1, place Henry Dunant
Place Henry Dunant n° 1 – VIII 200 (Blondel), P 1180, ensuite section 5 parcelle 40 (cadastre)
Autre adresse, 7, rue des Ponts-Couverts


Vue en février 2019 – Façade vers l’Ill (sommet en pan de bois au crépi rouge, mars 2020)
L’encorbellement triangulaire figure dans la description du bâtiment en 1587 (Livre des communaux). Le pêcheur Jean Jacques Iringer vend en 1600 la maison au tuilier de Plobsheim Melchior Klipffel, ses enfants la revendent en 1670 au pêcheur Jean Charles Baldner. La maison appartient à partir de 1676 au pêcheur Jean Melchior Memminger. Le pileur d’épices Jean Georges Weiss, deuxième mari de sa veuve, aménage en 1708 la risberme en y établissant des latrines et un plateau qu’agrandit Laurent Blessig en 1736. Il est probable que la maison ait été rénovée dans les années 1750 puisque sa valeur est nettement supérieure en 1759 ; la porte à crossettes pourrait dater de la même époque. Le poissonnier Jean Mathis charge en 1781 le maître maçon Jean Michel Gruber de faire une buanderie dans la maison arrière qui donne sur le canal.


La maison est la partie gauche du bâtiment à l’angle vers les ponts couverts – Pignon d’angle et bâtiment vers le canal à gauche (Plan-relief de 1727)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 108 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief (1830), la façade vers la place se trouve à droite du repère (i) ; fenêtre et porte au rez-de-chaussée, trois fenêtres aux premier et deuxième étage, toiture à deux niveaux de lucarnes. Le pignon à gauche de (i) a une fenêtre au rez-de-chaussée, deux à chacun des deux étages. Le pignon du bâtiment le long de la rivière se trouve en (f-g), sa façade en (19-20) de la cour H (canal). La cour I représente le bâtiment avant (1-2), l’arrière (2-3) du bâtiment voisin à l’ouest, le bâtiment arrière (3-4) et celui (4-1) à droite de la cour.
La maison porte d’abord le n° 53 (1784-1857) puis le n° 1.



Plan – Cour I – Vue vers le canal (cour H)
La maison appartient aux poissonniers Chrétien Mathis puis Auguste Mathis qui exploitera les Bains Mathis. La veuve de Charles Stauffert, propriétaire de 1866 à 1896, y tient un estaminet. Lazare Levy acquiert la maison et fait remplacer en 1898 un hangar donnant vers le canal par une petite maison d’habitation ; il y remplace l’année suivante le toit en bâtière par un atelier de photographe couvert d’un toit vitré, transformé en 1907. Le pignon ouest fortement incurvé (1919) s’écarte de vingt-cinq centimètres de la verticale ; Henri Levy le fait reconstruire et transforme l’intérieur du bâtiment en 1924. Les ouvertures du rez-de-chaussée et les fenêtres de la façade non reconstruite sont transformées entre 1924 et 1994 sans que le dossier de la Police du Bâtiment en fasse état ; la porte millésimée rue des Ponts-Couverts n’existait pas en 1924, la porte à crossettes vers la place est convertie en fenêtre et remplacée par une nouvelle porte, les fenêtres vers la place agrandies. Le propriétaire cède en 1985 un petit terrain à son voisin (5, rue des Ponts Couverts). Le magasin de radio et électricité fait place à un restaurant la même année.


Millésime 1599 sur le linteau de la porte rajoutée au XX° siècle – Encadrement à crossettes, ancienne porte convertie en fenêtre vers la place, image Roland Burckel)



Façade vers l’Ill avant et après transformation (1899) – Construction en pan de bois (1907), dossier 845 W 165)



Façades en 1924 (puis en 1994 (dossier 932 W 134)



Porte millésimée (février 2019) – Vue en septembre 2007 – La maison et ses voisines vers la place (avril 2017)
décembre 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1578 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
| Jean Jacques Iringer, pêcheur, et (1573) Susanne Fleher – luthériens | ||
| 1600 | v | Melchior Klipffel, tuilier à Plobsheim, 1598 – luthérien puis les enfants Balthasar Klipffel, tuilier et prévôt, et (1623) Anne Dold, (1625) Catherine Müller puis (1656) Agnès Mühlhaupt, veuve du fermier catholique Jean Senff – luthériens Catherine Klipffel et (1629) Jean Hœrt – luthériens |
| 1670 | v | Jean Charles Baldner, pêcheur, et (1666) Anne Marguerite Bœrsch – luthériens |
| 1672* | adj | Jean Hartmann Wœrtz, receveur, et (1649) Marie Madeleine Pistorius, (1652) Salomé Ott , (1655) Anne Wesener puis (1671) Judith Becht, d’abord (1652) femme du docteur en droit Jean Melchior Sachs – luthériens |
| 1676 | v | Jean Melchior Memminger, pêcheur, et (1658) Salomé Gori puis (1690) Marie Bornhauer – luthériens |
| 1707 | h | Jean Georges Weiss, pileur d’épices, et (1652) Salomé Lutz, (1685) Anne Marie Vetter, d’abord (1656) femme du tourneur Georges Sauter, (1695) Marthe Müller d’abord (1673) femme du pêcheur André Blessig, (1701) Salomé Schott, d’abord (1690) femme du pêcheur Charles Baldner, puis (1707) Anne Marie Bornhauer veuve de Jean Melchior Memminger – luthériens |
| 1728 | h | Jean Laurent Blessig, poissonnier, et (1717) Anne Salomé Mentel puis (1757) Anne Marie Schmutz – luthériens |
| 1779 | h | Jean Mathis, poissonnier, et (1764) et Catherine Salomé Weber – luthériens |
| 1821 | h | Chrétien° Samuel Mathis, poissonnier, et (1810) Susanne Dorothée Weber |
| 1864 | h | Frédéric Auguste° Mathis, poissonnier, et (1846) Frédérique Mægert puis (v. 1878) Caroline Kœnig |
| 1866 | v | Charles Frédéric Stauffert, aubergiste, et (1847) Catherine Frédérique Bott |
| 1896 | v | Lazare Levy, marchand de meubles, et (1865) Marie Heimann (héritier) Henri Levy, fabricant de couronnes, et (1899) Palmyre Levi |
| 1940* | h | Louis Roger Levy, avocat († 1979) |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 175 livres en 1712, 400 livres en 1757, 200 livres en 1779
(1765, Liste Blondel) VIII 200, Jean Laurent Blasÿ
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Blaßÿ, 7 toises, 4 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1180, Mathis, Chrétien, marchand de gibier – maison, sol, cour, bâtiment – 1,8 are
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 326
Le pêcheur Jacques Iringer règle 9 sols pour sa maison sise près des Ponts couverts face aux écuries municipales, à savoir une avance (12 pieds de long, saillie d’un pied), deux auvents superposés (23 pieds de long, saillie d’un pied ½ chacun), un encorbellement vers les écuries (27 pieds de long, 2 pieds ½ de large à l’angle, se termine en pointe à l’autre bout) sur lequel se trouve une avance (17 pieds de long, saillie d’un pied), au-dessus un autre auvent (27 pieds de long, saillie d’un pied ½), un gradin dallé devant la porte (7 pieds de long, saillie d’un pied ½)
Ledit Jean Jacques Iringer règle en outre 1 livre 7 sols pour trois viviers en partie emportés par les eaux dans le canal derrière sa maison (23 pieds de long, saillie de 3 pieds), des latrines en bois reposant sur deux pieux en chêne au-dessus de la risberme (3 pieds de large, saillie supplémentaire de deux pieds)
Beÿ der gedeckten Brucken gegen den Thürnen am Wasser Oder dem Obern Vischer gestadt Vnd daselbs vmb das Eckh hinumb nach vnserer Herrn Stall Zu, durch daß Finckweÿler Abhienn.
Hans Jacob Iringer der Vischer hatt ein Hauß am Eckh beÿ der gedeckten Pruckhen, gegen Vnserer Herrn Stall hinüber gelegen, daran ein Staucher vf 12 schu lang, j schu herauß, darüber Zweÿ Wettertächlin vber einand. Jedes xxiiij schu lang, i+ schu herauß, Mehr vf der seÿten gegen dem Stall hinüber ein Vsstoß xxvij schu lang, laufft oben am Ortt wider den thurn ii+ schu herauß, Vndt mit dem Vndern Ende Ins maur haupt, Daran ein Staucher xvij schu lang, j schu herauß, darüber noch ein wettertächlin xxvij schu lang, i+ schu breit, Vndt vor der Haußthüer Vnden ein besetzten Tritt vij schu lang, i+ schu herauß, Bessert für das Nießen, ix ß d.
Der gedacht Hans Jacob Iringer hatt auch ane disem Hauß hinden vff dem Gießen dreÿ Visch Archen, So gleich wol von Wasser gar Zerrissen seindt, so xxxiij schu lang, iij schu weit herauß, Im Gießen vff der Allmedt, Vndt hatt daselbst vff der Landtuesten ein hültzerin Profeÿ vff ij aichinen Pfosten iij schu breÿt, ij schu weÿt herauß, Bessert für das Nießen, j lb. iiij ß d.
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 350
Le pileur d’épices Jean Georges Weiss dont la maison se trouve en amont du moulin Zorn doit pour un plateau (½ pied de long sur 6 pieds, supprimé en 1725), des latrines (3 pieds 10 pouces de long, saillie de 3 pieds sur la risberme) et 6 pieux devant sa clôture en lattes, suivant décision portée au folio 244 du registre de 1709. Le contribuable suivant est le pêcheur Laurent Bläsi.
Johann Georg Weiß (W.) der Gewürtz Stöser, soll von einer pritsch (so 1725 weg. gethan word.) so 8 ½ schuh lang und 6. schuh breit, einem S.V. Secret 3 Schuh. 10. Zoll lang und 3. schuh von der Landvest, hienauß breit, so dann von 6. pfosten vor Seiner dielenwand hienauß auf das Allmend an Seiner oberhalb der Edlen Zornen Mühlen liegenden behaußung, Jahrs vf Michaelis und laut Prot. de 1709. fol: 244. A° 1710. i.mo, 7 ß 6 d ([corrigé en] mod. 5 ß, 10 ß
Lorentz Bläsi der fischer
L. P. 1736. f. 62. 10 ß
(Quittungen 1710-1741)
Neuzb fol 674-v
1741, Livre des loyers communaux VII 1472 (1741-1802) f° 674-b
Même loyer porté dans le registre suivant. Le loyer porté au nom de Laurent Blessig le jeune puis Frédéric Jung passe en 1779 à Jean Mathis par cession (remarque il s’ensuit que Laurent Blessig le jeune, successeur de son père pour la maison n° 7, n’est pas propriétaire de la maison n° 1 qui revient à Jean Mathis)
alzb. 350
Lorentz Bläßi (Sen.) der Fischer solle von einem S.V. Secret so 3 schu. 10. Zoll lang und 3. schu. von der Land Vest, hienauß breit, so dann von 6. pfosten vor seiner dielen wand, hienauß auf das Allmend, an seiner oberhalb der Edlen Zornen Mühlen, Liegenden behaußung, Jahrs auf Michaelis (id est 29. sept.) 10 ß
der Pfal ist weggemacht worden
Lorentz Bleßi Jun. weil. Joh: Caspar Krieg des Küblers Wb. diese 5 ß
modo Friedrich Jung
(Quittungen 1741-an 10)
C 299
jetzt Johann Mathis, der b. u. Fischkäufer uxor. nôe ex hæred. pat. laut Erbs Cession coram Not° Stöber passirt d. 28. April. 1779. so d. 9. Maji 1779. dem C. C. Prot. fol. 167-a einverleibt worden
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1708, Préposés au bâtiment, VII 1383 Bauherren
Les préposés régularisent une occupation illicite du communal en soumettant Jean Georges Weiss au paiement d’un loyer annuel, voir plus haut le Livre des loyers communaux. Jean Georges Weiss accepte le 22 octobre 1709 de régler le cens annuel.
(118-v) Montags den 22. 8.bris 1708. das Allmend in dem Zornischen Mühl Gießen würd ersucht – Augenschein eingenommen in dem Gießen oberhalb den Edlen Zornen Mühl und das jenige, so an den gegen dem Wörthel über gelegenen Häußern, wider ordnung auff das allmend gebawen worden ist examinirt und durch der Statt Werckmeister abmeßen laßen und Zwar von der bedeckten brucken an, und hatt sich befunden daß
Johann Georg Weiß – Johann Georg Weiß, der Würtzstöeßer, Vor seinem Hauß Ein Pritsch die 8 ½ schuhe lang, und 6 schuhe Von der Landfest breit, Ein s.v. Secret welches 3. schuhe und 10. Zoll lang und 3. schuhe Von der Landfest hinauß breit seÿe auch 6. pfosten Vor seine diehlenwand hinauß auffs allmend gesetzt habe.
(f° 252) Dienstags den 22. 8.bris 1709 – Ego proponire es seÿe bereits am 24. 7.bris 1709. auff den Von Vnseren gnd. Herren den Fünff Zehener haltenen befelch am 22. 8.bris 1708. eingenommenen augenscheinen in dem Gießen oberhalb der Edlen Zornen Mühl, die jenige Personen so in gedachten Gießen auff das allmend gebawen haben, mit einem zinnß belegt, solches aber denenselben nicht anzeigt worden, seÿen anizo bescheiden,
Johann Georg Weiß pto. Allmend – Johann Georg Weiß, der Würtzstoeßer, erklärt sich die Ihme angesetzte 7. ß 6. d. Jährlich abzurichten,
1736, Préposés au bâtiment (VII 1397)
Laurent Blessi demande l’autorisation de remplacer son ancienne risberme par une nouvelle plus grande. Les préposés l’autorisent à établir un plateau de 8 pieds de long six pieds devant sa risberme en enfonçant de nouveaux pieux dans l’eau, l’escalier qui mène audit plateau devant se trouver dans la cour. Le loyer de 5 sols mentionné au folio 350 du Livre des loyers communaux est porté à 10 sols.
(f° 60) Sambstags den 4. Augusti 1736, sind folgende Augenschein eingenommen worden. Lorentz Bleßi – An Lorentz Bleßi des fischers schadhafften Landvest hinder seinem Hauß An den bedeckten brucken, welche er neü Zumachen und sein Höffel mit einem 20. schuhe Lang und 6. schuhe breiten triangul auf das Allmendt Zuerweitern begehrt. Nota Zahlt Laut Statt Zinnßbuch fol: 350. Von der Land Vest und seinem S. V. Secret 5 ß Zinnß
(f° 62) Dienstag den 7. Augusti 1736. Lorentz Bleßi pt° Allmends und Pritschleins – Lorentz Bleßi des fischers Ehefrau noê mariti so kranck, auff jüngst eingenommenen Augenschein, bitt gnäd. Zu willfahren, wie auch umb erlaubnus ein Pritsch auf das waßer Zu setzen. Erkanndt, Soll Ihme erlaubt seÿn daß in augenschein genommene Allmend ein zu zäunen, wie auch ein Pritschel 8. Schuh lang auff das Waßer 6. schuh Von der Landvest zu setzen, und deshalben Newe Pfähl in das waßer Zuschlagen, doch soll die steeg auf dieses Pritschlein in das höflein gesetzt, und statt der Vermög Statt zinßbuch fol: 350. bißher gerichten 5. ß künfftighin 10. ß also eben so Viel für die Newe als die alte Vergünstigung, jährlich ane Zinnß gereicht werden.
1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Jean Laurent Blessig l’aîné demande que la ville se charge de réparer la risberme pourrie à cause de la terre qui s’y est accumulée depuis que la digue du moulin Zorn a été réparée.
(f° 82) Dienstags den 26. Julÿ – Johann Lorentz Bleßi Sen.
Augenschein eingenommen an Johann Lorentz Bleßi Sen: des fischers hauß oben an den gedeckten bruck welcher sich beklagt, daß als beÿ reparation des Schwaals an der Zornenmühl, oben an ged. bruck ein damm geschlagen, der grund beÿ abtragung deßelben an sein landvest gelegt worden und über Jahr und tag daran liegen geblieben, dadurch seine landvest verfaulet, bittet umb reparation dieselben auff Kösten der Statt. Erk. soll mit einem eichenen diehlen außgebeßert werden.
