2, rue du Jeu-de-Paume


Rue du Jeu-de-Paume n° 2 – X 274 (Blondel), O 824 puis section 32 parcelle 1 (cadastre)

Jeu de paume de 1602 à la Révolution – Bâtiments démolis en 1894, terrain réuni à la voie publique


Les bâtiments du jeu de paume sur le plan-relief de 1727 (Musée historique)
Plan préparatoire au plan-relief de 1830 (les bâtiments sont teintés de rose)

Acrobate et danseur originaire de Lombardie, Jean Klapp est éconduit en août 1601 de sa demande de construire un jeu de paume sur un terrain adjacent au greffe arrière (aujourd’hui Marché Gayot). Le comte palatin Maurice de Hesse et l’administrateur impérial souhaitent cependant que le Sénat fasse établir un jeu de paume à Strasbourg. Les fondations de l’Œuvre Notre Dame, des Bonnes Gens, de l’Orphelinat et de l’Université vendent en janvier 1602 à Jean Klapp une maison derrière l’Orphelinat moyennant 790 livres. Les constructions sont en cours en octobre 1602 et en mars 1604. Les Conseillers et les Vingt-et-Un imposent en 1605 le maître du jeu de paume d’un cens annuel de 100 livres, sans qu’il ait le droit de servir du vin. Le terrain comprend deux bâtiments de jeu en 1608. Le passementier Salomon Macklé acquiert le jeu de paume en 1612. Les Quinze ramènent en 1642 le cens annuel de 60 florins à 50 florins à cause des mauvaises affaires. Le jeu de paume est ensuite exploité par son gendre marchand Isaac Bion qui sert du vin aux joueurs. Le fermier de l’accise se plaint en septembre 1701 que le maître du jeu de paume Jean Daniel Bion débite du vin sans régler de taxe. Sébastien Beck, commissionnaire de roulage et maître du jeu de paume, est exempté de régler les 50 livres puisque plus personne ne vient pratiquer le jeu ; les deux salles du jeu de paume servent en 1704 de magasin aux effets des campagnards réfugiés en ville. Sébastien Beck obtient en 1710 pour son locataire le droit de débiter le vin. Il est autorisé en 1716, alors que la paix est revenue et le jeu de paume reprendra au printemps et à l’automne, à servir du vin aux joueurs moyennant 15 florins par an pour 30 mesures de vin, tant que seule la grande salle sera en service.
Le tailleur Jean Philippe von der Mühl achète en 1724 le jeu de paume qui est ensuite exploité comme locataire puis comme propriétaire par son parent Jean Frédéric Seyler. Le directeur général des vivres d’Allemagne prend à bail (1734, 1735) une remise à carrosses. Jean Charles Seyler loue en 1770 au sellier Chrétien Güntzroth l’ancien jeu de paume à côté de la salle en service pour y remiser des carrosses et des équipages. Adolphe Seyboth rapporte (édition en allemand, p. 211) que le bâtiment sert en 1795 de magasin d’effets des soldats morts dans les hospices. La maison ne sert plus d’auberge à la mort de Jean Charles Seyler en 1814.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 214 – Cour A (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue (n-o) comprend deux fenêtres, la porte puis une autre fenêtre au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, puis un étage mansardé. La porte donnant dans la cour s’ouvre dans le mur (m-n). La cour A représente le bâtiment latéral (2-3), la maison principale (3-4-5) donnant sur la rue, le hangar (5-6-7) à droite de la porte cochère (7-8), les écuries et le bâtiment (8-9) donnant dans le jardin, le magasin (9-10-11), le toit à porcs (11-12-13), le pavillon (14 à 1) au fond de la cour. La cour O représente le bâtiment voisin (1-2), l’arrière (3-4) du magasin, le bâtiment donnant (4 à 9) dans le jardin, une remise (10-12) puis les bâtiments voisins, la désignation des bâtiments étant reprise du rapport d’experts dressé en 1841.
La maison porte d’abord le n° 53 (1784-1857) puis le n° 2.


Cour O

Plan joint à l’acte de vente (1895, ADBR cote 7 E 57.1, 264)

Le boucher Jean Pierre Schneider est propriétaire de la maison de 1814 à 1840 puis l’architecte entrepreneur Albert Perrin (1841-1872). La maison revient à sa nièce Marguerite Emilie Dietz, femme du pasteur Jules Auguste Redslob qui la vend au génie militaire en 1894. Le plan représente les mêmes bâtiments qu’en 1830 auxquels s’ajoutent un hangar en prolongement du bâtiment donnant dans le jardin et deux bâtiments (hangar et forge) le long de la limite sud. Le magasin de 1830 est devenu un atelier de menuisier, tant au rez-de-chaussée qu’à l’étage. Les bâtiments sont démolis la même année. La plus grande partie du terrain, devenu propriété communale, sert à établir l’extrémité nord de la nouvelle rue du Saint-Gothard.


Dessin du jeu de paume projeté par Toble Stædel au marché aux Chevaux (1712)
Aspect actuel des lieux. Les bâtiments sur rue se trouvaient à l’avant du bâtiment de droite (place de Zurich, rue du Saint-Gothard, avril 2016)

novembre 2024

Sommaire
Cadastre – Documents sur le jeu de paume, sur le débit de vinRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1585 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Fondations de l’Œuvre Notre Dame, des Bonnes Gens, de l’Orphelinat et de l’Université
1602 v Jean Klapp, acrobate puis maître du jeu de paume, et (1601) Anne Marie Barstadler puis (v. 1607) Véronique Meyer, remariée (1622) avec Jean Philippe Schmidt, employé à la halle – luthériens
1612 v Salomon Macklé, passementier, et (1601) Anne Feckmann – luthériens (réformés)
1671* h Isaac Bion, marchand, et (1643) Catherine Macklé – luthériens (réformés)
1693 h Daniel Bion, maître du jeu de paume, et (1675) Susanne Thomas, d’abord (1661) femme du lieutenant André Brand, puis Cécile Chrétienne Girisch – (luthériens), réformés
1702 h Sébastien Beck, commissionnaire de roulage, et (v. 1687) Elisabeth Bion – réformés
1724 v Jean Philippe von der Mühl, tailleur, et (1705) Anne Gertrude von der Hardt – luthériens
1733 h Marie Elisabeth von der Mühl, célibataire († 1745) – luthérienne
1746 h Jean Frédéric Seyler, boucher, aubergiste, et (1733) Anne Marguerite Allinger – luthériens
1770* h Jean Charles Seyler, aubergiste et maître du jeu de paume, et (1770) Catherine Salomé Mey, (1772) Marguerite Barbe Herr puis (1774) Catherine Barbe Strintz – luthériens
1816 v Jean Pierre Schneider, boucher, et (1782) Marguerite Madeleine Sebert – luthériens
1840 h (copropriétaires) Jean Pierre Schneider, boucher, et (1840) Christine Jockers
Jean Georges Niedt, commis négociant, et (1817) Marguerite Madeleine Schneider
1841 v Albert (Théodore) Perrin, architecte et entrepreneur, célibataire († 1872)
1872 h Jules Auguste Redslob, pasteur, et (1873) Marguerite Emilie Dietz
1894 v Génie militaire

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 400 livres en 1702, 2 500 livres en 1733, 2 250 livres en 1755
Valeur vénale, 790 livres en 1603, 2 500 livres en 1612 – 30 400 francs en 1816, 35 000 francs en 1841.

(1765, Liste Blondel) X 274, Jean Fréderic Seyler
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Seÿler, 14 toises, 3 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 824, Schneider, Pierre, rue du Jeu de Paume 53 – maison, sol – 20 ares / Perrin Albert Théodore

Locations

1608 (jeu de paume), Jean Schmidt, tailleur
1611 (jeu de paume), Thierry Bellitzari, marchand
1612 (jeu de paume), Samuel Lucas, marchand
1707 (magasin à fourrage), Jean Régnard, comte de Hanau Lichtenberg
1710 (auberge), Jacques Louis Herrmann
1712 (auberge), Isaac Marin
1734, 1735 (remise à carrosses), directeur général des vivres d’Allemagne
1770 (remise à carrosses), Chrétien Güntzroth, sellier
1847 (local), ville de Strasbourg
1858 (local), bureau de bienfaisance

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 480-v
La maison est sans doute celle de Mathias Wicker que poursuivent les créanciers en 1591. Il est question de trois marches sur le communal dans la requête aux préposés au bâtiment en 1730.
L’ancien consul Mathias Wicker doit 1 sol 6 deniers pour sa maison, à savoir trois marches en pierre (7 pieds ½ de long, saille de trois pieds)

Widerumb hinder Sanct Catharinen vff der Endten Letz.
Herr Mathis Wickher Altter Ammeister hatt ein hauß, daruor dreÿ steinene Tritt vii+ schu lang, iij schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß vj d.

Livres des communaux

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 460-v
Salomon Macklé puis Isaac Bion doivent 25 livres pour le jeu de paume

Jetzt Isaac Bion
H Salomon Mackle der Ballenmeister Soll gemeiner Statt Vom ballhauß alhie Jahrs vf Weihnachten 25. lb s
Ext. 1650. 51. 52.
New fol. 358

1673, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 358
Report dans le registre suivant, ensuite au nom de Jean Daniel Bion puis de Sébastien Beck. La dernière quittance date de 1703.

Isaac Bion, der Ballenmeister, Soll Vom Ballenhauß alhie Jahrs vff Weÿhenachten, 25 lb
St. Zinßb. p. 460
jetzt Herr Johann Daniel Bions W.
Jetzt H. Sebastian Beck
(Quittungen 1673-1703)
zahlt H. Sebastian beck p. 1702

Jeu de Paume

1596, Conseillers et XXI (1 R 75)
Jean Arimba demande l’autorisation de construire un jeu de paume et de l’exploiter pour des nobles (princes et comtes). Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent.

(f° 244) Mittwoch XI Augusti – Johann Arimba vmb Ballenhaus bawen zulassen.
Johann Arimba vbergibt ein supplôn dorin er begert m hrn wollen Im Vergehnnen d. er mög ein ballenhaus hie bawen vnnd d. selbig exercitium treiben lassen wegen etlich. Furst Graulich personen vnd anderer für*kett Kind. Erkant soll freundlich sein begeren abgelehnt werd.

1601, Conseillers et XXI (1 R 80)
L’acrobate Jean Klapp qui a l’intention de construire un jeu de paume demande le 20 mai qu’on lui indique un terrain approprié. Sa demande est soutenue par l’administrateur impérial et le comte François de Lunebourg. Jean Klapp a déclaré que le chapitre de la cathédrale est disposé à céder un terrain adjacent au greffe arrière (cour des Frères). Les préposés au bâtiment constatent le 6 août que le terrain est assez grand mais craignent que les joueurs n’en viennent aux mains. Les Conseillers et les Vingt-et-Un écartent la suggestion le 24 août. Le préteur Wormser rapporte le 23 décembre qu’au cours d’un repas le comte palatin Maurice de Hesse ainsi que l’administrateur impérial ont souhaité que le Sénat autorise l’établissement d’un jeu de paume. Les Conseillers et les Vingt-et-Un s’en remettent aux préposés au bâtiment pour trouver un terrain et établir un règlement.

(f° 128-v) Mittwoch den XX Maÿ. – Johann Klapp vmb Erlaubnus Ballenhauß
Johann Klapp burg. Springer vbergibt suplôn dorin er anzeigt d. im alß burger angelegen sein will sich und seine Kinder Zuernehren doher gedachte er ein ballen hauß alhie anzurichten vnd Bitt m. hrn wollen Ime solches erlauben will er Bawherren ein platz benennen od. sich nach Inen accomodiren Zu welchem end er auch Zugleich hrn Administratoris vnd Hertzog Frantzen von Lunenburg fürschrifft vnd intercession aus* gebetten die er hirmit aber nicht so auch beide abgelesen. Erkant Es soll gegen Ime Zubedacht gezog. werden && die Bawhern den augenschein des orts einnehmen bedenck ob an denselbig od. anderwo ein ort Zu gönnen, oder gar abzuschlag. Obrecht H Mörsel H Stattsch.ber refer.

1601, Préposés au bâtiment (VII 1316)
(f° 145) Donstag den 6. Augusti 1601. – Johann Klapp. Ballenhauß
weil Johan Klap ein Springer, ein dantzen vnnd ein Pallenschlag beÿ Rhat XXI an gesucht Ihme Zu gönnen ein Pallenhauß Zumachen vnd daselbst Ihme beuohlen sich vmb ein geleg. ortt vmb Zusehen, derhalben er In dem Thumherren hoff Zwischen der hinderschreiber Stub vnd Zwischen Stettmeisters Wurmsers hauß solches anzurichten vorhabens, vnd vilmal beÿ den H vmb den Augenschein gebetten, Als seind die herren daselbst hin gefahren, In solchen alten hoff der schiran allen orten Zufallen will, so vor Jaren hertzog Reichart Pfaltzgrav Ingehabt, vnd befunden, da er den alten lang. Stall hinweg bricht, das Zu solchem Platz genug were & derhalb umbgefragt, vnd ob wol h grienwald vermeint weil solches ein Thumbherren hoff, vnd da sich beÿ solchem spiel zwisch. grauen vnd herren ein spann od. ein todtschlag oder dergleichen Zutrag. solte, das der Zugriff von den Thumherren nit gut gehaisen, vnd mein Herren vnrueh anrichten würde, derhalb Ihm solches abzuschlagen vnd an einem ortt d. gemeiner Statt Zustendig von ehe Zu Zulassen were. Jedoch Ist dißmals geschlossen Man solte Ime willfahre doch für vnsere herren bringen, da man Ihme Supplicanten als burgeren wol allerhand Zubinden kan, dan ob schon mein herren solchs nit gestatten wolt. Ist Zubesorg. die Thumherren möchtens Ihne Zulassen.

1601, Conseillers et XXI (1 R 80)
(f° 250) Montag den XXIV Augusti – Johann Klappen Ballhauß abgeschlagen
*mahen mherr wegen Johann Klappen supplô, so ein ballenhauß Zu bawen begert vnd gebetten ime Zuerlauben ballen spiel Zutreiben, Also hetten sie den augenschein eingenohmen, aber Kein platz find. Konnen. Er hab vermeldt d thum capitel Ime den hoff neben d. hinderschber stuben wollen einnehmen, welches sie anmelden wollen. Erkant Man sol Im abschlagen. H. Grienwald, H. Zetzner.

1601, Conseillers et XXI (1 R 80)
(f° 375-v) Mittwoch den XXIII Decemb. – Ballenhauß zu bawen erlaubt
H. Stett: Wormbser H Reg. Amr. meldet alß vorgangnen Montag die Chur und fursten auf d. stuben gessen vnd Zur reffel* gesetzt wie auch die Grenen*, seyen sie auch vnden do man gesetzt word. vnd hab in werenter Malzeit Chur Pfaltzgrau und Landgraff Moritz Zu Hessen, durch einen von Adel ein trunck bring. vnd dobeÿ vermelden lassen d. Sie beide Chur u fursten Stätt: vnd Amt. ersuchen liessen bei einem Ers. Rhatt dohien Zu richten das ein Ballhauß möchte erbawen vnd angericht werden vnd d. selbig wegen aller Studenten* vnd d. solches die erste *tt, versehen sie solch m hrn werdens Innen* nit abschlagen, v. als sie Statt u Amr. Zu dem Churf u fursten hienauf kommen hab. sies wid.holt vnnd selbe die verlite* Zuspielen anerbott. Item hr Administrator hatt auch gebetten den wan hie verlige, welches nit geschehe so man dergleichen exercitia hätte. dorauf sich Stett vnd Amr. erbott Zu referiren v Ires theils dobey Zuthun so vil Jenner verantwortlich sein mag. Erkant Man soll dem burg. so darumb angehalten, eines Zubawen erlauben, doch d. es mit vorwissen derer Bawherren u verordeter Hn geschehe die solten bedencken wo hien es Zubawen u wie es anzustellen was auch für leges Zusetzen solches alles aufs pappier bring. u. hierinnen referiren H Stm Bocklin H Zetzner.

1602, Préposés au bâtiment (VII 1317)
Les préposés au bâtiment autorisent le maître de jeu de paume Jean Klapp à préparer le bois de construction devant la maison pourvu que le chemin reste libre.

(f° 171-v) Sambstag 9.ten Octobris. – Johann Klapp d. ballenschlag. in Crutenaw bitten Ihme zu gestatten vor seinem hauß Zugestatten ein dach vber ein New Ballenhauß Zu Zimmern vff 500 pf holtz anlauffend. Ist Ihm zugelassen solles geschwindig Zusammen leg. vnd die straß nit verschlag.

1604, Préposés au bâtiment (VII 1319)
Le charpentier Jean Preiss demande en mars 1604 au nom du maître du jeu de paume l’autorisation de préparer les combles sur un terrain entre les deux portes des Bouchers. Les préposés renvoient la décision au moment où le bois sera prêt.

(f° 32-v) Sambstag 10.ten Martÿ. – Ballenhauß.
Jost Preiß Zimmerman Innamen des Pallenschlagers begert Zwisch. bed. Metzg.thoren einen dachstuol Zu Zimmern vngefehr 8000 ß holtz d. soll erst nach Ostern khommen. Ist Ihm antzeigt wan d. holtz dazu vorhanden so mag er wid. ansuch.

1604. Conseillers et XXI (1 R 83)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un estiment le 10 septembre 1604 que le maître du jeu de paume devra payer chaque année 100 livres pour les avantages que lui procure le jeu de paume. Ils décident d’établir au préalable un règlement et un tarif.

(f° 252) Montag den X Septemb. – Pallenmeister was er geben soll.
Sonst seyen auch etliche puncten ausgemacht worden als d. d. pallenhauß dorin der Pallen Meister ein grossen vortheil Jarlich solte 100 lb. d. geben. Erkant, Man soll Zuuor ein ordnung und tax machen vnd alßdan erst erkenen was ergeben soll.

1605, Conseillers et XXI (1 R 84)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un décident le 2 février 1605 de communiquer au maître du jeu de paume le règlement d’après lequel il devra payer à la ville 100 livres chaque année, sans avoir le droit de servir du vin. Jean Klapp déclare le 6 avril que ses gains ont beaucoup diminué depuis que l’administrateur et les princes ont quitté la ville. La somme est ramenée à 50 livres le 27 juillet. Jean Klapp demande une réduction, les Conseillers maintiennent le 7 août la somme qu’il devra payer ou fermer son établissement, sans oublier les 3500 florins qu’il doit par ailleurs à la Ville. Jean Klapp demande à nouveau une réduction le 28 décembre en arguant qu’il souhaite être imposé comme d’autres bourgeois et qu’il n’aurait pas entrepris son affaire s’il avait connu dès le début le montant de son imposition, les Conseillers s’en tiennent à leur précédente décision. Jean Klapp devra commencer à régler les 50 livres pour l’année en cours.

(f° 22) Sambstag den II. Februarÿ – Ballenmeister soll Jerlich geben 100 thaler. Kein wein schenck.
Iidem referiren mhrn der erkantnus so wegen Ballenmeister ferndig Jars soll ergangen sein, d er nemblich 100 lb d Jarlich geben soll, vnd d. * noch nit angezeugt, solt Ime durch Hn d vermeldet werd. Ego berichte d. es nit erkant sonder neben erkundigung v anstellung einer ordnung Zubedacht gezog.
Erkant Man sol Ime anzeig. d. er gemeiner Statt Jarlich hundert thaler geben soll, noch verbotten werd. kein Wein Zuschenck.. H. Stösser H. Wid.

(f° 88) Sambstag den VI. Aprilis – Johann Klapp vmb Erlassung aufgelegter beschwerd.
Johann Klapp Pallenmeister vber gibt supplôn dorin er sich beschwer d. er Jarlich von solcher uebung 100 thaler wie h Stosser vnd h Wis Ime vor disem angezeugt Dan seit d. H Administrator vnd andere fursten nit mehr hie seindt hett sein gewin sehr aufgehort Vnd so d. er anoch von dem seinen Zubressen muß, Zu dem er schein die beschwerde nit gesterckt wan Ime solchen anfenglich were vermeldet word. Bitt Zuerlassen od. also Zu mildtern d. er dobeÿ bestehen mag berufft sich auf dem augenschein.
Erk. Man solle bedencken h. Grienwaldt H Wern Zeugens an.

(f° 191) Sambstag den XXVII Julÿ (…) solte alles referirt werd. wie nachfolgende stuck seindt – Pallenmeister soll Jerlich 50 lb Schatzung geb.
1) d. d. Pallenmeisteran statt d. 100 thaler Jerlich 50 lb geben soll.

(f° 201-v) Mittwoch den VII Augusti – Jo. Klapp beschwert sich Jerlich 50. lb Zugeben
Jo. Klapp der Pallenmeister vberbigt supplôn dorin er sich beschwert d. er Jarlich vom Pallenspiel soll 50. lb gemeiner Statt lüffern, meldet d. er seit. Administrator hienweg gar nit od. wenig geubt werde vnd Ime also ohn möglig Zuluffern, erbett sich 3500 fl. die er auf d hauß bezalt Zuuerstallen vnd Zuuerschetzen.
Erk. Es soll die 50 lb Jarlich luffern od. d. Pallenhauß Zuthun noch die 3500 fl. wie er ohned. schuldig verstallen vnd solt dem Stallschrb. solches vermeldet werden. p factum Was die H Hugwart H Semich.

(f° 341) Sambstag den XXVIII Decembris – Johann Klapp Pallenmeister soll Jerlich 50. lb gemeiner statt geben
Joann Klapp der Pallenmeister vberbigt abermalen supplôn dorin er sich ab 50. lb d so er wegen Ballenschlagens Jarlich dem gemeinen seckel geben soll beschwerrt vermeint man solte Ime gleich andern burg. die auch vil mit Irer handtierung gewinnen halten vnd dowid. nit beschweren bevorab d. Ime solches anfenglich seines baws nit Vermeldet worden. Dan er sonst Kein gulden wolte* angewendt haben. So hab er sich nah Jungst erbotten 3000 fl. vnd etlich hundert gulden Zuuerstallen mit der meinung d. er sovil vermag den er am hauß noch 1000 fl schuldig, sonder wan er mag der 50. lb d erlassen werd. Bitt nochmalen sich der selb Zuerledig. dan er sonst Zu armen tag Kommen wurde. Domit aber mhern wenig gedinet.
Erkant Es soll bey vorigen beschwerdt verpleiben das er nemblichen 50 lb Jarlich erlegen soll. Verstalle er Zuuil Kan er vermög d. ordnung abschrb. lassen. H. Grienwaldt H Trenß.

(f° 341-v) Joann Klapp Pallenmeisters soll Jarlich 50. lb der Statt luffern
H. Grienwaldt H Trenß wegen Jo: Klappen Pallenmeisters melden d. sie Ime die heutige erkantnus angezeugt der sich Zwar beschwert, aber gesagt man es nit anders sein kan woll ers geben allein beger er Zuwissen ob es albereit verfall od itzo allererst angehen soll, deswegen, sie Ime Kein bescheidt geben Konnen. Stellen also Zu mhrn. Erk. Man soll Ime anzeugen d. ers itz erlegen vnd Künfftig alle Jar umb weinachten erlegen soll. bemelte Hn Zeugens Ime an.

1605, Préposés au bâtiment (VII 1320)
Les Préposés à la Tour aux deniers et au bâtiment enregistrent le 29 juillet la décision selon laquelle Jean Klapp doit chaque année 50 livres.

(f° 120-v) Montag 29.ten Julÿ. Johann Klapp Ballenmr.
Ballenhaußes halben Ist volgend bescheidt vns von H. Rhet XXI Zukhommen. Vß Erkandtnus vnser h Rhet XXI soll Johan Klapp d. ballenmr von beden seinen ballenheußeren Jarlich vff weÿhenacht. 50. h d vff den Pfenningthurn Zu reichen schuldig sein, vnd deßweg. nechstkünftig weÿhenachten der Anfang gemacht werd. Actum Straßburg 27.ten Julÿ 1605.

1606, Préposés au bâtiment (VII 1306)
Quittance pour 1606

(f° 11) Mittwoch 22 Januarÿ – Johann Klapp der Ballenmeister hat vß Erkandnuß Vnser H Rhat XXI von sein bed. ballenheusern vff weÿhenachten Nechstuerschinen verstallen erlegt 50. h
verrechnet Montags sub Sebastiani

1608, Conseillers et XXI (1 R 87)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un notent que non seulement les jeunes gens dépensent beaucoup au jeu de paume mais que la maison est un lieu de débauche.

(f° 70-v) Sambstag den II. Aprilis – Pallenhauß seÿ groß unzucht getrieben worden
Item d. im Pallenhauß nit allein vil gelt von Jung. leutten verthon werde sonder d auch Pallenmeister Zweÿ beth gehalten darin sich hn u Junckern abgekilt u vber* do renssen pliben, u *ber auch ansothan leicht weiber der mans nit vertrawet Zu fuhren lassen. Also d. es billich abzuschaff.

1609 VII 1324 Bauherren – Ballenhauß. 12. Zahlt. 144.

1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Le maître du jeu de paume Thierry Bellitzari règle les 50 livres pour 1611.

(f° 56-v) Donnerstag 21. Martÿ – Ballenhauß
Georg Burckart wegen Dietherich Bellitzari ballenmrs. Zalt für weÿhenachten 609 verstallen 50 h d.
Will In ein Monat d. Jar 610 auch bezalen. verrechnet post palmarum 1611.

1612, Préposés au bâtiment (VII 1327)
Balthasar Junus demande un sursis de paiement au nom de la veuve du maître du jeu de paume

Montags den 9.t Novembris. – Ballenhauß halben Ist Baltzar Junus bescheid, Ist sein schreiber erschienen, entschuldigt die wittib d. sie Jetzo gar Kein gelt habe, seÿ verpitig biß weÿhennachten Zu zalen, den newen Zinß werde der Innhaber des hauses Zalen, vnd was nit gescheh. so wöll sein H. baltzar Junius Zalen. Ist Ihm an Zeigt wan sein H. Baltzer Junus solches selbst mundlich verspricht od. ein Zedul schicken wollen wie wartt. Wills sein H. anzeig.

1613, Préposés au bâtiment (VII 1328)
Salomon Macklé déclare que ce n’est pas à lui de payer les arriérés des 50 livres. Les préposés déclarent qu’il doit les prélever sur le prix d’achat.

(f° 11-v) Sambstag 6.ten Februarÿ – Ballenhauß.
Walther Kaw weg. Ballmrs erscheint sagt seÿ Ihm gebotten, dem Ist d. Zinß 50 h. vff weihenachten verfallen, begert man, wills dem h. Anbring.
(f° 13-v) Mittwoch 10.ten Februarÿ – Salomon Mackle der Pallmeist. Ist Ihm 50 h Zinß gefordert vff Weÿhenachten 1612. verfallen sagt seÿ Ihn nit gar schuldig sond. die vorgehende wittib. dem Ist antzeigt soll vns den gar Zalen vnd mags am Kauffgelt der witwen abziehen. Darauff hat er bar Zalt 50. h. d

1627, Préposés au bâtiment (VII 1342)
Salomon Macklé doit entretenir le sentier qui mène au jeu de paume

Salomon Mackle deß Ballenmeisters Zinß. 13. Umb Beßerung Pfadts. 23.
(f° 13) Montagß den 5. Februarÿ 627. – Zinßmeister gerechnet. Ballenhauß Salomon Mackle, N° 18
Vnd vom Ballenhauß weg. Salomon Mackleß deß Ballenmeisters, für Einen Zinß p. A° 24 verfallen N° 18, 50 lb.

(f° 23-v) Sambstags den 17. Februarÿ a° 1627 – Pfad gegen dem Ballenhauß
Salomon Mackle d. Ballenmeister vmb außbeßerung deß Pfads geg. dem Ballenhauß vmb daß Weÿseneck, waßerm. bericht hab Ihn mehr gemacht. Erkant, Zumach.

1642, Protocole des Quinze (2 R 65)
Le maître du jeu de paume Salomon Macklé déclare que les affaires ne vont pas mieux, il demande d’être exempté de payer les 60 florins annuels. Les Quinze ramènent le 14 décembre la somme à 50 florins.

(f° 331-v) Sambstag den 10. X.bris. – Salomon Mackle wegen Ballenhauß Zinß.
Salomon Mackle der Ballenmeister allhie Per Dr Knaff. dt. Supplication, reassumirt darin sein in Verndigem Protocollo gethanes begehren, vndt bitt weilen die Zeiten nicht beßer werden vnd verdienst im ballenhauß gar gering, Ihme die moderirte 60. fl. Jährlichen Zinßes nunmehr gar nachzulaßen.
Erkandt, Jr Böckel vnd H. Schmidt sollen die Sach bedencken. [manque le registre de 1641]

(f° 335-v) Mittwoch den 14. 10.bris – Salomon Mackle wegen Ballenhauß Zinß.
Jr Böckel vnnd H. Schmidt laßen Salomon Mackle deß Ballenmeisters Jüngstes Supra fol. 331. gethanes begehren reassumiren, vndt darauf vf verndigem Protocollo ex fol: 276. ableßen Waß Ihme damahlen ane dem Ballenhauß Zinß nachgelaßen word. wann sich dann sothane die Zeiten nit gebeßert Supplicant auch sich wied. anzumelden verwieß. word. als vermeinen die Herren Deputirte Es Köndte Ihme für daß Künfftige Jahr allein 50 fl. Zugeben vferlegt, v. Er sich nach verfließung solchen wid. an Zumeld. verwießen, Kann als dann wie fürters es mit Ihme Zuhalt. dahero geredt &. Erkandt placidirt.

1668, Préposés au bâtiment (VII 1360)
Les Préposés à la Tour aux deniers et au bâtiment accordent un délai de paiement aux héritiers de Salomon Macklé, à savoir Isaac Bion.

(f° 180-v) Mittwochs den 8. dito [Aprilis] – Mackhle Erben, Pion
Salomon Mackhle Erben in specie Isaac Pion, solle vom Ballenhauß, biß 1666. inclusivé 114. lb. p. rest vnd p. 1664. 25. lb d in summa 139. lb. Ille will nach vnd nach vnd Jetzt also baldsen* 25. lb Zahlen vnd hier Zwischen Pfenning.ßen 75. lb b für den Rest. Erk. würd ihme willfahrt mit dem anhang wann hier Zwischen Pfingsten die erlag nit geschiht, er alß dann vmb völlige Summ exequirt werd. solle

(f° 196) Donnerstag den 14. May – Pion
Zinßmeister, berichtet daß Isaac Pion der Ballenmeister die jenige 75. lb so derselbe von Pfingsta Zahlen sollen, allererst in dießer wochen gelüffert, erwartet bescheid, weilen solche Zahlung nicht in bestimpter Zeit erfolgt, ob derselbe noch vmb die nachgelaßene Summ anzuhalten, oder Völlig quittirt werden solle. Erk. soll für voll quittirt werd.

Débit de vin

1701, Protocole des Quinze (2 R 105)
Le fermier de l’accise se plaint en septembre 1701 que le maître du jeu de paume Jean Daniel Bion débite du vin sans régler de taxe. Jean Daniel Bion déclare que son père et son grand père ont depuis 80 ans le privilège d’exploiter le jeu de paume, ce qui comprend aussi le débit du vin aux joueurs. La même coutume se trouve en différent endroits tant en France qu’en Allemagne. Les Quinze consultent les registres et constatent que la somme de 50 livres, ensuite ramenée à 50 florins, est due pour le jeu de paume. L’exploitant figurait bien sur la précédente liste des exemptés mais pas sur la nouvelle. Les préposés renvoient le pétitionnaire au fermier avec lequel il devra s’accorder. Il devra s’abstenir de servir du vin tant qu’il n’aura pas permission de le faire.

(f° 3) Sambstags den 15. January 1701 – Joh: Daniel Bion pt° Freÿheit des Weinschancks
K. nôe H. Joh: Daniel Bion des alhiesigen Ballenmeisters prod. unterthäniges Memoriale vnd bitten wie inhalts. Erk. an die oberen Vngeltsherren gewießen.

(f° 329-v) Dienstags den 13. Sept. 1701 – Ungelts fermier Ca. Joh: Daniel Bion
Iidem [Obere Vngelts herren] laßen durch Herren Friden, es habe offtgemelter fermier des Ungelts auch wider Johann Daniel Bion dem Ballenmeister geklagt, daß er ohnbefugter weiß wein außschencke, und demeselben einmahl 100. Liures, das andermahl aber 300 Liures vor sein dedommagement geford., deßwegen ged. H. Bion mit einem unterth. memoriali eingekommen und darinnen exponirt, wie daß unter anderen privilegÿs, so der Ballmeister alhie zu genißen habe, und seine groß: und Eltern beÿ nahe in die 80 Jahr genoßen, auch der weinschanck begriff. seÿe, welchen der ietzige fermier des Ungelts ihme erschwehre und prætendire, daß er nach dem fuß der würth das ungelt entrichten wolle, da er doch keinen wein aus dem hauß noch über die Gaß verkauffe, sondern allein den Jenigen einen trunckh gebe, die sich im Ballenspiel exercirt vnd Zu ihren refraichirung, wein verlangen, wie solches nicht allein in Franckreich, sondern auch überal in Teütschlandt wo Ballenhäußer befindlich, üblich und Herkommens seÿe, deßwegen auch Jährl. vnd Ihme 50. fl. auff den Pfenningthurn gelieffert würden, mit unterth. bitt, ihne beÿ seinem alten Recht vnd freyheit, wider den fermier obrigk. Zu manuteniren und Zu erkennen, daß d.selbe Ihne, in seinem privilegio nicht mehr beeinträchtihen solle.
Alß man darauff dem Imploranten in dieße Stub beschieden, und noch mündlich angehört, habe derselbe beditten daß er wegen des weinschancks Jährl. 50. fl. auff dem Pfthurn lieffern müße, allein habe sich wed. in Mgherren, noch Herren Rhät undt XXI. Memorialibus noch auff dem Pfenningthurn etwan davon finden wollen, sondern es seÿe vielmehr berichtet worden, daß derselbe von denen beeden häußern anfangs 50. lb d. Zinß Jährlichen entrichtet habe, so nachgehelds auff 50 fl. reducirt worden seÿen, deme selbig nach beÿgesetzt, daß das hauß sein eigen, und dergleichen Schanck sowohl in Franckreich als in Teütschlandt in den Ballhäußern üblich seÿe, vnd daß solche beÿ ihme täglich schlechter werde vnd er wenig wein vertreibe. Auff seithen der Herren Deputirten habe man sich wohl errinnert, daß beÿ vorig. ferme der Implorant in der Liste der Exempten gestand. dießes mahl aber befinde Er sich nicht darinnen, deßweg. Zu Mghherren stünden, was Sie hierauff erkennen wollen.
Erk. Soll Bion mit dem fermier des Ungelts, wegen des, Zeit wehrender ferme außgeschenckten weins, sich abfinden, derselbe aber der straff erlaßen, mithin ihme angezeigt werden, Keinen wein mehr außzuschencken ehe und bevor Er von Mghherren die permission erhalten haben werde.

(f° 353-v) Sambstags den 24. Sept. 1701 – K. nôe H. Joh: Daniel Bion des alhießigen Ballenmeisters prod. unterth. Memoriale vnd bitten, wie inhalts, pt° Weinschancks. Erk. an die Oberen Vngeltshhn. gewießen.

(f° 416) Freÿtags den 9.ten Decembris 1701 – Daniel Bion der Ballenmeister pt° Weinschancks.
Iidem [Obere Vngelts herren] laßen durch Herren Friden proponiren daß Daniel Bion der allhießige Ballenmeister den 24.t Septembris jüngst beÿ Mgh. mit einem unterthänigen Memorial eingekomme, vnd darinnen gebetten habe, daß weilen bereits vor 80 jahren seine Große Eltern vnd Er die Ehr gehabt in dießer Statt vnd daselbsten befindlichen vornehmen Universität dem ballenhauß vorzustehen, vnd den jenigen welche sich in solchem noblen Spiel exercien wollen, mit einem trunck wein auffzuwarten, vnd für solchen Weinschanck (der nicht vber die gaß gehet) weder seine Vorfahren noch Er jemahlen einiges umbgemt ermegen dörffern gleichwie auß dem vorigen mit denen herren Ungelts fermiers in aô 1686. und 87. vorgegangenen bail Zuersehen sein würdt vndt hingegen wegen sothanen Privilegÿ vnd exemption denen sonsten im gantz Franckreich, Teutschland vndt andeen orthen mehr die ballenmeister Zugenießen pflegen auff den Pfenningthurn jährlich 50. fl. Zu lüffern obligirt gewesen denen jetzmahligen fermier ins Umbgelt mehr nicht alß den ersten vergönnet vnd beÿ seinem Privilegio deß freÿen Weinschancks Er gelaßen werden möchte oder Zum wenigsten der 50 fl. welche Er seithero jährlich auff den Pfenningthurn gelüffert Zubefreÿen sein würde, Wann nun bereits in dießer sach einiger bescheid ergangen vnd erkandt worden, daß der Implorant sich mit dem fermier im Vmbgelt wegen deß Weinschancks abfinden solte, vnd auch derselbe seithero ferner darüber gehört worden, vnd sich dahin vernehmen laßen, daß Er anjetzo in 5. Monathen nicht 3 Ohmen wein außgeschenckt vnd nochmahlen gebetten hette, weilen Er sich biß dato mit dem fermier nicht vergleichen können, vnd gleichwohlen jährlichen 50. fl. auff den Pfenningthurn lüfferte, welche lüfferung seiner meinung nach auch für den weinschanck geschehete daß Er dabeÿ gn. gelaßen vnd der fermier Zur ruhe gewießen werden möchte, die herren Depuirte hetten dieße sach alß in welcher bereits bescheid ergangen Zu Mghh. erkantnuß außstellen wollen.
Herr Syndicus sagt weilen bereits in dießer sach bescheid ergangen, alß werde demselben Zu inhæriren sein, vnd ob schon im gantz. Franckreich die ballenmeister einen Freÿen weinschanck haben solten so seÿe doch dem allhießigen bereits deßwegen ein verbott geschehen vnd würden auch die 50. fl. nicht für den weinschanck sondern wegen concession des ballenspiels allhier Zutreiben von ihme jährlichen auff den Pfenningthurn gelüffert, Er hette demnach darvor gehalten, es werde beÿ dem vorigen bescheid gelaßen vnd Imploranten angezeigt werden können, sich entweder mit dem fermier abzufinden oder deß weinschancks im Ballenhauß ins künftige sich Zuenthalten. Erkandt herrn Syndico gefolgt.

