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen unveränderte Nahrung gesetzt, Sa. hausraths 64, Sa. des lähren Vaßes 2, Sa. Silbers 68, Sa. goldener Ring 10, Sa. Schulden 100, Sa. Ergäntzung (856, Abzug 6, per Rest) 849, Summa summarum 1095 lb
Endlichen wird auch das gemein, Verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. hausraths 322, Sa. Gewerbs wahren zur Paßmentirer Profession gehörig 1866, Sa. Wein und lährer Vaß 16, Sa. silbers 31, Sa. des guldenen Rings 1, Sa. baarschafft 366, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2000, Sa. Schulden 404, Summa summarum 5158 lb – Schulden 2259 lb, restirende theilbare Errungenschafft 2899 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren Wohl vorgeachten Mr Johann Christoph Baumen dem ledigen Paßmentirern und burgern allhier in Straßburg, des auch Ehrengeachten herrn Johann Michael Baumen, ebenmäßigen Paßmentirers und burgers hierselbsten ehelichen Sohn, als dem hochzeitern ane einem, so dann der Ehr und tugendsamen Jungfer Susannä Magdalenä gebohrner Falckenhauerin, weÿland des Ehrenvest und großachtbahren herrn Sigmund Falckenhauers gewesenen wohlmeritirten dreÿers der Statt umbelds und Schloßers, auch burgers allhier, nachgelaßener ehelicher tochter als der Jungfer hochzeiterin andern theil – So geschehen in der Königlich freÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 22. des Monats Junÿ Anno 1719. – Johann Marbach Notarius publicus juratus
Susanne Madeleine Falckenhauer est internée à la maison de force sur ordre du Grand sénat en date du 31 décembre 1749 pour vie dissolue (voir mention à l’acte de sépulture). Elle rédige trois testaments successifs dont le dernier réduit les legs qu’elle s’est laissé persuadé de faire.
1751 (12.6.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 941
(Testament) auf requisitionem und ansuchen Susannæ Magdalenæ Baumin gebohrner Falckenhauerin H Johann Christoph Baumen deß Paßmentirers und burgers alhier Ehefr. (…) mich in alhiesiges arbeith hauß ane St Johann Gaß Verfüget dießelbe in der ihro angewießenen Cammer in dem gebäw alwo die pensionaires logiret, mit denen fenstern geg. der Schaffneÿ behaußung über in den hoff aus sehend angetroffen, zwar ohnbäßlichen und kranckhen leibes, doch darbeÿ guten verstandt richtiger Sinnen und vernunfft (…)
Endlichen Und Zum dritten (…) alß will die Fr. testirerin Zu ihrer eintzigen rechten und wahren Erbin ihrer Verlassenschafft hiemit instituirt ernennet und ein gesetzt haben ihre eintzige und leibliche dochter Jfr. Mariam Salome Baumin – Straßburg d. Sambstagß d. 12.t junÿ 1751.
Deuxième testament
1751 (2.8.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 949
(Testament) frau Susanna Magdalena Baumin gebohrne Falckenhauerin Hn Johann Christoph Baumen deß Paßmentirers und burgers alhier geschiedene ehefrau (…) zu ihro in das alhiesige arbeith hauß, dießelbe in der ihro angewießenen Cammer, so da ist die Zweÿte auf dem Stock alwo die pensionaires logiret seind, auff einem bette ligend etwas ohnbäßlichen leibes, doch darbeÿ beÿ guten verstandt richtiger Sinnen und verstandts (…)
Endlichen Und Zum dritten (…) alß will die Fr. testirerin Zu ihrer eintzigen rechten und wahren Erbin ihrer künfftiger Verlassenschafft instituirt ernennet und ein gesetzt haben Jfr. Mariam Salome Baumin ihre liebe dochter- Straßburg d. Montagß d. 2.t aug. 1751.