1778, Préposés au bâtiment, VII 1418
Les préposés autorisent le menuisier Geoffroi Fischer au nom de Laurent Blessig à faire un nouveau chenal pour son évier
(p. 175) Dienstags den 17. Novembris 1778. – Lorentz Bleßig Fischkäufer
Mr. Gottfried Fischer, der Zimmermann nôe Lorentz Bleßig, des Fischkäufers, bittet zu erlauben ane deßen Behausung im Finckweiler gegen dem Frantzösischen Thurn über gelegen einen neuen höltzernen Waßerstein Naach machen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1821, Voirie (283 MW 357)
que je suis intentionné à faire réparer et peindre le façade de la maison dit au Finckwiller N° 53 appartenant au Sr Mathis (signé) Mathis
Renvoyé à M Reiner pour examen 19. juillet 1821
– ladite maison a une petite avance vers la prison militaire qui se termine en pointe à l’autre extrémité j’estime que l’on pourroit autoriser le crepissage du rez de chaussée qui est aligné sans toucher à cette demi avance, Reiner
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Gruber expose les travaux qu’il va faire chez le marchand de poissons Mathis, à savoir une buanderie dans la maison arrière qui donne sur le canal
(p. 557) 1781. Donnerstags den 25.sten Octobris – Mstr Mathiß der Fischkäufer will in seiner in dem Finckweiler gelegenen behaußung hinten im hoff gegen dem wasser eine bauch küche machen den ofen auf dem grund boden setzen das Rohr mit Caminschoß wohl versehen mitten durch das gebäud von allem holtz entfernt aufführen. Erkandt willfahrt. – Mstr Gruber
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Finckwiller
nouveau N° / ancien N° : nouveau N° / ancien N° : 48 / 53
Mathis
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 328 case 3
Mathis Chrétien, Md. de gibier
P 1180, sol, Mon Bat et cour, Rue finckwiller 53
Contenance : 1,80
Revenu total : 63,94 (63 et 0,94)
Folio de provenance : (328)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 645 case 2
Mathis Chrétien, Marchand de gibier. 1866
pr. 1866 Mathis Frédéric Auguste
1868 Stauffert Charles, Veuve, aubergiste
97/98 Levy Lazarus, Kaufmann
P 1180, Maison, cour, Rue du finckwiller 1
Contenance : 1,80
Revenu total : 63,94 (63 et 0,94)
Folio de provenance : (328)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 29 page 10 case 9
Parcelle, section 5, n° 40 – autrefois P 1180
Canton : Finkweiler Hs N° 1
Désignation : Hf, Whs, NG (Skizze 4) sol, deux maisons
Whs, e.n.a. T (Skizze 4)
Contenance : 1,50
Revenu : 1000 – 1500
Remarques : I 56
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1940), compte 761
Levy Lazarus – Wittwe
clos 1940
(Propriétaire à partir de l’exercice 1940), compte 2801
Levy Heinrich
1940 Levy Louis Roger
(2654)
2° partie (Propriétaire), compte 1193
Stauffert Joh. Leonhard
1924 Stauffert Jean Léonard & Baumann Alfred
1931 Grandes Brasseries et Malteries de Colmar société anonyme à Colmar
1950 Kern Etienne vigneron à Cronenbourg
(2300)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 273 Quartier de Finckweiler p. 427
53
prop. Mathis, Thomas, poissonnier – Pêcheurs
loc. Baumann, Marguerite, veuve, Tricoteuse – Moresse
loc. La fille de la précédente, friseuse – Moresse
loc. Klein, Joseph, Savetier- Invalide
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Finkweilerstrasse (Seite 36)
(Haus Nr.) 1
Grasser, Tagner. 0
Speich, Schuhmacher. 0
Klumpe, Tagner. 1
Matt, Heizer. 2
Koch, Installateur. H 0
Froesch, Eisenb.-Arb. H 1
Christiansen, Photogr. H 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 845 W 165)
Place Henri Dunant n° 1 (1884-1986)
Lazare Levy acquiert la maison de la cabaretière Frédérique Stauffert et fait ravaler la façade qui a une avance vers la place. Il fait remplacer en 1898 un petit hangar donnant vers le canal par une petite maison d’habitation et remplace l’année suivante le toit en bâtière par un atelier de photographe couvert d’un toit vitré. La paroi vitrée est remplacée par une armature en fer en 1907. Le pignon vers l’ouest fortement incurvé (1919) s’écarte de 25 centimètres de la verticale à gauche de la descente de cave (1922). Henri Levy est autorisé en 1924 à transformer l’intérieur du bâtiment et à reconstruire la façade vers la rue des Ponts Couverts. Le propriétaire cède en 1984 un petit terrain à son voisin Marc Di Jorio (5, rue des Ponts Couverts).
Remarque – Le rez-de-chaussée tel que le représente le dessin de 1924 diffère de celui des dessins de 1994. Il a donc été transformé entre temps sans que le dossier en fasse état. La porte millésimée rue des Ponts-Couverts n’existait pas en 1924, la porte à crossettes vers la place a été transformée en fenêtre et remplacée par une nouvelle porte.
1895, Jost (bureau de placement)
1910, serrurier Arbogast
1920, tapissier décorateur Emile Heeb
1926, épicerie Eugénie Engel
1928, tailleur Georges Apostol
1954-1984, électricien Frédéric Wingert (Radioelec)
1985, restaurant Riva Destra
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie la veuve Stauffert, demeurant 5, rue des Ponts-Couverts, de faire ravaler la façade du n° 5
La veuve Stauffert fait réparer sans autorisation le crépi de sa maison sise 1, rue Finckwiller. L’agent note que la maison suit l’alignement et qu’elle a une avance – La veuve demande l’autorisation de faire ravaler les deux façades (1, rue Finckwiller et 5, rue des Ponts-Couverts) – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1884 - 1888 – Le maître maçon Emile Widmann demande au commissaire de police, au nom de la veuve Stauffert, l’autorisation de réparer le crépi au 5, rue des Ponts-Couverts et au pignon du 1, rue Finckwiller. – Même demande au maire – Autorisation – Le crépi est réparé, novembre 1888. La peinture n’est pas faite, avril 1889
- 1889 – Le maire notifie la veuve Stauffert, demeurant 1, rue Finckwiller, de faire ravaler la façade – La veuve déclare avoir fait ravaler le bâtiment l’année précédente. Le maire accorde un an de délai – La veuve écrit en 1890 qu’il doit s’agir de la maison voisine 5, rue des Ponts-Couverts et que l’auberge qu’elle a fait réaménager lui a peu rapporté durant l’hiver – Le maire accorde un nouveau délai d’un an – La veuve demande un nouveau report en 1891, accordé pour un an
1892 – Le maire notifie la veuve Stauffert, demeurant 5, rue des Ponts-Couverts, de faire ravaler la façade – Remarque en marge, la façade est très sale – La veuve fait remarquer que le bâtiment forme une même propriété avec le 1, quai Finckwiller pour lequel le maire a accordé un délai jusqu’en 1893. – Pas de travaux, avril 1894
1892 – La veuve Stauffert déclare qu’elle a dû refaire son pignon quand son voisin Baldner a démoli puis reconstruit sa maison – Remarque en marge sur la situation difficile de la veuve qui exploite un petit débit de boissons
1893 – La veuve adresse un nouveau courrier au maire Back – Le maire accorde un dernier délai jusqu’en mai 1894 – La veuve Stauffert qui ne peut plus tenir son auberge à cause de son âge demande un nouveau délai, elle déclare avoir l’intention de vendre les deux maisons à une brasserie. Le maire accorde un délai jusqu’en juillet – Nouveau courrier de Frédérique Stauffert en août 1894 – Pas de travaux, avril 1895 – Le bâtiment sis 5, rue des Ponts-Couverts a été ravalé mais pas son voisin, mai 1895
1895 (juin) – Le maire notifie la veuve Stauffert de faire ravaler le n° 1 - 1895 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que la dame Jost (bureau de placement) a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Le bureau va être transféré au 12, rue de Mutzig
1897 – La dame Jost qui transfère son bureau du 7, rue des Livres au 1, rue Finckwiller demande l’autorisation de poser une petite enseigne en carton – Autorisation - 1899 – Lazare Levy (demeurant 16, rue Sainte-Barbe) demande l’autorisation de faire ravaler la façade. En marge, le bâtiment a une avance vers la place (70 centimètres à l’angle, croquis) mais le ravalement ne le consolidera pas – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1899
- 1897 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, à savoir à deux fenêtres au rez-de-chaussée et à quatre soupiraux. – Rappel, 1898 – Travaux terminés, novembre 1899
- 1899 – Le photographe Dober, demeurant sur place, déclare que la cour et les rigoles sont en travaux depuis six à huit semaines et que les eaux s’accumulent dans la cour, notamment celles provenant du débit voisin au Petit cheval noir (zum kleinen Räppel). – La nouvelle rigole est terminée, novembre 1899.
- 1898 (mars) – Lazare Levy demande l’autorisation de remplacer un petit hangar donnant vers le canal par une petite maison d’habitation. – Dessin – Il demande que l’autorisation soit prolongée – Nouvelle autorisation, avril 1899 – Les murs du rez-de-chaussée sont en construction, mai 1899
1899 (mai) – Lazare Levy demande l’autorisation de remplacer le toit en bâtière par un atelier de photographe couvert d’un toit vitré – Autorisation – Dessin – Les menuisiers et les peintres travaillent, août 1899
1899 (novembre) – Le photographe Dobler fait remarquer que la nouvelle cheminée n’est pas conforme au règlement – La cheminée a été rehaussée, janvier 1900 - 1899 (18 novembre) – Entrefilet publié par la Presse Libre (die Freie Presse) sur les dissensions entre le sieur Levy qui n’entretient pas ses maisons avec la Commission contre les logements insalubres – Le commissaire de police note que la maison n’est pas délabrée.
Dossier ouvert suite à un courrier de la préfecture de police sur l’état de la maison – La maison à pans de bois est incurvée vers la rue sans qu’il y ait de risque. – L’état reste le même, le dossier est classé en avril 1902 - 1902 – Le maire notifie le sieur Levy (demeurant 32, Fossé des Tanneurs) de faire ravaler la façade – Henri Levy demande un délai pour ravaler la maison et celle sise 8, rue de Schiltigheim parce qu’il vient de ravaler la maison 6* et 8, impasse des Pénitents – Le maire accorde à deux reprises un an de délai – Le propriétaire demande un nouveau délai en 1904 en arguant que son voisin (5, rue des Ponts couverts) fait un raccord aux canalisations – Travaux terminés, juin 1905.
- Commission contre les logements insalubres – 1899, le menuisier Georges Schmitt se plaint de son logement – Plainte du photographe Dobler (cafards), de Brausteffer, de l’aubergiste Eugène Weibel (5, rue des Ponts-Couverts), de Dedilloy
1904, Commission contre les logements insalubres, Formulaire sur la maison, propriétaire Henri Levy (13 rue de la Haute-Montée), remarques en cinq points
Plaintes (Kœpperl en 1910 et 1911, Barthel, Kœberlé en 1915)
Courrier de la direction du travail – Une forge se trouve dans la propriété, 1911
Nouveau rapport, travaux à faire en sept points (en particulier murs humides), 1914
1915, Commission des logements militaires, remarques en quatre points
1919, Rapport de visite. La Commission des logements estime que le bâtiment avant est délabré (mur incliné, fissures, rampe manquante, voir aussi supra), rapports du 23 juin 1919, 3 septembre 1920
1924, Le bâtiment est évacué, les réparations devraient avoir lieu pendant l’été - 1906 – Rapport du service des incendies après un feu qui s’est déclaré dans une cuisine
Dossier ouvert suite à un courrier du ministère public sur le même sujet. – La Police du Bâtiment répond que la responsabilité du propriétaire n’est pas engagée - 1907 – Les volets du premier étage menacent de tomber – Travaux terminés, octobre 1907
- 1907 – Henri Levy (13, rue de la Haute-Montée) est autorisé à remplacer la paroi vitrée par une armature en fer et une toiture en pâte de bois dans le bâtiment arrière – Dessin – La corniche devra être revêtue de tôle – Les travaux sont terminés, le bâtiment est habité, octobre 1907.
- 1908 – Rapport du service des incendies après un feu qui s’est déclaré dans une cuisine – La cheminée reposait sur des poutres en bois – Travaux terminés, novembre 1908
- 1910 – La dame Armbruster (5, rue des Ponts-Couverts) se plaint que l’atelier de serrurerie Arbogast fait trembler les vitres. – L’enquête montre qu’Arbogast a depuis cinq ans son atelier dans le bâtiment arrière au 1, rue Finckwiller et qu’il ne s’en sert que deux ou trois fois par semaine – Arbogast pose une tôle sous sa forge de campagne.
1911 – Dossier ouvert suite à un courrier de la préfecture de police sur la forge de campagne – Arbogast déclare qu’il va quitter la maison - 1918 – La dame Müller a fait une chute dans l’escalier. Dessin de l’escalier dont la rampe s’interrompt au tournant – Le tribunal civil chargé de juger l’affaire envoie un courrier au maire – La rampe a été remise en place
- 1920 – Le tapissier décorateur Emile Heeb demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
- 1924 – Henry Levy (demeurant 8, rue de Sébastopol) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation
- 1919 – Extrait des comptes rendus de la Commission contre les logements insalubres suite à la chute de la locataire dans les escaliers. Liste en trois points de travaux à faire. La visite n’a pas relevé de menace d’écroulement, si ce n’est le pignon fortement incurvé
1920 (décembre) – Henri Levy demande une descente sur les lieux. Il devra faire poser des témoins sur les fissures – Les témoins ne sont pas posés, les fissures sont recouvertes de plâtre
1922 – Une visite des lieux constate que le pignon s’écarte de 25 centimètres de la verticale à gauche de la descente de cave – Rapport de l’agent de police Jérôme sur la maison qui menacerait de s’écrouler
1923 – Des témoins sont posés au premier étage. Ils ne bougent pas mais il n’est pas exclus que les vibrations dues aux camions n’ébranlent le pignon.
La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire consolider les murs et évacuer les logements
1924 – Henri Levy est autorisé à transformer l’intérieur du bâtiment et à reconstruire la façade vers la rue des Ponts Couverts – Travaux terminés, août 1925 – Réception finale, avril 1926, la partie supérieure des façades n’est pas peinte. – Dessin (cyanotype)
1924 (mars) – Emile Heeb (atelier au rez-de-chaussée et logement au premier étage) déclare que le propriétaire lui a donné congé
1924 (juillet) – La façade a été étayée – Extrait des comptes rendus de la Commission (4 juillet 1924), le propriétaire Levy a chargé un maître maçon de faire des travaux sans qu’il soit établi que ce soit dans les règles de l’art, l’écroulement étant à craindre.
1924 (août) – Henri Levy demande l’autorisation de reconstruire la façade
1924 (octobre) – Henri Levy fait faire les travaux sans avoir fourni les plans à la Police du Bâtiment
1924 (novembre) – Le dessin fourni par le propriétaire ne correspond pas à la demande
1924 (décembre) – Les plans sont présentés - 1926 – Eugénie Engel (vins et grains) demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Vins, liqueurs, bière – Eugénie Engel, Epicerie – Grains, farine, fromage) – Autorisation
- 1925 – Henri Levy est autorisé à occuper la voie publique
- 1928 – Le tailleur Georges Apostol demande l’autorisation de poser une vitrine entre la porte d’entrée et la devanture – Dessin – Autorisation
- 1934 – Le locataire Eugène Linck se plaint que la toiture et la gouttière sont en mauvais état. La Police du Bâtiment constate que les faits allégués sont exacts et que la cheminée du bâtiment arrière menace ruine. – Le maire demande au propriétaire Henri Levy de faire les réparations nécessaires – Travaux terminés, novembre 1934.
- 1941 – La locataire Schrœter se plaint que son logement est humide. propriétaire, mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) – La plaignante envisage de trouver un autre logement
- 1954 – La Police du Bâtiment constate que la maison Radioelec a fait poser sans autorisation deux enseignes plates – Demande par Frédéric Wingert (Radioelec, 1, Finckwiller, 7, Ponts couverts, Tout pour la radio, Tout pour l’électricité) – Autorisation
1954 – La Compagnie Industrielle des Piles Electriques (CIPEL, à Levallois-Perret) demande l’autorisation de poser une plaque publicitaire Mazda – Autorisation
1954 – Même demande par la société anonyme La Pile Leclanché (Chasseneuil-du-Poitou) – Autorisation
1956 – La Police du Bâtiment constate que Frédéric Wingert a fait poser sans autorisation une plaque publicitaire Sonneclair – Demande – Autorisation - 1979 – Le notaire René Rieger (13, rue Jules Rathgeber) demande un certificat d’urbanisme (propriétaires, ayants-droits de Roger Louis Levy) – Plan d’arpentage – Le bâtiment relève du plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV), il se trouve dans le champ de visibilité de plusieurs monuments historiques, la façade vers le canal fait partie d’un site inscrit le 10 décembre 1946
1982 – Le cabinet de géomètres experts Dingler et Legorgeu (10, rue Lauth à Strasbourg) demande un certificat d’urbanisme pour diviser la propriété – Propriétaire, Lucien Kuhn (demeurant rue du Neufeld à Neudorf – Plan des parcelles A et B
1984 – Le géomètre expert Gérard Ney (22, boulevard de Lyon à Strasbourg) demande un certificat d’urbanisme pour diviser la propriété. Le propriétaire a l’intention de céder le terrain B à son voisin Marc Di Jorio, propriétaire du 5, rue des Ponts Couverts. – Calcul des surfaces - 1985 – Le droit d’enseigne passe de Frédéric Wingert à la pizzeria Riva Destra. L’enseigne a été déposée fin 1984.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 932 W 134)
Place Henri Dunant n° 1 (permis de construire, refus, 1994)
Le maire refuse d’accorder le permis de construire à Patrick Kuhn et Eric Muller qui demandent de désaffecter deux logements pour aménager un restaurant Aux berges de l’Ill
Sommaire
- La société à responsabilité limitée Kumul, agissant par son gérant Patrick Kuhn, demande l’autorisation d’aménager un restaurant en désaffectant deux logements de deux pièces. Propriétaire, Lucien Kuhn (demeurant 12, rue Jacques Peirotes). Le restaurant exploité par Patrick Kuhn et Eric Muller aura une capacité de 25 places
Le maire refuse de délivrer le permis de construire justifié par l’avis défavorable de l’architecte des Bâtiments de France, le manque de cinq places de stationnement et les stipulations du plan de sauvegarde et de mise en valeur.
Dessin. Aménagement d’un restaurant Aux berges de l’Ill (premier et deuxième étage) – Elévation ouest, sud
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom du pêcheur Jean Jacques Iringer dans le Livre des communaux (1587)
Le pêcheur Jean Jacques Iringer épouse Susanne, fille du notaire Daniel Fleher en 1573.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 74 n° 223)
1573. Do: XIII. Hanns Jacob Iringer der fischer, Susanna fleherin Daniel flehers des Notarÿ nachgelasne dochter. 25. Augusti (i 76)
Le pêcheur Jean Jacques Iringer et Susanne, fille du notaire Daniel Fleher, vendent en 1600 la maison près de écuries municipales à l’angle des ponts couverts au tuilier Melchior Klipffel de Plobsheim.
