72, Marais vert


Marais vert n° 72 – I 70 (Blondel) N 72 (cadastre)

Expropriée en 1843 pour établir la gare du chemin de fer


Plan-relief de 1727 (Musée historique). La cour aux Chiens forme la partie droite de l’îlot. La maison, futur n° 72, se trouve au coin inférieur gauche du même îlot

Le jardinier Mathias Schott règle un cens communal de huit deniers pour une venelle entre sa maison et la grange aux Chiens au Marais vert, dès l’ouverture du registre en 1562. Les propriétaires sont des jardiniers jusqu’au début du XIX° siècle. Les préposés demandent en 1687 à la veuve de Jean Walter qui a planté un pieu devant sa maison de le mettre à trois pieds de son mur le long de sa treille de manière à laisser un sentier. Lors de sa description, la maison se trouve « derrière la cour aux Chiens », en outre (1690-1740) vis à vis des baraques puis (à partir de 1768) vis à vis des casernes ou vis à vis de la cour des Etapes (parcelle 62 sur le plan Blondel). Elle appartient pendant plus de trente ans au jardinier Jacques von Bœrsch (1674-1728) puis à Nicolas Jud et ses descendants (1728-1810), indivisément entre Thiébaut Schott et sa sœur Anne Marie à la mort de leur mère.
Le plan-relief (1727) représente des bâtiments à rez-de-chaussée et un étage, disposés en U : bâtiment principal orienté du nord au sud et deux ailes latérales. La venelle les sépare de la cour aux Chiens (Hundshoff). Le marchand de bois Jean Bischoff acquiert en 1810 la maison et sa voisine qu’il doit avoir démolies peu après. Lors de sa vente en 1832, la propriété consiste en un magasin construit en charpente et clos de planches. Les entrepreneurs de construction Philippe Lauer et Joseph Michel Klein en font un chantier qui est exproprié en 1843 pour établir le débarcadère du chemin de fer.


Extrait du canton II du plan Blondel (ADBR, cote 1 L Plan 5). Les bâtiments en rose correspondent aux anciens n° 71 et 72 cour C (le nord se trouve en bas de l’image).
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 34 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) relève une simple clôture qui longe la rue. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, le bâtiment (h-i) se trouve à l’emplacement de l’ancien n° 72, la venelle à gauche de (i). La cour C représente le même bâtiment (2-3-4) dont l’arrière donne dans la venelle B (à droite de 1).
La maison porte d’abord le n° 72 au Marais Vert.


Cours C et B

octobre 2024

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1586 à 1843. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Mathias Schott, jardinier, et (1557) Marguerite Burckart – luthériens
1608 h Thiébaut Schott, jardinier, et (1595) Ursule Sieffert puis (1631) Anne Marguerite Kremer – luthériens
1638* h Thiébaut Schott, jardinier, et (1653) Aurélie Riehl – luthériens
1675 v Jean Walter, jardinier, et (1643) Catherine Wanner – luthériens
1688* h Michel Walter, jardinier, et (1673) Salomé Schell – luthériens
1690 v Jean Schell, jardinier, et (1687) Marguerite Huck – luthériens
1691 v Michel von Bœrsch, jardinier, et (1690) Anne Nortz, d’abord (1684) femme du jardinier Jean Murr – luthériens
1674 v Jacques von Bœrsch, jardinier, et (1677) Aurélie Riehl – luthériens
1728 v Nicolas Jud, jardinier, et (1714) Anne Riehl – luthériens
1761 h Jean Schott fils de Jean, jardinier, et (1741) Anne Jud – luthériens
1773* h (copropriétaires pour moitié) Jean Jacques von Bœrsch, jardinier, et (1773) Anne Marie Schott – luthériens
Thiébaut Schott, jardinier, et (1769) Chrétienne Krieger puis (1777) Anne Marguerite Peter – luthériens
1810 h Thiébaut Schott, fabricant d’amadou, et (1800) Marie Salomé Seyder
1810 v Jean Bischoff, marchand de bois, et (1804) Marie Madeleine Küner
1832 h Jean Bischoff, charpentier, et (1831) Barbe Dorothée Schieder
1832 v (François Thomas Jean) Philippe Lauer, entrepreneur de travaux publics, et (1835) Jeanne Caroline Lohrmann
Joseph Michel Klein, entrepreneur de travaux publics († 1840)
1843 exp Compagnie des Chemins de fer de l’Est

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 375 livres en 1747, 400 livres en 1760, 450 livres en 1765

(1765, Liste Blondel) II 70, Jean Schott
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Jacob Berschi und Diebold Schott, 25 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 72, Lauer, Jean Philippe, et Klein Michel Joseph – maison, sol – 9 ares / Lauer et Lauer, Chantier

Locations

1688, Michel Ohl fils de Jean, jardinier

Livres des communaux

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 128-v
Le jardinier Mathias Schott doit huit deniers pour une venelle entre sa maison et la grange aux Chiens au Marais vert, à savoir 36 pieds 3 pouces de long et 12 pieds de large, tant qu’il plaira au Magistrat. Le cens est dû par Thiébaut Schott lors de la révision de 1627.

Item viij d gibt Mathis Schott der gartner von dem Allmend gäßlin hÿnder der hundscheuren vnnd seÿnem huß Im bruch, Ist xxxvj schuh iij Zoll lanng vnnd xij schuh breÿtt, so lanng meÿnen herren sollichs gelegen
Jetzt Tiebolt Schott 10 ß, 1. Martÿ 1627
Neü 456.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 451-v
Report dans le registre suivant. Le loyer passe au folio 356 du même registre.

Diebolt Schott Zuuor
Baschen Weÿer, Soll gemeiner Statt, von Matten beÿ vnd ahne der Köhlmatten, Jahrs vf Georgÿ
(…)
Idem, Vom Almendt, hinder der schewren ahm hundts hoff Jahrs vf Martini [in margine : Statt Corpus]
Ext. 52
Alt D f. 127
New fol. 356.
(…)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 356
Le folio 356 est au nom de Thiébaut Schott. Le contribuable suivant est Jean Walter

Diebold Schott, Soll vom Allmend hinder der Schewern am hundshoff vff Martini, 4 ß
St. Zinßb. p. 451
jetzt Johann Walters Erben d. Vogt andres Beere p. 351
(…)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 351
Les contribuables sont ensuite Michel von Bœrsch, Jacques von Bœrsch et Nicolas Jud

Hannß Waltters wittib soll vom Allmendt hinder der Scheüren am Hundtshoff Jahrs vff Martini und 1685. i.mo, 4 ß
wegen der zinnß biß 1684. vide p. sequ. 356
jetzt Michael von Börß Jun:
jetzt Jacob von Börß
jetzt Clauß Judt
(Quittungen) 1687-1741
Neuzb fol 61-v

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 61-b
Nouveau report. Le loyer passe à Thiébaut Schott et Jacques von Bœrsch

alzb. 351
Clauß Judt Soll vom Allmendt hinder der scheuern am Hundts Hoff Jahrs auff Martini, id est 11. Nov. (21. brumaire), 4 ß
diebold Schott und Jacob von Börsch junior jeder 2 ß
(Quittungen) 1741-an 10
C. 61

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1687, Préposés au bâtiment, VII 1372
Le chanvrier Jacques Philippe Schildknecht se plaint que la veuve de Jean Walter a planté un pieu devant sa maison derrière le cour aux Chiens, ce qui empêche de passer avec des chariots ou des voitures. Les préposés constatent les faits et demandent à la veuve de mettre le pieu à trois pieds de son mur le long de sa treille de manière à laisser un sentier devant son mur.

(f° 55-v) Montags den 1. Septembris – Jacob Philipp Schildknecht Ca. Hannß Waltters W.
Weilen auch Jacob Philipp Schildknecht der Hänffer ca. Hannß Waltters wb. geklagt, daß dieselbe Vor ihre behaußung in dem grüenen bruch, hinder dem Hundshoff einen Pfahl eindelben laßen, und dardurch verhindere, daß mann mit Kärchen oder wägen, Weder vor sein, noch seiner nachbahren häußer Kommen Könne, alß hat mann auch daselbsten den Augenschein eingenommen und befunden, daß die Sach sich geklagter maßen befinde. Erk. bedacht.

(f° 56) Dienstags den 2. Septembris – Jacob Philipp Schildknecht Hannß Waltters W.
Inn Sachen Jacob Philipp Schildknechts ca. Hannß Waltters wittib, ist auff angehörte Verantworttung Erkandt, wurdt Hanß Waltters Wittwen anbefohlen, den Pfahl biß auff 3. schuh Von ihrer maur an ihrer Rebheldt inn beßere ordnung einzurichten, damit mann dar zwischen hinfahren, und dannoch beÿ ihrer mauren ein fueßpfad pleiben möge.

1780, Préposés au bâtiment, VII 1419 (732)
Thiébaut Schott et Jean von Bœrsch se plaignent que les soldats de la caserne de cavalerie endommagent leur mur en galandure en y attachant des chevaux. Les préposés renvoient les plaignants à l’inspecteur des casernes

(f° 123) Dienstags den 22. Augusti 1780. – Diebold Schott und Johannes Börß, Gartner
Diebold Schott und Johannes Börß, die Gartner, tragen vor, daß die hiesige Cavalerie ihre Pferd hinten an die riegelwänd ihrer ane dem Bruch gelegenen Häußer anbinden, wodurch dieselbe sehr beschädigt worden, mit bitten dieselbe wider repariren zu laßen. Erkannt, Seÿen die Imploranten an Herrn Chevalier Inspecteur des Casernes zu verweisen.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Marais vert

nouveau N° / ancien N° : 24 / 72
Bischoff
clôture en planches
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 19 case 4

Lauer, Jean Philippe, architecte, vieux marché aux vins N° 39 à Strasbourg

N 72 ½, chantier, sol, marais vert 72
Contenance : 4,50
Revenu total : 105,84 (103,50 et 2,34)
Folio de provenance : démolie, (sol) 38 bis
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 20 case 1

Klein Michel Joseph, vieux marché aux vins N° 91 à Strasbourg

N 72 ½, chantier, sol, marais vert 72
Contenance : 4,50
Revenu total : 105,84 (103,50 et 2,34)
Folio de provenance : démolie, (sol) 38 bis
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus :

Puis f° 38-bis :
Administration des Chemins de fer de Paris à la frontière d’Allemagne et de Bâle à Strasbourg, indivis
(1856) Compagnie de Chemins de fer de l’Est, au Marais Vert
La Compagnie Anonyme de Chemin de fer de Strasbourg à Bâle (1850), faubourg de Saverne 12

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 32 Marais verd f° 66

72
Pr: Boersch Jacob, Jardinier – Jardiniers
Pr: Schott Diebold, Jardinier – Jard.


Relevé d’actes

La maison appartient à la fin du XVI° siècle au jardinier Mathias Schott

Mathias Schott le jeune épouse en 1557 Marguerite, fille du remueur de grains Loup Burckart.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 25)
1557. Mathis schott d. Jung et Margaretha Wolff burcharts des Kornwerffers dochter Act. [8/13 febr.] (i 14)

Mathias Schott lègue à son fils Thiébaut deux cents florins sur sa maison au Marais Vert à l’arrière de la cour aux Chiens (Hundshoff)

1594 (21.5.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) n° 340
21. Maÿ 1594 – Codicill. Vff heut dato erschienen Matthis Schott d. gartner hat seinem Sohne Diebolt Schotten von wegen derer Ime vnd seiner haußfrau viel liebs vnd guts bewißen (…), Zum vorauß vnd p.legat geordnet Nembl. 200 g. str. werung derselbig. Ime versichern, doch * v bewillichs seine haußfrauen (wie er steht dar einen *de) vff sein ererbte Behausung Inn der vorstatt Straßburg Inn grunnenbruch einseit neben dem Allmend And.seit neben Clausen N. von Rohr, hinden vff den hundtshoff vornen vffs heldt holtzman alhie, sonst vber x ß d bodt. Zinß d. Statt Str. In die ellende herberg vns* Mr Zinstags den 21 Maÿ Zwisch. 7. vnd 8 vhren vor Mitag A° & 94 In p.sentia Michel vischers Hanß Friderich Rauchen vnd hanß Rats vnd Beysitz. schneider Hanß Sisers vnd Caspar schweden des vischers all burg. alhier als Zeüg erford.t v. erbett.

