24, place Kleber


Place Kleber n° 24 – IV 447 (Blondel), N 735 puis section 61 parcelle 14 (cadastre)

Nouveau bâtiment à la place des n° 23 et 24, maître d’ouvrage Henri Herzog Grombach, 1886 – Nouvelle façade, 1900, architectes Albert Brion et Eugène Haug
Démoli en 1973


Vue en 1860 (deuxième maison à partir de la droite, plus haute que ses voisines, dans Strasbourg Naguère, p. 173)
Bâtiment construit en 1886 à la place des anciens 23 et 24 (AMS, cote 1 Fi 66)
Nouvelle façade construite en 1900 (vers 1942, AMS, cote 1 Fi 146)
Même endroit en août 2024 (les 23-24 se trouvaient à l’endroit du carré orange)

Michel Roth acquiert en 1587 la maison du tisserand Daniel Marley et y établit une boulangerie qui y est exploitée jusqu’au milieu du XIX° siècle. D’après le Livre des communaux, on y trouve un auvent de seize pieds et demi de long faisant saillie de cinq pieds. Le boulanger Frédéric Mag remet en place un ancien auvent entre 1681 et 1689. Le boulanger Laurent Trœster acquiert la maison en 1699 puis en 1700 une petite maison à l’arrière de la sienne donnant dans la rue du Coin Brûlé ; il est autorisé à ouvrir entre les deux bâtiments une porte de communication moyennant une redevance annuelle. La boulangerie existe toujours quand les mégissiers Jean Jacques Stall puis Jean David Stamm sont propriétaires de la maison qui comprend trois logements (poêles) selon le billet d’estimation dressé en 1754. Jean David Stamm charge en 1763 le maître maçon Michel Hatzung d’aménager un poêle et une cuisine au troisième étage.


La maison est la quatrième à partir de la droite, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 139 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et premier étage en maçonnerie, deuxième étage en bois. Du côté de la rue du Coin Brûlé, le rez-de-chaussée est en maçonnerie et les deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la troisième à gauche du repère (g) : deux portes séparées par une fenêtre au rez-de-chaussée, premier étage à trois fenêtres, puis deux étages à deux fenêtres, toiture à trois niveaux de lucarnes. La façade rue du Coin Brûlé est la quatrième à droite de (k) : fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres, toiture à trois niveaux de lucarnes. Il n’y a pas de cour entre les deux bâtiments.
La maison porte d’abord le n° 28 (1784-1857) puis le n° 24.


Terrain acquis en 1885 – Nouvelle façade, 1886 (Police du Bâtiment, dossier 233 MW 1276)

L’entrepreneur Schüssler est chargé d’établir une devanture en 1866. L’hôtelier Jean Voltz, propriétaire du n° 25 voisin, achète la maison en 1868. Ses héritiers la vendent en 1885 à Henri Herzog Grombach, propriétaire depuis 1864 du n° 23, qui fait démolir en 1885 les deux anciennes maisons pour les remplacer par un nouveau bâtiment à trois étages vers la place et deux étages vers la rue du Coin-Brûlé après avoir acquis un petit terrain communal vers la place. L’aménagement intérieur est terminé en juin 1887.
Le propriétaire Grumbach demande en novembre 1899 une indemnité pour transformer sa maison qui se trouve en arrière du nouvel alignement tracé pour construire la Maison Rouge voisine. Le conseil municipal ratifie le 25 avril 1900 la proposition de lui verser 20.000 marks et céder gratuitement le terrain communal entre son terrain et le nouvel alignement. Les architectes Brion et Haug sont autorisés en juin 1900 à transformer le bâtiment. La façade place Kleber est terminée en novembre, les étages sont habités en juillet 1901. Un litige entre la Police du Bâtiment et le propriétaire dure jusqu’en février 1903 quand la toiture vers la rue du Coin Brûlé a retrouvé son état initial.
Charles Halbmeier exploite le Café Mignon après que les architectes Brion et Haug ont aménagé le rez-de-chaussée en 1903. Le Café Mignon passe ensuite à Joseph Uhli, il est remplacé en 1910 par le Café viennois (Wiener-Kaffee).


Nouvelle façade, 1900 – Plan du premier étage (Police du Bâtiment, dossier 233 MW 1276)

octobre 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Daniel Marley, tisserand († v. 1627)
1587 v Michel Roth, boulanger, et (v. 1587) Sara Petermann – luthériens
1593 h Jean Faust, boulanger, et (1593) Sara Petermann, veuve de Michel Roth, puis (1597) Marthe Siffrid – luthériens
1615 h Jean Brey, boulanger, et (1614) Marthe Siffrid veuve de Jean Faust – luthériens
1628* h Abraham Faust, boulanger, et (1626) Marie Gerold – luthériens
1634* h Israël Faust, boulanger, et (1631) Anne Waltz – luthériens
1635 v Georges Widmann, boulanger, et (1624) Anne Sultzer – luthériens
1667 v Frédéric Mag, fournier, et (1667) Anne Marie Becker puis (1676) Marie Madeleine Behr – luthériens
1693 h Frédéric Mag, boulanger, et (1692) Susanne Ohl – luthériens
1699 v Laurent Trœster, fournier, et (1677) Anne Marie Martzolff puis (1686) Salomé Kraus – luthériens
1725 h Jean Jacques Stall, mégissier, et (1708) Marie Salomé Trœster – luthériens
1751 h Jean David Stamm, mégissier, et (1733) Marie Salomé Stall – luthériens
1782* h (indivision) Jean Frédéric Kess, marchand, et (1764) Marie Salomé Stamm – luthériens
Benjamin Schwartz, mégissier, et (1760) Marie Elisabeth Blind puis (1783) Marie Madeleine Stamm – luthériens
1788 v Jean Henri Brüner, boulanger, et (1784) Anne Marie Kopp – luthériens
1811* h Jean Rœderer, employé à la mairie, et (1810) Anne Marie Brüner
1820 h Charles Hug, tailleur, et (1816) Marguerite Salomé Castner
1836 v Simon Geofroi Castner, commis négociant, et (1831) Marguerite Vix
1868 v Jean Voltz, hôtelier, et (1856) Louise Fleckstein
1885 v Henri Herzog Grombach, courtier, et (1863) Rosalie Brunner
1933 h (copropriétaires) Maurice Grombach, commerçant
Fernand Grombach, commerçant, et (1925) Célestine Judas
Hippolyte Grombach, sculpteur, célibataire († 1948)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1250 livres en 1720, 1050 livres en 1754, 600 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) IV 447, Jean David Stamm
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Stamm, 5 toises, 1 pied et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 735, Kastner, Simon Geoffroi (Castner) – maison, sol – 0,89

Locations

1667, Frédéric Mag, fournier (futur propriétaire)
1683, Jean Fuchs, boulanger
1687, Jacques Neustœckel, boulanger
1687, André Nuss, boulanger
1784, Jean Henri Brüner, boulanger (futur propriétaire)
1800, Joseph Spehner, boulanger
1819, 1823, 1829, Jean Georges Hummel, boulanger, et Salomé Bertrand
1845, Benjamin Bloch
1865, Joseph Baum
1871, Frédérique Nerson veuve de Joseph Baum

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 171
Le fournier Michel Roth règle 10 sols 4 deniers pour sa maison place des Cordeliers, à savoir un auvent (16 pied ½ de long, saillie de 5 pieds), une porte de cave inclinée (7 pieds de large, saillie de 4 pieds), une marche en pierre (4 pieds de long, 1 pied ½ de large) et un chenal en bois.

Barfüesser Platz
Michael Roth der Haußbeck daselbsten hatt vor seinem Hauß ein Wettertach xvi+ schu lang, Vnd v schu herauß, Ein ligende Kellerthüer vij schu breit, vnd iiij schu herauß, Ein steinerin Tritt iiij schu lang, vnd i+ schu breit, sampt einem hültzenen Naach &, Bessert &, x ß iiij d

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 578-v
Laurent Trœster (compte ouvert au nom de Jacques Lœschmeyer) doit à partir de 1701 quinze sols pour une porte qu’il a fait ouvrir entre sa maison place des Cordeliers et une autre rue du Coin Brûlé selon la décision rendue le 31 juillet 1700 par les Quinze

Jacob Löschmeÿer der Beck soll von einem Platz in dem beckenwäldlein, so zuuor Hannß Michel Großholtz s. p. 576. inngehabt, Jahrs vff Pfingsten und 1690. i.mo, 1 lb 10 ß
Prot: 1683. p. 43
Idem soll Wegen Vergrößerung obbeschriebenen garttens hinden auff das waßer, Jahrs vff Omn: Sanctorum, und A° 1690. zum ersten mahl, 1 lb
Protoc: 1689. p. 69
[in margine :] s. p. 576
Lorentz Tröster
Johann Jacob Stahl weißgerber
(…)
Ferner Soll Er von der jenigen 2 Schuh. 9. Zollbreit, und 6 Schuh hohen Thür welche Er in Seine vf dem Parfüßer platz gelegene behaußung brechen laßen, damit Er in Seine im brendenend gelegene beh. Kommen Kan, jahrs vf Joh: Baptæ v. A° 1701. I.mo, l. Erk. der Hhn. XV. de 31. Julÿ 1700, 15 ß
[in margine :] Ist in dem Allmend Zinßbuch fol. 620 befindlich
(Quittungen 1701-1741)
Neuzb fol 248

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 649-v
Le boulanger Frédéric Mack doit une livre pour un auvent de 1682 à 1689, date à laquelle l’objet est supprimé

Friderich Mackh, der Beckh, Soll wegen eines vergönstigten Wetterdachs an deßen behaußung auf dem Barfüßerplatz Jahrs auff Weÿhenachten und 1682. p° 1 lb
Prot: 1681. p. 120
(Quittungen 1684-1689)
Kündet Eod: das Wetterdach auff

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 248
Report du loyer pour la porte de communication au nom de Jean Jacques Stahl puis de Jean David Stamm. Le conseil municipal supprime le loyer en floréal V.

alzb. 578-b
Joh. Jacob Stahl (W.) soll von der jenigen 2 schuh. 9. Zoll breiten und 6. schuh hohen Thür welche Er in seine auf dem Parfüßer platz gelegene behaußung brechen laßen, damit er in seine im brenden End gelegene behaußung Kommen Kan, Jahrs auf Johannis Baptist (id est 24. Junii – 6 Messidor) 15 ß
(Quittungen 1741-1794)
Vid. Arrêté du C.M. du 6. flor. V.
jetzt David Stamm, Gerber, refusirt vom durchbruch Zu Zahlen

1797, Conseil municipal (1 MW 149)
Le conseil municipal supprime les rentes qui ne résultent pas d’empiétement sur le communal

(p. 30) 6. floréal V
5. Sur le rapport de l’administrateur des finances et domaines, que l’ancien magistrat avait chargé plusieurs citoiens de rentes communales pour percées et différentes améliorations faites dans leurs maisons et sur des terreins appartenans à eux en propre, sans qu’ils ayant acquis une nouvelle jouissance du communal, qu’aujourd’hui des citoyens refusaient d’acquitter ces rentes, attendu que depuis la révolution plusieurs autres citoyens ont fait faire de pareils ouvrages dans leurs maisons, sans que l’administration m.ale leur ait demandé une rétribution à ce sujet, que ces réclamations paroissaient fondées dans la justice et que dans l’ordre actuel des choses il seroit difficile de soutenir par devant le juge les droits de la commune pour des rentes de ladite nature, qu’il désiroit par conséquent être autorisé à faire raier sur les registres des rentes communales les articles concernant les citoients qui se sont procuré des commodités et des jouissances dans leurs propriétés sans avoir empiété sur le communal
ouï le commisdsaire du Directoire exécutif
L’administration m.ale prenant en considération l’exposé du susdit administrateur, lui accorde l’autorisation qu’il a demandée.

Préposés au bâtiment (Bauherren), Protocole des Quinze

1681, Préposés au bâtiment (VII 1369)
Le boulanger Frédéric Mack demande l’autorisation de poser un auvent sur des corbeaux où se trouvait déjà autrefois un auvent pour sa boulangerie. Les préposés qui se rendent sur place constatent qu’il y a eu un auvent non autorisé et proposent d’autoriser le nouveau moyennant une redevance annuelle d’une livre dix sols. Frédéric Mack obtient que la redevance soit ramenée à une livre.

(f° 116 bis) Mittwochs den 21. Decembris – Fridrich Mack, Wetterdach
Augenschein eingenommen beÿ Fridrich Mack des Schwartzbecken behaußung auff dem Barfüßer platz, alwo gedachter Mack angehalten, Ihme Zuerlauben, daß Er auff die an seinem hauß befindliche Köpffer ein Weterdach, darauff vor dießem auch ein tach geweßen, wider aufflegen vnd Zu seinem vorhabenden Weißbecken laden gebrauchen Könnte. Erkannt bedacht.

(f° 120) Donnerstags den 29. Decembr. – Fridrich Mack, Wetterdach, p. 649.
pt° Fridrich Macken Wetterdach, referirt H. Lohner daß vor diesem auch ein wetterdach geweßen wie die Köpffer mit sich bring. stellet es Zu Obern Bawherren Erkanntnus.
Erkannt, weilen gedacht alt wetterdach ohnerlaubter dingen vermutlich vnd de facto hienweg gethan worden, soll fürs Newe 1. lb 10. ß Zinnß für die willfahrung gefordert w.den. Mackh bittet umb moderation, Schluß ist vff 1. lb gesetzt vnd dabeÿ gelaßen worden, solches j lb. alle Jahr vff Weÿhenachten vnd 1682. p° Zuentrichten.

1700, Protocole des Quinze (2 R 104)
Laurent Trœster qui a acheté une petite maison jouxtant la sienne demande l’autorisation d’ouvrir une petite porte pour passer d’un bâtiment à l’autre. Le pétitionnaire rangerait son bois dans la maisonnette, la porte aurait trois pieds de large et six pieds et demi de haut. La commission propose d’accorder l’autorisation dans les mêmes conditions que dans des cas semblables. La redevance fixée à une livre est ramenée à quinze sols.

(f° 79-v) Sambstags den 6. Martÿ 1700. – Lorentz Tröster pt° Durchbruchs
G. noîe Lorentz Trösters burgers und haußfeurers, der hat an seiner behaußung auffm Baarfüßerplatz ein Kleines Nebenshaüßel, umb sein Holtz darein Zu legen, an sich erkauft, bittet einige Herren, auß Mghherren mittel, vmb den augenschein einzunehmen, abzuordnen, und Ihme Zu seinem Vorhaben, ein kleines Thürlein durch Zubrechen Gn. Zu Erlauben. Erk. an die Obere Bawherren gewießen.

(f° 131) Freÿtags den 23.t Aprilis 1700. – Lorentz Tröster pt° Durchbruchs
Iidem [Obere Bawherren] Laßen per herren Friden referiren, daß Lorentz Tröster der Schwartzbeckh in einem Gehaltenen recess ansuchung gethan, daß ihme ein durchbruch in sein nebens hauß Zu machen gn. erlaubt werden möchte. Auff beschehene remission habe man den Augenschein eingenommen vnd gefunden, daß sein hauß vornen auff dem Baarfüßerplatz, vnd hinden in das Brandein Endt gehe, in welchen hintern hauß derselbe in das neben hauß so Er an sich erkauft einen durchbruch machen laßen wolle, in deme der platz in seinem hauß eng, und er Zu legung seines holtzes deßen wohl benöthiget seÿe, den durchbruch selbsten betreffend, seÿe derselbe willens solchen dreÿ schuh breit undt Siebenthalben schuh Hoch, verfertigen Zulaßen, und habe man davor gehalten, daß solcher wohl geschehen könne, weilen man sich aber dabeÿ errinnert, daß von dergleichen durchbrüchen, dem Pfenningthurn alle Zeit Ein Pfund d. Jährlichen entrichtet worden, alß habe man Zu MGHerren stellen wollen, ob nicht der Implorant auff gleichen fuß tractirt werden solte. Erk. Bedacht gefolgt.

(f° 256-v) Sambstags den 31. Julÿ 1700. – Lorentz Tröster pt° Durchbruchs
G. noîe Lorentz Trösters burgers und haußfeurers alhier, berichtet, es hette Mgherren Pplen wegen seines durchbruchs, Jähr. Ein Pfund d angesetzt bittet deßwegen unterth. solches in gnaden Zu moderiren. Erk. werde ged. Pfund s auff 15 ß moderirt.

1700, Préposés au bâtiment (VII 1379)
Procès verbal de visite des lieux dans les registres des préposés au bâtiment

(f° 25-v) Montags den 19. Aprilis 1700. – Lorentz Tröster pt° eines durchbruchs
Augenschein eingenommen in Lorentz Trösters, des haußfewrers auff dem Baarfüßer platz gelegenen behausung, darinnen Er in das in dem Brandten end gelegene nebens hauß, Ihme auch eigenthümlich Zuständig, eine Thür so 2 schuhe 9. Zoll breit und 6. schuhe hoch durchbrechen Zu laßen gesinnet ist und deßweg. umb erlaubnus angesuchet hatt.
Erk. Soll Mghh. den XV. referirt und der Zinnß auff 1. lb. d. auff dero ratification gesetzt werden. Welcher Zinnß am 31. Julÿ 1700. auff 15. ß d. moderirt worden ist.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Hatzung expose les travaux qu’il va faire dans la maison du mégissier David Stamm place des Cordeliers, à savoir aménager au troisième étage un poêle vers la place et à l’arrière une cuisine pourvue d’un fourneau et d’une hotte.

(p. 8) Montags den 9.ten Maÿ 1763. – Stamm
H. Dauid Stamm der Weißgerber und burger allhier will in seinem ane dem Paarfüßer platz gelegenen hauß im 3.ten stock eine stube gegen dem platz, hinten daran eine Kuche mit herd und Camin schoß machen laßen das rohr mittel durch das gebäu neben einem andern auffgeführet, Von allem holtz entfernt. Erkanndt Willfahrt. Mstr Hatzung

Description de la maison

  • 1720 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, un four à pain, un fournil, une cave voûtée, le vieux bâtiment accessoire couvert d’un demi toit comprend un poêle, deux chambres, vestibule et cave sous solives, le tout estimé avec la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins
  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, une cuisine, plusieurs chambres, un four à pain et un fournil voûté, une cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2100 florins
  • 1819 (estimation)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes

nouveau N° / ancien N° : 53 / 28
veuve Brüner
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2 étages en bois mauvais état
(Légende)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue du Coin Brulé

nouveau N° / ancien N° 20 / 20
porte de derrière du N° 28 place d’armes
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 208 case 3

Castner Simon Geoffroi, commis négociant, fossé des tailleurs N° 13 à Strasbourg / Schiltigheim

N 735, Maison, sol, place d’armes 28
Contenance : 1,42
Revenu total : 216,73 (216 et 0,46 et 0,27)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7

N 701, sol, Coin brûlé 20
Contenance : 0,53
Revenu total : 0,27
Folio de provenance : 198
Folio de destination :
Année d’entrée : 1845
Année de sortie : 89/90

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1059 case 1

Kastner Simon Geoffroy / Castner / ancien négociant à Schiltigheim N° 223
1870 Voltz Jean aubergiste
1886/87 Grombach Heinrich Herzog
(ancien f° 807)

N 735, Maison, sol, Place Kléber 24
Contenance : 1,42
Revenu total : 216,73 (216 et 0,46 et 0,27)
Folio de provenance : (208)
Folio de destination : (maison) Abbruch, (sol) 1058
Année d’entrée :
Année de sortie : (maison) 87/88, (sol) 89/90
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
1887, Abgang – Grombach Heinrich , f° 1058-II, N 734, Wohnhaus, Reinertrag 99, Abbruch, 1885/86
dt° f° 1089-I, N 735, Wohnhaus, Reinertrag 216, Abbruch, 1885/86
1889, Zugang – Grombach Heinr. f° 1058, N 734, Wohnhaus, Reinertrag 542, Neubau, vollendet 86/87

N 701, sol, rue du Coin brûlé
Contenance : 0,53
Revenu total : 0,27
Folio de provenance : (208)
Folio de destination : 1058
Année d’entrée :
Année de sortie : 89/90

N 735, Hofraum, Kleberplatz 24
Contenance : 0,01
Revenu total :
Folio de provenance : Neu
Folio de destination : 1058
Année d’entrée : 87/88
Année de sortie : 89/90
1887, Zugang – Grombach Heinrich f° 1089, N 734, Hofraum 0,01, Reinertrag 0,01, Aus Wegen

Cadastre allemand, registre 32 page 417 case 4

Parcelle, section 61, n° 14 – autrefois N 701, 735, 734, 1336 aus Weg
Canton : Kleberplatz Hs. N° 24 / Karl-Roos-Platz
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 2,42
Revenu : 8500 – 7500
Remarques : 1910 Berufung

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1945), compte 2304
Grombach Heinrich Herzog die Erben und Wittwe
1928 Grombach Fernand rentier et copropriétaires
1933 Grombach Georges Fernand pour 1/3 et copropriétaires
1941 Grombach Georges Ferdin. zu 1/3 u. Grombach Jakob Hippolyte zu 2/3
1952 Grombach Georges Fernand pour 1/3 et Hospice Eliza pour 2/3
(1708)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 98 Place d’Armes p. 159

28
Prop. Brüner, Henri, Boulanger – Boulangers
Loc. Herr, Salomé, veuve – Miroir
Loc. Willig, Daniel, sculpteur – Echasse
Loc. Mangelberger, garçon orfèvre – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kleberplatz (Seite 79)

(Haus Nr.) 23
Uhli, Café Mignon. 0
Kanter, Zigarettenfabr. 0
Grombach, Wwe. E 1
Grombach, Bildhauerm. 1
Wildenstein, Wwe. 3

Annuaire de 1904 (p. 76), Halbmaier, Café Mignon – 1905 (p. 79) Uhli, Café Mignon – 1906, 1907, pas de café -1908, 1909 (p. 99) Meyer G. Wiener-Kaffee

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 1276)

Kléber (place) N° 23, 24 (1865-1927)

(n° 23) Le propriétaire Grumbach charge en 1865 l’entrepreneur F. A. Mertz d’abaisser les trois fenêtres du troisième étage
(n° 24 puis 23-24) La veuve Huck charge en 1866 l’entrepreneur J. Schüssler d’établir une devanture. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et qu’elle n’a pas d’avance. Henri Grombach acquiert en 1886 de la Ville un terrain d’environ un mètre carré devant les numéros 23 et 24 qu’il fait démolir en avril 1886 pour y construire un nouveau bâtiment à trois étages vers la place et deux étages vers la rue du Coin-Brûlé (n° 3 et 5). Le gros œuvre est terminé en juillet vers la place et en septembre vers la rue. Le bâtiment latéral dépasse la hauteur légale sur une longueur de trois mètres, l’affaire est classée après remontrances à l’entrepreneur Th. Wagner. L’aménagement intérieur est terminé en juin 1887.
Le propriétaire Grumbach demande en novembre 1899 une indemnité pour transformer sa maison qui se trouve en arrière du nouvel alignement tracé pour construire la Maison Rouge voisine. Le conseil municipal ratifie le 25 avril 1900 la proposition de verser 20.000 marks au propriétaire et de lui céder gratuitement le terrain communal entre son terrain et le nouvel alignement. Les architectes Brion et Haug sont autorisés en juin 1900 à transformer le bâtiment. La façade place Kleber est terminée en novembre, les étages sont habités en juillet 1901. La Police du Bâtiment demande en octobre 1901 au propriétaire de restituer l’ancien état de la toiture vers la rue du Coin Brûlé, de réduire la largeur de la fenêtre des mansardes et d’interdire l’habitation dans les débarras donnant dans le petite cour. Le dossier est classé en février 1903 quand la toiture a retrouvé son état initial.
Les architectes Brion et Haug font faire en 1903 des transformations pour que Charles Halbmeyer puisse exploiter un café au rez-de-chaussée ; le propriétaire prétend que les travaux n’ont pas été portés à sa connaissance. Le Café Mignon est ensuite exploité par Joseph Prœtz puis Joseph Uhly (1905).

1901, 1905, B. Kanter (cigarettes russes)
1903, Frères Picard (outils en acier spécial)
1906, Ernest Voigt (société de caisses enregistreuses National Cash Register Co, m.b. H.)

Sommaire
  • 1865 – L’entrepreneur F. A. Mertz demande au nom du propriétaire Grumbach l’autorisation d’abaisser les trois fenêtres du troisième étage, de réparer le crépi et badigeonner la façade du 23, place Kléber. – L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et qu’elle n’a pas d’avance.
  • 1866 – L’entrepreneur J. Schüssler (1, rue de l’hôpital militaire) demande au nom de la veuve Huck, propriétaire du 24, place Kleber, l’autorisation d’établir une devanture. – L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et qu’elle n’a pas d’avance.
  • 1866 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé au nom du locataire Baum à faire une prise pour environ deux becs au 24, place Kleber appartenant au sieur Kastner
  • 1886 (janvier) – Le maire notifie l’agent d’affaires Grombach (demeurant 23, place Kleber) de faire ravaler le bâtiment – Le propriétaire a l’intention de transformer le bâtiment
    1886 (janvier) – Le propriétaire Grombach demande l’autorisation de poser une clôture devant sa propriété pendant qu’il fait démolir et reconstruire la maison. Il souhaite aussi que l’alignement soit modifié en traçant une ligne droite.
    1886 (mars) – Autorisation de poser une clôture – La clôture est posée – Prolongation, juillet
    1886 (mars) – Rapport de l’inspecteur municipal des bâtiments Nebelung après que Henri Grombach a déclaré vouloir construire un nouveau bâtiment à trois étages aux 23-24, place Kleber. Le nouvel alignement suivrait une ligne tracée entre les côtés sud-ouest et nord-ouest du terrain. Le pétitionnaire acquerrait 1,13 mètre carré de la ville moyennant 30 marks le mètre carré. – Plan
    1886 (mars) – Henri Grombach (demeurant 5, rue des Grandes Arcades) est autorisé à démolir les bâtiments sis 23 et 24, place Kleber ainsi que 3 et 5, rue du Coin-Brûlé et à construire un nouveau bâtiment à trois étages vers la place, à deux étages vers la rue en suivant le nouvel alignement (achat d’un terrain vers la place et échange d’un autre vers la rue) – Dessin sur calque (Gesuch des Herrn Grombach Eigenthümer um den Neubau eines Wohnhauses am Kleberplatz N° 23 gelegen), plan du rez-de-chaussée et de l’étage, élévation, coupe
    Suivi des travaux – Les anciens bâtiments sont en cours de démolition, avril. Les fondations vers la place atteignent le niveau du sol, mai. Le soubassement vers la place dépasse de 12 à 14 centimètres de l’alignement (au lieu de 10 centimètres au maximum), le dépassement est ratifié, fin mai. Le gros œuvre place Kléber est terminé, juillet – Le gros œuvre rue du Coin Brûlé est terminé, le bâtiment latéral dépasse le maximum légal sur une longueur de trois mètres (coupe), le mur vers le voisin (n° 1) n’a pas l’épaisseur réglementaire, septembre
    1889 (septembre) – Les travaux sont suspendus dans la partie litigieuse – Courrier de l’entrepreneur Th. Wagner, plan sur calque (en fragments). L’entrepreneur justifie le dépassement pour ne pas tronquer le troisième étage et pour aménager la cage d’escalier. L’affaire est classée après remontrances à l’entrepreneur.
    Suivi des travaux (suite) – Les menuisiers travaillent, février 1887. L’aménagement intérieur est terminé, juin 1887
  • 1887 – Le directeur de l’usine à gaz demande que les frères Kahn, locataires, soient autorisés à faire une prise pour environ dix becs au 23, place Kleber. – Autorisation
  • 1892 – Les entrepreneurs J. et E. Klein (9, rue Fritz) sont autorisés à raccorder la maison Grombach aux canalisations – Dessin – Travaux terminés, septembre 1992
  • 1899 (novembre) – Dossier ouvert après un courrier du maire. Le sieur Grumbach, propriétaire du bâtiment sis 23-24, place Kleber demande une indemnité pour transformer sa maison après modification de l’alignement. – Rapport du service d’architecture d’après lequel soit le seul rez-de-chaussée soit la façade entière est avancé jusqu’au nouvel alignement. La somme réclamée (45.000 marks) semble excessive. Un calcul d’après l’estimation faite par l’architecte Ritter de Francfort-sur-le-Main fixe la somme à 24.139 marks.
    1900 (mars) – La Police du Bâtiment n’a pas d’objections à faire contre les transformations.
    1900 (août) – La Société strasbourgeoise de construction (Strassburger Baugesellschaft, anciennement J. et E. Klein, 5, nouvelle rue Fritz) demande au commissaire de police l’autorisation de poser une clôture sur la voie publique devant le bâtiment Grombach sis 23, place Kleber. Le commissaire transmet au maire – Autorisation – La surface occupée est plus grande que prévue – Avenants, septembre et décembre – La voie publique n’est plus occupée, janvier 1901.
  • 1900 (avril) – Extrait des comptes rendus du conseil municipal du 25 avril 1900. Le sieur Grombach demande une indemnité après que l’alignement légal a été modifié. Le compte rendu reproduit la requête de H. Grombach et le rapport Ritter. La propriété Grombach augmenterait de valeur (19.091 marks). La proposition est de verser 20.000 marks au propriétaire auquel le terrain communal serait cédé à titre gratuit.
    1900 (mai) – Les architectes Brion et Haug (7, rue Kageneck) transmettent le projet de transformation à la Police du Bâtiment. – La Police du Bâtiment fait remarquer au propriétaire Grombach qui a l’intention de couvrir une partie de la cour d’un toit vitré qu’un huitième du terrain doit rester libre – Dessin (trois versions du projet) – Les architectes déclarent en juin que la cour restera en l’état. Les ouvertures dans le mur coupe-feu seront garnies de plaques de verre brut. – Observations de la Police du Bâtiment (consoles du balcon, épaisseur du mur vers la place, hauteur vers la rue du Coin Brûlé, éclairage de la cage d’escalier).
    1900 (juin) – Les architectes Brion et Haug sont autorisés à transformer le bâtiment sis 23, place Kleber selon les plans suite à la décision du Conseil municipal en date en 25 avril 1900 de céder gratuitement un terrain communal au propriétaire et de lui verser une indemnité de 20.000 marks – Dessins (plan des différents niveaux, élévation vers la place)
    Suivi des travaux. Les fondations et les murs du sous-sol sont terminés, septembre. La Police du Bâtiment relève des différences par rapport aux dessins (poutres du bâtiment arrière, panne du toit, pan de bois dans le bâtiment latéral de droite), octobre. La façade place Kleber est terminée, les plâtriers travaillent dans la maison arrière, novembre. Le comble est monté, le toit des mansardes est plus élevé que sur les dessins, décembre (observations des architectes et de l’architecte municipal Nebelung). Les peintres travaillent, mars 1901. Certaines pièces qui figurent comme débarras sur les plans serviront d’habitation, juillet 1901. Les premier, deuxième et troisième étages sont habités, juillet 1901.
    1901 (octobre) – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire des modifications (restituer la toiture vers le Coin brûlé selon son état initial, supprimer l’étage en pan de bois, etc.)
  • 1901 (mars) – Le maire expose l’affaire dans un courrier au préfet qui déclare ne pas avoir compétence pour revenir sur la décision qu’a prise le maire le 30 janvier 1901.
    1901 (avril) – Les architectes exposent qu’il était nécessaire d’augmenter la hauteur des pièces à l’arrière, que les lucarnes ne contreviennent pas au règlement (croquis), qu’il est difficile d’ajouter une construction en fer à une construction en pan de bois, font leurs observations sur le pignon surélevé.
    1901 (août) – Le bâtiment est habité. L’architecte municipal Nebelung rappelle les transformations à exécuter
    1901 (novembre) – L’adjoint Timme informe verbalement le propriétaire Grumbach que les irrégularités ne peuvent être tolérées. Grombach affirme que l’adjoint lui a accordé un délai jusqu’au printemps suivant.
    1902 (avril) – Le maire présente la même requête aux architectes (restituer l’ancien état de la toiture vers la rue du Coin Brûlé, réduire la largeur de la fenêtre des mansardes de 2,50 à 1,30 mètre, interdire l’habitation dans les débarras donnant dans le petite cour qui n’a pas la largeur requise pour que les pièces servent d’habitation) – Les architectes répondent qu’ils ont pris de mesures pour répondre au mieux à la demande – La Police du Bâtiment constate que le pan de bois a été recouvert de tôle.
    1902 (juillet) – Le maire écrit à Henri Grombach (demeurant 11, rue Apffel) – Note, le propriétaire est gravement malade. Certificat de médecin attestant que le sieur Grombach âgé de 85 ans est atteint de phlébite et de lymphangite.
    1902 (août) – Henri Grombach déclare qu’il va réduire la largeur de la fenêtre dès que le locataire sera de retour. Le propriétaire est mort
    1903 (janvier) – Le maire s’apprête à engager des poursuites contre le propriétaire
    1903 (février) – La toiture a retrouvé son état initial – Le dossier est classé
  • 1903 (février) – Paul Picard demande sur papier à lettres Frères Picard (outils en acier spécial) si les pièces du deuxième étage peuvent servir d’habitation – La Police du Bâtiment note qu’il s’agit de pièces donnant sur la petite cour, notées débarras sur le plan, servant de chambre à coucher. – Elle déclare renoncer aux poursuites si la lucarne est modifiée selon le règlement. La lucarne est modifiée.
  • 1901 (mars) – La Fabrique strasbourgeoise de parquets et société d’asphalte (Strassburger Parketfabrik und Asphaltgeschäft, à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte et des matériaux devant le bâtiment Grombach. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – La voie publique n’est plus occupée, avril 1901.