1600 (xxv Novembris), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Kügler) f° 310
Erschienen Hans Jacob Iringer vischer v Susanna sein eheliche hußfr. wÿland Daniel Flohers des Notarÿ selig. dochter haben vnver: verkaufft
Melchior Klipffell Zieglern Zu plopsh. Ime
huß hoffstatt hefflin v. gartlin m. Iren gebeud. geleg. In der S S beÿ der herren Stall Ist einseyt ein eck gegen dem thurn ane den bedeckten brucken wie anderseÿt H Daniel Spÿrern geweßenen pfarrherrs Zu landauw stosst hinden Zum theil vff Claus Steinman tagloner vnd Zum theÿl vffs wasser genant der Mülgiessen, dauon gnd. x ß d boden zinßvff dem heylig.wynachten von den Stifftherrn Zu S thoman, Mehr iij ß iij d auch boden zins vff Sanct Martin tag Im großen Spittal Sonst für freÿ ledig eÿg. der Khauff besch. vmb 500 guld. SW
Melchior Klipfel fait baptister des enfants inscrits au début du premier registre de Plobsheim (1598)
Baptême, Plobsheim (luth. p. 23)
1598. Den 19. eiusdem [Februarÿ] Melchior Klipffeln ein Kind getaufft Margarethe, Compater Hanß Scheür d. Jünger, Götlen Deß Zieglers fraw in d. Crafft, vnd Ursula Wildin (i 13)
Baptême, Plobsheim (luth. p. 32) 1600. Den 4. Octob. Melchior Klipffeln, Noîe Christian, Compatres Michael Schwartz vnd Jacob rauch oder Hävern brot, Götle Hanßen Scheüren fraw (i 18)
Son fils Balthasar Klipffel, aussi tuilier, épouse en 1623 Anne, fille du prévôt André Dold de Wibolsheim.
Mariage, Plobsheim (luth. f° 393-v)
1623. Dominicis Vocem Jucunditatis & P* seind außgeruffen vnd Montags den 26. Maÿ Ingesegnet worden Balthasar Klüpfel der Ziegler, Melchior Klüpfels deß Zieglers vnd Burgers allhier Ehelicher sohn, vnd Anna, Andres dolden weÿland Schultheißen Zu Wibelsheim hinderlaßene Wittib (i 412)
Balthasar Klipffel se (re)marie en 1625 avec Catherine Müller d’Entzheim
Mariage, Plobsheim (luth. f° 395)
1625. Dominicis XX. & XXI post Trinitatis seind außgeruffen vnd Montags den 7. tag Wintermonats eingesegnet worden Balthasar Klüpfel der Ziegler Alhie, vnd Catharina Sie(-) Müllers seligen Von Enßheim hinderlaßene Eheliche tochter (i 413)
Balthasar Klipffer, tuilier et prévôt de Plobsheim, se remarie en 1656 avec Agnès, veuve du fermier Jean Senff qui s’est convertie après la mort de son mari
Mariage, Plobsheim (luth. f° 417-v) 1656. Dom. XXIII Trinit. sind Zum I. v Dom. Trin. Zum II. mal außgeruffen worden H. B[althasar] Klüpffel der Ziegler vnd Schultheiß allhier und Agnes weÿland Hans Senffen selig g[-] Adelichen Bernoldischen Meÿers alhier hinterlassene wittib. Sponsa pridem Pontificia post obitum mariti Conf[essionem] nostram amplexea. Copulati sunt Plobsheim Mont. post xxiv Trin. (i 436)
Catherine, fille de Melchior Klipffel, épouse en 1629 Jean Hœrt, fils du fermier Pierre Hœrt
Mariage, Plobsheim (luth. f° 396-v)
1629. Dominicis 21 & 22 Sindt außgeruffen vnd Montags den (-) 8.bris eingesegnet word. Hanß Hördt der Meÿer, Peter Hörten auch geweßenen Meÿers und burgers alhier hinderlaßener Ehel. Sohn, vnd Jungfrau Catharina Melchior Klipffels des Zieglers vnd burgers alhier Eheliche Tochter (i 415)
Ancien prévôt de Plobsheim et ensuite tuilier à Robertsau, Balthasar Klipffel achète le droit de bourgeoisie pour lui et pour sa femme Agnès Mülhaupt en décembre 1665
1665, 3° Livre de bourgeoisie p. 971
Balthasar Klipffel, geweßener Schultheiß Zu Plobßheim anietzo Ziegler in der Ruprechtsaw, erkaufft daß burgerrecht für sich und Agneß Mülhauptin sein Haußfraw umb 16 fold fl. die Sie vff dem Pfenningthurn erlegt, und Würdt beÿ E. E. Zunfft der Maurer Zünfftig Werden. Jur. den 20.ten Decembris A° 1665.
Balthasar Klipffel, tuilier à la Robertsau, Jean Hœrt de Plobsheim et Catherine Klipffel ainsi que Marguerite Klipffel vendent la maison au pêcheur Jean Charles Baldner et à sa femme Anne Marguerite.
1670 (1. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 541-v
(Prot. fol. 22) Erschienen Balthasar Klipffel der Ziegler in Ruprechtsaw für sich selbsten, hannß hört von Plobßheim alß Ehevogt Catharinæ Klipfferlin Vnd H Josias Gerner der Handelßmann alß Curator Margarethæ Klipffelin, wittibin
in gegensein hannß Carl Baldners deß Fischers Vnd Annæ Margarethæ seines Eheweibs, mit assistentz H Johann Peter Schneid. und H hannß Jacob Schotten beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel ahnestatt nechster Verwanth. hierzu insonderheit Deputirter
hauß, hoffstatt, höfflin, Gärttlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Recht. und Gerechtigkeiten alhie im Finckhweÿler, beÿ der statt Marstall, einseit ein Eckh geg. denen statt thurn ahne der gedeckht. Bruckh. anderseit neben (-) hinden zum theil Niclaus Schmutzen den Fischer theils vff den Mühlgießen stoßend gelegen, davon gehen iährlich. 10. ß dem Stifft St. Thoman und 3. ß 4 d dem Mehrern hospital, beed. Posten Zu Bodenzinß – zugang. umb 175. lib.
Fils du pêcheur Martin Baldner, Jean Charles Baldner épouse en 1666 Anne Marguerite, fille de l’aubergiste Jacques Bœrsch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 163 n° 33)
1666. Domin: XIV Trinitatis. 16. Septembris. Hanß Carl Baldner der Fischer, Martini Baldner deß Fischers v. Burgers alhier, ehl. Sohn, Vndt Jf: Anna Margaretha, Hn Johann Jacob Börsch, deß Gastgebers Zum Rebstock, v. burgers allhier, ehl. Tochter, Copulavi Mont. 24. 7.br. (i 177)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 275-v n° 20) 1666. Domin: 14 et 15 Trin: Hanß Carle Baldner d. Fischer auff dem Fahr vnd Burger, Martini Baldner, deß Fischers vnd Burgers alhier, ehelicher Sohn, vnd Jungfr: Anna Margaretha, H. Johann: Jacobi Beersen, deß gastgebers Zum Rebstock, v Burger alhier, eheliche Tochter, Copulirt ad jun: Petrum (i 294)
Jean Charles Baldner et Anne Marguerite hypothèquent la maison au profit de Jean Hartmann Wœrtz, receveur de l’Orphelinat
1670 (1. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 543-v
Erschienen hannß Carl Baldner der Fischer Vnd Anna Margaretha sein Eheweib, mit assistentz H Johann Peter Schneid. und H hannß Jacob Schotten beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel ahnestatt nechster Verwanth. hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein H Johann Hartmann Wörtzen Schaffners deß Waÿsenhaußes für sein eigene Person – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning, daß Sie nach beschriebene behaußung erkauffen
Unterpfand sein sollen hauß, hoffstatt, höfflin, Gärtlin, mit allen deren Gebäwen & alhie im Finckhweÿler, beÿ der statt Marstall, einseit ist ein Eckh geg. dem Statt thurn hienüber beÿ der gedeckht. Bruckh. anderseit neben (-) hind. theilß vff Niclaus Schmutzen den Fischer theils vff den Mühlgieß. stoßend gelegen, davon gehen iährlich. 10. ß dem Stifft St. Thoman und 3. ß 4 d dem Mehrern hospital, beed Posten Zu Bodenzinß
Jean Charles Baldner et Anne Marguerite hypothèquent la maison au profit de Daniel Harnischter un des trois préposés à la Chambre de la Taille
1671 (2. mart.), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 203
Erschienen Hannß Carl Baldner der Fischer und Anna Margaretha sein Eheweib, Vnd zwar Anna Margaretha insonderheit mit assistentz H Anthoni Flach. und H. Mathæi Schmid. beeder alß auß E.E. großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther Deputierte
in gegensein H Daniel Harnischters Treÿers der Statt stalls – schuldig seÿe 35. lb
Unterpfand, seÿn soll hauß, hoffstatt, höfflin, Gärtlin mit allen deren Gebäwen & im Finckhweÿler beÿ der Statt Marstall, einseit ein Eckh geg. dem statt thurn ahne der gedeckhten Brucken, anderseit neben (-) hinden Zum theil vff Niclaus Schmutzen den fischern theilß vff den Mühl Gießen stoßend gelegen, davon gehen iährlich. 10. ß dem Stifft St. Thoman und 3 ß 4 d. dem Mehrern Hospital, beede Posten Zu bodenzinß
La maison revient au créancier Jean Hartmann Wœrtz qui la loue au cocher municipal Jean Meyer
1671 (3. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 477
Erschienen Herr Johann Hartmann Wörtz Schaffner deß waÿßenhaußes
in gegensein Hannß Meÿers deß Statt Gutschers
Verlühen habe, eine behaußung mit allen deren Gebäwen, alhier im Finckhweiler beÿ der Statt Marstall einseit ist ein Eckh gegen der Statt thurn anderseit neben (-) hinden zum theil uff Niclaus Schmutzen und theils uff deß waßer stoßend geleg., uff 8. Jahr lang Von Michaelis dießer Jahrs angerechnet, um einen jährlichen Zinß benantlich. 10. Pfund
Fils du receveur bailliager Jean Hartmann Wœrtz de Sulzburg, Jean Hartmann Wœrtz épouse en 1649 Marie Madeleine, fille du pasteur Jean Pierre Pistorius.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 237 n° 8)
1649. Dominica XIV post Trinitat. Herr Johann Harttman Wörtz Schaffner in dem allhiesig. Weysenhauß, Herrn Johann Harttmann Wortzen von Sultzburg gewesenen Fr. Marggrauisch. Badenischer Einnemmer der Land Vogteÿ hinderlaßener Ehelicher Son, vnd Jungfr. Maria Magdalena weÿland herrn M. Johann Petri Pistorÿ gewesenen getrewen* Pfarrers beÿ dieser vnserer Pfarr Kirch Zu S. Clauß hinderlaßene Eheliche tochter (i 255)
Barbe Pappus remet à sa fille Marie Madeleine Pistorius, femme de Jean Hartmann Wœrtz, la succession mobilière provenant de son père
1649 (30.10.), Not. Oesinger (David, 37 Not 9) n° 21
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeder ligender vndt Vahrender Haab Nahrung vndt Güther, So der Viel Ehren vndt Tugendreichen Fraw Barbaræ Bappußin, Nach dem Sie Ihre Liebe Tochter die Ehren und Tugendreiche Fraw Mariam Magdalenam Pistoriusin deß Ehrenvesten vndt wohlvorgeachten Herrn Johann Hartmann Wörtzen wolbestelten Schaffners deß Weißen hauß Zu Straßb. eheliche haußfraw So viel den Haußrath Silber geschirr und Geschmeid vndt Guldine Ring betreffen thut, Ihres gebürenden Vätterlichen Guths völlig Ahne der Bahrschafft, Pfenning Zinß Hauptgüther vnd Schulden aber Allein die Legitimam gelüffert vnd außgewiesen Eigenthümlich verblieben vndt Sie dem Ehrwürdigen vndt wolgelehrten H M Johann Geörg Freÿen wolverordneten Diacono deß Mehrern Spitals alhie Ihren geliebten Ehegemahl Zugebracht (…) So geb. vnd beschehen in Straßburg zinstag den 30. Octobris 1649.
Eigenthumb ahne der behaußung betreffendt (-)
die dochter hat an Ihrer legitimam, haußrath 109, Silbergeschirr 91, Guldine Ring 29, Hauptgut 100 Summa summarum 330 lb
Vorgegen soll sie haben 394 lb 9 ß 7 d geg. ein ander verglichen gebürt der dochter noch 64 lb
Jean Hartmann Wœrtz, originaire de Sulzburg, devient bourgeois par sa femme en octobre 1649.
1649, 4° Livre de bourgeoisie p. 261
Johann Hartmann Wurtz Von Sultzburg ietziger Schaffner in dem Weißenhauß empfangt d. burgerrecht Von seiner haußfr. Maria Magdalena hrn. M. Johannis Petri Pistorÿ gewesenen Pfarrers Zu St Nicolai seel. dochter vmb 8. Gold fl. welche Er erlegt, Würd Zur Blumen dienen. Jur. d. 9. 8.bris 1649.
Jean Hartmann Wœrtz se remarie en 1652 avec Salomé, fille de l’aubergiste Georges Ott
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 243 n° 12)
1652. Dominica IX Trinit: h. Johann Hartman Wörtz der Schaffner im waysenhauß allhie v. f. Salome, herrn Georg Otten gewesenen gastgebers auff der garttner Stub alhie eheliche hinderlaßene Tochter – Mont. Clauß (i 261)
Jean Hartmann Wœrtz se remarie en 1655 avec Anne, fille de l’assesseur des Quinze Albert Wesener
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 249-v n° 23)
1655. Dom XX. et XXI. Trin. 28. 8.bris et 4. 9.bris. Herr Johann Hartman Wortz, Schaffner des Weisenhauses alhie, vnd Jungfr. Anna, Herrn Alberti Weßners, des bestendigen Regiments der H. XV. alhie beÿsitzers ehl. Tochter. Münster Zinst. 6. 9.bris (i 268)
Jean Hartmann Wœrtz se remarie en 1671 avec Judith, veuve du jursite Jean Melchior Sachs
Mariage, cathédrale (luth. f° 138-v n° 12)
1671. Dom. Reminiscere. Zum 2. mahl hr. Johann Hartmann Wörtz Schaffner des Weißenhauß, Fr. Judith Weiland hr. Johann Melchior Sachßen U.J.D. u. Prof. Publ. nachgelaß. W. Donnerstags den 30.ten Mart: Münster (i 141)
Le docteur en droit Jean Melchior Sachs épouse en 1652 Judith, fille du docteur en droit Jean Georges Becht
Mariage, cathédrale (luth. p. 544 n° XXIV)
1652. Dom. Quasimodo: 25. Aprilis. H. Johann Melchior Sachs beeder Rechtenn Doctor, herrn Conradi Sachsen beÿ der Löblichen freÿen Reichs Statt Nürnberg Land Pfleg. Beampten vndt Advocaten Ehelicher Sohn, vndt Judith des Edlen vnndt hochgelehrten herrn Johannis Georgÿ Bechten beeder Rechten Doctoris vnndt vnderschiedene des heiligen Reichs hohen Stände Raths vndt Advocati hinderlaßene Eheliche dochter (i 292)
Testament nuncupatif de Jean Hartmann Wœrtz
1680, Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 18, Vol. 2, Notariat Protocolla)
Testamentum nuncupativum Herrn Johann Hartmann Wörtzen Waÿßen schaffners
Jean Hartmann Wœrtz meurt en 1685 après avoir institué sa veuve pour légataire universelle. L’inventaire dressé dans la maison de l’orphelinat mentionne les biens dont le défunt avait la jouissance viagère et qui dépendaient de la succession de ses trois premières femmes. Le défunt a laissé un curriculum vitæ joint à l’inventaire. La masse propre à la veuve est de 3 684 livres, celle de l’héritière de 6 665 livres. L’actif de la communauté est de 4 748 livres, le passif de 6 794 livres.