Marguerite, fille de Loup Burckhart et femme du jardinier Mathias Schott, fait des legs à sa petite-fille Marguerite, fille du jardinier Michel Sieffert et de Marie Schott, et à son autre petit-fils Michel. Elle révoque ses dispositions par le codicille suivant.
1596 (27.3.), Chancellerie, vol. 277 (Registranda Instrumentorum publicorum de Annis 1591-1598) f° 318
Zuwissen das vff Sambstag den xxvij Martÿ Anno 96 der wenigeren Zal vor mir Notarn vnd erbettenen gezeugen allen hernachbenannt persönlich erschÿnen Ist die Erbar Fr. Margred wÿland Wolff Bürckhart der Statt Straßburg Kormwerffer seligen dahier v. Mathÿs schotten des gartners eheliche hußfrauw wiewol ein Zimlich alter beladen gesundt leybs auch gutter verstendtlicher sinn v vernunfft wie solches genugsam ane Jr erscheÿn, Zeigte an v sagte das sie Margred Ir Enckell von Jugent vff beÿ Ir gehapt erzeigt v erhalt auch fürbaß beÿ Ir Zuhaben bitz sie sich Inn ehestand begebe, Dieweÿl sie dann Ir bitzher geuolgt alle Kindliche treuw liebe v. gehorsame wolfarglickheÿt lengß fürbaß sich allen gutts Zu Ir versich. denseb. wolt sie vffs diße vnd andere mehr verstehen vff bemelt Ir letzter Will Codicills wÿß vffzunehmen (…)
Zum andern legirt sie bemelter Margreden Irer lieben Enckelin wÿland Michell Sÿfridt des gartners seligen dochter die er mit Maria sein hußfr. bemelt. Ehegemechd Mathis schotten vnd Margreden dochter ehelich erzielt (…)
Zum Andern vermacht sie Micheln auch Ihrem lieben Enckel vorgedachter Ehegemahl Mathÿs schotten v Margred Sun 60 gulden
(Cassirt vonn wegen eines andern Codicills dem Achten Septembris 1599 vffgericht)

Marguerite, fille de Loup Burckhart et femme du jardinier Mathias Schott, avancée en âge, fait des legs à ses deux petits-enfants Michel qu’elle a recueilli six ans auparavant et Salomé deux ans auparavant, issus de sa fille Marie et du jardinier Michel Sieffert
1599 (8.9.), Chancellerie, vol. 312, Testaments 1597-1600 (f° 311)
Codicill Frauw Margreden Mathys Schotten des gartners eheliche hausfrauwen.
1599 (…) vff Sambstag den 8. des Monats Septembris Zwüschen Neün vnd Zehen Uhren vor Mittentag (…) persönlich erschÿnen Ist die Erbar Frauw Margred Wÿland des Ersammen Wolff Burckharts der Statt Straßburg Kornwerffers seligen dochter vnnd Mathÿs Schotten des gartners eheliche hausfraw wiewol vonn der gnaden Gottes mit Zimblichenalter beladen, doch dabeÿ gesundts gendes vnd Stondes leÿbs, auch guter verstendtlicher sinn vnnd vernunfft wie solchs genugsam ane Ir erscheÿn Ouch reden vnnd gesprech clarlich abzunemmen, Zeügte solls mündlich ansagte vnnd gebe zu * das sie vor Sechs Jaren Micheln vnd von Zweÿen Jaren Salome Ire beÿde Enckell (.damit sie Inn guter Zucht vnnd Erbar kheÿt vfferzogen würden.) Zu Ir Inn Ir Hußhaltung genommen. Dieweil sie dann Ir bitzher wol geuolgt gebotten vnd verbotten nachkhommen alle kindliche willfärige gehorsamme treüw vnd liebe bewÿssen, der vngezweÿffelten hoffnung fürbaß durch *en darzu verlÿhung, Gottlicher gnaden darmit* Zuuerharren, (…)
Zum dritten, vonn Großmütterlicher liebe wegen legirt vnnd ordnet obgedacht Frauw Margred vorgenanter Salome Irer lieben Enckelin weÿland Michels Sÿferdts des gartners seligen dochter die er mit Marien seiner lieben husfrauwen bemelter Margreten dochter ehelichen erzielet Zum theil für verdienten lÿdlon vnd freÿen legats wÿß 100 guldin Straßburger (…)
Item Micheln auch Iren lieben Enckel vorgedachter Ehegemechd Michael Sÿfridt vnd Marien Sohn verschafft vnd verordnet sie Zum theil theil für verdienten lÿdlon vnd Zum theil legats wÿß 60 guldin Straßburger (…)
Beschehen sindt diße ding Inn der Statt Straßburg Inn einer des wercks vnßer Frauwen Münster Behaußung Inn der Ochßgassen neben der herrberg Zum hirzen gelegen Inn der vnder, Schreÿbstuben

Mathias Schott cède à son fils Thiébaut les deux tiers qui lui reviennent dans la maison au Marais Vert chargée d’un cens communal de huit deniers en s’y réservant l’habitation.

1608 (vt spâ [2. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 55
(P. fol. 54.) Erschienen Mathÿß Schott d. gartner Ane Steinstraß burger Zu Straßburg hatt (verkaufft)
Dieboldt Schott dem gartner Ane Steinstraß, seinem Sohn So auch Zugeg. Ime Vestiglich Khaufft
Ein Zweÿthentheil Ime dem Verkäuffer für Vngetheilt gebürend, Ane hoff, hauß, hoffestatt scheür Vnd Ställ mit Allen Ihren gebeüen & geleg. Inn d. vorstatt Straßburg, In grünen bruch beÿ dem hundts hoff, einsit neben hannß wolffenn dem gartner And.sit nebent dem Allmendt hind. vff gemelten hundts hoff, vnd vornen Auch vffs Allmendt, dauon gendt x ß d Boden Zinß Inn der Ellenden Herrberg Ouch 8 pfenning Vonn einem Allmend plätzell, Sunst ledig vnd eÿg daran d. vbrig drittheil dem Kheüffer Zuuor vnd Jacob Hauser dem gartner gemmeinlich Zustendig, Vnd Alles Recht & Also d. & Vnd Ist dißer Khauff Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 140 pfund pfenning Straßburger, So & Vnd Ist Inn dissem Verkauff Insonderheit beredt das er d. Verkäuffer die Zeit sines lebens Inn Jetz angeregtem hoff gerechtigkeit haben solle, darann vnd beÿ seinem Sohn Zuwohnen, Ouch soll er d. Khoüffer seinen Vatt. mit gebürlich eß. vnd trincken erhaltten, dartzu d. vatter seinem Sohn Alle Jahr 25. lb für costgelt Zulüffern verwilligt, Ohne Männiglich widerrede hind.nuß Irrung vnd eintragk.

Thiébaut Schott fils de Matthias épouse en 1595 Ursule, fille du jardinier Michel Sieffert
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 69 n° 10)
1595 Dominica 4 Post Epiphanias. Dieboltt Schott, Matthis Schotten des garttners sohn vnnd Ursula, Michel Seiffert des garttners hinterlaßene tochter Eingesegnet Zinstag den 11. Februarÿ (i 38

Thiébaut Schott se remarie avec Anne Marguerite, fille du pêcheur Jean Kremer de Soultz.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 113)
1631. Eadem [Dom. Invocav. 27. Februarÿ] Diebold Schott burger vnd gartner alhie vnd J. Anna Margaretha Hannß Kremers burgers vnd fischers zu Sultz nachgelaßene Tochter. Cop. 7. Martÿ Zu J. St. Peter (i 58)

Le tuteur de Thiébaut Schott, fils de feu Thiébaut Schott et de Marguerite Kremer, passe un accord avec les héritiers d’Ursule Siffert, première femme dudit Thiébaut Schott dont l’inventaire a été dressé en 1630, concernant la jouissance viagère de la maison au Marais Vert près de la cour aux Chiens.

1638 (19. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 775
Erschienen Hanß Michel Rasp der Wagner burger zu Straßburg, alß geordneter Vogt diebolden, weÿ: diebold Schotten, geweßenen gartners see: an Steinstraßen mit Margreth Kremerin ehelich erzeugten Söhnleins
hat in gegenwärtigkeit sein dieboldt Schotten erster Haußfrawen Ursulæ Sÿfridin see: nachgelaßenen Erben, mit namen Michel Börsen Hauptkann vff der Gartner an Steinstraßen Zunfftstub für sich selbsten, Viox Ohlen und Paul Wegers beeder gartnern Vnd. Wagner, alß Eheuogten Ottiliæ, vnd Salome Börßin wie auch Wolff Börßen gartners an der Steinstraßen, alß Vogts Urban Börßen zu einem Stamm,
So dann hannß Conrad Sÿfriden auch gartners an Steinstraßen für sich selbsten, vnd alß geschwornen Vogts seiner Verstorbenen zweÿen geschwisterden weÿ: Balthasar und Ursulæ Sÿfriden Kind.en mit beÿstandt seines Theilvogts Clauß Wolffen gartners daselbsten, Zum andern vnd vberigen Stammtheil bekannt und off.lichen Veriähen,
demnach anfangs gedachter diebold Schott der Vogtsohn, ihnen den Sÿfertischen Erben beÿ dieboldt Schotten see: verlassenschafft lüffer und Abtheilung deß genoßenen Wÿdembs der nunmehr gefallen, nit allein für die Antheiler der Behaußung, welche alhie im Grüenenbruch, nahe beÿm Hundtshoff gelegen und in ihr Ursulæ Sÿfridin Inventario, so durch H Daniel Strintzen den Eltern Notm. in Anno 1630 vffgericht, fol. 87.specificirt Zu befinden, Sondern auch für den dritetheil allerhandt fahrenden haab, so Er schott auch ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenüeßen gehabt, in allem 300. lb schuldig vnd anheißig worden, daß Er Rasp innamen seines Vogt sohns vmb deßelben beßern nutzens willen, an statt vor gemelter 300. lb mehr gerüerter Ursula Sÿfridin see. Erben in solutum cedirt und übergeben 300 Pfund d Str. so obgenannter Michel Börß der eine Mit Erb, vermög der auch in der Contractstuben den 7. Novembris Anno 1636 vffgerichteten v.schreibung (…)
hiengegen ihme Vogtsohn die Antheil deß haußes beneben dem dritentheil der Fahrenden Nahrung (…)

La maison revient à Thiébaut Schott qui épouse en 1653 Aurélie, fille du jardinier Jean Riehl

Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 59 n° 9)
1653. Eadem Dominica IV [post Epiphanias] Theobald Schott der Gartner, Theobald Schotten gewesenen Burgers vndt Gartners alhie hinterlaßener ehelicher Sohn, vnndt Jungfr. Aurelia Hanß Riehlen des Gartners vndt burger alhie eheliche tochter. Wurd. Copulirt eodem [7. Februarÿ] Zu St. Aurelien (i 70)
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 128, n° 8) 1653. Thiebold Schott Thiebold Schotten s. deß gartners sohn, J. Aurelia Hanß Riehlen deß gartners tochter. 7. Febr. Zu St. Aur. Montag (i 67)

Thiébaut Schott cède par échange la maison au jardinier Jean Walter et à sa femme Catherine

1675 (22. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 296
hannß Walter Gartner Vnderwagner, und Catharina beÿde Eheleuth, und Sie beÿde Eheleuthe mit beÿstandt hannß Horneckhers deß Gartenmanns an einem
So dann Diebolt Schott Gartner ahne Steinstraß mit assistentz Hannß Dietrich Voltzen deß Büttels uff der Zimmerleuth stuben am andern theil
einen uffrechten redlichen und ohnwiderrufflichen tausch mit einander getroffen, Nemlichen es habe Sie beÿde Eheleuth Ihme Schotten tauschweiß eÿgenthümblich übergeben, hauß hoff, hoffstatt, Scheur, Stallung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Newen Zeilen, in der Cronenburger Straßen, einseit Zum theil neben Hannß Sÿfridts deß wagners nunmehr seel. nachgelaßener Wittib, theils neben (-) von Grießheim beÿ dingßheilmn anderseit neben Andres Sÿfridt dem Jüngern, hinden uffs Grünnbruoch stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 1. lb 5 ß bodenzinß dem Syifft Jungen St. Peter,
Hingegen so habe Er Schott erwehnten beÿden Eheleuthen tauschweiß eÿgenthümblich überlaßen, hauß, hoff, hoffstatt, Scheur Stallung und gärtlein hinder der Scheur mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und gerechtigkeit. alhier in dem Grünen bruoch beÿ dem Hundtshoff, einseit ist ein Eckh anderseit neben Oswalt Mollen Schultheißen zu Mittelbergen, hinden uff gedachten Hundtshoff stoßend gelegen, und gehend iährlichen 10. ß bodenzinß von der behaußung der Ellenden Herberg und 4. ß d von erwehntem Gärtlein gemeiner statt – zumahlen Er Schott Ihme Waltern und deßen Eheweib annoch 500. lb in bahrem gelt herauß Zugeben schuldig sein solle

Fils de Martin Walter d’Odelshofen (près de Kehl), Jean Walter épouse en 1643 Catherine, fille de Pierre Wanner de Willgottheim, après avoir reçu les remontrances des fabriciens.
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. f° 117 n° 4) 1643. Hanß Walther von Odelshoffen Martin Walthers s. sohn, J. Catharina Peter Wanner s. von Wilt. seindt vor die H. Kirchenpfleger gestelt word. 13. Febr. Zum Alt. St. P. Mont. hora 7 (i 61)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 62) 1643. Dncâ Sexag. 5. Febr. Johann Walther der tagner Martin Walther Zu Odelshoven hinderlaßener Sohn, J. Catharina Peter Wanner Von Wilden hinderlaßene tochter (i 63)

Jean Walter d’Odelshofen et Catherine Manner (sic) de Willgottheim achètent le droit de bourgeoisie le 4 février 1643
1643, 3° Livre de bourgeoisie p. 895
Hannß Walter Von Odelshoven erkhaufft daß Burgerrecht für sich vnd sein Eheweib Fr. Catharinen Mannerin Von Wilden vmb 20. Gldt. fl. bringen keine Kinder mit sich Wurdt Zu den Gartnern vnd. Wagnern dienen. Jur. den 4. Febr.