Troisième testament
1751 (20.8.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 954
(Testament) frau Susanna Magdalena Baumin gebohrne Falckenhauerin Hn Joh: Christoph Baumen deß Paßmentirers und burgers alhier geschiedene ehefrau (…) zu sich in das alhießige arbeithauß kommen und beruffen laßen, die wie dann beÿ gutem erstand richtiger Sinnen und vernunfft (…) in dem ihro angewießenen Zimmer, auf dem Stock alwo die pensionaires logiret seind, angetroffen, Darauff hin dießelbe uns deutlich Zu verstehen gegeben, wie daß Sie schon Zu etlich mahlen durch einige Persohnen sich alda habe beenden und persuadiren laßen, wegen ihres annoch habenden Vermögens, Testamenta und letzte Willens verkündung Zu machen vnd auffzurichten, und darinnen Verschiedene legaten auszusetzen, undt dardurch ihrer eintzigen und leiblichen dochter Jfr. Mariæ Salome Baumin das Jenige So dießelbe auff ihr der Mutter tod ab intestato erben solte, guten theils zu entziehen und zuschwächen (…) – Straßburg Freÿtagß den 2..t aug. 1751.
Sépulture, Maison de force (luth. p. 50)
Dienstags den 4. Januarÿ Anni 1753 ist auß Zehreden dorrsucht gestorben Susanna Magdalena Baumin geb. Fälckenhauerin, ihres alters 53. Jahr, Ist zur correction ihres lasterhafften geführten lebens wegen durch E.E. Großen Raths Erkandtnuß den 3.ten Decembr. 1749. in das Arbeithauß gethan worden. (i 12)
Veuf, Jean Christophe Baum épouse en secondes noces Ursule Richshoffer veuve du passementier Jean Michel Stamm : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports où figurent les immeubles de chacun des époux
1753 (8. Horn.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 982
(Eheberedung) der Ehren und Wohlvorgeachter Johann Christoph Baum, Paßmentierer und Seidenhändler Wber auch burger allhier Zu Straßburg sich ehelichen Verlobet hat
mit der Viel Ehren und tugendbegabten Fraun Ursula gebohrner Richshofferin Weiland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Michael Stammen geweßenen Paßmentirers Seidenhändlers und burgers allhier Zu Straßburg seeligen hinterbliebenen Wittib – Straßburg den 8.ten Hornung 1753. [unterzeichnet] johan Christoph baum als hochzeiter, Ursula Stammin Alls hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 313, n° 1150)
1753. Montag d. 18. Martj seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Joh: Christoph Baum pasmentmacher Seÿden händler wittwer undt b. allh. und Fr. Ursula weÿl. H. Joh: Michael Stammen pasmentmachers Seÿdenhändlers und b. allh. hinterl wittib [unterzeichnet] johan chistoph baum als hochzeiter, Ursula Stammin als hochzeiterin (i 318)
Inventaire des apports. Le mari apporte le maison à la Mésange, la femme une maison Grand rue près l’église St Pierre le Vieux et deux maisonnettes au Bastion de la Bruche
1753 (9.4.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 25) n° 941
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Christoph Baum Paßmentirers und Seidenhändlers und der Ehren und tugendbegabten Fraun Ursulæ geb. Richshofferin beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – in ihren den 18.ten Mertz instehenden 1753.sten Jahrs abgetrettenen Ehestand Zugebracht – So beschehen Straßburg Montag den 9.ten Aprilis 1753.
In einer allhier Zu Straßburg beÿ dem Roßmarck gelegenen Zu dem Eheh. eigenthümbl. zuständigen behaußung die Maÿß genand befunden worden wie folgt
(f° 13)
Eÿgenthum an Häußern. (H.) Nemblich Eine und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, die Meÿß genannd, gelegen allhier gelegen alhie Zu Straßburg an dem Roßmarckt, I.s neben Mr Lorentz Brucker dem Kübler 2. neben weil. Peter Marxen gewesenen Schneiders Kindern, hinten auf den Rinds häuter graben stoßend. so gegen männiglich freÿ leedig und eigen ist. Darüber besagt eine Vor Herrn Johann Marbach Not. publ. allhier am 13.ten Martÿ 1742. geschehene und den 15.ten bes. Monats und Jahrs Vor Einem löbl. Vogteÿ Gericht gutgeheißene Cession. Ferner ein aus allhies. C. C. Stb. am 13.ten gefertigtes papÿrenes Leibgeding datirt den 13. Marty 1710.