1702, Protocole des Quinze (2 R 106)
Les députés rendent compte de leur enquête dans les registres. Celui de 1642 dit explicitement que les 60 florins que réglait Salomon Macké ont été ramenés à 50 florins et qu’il n’a jamais été question de servir du vin. Daniel Bion se propose de donner 16 florins, ce qui est beaucoup moins que les cent rixdales que prétend le fermier. Le syndic royal est d’avis de renvoyer l’affaire aux préposés de l’accise.

(f° 80-v) Freÿtags den 17. Martÿ 1702 – Ungelts Fermier Ca. Daniel Bion
Iidem [Ober Ungelts Herren] per herren Friden, es habe der Fermier des Vngelts auch ein Memoriale wider Daniel Bion den Ballmeister eingegeben vnd demselben, wegen bißhero außgeschenckten weins vor 2 Jahr à 50. Rthlr 100. Rth. gefordert, vnd alß man dem Bion darüber gehört, seÿe er in der meinung gestanden, daß die 50. fl. die er Jähr. dem Pfenningthurn erlege, wegen des weinschancks seÿen, es finde sich aber in Mghherren Memoriale de aô 1642. fol. 335. Clar, daß Samuel Mackle der alte Ballmeister vor den hauß Zinß des Ballhaußes dem Pfenningthurn jährlichen 60 fl. Zinß bezahlt habe, welche nachgehends auff 50. fl. reducirt, auch seithero von dem Ballmeister jährl. erlegt, des weinschancks aber gar nichts gedacht worden seÿe, deßwegen Mghh. Erkantnus jüngstens dahin gegangen daß beklagter Bion propræterirte sich mit dem fermier vergleichen vndt ins künfftige keine weinschanck ohne Mghherren erlaubnus treiben solle. Propræterirte nun fordere fermier 100 Rth. worüber Bion sich Kläglich gestellt und beditten daß Er in Sechs wochen niemand gehabt, der im Ballhauß gespihlt habe, als 3. officiers und wann Er neben den 50. fl. auch den Weinschanck bezahlen solten Er nichts mehr bestehen Könte, sondern das Ballhauß quittiren müßte
Worauff man denselben gefragt, wieviel wein er wohl in solcher Zeit verkaufft habe, der beditten daß es 14. oder 15. ohmen geweßen seÿn möchten, davor Er nach langem auffhalten, endlich 16 fl. Zugeben offerirt habe, so ein großer unterscheidt gegen 100 Rthl so der fermier prætendire, seÿe, und halte man auff seithen der herren deputirten davor, es werden Mghherren Zu überlaßen seÿn, was Sie hierin decidiren wollen, weilen es sonsten immer wehren würde. Quoad futurum habe ged. Bion sich erklärt daß er den weinschanck bleiben laßen wollen, weilen alle Compagnien ihn quittirt hetten, Ingleichem habe H Mühlberg. berichtet, daß der fermier beÿ seiner prætension verbleibe, iedoch die decision Mghherren überlaßen wolle.
Herr Syndicus hielte davor daß die liquidation des von dem Bion außgeschenckten weins den herrn dreÿen des Umgelts recommendirt undt Endlich dem Ballmeister das Juramentum deferirt werd. könte. Erkandt, Wird dem beklagten Bion wegen seines außgeschenckten weins das Juramentum Zugelassen.

1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Sébastien Beck, commissionnaire de roulage et maître du jeu de paume, demande exemption des 50 livres puisque plus personne ne vient pratiquer le jeu. Les deux salles du jeu de paume servent de magasin aux effets des campagnards réfugiés en ville. Il promet d’introduire une demande quand il y aura de nouveau des joueurs. Les préposés au bâtiment rapportent le 28 novembre que les salles servent bien d’entrepôt. Le pétitionnaire devra régler les 50 florins pour l’année en cours, quant à la poursuite du jeu de paume l’affaire est renvoyée aux Conseillers et aux Vingt-et-Un.

(f° 29) Sambstags den 9. Februarÿ 1704. – Sebastian Beck pt° wein im Ballhauß außzuschencken
G. nôe Sebastian Becken des ietzmahligen Ballmeisters und Besteters im Kauffhauß prod. unterth. Memoriale vnd bitten wie inhalts pt° wein im ballhauß außzuschencken. Erk. wie vor [an die Obere Ungeltsherren verwiesen]

(f° 281-v) Freÿtags den 14.ten Novembris 1704 – Sebastian Beck der bestätter im Kauffhauß umb nachlaß derseithero gelüfferten 50 fl. wegen deß ballenspiels
Die Obere Bawherren laßen durch herrn secretarium Friden referiren es hette H. Sebastian Beck der bestätter im Kauffhauß allhier vnd jetzmahliger besitzer deß ballenhaußes Ein Memorial vbergeben, vnd darinn gebetten, daß von den jenigen 50 fl. welche Er jährlichen deß ballenspiels oder weinschancks halben auff dem Pfenningthurn lüffern müßte vnd vmb deren Nachlass Er bereits in vorigen jahr wegen fast gäntzlich. abgangs ged. ballenspiels eingekommen, dermahlen aber mit seinem begehren abgewießen worden, anjetzo befreÿt werden möchte, weilen Er gemüßigt worden, in dem sich niemand mehr præsentire in solchem Exercitio sich zu Üben, die beÿde ballenhäuser nach dem Sie eine Zeitlang lehr gestanden einigen flüchtigen Bauersleüten Zu conservirung ihrer mobilien früchten heü vnd stroh einzuraumen vnd weilen vber dießes 3000 fl. auff ged. Ballenhauß stehendes Capital verinteressiren, auch der Wittib des gewesten ballenmeisters Daniel Bions jährlich 60 fl. Widembs Zinß abzustatten hette, alß verhoffe derselbe vmb so da mehr alß in dießem gantzen jahr wegen solches exercitÿ nichts acquirirt, sondern das seinige noch dabeÿ eingebüßt, daß der in dießem jahr verfallener 50 fl. erlaßen werden würde mit dem erbiethen daß so bald nach endigung dießer Kriegstroublen solches Execitium wider in *h kommen solte, sich deßwegen gebührend wieder anmelden vnd vmb erlaubnuß bitten werde vmb continuatiion ged. Exercitÿ.
Die Herren Deputirte hette dieße sach vnd deren erörterung lediglich Zu Mghh. Erkanntnus außstellen wollen.
Herr Syndicus haltet darvor, daß dießes geschäfft Zu fernerer Erkundigung den herren Deputirten Zu committiren vnd nach genugsam einge* bericht wider ahne dießem orth Zu referiren sein werde. Erk. H. Syndico gefolgt.

(f° 299) Freÿtags den 28.ten Novembris 1704. – Johann Sebastian Beck wegen deß nachlaß der 50 fl. so jährlich wegen des ballenspiels auff den Pfenningthurn zulüffern
Iidem [die Obere bawherren] laßen durch H. Secretarium Friden referiren daß In Sachen Herrn Johann Sebastian Beck deß bestätters im Kauffhauß wegen deß von ihme gesuchten nachlaß der 50 fl. welche Er jährlichen wegen des ballenspiels Zuerlegen gehandelt worden vnd dabeÿ berichten, daß Sie auffg beschehener weißung den augenschein in dem Ballenhauß eingenohmen, dabeÿ befunden haben daß solches mit heÿ vnd stroh vnd anderen anhero von dem Land geflüchten sachen angefüllt vndt alßo gar nicht im stand were, daß dießes Exercitium deß Ballenspiel[s] darinn getrieben werden könte, Es hette auch ged. H. Beck beditten, daß Er des ballenhauß Zwar eigenthümlich besitze, auff solches Exercitium aber alß welches seiner Profession nicht were, sich wenig verstünde auch im 3/4 jahren nicht über 15 ß eingenohmen habe, vnd wan auch gleich einige Officiers spielten doch von denselben nichts bekommen könte, beÿ welcher der Sachen beschaffenheit die herren Deputirte lediglich Zu MGHh stellen wollen welcher gestalten Sie dießes begehren wegen erlaßung der in dießem jahr verfallene 50 fl. ansehen, vnd wie es ins Künfftige damit gehalten werden solle, erkennen werden wollen. Erk. Soll Implorant die quæstionirte 50 fl. für dießes jahr zu bezahlen schuldig sein vnd die Sach wegen continuirung deß ballenspiels, alß welches Ein Exercitium vor herren Räth vnd XXI gebracht werden.

1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un ordonnent le 24 janvier une enquête dans les registres avant de statuer sur les sommes dues par le maître du jeu de paume. Le syndic royal fait la même demande le 20 avril et constate le 12 août que rien n’a été fait.

(p. 19) Sambstags den 24.ten Januarÿ 1705. – Sebastian Beck bestäter im Kauffhauß vmb permission beede ballhäußer allhier Zu verkauffen.
Ersch. Sebastian Beckh bestäter in allhiesigem Kauffhauß prod. vnderthäniges hoch angelegener Memo: Vnd bitten, daß mgHhn geruhen wolten Ihme zu erlauben, die von Johann Daniel Bion dem geweßenen ballenmeister auff Ihnen gefallene vnd mit 260 fl. Jährlichen Zinnses beladener Ballhaußes Zu Verkauff als welche Zinnß Er in ansehung das ballenspiel gäntzlichen in abgang gekommen zu entrichten nicht mehr vermag, oder aber das mghHh solche ballhäußer als welche Er Ihnen Vor allen anderen obsendtenen käuffern vmb einen billigen Preiß zu überlaßen offerirt Kauflichen übernehmen möchten, damit Er die darauff hafftende * zum theill auffgekundte Capitalien bezahlen vndt abstatten könte.
Erk. soll zu forderist die protocolla auffgeschlagen werden, vmb zu sehen vnter was für Conditionen dieße ballenhäuser auff zurichten erlaubt worden vnd was es sonsten für eine beschaffenheit damit habe. H. XV.er Scherer vnd H. Rathh. Walther

(p. 91) Montags den 20.ten Aprilis 1705. – Sebastian Beck der bestäter im Kauffhauß
Saltzm. nôe H. Sebastian Beck Ersch. H. Johann Andreß Keüfflin alß mandatarius, prod. vnderth hochgelehenes Memoriale mit widerhohlten bitten vnd beÿlag Lit. A et B allwo die hieher gehörige passus marquirt.
Herr Syndicus Regius meldet, es were beÿ producirung deß ersten Memorials H. Schwenden die commission gegeben worden in den Protocollis nach zu schlagen vnd sich darinnen Zu verkundigen was es für eine eigentliche beschaffenheit mit dießer Sach habe vnd alß dann wider zu referiren, weilen aber solches noch nicht gewesen sein wird, alß werde ihme dieße nochmahlen Zu committiren vnd biß dahin dieße sach in suspenso Zulaßen sein. Erk. Herrn Syndico gefolgt. H. XV. Spielmann vndt H. Rathherr Beck deputirt.

(p. 181) Mittwochs den 12.ten Augusti 1705 – Sebastian Beck wegen erlaßung der jährlichen 50. fl. ratione deß ballen spiels.
Ersch. H. Sebastian Beck der bestäter in dem Kauffhauß allhier prod. unterthänig hochangelegenes Memoriale mit wiederhohlter bitten pt° erlaßung Jährlicher 50 fl. ratione privilegÿ des Ballenspiels.
H Syndicus Regius votirt vndt meldet es were vor einigen Monaten auff übergebenes Memoriale des Imploranten in eben dießer sach Erkandt worden, daß zuvorderist Ein Extractus auß denen protocollis gemacht vnd deßen beschaffenheit beÿ Mhhen referirt werden solte, vndt weÿllen solches bis dahero nicht geschehen als hätte Er darvor gehalten daß solches mir dem Secretario zu Commissario seÿn werdte. Vmb als dann über des Imploranten petitum definitiue zusprechen. Erk. Hrn Syndico gevolgt. H. XV.er Reichshofer vndt R. Rathh. Grießbach.

1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
Jacques Louis Hermann, aubergiste au Cerf dans le jardin Amberg, demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit au jeu de paume. Seule la petite maison lui a été louée, les deux grandes salles sont louées au comte de Hanau qui y entrepose de la paille. La commission lui répond que le jeu de paume n’a jamais été autorisé à débiter du vin, que seuls les joueurs ont pu avoir du vin, et éconduit le pétitionnaire le 12 avril. Sébastien Beck, propriétaire du jeu de paume déclare en mai que les bâtiments ne lui rapporent plus rien. Il souhaite néanmoins conserver le jeu de paume pour le moment où l’université voudra à nouveau en jouir. La location à un aubergiste a pour seul but de lui procurer un revenu pour faire face aux dépenses. La commission accorde le droit d’auberge jusqu’à la Saint-Michel, prolongé de trois mois en septembre.

Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks im ballenhauß, 93. 107.
Sebastian Beck pt° erlaubnus daß Ludwig Jacob Hermann den Weinschanck im ballhauß treiben dörffe 114
Jacob Ludwig Hermann pt° continuationis des weinschancks im ballenhauß 237

(f° 107-v) Sambstags den 12. Aprilis 1710 – Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Herren] laßen durch H Friden referiren, daß Jacob Ludwig Hermann der burger vnd bißherige Würth Zum hirtzen in dem Ambergischen garten vmb den Weinschanck im Blatterhauß angehalten habe, deme Er alß man ihme ferner gehört, beigefügt, wie doch Er nicht allein burger sondern beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger Leibzünfftig were, vnd schon eine geraume Zeit Würtheÿ getrieben hette, allein in dem Würthshauß Zum Hirtzen nicht mehr bleiben Könte, weilen Er jährlich 108 fl. Zinß geben solle, vnd vmb sich künfftighien ernehren zu können, hett Er H Becken dem bestäter im Kauffhauß das ballenhauß abgelehnt, allwo Er wein auffzäpffen jederman setzen, vnd eßen vnd trincken geben wolte, wie es bißhero geschehen, auch Er nichts anders in lehnung hette, alß nur das Kleine hauß, die Zweÿ groß Ballenheüser H Graff von Hanaw gelehnet und selbige mit häw angefüllet hette
Auff seithen der H. Deputirten, habe man ihme gleich widersprochen daß das ballenhauß niemahlen kein Wirthshauß gewesen were, vnd der Ballenmeister niemahlen die erlaubnus gehabt hette, jedermäniglich eßen vnd trincken Zugeben, wohl aber denen jenigen so beÿ ihme im Ballenhauß sich divertirt vnd erlustiget haben, vnd weillen man besorgt es dörffe hierudurch den Ballenhauß ein recht der Würtheÿ Zugezogen werden, daßelbe auch Zimlich abgesetzen alß habe man dem vorgehalten, dem Implorant mit seinem begehren abgewieß, werden könte. Erk. bedacht beliebt.

(f° 114) Sambstags den 3.ten Maÿ 1710 – Sebastian Beck pt° erlaubnus daß Ludwig Jacob Hermann den Weinschanck im ballhauß treiben dörffe
Iidem [Ober Ungelts Herren] laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß herr Sebastian Beck der bestäter im Kauffhauß gegenwärtiges vnderth. Memoriale vbergeben innhaltend, daß Er Implorant ohnlängsten Ludwig Jacob Hermann dem geweßten Würth in dem Ambergischen garten oder Zum großen Hirtzen das ballenhauß lehnungs weiß vnd Zwar so lang überlaßen biß der liebe friede erscheinen vnd beÿ Zunehmender Universität das exercitium deß ballenspiels wider gesucht werden möchte, weilen aber dem Conductori die Würtheÿ daselbst Zu treiben abgeschlagen worden, vnd Er Implorant den größen schaden vndt nachstand darfür empfindet, in dem ihme inhibirt worden die ballenhäußer abzureißen vnd Er indeßen dieselbe, ob schon den geringsten nutzen davon Ziehen könne, im baw vnd guthen esse erhalten, dabeneben auch vor 3000 fl. darauff stehenden Capital die unteresse entichtet vnd der Bionischen Wittib 60 fl. widumbs Zinß jährlichen lüffern müße, vnd vnder solchem last in einen ohnwiderbringlich. schaden gerathen dörffe, alß wolte Er unterthänigkeit gebetten haben, angesehen der Conductor sein vngelts gebühren allzeit fleißig entrichtet, denen ballhäußer auch allezeit das recht deß Weinschancks gegönnet gewesenen, solche lehnung auch Zu nichts anders Zwecket alß daß durch einziehung einiger wider Zinß die Ballhäuser Zum wohlstandt der Universtiät conservirt werden möchten dem ged. Lehner gn. Zu gestatten, daß ballhauß Zubeziehen vndt mit aller erbarkeit vnd stille den weinschanck darinnen zu treiben.
Auff seithen der herren Deputirten habe mann sich wohl errinnert, daß alß jüngsthien ged. Hermann vmb den weinschanck im ballenhauß angehalten, ihme sein begehren abgeschlagen worden seÿe allein weilen der selbe anjetzo Keine gelegenheit finden kan vnd der Implorant, so bereits anderswo ein hauß gelehnrt, vnd das ballenauß quittiren würdt, an denen annoch darauff stehenden Capitalien große, Zinß geben muß, so stellt man zu Mghh. ob Sie ihme nicht in seinem begehren biß auff Michaelis willfahren wollen, jedoch daß solche ohne Consequenz geschehen, vnd Er Herrmann allein in dem hauß wohnen, vnd auch keinen schildt außhengen vnd Zuvor einen schein von der Einquartierung einlüffern solle.
Erk. Wirdt ged. Hermann biß Michaelis auff gemelten condition willfahrt, vmb so viel mehr, weilen dadurch der Einquartierung ein guthes hauß Zugehet vnd wann der Implorant Zwischen dieser Zeit keine gelegenheit finden vnd sich vmb continuation deß schancks anmelden würdt, ferners davon geredt werden solte.

(f° 237-v) Sambstags den 27. Sept. 1710. – Jacob Ludwig Hermann pt° continuationis des weinschancks im ballenhauß
S. nôe Jacob Ludwig Hermanns des Burgers undt Würths alhie, pplis hat seine würtschafft im ballenhauß alhier vndt weilen Ew. Gn. erkant, daß Er sich in einem Viertel jahr wieder anmelden solle, alß bittet Er unterth. Ihm den schanck so lang darin Zu erlauben, biß d. ballenspiel alda wider angehen wirdt. Erk. an die Obere Ungeltshh. gewießen.

1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
Jacques Louis Herrmann qui n’a pas trouvé à louer une autre auberge est autorisé en janvier 1711 à tenir celle du jeu de paume jusqu’à la Saint Michel puis en juin pendant un an.

(f° 15) Freÿtags den 30. Januarÿ 1711 – Jacob Ludwig Hermann pt° fernern weinschancks im Ballhauß
Obere Ungelts Herren laßen durch herrn Friden referiren daß Jacob Ludwig Hermann der bißherige Würth im Ballhauß vmb continuationem deß Weinschancks allda angehalten habe, auff beschehene remission habe man davon geredt, vnd sich gleich erinnert, daß den 3. Maÿ vorigen jahrs derselbe Zwar den Schanck im Ballhauß erhalten hette allein mit der condition daß es nicht länger alß biß Michaelis wehren vnd wann Er in Zwischen Keine andere gelegenheit finden Könte, er sich ahne dießen hohen orth wider anmeld. solte, deme Zufolge Er Jüngst wider eingekommen were, vnd weilen beÿ der Deputation beditten, daß Er bißhero Kein anders Würthshauß hette finden können, demnach aber sich vnd sie einige ernehren müßte auch nur noch Zeit biß auff Joh: Baptistæ dießes jahrs gebetten, so stünde Zu Mghh. ob Sie ihme in seinem begehren willfahren wollen. Erk. Willfahrt.

(f° 177-v) Sambstags den 4. Julÿ 1711. – Jacob Ludwig Hermann pt° continuatio des Weinschancks im Ballhauß
K. noîe Jacob Ludwig Hermann des burgers vnd Gastgebers alhie der Bittet unterth. umb gn. prolongation des termins noch auf ein Jahr lang im Ballhauß zu verbleiben, vnd den Weinschanckh alda zu continuiren. Erk. an die Oberen Ungeltshh. gewießen.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
L’autorisation est prorogée d’un an en avril 1712.

Sebastian Beck pt° Weinschancks im Ballhauß
(f° 93) Sambstags den 16. Aprilis 1712 – Sebastian Beck pt° Weinschancks im Ballhauß
Obere Ungelts herren laßen durch herrn Friden referiren, daß Sebastian Beck der bestäter im Kauffhauß ein unterth. Memorial vbergeben, darinnen Er gebetten, daß ihme die Würtheÿ im ballhauß noch ferner continuirt werden müste, beÿ der Deputation hette Er beÿgefügt, daß Johann Hermann der Würth, so noch im Ballhauß wohnet, auff Johannis Baptistæ außziehe, vnd weilen daselbsten kein ballenspiel mehr ist, vndt es sonsten niemand lehnen will, auch ein großer Zinß so Er jährlichen abzurichten, daruff stehet, Er es einem andern Würth wider verlehnen wolte, der nachgehendts beÿ Mgh. vmb den schild anhalten könte, mit bitt ihme in seinem begehren Zu willfahren. Nach den man nun in dem Protocoll gefunden, daß ihme Zu andern Zeiten der Weinschanck auf ein jahr lang willfahrt worden, so stünde Mghh. ob Sie die permission auff ein jahr lang setzen wolten, jedoch mit dem anhang, daß Er ein schein von der Einquartierungs stub einlüffern solte, Erk. beliebt.

Tobie Stædel demande l’autorisation d’établir un jeu de paume au Marché aux Chevaux.
Ancien aubergiste à Ostwald, Isaac Marin est autorisé en juin 1712 à exploiter le débit de boissons au jeu de paume.
(f° 113-v) Freÿtags den 13. Maÿ 1712 – H Tobias Städel Sen. pt° Wein und Bierschancks in dem ihme auffzubauen erlaubt. Ballhauß
(ihme ein Ballhauß auff den Roßmarckh auffzurichten), suite 148

(f° 122-v) Sambstags den 14. May 1712 – Isaac Marin pt° Weinschancks
S. noîe Isaac Marin des Würths Zu Oßwaldt, der will sich auff Joh: in d. ballhauß beÿm Weißenhauß, vndt im Schirm begeben, bittet unterth. ihme den weinschanck alda gn. Zu willfahren. Erk. an die Oberen Ungelthh. gewießen.

(f° 138) Sambstags den 4. Junÿ 1712. – Isaac Marin pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelth Herren] per Hn Friden, es habe Isaac Marin der geweßene Würth Zu Oßwaldt, angesucht daß Ihme der Weinschanckh im Ballhauß erlaubt werden möchte, vndt alß man ihme ferner angehört, beditten, daß Er die Würtschafft gelernt vndt 12 jahe dabeÿ servirt habe, Er seÿe noch nicht im Schirm, wolle sich aber darin begeben, habe auch einen schein von E. E. Zunfft der Freÿb. gebracht, welche Ihne, wann Er præstanda præstirt haben werde, Zu einem leibzünfftigen annehmen wolle, seithero hette derselbe aich einen Schirm Zedul eingelieffert, vndt stünde Zu Mghherren, Ob Sie ihme willfahren wollen, jedoch daß Er auch einen schein von der Einquartierungs Stub einbringen solte. Erk. Gefolgt.

1712, Conseillers et XXI (1 R 195)

Sebastian Beck gtra H. Tobias Städel seniorem wegen auffbawung eines ballenhaußes. 30. 33.
H. Tobias Städel Senior wegen auffbawung eines ballenhaußes. 28. 30. 33. 42. 43.)

1715, Conseillers et XXI (1 R 198)
Sébastien Beck demande à être autorisé de débiter du vin et exempté des logements militaires. Le préteur royal déclare que le débit de boissons est de la compétence des Quinze mais que l’exemption doit faire l’objet d’une enquête dans les registres

(f° 79) Sambstags den 17.t Augusti 1715 – Sebastian Beck der ballenmeister umb befreÿung von der Einquartierung vnd vmb den weinschanck
H. Ersch. Sebastian Beck burger vnd bestäther deß Kauffhauses, prod. vnderth. Memoriale vnd bitten vmb befreÿung von der Einquartierung, vnd daß ihme auch der weinschanck vergönnet werd. möchte. Herr Advocat Frid haltet darvor, wann die vorige ballenmeister vor dießem von der Einquartierung befreÿet geweßen, dem Implorant auch solche vergönstigung geschehen könte, den weinschanck betreffend, werde das begehren ahne der Herren XV. Zuweisen sein.
Herr Prætor Regius sagt, Es were über Zweÿ puncten Zusprechen, nemlich vber die befreÿung von der Einquartierung vnd erlaubnus den weinschanck zu treiben, der letztere pt. gehöre seiner qualität nach ahne die herren XV. deßweg. auch dahin Zu verweisen, die gesuchte exemption aber von der Einquartierung were außer Zweiffel Mhh competentz vnd were dießer pt. also ahne dießem orth Zu examiniren und auch durch rechten vnd ordnungen Zusprechen sein, es weren Zwar dem ballenmeister hiebevor einige freÿheiten gegönnt, vnd dergestalten auff ansuchen deß imploranten interloquirt word. daß in den Protocollis nachgeschlagen werden solle, was der jeweilige ballenmeister für freÿheiten gewesen, vnd ob Er auch die exemption von der Einquartierung hette, wann sich aber dieses nicht befinden sollte, so werde nichts newes einzuführen einfolgig derselbe mit seinem petito abzuweisen sein.
Erk. Herrn Prætori Regio gefolgt vnd soll deßweg. in den Protocollis nachgeschlagen werden. H. XXI. * und H. Rhatherr Richshoffer deputirt.

1716, Protocole des Quinze (2 R 120)
Sébastien Beck déclare que la paix étant revenue, le jeu de paume pourra reprendre. Il demande l’autorisation de servir à boire et à manger aux joueurs. Il estime écouler environ 30 mesures de vin puisque le jeu ne se pratique d’au printemps et à l’automne, soit une somme de 15 florins par an. La commission accepte la proposition tant que seule la grande salle sera en service.

(f° 21) Sambstag den 1.ten Februarÿ – Sebastian Beck pt° Ballhaußes
Iidem [Obere Umgelts Herren] per Eundem [Herren Secretario Friden] laßen proponiren, daß nach dem von einem hohen orth auß sehr recommendirt worden, daß daß Ballhauß beÿ jetziger fridens Zeit wider in solchen große Herren nicht nur sich daselbsten recreiren und divertiren, sondern auch umb sich wider zu erfrischen ein guten tunck wein neben etwaß ahne essen speißen findten möchten, man vor gut angesehen habe, daß protocoll auff zu schlagen, sonderlich daß de a° 1712, darauß Zu ersehen, wie weit es mit Herrn Tobias Städel, so damahl ein ballhauß auff dem Roßmarck auffrichten wollen, und den weinschanck erlangt, gekommen seÿe, neben dem habe man auch H. Sebastian Becken den Besitzeren deß ballhaußes vorbeschieden, und wegen deß weinschancks hören wollen, der gebetten, daß daß jährliche Vmbgeldt auff ein gewißen fuß gesetzt werden möchte, weilen er sonsten den jenigen wein, den er vor sich und die seinige, in der haußhaltung braucht, wider Verumbgeldten müßte. 2° Weilen er resoluirt, nichts alß daß ballenspiel Zu halten, ahne wein deß jahrs nicht gar Viel darauff gehen wurde. 3° er nur denen so sich mit ballen spielen divertiren, wein und Zu essen geben, auch niemandt nichts auff die gaß Zu kommen laße, wolte. auff befragen waß er jährlichen geben wolte ? habe er vermeltet, daß weilen daß ballenspielen nur im frühe: und spät jahr gienge, er schwehrlich über 30. ohmen wein werde vertreiben können, dahero 15 fl. deß jahrs offerirt haben wolte, mit dem versprechen, daß wann daß andere kleine ballhauß auch im standt sein werde, er ein mehrers geben wolte. auff geschehene remonstration, daß solches zu wenig, und umb zu weißen, daß man gesinnet were, ihne favorablement Zu tractiren, er sich über 20. rthlr deß jahrs nicht beschwehren könte, so hette er sich darzu verstandten
auff seithen der herren deputirten halte mann davor, daß so lang er daß große ballhauß allein braucht, es dabeÿ sein verbleibens haben, wann aber daß andere in den standt kommen wurde, es alß dann auff einen anderen fuß gesetzt werden könte, mit dem anhang, daß 1° er nur mit ballen spielen, 2° guten wein halte und dabeÿ allen denen spieleren kalt und warm essen geben, 3° niemandt nichs verkauffen auch 4° solches alles länger nicht alß biß auf anderwertliche Verordnung und ohne consequenz sein solle, die genehmhaltung Zue MGHerren stellend. Erkandt beliebt.

(f° 50-v) Sambstag den 29.ten Februarÿ – Sebastian Beck pt° Bescheidts
Ober Umgelts Herren laßen per Herrn Secretario Friden referiren daß Sebastian Beck umb gn. communication deß in solchen seiner pt° deß Weinschancks ergangenen Bescheidts angesucht habe, so Zu papür gebracht und folgender maßen auffgesetzt worden seÿe
Sambstag den 1.ten February 1716. Auff unterthäniges ansuchen und Bitten Herren Sebastian Beck deß Ballmeisters allhier, ihme gnd. Zu erlauben, daß er in seinem Ballhauß Wein kaüfflichen weggeben dörffe, ist erkandt wie erheblichen motiven halben dem Imploranten in seinem petito Willfahrt, jedoch mit dem anhang, daß 1° er vor sothanem Weinschanck Gemeiner Statt jährlichen Fünffzehen pfundt d. /:so lang er nur daß eine und Zwar daß große Ballhauß brauche:/ bezahlen, 2° er allein denjenigen, die sich da selbsten mit Ballen Spiehlen divertiren, wein neben etwaß ane Kalten und Warmen speißen Zu kommen laßen, 3° Zu dero satisfaction immerhin guten wein enschlagen und halten, und 4° davon nichts auff die Gaß, noch sonsten verkauffen auch 5° dieße Vergünstigung nur biß auff anderwärtige Verordnung und ohne Consequentz dauren und währen solle.
Zu MGHHerren stellend, ob dießer Bescheid allso außgefertiget und dem Imploranten Zugestelt werden solle. Erkandt, quod sic.

1718, Protocole des Quinze (2 R 122)
Sébastien Beck demande d’être exempté des 30 florins qu’il doit pour le vin puisque la salle du jeu de paume n’a pas été fréquentée pendant deux ans. Les Quinze décident qu’il doit régler les sommes échues.

(p. 148) Sambstag d. 26. Martÿ 1718 – Sebastian Beck ballenmeister pt° Weinschanckh
Moss. nôe Sebastian Becken ballenmeisters undt burger allhier pt° Weinschanckh producirt unterthäniges Memoriale undt bitten handelt innhalts. Erk. Ober Ungelt Herren

(p. 224) Freÿtag d. 13. Maÿ 1718. – Sebastian Beck pt° Vmbgelts
Obere Ungelt Hrn laßen per undem [Secretarium] referiren, daß Sebastian Beck der Ballmeister und Burger allhier in einem producirten Memoriali berichtet, daß Krafft Mgh. Erkanntnuß Vom 1. febr. 1716. Ihme der Weinschanck gnädig willfahret worden, vndt befinde sich neben anderen Conditionen auch diese beÿgefügt, daß Er Gemeiner Statt davon 15. lb jährlich bezahlen solle. Nun bezeuge die erfahrung daß das Ballhauß so wenig frequentiret und darinnen getruncken werden daß auch diejenige theure Weine, womit er seinen Keller damahls Versehen, und welche er Verungeltet, liegen geblieben, und mit großem stock abgegangen, alßo daß Er dardurch obligirt worden, wann etwa vor eine Compagnie er etliche bouteilles nöthig gehabt selbige aus dem Würthshauß bringen Zu laßen. Wann derselbe nun vor die Verfloßene 2. Jahr 30. lb Zu bezahlen hätte, hingegen das Ballhauß gar nicht besuchet worden, Alß bathe er Ihme diese 30 lb in gnaden nachzulaßen. Nachdeme man diesen Imploranten ferner gehört, habe er beÿgefüget, er Vertreibe des Jahrs nicht für 20. fl. wein, und wann er die 30. lb abführen solte, es Ihme schwehr fallen würde, deme man aber gleich remonstrirt daß Er mit denen Ober Umbgelt hrn in a° 1716. auff solche weis convenirt, und Zu bezahlung der 15. lb jährlich sich vorstand. habe laut protocolli de dato anno, und wan er ja seithero 300. und mehr ohmen Wein Verkaufft hätte, man Ihme auch mehr nicht alß jährich 30. fl. würde abgefordert haben, Zu Mghh stellend, ob sie Ihme einige moderation gedeÿen laßen wollen. Ihrer seiths vermeine man daß er die Verfallene 60. fl. Zu erlegen anzuhalten seÿen, was aber das futurum concernirt könte sein Vorbringen in Consideration gezogen werden.
Herr Prætor Regius meldet hierauff, Es Könte das Bedacht confirmirt undt die 60. fl. mit Comination der Execution abgefordert werd. maßen dieses Debitum Von einer Obligation herrühre, auch die 2 Jahr bereiths Verfloßen, seÿe also nun Zu Späth, daß Implorant sich anmelde, was aber das futurum betrifft, seÿe gar wohl in dem bedacht erinnert daß auff anmelden man mit dem Imploranten, conveniren Könte. Erkand, herrn Prætori Regio gefolgt.

1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
Jean Philippe von der Mühl qui a acheté le jeu de paume demande à jouir des mêmes privilèges que ses devanciers. Il déclare vouloir servir du vin, de la bière, du café, du thé et des liqueurs. La commission se réfère aux conditions qui ont été accordées à Tobie Stædel en 1712 : servir du vin et des repas aux joueurs seulement. Le préteur royal fait observer que le pétitionnaire demande plusieurs faveurs : exploiter le jeu de paume, servir du vin à volonté, ce qui ne s’est jamais fait, de même que servir de la bière et jouer aux cartes. Il est néanmoins d’avis d’accorder la permission dans les mêmes termes qu’à Stædel en 1712 et à Beck en 1716.

(p. 47) Sambstag d. 19. Februarÿ 1724. – Johann Philipp Von der Mühl pt° Auffrichtung einer Cafféstub
Moss. nôe Johann Philipp Von der Mühl des burgers allhier der bitt vndtg. umb gnädige permission eine Caffé stub in seinem eigenen Hauß auffzurichten. Erk. Ober Umbgelt Herrn.

(p. 134) Sambstag den 1. Aprilis 1724 – Johann Friedrich Teutsch pt° Ballhaußes
Moss. nôe Johann Friedrich Teutsch des burgers und Gastgebers prod. Vndthg. Mem. und bitten pt° Ballhaußes. Erkandt. Ober Vngelt herren.

(p. 172) Sambstag den 22. Aprilis 1724. – Johann Philipp von der Mühl pt° Ballhaußes
Moss. nôe Johann Philipp von der Mühl des burgers allhier prod. Vndthg. Memoriale und bitten pt° der Gerechtigkeit des Ballhaußes, bitt vndthg. nach deßen jnnhalt. Erk. Ober Vngelt herren.

(p. 253) Montag d. 12. Junÿ 1724. Johann Philipp von der Mühl pt° Ballhaußes
Obere Umbgelt Herrn laßen durch Herr Secret. Kleinclaus referiren, daß Johann Philipp von der Mühl der allhiesige burger d. 22. Aprilis jüngst ein Memorial eingelegt dadurch er Zu Vernehmen gegeben, daß er die resolution gefaßt das allhiesige Ballhauß Zu Kauffen, weil er aber ohne Mgh. permission er nicht deßfalls anzufangen oder vorzunehmen willens, in hoffnung dererjenigen Gerechtigkeiten welche das Ballhauß vormahls und biß anhero gehabt auch Zu genißen, alß wäre sein Unterthäniges demüthiges bitten Mgh. gnädig geruhen wolten Zu erkennen daß diejenige Gerechtigkeit Welche solch Ballhauß biß anhero gehabt auch Zu der Zeit da er, Unterthäniger Implorant solches bewohnen werde, continuiren, undt Ihme gnädig angedeÿen möge.
Auff geschehene Remission habe man den Imploranten auch mündlich gehört da er beÿgesetzt, er wolle der Freÿen Weinschanck treiben, auch bier, Caffé, Thée, liqueurs Verkauffen, wie andere die Ballhäußer hetten, das Haus habe Vor dieße Gerechtigkeit laut hauß brieffs de A° 1693. der Statt Pfenningthurn 50. fl. jährlich bezahlt, und seÿe in dem übrigen dem Vmbgelt nicht unterworffen geweßen, habe anbeÿ sein petitum wiederhohlet,
Auff seithen der Hh. Depp. habe man sich in denen protocollis ersehen, und finde sich in dem de A° 1713 /fol. 113/ daß dem H. Tobias Städel vorgehabt ein Ballhauß allhier auff dem Roßmarck new erbawen Zu laßen, da dann Ihme willfahrt worden, jedoch 1° daß des Umbgelt auff einen gewißen Fueß gesetzt, und 2. dem Imploranten Verbotten werd. daß er niemand alß nur denen so mit Ballen und auf dem Billard spiehlen wein geben, folglich 3. Keinem Frembden Wein verkauffen solle, anbeÿ ist beliebet worden daß sothane permission nicht länger alß es Mghh. beliebig sein wird wehren solte in sonderheit aber auch daß Zu folg denen Policeÿ ordnungen denenjenigen so mit Karthen spielen Kein wein gegeben werden solte. A° 1716. seÿe Sebastian Becken auß sein Unterthäniges ansuchen erlaubet worden, Wein in demjenigen hauß Welches der Implorant zu Kauffen vorhabens, außzuschencken, jedoch mit dem anhang daß er 1° er vor sothanen Weinschanck Gemeiner Statt jährlich Fünffzehen pfundt /:so lang er nur daß eine, und Zwar daß Große Ballhauß brauche:/ bezahlen, 2° Er allein denenjenigen die sich da selbsten mit Ballenspielen divertiren Wein, neben etwas ane Kalten und Warmen speißen Zu kommen laßen, 3° Zu deren satisfaction immerhin guthen wein anschaffen verhalten, und 4° davon nichts auff die Gaß noch sonsten verkauffen, auch 5° sothane Vergünstigung nur biß auff anderwärthige Verordnung und ohne Consequenz dauren und wehren solle. – Und werde Zu Mgh stehen ob sie dem Imploranten auch unter denen obigen Conditionen und Restrictionen willfahren, oder aber ein anderes erkennen wollen.
Herr Prætor Regius votirte hierauff aus deme was Vorgetragen worden erhelle daß der Implorant Viele Gnad Zugleich begehre, wobeÿ aber das Vmbgelt, wie auch die Policeÿ ordnungen mercklich jnteressirt, derselbe Verlange daß das privilegium im Ballhauß Zu halten auff seine persohn solte gerichtet werden, welches schon eine gnad, weiters begehre er einen ohneingeschrenckten weinschanck so niemahl gewesen, ferner thue er ansuchung neben dem wein auch Bier aus Zuschencken, so ebenfalls wieder ordnung, wie dann auch das Spiehlen mit Karten wieder die Policeÿ ordnung und nicht Zu gestatten, endtlich Supplicire Er Ihme Zu permittiren daß er Thée, Caffé, auch Liqueurs, undt dergleichen denen Gasten Vorstellen dörffe, so abermahls ein gantz besondere gnad. Er finde aber daß, waferne anderst man die Ordnungen, und in Specie die Policeÿ ordnung auff recht erhalten wolle, daß dem Imploranten ein mehrers nicht Zu gestatten alß dem Städel undt dem Becken in Annis 1712. et 1716. auch bewilliget worden, maße wann man Ihme ein weiteres concediren wolte, wurden sich die Würth opponiren, und die Sach Contradictorisch werden undt in weitläuffigkeit verfallen. Vermeine er alßo daß dem Imploranten auff die Weis und unter denen Conditionen auch restrictionen wie Städel, und Becken auch willfahrt worden, Könte gratificirt werden. Erk. Hrn Præt. gefolgt.