  • 1901 – B. Kanter (cigarettes russes, 6, rue de la Mésange) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire à sa filiale – Autorisation
  • 1902 – La Société strasbourgeoise de construction demande à la Police du Bâtiment l’autorisation d’occuper la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – La voie publique n’est plus occupée, avril 1902.
  • 1902 – La Police du Bâtiment constate que E. Felix a posé une enseigne plate au 23, place Kleber. Note en marge, le sieur Felix est parti pour la France sans laisser d’adresse – L’enseigne est retirée, décembre 1902
  • 1903 (juillet) – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II-a. Le sieur Halbmeyer demande l’autorisation de servir du café. – La Police du Bâtiment constate que la cour couverte à hauteur du premier étage sera séparée en deux, ce qui contrevient au règlement. Par ailleurs, les locaux répondent aux prescriptions.
    1903 (juillet) – Les architectes Brion et Haug déclarent faire des transformations pour aménager le café de Charles Halbmeyer. – Note, le sieur Haug affirme que sa société n’est pour rien dans l’exécution des travaux. – Dessin signé Brion et Haug
    Le maire notifie le propriétaire Grombach d’interrompre les travaux – Le technicien Charles Funke transmet les plans – Requêtes de Charles Halbmeyer (demeurant 20, rue des Couples) – La Police du Bâtiment répond en se fondant sur le règlement
    Charles Halbmeyer est autorisé à transformer le rez-de-chaussée selon les dessins joints (les travaux ayant eu lieu sans autorisation) – En marge, le propriétaire Grumbach prétend que les travaux ont eu lieu sans son consentement. Halbmeyer semble cependant de bonne foi.
  • 1903 – Dossier ouvert suite à un courrier du ministère public relatifs aux poursuites contre le locataire Halbmeier – Le maire répond que la requête du propriétaire Grombach n’est pas fondée et que les travaux ont été portés à sa connaissance – La procédure contre Halbmeier est suspendue pour cause de faillite. Le tribunal condamne Halbmeier à une amende, le tribunal d’échevins acquitte Grombach, janvier 1904.
  • 1905 – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II. Joseph Uhly demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons. Les locaux correspondent aux prescriptions du 24 mars 1890. Le fourneau de la cuisine est cependant trop près de la porte.
  • 1905 – B. Kanter (cigarettes russes, 6, rue de la Mésange) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire à 2,50 mètres de hauteur pour éviter que la console du balcon ne la cache – La Police du Bâtiment objecte que le règlement stipule une hauteur minimale de trois mètres – Dossier classé
  • 1906 – Le syndic de la faillite de Joseph Prœtz (Café Mignon) déclare que la procédure est suspendue faute d’actif. – Certificat d’indigence, Joseph Prœtz, demeurant 22, rue de la Mésange
    L’enseigne lumineuse est toujours en place
  • 1906 – Ernest Voigt demande au nom de la société de caisses enregistreuses (National Cash Register Co, m.b. H., siège à Berlin) l’autorisation de poser une enseigne plate (texte, National Registrir Cassen) au-dessus de la devanture. Aucune autorisation n’est nécessaire puisqu’il s’agit d’une simple inscription mais elle est soumise à un droit annuel puisqu’elle a plus de 16 centimètres de saillie.
  • 1907 – La Police du Bâtiment constate que Joseph Uhli a posé une lampe électrique et une enseigne lumineuse sans autorisation – Demande – Autorisation
  • 1907 – Ch. Arnold (Chrétien Arnold, propriétaire du n° 25) fait remarquer que le pignon du n° 24 devrait être repeint – La veuve Grombach qui fait raccorder la bâtiment aux canalisations demande un délai – Travaux terminés, mai 1908.
    1908 (avril) – La Société strasbourgeoise de construction (Strassburger Baugesellschaft) demande l’autorisation de crépir le pignon – Autorisation – La même demande l’autorisation d’occuper la voie publique
  • (suite à venir)

Relevé d’actes

Le tisserand Daniel Marley vend la maison en 1587. Il est le fils de Gui Marley et de sa première femme Anne Rinck d’après les héritiers qu’il institue par testament.

Vente par Agnès Weber, veuve du tisserand Gui Marley, Gui et Daniel Marley, tisserands fils dudit Gui Marley et de sa première femme Anne Rinck, Catherine Marley femme de l’orfèvre Henri Gœttinger, et les mineurs Paul et Madeleine Marley.
1587 (xxvij tag August), Chancellerie, vol. 248 (Registranda Kügler) f° 320-v
Erschienen Agnes Weberin wÿland Vyx Marleÿ des lynenwebers seligen witwen Mit beÿstand des Ehrenhafften h Jerg Meÿger burg. Ires geschwornen vogts, Item Vÿx Marleÿ v Daniel Marley beyde lynenweber burg. Zu S. bemelt Vyx Marley selig. Sun von* Ime v wÿland Annen Rinckin seiner ehren hußfrouwen seligen ehelichen erzielet, Item Catharin Heinrich göttingern des goldtschmidts hußfr. welcher aber Jetzmals Kriegsgeschefften nachzieht Mit beÿstand (-) Ires geschwornen Vogts alle für sich, So dann hanns Böü der lÿnenweber alls geschworner vogt Paulus vnd Magdalene geschwüsterden bemelter Catharinen geschwüsterd. vogtlich. weÿß derselb. verkaufft unverscheidenlich

Daniel Marley institue pour héritiers ses demi-frère et sœur Paul et Madeleine, enfants de Gui Marley, et son neveu Henri, fils de l’orfèvre Frédéric Gottinger et de sa sœur Catherine pour une moitié et pour l’autre moitié les deux enfants du messager Jean Klein. Le testament est annulé par un nouveau daté de novembre 1594.
1593, Chancellerie, vol. 277 (Registranda Instrumentorum publicorum de Annis 1591-1598) (f° 163) Cassirt von wegen eines and. Testaments d. xj November 94 vffgericht
Zuwissen das Vff Donnerstag den Achten tag Novembris Anno & 93 der wenigern Zal vor mir Notario vnd erbettenen gezeugen persönlich erschyn Ist der Ersam Daniel Marleÿ der lynenweber burger Zu St. Gesundts leybs v gemüths auch gutter verstendlich. sinn v vernunfft wie solches genugsam an Ime erscheÿn Zeugt (…)
Zum Andern dieweyl die die ynsatzung der Erben fornemblich beschehen soll So jatt obgedachter Daniel Marleÿ Zu sein recht wissenhafft erben b yngesetzt paulußen v. Magdalenen seiner vatterhalb geschwüsterden wÿland Vÿx Marleÿ den lynenweber selig. Kinder (…) So dann Heinrich Wyld. Friderich Gottingers des goldschmids burg. Zu [-] selig. Sun von Catharinen des Testirers schwester ehelich erboren, diße dreÿ Zum halbentheil (…)
So dann Annen v hansen geschwüsterd hanns Cleÿnen des Bischoffs botten Kinnd Zu vbrig halbentheil

Daniel Marley fait des legs à ses demi-frère et sœurs Catherine, femme du jardinier Georges Sébastien Geiger, Paul et Madeleine et institue pour héritiers les deux enfants du messager Jean Klein. Le testament est annulé par un nouveau daté de décembre 1610
1594, Chancellerie, vol. 277 (Registranda Instrumentorum publicorum de Annis 1591-1598)
(f° 226) vide A. 99 fo. 45. – Cassirt von wegen eines and. Testaments den 13. tag Decemb. A. 1610. vffgericht
Zuwissen das Vff Montag Martini den Eilfften tag Novembris Anno & 94 der wenigern Zal vor mir Notario vnderbetten gezeugen all h* persönlich erschyn Ist der Ersam Daniel Marleÿ der lyninweber burger Zu St. Gesundts leybs v gemüths auch gutter verstendlich. sinn v vernunfft wie solches genugsam an Ime erscheÿn Zeugt (…)
Zum dritten legirt v ordnet er Catharinen seiner vatter halb schwester Jerg Bastian Gÿger des Gartenmanns ehelich hußfr. 75 guldin (…)
Ferner legirt v vermacht er Pauluß Magdalen auch sein vatter halb geschwüsterden dreu pfund (…)
Zum vierden dieweyl die ynsatzung der Erben fornemblich bescheh. soll So ernant er Zu sein wahren Testament Erben Anna hansen v diebold geschwüstdere Hans Cleÿnen des Bischoffs botten kinder

1597 Chancellerie, vol. 312, Testaments 1597-1600
Testament Daniel Marley Lyninweber. in regist. fo. 57. 330-v. [renvoi]

Daniel Marley institue pour héritiers ses demi-frère et sœurs Catherine, femme du jardinier Sébastien Geiger, le tisserand Paul Marley et Madeleine Marley, femme d’un jardinier
1610, KS 392, Registranda instrumentorum Publicorum de Annis 1610-1615
(f° 81) Zuwissen das vff Donnerstag den 13. tag Decembris Anno 1610. vor mir Notario vnd * gezeugen persönlich erschÿnen der Ersam Daniel Marleÿ lÿnenweber burger Zu Straßburg von dem gnaden Gottes gesundts gehend b. stehenden leybs auch guten verstendlicher sinn vnd vernunfft vie solchs genugsam an Ime erschÿn Zeügte (…)
Zum dritten weÿl die ynsatzung der Erben fürnemblich bescheh. soll vnd eines Jeden Testaments hauptstück Ist, So hatt er * Zu sein erb. yngesetzt Catharin Bastian Gyger des gartenmanns burgers alhier Eheliche husfraw, Paulus Marleÿ lynenweber v. Magdalen NN des gartenmanns ehegemahl Jetzgends drg Catharin Paulusen v. Magdalenen seine Vatter halben geschwüsterden alle dreÿ Zum halbentheÿl (…)
vnd dann Christine Wagnerin wÿlandt hanns Cleÿnen des Bischoffs Botten burgern alhier seligen Kinder vnd hanns diebolt Cleynen Ihren Sohn beyde Mutter v Sohn Zum vberigen halbentheÿl (…)
[in margine :] (…) allso das Inn khünfftigem solches alles Crafftloß nichtig tod v ebe* sein (…) den xxvj Junÿ 615

Daniel Marley demande qu’on lui remette un capital placé à la Tour aux deniers pour rétribuer un médecin qui l’a soulagé d’une infirmité dont il souffre depuis trente ans.
1619, Conseillers et XXI (1 R 101)
(f° 115-v) Sambstag den 1. May – Daniel Marle vmb 34 lb hauptgutt vom Pfenningthurn abzulesen
Daniel Marle vbergibt supplôn darin er sagt wie er mitt 30 Jar ein leibschaden getragen v vermeint ins grab mit Zu nehmen Es sey Ime aber durch ein artzt geholffen dan er muß 100 fl. geben hab aber Kein gelt den 74 lb v 35 lb auf dem Pfenningthurn. Bitt Ime die 35 lb. folgen Zulassen den artzet haben Zubefind. Erk. Ist willfart, H. Rishoff, H. Strintz.

Même affaire dans les registres des préposés à la Tour aux deniers et au bâtiment
1619, Préposés au bâtiment (VII 1334)
(f° 80-v). Daniel Marle zun thuchern dienend legt Zedul von Rhet XXI für das man Ihm 35 h. so vff Nativitatis Marie gefallen erlösen soll, steht Ihm *nd buch vff solches Ist Ihm ergelt 35. h
hatt kein briff vff d. Cantzley erlang. können mit Capital so klein. Diß capital so llen* die loßung h erlegt haben, weil vns abzulöß v verpotten, derhalben sollen sie vns 35 g haben wie Ihme dargelühen.
(scheda) Auß erkantnus vnserer g. Hn Rhat vnd xxi Soll Daniel Marle fünff vnd treyssigk lb d hauptguts so er auf dem Pfenningthurn angelegt gantz ahn einih. abzug abgelost vnd gefolgt werden, decretum Sambstag den 1. Maÿ A° 1619.

Gabriel Braunstein s’engage à entretenir le tisserand Daniel Marley. Le contrat est résilié un an plus tard.
1625 (ut spâ. [18. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 84-v
(Inchoat. in Prot. fol. 92.) Erschienen Gabriel Braunstein Burger Zu Straßburg Ane eim
So dann Daniel Marle der Weber burg. Zu Straßburg Am andern theil
Vnd haben bede parthen sich eines Leibsgedings mit einander Vereinbahret Vnnd Verglichen Inn Wÿß vnd maßen wie hernacher Volgt, Nemblich so hett ermelter Gabriel denselben Daniel Merle Inn sein haußhaltung Vff Vnnd Angenommen, gebürlich mit Eßen vnd trincken Vber dem disch so guet es Ihnen Gott beschehret (…)
[in margine :] Erschienen beede Parten anzeigendt daß sie dieses leibgeding hiemit cassirt vnd widerruffen haben (…) den 30. Martÿ 1626.

Le tisserand Daniel Marley vend la maison au boulanger Michel Roth

1587 (26 Junÿ), Chancellerie, vol. 249-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 78-v
Kauffverschreÿbung vber Michel Roten des Becken behausung auff dem Barfuesser Platz
Erschienen Daniel Marle Leinen weber hat bekhant das er eines auffrecht. redlichen Kauffs verkaufft habe
Michael Roten dem Becken
hauß vnd hoffstatt mit allen seinen begriff. weyth. recht vnd gerechtigkeÿtt. In d. Statt Straßburg auff den Barfuesser blatz einseit neben Jacob Keÿsern dem hauptman and.seÿt (-) hinden auf das geprandts end stoßend gelegen, dauon gehnd Jährlichs Bodenzinß 16. schilling vnd Zwen Kappen der Samlung Zur dritten Regel auf wyhenacht. Item 6 gulden vnd ein ort wÿland Hans Edenstern selig. Erben auf Mariæ Verkhündung In hauptgut mit 125 gulden Straßburg werung, Item 14 schilling gelts auff weyhenacht. In das Blad.hauß in hauptgut mit 14 Pfund abzulösen vnd ist obermelts Jacob Keÿsers behausung für Jetzermelte Zinß neben dieser behausung verhafftet, gleich. gestalt ist auch dieses Jetz Verkauffte hauß für j lb xj ß 8 d Bodenzinß denen von Hagenbach. vnd dann fünff gulden gelts mit 100 guld. hauptgut abzulosen In den Gurtler hof alhie abzulosen hafft vnd vnd.pfandt ermelt. Keÿser aber solche Zinß Zureich. vnd abzulosen schuldig sonst ledig vnd ohnbeschwerdt, vnd were d. kauff bescheh. vber Jetzermelten beschwerden für vnd vmb 257 Pfund
1587, Chancellerie, vol. 245 (Gemein Contract Buch)
Kauff Michel Rothen des Becken über ein hauß am Barfußer platz, Daniel Morle der leinenweber. 165. Zinßbrieff uber VI lib XI ß III d järlichs Zinß Daniel Morle deß leinenwebers, Michel Roth. 167.

Originaire d’Ehringen, le boulanger Michel Roth acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Sara, fille du receveur Thiébaut Petermann
1587, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 582
Michael Roth von Eringen ein Beck Hat das burgerrecht empfangen von Sara, Thiebolt petermans des Schaffners Dochter, seiner Ehelichen Haußfrauwen, vnd will Zu den Becken dienen. Act. den 1.ten Julÿ Anno & 87.

Le fournier Michel Roth et Sara Petermann hypothèquent la maison au profit du teinturier Philippe Hatt
1590 (27. August), Chancellerie, vol. 269-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 58-v
Confessat für Philipps Hatt den Ferber
Erschienen Michel Roth der haußfeürer vnd Sara Petermännin sein eheliche Haußfrauw burgere Zu Straßburg vnd haben
in gegensein Philips hatten des Ferbers – schuldig worden 125 gulden
Zum vnderpfand verlegt vnd eingesetzt Ir der bekennere hauß vnd hoffstatt mit allen desselben gebww. Zugehörd. vnd gerechtigkeiten, geleg. In der Statt Straßburg am Barfußer platz neb. weÿland hauptman Jacob Kaisers Erben die ein vnd anderseit neben Balthasar Hulderich dem Notarien hinden vff das gebrandt end stoßend, dauon gohnd Zuuor 16 schilling vnd Zween Kappen boden Zinß vff weihenachten der Samlung Zur dritt. Regul, It. dreÿzehn schilling gelts vff weihenachten In das Blatterhauß In hauptgut mitt 13 pfund abzulösen für welche beschwerden hauptman Kaisers Erben behausung auch neben disser verhafftet, It. so Ist diß hauß auch verhafftet für j lb 6 ß 8 d boden Zinß dem von Hagenbach vnd dann für v guld. gelts mit 100 guld. abzulösen In den gürtler hof alhie (…) vnd dann xij guld. gelts straßb. wehrung Daniel morle dem leinenweber vf Johannis Baptistæ lösig 240 guld. lisig

Sara, veuve de Michel Roth, se remarie en 1593 avec le boulanger Jean Faust, originaire de Hammelburg sur la Saale (en Franconie)

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 33 n° 23)
1593. Hans Faust der beck von Hammelburg an der Saal, Sara Michael Rothen des becken Hinderlasne Wittwe. 21. Maÿ (i 35)

Jean Faust devient bourgeois par sa femme Sara Petermann veuve de Michel Roth une semaine après son mariage
1593, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 697
Hanns Faust der Schwartzbeck von humelburg auß dem landt Zu Francken, Empfangt das burgrecht von Sara Petermenin w. Michel Rotten deß Schwartzbecken s nachgelaßener Wittwe vndt will Zun becken dienen Act. 29. Maÿ 1693.

Jean Faust se remarie en 1597 avec Marthe, fille du jardinier Michel Siffrid
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 53-v n° 36)
1597. Hans Faust der beck, J. Martha Michael Seiofrid des gartners verlasne tochter. 2. Augusti (i 56)

Jean Faust et Barthélemy Herber (son voisin) se plaignent qu’un charpentier dépose devant leur porte du bois de construction qui appartient à Léonard Fischer.
1598, Préposés au bâtiment (VII 1313)
(f° 134-v) Sambstags den 3.t Junÿ 1598. – Hans Faust, Barthel Herber
Hans Faust vnd Barthel Herber clag. d. der Zimmermann d. bawholtz vor Ihren thieren, herlegt, vnd den gang durch die schrancken verlegt, müssen die nachbaren so In Ihre heuser wöllen vber das holtz scheiden gehöre d. holtz Lienhard vischern Zu bitten Ihnen Zuhelffen, weil sonst vffm Barfüsser platz noch raum genug, vnd mein h. hieuor selbs ein durch gang gelaßen. Erkanntnus Ihnen Zubeschicken Zubeuehlen.

1603 Conseillers et XXI (1 R 82) Hans Faust der Beck pt° schuld. 132.

Jean Faust et Marthe, fille du jardinier Michel Siffrit, hypothèquent la maison au profit du boulanger Georges Bock

1607 (8. Junÿ), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 161-v
(Inchoat. fo: 181.) Erschienen Hannß Faust Brottbeck vnd Martha sein eheliche hußfraw wÿland Michell Syfridt des gartners selig. dochter
haben in gegensein herrn Georg Bocken Brottbecken – schuldig sigen 75 pfund
dafür Vnderpfand sein soll huß v hoffestatt mit all and. Iren gebeu & gelegen Inn der SS vff dem Barfüßer blatz einseÿt neben Ulrich Dietherich andersyt Barthell Horb schnyder stoßend hinden vff den Brand End, dauon gnd 16 schilling Zwen Cappen Inn die Samblung Zur dritten Regeln, Mehr 13 schilling gelts mit 13 pfund pfenning abzulösen den Armen des Blaterhußes Wyther Achthalb guldin gelts loßig mit 150 guld. H Daniel von Marleÿ

Jean Faust et Marthe hypothèquent la maison au profit de Jean Bechtold

1609 (22. Xbris), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 498
(Inchoat. fo: 545.) Erschienen Hans Faust der Brodtbeckh burger alhie vnd Martha sein eheliche Haußfraw
Haben Inn gegensein Herrn Hans Bechtoldts burgers alhie – bekhandt demselben vnuer: schuldig 100 pfund St. gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll 7 fl. iij ß W. R vnd habern gült (…)
[in margine :] Erschienen herr Hanß Bechtold burger alhie hatt in gegensein frauwen Martha weÿland hanß Fausten deß Brodbeckhen seeligen wittwe mit beÿstand vnd bewilligung Barthel Herbers Allß Ihres geschwornenn vogts (…) Quittirt den 28. Sept: Anno 1611.
(Inchoat. fo. 546) Vber solches haben obgedachte Schuldtbekhennerer Vnversch: für sich gelopt v. V.sprochen gedachte Bürgen (…) Zum vnd.pfandt Ingesetzt, Hauß vnd hoffstatt mit allen deren gebewen & gelegen Inn der St. Str. vf dem Barfüßer Blatz einsit neben Barthell Herber Schneid. 2.sit neben N. dem Schumacher stoßend hinden vf d. gebrente Ent, dauon gend Zuuor Bodenzinß 16 ß d, Item viij gld. gelts Lösig mit J L gld. Daniel Marleÿ dem Weinknecht, Item sindt auch v.hafft für 150. fl. Zu xv batz. H. Jeorg Bochen mit gebürenden zinß zubezahlen, Item 12 ß ablößig mit xiij lb dem Blaterhuß


Le tuteur de Jean Sébastien, fils de feu Jean Faust, hypothèque la maison au profit de la mère de l’enfant Marthe Sifrid

1613 (xxiij Junÿ), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 211-v
(Inchoat. fo: 212.) Erschienen M Caspar Babell der Brottbeck alls geschworner vogt hannß Bastian Wÿland hans Fausten des Brottbecken seligen Sohns
hatt vögtlicher Wÿß in gegensein Fr. Martha Seyfridin bemelts hanns Fausten seligen Witwe sein hanns Bastians Mutter Mit beÿstand M. Barthell herben des Schnyders Ires geschwornen vogts bekhant – schuldig sein 50 pfund pfenning
dafür Vnderpfand sein soll hauß hoffestatt V hinderhuß Sampt Bachoffen mit all Iren gebeud geleg. Inn d. S S vff dem Barfüßer blatz einseÿt neben bemelten Barthell herben andersÿt Bastian N. dem Schuhmacher stosst hinden vff den Brand end, Dauon gend Achthalb guldin glts losig mit j C guld S W Daniel Marleÿ lÿnenweber, Mehr Ein pfund pfenning gelts bodenzinß der Sammlung Zur dritten Regel

Le tuteur de Jean Sébastien, fils de feu Jean Faust, vend la maison au boulanger Jean Brey et à Marthe Sifrid (beau-père et mère de l’enfant)

1615 (ut spâ [xxj. Martÿ]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 149
(Inchoat. in Proth. fol. 129.) Erschienen Anthoni Stich der plattner burger Zu Straßb: Als ein geschworner vogt, hannß Bastian, wÿland hannß Fausten geweßenen schwartzbecken burgers Zu Straßburg seelig. sohns, (verkaufft)
hannß Breÿ dem schwartzbecken burgern Zu Straßburg vnd Marthæ Sÿfridin seiner ehelich. haußfr. So auch zugegen
hauß, hoffestatt vnd hinderhäußlin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. vff dem Parfüsser platz, einseit neben Barthell horben dem schneid. Andersit nebent Bastian Walck dem schuemach. hinden vff ein Allmend gaß das brendt end genant stoßend, davon gendt j lb d bodenzinß vff Martini fallend, der Samblung Zur dritten Regell, Mehr Achthalben guldin gelts Ablößig mit j C guldin Straßb. werung vff Johannis Baptisten Daniel Marlen den weinknecht Alhier Sunst für freÿ ledig vnd eÿgen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obbestimpte beschwerden, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 451 pfund

Marthe, veuve de Jean Faust, se remarie en 1614 avec le fournier Jean Brey, originaire de Bockenheim (ensuite partie de Sarre-Union)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 135-v n° 36)
1614. 22. Augusti. Hans Brey der Hausbeckh von Bakhenheim, Martha, Hans Fausten deß hausbeck. Wittib (i 138)

Jean Brey devient bourgeois par sa femme Marthe Siffrid, veuve de Jean Faust
1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 979
Hanß Breÿ von Bockenheim d. Beckh empfahet d. Burgerrecht Von Martha Süfridin, weÿlandt hanß Fausten deß Beckh. hund.laßner wittib vnd will Zu den Beckhen dienen. Actum den 9. 7.bris. Aô 1614.