(F.) Nembl. eine behaußung höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrige begriffen Weiten Zugehördten und Rechten allhier an der obern Straß ohnweit der Kirch Zum alten Sr. Peter (…)
(F.) Und dann ein dritter theil Vor ohnvertheilt von und ane Zweÿen gar kleinen baufälligen häußlein gelehen in allhießiger Statt Straßburg in der Courtine du Bastion an der Preusch am Wall gelegen (…)
Ordnung gegenwärtigen Invÿ. Der Eheherr, Sa. haußraths 211, Sa. waaren zum Paßmentmachen 1248, Sa. Weins 95, Sa. Silbers 55, Sa. goldenen Rings 25, Sa. baarschafft 422, Eigenth. ane einer behaußung -, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 6537, Sa. Schulden 629, Summa summarum 9294 lb – Schulden 1849 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 186, Sa. Weins und Faß 47, Sa. Silbers 123, Sa. golderer Ring 129, Sa. baarschafft 596, Eigenth. an häußern -, Sa. Pfzßes und deßen hauptguths 200, Sa. Schulden 734, Summa summarum 2010 lb – Schulden 629
Haussteuren 63 lb
Acte de liquidation après la séparation de corps et de biens entre Jean Christophe Baum et Ursule Richshoffer
1759, Me Haering (6 E 41, 1357) n° 91
Lieffer Register der Ehren und tugendsahmen Frau Ursulä gebohrner Richshofferin des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Christoph Baum Paßmentirers und burgers alhier zu Straßburg inhallt Es. Löbl. Ehegerichts Erkandnus Vom 20.ten febr. 1759. Zu tisch und zu bett biß auf anderwärtige christliche Außsöhnung geschiedenen Ehefrau ohnverändert und eigen Vorbehaltenen Guths auch der Ihr Krafft Vor mir Not° am 3.ten hujus gepflogenen Vergleichs §.pho 2.do Vor ihren Antheil der Errungenschafft eun Vor allemal Versprochenen 150. fl. (…) – So beschehen Straßburg Montags den 12.ten Mertz 1759.
Ursule Richshoffer meurt en 1764 en délaissant trois héritiers testamentaires. L’actif de la succession s’élève à 1 193 livres, le passif à 92 livres
1765 (11.1.), Me Haering (6 E 41, 1365) n° 263
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsamen Fr. Ursulä gebohrner Richshofferin des Ehren und Wolvorgeachten herrn Johann Christoph baum Paßmentirer und Seidenhdl. geschiedener Ehefrau seel. Verlassenschafft, nach ihrem Montags den 23. Decembris des Kürzl. zurückgelegten 1764. jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen von hinnen Scheiden – durch die Testaments Erben wie auch Jgfr. Mariam Salome Schererin und Jfr Catharinam Salome Hitschlerin die beede beÿ der Verstorbenen seel. hinscheiden im hauß geweßen (geäugt und gezeigt)
die nun in Gott ruhende Fr. Baumin hat vermög ihres Testamenti Nuncupativi zu erben verlaßen S.is ubique T.lis 1. herrn Joh: Daniel Vogt, hof Prediger Ihro durchlaucht der verwittibten herzogin von Zweÿbrucken der zeit in Bergzabern sich aufhaltend, vornehmen br. allhier, 2. Fr. Margaretham Salome Ehrlenin geb. Vogtin H. Johann Ludwig Ehrlen, treueifrig. Pfarrherrn der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter und vornehmen burger alhier Fr. Eheliebste, So dann 3. herrn Emanuel Vogt, Gastgeber auf E.E. Zunft der Gerber
In einer an der obern angen Straß gelegen in dieße Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen behausung
Eigenthum an häußern Neml. eine behaußung höflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, Weithen, zugehörden und Rechten in der obern Straß ohnweit der Kirch zum alten St Peter 1.s neben der verwittibten Fr. Kuttlerin Ohlmännin 2.s neben H. Johann Philipp Brandhoffer weinhändler hinten auf Mr Johann Friedrich Barth den Schneider, (laut) abschatzung vom 21. Jenner 1761 angeschlagen worden pro 800 gulden oder 400, darüber besagt Kaufbr. ais C.C. Stub dat. den 31. 8.bris 1748, Ferner ein Ganth Kaufbrieff datirt den 8. apr. 1733, Weiter ein Kaufbr: aus C.C. Stb. dat: den 2. junÿ 1713, dabeÿ i. Vergleich unter Priuat unterschhrift wegen der Gerechtigkeit des dachtraufs und Ablauf solcher Waßers auf dem Gängel des hintern Stockwercks dieser behausg. dat: den 19. julÿ 1734