1685 (15.8.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 7) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, liegender vnd Vahrender, so weÿl. der Edel, Wohl Ehrenvest und hochachtbare Herr Johann Hartmann Wörtz, viel Jährig gewesener wohlverdienter Schaffner des allhießigen Weÿßenhaußes und vornehmer Burger in Straßburg nunmehr seeliger, nach seinem den 8. Julÿ St. N. dieses lauffenden 1685.gst. Jahrs beschehenen tödlichen hinscheiden aus dießer welt Zeitlichen verlaßen, welche auf erfordern und begehren der Wohl Edlen, hoch Ehren: vnd Tugendbegabten frawen Judith Wörtzin gebohrene Bechtin der hinterpliebenen höchst betrübten fraw Wittiben vnd vermittelst erhaltenen Indulti Testandi von dem verstorbenen Ihrem ge Ehrt. Geliebten Eheherrn seel. per Testamentum Eingesetzter Einziger Erbin, mit hilff: vnd beÿdtan des hoch Edlen Gestrengen vnd vnd hochgelehrten herrn Friderici Schragen vortrefflichen Universität hochberühmten Professoris publici ordinarÿ Ihres erbettenen vnd geschwornen herrn Curatoris inventirt und ersucht (…) Actum vnd angefang. in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 15. Augusti Anno 1685
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
In das Weÿßenhaußes Schaffneÿ behausung, In der Uttengaßen gelegen Ist befund. word. wie volgt
Ane Haußraths Höltzen und Schreinerwerck. auf dem öbersten Kasten, In dem Obern Stüb. In der Cammer A, Vor der Cammer B, Im Sommer hauß, Im Kuchelin beÿ dem Sommerhauß, In der Wohnstub, In d. Stub Cammer, Auff dem Gäng. In d. Kuchen, Im Hauß öhren, Im undern Hauß öhren, In d. undern Kuchen, Im vordern Hauß, In deß H. Studiosi Stübl. In d. Cammer C, In d. Cammer D, Auff dem Gang, In d. Kuchen, Im Hoff Stub., In dem hoff
Ergäntzung der fr. Wittib unveränderten Guths, Innhalt Inventarÿ über der Fr. Wittib Zu dem verstorbenen, Herrn seel. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, in Anno 1671. dh. weÿl. H Johann Christoph Werbeck den Notm. auffgerichtet hett man deroselben Zuergäntzen
Eÿgenthumb ane Einer Behaußung (W.) It. Hauß, hoff ahne Uttengaßen gegen dem Closter Zu den Reweren über )
Abzug. In daß Wörtzische Inventarium gehörig. Der Fraw Wittib unverändert guth, Sa. Haußraths o, Lehre vaß 10, Bibliotheca 50, Silber 323, Guldenen Ring. Ketten 208, baarschafft 53, Pfenningzinß hauptgütter 793, Eigenthumb ane einer behaußung 1200, Beßerung ane einem lehengutt 15, Schulden 70, Ergäntzung 960, Summa summarum 3684 lb
der fr. Erbin unveränderte Nahrung, Sa. Lähre Vaß 2, Silbers 347, Goldt 111, Pfenningzinß hauptgüter 4493, Gültten 16, Ergäntzung 5834, Summa summarum 10.804 lb – Schulden 4138 , verpleibt noch übrig 6665 lb
die theilbare Verlaßenschafft, Sa. hausraths 624, früchten 95, Wein 77, Silber 74, Gold 7, baarschafft 1690, Pfenningzinß hauptgüter 1847, Gültten 18, Schulden 312, Summa summarum 4748 lb – Schulden 6794 lb die theilbare Nahrung Ubertreffen vmb 2046 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 12.442 lb
Wÿdembs Verfangenschaft vndt dero resp. Vergleich vnd endliche Außweißung. Weÿl herr Johann Hartmann Wörtz wohlverordneter Weÿßen schaffner vnd b. in Straßburg nun seel. hatt von weÿl. Fr. Maria Magdalena Wörtzin gebohrener Pistoriußin seiner Ersten haußfr. seel über abzug gelieffert vnd verglichener Posten annoch in handen behalten vnd ad dies vitæ genoßen, das Eigenthumb aber weÿl. Fr. Barbaræ Pappußin auch weÿl. Herrn M. Johann Georg Freÿen Pfarrers von dorlißheim hsfr. s. nachgelaßene Erben nahmentlich Fr. Mariæ Ursulæ Fecherin gebohrne Schilligin weÿl. H. Joh: Baptist Fechers E E Großen Raths alten beÿsitzers sel. geweßener Fr. Wittib, weÿl. Fr. Mariæ Salome Kniliußin gebohren Schilligin auch weÿl. H. M Wolffgang Knilü diaconi im Münster haußfr. seel. gelaßenen dreÿ Kindern alhie, ferner weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ Kolbin gebohrene Schillingin miy H Joh: Kolben erzeugt vnd gelaßenen Erben vnd Fr. Mariæ Dorotheæ Schillingin gehörig ist (…) Vnd seind die participirenden Personen (…)
Wÿdemb, vnd deßen Außweißung Weÿl. herrn Johann Hartmann Wörtz vorgemelt, hat von weÿl. frawen Salome Ottin seiner Zweÿten haußfr. seel. über abzug gelieffert: vnd verglichener Posten annoch in handen behalten vnd ad dies vitæ genoßen, daran das Eigenthum weÿl. frawen Ursulæ Mahlerin alten herrn Johann Heinrich Bischoffen E E Großen Raths beÿsitzers Ersten haußfrauwen sel. nachgelaßenen Erben v.fangen
Wÿdemb vnd deß. außlieferung Weÿl. H. Johann Hartmann Wörtz vorermelt von weÿl. Fr. Anna Wörtzin gebohrener Wesenerin seiner v.storbenen dritt. haußfr. sel. über abzug gelieferter Posten annoch Zu genießen gehabt, daran daß Eigenth. weÿl. H. Alberti Weseners EE Groß. Raths alten beÿsitzers sel. Erben, ferner Fr. Mariæ Mappußin gebohrene Wesenerin H Marci Mappi Med. Dris er Prof. Ordin. fraw Felicitas Reüßnerin gebohrener Wesenerin weÿl. H Johann Jacob Reißners XV. Fr. hinderlaß. Fr. wittib vnd Fr Agneß Spohrin gebohrene Wesenerin HN Joh: Friderich Spohren buchhändlers huaßfr. der v.storb. Els liebe geschwistern affectirt vnd v.fang.
Wÿdemb So Frau Judith Wörtzin, gebohrene Bechtinn Zeit lebens von hierin gemelt Ihres Eheherrn sel. v.laßenschafft Zu genißen
Lebens lauff Mein Johann Hartmann Wertzen. A° 1612. den 23. Novembris Bin ich Johann Hartmann Wertz Zu Sultzburg in der Marggrauenschafft Hochberg Ahne dieße welt geboren vnd daselbst den 25. Novemb. gebaufft worden, Meine Elttern waren
Etat des biens de Jean Hartmann Wœrtz qui reviennent à sa veuve
1698 (27.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 7)
Abtheilungs Concept über diejenige Hausraths Posten so Fraw Juditha gebohrne Bechtin, weÿl. herrn Johann Hartmann Wörtzen, geweßenen Schaffners im Waÿßenhauß und burgers alhier nunmehr seel. nachgelaßene fraw Wittib, hernachgemelten Ihren mit H. Joh: Melchior Sachßen J.V. Dre et Professore in erst. Ehe erziehlt Hh Söhnen und Fraw dochter
Jean Hartmann Wœrtz vend la maison au pêcheur Jean Melchior Memminger
1676 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 497
Servatius Klein der Weÿsenvatter, alß hiebeÿ beschienener maßen Constituirter befelchhaber herrn Johann Hartmann Wörtzen Schaffners deß waÿsenhaußes für sein eÿgene Person
in gegensein Johann Melchior Memmingers deß fischers
hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen, Rechten und zugehördten alhier im Finckhweÿler, anderseit neben Henrich Rußler, anderseit neben Philipp Eckhert dem Mußquetirer hinden uff daß waßer stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10. ß dem Stifft St. Thomæ, und 3. ß 4. d dem mehren Hospital alhier – umb 200. lb
[in margine :] Erschienen fr. Judith gebohrner Bechtin weÿl. hierinn gemeldten verkauffenden Hn principalis seel. nachgelaßene Wittib und Erbin mit beÿstand Hn Georg Jacob Sachß des handelsmanns ihres leibl. Sohns erster ehe /:weilen deren H. Vogt unpäßlichkeit halben nicht erscheinen können:/ hat in gegensein auch hierinn ged. Käuffers (quittung) Act. d. 6. Mart. 1693.
Fils du pêcheur Gaspard Adam Memminger, Jean Melchior Memminger épouse en 1658 Salomé, fille du jardinier David Gori
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 121-v n° 44)
1658. Domin: XIX. post Trinit: Hannß Melchior Memminger der fischer Caspar Adam Memmingers des gewesenen fischers v. burgers allhier hinterl. Sohn vnndt J. Salome Gorin, David Gori des Gartmanns v. burgers allhie Eheliche tochter (i 123)
Salomé Gori meurt en août 1689
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 1687-1698 f° 32)
den 23. Aug. A. 1689 ist gestorben Vnd den 25. Eius.dem begraben Worden Salome Goriin, Hans Melchior Memmigers fischers vnd fischkäuffers eheliche Haußfraw ætatis 57 iahr ihr Eltern waren David Gori burger Vnd gartenman alhie vnd Salome Westren, solche bestattung So Zu S. Gallen geschehen [unterzeichnet] Hannß Melchior Memminger, Hannß Melchior Memminger der Jünger (i 34)
Jean Melchior Memminger se remarie en 1690 avec Marie, fille du maçon Jean Bornhauer de Muttersholtz, en service depuis sept ans chez Daniel Dietrich : contrat de mariage, célébration
1690 (24.6.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 340
(Eheberedung) H. Johann Melchior Memminger der fischer alß Hochzeiter mit beÿstand H. Christoph Philipp Webers Not. an einem [unterzeichnet] h a
So dann Jungfr. Maria weÿl. Johann Bornhawers deß Maurers zu Miettersholtz beÿ Schlettstatt eheliche Tochter alß Hochzeiterin mit beÿstand H. Daniel dietrich V. J. Ddj beÿ deme Sie sich schon sieben Jahr in diensten uff gehalten am andern theÿl
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 18-v n° 92)
Heüt den 28 Junÿ 1690. ist von mir (…) nach gewohnlicher proclamation eingesegnet word. Johann Melchior Memminger der burger vndt Fischhändler allhier, undt Jungfr. Maria weÿl. Johann Bornhauers Maurers von Mietersholtz nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] x Joh: Melchior Memming. deß. handzeichen, Maria born hauerin (i 21)
Jean Melchior Memminger hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Nicolas Antoine Flach
1693 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 181
Johann Melchior Memminger der Fischer
in gegensein H. Nicolai Antonÿ Flach Medicinæ Doctoris & Practici – schuldig seÿe 75 pfund, theils Zum Ende, daß Er damit Fr. Judith gebohrner Brechtin weÿl. Hn Hartmann Würtzen gewesenen Waisenschaffners sel. nachgelaßener Wittib umb 50 lb Kauffschillings Rest auff hernach beschriebener hypothecirt. behaußung hat befriedigen können, wie in d. CContract Registr. d. A° 1676 fol. 497-b in marg. zu befind.
unterpfand, hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebaüen begriffen, recht. und zugehördt. allhier im Finckweiler einseit neb Henrich Rußler, anderseit neben Philipp Eckart gewesenen Musquetirer und. allhies. garnison hind. auffs waßer stoßend geleg. darvon gehend jährlich 10 ß d. Stifft St Thomæ und 3 ß 4 d dem mehrern Hospital allhier
Jean Melchior Memminger meurt en 1703 à l’âge de soixante-six ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1687-1710 f° 90-v)
1703. d. 2. Octobris ist morgens vmb halb 9 vhr gestorben Johann Melchior Memminger Burger vnd Fischkäuffer alhier seines alters 66. Jahr vnd ist folgend. 4. Octobris Vormittag christlich Zu S. Galli begraben word. [unterzeichnet] + dießes Zeichen hat Michael (-)sser als Verwandten hieher gesetzt, hanß Jacob Mende(-) als Verwandter (i 92)
Sa veuve se remarie en 1707 avec le pileur d’épices Jean Georges Weiss dont elle est la cinquième femme.
Fils du boulanger Jean Adolphe Weiss, le meunier Jean Georges Weiss épouse en 1652 Salomé, fille du tailleur André Lutz.
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 99-v)
1652. Dnca Rogat. 23. Maii. Hanß Geörg weiß der Müller Hanß Adolf weisen des Weißbecken s: hinderlaßener Sohn, J. Salome Lutzin Andres lutzen deß Schneiders vnd burgers alhie eheliche dochter. Mont. 31. maii Im Münster (i 1001)
Mariage, cathédrale (luth. p. 544, n° XXV) 1652. Sonnt. Rogat: 23. Maÿ. Johann Geörg weiß der Müller, weilandt hanß Adolff Weißen des burgers vnndt weißbeckhen alhie hinderlaßener Ehelicher Sohn vndt J. Salome Andræ Lutzen des burgers vnndt Schneiders alhier eheliche dochter. Mont. 31. Maÿ, Münster, Fischer stub, H. stub (i 283)
Agée de 58 ans, Salomé femme du pileur d’épices Jean Georges Weiss meurt en septembre 1684.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1664-1691, f° 106 n° 90)
1684. Septembris d. 27. Salome, hans Georg Weisen des wurtzstoßers Ehe. alt 58 jahr 7 monat (i 55)
Jean Georges Weiss se remarie en 1685 avec Anne Marie, veuve du tourneur Georges Sauter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 199-v n° 19)
1685. Majus d. 14. Hans Georg Weiß d. wurtzstößer v. burger alhie, vnd Anna Maria, hans Georg Suders des burgers vnd hohltregers hinterl. Wb. i 201) v
Le transporteur de bois Jean Georges Sauder épouse en 1656 Anne Marie, fille du transporteur de bois Michel Vetter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 114 n° 21)
1656. Dnca. Cantate 4. Maii. Hanß Geörg Sauter der Holtz Karcher Jacob Sauters deß holtzlegers ehelicher Sohn, J: Anna Maria Michel Vettern deß holtz Karchers ehelicher Son [sic] Mont. 12.t (i 115)
Jean Georges Weiss se remarie en 1695 avec Marthe, veuve du pêcheur André Blessig
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 50-v)
den 5. Octobris A. 1695. seind Copulirt Worden Hanß Georg Weiß wurtzstösser v. burger alhie v. Martha Andreä Bleßi deß fischers v. burgers alhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] hanß georg Weiß hochzeiter, martha bleßien hochzeiterin, Johann Jacob Hirschel als vockt (i 53)
André Blessig épouse en 1673 Marthe, fille du pêcheur Jean Müller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 155 n° 12)
1673. Andreas Bleßig Jun. fischer undt J. Martha, Hanns Millers des Burgers undt fischers alhie Ehel. Tochter. Donners. 17. Apr: (i 156)
Jean Georges Weiss se remarie en 1701 avec Salomé Schott, veuve du pêcheur Charles Baldner : contrat de mariage, célébration
1701 (16. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 468
(Eheberedung) Hannß Georg Weiß der Wurtzstößer mit beÿstand Johann Peter Friedel des Gerbers und Lederbereiters seines Vettern alß hochzeiter an einem
So dann Salome geb. Schottin Weÿl. Hn Carl Baldners des Fischers nun seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Johann Schotten des Haag Knechts Ihres bruders und Vogts alß Hochzeiterin am andern theÿl
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 80-v)
1701. Heut dato den 12. 8.bris Seindt Ehelichen Copulirt Worden Hannß Georg Weiß der burger vnd Wurtz stöser allhier vndt Salome weÿlandt Herren Caroli Baldtners des gewesenen burgers vischer alhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] hans georg weiß alls hochzeiter, Salome weissin als hochzeiter (i 83)
Le pêcheur Charles Baldner épouse en 1690 Salomé Schott, fille du pêcheur Jean Schott
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 22 n° 8)
1690. Auff heüte Mittwoch d. 15. Febr. seind nach gewonlicher proclamation copulirt word. Carlen Baldner d. fischer vndt B. alhier vnd Jgfr. Salome Wld. Johann Schotten deß fischers vndt Burgers alhie vnd Anna Leibingin nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Joh Carle Baldtner Als hochzeÿter, Sallome schotten ams hoch zeiderin (i 22)
Salomé Schott meurt en 1707 en délaissant pour unique héritier son frère Jean Schott, L’inventaire est dressé sur la Placette près des Moulins (aujourd’hui rue des Moulins) dans une maison dont le veuf a la jouissance viagère par sa prédédente femme Marthe Müller. La masse propre au veuf est de 25 livres, celle des héritiers de 74 livres. L’actif de la communauté s’élève à une livre, le passif à 45 livres.
1707 (6.5.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 5) n° 164
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿland die tugendsame fr. Salome Weißin gebohrne Schottin Hrn Johann Geörg weißen wurtz stößers und burgers alhier eheliche haußfr. nach ihrem Mittwoch d. 30.Mai dießes laufenden 1707.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen sein deß wittibers als auch der verstorbenen fr. seel. ab intestato nachgelaßener einigen Erbens Hn Johannes Schotten Haagen Knechts auch burgers alhier ihres leiblichen bruders (…) Actum in der Königl. freÿen Statt Straßb. auff Freÿtag den 6.ten Maÿ Anno 1707.
Inn einer alhier in der Statt Straßb. auf dem so genanten Plönel beÿ den Mühlen gelegenen und theils von dem wittiber annoch in wÿdembsgenießender behauß. hat sich befund. wie volgt.
In der Nebens Cammer, In der Wohn stuben, In der Kuchen
Ergäntzung des Erbens unveränderten guths, Vermög deß über weÿl. der Verstorbenen fr. seel. in den Ehestand zugebrachte Nahrungs Inventarÿ durch mich eingangs gemelten Notm. in Anno 1703. auffgerichtet
Norma hujus inventarii. Copia Heüraths Verschreibung
Des Wittibers unveränderten haußraths 24, Sa. Silbers 1, Summa summarum 25 lb
hierauff wird auch deß Erben unveränderte Nahr. beschrieben, Sa. haußraths 26, Sa. Silbers 1, Sa. guldenen ring 2, Summa summarum 44 lb, Summa summarum 74 lb
Endlichen wird auch die Theilbare Nahr beschrieben, So allein in wenig. haußraths Posten bestehet 1 lb – Schulden 45 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 29 lb
Schulden 62. Übertreffen also die Theilbare passiva die theilbare Nahrung dem Stallanschlag nach umb 60 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft Vermög weÿl. Fr. Martan weißin gebohrene Mullerin deß wittibers Voriger haußfr. seel. vffgerichteten Codicills §° (-) und deß beÿ dero Verlaßenschaffts Abtheilung mit der hinderlaßenen dochter Fr. Catharinæ Burgerin gebohrener bleßigin getrofenen vergleich hat der selbe in vorher angeregten behaußung den vndern Stock lebtägig ohne Zinß Zu genießen, welcher auf deßen tödliches ableiben erstgedachter seiner Stief dochter Eigenthümlich anheim fället und under derer Verstallung begrifen, zum bericht
Vergleich, Actum Straß. d. 3. Junÿ 1707.
