11, rue du Foulon
Rue du Foulon n° 11
IV 171 (Blondel) – P 628 puis section 58 parcelle 20 (cadastre)
Partie de l’actuel 5, rue Hannong
L’ancien numéro 11, rue du Foulon occupait à peu près les deux premières travées du bâtiment rose, construit au début du XX° siècle par le fabricant de meubles Jacquemin qui possédait aussi la maison à l’arrière (46, rue du Jeu-des-Enfants)
La maison comprend un bâtiment sur rue (à un seul étage et pignons en pierre) et un bâtiment accessoire de chaque côté de la cour (voir le billet d’estimation de 1720). Elle est construite sur un terrain plus étendu que la plupart des petites maisons au nord et de l’autre côté de la rue, ce qui en explique la valeur, 800 livres, soit 1 600 florins au cours du XVIII° siècle. Elle appartient jusqu’au XIX° siècle à des artisans (tailleur, ramoneur, maçon).
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 49
Côté oriental de la rue du Foulon, de la rue du Jeu-des-Enfants (i) à la place du Fossé des Tanneurs (j)
L’Atlas des alignements signale un rez-de-chaussée et un étage mauvais en maçonnerie qu’on voit sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 au-dessous de la lettre g (gris), vers le milieu de l’alignement. C’est la seule maison à un étage. La façade sur rue a deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, trois fenêtres à l’étage et deux niveaux de greniers. La cour allongée (R) représente le bâtiment sur rue entre (2) et (3), le fond de la cour (4-1), un bâtiment latéral bas au sud (1-2) et un bâtiment accessoire à deux étages (3-4) au nord.
Le cadastre ne signale aucune modification : le bâtiment conserve son état ancien jusqu’à ce que le fabricant de meubles Jacquemin l’acquière dans la première décennie du XX° siècle et construise le bâtiment actuel en arrière de l’ancien alignement (voir l’élargissement de la rue).
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1648 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Tobie Meyer, brodeur sur soie, et (1627) Anne Marie Karg – luthériens | ||
Jean Guillaume Alberthal, tailleur, préposé aux enchères depuis 1684, et (1657) Elisabeth Meyer puis (1706) Marie Madeleine Kellermann, auparavant femme (1696) du taileur Nicolas Augsburger – luthériens | ||
1720 | h | Jean Guillaume Alberthal, pasteur, et (1700) Marie Barbe Christ – luthérien |
1747 | v | Jean Jacques Gerold fils de Joachim, ramoneur, et (1731) Catherine Elisabeth Abt, auparavant femme (1725) du marchand de bois Jean Thiébaut Vogt – luthériens |
1784 | v | Thomas Oberreuter, maçon, et (1769) Anne Marie Burtz remariée (1792) au plâtrier Jean Michel Martin Kerlein – catholiques |
1791 | v | Louis Henry, journalier, et (1788) Anne Marie Leber – catholiques |
1827 | v | Constantin Vaccari, capitaine de cavalerie, maire de Dorlisheim, et (1835) Catherine Madeleine Tauffenberger veuve de Nicolas Réné Gilliez, puis (1846) Joséphine Caroline Kübler |
1868* | v | Jean Jacques Schleicher |
1905* | v | Cerf Israël, commerçant, et Eve Calman |
1909* | v | Fabrique strasbourgeoise E. Jacquemin |
(1765, Liste Blondel) IV 171, Jacques Guerold fils de Joachim
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 628, Wackary / Vaccarii, maire à Dorlisheim – maison, sol, cour – 2,1 are
Locations
1827, Jean Claude Chevalier, remouleur
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Description de la maison
- 1706 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment accessoire et une cour, le tout estimé à la somme de 500 florins
- 1720 (billet d’estimation traduit) la maison entre deux pignons en pierre comprend plusieurs poêles, chambres, vestibule où se trouve un puits, cave voûtée, vieux bâtiment accessoire qui comprend un petit poêle, une petite chambre, un petit atelier de tisserand, de l’autre côté de la petite cour un petit bâtiment accessoire où se trouve une petite cuisine, une buanderie, petite maison et courette, le tout estimé à la somme de 625 florins
Atlas des alignements
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Foulon (f° 14)
nouveau N° / ancien N° : 8 / 20
Henry
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 192 case 3
Vaccari Constantin, Maire à Dorlisheim
P 628, maison et cour, sol, rue du foulon 20
Contenance : 2,10
Revenu total : 82,09 (81 et 1,09)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 825 case 2
Vaccari Constantin, quai au Sable 4
1868 Schleicher Jean Jacques, rue du jeu des enfants 44 / die Erben
1905 Cerf Israel Kaufmann u. Ehefr. Eva geb. Calmon in Gtg.
1909 (3299) Straßburger Kunstmöbelfabrik E. Jacquemin offene Handelsgesellschaft
(ancien f° 573)
P 628 (P 648 sic), maison, sol, Rue du Foulon 11
Contenance : 2,10
Revenu total : 82,09 (81 et 1,09)
Folio de provenance : (192)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 32 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 31 p. 324 case 5
Parcelle, section 58, n° 20 – autrefois P 628
Canton : Stampfgasse Ns N° 11
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,95 – 1,64 – 1,61 – 1,60
Revenu : 800
Remarques : 1911 ab S. 345 F. 1
ab 1912 S. 345 F. 1
1913 ab S 346 F. 4
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 1554
Strassb. Kunstmöbelfabrik E. Jacquemin
1927 Fabrique strasbourgeoise E. Jacquemin société com.
1934 Immeubles Jacquemin frères société à.r.l.
1941 Strassburg. Kunstmöbelfabrik E. Jacquemin G.m.b.H.
(245)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 95 Rue du Foulon (p. 223)
(maison n°) 20
Pro: Obereuter, Thomas, platrier – Maçons
loc. Kiefer, Sébastien, chargeur – Manant
loc. Otto, Anne, V° – Manante
loc. Henri, Louis, Revendeur – Moresse
loc. Fischer, François Joseph, menuisier – Charpent.