1725, Protocole des Quinze (2 R 130)

(p. 333) Sambstag d. 17. Novembr. 1725. – Joh. Philipp von der Mühl pt° Ballhaußes
Moss. nôe Joh. Philipp Von der Mühl des burgers und ballmeisters prod. Vndth. Memoriale und bitten pt° Freyheit des Ball haußes. Erk. Ober Umbgelt Herrn.

1733, Protocole des Quinze
Jean Frédéric Seyler demande l’autorisation de servir du vin au jeu de paume. L’autorisation lui est accordée dans les mêmes termes qu’à son prédécesseur Jean Philippe von der Mühl.

Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
(p. 82) den 11. april – M. nôe Johann Friderich Seylers würths prod. uth. mem. und b. pto Wschk. in Ballhauß. Erk. Ober Umbgelthh.
XV (2 R 141) p. 146. – Johann Friderich Seylers würths prod. Underth. Memoriale und bitten, pt° Weinschanck in Ballhauß. Erk. Ober Ungelt herren.

Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
(p. 87) den 13. april – Iid. [Ober Umbgeltd herren] Lect. mem. vom 11 hujus in S. Johann Friderich Seÿler des burgers und würths pt° Wschk. im Ballhauß. Ille gehört, legt vor lehrbrieff
H. Dep. soll vordersamm seinen Zunfftschein vorlegen, wie auch einen schein von H. fermier das er mit 100 thaler zufrieden seÿe, alßdann ergehen soll was recht ist.

(p. 95) den 22. april – Iid. [Ober Umbgeltd herren] reass. Waß den 13 huius in S[achen]. Johann friderich Seÿlers pt° Wschk. im Ballhauß vorgekommen, legt vor Zunfftschein, mit dem beÿsatz daß H. fermier selbsten mit denen H. reden wolle. Ego berichte, daß herr P. R. gegen mir gedacht, daß dem imploranten, wie Phil. Von der Mühl seinem Vorfahren in a° 1732. Wilfahrt worden, zu erlauben. vid. mem. d. d. a° may 26, doch nur biß auf anderwertige Verordnung. Erk. in plenum.

(p. 98) den 2. may – Iid. [Ober Umbgeltd herren] ref: Johann Friderich Seÿlers pt° Weinschks im Ballhauß. Erk. bed. bel.

(p. 267) den 18 april – Iid. [Ober Umbgeltd herren] ref: daß Johann Friderich Seÿler der Würth ein unth. mem. prod.
R. legt er vor lehrbrieff und zunfftschein
H. Dep. es seye hiervon auch mit herren P. R. geredt worden, der davor gehaltene daß dem imploranten doch nur biß auff anderwertige ordnung, wie seinem Vorfahren zu erl. vid. mem. de a° 1732 pag. 26.

(p. 275) den 2 may – Iid. [Ober Umbgeltd herren] ref:daß Johann Friderich Seÿler der Würth ein unth. mem. prod.
legte vor lehrbrieff und zunfftschein
hierauß seÿe mit H. P. R. geredt worden der davor gehalten, daß dem imploranten, auf die nemmliche Weiß wie a° 1732 vid. prot. d.d. a° pag 26. willfahrt worden, die erlaubnus zu geben seÿe.

XV (2 R 141)
(p. 172) Sambstag d. 2. May 1733. – Johann Friderich Seÿler pt° Weinschanck in dem Ballhauß
Iidem [Ober Umbgeltd herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Friderich Seÿler der Würth den 11. Aprilis jüngst in einem übergebenen Underthänigen Memoriali gehorsambst vorgetragen, Es seÿe Mghh. vollkommen bewußt daß Philipp Von der Mühl gewesener Ballmeister vor einigen Monaten dießes Zeitliche geseegnet, nun wollte er, Implorant, alß deßelben hinderlaßenen dochter Anverwanther sothanes Ballhauß übernehmen und den Weinschanck darinn treiben, Es stehe aber daßelbe in großem Capital, und werde vieles erfordert mit Gebäw, wie auch mit Underhaltung eines Marqueurs selbiges zu besorgen, worzu noch komme daß wegen einige Zeit her, darinn schlecht erwiesene abwartung sothanes ballhauß weder zum Ballspiel, noch zum Weinschanck besucht worden, alßo daß es jetzt gar nicht frequentiret werde, hiebeÿ aber seÿe keinen Würth noch Ballmeister möglich zu bestehen, wann er jedermann im Ball: und Weinhauß vergnügen solle, ohne daß Ihme eine gnade mit moderation des Umbgelts gedeÿe, gleichwie auch der Verstorbene Von der Mühl die gnade genoßen, daß er das Jahr nicht über hundert thaler hiesigen gelts vor Ungelt zu bezahlen gehabt, und von mehreren freÿ war, wie sonst anderer Orthen beÿ Ballhäußern entweder eine Bestallung oder sonsten eine ergötzlichkeit verordnet seÿe, mit demüthiger bitt, Mghh. geruhen wolten, auch Ihme gleiche gnade zu ertheilen und Ihme zu dem Weinschanck in allhießigem Ballhauß gegen jährlicher Bezahlung hundert thaler vor das Ungelt in gnaden zu zulaßen.
Auff geschehene Remission habe der Implorant seinen Lehrbrieff, daß er nemlich zu Lautern beÿ seinem Vater die Würtheÿ erlernt, und Zunfft schein vorgelegt, und petitum wiederhohlet
hierauß seÿe mit des Hern Prætoris Regÿ Excellentz geredet und von Ihme darvor gehalten worden, daß dem Imploranten auff die nemliche weis wie in vorigem Jahr den 12. Januar Johann Philipp von der Mühl willfahrt worden, zu gratificiren, nemlich daß Ihme, mit dem Beding, daß er das hauß in guthem, sauberem, mit allen zugehörungen wohl fournirten Stand, und so erhalten solle, daß es hohen und Niederen Stands persohnen satisfaction gebe, in seinem begehren zu willfahren, jedoch so daß Mghh. dieße bewilligung nach guthfinden alle stund zu revociren sich außtrucklich vorbehalten. Stehe also zu Mghh was sie erkennen wollen. Erkandt, herrn Prætoris Regÿ Meinung gefolgt.

1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
Jean Frédéric Seyler déclare qu’il doit non seulement verser les taxes sur le vin mais entretenir les salles, fournir le matériel et rétribuer le marqueur. Il rappelle que les tenanciers des jeux de paume en France et en Allemagne détiennent des privilèges. Il demande soit de pouvoir démolir le jeu de paume, soit de lui verser un salaire, soit de lui accorder le privilège exclusif de tenir billard. La commission a constaté que les réparations sont nécessaires et dresse la liste des privilèges dont a pu jouir le jeu de paume (1601, 1604, 1605. 1705), Comme Wetzel y a déclaré que les 50 livres étaient dues pour le privilège d’exploiter un jeu de paume, la commission en conclut que le propriétaire est libre de disposer des bâtiments comme il l’entend. Elle estime cependant que si le jeu de paume était supprimé, le gouverneur ou la garnison demanderait d’en ouvrir un nouveau que la Ville devrait établir à grands frais. Il est exclu de rétribuer le tenancier ou de lui accorder le privilège du billard. Il serait envisageable de contracter un abonnement à l’accise si cette pratique n’avait pas été abolie pour les aubergistes. Le tenancier pourrait par contre verser 50 florins pour 150 mesures de vin et payer le tarif habituel des aubergistes pour le surplus. La quantité est finalement portée à 200 mesures.

(p. 141) Sambstags den 12.t Martÿ 1757. – Seÿler pt° des Ballhauses &
Obere umgelts Hhen laßen per Hn Secretarium Städel referiren, es habe Johann Friderich Seyler der Ballmeister den 8. januarii jüngst beÿ mghhen ein unterthäniges memoriale, mit beÿlag sub n° 7 und dazu gehörigen adjunctis sub Litt a b c [p. 142] producirt und darinn vorgetragen, was maßen ihme, auf die im vorigen jahr übergebene bittschrifft angezeigt worden, das der implorant vor das künftige von 150 ohmen jährlichen 50 fl. erlegen, den rest aber gleich anderen Würthen verumgelten solle, weilen aber dem imploranten unmöglich seÿe hierbeÿ zu bestehen, als habe er sich gezwungen gesehen, noch mhhen unterthänig vorzustellen, daß Er ohne gefahr seines gäntzlichen Verderbens die unterhaltung des ballhaußes ohnmöglich continuiren könne, um so viel mehr als Er bereits den größten theil seines Vermögens dabeÿ auffgesetzt. die reparationes derer gebäude, die unterhaltung derer zu dem ballspiehl erforderlichen Effecten und die besoldung und erhaltung des marquierers belauffen sich jährlichen auff ein so großes, daß der implorant gar wohl einige consideration meritire, zu dem komme annoch, daß die ballmeistere in franckreich und teutschland gantz besonders freÿheiten und vorrechten genießen, wie solches theils die beÿlage n° 7 theils die vorigem memoriali annectirte beÿlagen beweißen, davon der implorant völlig beraubet ist. Er habe deßwegen nochmahlen seine zuflucht zu mghhen nehmen, und dieselbe demütigst bitten wollen, Sie geruheten zweÿ Herren auß dero mittel abzuordnen, und die gebäude des ballhaußes so wohl den darzu erforderlichen haußrath und Spielzeug zu untersuchen, quo facto, und auff derselben abgestattete relation zu erkennen, das dem imploranten das ehmahlen genoßene abonnement von 100 fl. vor den weinschanck wieder zugeben seÿe, in enstehung deßen, entweder ihme [p. 143] zu erlauben, das ballhaus abbrechen und zu seinem nutzen anwenden zu dörffen, oder ihme und seinen Erben daßelbe gegen bezahlung deßen wie Er es angenommen, benebst denen bißherigen meliorationen abzunehmen, oder ihme und seinen Erben ein jährliches hinlängliches salarium vor die viele habende unkosten angedeÿen zu laßen, oder auch ein privilegium exclusivum dahin zu ertheilen, daß ihme als ballmeister und deßen Erben das hießige billards recht, gleich wie alle ballmeister anderer orten solches genießen, gantz allein zukomme und gebühre, mithin keinem Caffe hauß, Zunfft stub, Würths oder anderen privat hauß ein billard zu halten erlaubt seÿn möge. Auff geschehene Weißung hätten die hhen Deputirte zu allerforderist den begehrten augenschein eingenommen und in der tat befunden, daß die zu dem ball hauß erforderliche gebäude vielen reparationen das Spielzeug aber großen aufwand unterworffen seÿe, darauf hin habe man den imploranten zu der erkanndten Deputation beruffen, welcher auch erschienen, und sich auf den inhalt seines memorialis und petitorum bezogen.
nach eingesehenem Kauffbrieff, welchen der implorant schon vorigen jahrs producirt, vermög deßen Er das ballhauß mit allen seinen gebäuden rechten und gerechtigkeiten von N. von der Mühl dem Ehmaligen ballmeister an sich erkaufft, und in welchem Kauffbrieff kein wort von Einigen darauf hafftenden onere oder sonst gegen gemeiner Statt etwa vorgegangener Verpflichtung meldung geschiehet, hätten [p. 144] die Hhen Deputirten vor nöthig erachtet, um auff den ursprung des ballhaußes und des ertheilten privilegii zu kommen, in denen protocolli gna. Hhen räth und XXI nachschlagen zu laßen da sich dann befunden, daß
anno 1601. den 23. Maÿ sich zum ersten mahl Johann Klapp der allhießige burger gemeldet welcher einen platz begehrt um ein ballhauß aufzurichten
den 24. augusti Ejusdem anni wurde referirt daß sich kein platz finde, das Dom Capitul aber wolle ihme den hoff neben der hinterschreiber stub gaß dazu einraumen, welches aber abgeschlagen worden.
den 23. Xbris darauf hin, wurde auf abermahliges anhalten Erkanndt, man soll dem burger, so darum angehalten, erlauben, eines zu bauen, doch mit Vorwißen deren Bauhh.en und Verordneten Herren, die bedencken sollen wohin es zu bauen, wie es anzustellen, was auch für leges zu setzen, solches alles auf Papÿr bringen und hierum referiren.
1604 den 10. Septembris wurde proponirt, daß das ballhauß wovon der ballmeister einen großen nutzen ziehe 100 lb d. geben solle. Erkanndt, man solle zuvor eine ordnung und tax machen und als dann erkennen was er geben soll
den 11 februarii 1605 wurde Johann Klapp dem ballmeister auferlegt jährlichen 100 thaler zu geben, und keinen wein außzuschencken
den 6. aprilis Ejusdem anni beschwehrte sich der ballmeister über die angesetzte 100 thl.
Wurden den 27. Julii darauffhin auf 50 lb d. moderirt [p. 145]
den 7. augusti und 28. Xbris beschwerte sich derselbe abermahlen über die 50 lb d. wurde aber abgewießen und Erkanndt daß es dabeÿ bleiben solle
anno 1705 den 24. Januarii begehrte Sebastian Beck, welcher von Johann Daniel Bion die zweÿ ballhäußer mit denen darauf hafftenden oneribus ererbt, erlaubnus die selbe Veralienirten zu dörffen oder gemeine Statt solle solche an sich erhandlen
den 20. aprilis kam Er ein um nachlaß der 50 lb d. für das verfloßen und künftighin, solang das ballspielen nicht getrieben wird, anbeÿ ihme zu erlauben über seine zweÿ ballhaüßer zu disponiren. hierauf wurde beedemahl Erkanndt, daß die protocolla nachzuschlagen seÿen um zu erfahren unter was für conditionen die ballhäußer aufzurichten erlaubt worden, und was es sonst für eine beschaffenheit damit habe.
H. Wetzel hat damahlen berichtet, daß dieße 50 lb. wegen privilegii des ballhaußes, nicht aber wegen häußeren oder anderer gerechtigkeiten ihren ursprung genommen.
Auß all diesem nun hätten die Hhen Depte. clärlich angesehen, daß die jewelige ballmeister etwas gewißes bezahlt hätten allein vor die Erlaubnus ballhäußer zu halten, keines wegs aber als eine Verbündnus gegen gemeiner Statt, sondern viel mehr wäre daraus zu schließen, das gleich wie beÿ nicht bezahlung des Canonis, Eoipso die Concedirte Erlaubnus hat können aufgehoben werden, also auch dem ballmeister freÿ gestanden [p. 146] die gerechtigkeit des ballhaußes auffzugeben, wann Er das gelt nicht mehr bezahlen wollen. Hieraus nun fließe, daß der implorant als würcklicher und wahrhafter proprietarius deren zum ballhauß gehörigen gebäuden ohnmöglich dahin angehalten werden könne, daß Er das ballspiehl in seinem haus fortführen müßte, sondern ihm ohnstreitig freÿ stehe mit seinem Eigenthum zu verfahren, wie anderer particular personen auch vergönnet. Dießes nun zum voraus gesetzt, wäre anjetzo zu untersuchen, ob die von ihm imploranten vorgeschlagene petita, oder wenigstens eines derer selben dergestalt beschaffen, daß man ihme einigermaßen willfahren könne. Erstlichen begehrte derselbe entweder ihme zu erlauben das ballhauß abbrechen, und den platz in seinem anderwärtigen Nutzen verwenden zu dörffen, oder aber ihme das ballhauß gegen bezahlung des kauffschillings und der angewendenten meliorationen abzunehmen, weder zu einem noch dem anderen könnten die Hhen Deputirte mghhen anrathen, indeme im ersten fall das bißherige ballhauß kaum abgeschafft seÿn würde, sogleich zu beförchten wäre, daß der gouverneur vor die garnison ein anderwärtiges begehren würde, wordurch gemeine Statt an considerable unkosten versetzt zu werden risquirt, im anderen fall aber dem gemeinen Säckel eine Verwaltung zufiele, wordurch derselbe ohne zweifel sehr beschwehrt werden könnte, ferner schlagt der implorant vor, ihme ein Salarium zu geben oder ein privilegium Exclusivum über alle billards in der Statt, das erste würde mghhen um so weniger annehmlich fallen, als man auß denen [p. 147] allegirten Extractibus protocolli ersehen, daß ehmahlen die ballmeister pro recognitione der erhaltenen Erlaubnus ein jährliches entgelt bezahlt, der implorant auch 1500 Livres fordere. Das andere aber verdiene gar keine attention, indeme solches wieder die verfaßung der Policey ordnung streite, bleibe also annoch übrig zu untersuchen, ob dem ballmeister das in vorigen Zeiten accordirte abonnement der 100 thl. vor dem freÿen weinschanck wieder zu accordiren seÿe. Wann nun gleich zum voraus gesetzt wird, daß der implorant theils wegen großen auffwand der kösten zum ballhauß, theils weilen das ballspiehl allhier sehr wenig getrieben wird, mithin der Verdienst sehr gering, einige Consideration meritirt, so hätten die Hhen Deputirte dannoch billig anestand gefunden pure et simpliciter ein abonnement in ansehung des weinschancks zu accordiren, weilen mghhen nicht nur in anno 1752 alle deren Würthen vorher gegönte abonnements vor ein und alle mahl abolirt sondern auch den imploranten selbst ex ratione bereits zum zweÿten mahl abgewiesen hätten, Sie die Hhen Deputirte seÿen deßwegen darauf bedacht geweßen den imploranten dahin zu disponiren, daß Er sich mit 150 ohmen gegen Erlag 50 fl. contentiren, von all übrigen einzulegenden wein aber das verordnete Würths umgelt bezahlen solle, der implorant aber habe sich darzu nicht verstehen wollen, sondern immer den illimitirten weinschanck gegen Erlag 100 thl. begehrt. Die Hh. deputirte wollten anjetzo zu mghhen gestelt haben, was sie in dießer wichtigen sach zu erkennen belieben wollen, nach angehörtem voto des [p. 148] Hhn prætoris Regii und gehaltener umfrag wurde Erkanndt, daß implorant mit seinen petitis wie solche angebracht abzuweißen, demselben aber, solang es mghhen beliebig seÿn wird, mit dem Weinschanck in dem ballhauß dergestalt zu willfahren, daß derselbe zweÿ hundert ohmen Wein gegen Erlag des gewohnlichen burger umgelt einlegen könne, von allem übrigen Wein aber deßen Er zu dem Weinschanck im ballhauß über erst gemelten anzahl ohmen benöthigt seÿn wird, das umgelt wie andere Würth bezahlen, anbeÿ auch sich dahin bestreben solle, daß nicht nur die ballspiehlende Personen wohl bedient, sondern auch der zum ballspiehlen bestimmte Platz vor* allen gästen leer und freÿ gelassen werde.

[p. 151] Sambstags den 12. Martÿ – Bescheid
Samstag den 5. Martii. In sachen Johann Friderich Seÿler des Ballmeisters Imploranten, auf übergebenes unterthäniges memoriale mit beÿlag sub n° 7 und dazu gehörigen adjunctis a b a juncto petito Wir geruheten zweÿ herren auß unserm mittel abzuordnen, um die gebäud des ballhaußes sowohl als den darzu erforderlichen haußrath und Spiehlzeug zu untersuchen, quo facto, und auf dererselben abgestattete relation zu erkennen, daß dem Imploranten das ehmahlen genoßene abonnement von hundert thalern vor den Weinschanck wieder zu geben seÿe, in Entstehung deßen, entweder ihme zu erlauben das ballhauß abbrechen zu dörfen, oder ihme und seinen Erben dasselbe gegen bezahlung deßen wie Er es angenommen benebst denen bißherigen meliorationen abzunehmen, oder ihme und Seinen Erben ein jährliches hinlängliches Salarium vor die Viele habende unkosten angedeÿen zu laßen, oder auch ein privilegium exclusivum dahin zu ertheilen, daß ihme als ballmeister und deßen Erben das hießige [p. 152] Billards recht, gleich wie alle ballmeister anderer orten solches genießen gantz allein zukomme und gebühre, mithin keinem Caffe und Zunftstub, Würth oder anderm privat hauß ein billard zu halten erlaubt seÿn möge. Erkandte und doppelt beßeßene Deputation, eingenommenen augenschein, auch all übrig angehörtes vor und anbringen, ist nach abgestatteter relation derer herren Deputirten Erkanndt, daß der implorant mit seinen petitis wie solche angebracht, abzuweißen, demselben aber, solang es uns beliebig seÿn wird mit dem Weinschanck in dem ballhauß dergestalt zu willfahren seÿe, daß derselbe zweÿ hundert ohmen wein gegen Erlag des gewohnlichen burger umgelts einlegen könne, von allem übrigen wein aber, deßen Er zu dem Weinschanck im ballhauß über gemelte anzahl ohmen benöthigt seÿn wird, das umgelt wie andere würth bezahlen anbeÿ auch sich dahin bestreben solle, daß nicht nur die ballspiehlende Personen wohl bedienet, sondern auch der zum ballspiehl bestimmte platz von allen gästen leer und freÿ gelaßen werde.

1752, Protocole des Quinze (2 R 162) Johann Friderich Seiler des ballmeisters, 503. 569-572 [pt° umgelts]
1756, Protocole des Quinze (2 R 167) Johann Friderich Seiler des Ballmeisters. 93 [pt° umgelts]

Préposés au bâtiment

1727, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Jean Philippe von der Mühl est tenu de réparer le caniveau à ses frais, la ville lui fournissant pour cette fois seulement les planches de chêne.

(f° 156) Dienstags den 1.ten Aprilis 1727. – H. Johann Philipp von der Mühl weg. dohlens.
Herrn Johann Philipp von der Mühl, dem ballmeister wurde wilfahrt den von dem ballhauß befindlichen schadhafften dohlen, angebrachter maßen repariren Zulaßen, warzu Ihme dißmahlen die eichene dielen von Gemeiner Statt fournirt, Er aber den arbeitslohn über sich nehmen, und Künfftighien die dohlen unterhalten solle, welches Er acceptirt.

1730, Préposés au bâtiment (VII 1394)
Jean Philippe von der Mühl est autorisé à rehausser les trois marches qui donnent dans sa maison après que celle du bas a été en grande partie recouverte par la terre de la rue.

(f° 170-v) Dienstags den 31. Julÿ 1731. – H. Johann Philipp von der Mühl wegen bawens.
Herr Johann Philipp von der Mühl, der ballhaußmeister ersucht vmb erlaubnus die staffel, vor dieser wohnung, welche sehr tieff liegen, frisch ersetzen Zu laßen. Erk. Augenschein

(f° 171) die Eodem. Seind folgende Augenschein eingenommen worden – H. Johann Philipp von der Mühl wegen Stafflen vor dem Ballhauß
Vor dem Ballhauß, woselbst die unterste von denen zu den eingang dienenden dreÿ Stafflen, Von dem auß das Allmendt geführten geröhr, guten theils bedeckt worden, weßhalben Johann Philipp von der Mühl der ballhaußmeister, umb erlaubnus gebetten Solche dreÿ Stafflen etwas Höher zu legen und zu erneueren worinnen Ihme auch nach den die Werckmeister das maß Von den alten Stafflen genommen, Willfahrt worden.

1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Le maître maçon Schrœtter est autorisé au nom de Jean Charles Seyler, aubergiste au jeu de paume, de blanchir et de repeindre la maison.

(f° 278-v) Dienstags den 8. Maji 1887. – Joh: Karl Seÿler Ballhaus Wirth
idem [Mr Schrötter, der Maurer] nôe Johann Joh: Karl Seÿler, des Ballhaus Wirths, bittet zu erlauben deßen Behausung ausbeßern, weisen und anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Description de la maison

  • 1702 (billet d’estimation traduit) La maison d’habitation, le salle du jeu de paume, le bâtiment accessoire, le jardin et le puits sont estimés avec leurs appartenances et dépendances à la somme de 2800 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison à bâtiment avant, deux bâtiments accessoires, salle de jeu de paume dallée, poêles, poêle pour officier, chambres, chambres à cheminées, cuisines, vestibules, passage latéral, vieux hangar, deux caves sous solives, puits, deux abreuvoirs, estimés avec la cour, aisances et appartenances à la somme de 5000 florins
  • 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates et de tuiles creuses, les deux caves sont solivées, en outre deux salles de jeu de paume dont le comble est couvert de tuiles plates, le tout estimé avec la cour, le puits autres aisances et appartenances à la somme de 4500 florins
  • 1816, description
  • 1841, rapport d’experts (description sommaire qui précède celle plus précise, où sont reportées les cotes du plan préparatoire au plan-relief) je me suis transporté dans ledit immeuble où j’ai trouvé qu’il était composé d’une maison principale (o-n et 3-4-5) faisant face à la rue, d’une idem latérale (2-3) à droite dans la cour, d’un pavillon (14 à 1) au fond de cette cour, d’un toit à porcs (11-12-13) derrière ledit pavillon, d’un bâtiment servant de magasin (9-10-11) en retour, d’un autre grand bâtiment donnant dans le jardin, d’une remise avec greniers, d’une échoppe à l’entrée du jardin, d’un bâtiment d’écuries à gauche de l’entrée de la cour (8-9), d’un hangar (5-6-7) entre ladite entrée et la maison principale, d’une grande cour avec porte cochère (7-8), d’une pompe & enfin d’un jardin.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue du Jeu de Paume

nouveau N° / ancien N° : 2 / 53
Schneider
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 259 case 3

Perrin Albert Théodore rue du jeu de paume N° 53

O 824, sol, maison, rue du jeu de paume 53
Contenance : 20,00
Revenu total : 406,40 (396 et 10,40)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 40
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1009 case 2

Perrin Albert Théodore
1882/83 Dietz Emilie, Ehefrau von Redslob Julius August, Pastor
95/96 Reichs Militair Fiscus /:Garnison-Verwaltung:/

O 824, Maison, sol, Rue du jeu de paume 2
Contenance : 20,00
Revenu total : 406,40 (396 et 10,40)
Folio de provenance : (259)
Folio de destination : Abbruch – (sol) steuerfrei
Année d’entrée :
Année de sortie : 95/96
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 50
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 824, sol
Contenance : 20,20
Folio de provenance : 1009
Folio de destination :
Année d’entrée : 95/96
Année de sortie :
1895, Abgang – Dietz Emilie Frau Redslob f° 1009, O 824, Maison, Reinertrag 396, Abbruch, Zeit 1894
Dietz Emilie Frau Redslob f° 1009, O 824, sol 20,00, Reinertrag 10,40, An Reichsmilitairfiscus

Cadastre allemand, registre 30 page 407 case 1

Parcelle, section 32, n° 1, 206, 268/13 – autrefois O 805.p, 806, 821.p, 822, 824
Canton : Ballhausgasse
Désignation : Hf, Whs u. NG
Contenance : 25,91 (rouge) – 25,91 Reinertrag 129,55 – 4 ha 07 34 Reinertrag 2036,70 – 4 ha 04 41 Reinertrag 2022,05 (Eintrag Seite 409 F. 2)
Revenu :
Remarques : 1910 Steurschätzung
1913 Zug. F. 2
1913 Ab. S. 9 F. 1

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 11
Deutsches Reich, Militärfisk. Garnisonsverwaltg
1926 Etat français Ministère de la guerre
(6)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 341 Rue du Jeu de Paume p. 492

53
pr. Seiler, Charles – fribourg
loc. Preville


Relevé d’actes

Les fondations de l’Œuvre Notre Dame, des Bonnes Gens, de l’Orphelinat et de l’Université vendent au danseur Jean Klapp, assisté de son beau-père receveur Jean Ritter, une maison derrière le cloître Sainte-Catherine ou Orphelinat moyennant 790 livres. En marge, quittance remise en 1623 à Salomon Maclet.

1602 (27. Januarÿ), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 4-v
Khauffverschreibung Johann Klappen deß Täntzers vber ein behausung
(Extendirt in lib. Contract. huius Anni fo: 160.) Erschienen Herr Caspar Khorner, Ambrosius Schmidt, Philips Leuwbranndt vnd Johann Lugk Als Schaffner vnser frauwen wercks der guten leuth, des weÿsen Hauses vnd der alhieigen Schulen, der vier Pflegereÿen, Haben Innahmen vnd von wegen erstangeregter Pflegereien (verkaufft)
Johann Klappen dem Täntz. welcher Zugegen vnnd mit beÿstandt Hanns Rÿtters deß Schaffners Im Maursmünster hoff seines Schwehers
Ein behausung hoffstatt, brunnen Stall vnd garten, sambt allen derselben weyten begriffen Zugehörden, Rechten vndd gerechtigkeit alhie In der vorstatt In Crutenaw hinder S Catharinen Closter, einseit neben dem erstgemelten Closter oder dem weÿsen hauß, anderseit Zum theil neben dem Allmend theils aber auch neben Hn Carlen Ringlers dem Apothecker gelegen, Oben vff Jr Hanns Conrad Boecklins von Boecklinsaw garten vnnden vff der Statt Holtzstatt stoßend, dauon gehnd Järlich 25. fl Jährlichs gelts zu 15 bz. vff (-) Frawen Salome Rehmin seeligen erben, sonsten für freÿ ledigk vnd eÿgen (…) zugangen vnd beschehen vmb 775 lib.
Erschienen Hn Gottfried Simon Schaffner vnser fr. wercks hatt in gegensein Salomon Maclet dem Ballenmeyst. als Inhaber d. behausung (…) q.ttirt den 5.ten Julÿ a° 1623
1602 Chancellerie, vol. 339 (Gemein Contract Buch) – Kauff Johann Klappen deß Täntzers uber sein Behausung inn Crutenauw, Pflegereien. 160.

Originaire de Lombardie (Rohr au mariage, Eigenholtz dans le livre de bourgeoisie), l’acrobate Jean Klapff épouse en 1601 Anne Marie, fille du tailleur Jean Barstadler. Le mariage a lieu à Schiltigheim, les mariés ayant eu un enfant avant leur mariage (Jean Ritter est le beau-père de la mariée pour avoir épousé la veuve de Jean Barstadler)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 146 n° 16)
1601. Hans Klapf von roher in der lonbardeÿ ein spring. od. galiard täntzer, Anna Maria Hans postadlers des schneiders Hind.lassene Tochter.
Diese bede hab. Ihren stand mit unzucht angefang. vnd ein kind in vnehren mit einand. gezeugt, nach mals ist er dahin geholdt. word. d. er sie Hatt müss. Zu Kirch. führen, welches geschehen Mont. d. 16. Martÿ Zu schiltingheim (i 77)

Jean Klapff devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 794
Johann Klapff von Eigenholtz In Lumbartie empfahet d. burg: Von Anna Maria weÿland Hanns Barstallers deß schneiders seligen dochter will Zun schneideren dienen Act. 24 Martÿ 1601.

Jean Glapp fait début 1608 son testament dont la teneur n’est pas connue
KS 361, Registranda instrumentorum Publicorum de Annis 1605-1608, f° 313-v [renvoi]
1608. Codicill Johann Glappen Ballenmeÿster, In regist. fo: 296.

La chambre matrimoniale a débouté Ursule Brem de son action contre Jean Klapp. Elle demande aux Conseillers et Vingt-et-Un la révision de la sentence. Elle demande début février 1606 de hâter la procédure parce que Jean Klapp va se remarier.
1605, Conseillers et XXI (1 R 84)
Ursula Bremin contra Johann Klappen den Pallenmeister [umb revision Ehesach]. 187. 192. 330.
(f° 187) Montag den XXII Julÿ – Ursula Bremin Ca. Joann Klappen umb revision Ehesach
Paulus Mebhardt Vogt Ursulæ Bremin vnnd* hatt ein freundtschafft eins auferlegt wegen der wid. Johann Klappen gehalten Rechtfertigung vor den Eherichtern disse supplôn sambt der supplôn g. restitution in *tagen Zuubegeben bitt sach fur entschuldigt Zuhalten und abzulesen. dorin sie clagt wie in solcher sachen vor Eherichtern wid. sie gesprochen und er Klapp absoluirt und sie wol vmb restitution in mtagl angetroff doch abgeschlagen. Wan aber sie verhoffe sovil bewisen Zuhaben & wan m hren die acta reuidiren liessen, ein andern bescheidt geben würd. So bitt sie m hern wollen durch Ir Aduocaten die acta reuidiren vnd befurdern lassen. Erkant Man soll Zubedacht Ziehen vnnd d. Hartlieb hören was auf die supplôn Zu antworten.

(f° 192) Montag den XXIX Julÿ – Ursula Bremin Ist revisio in Ehesach Zugelassen
D. Hartlieb refer wegen supplôn Ursulæ Bremin den 22. diß ein kommen vmb reuision der Ehesachen Zwischen Ir vnd Jo: Johann Klappen dem Pallenmeister vnd nach erzelung d. sachen beschaffenheit, wie sich den anders in actis nit befunden werde vermeint er man solt den bescheidt ertheilen d m. hrn bei der Eherichter bescheidt vnd erkantnus pleiben liessen doch stelt ers* m. hrn heim. Erkant do mit sie nit ursach Zuclag. soll die Reuison bewilligt werd. H. Schatz H Hertig.

(f° 330-v) Ursula Bremin Ca. Joann Klappen in pô matrimony
Wegen Ursulæ Bremin erscheint Bittelb. u demnach sie vor dissem vmb Reuision in Irer ehesachen wid. Klappen dem Palenmeister angesucht u erhalten Bitt sie vmb befurderung. Erk. soll befurdert werd.

1606 Conseillers et XXI (1 R 85)
(f° 27-v) Montag den X Februarÿ. – Ursula Bremin contra Johann Klappen
Ursulæ Bremin weg. erscheint Bittelb. v. demnach sie mit Irer Ehe sach wid. Johann Klappen ein Reuision erhalten bitt sie umb befurderung. dan sie vernehme d. er sich anderwerts verheurathen will. Erk. Man sol befurdern.

Véronique, veuve du maître du jeu de paume, accouche en mai 1608 d’un enfant posthume.
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 158, n° 54) 1608. Eodem die [Donnerstag 26. Maÿ] P. Hans Klap der Ballenmeister, so vor ettlich. wochen Gestorben, M. Feronica, I. Johannes, posthumus. Comp. h Friderich Ringler handelsmann, Georg Freundsberger, Margreth h Carle Ringlers Apoteckers fraw (i 161)

Véronique Meyer, veuve de Jean Klapp, et Georges Burckhart, tuteur de son fils Jean, louent les deux jeux de paume au tailleur Jean Schmidt

1608 (4. Junÿ), Chancellerie, vol. 377 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 37-v
Leÿhenung Hannß Schmiden bei der Ballenheüser In Crautenaw
Erschienen Martin Reÿber der Notarius alß Vogt Veronice Meÿerin weiland Johann Klappen deß Ballenmeÿsters s. wittib vnd H. Geörg Burckhart deß Kleinen Rhats Beÿsitzers als vormund Johannsen erstgedachter Veronice mit berürt. Klappen s. erzielt.Kindts
Vnd haben Inn gegenw. Hanns Schmidt deß Schneiders angezeigt und bekhant
das sie demselben einen vffrecht v redlichen Leÿhenung verlühen haben Beide Ballen Haußer mit Iren Zugehörden Inn Krautenau hinder dem Weÿßenhauß, geleg. ein halb Jahr lang nechst Khünfft Wochen angehendt Jede woche vmb 2 lb 10 ß
[in margine :] Erschienen Martin Reÿber hieneben gemelt vögtlichen weÿß hat gegen Hans Schmid. bekhant, das Ihme beide Ballenheüser noch malen ein halb Jahr vff Johannis Khünfftigen Jars sich widerumb gelühen [s.d.]
[in margine :] Erschienen Martin Reüber vnd hatt vögtlich. weiß wie vorsteth, in gegenwertigkheit hanns Schmiden bekhant, das er demselben beide Ballenheußer widerumb ein halb Jar vff Weÿhenachten nechstkünfftig sich endent gelühen – Actum den 23. Junii Anno 1609.

Véronique, veuve de Jean Klapp, se remarie en 1622 avec Jean Philippe Schmidt
Proclamation, Temple-Neuf (luth. p. 132)
1622. Hans Philips Schmidt H Philipp Schmidt n. sohn und veronica Johann Klappen n. witwe (eingesegnet zu Schiltigheim) i 71

Les Quinze examinent l’inventaire dressé après la mort de Véronique, veuve de Jean Philippe Schmidt, qui a quitté la ville quatre semaines plus tôt puis a renoncé à son droit de bourgeoisie. Elle est cependant considérée comme bourgeoise puisque sa renonciation n’a pas été notifiée au bureau de la Taille. Jean Jacques Meyer d’Ettlingen, frère de la défunte, se déclare héritier.
1662, Protocole des Quinze (2 R 79)
H. Philipps Schmidts Wittib Inventur. 175. 178. 186.
(f° 175-v) Sambstag den 11.ten 8.bris) – H. Hans Philipp Schmidts seel. wittiben Erben per Wild. übergeben Supplication so Verleßen bitten einverleibten Ursach. wegen Umb gn. erlaßung der Inventation od. da wid. Stall Zu prætendiren, solches von der Supplicantin d.thurns mitteln Zuerheben. Erkandt, Obere Stallherren bedenckens.

