49, rue des Grandes Arcades


Rue des Grandes Arcades n° 49 – V 172 (Blondel), N 1075, ensuite section 63 parcelle 98 (cadastre)

Ancienne maison zum Glasshoff (cour au verre), démolie en janvier 1906
Nouveau bâtiment (anciens n° 47 et 49), maître d’ouvrage Brasserie au Lion de Munich, architecte Paul Dietze (1906)


Oriel remonté place du Temple-Neuf (juin 2025) – Oriel dessiné par Staatsmann (Denkmalarchiv, DRAC Grand Est, cote DAR 482 B 092-11)

La maison appelée Glasshoff (cour au verre) qui a deux auvents entre lesquels se trouve un oriel en pierre appartient en 1587 (Livre des loyers communaux) au notaire Martin Hartmann. Elle doit son nom aux vitriers qui l’habitaient en 1384 d’après Adolphe Seyboth (Johannes et Lauwelin fratres et Jerkelin, factores vitrorum, éd. en allemand p. 51). L’article de Charles Statsmann publié en 1906 dans la Revue alsacienne illustrée (Ein zum Abbruch bestimmtes alt-Strassburger Gebäude – un bâtiment du vieux Strasbourg voué à a démolition) cite le millésime 1558 sur la paroi intérieure du mur des arcades et 1614 sur une porte de la maison avant qui donne dans la cour. La maison appartient pendant vingt ans (1614-1638) au tisserand Daniel Heuss puis au boulanger Jean Georges Dambach (1638-1672). Les propriétaires suivants sont réformés, les négociants Gaspard de Beyer (1676), Jean Jacques de Beyer (1705) puis le conseiller intime des comtes de Deux-Ponts Jean Rodolphe de Beyer (1742). Gaspard de Beyer acquiert en 1677 un terrain sous les arcades et quelques années plus tard un étal transformé en écurie donnant sur la place des Dominicains (Temple-Neuf). Jean Jacques de Beyer reconstruit en 1717 l’écurie détruite par un incendie en y ajoutant un étage et deux pignons en pierre. D’après le billet d’estimation dressé en 1741, la maison comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral à droite, un autre à gauche de la cour et un vieux bâtiment arrière où se trouvent un entrepôt, une buanderie et une pièce à tabac. La maison qu’achète en 1750 le négociant Georges Wachter reste aux mains de ses descendants jusqu’en 1840.


Les Grandes Arcades entre la rue des Dominicains à gauche et la ruelle Sainte-Marguerite à droite, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 187 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) cite une maison à rez-de-chaussée et quatre étages en maçonnerie et un oriel (lanterne). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade des Grandes Arcades se trouve à droite du repère (b) : deux arcades au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à cinq niveaux de trois lucarnes. Les bâtiments qui donnent sur la place du Temple-Neuf se trouvent de part et d’autre du repère (u’), celui orienté au nord à gauche (porte au rez-de-chaussée, fenêtre à l’étage) et celui orienté vers l’est à droite (porte cochère, deux étages à une fenêtre). La cour H représente l’arrière (7-8) du bâtiment donnant sur les Grandes Arcades, le bâtiment latéral (8-9-10) à gauche de la cour, le bâtiment (10-1-2) au fond de la cour puis le bâtiment latéral de droite (3-4-5-6) et l’aile en retour (6-7) à galeries.
La maison porte d’abord le n° 35 (1784-1857) puis le n° 49.


Elévations place du Temple-Neuf – Plan, cour H
Plan des Ponts-et-Chaussées, 1856 (ADBR, cote 2 SP 22)

Le négociant Victor Schwartz loue puis acquiert la maison qu’il loue aux droguistes Louis Wilhelm (1860) puis Jean Diebolt (1877, 1894). La Brasserie du Lion, société anonyme à Munich achète la maison en 1897 puis la voisine en 1898. Elle fait démolir les anciens bâtiments en 1906 et construire un nouveau (voir le n° 47). L’oriel a été remonté sur la façade place du Temple-Neuf. Des vestiges d’une tour romaine ont été mis à jour lors des démolitions et classés au titre des monuments historiques le 27 décembre 1920. Voir ensuite le n° 47


Façade place du Temple-Neuf (avril 2016 et septembre 2007)

Plan général, plan du deuxième et du premier étage – Elévation du bâtiment à gauche de la cour – Escalier

Coupe du bâtiment avant – Galerie – Plans – Fenêtres en grès du bâtiment ouest (Denkmalarchiv, DRAC Grand Est, cotes DAR 482 B 092-10, 11, 14 et 15)

septembre 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Martin Hartmann, notaire, et [(1564) Anne Lauffer], (1578) Ursule Wanner – luthériens
1612* adj Christophe d’Offenbourg, grand bailli à Schopfheim, et Susanne Hœcklin de Steineck
1614 v Daniel Heuss, tisserand, et (1602) Cléophée Beuchel – luthériens
1638 v Jean Georges Dambach, boulanger, et (1630) Marthe Hartung – luthériens
1672 v Isaïe Jean Andres, marchand, et Catherine Bernus – réformés
1673 v Jacques Bernus, marchand à Hanau, et Marie Steining – réformés
1676 v Gaspard de Beyer, droguiste, et (1673) Barbe Saltzmann – réformés
1705 h Jean Jacques de Beyer, négociant, et (1709) Sara Wettstein – réformés – remariée (1741) avec le banquier Christophe André Sommer veuf de Marie Dorothée Langrœthinger
1742 h Jean Raoul de Beyer (Jean Rodolphe de Beyer), conseiller intime des comtes de Deux-Ponts, et Anne Salomé Sommer puis (1775) Sophie Elisabeth de Dietrich – réformé et luthériennes
1750 v Georges Wachter, négociant, et (1747) Marie Madeleine Hammerer – luthériens
1770 h Jean Henri Wachter, négociant, et (1776) Catherine Elisabeth Birr – luthériens
1810 h Georges Henri Wachter, négociant, et (1804) Christine Aufschlager et (1814) Salomé Birr
1845 h Alfred° Oscar Wachter, capitaine
1840 v Louis Victor° Schwartz, négociant, et (1840) Henriette Kob
héritières testamentaires, Victoire Kob, veuve de Jacques Mercklin,
Elisabeth Fanny Kob, femme de Louis Jules Himly
1897 v Brasserie du Lion, société anonyme à Munich (Aktienbrauerei zum Löwenbräu in München)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 3250 livres en 1741

(1765, Liste Blondel) V 172, George Wachter
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wachter, 7 toises, 2 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1075, Wachter, Henri, père droguiste – maison, sol – 6,1