loc. Brück, Michel, fesseur de bas – Drapiers
loc. Sager, Susanne Elisab. V°
loc. Sandner, Marie Madel. femme separée
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Stampfgasse (S. 170)
(Haus Nr.) 11
Wüst, Maurer. 0
Haller, Schuhmacherm. 1
Kuntz, Tagner. 1
Lazarus, Schuhmacher. 1
Scherbeck, Schuhmach. 1
Schir, Telegr.-Arbeiter. 1
Hamet, Waschfrau. 2
Sarnger, Tagner. 2
Wirth, Tagner. 3
Relevé d’actes
Anne Marie, veuve du brodeur sur soie Tobie Meyer, et ses deux enfants hypothèquent la maison au profit de la tribu des Bouchers
1653 (30. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 685
Erschienen H Hannß Georg Rosa der Seidenstickher und Statt Gerichts Beÿsitzer als Vogt Annæ Mariæ, weÿl. Tobiæ Meÿers deß Seidenstickhers nunmehr seel. nachgelaßene Wittibin, Und Daniel Unselt der hornträher alß vogt hannß Jacob Meÿers und Jungfr. Elisabethæ Meÿerin /:so selbst gegenwärtig war:/ ersternanndts Tobiæ Meÿers mit ihro Anna Maria ehelich erziehlter Kinder
hatt in gegensein deß Ehrenvest- und weÿsen H Henrich Kochen E.E. groß. Rhats alten Beÿsitzers und deß Ehrenvest hochwohlgelehrten H Johann Joachim Frantzen Fünfzehen Secretarÿ beede alß Testamentarÿ der testament Geschäfft beÿ E.E. Zunfft der Metzger Zur Blumen – schuldig seÿen 25 Pfund
Underpfand sein solle ihr der Muter Behaußung mit allen deren Gebäwen & alhie in d. Stampfgaß. einseit neben Mathiß Lang von Marlenheim, anderseit neben hannß Anthoni Gerold dem Gaminfegern, hind. uff Wilhelm Gut Jahrs Garten stoßend gelegen
Tobie Meyer, fils du receveur de l’hospice des vérolés, épouse en 1627 Anne Marie Karg, fille de tisserand
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 179-v)
1627. Dominica Septuagesimæ. Tobias Meÿer der Seidensticker Hr. Jacob Meÿer gewesenen Schaffner im blaterhauß allhie nachgelaßener Sohn, J. Anna Maria hanß Jacob Kargen deß leinenwebers allhie nachgelaßene tochter. den 30. Jan: (i 185)
Les actes ultérieurs mentionnent que la vente antérieure date de 1631. Elisabeth Meyer, fille du brodeur sur soie Tobie Meyer, apporte la maison en se mariant avec le tailleur Jean Guillaume Alberthal, originaire de Gemünden en Hunsrück. Contrat de mariage passé à la Chambre des Contrats, célébration
1657 (31. 8.br.), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 470-v
(Prot. fol. 94. Eheberedung) Erschienen hannß Wilhelm Alberthal von Gemünden vff dem Hunnsrückhen, der Schneid. und Burg. zu Straßburg alß Hochzeiter, mit beÿstand Peter Weÿlers deß Schneiders und Burgers alhie, an einem,
So dann Jungfr. Elisabetha, Weÿl. Tobiæ Meÿers deß Seidenstrickhers Burgers Zue Straßburg nachgelaßene eheliche dochter, alß hochzeiterin, mit beÿstand H Hannß Caspar Wolffen E.E. groß. Rhats Beÿsitzers ihres Pfettern, Daniel Unselts deß hornträhers ihres Vogts und hannß Jacob Meÿers deß buchbinders ihres eheleiblich. Bruders am andern theil
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 82-v, LVIII)
1657. mehr zum 2. mal Johann Willhelm Alberthal von Gemünd. auff d. hunds Ruck, der Schneid. allhier, Weilandt Anthoni Alberthal der Burger und Jipsers daselbs hinterlaß. Ehel. Sohn, und J. Elisabeth, Weiland Tobiæ Meÿer des Burgers und Seidenstickers alhier hinterlaßen Ehel. Tocht – Mont. 9. 9.br. Maurst. Münst, Weinstich. (i 84)
Jean Guillaume Alberthal devient bourgeois quelques jours après son mariage
1657, 4° Livre de bourgeoisie p. 313
Johann Wilhelm Alberthal v. Gemünden Vffm Hundts Ruck, empfangt d. burgerrecht v. seiner Haußfr. Elisabeth Thobiæ Meÿers des Seidenstickers Vnd burgers allhie dochter, Vmb 8. goltR. welche er beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist hieuor ledig. Standts gewesen, will zu E.E. Zunfft deer Schneid. dienen. Jurav: 24. 9.bris 1657.
Jean Guillaume Alberthal et sa femme Elisabeth hypothèquent la maison au profit de Catherine Bilger, représentée par son tuteur
1676 (27. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 105
Hannß Wilhelm Alberthal der Schneider undt Elisabetha sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn hannß Michael Gilgen und Herrn Jonæ Andreßen Von Veßenheim beÿder alß aus E.E Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein Philipp Metzgers deß weißbeckhens alß Vogts Catharinæ Bilgerin – schuldig seÿe 150 Pfund
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders hoffstätt mit allen deren Gebäden begriffen und zugehördten alhier im Stampffgäßlein einseit neben Jacob Gerold dem Caminfeger anderseit neben Mathis Langen Von Marlenheim Erben, hinden uff der Carthäußer Zu Molßheim Garten stoßend gelegen
[in margine :] Erschienen Johann Sebastian Ott der Gerber, alß der hierinn gemeldten Catharinæ Bilgerin ietzmahliger Ehevogt (quittung) act. d. 2.ten Jul. 1686
Les Trois de la Tour aux Deniers nomment deux préposés aux enchères après la mort des précédents titulaires, Philippe Louis Bender, recommandé par le syndic Günter, et Jean Guillaume Alberthal, soutenu par de nombreux autres. Jean Guillaume Alberthal remet le titre de sa maison en caution.
1684 (31.8.), VII 1370 Directeurs fonciers
(f° 59) Dienstags den 29. Augusti. Käufflerwahl – Nach Absterben Friderich Balthasar Kältter, deß Käufflers, haben sich umb deßen vacirende Käufflerstell geschrieben gegeben, Friderich Ludwig Bender, Johann Zittelin, Johann Wilhelm Alberthal, und Johann Jacob Gumprecht, alle 4. Schneider. Weilen nun Von H Syndico Güntzern Friderich Ludwig Bender eÿfferig recommendirt worden, Johann Jacob Alberthal aber von Vielen andern auch ein Gueter Zeugnuß hat, alß Wurde erstlich proponirt, weilen ane statt Hannß Jacob Ehrlins, deß Vor einem Jahr verstorbenen Käufflers, deßen stell noch nicht ersetzt worden, auch Vor Weniger Zeitt acht Käuffler geweßen, ob nicht für dießes mahl 2. Zuerwählen weren ? Demnach nun solches für guet befunden, ist Philipp Ludwig Bender für den ersten, und Joh: Wilhelm Alberthal für den andern, und Zwahr ieder unanimiter zu Käufflern erwöhklet worden.
(f° 59-v) Donnerstags den 31. Augusti. Joh. Wilhelm Alberthal – 59-v) Johann Wilhelm Alberthal, der Vor 2. Tagen erwählte Käuffler, bringt seinen über eine behaußung in dem Stampffgäßel besagendt, loco cautionis, so für sufficient angenommen worden.
Philipp Ludwig Bender – Philipp Ludwig Bender, überlüffert Zur Caution 3. contract verschreibungen, zusammen 300. lb. d besagendt, so er auff eine behaußung auff dem altten Weinmarckt Gelühen, hat zugleich handtreü abgelegt, ahne deß Pfenningthurns Vorwißen nichts dauon ablößen Zulaßen und seindt hie Vorbeschriebene beede Documenta inn die Caution lad. gelegt worden.