Marthe-Anne Sifrid, veuve du fournier Jean Brey, hypothèque la maison au profit d’Anne Damer, assistée de son gendre François Neher. En marge, quittance remise en 1628 à Abraham Faust, fils en premières noces de la débitrice, et à sa femme Marie Gerold

1626 (13. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 698-v
Erschienen Marthan Sÿfriden weÿ: hanß Breÿen deß haußbecken wittib mit beÿstand Samuel Sÿfridts gartners an Steinstraß ihres bruders vnd vogts
hatt in gegensein Anna Damerin mit beÿstand Frantz Nähers ihres tochtermanns – schuldig seÿ 100 gld
Vnderpfand hauß, hoffstat mit allen zugehörd. alhie Vfm Parfüeßer platz neben Bastian Walchen i. vnd 2. seit N. N. Vogt Zu Noppenaw und vffs Branthendt stoßend vnd ist zuuor hafft vmb 100. fl. Philipp Jacob Erhard dem goldtschmid vnd gehen auch Jarß dauon 2. fl. bod. zinß der Samblung Zur 3.ten Regul
[in margine :] Erschienen Anna Damertin die creditrix mit beÿstand ihres dochtermanns hieneben v.melt hatt in gegensein Abraham Fausten weÿ: Marthan Sÿfridin der debitricis in erster ehe erzeigten sohns vnd seiner haußfr. Maria Geroldin bekannt daß sie Anne von ihme Fausten Alß ietzigem eÿgenthmbs besitzer deß Zu vnd.pfandt v.legten hauses empfangen habe 100 fl., qtirt den 1. Aug. 628.

Abraham Faust épouse en 1626 Marie, fille du ramoneur Jean Antoine Gerold

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 175-v)
1626. Dominica 2. post Epiphan. Abraham Faust d. haußbeck hanß Fausten deß hauß becken allhie nachgelaßener Sohn, J. Maria, Hanß Anthoni Gerold Statt Kaminfeg.s selig. nachgelaßene tochter. 23. Jan (i 180)

Le fondeur Isaac Faust hypothèque un capital que lui doit son frère Abraham Faust sur le prix de la maison

1629 (ut spâ [8. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 353
Erschienen Isaac Faust der Kannengüeßer Von Straßb.
hatt in gegensein Bastian Schranckenmüllers deß Weißbecken burg.s Zu St. – schuldig seÿ 75 pfund
dafür Vnderpfand sein sollen 185. fl. so Abraham Faust der Schwartzbeck burg. alhie sein Debitoris bruder Vff sin hauß alhie vffm Barfüeßer Platz gelegen, noch ihme schuldig so ledig eÿg.

Obligation contractée par le tuteur de Barbe, fille de Jean Brey, et les trois plus jeunes beaux-enfants de Jean Brey
1630 (16. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 239-v
Erschienen hanß Breÿen deß schwartzbecken see: töchterlins Barbaræ vogt hanß Schott der Schwartzbeck, für sich vnd in namen Tobiæ Babels alß vogts ernten. Breÿen see: dreÿer Jüngerer Stieffkindern An Einem,
So dann H Michel Hönig Schulmeister Zum Jungen S. Peter, Alß vogt hanß Bruders deß schreiners see: Kindern Am 2. theil,
Zeigten An, demnach ersternannter Bruder den 14. Maÿ Anno & 622. wie in alhieig. Cantzleÿ verschrieben, ihne Breÿen ein behausung alhier am Brandt. End gelegen per 175. lb v.kaufft vnd par in schlechtem gelt bezalt, Alß heten die Zu den vnuergleichenen Nachträg insonderheit verordnete herren den 26. Novembris A° 1629. erkannt, daß die die Breÿische für den Nachtrag ihme Königen innamen obsthet 87. lb d guten gelts wie es ietz gäng vnd geb. nachzutragen schuldig

Le boulanger Abraham Faust et Marie Gerold hypothèquent la maison au profit du ramoneur Jean Gerold

1628 (ut spâ. [31. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 421-v
Erschienen Abraham Faust d. schwartzbeck burg. Zu Straßburg vnd Maria Geroltin sein eheliche haußfr.
haben In gegensein Jacob Geroldt Kamminfegers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 150. pfundt
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit Allen and. ihren gebäwen, Inn d. St. St. vff den parfusser platz einseit neb. des Vogts Von Oppenauw Behaußung, and. seit Bastian Walch den schuomach. hind. vffs Brandten end stoßend, Dauon gnd. 16 ß 2 Kappen Bod. ziß d. Sammlung Zur dritten Regell, mehr seind sie Verhafftet Vmb 318. gl. 3 ß 4 d Isaac Faust, It. Vmb 338. gl. 3 ß 4 d Israël Fausten, It. Vmb 288. gl. 3 ß 4 d Mariæ Faustin, So dann vmb 235. gl Barbaræ Breÿin

Isaac Faust, Marie Madeleine Faust femme du cordonnier Balthasar Sippich et le tuteur de Barbe Brey vendent deux tiers indivis de la maison à leur frère Israël Faust, fournier à Saint-Marc

1634 (30. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 321-v
(Protocollat. fol. 57.) Erschienen Isaac Faust der Kannengiesser für sich selbsten, Balthasar Sippich der schuhmacher alß Eheuogt Mariæ Magdalenæ Fausten mit beÿstand H Jacob Katzen seines Kleinen Rhats Verwanthen vnd hanß Schotten deß schwartzbecken im Pfawen, Alß vogts Barbaræ Beÿin
haben in gegensein hanß Israel Fausten deß ietzig. Pfisters Zu S Marx ihres Brudern, auch burgers alhie (verkaufft)
Einen zweitentheil ihnen den Verkäuffern für vngetheilt gebürend an hauß und hoffstat, alhie vffm Barfüesser blatz neben Jeremias Rebstocken dem vogt Zu Achern & neben weÿl. Bastian Walchen gewesenen Schuhflickers s: witib hinden vfs Brandend stoßend geleg. vnd ist d. vbrig dritetheil Ime Käuffern Zuuor zustendig, Dauon gehen Jarß 16 ß d und für 2. Kappen 4 ß bodenzinß d Samblung Zur driten Regul, So ist diß hauß auch noch v.hafftet vmb 350. fl. & 15. bz. weÿ: Abraham Fausten see: Kind. deßen Vogt hanß Georg Pfaffen der schreiner vnd Büttel vf der Zimmerleüthstuben Zugegen – geschehen per 450. fl.

Le boulanger Israël Faust épouse en 1631 Anne, fille du boulanger Jean Waltz
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 162 n° 18)
1631. Eodem [17. Trinitatis] Hanß Israel Faust der Schwartzbeck weiland Hanß Fausten deß Schwartzbecken und burgers s. alhie hinderl. ehel. Sohn, vnd Jungfr. Anna, Hanß Waltzen deß Weißbecken vnd burgers alhie ehel. tochter. (i 175)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 11) 1631. Hanß Israel Faust d. Schwartzbeck Hanß Fausten deß Schwartzbecken allhie nachgelaßener Sohn, J. Anna Hanß Waltzen deß Weißbecken allhie eheliche dochter. 10. 8.bris St. Claus (i 12)

Jean Israël Faust, fournier de Saint-Marc, vend la maison et les outils de métier au boulanger Georges Widmann

1635 (18. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 64-v
Wir Clauß Ludwig Wormbser der Meister & erschienen ist vnser Burger Hannß Israel Faust Pfistermeister Zu S. Marx (verkaufft)
auch vnserm Burger Georg Wÿdman dem Schwartzbecken
hauß vnd hoffstat mit allen and.en ihren gebäwen & gelegen in vnserer St. St. vffm Barfüesser blatz, einseit neben Jeremiæ Rebstocken gewesenen Vogt Zu Achern, anderseit neben weÿ: Bastian Walchen deß Schuhmachers see: witib, hinden auf daß Brand End stoßend dauon gehen Järlich 16 schilling und für Zwen Kappen Vier schilling d Bodenzinß, der Samblung zur dritten Regul, So ist diß hauß auch noch verhafftet vmb 175 pfund d weÿ: Abraham Fausten see: Kind. So dan vmb 25 pfund d Balthasar Sippichen dem Schuhmacher, sonst freÿ, ledig, eÿgen Vnd were diser Kauff, darinn auch die Bauchkessel, vnd aller Zum Beckenhandwerck gehöriger Werckzeug begriffen, vber die beschwerde so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 525 pfund

Le boulanger Georges Widmann épouse en 1624 Anne, fille de Jacques Sultzer de Winterthour en Suisse
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 33 n° 61)
1624. Dom: 3. Trinit. 13. Junÿ. Georg Widman der Beckh Anna Jacob Sultzers Zu Winterthurn in der Schweitz tochter. Eingesegnet Montag 21. Junÿ Im Münster (i 18 – pas dans les registres de la cathédrale)

Originaire de Zehnacker, le boulanger Georges Widmann achète le droit de bourgeoisie en mai 1624
1624, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 823
Georg Widman d. Beckh Von Zehen Ackhern Khaufft d. Buerg.recht p 20 goldtgld. vnd wull Zu sen Beckh. dienen Actum den 27 May A° 1624.

1643 VII 1349 Bauherren, Georg Widmann pt° der bürgschafft. 14.

Assisté de ses fils le fournier Georges Widmann et le pelletier André Widmann, Georges Widmann hypothèque la maison au profit du boucher Oswald Dürr

1663 (28. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 261
Erschienen Georg Widmann der haußfewrer mit beÿstand hannß Georg Widmanns deß haußfewrers und Andres Widmanns deß Kürschners seiner eheleiblich. Söhn
in gegensein oßwald Dürren deß Metzgers – schuldig seÿen 92 pfund
Zu Unterpfand eingesetzt hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie am Barfüßerplatz, einseit neben hannß Martin Scherbaum dem Barbierer, anderseit neben (-) Rupfflerin, hind. vffs brand End stoßend gelegen, davon gehend iahrs j. lib der Samlung Zur tritten Regul
[in margine :] Erschienen hierinngemelter Oswald Dürr der Schuldgläubiger, hatt in gegensein hannß Georg Wÿdemanns deß haußfeurers, Andres Wÿdemanns deß Kürschners, Diebolts Hannßen deß Schwartzbeckh. alß Vogts Annæ Ursulæ Wÿdemannin und Joseph Wahllner der Kürschner alß Ehevogt Marthæ Wÿdemännin aller deß hierinn gedachten debitoris nunmehr seel. nachgelaßener Kinder (quittung) Actum den. 10. 8.br: Anno 1672

Georges Widmann assisté de ses fils loue la maison au fournier Frédéric Mag, assisté de son père Georges Mag

1667 (19. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 176
Erschienen Georg Widmann der Haußfeurer mit assistentz hannß Georg Widmanns des Haußfeurers und Andres Widmanns des kürßners seines eheleiblichen Sohns
in gegensein Friderich Magen des Haußfeurers mit beÿstand Georg Magen des Haußfeurers seines eheleiblichen Vatters und hannß Michel Beckhers des Raths botten
Verlühen, Eine Beckhen behaußung mit allen deren Gebäuden Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeit alhie am Barfüßer Platz einseit neben Martin Scherbaum dem Barbierern, anderseit neben Sebastian Ebingern dem Küeffern, hinden uffs brand End stoßend gelegen, Sechß Jahr lang Von bevorstehend Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen wochentlichen Zinnß benantlichen 8. ß d

Les enfants et héritiers de Georges Widmann vendent la maison au fournier Frédéric Mag et à sa femme Anne Marie Becker
1672 (31. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 550
(Prot. fol. 46 – 337. lb. 10. ß) Erschienen weÿl. Georg Wÿdmanns deß Haußfeurers nunmehr seel. beneficirte Erben, benantlichen Hannß Georg Wÿdtmann der Haußfeurer, Andres Wÿdtmann der Kürschner, Diebolts hanns der Haußfeurer alß Vogt Annæ Mariæ und Annæ Ursulæ der Wÿdmännin, und dann Joseph Wahlner der Kürschner alß Ehevogt Marthæ Wÿdmannin /:so anietzo in das Kindbett begriffen:/ alle mit assistentz deß Ehrenvest- hochgelehrten herren Johann Georg Graden U.I.D. und E.E. Kleinen Rhats Advocati et Procuratoris
in gegensein Friderich Magen deß haußfeurers und Annæ Mariæ beÿder Eheleuth mit assistentz hannß Michael Beckhers deß Rhats bottens und hannß Jacob Beckhers deß Weißbeckhen ihres resp. Schwäher und eheleiblichen Vatters schwagers und bruders
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten alhier an dem Barfüßer platz, einseit neben hannß Martin Scherbaum dem Barbierer anderseit neben Hannß Georg ebinger den Küeffer, hinden uff daß Brand End stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 16 ß und für 2. Kappen 4. ß Zinnß der Samblung Zur dritten Regul – umb 675 Gulden

Frédéric Mag épouse en 1667 Anne Marie Becker, fille du messager municipal Michel Becker : contrat de mariage, célébration
1667 (30. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 208-v
(Prot. fol. 50. – Eheberedung) Erschienen Friderich Mag der haußfewrer alß hochzeiter, mit beÿstand Georg Magen des Haußfeurers seines eheleiblichen Vatters und Johann Friderich Tewrers des Silberarbeiters an Einem,
so dann Jfr. Anna Maria Beckherin alß hochzeiterin, mit beÿstand hannß Michael Beckhers deß Rathsbotten ihres eheleiblichen Vatters, und H. Johann Stieglers des weißbeckhen am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 87-v n° 17)
1667. Dom. Quasimodo. Zum 2. mahl Friedrich Maag der Schwartzbeck Georg Maagen auch Schwartzbeck en Burgers alhie ehel: Sohn, Jfr. Anna Maria Hanß Michel Beckers des Rathsboten alhier ehel. T. Donnerstags den 25.t. April: Münster (i 90)

Frédéric Mag et sa femme Anne Marie hypothèquent le même jour la maison au profit du pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann. En marge, quittance remise en 1698 à Frédéric Mag, fils du débiteur.

1672 (31. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 551-v
Friderich Mag der Haußfeurer und Anna Maria beÿde Eheleuth, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand hannß Michael Beckhers deß Rhats bottens und Hannß Jacob Beckhers deß Weißbeckhens, ihres resp. eheleiblichen Vatters und bruders alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein deß hoch Ehrwürdig hochgelehrten Herrn Balthasar Friderich Saltzmanns SS Theol. Licent. und Pfarrers im Münster – schuldig seÿen 250. lb, daß Sie damit die hierunden beschriebene behaußung erkaufft, Von erwehnten 250. lb 125. lb ahne weÿl. herrn Sebastian Gambsen nunmehr seel. hinderlaßene Erben erlegt und mit dem Rest der übrig. 125. lb weÿl. Georg Wÿdmanns deß haußfeurers nunmehr seel. nachgelaßene Kinder und beneficirte Erben alß Verkäuffere Vollendts befriediget werden können
Dafür obbedingter maßen dem herren Creditori, eine behaußung hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier an dem Barfüßer platz, einseit neben hannß Martin Scherbaum dem Barbierer, anderseit neben hannß Georg Ebinger dem Kieffer, hinden uff daß Brand Endt stoßend geleg., so über 1. lb Zinnß der Samblung Zur dritten Regul
[in margine :] (…) in gegensein Friderich Magen, hierin ged. Friderich Magen deß Debitoris nun seel. nachgelaßenen Sohns als ietzigen Besitzers des hierinn beschriebenen Haußes (quittung) act. d. 15.ten aprilis 1698.

Les héritiers de Sébastien Gambs donnent aux héritiers de Georges Widmann quittance d’un capital dû d’après la vente passée en 1635.

1672 (31. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 554-v
Erschienen weÿl. herrn Sebastian Gambßen nunmehr seel. nachgelaßene Erbens Erben mit nahmen,
Erstlichen wegen weÿl. herrn Carl Gambsen seel. Stammtheils Zu einem Sechsten theil daran, der Ehrenvest- fürsichtig- und weÿs herr Jacob Wenckher E.E. Großen Rhats beÿsitzer alß Vogt Annæ Ursulæ, Friderich Schellen deß Silberarbeiters mit weÿl. Ursulæ Gambsin deß geweßenen eheweib nunmehr seel. ehelich erziehlten und hinderlaßenen döchterleins,
Fürs Ander, wegen weÿl. herrn Henrich Gambßen E.E. Großen Rhats Beÿsitzers nunmehr seel. Stammtheils der Edel- fürsichtig- Weiß, hochgelehrt Herr Tobias Bernegger deß beständigen Regiments der Herren Ein und Zwantzig aß Curator Paul Gambsen und im nahmen deß Edel- fürsichtig und hochweÿsen herrn Johann Caspar Berneggers deß Geheimen Regiments der Herren dreÿ Zehen alß Ehevogt Frawen Apoloniæ Gambsin, herr Johann Caspar Erhard Schulschaffner alß Ehevogt Frawen Annæ Jacobæ Gambsin, herr Friderich Wilhelm Schmuckh buchhalter, alß herren Ernst Friderich Gambsen, Vermög eines sub dato Straßburg den 28. dießes außgestellten (…) Gewaltscheins hierzu Constituirter Mandatarius und Johann Henrich Gambs der Goldarbeiter Gesell,
Trittens wegen weÿl. herrn Johann Philipp Gambßen seel. Stammtheils Herr Leo Varnbühler Adelicher Schaffner alß seiner Anzeig Gevollmächtigter befelchhaber frawen Felicitatis Gambsin Wittibin seiner Schwigermutter,
Zum Vierten, wegen weÿl. frawen annæ Magdalenæ Geÿerin gebohrner Gambsin seel. Stammtheil, H. Henrich Geÿer der Scribent für sich selbsten, hannß Philipp Sax der Pastetenbeckh alß Vogt Isaac Dochtermanns deß würths am blumen Gießen, mit Anna Sara Scherbaumin ehelich Erzielhter Kinder, und der Edel- from und wohl- weÿs- Herr Johann Leonhard Fröreißen deß beständigen Regiments der herren fünff Zehn, wegen deß Ehrenvest- hochgelehrten Herrn Johann Melchior Bitschen U.I.D. Und E.E. Großen Rhats Advocati et Procuratoris, im nahmen deßen eheleiblich. döchterlins Susannæ Magdalenæ Bitschin,
Endlich und Zum Fünfften, wegen weÿl. herrn Mathiæ Gambsen seel. Erben Stamm theil, herr Thomas Caspar der Handelßmann alß Vogt frawen agathæ Mariæ Weberin gebohrner Gambsin, und alß Ehevogt frawen Annæ Sabinæ Gambsin, herr Johann Georg Retzlob alß Ehevogt frawen Mariæ Salomeen Gambsin, herr Johann Marcellus Schenckh Schaffner deß Closters Zu St Margarethæ und Agneßen allhier alß Ehevogt frawen Annæ Felicitatis Gambsin und herr Matheus Schmid der jünger adelicher Schaffner alß Vogt Philipp Jacob Gembßen
in gegensein Hannß Georg Wÿdmanns deß haußfeurers, andres Wÿdmanns deß Kürschners, diebolds Hannßen deß haußfeurers, alß Vogts Annæ Mariæ und Annæ Ursulæ der Wÿdmännin und dann Joseph Wahlners deß Kürschners alß Ehevogts Marthæ Wÿdmännin aller weÿl. Georg Wÿdmanns deß haußfeurers nunmehr seel. Kinder und beneficirter Ebren
bekannt, dEmnach Sie die fünff stammtheil und eingangß gemelts herren Sebastian Gambsen hinderlaßene Erbens Erben, ahne Sie die Wÿdmännische beneficirte Erben aus der am 2.ten 8.br. A° 1635. wie auch der am 16. febr: A° 1638. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Verschreibungen in Summa 850. fl. Capital, so Ihr der Wÿdmännschen Kinder und beneficirten Erben Vattern obgedachter Georg Wÿdmann nunmehr seel. nach besag der am 18. Aug. A° 1635. Verfertigten Kauffverschreibung Von seiner alhier am baarfüßer platz Zwischen hannß Martin Scherbaum dem Barbierer und hannß Georg Ebinger dem Küeffer gelegene behaußung per rest schuldig Verblieben seÿe, gefördert (…)

Frédéric Mag passe une nouvelle hypothèque au profit de Balthasar Frédéric Saltzmann

1677 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 290
Friderich Mag der haußfeurer
in gegensein deß hoch ehrwürdig- hochgelehrten Herrn Balthasar Friderich Salzmanns deß ältern SS Theol. Licent. und Pfarrers deß Münsters – über die bereits Vorhien Verschriebene 50. lb noch ferners 50. lb straßb. bahr gelühenen Gelts schuldig seÿe
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren gebäwen begriffen und zugehördten alhier am Barfüßer platz einseit neben Hannß Martin Scherbaum dem barbierer, anderseit neben Peter Dieterlin dem Contrefactor hinden uff daß Brand End stoßend gelegen

Frédéric Mag hypothèque deux maisons au profit du même

1680 (12. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 610-v
Friderich Mag der haußfewrer
in gegensein hern Johann Adolph Saltzmanns V.J. Ddj im nahmen des hoch Ehrwürdig und hochgelehrten Herrn Balthasar Friderich Saltzmanns S.S. Theol. Licent. undt Pfarrers des Münsters seines eheleiblichen Vatters – schuldig seÿe 50 lb
unterpfand, hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren gebäwen und Zugehördten alhier am gebrandten Endt, einseit neben Georg Vetter dem Lautenmacher, anderseit neben einer behausung der Fabric des Münsters zuständig, hinden uff den debitorem selbsten stoßend gelegen,
Item hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen undt zugehördten daselbst einseit neben hannß Martin Scherbaum dem barbierer, anderseit neben Peter Dieterlin dem Mahler gelegen, davon gehendt Jährlich 2. fl. Zinnß dem stifft zur rothen Kirch
[in margine :] (…) in gegensein Johann Friderich Maag deß haußfeurers deß hievor gemeldt. debitoris leiblich. Sohns (quittung) Act. d. 17. April. 1698

Frédéric Mag se remarie en 1676 avec Marie Madeleine, fille du marchand Jean Mathias Behr
Mariage, cathédrale (luth. f° 19-v n° 3)
1676. Dom. 2. post Epiphan: Zum 2 mahl Friedrich Mag der Schwartzbeck und Burger alhie, Jfr. Maria Magdalena, Weiland hr Johann Matthis Beeren, Gewesenen handelßm: und Burgers alhier nachgelaßene ehel. T. Donnerstags den 27.en Jan: Münster (im 22)

1680 (17. 8.br), Not. Gross (Benoît, 14 not 1)
Testament – Maria Magdalena gebohrne Bährin Meister Friderich Magen haußfrau

Le tuteur des enfants de Frédéric Mag loue la maison au boulanger Jean Fuchs

1683 (18.6.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 269
Christoph Dürr der Schuhmacher alß Vogt Weÿl. Friderich Mackhen des Weißbeckhens nunmehr seel. nachgelaßene Kinder
in gegensein Johann Fuxen des Weißbeckhens
entlehnt, Eine behaußung mit allen deren gebawen undt zugehördten alhier auf dem baarfüßer platz einseit neben Hannß Peter Dieterlins des Mahlers Erben anderseit neben Hannß Martin Scherbauren gelegen, uff 1. Jahr lang von nächst kommenden Joh: Bapt. angerechnet umb einen Wochentlichen Zinnß benantlichen 15 ß

Le tuteur des enfants de Frédéric Mag hypothèque la maison au profit de Jean Henri Bischoff, assesseur au Grand Sénat

1684 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 128-v
Christoph Dürr der Schuhmacher alß vogt Friderich Maggen deß haußfeurers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein deß ehrenvest, fürsichtig und weÿsen herrn Johann Heinrich Bischoffs E.E. Großen Rhats beÿsitzers – schuldig seÿen 300. lb
unterpfand, ein Vorders und zweÿ hinder häußer mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier an dem Barfüßerplatz einseit neben hannß Martin Scherbaum dem barbierer anderseit neben hannß Georg Ebinger dem Kieffer hinden uff daß Brand End und ligt daß eine hinder hauß einseit neben Georg Vestenbeck dem Schloßer anderseit neben Einer behaußung der Fabric deß Münsters
[in margine :] (…) in gegensein Johann Friderich Maagen deß haußfeurers mit beÿstand Daniel Maagen deß Buchtruckers seiner noch ledig. geschwistigen Vogts, angezeigt und bekandt daß Er Joh: Friderich Maag alß ietzig. possessor deß hierinn gemeldt. und.pfandts die hierinn verschriebene 300 lb Capital abgestattet – den 2.ten 8.bris 1692.

Le tuteur des quatre enfants de Frédéric Mag loue la maison au boulanger Jacques Neustœckel

1687 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 303-v
Christoph Dürr, der Schuhmacher, alß Vogt weÿl. Friderich Maacken deß Weißbecken hinderlaßene 4. Kinder
in gegensein hans Jacob Neustöckel deß Schwartzbecken, mit beÿstand Paul Weinschencken seines Schwehervatters
Verlühen, Eine becken behaußung allhier auf dem Baarfüßer platz, einseit H. Elia Winckler dem Notario, anderseit (-) Scheerbaum dem barbierer geleg mit allen deren Gebäuen und zugehördten nichts darvon außgenomm. iedoch d. hinderhauß welches and.wertig verlehnt istn darund. nicht begriffen, auff dreÿ jahr lang von Johannis Baptistæ 1687. angerechnet, umb einen jährlichen Zinß nemlich 52 Rdh. oder 39 pfund
[in margine :] (…) daß die hier hierinn verschriebene lehnung durch E.E. Kleinen Raths am 4. huj. ergangenen bescheid cassiret und auffgehoben – den 11. maÿ 1688

Le tuteur des trois enfants célibataires de Frédéric Mag loue la maison au boulanger André Nuss

1689 (8.2.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 68
Christoph Dürr Schuhmacher alß Vogt Weÿl. Friderich Magen deß Weißbecken Seel. nachgelaßener dreÿ lediger Kind.
in gegensein Andreß Nußen deß Schwartzbecken
verlühen, dreÿ vierdte theÿl /:maßen der übrige Vierdte theÿl Ihme Nußen ehevögtlicher weiß gehörig seÿe:/ ahn einer becken behauß. mit allen derern Gebäuen, allhier am baarfüeßer Platz einseit neben (-) Scherbaum dem barbierer anderseit neben H. Balthasar Friderich Stößer Schafner deß Spithals allhier gelegen, umb einen Wochentlich. Zinnß nemblich 15 Schilling

Anne Marie Maag, femme du fournier André Nuss, vend un quart indivis de la maison à son frère Frédéric Maag qui est déjà propriétaire d’un quart, les deux autres parts appartenant à ses frères.

1692 (22. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 496
Anna Maria gebohrne Maagin, Andres Nußen, deß haußfeurers haußfrau mit beÿstand Ihres Ehevogts
Friderich Maagen deß Haußferers Ihres leiblich Bruders
Einen Vierdt. theil für ohnvertheilt an hauß und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weith. recht, und zugehördten, allhier am Baarfüßerplatz einseit neben Friderich Rohrmmann dem Groß Uhrenmacher anderseit neben weil. Peter Dieterlins gewesenen Mahlers sel. Erben hind. auff d. Brenten End stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehen jährlich 16 ß und für 2. Kappen 4 ß d. Zinß d. Samblung zur dritten Regul, sonst. seÿe dieselbe auch noch umb 350 lb Capital H. Balthasar Friderich Saltzmann SS. Theol. Lic. (So dann um 105 lb verhafftet) – zumahlen dem Kaüffer zuvorhin einen Vierdter theil, die übrige zwen vierdte theil aber sein noch d. ledig. zwen brüd. gehörig – umb die angegebene beschwerden welche der Kaüffer pro rato übernommen, umb 75 pfund

Frédéric Mag épouse en 1692 Susanne, fille du boulanger Thiébaut Ohl
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 40 n° 13)
1692. Auff vorbemelten Mittwoch d. 19. Martÿ seind copulirt worden Hanß Friedrich Mack der ledige Schwartzbeck, Wld. Friderich Macken deß Schwartzbecken v. B. alhie vnd wld. Fr. Annæ Mariæ geb. Beckerin nachgelaßener ehel. Sohn, vnd Jgfr. Susanna, wld. Theobald Ohln, deß Weißbecken vnd B. alhier, vnd Fr. Annæ Mariæ Kuntzin eheliche Tochter [unterzeichnet] Ich bekene Als hochzeitter Johan friederich mag, Susana ohlin als hoch Zeitien (i 40)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari

1692 (29.4.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 24) f° 792.b
Inventarium vndt beschreibung aller vndt jeder haab Vndt Nahrung, so d. Ehrsam und bescheidene Meister Johann Friderich Mag, Haußfeurer Vndt die Ehren: Und Tugendsame Susanna gebohrne Ohlin, beede Eheleütt Vnd burgere Alhier einand. in den ohnlängst mitteinander angetrettenen Ehestand für Vnverändert Zugebracht haben (…) Actum in d. Königlich. Freÿen Statt Straßb. in beÿsein d. Ehren Vest vnd Vorgeacht. auch Ehrenhafft v. Achtbaren herrn Johann Jacob Limbergers deß Macklers auf deß Mannes, Auf Ihr d. Frawen seitten aber beneb. ihrer geliebt. leiblicher Mutter d. Viel Ehrn Vnd Tugendsamen Fr. Annæ Mariæ Weild. Mstr Daniel Löfflers deß geweß. Weißb. alhier seel. hinderbliebenen Wittibin H. Georg Eckerts haußfeürers v. burgers alhier ihres anhero geweßenen vnd noch ohnentledigten Vogts, Dienstags den 29.t Aprilis Anno 1692.