Fils du jardinier Jean Walter, Michel Walter épouse en 1673 Salomé, fille du jardinier Jean Schell
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 242-v n° 53)
1673. Michel Walther der Gartner, Hanß Walther deß Gartners vndt Burgers allhier ehl. Sohn. Vndt Jfr. Salome herr Hanß Schellen Gartners an Stein Straß vndt Burgers alhie ehl. Tochter. Copulati Donnerst. 4. 10.bris (i 255)

Jean Walter et Catherine hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Charles Hammerer

1678 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 419
Hannß Walter Gartner underwagner und Catharina sein eheweib und zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn hannß Rinckhen deß beständigen Regiments der Herren fünffzehn, und Herrn hannß Ludwig Schneiders beÿde alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein herrn Friderich Hammerers wohlgedachten Rhats Actuarÿ im nahmen Herrn Johann Carl Hammerer Med. Doct. et Practici seines Eheleuthen Bruders – schuldig seÿen 75. lb
unterpfand, hauß, hoff, hoffstatt Gärtlein mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier im Grünenbruch beÿ dem Hundtshoff einseit ist ein Eckh, anderseit neben Oswald Mollen Schultheißen Zu Mittelhaußbergen, hinden uff gedachten Hundtshoff stoßend gelegen, davon gehend jährlichen 10 ß bodenzinß der Ellenden Herberg und 4. ß Von Gärtlein der Statt Pfenningthurn

Catherine, veuve du jardinier Jean Walter, loue la maison au jardinier Michel Ohl fils de Jean

1688 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 175
Catharina, Weÿl. hans Walthers gewesenen Garttners an Steinstraß, hinderlaßene wittib, mit beÿstand andres Bähren, deß garttners daselbst, Ihres Vogts
in gegensein Michael Ohlen, hanßen sohns, Garttners Underwagner
entlehnt, eine Behaußung, hoff, Scheur, Stallung, bronnen, Gärttlein, sambt allen deren Gebäuen und zugehördten auß genommen der Obern stub und Cammer gegenüber, welche die Verleiherin sich vorbehaltet, allhier im Grünenbruch, anderseit ist ein Eck, anderseit neben diebold Mollen, gewesenen Schultheißen zu Mittelhaußberg. Erb. hinden auff d. hundshoff stoßend, auff ein Jahr lang von nächstkünfftig Verkündigung Mariæ an Zurechnen biß ged. termin 1689. umb Neun pfund d. zinß

Catherine Wann, veuve du jardinier Jean Walter, fait son testament par lequel elle lègue à son fils Michel la propriété de sa maison au Marais Vert pour 350 florins. Ses héritiers sont les deux enfants de sa fille Catherine et du batelier Jacques Riehm, Madeleine femme du jardinier Jean Huck le jeune, Michel et Pierre, jardinier à Nuremberg.

1686 (31.10.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 53) n° 120
persönlich kommen und erschienen ist, die Ehren vnd tugendsame Fraw Catharina gebohrne Wannin weÿl. Hanns Walthers geweßenen Garttners ane Steinstraß vnd burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, wiewohlen hohen alters, Jedoch aber von der Gnade des Grundgüttig. Gottes annoch Auffrechten Gesunden, Gehend vnd stehenden Leibs, auch Guter verständiger Sinnen vnd vernunfft (…)
dießem nach und Vor das andere, prælegirt die Testantin Ihrem Sohn Michel Waltern Gartnern ane Steinstraß hernach beschriebene Ligende Güttere (…)
Uber dießes und Zum dritten, prælegirt Sie Erstgedachten Michel Waltern Ihrem Sohn Ihre in der Statt Straßburg Vorstatt im Grünen Bruch Gelegene Behaußung, hoffstatt, Scheür vnd Stall, vornen ein Eckh hinden vff den hundtshoff Ziehend, so über 10 ß d Jährlichen boden Zinnß der Elend. herberg gehörig vnd 8 d. Allmendgelt vom Plätzel hind. der Scheür, ledig eigen auch umb einen gewißen preiß, nemblichen 350 Gulden, die Er Ebenmäßig nach ihrem seelig. hientritt in Gemeine Erbschafft einschießen solle.
Vierten (…) Ernannt deroweg. Zu Ihren Rechten, wahren vnd ungezweiffelten Erben welche auch ohne das ab intestato Ihre Erben wären, Nahmentlich Jacob und Margaretham die Riehmen, Weÿl. Jacob Riehmen Geweßenen Schiffmanns vnd burgers lhier mit auch Weÿl. Catharina Waltherin Ihr Testantin dochter seel. erzeügte beÿde Kinder als Ihre Enckeln Jedoch allein in Legitimam, das ist in den Ihnen Gebührenden natürlichen pflichttheil, in alles überige aber Magdalenam Waltherin, hannß Hucken deß Jüngern Garttners underwagner haußfraw, Mehr Michel Waltern Garttnern ane Steinstraß, So dann Peter Waltern den Gartenmann, welcher Zu Nürnberg Verheurathet an, dieße dreÿ zu dreÿ gleichen portionen und antheilern (…)
Geschehen sind dieße ding in der Königlich freÿen Statt Straßburg vnd einer daselbst ane der Leÿmengaß gelegener mir Notario Eigenthümlich zuständiger behausung dero Undern Stuben mit den fenstern in den hoff und das Gärtlein Außsehend, Auff Donnerstag den 31.ten tag deß Monats Octobris St. N. Abendts Zwischen fünff und 6. Uhren In dem Jahr Christi 1686.

Michel Walter vend la maison en 1690 au jardinier Jean Schell le jeune, assisté de son père Jean Schell l’aîné

1690 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 226-v
(Prot. fol. 45.) Erschienen Michael Walther, Garttner an Steinstraß
hat in gegensein hans Schellen, deß Jüngern auch Garttners daselbst (verkaufft)
hauß, hoff, Scheur, und Stallung, mit allen deren Gebäuen Rechten und Zugehördten allhier im Grünen bruch gegen den baraquen, so einseit ein Eck anderseit neben Clauß Mollen & consorten von Mittelhaußbergen, hind. auff den hundshoff stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 10 ß d Bodenzinß in d. Elenden Herberg allhier, So dann 4 ß Allmendgend d. Statt Pfenningthurn, weg. eines plätzleins hind. d. Scheuren – maßen solches Ihme Verkaüffern von Catharina gebohrner Wannin weil. Hans Walthers gewes. Garttners an Steinstraß wittib seiner Mutter sel. umb 350 fl. prælegirt word. – geschehen umb 250 lb
Act. in fernerer gegenwarth Hn hans Schellen deß Ältern auch Garttners an Steinstraß EE Großen Raths alt. beÿsitzers alß deß Verkaüffers und Kaüffers respect. leiblichen Vatters und Schwehers

Fils du jardinier du même nom, Jean Schell épouse en 1687 Marguerite, fille du jardinier André Huck
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 324)
1687. Johannes Schell der garttner alhie hrn Johann Schellen deß gartners vndt beÿ E. E. grossen raths alhie, ietzmahlig. beÿsitzers ehl. sohn, vndt Jfr. Margaretha Andreas hucken, deß garttners vnd burgers alhie ehl. dochter. Copul. Mittw. 15. Januarÿ (i 338)

Jean Schell revend l’année suivante la maison au jardinier Michel von Bœrsch le jeune et à sa femme Anne Nortz

1691 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 807-v
hans Schell, der Jünger, Garttner an Steinstraß
in gegensein Michaels von Börsch, deß Jüngern, auch Garttners an Steinstraß, und Annæ gebohrner Nortzin ([unterzeichnet] Michael uon Boersch, Annæ handzeichen +)
Hauß, Hoff, Scheur, und stallung mit allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördt, allhier im Grünen bruch geg. d. baraques, so einseit ein Eck, anderseit neb. Claus Mollen & Cons. von Mittelhaußbergen, hind. auff den hunsdhoff stoßend gelegen, darvon gehend jährlich Zehn schilling pfenning bodenzinß der Elend. herberg allhier, so dann Vier schilling d. Allmendgeld der Statt Pfenningthurn weg. eines Plätzleins hind. d. Scheuren – umb 335 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Jean Saltzmann, docteur en droit et administrateur du sel

1691 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 808-v
Michael von Börß der Jüngere Garttners an Steinstraß, und Anna gebohrne Nortzin deßen Eheliche haußfrau und Zwar dieselbe mit beÿstand Lorentz Raübel deß Garttners Und.wagner und hans Cuntzen garttners an steinstraß ihres respect. Vettern und Schwagers
in gegensein Hn Johannis Saltzmanns beed. recht. Doctorandi und Saltzverwalthers allhier – schuldig seÿen 300 pfund, daß Sie damit hernach beschriebener hypothecirte behausung erkauffen und mit dießem geld völlig bezahlen können
unterpfand, hauß, hoff & perge auß immediate vorstehende Verschr.

Fils du jardinier du même nom, Michel von Bœrsch épouse en 1690 Anne Nortz, veuve du jardinier Jean Murr : contrat de mariage, célébration
1690 (12.8.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 57) p. 408-v
Eheberedung – Zwischen dem Ehrbahr und bescheidenen Michael von Börßen, dem Ledigen Garttner, des Ehrengeachten Michael von Börßen Garttners ahne Steinstraß und Burgers Zu Straßburg ehelichem Sohn, als dem hochzeiter ahne einem
So dann der Ehren und Tugendsamen Annæ Murrin, Gebohrnene Nortzin, Weÿland des Ehrsam und bescheidenen hannß Murren Geweßenen Garttners Underwagnern und burgers Zu Straßburg hinderpliebenen Wittiben, als der hochzeiterin Andern theils
Auch in Persönlicher Gegenwärtigkeit vnd durch gepflogene Underhandlung der Ehrengeachten Ehrsam und bescheidenen hannß Marlens Garttners Ane Steinstraß, des hochzeiters Vogt, Auff sein des breütigambs, deßgleichen auff der Jungfrau Hochzeiterin Seithen Michael Ohlen Hannßen Sohns Garttners Underwagnern und hannß Fuchßen hänffers deroselben Vogts und Vettern, Aller burgere Zu Straßburg
Beschehen vnd Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Sambstags den 12. Augusti Newen Calenders Anno & 1690. – Johann Friedrich Marbach Notarius publ. ac civis Argent:

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24)
1670. Domin. XIX et XXX post Trinit. proclamati sunt Michael Von Börsch der garttner Michael Von Börsch deß garttners v. burgers alhier ehl. Sohn, vndt Anna weÿland Hans Murren gewesenen garttners v. burgers alhier Nachgel. Wittwe Copulati sunt Mittw. d. 11. 8.bris [unterzeichnet] Michael von Börsch als hochzeiter, o signum der hochzeiterin (i 26)

Originaire de Bodersweier en Bade, le garçon jardinier Jean Murr épouse en 1684 Anne, fille d’André Nortz.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 195)
1684. Donnerst. d. 6. julii hanß Murr d. ledige gartners Knecht von Bottersweih. v. junf. Anna Andreæ Nortzen deß gartn. hind.lass. tochter. S. Aurel. (i 100)

Michel von Bœrsch le jeune et Anne Nartz vendent la maison à Jacques von Bœrsch et à sa femme Aurélie Riehl

1694 (14.1.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 29
Michael von Börß der Jünger Gartner an Steinstraß, und Anna, gebohrne Nartzin [unterzeichnet] Michael uon bersch
in gegensein Jacob von Börß, Garttners Und.wagner und Aureliæ geb. Rhielin [unterzeichnet] I B O
hauß, hoff, Scheur, und Stallung, mit allen deren Gebäuen, recht. und zugehördten, allhier im grünen bruch gegen den baraques, so einseit ein Eck, anderseit neben Claus Mollen & Cons. von Mittelhaußberg. hind. auff den Hundshoff stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 10 schilling d. bodenzinß, der Elender herberg, So dann 4 ß Allmend gelds der Statt Pfenningthurn weg. eines Plätzleins hinder der Scheuren – umb 437 pfund

Jacques von Bœrsch hypothèque un mois plus tard la maison au profit du jardinier Jean Klein

1694 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 130
Jacob von Börß, Garttner Und wagner
in gegensein Hans Klein auch Garttners daselbst, schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, Eine behaußung, hoff, Scheur, Stall und alle übrige deren gebäu, Recht. und zugehörd. allhier im grünen bruch beim hundshoff einseit neben diebold Mollen, von Mittelhaußberg. & Cons. and. seit ist ein Eck hind. auff d. hundshoff, dar zwischen ein Allmendgäßel stoßend geleg, darvon gibt man jährlich 10 ß d Zinß d. Elend. herbeerg. und 4 ß b. ged.gäßl. dem Pfenningthurn, Item Ein acker feld in d. Reÿn quellen, Königshover banns (…)

Fils du jardinier du même nom, Jacques von Bœrsch épouse en 1677 Aurélie Riehl, fille du jardinier Jean Riehl
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 180)
1677. Donnerst. den 12.ten Julii St. Aurel. Jacob von Börsch, der Gartner, Jacob von Börschen recht. Sohn, Jfr. Aurelia, hans Riehlen des Gartners Ehel. Tochter, Donnerst. den 19.ten Julii St. Aurelien (i 93)

Acte par lequel Jean, David et Michel von Bœrsch entrent en possession du septième de la succession de leur père Jacques von Bœrsch dont Anne Riehl a la jouissance.