Locations

1842, Louis Victor Schwartz, commis négociant (futur propriétaire)
1860, Louis Wilhelm, droguiste, et Marie Caroline Saueressig
1877, 1894, Jean Diebolt, droguiste, et Marguerite Urban

Livres des communaux

Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 152
Le notaire Martin Hartmann doit 8 sols pour une porte qu’il a ouverte sur la place des Prédicateurs (Temple-Neuf) pour la première fois à la Saint-Laurent 1579. Le contribuable suivant est le drapier Daniel Heus qui donne deux livres en 1627

Item viij ß gibt Martinus Harttman der Notarius von Einer thüren so Im durch sein behusung vff den Prediger Kirchhoff Zubrechen Zugelaßen worden, Aller maßen mitt gedingen wie andern hieuorgemelt daßelb Auch bewilligt, gefallen der Erst Zinns, vff Sant Laurentien tag Anno &. xv C Lxxix
(rub.) Daniel heuß der Tuchman 2. lb 10 ß 2. Martÿ 1627.
Neü 229

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 132
Martin Hartmann doit 5 livres 11 sols pour sa maison dite Glashoff, à savoir un terrain communal (26 pieds ½ de long, saillie de 24 pieds ½) où se trouve une porte de cave inclinée (8 pieds ½ de long, 7 pieds de large) un soupirail incliné (3 pieds ½ de long, 3 pieds de large) et un étal de drapier (9 pieds de long, 2 pieds de large), item un établi (6 pieds ½ de long, 21 pouces de large), à l’extérieur deux auvents (25 pieds de long, saillie de cinq pieds) entre lesquels se trouve un oriel en pierre (8 pieds de long, saillie de 3 pieds ½), à l’intérieur deux piliers en pierre et deux arcades, à l’extérieur un pilier en pierre et deux demi-piliers en pierre, en outre un chenal.

Die groß Erbslaübe
Martin Harttmann hatt vor seinem hauß der Glaßhoff genandt, die Allmendt 26 ½ schu lang, Vnndt 24 ½ schu herauß, Darund. ein ligende Kellerthüer 8 ½ schu lang vnd 7 schu breit, Ein ligendt Keller fenster 3 ½ schu lang vnd 3 schu breÿt, Darunder auch ein Tuchscherer Banckh 9 schu lang vnd 2 schu breÿt, Item mehr ein Schnitz Banckh 6 ½ schu lang, vnd 21 Zoll breÿt, Außwendig 2. Wettertächlin dar Zwischen ein steinerin Erckher, seindt die Tächlin 25 schu lang vnd 5 schu herauß, Inwendig Zwo steinerin Saulen vnd Bög. vnd außwendig ein steinerin Saulen, vnd zwo halb steinerin Saulen, Ist der Erckher 8 schu lang vnd 3 ½ schu herauß, Hatt auch einen durchgehenden Naach, Soll Allmend sein vndt bleiben, Bessert für das Niessen, v lb xi ß d

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 229
Le loyer est reporté du registre D au premier registre comptable sous le nom de Jean Georges Dambach

Johann Görg Danbach, Soll gemeiner Statt, Von der behaußung Vnder der Großen Erbslauben, neben den Gaßnerischen Erben Vndt Görg Klugen, Laurentÿ 2 lb 10 ß d
altt. d. 152
New fol. 199

1673 Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 199-v
Report au registre suivant. Les contribuables sont ensuite Jacques Bernus de Hanau, Gaspard Beyer et Jean Jacques Beyer. S’ajoute (1680) un loyer de 4 livres pour un terrain sous les arcades puis (1688) dix sols pour un étal qui devient ensuite une écurie

Hannß Georg Dambach, Soll von der behaußung under der großen Erbislauben vff Laurentÿ, 2 lb 10 ß
St. Zinßb. p. 229
ietzt Jacob Bernus von Hanaw
ietzt Caspar Beÿer
Jetzt H. Johann Jacob Beyer

(Quittung, 1673)
daran Zalte H. Dambach ¼. und Bernus ¾
1676 Zahlt Bernus
1678, 1679
Ferners soll Er von einzäunung des Allmends Von dem Schwibbogen biß hervor so 10 ½ schuh breit und 22. schuh lang an obig. Behaußung und hieunden p. 638. eingetrag. war Jahrs vff Annuncitionis Mariæ 1680, 4 lb

(Quittungen 1681-1687)
Ferner von einem erkaufften Gaden auff dem Prediger Kirchhoff auff Matthiæ. NB ist anietzo ein Pferd Stall, 10 ß

(Quittungen 1689-1741)
Neuzb fol 265-b

1673 Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 145
L’étal sur la place des Dominicains est transféré de Matthieu Epp à Gaspard de Beyer

Matthæus Epp, Soll vom hauß vff dem Prediger Kirchhoff vff Martini, 1 lb (…)
Ferner von einem erkaufften Gaden, vff dem Prediger Kirchhoff vff Mathiæ, 10 ß
St. Zinnßb. p. 662 – diser Gaden ist p. 199. H. Caspar de Beyer zugeschrieben

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 265-v
Les trois loyers sont reportés dans le registre suivant. Ils passent au nom de Georges Wachter puis de la veuve de Jean Henri Wachter

alzb. 199-b
H. Joh: Jac. Debeyer soll von der behaußung under der großen Erbslauben auf Laurentÿ, id est 10. Aug., 2 lb 10 ß
Ferners von einzogung des AllmendtsvVon dem schwibbogen biß hervor so 10 ½ schuh breit und 22. schuh lang an obige Behaußung Jahrs auf ann: Mariæ, id est 26 martii, 4 lb
[in margine :] 22. fervidor
Ferner von einem erkaufften Gaden auf dem Prediger Kirchhoff, so anjetzo ein pferdt Stall, auf Matthiæ, id est 24. febr. 10 ß
(Quittungen 1741-an 10)
C 158
H. Georg Wachter wb.
Joh: Heinrich Wachters wittib

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1666, Préposés au bâtiment (VII 1359)
Le luthier Mathias Epp se propose le 13 février d’acheter la boutique que louait autrefois Evrard Zetzner sur la place des Dominicains à condition d’avoir le droit de construire une cheminée et de placer un fourneau dans la boutique pour son commerce. Les préposés décident de visiter les lieux, ce qu’ils font le 20 février. La boutique se trouve entre la maison de Jean Georges Dambach et une boutique qui appartient encore à la seigneurie, à l’arrière sur la prévôté de la cathédrale, elle a une longueur de 16 pieds à l’avant, à l’arrière 13 pieds de large et 9 pieds de haut. Elle est cédée à Mathias Epp moyennant 100 florins comptant et un cens annuel de 10 sols, à condition de ne pouvoir la surélever que d’une cheminée. Mathias Epp verse les 50 livres le 28 février et demande un acte d’achat. (La boutique est ensuite cédée à Gaspard de Beyer, voir le Livre des loyers communaux)

(f° 145-v) Dienstags den 13. Ejusdem [Februarÿ] – Eppe, Gädlin vkaufft
H Mathis Eppe der Lautenmacher meldet sich an, vmb erkauffung deß vndersten gädleins vffm Prediger Kirchhoff welches hiebevor Eberhard Zetzner in Lehnung gehabt, doch mit dem beding, d. er macht haben solte, Ein Camin auff führen Zulaßen, vnd d. gädlein mit einem offen Zu seiner hanthierung Zu accomodiren. Erk. Soll Vorderist augenschein eingenommen werd.