In einer d. Statt Straßburg ane dem baarfüßerplatz gelegenen dem Mann gehörigen v. hernach beschrib. behaußung ist befund. wie volget /:in ettlich. tag hernach berichtet H Bemberg daß deß haußes halben annoch einige differentz deß Neben häußleins halb. seÿe
Sa. Haußraths M 19, F 83, Ahne Silber geschirr v. Geschmeidt F 13, Ahne guldinen Ringen F 5, Ahne Baarschafft M 22 F 84, Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig M 11
Eigenthumb ahne Behaußungen (M.) Erstlichen ¼. theil ahne hauß V. hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, Weitten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, gelegen alhie Zue Straßb. ahne dem Baarfüßerplatz eins. neben etwann Hanß Martin Scherbaum dem barbirer jetzo aber H. Friderich Rohrmann dem Uhrenmach. alhier anders. neben weÿland H. Peter Dieterlins deß Mahlers seel: Erben hinden auf das Brandenend stoßend. Dauon gibt mann jährlichen 116. ß d Vnd für 2 Kappen 4 ß d Zinß der Samblung Zur dritten Regul auf Weÿhenachtten *p 20. lb, Ferner 14. lb d Zinß à 4. pro Ct° gerechnet jährlich auf d. 5. Julÿ H. Licent. Balthasar Frid. Saltzmann ablößig in hauptgut mit 350 lb d. Weitter 5. lb d Zinß jahrs auf Weÿhenachten H Joh: Christoph dhierbach dem hutmacher v burger alhier, widerlößig mit 105 lb (Nota. Dieße 105. lb d Capital seindt mit d Kauffschilling vom hauß im Brendenend sampt Zinß v. vncosten richtig gemacht worden wie hernach Zu seh.) d Mehr 13. lb 10 ß d das ist 4 ½ pro Cto jährlich auf Michaelis H Rhath. Johann Heinrich Schoffen* ablößig in Capital mit 300. lb d. Vnd dann 1. lb d Zinß Von dem Wetterdach d. Statt Straaßb. dthurn jahrs auff weÿhenacht. thut in Cap. 20. lb. Welche behausung über Abzug d. darauf stehend. Zusammen 796 lb d lauffnd. beschwerden d. Zeit aber ganrtz ohnpræjudicirlich angeschlag. pro 300. lb d. thut die hieher dem Mann gehörige quart 75. lb. Darüber besagt i. p.gam. Kauffbr. mit d. Statt straaßb. anhangendem Contract Ins. v.wahrt dat. d. 18. Aug. 1635 mit altem N° 2 et Lit: A. v.merckt
(M.) Item derner ¼ theil ahne hauß höffelin v. hoffstatt m. allen deren gebäuwen begriffen, Weitten, Recht. Zugehörd. v. gerechtigkeit allie ane Brendenend, eins. neben nechst hieuor eingetragener behaußung, anders. neben einer d. Fabric deß Münsters gehörigen behaus. v. hinden auff H. Peter Dieterlins deß Mahlers s. erben stoßend geleg. so freÿ ledig v. eig. v. auch gantz ohnv.greifflich hiehero æstimirt pro 140. lb d, thur d. hieh. gehörige 4.te theil 35. lb. Darüber sagt 1. p.gam. Kauffbr. mit d. Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel v.wahrt datirt d. 5. Julÿ A° 1677 not. mit N° 2
Nota. diß hauß ist auf Michaelis 1692. an oben gemeltten dhierbach d. hutmacher per 140. lb d verkaufft v. dauon vorderst das Capital so er dhierbach beckenhauß stehen* gehabt sampt denen außgestandenen Zinß V. Marzahl auch Uncosten v. pfund Zoll Ihme gut gethan ß 130 lb 10 ß
Sa. Eigenthumbs ahne Behaußungen M 110. Summa summarum M. 163 lb

Le tuteur de Jean Daniel et de Jean Richard Maag, fils de Frédéric Maag, vend un quart de la maison à Frédéric Maag

1693 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 144
(Prot. fol. 306.) Erschienen Daniel Maackh d. Buchtrucker alß Vogt weil. Friderich Maag gewesenen haußfeurers sel. 2 Söhn Johann Daniel vnd Johann Reichards
hatt in gegensein Friderich Maag. deß haußfeurers angezeigt und bekandt, d. Er Daniel vögtlich. weiß und Zwan auff d. am 17. 7.bris vorig. Jahrs Ihme Friderich Maaag. auffrichtig & verkaufft
Einen Vierdt. theil an hauß und hoffstatt, mit allen de Gebaüen, recht. und Zugehörd. allhier an Baarfüßerplatz einseit neben Friderich Rohrmann dem groß Uhrenmach. and. seit neb. Peter Dieterlins gewes. Mahlers Erben, hind. auffs Brenten End stoßend gelegen, von welch. gantz. behaußung geh. jährlich 16 ß und für 2. Kappen 4 ß d Zinß der samlung zu der dritten regul, sonst seÿe dieselbe auch noch umb 350 lb Capital (It. umb 300 pfund Capital verhafftet) über die angegebene beschwerde, welche d. Käuffer pro rato übernomm. pro rato ohne dem alß umb die helffte zuvorhin possessor zu leid. hat, zugegang. und gescheh. umb 40 pfund
[in margine :] Erschienen hierin gemeldte Daniel Maack der buchdrucker, und neben ihm Johann Reinhadt Maack der ledige Pergamenter, alß einen von d. hierinn gemeldt. Mackisch. Söhnen, haben in gegensein Friderich Maacken deß hierinn gemeldten Kaüffers angezeigt und bekandt, daß derselbe nicht allein seinen brud. Daniel, welcher in deß. verstorben, noch beÿ seinem lebzeit den th. am Kauffschilling gebührend 75 lnn nach vnd nach abgestattet (…) den 27. 8.bris 1698

Jean Frédéric Maag hypothèque la maison au profit du fournier André Nuss

1698 (27.8.bre), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 688-v
Johann Friderich Maag, der haußfeurer mit beÿstand H. Daniel Maagen deß Buchtruckers
Andreßen Nußen, deß Haußfeurers, schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, hauß und hoffstatt, mit allen dern Gebaüen, recht. und zugehörden allhier am baarfüßerplatz, einseit neben Friderich Röhrmann den groß Uhrenmach. anderseit neben weil. Peter dieterlins gew. Mahlers sel. Erben, hind. auff d. brenten End stoßend geleg. darvon gehend jährlich 16 ß und für 2 fl. 4 ß Zinß der Samlung zur dritten Regul

Jean Frédéric Maag vend la maison au fournier Laurent Trœster

1699 (28.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 662
Johann Friderich Maag der Haußfeurer mit beÿstand Andres Nüßen auch Haußfeurers seines Schwagers
in gegensein Lorentz Tröstlers deß Haußfeurers
Hauß und Hoffstatt mit allen deren gebaüen, Begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer Platz einseit neben Friderich Röhrmann dem groß Uhrenmacher anderseit neben Nicolas Marlay, Caffetier hind. auffs Brenter End stoßend gelegen, darvon gehend Jährlich 16 ß und für 2. Kappen 4 ß d Zinnß der Sammlung Zur dritten Regul, so seÿe daßelbe auch noch umb 350 lb (und umb 350 lb verhafftet), geschehen umb 550 pfund

Fils de Jean Trœster d’Eisfeld en Saxe, Laurent Trœster épouse en 1677 Anne Marie, fille du baquetier Laurent Martzolff
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 174-v n° 23)
1677. 23. Aprilis copulirt worden Lorentz Tröster lediger Beck Johann Tröster gewesenen burgers Zu Eßfeldt in Saxen hinterlaßener Sohn v. Jgfr. Anna Maria Lorentz Marzloff deß Küblers v. burgers alhier eheliche tochter (im 177)

Originaire d’Eisfeld en Franconie, Laurent Trœster devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1677, 4° Livre de bourgeoisie p. 440
Lorentz Tröster der hausfeürer von Eisfeldt in Francken empfangt das burgerrecht von seiner haußfrawen Anna Maria, Lorentz Marzolffs des Küblers alhie dochter p. 8. golt fl. welch beÿ der Cantzleÿ erlegt word. seindt, ist Zuvor ledigen standts gewesen undt will Zu denen Becken dienen. Jur. 10. Maÿ 1677.

Laurent Trœster se remarie en 1686 avec Salomé, fille du boucher Georges Kraus : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften und achtbahren Lorentz Tröstern, Schwartzbecken und burgern Zu Straßburg, als hochzeitern ane Einem und der Ehren und tugendreichen Jungfrauen Salome Kraußin deß Ehren vorgeachten und wohlachtbahren H. hannß georg Kraußen Metzgers und burgers allhier eheleiblicher Tochter, als d. hochzeiterin am Andern Theil (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt straßb. auff Donnerstag den 28.t. tag deß Monats Martÿ St. nov. in dem Jahr des herrn als man Zahlte 1656. Johann Christoph Stöffel Nots. publ.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 203)
1686. Aprilis. d. 24. Lorentz Tröster burger und Schwartzbeck allhier v. Jungfr. Maria Salome herrn Georg grausen Metzgers vnd burgers allhie ehl. tochter (im 205)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grande rue de l’Eglise. Ceux du mari s’élèvent à 364 livres, ceux de la femme à 100 livres.
1686 (1.7.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 19) n° 643
Inventarium vndt beschreibung aller vndt jeder Haab vndt Nahrung so der Ehren v. bescheidene Mstr. Lorentz Tröster Schwartzbeck vnd burger alhie vndt die Ehrn: und Tugendsame fr. Maria Salome Kraußin, H. Georg Kraußen deß Metzgers vndt burgers alhie Eheliche dochter beede Eheleutt einander in den ohnlängst angetrettenen Ehestand für unverändert Zugebracht haben (…) Actum in d. Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem beÿsein H. Georg Kraußen & der Fr. leiblich. Vatters obgemelt vnd deßelben nunmahlig Ehelich. haußfr. vndt dann & Johannis Claußen des Stuben Vatters auf d. becken Knecht herberg alß deß Manns seiner in vorig. Ehe Ehelich erzielter Kinder geschwornen Vogts, Montag d. 1.ten Julÿ Stylo novo Anno 1686.
In einer d. Statt Straßburg in d. grß. Kirchgaß gelegenen Und hiehero nicht gehörig. Behaußung ist befunden worden wie volgt
In d. Obern Stuben, In d Stub Cammer, In d. Cammern am obern Haußöhren, Im obern Haußöhren, In d. Soldat. Cammer, In d. Vndern Stub, In d. Kuch. Haußöhren, In d. Knecht Kammer, Im Backhauß, Im Keller
Sa. haußraths M 189, F 109, Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig M 17, Ahne Wein und lehren Vaßen M 6, Ahne Schweinen M 3, Ahne Früchten V. Meel M 30, Ahne Silbergeschirr v. Geschmeid M 9, F 16, Ahne guldinen Ring M 1 F 19, Ahne Baarschafft F 35, schulden in die Zubringend Nahrung Zugeltend M 5, F Nulla, Summa summarum M 364 lb, F 100
Schulden M 154 – Haussteuren 16 lb

Laurent Trœster acquiert en 1700 la maison à l’arrière de la sienne donnant dans la rue du Coin Brûlé

1700 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 80
Anna Dorothea geb. Theurkauffin, Hans Georg Wittmanns des Kieffers haußfrau, mit beÿstand Hn Christoph Wöhrle deß Kirßners Ihres Curatoris, wie auch Johann Georg Theurkauff, deß Kürßers ihres leiblich. bruders [unterzeichnet] Anna dorothea Wittmenin geborne deürr kauffin, hanß gerg deürr Kauff
in gegensein Lorentz Trösters deß haußfeurers [unterzeichnet] Lorentz Trester
Hauß, Höfflein, hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, Recht. und zugehördten allhier am brendt Endt, einseit neben dem kaüffer selbst. and. seit neb. einer behaußung der fabric deß Münsters gehörig, hind. auff Nicolas Marlay den Caffetier ux. noe. stoßend geleg. – um 300 pfund

Laurent Trœster et Salomé Krauss hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Jacques Sachs

1720 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 84
Lorentz Tröstler haußfeurer und Salome geb. Kraußin beÿständlich Joh. Martin Strohl Kiefers und Jacob Stahl weißgerbers
in gegensein H. Joh. Jacob Sachs Med: D.ris und Practici – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre vorder und hinterhauß allhier ahm baarfüßer platz einseit neben Andreas Schäfer anderseit neben Marly dem Caffetier hinten auff d. branden Endt, davon gibt mann 1 lb zur rothen kirchen
Item ein Garten c. appert: im becken wäldel zwischen S.T. frauen von Wormßer und Cuhn dem weißb: gelegen und gibt mann 3 lb 10 ß ane bodenzinß darvon auf dem Pfthrn. (und grund)

Laurent Trœster meurt en 1720 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants du deuxième. Les experts estiment la maison à 1 250 livres. La masse propre à la veuve est de 1 135 livres, celle des héritiers de 107 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 965 livres et le passif à 2 927 livres.

1720 (2. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 48) n° 1587
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehren und Vorachtbare Herr Lorentz Tröster geweßenen Schwartzbeck und burger allh. Zu Straßb. nunmehr seel. nach seinem den 30. Junÿ instehend. 1720. Jahrs aus dießer welt genommenen töd. Ableiben zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allh. in der König. fr. St. Str. auff Montag den 2. Septembr. A° 1720
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben hinterlaßen wie Volgt. 1. Fr. Mariam Elisabetham Ehlerin gebohren Trösterin, herrn Johann Jacob Ehler, Schwartzbecken und burgers allh. Zu Straßb. Ehegattin, welche der Verstorbene seel. in Erster Ehe mit weÿl. Fr. Anna Maria gebohr. Martzolffin erzeugt, so auch beneben gedachtem ihrem Ehemann mit fernerem assistentz Tit. herrn Abraham [Kolb] Notÿ pbl. et Practici burgern allh. dem Geschäfft persönlich beÿ gewohnt
2. H. Lorentz Tröster, Ledigen Schwartzbecken so Majorennis und ohnbevögtigt auch vor [sich der] Inventation persönlich abgewartet, So dann 3. Fr. Mariam Salome Stallin gebohrene Trösterin Herrn Johann Jacob Stallen Jun. weißgerbern und burgers allh. Ehelebste, welche beede gleichfalls von anfang biß Zum End beÿ dem Geschäfft erschienen, diese 2. Letztere Kinder seind in 2.ter Ehe Von dem abgeleibten seel. vnd der hinterbliebenen Wittib gezeuget worden. Alßo alle 3. dißorts eheleibliche Kinder Zu gleichen portionen und Stammtheilen nachgelaßene Erben
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli Reciproci

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung volgender massen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obersten bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der mittlern Stub, In dero Cammer, Im Haußöhren, In des Offoiciers Stub, Im gärtlein, In der untern Wohnstub
Eigenthumb ane Häußern (T.) Ein Vorder: und i. hinderhauß m. der hoffstätten, auch allen ihren gebäuen begriffen, weithen, Zugehörd. Rechten v. gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer platz, i.s. neben Nicolas Marley Caffetier 2.s. neben Johann Georg weißhaar dem fastenspeishändlern hinden auff das brand ein end stoßend gelegen, davon gehen Jährl. 16 ß d und vor 2. Cappen 4 ß d Zinnß der Samlung Zur dritten Regel thl. Zu doppeltem Cap. à 5. p. Cto gerechnet 40. lb. sonst eigen und seind solche beede Häuser durch die allh. geschwhr. Werckmeistern vermög deren beÿ mein Notÿ Concept befund. schrifftl. Abschatzung de dato 2. August A° 1720. æstimirt worden 1250. lb. Abgezogen vorstehende beschwerde der 40. lb so verbleiben annoch p. rest außzuwerffen 1210. Darüber und Zwar über das Vorderhauß bes. j. teutsch. perg. Kffbr. m. de. St. Str. anh. C. C. Ins. verwahrt datirt den 28.3 Xbr. A° 1699. m. N° A notirt. über das hinderhauß ist gleichfalls vorhanden i. in allh. C. C. stuben gefertigten Kfbr. mit gedachter C. C. stub anh. Ins. verwahrt, datirt den 4. febr. A° 1700. mit N° 2. Dabeÿ derer 3. perg. Kfbrff über besagte behaußung besagend und mit d. C. C. stub Ins. verwahrt deren d. 1. datirt den 5. Julÿ A° 1677, der andere d. 22. Julÿ 1692. und d. 3.te den 22. Xbr. 1699. alle mit N° 3. bemerckt
(T.) Item ein Garthenhäußlein (…) in dem sogenannten Beckenwäldlein (…)
(f° 15) Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßener Eheleute einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1686. durch weÿl. H. Philipp Heinrich Theum Notm. seel. auffgerichtet, ist Ihro der Wittib Zu ergäntzen wie volgt.
Wÿdumbs Verfangenschaft Wavon das Eÿgenthumb finito usufructu dißorths wittib pro parte eÿgenthümblich anfällig. Weÿl. herr Hannß Geörg Krauß sen. geweßener Metzger und burger allhier diß orths Wittib geliebter Vatter seel. hat Frawen Anna Maria gebohrner Ewingerin seiner nachgelaßener annoch lebenden Wittib crafft mit Ihro auffgerichteten Eheberedung §° 4.to ad dies vitæ Jährlichen (…)
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt straßb. auff Donnerstag den 28.t. tag deß Monats Martÿ St. nov. in dem Jahr des herrn als man Zahlte 1656. Johann Christoph Stöffel Nots. publ.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Guth belangendt, Sa. haußraths 33, Sa. Leerer Vaß 2, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 10, Sa. Pfenningzinß hauptguths 75, Sa. Schulden 62, Sa. Ergäntzungs Rests 947, Summa summarum 1135. lb
Der Erben Nahrung anlangendt, Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzung 105, Susann 170 lb – Schulden per se, Nach deren Abzug 107 lb
Theilbahre Verlaßenschafft belangend, Sa. haußraths 91, Sa. Schiff und geschirrs 10, Sa. Wein und Leerer vaß 104, Sa. Silbers 36, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eÿgenthumb ane häußern 1410, Sa. Eÿgenthumbs ane liegende güthern 157, Sa. Schulden 155, Summa summarum 1965 – Schulden 2927 lb, In Compensatione, Theilbar Passiv Onus 962 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 281 lb
Abschatzung d. 2.ten Aug. anô 1720. Weÿland deß Ehrenhafften vnd bescheÿtenen H. Lorentz Druster, schwartzbeck Seel. hinder Lassenen: Frau Witib Vnd Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg Auff dem Barfüßer platz gelegen, Ein Seith Neben Müsi Martin, Caffier, Anderseith Neben Hn Johann Görg Weißhar, hinden auff daß Brendten Ende stoßendt, welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammern, Küchen, Ein Becken offen, bach stuben Ein Gewölbter Keller, Mit: Camin stein besetz Ein Alt Neben gebeÿ, Mit Einem hallben tach darunder Ein stuben, Zweÿ Kammeren, hauß Ehren, Ein Gebälckter Keller, vnd höffell, Sampt Aller Ihrer Gerechtigkeith, wie solchs durch der Statt Straßburg geschwohrnen werck Leüthen in der besichtigung befundten, vndt dem Jetzigen preiß Nah angeschlagen wirt Vor vndt umb Zweÿ Tausendt Fünff Hundert Guldenn
der Ander Begriff Ist Auch Alhier: Vor dem Fischer Thor: im Beckhen wälltell gelegen (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohrnen Werckleüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs

Vente de meubles meublants
1721, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 51) n° 1669
Verkauff: und Looß Registerlein über dasjenige so abe weÿl. H. Lorentz Trösters geweßenen schwartzbecken und burgers allhier nunmehr seel. hinterlaßenen Mobilien erlößet worden, auffgerichtet Anno 1731

Marie Salomé Krauss meurt en 1726 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient à son gendre Jean Jacques Stall rue du Coin Brûlé. L’actif de la succession s’élève à 657 livres, le passif à 73 livres.
1726 (18.9.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 2) n° 31
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so weÿland die Ehren und tugendsahme Frau Maria Salome Trösterin, gebohrener Kraußin, weÿl. des Ehren und wohlvorgeachten Herrn Lorentz Tröster geweßenen Haußfeurer und burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßene wittib nun auch seeligen, nach Ihrem den 24. Augusti dießes lauffenden 1726.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren 1. Lorentz Tröster, Haußfeurer und burgers allhier, So dann Frauen Annä Mariä Stallin gebohrener Trösterin, Herrn Johann Jacob Stallen des weißgerber und burgers allhier Eheliebstin mit deßelben Assistentz, beeder der abgeleibten Frauen seel. eheleiblicher Kinder und ab intestato Zu Zweÿen gleichen Antheilern nachgelaßene Erben fleißig inventirt (…) So beschehen in Straßburg Mittwochs den 18.ten Septembris Anno 1726.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Brend ein end gelegenen H. Johann Jacob Stallen dem dißortigen Tochtermann eigenthümlich zuständigen behaußung sich volgendermaßen befund.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 64, Sa. Lärer vaß 16, Sa. Silber 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Schuld 572, Summa summarum 657 lb – Schulden 73 lb, Nach deren Abzug 584
Conclusio finalis Inventarÿ und erstallungs Summa 647 lb

La veuve et les héritiers de Laurent Trœster vendent leur part de maison à leur fille et sœur respective Marie Salomé Trœster femme du mégissier Jean Jacques Stall le jeune

1725 (22.12.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 643
Erschienen weÿl. Lorentz Tröster, gewesten haußfeürers und burgers allhier, nachgelaßene wittib, Fr. Maria Salome, gebohrene Kraußin, mit beÿstand ihres Curatoris, Hn. Johann Thomas Römer, Procuratoris vicarÿ und Jurium Practici, Ferner erstged. Trösters in erster ehe, mit weÿl. Fr. Anna Maria, gebohrener Marzolffin, ehelich erzeugt, und hinterlaßene tochter, Fr. Maria Elisabetha geb. Trösterin, Johann Jacob Öhler, haußfeurers Ehefrau, beÿständlich deßelben, so dann Lorentz Tröster, der haußfeurer
haben in gegensein ihrer respective tochter, zweÿbändig: und einbändigen schwester, Mariæ Salome gebohrener Trösterin Johann Jacob Stall, Junioris, weißgerbers und burgers allhier Ehefrauen, beÿständlich deßelben, (…) ihro Stallischer Ehefrauen, als ihrer tochter ihr Öhlersichen ehefrauen einbändiger und sein Trösters zweÿbändiger schwester, für sich selbst (…) mit genehmigung sein Stallen ihres Ehemanns, so an sothanem Kauff keinen theil zu nehmen, sondern das erkauffte seiner Ehefrauen als ein in vätterlicher Erbschaffts: abtheilung übernommenes guth für ohnverändert zu laßen, sich erklähret, erkaufft und uübernommen Zu haben bekantlich were
Sieben neundte theil für ohnvertheilt, Erstlichen ahne einer Becken: behausung bestehend in Vorder: Nebens: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt, mit allen derßelben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Recht : und gerechtigkeiten, allhier ahm Baarfüeßer platz, einseith neben Nicolas Marly, dem Caffetier, und Johann Bronnen dem Tapezierer allhier, anderseith neben weÿl. Johann Georg Weißhaar gewesten weinhändlers, nachgelaßenen Erben, hinten auff das so genannte Brändt ein end stoßend gelegen, davon gibt mann jährlich der Sammlung zur dritten Regul, modo dem Corpori pensionum allhier, 16 ß und vor zween Cappen 4. ß. Zinnß, so seÿen auch besagte haußer nebst hernach verkaufftem Garten (umb 350, 450, 300, 200 ahne capital verffändet) und der Trösterischen wittib, zu dreÿ, ihr Öhlerin zu zweÿ, ihm Tröster zu zweÿ, und der Käufferin selbst ebenfalls zu zweÿ Neundten theilen eigenthümlich zuständig
Ferner verkauffen dieselbe Sieben neundte theil ahne einem ohngefehr ein halb Viertzel grundts haltenden Gärttlein, sambt einem daran stehenden Zweÿstöckigten gartten häußlein, einem Schweinstall, bronnen und hoffstatt, mit allen deßen begriffen und Zugehörden, vor dem Fischer: thor hießiger Statt, Zwischen denen dreÿen brucken, im Beckenwäldtlein, einseith neben der hochadelischen Fr : von Lenck, gebohrner waldtnerin von Freundtstein, anderseith neben weÿl. Johann Georg Kuhn gewesten weißbecken Erben, oben auf das Allmend, und unten den Pulver gießen stoßend gelegen, davon gibt lann jährlich 3 lb 10 ß ahne allmend zinß allhiesigem Pfenning Thurn – denen verkäuffern zu oberwehnten sieben, der Käufferin aber zu zween Neuendten theilen, als ein eigenthumb Zugehörig (…) über angegebene Zinß und Allmend Zinß, auch die 1650 lb. außmachende capitalien, so die Käufferin pro rato gekauffter antheiler übernimbt und die Verkäuffere deßwegen schadloß Zu halten Verspricht, Zugegangen und beschehen auff den fueß von 2100 lb. umb welche die gantze behausung, und auff den fueß von 250 lb warumb der gantee gartten cum appertinentÿs gewürdiget worden

Fils du mégissier Jean Jacques Stall l’aîné, Jean Jacques Stall épouse en 1708 Marie Salomé Trœster : contrat de mariage, célébration
1708 (20.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 461
Eheberedung Zwischen Herrn Johann Jacob Stallen dem Jüngern Weißgerber vnd burgern allhier als dem brauthigams, beÿständlich herrn Johann Jacob Feurabendt Kürßner vnd burgers allhier sein des hochzeiters Großvattern vndt herrn Johann Jacob Stallen Sen: auch Weißgerber vnd burgers allhier deßelben vatters, ane einem
So dann Jgfr. Mariæ Salome Trösterin, herrn Lorentz Tröster hausfeürer vnd burgers allhier ehelichen tochter, als der Jungfr. hochzeiterin mit assistentz gedachts Ihres vattern vnd herrn Johann Michael Barbenes, Kauffhaus bedienten vnd auch burgers allhier andern theils (…)
Actum Straßburg Montags den 20.ten Februarÿ A° 1708. [unterzeichnet] Johann Jacob Stall den Jügn Als hoch Zeiter Bekene Wie Ob Steth, Maria Salome Trösterin Als hoh Zeiterin bekene Wie obstet

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 9-v)
1708. Eodem [d. 18. Aprilis] sind Ehelich eingesegnet Word. Johann Jacob Stahl lediger Weißgerber H. Johann Jacob Stahlen Weißgerbers vnd Burgers allhier Ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Maria Salome Hrn Lorentz Trösters burgers vnd Schwartzbecken allhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johan Jacob Stall als hoch Zeiter, Maria Salome Trösterin als hoch Zeiterin (i 12)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient à Jean Jacques Stall l’aîné rue du Coin Brûlé. Ceux du mari s’élèvent à 159 livres, ceux de la femme à 311 livres.
1708 (5.8.bris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 20) n° 764
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehren und Vorachtbahre herr Johann Jacob Stall Jun. Weißgerber und die Viel Ehren und tugendsahme Fraw Maria Salome gebohrne Trösterin einander in den Ehestandt zu gebracht und vermög auffgerichter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen allhier in der Königlichen freyen Statt Straßburg in fernerem gegenseyn des Ehren vnd wohl vorgeachten herrn Lorentz Tröster Schwartzbecken und burgers allhier der Ehefraw geliebten vatters Freÿtags den 5.ten 8.bris 1708.
In einer allhier Zu Straßburg in dem Branden Endt gelegenen hr Johann Jacob Stallen Sen. deß Ehe Manns Vatter eigenthümlich zuständig. behaußung sich volgender Maßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der wohnstub, In der Stub Cammer
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns Nahrung, Sa. haußraths 67, Sa. Silbers 27, Sa. baarschafft 64, Summa summarum 159 lb
Der Frauen Guth, Sa. haußrath 196, Sa. Silbers 7, Sa. Goldener Ring 22, Sa. baarschafft 85, Summa summarum 311 lb

Jean Jacques Stall devient tributaire chez les Tanneurs en mars 1807
1708, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 31) Mittwochs den 21. Martÿ Anno 1708
Johann Jacob Stall Jun. Weißgerber vnd burger allhier, herrn Johann Jacob Stallen auch Weißgerber vnd Burgers allhier ehelicher Sohn, producirt Stallschein vom 20. Martÿ Anno 1708. bat umb das Zunfft vnd deßen vatters recht. Erkant, willfahrt hat Zu erlegen vor die gebühr sambt der befreÿung der feür Eÿmer 1 lb 10 ß, gab Zur feürspritz 5 ß vnd Spendirte 15 ß

Marie Salomé Trœster femme de Jean Jacques Stall hypothèque la maison au profit du passementier Jean Jacques Schwartz

1733 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 487-v
Fr. Maria Salome geb. Trösterin weÿl. Johann Jacob Stall Junioris weißgerbers hinterlassenen wittib beÿständlich ihres geschwornen vogts Johann Philipp Strohl des Kieffers
in gegensein Johann Jacob Schwartz des Paßmentirers
Ein ohngefähr ein halbes vierzel grundts haltenden gärttlein sambt einem darinn stehenden zweÿstöckigen garttenhäußlein Schweinstall und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten vor dem Fischerthor zwischen denen dreÿen brucken im Beckenwäldtlein einseit neben der wohlgebornen Fr: von Lenck geb. Waldnerin von Freundstein anderseit neben weÿl. Johann Georg Kuhn weißbecken erben oben das allmend unten dem Pulvergießen – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 3 lb 10 ß ane allmend zinß
zudem und ihre allhier am Barfüßerplatz einseit neben Nicolas Marly dem Caffetier theils theils neben H Michael Schröder dem Zahnartzt anderseit neben weÿl. Johann Georg Weißhaar weinhändlers erben hinten auff das Brandtein end gelegene Vordere hindere und Nebens behausung höfflein und hoffstatt (…) hypothecirte, ferner erschienen der verkäuferin tochtermann David Stamm der weißgerber (…) verbürgt – 150 pfund

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1735 (3.1.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 2
Fr. Maria Salome geb. Trösterin weÿl. Johann Jacob Stall weißgerbers wittib beÿständlich ihres Curatoris Philipp Strohl des kieffers, ferner deroselben tochter Maria Salome geb. Stallin und deroselben ehevogt David Stamm der weißgerber, besagten Stammin mit beÿstand ihres vatters bruders H. Johann Stall silberarbeiter und ihres mutter schwagers hannß Jacob Öhler des fastenspeishändlers
in gegensein Johann Jacob Schwartz des Paßmentirers – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Baarfüßer platz einseit neben Johann Georg Beÿrath dem Chirurgo, anderseit neben Jacob Schreiber dem weinhändler ehevögtlichen weiß hinten auff das gebrandte Endt

Autre hypothèque entre les mêmes parties

1737 (31.5.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 370
Fr. Maria Salome geb. Trösterin weÿl. Johann Jacob Stall des weißgerbers hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres Curatoris Johann Philipp Strohl des kieffers
in gegensein Johann Jacob Schwartz des Paßmentirers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine schwartzbecken behausung bestehend in Vorder: nebens: und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten auff dem Baarfüßer platz, einseit neben Georg Nicolaus Beÿrath Chirurgo, anderseit neben Stephan Schreiber weinhändler ehevögtl. weiß, hinten auff das gebrannte End und einen ausgang in daßelbe habend – davon gibt man der hohen schuel 1 lb ane bodenzinß – als ein von ihren miterben in elterlicher verlassenschafft abtheilung käufflich übernommenes guth

Marie Salomé Trœster meurt en 1751 en délaissant pour unique héritière sa fille Marie Salomé. Les experts estiment la maison à 1 050 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 472 livres, le passif à 2 000 livres.