1724 (7.1.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 11)
Lüfferung deßen was Hannßen, David Undt Michael den Börßen, beÿ abtheilung Weÿl. Jacob Von Börß deß ältern geweßenen Garttners ane Steinstraß Und burgers allhier zu Straßburg seel. Verlassenschaffts abtheilung einem Jeden Vor seinen Siebenden theil in ao. 1708 Erblichen zukommen, Welches Aurelia gebohrene Riehlin die Eheleibliche Mutter biß dato in Handen gehabt, Und in præsentia Matthiß Geÿers Gartt: in Steinstraß als obgedachter dreÿer Börßischer Sohn Schwager Vnd Vogts, Vnd Diebold Riehlen Hannßen Sohns der Wittib Vogten gelüffert worden. Actum den 7. Januarÿ Anno 1724.

Les enfants et héritiers de Jacques von Bœrsch et d’Aurélie Riehl vendent leur part de maison au jardinier Nicolas Jud et à sa femme Anne Riehl

1728 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 355-v
Erschienen weÿl. Jacob von Börß gewesten garttners Underwagnern mit auch weÿl. Aurelia geb. Riehlin deßen Wittib nachgelassenen Erben Kinder und Enckels Vatter nahmens Margaretha Mathiß geÿer garttners ahn steinstraß ehefrau, Ferner Aaurelia weÿl. Nicolauß Zix ackersmanns und burgers in Ruprechtsau wittib beiständlich ihres bruders hannß von Börß ledigen gartteners ahn Steinstraß, Item weÿl. Maria geb. von Börß hinterbliebenen wittibers Jacob König ackersmanns und burgers zu Kaÿl als vatter und einiger Erb seiner mit Maria von Börß erzeugt und nach der Mutter todt verstorbenen kindts Barbara Königin, Ferner Anna hannß Georg Weiß des müllers eheweib mit beÿstand ihres Ehemanns, Item Hannß von Börß lediger Garttner ahne Steinstraß, So dann Michael von Börß taglöhner
in gegensein Nicolauß Jud garttners Underwagnern und Annæ geb. Riehlin
Eine Behausung hoff Scheur Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im grünen bruch gegen denen Baraques einseit ist ein eck ahm Allmend anderseit neben hannß geÿer garttner ahne Steinstraß und verschiedene bauren von Mittel: und Niederhausbergen hinten auff den hundts hoff, von solchem gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines plätzleins oder schlupffs hinder der Scheur 4 ß allmend geldt, ferner 10 ß ane bodenzinß der Elenden herrberg – jedem der Börschischen Kindern wie auch ihm König zu 2/21 theile sowiel der Mütterlichen tertz anlangend jedem der Börschischen 6 Kindern /:maßen Königische ehefrau und dero Kind vor der Mutter und Großmutter verstorben:/ zu einem 6.t theil – um 200 pfund ausmachenden capitalien und 512 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du tonnelier Jean Daniel Dinckel d’une part et du meunier Jean Georges Weiss et Anne von Bœrsch d’autre part.

1728 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 356-v
Nicolauß Jud garttner Underwagnern und Anna geb. Riehlin beÿständlich ihres halbbruders Andreas Schertzer g.u.w. und ihres geschwistrig Kindts Johann Georg Riehl des Schuemachers
in gegensein Peter Bäst hueffschmidts als Vogts Johann Daniel Dünckel ledigen kieffers und Biersieders und in ferneren gegenwart hannß Georg Weiß des Müllers und Annæ geb. von Börß – schuldig seÿen 100 und 100 pfund zu erkauff: und bezalung hiernach beschriebener behausung
unterpfand, Eine Behausung hoff Scheur Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im grünen bruch gegen denen Baraques einseit ist ein eck ahm Allmend anderseit neben Hannß geÿer garttner ahne Steinstraß und verschiedene bauren von Mittel: und Niederhausbergen hinten auff den hundts hoff – von solchem gantzen hauß gibt man der Elenden herrberg 10 ß ane bodenzinß, ferner von einem plätzlein oder schlupff hinder der Scheur 4 ß allmend geldt

Fils du jardinier du même nom, Nicolas Jud épouse en 1714 Anne Riehl, fille du jardinier André Riehl : contrat de mariage, célébration
1714 (6.1.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 20) n° 66
Eheberedung Niclauß Judten Garthners underwagnern und Annæ Riehlin auffgerichtet Anno 1714
zwischen dem Ehrsam vnd bescheidenen Niclaus Judten dem ledigen garthner vnderwagnern vnd burgern Zue Straßburg, weÿland des Ehrengeachten Niclauß Judten geweßenen garthners ahne Steinstraß und burgers daselbsten hinderlaßenem Ehelichem Sohn als dem bräutigamb ahe Einem
So dann der Ehren vnd tugendsamen Jungfrawen Anna Riehlin weÿland des Ehrsam und bescheidenen andreæ Riehlen gewesenen garthners vnderwagnern vnd burgers Zue Straßburg seelig hinderlaßener Tochter, als der hochzeitherin andern theÿls
So beschehen in Straßburg Sambstags den 6.ten Januarÿ Anno 1714 [unterzeichnet] Clauß Judt, o der Jungfraw hochzeiterin handzeichen

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 74-v, n° 7)
1714. Mittw. d. 18. April: seÿndt nach 2. malicher proclamation Ehl. copulirt v. eingesegnet worden, Niclaus Judd, der ledige gartner, weil. Niclaus Judden, burgers vndt gartners allh. hinterl. Ehel. Sohn, vnd Jfr. Anna weil. Andres Rielen, burgers v. gartners alh. hinterlassene Ehl. tochter [unterzeichnet] Niclauß Judt als hochzeiter, o Annæ Rielin Zeichen (i 76)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 185 livres sans ses biens fonciers, ceux de la femme à 1 215 livres.
1714 (16.5.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 19)
Inventarium und beschreibung aller haab nahrung undt Güttere, Ligend und fahrender, Keine davon außgenommen noch vorbehalten, so der Ehrsam und bescheidene Niclauß Judt Garthner under wagnern und die tugendsame Anna Riehlin beede Eheleuth und burgere Zue Straßburg einander in Ihrem ohnlängsten angetrettenen Ehestand vor unverändert zugebracht – So beschehen in Wohlgemelter St. Straßburg, Sambstags den 26.ten Maÿ Anno 1714.
Forma Inventarÿ. des manns nahrung betr. Haußrath 46, mähl 18, blumen auf dem feld 51, Vieh 37, blumen auffm feld 51, Vieh 37, schiff und geschirr 32, activ schuldt 50 (Summa) 326 – Abgezogen das passivum so ist 50, Remanet 185 lb außer des Eigenthums ligender güetter und beßerung auff lehen güettern
Forma Inventarÿ. der Frawen nahrung betr. haußrath 108, silb. 2, ring 7, baarschafft 6, Viehe 12, activ schuldent 78, Summa 1215 lb Ohne die besserung auff der lehen güetteren
jam sequuntur haussteuren thun 29 lb, trifft jedtem Zuer Helffte 14 lb

Nicolas Jud meurt en 1747 en délaissant trois enfants dont l’ainé s’est engagé dans les troupes treize ans auparavant. Les experts estiment la maison à 375 livres. La masse propre à la veuve est de 378 livres, celle propre aux héritiers de 593 livres. L’actif de la communauté s’élève à 704 livres, le passif à 1 067 livres

1747 (15.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1141) n° 491
Inventarium über Weÿland des Ehrsam und bescheidenen Clauß Jud geweßenen gvw. und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1747. – nach seinem Montags den 16.ten Januarÿ instehenden 1747.gen Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft (…) ersucht durch die tugendsahme frau Annam Juden gebohrene Riehlin die hinterbliebene Wittib beÿständlichen H Johann Georg Riehl des Schuhmachers und burgers allhier ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen Straßburg Mittwochß den 15.ten Martÿ et seq. Anno 1747.
Der Verstorbene seel. hat sowohl ab intestato alß per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo Diebold Jud, welcher Vor 13 Jahren sich in Königlichen frantzösischen Kriegs dienten unter das Regiment Sachß engagiret, 2.do Frau Annam Schottin gebohrne Judin, hannß Schotten hannßen Sohn des jüngeren gvw ehelich haußfrau, beÿständlichen deßelben, So dann 3.tio Johannem Jud so 15 Jahr alt, deßen wie auch Vorgemelten seines bruders geschworner Vogt ist nechstgedachter hannß Schott deren Schwager, in deme aber dießer ehevögtlicher weiße hiebeÿ selbsten Interessiret alß hat H. Johann Daniel Baumgärtner der weber und Sigrist Zu St: Aureliä deroselbe geordnet: und geschworener Theil Vogt diesem geschäfft Von Anfang biß zu end beÿgewohnet, Alle dreÿ des abgeleibten seel. mit Eingangs gemelter frauen Anna Judin gebohrner Riehlin ehelich erzeugte Kinder und sowohl ab intestato alß per Testamentum verlaßene Erben, solte aber der ältere Sohn Vor dem Vatter verstorbenen seÿn, in dem man auff 13. Jahr nichts mehr von Ihme in erfahrung gebracht wo Er sich befinde, also vermuthlich todt seÿn dörffte auch Keine eheliche (Kinder hinterlassen haben)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem grünen Bruch beÿ dem Etappe hoff gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10) Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Nembl. eine behaußung, hoff, Scheur, Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg im grünen Bruch gegen denen Baraques 1.s: ist ein eck am allmend, 2.s: neben David Wunderer und Georg Reubel beeden gaSt. stos. hinden auf den hundshoff stoßend gelegen, davon man Järl. der Elenden Herrberg modo dem mehrern Hospithal 10. ß ane boden Zinnß und wegen eines allmend plätzleins oder Schlupffs hinter der Scheür der Statt Pfenningthurn Jährl. 4 ß ane Allmend geld abzurichten hat, und ist dieselbe durch (die Werckmeistere) außweißlich des zu mein Notarÿ Concept gelüferten Abschatzung Zeduls vom 22.ten hujus Vor freÿ leedig eigen angeschlagen worden pro 375. lb So nun erwehnte Boden: und Allmend Zinß Zu doppeltem Capital gerechnet, antreffende 28 lb abgezogen wird, so restiren außzuwerffen 347. Darüber besagt i. teutsch. perg. Kffbr. in allh. C.C. Stub gefertiget, mit dero anhangendem Insiegel Verwahrt dedato 29.ten Julÿ A° 1728. Dabeÿ ferner i. dergl. perg. Kffbr: datirt den 14. Januarÿ A. 1694. und dann weiter 1. dergl. perg Kffbr. Sub dato 22.ten 8.bris A° 1691. Beede letztere mit altem N° 1 bemerckt und anjetzo nach beschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths. Nach besag des über beeder geweßenen Eheleute einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch nunmehr weÿland H Notm. Johann Friedrich Marbach seel. in Anno 1714. auffgerichteten vnd in Anno 1727 von H. Notario Georg Philipp Rith verfertigten Inventario
Abzug in gegenwärtig Inventarÿ. Der Wb. ohnverändert guth, Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 16 ß, Sa. goldener Ring 1, Sa. baarschafft 2, Sa. Eigenthum ane liegenden güthern 39, Sa. beßerung ane lehengüthern 5, Sa. activ Schulden 50, Erg. 264, Summa summarum 378 lb
Dießemnach wird auch derer Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 274, Sa. beßerung ane lehengüthern 5, Sa. Erg. 358, Summa summarum 643 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 593 lb
Endlichen folgt auch das gemein verändert und theilbahr guth, Sa. haußraths 43, Sa. schiff und geschirr Zum feld und Ackerbau gehörig 12, Sa. Pferd sambt deren Geschirr 23, Sa. Rindviehes 10, Sa. frucht und Meels 18, Sa. Zwiblen und Knoblauchs 2, Sa. Heu und Strohs 1, Sa. hannffs 1, Sa. der bluhmen auf dem feld 7, Sa. der beßerung auf dem feld 9, Sa. Silbers 4 ß, Sa. der baarschafft 48, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 347, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 15 ß, Sa. der activ Schuld 8, Summa summarum 704 lb – Schulden 1067 lb, In Vergleichung 363 lb
Stallsumm 608 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Sambstags den 6.ten Januarÿ A° 1714.
Copia Testamenti nuncupativi – 1716, auff Sonntag den 16.ten Monatgs tag Februarÿ (…) der Ehrsam und bescheidene Clauß Jud der jung gvw und beneben Ihme die Ehren und tugendsahme frau Anna Judin gebohrne Riehlinn beede Eheleute und burgere allhier zu Straßburg Von der gnade gottes auffrechten gesunder gehend und stehender Leiber (…) Johann Heinrich Lang

Anne Riehl meurt en 1760. Les experts estiment la maison à 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 545 livres, le passif à 195 livres.