(f° 149) Dienstags den 20. Ejusdem [Februarÿ] – Gädlin verkaufft. Eppe
Auf eingenommenen Augenschein, in welchen sich gefund. d. d. Jenige Gädlein vfm Prediger Kirchhoff, einseit neben der Behaußung Johann Geörg Dambachen Zustendig, vnd anderseit neben einem Gädlein, der herrschafft annoch Zugehörig hinden vff Thumb Probsthoff stoßend, vnd in sich begreiffent vornen 16 schu vnd hinden (-) schue in der lenge, vnd 13 schue in der breite, Vnd 9. schue in der höhe, gelegen, Ist Mathis Eppe sampt den fenstern vnd eingebawen vmb 100 fl. Baar gelt, vnd 10. ß d Bodenzinß, so vff Matthiæ vnd A° 1667. 1° dem Zinßmeister Zue lieffern, vnd bestendig darauf stehen bleiben sollen überlaßen word. mit dem Beding, d. ein Camin aufgeführt, aber sonsten nicht erhohet, sondern in Jetzigem stand gelaßen werd. solle.

(f° 151-v) Mittwochs de, 28. Februarÿ – Eppe, Gädlin vkaufft
Mathis Epp der Lautenmacher Lifert 50. lb. baar gelt für daß erkaufte gädtlin vfm Prediger Kirchhof, deßen fol. p.cendeti 149. gedacht, Vndt pittet Ihme deßwegen ein Kauffbrieff außfertigen Zu laßen, Erk. soll Ihm mit dießem in seinem begehren willfahrt werd.

1677, Préposés au bâtiment (VII 1365)
Le marchand Gaspard de Beyer, assisté de son beau-père Jean Jacques Saltzmann, demande l’autorisation de jouir du terrain sous les grandes arcades devant sa maison comme la boutique de Georges André Dollhopff. Le chef de chantier mesure le terrain qui a 22 pieds de long et 10 pieds ½ de large. Les préposés l’autorisent à enclore le terrain et à en faire une boutique moyennant un cens annuel de quatre livres.

(f° 7) Dienstags den 23. Janua: – H. Caspar Beÿer
H. Caspar Beÿer der Handelßmann, mit beÿstand H. Johann Jacob Saltzmanns, auch handelßmanns seines Schwehers, haltet an, Ihme Zuerlauben, daß Er das allmend vor seiner erkaufften Behaußung vnder der großen Erbs lauben, gleich H. Georg Andres Dollhopffen Laden, mit einer rägelwand ein Zäunen dörffe, waardt der platz besichtig vnd durch Werckhmeister abgemeßen worden, haltet in sich in der länge 22 schuh vnd in der breite 10 ½ schuh.

(f° 9-v) Dienstags den 30. Janua: 1677. – H. Caspar Beÿer. allmend einzäunung vnder der großen Erbs lauben
H. Caspar Beÿers eingenohmenen vnd referirten Augenschein würd Ihme in seinem begehren, dergestalt willfahrt, daß Er macht haben solle, das allmend vnder großen Erbs lauben, Zuanfangs der Schwibbog. vnd haußthür biß hervor das ist 10 ½ schuh breit vnd in der länge 22. schuh einzuzäunen, vnd Zu einem Laden Zu accomodiren doch so lang es Meinen Herren gefällig ist, vnd das mit den Vorbäncken, da einige herauß gestellt werd. wolten, nicht weiters herauß solche stellung verfüegen solle alß Ihme durch H. Lohnern bedeütet würdt, damit eine gleichheit vnd kein übel stand vnder der Erbs lauben, alß welche ohne das schmahl ist, vorgehen vnd solches gegen erlag 5. lb d Jährlichen Zinnßes Jahrs vff Annunciat: Mar: vnd 1678. primo gemeiner Statt Zuerlegen. Ille bittet vmb moderation des Zinnßes, so auff 4. lb. d. gesetzt worden, H. Geÿer Haltet ferner an den Zinnß abzukauffen, Erkannt ist begehren abgelehnt, vnd bleibet beÿ gesetzten 4. lb Zinnßes.

1717, Préposés au bâtiment, VII 1387
Le secrétaire rapporte que l’écurie donnant sur la place des Prédicateurs qui appartient à Jean Jacques de Beyer a brûlé récemment et que les préposés pourraient exiger que le bâtiment retrouve son ancien état. Ce bâtiment qui était une boutique de neuf pieds de haut a été vendu cent florins le 19 février 1666 au luthier Matthieu Epp à condition que ni lui ni ses successeurs n’auraient le droit de le surélever. Le préteur de Müllenheim rapporte que le sieur de Beyer a l’intention de bâtir un pignon en pierre à la fois de son côté et du côté du bâtiment qui appartient à la Ville et d’y construire un étage avec la permission du Magistrat, ce qui représenterait un avantage plutôt qu’un inconvénient. Les préposés autorisent le pétitionnaire à ajouter un étage qui devra avoir 37 pieds à l’arrière jusqu’au faîte et 20 pieds 4 pouces à l’avant jusqu’au toit.