Jean Guillaume Alberthal, tailleur et préposé aux ventes, hypothèque la maison au profit du marchand Tobie Kips
1692 (12. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 464-v
H. Hanß Wilhelm Alberthal der Schneider und Käuffler
in gegensein Hn Tobiæ Kipß des Handelßmanns für sein Person – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, Zweÿ häußer, Ein vorders und ein hinders, hoffstätt mit allen deren Gebäuen, begriffen und zugehördten, allhier im Stampffgäßel, einseit neben Jacob Geroldt dem caminfeger anderseit neben Matthis Langen von Marlenheim Erben hinten auff der Carthaußer zu molßheim Garten stoßend gelegen
Jean Guillaume Alberthal et Elisabeth Meyer hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Wetzel, secrétaire en chef de la Tour aux Deniers
1702 (2.1.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 1
H. Joh: Wilhelm Alberthal der Schneider Und Käuffler Und Elisabetha geb. Meÿerin mit beÿstand Johann Scheürings des Schloßers Und Friderich Benders Auff Wärters beÿ derm löbl. Collegio Sanitatis Ihres respectivé Vetteren Und Schwagers
in gegensein Johann Georg Wetzels Ober secretarÿ des Pfenningthurns allhier schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Zweÿ Haüßer, Nemblich Ein vorderes Und ein Hinderes Hoffstatt mit allen deren Gebaüen, begriffen Und Zugehördten allhier im Stampff Gäßel einseit neben Jacob modo Joachim Gerold dem Caminfeger anderseit neben Matthis Lampen Von Marlenheim Erben hinten auf der Carthäußer zu Molßheim Gartten stoßend gelegen
Elisabeth Meyer meurt en 1706 en délaissant un fils, le pasteur Jean Guillaume Alberthal. Les experts estiment la maison 250 livres. Le veuf n’a pas de biens propres à inventorier, la masse de l’héritier s’élève à 117 livres. L’actif de la communauté s’élève à 64 livres, le passif à 62 livres
1706 (27.7.), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 8)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab, nahrung und güther, liegender und vahrender, so weÿland die Viel Ehren und Tugendsahme fraw Elisabetha Gebohrne Meÿerin, deß wohl Ehren vesten, Groß achtbahren und weisen herrn Johann Wilhelm Alberthals E: E: Kleinen Raths alten beÿsitzers, und dießer Statt geschwornenn Inventier Käufflers, burgers allhier zu Straßburg geweßenen eheliche haußfraw, nun mehro seelige, nach ihrem den 9.ten Martÿ dießes lauffenden 1706.ten Jahres genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen hinterlaßen, welche uff ansuchen, erfordern und begeheren deß wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn M. Johann Wilhelm Alberthals, treweÿfferigen Pfarrherrens der Evangelische, Gemeind Zu Zehenacker, Waßlenheimer Ambts und Straßburger Jurisdiction, und auch burgers zu gedachtem Straßburg, der seelig verstorbenen, Frawen mit dem hinterbliebenen herrn wittibern ehelich erzeugten Herrn Sohns und hinterlaßenen eintzigen Erbens ab intestato – Geschehen Zu Straßburg den 27. Julÿ 1706.
In einer allhier in der Statt Straßburg ane dem Stampffgäßel gelegenen in dieße verlassenschafft gehörigen behausung befund. word.
Auff d. bühn, In der Cammer A, Im hind. hauß, In der Wohnstuben, Inn d. Kuch., In der Cammer D
Eigenthumb ahne einer Behaußung (E.) Item hauß, hoffstatt, höflein und bronnen sambt allen andern begrifen weithen und Gerechtig Keiten, gelegen allhier in d. Statt Straßburg, ane der Stampfgaßen geleg. 1.s neben herrn Joachim Gerold dem Caminfäger, 2.s neben einem Reebmann von Marlenheim, hinren auf der Carthäußer Garten stoßend. davon gehen Jahrs 7. lb 10. ß d Zu Zinß termino I° Januarÿ herrn Johann Geörg Wetzeln Ober secretario des allhies. Pfenningthurn ablößig in capital mit 150. lb d sonsten freÿ ledig und eÿgen, und durch d. Statt Straßb. geschworne Werckleuthe den 20. Julÿ 1706. Crafft deß Zu mein. deß Notarÿ Inventarÿ concept geschickten abschatzungs scheins angeschlag. umb 250. lb. abgezogen obige beschwerde restirt noch 100. lb. der darüber besagende brieff soll vf allh. Pfenningth. lieg.
– Abschatzung den 20. Julÿ aô 1706. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Wilhelm Alberthal Käuffler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Stampff gäßel gelegen, einseits neben herren Gerold dem ältern Caminfeger, einseits [sic] neben einem bauren hauß naher Marlenheim gehörig, hinden auff der Carthäuser garten stosend, Welche behausung, Nebensgebäu und höfflein sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befubdeb und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Fünff Hundert gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Ergäntzung deß herrn Erben ohnveränderten Ermanglenden Mütterlich Guths, Crafft Special theilregisters über das jenige so die selig verstorbene fraw, auß weÿland frawen Annä Mariä Meÿerin gebohrner Kargin ihrer Mutter seelig. Verlassenschafft in anno 1667. erblich Zugefallen
Norma hujus Inventarÿ. Solte deß Herrn Wittibers ohnverändertes gut beschrieben werden, weil aber nichts aufgeschrieben worden alß hat mann auch nichts darvor setzen noch ersuchen können
deßwegen Gleichbalden deß Herrn Erben ohnverändertes Mütterliches Gut beschrieben, hausrath 15, Eÿgenthumb ane einer behaußung 100, Ergäntzung 1, S.S. 117 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Gut beschrieben, haußrath 32, Silber geschirr und Geschmeid 2, Guldener Ring 1, baarschafft 27, Summa summarum 64 – Schuld 1, Verbleibt 62. lb
deß Herrn Wittibers Wÿdemb 118 – Conclusio finalis Inventarÿ 180. lb
Jean Guillaume Alberthal se remarie en 1706 avec Marie Madeleine Kellermann, veuve du tailleur Nicolas Augsburger : célébration, inventaire des apports
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 119-v)
1706 Heut dato den 10. 9.bris haben sich Christlich Copuliren Und Ehelich Einsegnen laßen Herr Johann Wilhelm Alberthal der Burger U. Kaüffler wie auch Eines Ehr. Kleinen Raths alhier alten beisitzers Und Maria Magdalena Weÿland Niclaus Augspurgers gewesenen burgers Undt schneiders alhier nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] johan wilhelm alberthal Als hoh Zeider, Maria Magtalena als hoch Zeiter Kellermennin (i 129)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 141) 1706
L’inventaire des apports décrit la maison comme à l’inventaire précédent. Le fils a laissé à son père la jouissance de sa part à la succession maternelle
1708 (24. 7.br), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 10)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güther, so der wohl Ehren Veste, Großachtbare und weiße Herr Johann Wilhelm Alberthal E.E. Kl. Raths alter beÿsitzer und geschwohrner Inventier Käuffler, und die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Magdalena gebohrne Kellermännin, beede Eheleuth und burgere zu Straßburg Vor ohnverändert in den Ehestand gebracht – geschehen in beÿsein Meister Johann Keßlers deß leinenwebers alß der frauen annoch ohnentledigter Vogt, Straßburg den 24.ten Sept: 1708
Behaußung (H.) It. i. hauß, hoffstatt, höflein vnd bronnen sambt allen andern begrifen weithen, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg, ane der Stampfgaß gelegen einseit neben herrn Joachim Gerold dem Caminfäger, anderseit neben einem Reebmann von Marlenheim, hinten auff der Carthäußer Garten stoßend. davon gehen Jahrs 7. lb 10. ß d Zu Zinß termino 10° Januarÿ herrn Johann Geörg Wetzeln, Ober secretario des allhießigen Pfenningthurns ablößig in Capital mit 150. lb d sonsten freÿ ledig und eÿgen, und durch der Statt Straßburg geschworne werckleuthe den 20.ten Julÿ 1706. angeschlagen vor 250. lb. abgezogen obige beschwerde restirt annoch 100. lb. der darübe besagende brieff soll auff allhießigen Pfenningthurn liegen, dieße behaußung ist Zwar deß herrn Alberthals herrn Sohns eÿgenthumblich Mütterlich Guts daran der vatter Zwo tertzen ad dies vitæ wÿdums weiß zugenießen hätte, die übrige einte tertz dem herrn Sohn vor ohnverfangen gehörig wäre, weil aber Erst wohlberührter Sohn seinem Herrn vattern Herrn Alberthal seine völlige mütterliche Erbschafft gäntzlich überläßet und solche erst nach seinem tod suchet, alß wird sothane behaußung umb beßerer richtigkeit willen, hier dießem Inventario vorstehend. maßen völlig eingetragen sonderlich da des herr Sohn nur ein Eintziger Erb ist, und seine Kindliche pflicht gegen seinem herrn Vatter alß Ein Geistlicher Herr, Wohl und rühmlich beobachtet.