1754 (26.5.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 50) n° 1038
Inventarium über Weÿland Frauen Mariä Salome Stallin gebohrener Tröstlerin, auch weÿl. Herrn Johann Jacob Stall, gewesenen Weißgerbers und burgers allhier nachgelaßener Wittib seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1754. (…) nach ihrem den 14.ten Septembris Anno 1751. geschehenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen und begehren Frauen Mariæ Salome Stammin geb. Stallin, Herrn Johann David Stamm des Weißberger und Burgers allhier Ehegattin, der Verstorbenen, seel. nach todt Verlaßener einiger Tochter und Erbin, fleißig inventirt – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 16.ten Maji Anno 1754.

Hierauf wird nun die Verlaßenschafft wie sich solche in hernach inventirter ane dem Brandein end gelegener Behaußung befunden vor und ane sich selbsten
Eigenthum ane Häußern. Nemlichen ein Vorder: und ein Hinterhauß mit dero Hoffstäffen auch allen ihren Gebäuen, Begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen in allhiesiger Statt Straßburg ane dem Baarfüser platz, ein Seith theils neben Johann Daniel Ehingern dem Feyelhauer und theils neben H. Stephan Schreiber dem Weinhändler, ander Seith neben Herrn Johann Georg Weißhaar, des Weinhändlers Erben, hinten auf das Brandein end stoßend, davon gehen jährl. auf Weÿhenachten 16 ß Erblehenzinß vor zweÿ Cappen Zinnß der Sammlung zur dritten Regel, so Herr Philipp Jacob Ösinger, Schaffner zur hohen Schuhl einziehet, thut Zu doppeltem Capital à 4 pro C° gerechnet 40 lb, Ferner 15 ß Zinnß allhiesigem Pfenningthurn jährl. auf Joh. Bapt: Von einer in das hinter Nebens hauß durchgebrochenen Thür, so zu Capital ohnvergreiflich gerechnet antrifft 15 ß, Sonsten über die hernach passivé eingetragene Capitalien ledig und eigen vnd sind solche beede Häußer durch den jetzmahligen Herrn Werckmst. vermög deren außgestellten schrifftlichen Abschatzung de dato 6. Junii 1754. æstimirt worden vor 1050. lb. Davon abgezogen Vorstehende beschwerden antreffend 55. lb. So Verbleiben ane dem Abschlag nach hier außzuwerffen übrig 995. lb. Darüber besagt ein perg. Kauffbrief auß allhiesiger C. C. Stub de dato 24.ten Decembris A° 1725. nach welchem der Frau seel. Vorbesagte beede Häüßer auf Absterben Herrn Lorentz Trösters ihres Vatters seel. Von ihrer Mutter und Bruder cedirt und Käufflichen überlaßen worden. Ferner 5. Pergament: Kauffbrief mit der C. C. Stub anhangd. Insiegel verwahrt mit datis 28. Decembris 1699. 4. Febr: 1700, 22. Julÿ 1692, 22. Decembris 1696.
Item ein Hauß, Hoffstatt und Höfflein ane dem Brandeinend (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 77, Sa. Silbers 26, Sa. goldener Ring 10, Sa. Eigenthums ane Häußern 1358, Summa summarum 1472 lb – Schulden 2000, In Compensatione 527 lb
Abschatzung Vom 6. Junÿ 1754. Auff begehren Weÿland Mariæ Salome Stahlin gebohrener trösterin seel. hinderlaßene Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem brenden End (…)
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg auff dem Baarfüßer Platz einseits neben Stephan Schreiber anderseits neben Daniel Öhnger dem Feÿelhauer und hinten ebenfalls auff Stephan Schreiber stosend, gelegen, solche behaußung bestehet in dreÿ Stuben, einer Küchen und etlichen Kammeren, hat auch einen bachoffen und gewölbte bachstube, wie auch ein gewölbter Keller, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Zweÿ Taußend und Ein Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister

La maison revient à Marie Salomé Stall qui épouse en 1733 le mégissier Jean David Stamm, fils du batelier Jean Jacques Stamm : contrat de mariage par lequel la mère de la future épouse loue aux futurs époux la maison rue du Coin Brûlé, célébration

1733 (5.5.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 94
Eheberedung Zwischen Johann David Stammen, dem Ledigen Weißgerber, herrn Johann Jacob Stammen, Schiffmann und E E Kleinen Raths allhier alten beÿsitzers ehelichem Sohn, als hochzeitern, mit beÿstand gedachten seines Vatters und hrn Philipp Jacob Merßÿ, Gastgebers, seines Vogts, wie auch hrn Daniel Stamm, visitatoris beÿ dem neuen allmoßens des Policeÿgerichts, seines Vettern ane einem
So dann Mariæ Salome Stallin, weÿl. hrn Johann Jacob Stallen geweßenen weißgerbers und burgers allhier seel. nachgelaßenen ehelichen Tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin mit genehmhaltung Frauen Mariæ Salome Stallin gebohrner Trösterin, Ihrer Leiblichen Mutter und H Joh: Philipp Strohlen weinhändlers deren Mutter Vogts, wie auch H Geörg Christian Stallen, Weißgerbers Ihres Vattern und Curatoris an andern theil
8. Offerirt der Jgfr. hochzeiterin Fr. Mutter die beede Verlobte Persohnen die Zeit Ihres lebens der Jgfr. hochzeiterin Vätterlich ane dem brenden end gelegene behaußung welche Sie die Mutter lebtägig wÿdums weiße Zugeniesen berechtiget, mit außnahm der wohnung, so Sie die Mutter darinnen vor sich benöthiget und vorbehalt, um den Jährlichen Zinnß von 28 Gulden lehnungs weiße Zu überlaßen, alßo daß Sie solches hauß Zu Ihrer Profession soviel die werckstatt und der hindern Völlige Stock nebst dem gewölbten Keller und der untern Stub im Vordern Stock um solchen Zinnß Zubewohnen, hingegen die Mutter in deren Stub und Cammer biß auß der untern, im hoff befindlichen Cammer mit gemeinschaftlichen unkosten wie Sie sich deßwegen Vergleichen werden, eine Stub gebauen seÿn wirdt Zu dulden, masen alß dann die Mutter solche neuerbaute Stub nebst einer Cammer Vor Ihre Wohnung sich außerwehlt, da aber die Mutter sich in Zwischen Verheurathen und diese sich erwöhlte wohnung verlaßen alßo beeden Verlobten das völlige hauß übergeben würden Ihro der Mutter Von beeden Verlobten 40 Gulden Jährlichen Zinnß abgerichtet werden solle.
Actum Straßburg auff Dienstag den 5. May Anno 1733 [unterzeichnet] Johann David Stamm als Hoch Zeiter, Maria Salome Stallin als hochzeitirin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 148-v)
1733. domin. II et III Trinit. seind Außgerufen vnd Mittwochs darauff den 24. Julÿ Ehelich eingesegnet worden Johann Davidt Stamm der ledige Weißgerber vnd Burger allhier H Johann Jacob Stamm E. E. Kleinen Raths alhier Beÿsitzers vnd Schiffmanns alhier Ehel. Sohn vndt Jungfrau Maria Salome Stallin Johann Jacob Stallen gewesenen Burgers vndt Weißgerbers alhie Nachgel. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann David Stamm Als Hochzeiter, Maria Salome Stallin Als hochzeiterin (i 151)

Jean David Stamm meurt en 1779 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre à la veuve est de 386 livres, celle des héritiers de 625 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 055 livres et le passif à 758 livres.

1779 (23.9.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 772) n° 715
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren und Wohlachtbaren H: Johann David Stamm, des gewesenen Weisgerbers und lederhändlers auch burgers dahier Zu Straßburg nunmehro seel. Vermögens Nachlaßenschaft, aufgerichtet im Jahr 1779. (…) nach seinem Freÿtags den 6.ten augusti dieses 1779.sten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödl. Hintritt, verlaßen hat, Welche Vermögens Nachlaßenschaft auf Veranstalten und begehren des H. Defuncti seel. mit seiner hienachermelter Ehegattin und nun hinterlaßenen Fraun Wittib ehel. erzeugt Zu intestats Erben hinterlaßen und gleich hienach benamßter Kindere eines und andern Theils der Viel Ehr: und Tugendbegabten Fraun Mariæ Salome gebohrner Stallin der hinterbliebener Fraun Wittib hiebei mit H. Johannes Stamm, dem Weißgerber und burger alhier verbeÿstandet – So beschehen Straßburg, auf Donnerstag den 23.ten Septembris 1779.
Benennung der Erben. Des abgeleibten H. Stamm seeligen hinterlaßenen intestats Erben, sind mit Namen und 1° H. Johannes Stamm der leedige Weisgerber und Saffian fabricant alhier anwesend, und folgsam dem Geschäfft in Persohn abwartende, 2° die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Salome Kess gebohrne Stammin, weil. H. Johann Frid. Keß, des gewesenen Handelsmann und burgers dahier hinterbliebenen Frau Wittib, auch persönl. Zugegen, 3° die Ehren und Tugendsame Jungfrau Anna Maria Stammin, 4° Jungfrau Maria Magdalena Stammin, beÿde Großjährigen alters u. ebenmäßig in Person gegenwärtig, wobeÿ zu wißen daß erstbenannte 3. Frau, und Jungfrau Töchter H. Sebastian Stamm, der Metzger und wolangesehener burger dahier, ihren geehrten H. Oncle Zum beistand erbetten, der auch zugleich mit ihnen beÿ diesem Geschäft gegenwärtig und auf deroselben Nutzen bedacht war. Also alle Vier des H. Defuncti seel. mit Eingangs erwehnter seiner Ehefraun und nun hinterlaßener Frau Wittib ehel. erzeugte Kinder ab intestato zu vier gleichlingen portionen verlaßene Erben

In einer alhier Zu Strasburg an dem Brand ein End gelegener hieher eigenthümlich zuständigen behausung, hat sich befunden als
Eigenthum an Häuseren (W.) Erstl. eine beckenbehausung in Vorder und Hinter Gebäu bestehend, mit dero Hoffstetten auch allen übrigen deren Gebäuen, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alh: Zu Straßburg an dem barfüsser Platz, einseit neben Mr Joh: Georg Holderer, dem Kiefer, anderseit neben H Joh: Georg Fischer, dem hiebevorigen biersieder, hinten auff dem Brand ein Ende stoßend, davon ist man jähr. abzurichten verpflichtet, und zwar auf Weÿhenachten 16. ß Erblehen Zins und vor 2. Cappaunen 4. ß der Samlung Zur dritten Regul, so von Seiten der hohen Schul alhier eingezogen wird, Ferner löbl. Stadt jeweil. termino Joh: Baptistæ auf deroselben Pfenningthurn Zalbar 15. ß Zinnß von einer in das hintere Nebenshaus durchgebrochenen Thür, Ansonsten und über die darauf annoch versichert stehende, auch hienach passive eingetragene Capital Posten ist solche behausung, gegen männig. freÿ, leedig, eigen und solcher Art durch (die Werckmeistere) Zufolg deroselben unterm 21. 7.bris jüngst ausgestellten Abschatzung Scheins gewürdiget und angeschlagen worden pro 600. lb ß. d. Es kommet aber davon in Abzug der vorbemelten davon giebigen Zinnsen doppelter Capitals betrag mit 55. lb. Und demnach verbleibet an vorherigem Anschlag, Zur hierortigen Auswurf annoch übrig vnd vorständig 545 lb.
Diese Behausung hat sie hinterbliebene Frau Wittib als einzige Tochter und Erbin weil. Frau Maria Salome Stallin, gebohrener Tröstlerin auch weil. H: Joh: Jacob Stamm gewesenen Weisgerbers und burgers alhier nachgelaßener Wittib seel. Verlaßenschaft im Jahr 1754. ererbet. Ansonsten aber ist besagend darüber vorhanden ein in alhiesiger C. C. Stube erricht: und auf Pergament ausgefertigter Kauffbrieff d. dato 24.ten Decembris anno 1725. Kraftt deßen die Erblaßende Frau Mutter seel. vorbeschriebene behausung auf Absterben H. Lorentz Trösters ihres Vaters seel. von ihrer Mutter und bruder kauf: cedirt erhalten. Ferner 5. alte Pergamentene Kauffbrieff mit der C: C: Stub anhangendem Insiegel verwahrt, d: d: 28.ten Decembris 1699. 4.ten Februar. 1700. 22.ten Julii 1692. 23. 7.bris 1692. et 22.ten Decembris 1696.
(W.) It. eine behausung, Hoffstatt und Höfl. mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg an dem Brand Ein Ende (…)
Ergäntzung der Fraun Wittib währender Ehe abgegangenen unveränderten Vermögens. Nach Anleitung der Hienach allegirten über ihr der Fraun Wittib eingebracht, (…) Zufolg des, über beeder gewesener Ehepersohnen einander vor unverändert Zugebrachte Vermögenschaften, durch längst weiland H. Not. Johann Philipp Lichtenberger, am 28.ten Januarii 1734 erricht: und nun durch H. Not. Johann Daniel Saltzmann (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Abschrift der Eheberedung
Der hinterbliebenen Fraun Wittib unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 10, Sa. goldener Ring und dergl. Geschmeids 19, Sa. Eigenthums ane Häusern 933, Sa. Schuld 75, Sa. der Ergäntzung o, Summa summarum 1037 lb – Schulden 1423 lb, In Vergleichung 386 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unveränderten Vermögens Haabschaft in beschreibung gesetzt, Sa. Haußraths 35, Sa. Silverpostens 3, Sa. der Ergäntzung 661, Summa summarum 700 lb – Schuld 75 lb, Nach deren Abzug 625 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschaft beschrieben, Sa. haußraths 140, Sa. Schiff und geschirr zur Weisgerber Profession gehörig 5, Kauf und gegerbte Waar zur Weißgerber Profession gehörig 1012, Sa. des Weins und der leerer Faß 66, Sa. Pferds 6, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 44, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 40, Sa. baarschafft 200, Sa. Schulden 539, Summa summarum 2055 lb – Schulden 758 lb, Über abzug solcher passiv Schulden verbleibet 1297 lb
Beschluß und Verstallungs summa 1536 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg auf Dienstag den 5. Maÿ anno 1733, Johann Philipp Lichtenberger Notarius requisitus

Marie Salomé Stall cède la maison à ses filles Marie Salomé, veuve du marchand Jean Frédéric Kess, Anne Marie et Marie Madeleine Stamm

1781 (5.11.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 618) n° 93
Quittung Stammischer Kinder Väterliche Erbschaft – Überlaßung des hauses an dem Baarfüser Platz
Fr. Maria Salome geb. Stall des weil. H Joh: David Stamm gewesenen Weisgärbers Lederbhädlers hinterbliebenen Wittwe beiständlich H. Johannes Stamm des ebenmäßigen Weisgärbers
ihrer majorennen und deßwegen unbevögtigten dero Töchter namentlich Frau Maria Salome des weÿl. H Joh: Friedrich Keß handelsmanns Wittwe, Jungfraun Anna Maria und Jgfr. Maria Magdalena derer Stamm, auf Rechnung künftiger mütterlichen Erbschaft, mit beihilfe ihres Oheims H. Sebastian Stamm des Metzgers und EE. kleinen Raths alten beisitzers
eine in Vorder- und hinter- haus bestehende bäcker-behausung mit deren hofstätten höflein auch allen übrigen dazu gehörigen Gebäuden, begriffen, Weiten und Gerechtigkeiten (alle im Keller sich befindliche Fässer und Liegerlingen), das Vorderhaus ist an dem baarfüser Platz zwischen Joh: Georg Holderer dem Kiefermeister und H Joh: Georg Fischer vormaligem bierbrauer zum weisen hahn aber jetzigem Weinhändler ehevögtlicher weise, die hintere Gebäude auf die Gaß Brand ein Ende genannt stosend gelegen, Von dem gantzen haus reicht man jährlich auf Weihnachten 16 schilling Erblehenzins und 4 schilling an statt zween Kappaunen der Sammlung zur dritten Regel so von Seiten der hohen Schul alhier eingezogen wird, Weiter entrichtet man auf den hiesigen Pfenningthrun jeweilen auf Johannis des täufers tag von einer in das hintere Nebenshaus durchgebrochenen Thür 15 schilling an zins, Sonsten der Mutter als ein elterliches Erbgut eigen – 5000 gulden

Fils du secrétaire du même nom, Jean Frédéric Kess épouse en 1764 Marie Salomé Stamm : contrat de mariage, célébration
1764 (10.1.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 613) n° 30
Eheberedung – zwischen Herrn Johann Friderich Keß, dem ledigen Handelsmann, S. T. Herrn Johann Friderich Keß, beder Rechten Licentiaten und wohlbestellten Secretarii bei denen hochverordneten oberen Kanzleiherren, auch burgers allhier, mit längst weiland Frau Katarina gebohrener Hammererin ehelich erzeugtem Sohn, als dem H. Hochzeiter, an einem Theil
so dann Zwischen der tugendsamen Jungfrau Maria Salome Stammin, H Johann David Stamm, des Weisgerbers und Fruan Mariä Salome gebohrener Stallin, beder Eheleut und Bürger dahier, ehelich erzielter ältester Tochter, als der Jgfr. Hochzeiterin, an dem andern Theil
So geschehen in Straßburg auf den Schwörtag den 10. Jänner im Jahr nach Christi Geburt 1764. [unterzeichnet] Johann Friederich Keß als hochzeiter, Maria Salome Stammin Als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 273 n° 4)
Im Jahr 1764. seind Dominica Tertia & Dominica quarta post Epiphanias proclamirt und folgenden Ersten Februarii copulirt worden, Herr Johann Friderich Keß lediger Handelsmann und burger allhier, Herrn Johann Friderich Keß J. U. Lti und Secretarii beÿ löb. Cantzleÿ und burgers dahier mit weiland Fr. Catharina gebohrner Hammererin ehelich erzeugter Sohn, und Jgf. Maria Salome H. David Stamm Sen: burgers und Weißgerbers dahier und Fr. Mariä Salome gebohrener Stahlin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Kess als Hochzeiter, Maria Salome Stammin als hochzeiterin (i 143)

Marie Salomé Stamm fait dresser l’inventaire de ses apports soit 642 livres.
1765 (14.10.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 591) n° 75
Inventarium über Frauen Mariä Salome Kessin gebohrener Stammin zu H. Johann Friderich Keß, dem Handelsmann und Burger allhier Zu Straßburg, in die Ehe gebrachtes Vermögen, auffgerichtet im Jahr 1765. (…) in ihrem bereits den 1.ten Februarii A° 1763. mit einander angetrettenen Ehestand gebracht, und vermög des vierten Punckts ihrer den 10.den Januarii besagten Jahrs vor mir Notario auffgerichteten Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hat. – So beschehen (…) in Straßburg in einer auf dem Baarfüser Platz gelegenen, der Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständigen, dißorts lehnungsweißes weis bewohnenden Schwartzbeck: Behausung, auf Montag den 14. Octobris Vormittag im Jahr nach Christi Geburt 1765.
Sa. Haußraths 151, Sa. Silbers 36, Sa. goldener Ring 151, Sa. baarschafft 208, Summa summarum 547 lb – Dazugelegt die ihre gebührige Hälfte von hienach enthaltenen Haussteuren mit 95 lb – Vermögen 642 lb

Tributaire au Miroir, Jean Frédéric Kess cotise chez les Tanneurs pour faire commerce de cuir
1764, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 128-v) 997 Mittwochs den 11.ten Julÿ 1764
Herr Johann Friederich Keß, der handelsmann, so beÿ E: E: Zunft Zum Spiegel Leibzünftig, eröfnete beÿ seinem Vorstand das Ansinnen, daß er unter anderen auch mit Leder Zu handlen Vorhabens seÿe, mit beÿgefügtem Bitten, ihne beÿ dieser E. Zunft als einen Geld Zudiener anzunehmen. Erkannt Gegen Erlag der Gebühr Willfahrt

Marie Salomé Stamm fait dresser un état de fortune après que son mari a quitté la ville. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse place des Cordeliers. La masse propre à la femme est de 871 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 4 698 livres, le passif à 2 695 livres.
1766 (15.2.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 592) n° 78
Inventarium über Johann Friderich Keß, des von hier ausgetrettenen Handelsmanns, und Frauen Mariä Salome gebohrene Stammin, beder Eheleut und burger allhuer Zu Straßburg, dermaliges Vermögen und dagegen zu bezahlen habende Schulden, aufgerichtet im Jahr 1766. (…) welches nach des Manns wahrgenommenen Austritt, auf Ansuchen solcher nunmehr verlaßenen Ehefrau, beiständlich ihres leiblichen Vaters, Herrn Johann David Stamm, des hiesigen Burgers und Weisgerbers, Zur Rettung ihres unveränderten Guths, und dessen, was sie Krafft hienach einverleibter Ehevogt zu fordern hat, fleißig inventirt und untersucht, nach zuvor wegen getreuem Eigen und Zeigen sowohl von besagter Ehefrau, als auch von dem Lehrjung Philipp Duval, Von Rocroy in Champagne gebürtig, abgelegter Handtreu (…) So geschehen in Straßburg in einer auf dem Baarfüser Platz gelegenen der Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständigen, dißorts Lehnungs weis bewohnenden behausung, auf Sambstag den 15. Februarii im Jahr nach Christi Geburt 1766
Abschrift der Eheberedung. Der Ehefrau unveränderten Guts, Sa. Haußraths 300, Sa. Silbers 39, Sa. goldener Ring 51, Sa. baarschafft 1, Sa. Schuld 75, Sa. Ergäntzung 404, Summa summarum 871 lb
Diesemnach wird alles übrige Vermögen unter dem einigen Titel, so dem Ehemann gehörig beschrieben, Sa. haußraths 117, Sa. Waaren 1735, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmuck 100, Sa. Activ Schulden 44, Summa summarum 2003 – Schulden 4698 lb, Mehr Schulden als Vermögen 2695 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in des Ehemanns Vermögen Zugeltend 773 lb – Des Kinds Pathen: und geschenckt Gelts 12 lb

Marie Salomé Stall meurt en 1783 en délaissant quatre enfants. La valeur de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 782 livres, le passif à 2 289 livres.

1783 (18.11.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 605) n° 472
Inventarium über Weiland Fraun Maria Salome Stammin geb. Stallin, des Weiland H. Joh: David Stamm, gewesenen Lederhändlers, Weisgärbers und burgers alhier Zu Straßburg, nun auch verstorbene Wittwe Verlassenschafft, auffgerichtet A° 1783. (…) nach ihrem den 15. dieses laufenden Monats und Jahrs aus dießer welt genommenen seligen Abschied zurückgelassen hat – So geschehen und angefangen in Straßburg in hernach inventirter an den Brad ein End gelegener Sterbbehausung
Benennung der Erben. Die nun abgelebte Frau Stammin hat in ihrem hernach eingetragenen Testament die mit ihrem seligen Ehemann erzielte Kinder zu Erben eingesetzt und verlassen, mit Namen 1. Johannes Stamm, den Weisgärbern, Saffianmacher u. b. alh. Welchem wegen seiner Abwesenheit und Aufenthalts diesortiger Unwißenheit Hr Licentiat Johann Daniel Storr als Curator von SS. TT. den regirend. H. Ammeister d. 15. Nov. jüngsthin ex officio gesetzt (…) der in solcher Qualität disen Geschäft persönlich abwartete, 2. Frau Anna Salome geb. Stammin, des weil. H. Joh. Friderich Keß, gew. hies. b. u. hdlsm. Wittwe, 3. Jungfrau Anna Maria und 4. Jungfrau Maria Magdalena, die Stamm. Wobei anzumercken, daß der Sohn nur in den Pflichtteil, die drei grosjährigen und unbevögtigten Töchter aber in den Überrest der Verlassenschafft, mit ausnahm einigen Vorauses, Zu drei gleichen Theilen Zu Erben eingesetzt sind, und beiständlich ihres Vettern H. Joh: Friedrich Grün, des Gastgebers Zum Blauen Hecht u. b.dahier, hiebei gegenwärtig waren
Verschloßenes Testament, welches die nun Entseelte d. 17. Nov. 1781 gestiftet hat. Hinterlegungs-Act

in hienach inventirter ane dem Brand ein End gelegenen Sterbbehausung
(f° 14) Eigentum an Häusern. (IV. C. N° 236) Nämlich I. in Vorder- u. Hinder-Gebäude bestehende Bäckerbehausung m. dero Hoffstatt, I. höfl. mit all. mit all übrig deren Gebäud. begriffen, Weiten, Zugehörd., Rechten u. Gerechtigk. ane dem Baarfüser Platz, 1. S. neb. Joh. Georg Holderer dem Kiefermeister, 2. S. neb. H. Joh. Georg Fischer dem vormalig. bierbrauer ab. jetzig. Weinhdl. ehevögtl. weise, hind. d. brand-ein-End-gäß. stosend, davon ist man jährlich abzurichten verpflichtet, der Sammlung zur dritten Regul, so von Seiten der hohen Schule (corpus pensionum) eingezogen werd. 16 ß. des Jahres auf Weihenachten an Erblehenzinß, u. vor 2. Kappaun. 4 ß, Ferner auf hies. Stadt Pfgthn. jeweilen auf Johannis des Täufers Tag 15 ß Zins von I. in das hintere Nebenshs. dhgebr. Thür. Sonsten ist dieses u. auser nachsteh. Pas. cap. frei und eigen, sofort dh. H. Sebastian Huber d. Wmr des Zimmerhofs u. d. übrig. Hh. Wr. d. 21.br. 1779 bei der väterl. Verl. Inventur angeschlagen word. um 600, Vorerzählte Realbeschwerd. zu dopp. Capital gerechnet davon abgezogen mit 70. lb Wornach hier auszuwerfen übrig bleiben 530. Diese beh. hat die Verstorbene als einzige T. u. Erbin weIl. Fr. Maria Salome geb. Trösterin, des auch weil. H. Joh. Jb. Stall gew. hies. b. u. Weisgärbers Wb Verl. in dem Jahr 1754 ererbt. Darüb. ist I. in hies. C. C. St. d. 24. Dec. 1725. verf. perg. teutsch. Kbr. vorh. Kraft deßen berührte Mutter solches Haus nach Absterben ihres Vaters H. Lorentz Tröster, des Hausfeurers od. Schwartzbäckers, von deren Mutter u. bruder käuflich cedirt erhalten. Ferner 5. a. dgl. Kbr. v. a) 22. Julii u. 23. 7.br 1692 – b) auch 22. Xbr 1696 – c) 28. Xbr 1699. d) 4. feb. 1700.
It. (IV. C. N° 322) It. I. Beh. Hofstatt, Höfl. u. Gumpbronn m. all. deren mit allen deren Gebäud. u. Rechten, geleg. in hies. Stadt an dem Brand ein End (…)
F° 21, Rechnung an zins vom bäckenhaus bis d. 15. 9.br. 1783 von H. Rittner des schirmgerichtschreiber 6 fl. von der Anna Maria 3 pf, von Fr. Henry aus dem 3.ten stockwerck 3 pf.
Sa. Hausrats 174 lb, Sa. Schiff, Geschirrs u. Werckzeugs 7 lb, Sa. Rauher u. gegärbter Waar 353 lb, Sa. Fäßer u. Weins 71 lb, Sa. Silbergeschirrs u. dgl. Geschmeids 32 lb, Sa. gold. Ringe u. dgl. Geschmeids 15 lb, Sa. baarschaft 150 lb, Sa. Eigentums an Häußern 906 lb, Sa. guter Activschulden 71 lb, Summa summarum 1782 lb – Schulden 2289 lb, In Vergleichung, Mehr Schulden als Vermögen 507 lb
Testament (…). Hinterlegung, Johann Daniel Saltzmann

La maison revient à Marie Madeleine Stamm qui épouse le mégissier Benjamin Schwartz.