(f° 155-v) Dienstags den 9. Martÿ 1717. – Herr Joh: Jacob de Bayer pt° bawens
Ego proponire, Weilen herr Johann Jacob de Beyers Pferd Stall auff dem Prediger Kirchhoff newlich Zum theil abgebrandt ist, und Wider gebawen werden würdt, alß stelle ich Zu MGHh. ob Sie nicht die præcaution nehmen wolten ? daß dieses gebäw, Welches herrn Mathæo Eppen, dem Lautenmacher am 19. Februarÿ Anno 1666. alß ein Gaden umb 100 fl. mit der condition, daß derselbe und seine Successores nicht macht haben sollen, diesen Gaden, welcher 9. schuhe hoch war, weiter Zu erhöhen, oder etwas darauff Zu bawen, verkaufft worden ist, beÿ deßen reparation, wider in den alten standt gesetzt werden möchte, Herr Str. Ludwig Heinrich Von Müllenheim berichtet, daß herr de Beyer sich beÿ den Oberen Baw herren erkläret, daß Er nicht allein die Von der seithe Von seinen außbawen, sondern auch auff seithen der Gemeinen Statt zugehörigen behaußung einen steinernen Gäbel auff führen laßen wolte. Er seÿe auch gesinnet, das mit bewilligung Mghh. darauff setzende stöcklein also Verfertigen Zu laßen, daß es Vielmehr ein Wohl alß ein übelstandt sein werde.
Erk. Werden die offerten angenommen, und Ihme erlaubt ein dergleichen stöcklein darauff Zu bawen, welches hinden biß an die fürst 37. schuhe hoch und Vornen biß an das tach 20 schuhe 4 Zoll hoch werden solle.

1718, Préposés au bâtiment (VII 1388)
Le droguiste Jean Jacques de Beyer demande que les préposés aux feux examinent la cheminée qu’a rouverte le maçon Marc Lœwenstein dans le mur place des Dominicains et qui a causé l’incendie de son écurie un an auparavant. Les préposés constatent qu’il y a deux trous dans la cheminée, ils ajournent leur décision.

(f° 119-v) Freÿtags den 4. Novemb. 1718. – H Johann Jacob de Beyer Ca. Marx Löwenstein
Herr Johann Jacob de Beyer, der Materialist, Klagt daß Marx Löwenstein, der Maurer, die Maur an dem in dem Dom Probsthoff befindlichen Camin, wo durch vor einem Jahr Sein daran stosende Pferd Stall in den Brand gerahten, wieder durch gebrochen habe, bittet Mghhn umb hülff. Erk. Solle mit Zuziehung der Obern Fewr herren der Augenschein eingenommen werden

(f° 120) Eod. die hora 2.da pomerid. – Domb Probsthoff
Ist der Augenschein in dem Domb Probsthoff allwo Marx Löwenstein, der Maurer, Zweÿ Löcher in das Camin, so an Herrn Johann Jacob Debeyers Pferd Stall stoßet, durchgebrochen, eingenommen worden. Erk. Bedacht

1826, Voirie 283 MW 357

28 septembre 1826. M le Maire, J’ai l’honneur de vous informer (…) Et que le Sr Wachter droguiste sous les grandes arcades N° 35 a fait reparer le mur de la façade de derrière de sadite maison située au marché neuf tandis que l’autorisation dont led. particulier est muni ne concerne que la façade de devant des grandes arcades, Le commissaire de police du C. nord

Description de la maison

  • 1741 La maison comprend une boutique à l’avant, un bureau à l’arrière, une cave voûtée, au premier étage un poêle, cuisine et vestibule, au deuxième étage une chambre à cheminée, dépense, poêle donnant dans la cour et vestibule, au troisième étage une grande chambre, un vestibule, le comble renferme des greniers dallés
    le bâtiment latéral à main droite comprend au rez-de-chaussée un vieil entrepôt à un étage au-dessus duquel se trouve un vieux petit grenier, à côté une chambre à cheminée, poêle et vestibule, plus haut deux chambres surmontées du comble à demi-toit à la Mansard,
    le bâtiment latéral à main gauche comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine et vestibule, au-dessus une grande pièce surmontée d’un vieux comble,
    le bâtiment arrière qui est très vieux et délabré comprend au rez-de-chaussée une réserve de marchandises, à côté une buanderie, au-dessus le poêle à tabac, deux chambres surmontées du comble
    en outre une cour, puits, écurie et cave voûtée, le tout estimé à la somme de 6800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Grandes Arcades

nouveau N° / ancien N° : 44 / 35
Wachter
Rez de chaussée et 4 étages médiocres en maçonnerie et lanterne
(Légende)

Ponts et Chaussées

1856 (ADBR, cote 2 SP 22)
Wachter, veuve, N° 35 3 EPS (trois étages en pierre, construction solide)
Voir l’image en début de notice

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 318 case 1

Wachter Georges Henry père à Strasbourg Gd. rue N° 6 / Place des petites boucheries 22
Wachter Oscar Alfred, officier, près de l’hôpital militaire

N 1075, maison, sol,
grandes arcades 35
Contenance : 6,10
Revenu total : 723,17 (720 et 3,17)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 45
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1093 case 1

Wachter Oscar Alfred officier place de l’homme de fer 1
1861 Schwartz Louis Victor, droguiste, rue de la douane 13
subst. 88/89 Emmerich Paul Wwe geb. Merklin
1889/90 Emmerich Paul Wittwe und Himlÿ Julius die Erben durch Schwartz Ludwig
98/99 Löwenbräu Aktiengesellschaft München durch Kuhn Leo
(ancien folio 841)

N 1075, maison, sol, Rue des grandes arcades 49
Contenance : 6,10
Revenu total : 723,17 (720 et 3,17)
Folio de provenance : (318)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 45
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre allemand, registre page case

Parcelle, section 63, n° 98 – autrefois N 1075.p, 1103, 1074, 1073.p
Canton : An den Gewerbslauben Haus N° 47/49
Voir le n° 47

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 131 Grandes Arcades p. 245

35
Pr: Wachter, Jean Henri, Marchand – Miroir
Loc: Hebeisen, Jean George, Marchand – Miroir

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An den Gewerbslauben (Seite 48)

(Haus Nr.) 49.
Diebolt, Drogerie. 01
Stiegler, Kurzwarenhdlg. 02

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)

Voir le n° 47


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de Martin Hartmann dans le Livre des communaux (1587).