Eÿgenthumb ane einer behaußung (F.) Item ein hauß ane der Burggaß (…)
Wÿdemb, so herr alberthal ad dies vitæ geneußt. Solcher bestehet in deßelben ersten frawen seeligen weÿlandt frawen Elisabethæ gebohrner Meÿerin ohnverändertem Gut und der tertz an der theilbarren Errungenschafft, salvâ legitimâ, wie fol: 41. fac: 1 deroselben verlassenschafft Inventarÿ de aô 1706 Zusehen (…) 118 lb
Norma, des H. Alberthals, haußrath 89, Werckzeug Zum Schneid. Handwerck gehör. 1, Käuffler geschirr 4, Silber geschirr und geschmeid 5, baarschafft 16, Eÿgenthumb ane einer behaußung 100, Summa summarum 216 lb
der frauen, haußrath 65, Silber 3, Guld. Ring 19, baarschafft 11, behaußung 75, Summa summarum 173 lb
Jean Guillaume Alberthal meurt en 1720. Les experts estiment la maison 212 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 128 livres. L’actif de la succession s’élève à 277 livres, le passif à 214 livres.
1720 (17.4.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 26) n° 715
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, liegender und Vährender Verändert und unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehren Veste, Weiße und Wohl Vorachtbahre Herr Johann Wilhelm Alberthahl E: E: kleinen Raths allhier geweßener wohlverdienter alter beÿsitzer und geschworner burger Käuffler auch burger allhier zu Straßburg, nach seinem den 21.t Martÿ dießes instehenden 1720.ten Jahrs aus dießer welt genommenen seel: hientritt zeitl: verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrwürdig und wohlgelehrten herrn M. Johann Willhelm Alberthals, beÿ der Evangelischen Gemeind der Kirchen Zu St: Willhelm allhier trewfleißigen Diaconi, alß deß Verstorbenen, seel: hinderlaßenn einigen Sohns und ab intestato rechtsmäßigenn Erbens, welcher aber sich hiebeÿ das Beneficium legis et Inventarÿ expressé Vorbehalten hat Inventirt und Ersucht, durch die Ehren und tugendsahme Fraw Mariam Magdalenam gebohrne Kellermännin die diß Orths Wittib beÿständlich deß Ehrsamen und bescheidenen Meister Johann Scheurings, Schloßers und burgers allhier, Ihres geschwornen Vogts – Actum in der Königlichen Statt Straßburg mittwochs den 17.ten Aprilis Anno 1720.
In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg ahne dem Stampffgäßlein gelegenen eingangs ged. H. Sohn und beneficial Erben behausung befunden worden Wie volgt
Ahne Höltzen: und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Stub Cammer, In der Wohnstub, Im Keller
Eigenthumb ahne einer Behaußung (E.) Ein Kleines bawälliges häußlein, Höfflein und hoffstatt mit allen deßen übrig. begriffen weithen rechten, Zugehördten und Gerechtig Keiten gelegen allhier in der statt Straßburg ahne dem Stampfgäßlein eins. neb. Michel Gerold dem Caminfeger, 2.s neb. Conrad Sternen dem Crentzelmacher, hinden auff den Chartheußer Garten stoßendt. Davon hat man gegeben 7. lb 10. ß d. Zinnß Jährl. auff d. 10.ten Januarÿ weÿl. H. Joh: Georg Wetzels deß gewesenen ältern Pfenningthurns Secretarÿ allhier Wittib und Erben, so aber ohnlängsten dh. H. Diaconi Alberthal den dißheutig. beneficial Erben ex proprio eingelößt worden und alßo ihme gebührig in Capital 150. lb. Sonsten über solche beschwerdt gegen jeedermänniglichen freÿ Ledig und eigen, und die dh. d. St: Straßb. geschworne Werckleuthe, Vermög Ihrer Zu dem concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung sub dato 13.ten Maÿ Anno 1720. annoch æstimirt Vor 212. lb. 10. ß. Darüber ist vorhanden i. pergamentener Kauffbrieff m. d. St: Straßb. anhangendem Kleinern Secret Insigel Verwahrt, datirt d. 9.ten Decembris A° 1631. mit N. 1 et 2 notirt. Welcher auff allhießiger Statt Pfenningthurn alß eine Caution so ein jeder burger Käuffler Wann er angenommen wird zu leisten schuldig ist, hinderlegt seÿn solle und nunmehro von der wieder erhebt werden kahn.
(W.) Item hauß hoffstatt und höfflein ahne der Burggaß (…)
Ergäntzung deß H Erbens abgegangenen ohnveränderten Vätterl. Guths. Vermög Inventarÿ über deß Verstorbenen H. seel. Zu Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Kellermännin seiner Zweÿten Ehefrauwen (…) durch Weÿl. H. Joh: Friderich Schatzen auffgerichtet
– Abschatzung d. 13.ten Maÿ ano: 1720: Weÿlandt deß Ehrenhafften Vnd bescheÿtenen: H: Joh. Wilhelm albenthaller, Käuffler: Seel: hinderlaßene Frau: Witib: Vnd Erben ist Eine behaußung Alhier in der statt Straßburg, in dem Stampff geßell gelegen, Ein Seith Neben Joh: Michäll Gerolt Kammin Feger, Ander Seÿth Neben Conrat Sternn, blumen Macher, hindten auff den H: Carteüßer Von Molßenheim Gardten stoßendt, welche behaußung, hoffstatt, ist Zwischen Zweÿ Steineren Gäbellen, stuben Kammern, hauß Ehren, darin Ein Brunen, Ein gewölbter Keller, Ein altes Neben gebeÿ darin Ein Stübell, Kämmerlein darunder, Ein Klein Weber Wärckhstatt anderseith Neben Ein höffel, Ein Klein Neben Gebeÿ daunder Ein Küchell, Nebens Ein bauch öffell, hinder häußel Vnd höffell Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit wie solches durch der Statt geschwornen Werckh leüthe in der besichtigung befundten Vnd dem Jetzigen preis Nach Angeschlagen wirt Vor undt umb Süben Hundter Zwantzüg Vnd Fünff Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der wittib Eigenthümlich ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 126, Sa. Silbergeschmeidts 1, Sa. Goldtener Ring 6, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 25, Sa. Schulden in das Erb zu geltendt 55, Sa. Ergäntzung 10, Summa summarum 128 lb
Des Herrn Erben Eigenthümlich ohnverändert Vätterlich Guth, Sa. haußrath 40, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 212, Sa. Abgegangenen ohnveränderten vätterlichen Guths 24, Summa summarum 277 lb – Schulden 214 lb Nach deren Abzug 62 lb
Le fils demande aux Trois de la Tour aux deniers de lui restituer l’acte d’achat de la maison qui a servi de caution à la charge de son père défunt
1720, Directeurs fonciers (VII 1389)
(f° 36-v) Dienstags den 16° Ejusd. [Aprilis 1720] Herr M. Joh: Willhelm Alberthal vmb entschlag. der Cautionis eingesetzten Haußbrieffs – Herr M. Johann Willhelm Alberthal Diaconus Wilhelmitanus, berichtet Mghh. unterthänig, daß nach deme Herr Johann Willhelm Alberthal sein seel: Vatter ohnlängstens verstorben, als hätten seine geschwisterde Ihme commission gegeben, den jenigen Haußbrieff vber eine in dem Stampffgäßel liegende behaußung besagend, so Er Cautionis loco, als Er a° 1684. Käuffler worden, eingesetzt hatte, Zuerheben mit unterth. bitte Ihme selbigen außhändigen Zulaßen und Zu entschlagen, und überlüfferte zugleich die Käufflerordnung, wie auch die inhanden gehabte Pfundzoll büchß. Erk. würd mit außlüfferung des eingesetzten haußbrieffs willfahrt. quod factum.