Fils du mégissier Christophe Schwartz de Colmar, Benjamin Schwartz épouse en 1760 Marie Elisabeth Blind, fille du mégissier Jean Paul Blind : contrat de mariage, célébration
1760 (21.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 165
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten Hn Benjamin Schwartz dem leedigen Weißgerber Von Collmar gebürtig, Hn Christoph Schwartz Weißgerbers und burgers allda ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hn Brautigam, ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfrauen Mariä Elisabethä Blindin, Hn Joh: Paul Blinden ebenmäßigen Weißgerbers und Burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlten Tochter als des Jgfr. hochzeiterin aù andern theim
So beschehen in Straßburg in Gegenseÿn (…) auf Donnerstag den 21.ten Februarÿ A° 1760. [unterzeichnet] Benjamin Schwartz Als Hoch Zeiter, Maria Elisabetha Blindin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 195 n° 5)
Anno 1760. Mittwoch den 12. März sind im Stand Heil: Ehe eingesegnet worden Benjamin Schwartz der ledige Weißgerber von Colmar gebürtig Joh: Christoff Schwartz deß Weißgerbers und burgers allda ehel. Sohn und Jgfr. Maria Elisabetha Blindin, Joh: Paul Blinden deß weißgerbers und burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Benjamin Schwartz als Hochzeiter, Maria Elisabetha Blindin als Hochzeiterin (i 103)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison ruelle des Meuniers au Bain-aux-Plantes. Ceux du mari s’élèvent à 291 livres, ceux de la femme à 147 livres.
1760 (15.11.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 716) n° 360
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Hn Benjamin Schwartz des Weißgerbers und der Ehren und tugendsahmen fraun Mariä Elisabethä Schwartzin gebohrener Blindin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1760. (…) und sich vermög vor mir Not° den 21. febr: 1760. errichteten heuraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen in Straßb. auf Sambstag den 15.ten Novembris A° 1760.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Müllergäßel und Pflantzbadergaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behaußung befunden worden Wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Zuvorderist aber des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Haußraths 13, Sa. Silbers 8, Sa. baarschafft 250, Summa summarum 271 lb – Hierzu ist ferner beÿ Zurechnen der Ihme gebührende halbe Theil ane denen Verehrten Haussteuren 19 – Des Manns völligen in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 291. lb
Dießemnach Wird nun auch der Frauen in die Ehe gebracht Vermögens beschrieben, Sa. haußraths 77, Sa. Silbers und gdl. Geschmeids 31, Sa. guldener Ring 14, Sa. Baarschafft 5, Summa summarum 127 lb – Darzu Kombt ferner die Ihne gebührende helffte ane dene hernach beschriebenen Haussteuren 19 lb, Der Frauen in die Ehe gebracht Guth dem billigen werth nach 147 lb

Benjamin Schwartz devient tributaire chez les Tanneurs en décembre 1760 (les registres de bourgeoisie manquent pour cette période)
1760, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 99-v) Sambstags den 20. Decembris – Benjamin Schwartz, der Weißgerber meister von Colmar gebürtig übergabe in seinem Vorstand Schein von löbl. Cantzleÿ und Herren Stall de dato 30.ten Aprilis vnd 14.ten Maÿ 1760. und bate in Gleichförmigkeit deßen ihme das dißortige Zunftrecht angedeÿhen Zu laßen.
Erkannt, Gegen Erlag der Gebühr Willfahrt (dd. 3. lb 17 ß Zunft, 3 ß Nots und büttel (zusammen) 4 lb

Marie Elisabeth Blind meurt en 1782 en délaissant pour héritiers testamentaires ses parents pour la légitime et son frère pour le restant. L’inventaire est dressé dans une maison ruelle des Meuniers. La masse propre au veuf est de 281 livres, celle propre aux héritiers de 111 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 484 livres, le passif à 2 320 livres
1782 (26.10.), Not. Lederlin (6 E 41, 904) n° 205
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Elisabethä gebohrener Blindin Herrn Benjamin Schwartz, des Weißgerbers und Burgers alhier in Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehr seligen Verlaßenschafft, errichtet Anno 1782. (…) nach ihrem den 23.ten 7.bris dieses Zu end laufenden 1782.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen – So geschehen allhier in Straßburg auf Sambstag d. 26. Octobris 1782.
Bennennung der Erben. Die verstorbene hat per Testamentum inscriptis solemne clausum Zu ihren Erben verlaßen folgende Persohnen. 1° H. Johann Paul Blind den Weißgerber und Br: allhier ihren Vattern so hiebeÿ præsens, 2° Fr. Elisabetham gebohrene Würthin vorgemelten H. Blinds geschiedene Ehefrau, so unter assistentz vorgedachten ihres Ehemanns dießer Inventur abgewartet. Dieße beede aber nur in die ihnen von rechts wegen gebührigen legitimam, daß ist in den 3.ten theil und für jedes derselben in den 6.ten theil dießer Verlaßenschafft, So dann 3° H. Benjamin Schwartz, Eingangs gemeldten Wittibern, in die übrige Zween dritte oder vier sechste Theil dieser Erbschaft
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Müller gäßlein gelegenen nicht hiehero gehörigen Behausung folgendermaßen sich befunden, als (…)
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Nach anleitung des über beeder nun Zertrennten Ehepersonen einander in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch Weiland Herrn Johann Daniel Langheinrich Notarium Publicum juratum et Practicum seeligen den 15.ten 9.bris 1760. errichteten Inventarii Illatorum
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Testamentum – Copia Codicilli
Des wittibers unveränderten Guths, Sa. hausraths 1, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzung (281, abgang 3, restirt) 278, Summa summarum 281 lb
Solchemnach wird auch derer Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 31, Sa. Silbers 3, Sa. golds 1, Sa. Ergäntzung (75, abgang 1, restirt) 74, Summa summarum 111 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. Hausraths 25, Sa. Waar und Werckzeug Zum Weißgerber Handwerck gehörig 679, Sa. Wein und leerer Faß 256, Sa. Silbers 8, Sa. baarschafft 15, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 1500, Summa summarum 2484 lb – Schulden 2320, nach abgang deren verbleibt 164, für die gewohnliche liebthat 10, In Hinweg Rechnung deren so restirt 154 lb
Stall Summa 257 lb – Zweiffelhaffte Schulden in die Verlaßenschafft Zugeltend 1575 lb
Copia der Eheberedung (…) den 21. Februarÿ 1760 Langheinrich Not.
Copia Testamenti clausi – Demnach ich Maria Elisabetha Schwartzin gebohrene Blindin, Benjamin Schwartz Weißgerbers und burgers allhier Zu Straßburg Ehefrau (…) So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Montag den 9.ten Junÿ im Jahr nach Christi Geburth 1781 – Copia Actus depositionis 10. Julÿ Ensfelder Not. – Copia Codicilli 24. Aprilis 1782 deponirt den 14. Septembris 1782, Ensfelder Not.

Benjamin Schwartz se remarie avec Marie Madeleine Stamm en 1783 : contrat de mariage, célébration
1783 (28.10.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 64
Eheberedung – erschienen sind Herr Benjamin Schwartz der Weißgerber und Saphian fabricant Wittiber und burger dahier, beÿständlichen Herrn Johann Daniel Baumgartners, dem Leinwandhändlers und Siegristen Zu St. Aurelien und burgers hieselbst, als Hochzeiter ane Einem
So dann Jungfrauen Maria Magdalena Stammin, Weiland Herrn Johann David Stamms geweßenen Weißgerbers und Saphian fabricants und Frauen Mariæ Salome gebohrner Stahlin beeder Eheleute und burgers dahier ehelich erzielte und respê nach tod verlassener Tochter, unter assistentz Herren Sebastian Stamms des Metzgers und Herrn Johann Steinmetz des Weißgerbers beder burgere dahier ihrer Herren Oheimer als hochzeiterin
So geschehen allhier in Straßburg auf Dienstag den 28. Octobris Anno 1783.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 27-v n° 27)
1783. Dominica 23. posr Trinitatis und prima Adventus in unserer Kirch proclamirt und Montag d. ersten Decembris beÿ uns copulirt word: H. Benjamin Schwartz, der verwittibte Burger und Weisgerber alhier und Jgfr. Maria Magdalena Stammin, weil. H. Joh: David Stamm gew. Weisgerbers und burgers alhier mit auch weil. Fr. Maria Salome geb. Stahlin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Benjamin Schwartz als hochzeiter, Maria Magdalena Stammin als Hochzeiterin (i 30)

Les trois filles Stamm louent la maison au boulanger Jean Henri Brüner

1784 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 658 n° 122
Fr. Maria Salome geb. Stammin weÿl. H. Johann Frantz Keß des handelsmanns wittib beÿständlich H. Johann Friedrich Baër des jungen goldarbeiters und ihres schwagers mehr er H. Baër vor und innahmen seiner ehegattin Fr. Anna Maria geb. Stammin, H. Benjamin Schwartz der weißgerber nahmens seiner ehegattin Fr. Maria Magdalena geb. Stammin
in gegensein H. Johann Heinrich Brüner des burgerrechts vertrösteten ledig aber großjährigen beckers
lehnungs weiße, die ihnen verlehneren Fr. eigenthümlich zuständig ane dem Baarfüßerplatz zwischen H. Johann Georg Fischer dem weinhändler uxorio nomine und Johann Georg Holderer dem kieffer meister, hinten den sogenannten Brand ein end gäßlein und darein einen außgang habend, gelegene behausung, auff dem boden eine wohnstub, kuche, backhaus, backstub, eine gedeckte backmuld auf einer schragen wärckbanck, zween mehlkästen, 18 back diehlen, einen schrages vor dem backoffen samt einer großen brett, ferner auff dem ersten stockwerck des hinter haußes eine stub, stub kammer nebst einer andern kammer, weiter einen kleinen beschlüßig haußehren, im 3. stock ermelten hinterhauses weiter eine große meel und eine kleÿen kammer im 4. stock daselbst, ferner ein holtzkeller und einem mit latten unterschlagegen kleinen weinkeller ; auff 6 nacheinander folgenden jahren auff Johannis Baptistæ tag anfengend – um einen wochentlichen zinß 2 gulden 5 s.

Benjamin Schwartz meurt en 1788 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison au Bain-aux-Plantes. La masse propre à la veuve est de 752 livres, celle des héritiers de 1 202 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 110 livres et le passif à 2 795 livres.
1788 (5.8.), Not. Lederlin (6 E 41, 909) n° 407
Inventarium über Weiland Herrn Benjamin Schwartz, des geweßenen Weißgerbers und Burgers dahier in Straßburg seeligen Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1788. – nach seinem d. 8.ten Aprilis dieses lauffenden 1788.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hinscheiden, Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft ane Zu end stehendem dato auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Herrn Johann Daniel Grün, des Seidenhändlers, Knöpffmachers und Burgers dahier als geordnet: und geschworenen Vogts des abgeleibten seeligen mit auch genanndter seiner hinterlaßenen Frau Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nach tod verlaßener Erben namens Benjamin und Mariæ Magdalenæ, der Schwartz, fleißig inventirt und ersucht durch die hinterlassene Frau Wittib Frau Mariam Magdalenam gebohrener Stammin, beÿständlichen H. Johann Jacob Schafflützels, des Saphianfabricanten und burgers dahier – So geschehen allhier Zu Straßburg auff Dienstag den 5.ten Augusti Anno 1788.
Copia der Eheberedung

In einer allhier zu Straßburg ane den dreÿ brücken gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behausung folgender maßen sich befunden als
Eigenthum ane einer behausung. (E.) Nemlichen eine Behausung und Hofstadt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg beÿ denen dreÿen brucken unten am Müller Gäßlein am Damm (…)
(W.) Item die Helfte für unvertheilt von und ane einer Behaußung, Höfflein, Bronnen und Hofstadt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg am Brand ein End (…)
(T.) Nemlichen die ohnvertheilte Heffte, davon der andere halben theil der hinterbliebenen Fr. Wittib zugehörig und hievor beschrieben (…)
Ergäntzung der Fraun Wittib abgegangenen unveränderten Guths, Nemlichen wie hievor im Bericht und respê Vergleich dießes Inventar gemeldet worden, so hat man der Frauen Wittib Vermögen nach den durch H.Notarium Johann Daniel Saltzmann den 26.ten Aug. 1788. errichteten Theilregisterlein über dasjenige, so die Frau Wittib Von Weiland Herrn Johann David Stamm dem geweßenen Weißgerber und auch Weiland Frauen Maria Salome gebohrener Stahlin beeden geweßenen Eheleuten und burgern dahier ihren geliebten Eltern seelig respê in Anno 1779 und Anno 1783 ererbet besagend (…)
Ergäntzung derer Kinder und Erben ermanglenden unveränderten Guths. Wie hievor im Bericht anmerkung gethan, so hat man derer Kinder und Erben Vermögen in Ermanglung eines Inventarÿ ersucht nach denen über Weiland Frau Mariä Elisabethä gebohrener Blindin des Defuncti erster Ehefrauen seeligen Verlaßenschafft durch den unterschriebenen Notarium am 26.ten 8.bris Anno 1782. auffgerichteten Inventario (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig (…)
Der Fraun Wittib unveränderten Vermögen, Sa. hausraths 73, Sa. Silbers 6, Sa. Golds 29, Sa. Eigenthums ane einer behausung 2250, Sa. Schuld 100, Sa. Ergäntzung (2071, Abgang 2402, restirt passive 330), Summa summarum 2459 lb – Schulden 1707, Nach abgang deren 752 lb
Solchemnach wird auch der Kinder und Erben unverändertes Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 76, Sa. Faß 50, Sa. Silbers 44, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 450, Sa. Ergäntzung (3690, Abgang 2769, restirt) 921, Summa summarum 1502 lb – Schulden 300, rest 1202 lb
Endlichen wird auch das gemeine veränderte und theilbare Guth beschrieben, Sa. Hausraths 62, Sa. Waar und Werkzeug Zur Weißgerber Profession gehörig 435, Sa. Weins und leerer Faß 87, Sa. Silbers 35, Sa. Golds 9, Sa. baarschafft 150, Sa. Eigenthums ane einer behausung 2250, Sa. Pfenning Zinß und deßen Haupt Guths 750, Sa. Schulden 330, Summa summarum 4110 lb – Schulden 2795, Nach Rabatt deren, theilbare gut 1315 lb
Stall Summa 3120 lb
Copia der Eheberedung (…) den 28. Octobris 1783, Lederlin Not.
Summarische Berechnung, die behausung am Müllergäßlein adjudicirt worden an Christophe Duvoid dem wäscher als letzt und meistbietenden um 1025 pfund, in der Cantzleÿ Contract stub verschrieben

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 000 florins (1 000 livres) sur un total de 6 200 florins
1789 (31.1.), Livres de la Taille (VII 1181) f° 78-v
(Gerber N° 1433) Weÿland Benjamin Schwartz, des gewesenen Weißgerbers und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lederlin
Conclusio finalis Invent: ist fol: 208. 3120 lb. 6 ß. 4 ½. d. diese machen 6200 fl. verstallte 4200 fl. demnach Zuwenig 2000 fl.
Wovon Nachtrag als von errungenem Gut für Sechs Jahr in duplo à 6. lb d. – 36 lb
und Vier Jahr in simplo à 3 lb. d. – 12 lb
Extat Stallgeld pro 1789 – 7 lb 13 ß
Gebott – 2 ß 6 d
Abhandlung – 5 lb 2 ß, Summa 60. lb 18 ß 6 d.
Auf fürgebrachte triftige Motiva ist der gesamte Nachtrag auf Sechs Jahr in simplo moderirt worden, thun à 3 lb d 18 lb d und gehen dahero ab 30. lb – Rest 30 lb 18 ß 6 s
dt. 31. Januarii 1789.

Marie Madeleine Stamm veuve de Benjamin Schwartz se remarie avec Jacques Bernard Rieffel originaire de Barr : contrat de mariage, célébration
1790 (21.7.bris), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 138
Eheberedung – persönlich erschienen seind Herr Jacob Bernhard Rieffel, der leedige Weißgerber, Weiland H. Daniel Rieffel, gewesenen Weißgerbers und auch Weiland Fraun Annä Mariä gebohrener Steinmetzin, beeder Eheleute und burgers in Barr ehelich erzeugter Sohn, beiständlichen H Jacob Bernhard Springers, des Handelsmanns und burgers Zu gedachten Barr, als Hochzeiter ane Einem
So dann Frau Maria Magdalena Schwartzin gebohrner Stammin, Weiland H. Benjamin Schwartz geweßenen Weißgerbers und burgers dahier unter assistentz H. Johann Jacob Schaflützel des Saphian fabricantts und H. Johann Daniel Grün des Seidenhändlers, beeder burgern dahier als der Fr. Brauth am andern Theil
[unterzeichnet] Jacob Bernhard Riefel, Maria Magdalena Schwartzin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 59 n° 23)
1790. Montag den 11 Octobris wurden nach zweÿmalicher Proclamation in unserer Kirch copulirt H. Jacob Bernhard Rieffel lediger Weisgerber und burger alhier weil. H. Daniel Rieffel des gew. Weisgerbers und burgers in Barr, mit auch weil. Fr. Anna Maria geb. Steinmetzin ehelich erzeugter Sohn, 27 Jahr alt, Und Frau Maria Magdalena geb. Stammin weil. H. Benjamin Schwartz des gew. Weisgerbers und burgers alhier nachgel. Wittwe [unterzeichnet] Jacob Bernhard Rieffel als Hochzeiter, maria magdalena Schwartzin als Hochzeiterin (i 43)

Marie Madeleine Stamm veuve de Benjamin Schwartz cède son tiers indivis de maison au boulanger Jean Henri Brüner et à sa femme Anne Marie Kopp

1788 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 52-v
Fr. Maria Magdalena Schwartzin geb. Stammin H. Benjamin Schwartz des weißgerbers ehegattin beÿständlich
Johann Heinrich Brüner des schwartzbeckers und Annæ Mariæ geb. Koppin beÿständlich Johann Michael Trambaur des schuhmachers und Johann Friedrich Hosch des windenmachers
den dritten theil vor unvertheilt von und ane einer beckenbehausung nebst nebens behausung, höfflein, hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfüßerplatz, ein- und anders. neben Fr. Fischer, hinten den Brand ein end wohin sie einen außgang hat, vornen den Baarfüßerplatz einseit neben Mr Holderer dem kieffer, anderseit neben besagter Fr. Fischer – davon gibt die gantze behausung löbl. stifft hoher schuhl 16 ß und 4 sch. vor denen cappen ane ewigen zinß – als ein elterlich ererbt guth – um 2466 gulden

Originaire de Jægerthal, Jean Henri Brüner qui a terminé son tour de compagnon s’inscrit aux années d’épreuve chez le boulanger Jean Frédéric Ensfelder.
1775, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 83-v) Donnerstags den 31. Augusti 1775 – Muthjahr
Johann Heinrich Brüner, leediger Becker aus dem Jägerthal gebürtig, stehet vor und bitt, da er seine Wanderzeit nach allhier erlerntem Handwerck Ordnungsmäßig angehalten, beÿ Mr Johann Friedrich Ensfelder auf Zweÿjährige Muthzeit von Dato angehend einzuschreiben.
Auf des Hierbeÿ erschienenen Mr Joh: Friderich Ensfelders, des Schwartz: Becken Aussage Ihne also annehmen Zu wolen, und nach deßen vorgewiesenen Lehr: briefs gethaner Inspection ist Erkannt worden, Seÿe dem Imploranten in seinem Begehren zu willfahren.

La tribu accorde à Jean Henri Brüner une promesse d’inscription pour devenir bourgeois
1784, Protocole de la tribu des Boulangers (VII 1295)
(f° 20-v) Donnerstags den 18. Martii 1784 – Vertröstungs: Schein
Johann Heinrich Brüner, der von hier gebürtige ledige Becker, weiland Johann Heinrich Brüner gewesenen Schirmers allhier ehelicher Sohn, stehet Vor und bittet weilen er seine Muthzeit Ordnungsmäsig ausgehalten und eine Becken: Gerechtigkeit in Lehnung Zu nehmen willens, um einen Vertröstungs: Schein. Erkanndt, Willfahrt.

Fils du manant Samuel Brüner, Jean Henri Brüner devient bourgeois par sa femme Anne Marie Kopp
1784, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 43
Joh: Heinrich Brüner der becker allhier Samuel Brüner des schirmers dahier ehl. sohn verheurathet mit anna Marja Kopin burgers allhier ehl. tochter, erhalt ds burgerrecht ab uxore umb den alten burger schilling will dienen Zur E. E. Zunfft der Becker juravit den 17.ten May 1784.

Jean Henri Brüner devient tributaire en juin 1784
1784, Protocole de la tribu des Boulangers (VII 1295)
(f° 21-v) Donnerstag den 17.ten Junii – Fremder Neuzünftiger
Johann Heinrich Brüner, von hier gebürtig, stehet vor und producirt Burger: Urkund und respectivé Stall Schein, beides datirt den 17.ten Maji a: c: besag dessen er begehrt diesorts gegen Erlag geordneter Gebühr Leibzünfftigen Schwarzbecken Meister auf und anzunehmen. Erkanndt, Willfahrt.

Jean Henri Brüner épouse en 1784 Anne Marie Kopp, fille de l’aiguilletier Jean Frédéric Kopp : contrat de mariage, célébration
1784 (18.3), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 567)
Eheberedung – persönlich erschienen seÿe Herr Johann Heinrich Brüner, lediger Bevk meister Samuel Brüner, des hiesigen Schirmers mit Frauen Maria Magdalena gebohrene Schweighäußerin ehelich erzeugter Sohn als Bräutigam beiständlich seines Vaters ane Einem
So dann Jungfrau Anna Maria Koppin herrn Johann Friderich Kopp, des Nadlers und burgers allh. mit Frauen Anna Maria gebohrener Böringerin, ehelich erzeugte Tochter unter assistentz besagten ihres leiblichen Vaters als Braut an dem andern Theil
So geschehen Straßburg auf Donnerstag den 18. Martii Anno 1785. [unterzeichnet] Johann Heinrich Brüner als hochzeiter, Anna Maria Koppin als Praut

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 36 n° 11)
1784. sind Dominica Jubilate et Cantate in userer Kirch so wol proclamatirt als auch Montag den 10 Maji copulirt worden, Johann Heinrich Brüner led. Beck und Burger aalhier weil. Samuel Brüner gew. Kutschers und Schirmers alhier, mit Fr. Maria Magdalena geb. Schweickhäuserin, ehl. erzeugter Sohn, und Jgfr. Anna Maria Koppin, H Johann Friederich Kopp des Nadlers und Burgers alhier, mi Frau Anna Maria geb. Böringerin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Brüner als breitigam, Anna Maria Koppin ams braut (i i 38)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 289 livres, ceux de la femme à 374 livres.
1784 (14.5.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 561) n° 401
Inventarium über Herrn Johann Heinrich Brüner, des Schwartzbecks und Fraun Annæ Mariæ gebohrener Koppin beeder Ehepersohnen und Burgere Allhier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen Auffgerichtet im Jahr 1784. – und sich in ihrer vor unterschriebenem Notario den 18. Martii dieses laufenden 1784.sten Jahrs auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten haben – So geschehen in Einer Allhier Zu Straßburg ane der Obern Langstras gelegenen: der Ehefraun Eltern Zuständigen Behausung in Beisein ihres leiblichen Vaters herrn Johann Friedrich Kopp des Nadlers und burgers allhier, als deroselben hierzu erbettenen beistands auf Freÿtag den 14.ten Maÿ Anno 1784.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns Eingebracht Guth, Sa. Hausraths 16 lb, Sa. Weins und leerer Fas 43 lb, Sa. Schif und geschirr wie auch frucht und Meel zum Becken handwerck gehörig 117 lb, Sa. Brennholtzes 7 lb, Sa. Silbers 31 lb, Sa. Baarschafft 82 lb, Sa. Schulden 21 lb, Summa summarum 319 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 244 lb, Hierzugelegt die Ihme gebührige Hälfte ane denen haussteuren 45 lb, des Ehemanns vermögen 289 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebracht Guth beschrieben, Sa. Hausraths 148 lb, Sa. Silbers 20 lb, Sa. Gold. ring 29 lb, Sa. baarschafft 131 lb, Summa summarum 329 lb – Dazu gelegt die Ihre gebührige Hälfte an denen Haussteuren 45 lb, Mit deren Beirechnung 374 lb

Jean Henri Brüner s’engage à entretenir sa mère Marie Madeleine Schweighæuser
1789, Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 619)
Leibgeding Zwischen Johann Heinrich Bruner und seiner Mutter
weiland Samuel Bruner Wittwe Maria Magdalena Schweighäuser

Les copropriétaires de la maison l’exposent aux enchères. Le plus offrant le 17 pluviôse VI est Jean Michel Gœnner

1798 (2 Brumaire 6), Strasbourg 4 (14), Jean Frédéric Greis n° 1290, Altes N° 744
Den zweiten Brumaire im 6. Jahr der frantzösischen Einen und unzetrennlichen Republick auf Ansuchen der bürgerin Maria Salome, geborener Stamm, weiland des Bürgers Johann Friedrich Keß, gewesenen handelsmanns alhier hinterbliebener Wittib, beÿständlich ihres Sohns des Bürgers David Friedrich Keß, Weisgerbers und Inwohners alhier, ferner der Bürgerin Annæ Mariæ geborner Stamm, des Burgers Johann Friderich Bäer, Goldarbeiters und Inwohners alhier Ehegattin, beiständlich deßelben, sodann des Bürgers Johann Heinrich Brüners, Becken und Inwohners alhier, wurde einer freiwilligen öfentlichen Versteigerung (…) zum ersten mal ausgesetzt
die den Requirenten und zwar jeedem zu einem dritten Theil eigenthümlich zuständige Behaußung mit N° 28 bezeichnet, bestehend in Vorder, Neben und Hinterhauß, höflein und hoffstatt, samt allen übrigen deren Gebäuen, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten undn Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg auf dem Waffenplatz, einseit neben verwittibten Bürgerin Fischer, gebornen Weishaar, anderseit neben Bürger Johann Georg Holderer Kieffer hinten einen Ausgang in das Brand ein End habend, und daselbt zu beden Seiten auf gedachte Fischerische Wittib stoßend, von solcher behausung man jährlich dem hiesigen Stift Corpus Pensionum vier livres an Boden und ewigen Zins Zu bezahlen hat, auch ist Bürgers Brüner participirenden dritten theil an solcher behausung annoch dem Bürger Riefel Gerber alhier um 3600 livres an Capital verpfändet, sonsten aber die gantze behausung der Verkäufer Versicherung zufolg, gegen jedermann frei ledig und eigen (…) ausgerufen um die Summe von 12.000 livres. Es ist aber niemand erschienen der ein Gebott hat thun wollen
(enregistré le 7 Brumaire an 6)
N° 1295. den 9. Brumaire (…) Es ist aber wieder nimand erschienen der ein Gebott hat thun wollen
N° 1302. den 16. des gedachten Monats Brumaire (…) als ist obigen von dem Bürger Johann Friderich Bäer Goldarbeiter alhier der disortige einen Mit Verkäuferin Ehemann gethane letztere Gebot von 12.300 Livres
Den 21. Brumaire (…) Johann Heinrich Brünner Mehrgebott von 100 Livres
N° 1313 den dritten frimaire besagten Jahrs (…) als ist obiges von Bürger Bäer gethane Gebot von 13.000 Livres
Den 9. frimaire (…)
den 17. Pluviose im 6. Jahr (…) Bürger Johann Michael Goenner Inwohner alhier, welcher auf die Behaußung ein Mehrgebott von 300 Livres mithin im gantzen ein Gebott vom 13.500 Livres gethan hat

La vente est passée au profit de Jean Henri Brüner qui devient seul propriétaire de la maison

1798 (13 ventose 6), Strasbourg, Jean Frédéric Greis
burgerin Maria Salome gebohrne Stamm weiland des burgers Johann Friderich Keß gewesenen handelsmanns hinterbliebenen Wittib
auf Ansuchen des Käufers der burger Johannes Moßeder Zinngießer
Waffenplatz N° 28
für Johann Heinrich Brüner
acp 59 F° 22-v du 19 vent. 6

Jean Henri Brüner meurt en 1800 en délaissant deux enfants. La masse propre à la veuve s’élève à 1 871 livres, celle des héritiers à 921 livres. L’actif de la communauté est de 1 593 livres, le passif de 12 902 livres.