(f° 178-v) Sambstag den 18. Octobris) – Schreiben von H. Räth und XXI. herüber gewißen darin intercediren, Ihr Fstl. H. Hern Margg. Willhelm von Truchseßen deren undervogt Zu Ettling. Jo. Jacob Meÿern, Weÿlen deßelben Schwester Veronica, weÿl. Hanß Philips Schmidts Kleinen Raths vwanth. allhie see. wittwen, bereits vor 4 wochen Zu thun* nach besagten Ettlingen begeben, baldt darauff Ihr gehabtes burgrecht beÿ E. Ers. Rath auffgesagt, auch weÿlen Sie aller ortten die schuldige gebüren wie gewonlich abgetragen deßen erlaßen worden, Alls Sie nun ohnlängst verstorben, Er und seine Coheredes nach geholt* testamenti, Zur theilung geschritten auch die noch hie v.handene Sachen wollen abholen laßen, haben H. dreÿ deß Stalls solche der Ursach halben H. dreÿ deß Stalls solch der Ursach in v.bott genommen, weÿlen die v.storbene daß reservirte burgerrecht Ihnen nit notificiren laßen, alß wegen noch würcklich burgerin Verblieben und Sie Erben schuldig seÿen, Uber die V.laßenschafft Ein ordentlich. Inventarium auffzurichten, beim Stall zu produciren, die gebüer davon, absonderlich auch den gewonlichen Abzug Zuentrichten, Wann aber die Anzeig auß unwißenheit underblieben, Zumahlen auch ohnmöglich seÿ die bereits Zuertheilte und an vil orth distrahirte mobilien widerumb Zusammen und auf*f allher Zubring., Allß hoffen Sie nit schuldig sein, weder Zu inventiren noch einigen Abzug Zuerleg., wie dann umb deßen erlaßung gebetten haben wollen & Sonderlich auch falls Hannß Carlen Grinlinger Freÿh. oßlarischer Ambtman auff Stauffenburg, alß Ehevögtlich. weis mütterlich. auch die in diser verlaßenschafft gehörige und noch hie v.handene Stuckh, Einen Arrest begeren würde, Ihne damit ab: und ahn Ihre Frst. alß dißorths ordentliche Obrigkeit Zuv.weÿsen & Erkandt, Würde waß des Stalls Interesse betrifft, an Obere Stallhh. hg A*tin für E. Ers. Rath remittirt und gewießen.

(f°186) Freÿtag den 7.ten 9.bris. Stallgeschefft geredet, vnnd nicht allein allerseiths eingebrachte Supplicationes, sondern auch deß H. Stall schreibers mündlichen bericht darüber angehört, Nun seÿe es Zwar an dem daß weim die meiste nahrung bereits Frembd. orth. distrahirt vnndt vnd. die Erben v.theilt, nicht wohl möglich ein ferneres Inventarium vfzurichten, In deme aber hiebevor Fraw Schmidin burgerrecht beÿ E. E. Großen Rath durch dero Vogt Zwar vfgekündet, aber alle Statt: vnd Zunfftgebühren nicht völlig abgelegt, Weniger Ein solches beÿ dem Stall notificirt, vndt dahero beÿ wohlgedachtem Rath Erkandt word. daß sie die Erben Wegen mit vnvergeloffener tergiversation, mit vorbehalt d. straaff, mit dem Stall pt° Abzugs /:welcher nach hiebevorigem fueß Schandischer Verstallung vf 305. ln gesetzt werden müß:/ Vergleich. sollen, Alß Köndten Sie Herren Deputirte Keiner andern meinung sein, dann daß nochmahlen Inventirt od. gedachte 305. lb abzug neben noch übrig restirender Stallgebühr von mehrgedacht. Erben richtig Zu machen, vndt Ihnen, Wiewohlen Zu sonderer Gnad, ane ihren habend. respectivé Pfenningthurns Zinß vndt Capitalien abzuschreiben sein, die referirte Straff aber Item* dafern H. Hanß Philipp Schmidts an dieße Erben wegen hiebevor nit recht verrichteter Inventur etwaß Zusuch. E. E. Rath zu überlaßen, stellend. Erkand, Würdt der Obern Stall Herren bedencken gefolgt.
Ist Schein vf den Pfenningthurn ertheilt
NB. Ist den 29. 9.b auch beÿ Rath sonderlich der Straff halben außgemacht,wie in selbigem Prot. Zusehen.

Le tuteur de Jean Klapp (ici Klopff) loue le jeu de paume au marchand Samuel Lucas

1612 (iiij tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 62
(Inchoat. fol: 51.) Erschienen Herr Samuel Lucas Handelßmann burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Hanns Geörg Burckhardt Als geschwornen Vogts Hannsen wÿland Hannß Klopffen des Ballen meisters burgers Alhie seligen Sohn mit beÿstandt Herrn Balthasar Junÿ burgers Alhie offentlich verÿehen
das er Ime vonn ermeltem vogt vögtlicher wÿß fünff gantzer Jahr lang so vff Liechtmeß nechsverschünenen angefangen, vnd nit fürbaß desselben vogtsohns Zweÿ Ballenheüser sampt Ihrer Zugehörung stüblin büenen vnd Stall darin Aber die große behausung sampt dem gartten mit begriffen sein solle, Alhie Inn der Statt Straßburg Inn Crauttenauw neben herrn Carle Ringlern Apotheckern gelegen entlehner hette, für vnd vmb ein Jährlichen zinß 175 pfund pfenning Straßburger Zubezahlen

Véronique Meyer, veuve de Jean Klapp, et Georges Burckhart, tuteur de son fils Jean, vendent la maison et les deux jeux de paume au passementier Salomon Macklet et à sa femme Anne Veckmann moyennant 3 050 livres

1612 (v. tag Junÿ), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 288-v
(P. fol. 238.) Erschienen Frauw Veronica Meÿerin Wÿland Johann Klappen gewesenen Pallenmeÿsters vnd burgers Zu Straßburg selig. witwe mit beÿstand & h. Hannß Martin Reüber des Notarÿ burgers Zu Straßburg, Ihres geschwornen Vogts, für sich selbst, So dann h. Geörg Burckhard d. schneÿd. burg. Zu Straßburg Als ein geordnet vogt, Johannis, obgedachts Johannis Klappen selig. mit bemelter Veronica erzeügt. Sohns vögtlich. weÿß, Haben vnver. für sich verkaufft
h. Salomon Macklet dem Passamentmach. burg. Zu Straßburg, vnd Annen Veckmännin seiner ehelich. haußfr. So auch Zugeg.
hoff, hauß, hoffestatt vnd Gartt. sampt Zweÿen Pallenhäußern Auch Allenn Ihren gebeüen & geleg. Alhier Inn d. vorstatt Straßburg, Inn Crutenauw, hind. dem weÿsenhauß, einsit neb. h. Carle Ringler vnd Johann von dürcken garten, and.sit nebent einem holtz platz so Zum weÿsen hauß gehörig hind. auch vffs weÿsen hauß stoßend, dauon gend. Jahrs 50 pfund pfund Zinß der Statt Straßburg vff weÿhenachten fallend, vnd dabeÿ angezeigt wo uor diser Zinß Inn Khünfftig gemehrt od. gemindert od. aber es für khein Ballenhauß lenger passiren werd. solte, das deßweg. gemelten Khouffer Khein währschafft geleg. getrag. werde, Mehr gend Auch xxv lb d gelts Losig mit v C lb d vff Annunciationis Mariæ der dreÿen Pflegereÿen Vnser Fr. hauß, Roth. Kirch. vnd weÿsen hauß, Sunst ledig vnd eÿg, Vnd Alles Recht & Also d. & Vnd Ist dißer Khauff Zugang. vnnd bescheh. vber obbestimpte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen, für vnd vmb 2500 pfund pfenning Straßb.

La vente est portée deux ans plus tard dans le registre de la Chancellerie appelé Gemein Contract Buch

1614 (28.4.), Chancellerie, vol. 409 (Gemein Contract Buch)
Kauffverschreybung Salomon Macklet Passementmachers vber das Ballenhauß alhie
Veronica Meyer, Johann Klappen gew. Ballenmeisters wittwe. 41. Revers schuldbekantnus und Zinßverschreybung Hans Klappen des Ballenmeisters seligen Wittwen und Erben. 44.
erschienen seind vnsere Burgere Veronica Meÿerin weÿland Johann Klappen gewesenen Ballenmeÿsters seligen hinderlaßene witwe mit beÿstand Hannß Martin Räübers des Notarien Iro von vns geordneten Vogts vnd vnseres Kleinen Rhats alter beÿsitzer Geörg Burckhardt als verordnet vnd geschworner Vogt Johann Klappen, obernants Hans Klappen des elters seligen mit ehegedachter Veronica Meÿerin ehelich erzeügten minderjährigen Sohns (…) den 5. tag Monats Juny des verschinen 1612.ten Jahrs auffrechten redlichen beständigen vnd ohnwiderrufflichen Kauffs (…) verkaufft und zu kauffen geben hette
auch vnsern Burgern Salomon Macklet dem Passamentierer vnd Annæ Veckmännin beeden ehegemächden
Hoff Hauß, Hoffestatt vnd Garten samp Zweÿen Ballen Häusern, mit allen derselben gebawen, begriffenn weÿtten, Zugehörden, Recht vnd gerechtigkeÿtten, In diser vnserer Statt Straßburg vorstatt Krauttenauw, hinderm Waÿsenhauß, einseÿt neben vnsern alten Rhats bewandt. Carlen Ringlern dem Apothecker vnd vnsers Rhats beÿsitzer, Johann von Türckheym Garten, anderseÿt neben einem Holtz platz Zu vnsern Waÿsen Hauß gehorig, hinden vff mehrgemelt vnser vnsern Waÿsenhauß stoßend gelegen, dauon Järlichs gehend vnserer Statt pfenning Thurn 50 pfund pfund pfenning auff weÿhenachten, dabeÿ Jetzgemelter posten beÿ beschehener Kauffs Abred von Inen verkhauffern außtrucklichen bedingt vnd den Käuffern wolbedächtlich vnd gutwillig angenommen vnd beschlossen worden, whaferr diser Zinß in Künfftigem über Kurtz oder lang von uns oder vnsern verordneten erhohet, gesteÿgert, geringert oder auch das Ballenspil daselbst gar abgeschafft würde, sie die verkäuffere Ire vogtpersonen, derselben erben vnd Nachkommen solchen Jarlichen Zinses wegen Ihnen den Käuffern, Iren erben vnd nachkommen einichen nachtrag oder wehrschafft Zutrag nit schuldig sonder dessen gantzlichen gefreÿet vnd vberhaben sein sollen, vnd dann gehend von obgedachten Jetz verkaufften Häusern vnd derselben zugehörd 25 pfund pfenning Jarlichs auff Mariæ Verkündung vnsern treÿen pflegereÿen Vnser Frauwercks Im Münster, der Roten Kirchen vnd des Waÿsen Hauses In gemein In hauptgut mit 500 pfund pfenning abzulösen, sonst ledig vnd eÿgen, Vnd were dißer Khauff Zugang. vnd beschehen vber vorgemelte beschwerden für vnd vmb 2500 pfund pfenning (…)
Baten vnd begerten darauff wie wolten disen Kauff retificiren confirmiren vnd bestatigen (…) Vnd dessen allen Zu whaarem vrkhundt vnseser Statt Kleiner Secret Insigel ihne hencken an disen Brieff, der Geben ist, auff Donnerstag dn 28.sten Aprilis Als man nach Christi gepurt Zalte 1614.

Originaire de Strasbourg, le passementier Salomon Macklé achète le droit de bourgeoisie le 11 décembre 1600 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1600, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 638
Salomon Mackle der Paßmentmach. Von Straßburg, Kaufft das Burg: mit beÿstand Daniel Holtzeißen deß Küeffers gibt sein Nahrung für 100 fl. ahn, Vnnd will Zum Spiegel dienen. Act. vts [11. Decembris 1600]

Salomon Macklé épouse un mois plus tard Anne, fille du coutelier Jules Feckmann
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 51 n° 1)
1601. den 26. Januarÿ seind Ehelich eingesegnet worden Salomon Mackle d. Paßmentmacher vnd Burger alhie vnd Anna Feckmennin, weiland Julius Feckmans deß Meßerschmidts vnd Burgers selig. alhie nachgelaßene dochter (i 58)

Salomon Macklé prend en apprentissage Chrétien Mercklé, natif d’Ulm
1602 (3. Octobris), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 406-v
(Inchoat. fo: 407.) Erschienen Salomon Mackle Paßmentmach. burger alhie ane einem,
So dann Christoff Merckle Kürßner auch burger alhie als vetter Christoff Merckle, Weÿland Jacob Merckle burgers Vnd Zieglers Zu Ulm seligen Sohn am andern Theil,
Haben beyde Partheÿen gegen einand. bekhand Vnnd offentlich verÿehen, das sie sich Von bemelts Christoff Merckhles wegen freundlich mit einand. Vereinbart vnd Verglichen wie hernach, uolgt, Nemblich, Soll vnnd will gedachter Salomon Mackle bemelten Christoff Merckle Zu seinem handwerck vff vnd annehmen dreÿ Jar lang die nechsten nach einander Volgendt vnd vff Michelis nechsverschinen angefang. denselben das Paßmentmach. handwerck Lehren (…)

Salomon Macklé prend en apprentissage Martin Vogler, fils de Jean Vogler.
1607 (vt spâ [3. Martÿ]), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 73-v
(Inchoat. fo: 80.) Erschienen herr Salomon Mackle passmentmacher ane eim
So dann herr hanns Vogler Inn nammen Martin Voglers seines Sohns am andern theÿl
haben beÿd partheyen gegen einander bekhant v offentlich verÿehen das sie sich von wegen Martin Voglers freündlich verglichen Inn diße wÿß Nemlich das H Salomon Mackle gedachten* Martin Vogler Zu seinem leer Jungen vff v annem. soll v will Zwey Jar lang die nechst so nacheinand. volgenden vff Marien Verkhündung nechstkhünfftig anestehen sollen

Salomon Macklé prend en apprentissage Guillaume de Louin, natif de Paris. Le contrat est résilié trois mois plus tard.
1611 (5. Aprilis), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 128
(Inchoat. fo: 108.) Erschienen H Johann de Lowain ([biffé] Louin) handelsmanns burg. Zu Parÿs, In nammen Wilhelm de Louins seines lieben Sohns an eim
So dann H Salomon Mackele Paßmentmachs alhie Zu St. am and. theil
Haben bede Partheÿen gegen einand. bekhandt das sie sich von bemelts Wilhelms wegen freundlich v.glichen, In dise weÿß, Nammlich Woll vnd will bemelter H Salomon Mackele Ime Wilhelm de Louin Zu einem Lehrjungen Sechs Jahr lang die nechsten nach einander Volgendt vnd vff Mariæ Verkündung Anno 1611 anfangen sollen, Vff vnd angenommen, Ime In solcher Zeit das Paßmentmacher handwerck mit allem fleiß vnd ernst vnderrichten (…)
[in margine :] Cassatum, dieweilen deß herrn Johann de louain sein haußfrau, wegen deß Sohns Jugent dießes Contracts nicht Zu frieden vnndt alßo gedachter herr seinen Sohn widderum mit sich nacher hauß geführtt, Actum den 5.ten Julÿ 1611

Salomon Macklé prend en apprentissage Edouard, fils de David Hoffmann receveur au Gürtlerhoff
1612 (v. tag Martÿ), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 123
(Inchoat. in Proth. fol: 103.) Erschienen Salomon Mackle der passamentmacher burger Zu Straßburg Ane eim
So dann Eduardus Hoffmann wÿland David Hoffmann gewesenen schaffners Im gürtler hoff alhie seligenn Sohn, mit beÿstandt des Ehrenuesten vnd hochgelehrten herrn Johann Küeffers der Artzneÿ Doctoris alhie, vnd herrn Johann Berggentzers schaffners Alhie seiner beeder schwägeren Am Andern Theil,
Habenn beede parthenn sich eines verdings mit einand. verglichen, Inn weiß vnnd maßenn wie hernacher volgt, Nemlich und Zuuorderst hatt ermelter Salomon Macklet gedachtem Eduardum Hoffmann Zu seinem Jungen Zweÿ gantzer Jahr lang, so heüt dato Anegehen sollenn vnd vff denselben tag A° 1614. sich enden vff vnd Ane genommen Jnen Inn bemelter Jahracht das Passament macher Handwerck seines bestens vleißes Zu lehrnen und Zu underweißenn (…)

Salomon Macklé engage sa maison rue des Bouchers et le jeu de paume en caution d’un achat de mousquets à Colmar

1617 (20. 7.br.), Chancellerie, vol. 424 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 50-v
Rückburckschafft vnd sicherheÿt gegen der Statt Straß. für derselben bewittligte Caution wegen 326. Musqueten Zu Colmar
Erschienen Salomon Mackle mit beÿstand Frantz Eysenhut vnd
hatt in gegenwertigkeyt des hochgelehrten Hn Johann Hartman Cancelleÿ Verwalters angezeigt
Nachdeme Ime durch Frantz Monthault 377 Musqueten Zu Colmar bißh. In Arrest auffgehalten vnd Ime bißhero ohne gewisse Caution vnd sicherheyt von d. Statt Colmar nit gevolgt werden wollen, (…) das er darauff Jetzt wolernanten Herrn vnd gemeiner Statt Straßburg für jetzgedachte für Ihne geleyste sicherheyt, Zu Rückburgschafft vnd wisentlichen vnderpfand angesetzt haben wolle erstlich sein Behausung alhie In dem Metzg. Giessen, einseyt neben Gabriel Martz dem kuttler and.seit neben Friderich Schellen Rhats behausung hinden auff d. Statt Ringmaur stoßend gelegen, davon erstlich gehend 2. lb 16 auff Johannis Laurentzen von fessenheym In hauptgut mit 15 lb, Item 3 lb 15 ß auff Johannis Hans Kuenen des Spillen treghs. selig. erben In hauptgut mit 75 lb, Item 1 lb 18 ß auff Johannis vnser Frawen werck In hauptgut mit 68 lb, So ist auch Jetzermelte behausung verhafftet Friderich Schollen Kind. vmb 200 g. w so auff den 25. Oct. künfftig erlegt werd. soll sonst eÿgen [in margine :] Item Eliæ Andresen Kinder hauptgut 350 lb, Item Carle Andresen 150 lb, Item Wilhelm Lawel* Passmentmacher haußfrauen 50 pfund vnd Peter Kamelen 150 lb, so alles Jars das 100 mit 5 lb verzinst werden soll
Vnd dann das Ballenhauß mit allen d.selben Zugehörd weythen vnd begriffen In Krauttenaw hind. dem waysen hauß geleg. davon gehnd Jährlichs auff dem pfenning 50 pfund pfenning vff weÿhenachten, Item 21. lib auff Johannis Baptistæ vnser Frawen werck In hauptgut mit 500 lb So ist aus mehrgemelt Ballenhauß verhafftet wÿland Johann Klappen erben vmb 3600 gulden Zu 15 batzen sonst eÿgen

Salomon Macklé et Anne Veckmann, assistée de son fils docteur en médecine Jean Macklé et de son gendre bailli Jean Philippe Schachinger, hypothèquent la maison du jeu de paume au profit de Daniel Thomas, marchand à Sankt-Lamprecht et de Jean Bernard Müller, cellerier à Weingarten

1645 (9. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 311
Erschienen H Salomon Mackhle der handelßmann und Burger Zu Straßburg und Anna Veckhmännin sein eheliche haußfraw, und Sie Fraw Anna mit beÿstand H Johann Mackhle Medicinæ Doctoris ihres eheleiblich. Sohns, und H Johann Philipß Schachingers Amptmanns Zu Kuttelßheim ihres dochtermanns, alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
haben in gegensein H Daniel Thomaß. handelßmanns von St. Lamprecht und H Johann Bernhard Müllers Churpfältzisch Kellners Zu Weingartheim, beed. Schwäg. und ietzig. Schirmbß Verwanther alhie bekannt – schuldig seÿen 1333 und ein trittheil Reichßthaler (…) zusampt H Friderich Emerich Diacono Zu Seltz und vorgedachtem H Mackhle ihren dochtermann und Sohn, alß hierzu erbettenen nechst. Verwanthen und Beÿständern, Nicht Wenig. Von weÿl. Fr. Esther Veckhmännin auch Weÿl. H Samuel Gallera deß handelßmanns seel. Wittibin nun auch seel. alß Bürgin (…)
auß solcher general Hÿpothec vff E.E. groß. Rhats Sambst. d. 26. Aprilis nechsthien ertheilte obrigkeitliche Bewilligung, specialissime exprimirt sein solle, hoff, hauß, hoffstatt und Gart., sampt Zweÿ Ballenhäußern, und allen deren Gebäwen, Begriffen, weÿth., Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit. alhie in der Krautenaw hinderm waÿsenhauß, neben Sebastian Ammerbach dem Metzgern Ehestand, theilß neben Johann von Türckheim Garten, ein und anderseit neben einem Holtz Platz Zum Waÿsenhauß gehörig, hind. vff gemeldt. Waÿsenhauß stoßend geleg. Davon gehnd iahrs 12. lb 10 ß vff Mariæ Verkündigung lößig mit 250. lib der Fabric deß Münsters, der Roten Kirch. und dem mehrerwehnten Waÿsenhauß, Vnd der Statt Straßburg alle Jahr vff Weÿhenacht. 25. lib

Salomon Macklé et Anne Veckmann d’une part, les marchands Pierre Triponet et Jean Kornmann d’autre part, passent un accord relatif à la succession d’Esther Veckmann, veuve du marchand Samuel Gallera

1646 (9. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 288-v
Erschienen H Salomon Mackhle der Handelßmann alß Ehevogt Frawen Annæ Vöckhmännin, mit beÿstand H Johann Philipß Schachingers Amptmanns Zu Küttelßheim und H Isaac Bion Ballenmaÿsters seiner dochtermänner ahn einem,
So dann H Peter Triponets und H Johann Kornmanns beede Gewerbß Gemeinere resp. für sich selbst. ehevögtlich. und befelchhabers weise im nahmen ihrer nachgelaßener Kinder und mit Erben am andern Vnd beede Parten mit beÿstand H Daniel Strintzen deß Notarÿ und Kleinen rhats Verwanthens
dEmnach Sie Fraw Anna Vöckhmännin zum halben, und Sie die Triponetische Zum übrig. halben theil, weÿl. Fraw Hester Vöckhmännin auch weÿl. H Samuel Gallera deß handelßmanns seel. wittib nun auch seel. geerbt (…)

Salomon Macklé meurt le 22 juin 1659 en délaissant six enfants ou leur représentant. L’inventaire est dressé dans la maison du jeu de paume. La masse propre à la veuve est de 1 022 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 000 livres, le passif 1 894 livres.

1659 (26.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 14) n° 13
Inventarium vndt Beschreibung Aller und Jeder Haab, Nahrung, und Güethere, Ligender, und Vahrender, Veränderter, und Theilbarer, So der Ehrenvest und Vorgeachte H Salomon Mackle geweßener burger, und Handelßmann alhie Zue Straßburg selig nach dem derselbe Mitwoch den 22. Junÿ Jüngsthien Gottes Vätterlichem willen nach dieße Welt gesegnet Hinderlaßen, welche auf beschehen. freündt: und fleißiges erfordern deßelben hinderbliebenen H Sohns, Fr. döchter und Enckel (…) ersucht, Inventirt, durch die Ehren: und Tugendtsahme Fr. Annam Vogtmännin die hinderbliebene Witwe mit beÿstandt des Ehrenvesten und Vorgeachten H Jacob Sandrardt des Jüngern burgers, und Handelßmanns alhier ihres geschwornen Vogts (…) Beschehen in Straßburg dinstag den 26. Julÿ A° 1659.
Der Abgeleibte H. Salomon Mackle, hatt Zu Erben ab intestato hinderlaßen seine Liebe H. Sohn, Fr. döchter und Encklin Namentlich 1. Fr. Annam Mackle, weÿl. H Samuel Stockhert des Küeffers und burgers Zu Basel selig. witwe, 2. Fr. Esther weÿl. H Friderich Emmrichs gewesenen Diaconi Zu Seltz selig. hinderlaßene witwen Jetzo zu Baccra wohnhaft, 3. Fr. Elisabetham des Ehrenvesten, und Wolvornehmen H Johann Philipp Furichs burgers und Handelßmanns alhier haußfr. 4. den Edlen und hochgelehrten H Johann Mackle der Artzneÿ Doctorem Zu Hanaw wohnhaft, 5. H. Johann Philipp Schachinger des Ehren vesten und Hochgeachten H Johann Philipp Schachingers, wolbestelten Chur Pfältzischen Amptmans zu Seltz mit weÿl. Fr. Maria Mackle des verstorbenen Herrn selig. dochter selig. erzeügten Sohn, 6. Fr. Catharinam Mackle des Ehrenvesten und Vorgeachten H Isaac Bion, Schirmbs Verwanthen alhie Eheliche haußfr. Innahmen obgedachter Frembden und Außländischen abwesenden H. und Fr. Ist auß E. E. Kleinen rahts mittel alß beÿstandt erbetten und nominirt word. der Ehrenvest, Fürsichtig, und Weise H. Johann Geörg Rosa burger und Seÿdenstickern auch erstwolgedachts Kleinen Rhats beÿsitzer, So neben den alhieig. Erben der Inventation beÿgewohnt

In Einer in der Statt Straßburg in der Crautenauw, hinden an dem Weÿsenhauß gelegenen behaußung Ballenhauß genant Ist befunden worden Alß volgt
Vff der obern Bien, Vff dem andern boden, Im obern Stübl. In der Stub Kammer, Vor dißer Stuben, In der Cammer A, In der Mittlern Stuben, In der Stub Cammer, In der obern Kuchen, Im haußöhren vor der Kuch., Vff dem Hinderngang, Vff dem hindern gänglin magd Kammerlin, Im vndern Haußöhren, Im bad Kämmerl. In dem Camin, Underm Schpf, In der Undern Kuchen, Im Saal
Eigenthumb ane einer Behaußung. (T.) Item Hauß, Hoff, Hoffstatt, vndt Garten, sampt 2. Ballenhäußern, mit allen deroselben gebäuwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten V. gerechtigkeit. in d. Statt Straßburg Vorstatt in d. Krautenauw Hinder dem Weisenhauß, einseith neb. weÿl. Sebastian Ammerbachs gewesen Metzgers seel. nachgelaßene Wittiben vndt Erben, v. H Johann Wenckhern, Alt. Wohl Verdient. Ammeisters Garten, anderseith neb. einem Holtzplatz Zu dem Weisen Hauß gehörig, hinden vf mehrbemeltes Weisenhauß stoßend, gelegen, davon geht jetzmahls Jährlich. gemeiner Statt Straßburg Pfenningthurn Vf Weyhenachten 25. lb. d. Jedoch Haben Vnser gn. H. solchen Zinß Zu erringen od. Zu steuren, Ihnen außtrucklichen Vorbehalten, V. dann geh. von obgedacht. haüsern v. dero Zugehörden 12. lb 10 ß d Jährlich vf Michaelis fallenden Zinßes, wid.lößig mit 250. lb.
Item 17. lb 10 ß d Zinßen alle Jahr vff Michaelis ablößig in Haubtguth mit 350 lb d Fr. Feronicæ Meÿerin weÿl. H Johann Philipps Schmidts seel. nachgelaßener Wittwen
Mehr 25. lb d Jährlich vf Johannis Baptist. fallenden Zinses ist in hauptgut wid.umb abzulößen mit 500 lb d Ehegemelter Fr. Feronicæ Meÿerin
Sodann seindt diese Häuser noch verhafftet vmb 2000 fl. Capital H Daniel Thomas Ober Schultheisen Zu S. Lamprecht so Jährlich vf d. 6. Januarÿ mit 250. lb d Verzinßt werden
Vndt ist diese behaußung über hiobgemelte beschwerung gewürdiget v. angeschlagen word. für vndt vmb 150.
Darüber sagt I. teutsch. Pergament Kauff Verschreibung mit d. Statt Straßburg Kleinen Secret Insigel verwahrt deßen datum Donnerstag d. 28. Aprilis A° 1614. bezeichnet mit N° 1.
Ergäntzung der Fr. Wittiben Unveränderten Guths. Erstlich hat mann der Fr. Wittiben Zuerg. 2000. fl. welche weÿl. Fr. Hester Vögtmännin, auch weÿl. H. Samuel Gallera gewesenen Handelsmanns v. burgers alhie selig. hinderbliebene Witwe Ihre geliebte Schwester selig Ihro in Irem auffgerichteten Testament Prælegirt
Abzug In dißes Inventarium Der Fr. Witiben Haußraths 12, Sa. Silbers 8, Sa. Ergäntzung 1000, Summa summarum der Fr. Wittib gantz. Unveränderten Nahrung 1022 lb
Sa. Theilbaren Haußraths 308, Sa. des brennholtzes 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 151, Sa. Guldenen ring 15, Sa. baarschafft 140, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 99, Sa. Eigenthumbs an Einer behaußung 150, Sa. Eigenthümliche Liegender Güther 51, Sa. Wahren 162, Sa. Schuld. 836, Summa summarum 2000 lb – Schulden 1894 lb Nach deren Abzug 96 lb

Autres mentions de Salomon Macklet dans les registres du Magistrat
1616 Conseillers et XXI (1 R 97) Salomon Macklet wegen etlich Musqueten. 278. 291. 298. 302. 307. 321.
1617 Conseillers et XXI (1 R 98) Colmar wegen Salomon Mackle Musqueten. 329.
Salomon Mackle vmb verfolgung seiner Musqueten. 64. 255. 257. cavirt (bürgen). 276. 284. Salomon Mackle will Colmar seine Musqueten nit folgen lassen. 164. 172. 189. 255.
Guilhelmus Vernerÿ von Moncourt contra Salomon Mackle. 197. – Salomon Mackle würdt von Guilhaume Verner verclagt, vide Guilhelmus.
1654 Conseillers et XXI (1 R 137) Salomon Mackle. 70. [Intercessionalibus pt° schuden]
1656 Conseillers et XXI (1 R 139) Salomon Mackle. 194. [Intercessionalibus pt° schuden]
1657 Conseillers et XXI (1 R 140) Salomon Mackle. 192. [Intercessionalibus pt° schuden]

Accord relatif à la succession d’Esther Veckmann
1659 (13. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 611-v
Erschienen Fr. Anna, weÿl. H Salomon Mackhle deß handelßmanns seel. Wittib, mit beÿstand H Jacob Sandrarths deß iüngern, handelßmanns, ihres Curatoris an einem,
Mehr H Johann Georg Rosa EE. Kleinen Rhats Beÿsitzern alß auß wohlgedachts Rhats mitteln ahne statt Frawen Annæ, weÿl. Samuel Stockhern geweßenen Küeffers Zu Basell nunmehr seel. hinterbliebenen Wittib, Fr. Ester Weÿl. H Friderich Emmerichs geweßenen Diaconi Zu Seltz nunmehr seel: nachgelaßener wittibin, H Johann Merckhle Med. Doctoris und Johann Philipß Schachingers insonderheit Deputirter, Ferners Fr. Elisabetha H Johann Philippß Furichs deß handelßmanns eheliche haußfrau mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts, und h. Joh. Bapt: Fechers deß Goltarbeiters ihres Schwagers weÿters Fr. Catharina H Isaac Bions deß Ballenmaÿsters eheliche haußfrau, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, am andern,
So dann beÿde theil mit beÿstand H Johann Kornmanns und H. Peter de Barry beed. handelßmänner, und H. David Ösingers deß ältern Notarÿ,
zeigte und bekannte eingangß ermelte Fr. Anna die Mackhlische Wittib, daß Sie die ienige 235. lb. Capital und 52. lib. 14. ß 3. d. Zinnß, welche Fr. Anna Storckherin (…) Capital welche Johann Philipß Schaching. Jedes alß einen rest Ester Vögtmännischen legaten, ahne eingangs besagts H Salomon Mackhle ihres resp. Vatters und Großvatters Verlassenschafft insonderheit gehaltener Abrechnung Zuerfordern befugt seÿen (…)

Véronique, veuve de l’employé à la halle Jean Philippe Schmidt, passe un accord relatif au paiement de la somme stipulée au contrat de 1612, relatif à la vente de la maison du jeu de paume. Elle agit en son nom et et qualité de seule héritière de son fils Jean Klapp, directeur de la Monnaie au service du margrave de Bade.

1661 (10. Sept:), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 592-v
Erschienen der Ehrenvest- hochgelehrte h Johann Bernhard Wild V.J. Doctorandus und E.E. großen Rhats Advocatus & Procurator
hatt in gegensein deß Ehrenvest- Fürsichtig- Wohlweisen H Eliæ Brackenhoffers dißer Statt Ein vnd Zwanztigers, bekannt, daß Er H. Doctorandus Wild, vff Begehren Fr. Veronicæ weÿl. H. hanß Philipß Schmidts geweßenen Kauffhauß Be Ampten alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, seiner Curandæ, Ihme H. Ein vnd Zwanztigern Brackenhoffer, vffrecht redlich ohnwiderufflich vögtlicher weiße verkaufft und Zukauffen gegeben habe
25. lib. iährlich termino Joh. Bapt: fallende und mit 500. lib. widerlößig. Zinßes, wie auch 350. lib. Nachtrag Capital iährlich termino Michaelis mit 17. lib. 10 ß Zinnßbahr, so weÿl. h Salomon Mackhle deß Ballmeÿsters seel. wittib vnd Erben, vermög der am 5. Junÿ a° 1612. durch weÿl. H. Hilarium Meÿer, alß der Statt Straßburg damalig Contractuum Notarium nunmehr seel. vffgerichteter Kauff vnd Zinnß: Verschreibung Ihro Fr. Veronicæ alß resp: Verkäufferin deß Ballenhaußes, vnd weÿl. H Johann Klappen, geweßenen Müntzmeÿsters Zu Marggraffen Baden ihres einig. Sohns Erbin von vff vnd abe gemeltem Ballenhauß schuldig seÿe. Vnd were solchen Verkauff vnd Kauff geschehen umb 675 Pfund

Anne Feckmann (ici Vœgtmann) meurt en délaissant quatre enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison du jeu de paume. L’actif de la succession s’élève à 343 livres, le passif à 695 livres.

1671 (8. 9.bris), Not. Oesinger (David, 37 Not 22) f° 19
Inventarium vnd Beschreibung aller und Jeder Haab Nahrung vndt Güethere, Ligendter vnd Vahrendter, So Weÿland die Ehren und tugendsame Fraw Anna Vögtmännin auch Weÿland deß Ehrenvest, vnd Vorgeachten Herrn Salomon Mackhle geweßenen burgers undt handelßmanns alhie Zue Straßburg selig. hinterbliebene Wittwe sel. nach dem dieselbe den 12.ten Jüngst verwichenen Monats Julÿ dieße Welt gesegnet, welche auf beschehenes fleißiges erfordern vndt begehren deroselben hinderlaßenen Fr. dochter und Enckel (…) ersucht, Inventirt, durch die Ehren: vnd Tugendtsame Fr. Catharinam deß Ehrenvest vnd vorgeacht. H. Isaac Bions, Schürmbs Verwanth alhie mit beÿstand deßelb. (…) So beschehen in Str: in beÿsein deß Ehrenvesten vndt vorgeacht. H. Petri De Barÿ vornemmen handelßmannß vnd burgers alhie, Mittwoch d. 8.ten 9.bris A° 1671.
Die Abgeleibte Fr. Sel. hat Zu Erb. ab intestato hinderlaß. Zwo noch einig Lebende Fr. tochter vnd Enckhlen Benantlich 1. Fr. Catharinam Mackle hievorgemelt gedacht. H. Isaac Bions, Eheliche haußfr. 2. Fr. Ester weÿland H Friderich Emmerich gewesenen Diaconi Zue Seltz hinderlaßene wittiben sel. Sohn vnd Tochter Salomon Emmerich Pfarrherrn Zu Gemund vnd Fraw Anna H hanß Heinrich Roßen deß Kunstmohlers Zu Franckforth Eheliche haußfr. 3. Fr. Elisabethæ H Johann Philipp Furiß burgers alhier haußfraw sel. mit weÿland H. Daniel Schmid Knöpffmacher und burgern alhier erziehlet Sohn und tochter Fr. Elisabetha, H. Dieterich Roosen haußfr. sel. Khinder diße beede seind von H Daniel Schmid. handelßmann alhie von H Gabriel Goutrio handelßmann vnd burger alhie sel. erzilte Söhn Benantlich Johannem Goutrio Knöpffmacher vnd burger Zu Basel vnd Salomon Goutrio Goldschmid vnd burger alhie Von obgemelt. Johann Philipp Furi Jungfr. Ester Jfr Maria Salome vnd hanß Philipps Furi, 4. Fr. Mariæ Mackhle sel: mit H. Johann Philipp Schachingers, sel. hinderbliebenen Sohn H. Johann Philipp Schachinger handelßmann Zu Mannh. Innahmen obgedachter frawen vnd Außlendischen Erben vndt Enckhlen Ist auß E. E. Kl: Rth: Mittel alß beÿstandt Deputirt word. der Ehrenvest, Fürsichtig, vnd Weise H. Johann Daniel Würtz wolgedachts Kl: Rhats ane Statt eines H. Constofflers wohlverordneter beÿsitzer So hab. d. alhiesig. Erben der Invent: beÿgewohnt.