(Fr: Pf: Ehrlenin und H. Emanuel Vogt prælegirt) It: die helfte vor unvertheilt an zweÿen gar kleinen baufälligen häußlein gelegen in der Courtine des Bastions an der Preusch hinten auf den Wall stoßend, davon gibt man jährlich der Stadt Straßburg Pfenningthurn an bodenzinß 15 ß, angeschlagen pro 100, abgezogen erwehnte beschwerde zu dpm. Cap. gerechnet antreffend 20, Restiren am Anschlag 70, die hefte ausmacht 35, Über einen dritten theil den die Verstorbene seel. an dieen beed. Häußl. von ihrer Schwester Susannæ Mariæ Brantzin geb. Richßhofferin auch weÿl. H. Friedrich Brantzen des Zinn versilberten Pferdzeug: u: Knopffmacher seel. Wb. A° 1751 ererbt und von ihren Miterben angenommen besagt die vor H. Not° Joh: Daniel Langheinrich vorgegangenen Abthlg. ged. brantzischer Wb. Verl. Und wie die Verstorbene einen 4.t theil von zween dritten theilen an sich gebracht mithien die helfte daran bekommen meldet eine Überlaßung unter Priuat Unterschrift den 11. Xbris 1760 geschehen, Wie aber ermeldter H. Johann Friedrich Brantz bemelde beede häußl. erhandelt sollen Kaufbrieff aus C.C. Stb. vom 28. feb. 1704 und 17. maÿ 1715 besagen, die übrige helfte gebührt H. Joh: Jacob Albrecht Knopffmach. Seidenhdl.
– Abschatzung Vom 21.t Jenner 1765, Auff begehren Ursla baumenin Geborne Reishofferin ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg in der lange Straß Gelegen Einseits Neben Meister Wiendter dem Nagell Schmiedt anderseits Fr: Kudtlerin wiedtib Und hienden auff Meister bahl dem Nagell Schmidt stosent gelegen, solche behausung besteht in einem Ferder Und hiendter Gebeÿ warinnen eine budick Ferner zweÿ Stuben zweÿ Kichen Und Ettliche Kamern dar jber seindt die dach Stiell mit breitziglein belegt, hat auch ein gewelbten Keller hoff und brunen, (…) vor und umb 800 Gulden
Der zweite Begriff ist Auch alhier in der Statt Strasburg in dem buncken wehr gelegen Einseits und ander seits neben dem Allmendt und hienden auff den Wahl stosent gelegen, solche begrieff besteht in Ettliche Stuben Einer Kichen Dar jber ist der dach Stull mit breitziglein belegt, hat auch ein Getrembte Keller, (…) vor und umb 200 Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ, hausrath 150 lb, silbers 15 lb, goldene ringe 3 lb, häußern 435 lb, schulden 588 lb, summa summarum 1193 lb, schulden 92 lb, Nach deren Abzug 1100 lb
Copia des vor mir am 17. Xbris 1764 außgesprochenen Testaments – in dero eigenthümlichen an der obern langen Stras nächst der haanen Gaß gelegene behausung, in der Wohnstub im ersten stock mit denen Fenstern auf gedachte Staß außsehend, Johann Gottfried Vogt Ihrer seel. Schwester Sohn Pfünder in dem allhießisigen mehrern Hospital, 3. Johann Daniel, Catharina Salome und Maria Sophiä denen Hitschlerin Ihrer seel. Schwester techter 3 Kinder (…)
Jean Christophe Baum meurt à son tour en 1773 en délaissant sa fille unique en premières noces. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue du Jeu-des-Enfants. La somme finale de l’inventaire est de 6 599 livres
1773 (14.1), Me Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 624) n° 82
Inventarium über Weÿland des Ehren und großachtbaren Herrn Johann Christoph Baum, geweßenen Paßmentirers Seidenhändlers und burgers alhier nun seel. Verlassenschafft – nach seinem den 21. Decembris jüngst abgewichenen 1772.ten Jahrs beschehenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen
Der verstorbene seel. hat ab intestato zur Erbin verlaßen wie folgt, Frau Mariam Salome Redslobin geb. Baumin, Herrn Johann Michael Redslob sonst Retzloff des Paßmentirers, Seidenhändlers und burgers alhier Ehegattin, welche der verstorbene seel. mit weÿl. frauen Susanna Magdalena geb. Falckenhauerin in erster Ehe erzeugt und nach tod zur einzigen Erbin verlaßen
In einer alhier an der Kinderspielgaß gelegenen nicht hieher gehörig, von den Verstorbenen seel. Lehnungs weiße beseßenen behaußung ist befunden worden wie fogt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 78 lb, Sa. Weins und Faßes 6 lb, Sa. Silbers 14 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 6500 lb, Summa summarum 6599 lb – Beschluß und Verstallungs Summa 6091 lb
Wÿdem Welchen der Verstorbene seel. von Weÿland Frauen Ursula geb. Richshofferin seiner zweÿten Ehefraun seel. lebenslänglich genoßen, davon fallen nunmehr finito usufructu anheim 1° S. T. Herrn Johann Daniel Vogt, Consistorial Rath und Inspectori der Graffschaft Sponheim nicht weniger Oberpfarrherrn in Trarbach an der Moßel auch burgern alhier, 2. S. T. Fraun Margarethæ Salome Ehrlinin geb. Vogtn S. T. Herrn Johann Ludwig Ehrlen Pfarrers beÿ der Evangel. Gemeind zum alten St.Peter und b. alher frau Eheliebstin, 3. Herrn Emanuel Vogt dem Weinhändler und burger alhier
