54, rue du Vieux-Marché-aux-Vins
Rue du Vieux-Marché-aux-Vins n° 54 – III 136, (Blondel) P 461 puis section 57 parcelle 41 (cadastre)
Maison dite zum zinnenen Thurn, à la Tour crénelée, démolie en 1960
Maître d’ouvrage, Antoine Kuhn, fabricant de chandelles, 1844
Ancien îlot place de l’Homme de fer
A gauche, la maison en 1941 (dossier de la Police du Bâtiment, cote 533 MW 2293)
La photographie de droite, de moins bonne qualité, permet de voir l’aspect général de l’îlot (AMS, cote 1 Fi 16)
La maison porte anciennement le nom de Tour crénelée (zum zinnenen Thurn). Elle appartient à la famille de Fürdenheim jusqu’à sa vente à un aubergiste et apprêteur de tabac en 1661. Elle est localisée d’après la maison au Rocher du Sapin qui lui fait face (gegen dem Hauß zum Dannenfels hienüber) ou, suivant les descriptions plus précises, au Vieux-Marché-aux-Vins, près des Petites Boucheries, face au Rocher du Sapin (ahm alten Weinmarckt ohnfern der kleinen Metzig gegen dem hauß zum Dannenfelß über). Sur le plan de l’îlot, la maison borde la cour B vers le haut et vers la droite. Elle donne sur le fossé des Tanneurs (A). Au nord, à côté de l’entrée de la maison, des escaliers qui la séparent des derniers étaux de bouchers donnent sur le fossé ; cette descente est appelée abreuvoir (Tränck) dans les anciens textes.
La maison a un auvent et un encorbellement qui ne font pas l’objet d’un loyer communal. Le propriétaire est autorisé à les modifier au cours du XVIII° siècle, notamment en bâtissant sur le communal au-dessous de son encorbellement en 1739 puis en 1761. Il fait réparer le mur le long du fossé (1733, 1735), ouvre une croisée vers l’escalier (1782). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade de la maison est la cinquième à partir du repère (a) sur la droite. Elle a une porte cochère et deux fenêtres au rez-de-chaussée, quatre fenêtres à l’étage. Un deuxième bâtiment à deux étages le long du fossé des Tanneurs (cour A) fait suite à la façade sur rue. On en voit la partie (6-5) le long de l’escalier qui donne dans le fossé, le bâtiment continue en (5-4) puis au-delà de (4). Dans la cour (B), (1-2) est la face sud, (2-3) la face ouest vers les maisons voisines, (3-4) la face nord, c’est-à-dire l’arrière du bâtiment sur rue, et (3-1) la face est, c’est-à-dire le bâtiment qui donne sur le fossé. L’estimation de 1753 décrit les deux ailes de la maison dont la première qui s’ouvre sur la rue est la plus petite. La deuxième le long du fossé comprend plusieurs logements.
Cours A (Fossé des Tanneurs) et B
L’Atlas des alignements qui décrit le bâtiment sur rue signale un rez-de-chaussée et un premier étage en maçonnerie, en bon état. Cette maison manifestement ancienne est détruite en 1845 peu après que la Ville a fait combler le fossé des Tanneurs. Le nouveau bâtiment a trois étages (voir les impositions du cadastre), six fenêtres vers l’est et onze fenêtres vers le Vieux-Marché-aux-Vins. Il sera légèrement endommagé lors des bombardements de 1944. On n’y apporte pas de modification notable jusqu’à sa destruction début 1960 pour agrandir la place de l’Homme-de-Fer.
septembre 2014
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1650 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
héritiers de Fürdenheim | ||
1661 | v | Thomas Schwebel, aubergiste, marchand de tabac, et Chrétienne puis (1652) Rebecca Leipold, remariée (1666) avec l’apprêteur de tabac Georges Schneller – luthériens |
1679* | h | Jean Adam Schwebel, apprêteur de tabac, et (1679) Einbeth Huck – luthériens |
1687 | v | Daniel Schwebel, chapelier, et (1680) Anne Madeleine Rœderer, femme en premières noces (1661) de Simon Hollænder et en secondes (1671) de Jean Martin Wetzel, chapeliers – luthériens |
1691 | v | Jean Georges Roth, boucher, et (1684) Anne Eve Bechtold femme en premières noces (1671) du boucher Jean Jacques Leitel – luthériens |
1724 | h | Laurent Leitel dit Roth, chaudronnier, et (1704) Anne Marie Grassmann puis (1745) Anne Marguerite Christiani veuve du chaudronnier Jean Michel Albrecht – luthériens |
1746 | h | Jean Christophe Hoffmann, savonnier, et (1725) Anne Marie Leitel – luthériens |
1761 | adj | Antoine Klotz, maître maçon, et (1754) Catherine Specht femme en premières noces (1733) du maître maçon Joseph Kaltner – catholiques |
1798 | adj | François Antoine Kuhn, fabricant de chandelles, et (1798) Anne Marie Meyer |
1878* | v | François Kuehn, Armand Kuehn, Joseph Kuehn et Martin Kuehn puis Jean Martin Kuehn |
1915* | v | Auguste Gross la veuve et copropriétaires |
1936* | v | Auguste Walter et Marie Kuehn et copropriétaires |
(1765, Liste Blondel) III 136, Antoine Glotz Me maçon
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Glotz, 8 toises, – pied et – pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 461, Kuhn, Antoine, veuve fabricant de chandelles – maison, sol, cour – 3,2 ares (puis 2,75 ares)
Locations
1687, Anne Marie Rœder veuve de l’armurier Jacques Frühnsholtz
1724, Jean Georges Gretzinger
1729, Jean Christophe Hoffmann, savonnier (futur propriétaire)
1747, Jean Jacques Rœderer, teinturier
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 293
Uff der seitten Unden vom Wassergraben herauff gegen dem Tannenfelß
Juncker Florian von Vurdenheim der Amptmann Zue Liechtenaw, hatt ein hoff vnden am Wassergraben herauff, darinnen sizt Johannes Bündtelin der Goldtschmidt, hatt diser hoff außwendig vfm Allmend einen hülzenen Naach, Bessert für die Nüessung dieses Nachs, viij d
Idem f° 293-v
Uff der seitten Unden vom Wassergraben herauff gegen dem Tannenfelß
Ermelter Juncker hatt ane berürtem * hauß oben ein Vsstoß vff den Wassergraben xxi schu lang, iij schu heraus, Bessert für das Niessen, ij ß viij d
(traduction) En remontant du fossé face à la maison dite le Rocher au Sapin
Le noble Florian de Fürdenheim, bailli de Lichtenau, a une cour en bas à côté du fossé. La maison louée à l’orfèvre Jean Bündelin a un chenal en bois qui fait saillie sur le communal, doit pour cette jouissance 8 sous
Vers le fossé la même maison audit noble a un encorbellement d’une longueur de 21 pieds en saillie de 3 pieds. Doit pour la jouissance 2 sous 7 deniers
Préposés aux affaires foncières (Bauherren) et Protocoles des Quinze
1707, Préposés aux affaires foncières (VII 1382)
Le charcutier Jean Georges Roth est autorisé à agrandir de deux pieds l’auvent au-dessus du portail à sa maison qui se trouve en amont des Petites boucheries, à côté de l’abreuvoir du fossé des tanneurs
(f° 230) Dienstags den 20. 7.bris 1707. Johann Georg Roht pt° eines Wetterdächels – Johann Georg Roht, der Bratwürstmacher, ersucht Mghh. und.thänig Ihme gnädig Zuerlauben, daß Er das an seiner oberhalb der Kleinen Metzig an der tranck in den Gerber Graben ligenden behausung oberhalb dem thor befindliche Wetterdächlein umb 2 schuhe breiter machen laßen dörffe. Erk. Willfahrt.
1709, Préposés aux affaires foncières (VII 1383)
Les préposés convoquent le charpentier Pierre Fürst qui a fait sans autorisation une risberme le long du Fossé des tanneurs. Il se justifie en disant qu’il pensait que l’autorisation était implicite puisqu’il a emprunté la hie au chantier municipal Saint-Luc (Luxhoff) pour pouvoir réparer la risberme. Les préposés constatent que le contrevenant est récidiviste, ils lui infligent une amende et transmettent l’affaire aux Quinze
(f° 235-v) Dienstags den 10. 7.bris 1709. Peter Fürst d. Zimmermann handelt wider Ordnung – Peter Fürst der Zimmermann ward Vorgestellt, daß Er Johann Georg Rothen dem Bratwürstmacher eine Landfest Vor seiner oberhalb der Kleinen Metzig gelegenen behausung in dem Rindtshäuter Graben ohngefragt gemacht. Ille Er habe allein etliche pfähl darvor geschlagen undt weilen Roth der Statt Schlag plöchel Vom Luxhoff darzu gelehnt, Hatt Er Vermeint Er habe erlaubnus erhalten, solche Landvest repariren Zu laßen. Erkt: Weilen Ihme Zu Verschiedenen mahlen ernstlich untersagt worden nicht das geringste mehr ohne MGHh: erlaubnus auff das allmend Zu bawen oder das darauff sich befindliche Zu repariren, Er dannoch solches gethan und weder MGHh: gebott parirt, noch die deßwegen angesetzte straff erlegt, alß solle derselbe MGHh: den XV.er alß ungehorsam geschrieben gegeben werden.
1733, Préposés aux affaires foncières (VII 1395)
Le chaudronnier Laurent Leitel souhaite réparer le mur de la partie de maison louée à son gendre Jean Christophe Hoffmann. Il demande l’autorisation de poser des étais dans le fossé des Tanneurs de manière à ne pas gêner les bateaux. Les préposés décident de se rendre sur les lieux parce que la maison a un encorbellement. Ils constatent que le mur de la cour s’est en grande partie écroulé et accèdent à la demande à condition que les pierres qui sont tombées dans le canal en soient immédiatement retirées.
(f° 177-v) Dienstags den 6. Ejusd. [Octobris] Lorentz Leitel wegen bauens – Meister Lorentz Leitel der Kupferschmid, Zeigt Mghh. an, daß die maur vfseithen des Gerbergrabens, an Christoph Hoffmanns des Seiffensieders, Seines Tochtermanns beÿ der tränck oberhalb der Kleinen Metzig liegenden wohnung schadhafft ist, daß selbige vom fundament auß reparirt werden muß, bittet also deß Ihme erlaubt werden möchte, in dem graben solche sprießen zu laßen, doch also daß er der schiff fahrt nicht hinderlich ist. Erk. wird Zwar das sprießen angebrachter masen willfahrt, wegen der reparation aber solle, weilen ein überhang da ist, Zuvor ein augenschein eingenommen werden.
(f° 182-v) Montags den 2. Novembris 1733. seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden. Lorentz Leitel – An Meister Lorentz Leitel des Kupferschmids, Hauß an der Kleinen Metzig, an welchem ein Großer theil Von der Hoffmaur in den Gerbergraben Gefallen, so er gern wieder auffmauren Laßen möchte und deßwegen umb erlaubnus gebetten. Erkannt, solle der Implorant förderlichst die stein auß dem graben ziehen und Zu Verhütung fernern Unglücks die noch stehende Maur neben der Tränck sprießen Laßen, damit Sie nicht auch einfalle. Übrigens wird jhme Erlaubt das eingefallene wieder auffmauren Zulaßen.
1735, Préposés aux affaires foncières (VII 1396)
Les préposés demandent en janvier à Laurent Leitel pourquoi il ne fait pas réparer le mur en mauvais état qui donne accès à l’abreuvoir pour éviter tout risque d’accident. Il répond que le maçon Zanger a déjà apporté les matériaux nécessaires mais que le mauvais temps n’a pas permis de faire les travaux. Les préposés donnent un délai de huit jours pour faire faire les travaux sous peine d’amende. En septembre, Laurent Leiter demande qu’on lui remette un laissez-passer pour transporter en bateau les pierres destinées à réparer sa maison.
(f° 95-v) Dienstags den 25. Januarÿ 1735. Lorentz Leiter weg. bauens – Meister Lorentz Leiter, der Kupferschmid, wurde citirt und Ihme vorgehalten, warumb Er die maur, an Seiner oberhalb der keinen Metzig liegenden wohnung, und Zwar an der seithen wo mann die tränck Hienunter gehet, und sehr bawfällig ist, daß Zu besorgen es dörffe ein großen unglück entstehen, nicht machen und in guthen stand setzen laßt, Zumahlen da darhinder ein großer Hauffen grund sich befindet, Citatus præsens entschuldiget sich darmit, daß ohnerachtet Er viele materialien dazu bereits hiebeÿ geschafft, herr Zanger, der Maurer auch Ihme quader Stein dar zu Zu verschaffen versprochen, dannach wegen beständigen Großen waßer, solche nicht wieder in guthen stand setzen laßen können, Verspricht solches förderlich Zu bewerckstelligen. Erk. Solle Leitel schuldig sein, diese schadhaffte maur beÿ 3 lb Straff innerhal acht tagen spießen und in solchen stand setzen Zu laßen, daß dadurch kein unglück erfolgen möge.
(f° 153-v) Dienstags den 27.ten Septembris 1735. Lorentz Leiter weg. bauens -Lorentz Leiter, der Kupferschmid, bittet Ihme einen Schein an den Schleußenmeister mit Zutheilen, vmb ein Schiff voll quader Stein vor Seine oben an der keinen Metzig liegenden wohnung, Zu Reparation der schadhafften maur, führen Zu laßen. Erk. Willfahrt.
1739, Préposés aux affaires foncières (VII 1398)
Laurent Leitel demande l’autorisation de réparer le mur et de faire de nouvelles fenêtres à son encorbellement de 24 pieds de long et trois pieds 11 pouces en saillie. Les préposés lui demandent que la saillie ne fasse pas plus de trois pieds pour qu’elle ne dépasse pas de celle de son voisin. Il déclare qu’il préférerait alors construire à l’aplomb de son encorbellement. Les préposés se rendent sur les lieux et constatent que le terrain que le pétitionnaire demande de surbâtir est un triangle de 60 pieds de long et d’une largeur de 2 pieds 9 pouces. Ils ne rendent pas de décision parce que le pétitionnaire a changé son projet. Les préposés l’autorisent ensuite à occuper un terrain de 171 pieds 5 pouces carrés moyennant un loyer annuel. Le pétitionnaire souhaite acheter le terrain en réglant le capital du loyer. Les préposés le renvoient aux Quinze dont l’accord est reporté en marge.
(f° 104-v) Sambstags den 2. Maÿ 1739. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden. Lorentz Leÿdel – An Lorentz Leÿdels des Kupfferschmidts Hauß am alten Weinmarck, welcher umb erlaubnus gebetten, ein Neüe Wand und Neüe fenster in seinen 24. schuhe Lang und 3. schuhe 11 Zoll breiten Überhang machen Zulaßen. Erkannt, weilen des Nachbaren Überhang nur 3 schuhe breit oder tieff, und also Leÿdels seiner noch 11 Zoll darfür herauß Gehet, als wird dem Imploranten wegen der Wand und fenster mit dem beding Willfahrt, daß er 11 Zoll Von seinem Überhang abschneiden solle, damit er mit des Nachbaren seinem in eine flucht komme. Ille sagt wann er diese Unkösten anwenden, und seinen Überhang umb 11 Zoll Abnehmen müßte, wolte er Lieber den Überhang untermauren, wann jhme ein solches erlaubt würde. Erkannt solle noch ein augenschein deßwegen eingenommen werden.
(f° 109) Sambstags den 30. Maÿ 1739. seÿnd folgende augenschein eingenommen worden und den 2. Junÿ 1739 abgehandelt worden. Lorentz Leÿdel – An Lorentz Leÿdels des Kupfferschmidts Hauß an der Tränck oberhalb der Kleinen Metzig, welcher umb erlaubnus gebetten, einen 60. schuhe Lang, Oben 2 schuhe 9 Zoll breiten, und unten an dem Gerbergraben an dem Eck seiner Maur an Lauffenden triangul Von dem Allmend Zu seinem Hauß Zu ziehen. Weilen er aber beÿ gehaltener Session sich wieder anderst erkläret, als ist Herrn Lohner Committiret worden sein begehren nochmahls in Loco zu examiniren ein Rießel darüber Zumachen und Mghh. Vorzulegen.
(f° 113) Dienstags den 9. Junÿ 1739. Lorentz Leÿdel – Meister Lorentz Leÿdel der Kupfferschmidt Begehrt anietzo nach des Herrn Werckmeisters Vorgelegtem Riß in der Länge Vom 23. schuhe, Oben an schwartzen, des Eulenbecken hinderhauß 2. schuhe 9. Zolln und unten 5. schuhe breit. Von da ferner biß an das end seiner Maur Am graben anlauffend 22. schuhe Lang Zusammen 171 q. schuhe 5. Zoll außmachend, Von dem Allmendt Zu seinem Hauß Zu Ziehen, wann Mghh. jhme solches erlauben wolten. Ektannt willfahrt Gegen erlag 2.lb jährlichen Zinnßes. Ille bittet nach Angehörtem bescheid jhme ein Leÿdentliches für ein und Allemahl Zubezahlen, anstatt des Zinßes anzusetzen. Ferner Erkannt für Gnädige Herren die XV. Verwiesen.
[in margine :] Nota Laut Erkanntnus d. Herren XV. Vom 11. Julÿ 1739. sollen diese 2. lb mit 80. lb als mit doppeltem Capital abgelößet werden.
1739, Protocole des Quinze (2 R 148)
Laurent Leitel présente une demande à laquelle il a joint les délibérations des préposés aux affaires foncières. Les rapporteurs proposent de fixer le capital à 80 livres, ce que les Quinze entérinent
(p. 317) Sambstag d. 13. Junÿ 1739. pt ° Allmendplätzlein – Moss noe. Lorentz Leÿdels burgers und Kupfferschmidts prod. Mem. mit beÿlagen Sub lit. A. et B. pt° eines plätzleins für seinem Hauß. Erk. Oberhauherren.