1760 (12.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1181) n° 1187
Inventarium über Weiland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Annä Judin gebohrener Riehlin auch weil. des Ehrsam und bescheidenen Niclaus Jud, gew. GVW. und Brs. allhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener Wittib, nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1760. – nach ihren Sonntags den 17.ten aug. dießes Zu end eilenden 1760.gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen töd. hientritt Zeitlich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebühredes ansuchen erfordern und begehren, deroselben mit nechst gedachtem Ihrem den 16.ten Januarÿ 1747. verstorbenen Ehemann seelig ehelich erzielter Kinder und ab intestato verlaßener Erben (…) So beschehen Straßburg Freÿtags den 12.ten Decembris 1760.
Die Abgeleibte seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo Diebold Jud, welcher sich vor ohngefehr 26. Jahren in König. frantzösisch Kriegs dienten unter das Regiment Sachß engagiret, ob er aber nooch beÿ leben, weiß man diesorts nicht, 2.do Frau Annam Schottin gebohrene Judin, Hannß Schott, Hannßen Sohn des jüngeren GVW und brs. allhier Ehefrau, beÿständlichen deßelben, dießem Geschäfft abwarthete, So dann 3.tio Johannem Jud, leedigen Garthner, so ohngefehr 28. Jahr alt, welcher nebst jenem Diebold Jud deren bruder, auf absterben des Vaters bevögtiget worden mit nechst gedachten deren Schwager, Hannß Schott, In deme aber dießer ehevögtl. weiße hiebeÿ Interessiret, so der damals Obrigkeitlich constituirte und noch nicht entledigte theil Vogt Meister Johann Daniel Baumgerthner, der ältere Weber und Sigrist Zu St: Aureliæ und burger allhier deroselbe diesem geschäfft in solcher Qualitæt beÿgewohnet, Alle dreÿ der abgeleibten seeligen mit Eingangs gemelter dero Ehemann seel. eheliche Kinder und ab intestato verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem grünen bruch nechst dem Etappe hoff gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer Behaußung. Nembl. der dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung auch allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem grünen Bruch gegen denen Baraques 1.s: ist ein Eck am Allmend, 2.s: neben David Wunderer dem ältern gaStSt und Salome geÿerin, hinden auf den hundshoff stosend gelegen, und hat man von der gantzen Behaußung jährl. der Elenden Herrberg modo dem mehrern Hospithal 10. ß ane boden Zinnß und wegen i. allmend plätzleins oder Schlupffs der Statt Pfenningthurn 4 ß ane Allmend geld zu reichen. Es ist aber dieselbe durch (die Werckmeistere) zufolg des zu mein Notarÿ Concept gelüferten Abschatzung Zeduls vom 30.ten hujus für freÿ leedig eigen angeschlagen worden, Vor 400. So nun erwehnte Boden: und Allmend Zß. Zu doppeltem Capital ohnvorgreifflich gerechnet, antreffend 28 lb abgezogen wird, so restiren 372. Macht die hieher gehörige tertz 124. lb Darüber besagt i. deutscher perg. Kfbr. in allhies. C.C. Stb gef. mit dero anh. Ins. Verw. dedato 29 Julÿ A° 1728. Ferner i. dergl. perg. Kfbr: datirt den 14. Jan. A° 1694. und dann weiter 1. dergl. perg Kfbr. Sub dato 22. 8.bris 1691. Beede letztere mit altem N° 1 bemerckt und anjetzo nach beschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen.
Wÿdem. Welchen die Verstorbene seel. biß an dero todt genossen hat. Es hatte zwar dieselbe Ihres Ehemanns seel. Verlaßenschafft mit ausnahm der Kinder legitimæ vi testamenti zu genißen gehabt allein beu der den 22. Marÿ et seqq. 1747 geschehenen Vergleich und abtheilung deroselben hat Sie sich nur in genuß reservirt und Vorbehalten
Zween dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane der oben fol. (-) et seqq. beschriebene behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung auch allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, so über daselbst erwehnte Boden und Allmend Zß nunmehro leedig eigen und der hiesigen donation nach ang. 372. lb zu dißeitigen zween dritten theil macht 248. lb
Abzug in gegenwärtig Inventarÿ. Sa. haußraths 35, Sa. Rindviehes 8, Sa. früchten auf d. Kast 17, Sa. tabacks 6, Sa. Stroh 2, Sa. Zwiblen und Knoblauchs 1, Sa. der bluhmen auf dem feld 4, Sa. Silbers 16 ß, Sa. goldenen Rings 16 ß, Sa. pfenningzinß hauptguths 50, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 2, Sa. Activorum 235, Summa summarum 545 lb – Schulden 195 lb, Nach deren Abzug 349 lb
Stallsumm 678 lb

Jean Jud cède sa moitié de maison à sa sœur Anne Jud, femme de Jean Schott fils de Jean, par une cession jointe à l’inventaire ci-dessus

Cession und Übergab der Behausung
Belangend die allhier Zu Straßburg ane dem grünen Bruch gegen denen Baraques über einseit ein Eck am Allmend, 2.s: neben David Wunderer dem ältern gaStSt und Salome Geÿerin hinten auf den hundshoff stosend gelegene elterliche behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und, Stallung mit allen dero gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten davon man jährl. der Elenden Herrberg modo dem mehrern Hospithal 10. ß ane Boden Zß. und wegen i. Allmend plätzleins oder Schlupffs der Statt Pfenningthurn 4 ß ane Allmend geld zu reichen, sonsten aber über dieße real beschwerde und den nunmahligen Vingtieme leedig und eigen, so hat Johannes Jud der Sohn seine helffte vor ohnvertheilt für sich und seine Erben ane selbiger behaußung vnd dero Zugehörden seiner Schwester und Mit Erbin Fr. Annä Schottin gebohrener Judin, hannß Schott Hansen S. GVW. und Burgers allhier Ehefr. in ohnvertheiltem Erb käuflich cedirt und überlaßen, die auch sich und ihren Erben auf solche weiße angenommen zu haben bekandlich ist, und ist dieße Cession, Übergab und annahm Zugangen und beschehen, die Völlige behaußung und dero Zugehörde zu 500 lb. d. gerechnet vor und umb 250 Pfund pfenning
Straßburg Sambstags den 27. Junÿ A° 1761.

Jean Schott, fils du jardinier Jean Schott, épouse en 1741 Anne, fille de Nicolas Jud
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 164-v n° 10)
1741. Donnerst. den 26. Aprilis sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden, Hanß Schott der ledige Gartner und burger Hanß Schott bur. v. Gartners allhie ehel. Sohn, und Jungfr. Anna Clauß Judt burgers und Garttners allhie ehel. tochter [unterzeichnet], Johannes Schott als Hochzeiter, Anna Judin als hochzeiterin (i 168)

Jean Schott fils de Jean meurt en 1767 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à 450 livres. La masse propre à la veuve est de 338 livres, celle propre aux héritiers de 28 livres. L’actif de la communauté s’élève à 95 livres, le passif à 707 livres

1768 (19.2.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1207) n° 1597
Inventarium über Weiland des Ehrsam: und bescheidenen Hanß Schott Hansen Sohns, gew. gvw. und brs. allhier Zu Straßburg nunmehr seelig Verl. auffgerichtet Anno 1768. – nach seinem Montags den 20.ten Aprilis des nächst Zurückgelegten 1767.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitl. verlaßen, welche Verl. auf gebührendes Ansuchen, Erfordern und Begehren der Ehren und tugendsamen Fraun Annä Schottin geb. Judin, der hinterbliebenen Wb. unter Assistentz dero bruders Johannes Jud, ledigen gvw. und bs. dahier, den Sie ane Vogststatt zu ihrem beistand angesprochen, wie auch des verstorbenen selig mit Ihro der Wb. ehelich erzeugter Kinder und ab intestato verlaßener nach dem Eingang dieses Inventarÿ insonderheit benambßter Erben (…) inventirt und ersucht – So beschehen Straßburg Freÿtags den 19.ten Februarÿ & seq. Anno 1768.
Der Verstorbene selig Hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt, Erstl. Diebold Schott led. Gartner, welcher den 18.ten 9.bris A° 1742. Zur Welt geboren worden, Zweitens Fr. Annam Margaretham Siegfridin geb. Schottin, Joh: Georg Siegfrid gaStStr. und Brs alhier Ehefr. beÿständl. deßelben anwesende, drittens Jgfr. Salome Schottin, die den 8.ten Januarÿ 1747. dieses tages licht Zum erstenmal erblicket, viertens Johannem Schott led. Gartner der den 31.ten Augusti A.1748. an diese Welt geboren worden, Fünfftens Jfr. Annam Mariam Schottin, so den 20. Christmonat A. 1752. an diese Welt geboren worden, So dann Sechstens Johann Jacob Schott, welcher den 17.ten Januarÿ A. 1759. Zur Welt geboren worden. Welche 3. jüngere Kinder bevögtiget seind mit dero Schwager vorgemeltem Joh: Georg Siegfrid. In deme Er aber ehevögtl. weise hiebeÿ selbst interessirt als ist Mr Joh: Daniel Baumgartner der älter Weber und br. alhier auch sigrist der Kirch St. Aureliæ denselben zum Theil Vogt obrigkeitlich constituirt und confirmirt worden, welcher auch in solcher qualität bey diesem Geschäfft erschienen. Alle sechß des verstorbenen selig mit Eingangs gemelder seiner hinterbliebenen Wb. ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu gleichen portionen und Haupttheilen verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem grünen bruch ohnfern dem Etappe Hauß gelegenen der Wb. ohnveränderten und hernach beschriebenen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung. (W.) Nembl. I behaußung Hoff, Hoffstatt und Stallung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg dero Vorstadt am grünen Bruch gegen den Casernen über 1.s. ist dieselbe ein Eck am Allmend, 2.s. neben David Wunderer dem ältern gaStSt und Salome geb. Geÿerin, Georg Wilhelm des von hier ausgetrettenen taglöners und brs. verlaßener Ehefrau, hinten auf den Hundshof stosend gelegen, und hat man jährl. der Elenden Herrberg modo dem mehrern Hospithal 10. ß ane boden Zinnß und wegen i. Allmend plätzl. oder Schlupffs der Stadt Pfenningthurn 4 ß ane Allmend geld zu reichen. Es ist aber solche behaußung und dero zugehörde durch (die Werckmeistere) zufolg deren unterem 28.ten Aprilis A° 1768 ertheilten zu mein Notarÿ Concept überlieferten Abschatzung Zeduls für freÿ ledig eigen angeschlagen worden pro 450. lb. abgezogen jene Real beschwärden sammenthafft 14. ß ohnvergreiffl. Zu doppeltem Capital gerechnet, anlangende 28 lb verbleiben auszuwerfen 422.
Die 1. Helffte selbiger behausung und dero Zugehörde hat Sie die Wb. von ihrem Vater selih ererbet und die andere Helffte hat Sie von dero Bruder Eingangs gemelden Joh: Jud den 27.ten Junÿ A° 1761. in ohnvertheiltem Erb per Cessionem erhalten. Sonsten bes. darüber 1. teutsch. perg. Kauffbrief in alh. C.C. Stub gef. mit dero anhgd. Ins. verw. de dato 29.ten Julÿ A. 1728. Ferner i. dergl. perg. Kfbrf: datirt den 14.ten Januarÿ A. 1694. und dann weiter 1. dergl. perg. Kfbrf. Sub dato 22.ten 8.bris A. 1691. beede letztere mit a. N° 1 bemerckt und anjetzo nach beschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen.
(f° 13-v) Ergäntzung der Wittib ermanglenden ohnveränderten Guts. Nach Anleitung des über beeder gew. Eheleute einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 13. 8.bris A. 1742. auffgerichteten Invÿ.
Abzug in gegenwärtig Inventarÿ. Der Wb. ohnverändert Vermögen betreffend, Sa. Haußraths 15, Sa. Silbers 7 ß, Sa. Eigenthums ane 1. behaußung 422, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 154, Sa. beßerung ane lehengüthern 8, Sa. der Activ Schuld 25, Erg. Rest. 40, Summa summarum 666 lb – Schulden 328 lb, Nach solchem abzug 338 lb
Dießemnach wird auch derer Kinder und Erben ohnverändert guth consignirt und beschrieben, Sa. Haußraths 3, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 26, Erg. Rest. 22, Summa summarum 53 lb – Schuld 25, Nach welchem Abzug 28 lb
Endlichen folgt auch das gemein verändert und theilbare guth, Sa. Haußraths 20, Sa. Schiff und geschirrs Zum feld und Ackerbau gehörig 13, Sa. Pferd sambt deren Geschirr, wie auch Rindviehes 21, Sa. Früchten 7, Sa. Tabacks 15, Sa. Strohes 2, Sa. der beßerung im Hoff und auf dem feld 8, Sa Blumen auf dem feld 5, Sa. Besserung ane liehen güthern 1, Summa summarum 95 lb – Schulden 707 lb, In Vergleichung, Theilbar Passiv onus 612 lb
Copia der Eheberedung (…) Sobeschehen, Straßburg Sambstags den 8.ten 8.bris A° 1740. Johann Daniel Stöber, Notarius