(Parchemin) Eheberedung, Cancelleÿ Contract Stub 16. Monaths Septembris im Jahr des Herrn 1701
(Grosse) Inventarium über Deß Ehrengeachten herrn Johann Geörg Weißen Wurtzstößers, und der Ehrn: und tugendsamen Frauen Salome Weißin gebohrener Schottin, beeder Eheleuten und burgere alhier in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1703. (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem beÿsein frauen Catharinæ, H. Johann Schotten deß Hagen Knechts auch burgers alhier, der frauen bruders und geordneten Vogts frauen auf dem Montag den 4. Octobris Anno 1703. Johann Peter Kolb, Nots. juratus
Inn einer alhier in der Statt Straßb. auf dem Plönel beÿ den Mühlen gelegenen dem Mann widembsweiß Zum theil gehörigen behaußung befunden wie volgt.
Jean Georges Weiss épouse en 1707 Anne Marie Borhauer : contrat de mariage, célébration
1707 (31.10.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 672-v
Eheberedung – Joh. Georg Weiß würtzstoßer
Anna Maria geb. Bohrhauerin beÿständlich H. Leonhard Hirschels fischhändlers ihres vogts
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 7 fragmentaire)
1707. Joh: Georg Weiss vnd Anna Maria. d. 2.Novem[bris -] vnd Wurtzstoß[-] vndt Burgers [-] [unterzeichnet] hanß [-], dießes Zeÿchen h[-] (i 9)
Jean Georges Weiss et Anne Marie Borhauer hypothèquent la maison au profit de Jean Ernest Spielmann, docteur en droit et préposé au bureau de la Taille
1709 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 406
Johann Georg Weiß der Wurtzstößer und Anna Maria geb. Bohrhauerin beÿständlich hanns Jacob Menels des fischer ihres Schwagers und Johann Georg Schneider Wurtzstößer Ihres Vettern
in gegensein hrn Johann Ernst Spielmann U.J. Ddj und der Statt Stalls dreÿers – schuldig seÿen 33 pfund
unterpfand, Hauß Höfflein mit allen Gebäuen, Rechten und zugehörden allhier im Finckweiler gegen dem Frantzösischen thurn über, einseit ist ein Eck anderseit neben denen dürrischen Erben hinten auff das Wasser stoßend gelegen, darvon gehen Jährlich 10 ß bodenzinß dem Stift St Thomä, So dann 3 ß 4 d zinnß dem mehrern Hospital allhier
Jean Georges Weiss meurt en 1712 en délaissant trois enfants ou leur représentants issus de sa première femme Salomé Lutz. Les experts estiment à 175 livres la maison cédée au veuf par Gaspard Adam Memminger, habitant à Worms. La masse propre à la veuve est de 219 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 59 livres, le passif à 107 livres.
1712 (23.4.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 8) n° 310
Inventarium vnd beschreibung aller Haab und Nahrung, so der Ehrenhaffte und bescheidene Mstr. Hannß Geörg Weiß geweßener wurtzstößer und burger alhie nach seinem Mittwoch den 30. Martÿ dießes lauffenden 1712.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuch. erfordern und begehren deren ane nechst stehendem folio benambßten ab intestato nachgelaßenen Erben Zum theil und theils hernach gemelte wittib, inventirt und ersucht durch Sie die Erben und wittib Nahmentl. die Ehren und tugendsame Fr. Annam Mariam Weißin gebohrne Bornhawerin beÿständlich Hrn Johann Jacob Mäntels fischers undt burgers alhier ihres geschworne Vogten, (…) Actum in der Königl. freÿ. Statt Straßburg auff Sambstag den 23.ten April A° 1712.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zue Erben Verlaßen wie volgt. 1. Die Ehren und tugendsame Jfr. Mariam Judit gebohrne Weißin, welche dießer Inventation beneben dem Ehrenhafften Mrst Johann Bernhard Straußen Schneidern und burger, allhier ihrem geschwornen Vogten in persohn beÿgewohnt, 2. die Ehren: und tugendsame Annam Agatham gebohrne weißin, weÿl. des Simon Bubenhoffers geweßenen Schiffknechts und Schirms Verwanthen alhie Zu Straßb. seel. hinderbliebene Wittib so dem Inventation geschäfft Zugegen war, 3. et 4. Hans Geörg und Hanß Philipps weißen weÿl. Hn Philipps weiß geweßenen Müllers und burgers Zu Colmar hind.laßenen Söhne vnd dißorts Enckeln welche sich in der frembde befinden sollen.
In deren vnverburgerten Namen der wohl Ehrenveste undt wohlweiße herr Johann Braun Med. Dr. und E. E. Großen Raths alten auch E. E. Kleinen Raths Jetzmahliger wohlverdienter beÿsitzer als aus gedacht. Klein Raths Mittlen Zu dießen Inventation insonderheit deputirter herr dem geschäfft selbst hier Zugeg. gewesen, Also alle vier des verstorbenen seel. in erster Ehe mit weÿl. Fr. Salome gebohrner Lutzin seel. ehelicher zeügte und hinderlaßene Jgf. und Fr. Döchter und diß orts ab intestato nachgelaßene Erben Zu dreÿ gleich. Stammtheil
Inn einer alhier inn der Statt Straßb. im finckweiler ohnfern dem frantzösischen thurn über gelegenen und hernach beschriebenen behaußung ist befunden wirden
In der Stub Cammer, In der wohn Stub
Norma hujus inventarii – Copia des Zwischen eigangs gedachten beeden Eheleut mit einander vffgericht. heüraths verschreib.
Der Wittib unverändert hußrath 66, Sa. Silbers 13, Sa. goldenen Ring 7, Sa. Eigenthum ane vorherbeschribnen behaußung 61, Sa. Schulden 70, Summa summarum 219 lb
Hierauff wird auch der Erben unveränderte vnd die theilbare Mass vnder jr. Massa beschrieben, Sa. haußraths 53, Sa. Silbers 2, Summa summarum 59 – Schulden 107 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 149 / 171 lb
Der Erben unverändert gutt, Sa. haußraths 39, Sa. Silbers 2, Summa summarum 41
Theilbar gutt, Haußraths Posten 14 (Zusammen) 54 lb
Sa. der Erben unverändert und theilbarn Schuld 108 lb Übertreffen also die passiv Schulden der Erben unverändert und theilbar activ: Nahr. umb 52 lb
Eigenth. ane einer behauß. so der Wittib unverändert. It. hauß hoffstatt und hofflin s. allen zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßb. ohnfern dem herren Statt geg. der gedeckten brucken ein Eck 1.s. neben Sambson Köbelin des hippenbeckers wittib und Erben anderseit neben Christian N d. Kärchelzeÿher hind. vf den Zornen gieß. stoßen, welche behausung underm 24. Aprilis a° 1702. durch der Statt Straßb. geschworne herrn Werckmeistern angeschlagen word. für und umb 175 lb. d. Davon gehet ab Erstl. 3. lb Zinnß a 3. pro Ct° Hn Nicolao Anthonio Flachen Medicinæ Dri Jahrs auf d. 15. Martÿ wid.lösig in hauptgut mit 100 lb. d., It. dem Stifft St. Thomæ alhie 10 ß d bodenzinß Jahrs vf Joh. Bapt: thut in Capital 10 lb, It. dem mehrern hospithal alhie Jahrs 3 ß 4 d Zinß auf Martini ist in hauptgut 3 lb 3 ß 4 s Summa 113 lb 3. 4. Sunst über angeregte beschwerden ledig, eig. und also dem anschlag nach noch in Außwurff Zubringen 61 lb 16 ß 8 d. Darüber meldet Caspar Adam Memminger fischhändlers und burgers Zu Wormbs eigenhändigte Cession und respê transaction coram Notario beschehen mit deß eigen handzeichen bemercket de dato d. 23. Junÿ A° 170(7). Ferner soll darüber besag. ein teutsch perg. Kbr. mit der Statt Straßb. Cancelleÿ Contractstub. anhangenden Kleinen Insiegel v.wahrt, datirt d. 20.ten Aprilis 1676. wie weÿl. Melchior Memminger der Fr. erster Mann seel. solche von auch weÿl. H. Johann Wörtzen Schafnern deß weißenhaußes alhier an sich erkaufft gehabt mit N° 1 signirt welch. H. Dr Flach vnderpfands weißen werwahr haben solle.
Abschatzung den 24.ten Aprilis 1712. Weÿlandt deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Hanns Georg Weiß Wurtz stößer seel. hinderllaßene fraw Wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ dem Herren Stall über gelegen, Ein Eckh gegen den gedeckten Bruckh, hinden auff den Zornen Gißen stoßend, welche behaußung, Keller: loch, höffel, hoffstatt sambt aller Ihrer recht: und Gerechtigkeit durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Dreÿ hundert und Fünffzig gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg Geschworne Werckhleuth, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Anne Marie Borhauer veuve de Jean Georges Weiss hypothèque la maison au profit d’Agnès Spielmann, veuve du consul Jacques Wencker
1722 (7.5.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 292
Anna Maria geb. Borhauerin weÿl. hannß Georg weiß wurtzstößers wittib so ohnbevögtigt beÿständlich Johann bleßÿ fischändlers ihres vettern
in gegensein H. Jacob Wencker J.V.Ddi und registratoris allhießigen archivs als mandatarÿ seiner Fr. Mutter S.T. Fr. Agnes geb. Spielmännin weÿl. S.T. H. Jacob Wencker ältesten Ammeisters dreÿzehners und Scolarchæ Fr. Wittib – schuldig seÿen 50 pfund zu reparation hieunter beschriebener behausung
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen deroselben gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler, einseit neben Christian N. dem Kärchelzieher anderseit neben Philipp Eckert dem Reuthknecht hinten auff das waßer und gegen der Conciergerie des prisons du Roy über – davon gibt man dem Stifft St. Thomä 10 ß, ferner dem Mehrern hospitahl 3 ß 4 d, mehr hiesiger Stadt Pfenning Thurn 7 ß 6 d ane allmend zinß
Anne Marie Bornhauer veuve de Jean Melchior Memminger fait différents legs à ses frères et sœurs et institue pour sa légataire universelle sa nièce Anne Salomé Mendel, femme du pêcheur Jean Laurent Blessig pour la récompenser de ses bienfaits passés et à venir. L’ouverture du testament a lieu après sa mort le 12 août 1728.
1724 (20.10.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 107) n° 50
Testamentum nuncupativum Frauen Annæ Mariæ Memmingerin gebohrener Bornhauerin, weÿl. Johann Melchior Memmingers, gewesenen fischers und burgers allhier seel. hinderlaßener Wittib. vom 20.ten Octobris 1724. Extendirt, vide Protocollum N° 1 fol. 496.a
persönlich kommen und erschienen die tugendsame frau Anna Maria Memmingerin gebohrene Bornhauerin, weÿland des Ehrengeachten Johann Melchior Memmingers, gewesenen Fischers und burgers allhier seel. hinderlaßene Wittib. gesunden, gehend und stehenden Leibes, auch guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstandtes (…)
Ane dem Vierdten legirt die Frau Testiererin Jacobeæ und Annæ Mariæ, beede, weÿl. Frauen Eva, gebohrene Bornhauerin, Ihrer ältern Schwester seel. so letstere als ane Jacob hohen Zu Miedershultz Verheurathet ware nachgelaßenen töchtern (…)
Vor das Fünffte, will dieselbe Johann Michael Mendel dem fischern und burgern allhier weÿl. frauen Annæ Mendelin gebohrener Bornhauerin Ihrer mittlern Schwester sel. ehelich erzeugtem Sohn, 100 gulden legats weiße bestimmet (…)
Sechstens, verordnete die Frau Testiererin Frauen Catharinæ gebohrener Bornhauerin, Ihrer noch lebenden jüngern Schwester so ane einem Schneider Zu Miedershultz verheurathet gewesen, im Fall Sie Ihro der Disponentin Todfall erleben würd, Zu einem Legat 50 gulden (…)
Zu dem Siebenden, will dieselbe Meister Johann Bornhauern dem Schmidt Zu Boffzheim, Ihrem ältern bruder, oder, da dieser annoch vor Ihro der Testiererin mit tod abgienge, deßelben hinderlaßenden ehelichen Kindern ins gemein 50 gulden legiret (…)
Achtens, solle Johann Jacob Bornhauern gewesenen Schmidts Zu Obenheim Ihrem jüngeren brudern seel. hinderlaßenen Fünff Kindern inns gemein 50 gulden als ein Legat gebühren (…)
Zu dem Neundten will dieselbe Frauen Jacob gebohrener Riegin Ihrer einbändigen Schwester, so ane einem Ackersmann zu (Brun)tzenheim am Rhein Verheurathet Zehen Gulden legiret (…)
Vnd demnach Zehendten die Einsatzung der Erben eines Jeden in rechten gültigen Testaments fundament und haubtstück ist, als will Sie die Frau Disponentin Zu Ihren einigen wahren und ohngezweiffelten Testaments Erben (…) ernennet und eingesetzt haben Frau Annam Salome Bleßigin gebohrener Mendelin, Johann Lorentz Blessigs des Fischers und burgers allhier Ehewürthin, als hievorgedachter Annen gebohrener Bornhauerin Ihrer mittlern Schwester seel. eheliche Tochter Von deren Sie die Frau Testiererin biß anhero alle auffrichtige trewe und Vielfältige Guthhaten genoßen auch noch ferner Zugenießen verhoffet (…)
So geschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg und deren gemeinschaftlichen Marstall in der undern Stuben mit denen fenstern Zum theil auff die Gaß in das Finckweiler und theils in den hoff sehend (…) + Frauen Annæ Mariæ Memmingerin Handzeichen
Publicatio (…) und nun dieselbe den 12.ten dieses Monats Augusti Von dem lieben Gott aus dießer welt abgefordert worden (…) So beschehen Zu Straßburg in einer ane dem Finckweiler gegen allhiesiger Statt Marstall hinüber gelegenen von obged. Johann Lorentz Bleßig Lehnungs weiß bewohnenden behaußung auff Montag den 23.ten Aug. 1728.
Marie Borhauer, veuve de Jean Georges Weiss meurt à l’âge de 74 ans le 12 août 1728.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1710-1735 f° 89)
1728. Donnerstag d. 12. Aug: Morg. Zwischen 4. & 5. Uhr ist seelig verschiden Maria geb. Borhauerinn, weÿl. Johann Georg Weißen geweßenen Burgers vnd Wurtzstößers alhier hinderlaßener Wittwen ihres Alters 74. Jahr 6. Mon: und 7. Tag wurde Mittw. 13. Ejusd. auff dem Gottesacker .S Galli ehrlich begraben, solches bezeugen [unterzeichnet] Johan Lorentz Bleßig als verwander, Andreas Mendel als verwandter (i 93)
Fille du pêcheur Jean Jacques Mentel, la légataire Anne Salomé Mentel épouse en 1717 le poissonnier Jean Laurent Blessig, fils du poissonnier Jean Blessig
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 65-v)
Anno 1717. d. 14. Apr. seind Ehelich eingesegnet Worden Johann Lorentz Blessi der ledige Fischkäuffer Vnd Burger allhier Johannes Blessi des fischkäuffers Vnd Burgers allhie Ehelicher sohn, Undt Jungfr. Anna Salome Johann Jacob Mentels des ältern Burgers Und Fischers allhie Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann lohrentz blössi Als hoch Zeiter, Anna Salome Mendlerin als hochzeiterin (i 68) – Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 156) Anno 1717, den 14. Aprill (i 159)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports auquel est jointe une déclaration datée du 14 septembre 1728 dans laquelle l’épouse déclare avoir hérité de sa cousine la maison à l’angle du Finckwiller et de la Tour des Français.
1717 (13. 9.bris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 73) n° 239
Inventarium über Meister Johann Lorentz Plößi des Fischers und Frauen Annæ Salomeæ gebohrne Mentelin beeder Eheleuthe und bürgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert Zusammen gebrachte Nahrungen – in ihrem ohnlängst mit Gott angetrettenen Ehestand würcklich Zusammen gebracht, und Krafft der mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen und ihren Erben alß ein Unverändert und Vorbehaltenen Guth mithien die Ergäntzung derselben expressé conditionirt und bedungen – So beschehen in fernerem beÿseÿn auf seithen des Ehemanns H Johann Plößi des fischhändlers ane der Ehefrauen seithen aber Mstr Joh: Jacob Mentel des Alteren fischers beeder leiblicher Vätter und bürgere allhier Zu Straßburg den 13. 9.bris Anno 1717.
Sa. haußrath 110 lb, M. 43, F. 67
Erschienen Frau Anna Salome Blößiin Gebohrne Mentelin Hn Lorentz Bleßi des Fischhändlers und burgers alhier Ehefrau, die hat angezeigt in gegensein gedachten Ihres Manns wie daß Sie von Weÿl. Fr: Annæ Mariæ Weißin gebohrner Bornhauerin geweßener wittib und burgerin alhier ihrer baaßen Seel. als instituirte einige Erbin, neben Verschiedenen möbilien welche aber alle mit einander Verkaufft und daß geld Zum theÿl Zu außweißung der legaten ist emplojirt worden, inspecie aber eine Eckbehaußung im Finckweÿler gegen dem Frantzösischen Thurn gelegen in Anno 1728. ererbet habe worauff Sie beede Plößische Eheleuth, Zu Abtrag theils des auff besagter behaußung gestadenen Capitals theÿls aber zu außweißung der legaten, 500. fl. bezahlt – unterschriebenen Straßburg den 14. Septembris 1728, [unterzeichnet] Johann lohrentz bleßig, Anna Salome bleßigin gebohre Mendlerin
Silber, M 7, F 5 – Goldene Ring F 5 – Baarschafft F. 30 – Summa summarum Von beeden Eheleuthen zusammen gebrachter Nahrungen 158 lb, M 61, F 97
Haussteuren 27 lb
Laurent Blessig hypothèque la maison au profit de Jean Philippe Wanner l’aîné, fabricant de pain d’épice, et d’Anne Catherine Eckart, veuve du potier Jean Georges Claus.