(f° 352) Sambstag den 11.ten Julÿ 1739. Lorentz Leÿbel pt° Allmendplätzlein -Ober Bauherren laßen durch Hern Secretarium Kleinclaus referiren, daß Lorentz Leÿbel der burger und Kupfferschmidt alhier in seinem dem 13. Junÿ jüngst producirten Underthänigen Memorial sambt beÿlagen sub Lit. A. er B gehorsambst vorgetragen, Er Weiße die beÿlag A. /.so ein Extract ais der hochverordneten Oberhauherren und Hh. dreÿer des Pfenningthurns Memorial vom 30. Maÿ und 9. Junÿ beedes jüngst./ wie auch der Lit B. beÿligende Riß, was maßen Ihme ein plätzlein Von dem Allmend in der länge Von 23. Schuh, oben an Schwartzen der Eulen becken hinderhauß 2. schuhe 9 Zoll, und unten 5 schuhe breit, von da ferner biß an das ende seiner Maur am graben, anlauffend, 33 schuh lang, zusammen 171 Schu 5. zoll ausmachend, Zu seinem hauß an der Träckh oberhalb der kleinen Metzig gelegen, Ziehen Zu dörffen gnädig erlaubt worden, Gegen erlag 2. lib. jährlichen Zinßes, undt daß alß Underth. gebetten ein leidentliches für ein und alle mahl bezahlen Zu dörffen, ane statt des jährlichen Zinßes anzusetzen, Er an Mghh. geweßen worden. Nun wurde dieße Änderung Ihne ein ansehnliches Kosten, Könte er alßo mit dießem accordirten Plätzlein nicht so wohl nach seinem Willen verfahren und bawen, wann nicht sothaner Raum Ihme alß ein eigenthumb überlaßen würde, alß bäthe Er ein Vor alle mahl ein leidentliches ane statt des jährlichen Zinßen Vor dem obbesagten raum Vor seinem hauß, anzusetzen. Welche bitt derselbe auff geschehene Weißung wiederhohlet. Auß seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß dem Imploranten gegen bezahlung des doppelten Capitals mit 80 pfund jn seinem begehren Zu willfahren. Die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkanndt, bedacht gefolgt.
1761, Préposés aux affaires foncières (VII 1409)
Antoine Klotz est autorisé à enclore un terrain communal devant sa maison selon une ligne qui part de la maison voisine et aboutit à son mur. Il règle un capital au lieu de devoir une rente annuelle.
(f° 117) Sambstags den 28. 9.bris 1761. Antoni Klotz – Augenschein eingenommen an der tränck oberhalb der Kleinen Metzig, allwo Antoni Klotz der Maurer Mstr umb erlaubnuß gebetten Von dem Eck N. N. Greiner des weißbecken hauß in grade Lienie auff d. eck seiner maur unten an der tränck auff d. allmendt herauß Zu fahren. Erkannt soll d. H: baw Inspector das begehrte plätzlein allmendt abmeßen und bericht darüber abstatten, worauff als dann ferner Erkantnus ergehen wird.
(f° ) Dienstags den 22. Xbris 1761. Antoni Klotz – Auff den d. 28. 9.bris letzthin an der tränck oberhalb der Kleinen Metzig eingenommenen Augenschein Ist Erkandt, wird Antoni Klotz dem Maurer meister erlaubt Von dem Eck N. N. Greiner des weißbeckenhauß in grader Lienie auff das erste eck seiner maur unten an der tränck auff das allmendt hervor zu bauen und des H: baw Inspectoris außrech: nach 72 quadrat schuh 10 ½ Zoll einzuziehen wofür er jährli. ein bodenzinß oder aber in doppeltem Capital für alle mahl 10. lb. solle bezahlen. Ille erwehlt d. letztere.
1774, Préposés aux affaires foncières (VII 1416)
Antoine Klotz est autorisé à supprimer les cabinets d’aisances vers le fossé des Tanneurs et à crépir la façade le long du fossé
(f° 61) Dienstags den 7. Junii 1774. Mr Klotz, Maurer – Idem [Mr Klotz, der Maurer] bittet zu erlauben das ein seiner behausung auf dem Gerber Graben habende S.V. Prevet weg zu machen und die façade gegen dem Waßer zu bestechen. Erkannt, Willfahrt.
1782, Préposés aux affaires foncières (VII 1420)
Antoine Klotz est autorisé à ouvrir une croisée vers l’ancien abreuvoir
(f° 37-v) Dienstags den 5. Martii 1782. Mr Anthoni Klotz, Maurer – Mr Anthoni Klotz, der Maurer, bittet zu erlauben an seiner behaußung an der kleinen Metzig gelegen gegen der geweßten tränck ein Kreutzstock einbrechen und einsetzen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1789, Préposés aux affaires foncières (VII 1423)
Antoine Klotz présente plusieurs demandes. (1) L’ancien accès au canal entre sa maison et les Petites Boucheries qui était fermé à clé est maintenant ouvert. Les immondices qui s’y accumulent causent une puanteur insupportable. (2) Un tricoteur de chausses a un étal devant sa fenêtre, ce qui intercepte la lumière. (3) L’égout n’est pas ouvert ou n’est pas ouvert à temps en cas de forte pluie. L’eau entre donc dans sa cave par les soupiraux. Les préposés ordonnent de refermer le passage, de supprimer l’étal et demandent à l’inspecteur de présenter un rapport sur l’égout qui est à l’origine de nombreuses plaintes
(f° 235-v) Dienstags den 7. Aprilis 1789. Meister Klotz Senior pt° verschiedener beschwerden (Pt° der dohlen soll Herrn Inspector Stredbeck ein memoire verfertigen) – Meister Klotz der Vater hießiger burger und Maurer meister bittet unterthänig 1° da der zwischen seiner und der Kleinen Metzig befindliche eingang zum waßer, so vor dießem beschloßen geweßen und wozu ihme ein schlüßel eingehändiget worden, anjetzo beständig offen, wodurch sich ein solcher Unflat anhäuffet, daß man den davon aufsteigend unerträglichen gestanck nicht mehr aus halten kan, 2° da ein strumpffstricker stand an seinem haus sich befindet, welcher in einem seiner untern Zimmer das licht benimmt, auch die öffnung der Fenster verhindert, 3. die in dießer gegend befindliche dohlen beÿ starckem reegen niemalen geöffnet werden, wodurch das angeschwellte waßer wegen mangel des Ablaufs sich so gar durch seine Kellerlöcher in den Keller lauft und solchen überschwemmt. Meine gnädige Herren geruhen möchten, zu verordnen, daß der eingang zum Waßer wieder beschlüßig gemacht, daß der Strumpffstricker stand hinweg gethan und endlichen die dohlen beßer besorgt werden möchten, da nun bemerckt worden, daß die dohlen eine general Klage verursachen, weilen sie beÿ anlaufendem regen waßer entweder gar nicht oder doch zu spät eröffnet werden als wurde Erkannt Augenschen und pt° der dohlen Seÿe Herrn Inspectori Striedbeck aufzutragen wegen besorgung derselben ein ausführliches memoire auf zu setzen.
(f° 247-v°) Dientags den 28. Aprilis 1789. Meister Klotz Senior pt° wegschaffung eines Gädleins und Zuschließung der Tränck in der Gerber Graben – An Meister Klotz Senioris des Maurer meisters beÿ der kleinen Metzig gelegenen behaußung, allwo derselbe einen davor gestellten Gaden hinweg zu raumen und die daselbst befindliche tränck wieder beschüßig zu machen begehrt. Auf befinden, daß das an der Kleinen Metzig anstehende strumpf flicker ständlein wircklich einem Zimmer die aussicht und lufft benimt, auch die offene tränck zu einem ohnausstehlichem Wust und daraus folgenden gestanck anlaß giebt. Erkannt, Seÿe das strumpf flicker ständlein anderswärts zu versetzen, und an die tränck durch eine thür zu verwahren und H. Klotz den schlüßel darzu einzu händigen, derselbe aber anzuhalten auf jeden erforderlichen fall mit öffnung dießer thüre willfähig zu seÿn.
1790, Préposés aux affaires foncières (VII 1424)
Comme l’étal est toujours au même endroit et que l’égout inonde toujours sa cave, Antoine Klotz refait les mêmes observations que l’année précédente
(f° 5-v) Dienstags den 13. Aprilis 1790. Mr Anton Klotz, Sen. Maurer – Mr Anthon Klotz Sen. der Maurer, trägt vor, daß schon in abgewichenem 1789.r Jahr auf sein Ansuchen bei eingenommenem Augenschein ein oben an der kleinen Metzig stehendes Ständel, theils wegen dem s.v. Unflat mit welchen solchen umgeben, theils weilen solches vor seinen Stuben Fenstern stehet, wegerkannt worden, so aber bishero nicht vollführet wurde, Ferner wurde Ihme dazu malen zugesagt, Vorkehrungen zu treffen, daß die ohnfern seiner behausung befindliche dohlen deckel zur zeit der Schlag Regen geöfnet werden sollen, weilen ihm jedesmahl das Wasser in dem Keller lauft, wolle daher neuerdingen angesucht haben, das besagte Ständel Wegräumen zu laßen, und Verkehrungen zu treffen, daß die dohlen deckel augehoben werden.
Erkannt, Seÿe das quæstionirte Ständel, jedoch ohne da durch dem Imploranten ein Recht zu zu stehen, weg zu gebieten. die Öfnung der dohlen deckel betreffend, so seÿe deshalben vor gesammte dohlen Vorkehrungen zu treffen, als bis dahin der Implorant zur Gedult zu verweisen.
Description de la maison
- 1720 (billet d’estimation traduit) la maison comprend le sol, un poêle, plusieurs chambres, cuisine, vestibule, cave solivée, le bâtiment accessoire comprend plusieurs chambres, petite cuisine, cour et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
- 1730 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un ancien bâtiment qui comprend un poêle, des chambres, la chambre à soldat, cuisine, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, une cave voûtée et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 100 florins
- 1753 (billet d’estimation traduit) la maison comprend deux ailes, dans la première il y a une salle* et les fourneaux ainsi que plusieurs chambres, dans la deuxième il y a plusieurs pôeles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates et de tuiles creuses, la cave est solivée, il y a aussi une cour et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 600 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du vieux marché aux Vins (p. 11)
nouveau N° / ancien N° : 1 / 33
Kuhn
Rez de chaussée et 1° étage bon en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 232 case 1
Kuhn Ant., fab. de chandelles
P 461, m.on & cour, sol, Vieux Marché aux Vins 33
Contenance : 2,75
Folio de destination : démolie
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 54
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 461, m.on & cour
Revenu total : 601.43 (600 et 1.43)
Folio de provenance : nc
Année d’entrée : 1847
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 72 / 58
fenêtres du 3° et au-dessus : 19 / 15
Diminutions (1845) – Kuhn Antoine f° 232, P 461, Maison, revenu 288, Démolie, suppression en 1845
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 758 case 2
Kuhn Antoine, Fabricant de Chandelles
1878 Kuehn, Frantz, Amand, Josef und Martin
P 461, maison, sol, Rue du vieux marché aux vins 54
Contenance : 2.75
Revenu total : 601.43 (600 et 1.43)
Folio de provenance : (232)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 72
fenêtres du 3° et au-dessus : 16
Kuhn ant. f° 232, P 737 [sic, pour 461], maison, revenu 600, N.le C.on, achevée en 1844, imposable en 1847, imposée en 1847
Cadastre allemand, registre 31
Parcelle, section 57, n° 41 – autrefois P 461
Canton : Alter Weinmarckt, Hs. N° 54 – Rue du Vieux Marché aux Vins N° 54 – Am Alten Weinmarckt – Rue du Vieux Marché aux Vins et Place de l’Homme de Fer N° 7
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 2.61
Revenu : 17000, 14600
Remarques :
(Propriétaire), compte 2732
Kuehn Jean Martin
1915 Gross Auguste la veuve et copropr.
1936 Walter Marie et copropriétaires
(4195)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants (p. 148), a côté de la petite Boucherie
(maison n°) 16
33
Pr. – Klotz, Antoine – Maçons
lo. – Werner, Jean Baptiste – Miroir
lo. – Scher, Jean Jacob – Moresse
lo. – Massé, Officier retiré
lo. – Massé, Mathieu Joseph – Miroir
lo. – Gaudot, Dall. Cluuinne* femme de Chambre de Mde. Defienne
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Alter Weinmarckt
(Haus Nr) 54
Fritsch, Uhrmacher u. Bijouteriewarenhändl. 03
Preiser, Pfeifenfabrikant. 0
Huntzinger, Tapetenh. 03
Charbonnel, Schirmh. 01
Gross, Wwe. 2
Reinhardt, Schuhwarenh. 2
Riegert, Kaufm. 3
Dossiers de la Police du Bâtiment
Vieux Marché aux Vins n° 54 (cote 233 MW 2293)
le propriétaire fait transformer les devantures et construire des cloisons dans le bâtiment en 1897. Le bâtiment est occupé par plusieurs commerces, la maison Charbonnel (parapluies, 1894, 1935, 1941), le fabricant de pipes et débitant de tabac Preiser (1912, 1940), opticien Gérard Kloth (1915), magasin de modes Alfa (1941-1960), Aux Peignes de Roubaix (1949), Francelaine (1951-1960) qui transforme la devanture.
La maison est légèrement endommagée lors des bombardements de 1944. Elle est démolie début 1960 pour agrandir la place.