Jean Christophe Baum cède 300 livres sa part de maison à son gendre le passementier Jean Michel Redslob
1767 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 641-2, f° 442
H. Johann Christoph Baum der Paßmentirer
in gegensein seines tochtermanns H. Johann Michael Redslob des paßmentirers
eine zur Maiß genandte behausung, höfflein und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, ane dem kleinen Roßmarckt, einseit neben Johann Streit dem Parresol macher, anderseit neben Lorentz Brucker, hinten auff den Rindshäutergraben – um 300 pfund
Jean Michel Retzloff a épousé Marie Salomé Baum en 1753 : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports, inscription à la tribu du Miroir
1753 (7.4.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 989
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Michael Retzloff dem leedigen Paßmentierer, Seidenhändler des Ehren und Wohlvorgeachten H. Johann Ludwig Retzloff Paßmentirers und Seidenhändlers auch burgers alhier zu Straßburg mit weiland der Ehren und tugendsahmen Fraun Susanna Margaretha geb. Von Hipßheim sel. ehelich erzeugtem sohn, als hochzeiter ane einem,
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Mariä Salome Baumin des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Christoph Baumen Paßmentirers Seidenhändlers und Vornehmen burgers allhier Zu Straßburg mit weiland der Ehren und tugendsamen fraun Susanna Magdalena geb. Falckenhauerin ehelich erzeugten tochter als der Jungfrau hochzeiterin am andern theil – Straßburg den 7. Aprilis 1753. [unterzeichnet] Johann Michael Retzloff Als hochzeiter, Maria Salomea Baulin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 314, n° 1155)
1753 – Mittwoch d. 9. May seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden Joh. Michael retslof pasmentmacher Seÿdenhändler H Joh: Ludwig rethslof pasmentmachers und Seÿdenhl. ehl. Sohn und Jfr. Maria Salome Johann Christoph Baum pasmentmachers und Seÿdenhändler ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Michael Retzloff Als Hochzeiter, Maria Salomea Baumin als Hochzeitterin (i 319)
L’inventaire des apports est dressé dans une maison de location Grand rue
1753 (22.5.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 25) n° 943
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Johann Michael Retzloff Paßmentirers und Seidenhändlers und der Ehren und tugendgezierten Fraun Mariä Salome gebohrner Baumin beeder Eheleuthe und burger alhier zu Straßburg einander in den Ehestand Nahrungen – in ihrem den 9.ten dießes Monaths und Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht, Welche auf ihr beeder Eheleuthe Ansuchen inventirt und ersucht worden weilen in ihrer mit einander aufgerichteten Eheberedung außdrucklichen enthalten, daß einem jeeden Ehegattin und seinen Erben das in die Ehe bringende Vermögen ein freÿ und eigen Guth bleiben solle – So beschehen in fernerer Gegenseÿn des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Ludwig Retzloff Paßmentirers und Seidenhändler des Ehemanns H Vatters Und des Ehren und Wohlvorgeachtn Herrn Johann Christoph Baum auch Paßmentirers und Seidenhändlers der Ehefrauen Hn Vatters und der Ehren und tugendgezierten Frauen Ursulæ Baumin gebohrner Richßhofferin seiner jetzigen frauen Eheliebstin, Straßburg den 22. Maÿ 1753.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Obern langen Straß gelegenen, dießorts Lehnungsweiße bewohnenden behaußung, befunden worden wie folgt
Norma hujus inventarii,. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Silber 29, Sa. Schuld in des Ehemanns Nahrung Zugeltend 100, Summa summarum 129
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 133, Sa. Silbers und Geschmeids 38, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 95, Sa. der baarschafft 1250, Summa summarum 1517 lb
Haußsteuren 88 lb
Jean Michel Retzloff est reçu à la tribu du Miroir en qualité de passementier
1753, Miroir (XI 277) Dienstags den 24. Julÿ 1753
(f° 150) Neuzünfftiger 1 lb. – Johann Michael Retzloff der Paßmentirer Johann Ludwig Retzloff des Paßmentirers und Leibzünfftigen Ehel. Sohn ist Zu folg producirten Stallschein vom 14.ten lauffenden Monaths gegen erlaag Ein Pfundt Leibzünfftig als Paßmentirer auff und angenommen worden ded. et prom. obed.