Originaire de Berg en Thurvogie, Martin Hartmann épouse en 1564 Anne Lauffer de Thann en Sundgau (N.B. il doit s’agir du même Martin Hartmann que le suivant).
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 223)

1564. Martin Hartmann von Berck aus dem Turgaw, Anna Laufferin von Thann aus dem sunggauw. Sind Zu kirch gangen Montag nach ja Dominica post Epipha. Hora 2 (i 229)

Martin Hartmann, de Berg en Thurvogie, acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Anne Lauffer, veuve de Meinrad Crisp.
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 232
Marthin Hartman von berg Im Dürgaw hatt das burgkrecht Empfang. vonn Anna Laufferin Meinrad Criespen sellig. verlaßner wittwen seinner ehefrawen vnd dient Zum Spiegel. Act. den 28.t oct a° & Lxiiij

Le notaire Martin Hartmann épouse en 1578 Ursule, fille du chaudronnier Léonard Wanner
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 245 n° 3)
1578. Martin Hartman der Notarius vnd Ursula Linhartt Wanners des Keßlers tochter. Eingesegnet am Montag den 10. Februarÿ (i 128)

Martin Hartmann et Ursule Wanner hypothèquent au profit du comptable Georges Hefflin la maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment central et un bâtiment arrière

1588 (3. Maÿ), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 232-v
Erschienen herr Martin Hartman burger Zu Straßburg vnd Frouw Ursula Wannerin sein eheliche hußfr. Haben sich vnver. (verschriben)
gegen herrn Jerg Hefflin Rechenmeyster Zu Zinßen 60 guld. Sw losig mit 1200 guld. derselb. werung
dafür Vnderpfand sein soll dreÿ heuser ein Vorders Mittels v ein hinders mit Iren hoffestätten hoff, Stallung auch allen andern Iren Gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg vnder der grossen Erbslauben einseÿt nebent Daniel graner Kurschner And.syt Samuel granern auch Kirßner stoßend hind. Zum theÿl vff den Prediger Kirchhoff vnd zum theÿl vff der Thumbs probsteÿ hoher stifft Straßburg hoff, dauon gond Zuuor 25 pfund pfenning gelts losig m 500 pfund pfenning Martin Sygwartt* Margrauisch Badenischer diener Zu Durlach Sunst ledig eÿg
(abgelößt, wie in den protocollo extensivo de hoc anno 1588 fol. 217. fac. 1 Zusehen)

Le notaire Martin Hartmann hypothèque la maison au profit de Jean Théodose Nernius

1593 (ersten octob.), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 186-v
Schuldbekanntnus vnd Versicherung für 2000 g. Martin Hartmann Notarÿ geg. dem Edlen vhesten Johann Theodosio Nernio
Erschienen Martin Hartmann Notarius vnd burg. alhie
hatt in gegenwertigkheÿt Eberhardt Beeren auch Notarÿ vnd Burg. allhier bekhandt, Als d. Edel vnd vhest Philipert von Steÿn Zum Reÿchenstein, dem auch Edlen vhesten Johann Theodosio Nernio Innhalt darüber auffgericht. obligation vnd verschreÿbung 1000 pfund Pfenning vor diesem Zuerlegen schuldig worden, er Hartmann aber Jetzge* 1000 Pfund Pfenning von ernantem vom Stein mit bewilligung vorgemelts Eberhard Beeren zu seinen handen empfang. vnd hr geg. ermeltem Junck. Nernio zuenthaben vnd sein obligation vnd schuld verschreÿbung ledig zumach. Zugesagt versprochen (…)
Zum vnderpfand vnd Versicherung verlegt beneben Jetzgerüerten 6000 gulden hauptgut auch sein Behausung In diser Statt Straßburg vnd. der grossen Erbslauben einseÿt neben Samuel Granern and.seyt neben Hanß Römern Kursner hinden vff den Prediger Kirchhoff stoßend geleg. dauon geh. Zwar 30. lb gelts In hauptgut mit 600 lb abzulösen sonst eÿg.

Martin Hartmann hypothèque sa maison aux Grandes Arcades, dite Glashoff, comme garant de Christophe Mond envers Frédéric Wolf de Renchen

1594 (29 Julÿ), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 102-v
Cessio Rückbürgschafft vnd Versicherung respective des Edlen vhesten Jungf. Christoph Mond. vnd Martin Hartmanns
(Extendirt in Libro Contractuum de hoc Anno fol: 161.) Erschienen der Edel vnd vhest Christoff Mond vnd Marien Hardtman
haben gegen einander bekhant Nachdem Friderich Wolff von Renchen der Edlen vnd Thugendsamen Frawen Barbara Becklerin geporner von Schawenburg* 1000 gulden schuldig word. vnd Ir darfür sein behausung auf S. Elßbeth gaß geleg. verlegt die sie auch ane d. Ganten gezog. er Junckh. Christoff Mondt aber auf freündlich bitten ernants Friderich Wolffen vnd bewilligte Rugburgschafft ermelts Martin Hartmans, sie die Fraw Böcklern dahin Irer mehr das sie Ime Wolffen solche behausung dergestalt wid.umb entschlagen, das Ir auff weÿhenachten nechstkünfftig ane gedachten 1000 g. 500 gulden Ihme Junck. Mondten erstattet werden die vbrige 500 g. auf gemelt. behausung stehen pleyb. v Jarlichs mit 25. gl. verzinßt werden sollen (…)
dafür er Hartman Ime wie* auch für obgeruerte 500 gulden geg. d. Frawen Böcklerin Zu vnd.pfand eingesetzt sein Hauß Hof Hoffstatt der Glaßhof genant mit allen derselben Zugehörd recht vnd gerechtigkeit In d. Statt Straßburg vnd d. Großen Erbslauben einseÿt neben Daniel Granern and.seÿt neben (-) Granern dem Kursnern geleg. dauon gehn Zuuor 30 Pfund Pfenning auf Philippi vnd Jacobi Georg Hoflin In hauptgut mit 60 pfund abzulosen sonst eÿg.

Martin Hartmann hypothèque la maison au profit de Balthasar Stœsser, assesseur des Quinze. Un des capitaux assis sur la maison est dû à Claire Quintner née Hœcklin de Steineck

1603 (xxix Junÿ), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 220-v
(Inchoat. fo: 280.) Erschienen Herr Martin Hartman burger alhie
hatt in gegensein des Ehrenvesten Fürsichtigen Frommen weÿß herr Balthazar Stösser beÿsitzers der herren fünffzehner des bestendigen Regiments der SS – schuldig sige 1500 guldin Zu 15 batzen
Zum vnderpfand ÿngesetzt Ein Garten Sampt Zweÿen Gartenheuß. Trott mit all deßen begriffen Zugehörd v. gerechtigkeit vsserthalb der SS Vor dem Vischer thurn obwendig dem Ziegeloffen einseyt Joß Meÿßen garten anderseÿt Barthell hock hosenstricker stosst hinden vff das wasser vonn einem blatz So Zu diß. garten yngezynt gndt xv ß d Almend Zinß vnsern gnedig. herrn der S S Sunst ledig eÿg.
Item ein hoff mit Zweÿen heuser einem vord. v. hiindern Sampt Iren hoffestatten auch all andern Iren gebeu gelegen Inn der S S die vordere vnder der groß Erbslauben einseyt Samuel graner andersyt neben hans Römer Kurßner die hindere Behausung vff dem Prediger kirchhoff einsyt Daniel graner Kurßner ander seÿt der Probsteÿ hoher stifft Straßburg hoff. Dauon gondt 50 guld. gls lösig mit 1000 guldin Zu 15 Frawen Claren witwe Quintnerin geborne häcklin vonn Steineck, Item 50 guld. gelts widerkheuffig mit 1000 guld. zu xv batz Magister Samueli Hupert So dann 60 guld. gelts losig m 1200 guldin zu 15 batzen herr Jörg höfflin rechmeyster, So dann 20 gulden glts lösig mit 400 guld. zu xv batz Juncker Christoffel Mundt, So dann x ß von der hindern thüren bodenzinß Straßburg ledig eÿgen

Martin Hartmann hypothèque la maison dite zum Glashoff au profit de son frère Jacques Hartmann, docteur en médecine. Un des capitaux assis sur la maison est dû aux héritiers testamentaires de Claire Hœcklin de Steineck.