In Einer In der Statt Straßburg In dem Ballhauß Ist befunden word. wie volgt
Auff d. obern gang
Eigenthumb Ane Einer Behauß. It. ein hauß, hoff, hoffstatt und Garthen, sampt zweÿen ballenhäußern mit allen deroselben gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten vnd gerechtigkeiten in der Statt Straßburg Vorstatt in der Krautenauw hinder dem Waÿsenhauß, einseith neben hanß Willhelm Göppel burgern vndt Metzger alhier, vndt H Johann Wenckhern Alten Wohl Verdienten Ammeisters selig. Erben Garthen, Anderseith neben deß Weÿsenhaußes garthen, hinden auff bemelten weÿentrenhauß stoßend, gelegen. Davon geht Jetzmahls Jährlich. Gemeiner St. Straßburg Pfenningthurn auff Weÿhenacht. 25. lb. d. Jedoch Haben Vnsere Gnädige Herrn Solchen Zinß Zur ringen oder Zu Steigern, Ihnen Außtruckhlichen Vorbehalten, Vnd dann gehen Von obgedachten haüsern vnd Zugehörden 12. lb 10 ß d Jährlich. auff Michaelis fallenden Zinßes, widerlößig mit 250. lb. dem Waÿßenhauß alhie.
Item 17. lb 10 ß d gelts alle Jahr auff Michaelis widerkhäuffig in Haubtguth mit 350 lb. d weÿland Fr. Veronicæ Meÿerin auch weÿl. H Johann Philipps Schmidts sel. nachgelaßener Wittwe hiebevor u. anjetzo aber H. Eliæ Brackenhoffern wohlbestelt XV. alhie
Mehr 25. lb d Jährlichen auff Johannis Baptistæ fallenden Zins Ist in hauptguth abzulößen mit 500 lb. d. Wohl Ehegedacht. H. Eliæ Brackenhoffern XV.nern
Sodann Seindt diese häuser noch verhafftet vmb 2000 fl. Capital W. H Daniel Thomaß geweßenen Ober Schultheuß. Zu St. Lamprecht Jährlich auff d. 6.ten Januarÿ mit 50. lb d Verzinßt wden. herrührend. Ane dießen 2000 fl. seind Erstgemelt. Erben noch 500. fl. Zuständig vnd H: Isaac Bion dem Ballen meister die übrige 1500 fl. gehörig welche Erben H. hanß Bernhard Müllern an sich erkhoufft
Vndt ist diese behaußung über hiobgemelte beschwerdt. gewürdiget vndt angeschlagen für vnd vmb 150.
Darüber sagt I. teutsch. Pergamentener Khauff Verschreibung, mit der St: Straßbg. Kleinen Secret Insigel Verwahrt, deßen datum Donnerstag d. 28. Aprilis Anno 1614. bezeichnet mit N° 1.
Abzug In dißes Inventarium, Sa. Haußraths 91, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 66, Sa. guldener ring 2, Sa. der behaußung 150, Sa. liegender güether 10, Sa Schuld. 23, Summa summarum 343 lb – Schulden 695 lb Die Schulden ubertreffen dieselbe vmb 351 lb

La maison revient à sa fille Catherine qui épouse en 1643 le marchand Isaac Bion, fils du maître du jeu de paume de Metz Bernard Bion.

Mariage, cathédrale (luth. p. 434)
1643. Domin. Reminiscere. Isaac Bion der Handelsmann, Bernhard Bion deß geweßenen Ballmeisters zu Metz nachgelaßener ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Catharina, Salomon Magle, Handelßmanns vnd Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet Im Münster Mont. den 6. Martÿ (i 237)

Quittance remise par Anne Bion et son frère Jean Daniel Bion, enfants du maître du jeu de paume et manant Isaac Bion.
1672 (6. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 208-v
Anna Bionin, herrn Isaac Bions des Ballmaÿsters und Schirms Verwanthens Zue Straßburg eheleibliche dochter, mit beÿstand erstermelts ihres eheleiblichen Vatters, Jean Daniel Bions ihres eheleiblichen Bruders, und deß Ehrenvest- hochgelehrten Herrn Johann Henrich Schatzen U.I. Ddi und E.E. Kleinen Rhats Advocati et Procuratoris ihres geweßenen Anwaldts
in gegensein der Wohl Edel- Gestreng und Hochgelehrten herrn Johann Christoph Ammanns deß Geheimen Rhats, und herren Martin Hieronÿmi Haintzels deß inneren Rhats beÿ deß heÿligen Reichß Statt Augspurg beeder alß Curatorum Gottfriedt Amanns stud. hier Zu constituirten befelchhabers Herrn Johann Engelbert Maÿ Materialist Zu erwehnten Augspurg mit assistentz deß Ehrenvest hochgelehrten herrn Johann Niclaus Erhardts U.I.D. et Practici auch E.E. Statt Gerichts Advocati et Procuratoris wie auch herren Jacob Hosers deß handelßmanns, eine den 4.ten Martÿ jüngsthien Verfertigte Und mit ihr Bionin und dero eheleiblichem Vatter und bruder underzogenen eÿgenen handen und für getrückhten Pittschafften Verwahrte quittung, welche Von worten zu worten also lautet
(…) dEmnach Ein wohllöblich Ehegericht alhier am 14.ten Novembris abgewichenen 1671.sten Jahrs, Zwischen mit gedachter Bionin an einem, So dann herren Gottfriedt Ammann dem Studioso Von Augspurg am andern theil, mit Vrthel Zue Recht Erkandt (…) Signatum Straßburg 4. Martÿ Anno 1672

Quittance d’une obligation sur la maison du jeu de paume, correspondant à l’acte de 1645 (voir plus haut)
1674 (10. Xbr:), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 709-v
hannß Daniel Sandrat der Gewerbs diener im nahmen H. Peter de Barry deß handelßmanns alß Fr. Catharinæ Rebmacherin und Fr. Mariæ Sandrattin beeder gebohrner de Walbergen Wittibin, Vermög eines sub dato Franckfurth am Maÿ d. 10/20. Julÿ deß zu end eÿlenden Jahrs außgefertigten (…) Gewaltscheins constituirten Mandatarÿ, Ferners H. Gabriel de la Mer der Handelsmann für sich selbsten, Weiters hannß Jacob Buischard der Gerber auch für sich selbsten und alß vogt Susannæ und Mariæ Catharinæ Buischardin seiner eheleiblichen Schwester, So dann Johann Buischard der Wollenweber auch für sich selbsten
in gegensein H Isaac Bion deß Ballmaÿsters und Fr. Catharinæ beÿder Eheleuth mit assistentz deß Ehrenvest, hochgelehrten H. Johann Jacob Gambsen V.I. Ddi Und E.E. Statt gerichts Actuarÿ et Referentis
bekannt, daß Sie die Wahlber. Frw Schwestern Jede Zu 1/18.te theil, Er de la Mer Zu 1/18.te theil Und Sie die Buischardische Geschwistert auch Zu 1/18.te theil (…) sammentafft umb ihre 4/18. theil von 333. Rthlr. ahne 1333. Rthlr. Capital crafft der am 1.ten Maÿ anno 1645. in der Cancelleÿ Contractstuben Uffgerichteten Verschreibung ahn dem Marckhischen Werthmännischen Capital Uff dem Allhießigen ohnfern dem Waÿsenhauß gelegenen Ballhauß gebühren

Le maître du jeu de paume Daniel Bion vend au boulanger Michel Diemer une maison voisine de celle qui appartient à sa mère

1686 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 196-v
H. Daniel Bion, der Ballmeister
in gegensein Michael Diemer deß Weißbecken
Ein hinderhauß, hoffstatt, höfflein, bronnen mit allen deren gebäuen, begriffen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier in Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinen Brucken einseit neben Ursula weil. Michael Diemers deß ältern sel. hinderlaßener Wittib, sein deß Käuffers ehe leiblicher Mutter anderseit neben Peter billon dem Paßmentmacher hinden auff H. Johann Christoph Kellermann dem Handelßmann stoßend gelegen – umb 320 Gulden

Isaac Bion meurt en délaissant six enfants dont aucun n’est bourgeois. Les Quinze, sur recommandation du syndic royal et du secrétaire de Louvois, exemptent Isaac Bion, maître de jeu de paume à Berlin, de payer le droit de détraction. Daniel Bion et Sébastien Beck introduisent la même demande en arguant qu’ils ont racheté les parts de leurs cohéritiers et que la succession restera donc à Strasbourg. Les Quinze s’en tiennent à leur précérente décision qui se référait à un précédent, la succession de Jean Pierre Cameel. Les héritiers devront payer les droits habituels. Daniel Bion et Sébastien Beck paient la plus grande partie des droits et demandent exemption du reste. Les Quinze répondent que rien ne la justifie, même si tous les biens restent à Strasbourg.
1688, Protocole des Quinze (2 R 92)
(f° 201) Sambstag den 24. Julÿ – Isaac Bion der Ballmeister zu Berlin pt° Abzugs
Obere Stallherren laßen per me proponiren, daß, Nachdeme Isaac Bion, der geweßte Ballenmeister alhier, Verstorben, und Mann deßen hinterlaßene Nahrung, wie bräuchlich jnventirt, sich gefunden habe, d. selbige inn 3037 fl. 1 ß 8 d. beßese, darvon einem jedem Kind, deren an der zahl sechs 5066. fl. 1 ß 11 d. Zukomme, Welchen, weilen sie alle Frembd Und nicht Verburgert, E E Kleiner Rath Krafft der ordnung den abzug einem jeden benandlichen 50. fl. abgefordert, den der ältiste sohn, nahmens Isaac Bion, Und der Zu Berlin wohnet, auch Zu erlegen hätte, Allein habe herr Syndicus, nach von seiner abreiß jnn den Saurbrunnen, gegen Wir gedacht, daß sowohl herr Intendant, als auch einer Von des Monsg,r. de Louvois secretarÿ ihn Bion sehr dahin recommendire, d. er deß abzugs gäntzlich befreÿt seÿn Möchte, Und daß er, herr Syndicus, seines orts dafür halte, daß, jnn ansehung der guten recommendation, Und da die summ ohne dem Nicht groß, Man ihme wohl gratificiren Könte, Ständte demnach Zu Mghh. was sie hierinnen gn. erkennen wollen. Erk. Wird Isaac Bion des abzugs, Jedoch absq. præjudicio, befreÿt.

(f° 277-v) Sambstags den 6. 9.bris – Daniel Bion und Sebastian Beck, pt° Abzugs
Herr Daniel Bion und Herr Sebastian Beck, die Ballenmeister alhier, per Saltzman prod. undth. Mem. Und Bitten, mit Beÿlag sub Lit A. Erk. Vor Obere Stallherren gewießen Umb beÿm Archiv Nachzuschlagen, Wie es mit der Eichelsteinischen Verlaßenschafft da Johann Peter Cameel der geweßte schaffner im Bruderhoff, Und Schirms Verwandter, geerbt, gehalten worden, Und ob nicht gedachter Cameel den 10.ten pfenning Vor abzug behalten habe ?

(f° 294) Freÿtags den 26. 9.bris – Daniel Bion und Sebastian Beck, pt° Abzugs
Iidem [Obere Stall Herren] per me, Es hätten Weÿl. Isaac Bions, des geweßenen Ballenmeisters hinterlaßene, alhier wohnende und unverburgerte Erben, Nahmens Daniel Bion und Sebastian Beck, inn einem, den 6. 9.br jüngst producirten Memoriale undth. gebetten, daß Weilen sie annoch beÿ lebzeiten ihres resp. Vatters Und Schwährs sich beständig allhier inn der Statt auffgehalten, und Von übrigen ihren Miterben ihre Antheiler auff gedachten ihres Vatters Und Schwähers seel. hauß Und Ballhäußern übernommen, Auch alles daßjenige, was daher auff sie erblich gekommen, jnn d. Statt gäntzlich verbleibe Mghh. ihren an den abgeforderten Abzug der 129 lb 15 ß 10 d, ihr ratum sich auff 57. lb 1 ß 4 d. belauffend, jnn genaden Nachlassen Möchten.
Nachdeme aber gleich dazumahlen es die Meinung gehabt, daß jnn den protocollis, Wie es Mit Johann Christoph Eichelsteins, des Schirms Verwantdten Verlaßenschafft gehalten worden, Nachgeschlagen werden solte, so hätte ich Nicht ermangelt es jns werck zu setzen, Und jnn der Hhn XIII. protocoll sub dato 14. 9.br. 1682. einen Weitläuffig Bedacht, so beÿ den V.O. herren gefaßt Und Nachgehends Von herren Syndico Güntzer referirt worden, gefunden, Krafft deßen herr Johann Peter Cameel, geweßener Schaffner im Bruderhoff, und der die gantze Eichelsteinische Nahrung an sich geerbt, als ein Schirms Verwandter, den Zehenden pfenning davon bezahlen Müßen. Weilen nun dießen præjudicium gantz Klar, Und die beede Königl. herren Ministri dafür gehalten, daß Mann sich darnach richten, Und deme Nachkommen Könnte, so stünde zu Mghhn was Sie hierinnen gn. erkennen wollen.
Erk. Sollen Imploranten ihr ratum dem abzug d 129. lb. 15 ß. 10 d. Völlig Zu entrichten schuldig seÿn.

(f° 58-v) Freÿtag den 18. Martÿ – Daniel Bion und Sebastian Beck, pt° Abzugs
Iidem [Obere Stall Herren] per me, daß Daniel Bion und Sebastian Beck als Isaac Bions geweßenen Ballmeisters alhier hinterlaßene Erben, so ane abzug 57. lb 1 ß 4 d Zubezahlen, 30 lb darauff erlegt, Und Umb Nachlass des residui, sich auff 27. lb 1 ß 4 d belauffend, angesucht, Allein, Weilen Viel præjudicia als Hr Niclauß Hitschler beÿ Johann Albrecht dem huthstaffierer vorhanden, daß diejenige so im schirm geweßen, beÿ Erbschafften den abzug bezahlen müßen, wann gleich das guth alhier verbleiben, so könne man nicht finden, warumb Imploranten jnn ihrem begehren willfahrt werden sollte, jedoch Zu Mghh. die genehmhaltung stellend, Erk. beliebt.

Elisabeth Bion, femme du marchand Sébastien Beck, et Daniel Bion hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Nicolas Herff

1688 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 438-v
Fr. Elisabeth gebohrne Bionin, H. Sebastian Becken, deß handelßmanns eheliche haußfrau, mit beÿstand deßelben, wie auch Hn Daniel Bion, deß ballmeisters allhie ihres leiblich. bruders
in gegensein Johann Niclaus Herffen, deß handelßmanns – schuldig seÿe 1300 gute Reichs guldner, wie solche nach jüngster devaluation zu 9 ß 3 d gewürdiget word. Ihro Zu außweißung Ihrer nicht allhier wohnende Geschwistrige auff nach beschriebenen unterpfand
unterpfand, die helffte an Hauß, hoff, hoffstatt und Gartten samt Zweÿen Ballenhäußern mit allen derselben gebäuen recht. und zugehördten, allhier in der Vorstatt Crautenau hind. dem Waisenhauß, einseit neben Wilhelm Göppels gewes. Metzgers hind.laßenen Erb. hind. zum theil auff d. Wenckerisch. Gart. Zum theil auff d. Weißenhauß, anderseit auch auff d. Weißenhauß stoßend geleg., Von welchen gantzen behaußung und zugehördt geh. jährlich 25 Pfund d. Gemeiner Statt Pfenningthurn

Nouvelle demande d’exemption après un nouveau versement. Les Quinze renvoient les pétitionnaires à la Chambre de la Taille
1689, Protocole des Quinze (2 R 93)
(f° 44) Sambstags den 26. Februarÿ – Herr Sebastian Beck und Daniel Bion, der ballmeister alhier, per Saltzmann pt° abzugs deponiren 30. lb d inn 30 sols, bitten wegen des überrests gn. Nachlaß, sich auff productum Vorigen jahrs beziehend. Erk. Vor Obere Stallherren gewießen

Sébastien Beck et Elisabeth Bion louent leur moitié de la maison du jeu de paume à Daniel Bion

1691 (31.5), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 457-v
H. Sebastian Beck, der handelßmann in nahmen Fr. Elisabethæ gebohrner Bionin deß. ehelich. haußfrau
in gegensein H. Daniel Bion, deß Ballmeisters
entlehnt, die Helffte für unvertheilt an Hauß, gartt. und Zweÿen ballhaüßern, mit allen deren Gebäuen und zugehördten, allhier in der vosttatt Crautenau, hinder dem Waisenhauß, einseit neben Wilhelm Göppels gewes. Metzgers Erben, hinden Zum theil auff Daniel Kupfferschmid und Friderich Fruthen, zum theil auff d. Waißenhauß stoßend, darvon Ihme Entlehner die helffte Eÿgenthümlich gehörig und ohne dem zu genüßen stehet, auff fünff jahr lang von 17.ten April. diß jahrs anzurechnen umb einen Jährlichen Zinß nemblich 100 Pfund
Paulo post ist ferner abgeredt word., daß weil H. Beck noch keine andere lehnung bestand. d. selbe von denen gemach. die Er biß dato bewohnt, biß zu seinem außzug hauß zinß nach Marzal 7 lb 10 ß fürs jars gerechnet, heb. od. sich abzieh. laß. solle, Eod.

Sébastien Beck et Elisabeth Bion vendent leur moitié de la maison du jeu de paume à leur beau-frère et frère respectif Daniel Bion

1693 (15. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 685
Fr. Elisabetha gebohrne Bionin, Hn Sebastian Becken, deß handelßmanns Eheliche haußfr. mit beÿstand Ihres Ehevogts
in gegensein Hn Daniel Bion, deß Ballenmeisters, Ihrem leiblich. Brud.
die helffte vor ohnvertheilt an hauß, hoff, hoffstatt, Gartten, und Zweÿen ballhaüßern, mit allen denen Gebäuen, rechten und Zugehördt. allhier in der Vorstatt Crautenau, hinder dem waisenhauß einseit neben Samuel Goldbach den Metzger zum theil, und zum theil neben Friderich Fruthen, und Daniel Kupfferschmid dem Metzgern, anderseit neben dem waisenhauß, hinten auff ged. Fruth. und Kupfferschmid stoßend gelegen. von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 25 lb Gemeiner Statt Pfenningth. – zumahlen die übrige helffte dem Käuffer zuvorhin gehörig – umb 1500 pfund

Fils du maître du jeu de paume Daniel (sic) Bion, Daniel Bion épouse en 1675 Susanne, veuve du lieutenant André Brand
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 108)
1675. Dominicis 8 & 9 Trinitatis den 25. Julÿ & 1. Augusti. Herr Daniel Bion der ledige Ballenmeÿster, Herrn Daniel Bion Exercitien vndt Ballmeÿsters alhie ehelicher Sohn, Fr. Susanna herrn Andreæ Branden gewesenen Leütenants alhie nachgelaßene Wittib (i 73)

Lieutenant de la garnison de Strasbourg, André Brand épouse en 1661 Susanne, fille de Thierry Thomas, boulanger à Phalsbourg
Mariage, cathédrale (luth. f° 1 n° 1)
1661. Fest: Epiphan: den 6.ten Jan: Zum 2. mahl hr Andreas Brand der Leütnant bei hiesiger guarnison und Jfr. Susanna, Weilandt Dieterich Thomas gewesenen Burgers undt Becker Zu Pfaltzburg hinterlaßene ehel. Tochter. Dienstags den 15.ten Jan : Metzgerstub (i 2)

Daniel Bion hypothèque la maison au profit du marchand Jean Nicolas Herff. En marge, quittance remise en 1733 à l’aubergiste Jean Frédéric Seyler

1694 (28.1.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 72
H. Daniel Bion, der Ballen meister
in gegensein Hn Johann Niclaus Herffen, deß handelßmanns, schuldig seÿe 1250 pfund
unterpfand, hauß, hoff, hoffstatt, gartten sambt Zweÿen, ballen häußern, und allen deren gebaüen, recht. und zugehördt. allhier in der Crautenau, hinder dem waisenhauß einseit neben Samuel Goldbach, dem metzger, Zum theil, Und Zum theil neben Friderich Fruthen und Daniel Kupfferschmid dem Metzger, anderseit neben dem waisen hauß, hinden auff ged. Fruth. und Kupfferschmid stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Johann Friderich Seÿler, des hießigen gastgebers und burgers, welchem krafft heutigen tags verschriebenen Vergleichs hier verpfändetes Ballhauß zum genuß überlaßen, den 20. Aprilis 1733

Manant, le maître du jeu de paume Jean Daniel Bion meurt en mai 1702 en délaissant pour unique héritière testamentaire sa sœur Elisabeth Bion femme du commissionnaire de roulage Sébastien Beck, et sa veuve Cécile Chrétienne Girisch. Les experts estiment la maison à 1 400 livres. La masse propre à la veuve est de 101 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 381 livres, le passif 1 000 livres.

1702 (7.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 11)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿl. der Ehrenveste vnd vorachtbahre Herr Johann Daniel Bion, geweßener Ballmeister vndt Schirmbs Verwanthe alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Donnerstags den 4.ten Monatstag Maÿ Jüngsthin aus dießem elend. Jammerthal genommenem tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und Tugendreich. frauen Elisabethæ Beckin, Gebohren Bionin, des Wohl Ehrenvesten vnd vorachtbahren Herrn Sebastian Becken, bestäters Im allhießigen Kauffhauß vnd Schirmbs Verwanthen alhier alß des abgeleibten Herrn seel. Schwester vnd per Testamentum instituirter einiger Erbin mit assistentz erstgedachts ihres Ehevogts vnd dan alß ohnverburgert mit fernerem beÿstand des Edeln, vesten, vorachtbahren vnd weißen herrn Johann Friderich Reichshoffers, vornehmen Handelßmanns vnd E. E: Kleinen Raths beÿsitzers, alß auß wohlermelts Ehrs. Kleinen raths mittel hierzu Insonderheit deputirten herren inventirt, durch die Viel Ehren: vnd tugendreiche Fraw Ceciliam Christinam Bionnin gebohren Gyrischin die hinderlaßene Wittib, mit beÿstand des Wohl Edeln Vesten Großachtbahren fürsichtig vnd weißen herrn Friderich Reicnhadt Mockels, E. E. Großen Raths wohlverdienten alten v. der Zeit E. E. Kleinen raths als Constoffler beÿsitzers ihres Geschworhnen Herrn Curatoris (…) Act. Straßburg Mittwoch den 7. Junÿ 1702

Bericht ane statt der Eheberedung. Es hat sich beÿ gegenwärtiger Inventation Kein Ehe Contract befund. auch die fraw Wittib vff beschehenes befrag. von keinem wißen wollen (…) weilen Im übrig. Sie vff das theilbahr Guth Jedoch mit cräfftigem vorbehalt ihres wÿdems So Sie ane Ihres Verstorbenen Ehe Herrn seel: verlaßenschafft vermög hernach beschriebenen Testamenti Zu prætendiren, verzug gethan, vnd solche der instituirten Testaments Erbin tam active quam passive überlaßen, als ist des herrn seel. noch restirende unveränderte vnd die theilbahre Massa hernacher sub uno Titulo inventirt word. Zum bericht.
In dem Ballhauß allhier Zu Straßburg in der Crautenaw gelegen, so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig hat sich befund. wie volgt.
Ane Haußrath. Auff der buhnen, In der Wohnstuben, In der stub Kammer, Im haußöhren, In d. Magd Kammer, Auff dem Gang, In der Soldaten Cammer, In des Officiers Stübel, Im vndern haußöhren, In der new Camin stuben, In der alten Camin stuben, Im Keller, Im bitten Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung. It. hauß, hoff, hoffstatt garten vnd Zweÿ ballen häuser mit allen deren gebäwen begriffen. weithen rechten Zugehörd. vnd gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßburg in der vor Statt Kraut.ow hind. dem weÿsenhauß einseit neb. H. Samuel Goldbach dem Metzger Zum theil vnd Zum theil neb. H. Daniel Kupfferschmid dem Metzger anderseit neben dem Weÿsenhauß hind. auff gedacht. H. Daniel Kupfferschmid stosend, davon geh. Jährlich. 25. lb. d. gemeiner Statt so der Pfenningthurn fordert aber nicht wisend ist wo dießes onus eigentlich herrührt, in Capital gerechnet Zu 500 lb, Item 50. lb d gelts a 4. p. C. gerechneten Zinßes Jährlich vff Weÿhenacht. H. Joh: Niclaus herffen dem ältern in Capital ablößig mit 1250. lb, sonst freÿ ledig vnd eig. durch die geschworne Werckmeistere alhier vermög überschickt schatz Zedels æstimirt p. 1500 lb d. Ist also dießes Ballhaus höher beschwehrt als solches angeschlagen benantlichen 350 lb. So hernacher denen Passiv Schulden addirt Zu befinden
Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Kleinen Secret insigel verwahrt datirt den 28. Aprilis anno 1614. mit altem N° 1. notirt Darbeÿ ferners ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhiesig. Cancelleÿ contract stub. geferttigt mit deroselb. Innsigel verwahrt datirt d. 15.t 8.bris 1693.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert guth, Sa. haußraths 46, Sa. Silbers 15, Sa. Guldenen Ring 39, Summa summarum 101 lb
Der Erbin vnd die theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 267, Sa. wein vnd vaß 11, Sa. Silbers 35, Sa. guldenen Ring 25, Sa. baarschafft 41, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung o, Summa summarum 381 lb – Schulden 1000 lb, Übertreffen also die Schulden aus dem Erbe Zubezahlend der Fraw Erbin unveränderte vnd die theilbahre Verheurathet mit vmb 619 lb
Copia Testamenti. 1702 (…) auff Donnerstag den 4. Monatstag maÿ, der Wohl Ehren vest vnd vorgeachte Johann Daniel Bion Ballmeisyer vnd Schirmbs Verwanthe allhier Zu Straßburg (…) zu sich erfordern laß. den wir dann sehr unpäßlichen Krancken vnd schwachen Leibs auff einem bette ligend (…) Jacob Christoph Pantrion
Abschatzung Montags den 12. Junÿ Ao 1702. Weÿland des Ehrhafften und bescheiden H Johan Daniel Bion Ballmeister Seel. hinterlaßene fraw Wittib und Erben behaußung allhier in der statt Straßburg in der Krautennaw im schwoben lentzel genandt, einseits an das stifft Weÿsenhauß stoßend, anderseits an H. Samuel Goldbach dem Metzgern hinden auff H. Daniel Kupfferschmidt dem Metzger stosend, welche Wohnbehaußung sambt ballhauß, neben gebaw hoff, brunnen und garten auch übrige begriffen Zugehörd und gerechtigkeit, wie solches in der besichtigung befunden, und dem ietzigen preiß nach angeschlagen vor und umb Zweÿtausend Acht thundert gulden. Bezeügens der Statt Straßburg geschworne Werckhleüth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs

Daniel Bion meurt le 4 mai 1702. Son corps est inhumé par le pasteur réformé.
Sépulture (réformés, p. 25)
Herr H. Daniel Bion, der Ballenmeister starb sel. den 4. Maji 1702 morgens um 3 Uhren (i 29)

Cécile Chrétienne Girisch meurt à l’âge de 65 ans le 2 février 1724. Son corps est inhumé par le pasteur réformé. Le notaire Pantrion vend ses meubles.
1724, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Verkauff Reg: über fr. Cæciliæ Christinæ Bionin geb. Gÿrischin, auch Weÿl. H. Joh: Daniel Bions geweß. Ballmeisters distrahirte Mobilia.

Sépulture (réformés, f° 11-v)
Fr. Cæcilia Christine, gebohrne Girischin, weÿland H Joh: Daniel Bion, des Bestäters nachgelaßene Wittib starb des Morgens gegen 2. Uhr d. 2.t Febr. 1724. v. wurde d. 3. d° begraben auf St. Urbans auw Gottes Acker, Ætatis in Circa 65. Ann. (i 14)

Sébastien Beck, originaire de Bâle, et Elisabeth Bion font baptiser leur premier enfant à Strasbourg en février 1688 par le pasteur réformé.
Baptême (réformés, f° 22)
1688. den 15. Februarÿ ließen Ihr Kind tauffen Herr Sebastian Beck von Basel, Fr. Elisabetha Geborhne Bion. Testes Herr Johann Georg Deücher Burger vnd handelßmann zu Straßburg, Frau Magdalena gebohrne Mangin Herrn Joh: Niclaus Herffen Burgers vnd handelßmanns in Straßburg eheliche haußfrau, Fr: Maria Elisabetha Gebohrne Saltzmännin, Herrn Abraham heüschen Burgers vnd handelßmanns in Straßburg eheliche haußfrau
Infans Magdalena Elisabetha (i 30)

Sébastien Beck est nommé commissionnaire de roulage en 1691.
1691, Protocole des Quinze (2 R 95) Sebastian Beck wird bestäther. 3. Bestäthers Ordnung. 16.
1692, Protocole des Quinze (2 R 96) 288 Johann Blümlein der bestäther Ca. Sebastian Becken auch bestäther, 296

1704 XV (2 R 108) H Sebastian Beck pt° Erlaßung des Ungelts vnd zu dem Pfthurn Zu geben habend. jährl. 550. fl. wie auch befreÿung der Einquartierung. 54.

Accord passé entre Elisabeth Bion, propriétaire, et Cécile Chrétienne Kirisch, usufruitière des biens de feu Daniel Bion. La première hypothèque la maison du jeu de paume en garantie.

1703 (28.7.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 413
Elisabetha geb. Bionin Hn Sebastian Becken Güther bestäthers im Kaufhauß Haußfr. einßen
andern theils aber Hr. Friderich Reichard Mockel E.E. großen Raths alter beÿsitzer alß Vogt Ceciliæ Christinæ geb. Kirischin weÿl. Joh: Daniel Bions geweßenen bottenmeÿsters wittib
daß Sie beede Comparentin alß resp: Eÿgenthumbs Erbin u. usufructuaria besagten Bions seel. verlassenschafft sich dahien freundlichen verglichen hätten, daß Sie die wittib zwar auf sothanen natural genueß, falls unten gesetzter verspruch gehalten werd. wird, verzug thun, hingegen aber Sie die Eÿgenthumbs Erbin ihro der Wittib so lang Sie, die wittib im leben seÿn wird, jährlichen 30 pfund Str. von Michaelis 1703 ahn (…) bezahlen solle
zu versicherung sothanen jährlichen wÿdemszinß in specie versetzet d. in obiger Verlassenschafft sich befindliche ballenhauß mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit allhier ahm waÿßenhauß anderseith aber neben dem Fruthischen u. Goldbachischen Hauß gelegen

Sébastien Beck hypothèque la maison du jeu de paume au profit d’Elisabeth Follet, veuve du marchand de cuir Joseph Jenin.

1703 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 449-v
Sebastian Beck Güther bestätter im Kaufhauß
in gegensein Jacob Pasquay lederhändlers alß Verwalthers frn. Elisabethæ Jenin geb. Folletin geschäfften, 250 pfund, welches geld weÿl. Joseph Jenin lederhändler Joh: Daniel Bion, sein Becken Schwagern auf einen wechßelbrief geliehen
unterpfand, d. ballenhauß mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. gerechtigkeit allhier ahm waÿßenhauß ein, anderseith aber neben dem Fruthischen u. Goldbachischen Hauß gelegen, darvon gibt mann jährlichen 50 fl. auf den Pfthrn. wegen deß weinschancks wie Sie berichteten

Sébastien Beck loue les deux jeux de paume à Jean Régnard, comte de Hanau Lichtenberg, pour lequel son receveur ecclésiastique Geoffroi Renner

1707 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 301
Sebastian Beck bestäther im Kaufhauß
in gegensein H. Gottfried Renners hochgräflichen Hanau Lichtenbergischen Kirchenschaffners nahmens deß hochgebornen Grafen und H. H. Joh: Reinhard Grafen zu Hanauen Lichtenberg &&
beede ball spielhäußer auf 2 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1707 – um einen jährlichen Zinß nemlich 100 lb

Sébastien Beck hypothèque la maison du jeu de paume au profit du marchand Jacques Herff

1711 (3.3.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 103-v
Sebastian Beck Gutherbestätter im Kauffhauß
in gegensein hrn Jacob Herffen handelßmanns mit beÿstand hn Frantz Peter Crugot auch handelßmanns – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, das ballenhauß mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Krautenau ahm waÿsenhauß, einseit neben ged. Waÿßenhauß anderseit neben dem Fruthischen und Goldbachischen hauß gelegen, darvon habe mann Jährlichen 50 fl. wegen des weinschancks auff den Pfenningthurn gegeben, so aber seithero etlicher zeit nicht gerechnet word. seÿe

Jean Henri Beck sollicite la nomination d’un remplaçant dans les fonctions de son père frappé d’apoplexie.
1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
(f° 239) Sambstag d. 17. Julÿ 1723. Moss. nôe Sebastian Beck 32. jähriger bestätters, welcher Von dem Schlagfluß gerühret nicht selbst erscheinen Kan, inn deßen nahmen Zugegen Johann Heinrich Beck dessen Sohn, prod. Vndtg. Memoriale und bitten umb gnädige permission den bestätter dienst durch einen vicarium Versehen zu laßen. Erk. bedacht vide infra fol. (-)

Elisabeth Bion, veuve de Sébastien Beck, est inhumée par le pasteur réformé en mars 1723.
Sépulture (réformés, f° 16-v)
Fr. Elisabetha Bion, von Straßburg, H Sebastian Becken, Bestätern alhie, eheliche haußfr. starb d. 22. Martÿ 1723. abends vm 4. Uhr, v. wurde d. 24. d° auf St. Urbans auw Gottes Acker begraben, Ætatis 65. An. 8 dies. (i 20)

Les enfants et héritiers d’Elisabeth, femme de Sébastien Beck, demandent aux Quinze de réduire leur droit de détraction. Ils sont renvoyés aux préposés à la Taille
1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
(p. 307) Sambstag d. 29. Julÿ 1724. – Sebastian Beck pt° abzugs
Moss. nôe Sebastian Becken gewesenen Ballmeisters Verstorbener Ehefrauen Elisabetha gebohrner Bionin hinderlaßener KK. und Erben, in deren nahmen Zugegen H. Andreas Altenburger der burger und Silberarbeither allhier prd. Vnd.tg Memoriale und bitten umb g. moderation des geforderten Abzugs. Erk. Ober Stallherren.

Les enfants et héritiers d’Elisabeth Bion, femme de Sébastien Beck, manant et maître du jeu de paume, vendent au tailleur Jean Philippe von der Mühl et à sa femme Anne Gertrude von der Hardt la maison et les instruments du jeu de paume (chaussons, raquettes)

1724 (18.4.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 211
weÿl. Fr. Elisabetha Beckin geb. Bionin seel. mit H. Sebastian Beck ihrem wittiber dem Ballenmeister und Schirmer erzeuge Kinder und hæredes ab intestato nahmens Jgfr. Magdalena Elisabetha Beckin und H. Johann Daniel Beck lediger Chirurgius so beede über 25 jahr und ohnbevögtigt sind, mit beÿstand H. Andreas Altenburger des silberarbeiters und zwar Jfr. beckin als mandataria ihres bruders Johann Heinrich Beck des ledigen handelsmanns, So dann erst besagte Beckerischen gegenwärtige geschwisterde als bevollmächtigte ihres bruders Johann Rudolph Beck des ledigen handtlungs: verständigen
in gegensein Johann Philipp von der Mühl des Schneiders und Fr. Annæ Gertrud geb. von der Hartt
Eine Behausung hoff gartten zweÿ Ballhäußer und hoffstatt mit allen und jeden derselben gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten wie auch denen zu den Ballhäußern gehörigenen Ballen Raquettes Chaussons garnen und auffgespannten Blagen wie nicht weniger dem Bauchkeßel und allem übrigen sich nagelvest und eingemaurt in der vorstatt Krauttenau hinter dem weÿßenhauß, einseit neben Caspar Grießbach dem Metzger anderseit neben erwehntem weyßenhauß hinten wie auch zu einer seith neben und auff den Fruthischen H. Rathh. Habrecht Ehevögtl. weiß zuständigen gartten /:in ansehung die vormahlen allhiesigen Pfenningthurn jährlich zu entrichten gehabte 25 lb von wegen erlaubten seith geraumer zeith aber unterlaßenen weinschancks gereicht worden, seith viele jahren aber nicht mehr abgestattet werden:/ – um 1250 pfund beladen, geschehen um 1900 pfund

Les acquéreurs hypothèquent aussitôt la maison au profit de l’hôpital bourgeois pour payer le prix d’achat et réparer la maison

1724 (18.4.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 213
Johann Philipp von der Mühl der Schneider und Fr. Anna Gertrud geb. von der hartt beÿständlich H. Reiß und H. hirschel beeder EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein des mehrern hospitahls allhier hochverordneter H. Pflegers, des wohlgebohrnen H. Frantz Joseph von Klinglin Stättmeisters und fünffzehners, S.T. H. Johann Theobald Reiß alten Ammeisters dreÿzehners wie auch H. Philipp Caspar Leitersperger Fünffzehners, So dann H. Johann Martin Schlitzweg Schaffners und H. Paul Flach Oberschreibers daselbst, 1500 pfund theils zu erkauff: und bezahlung theils zur reparation hieunten beschribener Ballbehausung
unterpfand, die aus jetzigem Vorschuß theils bezahlt: und zu repariren vorhabende Behausung gärttlein v: zweÿ Ballhäußer cum omnibus appertinentÿs in der vorstatt Krauttenau hinter dem weÿßenhauß einseit auff dem Fruthischen H. Habrecht Exsenatori uxorio nomine gehörigen gartten zum theil Caspar Grießbach dem Metzger anderseit neben gedachten weyßenhauß hinten auff erwehnte habrechtische Ehefrau
Ferner Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Spithal: gäßlein, einseit neben H. Wolffen banquier Eheliebstin seel. Erben anderseit neben Philipp Thenn Bierbrauer hinten auff den Ullwergraben stoßend gelegen

Le tailleur Jean Philippe von der Mühl, fils d’André von der Mühl d’« Euffingen », s’inscrit en octobre 1704 pour faire son chef d’œuvre. Il est admis maître le 13 janvier 1704.
1704, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 150) 29° Octobris 1704
Johann Philipp von der Mühl, Andreä von der Mühl, Inn wohners Zu Eüffingen ehelicher Sohn, producirt Lehrbrieff vom 23. Junÿ 1697. bitet ihne Zur Zeit und meisterstück einzuschreiben, ferner prod: Er Gebuhrts: brieff, und weil herr Pfarrer Ritter sein beucht vatter nicht zu hauß, alß soll Er den beucht schein innerhalb 8. tagen herrn Zunfftmeister bringen, alß dann Ihme erlaubt sein solle, gebe heut dato doe Gebühr (dt. 4. lb 5 ß)

(f° 156-v) 23. Decembris 1704 – Johann Philipp von der Mühl erschienen unter (-) und bittet Ihme die 6. gewohnliche Riß Zum vorhabenden meisterstück vffzugeben, deme woillfahert mit
1. Moderock, Camosol et hoßen vor zweÿ stück
1. trompeter rock
1. Thurnhüther rock
1. Münchss Kutt
1. weiber schoben
Hatt diesem Riß wohl gemacht deß wegen Zum Mitmeister vffgenommen word.