Marie Madeleine Kellermann, veuve de Jean Guillaume Alberthal, meurt quelques mois plus tard en laissant pour ses héritières ses deux sœurs. La succession comprend une maison rue du Fort
1720 (3.8.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 4) n° 132 (125)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Und Nahrung, so weÿland die Ehren und Tugendsahme frau Maria Magdalena Alberthalin gebohrne Kellermännin weÿl. H. Joh: Wilhelm Alberthal geweßenen Schneider Und E:E: kleinen Rats allhier seel. nachgelaßene wittib nunmehr seel. nach Ihrem d. 30. Julÿ dießes Innstehend. 1720. Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen – Actum Straßburg Sambstags d. 7. Aug. 1720.
Die Verstorbene Seelig hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen als vogt. 1. frau Dorotheam Kößelin gebohrne Kellermännin, weÿland Meister Johann Kößel geweßenen Leinenweber Vnd burgers allhie seel. nachgelaßene wittib, beÿständlich. H. Hannß Peter Avenarÿ Leinenwebers und burgers allhier deroselb. Vogts, welcher Von anfang biß zu end neben Ihro dem geschäfft abgewartet, 2. frau Elisabetham Speckin gebohrne Kellermännin weÿl. M. Simon Specks geweßenen hohlträhers Vnd burgers allhier seel. nachgelaßene wittib beÿständl. H Johann Christian Roßer schneiders deroselben erbettener beÿstandts, weilen Ihr Vogt Unpäßlich so auch in persohn dem geschäfft abgewartet, beede Zu gleichen portionen vndt antheilern
Copia Testamenti nuncupativi
In einer allhier Zue Straßburg ane der langen Straß gelegenen Und Fr. Speckin der einen Mit Erbin eigenthümlich zuständigen behaußung sich folgendermaßen befund.
Eigenthumb ane einer behaußung. Benantlichen hauß, hoffstatt Und höfflin ane der Burggaß (…)
Series rubricarum. Sa. haußraths 40, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener ring 2, Sa. baarschafft 1, Eigenth. ane einer behaußung 25, Summa summarum 71 lb – Schulden 2 lb, In Compensatione 49 lb
N° 134. Verkauff und Looßregisterlein
Le pasteur Jean Guillaume Alberthal, unique héritier de son père, meurt à la fin de la même année 1720 en délaissant quatre fils. L’inventaire est dressé dans une maison de la fabrique de l’église près de Saint-Etienne. La masse propre à la veuve s’élève à 306 livres, celle des héritiers à 80 livres. L’actif de la communauté est de 371 livres, le passif de 205 livres.
1720 (20. 9.br), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 27) n° 739
Inventarium über und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und fahrender, Veränderter und unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿland der Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrte Herr Mag: Johann Willhelm Alberthal, geweßener Treweifferiger Diaconus beÿ der Evangelischen Gemeind der Kirchen zu St: Willhelm allhier in Straßburg auch burgers daselbsten, nach seinem aus dießer kummervollen und Zergänglichen Welt den 31.t Augusti dießen Zuend lauffenden 1720.ten Jahrs genommenen seeligen hientritt den, Hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, deß Ehrenhafften, achtbaren und bescheidenen Herrn Abraham Bilgers Kieffers und burgers allhier alß geschwornenn Tutoris Johann Henrichs, Johann Gottfrieds, Johann Daniels und Johann Willhelm der Alberthalen, alß deß Verstorbenenn Herrn Pfarrers seel. mit nachgemelter seiner hinderbliebenen fraw Wittib ehelich erzeugten und hinderlaßenen Vier Kindern alß deßelben ab intestato nechster rechtsmäßigenr Erben Inventirt und erscuht durch die Viel Ehren und tugendbegabte fraw Mariam Barbaram gebohrne Christin die diß Orths Wittib beÿständlich deß Ehrenhafften und achtbahren herrn Johann Daniel Christen Kieffers und burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris – Actum in der Königlichen Stadt Straßburg Mittwochs den 20.ten 9.bris Anno 1720.
In einer allhier in der Stadt Straßburg ane dem Closter gäßlein gelegenen Zu der Kirchen St. Willhelm gewittmeten diaconat behaußung ist befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der obern Stuben, In der Stub Cammer, Im Hauß Öhren, In der Studier stub, In der Magd Cammer, In der hindern Stub
Ergäntzung der Erben agbegangenen ohnveränderten guths. Vermög Inventarÿ durch Herrn Johann Heinrich Lang Notarium den 11.ten X.brs 1700 auffgerichtet worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr. Wittib unverändert Vermögen. Sa. haußraths 29, Sa. Lährer Faß 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Goldener Rin 10, Sa. Schulden 60, Sa. der Ergäntzung (211, Abgang 18, Remanet) 193, Summa summarum 306 lb
Der Erben Eigenthümlich unveränderte Vätterliche Verlassenschafftn Sa. haußraths 54, Sa. Silber gescheids 6, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 212, Sa. der Ergäntzung (72, Abgang 205, compensando 132), Summa summarum 273 lb – Schulden 192 lb, Nach solchem abzug 80 lb
Das Gemein Verändert und Theilbahr Guth, Sa. haußraths 70, Sa. der Bibliothec 25, Sa. Weins und Lährer Vaß 120, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. goldener Ring 12, Sa. der Schuld 132, Summa summarum 371 lb – Schulden 205 lb, Nach deren Abzug 185 lb
Jean Guillaume Alberthal, alors diacre à Zehnacker, épouse en 1700 Marie Barbe Christ, fille du pasteur de Vendenheim
1700. Domin I et II Adventus proclamati sunt. Hr. M. Johann Willhelm Alberthal pfarrer Zu Zehenacker V. helffer Zu Waßlenheim Hr Joh:Wilhelm Alberthalers deß Käufflers V. beÿ E.E. Kleinen Rath alhie alt. Beÿsitzers ehl. Sohn, U. Jgf. Maria Barbara Hrn. M. Johann Heinrich Christ pfarrers Zu Vendenheim ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw. d 8. 10.bris [unterzeichnet] M. Joh. Wilhelm Alberthal alß Hochzeiter, Maria Barbara Christin alß hochzeiterin (i 105)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 76) Heut dato den 8. 10.br Anno 1700 seindt Ehelich Copuliret worden Sal. Tit. Herr Mr. Johann Wilhelm Alberthal Pfarrer Zu Zehenacker v. Helffer Zu Waßlenheim Hn Johann Wilhelm Alberthalers des burgers und Käufflers wie auch E.E. Kleinen Raths alhier alten beisitzers bede Ehelich. Sohn, Und Jungf. Anna Barbara S.T. Herrn M. Johann Hennrichs Christ Pfarrers Zu Vendenheim Eheliche Tochter. Diese Sind Zu Jungen St. Peter Copulirt Worden. (i 76)
Jean Guillaume Alberthal s’inscrit quelques semaines plus tard à la tribu des Tailleurs, métier de son père
1701, Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 6) d. 1. Februarÿ 1701. Newzünfftig. – Herr M. Johann Wilhelm Alberthal, Pfarrer zu Zehenackher herrn Johann Wilhelm Alberthalß ehelicher sohn bittet seines vatters Zunfftrecht. Erkandt, willfahrt, zwar mit dießer erläuteung, daß er gleich wie andere Geistlichen auch angenommen worden, recipirt sein solle, zu dem ende des protocoll vfgeschlagen sein muß
Le ceinturier Jean Henri Alberthal et le pasteur Jean Daniel Alberthal vendent la maison 850 livres au ramoneur Jean Jacques Gerold fils de Joachim et à Catherine Elisabeth Abt