Vente de meubles puis inventaire dressé après la mort de Marie Salomé Baum veuve de Jean Michel Retzloff (Redslob). Elle délaisse six enfants ou leurs représentants
1811 (7.3.), Strasbourg 10 (21), Me Zimmer n° 256, 451
vente de meubles par les héritiers de Marie Salomé Baum veuve de Jean Michel Redslob marchand passementier devant la maison rue de la mésange n° 9, 1. Marguerite Theurkauf épouse de Jean Gerhard, boucher, par représentation de Salomé Redslob épouse de Frédéric Theurkauff, pelletier, 2. Marguerite Elisabeth Redslob épouse en secondes noces de Joseph Ott le vieux, marchand Jouaillier, 3. Philippe Jacques Redslob, passementier, 4. Marie Madeleine Redslob épouse en secondes noces de Jean Jacques Schutz, négociant, 5. François Henri Redslob, directeur de pension en cette ville, 6. Marie Christine Redslob épouse de Jean Henri Bailliet, marchand passementier
n° 4951 inventaire du 4.5. – meubles vendus 1685 fr et partagés, total 4901 fr ; numéraire 467 fr, créances 16 015 fr
maison : une maison sise à Strasbourg rue de la Mésange n° 9 a été vendue au Sr Schultz par acte Me Zimmer le 12 avril dernier, 24 000 fr
rapports des enfants, total général 64 544 fr, passif 1290 fr, reste 63 254 fr
Les héritiers Redslob vendent 24 000 francs la maison au sellier Samuel Schultz
1811 (12.4.), Strasbourg 10 (53), Me Zimmer n° 3158, 4920 – Enregistrement de Strasbourg, acp 117 f° 2 du 13.4.
1. Marguerite Theurkauff épouse de Jean Gerhard, boucher, par représentation de Salomé Redslob sa mère épouse de Frédéric Theurkauff, pelletier, 2. Marguerite Elisabeth Redslob épouse en secondes noces de Joseph Ott le vieux, marchand Jouaillier, 3. Philippe Jacques Redslob, passementier, et Marie Catherine Trautmann, 4. Marie Madeleine Redslob épouse en secondes noces de Jean Jacques Schutz, négociant, 5. François Henri Redslob, directeur de pension en cette ville, et Marie Madeleine Pfaehler, 6. Marie Christine Redslob épouse de Jean Henri Bailliet, marchand passementier, seuls et uniques héritiers de Jean Michel Redslob passementier et Marie Salomé Baum leurs père et mère
à Samuel Schultz sellier
une maison avec petite cour, communauté de puits, appartenances et dépendances scise à Strasbourg rue de la Mésange n° IX entre le Sr Geisenhoffer tailleur et la veuve de Mazilly, derrière fossé des tanneurs – acquis par Redslob père par acte passé à la Chambre des Contrats le 8 août 1767 – moyennant 24 000 francs
Samuel Schultz, né près de Varsovie, épouse en 1800 Christine Dorothée Anderegg, originaire de Bouxwiller
1800 – Mariage, Strasbourg (n° 362)
Cejourd’hui 21 Fructidor l’an huit de la République française une et indivisible (…) d’une part Samuel Schultz agé de 31 ans sellier domicilié en cette ville depuis deux ans 6 mois, en France depuis dix ans, natif de Tune près de Varsovie en Pologne, fils de Samüel Schultz, drapier audit lieu, et de Rosine Mechner, d’autre part Christine Dorothée Anderegg agée de 33 anns domiciliée en cette ville depuis sept ans, native de Bouxwiller Département du Bas Rhin, fille de feu Jean Jacques Anderegg, maçon audit mieu, et de feüe Marie Dorothée Brumm, (…) 1° l’acte de notoriété dressé par Jean Michel Remond Juge de paix du troisième arrondissement de cette ville le 27 messidor dernier, qui constate que le futur est né à Tune en Avril 1766 (…), 2° de l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née à Bouxwiller le 28 novembre 1761 (signé) Samiel schlutz, christina dorothe Andereggin (i 190)
Samuel Schultz loue une partie de la maison au marchand sellier Henri Stratté
1819 (27.8.), Strasbourg 14 (62), Me Lex n° 1162 – Enregistrement de Strasbourg, acp 144 F° 64-v du 19.