1610 (24 Maÿ), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 167
Erschienen H Martin Harttman burg. alhie
Hatt in gegensein des Ehrenvesten vnd hochgelehrten herrn Jacob Harttmans der Medicin doctoris, seines lieben bruders – schuldig zu sein 625 guldin zu xv batzen
dafür Vnderpfand sein sollen, dreÿ heüser ein vords. mittel vnd hinds. sampt deren hoffstetten, hoff vnd Stallung mit allen and. Iren gebeuwen & genant zum Glaßhoff, geleg. In d. St. St. Vnder der großen Erbßlauben einseit neben Daniel Graners Creditores 2.sit neben hans Römer dem kürschner gegen dem Kornmarck gegen dem Kirchhoff zu einsit Andres Baumgarten dem kirschner, die and.sit neben der Thumprobsteÿ behaußung hinden auch die Thumbsporbsteÿ vnd Predig. Kürch hoff stoßend, Davon gendt Zuuor L gld gelts wÿland d. Edlen Erentreichen Fr. Clara Hecklerin von Steineck s. Testaments erben ablößig mit 1000 guldin zu xv batz. Mehr Lx gld gelts mit xij d gld St. wer. Georg höfflin abzulösen, Item xx guld gelts mit iiij C gld widlösig Zu xv batz. H Jr Christoph Mundten Erben Vnd dann sindt auch noch v.hafft für vij L gld zu xv batzen, H Balthazar Stößern zubezahlen, Mehr x ß d gelts von d hind. thüren vff dem Pfenning thurn Sunst ledig eÿgen

Christophe d’Offenbourg, demeurant à Schopfheim près de Bâle vend la maison au drapier Daniel Heuss (Christophe d’Offenbourg est marié avec Susanne Hœcklin de Steineck, voir Julius Kindler von Knobloch, Oberbadisches Geschlechter Buch, tome 2, p. 69)

1614 (xxviij tag Septembris), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 465
(P. fol. 387.) Erschienen die Ehr: hochgelehrte herr Adam Hünerer d. Recht. Licentiat Als in vollmechtig. gewalthaber des Edlen Vest hannß Christoff von Offenburg wonhafft Zu Schöpffen beÿ Basell (…) hatt Inn gewaltshabers wÿß sein Junckern principalen für denselb. verkaufft
herrn Daniel heüßen dem thucher burger Zu Straßburg
hauß, hoff, hoffestatt hind. hauß Stallung vnd Brunn genannt d. glaßhoff, mit Allen Ihren gebeüw. & gleg. Inn d. St. St. vnd. der groß. Erbßlauben einsit neb. Jonas Gaßner dem Kirschner, And.sit ben. hanß Römer des Kirschners Ziht mit dem hind. orth vff den Kirchhoff geg. dem Collegio Zum theil vnd Zum theil vff Andreß Boumgartten d. Kieffer, Dauon gend. viij ß Bod. Zinß d. St. St. vff Martini fallend, Mehr x lb d gelts loßig mit ij C lb J. Christoph Mundt khind. vff Johannis Bptæ, Item Lx gl glts wid. khouffig mit xij C gl. St. werung vff 1. Maÿ, wÿland h. Georg höfflins erb. Item xxv lb d gelts stnd Inn hptgutt v C lb vff Adolffi wÿland Fr. Clara Quintnerin von Andernach selig. erb., doch die Zweÿ erster hauptgütt bestendig zu des Kheuffers gelegenheit Zu verzinsen, das dritte hauptgutt Aber den Andernachisch. gehörig, So lang Zu Verzinsen bitz die termin Ane d. Khauffsumma Allerdings bezahlt, das Ist Anno 1621. (…) Sunst ledig vnd eÿg., Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 970 pfund
Zu noch mehrer & So hatt ernand. Khöuffer für sich & Zum vndpfandt eings. v. vht. Dreÿ heüsen sampt denen hoffstätt. vnd Gartt. mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. Im Thoman Loch, Zwisch. Zweÿen Allmend gäßlin hind. vff dem Thuern Am grab. vnd vornen vff Barthell hocken der Alte vnd den Jüng. stoßend, welche heüser Zuuor noch verhafftet seind vmb ij C L lb h. Hanß Georg Marbach pfund Zoller weÿther vmb iij C lb hannß Obele dem wagner als vogt Gall Linck. selig. Khnd.

Le tisserand Daniel Heiss épouse en 1602 Cléophée, fille du corroyeur Jean Beuchel
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 170 n° 464)
1602. Dominica 16. Trinit: 19. Septemb: Daniel Heÿß d. Wullenweber vndt Cleophe hannß Beüchel des lederbereÿters Nachgelaßene tochter. Eingeseg. Montag 27. Septemb: Im Münster (i 172)

Mariage, cathédrale (luth. p. 110)
1602. Dominica 16. post & Daniel Hieß der Wullenweber vndt Cleophe Hanß Biechels deß lederbereiters dochter. Eingeseg. Montag 27. Septemb: Im Münster (i 56)

Daniel Heuss et Cléophée Büchler hypothèquent la maison au profit de Jean Lebküchler, de Wimpfen