1747 (4.9.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 595
Johann Heinrich Alberthal der riemenschneider und deßen bruder H. M. Johann Daniel Alberthal des pfarrers zu Bischheim am Saum und burger alhier
in gegensein Johann Jacob Gerold Joachim Sohn des caminfegers und Catharinæ Elisabethæ geb. Abtin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Stampffgäßlein, einseit neben Michael Gerold dem caminfeger, anderseit neben H. Paul Anthoni Hannong Porcellan fabricanten und E.E. großen Raths alten beÿsitzer, hinten auff derer Carthäußer von Molßheim garten – so deren verkäufern Mutter Fr. Maria Barbara Alberthalin geb. Christin mit lebtägigen Wÿdem verfangen, auf deren natural genuß dieselben hier zugegen verzug gethan – als ein vätterliches erbguth – um 850 pfund
Jean Jacques Gerold, fils de ramoneur, épouse en 1731 Catherine Elisabeth Abt, veuve du marchand de bois Jean Thiébaut Vogt : contrat de mariage, célébration
1731 (10.4.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 64
(Eheberedung) Zwischen der Ehrengeachte H. Johann Jacob Gerold ledigen Statt Caminfeger und burgern alhier alß hochzeiter an einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen frawen Catharinæ Elisabethæ Vogtin gebohrner Aptin weÿl. des Ehren und wohlvorgeachtn herrn Johann Diebold Vogten, geweßenen Holtzhänders und burgers alhier nunmehr seel. nachgelaßener wittib als hochzeiterin – Beschehen und Verhandelt seind dieß dinge in der Königlichen Statt Straßburg den 10. Aprilis Anno 1731.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 139)
1731. Dom: IX. et X. Trivit: seindt außgeruffen Vndt Mittwochs darauff als den 1. august. Ehelich Eingesegnet worden Johann Jacob Geroldt, der Ledige Caminfeger Undt Burger allhier H Johann Joachims Geroldt burgers und Caminfegers allhier Ehel. sohn, Und frau Catharina Elisabetha gebohrne Aptin dieboldt Vogts des Jüngern undt geweßenen Burgers Undt holtzhändlers alhie Nachgel. wittwe [unterzeichnet] Johann Jacob Geroldt alß hoch Zeitern Catharin Elisabethe Vögtin als hochzeiterin (i 141)
Jean Thiébaut Vogt épouse en 1725 Catherine Elisabeth Abt, fille du péager à la porte du Péage
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 75)
1725. Dominica XV . et XVI. Trinitat. proclamati sunt H Johann diebold Vogt der ledige Holtz händler V. burger alhier H Johann Diebold Vogt deß Holtzhändlers V. Burg. alhier Ehl. Sohn V. Jgfr Catharina Elisabetha, H. Philipp Andreas Abt deß Zollers am Steinstraaßer Thor V. Burgers alhier Ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 19. Sept. [unterzeichnet] Johann deobald Vogt Als hoch Zeiter, Catharina Elisabeth Abtin Als Hochzeiterin (i 80)
Contrat de mariage (non célébré) entre Jean Henri Schall, maroquinier, et Catherine Elisabeth Abt veuve de Jean Thiébaut Vogt
1728 (8.6.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 74) n° 461
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Mstr. Johann Heinrich Schallen leedigen Carduanmachern, deß Ehren und vorgeachten H Johann Heinrich Schallen deß ältern Carduanmachers und burgers allhier Ehel. Sohn mit beÿstand gemelt seines vatters, wie auch H Johann Samuel Schallen Sadtlers seines annoch ohnentledigten Vogts, vf seiten des Hochzeiters ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen frauen Catharinæ Elisabethæ Vogtin gebohrner Abtin weÿl. Joh: Diebold Vogten deß Jüngern geweßenen holtzhändlers seel. ehel. nachgelaßener Wittib mit assistentz H Johann Philipp Strohlen Kiefers Ihres Vogts und herr Johannes Claußmans Ihres vettern, vf seiten der fr. Hochzeiterin am andern theil – Actum und unterschrieben Dienstags den 8.° Junÿ 1728. [unterzeichnet] Johann Heinrich Schall als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Vögtin als hochzeiterin
Jacques Gerold est reçu à la tribu des Maçons dont dépendenr les ramoneurs
1731, Maçons (XI 236)
(f° 57) Donnerstags den 5. Julÿ 1731. E. Neu Zünfftiger – Jacob Gerold der Caminfeger, Hn Johann Joachim Geroldts des Caminfegers und burgers allhier ehelicher sohn, producirt stallschein vom 9.t april 1731. Vnd bitt Ihne vor uenen Zünfftigen anzunehmen.
Erkandt, gegen Erlag der gebühr willfahrt.
dt. vor das Zunfftrecht 1 lb 5 ß, Einschreibgeld 4 ß, zusammen 1 lb 9 ß
Jean Jacques Gerold et Catherine Elisabeth Abt font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison des parents du mari, rue du Foulon
1734 (7.5.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 41) n° 1308
Inventarium über des Ehrengeachten Meister Johann Jacob Gerold des Statt Camminfegers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Catharinæ Elisab: Geroldin gebohrner Aptin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, einander für ohnverändert in die Ehe Zusammengebrachte Nahrungen – und krafft dero mit einander auffgerichteten Eheberedung ihnen und ihren Erben alß eine ohnverändert und Vorbehalteten Guth mithien die Ergäntzung derselben expresse reservirt conditionirt und bedungen – So beschehen Straßburg d. 7.teb Maÿ 1734.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Stampffgas gelegenen des Ehemanns eltern eigenthümlich zuständigen behaußung und dero inhabenden lehngemächern folgender maßen befunden
Abzug. Des Ehemanns, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 12, Sa. baarschafft 16, Summa summarum 40 lb – Haussteuren, Des Ehemanns ohnverändert Guth 70 lb
Dießem nach wird auch der Frauen in die ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 172, Sa. silbers 28, Sa. goldenen ring 23, Sa. der baarschafft 293, Summa summarum 517 lb – Haussteuren 29, der Ehefrauen ohnverändert Vermögen 542. lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 447 lb
Johann Diebold Vogts der Ehefrauen Kindts erster Ehe Pfötter göttel und geschenckt geld
Jean Jacques Gerold et Catherine Elisabeth Abt hypothèquent la maison au profit de l’imprimeur Jean Steinmann
1767 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 636-v
Johann Jacob Gerold der caminenfeger und Catharina Elisabeth geb. Aptin mit beÿstand H. Franz Ludwig Reeß und H. Johann Friedrich Vogel beede chirurgorum als ihere nächsten
in gegensein H. Johann Steinmann des buchdruckers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Stampfgäßel, einseit neben H. Hannong dem porcellan fabricant, anderseit neben Michel Ell dem pudermacher hinten auff das Closter zur Carthaus zu Molsheim
Jean Jacques Gerold et Catherine Elisabeth Abt meurent à un mois d’intervalle en 1779. La femme morte en premier a institué pour son héritier universel son mari. La succession revient aux neveux et nièces Gerold, enfants des trois frères du défunt. Les experts estiment la maison 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1048 livres, le passif à 64 livres.