Bail 9 pour années à commencer le 29 septembre prochain – Samuel Schultz, marchand sellier
à Henri Stratté, marchand sellier
les localités ci après détaillées dans la maison appartenant au Sr Schultz rue de la Mésange n° 9 entre le Sr Marselly et le Sr Meyer, devant la rue, derrière le fossé, savoir au rez de chaussée une boutique & une petite chambre y attenant, au troisième étage un logement composé de deux pièces l’une sur le devant ayant jour sur le rue de la Mésange & l’autre sur le derrière ayat jour sur le fossé, et dans les mansardes une chambres donnant sur le devant dans la rue, dans la cave la dernière place dans la cave sous la maison divisée & séparée donnant sur ledit fossé – moyennant un loyer annuel de 300 francs
Vente de meubles entre les mêmes
1819 (20. 7.br), Enregistrement de Strasbourg, ssp 44 – ssp du 13 courant
Samüel Schultz, Maître seillier demeurant à Strasbourg
& Henri Stratt Sellier en ladite ville
les objets désignés ci après. Suit le détail des objets vendus, Nous disons 227 francs, tous ces objets mobiliers se trouvent posés dans la Boutique & dans les divres logements de maisons appartenant au vendeur située rue de la mésange N° 9 laquelle Boutique a été louée par le vendeur à l’acquéreur par bail authentique passé le 27 août dernier chez Me Lex Notaire
Le propriétaire Jean Philippe Lange se rend acquéreur de la maison saisie sur Samuel Schultz et Christine Dorothée Anderegg
1820 (22.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 128, n° 100
Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par expropriation forcée de l’immeuble réellement saisi sur Samuel Schultz, sellier, et Catherine Dorothée Andrety. Cahier des Charges, M Klauhold avoué du Sr Jean Jacques Dieterlin, caffetier, déclare que son commettant est créancier du Sr Samuel Schultz, obligation passée devant Me Wengler le 10 février 1817 de 1000 fr de capital
Désignation de l’immeuble et mise à prix, maison sise à à Strasbourg rue de la Mésange, d’un côté la maison Paul Louis Meyer d’autre la De Massily devant la rue et derrière le fossé des Tanneurs, canton Nord
mise à prix 2000 fr, le 6 décembre 1819
Adjudication préparatoire du 3 février
Adjudication définitive du 6 avril, 9000 francs à Me Rauter avoué près le siège – Déclaration de command, le 7 avril à Jacques Frédéric Rauter pour Jean Philippe Lange, propriétaire à Strasbourg
Jean Philippe Lange, négociant originaire de Landau, épouse en 1793 Marie Hyacinthe Guillaume dont les parents sont propriétaires de la maison à côté de celle à la Mésange (III 201, l’autre partie de l’actuel n° 18)
1793, Mariage, Strasbourg (n° 241)
Cejourd’hui premier mai 1793 L’an second de la République françoise (…) d’une part jean philippe Lange négociant agé de 43 ans domicilié en cette ville Rue de la mésange, natif de Landau, département du Bas Rhin, fils de feu nicolas Lange négociant audit lieu et de marie madeleine Heck, de lautre part marie hyacinthe guillaume agée de 29 ans, née et domiciliée en cette ville, même Rue fille de nicolas Guillaume, Rentier, et de feue marie anne Zapff (…) 1° l’acte de naissance de jean philippe Lange portant qu’il est né à Landau le premier mars 1750 (…), 2° de l’acte de naissance de marie hyacinthe guillaume portant qu’elle est née en cette ville le 9 janvier 1764 (signé) J Ph L’Ange, Marie yacinthe guillaume (i 56)