1615 (ersten tag Junÿ), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 266
(Inchoat. in Proth. fol. 224.) Erschienen h. Daniel heuß d. thucher burger Zu Straßburg vnd Cleophe Büchlerin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit des Ehrenvest. herrn Johann Lebkücher Von Wimpffen disser Zeit gräfflich. Blackaÿßh. hoffmeÿster offentlich verÿehen, das sie demselben herrn Lebküchler schuldig sigent 1000 guldin
Zum recht. vnd.pfd einges. vnd v.legt, wei volgt, Als hoff, hauß, hoffestatt, hind.hauß, Stallung und Brunn. genannt d. glaßhoff, mit Allen ihren geb. d. geleg. Inn d. St. St. vnd. der groß. Erbß lauben einseit Jonas Gaßner, And.seit hanß Römer beed. kirschner, Ziht mit d. hind. orth vff den Kirchhoff geg. dem collegio, dauon gend. viij ß f Bod. Zinß d. St. St., Mehr x lb gnd Abloßig mit ij C lb J: Christoph Mundt, It. Lx gld gelts wid. Kheüffig mit xij gl h. Geörg höffleins erben, It. xxv lb gelts Loßig mit v C lb wÿland Fr. Claræ Quinterin von Andernach selig. erb. Si dann sein sie noch verhafftet vmb cj C Lxx lb J: hanß Christoff vonn offenburg, Sunst ledig eÿg.
Item dreÿ heüsen sampt deren hoffstatt v. Gartt. mit Allen Ihren geb. & gelg. In d. St. St. Im Thommaloch Zwisch. Zweÿ. Allmend gäßlin hind. vff d. Thurn Am grab. stoßend vnd mann vff Barthell Hoockh. Welche heüßer Zuuor noch verhafftet seind Vmb ij C L lb h. hanß Geörg Marbach pfund zoller wÿther vmb iij C lb hannß Oberlin dem wagner Als vogt Gall Linck. Khind. Sunst ledig. eÿg.

Daniel Heuss hypothèque la maison au profit d’Isaac Büchler

1621 (ut spâ [xiiij. Novembris]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 624
(Inchoat. in Prot. fol. 453.) Erschienen herr Daniel Heüß der handelßmann burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit herrn Isaac Büchell des lederbereithers burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 1000 Pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Ein gewerbß behaußung, sampt hoff, hauß, hoffstatt vnd hinderhauß, mit Allenn Andern Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg vnder der großen Erbßlauben einseit neben Jonas Gaßner, anderseit neben hanß Römer beder Kürschner, hinden vff en thumb probsthoff Zum theil vnd Zum theil vff den prediger Kirchhoff stoßend, welche behaußung verhafftet Ist vmb 1600 guldin werung herrn Leonhard Rosæ beder Rechten doctori, Mehr vmb ij. C. lb Juncker Christoff Mundten sunst ledig vnd eÿgen

Daniel Heuss, assesseur au Petit Sénat, et Cléophée Büchler vendent la maison au boulanger Jean Georges Dambach

1638 (13. Octobris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 695
(Protocollat. fol. 122.) Erschienen Herr Daniel Heuß Kleinen Rhats Verwanther Zu Straßburg vnnd beneben ihme Fr. Cleophe Büchlerin sein eheliche haußfraw mit beÿstandt herren Johann Caspar Mockels Eines Erß. großen Rhats vice procuratoris, ihres geordneten Vogts (verkaufft)
hannß Georg Dambachen dem Weißbecken, vnd burgern Alhie, so Zugegen
hauß, hoff, hoffstat, hinder hauß, Stallung und Bronnen, mit allen anderen ihren gebäwen & der Glaßhoff genannt, gelegen in der Statt Straßburg, vnder der großen Erbßlauben, einseit neben Georg Klugen dem Kürschner, anderseit hannß Adolff Ecken auch Kürschner, hinden zum theil vff den Prediger Kürchhoff, vndt Zum theil vff Andreß Baumgarters deß Kürschners seel. witib vnnd Erben stoßend, davon gehen järlich vff Laurentÿ 2 Pfund 10 schilling pfenning Bodenzinß der Statt Straßburg, Item dreissig gulden Straßburger Wehrung vff prima Maÿ, herrn Josiæ Rühlen eines Erß: Statt gerichts Actuario alhie, mit 600. fl. gerüerter Wehrung hauptgut abzulößen, So seindt diße häußer auch noch verhafftet vmb 3000 pfund d. herrn Johann Adam Schwartzen burgern alhie so Järlich vff Michaelis mit 15. lb d. Verzinßt werden ([in margine :] vide infra fol: 706.), Item vmb 200 Pfund d herrn Benedict Großen Alten großen Rhats Verwanthen see: in letzter Ehe erzeugten Kindern, Mehr umb 500. lb. herrn Sebastian Gambsen burgern alhie, Item vmb 400. Reichßthaler in specie herrn Johann Gollen großen Rhats Verwanthen und deßen Bruders herrn Augusti Gollen handelßmanns see: Erben, Mehr vmb 100. lb Joseff Abri handelßmanns see: Wittiben, So dann vmb 450 Pfund Georg Meÿer dem Kürschner ihr der Verkäuffern dochterman für heürath gut (übernohmen) – umb 315 Pfund

Jean Georges Dambach l’aîné hypothèque la maison au profit d’Anne Marguerite Kamm pour laquelle agit son tuteur Jean Paul Graseck. Anne Marguerite Kamm épousera Gérard von Stœcken d’après la quittance de 1665. Marthe Hartung, veuve de Jean Georges Dambach, obtient en 1668 un délai de paiement.

1661 (28. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 788-v
Erschienen H Hannß Georg Dambach der älter handelßmann
in gegensein H Johann Paul Graseckhs deß Renthmaÿsters alß Vogts Jfr. Annæ Margarethä Kammin – schuldig seÿe 750 Pfund
Unterpfand sein sollen Zweÿ häußer Ein Vorders und ein hinders, mit deren hoffstätten, hoff, Gaden, und allen andern Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie under der groß. Erbßlauben, einseit neben hannß Henrich Röhmern dem Kürßnern, anderseit neben weÿl. H Georg Klug. deß kürßners seel. wittib, hind. Zum theil vff den dom Probsthoff, und theilß vff den Predig. Kirchhoff stoßend gelegen, davon gehend iahrs 31. fl. 5 ß vff Mariæ Verkündigung lößig mit 300. Golt fl. Jfr. Mariæ Magdalenæ Schielin Und 2. lib. 10. ß allmendgeldts der Statt Straßburg
[in margine :] Erschienen der Edel- hochgelehrt. H Gerhardus von Stöckh. V.I.D. & Professor auch EE. Collegiat Stiffts Zu St. Thoman Canonicus alß jetzig. Ehevogt Fr. Annæ Margarethæ geb. Kammin (quittung) Actum 15. Aug. a° 1665
[in margine :] Erschienen Fr. Martha Dambachin gebohrne Hartungin daß hierinn gemelten Debitoris H. Hannß Georg Dambachs deß ältern eheliche haußfrau mit assistentz H M. Johann Jacob Dambachs Pfarrers Zue Ichenheim und hannß Daniel Dambachß deß Kürßners beeder ihrer eheleiblichen Söhn (Verlängerung deß Zahlungs Ziels) den 18. Aug. 1668

Les enfants et héritiers de Jean Georges Dambach vendent la maison au marchand Isaïe Jean Andres. En marge, quittance accordée au marchand Jacques Bernus de Hanau en 1673.