Sommaire
- 1891 – La Police du Bâtiment constate que l’entrepreneur Matter ravale la façade sans autorisation – La Direction de Police délivre une autorisation
- 1894 – Dossier, Mme Marie Charbonnel demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire
- 1897 – L’entrepreneur Zugmeyer demande l’autorisation de poser un échafaudage devant la maison Walter – Autorisation
- 1897 – Dossier – Le sieur Müller demande l’autorisation de transformer la maison. E. Müller, architecte expose que les travaux consistent à transformer les magasins et à poser une devanture – Autorisation de transformer les devantures et de construire des murs de séparation dans le bâtiment – Plans
- 1904 – M. Bonnet, 13 rue Thomann demande au nom de Huntzinger, tapisseries, de poser une enseigne perpendiculaire
- 1905 – Le Maire notifie le propriétaire, Auguste Walter, de ravaler les façades – L’entrepreneur Matter (rue de la Broque) est autorisé à occuper la voie publique (gravats)
L’entrepreneur Zugmeyer est autorisé à poser un échafaudage - 1905 – Mme Marie Carbonnel a posé deux enseignes – Autorisation
1909, nouvelle demande – Autorisation - 1909 – Le Maire demande à Mme M. Gross (3 rue Grandidier) de ravaler les façades – Réponse du pasteur Kuhn, frère de Mme Gross et de Mme Walter, tous trois copropriétaires de la maison. La Police du Bâtiment retire son injonction en arguant que les façades ne sont pas très sales et que le dernier ravalement remonte à moins de dix ans (1905)
- 1912 – La Police du Bâtiment constate qu’Edouard Preiser, fabricant de pipes, a posé deux vitrines sans autorisation – Demande – Autorisation – Dessin
- 1915 – L’opticien Gérard Kloth demande l’autorisation d’apposer des inscriptions à son nouveau local commercial – Dessins – Accord
1915 – Le tailleur Otto Joseph Dietrich demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation
1915 – L’opticien Gérard Kloth demande l’autorisation d’installer des machines électriques à polir et à percer – Autorisation – Planche : plan de situation, plan, schéma des machines – Description
1915 – Edouard Preiser, fabricant de pipes, demande d’entériner la pose d’une vitrine – Dessin – Autorisation - 1916 – L’opticien Gérard Kloth demande l’autorisation d’installer des machines électriques dans son atelier – Dessins, plan de situation, plan détaillé, schéma des machines – Description
- 1921 – A. Werner, place de Haguenau, est autorisé à poser une double enseigne sur le façade
- 1919 – Rapport sur des inscriptions aux maisons : angle du Vieux Marché aux Vins-Homme de fer – La Police du Bâtiment écrit à Ch. Treser, opticien, en lui demandant de modifier les inscriptions inesthétiques – Treser demande un délai jusqu’à ce qu’il sache si son bail sera reconduit – Nouvelle demande de délai – Autre demande jusqu’en juillet 1922
- 1922 – Le coiffeur Grundler demande l’autorisation de poser une enseigne
- 1903 – Dossier sur les latrines : le local est sombre, il n’y a pas de chasse d’eau. Les latrines sont raccordées aux canalisations, juin 1907
- 1917 – L’entrepreneur E. Matter demande l’autorisation de réaliser les travaux que la commission militaire a demandés (modifier l’escalier entre le premier et le deuxième étage) – Travaux terminés
- 1932 – Jules Fey, fondeur, demande au nom de la Maison Charbonnel (propriétaire, Offerlé) l’autorisation d’installer une enseigne lumineuse – Schéma
La Police du Bâtiment constate qu’une enseigne lumineuse a été posée sans autorisation au 7 place de l’Homme de fer
Jules Fey, fondeur, demande au nom de la Maison Charbonnel l’autorisation d’installer une vitrine en saillie sur la voie publique – Schéma – Autorisation
1935 – Jules Fey, fondeur, demande au nom de la maison Charbonnel l’autorisation d’installer une enseigne perpendiculaire - 1933 – L. Preiser informe la Police du Bâtiment qu’il a remplacé son enseigne (Tabac) par une enseigne lumineuse
- 1939 – Ed. Preiser, débitant de tabac, est autorisé à poser un auvent qui porte une inscription – Schéma
- 1940 – La Police du Bâtiment demande à Edouard Preiser, débitant de tabac, de retirer ou de masquer l’enseigne lumineuse Gitanes – L’enseigne a été retirée, janvier 1941
1940 – Le coiffeur Charles Grundler (4 rue du Noyer) demande l’autorisation de conserver son enseigne – Dessin de la devanture, schéma de l’enseigne
1941 – Autorisation de poser une enseigne, délivrée à l’atelier Fischer, propriétaire de la maison, Maurer, gérant, grand rue
1941 – Le magasin de modes ALFA est autorisà à apposer une inscription sur la devanture. Photos (vue générale, vue de la devanture), dessin de la devanture
1941 – Le coiffeur Charles Grundler au 4 rue du Noyer demande de nouveau de conserver son enseigne pour attirer de nouveaux clients. La Police du Bâtiment refuse parce que l’enseigne n’est pas posée sur le bâtiment où se trouve le local commercial – Charles Grundler réitère sa demande en arguant de cas semblables – La Police du Bâtiment accorde un délai - 1944 – La société ELHAG (gérante des entreprises en guerre) demande l’autorisation de remplacer l’inscription ALFA par une autre pour le compte de la société Flesch et Bauswein – Dessin – Accord
- 1945 – Certificats de sinistré. Arthur Riss pour toucher un colis de vivres, 7 place de l’Homme de Fer, légers dégâts
1946 MM. Chapp, Meyer, Barthelmé, Walter pour impôt solidarité, partiellement endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944 - 1948 – La Police du Bâtiment constate que les Fourrures Pelleteries ont posé sans autorisation une enseigne – L’enseigne a été retirée, janvier 1949
1949 – Alfa Couture demande l’autorisation de poser une grille articulée – Accord – Les mêmes demandent l’autorisation d’apposer des inscriptions – Autorisation
1949 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Aux Peignes de Roubaix a posé sans autorisation une enseigne – Demande – Autorisation - 1951 – Serge Cullot, négociant (maison Francelaine) demande l’autorisation de transformer la devanture en façade – Description – Les travaux ne sont autorisés que si le demandeur et les propriétaires de l’immeuble s’engagent à ne pas demander de plus-value à cet effet puisque le bâtiment se trouve dans un périmètre de reconstruction. Engagements par le propriétaire du fonds de commerce et par les copropriétaires de l’immeuble – Autorisation des Ponts et Chaussées – Permis de construire – Travaux terminés, novembre 1951 – L’entreprise de construction Weber est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
- 1951 – La Police du Bâtiment constate que Francelaine a posé sans autorisation une enseigne – Demande – Autorisation
1951 – L’entreprise Urban est autorisée à occuper la voie publique pour peindre la devanture - 1951 – La Police du Bâtiment constate que M. Brennstuhl a posé sans autorisation un distributeur automatique – Demande – Autorisation accordée à la Société le Taxiphone de poser le distributeur
- 1952 (février) – Les Fourrures Alfa demandent l’autorisation d’accrocher temporairement un drapeau publicitaire – Autorisation
Mai : idem, un panneau publicitaire
Octobre : idem, un drapeau publicitaire
1953, novembre : idem, un panneau publicitaire
1954, janvier : idem, un panneau publicitaire
Avril : idem, un panneau publicitaire
Septembre : idem, un panneau publicitaire
1955, janvier : idem, deux panneaux publicitaires
Septembre : idem, un panneau publicitaire
Décembre : idem, un panneau publicitaire - 1958 – Francelaine demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
1960 : idem, de poser un calicot qui annonce le transfert du magasin jusqu’à la démolition prévue le 15 mars - 1960 – Les Fourrures Alfa demandent l’autorisation d’accrocher un calicot qui annonce le transfert du magasin – Autorisation
7, Place de l’Homme de Fer (233 MW 1078)
Le dossier a principalement trait aux commerces. Le marchand de chaussures Reinhardt (1901) est remplacé en 1908 par le Café de l’Empereur (Kaiser’s Kaffeeegeschäft). On trouve en 1905 l’horloger bijoutier Charles Fritsch jusqu’à ce qu’il quitte les lieux en 1910. Marguerite Schenckbecher, photographe, a son atelier aux étages (1916). On trouve l’épicier Eschlimann (1932, 1942), le magasin de confection Aux Peignes de Roubaix (Aron Danziger) de 1932 à 1960 sauf pendant la guerre
Sommaire
- 1874 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Voringer soit autorisé à faire une prise (deux becs ) pour le sieur Levy, locataire de M. Kuhn
- 1886 – La Police du Bâtiment notifie le sieur Kuhn (domicilié sur place) de faire ravaler la façade
1886 – Le maçon A. Weyer (1, rue du Noyer) demande l’autorisation de raccorder la maison aux canalisations communales – Schéma – Autorisation - 1901 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de chaussures Reinhardt a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Demande – Autorisation
La Police du Bâtiment remarque que l’enseigne est trop près de la propriété voisine. Le voisin, J. Gentzbourger (6, place de l’Homme-de-Fer) donne son accord - 1905 – L’horloger bijoutier Charles Fritsch demande l’autorisation de poser une lampe électrique au 7, place de l’Homme-de-Fer et au 54, rue du Vieux-Marché-aux-Vins
- 1908 – La société Café de l’Empereur (Kaiser’s Kaffeeegeschäft, agissant par son comptable Charles Jenner, à Fribourg-en-Brisgau) qui a l’intention d’ouvrir une succursale au 7, place de l’Homme-de-Fer demande l’autorisation de remplacer les enseignes du marchand de chaussures Reinhardt par les siennes – Charles Jenner est autorisé à poser une enseigne perpendiculaire, une lampe électrique et six enseignes plates – Avril 1909, tous les objets sont en place
- 1910 – Lucien Heymann (Modes et deuil en gros) informe la Police du Bâtiment que Charles Fritsch a retiré l’enseigne parce qu’il a quitté les locaux du 54, rue du Vieux-Marché-aux-Vins en s’installant 6, rue de la Mésange. Echange de courrier sur le règlement des droits de l’année courante
- 1912 – Dossier. La Police du Bâtiment écrit à la préfecture pour savoir si la société Café de l’Empereur a déposé une demande concernant un moulin à café électrique. La société dépose une demande auprès de la Police du Bâtiment. La société fournit une description des locaux – Autorisation – Plan – Travaux terminés, novembre 1912
- 1916 – Marguerite Schenckbecher, photographe, (anciennement 3, rue Klein) demande l’autorisation de poser des enseignes sur les deux façades. Le panneau à l’entrée est autorisé mais les vitrines requièrent l’accord du propriétaire de chaque magasin. Accord de l’opticien Kloth, de la veuve Offerlé – Les objets sont en place, juillet
- 1920 – G. Mielle, Cailloux et compagnie (28, 32 rue du Maréchal Pétain à Metz) demandent l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – Maquette de la devanture
- 1922 – Un voisin (Ch. de Lapré) se plaint de la fumée qui envahit la cour du n° 6 – La Police du Bâtiment constate que la fumée provient du 54, Vieux-Marché-aux-Vins et 7, place de l’Homme de Fer et écrit au propriétaire pour qu’il fasse rehausser la cheminée – Travaux terminés, juin
- 1924 – Litige concernant le crépissage du mur entre les 52 et 54 rue du Vieux-Marché-aux-Vins. Le propriétaire du n° 52 devra refaire un tuyau de descente, la Police du Bâtiment propose que les frais de crépissage soient partagés par moitié entre le propriétaire du n° 52 et celui du n° 54.
- 1932 – La Police du Bâtiment constate que l’épicier Eschlimann a posé une enseigne sans autorisation. L’intéressé répond que l’enseigne n’est pas nouvelle mais qu’elle a été remise en place après travaux – Le confiseur Eschlimann est autorisé à poser une enseigne en tableau
- 1932 – Le nouveau magasin de confection Aux Peignes de Roubaix demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire puis quelques semaines plus tard une enseigne sur le balcon – Aron Danziger est autorisé à poser l’enseigne
1934 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Maquette (Tailleur sur mesure 280 F.), photographie – Autorisation – L’enseigne n’est pas posée
1936 – Le même dépose une nouvelle demande d’enseigne lumineuse – La Police du Bâtiment demande de modifier la couleur – Maquette – Autorisation - 1940 – La Police du Bâtiment constate que l’enseigne Aux Peignes de Roubaix est toujours en place bien que le magasin soit fermé et écrit au gérant de la maison, Paul Maurer (122, Grand rue) – Les objets ont été retirés, février 1941
- 1942 – L’entrepreneur Guillaume Fischer (11, rue du Finckwiller) demande l’autorisation de peindre une enseigne pour l’épicier Eschlimann – Photographie
1941 – Demande d’enseigne, propriétaire Mlle Charbonell (magasin de parapluies, domiciliée10, rue de la Mésange), entrepreneur Charles Nuss (87 rue principale à la Robertsau) – Maquette – Les inscriptions sont faites sur la vitrine et non sur l’encadrement comme prévu, mai 1942 - 1947 – Rapport des pompiers suite à un dégagement de fumée – La cheminée a été réparée
- 1950 – L’Entreprise Electrotechnique strasbourgeoise (P. Voltzenlugel, 1 rue de l’Abattoir à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser une enseigne au néon pour le compte des établissements Aux Peignes de Roubaix – Demande du peintre Henri Levy pour la même enseigne – Dessin – Autorisation – L’enseigne est posée, mars 1950
- 1952 – Aux Peignes de Roubaix demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire pendant la liquidation d’un de ses rayons – Autorisation
1956 – Le magasin Aux Peignes de Roubaix demande l’autorisation de poser une enseigne en forme de flèche – Autorisation
1957 – Le magasin Aux Peignes de Roubaix demande l’autorisation de poser une enseigne qui signale une vente spéciale avant transfert – Autorisation - 1958 – Le magasin de tissus Mathieu demande l’autorisation de poser une enseigne provisoire pendant sa vente de blanc
- 1960 – Aux Peignes de Roubaix demande l’autorisation de poser une enseigne à l’escalier de la Tour – Autorisation – L’enseigne n’est pas posée parce que le propriétaire n’a pas donné son accord
Relevé d’actes
Les héritiers Fürdenheim vendent 250 livres la maison à la Tour crénelée (zum Zinnenen thurn) au marchand de tabac Thomas Schwæbel et à sa femme Rebecca
1661 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 537
(Prot. fol. 47.) Erschienen Fr. Anna Magdalena von Brumbach wittib, gebohrne von Firdenheim für sich selbsten, Und alß H Ulrich Albrecht von Geisperg, Fr. Annæ Catharinæ von Geisperg gebohrner von Firdenheim, und Fr. Ursulæ Claræ Annæ von Gölnitz gebohrner von Firdenheim, vermög eines Sub dato 11. Julÿ Jüngsthien mit ihren eigenhändigen Subscriptionen und fürgetruckhten adelich Pirschafften gefertigten (…) Gewaltscheins hierzu gevollmächtigte Befelchhaberin, wie auch, alß Jungfr. Evæ Salomeen von Firdenheim, nach Innhalt eines von deroselben sub dato 22. Julÿ nechsthien aus Liechtenaw ahn Sie Fr. von Brumbach abgelaßener (…) missiv, Gewalthaberin, Ferners Fr. Maria Magdalena Böckhlerin von böckhlinsaw, Wittib, gebohrner von Kageneckh für sich selbst. Und alß ihrer Anzeig nach, mündlich Befelchhaberin Fr. Annæ Elisabethæ Röderin von Thierspurg, Wittibin gebohrner von Kageneckh ihrer eheleiblich. Schwester, So dann Fr. Mariæ Magdalenæ von Utenheim Zum Ramstein, wittib, gebohrne Sturmin von Sturmeckh, für sich selbst. Und alß, ihrer Anzeig nach mündliche Gewalthaberin, Fr. Mariæ Jacobæ von Weÿterßheim gebohrner Sturmin von Sturmeckh ihrer eheleiblich. Schwester, alle mit assistentz H Wolff Jacob Böckhle von Böckhlinsaw dero freÿen Reichß Ritterschafft in undern Elsaß Rhats und Außschußes
in gegensein Thoman Schwebels deß Tabachändlers Und Rebeccæ seines Eheweibs beÿde mit beÿstand Servatÿ Kleinen deß Schneiders
hauß, hoffstatt, höfflin, Gärtlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am alten Weinmarckh geg: dem hauß Zum Dannenfelß hienüber, ist einseit ein Eckh am Gerbergraben, anderseit neben hannß Philippß Schwartzen den weißbeckh hind. vff H Meng dietrich Boschen den Specereÿhändlern stoßend gelegen, und von alters Zum Zinnenen thurn genannt – umb 250 Pfund
[in margine :] Erschienen Herr Johann Spieß Schaffner Zu St Stephan alß schrifftlich constituirter Mandatarius hierinn gedachter Jungfr. Evæ Salome von Firdenheim Thumbfrauen Zu St Stephan, wie auch alß Gewalthaber frawen Johannæ Philippinæ Von Stein gebohrne Von Brumbach (…) in gegensein Johann Adam Schwebels deß Tabackbereiters alß ietzig. Possessoris hierinn gedachter Behaußung (…) Act. 28. Junÿ a° 1679
Thomas Schwæbel de Berstett et sa femme achètent le droit de bourgeoisie en 1635 et s’inscrivent à la tribu des Fribourgeois
1635, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 864
Thomas Schwäbel Von Berstett Erkaufft daß Burgerrecht für sich sein haußfrau umb 20 golR. will zu den Freÿburger dienen. Jur. d. 20 Aprilis Anno 1636
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 3)
1638. Eadem [Diens. 24. Aprilis] P. Thomas Schwebel und Christina, I. Barbara (i 3)
Thomas Schwebel, alors aubergiste à la Charrue, veuf, épouse en 1652 Rebecca, fille du pelletier Elie Leipold. Il meurt en 1663
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. n° f° 57)
1652 Eâdem dominicâ [dominicâ XXII Trinitatis] Herr Thomas Schwäbel der Würth Und Gastgeber Zum Pflug undt Burger alhie Vnd Jungfr. Rebecca Eliæ Leipold gewesenen burgers vndt Kürschners alhie, hinderlaßene eheliche tochter. Sint Copulirt word. Zinst. den 23.ten 9.bris, weg. todfall der Sch(wi)ger auß erlaubnuß E.E. Großen Raths im hauß (i 68)
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 32) 1663. Februarius. 14. Hr. Thomas Schwebel Tubackhändler, bürtig Von Berstett, burger allhie, starb Mittw. 6. h., wurde begraben Sonnt. 8. h.H. I. ad Lepros. (i 21)
Veuve, Rebecca Leupold se remarie avec l’apprêteur de tabac Georges Schneller originaire de Kinding dans le diocèse d’Eichstätt : contrat de mariage qui stipule que le marié catholique laissera sa femme et ses enfants professer la religion luthérienne, célébration, inventaire des apports
1666 (9. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 420
(Eheberedung) Erschienen Georg Schnöller Tabac bereÿter Von Kindingen aus dem Bistumb Aÿchstett Schirms Verwanther alhie, alß hochzeiter, mit assistentz hannß Georg Röhrers deß Schuhmachers und Burgers Zu Straßburg an einem,
So dann Rebecca weÿl. Thoman Schwebels geweßenen Tabac beraÿters Burgers alhie nunmehr seel. hinterbliebener wittib, alß hochzeiterin mit beÿstand H Tobiæ Herrmanns deß Kürßners Burgers Zu Straßburg ihres Vogts am andern theil
Nemblich Erstlich Zuvorderist so hatt sich der hochzeiter festiglich verbund. weilen Er der Papistisch. Sie aber und ihre Kind. vorig. ehe der Evangelisch: Religion Zugethan seÿen, daß Er sie Muter und Kind. in ihrer Religion allerdingß freÿlaß. darinn keines wegs betrübe, noch daran mit worten od. werckhen vff einige weise irren od. hindern wolle noch solle, Wann auch dieße Ehe mit einem od. mehr Kindern gesegnet würde, solle und wolle dieselbe Kind. nicht wenig. beÿ hießig evangelischen Kirch tauffen, und in der Evangelisch. Religion vollkommen vfferziehen laßen, Vnd daß fürs Eine
Zum andern, weilen die hochzeiterin, dem hochzeiter, sechs Kind. aus vorig. in dieße Ehe zubringt, so verspricht Er (…)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 162-v, n° 30)
1666. Sonnt. IIX Trinit. 5. Aug. Geörg Schneller, der Beck v. Schirms Verwandte allhie Sebastian Schnellen deß Baursmanns Zu Kindingen im Bistumb Eÿchstätt ehl. Sohn, Vndt Rebecca Thomæ Schwebels des Tuback Machers nachgelasene Wittib. Copulati Mont. 13. Augusti (i 177)
Inventaire des apports dressé dans la maison au Vieux-Marché-aux-Vins dont le titre de propriété est entre les mains du créancier Servais Klein
1666 (12. 7.br), Me Oesinger (David, 37 Not 19) n° 12
Inventarium Undt beschreibung Aller Vndt Jeder Haab Nahrung Vndt Güettere, Ligender Vnd Vahrender, So der Ehrenhaffte Vndt bescheidene Geörg Schneller der tubacmacher Vndt Schirms Verwanther alhie Vndt die tugendsame Fraw Rebecca Leüpoldin beede Eheleuth In Ihren Ehestand einander Zugebracht – So beschehen Inn beÿsein H. Tobiæ Hermanns burgers Vndt Kürschners allhie der Frawen schwagers Undt noch ohnentledigten Vogts Wie auch H Johann Jacob Wetzeln burgers alhie als Ihrer Kinder geschwornenn Vogts In Str. Mittwochs den 12. Septembris A° 1666.