Partage des biens d’Anne Jud veuve de Jean Schott fils de Jean
1773 (24.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1218) n° 1821
Vergleich und Abtheilung der sowohl eigenen als lehenliegenden Feld güther, welche Fr. Anna Schottin gebohrene Judin weiland Hanß Schott Hanßen Sohns geweßenen gvw. u. brs. allhier Zu Straßburg selig hinterbliebene Wb. ihrer mit ihme erzeugter sechs Kinderen als dero præsumptif Erben übergeben und unter hernachfolgenden bedingnußen abgetretten hat, welche theils in dem über die väterl. Verl. den 19. Februarÿ et seq. 1768. durch mich Notm. vergriffenen Invÿ. Conc. sub N° 1097. theils aber in dem über ihr der Mutter von ihrem bruder weil. Johannes Jud dem ledig verstorbenen gvw. u. brn allhier selig erlangte Erbschafft vom 6. Februarÿ 1769. errichteten Invÿ Conc. sub N° 1612 beschrieben sind

La maison revient pour moitié à Thiébaut Schott et pour moitié à Anne Schott, femme de Jean Jacques von Bœrsch

Fils du jardinier du même nom, Jean Jacques von Bœrsch épouse Anne Marie Schott en 1773 : contrat de mariage, célébration
1773 (23.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1226) n° 984
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Johann Jacob von Börsch, lediger Gartner, Johann Jacob von Börsch Gartners ane Steinstraß und Burgers allhier mit Fraun Catharina gebohrener Ohlin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter unter Assistentz solchen seines Vaters ane einem
Sodann die Ehren und Tugendsame Jungfrau Anna Maria Schottin, weÿland Hanß Schott, Hanßen Sohns, geweßenen Guw. und burgers alhier selig mit Frauen Anna Schottin gebohrner Judin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Tochter, als Hochzeiterin, beÿständlich ihres Schwagers und noch ohnentledigten Vogts Johann Georg Siegfried G. ane Steinstraß und burgers alhier ane dem andern Theil
Straßburg Dienstags den 23.sten Novembris Anno 1773. [unterzeichnet] Johann Jacob von Börsch als hochzeiter, Anna Maria Schottin als ehheitir

Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 2-v)
1774., Donnerst. d. 26. Januarÿ beÿ der bett sind nach einer vorhergegangener Zweÿmal nach einander Dom. II. et III. p. Epiph. geschehener Proclamation ehelich copulirt worden Jacob von Börsch led. gartner und burger alhier Jacob v. Börsch burgers und gartners alhier ehel. Sohn mit Jgfr. Anna Maria Schottin weÿl. Johannes Schott geweß. burgers und gartners alhier hinterl. ehel. dochter, wie des das Hochzeitbuch Zum alt. St: Peter Zeugt (i 4)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 168, n° 2)
Im Jahr 1774 seind den 2. und 3. Sonntag nach Epiphaniæ proclamirt und folgenden Mittwoch den 26. Januarii copulirt worden Jacob von börsch lediger Gartner Jacob von börsch Gartners und burgers allhier und Fr. Catharinä Ohlin ehelicher Sohn und Jgfr. Anna Maria weil. Johannes Schott gewesenen Gartners und burgers allhie und fr. Annä geborhener Judin eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Von Börsch als Hochzeiter, Anna Maria schottin als hochzeittrin (i 171)

Thiébaut Schott épouse en 1769 Chrétienne, fille du journalier et manant Jean Georges Krieger
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 80-v, n° 21)
Im Jahr 1769 seind Dominica duodecima et decima tertia post Trinitatis proclamirt und volgenden 22. Augusti copulirt worden Theobald Schott lediger Gartner weiland Johannes Schott gewesenen Gartners und burgers allhier mit Anna gebohrenr Judtin ehelich erzeugter Sohn und Jgfr. Christina Johann Georg Kriegers taglöhners und Schürmers dahier mit Christina gebohrener Weißin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] diebolt schott Als hozeiter, Christine Kriegerin Als Hozeiterin (i 84)

Chrétienne Krieger fait dresser l’inventaire de ses apports lors du mariage célébré sans contrat de mariage
1773 (24.8.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1218) n° 1819
Designatio Desjenigen, so Frau Christina gebohrene Kriegerin, Diebold Schott des Roßhirten beÿ E.E. Zunfft der gaStStr u. brs allhier Ehefrau Zu erstgemelten dero Ehemann in den Ehestand Zugebracht, welches der Ursachen, aldieweilen dieselbe Zwar keine Eheberedung mit ihrem Ehemann errichten laßen, aber dennoch nach hiesiger Stadt brauch und Gewohnheit ihre Natural Posten zu (inventiren) und auf künfftig sich begebenden Fall als ohnverändert Zu beziehen berechtiget
Summa 106. lb.

Chrétienne Krieger meurt en 1773 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé dans la maison du teinturier Birckicht au Faubourg de Pierre. La masse propre à la femme est de 28 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 13 livres, le passif à 27 livres
1773 (29.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1218) n° 1822
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendsahmen Fraun Christinä Schottin geb. Kriegerin, des Ehrsam u. bescheidenen Diebold Schott des tagners beÿ E.E. Zunfft der gaStStr u. b. allhier gew. Ehefrau seelig Verl. aufgerichtet Anno 1773. – nach ihrem Montags den 30. aug. dieses Zu end eilenden 1773.gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitl. Verlaßen Welche Verl. auf gebührendes Ansuchen Erfordern u. Begehren sein des hinterbliebenen W.ers wie auch deroselben mit ihme erzeugter KKr. benandl. Johann Georg so den 14. Winther Monath 1769. das tages licht Zum ersten mahl erblicket und Diebold welcher den 25.ten 9.bris gebohren worden, geordnet und geschwornen Vogts des Ehrsam u. bescheidenen Joh: Georg Ichert GaStSt. u. brn allhier, inventirt (…) So beschehen Straßburg Montags den 29.ten Novembris A° 1773.
In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Steinstraß Mr Bürkigt dem Färber v. b. allhier gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Norma hujus Inventarii. Der Erben ohnveränderte Natural Posten, Sa. hausraths 26, Sa. Silber Geschmeids 2, Summa summarum 28 lb
Solchemnach wird alles übrige als ein gemeine theilbare Verl. gehörig consignirt u. beschrieben, Sa. haußräthl. Mobilien, 3, Sa. Zugschweins 2, Sa. Früchten auf den Kast 4, Sa. Rüben u. Erdäpfel 3, Sa. Beßerung an einem lehenstück o, Summa summarum 13 lb – Schulden 27, Passiv onus 13 lb
Stall summ 14 lb

Thiébaut Schott se remarie avec Anne Marguerite Peter, fille du meunier Jean Jacques Peter de Wasselonne
1777 (25.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 20
Eheberedung – zwischen Diebold Schott Gartner an Steinstraß wittibern und burgern alhier als hochzeiter ane einem
Sodann Jungfer Anna Margaretha Peterin, Hanß Jacob Peter ehemaliger Müllers und burgers zu Waßlenheim mit weiland Fraun Margaretha geb. Klentschin seiner verstorbenen Ehefrau ehelich erzeugter tochter so majorennis und vätterlichen Consens hierzu Zu haben beneben dero erbettenen beÿstand und eheleiblichem Bruder Hanß Jacob Peter ackersmann und Innwohner Zu Waßlenheim versicherten als hochzeiterin ane dem andern theil nachfolgende heuraths Abrede
Straßburg Sambstags den 25. Januarÿ Anno 1777 [unterzeichnet] diebolt Schott Als hozeiter, + der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 51-v n° 7)
Im Jahr 1777 Dienstag den 8. Aprilis seind nach Vorhergeschehenen proclamationen auf den Ostertag und den Sonntag nach ostern copulirt worden Theobald Schott, Wittwer Gartner ane Steinstraß und burger allhie und Jgfr. Anna Margaretha Jacob Peter burgers und ackersmanns Zu Brechlingen beÿ Waßlenheim und weil. Annä Margarethä Klentschÿ eheliche tochter [unterzeichnet] diebolt Schott Als hozeiter, o dieses Zeichnet die hochzeiterin (i 55)

Marguerite Peter fait dresser un inventaire de sa fortune pour accéder à la bourgeoisie (le registre de bourgeoisie manque pour 1777)
1777 (30.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1263)
Designatio Desjenigen Vermögens, so Margaretha Peterin die ledige von Waßlenheim gebürtig, welche an Diebold Schott gaStSt. ehelich versprochen dermalen besitzet und in Ansehung dieselbe beÿ gnädiger hohen Obrigkeit um Erlangung des burgerrechts unterthänig einzukommen vorhabens
hausrath, goldene ringe 3, baarschafft 13, activ schuld 125, summa 250 lb

Thiébaut Schott d’une part et Anne Marie Schott femme de Jean Jacques von Bœrsch le jeune hypothèquent la maison au profit de Jean Voltz et de Jean Lix, tous deux jardiniers

1778 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 208
Diebold Schott der g. ane steinstraß und Anna Maria von Börsch geb. Schottin Johann Jacob von Börsch des jüngeren g.a.st
in gegensein H. Johannes Voltz und Johannes Lix beede gartner ane Steinstraß – schuldig seÿen Voltz 500 gulden und Lix 1000 gulden
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt, scheuer und stallung mit allen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Steinstraß ane dem grünen bruch gegen der cazern über einseit ist ein eck am allmend, anderseit neben David Wunderer und Johannes von Börsch g.a.st zum theil zum theil Salome geb. Geÿerin Georg Wilhelm des von hier abgetrettenen tagners verlassene Ehefrau – avon gibt man der Elenden herberg modo dem mehrern hospital 10 s ane bodenzinß und wegen einem allmend plätzel oder schlupffs d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 4 s ane allmend zinß – den schuldnern von ihren geschwisterden durch acte vom 24. Februarÿ jüngsthin vor H. Not. Stöber errichtet als per avancement d’hoirie das ist auff rechnung künfftig mütterlichen erbschafft cedirt überlassenes eigenthum

Jacques Bœrsch meurt en 1806 en délaissant un fils

1806 (8.9.), Strasbourg 7 (23), M° Stoeber n° 2144, 7323
Inventaire de la succession de Jacques Boersch, jardinier décédé le 24 trois 1806 – à la requête du seul et unique héritier Jacques Boersch, soldat de la 8° compagnie du 2° bataillon 20° régiment de ligne, procréé avec Anne Marie Schott sa veuve (procuration, agé de 29 ans)
Contrat de mariage passé devant nous le 23 novembre 1773
biens propres de la veuve, (1 pièce), cultivé a bail (5 pièces)
Maison propre a la veuve. La moitié par indivis dans une Maison cour écurie grange avec appartenances et dépendances sise a Strasbourg au Marais verd N° 72, d’un côté Georges Dress, de l’autre le communal aboutissant sur une maison dite hundshoff
propres des héritiers (4 pièces), communauté (3 pièces), cultivées à bail (3 pièces)
dettes actives de la veuve 60 fr
situation de la masse, meubles 85 fr, dettes actives 66 fr, immeuble &&, total 145 fr
propres des héritiers, habits 34 fr, immeubles &&, les héritiers doivent 60 fr, déficit 26 fr
communauté, meubles 90 fr, grains 21 fr, immeubles &&, total 111 fr, passif 50 fr, reste 61 fr
Enregistrement, acp 100 F° 168 du 18.9.

Thiébaut Schott meurt peu après en délaissant deux fils issus de son premier mariage

1807 (8.6.), Strasbourg 7 (24), M° Stoeber n° 2191, 7939
Inventaire de la succession de Thiebaut Schott jardinier – dressé à la requête de 1. Anne Marguerite Peter la veuve assitée de Jean Jacques Rieder jardinier, 2. Jean Georges Schott jardinier, 3. Thiébaut Schott fabricant d’amadou, seuls et uniques héritiers de leur père procréés en premières noces avec Christine Krieger
meubles 60 fr, masse du défunt 116 fr
Part dans une maison. La moitié par indivis dans une maison cour grange écurie avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg au marais verds vis à vis les Cazernes n° 72, d’un côté formant un coin, de l’autre (-), aboutissant (-), dont on doit aux hospices civils une redevance fonciere de 2 fr, à la ville pour une place communale 80 c – L’autre moitié appartient à Anne Marie Schott veuve de Jean Jacques Boersch jardinier, acquise suivant cession du 24 février 1778
terres labourables (2 pièces), passif 4312 fr
Enregistrement, acp 102 F° 192 du 15.6.