1751 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 190
Lorentz Bleßig der fischkäuffer
in gegensein Johann Philipp Wanner des alten lebküchlers und Annæ Catharinæ geb. Eckartin vormals Johann Georg Clauß des haffners wittib, in dero wittwenstand – schuldig seÿe 225 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff, hoffstatt im Finckweiler, einseit ist ein eck gegen dem frantzösischen thurn über, anderseit neben N Sontag dem schneider, hinten auff den Zornenmühl gießen
Anne Salomé Mentel meurt en 1757 en délaissant un fils et une petite-fille issue du mariage de sa fille Marie Catherine avec le charpentier Jean Conrad Weber. Les experts estiment la maison à 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 736 livres, le passif à 309 livres.
1757 (25.5.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1170) n° 1013
Inventarium über Weiland der Ehren und Tugendsamen Frauen Annä Salome Bleßigin geb. Mentelin, des Ehrenachtbaren H. Johann Lorentz Bleßig, des ältern Fischkäufers und burgers allhier Zu Straßburg gew. Ehefrauen seel. Verlassenschafft – nach ihrem Donnerstags den 16.ten Decembris des zurückgelegten 1756.gsten jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hientritt, zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg Mittwochß den 25.ten Maÿ Anno 1757.
Die abgeleibte seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. Erstlichen, weil. Frauen Mariä Catharinæ Weberin gebohrner Bleßigin auch weil. Meister Johann Conrad Webers des gew. Zimmermanns und brs. allhier seel. gew. Ehefrauen und dießortiger jüngern tochter seel. mit demselben ehelich erziehlte tochter, alß dießeitige Enckelin nahmens Catharinam Salome Weberin seel was über 12. Jahr alt, dero geordnet und geschworener Vogt ist H Joh: Lorentz Bleßig der jüngere Fischkäuffer und burger allhier, in deme Er aber in eigener Person als Erb hierbeÿ interessiret, so wurde Andreas Weichel der Meelhändler und br. allhier zu dero theil Vogt obrigkeitlich constituirt der auch in solcher qualitæt beÿ dießem geschäfft erschienen, Und dann Zweitens nechst gemelter H Johann Lorentz Bleßig den jüngern Fischkäuffer und br. alhier welcher in Ehe lebet mit Fr. Susanna gebr. Siegwaldin, die beede dießem Geschäfft beÿwohneten, beede der Entseelten seelig respe. Sohn und Enckelin als ab intestato Zugleichen portionen haupt und Stammtheilern über die gerordnete prælegaten verlaßene Erben.
In einer allhier zu Straßburg ane den Finckweiler gegen dem frantzösisch thurn über gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behausung befunden worden wie folgt.
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlichen eine behausung, hoffstatt und höfflein, mit allen deren Gebäuden, begriffen, weiten, Zugehördden rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler, einseit ein eck gegen dem Frantzösischen thurn über ausmachend, zum theil und zum theil neben weiland Joh: Philipp Wanner des gew. Lebküchlers und burgers dahier seelig Wittib, 2.s neben H. (-) Sontag dem Schneider, hinten auff den zornen mühlgießen stoßend gelegen, davon man jahrl. der Stadt Pfenningthurn 10. ß weiter dem löbl. Collegiat Stifft St. Thomæ 10. ß und dem Mehrern Hospithal 3. ß 4. d alles ane bodenzinß zu geben verbunden. Es ist aber dieselbe durch (die Werckmeisteren) ausweißlich des zu mein Notarÿ Conc. übergebenen Abschatzung zeduls vom 3.ten Junÿ 1757. vor freÿ leedig und eigen taxirt worden pro 400. lb. Abgezogen erwehnte bodenzinß zu doppelten Capitalien gerechnet antreffende 46. 13. 4, So restiren auszuwerffen 353. 6. 8. Worüber anderst nicht schrifftliches vorhanden als des nach dem in dem dem Inv° zugebrachter Nahrung fol. 20.b den 14.ten Septembris A° 1728. eingeschriebenen berichts die abgeleibte seelig solche behaußung von weiland Frauen Anna Maria Weißin gebohrner Bornhauserin, gew. Wb. und burgerin allhier Ihrer baas seelig ererbet habe.
Abzug gegenwärtigen Inventarii, Sa. hausraths 55, Sa. Schiff und geschirr zum Fischhandel gehörig wie auch Fisch und Krebs 104, Sa. Weins und Faß 27, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 13, Sa. Eigenthums ane I.r behaußung 353, Sa. der Schulden in die Nahrung zugeltend 175, Summa summarum 736. lb – Schulden 309 lb Nach solchem abzug, Stall summ 427. lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorgeachten Meister Johann Lorentz Plößj dem leedigen Fischern und br. allhier als bräutigam ane einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jgf. Annæ Salomeæ des auch Ehrengeachten Meister Johann Jacob Mäntel, des ältern Fischers und brs. allhier ehelicher tochter, als hochzeiterin andern theils – so beschehen und verhandelt in gegenwarth und mit beÿstand der Ehren und Vorgeachten aus seiten des Hochzeiters, Herrn Johannes Plößj als des Herrn Hochzeiters Vatter und Peter Gamßen, alß beÿstands, ahne der Jgfr. Hochzeiterin seiten H. Hannß Jacob Mentel, des ältern als des Jgfr. Hochzeiterin Vatter und hannß Jacob Merdels als dero selben respectivé leiblichen bruders, aller burgere in dieser Königlichen freÿen Statt Straßburg den 31.ten Januarii Anno 1717. – Christoph Michael Hoffmann
Copia Codicillorum reciprocorum – In dem Jahr 1728 auf dienstags den 14. tag des Monaths Septembrisis (…) der Ehrengeachte Herr Johann Lorentz Plößj, Fischhändler und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Salome Plößiin gebohrne Mäntelin, beede Eheleuth und burgere allhier, Er der Mann von anhaltenden kalten Fieber übernohmen päßlich Sie die Frau aber gesund – Johann Rudolph Dinckel Notarius
Copia des von der Entseelten seelig vor mir Notario den 27.ten Augusti A° 1753. gestiffeten Codicilli – die Ehren und tugendsahme Frau Anna Salome Pleßigin gebohrne Mentelin, des Ehrenachtbaren Herrn Johann Lorentz Bleßig des ältern Fischkäuffers und burgers allhier zu Straßburg Ehefrau (…)
Jean Laurent Blessig se remarie en 1757 avec Anne Marie Schmutz, fille du poissonnier Jean Daniel Schmutz : contrat de mariage, célébration
1757 (10.8.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 578
Eheberedung Zwischen dem Ehrenachtbaren Hn Johann Lorentz Bleßig, dem ältern Fischkäuffer Wr. und burgern allhier, alß hochzeiterer ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfn. Annä Mariä Schmutzin, weÿl. H Johann Daniel Schmutz deß geweßten Fischkäuffers und burgers allhier mit auch weÿl. Fr. Maria Salome geb. Haanin nun beeder seel. ehelich erzeugter tochter alß der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand Hn Johann Jacob Brion deß küblers und burgers allhier ihres Vettern ane dem andern Theil in gegensein Hn Johann Lorentz Bleßig deß jüngern Fischkäuffers und B. dahier deß hochzeiterers eheleibl. Sohns, gepflogen
So beschehen Straßburg Mittwochß den 10.ten Augusti Anno 1757.
Unterpfand sein soll Johan lohrentz bleßig der Aelder Als hoch Zeiyer, Anna Maria Schmutzin als hoch Zeitterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 160)
Mitwoch d. 31. Aug. 1757. seind nach vorhergeschehener zusammenmahligen außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden H Johann Lorentz Bleßig der wittwer Fischkäuffer und burger allhier und Jgfr. Anna Maria weÿl. H Johann Daniel Schmutz, gewesenen Fisch Käuffers und burgers allhie nachgel. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann lohrentz bleßig Als Hochzeider, Anna Maria Schmitzin hochzeiteren (i 85)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari au Finckwiller. Ceux du mari s’élèvent à 687 livres, ceux de la femme à 423 livres.
1757 (5. 8.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1170) n° 1017
Inventarium über des Ehrenachtbaren Herrn Johann Lorentz Bleßig, des ältern, Fischkäuffers und der Ehren und tugendsamen Frauen Annä Mariä Bleßigin gebohrner Schmutzin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – in Ihren den 31.ten Augusti jüngst. angetrettenen ehestand zugebracht, welche der ursachen alldieweilen in Ihrer den 10.ten dito vor mir Notario aufgerichteten Eheberedung §° 4.to ausdrucklich enthalte abgeredt und verglichen daß einem jeeden und seinen Erben das in die Ehe bringende Vermögen vor ohnverändert verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿsein Hn Lorentz Bleßig des jüngern Fischkäufers des Ehemanns Leiblichen Sohn und H. Johann Jacob Brion des küblers und brs. allhier der Ehefrauen Vettern und beÿstandts, Straßburg Mittwochß den 5. 8.bris 1757.
In einer allhier zu Straßburg ane den Finckweiler gegen dem frantzösisch thurn über gelegenen dem Ehemann zuständigen behausung befunden worden wie folgt.
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns in den Ehestand gebrachten Vermögens, Sa. haußraths 214, Sa. Schiff und geschirr zur Fischkäuffereÿ gehörig 99, Sa. Fisch und Krebs zum Fischhandel gehörig 138, Sa. Weins und Faß 68, Sa. Silberngeschmeid 15, Sa. baarschafft 150, Eigenthums ane I.r behaußung o. Summa summarum 687 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 58, Sa. silberngeschmeid 10, Sa. Goldener Ring 3, Sa. baarschafft 59, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Schulden 141, Summa summarum 423 lb
Zweiffelhaffte und verlohren Pfenningzinß hauptgüter 100, Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 54 lb
Jean Laurent Bessig l’aîné hypothèque la maison au profit du boutonnier de soie Jean Daniel Bœringer
1774 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 323
Johann Lorentz Bleßig der ältere gewesener fischkäufer
in gegensein Johann Daniel Böringer des seidenknopffmachers – schuldig seÿe 150 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden beÿ denen gedeckten brucken schiegs gegen dem frantzösischen Thurn über einseit neben Johann Eschbanck dem schuhmacher, anderseit neben H. Rathh. Sontag dem schneider hinten auff Mühlgießen – davon gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 fl. und löbl. Stifft St Thomas 1 fl., dem mehrern hospital 5 batzen
Jean Laurent Blessig l’aîné meurt en 1779 en délaissant pour héritiers sa petite-fille Catherine Weber, femme du poissonnier Jean Mathis et son fils Jean Laurent Blessig. Les experts estiment la maison à 200 livres. La masse propre à la veuve est de 509 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 293 livres, le passif 539 livres.
1779 (13.4.), Not. Stoeber (6 E 41, 1239) n° 133
Inventarium über Weiland H. Johann Lorentz Bleßig, des ältern gew. fischkäufers und burgers allhier Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1779. (…) nach seinem Samstags den 27. Martÿ dieses 1779.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlaßen. Welche succession auf gebürende Requisition Fraun Annæ Mariæ Bleßigin geb. Schmutzin der hinterbliebenen wb. unter assistentz Mr Johann Carl Baldner des Fischers u. brs. allhier, den sie ane Vogtsstatt hierzu angesprochen, wie auch des abgeleibten aus erster Ehe erzeugten Sohns und vo, der Tochter herrühriger Enckelin als ab intestato verlaßener Erben (…) So geschehen Straßburg Dienstags den 13.ten Aprilis A° 1779.
Der abgeleibte hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstl. weiland Fraun Catharinä Weberin geb. Bleßigin auch weil. Mr. Johann Conrad Weber des Zimmermanns u. brs. allhier gew. Ehefrau der Tochter seelig mit demeselben ehelich erzielte tochter als dißortige Enckelin nahmens fr. Catharinam Salome geb. Weberin, H. Johann Mathias des Fischkäufers u. brs. alhier Ehefrau unter deßen Autorisation in die Hleffte gegenwärtiger Verl. und dann Zweitens. H. Johann Lorentz Bleßig den jüngern Fischkäufer u. brs. allhier, so sich dermalen zu Düßeldorf aufhält und in Ehe lebet mit Fraun Susanna geb. Siegwaldin, den Sohn, in die Zweite Helffte dieser Verl. in welchen Sohns nahmen erstbesagte deßen Ehefrau u. H. Rathh. Johann Michael Hirschel Fischkäufer u. br. allhier inzwischen und biß förmliche Vollmacht von ihme beÿgebracht werden wird, beÿ diesem Geschäfft abgewartet. Beede des entselten mit weiland Frau Anna Salome geb. Mentelin seiner den 16. Decembris 1756. verstorbenen Ehefrau erzeugter Sohn und von der Tr. abstammende Enckelin abs ab intestato zu gleichen portionen verlaßene Erben
In einer alhier zu Straßburg an dem Finckweiler gegen dem frantzösischen thurn über gelegenen in diese Vnd gehörigen behausung befunden worden, wie folgt
Eigenthum an einer behausung. Neml. eine behausung, hoffstatt und höflein mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden und Gerechtigkeiten alh. Zu Straßburg an dem Finckweiler, 1.s ein Eck gegen dem frantzös. thurn über ausmachend, Zum theil und Zum theil neben Mr Diemer, dem Kiefer, 2.s neben Hn Sonntag dem Actuario des 20°, hinten auf den Zornenmühl Giesen stos. gel. davon man jähr. der Stadt Pfgt. 10. ß. weiter dem Collegiat Stifft St Thomæ 10. ß. und dem mehrern Hospital 3. ß. 4. d, alles ane bodenzs. Zu geben verbunden, sonsten ledig eigen. Solche behaußung und dero Zugehörde wurde durch (die Werckmeistere) ausweislich deren Zu mein d. Not. Concept übergebenen Abschatzung Zeduls vom 5. Maÿ 1779 angeschlagen pro 200. Abgezogen erwähnter Bodenzinß zu doppeltem Capital gerechnet antreffend 46. 13. 4. So restiren auszuwerfen 153. lb. Worüber anderst ô schriftl. vorhanden als deß nach dem über des Verstorbenen und seiner erstern Ehefraun Zugebr. Narung den 14. 7.bris 1728. errichteten Inventario, Sie die erstere Ehefrau sel. solche Behaus. von weil. Fr Anna Maria Weisin geb. Bornhauerin ihrer Base ererbt habe.
Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Demnach sich beÿ vorgenommener Untersuchung der Wb. ohnveränderten Guts gewiesen, daß die vorhandene dem Stalltax nach taxirte Mass nicht hinreichen seÿn dieselbe Zu liefern, mithin kein vätterlich resp. großväterlich Gut ausfallen kan noch vielweniger an theilbar Gut zu gedencken, so habe ich Notarius um abkürzung und Ersparung der Kösten keine Separation unter der Erben ohnverändert: und der theilbaren Nahrung fomirt (…)
Norma hujus inventarii. der Wittib unverändert Vermögen. Sa. hausraths 19, Sa. Silbers 2 lb, Sa. Goldener ring 1 lb, Sa. Activ schuld 75 lb, Erg. rest 410 lb, Summa summarum 509 lb
Diesemnach wird in conformitæt obigen Berichts die übrige vorhandene Mass verzeichnet, Sa. hausraths 48, Sa. Silbers 4, Sa. Pfenningzinß und deßen Hauptguts 240, Summa summarum 293 lb – Schulden 539 lb, passiv onus 246 lb
Stall summ 415 lb
Wÿdum welchen die Abgelebte aus erster Ehe von weil. Fraun Anna Salome geb. Mentelin, laut des vor weÿl. H. Not° Christoph Michael Hoffmann d. 14.7.br 1728. geordneten Codicilli Reciproci lebtägig zu geniesen berechtiget war (…)
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Mittwochs den 10. Augusti Anno 1757. Joh. Daniel Stöber Notarius
Jean Laurent Blessig meurt le 27 mars 1779 à l’âge de quatre-vingt-cinq ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1779-1784 f° 12)
Im Jahr 1779 Sambstag den 27. Martii Nachmittag um Acht Uhr starb an Leibes Schmertzen und dazu gestoßenem Stöckfluß Hr: Johann Lorentz Bleßig gewesener Fisch Käuffer und burger allhie, Seines Alters 85 Jahr und Vier monat weniger dreÿ tag, der erblaßte Leichnam war folgenden Montag Nachmittag Zur Kirche und nach gehaltener Leichenpredigt nach Sanct Gallen begleitet und daselbst beerdigt [unterzeichnet] Johann Michael hirschel als dochdermann, Johanns Mathiß Als Enckels Mann (i 14)
Catherine Weber, femme du poissonnier Jean Mathis, rachète les parts de la maison dont elle devient seule propriétaire.