In Einer In d. St. Straßburg beÿ d. Kleinen Metzig gegen dem dannen felß Vber gelegenen behaußung In dieße Nahrung gehörig Ist befund. Worden wie volgt
In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstuben, In der Cammer D, Im hauß Öhren, In der Kuchen, Auff dem Gang, Im Hoff, Im Keller
Eigenthumb ahne Einer behaußung. i. hauß, hoffstatt, höfflin Vndt Gärtlin sampt allen andern gebäwen, begriffen, Zugehördt vndt Gerechtigkeiten In d. Statt Straßburg am Alten Weinmarckt gelegen gegen dem Hauß Zum dannen felß hienüber Ist j. s. ein eck am gerber graben, anders. neben hannß Philipps Schwaben dem Weißbecken, Hinden Vff Mang Dietrich Bosch deß Specereÿ Händtlers seeligen Wittwe stoßendt, so Von alters hero Zum Zinnenen Thurn genant davon gehendt 5. lb. d. gelts alle Jahr vff Adolphi der Wohl Edel gebohrnen Jgf. N. Von Fürdenheim abzulößen Im hauptguthen 100. lin Vndt dann, Ist dieße behaußung auch noch ferner Verhafftet Vmb 80. lib Hauptguth davon der Jährliche Zünß Nemlichen 4. lb d Vff den 5. Augusti Servatio Kleinen burgern vnd Schneidern alhie Verfalt. Sonst Aller dings freÿ Ledig vnd Eigen V. Ist dieße behaußung Vnder Jetzt gehörte beschwerden hiehero gewürdiget worden pro 70. Darüber sagt j. teutsch. Pergamentener Kauffbrieff m. d. St. Str. anhang. Contractstub Insigel v.wahrt anhang. Contractstub Insigel vwahrt deß. dat. den 5. Augusti A° 1667 sig. m. N° 1. NB. dießen brieff hat vorgemelter Servatius Klein für hievon bestimpt sein Capital Pfandsweiß Zuhanden.
Liegende güther. Erstlich 5 feld Acker Inn Rumersheimer bann (…)
Sa. deß Mannß in den Ehestand gebrachten Kleÿdern 37, Sa. Baarschafft 26, Summa summarum 68 lb
Sa. der Frawen in den Ehestandt gebrachten haußraths 160, Sa. Frucht 8, Sa. Werckzeugs 29, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. Guldenen Ring 13, Sa. baarschafft 116, Sa. Eigm. ane einer behaußung 70, Sa. Liegende güther 35, Sa. Schulden 55, Summa summarum 501 lb – Passiv Schulden 160 lb, Nach deren Abzug 341 lb
L’apprêteur de tabac Jean Adam Schwebel et sa femme Einbeth hypothèquent la maison au profit de Gérard von Stœcken, professeur à l’Université. Une mention marginale porte quittance au propriétaire ultérieur, Jean Georges Roth, en 1697
1679 (1. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 527
Hannß Adam Schwebel der Tabacberaiter und Einbeth sein Eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehren- Vest- Fürsichtig und weÿsen herren Johann Henrich Bischoffs und herren Hannß Jacob Fritzen beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein Christmann Kammen deß Saÿlers im nahmen deß Edlen, hochgelehrten herrn Gerhard Von Stöckhen U. I. D. et Pandect. Professoris publici beÿ hießiger wohllöbl. Universität – schuldig seÿen 300. lb, daß wie damit Jungft. Evam Salome Von Firdenheim Thunfrau zu St. Stephan und fraw Johannam Philippinam Von Stein gebohrne Brumbachin umb 100. Kauffschillings rest aus der am 5. Aug. a° 1667. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Verschreibung, Item Annam Mariam Streichin gebohrne Kleinin wie auch Annam Elisabetham Schwebelin, hannß Niclaus Gaßen deß Glasers Eheweib und Daniel Schwebel den Huetmacher umb die, uff nachgemelter behaußung gehabte Ansprach allerdingß befridig.
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Recht. und Gerechtigkeiten, alhier am alten Wein marckh gegen dem Hauß Zum dannenfels hienüber einseit ist ein Eckh am Gerber Graben, anderseit neben hannß Philipp Schwartzen dem Weißbeckhen, hinden uff Hannß Jacob Henrici dem Specerirer stoßend gelegen, Und Von alters Zum Zinnenen Thurn genannt
[in margine :] (…) in gegensein Hans Georg Roth, deß Metzgers alß ietzmahlig besitzers deß hierin gemeldt. hypothecirt. haußes (quittung) Act. d. 3.ten 8.bris 1697.
Jean Adam Schwebel, fils de Thomas Schwebel, a épousé en 1679 Einbeth Huck, fille de brasseur
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 280-v, n° 7)
1679. Eâd. Dcâ. [Dom. Reminiscere 19. Mart.] Hannß Adam Schwäbel der Tubackmacher Weÿl. Hrn. Thomæ Schwäbel gewes. Würthen Vndt Gastgäbers Zuem Rothen Löwen, Vndt burgers alhier nachgelas. ehl. Sohn, Vndt Jfr. Einbetha Weÿl. hrn Johann Adolph Hucken gewesenen Bier Würths Zur Sonnen v. burgers allhie nachgel. ehl. Tochter. copul. Eâdem die. [Copulati Donnerst. 27. Martÿ] (i 295)
Contrat alimentaire passé entre Marie Eve Notter veuve du brasseur Jean Adolphe Huck et sa fille et son gendre, Einbeth Huck et Jean Adam Schwebel
1687 (19.8.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 446-v
Maria Eva, gebohrne Notterin, weÿl. Johann Adolph Hucken, gewesenen Biersieders Zur Sonnen hinderlaßene Wittib mit beÿstand Isaac Thennen, deß Biersieders Zum Strauß Ihres Vogts an einem,
So dann Johann Adam Schwebel, der Tabacbereÿter und Einbetha gebohrne Huckin deßen Eheliche Haußfrau, vorged. Mariæ Evä tochtermann und leibliche tochter am andern theÿl
demnach Sie die Schwiger und Mutter beÿ Ihnen tochtermann und tochter bereits vor diesem in die 3. jahr und ietzo wider beÿ einem jahr langin der Kost gewesen, daß Sie denenselben deßentwegen 100 Gulden auffrichtig und redlich schuldig seÿen (…)
Inventaire après décès d’une locataire, Anne Marie Rœder veuve de l’armurier Jacques Frühnsholtz
1687 (26.5.), Me Kitsch (Jean, 1 AH 5935) n° 160
Inventarium undt beschreibung d. Jenigen wenig. haab undt nahrung, so weÿl. die tugendsame Anna Maria Röd.in, deß auch weÿl. Ehrsamen undt bescheid.en Mstr Jacob Frühinsholtz, gewes. waffenschmidts burgers alhier zu Straßburg seel. hind.laßene wittib nunmehr auch seelige, nach Ihrem d. 5. dieses Monats Maÿ tödlich. genommenen hienscheid. hind. Ihro Verlaß. welche Verlassenschafft auf freündliches ansuchen erfordern u. begehren Meister Friderich Kleinen, huffschmidts burgers Zu gesagtem Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ, d. v.stob.en seelig mit vorged. Jacob Frühins holtz ehelich erzeugt. döchterleins und ab intestato nachgelaß.er eintzig. Erbin, durch d. Ehrenhafft. Daniel Schwebel, hutmach. burgern alla u. deß. eheliche haußfr. als beÿ den die verstorbenen seelig wohnhaft geweß. – welches beschehen in Straßburg Montags d. 26. Maÿ a° 1687.
Inn einer inn d. Statt Straßburg geg. d. Thomanloch am grab. od. waß. gelegen undt vorged. Schwebel Zuständig. behaußung hatt sich befund. wie volgt
Sa. haußraths 12, silbergeschmeids 6, Guldene. ring 3, Summa summarum 22 lb – Schulden 9, Nach deren Abzug 12. lb
Jean Adam Schwebel et Einbeth Huck vendent la maison 650 livres à leur frère et beau frère respectif le chapelier Daniel Schwebel. L’acte mentionne les sommes à régler aux cohéritiers Schwebel
1687 (6. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 547
Hans Adam Schwebel der Tabac bereiter und Einbeth gebohrne Huckin
in gegensein Daniel Schwebel, deß Huthmachers ihres leiblich. Bruders und Schwagers
hauß, hoffstatt, höfflein, mit allen deren Gebaüen begriffen, Weith., Zugehördt. und Gerechtigkeit. eins. allhier am alt. Weinmarck. geg. dem Hauß Zum Dannenfelß hinüber, einseit ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Hannß Philipß Schwarzen, dem Weißbecken hinden auff Joh: Jacob Henrich den Specerierer stoßend geleg. und Von alters Zum Zinnenen thurn genandt, welche behaußung umb 43 lb, Tobiæ Schwebel dem Schloßergesell, Item umb 42 lb, weÿl. Saræ Schwebelin, sowohl des Vekaüffers alß Kaüffers Schwester sel. Erben /:darund. Sie beede ihre portione auch hab:/ Ferner Annæ Mariæ und Georg Schnellen umb 81 lb, So dann umb 300 pfund (verhafftet) – geschehen umb 182 pfund
[in margine :] Johann Michael Hirschmann der Würth Zum Rothen Männel, alß Vogt deß hierinn gemeldt. Tobiæ Schwebels deß Schloßegesellen, Ferner weÿl. Saræ Schwebelin, auch hierinn gemeldt hind.laßene Erb., Hans Adam Schwebel der Tabac bereiter, Elisabethæ weÿl. Niclaus gaßen gewesenen glaßers nachgelaßener Wittib, mit beÿstand hans Georg Feßenmeÿer deß glaßers ihres Vogts, So dann Anna Maria und Georg Georg Schnellers deß tabacmachers und Schirms verwanth. tochter und Sohn, so unbevögtigt, mit beÿstand H. Andreæ Brackenhoffers und H. Niclaus Spatzen, beed. E.E. großen Raths beÿsitzer, haben in gegensein Daniel Schwebels deß hierinn gemeldten Kaüffers (quittung), den 4. 9.br 1687
Le chapelier Daniel Schwebel se marie en 1680 avec Anne Madeleine Rœderer qui a épousé en premières noces (1661) Simon Hollænder et en secondes (1671) Jean Martin Wetzel, tous deux chapeliers
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186, n° 17)
1680. Eodem [14. Martÿ] Daniel Schwäbel lediger hutmacher Thomas Schwäbels burgers v. gastgebers hinterl. ehl. Sohn, Fr. Magdalena hans Martin Wetzels hinderlaßen. W. (i 187)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 150-v, n° 44)
1671. Hannß Martin Wetzel der ledige hutmaher Vnndt Anna Magdalena, Simon Holänders des hutmahers hinterl. W., Mont. 6. Nov. (i 152)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 125-v, n° 6)
1661. Simon Holänder der hutmacher, hannß Michael Holänders burgers u. hutmachers nachgelaßener sohn, v. J. anna Magdalena H Christoph Röderers tuchscherers ehel. tochter, Copulirt d. 12. Martÿ (i 127)
Daniel Schwebel hypothèque la maison au profit du marchand Jean Philippe Henrici
1689 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 77
Daniel Schwebel, der Huthmacher
in gegensein Hn Johann Philipp Henrici deß Handelßmanns – schuldig seÿe 150 Gulden
unterpfand, Eine behaußung allhier oberhalb der Kleinen Metzig geg. dem alten Weinmarckt einseit neben deß beckenhauß Zur Eulen hind. hauß, and.seit ist ein Eck an d. tränck, hind. auff den Rindshäuter graben stoßend geleg.
Daniel Schwebel vend 695 livres la maison au boucher Jean Georges Roth et à Anne Eve Bechtold
1691 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 603-v
Daniel Schwebel der Huthmacher [unterzeichnet] Daniel schwebel
in gegensein Hannß Georg Rothen deß Metzgers und Annæ Evæ gebohrner Bechtoldin [unterzeichnet] hannß georg Roth, Anna Eua Rothin
Eine behaußung, Hoff, hoffstatt mit allen deren Gebaüen begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier am Alten Wein Marck gegen dem Hauß Zum Dannenfelß über, einseit ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Hannß Philipp Schwarzen dem Weißbecken hinden auff Johann Jacob Henrich den Specereÿ hendler stoßend gelegen, Von alters hero Zum Zinnenen Thurn genandt, welche behaußung umb 300 pfund (und umb 150 pfund verhafftet) – geschehen umb 245 pfund
Jean Georges Roth, boucher originaire de Worms, épouse en 1684 Anne Eve veuve du boucher Jean Jacques Leitel
Mariage, Saint-Nicolas (luth., f° 27 v°) 1684 n° 22. Hans Georg Roth der ledige Metzger Von Worms Hans Adam* Rothen deß Burgers Und Metzgers Zu Worms ehelicher Sohn Undt
Anna Eva, weÿland Hans Jacob Leuthels deß Burgers Und Metzgers alhier nachgelaßene Wittib, Copul. zu St. Niclaus 15/25. 7.bris
Jean Jacques Leitel épouse en 1671 Anne Barbe Bechtold, fille de boucher. Le mariage est célébré à Illkirch après que les fiancés ont consommé leur union.
Mariage, Illkirch (luth. p. 417, n° 3)
1671. D. post Domin: Cantate 22. Maj. Seindt auß erkantnuß Vnßerer Gnädig: Herren die Räth Vnd XXI. (auff Vorher gegangene Zweÿfachen proclamation Zu Straßburg) allhie Copuirt worden Johann Jacob leüthen, der Metzger von Straßburg und Eva Bechtoldin. [In margine :] NB diße bede persohnen haben sich fleischlich vermischet. (i 98)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth., p. 149) 1671, n° 18, hans Jacob Leitel der ledige Metzger Knecht, Anna Eva, diebold Bechtolts des geweßenen Metzgers hinterl: Ehel. Tochter, 23. Maÿ, Illkirch
N.B. Seind in Un Ehen Zusammen Komm. B. beede im thurn geleg.
Jean Georges Roth devient bourgeois quelques semaines après son mariage
1684, 4° Livre de bourgeoisie p. 505
Hanns Georg Roth der Metzger von wormbs empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Anna Eva, weÿl. hanns Jacob Leitels des Metzgers seel. Wittib pro 8. gold fl. so beÿ d. Cancelleÿ erlegt, Jur. 12. 8.br
Jean Georges Roth et sa femme Anne Eve dictent leurs dernières volontés en 1691. L’acte relate que le testateur adopte les enfants issus du premier mariage d’Anne Eve avec Jean Jacques Leitel. Il expose qu’il s’est marié huit ans plus tôt sans que le mariage ait été béni d’enfant. Il a une sœur mariée à Francfort et un frère disparu son départ pour les Indes douze ans plus tôt. Il a soumis au Grand Sénat la demande d’adopter Jean Pierre âgé de 17 ans, Jean Jacques de 15 ans et Laurent Leitel de 11 ans.
1691 (5.3.), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 4)
Herrn Johann Georg Rothen deß Metzgers et Eva uxoris letzten willens dispositio & de Anno 1691
inn dem Jahr (…) 1691 (…) den 5. Martÿ Nach Mittag Vmb 3. Uhren, Vor mir (…) Persönlich erschienen der Ehrengeachte Vnd bescheÿdene H: Johann Georg Roth, Burger Vnd Metzger zu Straßburg, Vndt fr. Anna Eva Rothin geborne Bechtoldin deß. Ehelichen haußfraw, waren beede Von den Gnaden Gottes deß Allerhöchsten gesunden gehend. vnd stehznd. leibs, auch richtiger Sinnen Vernunfft vnd Verstand, wie ab dero red. abzunehmen war (…)
demnach Er in Anno 1684. mense Septembri, Vnd allso brerÿths Vor Sechs Jahren mit frawen Anna Eva, erstgedacht alß damahl Weÿl. hanß Jacob Leüthels geweßenen Metzgers V. Burgers allhier hinderlaßenen Wittib sich Verheurathet, aber in Wehrend solcher Zeit Von dem lieben Gott Mitt Keinem Eheseegen erfrewet worden, Vnd beÿ ersterwähnter seiner frawen zunehmend. Altter, Viel weniger in daß Künfftige einig. zu hoffen hätte, daß Zu Mehrere fortt Pflantzung bißhero gepflogener ehelicher lieb Vnd trew, auch respectivé schuldiger ehr erbietung Vnd gehorsamer dienstleistung der Kinder gegen Ihren Eltern, in deme sowohl Sie beede Eheleuthe die Zeitt Ihres geführten Ehestandts einander alle Eheliche lieb Vnd trew erzeiget Vnd solang der liebe Gott daß Zeittliche leben Ihnen beÿsammen frist. werde, fürtter hin ohnaußsetzlich zu erweisen gedacht, alß auch seiner haußfrauwen mitt weÿl. hanß Jacob Leüthel auß Erster Ehe erzeigte dreÿ Kinder hernach benambst, Ihme Roth Ihrem Stieff Vatter biß dahero inn allem gut wie recht, gefolgt, Sich gehorsamb gegen Ihme erzeigt Ihn mit großen auß nicht beschwert Sondern sein Ihren Stieff Vatters Zeittliche Nahrung, alß welche meistens in dieser Ehe errungen Vnd gewonnen worden, Vermittelst Ihrer mutter fleißig haußhalten, durch Ehre Kindliche beÿhülffe, Zuvermehren gesucht hab., alß seÿe Er auch gantz Vätterlich geg. Ihnen gesinnet, Und wielen Er gantz keiner Notherben, auch sonst. nienmand als eine Schwester hatt, Welche Zu Franckfort am Maÿn Verheÿrathet, Sein einiger H. Bruder aber, Vor bereÿtt Zwölfff Jahren in Indien Verreÿßt, Allem Vermuth nach, in entfernt. landen, längstens gestorben Ist, So habe Er sich längst gäntzlichen resolvirt # (# wie Er es nach seinem todlich ableiben Mitt seiner Verlaßenschafft wolle gehalt. hab. einig. leßen wollen auff zu richten, auch über deß), mitt Obrigkeit. Consens Und Authorotät seine dreÿ Stieff Söhne (:darunter der altiste 17. Jahr,der mittlere 15, der Jüngste 11 Jahr alt Arrogirende Vatter hingeg.mehr alß Umb 20. Jahr des ältisten, ahne alter übertrifft:) ohne Kindesstatt ahn zu nehmen (maßen Er EE Groß. Rath allhiesiger Löbl. Statt Straßburg, bereÿts under dem 7.t Febr: Jüngsthin durch ein überreichtes Underthäniges Memorial solch. sein Vorhaben entdecket, V. Zuerkennen gegeben, mit hien umb gnädige Ratification Vnd Confirmation gehorsamst gebetten, auch weilen Er, ahne gnädiger Willfahr gantz Keinen Zweiffel trägt, habe Er, so wohl Zwischen ihnen beed. Eheleuth alß Erstbemelt. seiner frawen in erster Ehe erziehlt. dreÿ Söhnen Künfftiger fälle halben, (…) seiner geliebten haußfrawen auß erster Ehe erzeugte dreÿ Söhne, nammentlich Hannß Peter, Hannß Jacob Vnd Lorentz Leuthel mitt Obrigkeitl. Consens ahne Kindesstatt ahn zu Nehmen (…)
Jean Georges Roth meurt en 1720 en délaissant pour héritiers testamentaires les enfants issus du premier mariage de sa veuve. Les experts estiment la maison 700 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 187 livres, celle des héritiers à 19 livres. L’actif de la communauté s’élève à 846 livres, le passif à 177 livres.