Anne Marie Schott veuve de Jean Jacques Bœrsch, propriétaire de la moitié de la maison et Jean Georges Schott (frère de l’acquéreur) vendent leurs parts de maison à Thiébaut Schott

1810 (24.5.), Strasbourg 4 (38), M° Stoeber n° 1064
Anne Marie Schott veuve de Jean Jacques Boersch jardinier, Jean Georges Schott jardinier
à Thiébaut Schott fabricant d’amadou
trois quarts par indivis d’une maison avec cour grange écurie appartenances et dépendances sise au marais verd vis à vis les cazernes n° 72, d’un côté formant un coin, de l’autre le Sr Schütz et Georges Graess, aboutissant sur M° Knobloch notaire, dont on doit aux hospices civils une rente foncière de 2 fr et à la ville pour une place communale 80 c – propre à la veuve Boersch pour deux quarts, et à Georges Schott et Thiébaut Schott, acquis conjointement avec les deux autres quarts en qualité d’héritiers d’Anne Jud femme de Jean Schott jardinier leur mère et grand mère – moyennant 2250 francs
Enregistrement, acp 114 F° 171 du 29.5.

Le fabricant d’amadou Thiébaut Schott épouse en 1800 Marie Salomé Seyder, fille de boucher
1800 (22 thermidor 8), Strasbourg 7 (28), M° Stoeber n° 817
Eheberedung – erschienen b. Diebold Schott, lediger Zundelmacher, brs Diebold Schott gartners allhier in erster Ehe mit weiland Christina gebohrener Krieger erzeugtes Sohn, so großjährigen alters als hochzeiter an einem
und burgerin Maria Salome Seÿder, die ledige großjährigen alters, burgers Johannes Seyder, Metzgers allhier mit weiland brin Anna Maria geb. Hoh erzeugte tochter unter dessen autorisation am andern theil
Straßburg den 22. Thermidor in achten Jar Vormittags [unterzeichnet] Diebold Schott Als hochzeiter, Maria Salome seÿder als Braut
Enregistrement, acp 75 F° 12 du 1 fruct. 8

Inventaire des apports
1808 (11.7.), Strasbourg 7 (24), Not. Stoeber n° 2244, 8546
Inventaire des apports Thiebauld Schott fabricant d’amadou et de Marie Salomé Seyder, mariés suivant contrat de mariage passé devant nous le 22 thermidor 8
dans la maison au marais Verd n° 26 appartenante au Sr Jean Seyder
le mari, meubles 620 fr, numéraire 11.200 fr
la femme, meubles 622 fr, numéraire 2000 fr
Enregistrement, acp 107 F° 33 du 20.7.

Thiébaut Schott vend la maison au marchand de bois Jean Bischoff

1810 (30.5.), Strasbourg 3 (57), M° Übersaal n° 2639, 5399
Tibaud Schott faiseur d’amadou
à Jean Bischoff fils marchand de bois domicilié marais verd n° 14
la maison appartenante au vendeur avec puits, cour, écurie, grange, appartenances et dépendances située en cette ville marais Verd n° 72, d’un faisant coin, de l’autre Georges Dres et Schütz cultivateurs, derrière la propriété de M° Knobloch notaire – grevée d’une rente foncière envers la commune de Strasbourg de 2 fr, y compris un fourneau au rez de chaussée, estimée à 3950 francs
Enregistrement, acp 114 F° 172-v du 1.6.

Fils du marchand de bois du même nom, Jean Bischoff épouse en 1804 Marie Madeleine Küner, fille de l’aubergiste Jean Louis Küner
1804 (29 brumaire 13), Strasbourg 10 (32), M° Zimmer n° 333, 2188
Contrat de mariage – Sr Jean Bischoff, Marchand de bois demeurant à Strasbourg, fils majeur du Sr Jean Bischoff, marchand de bois demeurant audit lieu, et de feue D° Marguerite Salomé née helmstetter
Demoiselle Marie Madeleine Küner, fille mineure de feu S Jean Louis Küner, aubergiste, et feue D° Susanne Catherine née Stumpff
Enregistrement, acp 95 f° 21 du 1 frimaire 13

Jean Bischof meurt en 1831 en délaissant deux enfants

1831 (31.5.), Strasbourg 12 (120), M° Noetinger n° 2930
Inventaire de la succession de Jean Bischoff, marchand de bois décédé le 22 mars 1831 – dressé à la requête de Marie Madeleine Küner la veuve mère et tutrice légale de Caroline Sophie âgée de 12 ans, 2. Jean Bischoff fils charpentier – en présence de Jean Frédéric Bischoff, tonnelier, subrogé tuteur de la mineure – Communauté suivant contrat de mariage reçu M° Zimmer le 29 brumaire 13
dans la maison mortuaire rue de la Toussaint n° 3

immeubles 1. une maison consistant en plusieurs corps de bâtiment, grande cour, écurie, deux remises, buanderie, puits, appartenances et dépendances sise en la ville de Strasbourg rue de la Toussaint n° 2 et 3, d’un côté le Sr Eberlé potier de terre, de l’autre Mde Destrois, devant la rue, derrière le fossé du Faux Rempart – acquis de 1. Anne Marie Gallay veuve de François Charles Guillaume baron de Mullenheim, 2. Marie Edouard baron de Mullenheim, 3. Charlotte baronne de Mullenheim, par acte reçu M° Wengler le 26 juin 1817 transcrit au bureau des hypothèques vol. 196 n° 21 – occupé en partie par la veuve en partie par des locataires, estimée 20.000 francs
2. 5/6 par indivis d’un jardin de la contenance d’environ 40 ares ou 2 arpents ancienne mesure hors la porte d’Austerlitz entouré d’une haie vive et par devant d’une cloison en lattes d’un côté et le bras du Rhin appelé Rhin tortu devant chaussée du Rhin derrière le glacis – acquis 3/6 du jardin 1. de Frédéric Charles Thimothée Emmerich, 2. Marguerite Sophie Emmerich, 3. Caroline Concorde Emmerich, par acte reçu M° Ubersaal le 17 novembre 1812, héritiers pour 1/6 de son père acquis 1/6 de la veuve Goetz née Bischoff sa sœur, aux vendeurs par abandon fait par les héritiers Helmstetter d’outre Rhin lors de la conclusion du procès qui s’était élevé entre eux, grevé d’une rente foncière de 16 fr, exploité par la succession, estimé 2000 fr
3. un magasin avec petite cour et jardin, ét échoppe situé en cette ville au Marais Verd n° 71 et 72, d’un côté M. Knobloch de l’autre la veuve Sieffert et une petite rue, devant la rue, derrière le Hundshoff – acquis 1) la partie n° 72 de Thiébaut Schott, faiseur d’amadou par acte reçu M° Ubersaal le 30 mai 1810, 2) les deux tiers du magasin portant n° 71 de Jean Schütz, jardinier cultivateur, et Marguerite Boersch, devant ledit notaire le 8 septembre 1810 transcrit au bureau des hypothèques vol. 100 n° 20 et le dernier tiers n° 71 de Jean Georges Draess & Marguerite Federlin, devant le même notaire le 11 septembre 1810. Ledit magasin est grevé de deux rentes foncières de 2,80 fr et 0,80 fr au profit de la ville, actuellement vide et non occupé, estimé 13.000 fr
communauté, meubles 772 fr, garde robe 123 fr, marchandises 2000 fr, meubles dans la forêt d’Eschau, créances actives 905 fr, créances 7368 fr – garde robe 146 fr, totalité de la masse active 69 431 fr, passif 37 672 fr
acp 204 (3 Q 29 919) f° 70-v, deux premières vacations
acp 204 (3 Q 29 919) f° 153-v. – Communauté, 1° meubles, effets et marchandises 17.032, 2° dettes actives 984, 3° immeubles sis ban de Strasbourg 123, maison 20.000, jardin 2000, magasin 13.000
4° aux bans d’Eschau et Wiebolsheim, une forêt de 47 ha 23 ares, 50 ca dans laquekke est construite une petite maison et les trois quarts indivis de quatre isles dans le Rhin sous le nom de Kaelberkopff contenant 8 ha 99 ares 65 ca, évaluée à 16.000 – total de la masse active 69.139
acp 205 (3 Q 29 920) f° 32 – garde robe 292 n- passif 27.672

Jean Bischoff fils acquiert par adjudication les bâtiments sis aux n° 71 et 72 du Marais Vert

1832 (3.1.), Strasbourg 12 (122), M° Noetinger n° 3579
Cahier des Charges du 4 novembre n° 3379 – 1. Jean Bischoff fils charpentier, 2. Louis Küner, négociant, tuteur datif de Caroline Sophie Bischoff, fille mineure de Jean Bischoff père et de Marie Madeleine Kuner, 3. Jean Frédéric Bischoff, tonnelier, subrogé tuteur – Jugement du tribunal civil en date du 30 août, rapport d’experts des 20 et 30 même mois entériné par jugement du 21 octobre
art. 1 à Jean Bischoff pour 22.000, se réservant d’élire command
surenchère 10 janvier n° 3611, art. 1 à Jean Baptiste Husson inspecteur des magasins de tabacs
Adjudication définitive n° 3661, 21 janvier à Jean Bischoff pour 14.000 fr
art. 2 à Jonathan Goetz, marchand de bois, pour 8200 fr
art. 3 à Jean Bischoff fils, colicitant, pour 1900 fr
Désignation des immeubles à vendre, Article 1. une maison consistant en 1° en une maison d’habitation à rez de chaussée et un étage, 2° en une maison à rez de chaussée et deux étages, 3° en une maison bordant le fossé étroit du Faux Rempart à un rez de chaussée et un étage avec échoppe adossée, 4° en un bâtiment servant de magasin construit en charpente et siégant le long du fossé, 5° en un bâtiment servant de magasin construit en charpente avec échoppe adosse, 6° en un petit bâtiment réuinssant le cinquième et le premier bâtiment contenant une écurie et grenier à foin. La totalité de ces bâtiments renferme une cour ayant un abreuvoir dans le fossé du Faux rempart. Le tout situé en cette ville rue de la Toussaint n° 2 et 3, d’un côté M. Destroit propriétaire, de l’autre le Sr Vogt architecte, Hilly négociant et Stuber épicier, devant la rue, serrurier, derrière le fossé du Faux Rempart, estimée 18.000 francs
Article 2. un magasin composé de 1° une maison à un étage et rez de chaussée marquée du n° 71, 2° d’un magasin marqué n° 72 construit en charpente et clos de planches, 3° d’un bâtiment à un étage et rez de chaussée avec écurie et échoppe, jardin et cour fermés par une cloison en planches, puits, situé en cette ville Marais Verd n° 71 et 72, d’un côté et devant le Marais Vert, d’autre la veuve David Sieffert jardinier cultivateur. derrière une petite ruelle mitoyenne entre les susdits bâtiments et la maison dit Hundshoff appartenant au Sr Knobloch, estimée 800 fr, chargé de deux rentes de 2,80 et 80 c au profit de la ville de Strasbourg
Article 3, un jardin de la contenance d’environ 40 ares contentant plusieurs arbres fruitiers, plusieurs treilles et une petite maisonnette construite en charpente le tout entouré d’une cloison en lattes situé hors la porte d’Austerlitz route de Kehl canton dit dans la Demi Lune auprès de l’ancienne usine, d’un côté la digue, de l’autre un bras du Rhin tortu nommé Ziegelwasser, derrière M. Sauvage, devant la chaussée du Rhin, estimé 1500 fr
Etablissement de la propriété, Inventaire dressé par M° Noetinger le 31 mai 1831, Jean Bischoff père acquis 1. la maison rue de la Toussaint d’Anne Marie Gallay veuve de François Charles Guillaume baron de Mullenheim, 2. Marie Edouard baron de Mullenheim, 3. Charlotte baronne de Mullenheim, suivant acte reçu M° Wengler le 26 juin 1817 transcrit au bureau des hypothèques vol. 196 n° 21
2. le magasin au Marais Vert n° 71 & 72 savoir a) la partie n° 72 de Thiébaut Schott, faiseur d’amadou par acte reçu M° Ubersaal le 30 mai 1810, b) les deux tiers du magasin portant n° 71 de Jean Schütz, jardinier cultivateur, et Marguerite Boersch, devant ledit notaire le 8 septembre 1810 et le dernier tiers n° 71 de Jean Georges Braess & Marguerite Federlin, devant le même notaire le 11 septembre 1810. Ledit magasin est grevé de deux rentes foncières de 2,80 fr et 0,80 fr au profit de la ville
3. les trois 6° du jardin 1. de Frédéric Charles Thimothée Emmerich, 2. Marguerite Sophie Emmerich, 3. Caroline Concorde Emmerich, par acte reçu M° Ubersaal le 17 novembre 1812, héritiers pour un 6° de son père, acquis un 6° de la veuve Goetz née Bischoff sa sœur, aux vendeurs par abandon fait par les héritiers Helmstetter d’outre Rhin lors de la conclusion du procès qui s’était élevé entre eux, grevé d’une rente foncière de 16 francs
Adjudication préparatoire n° 3513, le 18 janvier
Rapport d’experts du 10 juillet, André Subbinger et Jean Schweighaueser les deux architectes et Jean Frédéric Elles, garde forestier domicilié à Plobsheim
dans la maison désignée ci dessus, avons constaté qu’elle consiste 1. en une maison construite à rez de chaussée surmonté d’un étage marquée n° 3, la partie extérieure du rez de chaussée de ce bâtiment et le pignon vers M Destrait sont construits en maçonnerie, le reste en galandure. il a deux portes cochères, le rez de chaussée dont une partie sur cave solivée divisé en plusieurs parties par des cloisons en lattes contenant une chambre et un cabinet, une cuisine et un escalier, écurie, remises et hangard privés et un second escalier. L’étage contient 8 pièces et un cabinet avec cuisine et vestibules. Ce bâtiment est couvert d’une toiture unie en tuiles doubles sous laquelle est un grenier,
2. en une maison construite à rez de chaussée surmontée de deux étages et marquée du n° 2. Le rez de chaussée et le premier étage de ce bâtiment sont construits en maçonnerie ainsi que les deux pignons, le second étage est construit en galandure. Le rez de chaussée dont une partie sur cave solivée a une porte d’entrée de la rue, il contient un escalier, un logement composé d’une pièce et de deux petites chambres et un grand emplacement inhabitable servant de magasin. Le premier étage contient un escalier, 2 pièces et 2 salons. Le second étage inhabitable sert de grenier. Ce bâtiment est couvert d’une toiture unie en tuiles doubles sous laquelle deux greniers carrelés,
3. en une maison bordant le fossé étroit du Faux Rempart constuite à rez de chaussée surmontée d’un étage avec échoppe adossée. La façade entière de ce bâtiment vers le fossé et le pignon vers le Sr Stuber sont construits en maçonnerie, le reste est en galandure. Le rez de chaussée inhabitable est réuni à l’échoppe adossée sert de magasin, il contient un puits à sceaux. L’étage ayant un balcon vers le fossé contient 6 pièces et 2 cuisines et latrines, le bâtiment est couvert d’une toiture unie à tuiles doubles sous laquelle est un grenier distribué en plusieurs chambres. Le second et le troisième bâtiment sont réunis par une maisonnette à un étage sur rez de chaussée et servant de cage d’escalier, elle a un pignon en maçonnerie et une porte d’entrée et vue dans le petit cum de sac susmentionné,
4. en un bâtiment servant de magasin construit en charpente et siégant le long du fossé sur un socle en maçonnerie fort élevé ayant pignon en maçonnerie à hauteur du rez de chaussée vers les maisons Detrait, il y a un étage sur rez de chaussée et deux greniers, il est couvert d’une toiture à séchoir à tuiles doubles. Ce bâtiment contient une buanderie et une scierie mue par un timpan de grue à double harnais lequel se trouve sous une toiture unie à tuiles doubles réunissant ce bâtiment avec le bâtiment suivant,
5. en un bâtiment servant de magasin construit en charpente avec échoppe adossée, il y a deux étages sur rez de chaussée et deux greniers et pose du côté de M Destrait sur un pignon en maçonnerie à hauteur du rez de chaussée couvert d’une toiture unie à tuiles doubles. Ce bâtiment contient une écurie.
6. en un petit bâtiment réuinssant le cinquième et le premier bâtiment contenant une écurie et un grenier à foin. Il est construit en galandure a un pignon en maçonnerie à hauteur du rez de chaussée vers M Destrait et est couvert d’une toiture unie à tuiles doubles. La toiture de ces bâtiments renferme une cour ayant un abreuvoir dans le fossé du faux rempart où ces bâtiment y aboutissant sont garantis par une risberme
nous nous sommes rendus dans le magasin désigné ci dessus (nous avons) reconnu qu’il se compose 1. d’une maison à un étage sur rez de chaussée marqué n° 71 très vétuste et tombant en ruines construite en galandure dont le rez de chaussée est inhabitable par délabrement, l’étage contient 3 chambres, cuisine et vestibule, la toiture est unie et à tuiles simples sous la quelle est un grenier,
2. d’un magasin marqué n° 72 construit en charpente et clos de planches, néanmoins une partie d’un long pan dudit magasin est construite en maçonnerie. Ce bâtiment ne contient qu’un rez de chaussée surmonté d’une toiture unie à tuiles doubles sous laquelle se trouve un grenier. Devant l’entrée de ce magagin se trouve un terrain désert y appartenant qui autrefois était surbati,
3. d’un bâtiment construit en galandure à un étage sur rez de chaussée qui sert d’écurie et d’échoppe, l’étage sert de magasin, il est couvert d’une toiture unie à doubles tuiles. Devant ce bâtiment se trouve une cour et un jardin fermés par une cloison en planches, le jardin contient un puits à sceaux mitoyen avec la veuve du Sr David Sieffert.
De la nous nous sommes transportés par la porte d’Austerlitz dans le jardin susmentionné que nous avons trouvé avoir la contenance d’environ 40 ares. Ce jardin est clos par le haut (le long de la route du Rhin) et par le bas par une claire voie en lattes, il est bordé à l’Ouest par une haie vive et à l’est par la digue du Ziegelwasser. Ce jardin dont la situatuon élevée le garantit des inondations est ensemencé de bled de turquie, de navets et de différents légumes, il contient quantité d’arbres fruitiers, plusieurs treilles et une petite maisonnette construite en charpente. Au bas du talus de ladite digue à l’est se trouve un terrain marécageux planté d’osiers de la contenance d’environ 5 ares qui fait partie dudit jardin
Nous avons estimé le corps de bâtiment rue de la Toussaint à 18.000 fr, au Marais Vert 8000 fr, le jardin 1500 fr
acp 206 (3 Q 29 921) f° 115 Cahier des charges – acp 207 (3 Q 29 922) f° 154-v adjudication définitive