1779 (20.3.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 738) n° 1057
Inventarium über Weÿl. des Ehren und Vorgeachten Herrn Joh: Jacob Gerolds Joachims Sohns, Caminfegers und der Ehren: und tugendsamen frauen Catharinæ Elisabethæ Geroldin geb. Abtin, beed. Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafften – nach deme Sie frau Geroldin Montags den 8.ten febr: Er Hr. Gerold aber Montags den 15.ten Martÿ dießes laufenden 1779. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch Ihren aus dießer Zeitlichkeit genommenen hintritten hie zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 20.ten Martÿ Anno 1779.
Die Verstorbene frau Geroldin seel: hat per testamentum zu Ihrem einigen und Universal Erben Verlaßen und eingesetzt, Hr. Joh: Jacob Gerold Joachims sohn, Caminfegern und burgern allhier, welchen dieselbe nach vorher erhaltenem Indulto testandi per testamentum zu Ihrem Universal Erben eingesetzt, indeme aber derselbe nach dieser seiner ged. Ehefrauen seel. Absterben auch seel. verstorben, so wird nunmehro die samtliche Vorhandene Nahrung unter seine Verlaßene Erben Zu erörtern und abzutheilen seÿen.
Der Verstorbene Hr Gerold seel. hat per testamentum Zu seiner Universal Erben eingesetzt Weÿl. frau Catharinam Elisabetham Geroldin gebohrner Abtin seine geweßene ged. Ehefraun Weilen aber dieselbe Vor Ihme Verstorben und Ihne Vermög Ihres hernach eingetragenen Testamenti Zu Ihrem Erben eingesetzt, so fället nunmehr die samtliche Verlassenschafft seinen ab intestato Verlaßenen Erben anheim und diese seind
1.mo Weÿl. Herrn Joh: Joachim Gerold, geweßenen Caminfegers und burgers allhier seel: mit frauen Maria Salome geb. Hennischin ehelich erzeugte 3. Söhne und eine Jgfr. tochter mit Nahmen 1. Hn Joh: Joachim Gerold Küblers und burgers allhier so in persohn dem Geschäfft beÿgewohnt, 2.do Herrn Johannem Gerold den etablirten Schwerdfegern in Maÿntz, Welcher sich aber nicht mehr allda befidnet auch nicht wißend ob er annoch beÿ leben oder nicht, dahero sich die übrige Erbs Interessenten Ihro rechten vorhebalten, solchen Erb antheil in Sicherheit Zu behalten biß und so lang man von deßen Leben oder todt einige wißenschafft eingezogen indeßen ist in deßen Nahmen laut Extractus aus Es En Kleinen Raths Memoriali vom 17. Martÿ jüngst Hr Joh: Michael Saltzmann Schuhmacher und E. E. Großen Raths alter auch Es. En. Kleinen Raths dermahliger wohlverdienter beisitzer als Deputatus hiebeÿ erschienen, 3. Hr Joh: Georg Gerold, den Ledigen Säckler so sich in der frembde befindet, deßen Interesse erst ehrengedachter Hr Rathh. Saltzmann besorget und 4. Jgfr. Annam Mariam Geroldin so unter assistentz obgedachten Ihres bruders herrn Johann Joachim Gerold hiebeÿ erschienen
2.do Weÿl. Herrn Joh: Georg Gerold auch geweßenen Caminfegers und burgers allhier seel. mit frauen Maria Dorothea geb. Diemerin ehelich erzeugter Sohn 3. frau und Jgfr. töchtere mit Nahmen 5. H. Georg Friderich Gerold caminfegern und burgern, 6. Jgf. Margaretham Elisabetham Geroldin, 7. Jgfr. Mariam Margaretham Geroldin, welche beede Jgfren unter assistentz nachgemelten Ihre Schwagers H, Johann Georg Reichard Paßmentirers und burgers allhier beÿ der Inventation gegenwärtig waren, und 8. frau Mariam Salome Reichardin geb. Geroldin erstgedachten H. Joh: Georg Reichard Paßmentirers und burgers allhier Ehefrau,
So dann 3.tio Weÿl. H. Joh: Gerolds geweßenen Gastgebers zum Gertenfisch und burgers allhier mit auch weÿl. fraien Catharinæ Dorotheæ Ottin beeder seel. ehel. erzeugten frau tochter und H. Sohn benantlich 9. frau Catharinam Dorotheam Cammererin geb. Gerold so unter assistentz Ihres Eheherrn Joh: Michael Cammerers Weinhändlers und burgers allhier der Inventur abwartete, 10. H Johann Gerold, Gastgebern im falcken Keller und burgern alhier, so sich in Persohn beÿ der Inventur eingefunden in den Zehenden und lezten Stammtheil. Alßo alle 10 des Verstorbenen seel. Verstorbenene brüder seel. Ehelich erziehlte Söhne und töchtere und ab intestato Zu Ihren gleichlingen portionen und Stammtheiler Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Stampfgäßel gelegener und in diese Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden Worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung. Eine behausung Höflein und Hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, Begriffen Weithen, Rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Stampf Gäßelein einseit neben Herrn Paul Antoni Hannong den Porcellin fabricant anderseit neben erstgedachtem Hr Hannong, hinten auf der Carteuser von Molsheim garten stoßend so gegen männiglich freÿ ledig eig. und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 29. Apr. 1779 angeschlag. vor 1500. R. oder 750 lb. Uber diese behausung sagt ein teutsch. perg: in alh. C.C. stub gef. u. m. dero anhangenden Insiegel verwahrter Kauffbrieff dd. 4.ten Sept. 1747
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 227, Sa. Silbers 26, Sa. Goldener Ring 12, Sa. baarschafft 31, Sa. eigenthumbs ane eine behaußung 750, Summa summarum 1048 lb – Schulden 64, Nach solchem abzug 983 lb – Stall Summ 892 lb
Copia der Verstorbenenn Frauen in A° 1765 aufgerichteten Testamenti nuncupativi
Les héritiers vendent la maison 950 livres au plâtrier Thomas Oberreuter : vente provisoire devant notaire puis vente définitive à la Chambre des Contrats
1784 (25. 9.br), Me Stoeber (6 E 41, 1264), n° 112
Interims kauff – H. Joh. Gerold der gastgeber zum Falckenkeller, ferner Jgfr. Margaretha Elisabetha Geroldin, weiter Jgfr. Maria Margaretha Geroldin u. Fr. Maria Salome Reichardin geb. Geroldin H. Joh. Georg Reichard des Seidenhändlers u. Paßmentirers Ehefr., zwar beede Jgfr: Geroldin beiständlich ihres erstbesagten Schwagers
Meister Thomas Oberreiter dem Gipßer
Eine behausung, höfl. u. hofstatt mit allen deren zugehörden und Rechten am Stampfgäßl., 1.s Frantz bronner dem Steinhauer 2.s H. bella dem hansdelsm. hinten auff der Carthäuser von Molzheim Garten, als ein aus ihres Oncle weÿl. H. Joh. Jacob Gerold Joachim Sohn gew. Caminfegers Verl. übernommenes Guth eigenthümlich zuständig – um 1900 gulden
1786 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 126
Jfr. Margaretha Elisabetha Geroldin, Jfr Maria Margaretha Geroldin beede großjährigen alters unter assistentz H. Johann Georg Reichard des paßmentiers ihres schwagers, Fr. Maria Salome Reichardin geb. Geroldin erstbesagten H. Reichard Ehegattin, H. Johann Gerold der gastgeber im Falckenkeller
in gegensein Thomas Oberreuter des gipßmeister und Annæ Mariæ geb. Burtzerin unter assistentz Lorentz Herold des fischkäuffers und Martin Weber des gipßmeisters
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Stampfgäßlein, einseit neben Sr Bella, anderseit neben der verwittibten Fr. Bronnerin, hinten auff den Carthauß garten – um 1900 gulden
Marie Anne Burtz veuve de Thomas Oberreuther vend 2 400 livres tournois (qui correspondent à 600 livres strasbourgeoises) à Louis Henry et Anne Marie Leber
1791 (18. 8.br), Me Lacombe (6 E 41, 224) n° 27 – enregistré f° – du 19.10.