1720 (25. 9.bris), Me Lobstein (Jean, 31 Not 5) n° 127
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland der Ehren: und Wohl Vorgeachte Hr. Johann Georg Roth, geweß. Metzger u. burger allhier nunmehr seeliger, nach seinem den 25.t 7.bris dießes zu end eilenden 1720.sten jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Abgeleibten seeligen per Testamentum Verlaßener Erben (inventirt), durch die Ehren: u. tugendsahme Frau Annam Evam Rothin geb. Bechtoldin, die hinterbliebene Wittib, mit beÿstand des Ehren: und Wohlvorgeachten Hn Simon holenders des huthmachers und burgers allhier dero geschwornen Hn Curatoris, geäugt u. gezeigt – So beschehen in Straßburg den 25.ten 9.bris Anno 1720.
Der Abgeleibte seeliger hat zu seinen Erben /S.is ubiq. T.is/ verlaßen wie Volgt 1.mo Weÿl. Mr hannß Peter Leÿtels, des geweßten Schuhmachers u. burgers allhier mit Frauen Maria Salome geb. Schöffelholtzin ehelich erzielhte Kinder, nahmentlich Annam Evam, Mariam Salome, Johann Georg, Susannam Margaretham u. dann Mariam Barbaram die Leÿtel, deren geschw. Vogt hr. Lorentz Leÿtel der Kupfferschmid u. burger allhier, allweilen aber derselbe selbsten mit Interessirt als ist Zu einem theil vogt erbetten worden hr Jacob Tillÿ, der Statt Spengler u. burger allhier, welcher sich in selbst eigene Persohn eingefunden, 2.do Herrn Johann Jacob Leÿteln, Med. Doctorem so dißmahlen Zu London in Engelland Wohnhaft, in deßen Nahmen aus E:E: Kleinen raths Mittel S:T: Hr. Andreas Greum, Vornehmer Apothecker auch ehrenged. E. Kleinen raths jetzig Wohlmeritirter beÿsitzer, dem Geschäfft abwartete, Und dann 3.tio Herrn Lorentz Leÿtel, den Kupfferschmid und burgern allhier, Vorgedacht, welch. sich in Persohn beÿ dem geschäfft eingefunden, Alßo alle dreÿ des Abgeleibten seeligen adoptirte Kinder u. per Testamentum zu gleichlingen Antheilen Verlaßene Erben
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
In einer allhier ane dem Alten Weinmarck nahe beÿ der Kleinen Metzig gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In dem Obern Vordern Stüblein, Im Obern hindern Stüblein, Im Obern haußöhren, In der Wohnstub, Im haußöhren, In der Kuchen, In der Cammer B, In der Cammer C (…)
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung, hoff, hoffstatt mit allen den gebäuen begriffen, zugehörd. u. gerechtigkeiten gelegen allhier am alten Weinmarckt gegen dem hauß zum dannenfelß über, einseith ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Niclaus Schwartzen dem Weißbecken hinten auff Hn Lorentz Fisch. den Gastgeber Zum blauen bauren stoßend gelegen, Von alters hero Zum Zinnenen thurn genand, so freÿ, ledig, eigen und HHn. Michael Erlacher WerckMr. des Münsters u. Hn Johann Jacob Biermeÿer WerckMr. des Zimmerhoffs laut Abschatzungs Zeduls Vom 17. 8.bris 1720. angeschlagen pro 700 lb, Darüber sag. 2. teutsche perg. Kffbrieff mit d. Statt Straßb. ang. C. Contract Insiegel Verwahret datirt den 6.ten 8.bris 1687 et 16. julÿ 1691.
– Abschatzung: d. 17.t 8.bris ano: 1720. weÿlandt, deß Ehrenhafften Vnd bescheÿtenen H: hanß Görg Roth. Metzger, Seel: hinder Laßenen, fraw: wittib, Und Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, beÿ der Kleinen Metzig: gelegen, Ein Eckh, an dem gerber graben, drenckh gelegen, Ander seith Neben, Nicolauß schwartz. weiß beckh, hinden Auff den gerber graben, stoßendt, welche behaußung, hoff statt, Stuben, Kammeren, Küchen, hauß Ehren Ein gebälckten Keller, Neben gebeÿ, Mit Kammeren, Küchell, Hoff, Vnd. brunen, Sampt aller Ihrer gerechtig keith, Wie solches durch der Statt Straßburg, geschworenen Werckh Leüthen in der besichtigung befundten, Und dem Jetzigem preiß Nach an geschlagen wirdt Vor, und, Umb 1400 Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworenen Werckh Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung der Wittib ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ über der Wittib in die Ehe gebrachte Nahrung dh. H. Andream Schmidt Not. publicum in Anno 1684. aufgerichtet
Ane Häußern, It. hat die wittib angezeigt, daß Sie Ihre dreÿ häußlein, welche Sie im Marbach gäßlein ligen gehabt und von d. Mutter seel. geerbt worden, nicht un d. zugebracht. Nahrung Inventario enthalten, wehrender dieße Ehe verkaufft und nach abzug d. darauff gestandenen beschwärden darauff erlöst haben so zuergäntz. 75 lb
Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 33, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 3, Sa. Guths Ergäntzung (151, abgang 1, rest) 149, Summa summarum 187 lb
der Erben ohnveränderte Nahrung, hausraths 19 lb
das theilbahr Guth, Sa. hausraths 94, Sa. Lährer Vaß 8, Sa. Silbergeschirr und geschmeids 12, Sa. Goldener Ring 9, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 700 lb Summa summarum 846 lb – Sa. Schulden 177 lb, Nach solchem abzug 668 lb – Stall Summ 818 lb
Le chaudronnier Laurent Leitel dit Roth loue en son nom et en celui des enfants de feu son frère Pierre Leitel la maison à Jean Georges Gretzinger
1724 (16.6.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 282
Lorentz Leitel dictus Roth Kupfferschmidt für sich selsbten und als vogt weÿl. Johann Peter Leitel gewesten grempen seines bruders seeligen 5 Kinder
in gegensein H. hannß Georg Gretzinger
entlehnt, Eine Behausung bestehend in vorder: und nebens: gebäu hoff gärttlein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm alten Weinmarckt, einseit neben Nicolauß Schwartz dem Eulen becken anderseit neben ein eck ahn der tränck beÿm Rindts: häuter graben hinden auff Lorentz Fischer den Blau: bauren würth – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst innstehend Joh. Baptistø – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 gulden
Anne Eve Leitel femme du garçon batelier Simon Hummel vend sa part de maison à son oncle Laurent Leitel dit Roth
1728 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 163
Anna Eva geb. Leitelin Simon hummel des schiffknechts so über 25 jahr alt zu seÿn versicherte beÿständlich ihres ehemanns
in gegensein ihres vatters: bruders Lorentz Leÿtel dictus Roth Kupfferschmidts
Einen 15.den theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung Nebens: gebäu hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten beÿ der Kleinen Metzig ahn der tränck gegen dem Thomanloch über, einseit ist ein eck ahm Riethhäuter graben hinten auff Lorentz Fischer den gastgeber zum blauen Bauren stoßend gelegen, zum zinnenen Thurn genannt – der verkäuferin vier geschwisterden und zwar jenen zu 10/15 theilen dießen aber zu 4/15 theilen zugehörig – um einen jährlichen Zinß nemlich 57 pfund
Laurent Leitel dit Roth loue la maison à son gendre le savonnier Jean Christophe Hoffmann
1729 (8.11.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 508
Lorentz Leitel dictus Roth Kupfferschmidt
in gegensein seines tochtermanns Johann Christoph Hoffmanns saiffensieders
verlühen, Eine Behausung bestehend in Vorder: und Nebens gebäu hoff gärttlein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am alten weinmarckt, einseit neben Nicolaus Schwartz dem Eulen Becken anderseit ist ein eck ahn der Tränck beÿm Rindtshaüter graben hinten auff lorentz Fischer den gastgeber zum blauen Bauren – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst kommenden weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 75 gulden
Anne Marie Grassmann femme de Laurent Leitel dit Roth meurt en 1730 en délaissant trois filles. Les experts estiment 550 livres la maison au Vieux-Marché-aux-Vins qui appartient pour plus de deux tiers à la succession. La masse propre au veuf s’élève à 433 livres, celle des héritiers à 1488 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1584 livres, le passif à 2330 livres
1730 (18.8.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 28) n° 646
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und güethere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohunverändert, überall nichts davon außgenommen, so Weÿland die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Leÿtelin gebohrne Graßmännin des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Lorentz Leÿtels des Kupfferschmids und burgers allhier zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel. als dieselbe Sontags den 9.ten Aprilis dießes Lauffenden 1730.sten Jahrs dieses Zeitliche in das Ewige verwechselt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 18.ten Augusti Anno 1730.
Die Abgeleibte Frau seelige hat zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen, Wie volgt. 1. Frau Annam Mariam Hoffmännin geb. Leÿtelin, Hn Johann Christoph Hoffmanns des Sÿffensieders und burgers allhier eheliche haußfrau Welche mit assistentz deßelben dem geschäfft in Persohn abwartete, 2. Jungfer Annam Evam Leÿtelin, so Majorennis und ohnbevögtigt, dahero in persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden. So dann 3. Jungfer Martham Leÿtelin deren geschworner Vogt vorgedachter Herr Johann Christoph Hoffmann der Seÿffensieder und burger allhier, welcher aber selbsten uxorio nomine interessirt, deßwegen an seine Statt Zu einem theilvogt erbetten Worden, Meister Johann Heinrich Bäurle, der Schuhmacher und Sigrist beÿ der Evangelischen Kirch Zum Jungen St. Peter auch burger allhier, welcher dem geschäfft beneben seiner Curandin persönlich beÿgewohnt, Alßo alle dreÿ der seelig Verstorbenen Frauen mit Eingangs gedachtem Herrn Lorentz Leÿtel Ihrem Wittibern erzeugt
In einer allhier zu Straßburg Vor dem Pfenningthurn beÿ der Kleinen Metzig gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Gesellen Cammer, In der Cammer B, In der Magd Cammer, Im obern haußöhren, In der Wohnstub, In der Soldaten Cammer
Eigenthum ane Häußern (T.) Erstl. eine Eck behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßburg vor dem Pfenningthurn (…)
(T.) It. eine behaußung zum Weußen thurn genannt, mit allen deren Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der statt Straßburg und dero Vorstatt Weißenthurnstraß auf dem Michaels bühl (…)
(W.) It. Zween dritte theil vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, hoff hoffstatt, mit allen deren gebäwen, begriffen, Zugehörden, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier ane dem alten Wein Marck gegen dem hauß zum dannenfelß über, einseit ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Niclaus Schwartzen deß Weißbeckhen Eben, hinden auf Hn Lorentz Fischer den Gastgeber zum blauen bauen stoßend, von alters her zum zinnenen thurn genand, so gegen Männiglichen freÿ Ledig, eigen und ist die völlige behausung (durch die Werckmeistere) nach besag Abschatzungs Zeduls vom 26.ten Maÿ Anno 1730. taxirt für 550. lb. Machen die hiehero gehörige Zween dritte theil 366 lb. Und ist der übrige eine drittetheil theils in dieseithige theilbare Verlassenschafft wie hernacher fol. – fac Zusehen, heils aber weÿl. Mr Joh: Peter Leÿtes, des Schuhmachers seel. Vier jüngsten Kindern Vor ohnvertheilt Zuständig. Über die Völlige behaußung sollen vorhanden sein Zween teutsche pergamentene Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. C. Contract Ins. verwahrt datirt den 6.ten 8.bris 1687 et 16. Julÿ 1691. so sich aber nicht befinden
(T.) It. ein Fünff Zehender theil Vor ohnvertheilt Von: und ane der hievor fol: fac et seqq. specifice beschriebenen behaußung cum appertinentiis ane dem alten weinmarck allhier gegen dem hauß zum dannenfels hienüber, so gegen Männiglichen freÿ Ledig, eigen und der herren Werckmeistere Abschatzung nach, ane 550 lib hiehero pro rato antrifft 36 lb. Vermög eines teutschen pergamentenen Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. C. Contract Ins. becräfftiget de dato 17. Aprilis Anno 1728
Abschatzung d. 26. May ao. 1730. Auff begehren des Ehrenvesten und Vorachtbahren H Lorentz Leÿden Kupfferschmidt, ist eine behausung allhier in der statt Straßburg gegen dem Pfenningthurn ein Eckhauß an dem Kirchgäßel (…)
Der 3.te begrif ist auch alhie in der statt Straßburg beÿ der Kleinen Metzig geleg. einseits Neben H Lorentz fischer Wirth und gastgeber Zum blauen Bauren anderseit neben dem gerber graben und hinden auf Niclaus Schwartzen Erben stosend, welche behausung alt Nebens Vordergebäu, stuben, Cammer, Soldaten Cammer, Küche, hauß Ehren mit herdt und Waßerstein, gewölbter Keller höffel und bronnen, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschwornene Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausend und Ein hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ beeder geweßener Eheleuth einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, in Anno 1704. durch Hn Notario Eliam Winckler seel. aufgerichtet (…)
Inhalt Special theil Registers über des hinterbliebenen Wittibers sowohl Vor sich selbsten, als auch wegen seines bruders herrn Johann Jacob Leÿtels Medicinæ Doctoris Zu London in Engelland wohnhaft beÿ Weÿl. Frauen annæ Evæ Rothin geb. Bechtoldin auch Weÿl. Herrn Johann Georg Rothen geweßenen Metzgers und burgers allhier seel. hinderlaßener Wittib als seiner eheleiblichen Mutter und Stieffvätterl. Erbschafft durch mich Not. in Anno 1724. gefertiget, solle mann dem Wittiber (…)
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 31, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. Goldener Ring 3, Sa. antheils ane einer behaußung 366, Sa. Schuld 1, Erg. Rest 85, Summa summarum 493 lb – Schulden 60 lb, Detrahendo verbleibt 433 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 57, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 9, Sa. Schulden in das Erbe zugeltend 52, Erg. Rest 1368 lb, Summa summarum 1488 lb
Theilbahre Verlassenschafft, Sa. haußraths 91, Sa. Werckzeugs und Gemachter Wahr Zum Kupfferschmid handwerck gehörig 142, Sa. Wein und Lährer faß 149, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 18, Sa. Goldener Ring 8, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane häußern 1131, Sa. Schulden 34, Summa summarum 1584 lb – Schulden 2330 lb, Übertreffen alßo die Passiva die völlig Vorhandene theilbarer Activ: Massam umb 145 lb
Stall summ Et Conclusio finalis Inventarÿ 1176 lb
Copia des Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Meister Lorentz Leÿtel, ledigem Kupfferschmidt, Weÿland herrn Johann Jacob Leÿtels geweßenen Metzgers und burgers alhier Zu Straßburg seeligen hinderbliebem Eheleiblichem Sohn, als dem Bräutigamb an einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauwen Annæ Mariæ Graßmännin deß Wohl Ehren Vorgeachten Herrn Johann Graßmanns Maurers Steinhauers und burgers Zu Straßburg Eheleiblicher dochter als der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil – Und seind diße ding beschehen und zugangen in Straßburg, Sambstags den 12. Monats tag Julÿ Anno 1704, Johann Heinrich Lang Sen. Nots.
Copia Testamenti – Im Jahr 1705 (…) auff Montag den 28. tag deß Monaths Decembris (…) persönlich kommen und erschienen seind der Ehrsam und bescheidene Meister Lorentz Leüdel, Kupfferschmidt und die Ehren und tugendsahme fraw Anna Maria hernach beschriebener behausung Graßmännin, beede Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg Sie die fraw Zwar hochschwangern Leibs (…) Johann Adam Ösinger Notarius juratus publ.