Jean Bischoff épouse en 1831 Barbe Dorothée Schieder, fille du boucher Jean Schieder
Mariage, Strasbourg (n° 394)
Du 17° jour du mois de septembre 1831. Acte de mariage de Jean Bischoff, mineur d’ans quant au mariage, né en légitime mariage le 17 novembre 1808 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Charpentier, fils de feu Jean Bischoff, marchand de bois, décédé en cette ville le 22 mars dernier, et de feu Marie Madeleine Küner, décédée en cette ville le 23 juillet dernier, et de Barbe Dorothée Schieder, majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 janvier 1807 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Schieder, ancien boucher, et de Dorothée Boettger, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante (signé) Jean Bischoff, Barbara Dorothe Schieder (i 11)

Jean Bischoff meurt en 1855 en délaissant trois enfants
1855 (17.12.), Strasbourg 10 (131), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 11.322
Inventaire de la succession de M. Jean Bischoff, en son vivant maître charpentier à Strasbourg où il est décédé le 25 juin 1855
L’an 1855 le 17 décembre à huit heures du matin, à la requête 1) de Mad° Barbe Dorothée Schieder, demeurant et domiciliéé à Strasbourg, veuve de Mr Jean Bischoff, en son vivant maître charpentier en la même ville, agissant en son propre nom à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle & son mari, et comme mère & tutrice naturelle de ses trois enfants nommés 1. Jean Baptiste Bischoff, né à Strasbourg le 21 décembre 1837, 2. Jean Théodore Bischoff, né en la même ville le 15 octobre 1839, 3. et Jean Charles Bischoff, né en ladite ville le 4 juillet 1841, tous les trois mineurs demeurant & domiciliés à Strasbourg avec leur mère
2° De Madlle Dorothée Sophie Bischoff, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée en la même ville
En présence de M Jonathan Goetz, marchand de bois, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme subrogé tuteur des dits mineurs Bischoff (…) Lesdits Dlle Bischoff & trois mineurs Bischoff habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un quart du dit M. Jean Bischoff leur père décédé à Strasbourg M° 25 juin 1855, comme seuls enfants issus du mariage avec la D° Bischoff sa veuve
en la maison mortuaire rue Saint Jean N° 3
Objets se trouvant dans l’hotel de la Ville de Nancy
Immeubles. 4) Une maison connue sous le nom de l’hôtel à la Ville de Nancy, sise à Strasbourg au faubourg national N° 14 (…)
acp 446 (3 Q 30 161) f° 15-v du 21.X.bre (succession déclarée le 22 Xbre 1855) Communauté. Mobilier estimé à 2067, argent comptant 332, créances 4121, extances 300, loyers 942
Une maison faubourg de Saverne N° 14 à Strasbourg et rue St Jean N° 3
Passif, dans lequel est compris la somme de 21.114 francs due suivant ouverture de crédit reçue Noetinger le 31 janvier 1850, 88.827
Garde robe 100

Jean Bischoff et Dorothée Schieder vendent la maison à Philippe Lauer et à Michel Joseph Klein.

1832 (10.11.), Strasbourg 14 (92), M° Ritleng n° 2891
Jean Bischoff fils, charpentier, et Dorothée Schieder
à Philippe Lauer, entrepreneur de travaux publics, et Michel Joseph Klein, garde magasin de l’entreprise des fortifications
un magasin composé de différents corps de bâtiment avec écurie, échoppe, jardin, cours &, puits le tout situé à Strasbourg Marais Vert n° 71 & 72, d’un côté et devant le Marais Vert, d’autre la veuve Sieffert – Etablissement de la propriété, de la succession de Jean Bischoff, marchand de bois en toute propriété acquis de Jean Bischoff son père, suivant cahier des charges et adjudication définitive sur surenchère. Le vendeur l’a acquis de son père devant M° Noetinger le 21 janvier dernier, feu le Sr Bischoff acquis de la manière suivante, la partie portant n° 72 de Thiébaut Schott, faiseur d’amadou, par acte reçu M° Ubersaal 30 mai 1810, les deux tiers du magasin de la partie dudit magasin portant n° 71 de Jean Schütz, jardinier cultivateur, et Marguerite Boersch, par acte reçu M° Ubersaal 8 sept. 1810 et le dernier tiers de Jean Georges Draess et Marguerite Federlin devant le même notaire 11 sept. 1810 – 13.000 fr
Enregistrement, acp 213 F° 131 du 13.11.

Originaire de Lauterbourg, François Thomas Jean Philippe Lauer épouse Jeanne Caroline Lohrmann en 1835
1835 (9.6.), Strasbourg 15 (57), M° Lacombe n° 184
Contrat de mariage – François Thomas Jean Philippe Lauer, entrepreneur de travaux publics à Strasbourg, fils de Jean Philippe Lauer, entrepreneur de travaux à Lauterbourg, et de Françoise Rauber
Jeanne Caroline Lohrmann, majeure, fille de feu Jean Joseph Lohrmann, parmentier, et de Caroline Schweighaeuser
Enregistrement, acp 232 F° 10-v du 6.6.

Les entrepreneurs de travaux publics Philippe Lauer et Michel Joseph Klein forment une société dans laquelle ils apportent les chantiers sis aux n° 71 et 72 du Marais Vert

1840 (3.4.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 77 F° 38-v
Traité, 31 mars 1840 – François Thomas Jean Philippe Lauer et Michel Joseph Klein tous deux entrepreneurs de travaux publics demeurant à Strasbourg pour continuer les entreprises de travaux de construction et autres spéculations se rattachant à ce genre d’industrie qu’ils ont faites en commun depuis le 18 juin 1823
2. cette société commence le 1 avril 1840 pour durer jusqu’au 1 avril 1850 sous la raison de commerce Lauer et Klein, le domicile sera à Strasbourg rue du Marais Vert n° 71 et 72
4. chacun des associés apporte en société en toute propriété de jouissance sa moitié des biens savoir :
un chantier sis au Marais Vert n° 71 & 72
une maison, jardin, appartenances, dépendances rue Clément n° 11

Originaire de Wasselonne, Joseph Michel Klein meurt en 1840 à l’âge de 42 ans.
Décès, Strasbourg (n° 2015)
Déclaration faite (…) à heuf heures du matin le premier octobre 1840. Acte de décès de Joseph Michel Klein, âgé de 42 ans, né à Wasselonne (Bas Rhin), Entrepreneur de travaux, nom marié, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le premier du mois courant à quatre heures du matin dans la maison située N° 91 Vieux marché aux vins, fils de feu Christophe Klein, juge de paix et de Barbe Wenger, Premier déclarant Philippe Joseph Wenher, âgé de 33 ans, Entrepreneur des Fortifications, deuxième déclarant Antoine Adolphe Wenger, âgé de 30 ans, Propriétaire, tous deux cousins germains du defunt [in margine :] cancer de l’estomac (i 50)

Ses héritiers vendent la part de ses immeubles à son associé Philippe Lauer

1840 (20.11.), Strasbourg 1 (86), M° Rencker n° 15.435
Partage de la masse active – sont comparus Marie Barbe Wenger veuve de Christophe Klein, juge de Paix à Wasselonne demeurant à Strasbourg légataire universelle du défunt son fils Michel Joseph Klein, entrepreneur de travaux publics, suivant testament olographe du 27 septembre 1837 déposé au rang des minutes de M° Rencker, François Thomas, Jean Philippe Lauer, entrepreneur de travaux publics – M Klein et M. Lauer ont établi une société sous la raison Lauer & Klein par acte sous seing privé du 31 mars 1840 enregistré le 3 avril
à M. Lauer
masse 1. un magasin et un chantier situé au Marais Vert évalués par l’acte de société à 15.000 francs
2. une maison et jardin avec passage sis à Strasbourg rue Clément n° 11, à 25.000 francs
3. une gravière près du Polygone à 1200 fr
Enregistrement, acp 283 f° 24-v du 25.11

La maison figure à l’article 12 du jugement d’expropriation rendu pour établir le premier débarcadère (gare) du chemin de fer.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.