1779 (28.4.), Not. Stoeber (6 E 41, 1239) Joint au n° 133 du 13.4.1779
Erbsvergleich und Cessio der in des verstorbenen Wÿdems Narung gehörigen Behausung
persönlich erschienen S.T. Hr Johann Lorentz Bleßig, Prof. Extraord. bei alhies. Universitæt als Bevollmächtigter seines vaters und diesortigen Erben Hn Johann Lorentz Bleßig des jüngern fischkäufers u. b. alh. so sich dermalen in Düsseldorf aufhält, welcher
in Gegensein der diesortigen Miterbin Fr. Catharinæ Salome geb. Weberin, Hn Joh. Mathies des fischkäufers u. B. elh. Ehefrau freiwillig anzeigte, wie daß er seines Hn Vaters participirende helfte vor ohnvertheilt an hernach beschriebener Behausung ihro Fr. Mathiesin in ohnvertheiltem Erb käuflich cedirt und überlaßen hätte (…)
zwar Eine Behausung hofstatt und höflein mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Strasburg an dem Finckweiler, I.s I. Eck gegen dem frantzösischen thurn über ausmachend Zum theil u. Zum theil neben Mr Diemer dem Kiefer, 2.s neben Hn Sonntag dem Actuario des 20° hinten auf den Zornen Mühlgiesen stos. gel. davon man jährlich der Stadt Pfgt. 10. ß. weiter dem Collegiat Stifft St Thomæ 10. ß. u. dem mehrern Hospital 3. ß. 4. d, ane Bodenzins Zu geben verbunden, sonsten ledig eigen, als an welcher Behausung dem Cedenten die Helfte und der Cessionnariæ selbsten die übrige helfte von ihrer verstorbenen Mutter und respê. Grosmutter weil. Fraun Anna Salome geb. Mentelin erblich angefallen und die er Verstorbenen bis an sein Lebens Edne genossen hat. (…) Zweitens daß die Übernehmerin vor die per Cessionem erhaltene Helfte dem Cedenten 500 Gulden schuldig werde (…)
Viertens solle die Cessionaria gehalten seÿn der jetztmaligen Wb. Fr. Annæ Mariæ geb. Schmutzin so lang sie nach Gottes Willen am Leben seÿn wird, im Genuß und Wonung ungestört Zu kommen Zu laßen die untere Stub s. Küchen und der darneben befind. Kammer, wie auch einer andern Kammer im Hof, Platz im Holtzhaus und Keller ihr Holtz und Wein Zu logiren, als welche begriff ihro der Wb von dem Abgeleibten in der vor weiland Hn Not. Stoeber den 10. Aug. 1757. errichteten Eheberedung §° 3. Zum Wÿdems Genuß anverschafft worden, wegen welcher Beschwerde jedoch der Cedent an die Frau Cessionariam jährlich am 1. May und A° 1780. erstenmals Zehen Gulden beizutragen sich verbindlich macht, so lang die Nieserin im Leben seÿn wird
Straßburg Mittwochs den 28. Aprilis 1779.
Transcrit à la Chambre des Contrats le 9 mai 1779, vol. 653 f° 187
Originaire de Muttersholtz, Jean Mathis épouse en 1764 Catherine Salomé Weber : contrat de mariage, célébration
1764 (9.2.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 759
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Johann Matthies leediger Fischkäufer weÿl. Johann Matthies, geweßten Fischers und Burgers Zu Miedersholtz, mit Fr. Margaretha geb. Kellerin seiner hinterbliebenen Wb. ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter, ane einem
So dann die Ehren und tugendsame Jgfr Catharina Salome Weberin weÿl. H Joh: Conrad Weber, deß geweßten Zimmer Meister und burgers dahier mit auch weÿl. Fr. Maria Catharina gebohrener Bleßigin nun beeder seel. ehelich erzeugte tochter, als hochzeiterin unter assistentz dero oncle und geschwornen vogts Hn Johann Lorentz Bleßig deß jüngern, Fischkäufers und burgers dahier ane dem andern theil
Straßburg Donnerstags den 9. Februarÿ Anno 1764 [unterzeichnet] Johannes Mattiß Als Hochzeiter, Catharina Salome Weberin als hochzeitrin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p 290)
Im Jahr 1764 seind am andern und dritten Sonntag nach ostern proclamirt und folgendem 16. des Meÿs copulirt worden Johannes Matthiß Fischkäuffer vnd burger dahier weiland Johannes Matthiß geweßenen Fischers zu Rathsamhaußen und burgers in Mietersholtz mit Fr. Margaretha gebohrener Kellerin ehelich erzeugter und hinterlaßener Sohn und Jungfrau Catharina Salome weiland Johann Conrad Weber geweßenen Zimmer Meisters und burgers allhier und auch weil. Fr. Mariä Catharinä gebohrener bleßigin hinterlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Mathiß als Hochzeiter, Catharina Salome Weberin als Hochzeiterin (i 152)
Le poissonnier Chrétien Samuel Mathis rachète les parts de ses frères et sœurs et devient seul propriétaire de la maison
1821 (30.7.), Strasbourg V, Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Vente – Salomé Mathis femme Beckert, cordonnier, Marie Marguerite Mathis veuve Mentel, pêcheur, Jean Mathis, menuisier, Jean Philippe Mathis, poissonnier, Marie Madeleine Mathis femme Gerold et Susanne Marguerite Mathis femme Fichter tous de Strasbourg
au profit de Chrétien Samuel Mathis leur frère, poissonnier en cette ville
de six septièmes par indivis d’une maison avec cour et autres dépendances située à Strasbourg au Finckwiller n° 53, pour 1714 francs
acp 153 (3 Q 29 868) f° 134 du 2.8.
Chrétien Samuel Mathis épouse en 1810 Susanne Dorothée Weber, fille du tourneur Georges Henri Weber
Mariage, Strasbourg (n° 644)
L’an 1810 le 29° du mois de décembre, sont comparus Chrétien Samuël Mathiss âgé de 23 ans poissonnier né en cette ville le 16 avril 1787, y domicilié, fils de Jean Mathis, poissonnier ci présent et consentant & de feu Catherine Salomé Weber décédée le cette ville le 21 Nivôse an treize Et Marie Susanne Dorothée Weber, âgée de 24 ans, née en cette ville le 28 février 1786, y domiciliée fille de Georges Henri Weber, Tourneur, & de Marie Susanne Denjer ci présents et consentants, (signé) Chrétien Samuel Mathis, Maria Susanna Dorothea Weeber (i 84)
Registre domiciliaire, 600 MW 78 (1808 sqq) rue Finckwiller N° 53, p. 455 (i 46)
Mathiss Chrétien Samuel 28, Poissonnier
id. née Weber, Susanne Dorothe
id. Julie Sophie 19 fevr. 1815
Registre domiciliaire, 600 MW 83 (1815 sqq) p. 710 (i 274 et 276)
Mathiss Chrétien Samuel 1787, Poissonnier, Strasbourg, de rechef 1830, (auparavant) Schiltigheim, Entr 9.bre 1830
id. née Weber, Susanne Dorothée 1786, Ep, Strasbourg
id. Julie Sophie 19 fevr. 1814, Strasbourg
id. Wilhelmine Amélie 1816, Illkirch
id. Chrét. Samuel, 1819, idem
id. Aug. Frédéric 1821, Schiltigheim
id. Susanne Dorothée 1825, id.
id. Henriette Eugénie, 1826, id.
Marie Susanne Dorothée Weber meurt en 1846 en délaissant cinq enfants
1846 (28.4.), Strasbourg V, Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Marie Susanne Dorothée Weber épouse de Samuel Chrétien Mathis, marchand de poissons à Strasbourg où elle est décédée le 2 mars 1826, à la requête du beuf agissant comme commun en biens en vertu de leur contrat de mariage reçu Bossenius notaire à Strasbourg le 27 décembre 1810 , comme usufruitier de la moitié de la succession et encore comme tuteur de Dorothée Sophie Mathis et Eugénie Henriette Mathis, 2° Julie Sophie Mathis, majeure, 3° Wilhelmine Amélie Mathis épouse de Charles Pfrimmer, lithographe, 4° Frédéric Auguste Mathis, marchand de poisson tous domiciliés à Strasbourg
acp 347 (3 Q 30 062) f° 80 du 4.5. Il dépend de la dite succession un mobilier de la communauté, évalué à 1429, argent comptant 1000, créances 1714, garde robe 54
Rapport de la D° Pfrimmer 300
Passif de la communauté 600, Passif de la succession 107
Chrétien Samuel Mathis fait donation de la maison à son fils poissonnier Frédéric Auguste Mathis contre son entretien viager (un acte de notoriété constatant quels sont les héritiers de Chrétien Samuel Mathis figure à la vente passée en 1866, voir plus bas)
1864 (8.11.), Strasbourg 7 (121), Edouard Stromeyer n° 4125
Donation – A comparu Monsieur Chrétien Samuel Mathis, ancien marchand de poissons demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par ces présentes fait donation entre vifs et irrévocable avec la garantie de droit par préciput et hors part avec dispense expresse de rapport en nature
à Mr Frédéric Auguste Mathis, son fils marchand de poissons demeurant et domicilié à Strasbourg, à ce présent et acceptant une reconnaissance
d’une maison à rez de chaussée et deux étages avec cour, droits et dépendances, située à Strasbourg rue de Finckwiller n° 1, formant d’un côté le coin de ladite rue et avec la rue du pont couvert, d’un côté Mr Baldner, derrière le bras de l’Ill et la veuve Stauffert. Telle que cette maison et ses dépendances se trouvent en ce moment (…)
Origine de la propriété. M. Mathis donateur déclare que cet immeuble lui appartient savoir un 7° dans la succession de dame Catherine Salomé Weber sa mère, veuve de Jean Mathis, en son vivant marchand de poissons à Strasbourg, où elle est décédée et dont il était héritier pour un septième, ainsi qu’il le déclare. Et les six autres 7° au moyen de l’acquisition qu’il en a faite à titre de licitation de ses frères et sœurs ainsi qu’il résulte d’un contrat passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 30 juin 1821, enregistré. La dite licitation eut lieu pour le prix de 1714 francs que le donateur Mr Mathis a payé comptant à ses frères et sœurs aux termes de l’acte même. Quant à l’origine antérieure de la propriété le donateur M Mathis déclare se référer à l’acte dont s’agit qui contient de plus amples renseignements. – Entrée en jouissance (…) Charges, clauses et conditions (…) Réserve de jouissance. M. Mathis père donateur se réserve par les présentes aussi longtemps qu’il vivra le logement qu’il occupe en ce moment et qui consiste dans tout le premier étage qu’il occupe en ce moment, plus une partie de la cave et une place suffisante au grenier pour y mettre son bois. Si toutefois une partie du logement occupé par le donateur devait être louée à d’autres personnes le donataire M Mathis fils aurait droit à tous les loyers provenant du bail. Cette présente donation est faite à la charge par M. Mathis fils donataire qui s’y oblige expressément 1) de nourrir convenablement le donateur son père durant sa vie et gratuitement ainsi qu’il convient à un fils vis à vis de son père, il est bien entendu que cette nourritue devra consister en un dejeuner, un diner une * et un souper, ainsi que la personne qui le soignera, tant en santé qu’en maladie. Dans le cas néanmoins où le donateur pour n’importe quel motif ne voudrait pas se contenter de la pension que son fils est tenu de lui donner, le donataire sera tenu de lui payer à titre d’indemnité de pension une somme mensuelle de vingt francs mais dans ce cas il sera déchargé de nourrir le donateur, 2) de payer au Sr Charles Frédéric Holl (…)
acp 537 (3 Q 30 252) f° 91-v du 18.11.
Auguste Mathis épouse en 1846 Frédérique Mægert fille du propriétaire Georges Louis Mægert
1846 (31.7.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Auguste Mathiss, marchand de poissons à Strasbourg fils de Chrétien Mathiss Marchand de poissons et degibier et de feue Dorothée Weber, conjoints à Strasbourg d’une part
et Frédérique Maegert, fille majeure de Georges Louis Maegert, propriétaire et de Marie Salomée Trimbach, conjoints à Strasbourg d’autre part
acp 350 (3 Q 30 065) f° 89-v du 1.8. régime de la communauté de biens réduite aux acquêts – Donation par le père du futur époux à son fils ce acceptant une somme de 600 francs
Donation par les conjoints Maegert à la future épouse leur fille aussi acceptant 1° une somme de 1000 francs, 2° un mobilier évalué à 1069, ensemble 2069 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession réductible à moitié en cas d’enfants issus du futur mariage
Frédéric Auguste Mathis et Frédérique Mægert consentent au mariage de leur fils Frédéric Auguste
1872 (2.12.), Strasbourg 10 (170), Jean Théodore Kœrttgé n° 3024
Consentement à mariage. Mr Frédéric Auguste Mathis, marchand de poissons & D° Frédérique Maegert, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant & domiciliés à Strasbourg, Lesquels déclarent par les présentes consentir au mariage que leur fils Mr Frédéric Auguste Mathis, marchand de poissons demeurant et domicilié à Strasbourg se propose de contracter avec Madlle Wilhelmine Beyer, mineure sans état, demeurant et domiciliée au Neudorf, banlieue de Strasbourg
acp 611 (3 Q 30 326) f° 25-v du 3.12. Einwilligung durch Friedrich August Mathis Fischhändler und Friederika Maegert (1852) seiner Ehefrau in Straßburg zur vermählung ihres Sohns Friedrich August Maegert mit Wilhelmine Beyer im Neudorff
Frédérique Mægert, femme du propriétaire de bains Auguste Mathis, meurt en 1877 en délaissant trois enfants. L’établissement de bains sur un terrain appartement à la commune de Strasbourg est porté à l’inventaire
1877 (25.10.), Strasbourg 9 (144), Jean Mossler n° 1168
Erbverzeichnis über den Nachlaße der zu Straßburg am 12. Mai 1877 verlebten Friederika Maegert lebend Ehefrau von August Mathis
25. October 1877. Erbverzeichnis – Erschienen August Mathis, Badenastalt Besitzer, gedeckte brücken N° 8 zu Straßburg wohnhaft, Welcher Comparent folgende Erklärungen abgab, er habe sich mit Friederike Maegert im August 1846 verheirathet, nach deme sie zuvor einen Ehevertrag errichtet hatten, aufgenommen durch den vormaligen Notar Lauth zu Straßburg am 31. Juli 1846, worin sie die auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft angenommen (…), Seine frau sei nun zu Straßburg am 12. Mai 1877 verstorben und habe zu ihren einzigen und gleichberechtigten Erben hinterlassen ihre mit ihm den Comparirenden erzeugten drei ehelichen Kinder a) August Mathis, Eisenbahn beamter zu Steinburg wohnhaft, b) Albert Mathis, Schreiner zu Straßburg wohnhaft, c) Emil Mathis, früher frantzösischer Soldat heute ohne bekannte Wohn- und Aufenthaltsort
B. Immöbel der Gütergemeinschaft. Die Materialien einer Badeanstalt gelegen zu Straßburg Gedeckten brücken N° 8, errichtet auf einem Terrain, das Eigenthum der Statt Straßburg ist (…)
acp 671 (3 Q 30 386) f° 98-v n° 3882 du 20.10. (Stvf. Erkl. Regist. Bd. 63 Bl. 110 N° 108 – Nachlaß Erkl. am 26. Oktober 1877 Band 125 N° 482) Gemeinschafft 1° Mobilien und Getüch 522, 2° die Materialien einer Badeanstalt, jährlichen Bruttoertrag von 640 M
Nachlass 1° Eingebrachte, noch vorhandene Mobilien 369, 2° Kleider 60
Ersatzforderung a) des Nachlasses für eingebrachtes Geld 800, b) des Wittwers für bezogenen Kaufpreis einer Sonderguts Liegenschaft laut Urkunde des Notars Zimmer zu Straßburg vom 2. August 1866, 320.