Laurent Leitel dit Roth, fils de boucher, épouse en 1704 Anne Marie Grassmann, fille de maçon : contrat de mariage (ci-dessus, transcrit à l’inventaire), célébration
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 97)
Eodem die [den 13 Augusti 1704] haben sich christlich Copuliren V. Ehelich einseegnen laßen Lorentz Leÿsel genanth Roth der ledige kupffer schmidt Weÿlandt Hannß Jacob Leÿsels gewesenen burgers v. Metzgers allhier nachgelaßener Ehelicher Sohn, und Jungfr. Anna Maria H Johann Jacob Graßmanns des burgers wie auch Stein Metzen und Maurer allhier Eheliche tochtern Wie solches ihrer subscription bescheinet, Lorentz Leutel genandt Roth akls hochzeiter, Anna Maria gräßmännin als hochzeitern (i 103)
Laurent Leitel dit Roth hypothèque sa part de la maison au Vieux-Marché-aux-Vins ainsi que sa maison Grande rue de l’Eglise au profit de Marie Madeleine Rein veuve du marchand Jean Saltzmann
1731 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 250
Lorentz Leitel Kupfferschmidt dictus Roth
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Reinin weÿl. H. Johannes Saltzmann E.E. großen Raths alten beÿsitzers und handelsmanns ohnbevögtigten wittib, beÿständlich ihres H. stieffvatters ST H. Johann Friedrich Oeßinger Jcti und dreÿzehner – schuldig seÿe 350 pfund
unterpfand, zween dritte theil und die tertz ahne einem 15.den theil für ohnvertheilt einer Behausung hoffs und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, zugehörden und Rechten ahm alten weinmarckt ohnfern der kleinen Metzig gegen dem hauß zum dannenfelß über, einseit ist ein Eck ahm gerber: graben anderseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz gewesten weißbecken erben hinten auff Lorentz Fischer den gastgeber zum blauen Bauren gelegen, von alters her zum grünen Thurn genannt
Ferner eine Eckbehausung cum appertinentÿs vor dem Pfenningthurn einseit ist ein Eck ahm kleinen Kirchgäßlein anderseit neben H. Rathh. Johannes Boch dem weinhändler hinten auff eben denselben, die übrige theil ged. häußern aber seinen kinderen zugehörig, wobeÿ ferner erschienen des debitoris tochtermann und tochter Johann Christoph Hoffmann, Seiffensieder und Liechtermacher, mit fernerer assistentz ihres schwagers Johann Friedrich Ziesich Kupfferschmidt ihres schwagers: H. Johann Mathäus Knauer und in vorbemeldten Vatters verbürgt
Jean Georges Leitel vend ses parts de maisons à son oncle Laurent Leitel dit Roth
1733 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 361-v
Johann Georg Leitel der ledige seiner versicherung gemäß mehrjährig und ohnbevögtigter seÿler
in gegensein seines vatters bruders Lorentz Leitel genannt Roth des Kupfferschmidts
Erstlich einen 5.t theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder und Nebens gebäu hoff Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am alten Weinmarckt ohnfern der Kleinen Metzig gegen dem hauß zum dannenfels uber, einseit ist ein eck am gerber: oder Rindtshaütergraben anderseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz gewesten weißbecken Kindern hinten auff Lorentz Fischer den Gastgeber zum blauen Bauren und vor alters her zum zinnenen thurn genannt – als erben zum 5.t theil ahne einem dritten Stammtheil seiner großmutter weÿl. Fr. Annæ Evæ geb. Bechtoldin auch weÿl. Johann Georg Roth metzgers hinterlassenen wittib zu einem 15.den theil seinen 3.ten übrigen geschwisterden zu 3/15 und dem käuffer selbst zu 11/15 theil,
Ferner einen 12. theil für ohnvertheilt ane einem Vorder: und hinderhauß höfflein und hoffstatt cum appertinentis ahne dem alten weinmarckt, einseit ist ein eck ahne dem Roßengartten: gäßlein anderseit neben weÿl. Alexandre Ridejoy dit L’anglois fechtmeisters wittib hinten auff das Thoman: loch – von diesem gantzen hauß soll mann auf Martini 5 schilling ane bodenzinß (und) 40 pfund capital – als erben zu einem 6.t stammtheil seiner mutter weÿl. Maria Salome Leÿtelin geb. Schiffelholtzin auch weÿl. Johann Peter Leitel des Schuemachers wittib denen die helffte ged. haußes gebühret hat zu 1/12 vieren seiner geschwister zu 4/12 ihme Leitel dem käuffer zu einem 12.tel und zu einem 10.t antheil, die übrige antheilen aber denen Männelischen vier Kindern, dem zum zinnenen thurn genannt – umb 57 pfund, das 12.t des letst beschriebenen hauß 34 pfund
Laurent Leitel hypothèque ses parts de maisons au profit des enfants mineurs du médecin Nicolas Grossholtz et d’Anne Catherine Boch
1737 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 98
Lorentz Leitel der kupfferschmidt
in gegensein Johann Ludwig Ziesich des Specirers als vogts weÿl. H. Nicolaus Großholtz medicinæ Doctoris und practici mit auch weÿl. Fr. Annæ Catharinæ geb. Bochin seel. erzeugt beeder töchter Maria Salome und Maria Magdalena der Großholtz – schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, zween dritten theil und 3 und ein tertz ahne 15.de theil für ohnvertheilt Einer Behausung, hoffs und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten am alten weinmarckt ohnfern der kleinen metzig gegen dem hauß zul dannenfels über, einseit ist ein Eck am gerbergraben anderseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz weißbecken erben hinten auff. Lorentz Fischer den gastgeber zum Blauen Bauren gelegen, von alters her zum Zinnen thurn genannt
Ferner zwo tertz einer eckbehausung samt zugehörden außerhalb des Pfenningthurns, einseit neben weÿl. H. Rathh. Johannes Boch des weinhändlers erben anderseit ist ein Eck ahne dem kleinen Kirchgäßel hinten auff besagte Bochischen erben, zu übrigen theilen aber seinen kindern eigenthümlich zuständig
Laurent Leitel dit Roth hypothèque les mêmes immeubles au profit d’Eve Barbe Bechtold veuve du marchand Jean Daniel Bœhm
1740 (18.1.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 33
Lorentz Leitel genannt Roth der Kupfferschmidt
in gegensein H. Philipp Jacob Bechtold J.V.Lti. als gewalthaber seiner schwester Fr Evæ Barbaræ geb. Bechtoldin Johann Daniel Böhm des ehemaligen handelsmanns Wittib und deren Curatoris H. Johann Rudolph Dinckel Not. Publ. – schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, eine Eckbehausung zween dritten theil für ohnabgetheilt mit allen deren gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten außerhalb des Pfenningthurns gegen demselben über, einseit ist ein Eck ahne dem kleinen kirchgäßel, anderseit neben H. Frantz Boch dem weinhändler und consorten, hinten auff dieselbe
ferner 41/45 theil für ohnabgtheilt ane einer behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentÿs ahne dem alten weinmarckt gegen dem hauß zum dannfelß über, einseit ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Nicolaus Schwartz weißbecken Erben, hinten auff Lorentz Fischer dem gastgeber zum blauen Bauren – Maßen er zu erstbeschriebenen behausung daran seinen Kindern die übrige tertz zugehört währender Ehe mit weÿl. Anna Maria Graßmännin seel. erkaufft ahne dem zu letzt beschriebenen hauß aber 30/45 theil theils von seinen Eltern ererbt theils von seinem bruder weÿl. Johann Jacob Leitel Med. D. seel. käufflich übernommen und 11/45.te theil zum theil in seinem ehestand zum theil währender seines wittwenstandes erkaufft hat
Marie Barbe Leitel vend sa part des maisons à Laurent Leitel dit Roth
1740 (19.5.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 285
Maria Barbara Leitelin so mehrjährig und ohnbevögtigt zu sein versichert mit beÿstand ihres schwagers Diebold Weber des tabackbereiters
in gegensein Lorentz Leitel genannt Roth des Kupfferschmieds
Einen 12.t theil für ohnabgetheilt ahne einer Behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehör und gerechtigkeiten ahne dem alte Weinmarckt, einseit ist ein Eck ane dem so genannten Roßengarten: gäßlein, anderseit neben weÿl. Alexander Riedjoye gewesten Fechtmeister wittib und erben, hinten auff das Thomaloch – auff Martini weÿl. H. Rathh. Ernst Friedrich Mollinger des Banquier erben 5 ß ane bodenzinß, um 40 pfund verhafftet
ferner einen 15.t theil für ohnabgetheil an einem Vorder: und nebenshauß cum appertinentis am alten weinmarckt ohnfern der kleinen metzig gegen dem hauß zum dannenfelß über, einseit ist ein Eck am gerber oder Rindshäutergraben, anderseit neben weÿl. Nicolaus Schwartz des weißbecken kindern, hinten auff Lorentz Fischer den gastgeber zum blauen Bauren, und zum zinnenen thurn genannt – um 91 pfund
Laurent Leitel se remarie avec Anne Marguerite Christiani veuve du chaudronnier Jean Michel Albrecht : contrat de mariage, célébration à Schiltigheim
1745 (24.5), Me Dautel (6 E 41, 284) n° 153
(Eheberedung) zwischen dem wol Ehrenachtbaren und wohlvorgeachten herrn Lorentz Leÿteln, dem Wittwern, Kupfferschmid und burgern allhier Zu Straßburg und hochzeiter, ane einemn
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten frauen Anna Margaretha gebohrener Christianiin, Weÿl. herrn Johann Michael Albrechts, deß geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier nunmehr seel. hinderbliebenen frauen Wittib am andern theil
So geschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 24. Maÿ anno 1745. [unterzeichnet] Lorentz Leÿtel Als Hochzeiter, Ana Margaretha albrechtin alß hoch Zeiÿerin, Johann Martin Weber alß Kinder Vogts
Mariage, Schiltigheim (luth. f° p. 663)
A° 1745 den 9. Junÿ seind auff ertheilte Erlaubnus Ihro Gnad. des Regierend. Herrn Ammeisters und Zu Straßburg Zum Jung. St. Peter geschehene außruffung allhier ehelich copulirt und eingesegnet word. H. Lorentz Leithel, burger und kupffeschmidt in Straßburg und fr: Anna Margaretha gebohrne Christianin weÿl. Hrn Johann Michael Allbrecht, gewesenen burgers und Kupfferschmidts in Straßburg nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Lorentz Leÿtel als hochzeiter, ana mrgaretha albrechtin (I 336)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 176-v) 1745. Mittw. d. 9. Junii wurd. auf Gnädige Erlaubnuß des regirend. Herrn Ammeisters Denner Zum I. u. II. mahl Sonnt. p.ced. F. Pentec. Zugleich proclamatione facta zu Schiltigh. copulirt H. Lorentz Leÿtel, Kupfferschmidt u. b. hl. u. Fr. Anna Margaretha geb. Christianin weÿl. H Johann Michael Albrecht gew. Kupfferschmidts u. b. hl. nachgel. wittwe. (i 181)
Inventaire après décès d’Anne Marguerite Christiani, dressé dans la maison qu’elle possède au Faubourg de Pierre. Elle laisse pour héritiers les cinq enfants issus de son premier mari. Une fois l’inventaire clos, un autre héritier se présente, Martin Chibin qui serait un enfant naturel de la défunte
1746 (21. 9.bris), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 245) n° 298-a
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Liegend und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. Frau Anna Margaretha gebohrne Christianin des Ehrenachtbaren Meisters Lorentz Leitels, des Kupfferschmids und burgers allhier Zu Straßburg geweßene Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 31.ten 8.bris dießes Zu end lauffenden 1746.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft, und zwar darunter nach deme er der Wittiber beÿ Löbl. Stadt Stall auff vorgezeigte Copiam seiner mit der Verstorbenen seel. auffgerichteter und hernach auch in copia inserirter Eheberedung und darüber gethane remonstationes, daß sie beede nun Zertrennte Eheleuth immer und bß dato ihre unverändert in die Ehe gebrachte Güther außer denen sehr wenigen und benöthigten Mobilien, unter ihnen separat und angesondert behalten hätten, der Inventur seines Vermögens, gegebenen bericht nach dermalen erlaßen worden, allein der Verstorbenen Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehren ihr der abgeleibten seel. in 1.ter Ehe ehelich erzeugte Kinder und Erben (…) ersucht – So geschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 21.ten 9.bris A° 1746.
Die verstorbene seel: hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. den Ehrenachtbaren Meister Johann Michael Albrechten, den ledigen Kupfferschmid und burgern allhier, welcher dießer Inventur in person beÿgewohnt, 2. Johann Jacob Albrechten, den ledigen buchbinder so sich der zeit in der frembde befindet, dahero an deßen Stelle Zugegen geweßen, Mr Johann Martin Weber den Schuhmacher und Meelwieger ane dem Weißenthurnthor, auch burger allhier als dato annoch ohnentledigter Vogt, 3. Johannem Albrechten, den ledigen Kupfferschmid in die 22. Jahr alt, und dahero majorennis auch Vor seine Person præsens, 4. die Tugendsame fraw Mariam Magdalenam gebohrne Albrechtin, des Ehrengeachten Andreæ Walters des Schiffmannn und burgers allhier Ehegattin, welche mit und neben ihrem Ehemann hiebeÿ erschienen, So dann 5. Jgf. Mariam Elisabetham Albrechtin in die 18. Jahr alt, welche bevögtigt mit obgeachtem Mr Johann Martin Webern und dahero mit und neben ihme dießer Inventur persönlich abgewartet. Alle fünff der Verstorbenen seel. mit weÿl. Mr Johann Michael Albrechten dem geweßenen Kupfferschmidt und burger, allhier, mlängst seel. erzeugte und, wie sie mir Notario offentlich declarirten, daß sie nicht anserst wüßten, ab intestato allein nach tod verlaßene Kinder, und Zu gleichen portionen Erben
(…) wie nun mann sich derentwegen in dem Sterbhauß beÿ einander Versamlet erschiene der Ehrenvest Mr Martin Höffer, der burger und leinenweber allhier und producire Tauffschein auß dem Kirchenbuch Sti Stephani datirt 26. aug. 1737 und Von Tit. herrn Lantzen, Vicario ad Stum Stephanum underschrieben, crafft deßen nahmens Martin Chibin, auch noch Von der Verstorbenen seel. gebohren worden seÿe, anbeÿ Schein Von Ihr Gn. regierenden herrn Ammeister Beyerlé ertheilet und datirt den 3.ten Xbr. 1746. erweißende, nach auß weiß derselbe erstgedachtem Kind ad interim, biß er gehöriger Orten geschworen haben werden, Zu einem Theilvogt ernennet worden (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß ane der Tränck gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
(f° 9) Eigenthumb ane einer behaußung. Nemlichen eine behaußung, hoffstatt und höfflein in der Reiffgaß ane Steinstraß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 50, Sa. Waar und werckzeug zum Kupfferschmid handwerck gehörig 85, Sa. Silbers 5, Sa. gold. Ring 6, Sa. Eigenthumbs ane j.r beh. 1170, Sa. Schulden 12, Summa summarum 1331 lb – Schulden 1460 lb, Conferendo, Passiv rest 129. lb
Zweiffelhaffte Schulden 10 lb
Laurent Leitel cède sa part, soit 44/45, de la maison à sa fille Anne Marie Leitel, femme délaissée par le savonnier Jean Christophe Hoffmann moyennant 600 livres
1746 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 11-v
Lorentz Leitel der kupfferschmidt
seiner tochter Fr. Annæ Mariæ geb. Leitelin Christoph Hoffmann des von hier abgetrettenen seÿffensieders ehefrau mit beÿstand ihres curaratoris ad lites H. Johann Friedrich Faust advocati et procuratoris ord. beÿ löbl. Ammeister audientz
44/45 theil vor unvertheilt ane einer behausung, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deroselben gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und rechten am alten Weinmarckt gegen dem hauß zum dannenfelß über, einseit ist ein Eck am Gerbergraben, anderseit neben Nicolaus Schwartzen des weißbecken erben, hinten auff Lorentz Fischer den gastgeber zum blauen bauren, von alters her zum zinnenen thurn genannt – als ein theils ererbt theils erkaufftes guth, das übrige 45. theil aber seinen kindern eigenthümlich zuständig – (um 350 und 250 pfund verhafftet) nichts heraus zu geben
Jean Christophe Hoffmann, savonnier originaire de Schönewerda en Thuringe, épouse Anne Marie Leitel en 1725 : contrat de mariage, célébration
1725 (14. 7.br), Me Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 130
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Vorgeachten herrn Johann Christoph Hoffmann dem Ledigen Seÿffensieder von Schönenwerda gebürtig weÿland des Ehrenvest und Wohlvorgeachten herrn Philipp Hoffmanns geweßenen Syndici und Schoppen auch Mitältesten daselbsten nunmehr seeligen hinderlaßenem ehelich erziehltem Sohn, als dem bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Anna Maria Leÿtelin des Ehren und wohlvorgeacht, herrn Lorentz Leÿtels des Kupfferschmidts und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugter tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein herr, Johann Caspar Ehrlenholtz des Sattlers und herrn Israel Mohr des Schreiners beeder burgere allhier zu Straßburg auf sein des bräutigamns, So dann auf Ihro der Junger hochzeiterin Seithen herrn Lorentz Leÿtels des Kupfferschmidts obgedacht und frauen Annæ Mariæ Leÿtelin geb. Graßmännin beeder Eheleuthe und burger allhier deroselben geliebter Eltern auf freÿtag den 14.ten Septembris Anno 1725. [unterzeichnet] schuldig Hoffman Allß hoh Zeuder, Anna Maria Leÿtelin alß hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 77, XXVI)
1725. Dominica XXI et XXII Trinit. proclamati sunt Johann Christoph Hoffmann der ledige Seiffensieder V. burger allhier, Weÿl. Herrn Philipp Hoffmann geweß. Syndici Schöppen V. Mit Eltesten zu Schoneliberda in Thüringen Nachgelaß. ehl. Sohn V. Jgfr. Anna Maria Lorentz Leitel deß Kupfferschmidts V. burgers alhie ehel. Tochter. Copulati sunt Mitw. den 31. Octobr. [unterzeichnet] Johann Christoph Hoffman alß Hog Zeuter, Anna Maria Leÿterlinn almß hochzeiterin (i 81)
Jean Christophe Hoffmann devient bourgeois quelques jours avant de se marier
1725, 3° Livre de bourgeoisie p. 1354
Johann Christoph Hoffmann s. Seiffensieder Von Schönenwörth geb. erhalt das burgerrecht umb die tertz d. neuen b. will beÿ EE Zunfft d. Möhren dienen. Jur. d. 10.ten Sept. 1725.