Marie Anne Burtz veuve de Thomas Oberreither platrier de cette ville assitée de M François Albert Neben chevalier de St Louis
à Louis Henry et Anne Marie Leber (signé) lutwig hanry, +
une maison a elle appartenante en cette ville dans la rue dite Stampfgaessel N° 20, d’un côté Jean Georges Niteral d’autre le Sr Peze, derrière jardin de la chartreuse – moyennant 2400 livres
Joseph Louis Henry épouse en 1788 Anne Marie Leber originaire d’Ebersheim près de Sélestat
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 102)
Hodie 7. Octobris Anni 1788 (…) in facie ecclesiæ sacro matrimonii vinculo conjuncti fuerunt Josephus Ludovicus Henrÿ Argentinensis Civis hujatis filius solutus Majorennis Defunctorum D(aniel) Henrÿ et Magdalenæ Baghardin invita Conjugum visis amborum Mortis extractibus a Multi annis in Parochia ad stum Laurentium Commorans et anna maria Leber Oriunda ex Ebersheim hujus Diœcesis Soluta Majorennis filia Legitila Mathiæ Leber ibidem Incolæ et defuncta Elisabetha Maurib, accedente consensu patris a pluribus annis in nostra Parochia Commorans (signé) hanr(-), Anna Maria leberin ‘i 53)
Marie Anne Leber femme du journalier Louis Henry meurt en 1815 en délaissant des héritiers collatéraux
1815 (30.1.), Strasbourg 12 (59), Me Wengler n° 8807 – enreg. f° 46 du 3.2.
Inventaire de la succession de Marie Anne Leber femme de Louis Henry journalier décédée le 7 janvier 1815, à la requête 1. du veuf, 2. de Joseph Leber vigneron à Eichhoffen, 3. François Joseph Reiser fondeur ciseleur demeurant à Strasbourg fondé de pouvoir d’Anne Catherine Huber fille majeure demeurant à Sainte Marie aux Mines et de Louis Huber lieutenant à la première compagnie du deuxième bataillon du 30° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Thionville (Moselle), 4. Richarde Huber fille majeure à Eichhoffen, lesdits Huber héritiers de feue Anne Marie Leber leur mère veuve de Michel Huber maître d’école à Eichhoffen, héritiers le premier pour moitié les autres ensemble pour l’autre moitié – Contrat de mariage soussigné le 3 octobre 1788
dans la maison faisant partie de la communauté
immeuble, une petite maison, cour, appartenances et dépendances sise en cette ville rue du Foulon n° 20, d’un côté le Sr Pezé d’autre Jean Georges Niteral devant la rue derrière un jardin appartenant à la ville de Strasbourg, rapport de 180 fr, en capital 3600 fr – de la communauté acquis de Marie Anne Burtz veuve de Thomas Oberreiter platrier par acte Me Lacombe le 18 octobre 1791
passif 3911 fr, actif 3818 francs
Louis Henry meurt en 1825 en délaissant deux héritiers testamentaires
1826 (2.12.), Strasbourg 12 (101), Me Wengler n° 14 614 – Enregistrement de Strasbourg, acp 181 f° 112 du 5.12.
Inventaire de la succession de Louis Henry, journalier décédé le 18 novembre dernier – à la requête de Jean Claude Chevalier émouleur et Chrétien Gebhard, journalier, héritiers testamentaires institués par le testament dressé par le soussigné notaire le 6 janvier 1823
dans la maison mortuaire rue du Foulon n° 20
35. la moitié par indivis consistant en un petit bâtiment de devant et deux ailes de derrière, petite cour et pompe avec ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue du Foulon n° 20, d’un côté le Sr Braunwald teinturier, d’autre Jean Georges Niederahl maçon, derrière le jardin du Sr Müller, estimée 1600 francs – acquise de la communauté avec Marie Anne Leber d’Anne Burtz veuve de Thomas Oberreiter, platrier, par acte Me Lacombe le 18 octobre 1791
mobilier 145 francs, total 1745 francs – passif 1792 francs
Les héritiers de Louis Henry et d’Anne Marie Leber vendent par adjudication la maison au capitaine de cavalerie retraité Constantin Vaccari, domicilié à Dorlisheim
1827 (7.6.), Strasbourg 12 (103), Me Noetinger n° 143, Adjudication définitive – Cahier des Charges n° 69 du 19.4. – Enregistrement de Strasbourg, acp 184 f° 53-v du 11.6.
1. Jean Claude Chevalier, remouleur, 2. Chrétien Gebhard, journalier, agissant en qualité de seuls héritiers légataires universels de Louis Henry, journalier décédé le 18 novembre dernier, testament Me Wengler le 6 jan. 1823 enreg. le 20 novembre 1826, 3. Richarde Huber majeure tant en son nom et mandataire de sa sœur Anne Catherine Huber, célibataire majeure à Ste Marie aux Mines, 4. Philippe Jacques Kolb, commis principal à la préfecture du département Bas Rhin mandataire de 1. Louis Huber, capitaine au 34° régiment de ligne (procuration à Nantes), 2. Cunégonde Leber, fille majeure en condition à Epfig, 5. Jean Michel Freund, propriétaire à Eichhoffen, mandataire d’Hélène Leber, fille majeure demeurant en la commune d’Oder (procuration à St Amarin, Haut Rhin), 6. Auguste Leber, musicien à Strasbourg, 7. Laurent Leber, vigneron à Eichhoffen, 8. Catherine Leber épouse de Sébastien Antoni, tanneur à Strasbourg, lesdits Louis Huber, Anne Catherine Huber, Richarde Huber héritiers pour une moitié chacun pour 1/6 de la succession de leur tante Marie Anne Leber épouse de Louis Henry décédée le 7 jan. 1815 par représentation de leur mère Anne Marie Leber veuve de Michel Huber et (lesdits Leber) pour l’autre moitié chacun pour 1/10 de la succession de la femme Henry par représentation de leur père Joseph Leber, vigneron à Eichhoff décédé en 1821
à Constantin Vaccari, capitaine de cavalerie retraité, Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Dorlisheim
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison consistant en un petit bâtiment de devant et deux latéraux, petite cour, pompe, appartenances, droits et dépendances situé à Strasbourg rue du Foulon n° 20, d’un côté le Sr Braunwald teinturier, d’autre Jean Georges Niederahl maçon, derrière le jardin de M Müller – Etablissement de la propriété, acquis de Marie Anne Burtz veuve de Thomas Oberreiter, plâtrier, par acte Me Lacombe le 10 oct. 1791 – mise à prix 3500 francs
adjudication préparatoire n° 106 du 17 mai, 3550 fr
Constatin Vaccari loue la maison au remouleur Jean Claude Chevalier
1827 (17.8.), Strasbourg 12 (105), Me Noetinger n° 247 – Enregistrement de Strasbourg, acp 185 f° 42 du 20.8.
Bail de 3 années à commencer le 24 juin dernier – Constatin Vaccari, ancien capitaine de cavalerie Chevalier de la Légion d’Honneur à Dorlisheim
à Jean Claude Chevalier, remouleur, sous le cautionnement de Charles Kolb, aubergiste
une maison consistant en un bâtiment de devant et deux latéraux, petite cour, pompe, appartenances et dépendances située en cette ville rue du Foulon n° 20, d’un côté le Sr Braunwald d’autre le Sr Niederahl devant la rue derrière M Müller – moyennant un loyer annuel de 370 francs