Passiv der Gemeinschafft 9600, Passiv des Nachlasses 160
Nouvel inventaire
1878 (28.12.), Strasbourg 9 (146), Jean Mossler n° 1970
28. Dezember 1878. Inventarium über 1. die Gütergemeinschaft welche bestanden hat zwischen Herrn August Mathis, Vater, Badenastaltbesitzer in Straßburg wohnhaft und desen am 12. Mai 1877 daselbst verlebten Ehefrau Friederike Maegert, 2. den Nachlass dieser Letztern
auf Anstehen und in Gegenwart von I Herrn August Mathis, Vater, Badenastaltbesitzer in Straßburg, gedeckte brücken N° 8 wohnhaft, handelnd a) wegen der Gütergemeinschaft die zwischen ihm und seiner gewerblos bei ihm wohnhaft gewesenen und verlebten Ehefrau Friederika Maegert bestanden hatte, zufolge eines Ehevertrages aufgenommen von Notar Lauth zu Straßburg den 31. Juli 1846, b) wegen allfallsiger Ersatzforderung und Ersatzansprüche, c) als lebenslänglicher unentgeltlicher und cautionsfreier Nutznießer der Hälfte des Vermögens seiner genannt verlebten Ehefrau zufolge des schon erwähnten Ehevertrags
II. herrn Peter Wilhelm Hendel, Notariatsclerc in Strassburg wohnhaft, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter von August Mathis Sohn, Eisenbahn beamter zu Pange bei Metz früher zu Steinburg wohnhaft (…), III. herrn Albert Mathis, Schreiner zu Straßburg wohnhaft, IV. herrn Constantz Schmitz, Kaiserlicher Notar zu Strassburg wohnhaft, handelnd hier als Vertreter und Repräsentant von Emil Mathis, früher Soldat in frantzösischer diensten, dermalen ohne bekannte Wohn- und Aufenthaltsort abwesend, hierzu ernannt durch Urtheil des kaiserlichen Civilgerichts (…), die genannten August Mathis Sohn, Albert Mathis und Emil Mathis, einzige Kinder und alleinige Erben ihrer verlebten Mutter Friederika Maegert Ehefrau von dem Comparenten herrn August Mathis Vater (…)
Vorbericht. Die Eheleute Mathis-Maegert verheiratheten sich zu Straßburg im Sommer des 1846 nachdem sie zuvor den schon besagten Ehevertrag vor Herrn Notar Lauth in Straßburg am 31. Juli desselben Jahrs errichteten
Immöbel. section P N° 930, 930 & 930 die Matelialen einer Badenanstalt an den gedeckten Brücken n° 8 genannt Bains Mathis (…)
acp 686 (3 Q 30 401) f° 44 n° 38 du 8.1. (vacation du 28 décembre 1878) Mobilien der Gemeinschafft 1554, II. Immöbel section P 930 die Matelialen einer Badenanstalt an den gedeckten Brücken n° 8 genannt Bains Mathis
Nachlass, Möbel und Kleider 412
acp 693 (3 Q 30 408) f° 88-v n° 1611 du 8.8. (vacation du 7 août) Pasiva der Gemeinschafft 12.607, des Nachlasses 236, Ersatzforderung des Wittwers 800, des Nachlasses 2197
Liquidation et partage correspondants
1879 (7.8.), Strasbourg 9 (148), Jean Mossler n° 2414
Liquidation und Theilung über 1. die Gütergemeinschaft, welche bestanden zwischen Herrn August Mathiss, Vater, Fischhändler in Straßburg wohnhaft und dessen am 12. Mai 1877 daselbst verlebten Ehefrau Friederike Maegert, 2. den Nachlass dieser Letztern
Errichtet durch den kaiserlichen Notar Mosser im Amtssitze zu Straßburg, hierzu committirt durch Urtheil des kaiserlichen Landgerichts Straßburg erste Civilkammer vom 22. Juli 1878 erlassen. In Sachen des August Mathiss Sohn, Eisenbahnbeamten früher in Straßburg, heute zu Pange bei Metz wohnhaft, Klägern vertreten durch den Advocat Anwalt Weber zu Straßburg
Gegen August Mathiss, Vater, Fischhändler früher Badenastaltbesitzer zu Straßburg wohnend, vertreten durch den Advocat Anwalt Ott zu Straßburg und gegen 1. Albert Mathiss, Schreiner zu Straßburg wohnend vertreten durch den Advocat Anwalt Weber und Constantz Schmitz, Kaiserlicher Notar zu Strassburg wohnhaft, handelnd hier als Repräsentant des abwesenden Emil Mathiss, vertreten durch den Advocat Anwalt Zinck in Straßburg Mitberklagte, deßen Dispositiv wörtlich also lautet (…)
Vorbericht. §. 1 Verheirathung der Eheleute Mathiss (…)
§. 2 Ableben der Frau Mathiss
§. 3 Inventarium
§. 4. Versteigerung der Bade-Anstalt
§. 5 Mobilien-Versteigerung
acp 693 (3 Q 30 408) f° 88-v n° 1612 du 8.8. – Gemeinschafft 1) Mobiliarerlos 1436, Zuschlag 143, 2) Erlos des Bades 20.020, Zuschlag 2002, 3) Zinsen der letztern Summe 44, zusammen 23.646 – Schulden 17.956, bleiben 5690
Nachlass (1/2 der Gütergemeinschaft) 2845, Ersatzansprüche 2197, Mobiliarerlos 506, zusammen 5549, Passiva 271, bleiben 5278
Anweisungen (…)
Frédéric Auguste Mathis meurt en 1890 en délaissant trois enfants de sa première femme Frédérique Mægert et trois de sa veuve Caroline Kœnig
1890 (6.2.), Strasbourg 4 (181). Charles Lauterbach n° 13.347
Erbverzeichnis über den Nachlass des am 6. Januarÿ 1890 dahier verstorbenen Fischhändlers Friedrich August Mathiss Vater, Ehemann von Karoline König
Im Jahre 1890 Donnerstag den 6. Februar um acht Uhr morgend zu Strassburg auf der Amtsstube des nachgenannten amtierenden Notars, Auf Ansuchen und in Gegenwart von 1. Frau Caroline König, ohne Gewerbe zu Strassburg wohnhaft Wittwe des ehemaligen Fischhändlers Friedrich August Mathiss Vater, handelnd a) eigenen Namens 1) als Teilhaberin für die Hälfte der zwischen ihr und ihrem genannt verlebten Ehemann in Ermanglung eines Ehevertrags bestandenen gesetzlichen Gütergemeinschaft, 2) wegen der Ersatzansprüche und eheweiblichen Vorteils und Forderungen, die sie an dieselbe Gütergemeinschaft beziehnungsweise an dem Nachlass ihres Ehemanns geltend zu machen haben kann, 3) Ams Schenknehmerin ihres Ehemanns eines Kindteiles zu vollem Eigenthum (…) zufolge einer Schenkung zwischen Ehegatten erreichtet durch den unterzeichneten Notar am 16. Oktober 1889, registrirt zu Strassburg I den 15. Januar 1890, 4) Als Nutznießerin in Gemäßheit des Gesetzes des Vermögens ihrer nachgenannten Kinder, welche ihr 18. Lebensjahr noch nicht erreicht haben bis zu diesem Alter respektive ihrer vorherigen Emancipation unter den Lasten Rechtens, 5) Als Cessionaria der beweglichen Erbrechte von herrn Friedrich August Mathiss Sohn, Zeichner und Techniker in Strassburg wohnhaft und von Herrn Albert Mathiss, Bleiarbeiter in Mülhausen von beweglichen Erbrechten errichet vor dem unterzeichneten Notar am 23. Januarÿ 1890
c) in ihrer Eigenschaft als gesetzliche Vormünderin ihrer nachgenannten minderjährigen aus der zwischen ihr und ihrem gedachten Ehemann bestandenen Ehe entsprossene und bei ihr domizilirten Kinder, nämlich 1) Carl August Mathiss, geboren am 30. November 1880, 2) Lina Mathiss geboren den 14. Mai 1887, 3) Paul Mathiss geboren den 23. August 1889,
2) H. Dr. Anton Keller, Kaiserlicher Notar in Strassburg wohnhaft, handelnd als Vertreter des Herrn Emil Mathiss Angstltellter in Batavia (Insel Java) wohnhaft (…) 3) Adolph Dö* Portier im Schlachthaus in Strassburg wohnhaft, handelnd in seiner Eigenschaft als Nebenvormund obgenannten Minderjährigen (…)
die genannten 1) Friedrich August Mathiss Sohn, 2) Albert Mathiss, 3) Emil Mathiss Kinder entsprossen aus der erster Ehe des genannten Herrn Friedrich August Mathiss, Vater mit seiner vor ungefähr 13 Jahren verstorbenen erstern Ehefrau Friederike Maegert, 4) Carl August Mathiss, 5) Lina Mathiss, 6) Paul Mathiss diese drei entsprossen aus der Zweiten Ehe des herrn Friedrich August Mathiss Vater mit seiner zweilten Ehefrau und heutigen Wittwe Caroline König obgenannt und die genannten sechs Kinder einzig und allein errberechtigt jedes für ein Sechstel am Nachlass ihres genannten verlebten Vaters des Herrn Friedrich August Mathiss, Vater, welcher zu Straßburg am 6. Januarÿ letzthin gestorben ist ohne andere letztwillige Verfügung getroffen zu haben als die schon hiervorn erwähnten Schenkung zugunsten seiner heutigen Wittwe
acp 824 (3 Q 30 539) f° 79 n° 4021 du 13.2. (Sterbf. T. Bd 76 Bl.107 n° 6 – Sterbf. Erkl. v. 22.5.90 Bd. 167 N° 83) Gesetzliche Gütergemeinschaft, Mobilien 746, Schulden 886
Nachlass, Kleider 18, Schulden 90
Frédéric Auguste Mathis fait donation d’une part d’enfant à sa femme
1890, Charles Lauterbach
16. Oktober 1889 – Schenkung durch den am 6. Januar 1890 hier verstorbenen Fischhändlers Friderich August Mathis, an seine Ehefrau Karoline Koenig
eines Kindantheils seines Nachlasses zu vollem Eigenthum
acp 822 (3 Q 30 537) f° 97 n° 3512 du 15.1. (Stbf. T. Bd. 76 Bl. 107 N° 6 – Sterbf. Erkl. v. 22.5.90 Bd. 167 N° 83)
Frédéric Auguste Mathis meurt le 6 janvier 1890 à l’âge de soixante-huit ans
Décès, Strasbourg (n° 62) Strassburg am 7. Januar 1890. Vor dem Standesbeamten erschienen heute Karoline Mathiss geborene Koenig, wohnhaft zu Strassburg, Finkweiler 11, und zeigte an, daß ihr Ehemann der Fischhändler Friedrich August Mathiss, 68 Jahr alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Schiltigheim Unter-Elsass Wittwer von Friederike Maegert, Sohn des hier verstorbenen Eheleute Christian Samuel Mathiss, Fischhändlers und Susanna Dorothea Weber, in der Anzeigenden Wohnung am 6. Januar des Jahres 1890 Nachmittags um drei Uhr verstorben sei (i 32)
Frédéric Auguste Mathis et Frédérique Mægert vendent la maison à Catherine Frédérique Bott, veuve de l’aubergiste Charles Stauffert pour 16 000 francs
1866 (2.8.), Strasbourg 10 (156), Louis Frédéric Zimmer substitué par Charles Victor Holtzapffel n° 16.722
ont comparu Mr Frédéric Auguste Mathis, marchand de poissons et Dame Frédérique Maegert son épouse agissant sous son autorisation, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, Lesquels ont par les présente vendu (…)
à Mad° Catherine Frédérique Bott, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M. Charles Stauffert, en son vivant aubergiste en la même ville, acquéreuse ci présente et acceptant
Désignation. Une maison à rez de chaussée et deux étages avec cour et autres appartenances et dépendances, située à Strasbourg rue du Finckwiller n° 1, formant d’un côté le coin de cette rue et de la rue des ponts couverts, tenant de l’autre côté au Sr Baldner par derrière à la veuve Stauffert et à un bras de l’Ill.
Etablissement de propriété. La dite maison appartient à M. Mathis au moyen de la donation qui lui en a été faite par le Sr Chrétien Samuel Mathis, son père, marchand de poissons à Strasbourg, aux termes d’un acte passé devant M° Stromeyer notaire à Strasbourg en présence de deux témoins le 8 novembre 1864, transcrit au bureau des hypothèques la même ville le 24 juin 1865 volume 1007 N° 24. Cette donation a été faite I. sous la charge de laisser à son père donateur à titre gratuit et viager le logement du premier étage et de le nourrir et soigner tant en santé qu’en maladie, laquelle charge se trouve aujourd’hui éteinte le Sr. Mathis père étant décédé le 30 mars 1866. II. sous la condition de payer (le montant d’obligations) 5600 francs. Ladite maison appartenait au Sr Mathis pere pour en avoir recueilli un 7° dans la succession de D° Catherine Salomé Weber, veuve de M. Jean Mathis, vivant marchand de poissons à Strasbourg, sa mère dont il était héritier pour pareille portion. Et pour avoir acquis les six 7° restants de ses frères et sœurs à titre de licitation aux termes d’un contrat passé devant ledit M° Grimmer le 30 juin 1821, lequel contient quittance du prix y stipulé, le tout ainsi que les vendeurs le déclarent
Etat civil des vendeurs et situation hypothécaire. Les époux Mathis certifient qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts suivant leur contrat de mariage reçu par M° Grimmer notaire à Strasbourg le 31 juillet 1846 (…) – Prix et délégation. En outre la présente vente a été faite et acceptée moyennant le prix de 16.000 francs (…)
Notoriété. Aux présentes sont encore intervenus (…) lesquels ont, par ces par présentes, attesté pour vérité et notoriété à qui il appartiendra qu’ils ont parfaitement connu M. Chrétien Samuel Mathis, en son vivant ancien marchand de poissons à Strasbourg et savoir qu’il est décédé en cette ville le 30 mars 1866, qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire et qu’il a délaisse pour seuls héritiers chacun pour un quart ses quatre enfants issus de son mariage avec D° Dorothée Weber, son épouse défunte, ledit Sr Mathis fils vendeur, la Dlle Mathis, la D° Hartmann et la D° veuve Pfrimmer, tous sus nommés (Dlle Sophie Dorothée Mathis, majeure demeurant à Strasbourg, D° Henriette Eugénie Mathis, épouse de M Georges Hartmann, teneur de livres demeurant à Strasbourg, D° Amélie Wilhelmine Mathis demeurant à Strasbourg veuve de M. Charles Pfrimmer, en son vivant lithographe en la même ville)
acp 555 (3 Q 30 270) f° 92 du 3.8.
Charles Frédéric Stauffert épouse en 1847 Catherine Frédérique Bott, originaire de Mittelbergheim
Mariage, Strasbourg (n° 277)
Du 29° jour du mois de juillet l’an 1847 à dix heures du matin. Acte de mariage de Charles Frédéric Stauffert, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 février 1826 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Employé au chemin de fer, fils de Jean Léonard Stauffert, garde Champêtre et de Caroline Eberlé, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants
Et de Catherine Frédérique Bott, majeure d’ans, né en légitime mariage le 29 juillet 1825 à Mittelbergheim (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Jacques Bott, vigneron décédé à Mittelbergheim le 15 décembre 1830 et de Catherine Friedrich domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (i 23)
Registre domiciliaire 600 MW 371 (i 34)
Stauffert, Charles Frédéric, Strasbourg 25, h.m. cabaretier, luth. français, (à Str.) dsn – décédé le 3 mai 1858
id. née Bott Frédérique, Mittelbergen 25, f.m., sa femme, (à Str. depuis) 1829
id. Léonard, Strasbourg 47, son fils
id. Charles, Strasbourg 49 g, son fils
id. Caroline, Strasbourg 53, f, sa fille
Stauffert née Oberlé, Caroline, Grünthal 90 V° sa mere, badoise, (à Str. depuis) 1846
rue des Ponts couverts 53 / 5
Catherine Frédérique Bott, veuve de l’aubergiste Charles Stauffert, hypothèque la maison au profit de l’aubergiste Jacques Stauffert
1884 (17.10.), Strasbourg 4 (163), Charles Lauterbach n° 9196
Obligation – Erschien Frau Katharina Friederike Bott, ohne Gewerbe in Strassburg wohnhaft, Wittwe des Gastwirts Herrn Karl Stauffert, dieselbe bekennt andurch rechtmäßigerweise schuldig geworden Zu sein
An Herrn Jacob Stauffert, Schiffer und Gastwirt in Strassburg wohnhaft, Welcher hier zugegen ist und dies annimmt. Capital die Hauptsumme von 2400 Mark (…)
Verpfändung. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und zwei Etagen sammt Hof, Rechten und Zubehörden zu Straßburg Finkweilerstraße N° 1 an der Ecke dieser Straße und derjenigen zu den gedeckten Brücken gelegen, begrenzt einerseits durch Baldner, anderseits durch Stauffer.
Eigenthumsnachweis. Frau Wittwe Stauffert hat diese Liegenschaft erkauft von Herrn Friedrich August Mathis, Fischhändler und dessen Ehefrau Friederike Maegert in Straßburg damals beide wohnhaft, Letztere seither verstorben, laut Urkunde des Notars Holtzapffel in Strassburg, Vertreter des Notars Zimmer daselbst vom 2. August 1866, überschrieben beim Hypothekenamte zu Straßburg den 14. desselben Monats Bd. 1869 N° 47 und gleichzeitig Offizialeinschreibung im Bd. 929 N° 28. Der Kaufpreis betrug 1600 Franken. Hierauf und heute nach der Erklärung der Schuldnerin noch geschuldet (…). Das besagte Wohnhaus ist dem Herrn Mathis geschenkt worden durch Herrn Christian Samuel Mathis, ehemaliger Fischhändler in Straßburg seinen Vater, laut einer Urkunde des früheren Notars Stromeyer in Straßburg vom 8. November 1884 überschrieben beim Hypothekenamte daselbst den 24. Januar darauf Bd. 1007 N° 24. Das fragliche Wohnhaus gehörte Herrn Mathis Vater um ein Siebentel davon im Nachlasse der Frau Katharina Salomea Weber Wittwe des Fischhändlers Herrn Johann Mathis aus Strassburg seiner Mutter an welcher er für disen Antheil erbberechtiget war, geerbt zu haben – Feuerversicherung (…)
La brasserie de l’Espérance renonce à son droit de préemption contenu dans un bail passé avec la veuve Charles Stauffert le 9 février 1895
1896 (26.2.), Charles Lauterbach n° 18.902
Verzicht durch die Firma Brauerei zur Hoffnung in Schiltigheim
auf das Vorkaufsrecht eines Hauses der Wittwe Carl Stauffert hier
Finkweilerstraße N° 1 enthalten in einem Pachtvertrag reg. in Schiltigheim 9. Februar 1895 N° 864 Bd. 49 Bl. 67
acp 909 (3 Q 30 624) f° 55 n° 5687 du 27.2.
(reg. ssp. 49 manque aux Archives)
L’entrepreneur de fourrages Michel Stieber fait vendre par adjudication judiciaire contre Catherine Frédérique Both, veuve de Charles Stauffert. L’acquéreur est Lazare Levy pour 8500 marks
1896 (21.9.), Charles Lauterbach n° 19.485
Zwangsversteigerung in Sachen des Michael Stieber, Fouragelieferant in Straßburg
gegen Katharina Friederike Both Wittwe des Wirts Karl Stauffert ohne Gewerbe in Kronenburg, auf Grund Beschluß des A.G. hier vom 10. Juli 1896 wegen 800 M. geschuldet laut Vollstreckung vom 3. Mai 1894.
Zuschlag an Lazarus Levy, Kaufmann in Straßburg
Bann Straßburg, P 1180, ungefähr 1 a 00 Wohnhaus mit Erdgeschoß und zwei Stockwerken samt Hof, Grund & Boden Finckweilerstraße N° 1, Ecke dieser Straße und derjenigen bei den gedeckten Brücken, erkauft Holtzapffel 2. August 1866.
Bedingungen, Genuß sofort, Steuern seit 1/4.96, Jährlicher Steuerbetrag 39,18 M, Zuschlag um M. 8500
acp 918 (3 Q 30 633) f° 18 n° 3086 du 26.9.