1800 (8 frimaire 9), Strasbourg 5 (9), F. Grimmer n° 567
Inventarium über weÿl. des bürgers Johann Heinrich Brüner gewesten beckers Verlassenschafft, nach seinem den 26. prairial des 8. Jahrs erfolgten absterben hinterlassen – auf ansuchen der hinterbliebenen Wittib der bürgerin Anna Maria geb. Kopp beÿständlich des b. Simon Castner Schneiders
Benennung der Erben. Der verstorbene hat zu erben verlaßen hernachgemete mit der hinterbliebenen wittib erziehlte zweÿ Kinder 1. Johann Friedrich so 14 Jahr alt und 2. Anna Maria so 8 Jahr alt ,zum theilvogt b. Samuel Müller Seiler

in einer ane dem Parade Platz mit N° 28 bezeichneten hiernach beschriebener behausung
Ergäntzung, Not. Schweighäuser den 14. maÿ 1784 errichteten Inventarii
(f° 9) Eigenthum an einer behausung. T. Neml. eine behausung bestehend in Vorder Nebens und hinterhauß höflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ane dem Waffenplatz einseit neben der bürgerin fischer Wittib geb. Weißhaar anderseit neben bürger Johann Georg holderer kiefer hinten einen Ausgang in das brand ein End habend, daselbst zu beeden Seiten auf gedachte fischerische Wittib – davon 4 fr ewigen zinß, so man dem Corpori pensionum abzutragen schuldig. Über einen dritten theil solcher behausung besagt eine in der C.C. Stb. passirte Kauffverschreibung de dato 12. feb. 1788. Und über die zween übrigen dritten teile eine vor Not. Greis den 13. ventose 6 passirte Kauffverschreibung
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarÿ, der wittib unverändert, hausrath 250 lb, silber 18 lb, goldgeschmeids 39 lb, ergäntzung 1263 lb, schulden 300 lb, Summa summarum 1871 lb
der Erben ohnverändert guth, hausrath 170 lb, silbergeschmeid 25 lb, Ergäntzung 1026 lb, Summa summarum 1221 lb – Schulden 300 lb, Nach deren Abzug 921 lb
Das teilbare Gut, hausrath 552 fr, schiff und geschirr zur beckerei 71 lb, silber 1 lb, goldengeschmeid 48 lb, baarschafft 800 lb, behausung (ohne anschlag), schulden 120 lb, Summa summarum 1593 lb – Schulden 12.902 lb
Eheberedung (…) den 18. martÿ 1784, Schweighäuser Not.
Enregistrement, acp 76 F° 84 du 16 frimaire 9

Anne Marie Kopp loue la maison au boulanger Joseph Spehner, originaire de Dachstein

1800 (18 therm. 8), Strasbourg 5 (9), F. Grimmer n° 415
Lehnung auff 4 nacheinander folgenden jahren welche den 7. vend. des 9.t jahr ihren Anfang nehmen – die bürgerin Anna Maria geb. Kopp weÿl. des bürgers Johann Heinrich Brüner gewesten beckers Wittib beÿständlich des bürger Simon Kästner und Samuel Müller Seilers beede von hier ihrer Schwäger
dem bürger Joseph Spähner becker von dachstein dermalen allhier
Erstlich verlehnt bürgerin brüner ihme bürger Spähner nachfolgende in ihr der Verlehnerin behausung ane dem Parade Platz dahier N° 28 gelegen befindliche Wohnung, bestehend auf dem Rez de chaussée in der Ladenstub bachstub backhauß holtzkeller Schweinstall einen unterschlagenen Keller, ferner auf dem Ersten Stockwerk im hinterhauß eine Stub und Stuebkammer samt Knechtskammer, So dann im dritten und vierten Stockwerk die Mehl und Kleÿen Kammer samt allen vorhandenen Schafft und Geschirr zur beckereÿ gehörig – (um) 1. jede decade 14 fr 29 c, 2. dero verleherin sohn Johann Friedrich das becken handwerck nach seinem besten Wissen und Gewissen zu lehren – um 596 francken
Enregistrement, acp 74 F° 194 du 21 therm. 8

Henri Brüner meurt en 1800, Marie Kopp en 1811
Registre de population, 600 MW 49 (1808 sqq) f° 567 (i 505)
Place d’armes N° 28
Brüner, Henri, 46, Boulanger, homme marié, (né à) Strasbourg – décédé le 28 Pr. 8
Kopp, Marie, 43, son épouse, femme, Strasbourg – décédée le 23 août 1811
Brüner, Frédéric, 12, Strasbourg – dél. 1 Fruct. 9, Rue Jeu des Enfants N° 32
id. Marie, 7, ses enfants, Strasbourg

Jean Rœderer épouse en 1810 Anne Marie Brüner
1810 (13.12.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 619, 5660
Contrat de mariage – Sr Jean Roederer, employé à la recette des Contributions du premier arrondissement de cette ville
Dlle Anne Marie Brüner, fille de feu Sr Jean Henri Brüner, boulanger et d’Anne Marie Kopp
acp 116 (3 Q 29 831) f° 36 du 20.12. – le survivant aura la jouissance des biens du prémourant

Anne Marie Brüner, veuve de Jean Rœderer, meurt en 1818 en laissant des héritiers testamentaires

1818 (29.6.) Strasbourg, Philippe Louis Übersaal
Testament d’Anne Marie Brüner, veuve de Jean Roederer employé à la mairie de Strasbourg, décédée le 8 courant par lequel elle légue à Salomé Brüner femme Müller 1500 francs
institution de Dorothée Catherine Kopp, Marguerite Salomé Kastner et les enfants de Philippe Kopp pour ses héritiers universels
acp 139 (3 Q 29 854) f° 138-v du 11.7.

Les héritiers louent la maison au boulanger Jean Georges Hummel et à sa femme Salomé Bertrand par bail sous seing privé déposé ensuite chez le notaire Grimmer

1819 (27.3.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 44
25 Mars courant – a été fait et passé entre D° Dorothée Kopp veuve de feu le Sr Philippe Rieth vivant passementier, D° Salomé Castner épouse du Sr Charles Hug, Tailleur, le Sr Simon Castner commis Négociant, le Sr Jonathan Hosch, Maréchal ferrant, D° Madeleine Hosch, épouse du Sr Frédéric Berger, faiseur de crics, tous domiciliés à Strasbourg, les femmes assistées de leur mari (…) d’une part
Et Le Sr Jean Georges Hummel Boulanger et D° Salomé née Bertrand conjoints domiciliés en cette ville la femme duement assistée et autorisée à l’effet des présentes par ledit son mari d’autre part
le bail suivant Savoir 1° la susditte D° veuve Reith et consorts pour eux et leurs copropriétaires donnent à titre de Bail auxdits conjoints Hummel ainsi acceptants dans la maison appartenante en propre aux bailleurs située à Strasbourg place d’armes N° 28 ce qui suit, savoir le logement, boulangerie et tout ce qui se trouvee au rez de chaussée, plus au premier étage la chambre avec alcove donnant sur la place d’armes, au Corridor, la Chambre pour les garçons boulangers plus au troisième étage une Chambre pour mettre les farines et donnant sur le derrière dans les mansardes une chambre pour servante et une petite pour le linge sâle plus un grenier séparé de lattes plus une cave aussi séparée de lattes et celle qui forme l’avant cave pour y mettre le bois, plus dans la maison N° 23 rue du Coin brûlé une étable à porcs qui s’y trouve, mais dont la fermeture et Toiture est encore à mettre en état, enfin tout les ustensiles du métier de boulanger qui se trouveront et dont une spécification sera faite le jour du commencement du présent bail pour être jointe aux présentes, le tout pour quatre années consécutives qui commenceront le jour de la St Michel de la présente année et finiront le même jour l’an 1823 (…) caution Michel Stahl boulanger de l’aumonerie de St Marc – pour un loyer hebdomadaire de 9 francs

1819 (29.4.), Strasbourg 5 (46), F. Grimmer n° 10.734
Dépôt de bail – Charles Hug, tailleur d’habits et Jean Georges Hummel, d’un bail ssp enreg. 27.3. dernier F° 10
D° Dorothée Kopp veuve de feu le Sr Philippe Rieth vivant passementier, D° Salomé Castner épouse du Sr Charles Hug, Tailleur, le Sr Simon Castner commis Négociant, le Sr Jonathan Hosch, Maréchal ferrant, D° Madeleine Hosch, épouse du Sr Frédéric Berger, faiseur de crics, tous domiciliés à Strasbourg, les femmes assistées de leur mari (…) d’une part
Et Le Sr Jean Georges Hummel Boulanger et D° Salomé née Bertrand conjoints domiciliés en cette ville la femme duement assistée et autorisée à l’effet des présentes par ledit son mari d’autre part
le bail suivant Savoir 1° la susditte D° veuve Reith et consorts pour eux et leurs copropriétaires donnent à titre de Bail auxdits conjoints Hummel ainsi acceptants dans la maison appartenante en propre aux bailleurs située à Strasbourg place d’armes N° 28 ce qui suit, savoir le logement, boulangerie et tout ce qui se trouvee au rez de chaussée, plus au premier étage la chambre avec alcove donnant sur la place d’armes, au Corridor, la Chambre pour les garçons boulangers plus au troisième étage une Chambre pour mettre les farines et donnant sur le derrière dans les mansardes une chambre pour servante et une petite pour le linge sâle plus un grenier séparé de lattes plus une cave aussi séparée de lattes et celle qui forme l’avant cave pour y mettre le bois, plus dans la maison N° 23 rue du Coin brûlé une étable à porcs qui s’y trouve, mais dont la fermeture et Toiture est encore à mettre en état, enfin tout les ustensiles du métier de boulanger qui se trouveront et dont une spécification sera faite le jour du commencement du présent bail pour être jointe aux présentes, le tout pour quatre années consécutives qui commenceront le jour de la St Michel de la présente année et finiront le même jour l’an 1823 (…) caution Michel Stahl boulanger de l’aumonerie de St Marc – pour un loyer hebdomadaire de 9 francs
acp 142 (3 Q 29 857) f° 185 du 29.4.

Les héritiers d’Anne Marie Brünner font vendre la maison au tribunal civil. L’acquéreuse est l’un des héritiers, Marguerite Salomé Castner femme de François Charles Hug. Le rapport d’experts décrit la maison en détail

1820 (3.8.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 132, n° 31
par devant M Dominique Timothé Friaut D’alincourt juge au Tribunal Civil, adjudication par licitation suivante de la maison appartenant par indivis aux héritiers d’Anne Marie Brinner veuve de Roederer – à la requête de Jean Frédéric Hosch, fabricant de crics domicilié à Paris, Emanuel Jonathan Hosch, maréchal ferrant, Marie Salomé Hosch femme de Jean Jacques Fuchs, boutonnier en qualité d’héritiers testamentaires d’Anne Marie Brinner veuve de Jean Roederer, employé à la recette des contributions de Strasbourg pour lesquels occupe M° Philippe Jacques Bloechel, avocat avoué près le Tribunal Civil rue du Bouclier n° 6, et en présence de Henry Kopp, négociant, Sophie Kopp fille majeure, Philippe Kopp maréchal des logis au 13° régiment de chasseurs de la Meuse et Charles Kopp, commis négociant aussi en qualité d’héritiers testamentaires de la veuve Roederer pour lesquels occupe M° Laemmermann avoué près le Tribunal Civil demeurant rue du Fil n° 7, encore en présence de Simon Geoffroi Castner, négociant, Marguerite Salomé Castner épouse de François Charles Hug, tailleur d’habits, Catherine Madeleine Hass épouse de Jean Frédéric Berger, fabricant de crics, et Dorothée Kopp veuve de Philippe Riehl, boutonnier, aussi en qualité d’héritiers testamentaires de la veuve Roederer pour lesquels occupe M° Rauter avoué près le Tribunal Civil de Strasbourg demeurant rue du Jeu des Enfants n° 51, en vertu d’un jugement contradictoire rendu au Tribunal Civil le 28 décembre 1819 et d’un autre jugement contradictoire du 6 mars suivant portant entérinement du rapport d’experts dressé en exécution d’un premier jugement du 5 février précédent enreg. le 17 du même mois, héritiers suivant testament reçu par M° Ubersaal le 21 juin 1818 enregistré le 12 juillet suivant
Désignation de l’immeuble. Ladite maison est située à Strasbourg place d’armes n° 28, d’un côté le Sr Holderer tonnelier, de l’autre le Sr Meyer cabaretier, derrière la rue du Coin Brûlé dans laquelle elle porte les mêmes n° 19 bis et 20 bis. Elle se compose d’un bâtiment principal faisant place d’armes [sic] qui renferme au rez de chaussée en entrant par la place d’Armes corridor et escalier à gauche, boutique derrière boulangerie cour et lieux dessous la boutique cave voutée, Premier étage deux chambres sur le devant par derrière une cuisine et deux chambres, Second étage sur le devant une chambre et une cuisine par derrière deux chambres, Second étage sur le devant une chambre et une cuisine par derrière chambre à alcove et un cabinet, troisième étage sur le devant chambre a alcove cabinet et cuisine et deux chambres au dessus comble renfermant trois greniers èsquels six chambres, d’un second bâtiment faisant face à la rue du Coin brûlé ayant petite cour et renfermant au rez de chaussée en entrant corridor à gauche magasin dessous cave sous solives au fond escalier petite cour, étable à porcs et lieux, Premier étage cuisine et chambre, Second étage de même, dessus comble renfermant deux greniers, au premier deux chambres, estimé suivant rapport d’experts à 8000 francs, le 13 avril 1820
Adjudication préparatoire 1 juin – Adjudication définitive 22 juin, à M° Gebhard pour 9510 fr, Déclaration de command du 23 juin, pour le Sr Simon Geoffoi Castner, commis négociant, Marguerite Salomé Castner épouse de François Charles Hug
Adjudication définitive sur surenchère le 6 juillet, pour 10.210 francs à M° Gebhard pour Marguerite Salomé Castner épouse de François Charles Hug

Originaire de Fribourg-en-Brisgau, Charles Hug épouse Marguerite Salomé Castner en 1816.
1816 (5.8.), Strasbourg 5 (43), Not. F. Grimmer n° 9626
Contrat de mariage – Charles Hug, garçon tailleur natif de Freybourg en Brisgau présentement en condition en cette ville, fils de feu Georges Joseph Hug, fabricant de savon, et Eugénie Rösch
Marguerite Salomé Castner fille majeure de Simon Castner, maître tailleur et de Salomé Kopp
acp 131 (3 Q 29 ) f° 37-v du 9.8. – communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé, réductible en cvas d’existence d’enfants
Donation par le futur époux la future épouse au cas qu’elle lui survive d’une somme de 800 francs pour don matutinal

Charles Hug et Marguerite Salomé Castner louent une partie de la maison au boulanger Jean Georges Hummel et à Salomé Bertrand

1823 (10.6.), Strasbourg 12 (42), Me Rencker n° 2635
Bail de 6 années à commencer à la St Michel – Charles Hug, tailleur d’habits, en qualité d’administrateur des biens de Salomé Castner son épouse et Simon Castner, commis négociant
à Jean Georges Hummel boulanger & Salomé Bertrand
un logement, la boulangerie & tout ce qui se trouve au rez de chaussée dans la maison appartenant aux bailleurs sise à Strasbourg place d’Armes n° 28, plus au premier étage la chambre avec alcove donnant sur la place d’Armes au corridor, la chambre pour les garçon boulangers au troisième étage une chambre pour y mettre les farines & donnant sur le derrière dans les mansardes une chambre pour la servante & une petite pièce pour le linge sale plus un grenier séparé de lattes, une cave aussi séparée de lattes & celle qui forme l’avant cave pour y mettre les bois
plus dans la maison n° 23 rue du Coin brûlé une étable à porcs qui s’y trouve plus tous les outils et ustensiles qui dépend de ladite boulangerie, ainsi que le preneur en a déjà joui jusqu’à ce jour en vertu de bail ssp du 25 mars 1819 enregistré le 27 mars 1819 fol. 10 déposé au rang des minutes de M° Grimmer le 29 avril suivant – moyennant un loyer de 9 francs par semaine et 3 kg de pain de ménage évalué à 90 c, 9 fr 90
Enregistrement, acp 163 f° 89-v du 14.6.

Nouveau bail entre les mêmes parties

1829 (11.9.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 58 F° 96
ssp du 1.9., Bail de 6 années à commencer à la St Michel 29 9. courant
Le 1 septembre – Bail de 6 années à commencer à la St Michel 29 septembre courant – Charles Hug, tailleur d’habits en qualité d’administrateur des biens de Salomé Castner son épouse et Simon Castner commis négociant
à Jean Georges Hummel, boulanger, et Salomé Bertrand
le logement, la boulangerie et tout ce qui se trouve au rez de chaussée dans la maison appartenant aux bailleurs sise à Strasbourg place d’Armes n° 28, Plus au premier étage la chambre avec alcove donnant sur la place d’Armes au corridor la chambre pour les garçons boulangers, au troisième étage une chambre pour y mettre les farines et donnant sur le derrière, dans la mansarde une chambre pour la servante et une petite pièce pour le linge sale, plus un grenier séparé de lattes, une cave aussi séparée de lattes et celle qui forme l’avant cave pour y mettre le bois. Plus dans la maison n° 23 rue du Coin Brûlé une étable à porcs qui s’y trouve, Plus tous les ustensiles du métier de boulanger qui dependent de ladite boulangerie, ainsi que les preneurs en ont déjà joui par bail ssp 25 mars 1819 enregistré le 27 mars F° 10 déposé au rang des minutes de M° Grimmer le 29 avril suivant et ce d’après le bail du 10 juin 1823 passé devant M° Rencker – pour 10 fr par semaine et à charge de leur livrer en outre une miche de pain blanc de 3 kg – caution Michel Stahl, boulanger à l’aumonerie St Marc

Marguerite Salomé Castner meurt en 1833 en délaissant pour unique héritier son frère Simon Geoffroi Castner

1834 (20.3.), Strasbourg, F. Grimmer
Inventaire par déclaration de la succession de Marguerite Salomé Castner, femme de Charles Hug, tailleur d’habits à Strasbourg décédée en cette ville le 22 septembre 1833, portant que les époux se sont mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts et partageable par moitié ainsi qu’il est établi par leur contrat de mariage passé devant Frédéric Grimmer père du notaire rédacteur du présent le 5 août 1816 et que le survivant a été avantagé pour le cas de non existence d’enfant de la jouissance viagère de tout ce que délaisserait le prémourant
Cet acte a été dressé à la requête 1° du veuf, 2° de Simon Geoffroy Castner, frère et unique héritier de la défunte
acp 223 (3 Q 29 938) f° 188 du 21.3. – Communauté, elle se compose de meubles meublants et effets d’une valeur de 320 francs, d’une créance sur ledit héritier Castner de 800 et d’une indemnité due par la défunte pour une somme de 800, total 1910 francs – point de passif
Succession, elle se compose 1° la moitié de l’actif ci-dessus 960 dont il convient de déduite l’indemnité précitée 800, reste 160 francs, 2° de la garde robe 74, 3° de la moitié de 3 hectares 74 ares 13 centiares de terres arables et de bois en 26 pièces désignées en l’acte situées au ban de Dachstein, 4° de 7 ares 47 de vigne occupées verbalement pour un canon annuel de 14 francs, 5° moitié d’une maison à Strasbourg place d’Armes n° 28 louée en partie par bail ssp du 1 septembre 1829 enreg. 11 même pour 520 fr. par an
la moitié d’une maison à Strasbourg rue du Fossé des Tailleurs, d’un revenu annuel de 200 francs sans distraction de charges – Passif, 4000 francs

Le commis négociant Simon Geofroi Castner épouse en 1831 Marguerite Vix, originaire de Dorlisheim
Mariage, Strasbourg (n° 423)
Du 13° jour du mois d’octobre 1831 à dix heures du matin. Acte de mariage de Simon Geofroi Castner, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 11 novembre 1792 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Commis négociant, fils de feu Simon Castner, tailleur, décédé en cette ville le 12 janvier 1826 et de feu Marguerite Salomé Kopp décédée en cette ville le 5 février 1814
Et de Marguerite Vix, Majeure d’ans, née en légitime Marguerite le 25 avril 1806 à Dorrlisheim /Bas Rhin/ domiciliée à Strasbourg, fille de George Vix, menuisier domicilié à Dorrlisheim ci présent et consentant et de feu Marguerite Nagel décédée à Dorrlisheim le 16 août 1817 (i 26)

Simon Geofroi Castner loue une partie de la maison à Benjamin Bloch

1848, Enregistrement de Strasbourg, ssp 102 (3 Q 31 601) f° 100 du 23.5.
7 octobre 1845. Bail ainsi conçu. Entre les soussignés S. G. Castner propriétaire de la maison Place Kleber N° 28 à Strasbourg
et Benjamin Bloch de Strasbourg
il a été arrêté et convenu de qui suit. Le premier donne à dater de la St. Michel ou 25 septembre de cette année au susdit Sr Bloch à bail pour trois, six ou neuf années des localités au rez de chaussée de la susdite maison, une chambre au quatrième étage et une autre au cinquième étage de la dite maison toutes deux donnant dans la rue du coin brûlé, plus une cave ouverte dite Vorkeller et une cave fermée faisant partie de la cave de la maison, tel que le tout se comporte sous la condition qu’il payera au susdit bailleur à la fin de chaque semaine un loyer hebdomadaire de 9 francs

Commis négociant demeurant à Schiltigheim, Geofroi Castner loue une partie de la maison à Joseph Baum

1865, Enregistrement de Strasbourg, ssp 142 (3 Q 31 641) f° 69 du 27.9.
20 septembre 1868. Bail ainsi conçu. Entre les soussignés Geof. Castner commis négociant à Schiltigheim propriétaire de la maison place Kleber N° 24 nouveau d’une part
et M. Joseph Baum à Strasbourg d’autre part il a été fait ce qui suit
Le premier donne à loyer pour trois, six ou neuf ans au Sr Baum qui accepte le Rez de chaussée et le 1° étage donnant sur la place Kleber de la susidte maison, le rez de chaussée à dater de noël 25. Xbre prochain et le 1° étage à date de Pâques 1866 moyennant un loyer annuel de de 520 francs payables par quartiers a chaque fin de trimestre.
En cas de non paiement du loyer le bailleur est autorisé à lui donner congé pour le trimestre suivant (…) Si les contributions devaient être augmentées en raison d’une seconde porte d’entrée au rez de chaussée, le preneur payera la différence en plus

Simon Geoffroi Castner et Marguerite Vix vendent la maison à l’hôtelier Jean Voltz et à Louise Fleckstein (propriétaires de la maison voisine n° 25 depuis 1861)

1868 (22.9.), Victor Holtzapffel
Vente – Simon Geoffroi Castner, comptable, et Marguerite Vix sa femme à Schiltigheim
à Jean Voltz, hôtelier, et Louise Fleckstein sa femme à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg place Kleber n° 24, moyennant 35.000 francs
Jouissance, impôts et intérêts du 29 septembre 1868. Héritage de sa femme* décédée en 1836
acp 576 (3 Q 30 291) f° 22 du 28.9.

Jean Voltz loue la maison à Frédérique Baum née Nerson

1871, Enregistrement de Strasbourg, ssp 155 (3 Q 31 654) f° 45-v du 17.5.
15 Mai 1871. Pacht wie folgt. Zwischen Hr J. Voltz Wirth in Straßburg, Eigenthümer des Hauses Kleber Platz N° 24
und Witwe Baum Riga geborene Nerson in Straßburg, ist folgender vertrag gemacht worden
Hr Voltz entlehnt an Mde Wittwe Baum den Erdgeschoß und ersten Stock auf dem Kleber Platz obigen Hauses vom 25. Dezember 1871 an für einen jährlichen Pacht von 600 Franken und eine Dauer von drei Jahren. Die Pächterin kann keine Veränderung im Hause machen

La veuve et la fille de Jean Voltz vendent cinq huitièmes de la maison à Henri Herzog Grumbach (propriétaire de la maison voisine n° 23 depuis 1864)

1885 (27.2.), Strasbourg 10 (208), Frédéric Pierron n° 6856
Kauf, 27 & 28. Februar 1885. – sind erschienen 1) Frau Barbara Luise Fleckstein, wohnhaft in Straßburg, Wittwe des Herrn Johann Voltz im Leben geweßenen Gastwirt in derselben Stadt 2) und Frau Marie Luise Voltz, hierzu gehörig ermächtigte Ehegattin des Herrn Ludwig Lehr, Kaufmann hier zugegen mit einander in Weissenburg wohnhaft, Welche hiemit (…) verkaufft haben
an Herrn Heinrich Herzog Grombach, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, Käufer hierzugegen und solches annehmend
Beschreibung. Fünf achtel (5/8) eines Hauses bestehend aus Vorder, Seiten und Hintergebäuden, Hof, Brunnen, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen Kleberplatz N° 24, einseits Eigenthum des Käufers, andeseits Eigenthum Arnold, hinten auf die Brand ein End Gasse stoßend wo daselbe einen Ausgang hat mit N° 9 bezeichnet
Diese Antheile sind verkaufft im Stand in welchem sich dieses Haus würcklich befindet (…) mit Inbegriff den darin sich befindlichen und dem jetzigen Eigenthümer gehörigen Oefen, mit Ausnahm des Porzelanofens nebst Rohr und Stein, welchen sich im ersten Stockwerk befindet und welchen denselben als Eigenthum verbleibt.
Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft welche zwischen den Ehegatten Voltz-Fleckstein bestanden hat, erkauft worden Herrn Simon Gottfried Castner, Buchhalter und Frau Margaretha Vix dessen Ehefrau mit einander in Schiltigheim wohnhaft, auf Grund eines Kauffvertrags durch den damaligen Notar Holtzapffel in Straßburg den 22. September 1868 errichtet. Dieser Kauf geschah für eine Summe von 35.000 Franken, wovon 5000 Franken baar bezahlt worden (…) Nach dem Ableben des Herrn Voltz welches den 30. August 1884 erfolgt ist, fiel die Hälfte oder vier achtel dieses Hauses seiner überlebenden Wittwe zu und zwar wegen der gesetzlichen Gütergemeinschaft welche ohne Ehevertrag zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehegattin bestanden hat, und für die andere Hälfte oder Jedes einen achten Theil ihren vier Kindern nämlich 1) die Comparentin Frau Lehr, 2) Frau Emma Johanna Voltz Ehegattin des Herrn Richard Herrmann Emmanuel Mertens, Steuerempfänger mit welchem sie zu Hayange Kreis Diedenhofen wohnhaft ist, 3) Anna Voltz geboren den 12. September 1866, 4) Johann Joseph Voltz geboren den 16. Oktober 1873, beide Letztere noch minderjährig und sich unter der gesetzlichen Vormundschaft ihrer genannten Mutter befindend, so wie dieses alles bestätigt ist durch das Inventar des Nachlasses des genannten Herrn Johann Voltz durch genannten Notar Holtzapffel den 1. Oktober 1884 errichtet.
Auf Grund einer Schenkungsaktes unter Ehegatten durch denselben Notar Holtzapffel den 28. Juli 1877 errichtet und den 4. September 1884 Band 754, Blatt 9 in Straßburg (…) registrirt, hat der verstorbene Herr Voltz seiner überlebenden Comparentin Wittwe die lebenslängliche Nutznießung der Hälfte seines Nachlasses geschenkt. So daß also dieses Haus in vollem Eigenthum für eine Hälfte oder vier achtel der Wittwe Voltz gehört und für die übrige vier achtel oder Jedes ein achtel ihren vier obengenannten Kindern, wovon jedoch die lebenslängliche Nutznießung Zur Hälfte der Frau Wittwe Voltz auf Grund des obenerwähnten Schenkungsaktes gehört.
In dem Kaufbertrag vom 22. September 1885 ist noch erklärt, daß obengenannter Herr Castner den achten theil diese Hauses ererbt hat in der Verlaßenschafft der Frau Anna Maria Brüner Wittwe des Herrn Johann Johann Röderer, auf Grund eines öffentlichen testaments durch den damaligen Notar Uebersaal in Straßburg den 29. Juni 1818 errichtet, den 12. darauf folgenden Juli registrirt. Drei andere achtel hat derselbe erworben auf Grund eines Steigprotokolls auf den Civil Gericht von Straßburg den 6. Juli 1820 errichtet im Hypothekenamte den dritten darauf folgenden August, Band 132 N° 31 transcribirt. Und die übrigen vier achtel hat derselbe ererbt in der Verlaßenschafft seiner Schwester Frau Margaretha Salome Castner als Ehegattin des Herrn Franz Karl Hug im Jahr 1836 gestorben deren einzigen Erbe derselben war. Auf Grund ihres Ehevertrags durch den damaligen Notar Grimmer in Straßburg den 5. August 1815 errichtet hatte genannter Herr Hug die lebenslängliche Nutznießung der Verlaßenschafft seiner genannten Ehegattin, welche aber durch dessen Tod erloschen ist. – Bedingungen (…) Civil und Hypothekenstand. Die Verkäuferen erklären, daß Frau Wittwe Voltz außer der Vormundchaft ihren beiden Kindern keine Amt bekleidet welches gesetzliche Hypothek nach sich zögen, daß die Ehegatten Lehr beide in erster Ehe unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheiratet sind welche auf Errungenschaft beschränkt ist auf Grund ihres Ehevertrags durch genannten Notar Holtzapffel den 15. Mai 1877 errichtet (…) Preis, 18.000 Mark
acp 759 (3 Q 30 474) f° 60-v du 4.3.