Jean Philippe von der Mühl, fils de l’aubergiste André von der Mühl en juridiction de Nassau-Dietz, épouse en 1705 Anne Gertrude von der Hardt, fille du receveur Christophe von der Hardt, d’Alzey en Palatinat
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 90 n° 4)
Mittwochs den 11. Febr. 1705. seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirch Zu S Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Johann Philipp von der Mühl, der ledige Schneid. und burg. alhier, Von Nassau Dietz gebürtig, H. Andr. Heinrich von der Mühl, des bierbrauers vnd burgers daselbst, ehelich. Sohn, und Jfr. Anna Gertrud von der Hart, H. Christoph von der Hart , deß schaffners im ampt Allzey in der Pfaltz eheliche Tochter, [unterzeichnet] Johann Phillippus von d Mühl hoch Zeitter, Anna Gertraut von der hart hoch Zeitterin (i 94)

Jean Philippe von der Mühl, de Nassau sur la Lahn, et Anne Gertrude von der Hardt, de Monsheim en Palatinat, achètent le droit de bourgeoisie quelques jours avant leur mariage.
1705, 3° Livre de bourgeoisie p. 1252
Joh: Philipp Von der Mühl d. schneider Von Naßau an der Lahn, vnd sein Fr: Anna Gertrud Von der Harth V. Müntzheim aus der Pfaltz erkauffen das burgerrecht p. 2. gold fl. 16 ß wird beÿ E. E. Zunfft der Schneider dienen. Jur. d. 28. Jan. 1705.

Jean Philippe von der Mühl devient tributaire chez les tailleurs le 26 février 1705.
(f° 168-v) 26 Februarÿ 1705 – Newzünfftig. dt 2. lb 7 ß. 6 d
Johann Philipp von der Mühl von Naßaw ditz an der Lahn gebürtig, Andreß Heinrich deß bierbrawers aldort ehelicher Sohn, producirt Cantzleÿ: Pfenningthurn und Stallschein, bitt umb das Zunfftrecht, Erkannt Willfahrt.

Jean Philippe von der Mühl est mis à l’amende pour avoir employé des ouvriers non qualifiés. Son amende est réduite trois semaines plus tard.
(f° 214-v) 12. Aprilis 1706 – Johann Philipp von der Mühl angeklagt, daß er denen Stümplern stückweiß Zu arbeit gegeben, gestehet nur Zween tag vff stuck etlichen Gegeben Zuhaben, dazu er genöthigt war, weil es Königl. arbeit und pressirt war, da er keine andere gesell bekommen können.
Erkandt soll 5. lb straff deßwegen erlegen.

(f° 220) 4° Maÿ 1706 – Philippß von der Mühl vorgestellt und Ihme die andictirte straff gefordert, legte 16. ß 6 d vff den tisch bate umb gnaden, moderirt uff 8 ß 3 d so er dato Zalt.

Jean Valentin Zollinger se plaint que Jean Philippe von der Mühl ne lui rembourse pas le vêtement trop étroit qu’il lui a fait.
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 13) Dienstags den 9.ten Decembris 1710 – H. Johann Valentin Zollinger, contra Johann Philipp von der Mühl, Klagt daß derselbe Ihme Ein kleid gemacht, so ihme aber Zu eng ware, welcher Er aber nachgehends mit Einsetzung einiger stücker umb etwaß weiter gemacht, so Ihme aber nicht anständig are, derohalben Ihme beklagten das Kleid anheim geschlagen, welcher Zwar Verprochen solches Zu Verkaufften, und ihme sein außgelegt geldt Wiederumb Zuerstatten, Weilen Er aber Biß anhero Zu Keiner Bezahlung gelangen Kan, sondern allerhand Vorwand beÿ bringet, als bittet Kläger Beklagten Zur Bezahlung anzuhalten.
Erkannt, Weilen beÿ dießer Anklag sich Ein Mißschnit erzeiget, alß solle Beklagter erstlichen den Articul beßern mit 1 lb d so dann Von dao biß nächst Künfftige Zahl Woch Clägern, waß des Kleid undt seine Zugehehte Vermög der Zedul gecostet Klaglooß stellen.

Jean Philippe von der Mühl meurt le dernier jour de 1732 et sa femme Anne Gertrude von der Hardt quinze jours plus tard en délaissant une fille. Les experts estiment la maison du jeu de paume à 2 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 827 livres, le passif à 5 610 livres.

1733 (27.1.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 11) n° 248
Inventarium über Weÿl. Joh: Philipp von der Mühl, gewesenen Schneiders und ballmeisters und Weÿl. Frauen Annæ Gertrud gebohrener von der Hardt beeder geweßener Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafften auffgerichtet Anno 1733.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere so Weÿl. der Ehren und wohlachtbare Johann Philipp von der Mühl, Schneider und ballmeister wie auch der Ehren und tugendsahme Frau Anna Gertrud gebohrene von der Hardt beede geweßene Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg nunmehr seel. nachdeme der Mann den 30. Decembris verwichenen 1732. Jahrs Sie die frau aber den 15. Januarÿ in dießem angetrettenen und Zu End gemelten Jahr Zeitlich verblichen, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf beschehenes freundliches Ansuchen des Ehrenvesten Herrn Joh: Daniel Eulers, biersieders und burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Elisabethæ, Vorgedachter beeder verstorbener Eheleuthe mit einander ehelich erziehlter und ab intestato Zu Erben Verlaßener einzuger tochter (…) So beschehen alhier in Straßburg auff Dienstag den 27. Januarÿ Anno 1733.

Eigenthum ane Häußern. Nemlichen hauß und hoffstatt im Spithal gäßlein (…)
Item eine behaußung, hoff, garten, 2 ballhäußer, und hoffstatt mit allen und Jeden derselben gebäuen, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten in allhießiger Vorstatt Crautenau hinder dem weÿßenhauß einseit neben Johann Georg Riffel dem Metzger, 2.seith neben erwehntem Wäyßenhauß hinden wie auch zum theil neben und auff den fruthischen garten stosend gelegen, so über die hernach unter denen passiv Schulden befindliche und ablößige Capitalia freÿ, ledig und eigen, und nach besag vorallegirter Abschatzung von denen allhießig. geschwornen Werckmeistern æstimirt Worde, Vor 2500. lb. Darüber Vorhanden ein perg. Kbr. mit der St. Straßburg C.C. Insiegel Verw. datirt den 30. Aprilis Anno 1724. Dabeÿ ferner ein perg. Kbr. mit ermeltem Innsiegel bekräfftiget datirt den 15. Octobris Anno 1693.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 254, Sa. Wein und Faß 138, Sa. Silbers 37, Sa. Goldener Ring 27, Sa. baarschafft 5, Sa. Anschlags der häußer 3250, Sa. Activ Schulden 133, Summa summarum 3827 lb – Schulden 5610 lb, In Compensatione 1762. lb
Abschatzung d. 27. Januarÿ 1733. Auf begehren Weÿl. des Ehrenvesten und Vorachtbahren Herren Philips Von der Mühl geweßenen Schneiders und Ballmeisters, seel: hiter laßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau gelegen, das Ballhauß gegandt, einseits Neben dem allhiesig. Weÿßenhauß, anderseits Neben Johann Georg Riffel Metzger hinten auf dem frittschen garten stosend, Welche behausung Vorder gebäw, Zweÿ Nebens gebäulein, Ballhauß Mit steinern platten belegt Stuben, Officier stube, Cammeren, Kamin Kammeren, Kuchen hauß Ehren Nebens gang ein alter schopff, Zweÿ gebälckte Keller, hoff brone undt Zweÿ tränck steine sambt aller gerechtig Keit Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen Wird Vor und Um Fünf Taüsend gulden
Der 2.te begrif (…)
Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwornne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Jean Frédéric Seyler loue au directeur général des vivres d’Allemagne le jeu de paume qui sert de remise à carrosse.

1734 (11.1.), Not. Lhanneur de Chantelou (6 E 41, 989)
Bail à loyer Du 11 Jan.er 1734 – fut present Sieur Jean Frideric Seyler Bourgeois de cette ville, Lequel a volontairement reconnu et Confessé avoir Baillé à Titre de loyer et prix d’argent à commencer du 9 du présent mois de janvier 1734 jusqu’à pareil jour de l’année prochaine 1735 et promet faire jouir pendant led. tems
au Sieur Isac Louis Dalençon Directeur General des Vivres d’Allemagne, faisant pour le Munitionnaire General des Vivres d’Allemagne a ce present et acceptant aud. nom preneur aud. titre durant led. temps
le Jeu de paulme servant actuellement de remise a Carrosses audit Sieur bailleur appartenans scitué pres L’Hopital Royal de cette ville tel que led. jeu de Paulme s’etend et se Comporte – Le présent bail fait et moyennant la somme de 200 livres

Nouveau bail entre les mêmes

1735 (2.3.), Not. Lhanneur de Chantelou (6 E 41, 990)
Bail du 2° mars 1735 – fut present sieur Jean Frideric Seyler Bourgeois de Cette ville lequel a volontairement reconnu et confessé avoir Baillé à titre de loyer et prix d’argent à Commencer du premier novembre 1734 Jusqu’à pareil jour de l’année 1735 et promet faire jouir pendant led. tems
à Monsieur Anne Felix Gayot de Bellombre Directeur General des Vivres d’Allemagne, faisant pour le munitionnaire general desd. Vivres d’Allemagne a ce present et acceptant aud. nom preneur aud. titre durant led. temps
le jeu de Paulme servant actuellement de Magazin pour le foin Et les Egipages desd. Vivres aud. Sieur Bailleur appartenant scitué prèz L’Hôpital Royal de Cette ville tel que led. jeu de Paulme s’etend et se Comporte – Le présent bail fait et moyennant la somme de 250 livres

Leur fille et héritière Marie Elisabeth von der Mühl meurt célibataire à l’âge de 32 ans le 21 janvier 1745.

Sépulture, Saint-Guillaume (luth. B 1722-1763 f° 96-v)
1745. Donnerstag d. 21. Januarÿ morgens Zwischen 3. v. 4. Uhr starb in Ihrem Erlößer Jesu Christo an einem außzehrenden fieber Jungfr. Maria Elisabethan weÿl. Johann Philipp von der Mühl gewesenen Schneiders v burgers allhier vnd weÿl. Gertrud von der Hardt hinderlaßene Ehl. tochter Ihres alters 38 Jahr v. 5. tage wurde folgend. 22. Ejusd. nach gehaltener Leich Predig in unserer Kirche Zu St Wilhelm auff den Gottesacker St. Urbani Zur Erden bestattet Gott verleihe Ihr eine sanffte grabes-ruhe vnd eine fröliche aufferstehung [unterzeichnet] Johann Friedrich Seÿler als naher Verwanthe, Johann Daniel Euler als Vogt (i 105)

Parent des défunts (voir plus loin), Jean Frédéric Seyler prend en charge le jeu de paume.

Fils du boucher Jean Thiébaut Seyler de Kaiserslautern (en Palatinat), Jean Frédéric Seyler épouse en 1733 Anne Marguerite Ahlinger, fille de l’horticulteur Chrétien Ahlinger : contrat de mariage en février 1733, célébration en juin 1734.
1733 (4.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 284
Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Friderich Seÿler, dem Ledigen Metzger von Kaÿßerlauthern gebürtig des Ehren: Barbar wohlvorgeachten Herrn Johann Theolbald Seÿlers, deß Metzgers vndt burgers Zu besagtem Kaÿßerlauthern ehelichem Sohn, als dem Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren: und tugendtsahmen Jungfrauen Anna Margaretha Ahlingerin, herrn Christian Ahlingers, deß Kunst und blumengärthners, auch burgers allhier Zu Straßburg mit der Ehren: vnd tugendsamen Frauen Anna Margaretha Ahlingerin gebohrener Schehrerin, ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
auff Mittwoch den 4.ten Februarÿ Anno 1733 [unterzeichnet] Johann Friederich Seÿler alß Bräutigam oder hochzeiter, Anna Margaretha Alingerin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 121-v n° 452)
1734. Eod. Mittw. [9. Junÿ] sind nach geschehener 2.maliger Proclamation ehelich Copulirt v eingesegnet worden H. Johann Friedrich Seÿler der ledige Ball Meister v. b. alhie, H Joh: Theobald Seÿler b. v. Metzgers zu Kaÿsers Lautern auch Vorstehers des Alldasigen Evangelischen Gemeinde ehl. Sohn, v. Jgfr. Anna Margaretha H Christian Allingers kunst: blumen gärtners auch b. alhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Seÿler alß hoch Zeiter, Anna Margaretha Allingerin alß hochzeiterin (i 126)

Jean Frédéric Seyler devient bourgeois par sa femme trois mois après son mariage.
1734, 4° Livre de bourgeoisie p. 1014
Johann Friederich Seÿler d. ballmeister allhie Von Keÿßerslauthern geg. undt sein ehefr. Anna Marg: Alingerin Von hier geb. erhalt. d. b. umb den neüen b. werden beÿ E. E. Zunfft der freÿburger dienen Jur. et prom. 4.ten Sept. 1734.

La tribu des Fribourgeois cite à comparaître Jean Frédéric Seyler qui exploite une auberge sans être inscrit sur ses registres. Jean Frédéric Seyler demande un délai jusqu’à ce que les affaires de sa fiancée soient réglées. La tribu lui demande de s’inscrire comme cotisant. Il est reçu tributaire le 26 octobre 1734 mais doit encore payer un droit de dispense parce que son certificat n’est pas valide.
1733, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 148-v) Donnerstags den 27.ten Augusti 1733 – Neu Zünfftiger Zud:
Johann Friderich Seÿler, der jetzige Ballmeister citiret, weilen er würtschafft treibet umb sich Zünfftig Zumachen. Ille præsens sagt die Proceß Sachen wegen seiner verlobten und das geschäfft wegen gesuchten burger Rechtens stünden Zu bescheid, bittet Remiss. biß dahin.
Erkandt derselbe wird interim gegen Erlag der 6. lb 14 ß d als Zudiener recipirt vndt Ihme anbenebst injungirt, so bald die Sache wegen deß Burger Rechtens richtig, sich dießorts wiederumb Zustellen und den Lehrbrieff Zu produciren in Ermangl. deßen Er annoch 6. lb d pro dispensat. Zu erlegen schuldig seÿn solle. Ded. prom. et jur. auff diie Ordn. Ille Zahlt auch Stubeng. pro hoc A° 6 ß (dt. Zfft 6 lb 10 ß, prothoc. g. 4 ß, und Stubeng. 6 ß)

(f° 162-v) Dienstags den 26.ten Octobris A° 1734 – Neu Leibz.
Johann Friderich Seÿler der nunmahlige Ballmeister allhier von Kaÿßers Lautern gebürtig Erscheint vnd producirt Zufolg gerichts bescheid vom 27. Aug: 1733 burger Urkund de dato 24. Sept. und 11.t Ejusdem 1734 Krafft deren Er und deßen Ehefrau Anna Margaretha gebohrene Ahlingerin von hier gebürtig das Burger Recht erhalten, bittet demnach ihme das Zunfft Recht Zu Conferiren, producirt Zu dem Ende papÿren attestation de dato 9. Febr. 1733. vermög dessen Er die Würtsch. nach ordnung Erlernet Zu haben beweist.
Erkannt weilen der Producent gleich einem anderen würth offene würtschafft treibet vnd Hochzeiten tractirt, das Productum aber wegen erlernter Würtschafft mit* nicht vor einen Lehrbrieff Zu acceptiren, wohl aber vor einen Geburts brieff Zusehen mithin ihme dießfalls nicht dienlich ist, Alß solle derselbe über die den 27. aug: 1733 allschon erlegte 6 lb 10 ß d annoch die dispensation mit 6 lb d Zu Entrichten Schuldig seÿn. Ded. eod. et jur. auff d. ordn.

Madeleine Dorothée von der Hart, native de Monsheim, et les enfants et héritiers du tailleur Jean Nicolas von der Mühl, de Strasbourg, passent un accord avec Jean Frédéric Seyler, neveu de feue Marie Elisabeth von der Mühl par sa mère, au sujet de la succession de cette dernière.

1745 (1.2.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 46) varia
de dato 1. febr: 1745. – seind ahne dato Zu Endt gemeldt Persönlich kommen und Erschienen die Ehr undt Tugendsahme Jungfrau Magdalena Dorothea von der Hartt, gebürtig von Monsheim ahne der Bremm in der graffschafft Hattenburg gelegen beÿständlich Hn Joh: Jacob Brauten des Schiffmanns und burgers alhier ahne Einem wie auch Mr Johann Friedrich Göbel der Schloßer undt burger Zu Straßburg alß Vogt weÿl. Johann Nicolai von der Mühl deß geweßenen Schneid: und burgers hierselbst Nachgelaßener 3.r Kindter am Andern Theil, dieße Zeigten ahn,
benantlich Jungfr. Maria Elisabetha von der Mühl weÿl. Hn Joh: Philipp von der Mühl deß geweßenen hiesig. Ballmeisters und burgers und auch weÿl. Fr. Anna Gertrude gebohrener von der Hardt beeder verstorbenener Eheleuthen Längst weel. nach Todt verlaßene einzige Tochter und Erbin vor wenigen wochen das Zeitlich auch mit dem Ewigen verwechßelt, und im Ledigen Standte Verstorben, Sie die Comparentin dahero alß Leibliche Schwester solcher Mütterlichen Tochter Mutter seelig, Er der Comparent aber als vogt deroselben Vatters Bruder seel. Kindteren, nebst herrn Joh: Fried. Seiler dem würth und Gastgeber im Ball: hauß auch Burgern Zu Straßburg ebenfalls nomine deßelben abgelebten Mutter abstob: ermeldter verstorbenener Mühlischen Ehefr. seel. Schwester seel Nachgelaßener ehelicher Sohn, die anhiesige Nächste anverwandten undt Erben ab intestato mithin sich solcher Verlaßenschafft pro ratis + eigenthümlichen Zu unterziehen berechtiget seind, solche Verlaßenschafft und die darauß *selben Zufließende Erbschafft aber der Zeit illiquid. und mit + großer Mühe, Versaunmuß und Uncösten liquidiren Erörtern und für getrieben werden muß (…) Alß wollen sie hiermit undt in Krafft deßen Ihme herrn Johann Friedrich Seÿler Ihrem Mit Erben und Mit: Participanten ob: gedacht (…) in Ihr der Comparenten Nahmen solche Verlaßenschafft (…) zu verrichten und zu verhandlen (…)

Anne Marguerite Allinger meurt en 1755 en délaissant cinq enfants dont l’un est mort par la suite. Les experts estiment la maison du jeu de paume à  2250 livres. La masse propre au veuf est de 42 livres, celle propre aux héritiers de 105 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4264 livres, le passif à 4140 livres

1755 (19.3.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 28) n° 399
Inventarium über weÿl. Fraun Annä Margarethä Seÿlerin gebohrener Allingerin, H. Johann Friedrich Seÿlers des ballmeisters und burgers Zu Straßburg geweßener Ehefraun seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1755 – (…) welche am Mittwoch, als den 17. Septembris in dem zu End lauffenden 1755.ten Jahr aus dießer jammer Vollen Welt seel. abgeschieden (…) durch Ihne den Hn Wittiber, wie auch den ältern H. Sohn und Erben und Mariam Magdalenam Eckertin die dienstmagd im hauß von Straßburg gebürtig (geäugt und gezeigt). So beschehen und angefangen, Mittwoch den 19.den des Monats Novembris A° Domini 1755
Denominatio haeredum. Die in Gott ruhende Frau Seÿlerin Eingangs gedacht hat ab intestato zu Ihren wahren und rechtsmäßigen Erben verlaßen wie folgt. Nahmentlichen und 1.mo H. Johann Friedrich J.U. Cand: welcher dem bericht nach den 2. Jan. 1756 das 20.te Jahr seines alters antritt, 2.do H. Johann Carl, welcher die 6.te Class frequentiret, so den 23. 9.bris lauffenden Jahrs das 12.t Jahr seines Alters erreichet, 3.t Johann Christoph welcher in das 11. Jahr seines Alters, 4. Margaretha Friderica so seit dem 2. Maji h. A. das 6.t Jahr seines alters zurückgelegt hat, und dann 5. Catharina Barbara, so in circa 15 Wochen alt worden und nach seiner Mutter ebenfalls dießes Zeitl. gesegnet dahero von dem hinterbliebenen H. Wittiber als Vatter geerbet worden, derowegen solches hieunten beÿ dem Abzug zu observiren (…) In die noch lebende vorherbenannte 4. Kinder und Erben Nahmen aber ist hiebeÿ persönlich zugegen geweßen der Ehrsame und bescheidene H. Johannes Vettermann der burger und Seiler allhier, als dererselben (…) geordnet und geschworener Vogt.

Bericht Solche Verlaßenschafft concernirend. Es hat nemblichen Er der Hinterbliebene Herr Wittiber gleich Anfangs dießer Inventur beÿ Ableßung der heuraths Verschreibung in specie des Par. 3. in welchem beederseiÿt ein ohnverändert Guth, wie auch Ergäntzung von dem abgegangenen und deß die Illata nach Ordnung inventirt werden sollen austruck. stipuliret word. hiebeÿ auch die ane seines wahren Eÿdes statt wurckl. begelegte handtreu, die Versicherung gethan, daß nicht nur allein weder über Ihr beeder geweßener Eheleut in den Ehestand einander Zugebrachte Nahrungen kein Invent. (…)
In einer allhier Zu Straßburg in dem sogenannten Schwabenländel gelegenen das Ballhauß genannten Behausung befunden worden wie folgt
Garten Gewächs, Bäume
(f° 19) Eÿgenthumb ahne häußeren so Theilbar. (T.) Nemlichen eine behaußung beneben dem hinüber befindlichem Gewächs hauß sambt hoffstätten und dem darzwischen gelegenen garthen mit allen übrigen deren Rechten, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten so alles mit einer Maur umbgeben so gelegen ahn dem sogenanndten Schwabenländtlein gegen dem ballhauß hinüber (…)
Item eine behaußung sambt denen darzu gehörigen ballhaüßern, wie auch Hoff und Hoffstatt mit allen deren gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten so gelegen in allhiesiger Vorstatt Krauttenau in dem sogenannten Schwabenländtel hinter dem Waÿßenhauß, einseith neben Johann Georg Rieffel, dem hiesigen Metzger vndt burger uxorio nôe anderseith neben vor: gemeldten Waÿßen: Hauß hinten zum theil auff gedachten waÿßenhauß wie auch zum theil auff den Fruthischen Garthen stossendt, Welche Behauß. cum appertinentÿs durch sie Vorher genandte der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere Vermög dererselben unterem 13. Nov. in Zu Endte Lauffenden 1755.ten Jahr außhändigten: vnd Zu mein deß Notarÿ Invent: Concepto gelüfferten Abschatzung Scheins für freÿ, Ledig vndt eÿgen æstimirt vnd angeschlagen worden für und Umb 4500 Gulden, welche derwegen allhier in Auswurff antreffen benandtlichen 2250 lb. d.
Pro Nota. Die auff solcher behaußung aber der Zeit annoch verzinßlichen Hafftendte Capitalien vndt beschwerdten seind hieunden F° 107.a et seq. hieunten passive Eingetragen Zu befinden. Wie und welcher gestalten aber die nächstvorher gemeldte: das Ball: Hauß genandte behaußung cum appert. auß weÿl. Joh: Philipp von der Mühl deß geweßenen hießigen ballmeisters vndt burgers, vndt deßen hinterlaßener Wb. fr. Annæ Gertrudæ von der Hardt, beide geweßener Eheleuten seel. beschehenes Absterben, nach Todt verlaßene einige Tr. Nahmens Jungfr: Maria Elisab: von der Mühlin nach dero Eltern seel. vndt Zwar in dem Ledigen Standte, erfolgten tödtlichen Hintritt von deroselben sowohl vätter: alß auch Mütterl. Linie ab intestato verlaßene Erben, ahne Ihne den Wr. alß von Vor: ernandter Mühlischen Tr. geschwüsterd. Kindt von Mütterl. Seiths sambt übrigen der Mühlischen Tochter Verlaßenschafft /:weilen aber annoch nicht Liquid., Sintemahlen derhalben mit Hn. Joh: Daniel Euler dem bierbr: zum Spieß undt burgern zu Straßb. Ihro der Mühlischen T.r seel Vogten, annoch procedirt wird:/ eigenthümlichen Erwachßen, Ein solches ist auß denen sub datis 1.ten Febr. u. 9.ten Junÿ in A° 1745 wie auch 2.ten Maji in A° 1746. beschehenen und exped. Cessionen undt Vergleichen mit mehrerm Abzunehmen.
Solle Sonsten über das vorher inv: Ball: hauß vnd deßen Zugehördten Zufolg deß über der Mühlischen Tochter seel. Eltern in A° 1733. von H. Not° Joh: Phil. Lichtenberger errichteten Verl. Inv. fol° 58. besagen Ein in allhieß. C.C. Stuben sub dato 20.t Apr. 1724: außgefertigter vnd mit deroselben anhangendtem insigel verwahrter Perg. Kaufbrieff, so sich aber hiebeÿ nicht befunden. Vndt dan ferner j. teutsche Perg. in allhieß. C.Contract Stuben unterem 15. Oct. in A° 1693. gefert. vnd mit dero Anhang. Ins. bekräfftigte: vndt beÿ solcher Inventur vorgelegten derhalben mit Lit: B. marquirter Kauffbrieff.
Norma hujus inventarii. des Hn Wrs inventirtes ohnveränd. Vermögen, Sa. Baarschafft 5 lb, Erg. 37 lb, Summa summarum 42 lb
Hierauff nun volget die Beschreibung der KK. vnd Erben ohnveränderter Nahrung, Sa. Schulden 68 lb, Ergäntzung 37 lb, Summa summarum 105 lb
Endlichen wirdt die überige Verlaßenschafft vndt zwar nach Anleitung des angeregten berichts samtlichen alß Verändert vnd Theilbar inventirt und beschrieben, Sa. hausraths 265 lb, Sa. Garthen Gewächs bäume und blumen 57 lb, Sa. der Lähren faß und deß weins 55 lb, Sa. Silbers 35 lb, Sa. gold. Ringe 23 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 802 lb, Sa. deß Eÿgenthumb ahne häußern 3000 lb, Sa. Activ schulden 25 lb, Summa summarum 4264 lb – Schulden 4140 lb, Verbleibet 124 lb, Stall summ 151 lb
Abschatzung Vom 13:t Novembris 1755. Auff begehren Herrn Joh. Friderich Seiler des wirths im ballhauß ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem schwaben ländel gelegen einseit neben Johann Georg rieffel dem Metzger, anderseits neben dem weißenhauß und hinten auf den frudischen garten stosend, Solche behaußung bestehet in 4 Stuben 2 Küchen und etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit hohl und breit zieglen belegt, hat auch 2 getrehmte Keller, ein hoff und bronnen, ferner befinden sich 2 ballhäußer worüber die dachstuhl mit breit zieglen belegt, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrnen Werckmeistern nach vorhero beschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtig Keit dem jetzigen werth nach æstimirt vnd angeschlagen Vor und umb Vier tausend fünff hundert gulden [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß münsters, Werner Werckmeister
der Zweÿte begriff (…) [unterzeichnet] Ehrlacher Werck Meister deß münsters, Werner Werckmeister
(Beilagen) – in seinen garten so der störenhoff garten genannt /:im schwabenländel ligend:/ eingefunden, um alle seine befindliche Orangerie und deßen gewächs nach dem stalltax anzuschlagen
Copia der sub dato 6. feb. 1733 errichteten Eheberedung (…) Johannes Lobstein Not.

Compte que rend le boulanger Jean Meyer de la tutelle des biens qui appartiennent aux trois enfants mineurs d’Anne Marguerite Allinger
1762, Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 972) n° 66
Rechnung Mein Johannes Meÿer, des Weißbecken und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Weÿl. Fr. Annä Margarethä Seilern gebohrener Allingerin, mit H. Johann Friderich Seiler, dem ballmeister und burgern allhier ihrem geweßenen Ehemann und respe. hinterlassenem Wittiber ehelich erzeugter dreÿer minorenner Kindern, Nahmentlichen Joh: Carl, Joh: Christoph und Margaretha Friderica, Innhaltend und außweißend waß ich vom 4. Aug. 1760 als ich zu dieser Vogteÿ gelanget biß den 23. Octobris 1762. deßentwegen eingenommen und hienwiederum außgegeben habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

La maison revient à Jean Charles Seyler qui en fait donation onéreuse en cas de survie à sa femme Catherine Salomé Mey, fille du maître maçon Zacharie Mey. Contrat de mariage, célébration

1770 (8.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 560
(Eheberedung) der Ehren: und Vorgeachtete Herr Johann Carl Seiler, der ledige Gastgeber und Ballmeister, Weÿl. herrn Johann Friderich Seilers gewesenen ebenmäßigen Gastgebers und ballmeisters und auch Weÿl. Frauen Annæ Margarethæ gebohrner Alingerin, beeder Ehepersonen und burgere allhier seel. ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter ane einem
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Catharina Elisabetha Meÿin, weÿl. herrn Johann Zachariæ Meÿen geweßenen Steinmetzen, Maurers und burgers allhier seel. mit frauen Susanna Margaretha gebohrner Rußin seiner hinderbliebenen wittib, so nachgehends an weÿl. herrn Johann Michael Starcken, den geweßenen Steinhauer, maurern undt burgern allhier seel. Verehelicht geweßenen, ehelich erzeugte Tochter als hochzeiterin am andern theil
Achtens, declarirt der herr bräutigamb, daß Er im fall vor seiner Jungfer braut alß dießer welt abgefordert würde dero selben ohnerachtet eheliche Kinder hinderließe hiemit seine in Elterlichem Erb eigenthümlich erhaltene ball und gast behaußung mit allen deren Gärten, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg hinder dem Waÿßenhauß, wie solche in seinem erst kürtzlich errichteten Vätterlichen Verlassenschafft Inventario umständlich beschrieben zubefinden, sambt allen darinnen Zur Zeit seines absterbens vorhandenen leeren faßen und allen zu solchem Fall hauß erforderlichen und gehörigen mobilien, ohne einige Außnahm Vor und umb die Summ von 8000 Gulden – So geschehen allhier in Straßburg auff donnerstag den 8. Martÿ anno 1770 [unterzeichnet] Johann Carl Seÿler als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Meÿin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 114)
In dem Jahr 1770 den 11. und 18. Martii auf die Sonntage Reminiscere und Oculi wurden un den Kirchen Zum Alten St. Peter und St. Wilhelm nach Ordnung ausgerufen und Montag den 19. Martii Zu St. Wilhelm Zur Ehe eingeseignet Herr Johann Carl Seiler, der ledige Ballmeister und burger allhier weiland Herrn Johann Friderich Seiler gewesenen Ballmeisters und burgers allhier mit auch weiland frauen Anna Margaretha gebohrner Allingerin ehelich erzeugter und nach tod Verlaßener Sohn, und Jungfrau Catharina Elisabeth, weiland herrn Johann Zacharias Meÿe, gewesenen Maurer Meisters und Steinmetzen mit frauen Susanna Margaretha gebohrne Rußin ehelich erzeugte tochter, dieses bezeugen [unterzeichnet] Johann Carl Seÿler als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Meyin als hochzeiterin (i 120)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 89), Im Jahr 1770 seind Dominica Reminiscere und Oculi proclamirt und darauf zu Sanct Wilhelm copulirt worden Johann Carl Seÿler lediger Ballmeister weiland h. Johann Friderich Seÿlers gewesenen Ballmeisters und burgers allhier hinterlassener ehelicher Sohn und Jgfr. Catharina Elisabetha weiland hr. Johann Zacharias Maÿ gewesenen Maurermeisters und burgers allhier hinterlassene Eheliche tochter (i 92)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du jeu de paume. Ceux du mari s’élèvent à 1 194 livres (actif 6 614 livres, passif 5 433 livres et cadeaux de noces), ceux de la femme à 1 375 livres.

1770 (11.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 274) n° 1205
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, keinerleÿ davon ausgenommen, so der Ehren und Vorgeachtete Herr Johann Carl Seiler der Gastgeber und Ballmeister und die Ehren: und Tugendsame Frau Catharina Elisabetha gebohrne Meÿein, beede Ehepersohnen und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und sich in crafft der mit einander aufgerichtet. Eheberedung §° 4.to vor unverändert vorbehalten haben (…) die Ehefrau mit Assistenz H. Christian David Wagners, des Löbl. Stiffts St. Thomä wohlverordneten Oberschreibers und Burgers allhier fleißig inventirt (…) So beschehen allhier zu Straßburg auf Mittwoch den 11.ten Julÿ 1770.

In einer allhier Zu Straßburg hinter dem Waÿßenhaus Zum Gast und Ball behaußung folgender maßen sich befunden
(f° 9) Eigenthum ane häußern und Gärthen. (H.) Nehml. j. behaußung samt dem dazu gehörig Zweÿen respe. Ball: v. Reitschulhäuser, hoff und hoffstatt, wie auch dabeÿ befindlichen Garten, mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg, und deren Vorstadt Krautenau beÿ dem sogenannden Schwabenländlein, 1. s. neben dem Evangelisch Lutherischen Waÿßenhaus, 2. s. neben H Joh: Jacob Eichborn, dem Metzgern, hinten Zum theil auf gedachtes Weÿßenhauß und Zum theil auf den pfeffingerischen Garten stoßend, so über hernach eingetragene passiv Capitalia gegen männiglichen freÿ, ledig vnd eigen und dermallen samt denen Zu dem Ballspiel gehörigen Mobilien nach der Vätterlichen letzten Willens Verordnung über Abzug derer leeren Faßen so hievor besondern inventirt befindlich, æstimirt und angeschlagen pro 4360. lb
Wie und welchergestalten nechstvorgemelde das Ballhauß genande behaußung cum appertinentiis auf weÿl. Johann Philipp Von der Mühl des geweßenen Ballmeisters und Burgers allhier und deßen hinterlaßene Wittib Fr Annæ Gertrudæ von der hard beschehenes Absterben nach tod Verlaßener einiger Tochter nahmens Mariä Elisabethä Von der Mühl nach derer Eltern im ledigen Stand erfolgten tödlichen hintritt von derselben hinterlaßenen Erben ane des Eheh. leibl. H. Vatters seel. eigenth. erwachßen, solches ist durch denen dedatis 1. Februarÿ vnd 9.ten Junÿ A° 1745. wie auch 2.ten Maÿ 1746. beschehenen und expedirten Cession vnd Vergleichen abzunehmen, sonsten aber über diese behaußung und deren Zugehörd Zufolg über der Von der Mühlischen ältern Tochter in A° 1737 Von H. Not° Philipp Lichtenberger errichteter Verl. Invii fol. 58. et seqq. besagenden teutscher pergamentenem Kauffbrieff in allhiesiger C. C. stub gefertigt, und mit deren anhangendem Insiegel verwahret datirt den 20. Aprilis 1724. so dann ferner j. teutscher pergamentener Kauffbrieff allda gefertiget dedato 15.ten 8.bris A° 1693.
(f° 9-v) (H.) It. 11/18.t theil vor unvertheilt, davon die übrige 7/18.te theil des Eheh. Geschwistrigen Zuständig Von und ane j.r behaußung nebst dem dagegen über befindlichen Gewächshauß
allh. zu Straßburg und deren Vorstadt Krautenau neben genannten Schwabenländlein (…)
(f° 10) (F.) It. 1/3.ter theil Vor unvertheilt, davon die übrige 2/3 der Ehefrauen leibliche Vollbändigen Geschwistrigen eigenthümlich zuständig sind, Von und ane einer Vorder: und hinder behaußung, hoff und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Hannengaß, 1.s neben denen Magerischen Erben, 2.s neben der Gastherberg Zum rothen haanen hinterhauß, hinten auf das Magnetengäßlein stoßend dahin es auch einen Ausgang hat, so freÿ, ledig und eigen und vermög Kindervertrags vom 4.ten. 7.bris 1755 ohnpræjudicirlich ausgeworfen 2500. lb, daran die hiehero gehörige dritte theil ausmacht 833. lb. Darüber vorhanden i. teutsch. perg. Kffbrieff in allh. C.C. stub gefertiget undt m. deren anhangendem Insieg. corroborirt de dato 7.ten 8.bris 1737., Ferner I. teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff dat. d. 11. Maÿ 1728. Weiter 5. alte teutsch pergamentene Kaufbrief in allh. C.C. stub gef. respe. de datis den 18.t X.bris 1714, 16.ten Junÿ 1690, 5.ten Maÿ 1660, 18.ten Julÿ 1650 et 2.ten 8.bris 1693. So dann I. Extractus aus allhies. C.C. stub gefertiget v. m. deren vorgedrucktem Pittschafft verwahrt de dato 10.ten 8.bris 1741 auweislich deßen die auf dieser behausung gestandenen 1. lb 19. ß 1. d bodenzinß mit 150. lb der Thomcapituliche Stift allhier abgekauft worden
Leibgeding, welches der Eheherr mit herrn Johann Georg Hetzeln dem Rothgerber und bederbereitern auch burgern allhier errichtet hat. Nemlichen zu folg eines vor H. Johann Heinrich Thenn Notario publico jurato et Practico allhier den 8.ten Martÿ A° 1770 alßo annoch vor dißorts beeden Ehepersonen Copulation vorgegangenen und beÿ E.E. Großen Rhats den 10.ten ejusdem mensis et anni salvo jure quovis confirmirten Leibgedings hat gedachter herr Johann Georg Hetzel ihme dißorts Ehemanns gegen præstirtender lebenslänglicher Verpfleg: und unterhaltung in costen, Losament und Kleÿdung in gesund und Krancken tagen (…) Und bestehet sein Herrn Hetzels dato abgetrettene Massa unter anderen auch in folgenden beeden Immobilien als, Nehml. ¼. theil vor unvertheilt Von und ane j. beh. Hoffstatt V. Garthen
beÿ denen mühlen Zwischen denen 2.n Gießen gegen der Müntzmühl hinüber (…)
(f° 10-) Leibgeding
(f° 11) Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Eheherrn unverändert in die Ehe gebracht guth, Sa. Hausraths 229, Sa. Weins und leerer Faß 1037, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. baarschafft 65, Sa. Eigenthums ane häußern und Gärthen 5185, Sa. Schulden 67, Summa summarum 6614 lb – Schulden 5433 lb, In Vergleichung verbleibt 1180 lb – Helffte ane denen Haussteuren 13, des Ehehern gesamte in die ehe gebrachte Nahrung 1194 lb
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußraths 49, Sa. Silbers 4, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 504, Sa. antheils ane einer behaußung 833, Summa summarum 1392 lb – Schulden 31, Nach deren Abzug 1361 lb – Helffte ane denen Haussteuren 13, der Ehefraun gesamte in die Ehe zugebrachte Nahrung 1375 lb

1769, Protocole des Quinze (2 R 180) Table – Umbgeld Johann Carl Seiler. 425. (page manquante)

Jean Charles Seyler loue une des salles du jeu de paume au sellier Chrétien Güntzroth pour y remiser des carrosses.