Inventaire des biens de Jean Christophe Hoffmann et d’Anne Marie Leitel après que le mari a quitté Strasbourg pour échapper à ses créanciers. D’après la situation de la maison, l’inventaire est dressé dans la maison de son père au Vieux-Marché-aux-Vins. Les biens propres de la femme s’élèvent à 794 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 1 031 livres, le passif de 2 407 livres
1741 (12.10.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 55) n° 1237
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so Johann Christoph Hoffmann, der Seÿffensieder, welcher vor einigen tagen sich von Hier absentirt und frau Anna Maria Hoffmännin, gebohrne Leÿtelin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg anjetzo würcklichen tam active quam passive eigenthümlichen haben und besitzen, welche der ursachen, alldieweilen sein Johann Christoph Hoffmanns, des Mariti, habenden Nahrung mit Zimblichen Passiv: Schulden behafftet, auf Ihro frauen Annæ Mariæ Hoffmännin gebohrner Leÿtelin, der Ehefrauen mit assistentz herrn Johann Friderich Fausten J.U. Lti und beÿ des jeweiligen regerenden herrn ammaÿsters Audientz wohlbestellt. Advocati et Procuratoris ordinarÿ auch burgers allher Zu Straßburg Ihres herrn Curatoris ad Lites (…) – So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 12.ten Octobris et seq. Anno 1741.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Metzig gegen dem Thomanns loch über gelegenen und in dieße Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden, Wie volgtt
(f° 7) Ane Höltzen und Schreinwerck. Vor der Schwatz gethüch Cammer, Vor dießer Cammer, In d. obern hintern Stub Cammer, In der oben hintern Stub, Im obern hauß Ehren, In der obern Vordern Stub, In der Wohnstub, Im untern Hauß Ehren, In dem untern hintern Cämmerlein, In der untern Kuchen, In der Soldaten Cammer, Im Kellern Im Hoff
Ergäntzung der Ehefrauen ermanglenden ohnveränderten Guther, Innhalt Inventarÿ in Anno 1726. durch mich unterschriebenen Notarium aufgerichtet
Abzug In gegenwärtig Falliments Inventarium gehörig. Der Frauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 121, Sa. Schiff und geschirr Zum Seiffensieden und Liechtermachen gehörig 42, Sa. Silbers 27, Sa. Goldener Ring 22, Sa. Schulden 150, Erg. Rest 430, Summa summarum 794 lb
Des Manns ohnverändert und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 337, Sa. Schiff und geschirr Zum Seiffensieden und Liechtermachen gehörig 501, Sa. Silbers 29, Sa. Schulden 162, Summa summarum 1031 – Schulden 2407 lb, Übertreffen alßo des Manns ohnverändert und theilbare Zu bezahlen habende passiva 1375 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrener Schulden in die Nahrung zugeltend 29
Laurent Leitel meurt en 1753 en délaissant trois filles. L’inventaire est dressé dans la maison au Vieux-Marché-aux-Vins dont le défunt est propriétaire du 45°. l’actif de la succession s’élève à 2 511 livres, le passif à 847 livres
1753 (21.5.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 25) n° 944
Inventarium über Weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Lorentz Leÿtels des geweßenen Kupfferschmids und burgers alhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft – nach seinem Samstags den 29.ten Aprilis instehenden 1753.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf gebührendes Ansuchen des Verstorbenen seel. in erster Ehe mit längst weil. Fr. Anna Maria geb. Graßmännin seel. erzeugter beder hier anweßender frauen töchter – So beschehen und angefangen Straßburg Montag den 28.ten Maÿ 1753 geendigt aber den 5.ten Julÿ selbigen Jahrs.
der Verstorbene seelige hat ab intestato zu Erben Verlaßen, 1° Frau Annam Mariam Hoffmännin gebohrne Leÿtelin Johann Christoph Hoffmann Seiffensieders und burgers alhier Verlaßene Ehefrau beiständlich S. T. Herrn Johann Carl Fické Not. publ. jur. und berühmten Practici alhier anweßende, 2° Frau Annam Evam Zießigin gebohrne Leÿtelin Hn Johann Friderich Zießig des Kupfferschmids und bs. allhier haußfrau beiständlich desselben (…), 3° Frau Martham Steinmetzin gebohrne Leÿtelin weil. Mr Johann Jacob Steinmetzen des geweßenen Schloßers hinterl. Wittib in Zeitz nahe bei Amsterdam etwa wohnhaft. Iin deren Nahmen S.T. H. Johann Georg Wild hochverdienter Amtmann zu Schmergenheim und anderen orten auch E.E. großen Raths Alter und E:E: kleinen Raths jetziger wohlansehnl. beÿsitzer (…), Alle dreÿ seind des Verstorbenen seel. in erster Ehe erzeugte Töchtere und ab intestato zu dreÿ hautptheilen Verlaßene Erben
Ferner sind bei dießem Geschäfft gegenwärtig Lorentz Hoffmann der großjährige leedige Kupfferschmid wie auch Mr Johann Jacob Vix der Schneider und br. allhier als der Hoffmännischen dreÿ jüngeren Kinder Von Löbl. Vogteÿ Gericht am 23. te May 1753 geordnet und geschworener Vogt
In einer allhier an der Kleinen Metzig gelegenen in diese Verlassenschafft zum theil gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Kammer A auf der bühn, In der obern vordern Stub, In der Kammer B, In der hintern Stub, In der Kammer C, In der Kammer D, Im Keller, Im Keller des Haußes an der weißen thurn straß
Eigenthum ane Häußern – (Fr. Annä Mariä Hoffmännin geb. Leÿtelin legirt) Nembl. 1/45.ster theil von und an einer ohnvertheilten behaußung, hoff, hoffstatt auch allen deren gebäuen begriffen zugehörden Weithen Rechten und Gerechtigkeiten, Welche behaußung gelegen allhier an dem alten Weinmarckt gegen dem Hauß Zum Dannenfelß hinüber, i.s ist solche i. Eck am Gerber graben, 2.s neben Niclaus Schwartzen des Weißbecken Erben, hinten auff weil. H. Lorentz Fischers des gewesenen Gastgebers zum blauen bauren seel. Wittib und Erben stoßend Von alters her zum Zinnern thurn genand, und ist dießortiger 1/45.te theil freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeister) zu folg deren Abschatzung Zeduls vom 6.ten Junÿ 1753 zu 800 pfund die gantze behaußung gerechnet angeschlagen worden pro 17, Die übrige 44/45.ste theil gebühren Fr. Anna Maria Hoffmännin dießeitiger tochter und Erbin, welcher der Verstorbene seelige solche Antheiler in Krafft eines den 8.ten Jenner 1746. in allhießiger C.C. Stub verschriebenen Kauffs Verkaufft. Zwo tertzen dießer behausung stunden dem Verstorbenen sel. Vor ohnverändert zu und an der übrigen tertz hatte Er den 17.ten Aprilis 1728. 1/15. theil gekaufft und die übrige 4/45.te theil zum theil den 2.ten Julÿ 1734. und 4.ten Aug. 1733 auch 19.ten Maÿ 1740. an sich erhandelt vermög Vorhandener teutscher perg. Kauffbr. aus allhies. S.C. Stub
(Fr: Annä Evä Ziesichin geb. Leÿtelin der tochter legirt) Item eine ([biffé] dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer) Eckbehaußung und hoffstatt vor dem Pfenningthurn 1.s ist ein Eck an dem Kleinen Kirchgäßel (…)
(Fr: Annä Mariä Hoffmännin der ältern tochter legirt) It. eine behaußung Zum Weißen thurn genannd, … dero Vorstatt Weißenthurnstraß auf dem Michaels bühl (…)
(Spricht Mr Johann Jacob Vix derer Hoffmännischen dreÿ jüngern Kr. Vogt seine Curanden zum legat an) Item eine behaußung … an dem alten Weinmarckt 1.s ist i. Eck an dem Roßengarthen gäßlein
Erklärung über des Verstorbenen seeligen vor herrn Frantz Heinrich Dautel Not. publ. jur. und berümten Practico am 20.ten Augusti 1744 aufgericheten Codicillo
Ordnung gegenwärtigen Invÿ. Sa. hausraths 257, Sa. der Waar und Werckzeug zum Kupfferschmid handwerck gehörig 45, Sa. Lährer Faß 20, Sa. der Stein 2, Sa. Silbers 92, Sa. Goldener Ring 30, Sa. der baarschafft 9, Sa. Eigenth. ane häußern 1927, Sa. derer activ Schulden 126, Summa summarum 2511 lb – Schulden aus der Verl. zu bezahl. 847 lb, Nach deren Abzug 1664 lb
Hingegen sind von dem verstorbenen seeligen zufolg seines in Abschrifft Vorangeschickten, wiewohl am gefochtenen Codicillo Verschafft worden, so ohne jemands Rechten Zu Nachtheil nur um den Abzug zu formiren, hier abgezogen aingebracht werden. Erstl. §° 4.to ist fraun Hoffmännin prælegirt, einmahm die behaußung zum Zinnenen thurn gegen Übernahm deren auf hafftender 1200. fl. Von welcher behaußung aber nur noch der oben fol. beschriebene 1/45.ste theil in dieße Verlassenschafft gehörig und angeschlagen ist pro 17 lb. Wegen derer übigen 44/45. theil ist droben fol. meldung beschehen und weilen Sie der Frauen prælegataria selbsten abgetretten, sind dieselbe auch gedachtes passiv Capital übernommen hat und würcklich die Zinnße davon abgerichtet, so wird deßwegen keine weitere Achtung darauf au haben seÿn.
Summa legaten 1584 lb, Wann nun solche von der über Abzug Kund. passiv Schulden im Rest Verbleibenden Verl. solten abgezogen werden, so Verbleiben denen Leibes Erben nur noch übrig 79 lb
– Abschatzung Vom 6.ten Junÿ 1753. Auff begehren Weÿland Herrn Lorentz Leÿdels deß geweßenen Kupfferschmidts seel. hinterlaßener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg gegen der Pfenningthurns brück (…)
Der zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg an der Kleinen Metzig an der trenck gelegen, einseits neben den Schwartzischen Erben anderseits neben dem Rindshäuter graben und hinten auff Weÿland herrn Lorentz Fischers seel. hinterlaßene Erben stosend, solcher begriff bestehet in zweÿ seithen Flügelen, in einem derselben ist die garbe*, sambt den Öffen und etlichen Kammeren, in den andern aber seind etliche Stuben, Kammeren, und Küchen, darüber seind die tachstühl mit breit und hohlziegeln belegt, hat auch einen geträhmten Keller Hoff und bronnen, auch Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeistern, nach vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtig Keit dem Jetzigem Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und Umb, 1600 Gulden
Der dritte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg auff dem alten Weinmarckt gelegen (…)
Der vierte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der – Straß auff deß Michels bühl (…) [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister
Copia Codicilli – Im Jahr 1704 (…) auf Donnerstag den 20. tag des Monaths Augusti in einer unterschriebenen Lorentz Leÿtel allhier zu Straßburg ane der Langen Straß ohnfern der Schmidts Zunfft Stub. hienüer gelegenen weÿland Herrn Johann Jacob Schroppen Junioris geweßenen Glaßers und burgers allhier seeligen Ehevögtlicher weiß, modo denen Storrischen Kindern eigenthümlich zuständigen behaußung deren mittlern von mir Notario lehnungsweiße bewohnen Stocks Stuben, mit denen fenstern zum theil in die Straß und zum theil in die freÿburger gaß außsehend – Vor das Vierte prælegirt der Herr Codicillirer seiner ältisten tochter frauen Annä Mariä Hoffmännin gebohrner Leÿtelin, Johann Christoph Hoffmanns des Seiffensieders Ehefrauen seine nun in vorbesagte weiß völlig eigenthümliche behausung, Hoff, Hoffstatt mit ammen deren Gebäuden, rechten und Gerechtigkeiten, von altern her Zum Zinnern thurn genannt, gelegen allhier ane dem Alten Weinmarckt gegen dem Hauß Zu dannengelß hinüber einseith ist ein Eck am Gerber Graben und anderseit neben Weÿland Nicolauß Schwartzen geweßenen Weißbecken Erben, hinden auff Herr Lorentz Fischers des Würths zum blohen bauren Eigenthum stoßend, so auße 600 Pfund pfenning passiv Capital welches der Herr Codicliiirer erst seith der Zeith auffgenommen, sonst ledig und eigen, ferner seine behaußung Zum Weißen thuen genannt
(Joint) Berthelsdorff am 16.en Junii 1753, Acti erschienen vor allhiesig Hochgräflichen herrschafftlichen Gerichten, Frau Martha verwittibte Steinmetzin gebohrne Leÿtelin dermaliiche Innwohnerin in der hiesigen Pertinenz Herrenhuth nebst ihrem gerichtlich bestätigten Curatore herrn Abraham Dürningern, Kauff und Handelsmann daselbst (…)
Anne Marie Leitel loue une partie de sa maison au teinturier célibataire Jean Jacques Rœderer qui est autorisé à y installer une calandre
1747 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 230
Anna Maria geb. Leitelin Christoph Hofmann des von hier ausgetrettenen Seiffensieders verlassene ehefrau mit beÿstand ihres vatters Lorentz Leitel des kupfferschmidts und ihres vogts H. Lt. Johann Friedrich Faust Procurator beÿ Löbl. Ammeister audientz
in gegensein Johann Jacob Röderer des ledigen schwartz und schönfärbers
verlühen, in ihrem eigenthümlich beÿ der kleinen metzig ane der tränck gelegenen behausung die gantze wohnung unten auf dem boden, die oberste bühn eine werckstatt über derselben zwo kammeren nebeneinander im hinder hoff platz zum holtz einen unterschlagenen keller lincker hand des eingangs so dann platz zu einer Mang falls der entlehner eine halten wolle – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff d. 25.sten auff nächst künfftigen Monats Aprilis anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 100 gulden
Anne Marie Leitel femme abandonnée de Jean Christophe Hoffmann hypothèque la maison au profit de la tribu des Drapiers
1753 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 511-v
Anna Maria geb. Leÿdtelin Johann Christoph Hoffmann des saiffensieders verlassene ehefrau beÿständlich ihres curatoris H. Lt. Johann Friedrich Faust EE großen Raths advocati und procuratoris ordinarii
in gegensein EE. Zunfft der Tucher zunfft meisters H. Lt. Frantz Antoni Horrer EE großen Raths dermahligen beÿsitzers und H. Rathh. Friedrich Neubeck, zu bezalung ihrer schwester Fr. Marthä geb. Leÿtelin weÿl. Johann Jacob Steinmetz des schloßers wittib – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung ane dem sogenannten Michels bühel in der vorstadt Weißenthurn straß, einseit neben dem Closter St Margarethen anderseit neben St Michels Capell hinten auff d. Allmend – dem mehrern hospital 15 ß ane bodenzinß
ferner eine behausung cum appertinentis beÿ der kleinen metzig ane der tränck gegen dem Thomanloch über einseit neben denen Schwartzischen erben, anderseit ist ein eck am Rindshäutergraben hinten auff der Fischerischen wittib
Anne Marie Leitel hypothèque le même jour la maison au profit de Marie Salomé Schwartz
1753 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 513-v
Anna Maria geb. Leÿdtelin Johann Christoph Hoffmann des saiffensieders verlassene ehefrau beÿständlich ihres curatoris H. Lt. Johann Friedrich Faust EE großen Raths advocati und procuratoris ordinarii
H. Daniel Gottlieb Ziegenhagen des chirurgi als mandatarius Mariæ Salome geb. Schwartzin weÿl. Rauscher des nestlers wittib und Johann Jacob Vix des schneiders als vogt Mariæ Magdalenæ, Margarethæ Salome und Johann Friedrich der Hoffmann – schuldig seÿe der Fr. Rauscherin 200 pfund und den Hoffmännischen erben 17 pfund
unterpfand, eine behausung ane dem sogenannten Michels bühel in der vorstadt Weißenthurn straß, einseit neben dem Closter St Margarethen, anderseit neben der St Michels Capell, hinten auff das Allmend – davon gibt mann dem mehrern hospital 15 ß ane bodenzinß
ferner eine behausung cum appertinentis beÿ der kleinen metzig ane der tränck gegen dem Thomanloch über, einseit neben denen Schwartzischen erben, anderseit ist ein Eck am Rindshäutergraben, hinten auff die Fischerische wittib
Anne Marie Leitel hypothèque la maison au profit du tisserand Jean Jacques Lohmüller
1754 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 428
Fr. Anna Maria geb. Leÿtelin Johann Christoph Hoffmann des saiffensieders beÿständlich H. Sultzer und H. Buschen beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann Jacob Lohmüller des leinenwebers – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis beÿ der kleinen metzig einseit neben den Schwartzischen erben anderseit ist ein eck am rindshäutergraben hinten auff die Fischerische wittib
Le maçon Antoine Klotz acquiert la maison par adjudication judiciaire le 26 mars 1761 comme l’indiquent les actes ultérieurs. Il l’hypothèque avec sa femme Catherine Specht au profit de Jean Louis Imlin en 1763
1763 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 216
H. Antoni Klotz der maurer und Catharina geb. Spechtin mit beÿstand Johann Durig des drähers und Joseph Probst des kühmelckers
in gegensein H. Rathh. Johann Ludwig Imlin, 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der kleinen metzig gegen dem Thomanloch beÿ der Tränck einseit neben H. Greiner dem weißbecken anderseit ist ein eck hinten auff die Fischerische behausung
Antoine Klotz et Catherine Specht hypothèquent la maison au profit de Louis Choisy, curé d’Offendorf
1771 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 431
H. Antoni Klotz der maurer meister und Christina Catharina geb. Spechtin mit assistentz Andreas Joseph Kaltner des maurer meisters und Nicolaus Stephan des tabackmachers
in gegensein H. Johann Baptist Choisy des sattlers und E.E. Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers innahmen H. Louis Choisy des pfarrherren zu Offendorff – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand 1. eine behausung cum appertinentis beÿ der kleinen metzig ane dasiger tränck, einseit neben N. Greiner dem weißbecken, anders. neben dem Rindshäutergraben, hinten auf Christian Baur dem gimpelkäuffler
2. eine behausung am Grünen bruch zum elenden creutz genannt, eins. – anders. und hinten auf das Allmend – die erste behausung als ein währender ehe erkaufftes guth, die letztere als ein der Mitschuldnerin Ehefrau von ihren Eltern ererbtes haus
Lors de l’inventaire après la mort de Catherine Specht, les experts estiment 1 500 livres la maison qui sera ensuite vendue par adjudication judiciaire le 11 vendémiaire 6 (1797) à François Antoine Kuehn.