Henri Herzog Grumbach devient propriétaire de la totalité de la maison

1885 (17.8.), Strasbourg 10 (210), Frédéric Pierron n° 7161, 7207
Bedingnisheft. Heute den 17. August 1885 (…) I. Urtheil. In Sachen des Eigenthümers Heinrich Herzog Grombach in Straßburg vertreten durch Rechtsanwalts Schneegans, Klägers
gegen 1) Barbara Louise Fleckstein, ohne Gewerbe, Wittwe des Wirthes Johann Voltz, früher zu Strassburg, jetzt in Weissenburg wohnend in ihrer Eigenschaft als Mutter und gesetzliche Vormünderin ihrer mit ihrem verlebten Ehemann erzeugten noch minderjährigen Kindern Anna Voltz und Johann Joseph Voltz, 2) Karl Ehrhardt Voltz, Gÿpsenmeister in Straßburg in seiner Eigenschaft als Nebenvormund der genannten minderjährigen Kinder Voltz, 3) Emma Johanna Voltz, ohne Gewerbe, Ehefrau des Steuereinnemers Richard Herrmann Emanuel Mertens zu Hayange, Kreis Diedenhofen wohnhaft und dem Letzter, der ehemaligen Gütergemeinschaft wegen vertreten ad 1 durch Rechtsanwalt Mechling, ad 2 und 3. durch Rechtsanwalt Dr Peter, Beklagte erkannt die erste Civilkammer des kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg, unter Mitwirkung folgender Richter 1) des Landgerichts Präsidenten Lantz 2) des Landgerichtsraths Leoni, 3) des Landgerichts Raths Rausch Kolb für Recht und wird die Versteigerung des nachbezeichneten Immöbels verordnet (…)

II) Beschreibung des zu versteigernden Hauses. Ein Haus bestehend aus Vorder, Seiten und Hintergebäuden, Hof, Brunnen, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen Kleberplatz N° 24 einseits Eigenthum Grombach und des rothen Hauses andeseits Eigenthum Arnold, hinten auf die Brand ein End gasse stoßend wo daselbe einen Ausgang hat mit N° 9 bezeichnet
III) Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft welche zwischen Herrn Johann Voltz im Leben geweßenen Gastwirth in Straßburg und Frau Barbara Luise Fleckstein dessen überlebende Wittwe bestanden hat erworben worden von Herrn Simon Gottfried Castner Buchhalter und Frau Margaretha Vix dessen Ehefrau damals in Schiltigheim wohnhaft, auf Grund eines Kauffvertrags durch den damaligen Notar Holtzapffel in Straßburg den 22. September 1868 errichtet im Hypothekenamte von Straßburg den 2. darauf folgenden Oktober Band 1173 N° 37 transcribirt und von Amtswegen eingeschrieben Band 997 N. 31. Dieser Kauf geschah für eine Summe von 35.000 Franken, wovon 5000 Franken baar bezahlt worden (…) Nach dem Ableben des Herrn Voltz welches den 30. August 1884 erfolgt ist, fiel die Hälfte oder vier achtel dieses Hauses seiner überlebenden Wittwe zu und zwar wegen der gesetzlichen Gütergemeinschaft welche ohne Ehevertrag zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehegattin bestanden hat, und für die andere Hälfte oder Jedes einen achten Theil ihren vier Kindern und einzigen Erben des Herrn Voltz nämlich a) Frau Marie Luise Voltz Ehegattin des Herrn Ludwig Lehr, Kaufmann mit dem sie in Weissenburg wohnhaft ist, b) Frau Emma Johanna Voltz Ehegattin des Steuereinnehmers Richard Herrmann Emmanuel Mertens mit welchem sie zu Hayange Kreis Diedenhofen wohnhaft, c) Anna Voltz geboren den 12. September 1866, d) Johann Joseph Voltz geboren den 16. Oktober 1873, beide Letztere noch minderjährig sich unter der gesetzlichen Vormundschaft ihrer genannten Mutter befindend, so wie dieses alles bestätigt ist durch das Inventar des Nachlasses des Herrn Voltz durch genannten Notar Holtzapffel den 1. Oktober 1884 errichtet.
Auf Grund einer Schenkungsaktes unter Ehegatten durch denselben Notar Holtzapffel den 28. Juli 1877 errichtet und den 4. September 1884 Band 754, Blatt 9 in Straßburg (…) registrirt, hat der verstorbene Herr Voltz seiner überlebenden Wittwe die lebenslängliche Nutznießung der Hälfte seines Nachlasses geschenkt. Laut Kaufvertrag durch den unterzeichneten Notar den 27. und 28. Februar 1885 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 25. darauf folgenden März Band 2213 N° 66 transcribirt und von Amtswegen eingeschrieben Band 1559 N. 87 hat Frau Wittwe Voltz ihren Antheil also 4/8 und Frau Lehr ebenfalls ihren Antheil also ein achtel, zusammen fünf achtel, an dem oben bezeichneten Haus an Herrn Heinrich Herzog Grombach, Eigenthümer in Straßburg verkaufft für den Preis von 18.000 Mark (…) Bezüglich des früheren Eigenthumsnachweis dieses Hauses ist in dem Kaufvertrag vom 22. September 1885 erklärt,
daß obengenannter Herr Castner den achten theil diese Hauses ererbt hat in der Verlaßenschafft der Frau Anna Maria Brüner Wittwe des Herrn Johann Johann Röderer, auf Grund eines öffentlichen testaments durch den damaligen Notar Uebersaal in Straßburg den 29. Juni 1818 errichtet, den 12. darauf folgenden Juli registrirt. Drei andere achtel hat derselbe erworben auf Grund eines Steigerungs protokolls auf den Civil Gericht von Straßburg den 6. Juli 1820 errichtet im Hypothekenamte den dritten darauf folgenden August, Band 132 N° 31 transcribirt. Und die übrigen vier achtel hat derselbe ererbt in der Verlaßenschafft seiner Schwester Frau Margaretha Salome Castner als Ehegattin des Herrn Franz Karl Hug im Jahr 1836 gestorben deren einzigen Erbe derselben war.
IV. Civil und Hypothekenstand. Denselben stellt sich folgendermaßen auf. Herr Grombach ist in erster Ehe mit Frau Rosalie Brunner unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheirathet auf Grund ihres Ehevertrags durch Notar Laucher in Sanct Amarin den 19. Oktober 1863 erichtet. Frau Mertens ist ebenfalls in erster Ehe mit ihrem genannten Ehegattin unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheirathet, so wie dieses am tage der Steigerung durch Ihren Bevollmächtigteren soll erwiesen werden (…) V. Versteigerungs Bedingungen (…)
acp 765 (3 Q 30 480) f° 58-v du 24.8.
Versteigerung. Und im Jahr 1885, Mittwoch den 16. September (…) auf dem Ansatzpreis von 36.000 Mark (…) Nachdem mehrere Kerzen angezuündet worden sind, mehrere Gebote gemacht worden, wovon das Letzte durch Herrn Grombach Mit Eigenthümer durch welchen den Preis dieses Hauses auf 43.000 Mark gebracht wurde
acp 767 (3 Q 30 482) f° 90-v du 22.9.

Originaire de Scherwiller, le courtier de commerce Herzog Grombach épouse à l’âge de quarante-cinq ans Rosalie Brunner de Husseren-Wesserling, âgée de dix-neuf ans
Mariage, Husseren-Wesserling (n° 6)
Le 24 novembre 1863 à deux heures du soir (…) ont comparu publiquement en notre maison commune Sieur Herzog Grombach, courtier de commerce, âgé de 45 ans, né à Scherwiller (Bas-Rhin) le 28 octobre 1818, demeurant à Strasbourg, célibataire, fils majeur des conjoints feu Meyer Grombach de son vivant marchand de draps, colporteur, décédé à Strasbourg le 14 mars 1848, et de vivante Rebecca Lévi, ans profession, âgée de 84 ans, domiciliée audit Strasbourg, du consentement de laquelle il procède, à ce consentante d’une part
et demoiselle Rosalie Brunner, sans profession âgée de 19 ans, née en cette commune le 17 août 1844 et y demeurant, fille mineure des conjoints Isaac Brunner, marchand de draps et Henriette Krumbach, sans profession, les deux âgés de 45 ans et domiciliés à Husseren du consentement desquels elle procède, à ce présents et consentants, d’autre part (signé) H. Grombach, Rosalie Brunner

La Ville de Strasbourg vend un terrain d’environ un mètre carré à Henri Grombach

1886 (15.5.), maire
685. – Verkauf durch die Stadt Strassburg
an Heinrich Grombach, Eigenthümer hier
von 1,13 qm. an dessen Eigenthum am Kleberplatze hier um 33,90 Mark
acp 777 (3 Q 30 492) f° 49-v du 17.5.

Henri Herzog Grombach et Rosalie Brunner hypothèquent la maison n° 23 qu’ils viennent de faire construire à la place des anciens n° 23 et 24 au profit des architectes Frédéric Auguste Stuber et Charles Emile Salomon

1888 (15.11.), Strasbourg 10 (225), Frédéric Pierron n° 9642
Obligation – sind erschienen Herr Heinrich Herzog Grombach, Eigenthümer und Frau Rosalie Brunner dessen von ihm gehörig ermächtigte Ehegattin mit Einander in Straßburg wohnhaft, Welche erkennen rechtmäßig schuldig zu sein
1) an Herrn Friedrich August Stuber ehemaliger Baumeister, eine Hauptsumm von 10.000 Mark, 2) und an Herrn Karl Emil Salomon, Baumeister eine Hauptsumm von 10.000 Mark, zusammen 20.000 Mark (…)
Hypothekarische Verpfändung. (…) ein neuerbautes Wohnhaus mit Erdgeschoß drei Stockwerken Mansarden, Hof, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen Kleberplatz N° 23, einseits den Gasthof zum rothen Haus, anderseits Eigenthum Arnold, hinten auf die Brand ein End Gasse stoßend. Auf welches Haus die Gläubiger ermächtiget sind eine Hÿpothekarische Einschreibung (…) zu nehmen
Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft welche zwischen den Ehegatten Grombach besteht neu erbaut worden an Stelle von zwei älteren Häusern, wovon das eine welche früher die Nummer 23 trug erworben wurde von Herrn August Jules Adrien Pozzo, Schuhmacher, und Frau Marie Anne Hertlé, Ehegatten in Schlettstadt wohnhaft, auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Victor Noetinger in Straßburg den 19. September 1864 errichtet im Hypothekenamte von Straßburg den 24. des nämlichen Monats Band 994 N° 76 überschrieben. Der Kaufpreis ist gäntzlich bezahlt. Die Ehegatten Pozzo haben selbst dieses Haus erworben von Herrn Isaac Katz, Kaufmann und dessen Ehefrau Theresa Meyer in Paris wohnhaft auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Burtz in Straßburg den ersten September 1854 errichtet im Hypothekenamte von Straßburg den 9. des nämlichen Monats Band 593 N° 16. überschrieben und eines Ratifications actes durch den damaligen Notar Momy in Straßburg den 31. Mai 1857 errichtet.
Was das andere Haus betrifft, welches früher die Nummer 24 trug, so ist dasselbe erworben worden, nämlich fünf achtel von Frau Barbara Luise Fleckstein, Wittwe des Herrn Johann Voltz und ihrer Tochter Frau Marie Luise Voltz, Ehegattin des Herrn Ludwig Lehr, Kaufmann in Weißenburg wohnhaft, auf Grund eines Kaufvertrages durch den unterzeichneten Notar den 27. und 28. Februar 1885 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 25. darauf folgenden März, Band 2213 N. 66 überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 1559 N. 87. und die übrigen drei achtel sind auf lizitationswege erworben worden von Frau Emma Johanna Voltz, Ehegattin des Herrn Richard Herrmann Emanuel Mertens, Steuereinnemer zu Hayange, Kreis Thionville wohnhaft und ihren beiden minderjährigen Geschwistern Anna Maria Margaretha Voltz und Johann Marie Joseph Voltz, beide sich unter der gesetzlichen Vormundschaft ihrer obengenannten Mutter Frau Wittwe Voltz befindend, auf Grund eines Steigprotokolls durch den dazu gerichtlich bestellten unterzeichneten Notar den 16. September 1885 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 26. darauf folgenden Oktober, Band 2245 N. 65. überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 1573 N. 197. Der noch heute geschuldete, restierende Kauf und Steigpreis dieses Hauses mit 30.325 Mark (…)
Civil und Hypothekenstand. Die Schuldner erklären, daß sie beide in erster Ehe unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheiratet sind auf Grund ihres Ehevertrags durch Notar Laucher in Sanct-Amarin den 19. Oktober 1863 errichtet (…)

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1889 (15.2.), Strasbourg 10 (226) Frédéric Pierron n° 9861
Obligation von 28.000 Mk. – sind erschienen Herr Heinrich Herzog Grombach, Eigenthümer und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehegattin Frau Rosalie Brunner mit Einander in Straßburg wohnhaft, Welche erkennen rechtmäßiger Weise schuldig zu sein
1. an Herrn Friedrich August Stuber ehemaliger Baumeister, eine Hauptsumm von 18.000 Mark, 2. und an Herrn Karl Emil Salomon, Baumeister eine Hauptsumm von 10.000 Mark, zusammen 28.000 Mark (…)
Hypothekarische Verpfändung. (…) ein neuerbautes Wohnhaus mit Erdgeschoß drei Stockwerken Mansarden, Hof, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen Kleberplatz N° 23, einseits den Gasthof zum rothen Haus, anderseits Eigenthum Arnold, hinten auf die Brand ein End Gasse stoßend.
Eigenthums-Nachweis. Fragliches Haus ist während der zwischen den Ehegatten Grombach bestehender Gütergemeinschaft neu erbaut worden an Stelle von zweier älteren Häusern, wovon das eine, welche früher die Nummer 23 trug, erworben wurde von Herrn August Jules Adrien Pozzo, Schuhmacher, und dessen Ehefrau Marie Anne Hertlé in Schlettstadt auf Grund Kaufvertrags des damaligen Notars Victor Noetinger zu Straßburg vom 19. September 1864, im Hypothekenamte von Straßburg den 24. desselben Monats Band 994 N° 76 überschrieben. Der Kaufpreis ist gäntzlich bezahlt. Die Ehegatten Pozzo haben selbst dieses Haus erworben von en Eheleuten Isaak Katz, Kaufmann und dessen Therese Meyer in Paris auf Grund eines Kaufvertrags durch des damaligen Notars Burtz zu Straßburg den ersten September 1854, im Hypothekenamte zu Straßburg den 9. desselben Monats Band 593 N° 16. überschrieben und eines Genehmigungaktes des damaligen Notars Momy zu Straßburg vom 31. Mai 1857.
Was das andere Haus ehemals die Nummer 24 tragend betrifft, so ist dasselbe wie folgt erworben worden. Fünf achtel von Frau Barbara Luise Fleckstein, Wittwe des verstorbenen Eigenthümers Hn. Johann Voltz und deren Tochter Frau Marie Luise Voltz, Ehegattin des Hn. Ludwig Lehr, Kaufmann in Weissenburg, auf Grund eines Kaufvertrages des handelnden Notars vom 27. und 28. Februar 1885, im hiesigen Hypothekenamte den 25. März desselben Jahres, Band 2213 N° 66 überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 1559 N° 87. Die übrigen drei achtel von Frau Emma Johanna Voltz, Ehegattin des Hn. Richard Herrmann Emanuel Mertens, Steuereinnemer zu Haÿingen und deren beiden minderjährigen Geschwistern Anna Margaretha Voltz und Johann Marie Joseph Voltz, beide unter der gesetzlichen Vormundschaft ihrer obengenannten Mutter Frau Wittwe Voltz sich befindend, auf Grund eines Steigprotokolls des handelnden Notars vom 16. September 1885, im hiesigen Hypothekenamte den 26. darauf folgenden Oktober, Band 2245 N° 65. überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 1573 N° 197.
Civil und Hypothekenstand. Die Schuldner erklären, daß sie beide in erster Ehe unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheiratet sind auf Grund ihres Ehevertrags durch Notar Laucher in Sanct-Amarin den 19. Oktober 1863 errichtet (…)

Henri Herzog Grombach et Rosalie Brunner hypothèquent la maison au profit de Guillaume Théodore Nenninger

1890 (22.1.), Strasbourg 10 (230) Charles Gachot n° 445
d. 22. Januar 1890. Obligation mit Hypothekenpfand – sind erschienen Herr Heinrich Herzog Grombach, Eigenthümer und Frau Rosalie Brunner dessen von ihm gehörig ermächtigte Ehegattin mit einander in Straßburg in dem hernach bezeichneten Haus wohnhaft, dieselbe erkennen rechtmäßig schuldig zu sein
an Herrn Wilhelm Theodor Nenninger, Eigenthümer in Straßburg Krautenaustraße 36 wohnhaft, Gläubiger hierzugegen und solchen annehmend, die Hauptsumm von 5000 Mark für baar geliehenen Geld (…)
Hypothekarische Verpfändung. (…) ein neuerbautes Wohnhaus mit Erdgeschoß, drei Stockwerken Mansarden, Hof, Rechten und Zugehörden zu Straßburg gelegen Kleberplatz N° 23, einseits den Gasthof zum rothen Haus, anderseits Eigenthum Arnold, hinten auf die Brand ein End Gasse stoßend.
Eigenthums Nachweis. Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft welche zwischen den Ehegatten Grombach besteht neu erbaut worden an Stelle von zwei älteren Häusern, wovon das eine welche früher die Nummer 23 trug erworben wurde von Herrn August Jules Adrien Pozzo, Schuhmacher, und Frau Marie Anne Hertlé, Ehegatten in Schlettstadt wohnhaft, auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Victor Noetinger in Straßburg den 19. September 1864 errichtet im Hypothekenamte von Straßburg den 24. des nämlichen Monats Band 994 N° 76 überschrieben. Der Kaufpreis ist gäntzlich bezahlt.
Was das andere Haus betrifft, welches früher die Nummer 24 trug, so ist dasselbe erworben worden, nämlich fünf achtel von Frau Barbara Luise Fleckstein, Wittwe des verlebten Eigenthümers Herrn Johann Voltz und ihrer Tochter Frau Marie Luise Voltz, Ehegattin des Herrn Ludwig Lehr, Kaufmann in Weißenburg wohnhaft, auf Grund eines Kaufvertrages durch den damaligen Notar Pierron in Straßburg, unmittelbaren Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars den 27. und 28. Februar 1885 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 25. darauf folgenden März, Band 2213 N. 66 überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 1559 N. 87. und die übrigen drei achtel sind auf lizitations Wege erworben worden, von Frau Emma Johanna Voltz, Ehegattin des Herrn Richard Herrmann Emanuel Mertens, damals Steuereinnemer in Hayange, Kreis Thionville wohnhaft, und ihren beiden minderjährigen Geschwistern Anna Maria Margaretha Voltz und Johann Marie Joseph Voltz, beide sich unter der gesetzlichen Vormundschaft ihrer obengenannten Mutter Frau Wittwe Voltz befindend, auf Grund eines Steigprotokolls durch den dazu gerichtlich bestellten Notar Pierron den 16. September 1885 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 26. darauf folgenden Oktober, Band 2245 N. 65. überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 1573 N. 197. Der Kauf und Steigpreis ist schon längst bezahlt und die betreffenden Einschreibungen gelöscht worden.
Civil und Hypothekenstand. Die Schuldner erklären, daß sie beide in erster Ehe unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheirathet seien, auf Grund ihres Ehevertrags durch Notar Laucher in Sanct-Amarin den 19. Oktober 1863 errichtet (…)

Henri Herzog Grombach et Rosalie Brunner hypothèquent la maison au profit de Michel Urban dit Klein, de Lampertheim

1899 (11.1.), Antoine Keller n° 13.606
Schuldbrief durch Heinrich Herzog Grombach, Eigenthümer, und Rosalie Brunner Eheleute in Straßburg
zugunsten von Michael Urban genannt Kleinen, Gutsbesitzer in Lampertheim, über ein Darlehen von 8000 Mark
Pfand, Haus Kleberplatz N° 23 hier
acp 950 (3 Q 30 665) n° 4883 f° 16 du 12.1.

Henri Herzog Grombach et Rosalie Brunner hypothèquent la maison au profit du Crédit foncier et communal

1901 (17.1.), Gustave Edouard Loew N° 33.656
Schuldverschreibung durch die Aktiengesellschaft für Boden- und Communalkredit hier, vertreten durch ihren Direktor Dr Reis
an Heinrich Hertzog Grombach, Eigenthümer und seiner Gattin Rosalie Brunner für baar erhaltene 80.000 M. rückzahlbar nach 3. monat. Kündigung, jedoch nicht vor 1. April 1911, verzinslich zu 4 ½ % von heute
Zur Sicherheit wird Anwesen hier Kleberplatz N° 23 mit Sicherhungshypothek belastet
acp 979 (3 Q 30 694. I) f° 32 n° 2638 du 21.1.

Henri Herzog Grombach meurt en 1902 en délaissant trois fils. La veuve a la jouissance viagère de la moitié de la maison suivant contrat de mariage passé devant le notaire Laucher à Saint-Amarin. Maisons de la succession, place Kleber, rue Brûlée n° 10, boulevard Saint-Nicolas n° 4 et 6 et deux maisons au canton Vorder-Heyritz (n° 3 et 10).

1903 (19.3.), Gustave Edouard Loew n° 36.851
Inventar nach Ableben von Heinrich Herzog Grombach Eigenthümer gestorben am 25. September 1902 hier. I. Rosalie Brunner Rentnerin in Strassburg Wittwe des Erblassers wegen der bestehenden Errungenschaftgemeinschaft laut Ehevertrag Laucher in St. Amarin vom 19. Oktober 1863 des lebenslänglichen Nießbrauchs an der Hälfte des Nachlasses laut Ehevertrag und als Erbin zu ¼.
II. Moritz Grombach, Kaufmann in Straßburg, III. Fernand Grombach, Kaufmann in Straßburg, IV. Hippolyt Grombach, Bildhauer in Straßburg, einzige Erben ihres Vaters soviel der Nachlass nicht der Wittwe zufällt

acp 1010 (3 Q 30 725. II) f° 26 n° 3617 du 21.3. (E. E. vom 21. III 03, 276/553) Gütergemeinschaft. Aktiv. Haiseinrichtung 1392
Liegenschaften, Stadt Strassburg. Ein Anwesen am Kleberplatz N° 23 (zuvor Nr. 23 u. 24) neu umgebaut mit 3 Stockwerken nebst Mansarden, Flur N 701 0,53 Ar Hof, 734.p 0,60 Ar, 734.p 0,01 Ar, 733 0,89 Ar, 1336.p 0,38 Ar, zusammen 2,41 Ar, Nutzungswert 5500 M. Ertrag 7700 M. Wert 150.000 M
Ein Anwesen Brandgasse N° 10 Zimmerleutgasse N° 1 begreifend 2 Wohnhäuser mit einem Hof, ein jedes zu Erdgeschoß und einem Stockwerken, Flur N 1261 Brandgasse 3,05 Ar, Nutzungswert 2100 M, Flur N 1762 Brandgasse Hs. Nr. 11 Nutzungswert 800
Ein Wohnhaus mit 3 Stockwerken Nikolausring N° 4, Ertrag 1680 M, Flur 28 Nr 3, 0,63 Ar Hof Nikolausring Haus Nr 4 Nutzungswert 1200 M
Ein Wohnhaus mit 3 Stockwerken Nikolausring N° 6, Ertrag 1260 M, Flur 28 Nr 4, 1,21 Ar Hof Nikolausring Haus Nr 6 Nutzungswert 1200 M, Wert zusammen 70.000 M
Ein Haus Vorderheiritz N° 3, Flur 3 Nr 43 5,92 Ar, Flur 3 Nr 44, 1,84 Ar, zusammen 7,76 Ar, Nutzungswert 300 M, Ertrag 420 M, Wert 12.000 M
Ein Haus Vorderheiritz N° 10, Flur 2 Nr 28 1,53 Ar, Flur 3 Nr 29 14,81 Ar HG, zusammen 16, 34 Ar, Ertrag 360 M, Wert , nicht vermietet, Wert 12.000 M
Bauplätze. Untergemarkung Neudorf
1) Flur 2 N° 89, 9,39 Ar Baumschule, Vorderheyritz, 2000 M
2) Flur 2 N° 114, 7,14 Ar Baumschule, Hinterheyritz, 1500 M
3) Flur 2 N° 58, 3,49 Ar Baumschule, Vorderheyritz, 700 M
Untergemarkung Bann Koenigshofen Kronenburg
4) Flur 8 N° 74, 35,08 Ar Endenloch, 3500 M
5) Flur 8 N° 79, 17,39 Ar Endenloch, 1800 M
6) Flur 8 N° 108, 12,18 Ar Unterweg, 1200 M
7) Flur 9 N° 11, 4,19 Ar Helenengarten, 420 M
8) Flur 9 N° 12, 5,18 Ar Helenengarten, 520 M
9) Flur 9 N° 20, 3,19 Ar Helenengarten, 320 M
10) Flur 9 N° 25, 7,37 Ar Helenengarten, 750 M
11) Flur 9 N° 27, 6,89 Ar Helenengarten, 700 M
Bann Schiltigheim (…) 850, 1100, 600, 450, 450, 350, 500, 350, 300, 450, 950, 350, 350, 200, 350 2000, 1200, 600, 450 (zusammen 29.760 M)
Laufende Mieth und Pachtzinsen aus den Häusern in Straßburg und Neudorf 3250, aus den ländlichen Grundstücken, 1150 (zusammen 4400)
Rayon Entschädigungen seitens des Militärfiskus bezüglich der ländlichen Grundstücke jährlich 71,47. Diese Entschädigungen laufen noch für 17 Jahr
Verbindlichkeiten. Ersatzforderungen a) der Wittwe für Auststattungen 800, Baarbetrag 4800 (zusammen 5600) b) des Nachlasses für 5600, eine Summe von 16.000
Hypotheken 184.500 – Chirographenschulden 20.376
Nachlass, Garderobe und Schmuck 200, Verbindlichkeiten 257, die Wittwe nimmt alles ihr etwa aus dem Nachlass des dahier am 23. I. 1900 verlebten Vaters Isaak Brunner anerfallene in Natur zurück. Für ihre Ansprüche in Volleigentum und Nießbrauch am Nachlass des Erblassers behält sich die Wittwe alle rechte vor

Rosalie Brunner meurt en 1825 dans sa maison place Kleber
Décès, Strasbourg (n° 2668)
Grombach Rosalie née Brunner. – Le deux novembre 1925 à six heures est décédée en son domicile, 23, place Kleber, Rosalie Brunner, née à Husseren (Haut-Rhin) le 19 août 1844, fille d’Isaac Brunne et d’Henriette Grumbach, décédés, veuve d’Henri Grombach. Dressé le 2 novembre 1925 à quinze heuers sur la déclaration d’Hippolyte Grombach, 53 ans, sculpteur, fils de la défunte, 48 Rue du Jeu-des-Enfants (im 214)

Maurice Grombach naît en 1866
Naissance, Strasbourg (n° 2065)
Acte de naissance. Le 10 octobre 1866 à onze heures du matin (…) a comparu Henri Herzog Grombach âgé de 46 ans, négociant, domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin né à Strasbourg le 9 octobre 1866 à 5 heures du soir en la maison N° 23 place Kleber et nommé Eugène Alphonse Maurice, fils de lui déclarant et de Rosalie Brunner son épouse âgée de 22 ans (i 85)

Fernand Grombach naît en 1868. Il épouse en 1925 Célestine Judas
Naissance, Strasbourg (n° 1891)
Acte de naissance. Le 31 août 1868 à trois heures du soir (…) a comparu Henri Herzog Grombach âgé de 49 ans, propriétaire, domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin né à Strasbourg le 29 août 1868 à 10 heures du soir en la maison N° 23 place Kleber et nommé George Fernand, fils de lui déclarant et de Rosalie Brunner son épouse âgée de 24 ans
[in margine :] Marié à Strasbourg le 21 janvier 1925 avec Célestine Judas
[in margine :] Décédé le 10 avril 1956 à Strasbourg (i 129)

Mariage, Strasbourg (n° 62)
Le 21 janvier 1925 à dix heures devant Nous (…) ont comparu publiquement en la maison commune Georges Fernand Grombach, rentier, né à Strasbourg le 29 septembre 1868, 56 ans, domicilié à Strasbourg 1, rue Turenne, fils de Henri Herzog Grombach, décédé, et de Rosalie Brunner, sa veuve domiciliée à Strasbourg d’une part
et Célestine Judas, sans profession, née à Strasbourg le 5 mars 1869, 55 ans, domiciliée à Strasbourg 2, quai de Paris, fille de Simon Judas et de Henriette Kahn, époux décédés d’autre part.
Aucune opposition n’existant. Les futurs époux déclarent qu’un contrat de mariage a été reçu le 19 janvier 1925 par maître Locher, notaire à Bischheim (Bas-Rhin)

Né en 1872, le sculpteur Hippolyte Grombach meurt célibataire en 1948
Décès, Strasbourg (n° 603)
Le 17 février 1948 à dix heures trente minutes est décédé en son domicile, 10 rue Schwilgué, Jacques Hippolyte Grombach, né à Strasbourg le 15 mai 1872, sculpteur, fils de Henri Herzog Grombach et de Rosalie Brunner, époux décédés, célibataire. Dressé le jour susdit à 14 heures (…)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.