1770 (2.3.), Not. Humbourg (6 E 41, 137)
Bail pour 2 années qui commencent a la notre dame de Mars prochaine – S Jean Charles Seyler Mr du Jeu de paulme de cette ville
au S. Chrétien Güntzroth Bourgeois maître sellier de cette ville
Sçavoir le vieux Jeu de paulme a côté du Jeu de paulme actuel derrière l’hopital des orphelins pour Servir au preneur de remises pour y mettre des carosses voitures et autres equipages – moyennant un loyer de 248 livres pour les deux années

Jean Charles Seyler se remarie avec Marguerite Barbe Herr, fille du cordier Jean Frédéric Herr : contrat de mariage, célébration
1772 (20. 8.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 591
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen der Wohl Ehrenvest und vorgeachte Herr Johann Carl Seiler, der Gastgeber Ballmeister und burger allhier Zu Straßburg der Wittwer und hochzeiter mit Assistenz S. T. Herr Christian Daniel Wagners wolverordneten Oberschreibers des Löbl. Stiffts St. Thomä allhier ane Einem
So dann die Ehren: und tugendbegabte Margaretha Barbara Herrin, H Johann Friderich Herr, des Seiler Meisters und Todtenträgers auch burgers allhier mit weÿland Frauen Margaretha Barbara gebohrener Blöchelin seiner erstern Ehegattin seel. ehelich erzeugte Tochter, als hochzeiterin mit beÿstand erstgemelten ihres leiblichen Vatters, und H. Andreas Pfitzer des Gimpel Käuflers und burgers allhier ihres dato annoch ohnentledigten Vogts am andern Theil
So geschehen allhier zu Straßburg auff Dienstag den 20. Octobris 1772 [unterzeichnet] Johann Carl Seyler als Hochzeiter, Margaretha Barbara herrinn als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 157-v n° 30)
In dem Jahr 1772 den Ersten und Achten Novembris (…) Ausgerufen und Montag den 9. ejusdem Zu St: Wilhelm Zur Ehe eingesegnet Herr Johann Carl Seÿler, Ballmeister und burger allhier Wittwer weiland Frauen Catharina Elisabeth, geborner Meÿin, und Jungfrau Margaretha Barbara, Johann Friderich Herr, Seilers und burgers allhier mit weiland frauen Margaretha Barbara geborner Bloechlerin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Carl Seyler als Hochzeiter, Margaretha Barbara herren als hochzeiterin (i 167)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du jeu de paume. Ceux du mari s’élèvent à 1 194 livres (actif 6 177 livres, passif 4 409 livres et cadeaux de noces), ceux de la femme à 302 livres.

1772 (26.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 276) n° 1285
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wohl Ehren und Wohlvorgeachtete Herr Johann Carl Seiler, der Gastgeber und ballmeister und die tugendbegabte Frau Margaretha Barbara gebohrne Herrin, beede Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, und in craft der mit einander errichteten Eheberedung §° 4.to für unverändert vorbehalten haben (…) die Ehefrau mit beÿstand des Ehrengeachteten Andreas Pfützers des Gimpelkäufflers und burgers hieselbst, deroselben geordnet: und noch ohnentledigten Vogts – So geschehen allhier zu Straßburg auff Donnerstag den 26.ten Novembris Anno 1772.

In einer allhier zu Straßburg ane der Vorstadt Crautenau gelegenen Zum ballhauß genanden Gast behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthum und Antheil ane Häußern. (H) Neml. ein behaußung samt dem dazu gehörigen Ballhauß und Remises, wie auch hoff und hoffstatt nebst dem daran liegenden Garten, mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, und deren Vorstadt Crautenau, beÿ dem sogenanden Schwabenländlein, einseit neben dem Evangelisch Lutherischen Weisenhaus, 2. s. neben H. Joh: Jacob Eichborn, dem Metzgern allhier, hinten Zum theil auf gedachtes Weißenhauß und Zum theil auf den Pfeffingerischen Garten stoßend, so über hernach eingetragene Passiv Capitalia gegen männiglichen freÿ, leedig vnd eigen, und ohnpræjudicirlichen samt denen Zu dem Ballspiel gehörigen Mobilien wie der Ehemann solche in der Vätterl. Abtheilung durch die Vätterl. Verordnung mit einbegriffen derer leeren Faß angenommen hat angeschlagen pro 8900. fl. Davon ab der damalige Werth derer nun hinder inventirten leeren Faßen so antrifft 180 fl. Abgezogen restirt 8720 fl. oder 4360 lb.
Wie und Welchergestalten vorher beschriebene Ballbehaußung cum app. ane weil. H. Joh. Friderich Seilern dißort Leibl. Vatter gelanget ist, weisen die Cession und respe. vergleich vom 1. Febr. v. 9.ten Jun. 1745. wie auch 2.ten Maÿ 1746. Sonsten aber ist vorhanden j. teutsch. perg. Kffbrff in allh. CC. stub gef. u. m. deren anhangenden Insiegel verwahret dat. d. 20. Apr. 1724. So dann j. dgl. ält. Kffbr. dat. d. 15.ten 8.bris A° 1693.
(H.) It. 1/3. vor unverth. davon die übrige 2/3. thl. dißorts Ehem. erster Ehefr. seel. Leibl. vollbändigen Geschwistrigen Zuständig sind, von: und ane j.r Vordern v. hintern beh. auch neb. Gebäud. hof V. hoffstatt mit allen deren begriffen Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, geleg. allh. zu Str. ane d. hahnengaß, 1.s neb. den. Magerischen E. modo H. Lt. bauer, v. deßen geschwüstrige, 2.s neb. d. Gastherberg Zum rothen haanen hinterhauß, das hintere Gebäud auf das Magneten Gäßlein, dahin es auch einen Ausgang hat, so ebenmäßig außer hernach eingetragenem Passiv Capital. freÿ, leedig, eigen und ohnpræjudicirlich hiehero angeschlagen, die gantze beh. gerechnet, pro 3000. lb Daran der hiehero gehörige dritte theil ausmacht 1000 lb. Darüber vorhanden j. teutsch. perg. Kfbrieff in allh. C.C. stub gef. dat. d. 7.ten 8.bris 1737., Weiter sechs andere ältere perg. Kfbrief allda gef. dat. respe. d. 11. Maÿ 1728. 18.t X.bris 1714, 16.ten Junÿ 1690, 5.ten Maÿ 1660, 18.ten Jul. 1650 v. 2.ten 8.bris 1693. nebst deme weißet I. aus allh. C.C. stub gef. Extractus mit deren vorgedrucktem Pittschafft verwahrt de dato 10.ten 8.bris 1741 wie die auf der behausung gestandene 1. lb 19. ß 1. d bodenzinß mit 150. lb dem Dom Capitulischen Stift allhier abgekauft worden. Sonsten wird berichtet, daß dieße Tertz dißorts Ehemann von Weil. Fr. Catharina Elisabetha geb. Meÿein, der j.en Ehefr. seel. craft der mit ihro vor mir Not° den 8.ten Martÿ 1770 errichteten Eheberedung §° 9° mit Vorbehalt derer Mütterl. Legitimæ eigenthümlich Zugekommen und betreffend die erstgemelte Mütterl. Legitimæ, so zeiget Cession Vor mir Not° d. 30.ten April 1772. passirt wie solche Fr. Susanna Marg. Starckin gebohrne Rußin solche ihme eigenth. überlaßen und abgetretten habe.
Wÿdems Verfangenschaft, Welchen Mstr Joh: Friderich Herr der Seiler und burger alhier der Ehefrauen Leibl. Vatter Zeit lebens Zugenießen berechtiget ist. Nehmlichen es solle derselbige seiner andern tochter Erster ehe mit nahmen Jgfr. Maria Salome Herrin inhalt hievor mehr allegirter Abrechnung über weiland Fr. Margaretha Barbarä gebohrner Blöchelin sein Meister Herr Ersterer ehefrauen seel. Verlaßenschafft dh. mich Notarium d. 12.ten 9.bris 1772 nach dem darüber beÿ E. Löbl. Vogteigericht errichteten Kinder Vertrag gefertigt vor anerstorben Mütterlich Guths, 195 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Ehemanns Guths anlangend, Sa. Hausraths 282, Sa. Weins und leerer Faß 267, Sa. silbers 35, Sa. baarschafft 66, Sa. Eigenthums und antheils ane Häußern 5360, Sa. Schulden 166, Summa summarum 6177 lb – Schulden 4409 lb, Nach deren Abzug 1767 lb – Helffte ane denen Haussteuren 17 lb – Des Ehemanns gesamte Nahrung 1785 lb
Der Ehefrauen Vermögen betreffend, Sa. hausraths 8 ß, Sa. baarschafft 130, Sa. Schulden 12 lb, Summa summarum 142 lb – Helffte ane denen Haussteuren 17 lb – Der Ehefrauen gesamt in die Ehe gebrachte Gut 302 lb

Liquidation sommaire de la succession de Marguerite Barbe Herr, morte en délaissant une fille
1773, Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 277) n° 1313
Summarische berechnung über Weÿl. Fraun Margarethæ Barbaræ gebohrener Herrin herrn Johann Carl Seilers, des Gastgebers und ballmeisters auch burgern allhier geweßenen Ehegattin seel. Verl. nach dem tall tax ein: und auffgerichtet.
Nemlichen es ist fordersambst mit bericht anzuführen, daß gedachte Ehegattin mit welcher der Wittiber nur in 2.ten Ehe gelebet den 11.ten aug. A° 1773 mit hinterlassung eines einigen töchterleins Carolina Barbara genand dieses Zeitliche gesegnet habe, welcher Erbin Andreas Pfitzer, der Gimpel Käuffler und b. allh. zu einem geschwornen Vogt geordnet worden ist, Es hat auch dieselbe mit dießem ihren hind.bliebenen w. vor mir Notario und Gezeugen den 20.t 8.bris A° 1770 eine Eheberedung errichtet, nach welcher die nun Zertrennten beede Ehepersonen sich §° 4° ihre verändert zu gebracht und während Ehe ererbte Güther außer ihrer Kleÿdung und weiß Gezeug (…) vorbehalten

Jean Charles Seyler se remarie avec Catherine Barbe Strintz, fille du farinier Jean Strintz : contrat de mariage, célébration
1774, Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 606
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen der Wohl Ehrenvest und achtbare Herr Johann Carl Seiler, der Wittwer, Gastgeber, Ballmeister und burger allhier als hochzeiter mit beÿstand zu end gemeld ane Einem
So dann die Viel Ehren: und tugendsame Jungfrau Catharina Barbara Strintzin, des Ehrengeachteten Herrn Johannes Strintzen, des Meelhändlers und burgers allhie in erster Ehe ehelich erzeugte Tochter, als hochzeiterin mit assistentz deßen und auch nachgenannder Personen, am andern Theil
[unterzeichnet] Johann Carl Seyler als Hochzeiter, Catharina Barra Strintzin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 182 n° 9)
In dem Jahr 1774 (…) und Montag den 7. Martÿ in der Kirche Zu St. Wilhelm ehelich eingesegnet worden H: Johann Carl Seÿler, der Statt Ballmeister, gastgeber und burger allhier, Wittwer weiland Frauen Margaretha Barbara gebohrner Herrin, und Jungfrau Catharina Barbara gebohrne Strintzin, Johannes Strintz Meelhänders und burgers allhier mit Weiland Catharina Barbara geborhner Weltzin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Carl Seyler als Hochzeiter, Catharina Barbara Strintzin herren Als hochzeiterin (i 191)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du jeu de paume. Ceux du mari s’élèvent à 2 544 livres (actif 6 516 livres, passif 4 002 livres et cadeaux de noces), ceux de la femme à 455 livres.

1774 (23.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 278) n° 1349-b
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wol Ehren und Wolvorgeachtete Herr Johann Carl Seiler, der Gastgeber und ballmeister und die Viel Ehren: und tugendbegabte Frau Catharina Barbara gebohrne Strintzin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe Zugebracht, und craft der vor mir dem unterschriebenem Notario den 11. ten Februarÿ an Zu end stehendem Jahr errichteten Eheberedung §° 4.to vor unverändert vorbehalten haben (…) die Ehefrau unter assistentz des Wol Ehren Vesten und Vorachtbahren Herrn Johann Christian Cullmann des Burgers und Sattlermeisters ihres Hn Vettern – So beschehen allhier zu Straßburg Samstag den 23.ten Aprilis Anno 1774.

In einer allhier zu Straßburg gelegenen Zum Ballhauß genanden dem Ehemann eigenthümlich zuständigen Gastbehaußung so nach folgender maßen sich vorgefunden
Eigenthum Häußern. (M) Nemlichen eine behaußung samt dem dazu gehörigen Ballhauß und Remise, wie auch Hoff und Hoffstatt nebst dem daran liegenden Garten, mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, und deren Vorstadt Crautenau, beÿ dem sogenanden Schwabenländlein, einseit neben dem Evangelisch Lutherischen Weißenhaus, anderseit neben Herrn Johann Jacob Eichborn dem Metzgern allhier, hinten Zum theil auf gedachtes Weißenhauß und Zum theil auf den sogenanden Pfeffingerischen Garten stoßend, so über hernach eingetragene Passiv Capitalia gegen männiglich freÿ leedig vnd eigen, und ohnpræjudicirlich. samt denen Zu dem Ballspiel gehörigen Mobilien, wie der Ehemann solche in der Vätterlichen Abtheilung durch des Vatters seeligen Disposition mit einbegriff derer leeren Faßen angenommen hat, angeschlagen pro 8900. fl. Davon ab der damalige Werth derer leeren Faßen, welche ihme Ehemann mit überlaßen worden und hievor separaté eingetragen sind, ist 180 fl. (restirt) 8720 fl. In abgang deren dem Ehemann ane dem Haußanschlag übrig verbleibt 4360 lb.
Wie und Welchergestalten des Ehemanns Vatter seelig solche Behaußung cum appertinentiis an sich gebracht hat und dazu gelanget ist, das zeigen Cession und respective vergleich vom 1. Febr. und 9.ten Jun. A° 1745. wie auch den 2.ten Maÿ 1746. mit mehrerm an, ansonsten aber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger CC. stub gefertiget und mit deren anhangend. Insiegel verwahret dedato 20. April. 1724. und dann ein älterer Pergamentener Kauffbrieff vom 15.ten Octobris 1693.
(M.) Item ein dritter theil vor unvertheilt davon die übrige 2/3. theil des Ehemanns Erstern Ehefrauen Weiland Catharina Elisabetha gebohrner Meÿin seel. leiblichen Vollbändigen Geschwistrigen Zuständig sind, von und ane einer fordern: und hindern behaußung auch nebens Gebäuden Hofe und Hoffstatt mit allen deren begriffen Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Hahnen Gaß, 1.s neben denen Magerischen Erben, modo H. Lt. Bauer und deßen Geschwüstrigen 2.s neben des Gasthaußes Zum Rothenhahnen hinterhauß, das Hinter Gebäud aber auf das Magneten Gäßlein, dahin es auch einen Ausgang hat, stoßend, so ebenfalls außer denen hernach inserirten Passiv Capitalien freÿ, leedig und eigen und ohnpræjudicirlich hiehero angeschlagen, um 3000. lb. Woran der hiehero gehörige Antheil ausmacht 1000 lb. Darüber ist vorhanden ein teutsch. perg. Kaufbrieff in allh. C.C. stub gef. dat. d. 7.ten 8.bris 1737., weiter sechß andere ältere pergamentene Kaufbrief allda gefertigt. dat. respe. d. 11. Maÿ 1728. 18.t X.bris 1714, 16.ten Junÿ 1690, 5.ten Maÿ 1660, 18.ten Jul. 1650 und 2.ten 8.bris 1693. nebst deme weißet ein aus allh. C.C. stub gefertigter Extract mit deren vorgedrucktem Pittschafft verwahrt, de dato 10.ten Octobris 1741, wie daß die auf der behaußung gestandene 1. lb 19. ß 1. d bodenzinß mit 150. lb dem Dom Capitulisch. Stift allhier abgekauft worden. Sonsten wird berichtet, daß dieße tertz dißorts Ehemann von Weiland Fr. Catharina Elisabetha geb. Meÿein, der Ersten Ehefraun seel. craft der mit ihro Vor mir Notario den 8.ten Martÿ 1770 errichteten Eheberedung §° 9° mit Vorbehalt derer Mütterl. Legitimæ eigenthümlich Zugekommen, und betreffend die erstgedachte Mütterl. Legitimæ, so Zeiget Cession von mir Notario d. 30.ten Aprilis 1772. passirt, wie solche Fr. Susanna Margaretha Starckin gebohrne Rußin gedachter Ersterer Ehefraun seel. Leibl. Mutter solche ihme eigenthümlich überlaßen und abgetretten habe.
Series rubricarum, des Ehemann Nahrung, Sa. Haußraths 219, Sa. Weins und leerer Faß 523, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 52, Sa. baarschafft 18, Sa. Eigenthums und antheils ane Häußern 5360, Sa. Schulden 343, Summa summarum 6516 lb – Schulden 4002 lb, Conferendo verbleibt 2513 lb, Dazu komt die Helffte ane denen Haussteuren 30 lb – Des Ehemanns gesamte Nahrung 2544 lb
Der Ehefrauen Zugebracht Vermögen, Sa. hausraths 69, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. Golden geschmeids 33, Sa. Schulden 77, Sa. baarschafft 238, Summa summarum 424 lb – Hierzu komt die Helffte ane denen Haussteuren 30 lb – Der Ehefrauen gesamt in die Ehe gebrachte Gut 455 lb

Caroline Barbe Seyler fait dresser un inventaire de séparation de biens dans la maison
1813 (24.6.), Strasbourg 12 (51), M° Wengler n° 7620
Inventaire de séparation de Caroline Barbe Seyler femme de Jean Baptiste Gerval ci devant négociant
dans la demeure rue du Jeu de Paume n° 53
suivant jugement au Tribunal Civil du 30 mai dernier, Contrat de mariage dressé par M° Greis le 20 juin 1793
1200 fr, dot de son père 3030 fr, ensemble 4230 fr
Enregistrement, acp 122 f° 158 du 25.6.

Jean Charles Seyler meurt en 1814 en délaissant pour héritiers sa fille et les enfants de celle-ci. La description des lieux montre que la maison ne sert plus d’auberge.

1814 (26.8.), Strasbourg 12 (56), M° Wengler n° 8353
Inventaire de la succession de Jean Charles Seyler, propriétaire décédé le 11 août 1814 dans la maison mortuaire rue du Jeu de Paume n° 53, dressé à la requête de Caroline Barbe née Seyler femme séparée quant aux biens de Jean Baptiste Gerval négociant, Frédéric Sigismond Simon, graveur tuteur établi par Jean Baptiste Charles Simon propriétaire son oncle à 1. Jean Baptiste Charles, 2. Auguste Frédéric et 3. Caroline Gerval issus dudit Jean Baptiste Gerval et de Caroline Barbe née Seyler, suivant testament olographe du 22 avril 1813 la femme Gerval héritière pour moitié et les enfants Gerval pour l’autre moitié, en présence de François Antoine Noetinger notaire à Molsheim, subrogé tuteur
immeuble, une maison située à Strasbourg rue du Jeu de Paume n° 53 consistant en une maison d’habitation sur le devant à deux étages, cave au dessous et grenier au dessus, un bâtiment latéralement à la droite à deux étages renfermant des cuisines, chambre et greniers qui tous prennent jour sur la cour et le jardin, un petit bâtiment latéralement à la gauche longeant la rue et donnant sur un autre petit bâtiment qui fait face à la cour renfermant le premier un corridor et celui ci une chambre de domestique et petite cave au dessous un autre bâtiment a la gauche à la suite de ce dernier bâtiment et au fond de la cour contenant cave et grenier au dessus un pavillon au fonds du jardin à un étage rez de chaussée au dessous et un grenier au dessus, cour à la suite et près de la grande maison d’habitation qui en tournant vers la gauche conduit de ce bâtiment a celui qui se trouve a l’extrémité, Pompe au milieu de cette cour en face du bâtiment principal deux jardins potagers et emplantés de piés de vignes au milieu de ces bâtiments et cour pressoir et tous autres droits, conditions, servitudes actives et passives, aisances, appartenances, dépendances le tout en un seul clos, d’un côté la maison des orphelins, de l’autre un nommé Lang en partie Sr Schneegans et Hauffé, derrière des bâtiments appartenant à l’hospice des orphelins, en observant à l’égard du jardin de derrière que la séparation en planches du jardin Schneegans et Hauffé est et doit etre entretenue à frais communs entre les propriétaires des héritages respectifs, estimée 24.000 francs – recueilli dans la succession de Jean Frédéric Seyler son père par disposition testamentaire reçue M° Daudel, inventaire des apports de Jean Charles Seyler et Marguerite Barbe née Herr reçu M° Daudel le 26 novembre 1772. Ledit immeuble est avenu au défunt Jean Frédéric Sayler par deux cessions et transactions des 1 février et 9 juin 1745
mobilier, dans une chambre au rez de chaussée près des escaliers et à côté de la cuisine, dans un grand appartement au rez de chaussée à la gauche en entrant, dans la chambre de derrière donnant sur ledit vestibule, dans la chambre garnie éclairant par deux croisées sur la cour, dans la chambre à côté de la précédente, dans la chambre au second étage éclairant sur la cour, dans l’antichambre éclairant sur la cour, dans la première antichambre éclairant sur ladite cour, dans une chambre au second étage ayant vue sur la cour, dans la chambre du milieu éclairant sur la rue, dans l’antichambre, dans une chambre au fonds du vestibule au second étage éclairant par ue croisée sur la cour, dans la chambre à la suite, Au pavillon de derrière dans le sallon au rez de chaussée, dans le salon au premier étage dudit pavillon, dans le pavillon latéral éclairant sur le jardin, dans l’antichambre, total de la première vacation 1932 francs
dans la cuisine au rez de chaussée éclairant sur la cour, dans un petit bâtiment dans la cour à gauche en entrant, dans une chambre a côté de celle qui renferme les objets ci dessus, dans une petite chambre au rez de chaussée de la grande maison a côté du vestibule ayant vue sur la cour, au grenier, dans la cour, dans la cave sous le grand appartement de la maison de devant, dans la cave sous le bâtiment latéral à la gauche au fonds de la cour, dans la troisième cave dessous le bâtiment latéral dans la cour en deçà de la précédente, total des deux vacations 6785 fr
dans la chambre qui contient le coffre fort au premier étage ayant vue par une croisée sur la cour, dans une petite chambre a la suite éclairant par une croisée sur ladite cour 7869 fr
numéraire 1576 fr, dettes actives 21.933 fr, dettes douteuses 640 fr, total de la masse mobilière 32.019 fr – passif 1557 fr
Enregistrement, acp 125 f° 71-v du 30.8.

Caroline Barbe Seyler, femme de Jean Baptiste Gerval, et ses enfants vendent par adjudication la maison au boucher Jean Pierre Schneider

1816 (19.9.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 87, n° 29
par devant M Thieriet de Luyton juge au Tribunal Civil de Première Instance commissaire en cette partie, vente et adjudication dont la teneur suit. Cahier des charges à la requête de Caroline Barbe Seyler épouse de Jean Baptiste Gerval négociant, ayant pour avoué M. Jean Frédéric Lauth demeurant en cette ville derrière St Nicolas n° 26, en présence de Sr Frédéric Sigismond Simon graveur tuteur établi aux deux enfants mineurs des conjoints Gerval et de M° Noetinger notaire à Molsheim en qualité de subrogé tuteur des mêmes enfants mineurs pour lesquels occupe M° Klauhold leur avoué demeurant rue de l’Ail n° 12, colicitants en vertu du jugement du Tribunal Civil de Première Instance du 22 septembre 1814 ainsi que d’un autre jugement du 1 mai 1815 portant entérinement d’un rapport d’experts, vente et adjudication de la maison appartenant par moitié à la D° Gerval et par moitié à ses enfants comme l’ayant héritée de leur père respectivement grand père feu Jean Charles Seyler
à M° Munschina. Déclaration de command du 18 juillet au nom de Jean Pierre Schneider, boucher – moyennant 30.400 francs
Désignation de l’immeuble, ladite maison est située à Strasbourg rue du Jeu de paume n° 53, d’un côté la maison des orphelins, de l’autre celle appartenant aux Sr Lang, Haufé et Schnéegans, derrière les bâtiments de la maison des orphelins
elle consiste 1. en une maison principale à rez de chaussée en maçonnerie et deux étages en galendure, le tout couvert d’un comble uni, le rez de chaussée contient une cave solivée un vestibule et deux chambres avec cage d’escalier, le premier étage contient quatre chambres, vestibule, cuisine et les latrines, le deuxième étage contient six chambres et deux décharges, un vestibule avec latrines,
2. un pavillon adossé au bâtiment précédent a rez de chaussée et deux étages en charpente, terminé d’un uni toit, le rez de chaussée de ce bâtiment contient un sallon, vestibule avec escalier deux chambres et une cuisine voutée, le premier étage est distribué en cinq chambres avec cage d’escalier, le deuxième étage contient vestibule et cinq chambres,
3. une galerie adossée au bâtiment principal reposant sur poteaux et couvert d’un comble uni, cette galerie sert de communication au bâtiment suivant,
4. un bâtiment à rez de chaussée en charpente terminé d’un uni toit le rez de chaussée contient une cave solivée et deux chambres,
5. un bâtiment à rez de chaussée en maçonnerie servant de cave, d’un premier étage en galendure servant de grenier à foin couvert d’un comble uni,
6. un bâtiment à rez de chaussée, galerie servant d’écurie couvert d’un uni toit [corrige : demi toit],
7. un bâtiment a rez de chaussée et premier étage en galendure terminé d’un comble uni, Le rez de chaussée contient extérieurement une loge d’escalier et intérieurement un sallon, le deuxième étage contient également un sallon cet immeuble qui a une cour avec puits et deux jardins avec treillage en vignes, est estimé à 18.000 francs, fait le 8 mai 1816
Adjudication préparatoire du 27 juin – Adjudication définitive du 18 juillet

Fils du boucher Georges Jacques Schneider de Landau, Jean Pierre Schneider épouse en 1782 Marguerite Madeleine Sebert, fille du marchand de fer Jean Sebert : contrat de mariage, célébration (le livre de bourgeoisie manque pour cette période)
1783 (5.2), M° Zimmer (6 E 41, 1445) n° 260
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Peter Schneider der burger und Metzger allhier, weiland H. Georg Jacob Schneider gewesenen Metzgers Zu Landau mit Frn Maria Sibÿlla gebohrener Hagin ehelich erzeugter Sohn, als Hochzeiter ane Einem
So dann Jungfrau Margaretha Magdalena Sebertin weiland Johannes Sebert des gewesenen Eisenhändlers und burgers allhier mir weiland Fr. Margaretha Elisabetha Zipfin ehelich erzeugte Tochter als Hochzeiterin ane dem andern Theil
Straßburg den 5. Hornung Anno 1783 [unterzeichnet] Johann Peter Schneider als hochzeiter, Margaretha Magdalena Sebertin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 109-v)
Im Jahr 1783. Montags den 10. Mertz vor Mittag um eilf Uhr sind (…) ehelich eingesegnet worden Johann Peter Schneider lediger Metzger und burger allhier von Landau gebürtig, weiland Georg Jacob Schneiders gewesenen Metzgers Gastgebers und burgers daselbst und Frauen Maria Sibÿlla gebohrener Haagin ehelicher Sohn, Und Jgfr. Margaretha Magdalena Seberin Johannes Sebers, vormahligen Eisenhändlers und burgers allhier und weiland Frauen Margaretha Elisabeth gebohrener Zipfin eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Peter Schneider als hochzeiter, Margaretha Magdalena Seberin als hoch Zeiterin (i 111)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison proche du jeu de paume. Ceux du mari s’élèvent à 417, ceux de la femme à 791 livres.
1786 (16.6.), M° Zimmer (6 E 41, 1437) n° 740
Inventarium über Herrn Johann Peter Schneider, des Metzgers, und Frn. Margarethä Magdalenä gebohrener Sebertin, beder Ehegatten und Burgere alhier Zu Straßburg einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1786. (…) in ihren den 10.ten Martii 1783. angetrettenen Ehe einander vor unverändert Zugebracht. Welches Vermögen auf Ansuchen beder Ehegatten und Zwar der Ehefr. beiständlich H. Daniel Fritz, des Zimmermeisters und burgers alhier inventirt (…) So geschehen alhier Zu Straßburg den 16.ten Junii 1786.
In einer alhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau bei dem Ball-Haus gelegenen nicht hiehero gehörigen behausung befunden worden wie folgt
(f° 5) Eigenthum ane einem Metzig-Banck (M.) Nemlich ein Metzig banck samt Känsterlein, Waag und Gewicht unter der grosen Metzig (…)
(f° 6-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Guths, Sa. Haußraths 85, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 18, Sa. Baarschafft 325, Sa. Eigenthums ane einem Metzigbanck 1800, Summa summarum 2228 lb – Schulden 1830, Nach deren Abzug 398, Hierzugerechnet sein des Ehemanns Helfte an denen Haussteuren belangend 19 lb, des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Guth 417 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehegebrachtes Guth beschrieben, ß haußraths 85, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 8, Sa. Golds 28, Sa. baarschafft 650, Summa summarum 771 lb – Hierzugerechnet ihr der Ehefrauen Helfte an denen Haussteuren belangend 19 lb, dee Ehefraun in die Ehe gebrachtes Guth 791 lb

Les héritiers de Jean Pierre Schneider conviennent d’un partage. Son fils Jean Pierre Schneider cède à son beau-frère Jean Georges Nied la moitié de la maison du jeu de paume.

1840 (23.6.), Strasbourg 10 (97), Me Zimmer n° 3606
Transaction – Jean Georges Niedt, boucher, veuf de Marguerite Madeleine Schneider, et Jean Pierre Schneider fils aussi boucher, ont exposé ce qui suit. Feu Jean Pierre Schneider boucher, père de la défunte D° Niedt et de M. Schneider, a abandonné à M. Nied son gendre le 11 septembre 1820 son établissement de boucherie. Celui ci l’a exploité depuis cette époque conjointement avec son fils et par son activité et son industrie il a non seulement conservé l’achalandage mais a même considérablement amélioré les affaires dudit établissement. Tous les produits de cet exploitation ont été chaque fois versées à M. Schneider père et il s’était alors établi une masse commune entre lui et les époux Niedt avec lesquels il demeurait en sorte qu’aujourd’hui la succession de de M. Schneider doit au sujet du versement de ces produits une indemnité à la communauté de biens. M. Schneider père a laissé pour seuls héritiers son fils et la D° Nied. Celle ci étant également décédée a laissé pour seuls héritiers son frère ledit Schneider comparant, M. Nied son veuf a droit, en vertu de son contrat de mariage reçu M° Zimmer le 8 décembre 1817 à la moitié des biens dont se compose la communauté
à M. Niedt
1. la moitié indivise avec M. Schneider d’une maison sise à Strasbourg rue du Jeu Paume n° 53, d’un côté l’ancienne maison des Orphelins, de l’autre les Sr Latscha et Faes, derrière le bâtiment de l’ancienne maison des Orphelins – de la succession de Jean Charles Seyler, propriétaire, échu pour moitié à Caroline Barbe sa femme épouse de Jean Baptiste Gerval, négociant et moitié aux enfants desdits époux Gerval suivant testament olographe du 22 avril 1813 déposé en l’étude de M° Wengler le 17 août 1814. Adjugé à M. Schneider par Adjudication sur Licitation au Tribunal Civil le 18 juillet 1816 et déclaration de command du même jour transcrit au bureau des hypothèques vol. 87 n° 29, pour 18.000 francs
2. un étal de boucher sis aux Grandes Boucheries marqué du n° 25 entre la grande porte en face du Marché aux porcs et l’étal n° 24 appartenant à M. Schneider fils pour 3400 francs
3. la moitié indivise avec Sr Schneider fils d’un étal de boucher situé également aux Grandes Boucheries marqué du n° 21, d’un côté l’étal n° 22 appartenant à M. Schneider fils, de l’autre un couloir. L’étal n° 25 acquis par Schneider père de Jean Louis Lutz, propriétaire à Landau, suivant acte reçu M° Bremsinger le 9 août 1834, le Sr Lutz par licitation reçue M° Zimmer le 7 août 1834. L’étal n° 21 au Sr Schneider père acquis de Dorothée Sophie Müller veuve de Geoffroi Louis Massdorf, culottier, par acte de vente devant M° Zimmer le 9 mai 1811. L’étal n° 25 et la moitié du n° 21 abandonnés à Mme Nied par Partage entre vifs reçu M° Zimmer le 11 décembre 1839. Par cet acte l’autre moitié de l’étal n° 21 abandonné à Schneider fils qui après le décès de la D° Nied en a recueilli l’autre moitié – pour 500 fr, chargé d’une rente foncière au profit de la ville de 1,98 fr sur l’étal n° 25 de 39,60 fr, 2. moitié de pareille somme sur l’étal n° 21, pour 19,80 francs
Enregistrement, acp 279 f° 40 du 27.6.

Originaire de Barr, Jean Georges Niedt épouse en 1817 Marguerite Madeleine Schneider
1817 (3.12.), Strasbourg 10 (34), M° Zimmer n° 586, 7921
Contrat de mariage – Jean Georges Niedt, commis négociant à Barr, né le 11 mai 1789, fils de Jean Georges Niedt, ancien boulanger et propriétaire, et feue Sara Dietz
Marguerite Madeleine Schneider née le 8 mai 1785, fille de Jean Pierre Schneider, boucher, et de Marguerite Madeleine Seber
Enregistrement, acp 136 f° 167 du 4.12. – communauté avec réserve d’apports

Jean Pierre Schneider épouse en 1840 Christine Jockers
1840 (11.7.), Strasbourg 10 (97), Me Zimmer n° 3621
Contrat de mariage – Jean Pierre Schneider, boucher fils de Jean Pierre Schneider, ancien boucher, et de Marie Marguerite Sebert tous deux décédés
Christine Jockers née à Willstaett, Grand Duché de Bade, le 5 novembre 1818 fille de Jean Jockers, cultivateur décédé et d’Elisabeth Becker
apports du futur époux, la moitié indivise avec M. Niedt boucher d’une d’une maison située à Strasbourg rue du Jeu de Paume n° 53
trois étaux de boucher marqués des n° 24, 23 et 22 situés à Strasbourg aux Grandes Boucheries l’un à la suite de l’autre
et la moitié indivise avec ledit Sr Nied d’un étal de boucher situé également aux Grandes Boucheries n° 21
Enregistrement, acp 279 f° 96-v du 13.7. – communauté d’acquets

Le boucher Jean Georges Niedt meurt en 1841 en délaissant des héritiers collatéraux.

1841 (18.1.), Strasbourg 10 (97), Me Zimmer n° 3810
Inventaire de la succession du Sr Jean Georges Niedt, boucher demeurant à Strasbourg et décédé en cette ville le 5 janvier 1841.
L’an 1841 le 18 janvier, à neuf heures du matin, à la requête de 1° Dame Caroline Niedt, demeurante à Strasbourg, veuve du Sr Jean Jacques Fischer, vivant gendarme à Barr, agissant tant en son propre nom que comme mandataire de a) de Dame Marie Madeleine Niedt, demeurante à Barr, veuve du Sr Georges Pick, vivant aubergiste audit lieu, aux termes d’une procuration (…) b) de Dame Sara Niedt épouse autorisée du Sr Adolphe Fleischmann boucher, les deux demeurant ensemble à Barr (…), 2. M. Jean Georges Groetzinger, épicier, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de a) M. Georges Müller, boulanger demeurant à Barr (…) b) M. Jacques Müller, boucher demeurant à Barr (…) Lesdites Dames Fischer, Pick et Fleischmann et les deux Srs Müller habiles à se dire et porter seuls héritiers appelés par la loi dud Sr Jean Georges Niedt, vivant boucher à Strasbourg, les Dames Fischer, Pick et Fleischmann sœurs du défunt chacune pour un quart et les deux Sieurs Müller venant par représentation de Dame Salomé Niedt, vivante veuve du Sr André Müller, décédé boulanger audit Barr, leur mère et également sœur du défunt, héritiers ensemble pour le dernier quart, soit chacun pour un 8° (…) Fait et passé à Strasbourg en la maison mortuaire sise à Strasbourg rue du jeu de paume N° 53

Mobilier. Chambre d’habitation au premier, Chambre mortuaire à côté, Chambre à coucher, Grande chambre à coucher à côté de la chambre d’habitation, Antichambre, Cuisine, Dans un petit grenier dans la cour à gauche, Cave au-dessous du même bâtiment latéral, Dans une petite pièce dans la cour à gauche, Dans la buanderie, Dans différentes parties de la cour et les hangards, Chambre des garçons, Chambre à linge sale
Immeubles dépendant de la succession.
La moitié indivise dans une maison consistant en bâtiment de devant, latéraux & de derrière, écurie, étables, échoppe, greniers, caves, cour, puits, jardin & autres dépendances, connue sous la dénomination de Maison du jeu de peaume et située à Strasbourg rue du jeu de paume N° 53, d’un côté l’ancienne maison des orphelins, de l’autre les Sieurs Latscha & Faes, par derrière les bâtiments de l’ancienne maison des orphelins. L’immeuble entier appartient au Sr Schneider & aux héritiers du défunt Sr Jean Georges Niedt. Ce dernier l’a acquise à titre de transaction dudit Sr Schneider. Ledit Sr Schneider lui-même a recueilli l’immeuble entier dans les successions du Sr Jean Pierre Schneider, spn père, vivant boucher à Strasbourg où il est décédé le 12 janvier 1840 et de D° Marguerite Madeleine Schneider sa sœur, épouse de M. Jean Georges Niedt susnommé, décédée en cette ville le 26 mars de la même année.
Ledit immeuble dépendait de la succession du Sr Jean Charles Seyler propriétaire à Strasbourg après le décès duquel il est échu pour une moitié à D° Caroline Barbe Seyler, sa fille, épouse de M. Jean Baptiste Gerval négociant en cette ville, et pour l’autre moitié aux trois enfants desdits époux Gerval auxquelles qualités héréditaires Mme Gerval et ses enfants ont été institués par le testament olographe dudit défunt daté du 22 avril 1813, déposé en l’étude de M° Wengler, alors notaire à Strasbourg par acte du 17 août 1814. Ce même immeuble a été adjugé audit Sr Schneider père suivant jugement d’adjudication rendu sur licitation entre les héritiers Seyler par le tribunal civil de Strasbourg le 18 juillet 1816 et déclaration de command faite au greffe du tribunal le même jour, le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 septembre 1816, Vol. 87 N° 29 & inscrit d’office Vol. 109 N° 727. Le prix de cette adjudication a été intégralement acquitté (…)
Un étal de boucher (…)
acp 284 (3 Q 29 999) f° 61-v – Prisée du mobilier 2788

1841 (2.12.), M° Zimmer
Liquidation et partage de la succession de Jean Georges Niedt, boucher en cette ville décédé à Strasbourg le 5 janvier 1841
à la requête de 1° Caroline Niedt, de Barr, veuve de Jean Jacques Fischer, gendarme à Barr, tant en son nom que comme mandataire de a) de Marie Madeleine Niedt, veuve de Georges Pick, aubergiste, b) de Dame Sara Niedt femme d’Adolphe Fleischmann boucher à Barr, tous héritiers pour un quart, 2. Georges Müller, boulanger 3. Jacques Müller, boucher tous deux de Barr, ensemble héritiers pour le dernier quart
acp 293 (3 Q 30 008) f° 14 du 3.12. – Actif, 27.882 – Abandonnements (…)

Les héritiers Nied et la veuve Schneider exposent la maison aux enchères. Le rapport d’experts décrit en détail les différents bâtiments. L’architecte et entrepreneur Albert Perrin s’en rend propriétaire pour 35  500 francs.