Le fabricant de chandelles François Antoine Kuehn meurt en 1826 près du Mont-Sainte-Odile en délaissant neuf enfants.
1826 (3.8.), Strasbourg 6 (49), Me Triponé n° 1222 – Enregistrement de Strasbourg, acp 179 F° 196 du 14.8.
Déclaration de la succession de François Antoine Kuehn, fabricant de chandelles trouvé mort du 6 au 8 juillet dernier sur la Montagne de Ste Odile dans la banlieue de Niederottrott – à la requête de 1. Anne Marie Meyer la veuve mère et tutrice légale de Jean Matthieu né le 11 août 1805, Joseph Auguste né le 26 fev. 1807, Michel Eugène né le 11 juin 1811, Marie Hyacinthe Louise née le 15 août 1815 les cinq enfants mineurs, II. Antoine Kuehn, employé majeur, III. Catherine Anne Marie Kuehn, majeure, IV. Jean Baptiste Kuehn, adjudant sous officier du 10° régiment de cuirassiers en garnison à Dôle (Jura) par représente par Antoine Kuehn son frère, V. François Kuehn, majeur, fabricant de chandelles, héritiers pour 1/9 de leur père, Jean Martin Staehlé, professeur au collège royal de Strasbourg, subrogé tuteur
[procuration du 10 juillet 1826 :] Jean Baptiste Kuehn, adjudant sous officier au 10° régiment de cuirassiers en garnison en cette ville (Dôle) et Jean Martin Kuehn son frère cuirassier au même régiment
dans la maison qu’occupait le défunt qui fait partie de la communauté rue des Petites Boucheries n° 33
Mobilier, dans le magasin au rez de chaussée, dans un autre magasin, dans une chambre au rez de chaussée, dans une pièce au premier, dans la mansarde donnant sur la rue, dans la seconde pièce également aux mansardes, dans la chambre sur le devant, à la cuisine, au rez de chaussée, dans la cave, 2632 francs
Titres et papiers, Contrat de mariage Me Rauch à Sirenz le 22 messidor 6, titres de créances
Titres de propriété de la maison, adjudication devant le juge de paix de Strasbourg le 11 vend. 6, la maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 33
déclarations actives 4205 francs, passif 8476 francs
François Antoine Kuhn, originaire d’Ammerschwihr, meurt à Ottrott-le-Bas. Il se marie en l’an VI après avoir passé contrat de mariage à Sierentz.
Décès, Ottrott-le-Bas (n° 47)
Déclaration de décès faite en la Maison commune d’Ottrott-le-Bas en 7 du mois de juillet 1826. Antoine Kuehn, époux de dame Marie Anne Meyer agé de 63 ans, né à Ammerschwir, fabricant de chandelles domicilié à Strasbourg, fils de Sébastien Kuhn, vigneron et de (prénom inconnu) Schillinger. Le décès est constaté par procès verbal de Mr Fürst adjoint officier de police de la commune d’Orrtrott le bas en date du 6 et 7 Juillet 1826 (i 9)
Anne Marie Meyer veuve de François Antoine Kuehn et ses enfants hypothèquent la maison au profit de la veuve Conrad Henri Zacharie Molk, d’Hortense Mathieu rentière et des enfants mineurs d’Egide Théodore Holtzapffel
1844 (17.1.), Strasbourg 6 (72), Me Striffler n° 1949
Obligation – Ont comparu Mme Anne Marie Meyer veuve de M François Antoine Kuehn, fabricant de chandelles, M. Michel Eugène Kuehn, horloger, M. François Kuehn, fabricant de chandelles, les trois demeurans à Strasbourg. Ledit Sr François Kuehn agissant 1° en son nom et personnel, 2° au nom et comme mandataire de M. Jean Martin Kuehn, Brigadier forestier communal à Elmersforst, banlieue de Ballbron, y demeurant, 3. de M. Armand Kuehn, curé à Haussen, de Dlle Anne Marie Kuehn, en célibat, sans profession, majeure et M. Louis Kuehn, tonnelier, les trois demeurant au dit Haussen, aux termes de leur procuration reçue par Me Rencker notaire à Colmar (…). Lesdits Veuve Kuehn, Michel Eugène Kuehn & François Kuehn ce dernier ès noms qu’il agit, en outre comme se portant personnellement & solidairement fort de M. Joseph Auguste Kuehn, maréchal des Logis au 10° Régiment de chasseurs à cheval, en garnison à Provins, lesquels reconnaissent devoir
1. A Mme Frédérique Wagner veuve de M Conrad Henri Zacharie Molk, Médecin, 2. A Mademoiselle Hortense Mathieu rentière, 3. Et en Nue propriété à Frédéric Ernest Holtzapffel, Louis Jules Holtzapffel, Louise Elisa Holtzapffel et Camille Holtzapffel les quatre enfants mineurs issus du mariage de M. Egide Théodore Holtzapffel, Négociant demeurant à Strasbourg et de défunte De Hélène Eléonore Jacobée Thomassin, ayant pour tutrice Dame Hortense Adrienne Eléonore Mathieu, veuve de M. Michel Thomassin, directeur de l’enregistrement et des Domaines, savoir à Mme Molk la somme principale de 5000 francs, à Mlle Hortense Mathieu celle de 4000 francs et aux mineurs Holtzapffel celle de 5000 francs, Ensemble 14 000 francs
Hypothèque, Une maison d’habitation à rez de chaussée & trois étages, grenier, cour, caves, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg, rue des petites boucheries n° 33 tenant d’un côté à Mad. Schweighaeusser veuve, de l’autre à Mad. Lauth, des deux côtés les rues – la maison ci-dessus désignée faisait partie de la communauté universelle partageable par moitié qui a existé entre le Dame veuve Kuehn et son mari défunt aux termes de leur contrat de mariage reçu par M Rauch, Notaire à Sirentz el 22 messidor an Six et qu’elle leur appartient aujourd’hui Savoir, à la veuve Kuehn pour partie comme ayant été commune en biens avec son mari & comme héritière à réserve d’Antoine Kuehn & de Jean Baptiste Kuehn, ses enfants décédés et aux codébiteurs comme seuls & uniques héritiers dudit Sr François Antoine Kuhn leur père & d’Antoine Kuehn & Jean Baptiste Kuehn leurs frères germains, décédés sans descandants. Le Sr Kuhn était devenu propriétaire de ladite maison pour l’avoir acquise suivant procès verbal d’adjudication dressé par le Juge de paix de Strasbourg le 11 vendemiaire an Six
Les mêmes hypothèquent la maison au profit de l’horloger Théodore Siegel
1844 (26.6.), Strasbourg 6 (73), Me Striffler n° 2186
Obligation – Ont comparu Mme Anne Marie Meyer, veuve de M François Antoine Kuehn, fabricant de chandelles, M. Michel Eugène Kuehn, horloger, M. François Kuehn, fabricant de chandelles, les trois demeurans à Strasbourg. Led. Sr François Kuehn agissant 1° en son nom et personnel, 2° au nom et comme mandataire de M. Jean Martin Kuehn, Brigadier forestier communal à Elmersforst, banlieue de Ballbron, y demeurant, 3. et au nom et comme mandataire de M. Armand Kuehn, curé à Haussen, de Dlle Anne Marie Kuehn, en célibat, sans profession, majeure les deux demeurant au dit Haussen, aux termes de leur procuration reçue par Me Rencker notaire à Colmar (…), Et M. Louis Kuehn, tonnelier demeurant à Strasbourg. Lesdits Veuve Kuehn, Michel Eugène Kuehn, François Kuehn, tant en son nom qu’aux noms qu’il agit, & Louis Kuehn, tous en outre comme se portant personnellement & solidairement fort de M. Joseph Auguste Kuehn, maréchal des Logis au 10° Régiment de chasseurs à cheval, en garnison à Provins, lesquels reconnaissent devoir
A M Théodore Siegel, horloger, la somme principale de 16 000 francs
Hypothèque, Une maison d’habitation à rez de chaussée et trois étages, grenier, cour, caves, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg, rue des petites boucheries n° 33 tenant d’un côté à Mad. Schweighaeusser veuve, de l’autre à Mad. Lauth, des deux côtés les rues – la maison ci-dessus désignée faisait partie de la communauté universelle partageable par moitié qui a existé entre le Dame veuve Kuehn et son mari défunt aux termes de leur contrat de mariage reçu par M Rauch, Notaire à Sirentz el 22 messidor an Six et qu’elle leur appartient aujourd’hui, savoir, à la veuve Kuehn pour partie comme ayant été commune en biens avec son mari & comme héritière à réserve d’Antoine Kuehn & de Jean Baptiste Kuehn, ses enfants décédés et les autres codébiteurs comme seuls et uniques héritiers dudit Sr François Antoine Kuhn leur père & d’Antoine Kuehn & Jean Baptiste Kuehn leurs frères germains, décédés sans descandants. Le Sr Kuhn père était devenu propriétaire de ladite maison pour l’avoir acquise suivant procès verbal d’adjudication dressé par le Juge de paix de Strasbourg le 11 vendemiaire an Six
Déclaration pour un premier emprunt fait. Les débiteurs déclarent que par acte reçu par Me Striffler, Notaire soussigné le 17 janvier 1844 (…)
Autre hypothèque entre les même parties
1845 (19.6.), Strasbourg 6 (74), Me Striffler n° 2653
Obligation – Ont comparu Mme Anne Marie Meyer, veuve de M François Antoine Kuehn, fabricant de chandelles, M. Michel Eugène Kuehn, horloger, M. François Kuehn, fabricant de chandelles, les trois demeurans à Strasbourg. Ledit Sr François Kuehn agissant 1° en son nom et personnel, 2° et au nom et comme mandataire de M. Joseph Auguste Kuehn, maréchal des Logis au 10° Régiment de cuirassiers, en garnison à Chartres (Eure et Loire), M. Jean Martin Kuehn, brigadier forestier communal demeurant à Elmersforst, banlieue de Ballbron, y demeurant, M. Armand Kuehn, curé à Haussen et Dlle Anne Marie Kuehn, en célibat, sans profession, majeure, les deux demeurans audit Haussen, Et M. Louis Kuehn, tonnelier demeurant à Strasbourg, Lesquels indépendamment d’une somme au principal de 16 000 francs dont ils sont débiteurs envers Mr siegel ci après nommé aux termes d’un acte reçu par Me Striffler notaire soussigné le 26 juin 1844 reconnaissent devoir
en outre A M Théodore Siegel, horloger, la somme principale de 4000 francs
Hypothèque, Une maison d’habitation à rez de chaussée et trois étages, grenier, cour, caves, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue des petites boucheries n° 33 tenant d’un côté à Mad. Schweighaeuser veuve, de l’autre à Mme. Lauth, des deux côtés les rues – la maison ci-dessus désignée faisait partie de la communauté universelle partageable par moitié qui a existé entre le Dame veuve Kuehn et son mari défunt aux termes de leur contrat de mariage reçu par M Rauch, Notaire à Sirentz el 22 messidor an Six et qu’elle leur appartient aujourd’hui, savoir, à la veuve Kuehn pour partie comme ayant été commune en biens avec son mari et comme héritière à réserve d’Antoine Kuehn et Jean Baptiste Kuehn, ses enfants décédés et les autres co-débiteurs comme seuls et uniques héritiers dudit Sr François Antoine Kuhn leur père et d’Antoine Kuehn et Jean Baptiste Kuehn leurs frères germains, décédés sans descandants. Le Sr Kuhn père était devenu propriétaire de ladite maison pour l’avoir acquise suivant procès verbal d’adjudication dressé par le M. Juge de paix de Strasbourg le 11 vendemiaire an Six
Situation hypothécaire. Les débiteurs déclarent en outre que cette maison est leur propriété irrésoluble et irrévocable mais qu’elle est affectée hypothécairement 1) à une créance principale de 14 000 francs (…) résultant d’un acte reçu par Me Striffler notaire soussigné le 17 janvier 1844, 2) et à une créance de 16 000 francs au profit de M Théodore Siegel horloger résultant de deux actes reçus par le même notaire les 26 juin 1844
Anne Marie Meyer veuve de François Antoine Kuehn et ses enfants hypothèquent la maison au profit de Jean Michel Kessel et de Marie Madeleine Flach, propriétaires à Schiltigheim
1845 (30. Xbr), Strasbourg 7 (102), Me Reiss n° 239
Obligation – Ont comparu Mme Anne Marie Meyer, veuve de M François Antoine Kuehn, fabricant de chandelles, M. Michel Eugène Kuehn, horloger, M. François Kuehn, fabricant de chandelles, les trois demeurans à Strasbourg. Ledit Sr François Kuehn agissant 1° en son nom et personnel, 2° au nom et comme mandataire de M. Joseph Auguste Kuehn, maréchal des Logis au 10° Régiment de cuirassiers, en garnison à Chartres (Eure et Loire), 3° et aux noms et comme mandataire de M. Armand Kuehn, curé à Haussen y demeurant et de M. Jean Martin Kuehn, brigadier forestier communal demeurant à Elmersforst, banlieue de Ballbron, y demeurant, Dlle Anne Marie Kuehn, en célibat, sans profession, majeure et M. Louis Kuehn, tonnelier ces deux derniers demeurant audit Strasbourg, lesquels reconnaissent devoir
A Mr Jean Michel Kessel, propriétaire, et Dame Marie Madeleine Flach son épouse demeurant ensemble à Schiltigheim, la somme principale de 6000 francs
Hypothèque, Une maison d’habitation à rez de chaussée et trois étages, grenier, cour, caves, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue des petites boucheries n° 33 tenant d’un côté à Mad. Schweighaeuser, veuve, de l’autre à Mme. Lauth, des deux côtés les rues – la maison ci-dessus désignée faisait partie de la communauté universelle partageable par moitié qui a existé entre le Dame veuve Kuehn et son mari défunt aux termes de leur contrat de mariage reçu par M Rauch, Notaire à Sirentz el 22 messidor an Six et qu’elle leur appartient aujourd’hui, savoir, à la veuve Kuehn pour partie comme ayant été commune en biens avec son mari et comme héritière à réserve d’Antoine Kuehn et Jean Baptiste Kuehn, ses enfants décédés et les autres co-débiteurs comme seuls et uniques héritiers dudit Sr François Antoine Kuhn leur père et d’Antoine Kuehn et Jean Baptiste Kuehn leurs frères germains, décédés sans descandants. Le Sr Kuhn père était devenu propriétaire de ladite maison pour l’avoir acquise suivant procès verbal d’adjudication dressé par le M. Juge de paix de Strasbourg le 11 vendemiaire an Six
Situation hypothécaire. Les débiteurs déclarent en outre que cette maison est leur propriété irrésoluble et irrévocable mais qu’elle est affectée hypothécairement 1) à une créance principale de 14 000 francs (…) résultant d’un acte reçu par Me Striffler notaire soussigné le 17 janvier 1844, 2° et à une créance de 20 000 francs au profit de M Théodore Siegel horloger résultant de deux actes reçus par le même notaire les 26 juin 1844 et 19 juin 1845
Théodore Siegel cède ses droits à Dominique Elisabeth de Livio veuve de M Etienne de Livio
1849 (29. 7.br), Strasbourg 11 (45), Me Keller n° 4463
Cession – Mr Théodore Siegel, horloger, demeurant à Strasbourg, Lequel a cédé & transporté en toute propriété
à Madame Dominique Elisabeth de Livio veuve de M Etienne de Livio, rentière domiciliée à Strasbourg, étant présentement à Montpellier, au nom de laquelle stipule & accepte Mr Auguste Théodore Schnall, clerc de notaire demeurant à Strasbourg
Une créance de 20 000 francs en principal due au cédant par 1. Mme Anne Marie Meyer, veuve du Sr François Antoine Kuehn, fabricant de chandelles, 2. M. Michel Eugène Kuehn, horloger, 3. M. François Kuehn, fabricant de chandelles, les trois demeurans à Strasbourg. 4. M. Joseph Auguste Kuehn, maréchal des Logis au 10° Régiment de cuirassiers, en garnison à Chartres, domicilié à Strasbourg, 5. M. Jean Martin Kuehn, brigadier forestier communal demeurant à Elmersforst, banlieue de Ballbron, y demeurant, 6. M. Armand Kuehn, curé à Haussen, 7. Dlle Anne Marie Kuehn, célibataire, sans profession, demeurans à Strasbourg, 8. M. Louis Kuehn, tonnelier demeurant à Strasbourg, tous débiteurs solidaires, suivant deux obligations portant l’une la somme de 16 000 francs passée devant Me Striffler le 26 juin 1844, l’autre celle de 4000 francs passée devant le même notaire en date du 19 juin 1845
(…) A ce faire étaient présents (…) 6° Jean Martin Kuhn brigadier forestier communal de la ville de Strasbourg demeurant actuellement hors la porte d’Austerlitz N° 25 près la Tuilerie du Rhin et auparavant à Elmersforst