1841 (24.6.), Strasbourg 10 (98), Me Zimmer n° 3966, 4001, 4004
24 mai 1841. Cahier des charges – par devant M° Zimmer, commis à l’effet de la licitation dont il sera parlé ci après par jugement du 18 mars dernier rendu par le tribunal civil de Strasbourg, Ont comparu 1° D° Caroline Niedt, demeurante à Strasbourg, veuve de M. Jean Jacques Fischer, vivant gendarme à Barr, Mme Fischer agissant tant en son nom pour que comme mandataire de a) de D° Marie Madeleine Niedt, demeurante à Barr, veuve du Sr Georges Pick, vivant aubergiste audit lieu, aux termes d’une procuration (…), b) de D° Sara Niedt, épouse autorisée du Sr Adolphe Fleischmann, boucher, les deux demeurant ensemble à Barr, 2° Mr Jean Georges Groetzinger, épicier, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de a) Mr Georges Müller, boulanger demeurant à Barr (…) b) M. Jacques Müller, boucher demeurant à Barr (…) Lesdites D° Fischer, Pick & Fleischmann & les deux sieurs Müller seuls héritiers appelés par la loi dudit Sr Jean Georges Niedt, les D° Fischer, Pick & Fleischmann sœurs du défunt chacune pour un quart et les deux sieurs Müller venant par représentation de D° Salomé Niedt, décédée veuve du Sr André Müller, en son vivant boulanger audit Barr & également sœur du défunt, héritiers ensemble pour le dernier quart, soit chacun pour un 8°, ainsi que ces qualités se trouvent constatées par l’intitulé d’inventaire susallégué de la succession dudit défunt
3° M. Achille Piché, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, agissant comme mandataire de Mme Christine Jockers, sans état demeurant à Strasbourg, veuve de M. Jean Pierre Schneider, boucher en cette ville (…) ladite D° veuve Schneider héritière & légataire universelle de sondit mari suivant testament reçu par M° Boersch, Notaire en cette ville en présence de témoins le 23 novembre 1840, enregistré à Strasbourg le 14 avril 1841 (…) ledit Sr Schneider étant mort sans laisser d’héritiers à réserve, ainsi que le constate un acte de notoriété dressé par ledit M° Boersch le 20 avril 1841.
Lesquels ont exposé ce qui suit. Il dépend de la succession desdits Srs Niedt & Schneider une maison sise à Strasbourg rue du jeu de paume N° 53, désignée sommairement ci après et plus particulièrement dans le rapport d’experts relaté plus bas. Sur la demande en licitation de cette maison, intentée par feu le Sr Schneider ayant pour avoué M° Destroyes, demeurant à Strasbourg, contre les Dames Fischer, Pick & Fleischmann et les sieurs Georges & Jacques Müller pour lesquels occupe M° Theis, avoué à Strasbourg (…)
Désignation de la maison à vendre & mise à prix. Un immeuble consistant en maison de devant, bâtimens latéraux & de derrière, écuries, étables, remise, magasins, échoppe, greniers, caves, vaste cour avec un puits, jardin et autres appartenances et dépendances, connue sous la dénomination de Maison du jeu de peaume et située à Strasbourg rue du jeu de paume N° 53, d’un côté l’ancienne maison des orphelins, de l’autre les Sieurs Latscha et Faes, par derrière les bâtiments de l’ancienne maison des orphelins, le tout d’une superficie d’environ 22 ares. Cet immeuble sera expose à l’enchère au prix de 18.000 francs
Etablissement de la propriété. Cet immeuble appartient indivisément aux héritiers du Sr Jean Georges Niedt, susnommés, et à lad. D° Christine Jockers, veuve dudit Sr Jean Pierre Schneider dont elle est légataire universelle suivant testament susrelaté, savoir pour une moitié aux héritiers du Sr Niedt pour l’avoir recueillie dans la succession de ce dernier qui l’a acquis à titre de transaction dudit Sr Schneider, en vertu d’un acte passé devant M° Zimmer soussigné le 23 juin 1840. transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 juillet suivant, vol. 361 N° 81. Et pour l’autre moitié à ladite D° veuve Schneider pour l’avoir recueillie dans la succession de sondit mari qui lui-même a recueilli l’immeuble entier dans les successions du Sr Jean Pierre Schneider, son père, vivant boucher à Strasbourg où il est décédé le 12 janvier 1840 & de D° Marguerite Madeleine Schneider sa sœur, épouse de M. Jean Georges Niedt susnommé, décédée en cette ville le 26 mars de la même année.
Ledit immeuble dépendait de la succession du Sr Jean Charles Seyler propriétaire à Strasbourg après le décès duquel il est échu pour une moitié à D° Caroline Barbe Seyler, sa fille, épouse de M. Jean Baptiste Gerval négociant en cette ville, et pour l’autre moitié aux trois enfants desdits époux Gerval auxquelles qualités héréditaires Mme Gerval & ses enfants ont été institués par le testament olographe dudit défunt daté du 22 avril 1813, déposé en l’étude de M° Wengler, alors notaire à Strasbourg par acte du 17 août 1814. Ce même immeuble a été adjugé audit Sr Schneider père suivant jugement d’adjudication rendu sur licitation entre les héritiers Seyler par le tribunal civil de Strasbourg le 18 juillet 1816 & déclaration de command faite au greffe du même tribunal le même jour, le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 septembre 1816, Vol. 87 N° 29 & inscrit d’office Vol. 109 N° 727. Le prix de cette adjudication a été intégralement payé (…) Charges, clauses et conditions (…)
L’an 1841 le 26 juillet (…) adjugé audit M° Charles Treis pour 35.500 francs
Et à l’instant ledit Sr Treis a déclaré avoir enchéri pour le compte de M. Albert Perrin, architecte demeurant et domicilié à Strasbourg, pour lequel s’est porté fort M. Henri Perrin, architecte demeurant et domicilié en cette ville
10. juin 1841, N° 3952, Dépôt du rapport d’experts – Procès verbal d’expertise. L’an 1841 le 19 Mai à dix heures de relevée, je soussigné Philippe Lauer, Architecte entrepreneur patenté et domicilié à Strasbourg, seul expert nommé par jugement du tribunal de première instance séant en cette ville en date du 19 Mars même année, aux fins de procéder à la visite & à l’estimation d’un immeuble sis en ladite ville rue du jeu de paume Numéro 53 (…) je me suis transporté dans ledit immeuble où j’ai trouvé qu’il était composé d’une maison principale faisant face à la rue, d’une idem latérale à droite dans la cour, d’un pavillon au fond de cette cour, d’un toit à porcs derrière ledit pavillon, d’un bâtiment servant de magasin en retour, d’un autre grand bâtiment donnant dans le jardin, d’une remise avec greniers, d’une échoppe à l’entrée du jardin, d’un bâtiment d’écuries à gauche de l’entrée de la cour, d’un hangar entre ladite entrée et la maison principale, d’une grande cour avec porte cochère, d’une pompe & enfin d’un jardin.
Le bâtiment principal donnant sur la rue est composé d’une cave sous solives, d’un rez de chaussée en pierre, de deux étages en galandure & de deux greniers. Le rez de chaussée contient un logement de quatre pièces, d’une cuisine, d’un vestibule d’entrée dallé & de l’escalier pour les étages. Le premier étage contient un logement de cinq pièces, une cuisine et un vestibule dallé. Le deuxième étage même distribution qu’au premier, Le premier grenier est divisé en six galetas carrelés. Le deuxième grenier est planchéié et sert à étendre le linge. Cette maison principale est surmontée d’une charpente en sapin & d’une couverture double en tuiles.
Le bâtiment latéral contient un rez de chaussée, partie en bois, partie en pierre, deux étages en galandure & un grenier. Le rez de chaussée est composé d’une chambre, d’une pièce servant de petit atelier, d’une buanderie, de quatre bûchers & de la cage d’escalier pour les étages. Le premier étage renferme un vestibule planchéié, quatre pièces & une cuisine, le deuxième étage même distribution qu’au premier. Le grenier est planchéié, il est surmonté d’une charpente en sapin avec couverture double en tuiles.
Le pavillon au fond de la cour se compose d’un rez de chaussée et d’un étage construit en galandure. Le rez de chaussée contient deux pièces & l’escalier. Le premier étage est divisé en deux pièces, il est surmonté d’un petit grenier avec charpente en sapin & couverture double en tuiles.
Le toit à porcs derrière ledit pavillon est construit en pierre & bois, il est divisé en deux compartiments, dallé & couvert d’une charpente en sapin avec couverture simple en tuiles.
Le bâtiment en retour & vers le pavillon est composé d’un rez de chaussée en pierre et l’étage en galandure. Le rez de chaussée de ce bâtiment forme un seul magasin. L’étage est divisé en deux compartiments. Il est surmonté d’un grenier planchéié avec charpente en sapin & couverture double en tuiles.
Le grand Bâtiment vers le jardin est composé d’un rez de chaussée en pierre & de deux étages, partie en pierre, partie en bois surmonté d’un grenier. Le rez de chaussée contient une cave sous solives divisée en trois compartiments par des lattes à claire voie. L’escalier se trouve en dehors. Le premier étage se compose d’un vestibule planchéié avec l’escalier, d’une pièce en galetas & d’un grand emplacement servant de magasins à blé. Le deuxième étage renferme seulement un emplacement pour magasins à blé. Ce bâtiment est surmonté d’un grenier planchéié avec charpente en sapin & couverture double en tuiles.
L’échoppe à l’entrée du jardin & en suivant se compose d’un rez de chaussée fermé en lattis qui comprend aussi une pièce à fourrages surmontée d’un petit grenier avec charpente en sapin & couverture simple en tuiles.
Le bâtiment des écuries à l’entrée principale de la cour est composé d’un rez de chaussée construit en pierre, d’un étage en galandure & d’un grenier. Le rez de chaussée est divisé en trois écuries de différentes grandeurs. L’étage avec la partie sous le comble forme un seul grenier à foin. Le comble est en sapin avec une couverture double en tuiles.
Derrière & contre le dit bâtiment sur le passage du jardin se trouve adossé eune petite échoppe en charpente et couverture simple en tuiles.
Le hangar entre l’entrée à porte Cochère de la cour & la maison principale est construit en bois & renferme des bûchers, il contient en outre les cabinets d’aisance pour tous les logements plus un escalier communiquant à un petit grenier surmonté d’une charpente en sapin & couverture simple en tuiles.
La cour située au milieu des dits bâtiments est en partie dallée en en partie ensablée. Son entrée à porte cochère donne dans la rue du jeu de Paume. Il se trouve dans cette cour une pompe avec une auge en pierre & balancier en fer.
Enfin le jardin se trouve derrière les bâtiments de gauche en entrant dans la cour. Il est cultivé en potager, sa contenance est d’environ sept ares.
Après avoir procédé consciencieusement à la visite dudit immeuble, j’ai trouvé qu’il n’était pas commodément partageable & en raison de son état actuel d’entretien, j’estime que sa valeur réelle peut être portée à la somme de 18.000 francs
acp 288 (3 Q 30 003) f° 22-v (procès verbal d’expertise), acp 288 (3 Q 30 003) f° 85 cahier des charges, acp 289 (3 Q 30 004) f° 88-v vente

La maison sert de caution à Albert Théodore Perrin qui s’est rendu adjudicataire des travaux extraordinaires du génie militaire à Colmar

1843 (23.3.), Strasbourg 7 (99), Me Boersch n° 3727
Cession de droits éventuels – Albert Théodore Perrin (…) étant devenu adjudicataire des travaux extraordinaires du génie militaire à Colmar, suivant procès verbal d’adjudication dressé à la mairie de Colmar le 5 septembre dernier, il a en conformité du cahier des charges et conditions sous lesquelles cette adjudication a été ouvert fourni un cautionnement en immeubles et hypothèque pour garantie des engagements contractés et du dit cautionnement fixé à 12.000 francs
(maison rue du jeu de paume N° 53)

Albert Perrin loue une partie de la maison à la ville de Strasbourg

1847 (8.10.), Maire
Bail pour 6 ou 9 ans du premier octobre 1847 (approuvé du préfet le 18)
par Albert Perrin entrepreneur de travaux publics à Strasbourg
à la Ville de Strasbourg
d’un local composé de deux pièces au rez de chaussée de sa maison sise à Strasbourg rue du Jeu de Paume n° 53 moyennant un loyer annuel de 200 francs
acp 366 (3 Q 30 081) f° 32-v du 27.10.

Albert Perrin loue une partie de la maison au bureau de bienfaisance

1858 (22. 9.br), Commission
approuvé le 25 – Bail par Albert Perrin entrepreneur à Strasbourg, pour trois, six ou neuf ans du 1 janvier 1859
au Bureau de Bienfaisance à Strasbourg
du rez de chaussée de sa maison rue du Jeu de Paume à Strasbourg, moyennant un loyer annuel de 200 francs
acp 474 (3 Q 30 189) f° 23 du 29. 9.br

Théodore Albert Perrin meurt célibataire en 1872 en délaissant pour héritiers son frère Charles Henri et ses deux nièces issues de sa sœur Emilie Adélaïde

1872 (13.4.), Strasbourg 3 (115), M° Emile Weiss n° 3743
Inventaire de la succession de M. Théodore Albert Perrin, en son vivant propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 11 janvier dernier.
L’an 1873, le 13 avril, à une heure de relevée. Ont comparu I. Mme Marguerite Magnus, veuve de M. Louis Henri Perrin, en son vivant maître charpentier à Strasbourg où elle demeure et est domiciliée, II. M. Charles Henri Perrin, entrepreneur de bâtiments demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes 1) en son nom personnel, 2) et comme subrogé tuteur établi aux mineures Emélie et Lucie Dietz ci après nommées, III. M. Heinrich Dietz, architecte demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes comme tuteur légal de ses deux enfants mineurs Dlles Marguerite Emilie Dietz née le 20 juin 1855 et Lucie Dietz née le 4 août 1857, issues de son union avec dame Emilie Adélaïde Perrin son épouse défunte, toutes deux sans état, demeurant avec lui.
Les sus dénommés intéressés ès présentes savoir 1. Mme veuve Perrin en qualité d’héritière réservataire pour un quart ou 2/8 de la succession du défunt M. Théodore Albert Perrin son fils, 2. M. Henri Perrin comme héritier de droit pour 3/8 dudit défunt son frère, & 3. lesdites mineures Dietz comme héritières ensemble des derniers 3/8 dudit défunt leur oncle par représentation de leur mère feue Emilie Perrin sa sœur
Et tous les dits héritiers comme légataires du dit défunt selon les termes du testament de ce dernier transcrit ci-après

Immeubles. I. Un immeuble consistant en maison de devant, bâtiments latéraux et de derrière, écuries, étables, remise, magasins, échoppe, greniers, cave, vaste cour avec un puits, jardin et autres appartenances & dépendances connue sous la denomination de Maison du jeu de paume et située à Strasbourg, rue du Jeu de paume 53 ancien aujourd’hui N° 2, d’un côté l’ancienne maison des orphelins, de l’autre les sieurs Latscher et Faes, par derrière les bâtiments de l’ancienne maison des orphelins, le tout d’une superficie d’environ vingt ares. Acquis par feu M. Albert Perrin de Mme Caroline Niedt veuve de M. Jean Jacques Fischer demeurant à Barr, dame Marie Madeleine Niedt veuve de Georges Pick demeurant au dit lieu, dame Sara Niedt, épouse du Sr Adolphe Fleischmann boucher demeurant ensemble à Barr, Mr Jean Georges Groetzinger, épicier, chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, Mr Georges Müller, boulanger demeurant à Barr, M. Jacques Müller, boucher demeurant au dit lieu, comme étant tous aux droits de M. Jean Georges Niedt, en son vivant boucher à Strasbourg en verti d’un inventaire dressé par M° Zimmernotaire à Strasbourg le 18 janvier 1841, et de Mme Christine Jockers, sans état veuve de M. Jean Pierre Schneider, en son vivant boucher à Strasbourg comme estimation héritière et légataire universelle de sondit mari suivant testament reçu par M° Boersch, lors notaire en cette ville le 23 novembre 1840, aux termes d’un procès verbal d’adjudication commis par justice dressé par M° Zimmer lors notaire à Strasbourg le 24 juin 1841. transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 13 août 1841 vol. 373 N° 70 et inscrit d’office le même jour vol. 349 N° 118. Cet immeuble appartenait indivisément aux héritiers du Sr Jean Georges Niedt, susnommés, et à ladite dame Christine Jockers, veuve dudit Sieur Jean Pierre Schneider dont elle est légataire universelle suivant testament susrelaté, savoir pour une moitié aux héritiers du Sr Niedt pour l’avoir recueillie dans la succession de ce dernier qui l’a acquis à titre de transaction dudit Sieur Schneider, en vertu d’un acte passé devant M° Zimmer susdit le 23 juin 1840. transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 juillet suivant, vol. 361 N° 81. Et pour l’autre moitié à ladite dame veuve Schneider pour l’avoir recueillie dans la succession de son dit mari qui lui-même a recueilli l’immeuble entier dans les successions du Sr Jean Pierre Schneider, son père, vivant boucher à Strasbourg où il est décédé le 12 janvier 1840 & de dame Marguerite Madeleine Schneider sa sœur, épouse de M. Jean Georges Niedt susnommé, décédée en cette ville le 26 mars de la même année.
Ledit immeuble dépendait de la succession du Sieur Jean Charles Seyler propriétaire à Strasbourg après le décès duquel il est échu pour une moitié à dame Caroline Barbe Seyler, sa fille, épouse de M. Jean Baptiste Gerval négociant en cette ville, et pour l’autre moitié aux trois enfants des dits époux Gerval auxquelles qualités héréditaires Mme Gerval et ses enfants ont été institués par le testament olographe dudit défunt daté du 22 avril 1813, déposé en l’étude de M° Wengler, alors notaire à Strasbourg, par acte du 17 août 1814. Ce même immeuble a été adjugé audit sieur Schneider père, suivant jugement d’adjudication rendu sur licitation entre les héritiers Seyler par le tribunal civil de Strasbourg le 18 juillet 1816 et déclaration de command faite au greffe du même tribunal le même jour, le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 septembre 1816 vol. 87 N° 29 & inscrit d’office vol. 109 N° 727. Le prix de cette adjudication a été intégralement payé (…)
II. 1. Une maison sise à Strasbourg rue des orphelins 8 autrefois aujourd’hui n° 15 & 17 (…)
III. les 10/24 indivis avec les requérants d’une maison sise à Strasbourg faisant le coin de la rue des petites boucheries et de celles des grandes arcades (…)
acp 604 (3 Q 30 319) f° 61 du 20.4. (Nachlass erklärt den 1. Juli 1872) Nachlass Ein Haus Ballhaus Straße N° 2, Ein Haus Waisenstraße N° 15 und 17, Ein Haus Magdalenengasse N° 27, 10/24 eines Hauses kleine Metzigstraße
Schulden 950

Décès, Strasbourg (n° 72)
Acte de décès. Le 11 janvier 1872 (…) ont comparu Charles Henri Perrin, âgé de 56 ans, propriétaire, frère du défunt, domicilié à Strasbourg et Henri Dietz, âgé de 44 ans, architecte entrepreneur, beau-frère du défunt domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Théodore Albert Perrin, âgé de 55 ans né à Strasbourg, propriétaire, non marié, fils de feu Henri Louis Perrin, propriétaire et de Marguerite Magnus, est décédé le 11 janvier 1872 à neuf heures du matin en la maison rue du jeu de paume 17 (i 20)

Albert Perrin lègue par son testament la maison rue du Jeu-de-Paume à ses deux nièces

1872 (23.1.), Strasbourg 3 (114), M° Emile Weiss n° 3603
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments – Dépôt du testament olographe d’Albert Perrin
acp 601 (3 Q 30 316) f° 60 du 24.1.

Mon Testament – Moi Albert Perrin propriétaire demeurant à Strasbourg rue des orphelins N° 17 étant sain de corps et d’esprit, j’ai fait et écrit en entier mon présent Testament. Expression de ma dernière volonté de la manière qui suit. Je donne et lègue pour en jouir après mon décès
1° à ma mère Marguerite Magnus veuve de feu Henri Perrin en son vivant maître charpentier mes propriétés situées rue des orphelins 15 et 17 et rue de la Madeleine 27
2° à mon frère Henri Perrin ma part que j’ai à la propriété dite du Café de l’Europe à condition qu’il paye une rente viagère de 2000 francs à Françoise Henriette Meyer demeurant actuellement rue des grandes arcades 46 par an et payable par trimestere et sans frais
2° à mes nièces Emilie et Lucie Dietz enfants de ma sœur Emilie Dietz née Perrin ma propriété située rue du jeu de Paume 2 et toute le reste de mon avoir, consistant en meubles, billets, actions, obligations à condition de payer trois mois après mon décès à la dite Françoise Henriette Meyer dénommée ci-dessus la somme de 5000 francs en or ou argent et sans frais – Strasbourg le 15 mai 1870
Enregistrement de Strasbourg, ssp 156 (3 Q 31 655) f° 37 du 24.1.

Acte de notoriété qui mentionne les héritiers de Théodore Albert Perrin
1879 (5.2.), M° Loew
Offenkunde bestätigend, daß Theodor Albert Perrin, Eigenthümer in Straßburg am 11. Januar 1872 ledig verstorbene ist und als Erben hinterlassen hat, zu 1/4 seine Mutter Margaretha Magnus Wittwe des Zimmermanns Ludwig Heinrich Perrin zu 3/4 seinen Bruder Carl Friderich Perrin und seine 2 Nichten Margaretha Emilie Dietz Ehefrau Redslob und die Ehefrau Kampmann
acp 684 (3 Q 30 399) f° 98 n° 376 du 7.2. (Sterbefallerklärung Bd. 112. N° 222 vom 1.7.72)

Marguerite Emilie Dietz apporte la moitié de la maison lors de son mariage avec le vicaire Jules Auguste Redslob en 1873

1873 (14.8.), Strasbourg 1 (194), M° Alfred Ritleng aîné n° 8273
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Jules Auguste Redslob, Vicaire Administrateur à l’Eglise Saint-Guillaume de Strasbourg, domicilié & demeurant en ladite ville, fils de monsieur Louis Edmond Redslob, propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg et de feu Dame Caroline Sophie née Redslob, son épouse stipulant sous l’assurance et du Consentement de monsieur son père, d’une part
Et Mademoiselle Marguerite Emilie Dietz, fille mineure de Monsieur Charles Henri Dietz, architecte et de Dame Emilie Adelaïde née Perrin, son épouse défunte, demeurant ensemble à Strasbourg, agissant Mademoiselle Dietz sous l’assistance & avec l’autorisation de monsieur son pere, d’autre part

Article premier. Les futurs époux déclarent adopter le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts tel qu’il est établi par le code civil français (…)
(Apports de la future épouse) XIII. Immeuble situé à Strasbourg rue du Jeu de Paume N° 2. La moitié indivise avec mademoiselle Lucie Dietz sa sœur propriétaire de l’autre moitié d’une maison située à Strasbourg, rue du Jeu de paume numéro 2, de trois côtés la Caserne d’Austerlitz, du quatrième côté les sieurs Latscher et Faes, le tout d’une superficie d’environ vingt ares. Mademoiselle la future épouse est devenue propriétaire de la moitié indivise de cette maison en vertu d’un legs particulier fait conjointement à elle et à sa sœur par monsieur Théodore Albert Perrin son oncle en son vivant propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 11 janvier 1872 aux termes du testament de ce dernier fait en la forme olographe à Strasbourg le 15 mai 1870 et déposé après accomplissement des formalités légales en l’étude du notaire Weis suivant acte dressé par ce notaire le 23 janvier 1872, enregistré. Cette moitié indivise évaluée 33.000 francs
XV. rue du Jeu de Paume N° 3
XVI. rue des Petites Boucheries
acp 619 (3 Q 30 334) f° 81 n° 3646 du 22.8. – Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C. C., Rückbringen des eingebrachten und Ererbten. Das Überlebende behält die Nutznießung der halben Gemeinschaft.
Die braut bringt in die Ehe 1) Obligationen von Eisenbahnen und andere Werthschaften abgeschätzt 31.132, 2) ½ eines Hauses zu Straßburg Ballhausgasse N° 2, 33.000, 3) das viertel von dem ungetheilten Nachlasses ihrer Mutter woran ihr Vater Nutznießung der Hälfte hat, 4) 1/4 eines Hauses Ballhausgasse n° 3, 12.500, 5) 1/24 eines Hauses Kleine Metzig 12.000, 6) Mobilien 7673, 7) eine Summe von 5696, welcher ihr Vater auf Absetzung auf das Vermögen ihrer Mutter ausgeliefert hat 5698, zusammen 105.000 Franken
Der Bräutigam bringt in die Ehe 2) eine Summ von 11.711, welche ihme von dem Nachlass seiner Mutter herrührt, auf welchem Mobiliar Nachlass Hr Redslob als Nutznießung verzichtet
Schenkung durch H Redslob Vater dem Bräutigam seinem Sohn annehmend von einer Summ von 27.288, 2) Mobilien 432, zusammen 27.724
Der Bräutigam bringt noch in die Ehe verschiedene Schuldscheine einer Werth von 47.473. verschiedene Immobilien welche von dem Nachlasse seiner Mutter herrühren
Gegenseitige Schenkung des samtlichen Nachlasse vermindert zue Hälfte wann Kinder aus der Ehe vorhanden sind

Marguerite Emilie Dietz, femme du pasteur Jules Auguste Redslob, et Eugénie Lucie Dietz, femme de l’agent de change Théodore Kampmann exposent différents immeubles aux enchères. Aucun amateur ne se présente.

1881 (25.4.), Strasbourg 1 (215), Alfred Ritleng aîné n° 11.450
25. April 1881. Bedingnisheft, sind erschienen 1) Frau Margaretha Emilie Dietz, verbeiständete und ermächtigte Ehegattin des Herrn Jules Auguste Redslob, Pastor, beisammen in Straßburg wohnhaft, 2) Frau Eugenie Lucie Dietz, verbeiständete und ermächtigte Ehegattin des Herrn Théodore Kampmann, Wechselagent, Kaufmann in Straßburg, dieselben erklärten sie beabsichtigen (…) die hernach beschriebenen Liegenschaften zu versteigen und ersuchten den genannten Notar die Beschreibung derselben und die Eigenthumsnachweise derselben, wie die Lasten, Clausel, und Bedingungen, deren Versteigerung wie folgt aufzustellen
Beschreibung der zu verkaufenden Liegenschaften
1. Ein neu erbautes Haus Kronenburgerstraße N° 45 (…)
2. Ein neu erbautes Haus Kronenburgerstraße N° 43 (…)
3. Ein neu erbautes Haus Zabernerwallstraße N° 37 (…)
4. Ein Immöbel, zu Straßburg gelegen, Ballhausgaße N° 2, bestehend aus vier Häusern, zwei Höfe, Remisen, Stallungen, großen Keller, Schreiner-Werkstätten, Schuppen, zu jeweder Industrie geeignet, das Ganze im Cataster eingetragen unter der Section O N° 824 für eine Oberfläche von circa 1500 Quadratmeter
5. Ein Haus mit Bauhof, Schreiner: Werckstätten Ballhausgasse N° 3
Eigenthumsnachweise. (…)
II. Das zu Straßburg, Ballhausgaße N° 2 gelegene Besitzthum, welches den Artickel 4 der Liegenschaften bildet, gehört unvertheilterweiser und zur Hälfte den Frauen Redslob und Kampmann eigenthümlich zu, auf Grund eines zu ihren Gunsten gemachten besonderen Legats durch verstorbenen Herrn Théodore Albert Perrin, ihren Oheim, bei Leben Eigenthümer in Straßburg allwo er am 11. Januarÿ 1872 verstorben ist, so wie solches hervorgeht aus seinem eigenhändigen testamente zu Straßburg unterm Datum vom 15. Mai 1870, registrirt nach Erfüllung der gesetzlichen Formalitäten in der Amtstube des Notars Weis zu Straßburg hinterlegt, zufolge Akt durch diesen Notar errichtet am 32. Januar 1872 registrirt.
II. Das zu Straßburg Ballhausgasse N° 3 (…)
XI. Anschlagpreise. (…) 4. Das zu Straßburg, Ballhausgaße N° 2 unter dem Anschlagpreise von 64.000 Mark
Versteigerungs-Protokoll (…) wurde nicht ersteigert
Regsitrirt Nd. 710 Bl. 100

Les deux sœurs se partagent les biens non adjugés. La maison rue du Jeu-de-Paume revient à Marguerite Emilie Dietz, femme du pasteur Jules Auguste Redslob

1881 (25.6.), Strasbourg 1 (216), M° Alfred Ritleng aîné n° 11.512
25. Juni 1881. Theilung – sind erschienen 1. Frau Marguerite Emilie Dietz, verbeistandete und ermächtigte Ehegattin des Herrn Jules Auguste Redslob, Pastor beisammen in Straßburg wohnhaft, 2. Frau Eugenie Lucie Dietz, verbeistandete und ermächtigte Ehegattin des Herrn Théodore Kampmann, Wechselagent, beisammen in Straßburg wohnhaft, dieselben ersuchen den unterzeichneten Notar Ritleng den Aeltern die Theilung unter ihnen und ihnen Zur Hälfte ungetheilt angehörenden Liegenschaften vorzunehmen
Beschreibung der zu vertheilendes Liegenschaften
1. Ein neu erbautes Haus Kronenburgerstraße N° 45
2. Ein neu erbautes Haus Kronenburgerstraße N° 43
3. Ein neu erbautes Haus Zabernerwallstraße N° 37
4. Ein Immöbel, zu Straßburg gelegen, Ballhausgaße N° 2, bestehend aus vier Häusern, zwei Höfe, Remisen, Stallungen, großen Keller, Schreiner-Werkstätten, Schuppen, zu jeweder Industrie geeignet, das Ganze im Cataster eingetragen unter der Section O N° 824 für eine Oberfläche von circa 1620 Quadratmeter
5. Ein Haus mit Bauhof, Schreiner: Werckstätten Ballhausgasse N° 3
Eigenthumsnachweise. (…)
II. Das zu Straßburg, Ballhausgaße N° 2 gelegene Besitzthum, welches den Artickel 4 der Liegenschaften bildet, gehört unvertheilterweiser und zur Hälfte den Frauen Redslob & Kampmann eigenthümlich zu, auf Grund eines zu ihren Gunsten gemachten besonderen Legats durch verstorbenen Herrn Théodore Albert Perrin, ihren Oheim, bei Leben Eigenthümer in Straßburg allwo er am 11. Januarÿ 1872 verstorben ist, so wie solches hervorgeht aus seinem eigenhändigen testamente zu Straßburg unterm Datum vom 15. Mai 1870, registrirt nach Erfüllung der gesetzlichen Formalitäten in der Amtstube des Notars Weis zu Straßburg hinterlegt, zufolge Akt durch diesen Notar errichtet am 32. Januar 1872 registrirt.
Hypothekarische Lage (…) Aufstellung der theilbaren Masse (…)
Anweisungen. I. der Frau Redslob geborene Dietz, kommt zu für ihre Hälfte 74.800. Mark. Es ist iht angewiesen 1. Das Besitzthum Ballhausgaße N° 2 gelegen abgeschätzt zu 56.000 Mark
acp 715 (3 Q 30 430) f° 23-v du 27.6.

Marguerite Emilie Dietz, femme du pasteur Jules Auguste Redslob, vend la maison au génie militaire. Un plan est joint à l’acte (voir en début de notice). Le locataire Gresser pourra occuper les localités louées jusque fin septembre.

1894 (19.6.), Strasbourg 1 (264). Alfred Ritleng aîné n° 16.773
Erschien Frau Margaretha Emilie geborene Dietz, ermächtigte und verbeiständete Ehegattin des Herrn Julius August Redslob, Pfarrer an Sanct Wilhelm in Straßburg, daselbst wohnhaft Waisengasse Nummer 15, dieselbe verkaufft andurch unter Gewähr für Freiheit von Privilegien, Hypotheken, Dienstbarkeiten, Miethrechten zum vollen unwiderruflichen Eigenthum
an den Reichs: (Militär:) Fiscus, vertreten durch die Garnison Verwaltung Strassburg, für wlche hier zugegen ist, stipulirt und annimmt Herr Rechnungsrath Friedrich Hüther, Gernisonsverwaltungs-Direktor, wohnhaft in Strassburg, folgendes Immöbel, nämlich
Stadt Strassburg. Das in der Stadt Strassburg, Ballhausgasse N° 2 gelegene Hausanwesen, wie solches auf dem anliegenden zu diesem Vertrage paraphirten Plane eingezeichnet its, katastrirt sub Section O Nummer 824 für eine Gesamtfäche von 1545 Quadratmeter auf zwei Seiten von dem Artillerie-Kasernement umbegen, auf der dritten an die Ballhausgasse und an Eigenthum Bricka stossend
Eigenthumsnachweis. Diesbezüglich geben Ehegatten Redslob folgende Erklärungen ab. Fraglicher Besitzthum gehört zum Sondergut der Verkäuferin Frau Redslob, indem dieselbe mit Ihrem Gatte, ausweislich des am 14. August 1873 durch unterzeichneten Notar errichteten Ehevertrags unter dem Rechtsbestand der Errungenschaft-Gemeinschaft mit Ausschluß Eheeinbringen und des Sondervermögens verheirathet ist. Dasselbe wurde der Frau Redslob gemeinschafftlich mit ihrer Schwester Frau Kampmann genorner Lucie Dietz durch ihren mütterlichen Oheim, den hierselbst am 11. Januar 1872 verstorbenen ledigen Eigenthümer Albert Perrin vermacht, ausweislich des am 23. desselben Monats bei dem vormaligen hiesigen Notar Emil Weiss hinterlegten Testaments desselben. Zufolge Theilungsurkunde des amtierenden Notars vom 25. Juni 1881 zwischen Frau Redslob und ihrer Schwester Frau Kampmann wurde das verkaufte Anwesen der Ersteren zu vollem Eigenthum zugetheilt.
Herr Albert Perrin hatte dasselbe Anwesen aus dem Nachlass der beiden Metzger Johann Georg Niedt und Johann Peter Schneider von Straßburg ersteigert laut Protokoll des gerichtlich hierzu ernannten Notars Zimmer zu Straßburg vom 26. Juli 1841, transcribirt am 13. August nachher, Band 373 N° 70.
Bedingungen. § 1 (…) Bezüglich des Miethers Gresser wird die Frist zur Räumung jedoch bis Ende September dieses Jahres mit der Massgabe verlängert, dass der Reichs: (Militär:) Fiscus den Mietzins für die Zeit vom 1. Julÿ bis Ende September 1894 zu beziehen haben wird. Es wird hierzu bemerkt, dass dem Gresser gestellet ist, die durch ihn erstellten Einrichtungen am Ende seines Mietverhältnisses wegzuschaffen, nämlich a) Die Fenster der Schlosserwerkstätte im Erdgeschoss, b) Die hölzerne Doppelthüre die neben der Werkstatt zum hinteren Hofe führt, c) Das Bureau links dieser Thüre, d) Die unter einem Schuppen im Hinterhofe errichtete Schmiede, E) Die eisernen Aufzüge zur Stütze der Decke der Schreinerwerkstätte im erseten Stock, mit der Bedingung, dass er dieselben durch die vormalige holzernen Pfeiler ersetze. § 2 (…) Kaufpreis, 80.000 Mark
Lageplan über das Eigenthum des Herrn Pfarrers J. Redslob an der Ballhausgasse N° 2
acp 888 (3 Q 30 603) f° 65 du 21.6.

L’administration de la garnison adjuge la démolition de la maison au charpentier Joseph Binder de la Robertsau

1894 (3.10.), Garnisons Bauinspektor
Verkauf durch die Garnisonsbauverwaltung
an Joseph Binder, Zimmermann zu Ruprechtsau
des Hauses Ballhausgasse N° 2 hier auf Abbruch um 1706 Mark
acp 892 (3 Q 30 607) f° 14-v n° 3109 du 9.10.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.