1672 (28. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 541
(2350. lb) Herr Hannß Georg Dambach der älter und deßen eheleiblich Kinder benantlichen Hannß Georg Dambach der Jünger, hannß Melchior Dambach der Weißbeckh, H. M. Johann Jacob Dambach Pfarrer Zu Ichenheim, fraw Anna Maria Dambachin herrn Andres Kintingers deß Handelßmanns Eheweib mit beÿstand erstegemelts ihres Ehevogts, hannß Daniel Dambach der Kürschner, fraw Martha, herrn hannß Jacobs Henrichs des Specereÿhändlers eheliche haußfrau, mit assistentz erstgedachts ihres Ehevogts, und hannß Philipp Dambach, so bereits 26. Jahr alt seÿe, mit beÿstand obgedachts Herren Kintingers seines noch ohnentledigten Vogts, und Herren Johann Schmidts Schaffners Zur Rothen Kirch seines gewesenen theil Vogts
in gegensein Esaiæ Johann Andreßen deß Handelßmanns mit beÿstand H. Josiæ Gerners deß Handelßmanns und Daniel Schmidts deß Knöpffmachers
Zweÿ häußer Ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten, hoff, Gaden und allen andern gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier under der Großen Erbslauben, einseit neben weÿl. Georg Klugen deß Kürschners nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, anderseit neben Mathis Klingelmeÿer dem Kürschner ehevögtlich weiße hinden Zum theil uff den domb Probsteÿhoff und theils uff den Prediger Kirchhoff stoßend gelegen, und der Glaßhoff genannt, davon gehend iährlichen termino Laurentÿ 2. lb 10. ß Allmend: oder Boden Zinnß der Statt Straßburg wegen deß hindern thors sonsten für freÿ ledig und eÿgen, dann obwohlen ietzt Verkauffte Häußer annoch der Rothen Kirchen umb 600. fl. Straßburger wehrung Verhafftet, so haben Jedoch die Verkäuffere berührte beschwärd uff sich behalten – umb 2350 Pfund pfenning
[in margine :] (…) in gegensein herrn hannß Peter Herdanns deß handelßmanns Von Nürnberg im nahmen und alß hierbeÿ beschinnener maßen constituirten Mandatarÿ herrn Jacob Bernus deß Handelßmanns Zu Hanau alß ietzigen eÿgenthümblichen Innhabers gedachter Behaußung (quittung) Actum den 10. Julÿ A° 1673.

Le marchand Elie Jean Andres et sa femme Anne Bernas achètent le droit de bourgeoisie le 17 décembre 1664
1664, 3° Livre de bourgeoisie p. 969
Elias Johann Andres der Handelßmann Erkaufft d. burgerrecht Vor sich vndt sein Haußfr. Anna Bernasin auß Indien, Vmb 20. Golt fl. welche Vff dem Pfenningthurn erlegt will Zu EE. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jurav: 17.t 10.bris A° 1664.

Le réformé Isaïe Jean Andres sollicite le droit de bourgeoisie (registre endommagé)
1664, Conseillers et XXI (1 R 147)
(f° 179) Esaias Johann Andreß für sich vnd f[] ülerer p. Wildten vnderth. Supplic. S[] Burgerrecht, weilen Sie der Calvinischen [-] Zugethann, Auffzunehmen. Erk. [-] E. Ers. Rath erkundigung einge[-] werden.
1673 XV (2 R 89) Esaias Johann Andres der Handelsmann (pt° Pfundzolls) 59. 255

Isaïe Jean Andres hypothèque la maison au profit de son beau-père Jacques Bernus

1673 (16. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 23-v
Erschienen Herr Esaias Johann Andres der Handelßmann burger Zue Straßburg
hatt, in gegensein herrn hannß Peter Heerdans und herrn Jacob Pfaffen beeder handelßmänner Zu Nürnberg alß herren Jacob Bernuß deß handelßmanns Zu Hanaw befelchhaber:/ hierzu susbtituirten Mandatarÿ und Gewerbß dieners, Johann Wilhelm Geißlers, bekannt, daß gemelter Andres, gedachten H. Bernuß seinem Schwäher Vatteruffrecht und redlich schuldig seÿe 2350 Gulden, à 15. batzen, Ihme Zue dem Endt bahr gelühenen gelts daß Er damit nach beschriebene häußer, am 28. 8.br. nechsthingelegten Jahrs erkauffen, die helffte deß Kauffschillings heut dato bezahlen können
unterpfand, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhier under der Großen Erbslauben, einseit neben weÿl. Georg Klugen deß Kürßners nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, anderseit neben Mathis Klingelmeÿer dem Kürschner ehevögtlicher weiße, hinden Zum theil uff den dumbprobsteÿ hoffs und zum theil uff den Prediger Kirchhoff, stoßend geleg. und der Glaßhoff genannt, so noch umb 2350. fl. Kauffschillingß rest h. hannß Georg Dambachen dem ältern und Cons. Verhafftet, sonsten aber gegen männiglichen freÿ ledig eÿgen seÿe

Isaïe Andres et Anne Bernus hypothèquent la part d’héritage provenant de Susanne Papelier, veuve du marchand David Jean Andres
1674 (30. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 689
Esaias Andres der handelßmann und Anna Bernusin beÿde Eheleuth und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Jacob Wenckhers und herrn Abraham Gollen beÿder alß aus E.E. Kleinen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit seputirter
in gegensein Christmann Kammen deß Saÿlers im nahmen deß Edel, nachgelaßenen herrn Gerhard Von Stöckhen U.I.D. et Justit. Imperial. Profess. publ. – schuldig seÿen 300 pfund pfenning
unterpfand, der Jenige antheil so eingangß gemelter Esaias Johann Andres von weÿl. frawen Susanna Pappelierin seiner eheleiblichen Mutter nunmehr seel. geerbt, und deßen eheleiblicher Vatter herr David Johann Andres der handelßmann sein lebtag wÿdumbs weiß zu genießen haben
[in margine :] in gegensein H. Esaiæ Johann Andeßen deß Wachtmaÿsters beÿ Chur Pfaltz, deß hieringemelten debitoris (quittung) Act. den 11. 7.br 1684

Isaïe Jean Andres, garde au service de l’électeur palatin, vend sa part d’héritage au marchand Jean Dietrich
1684 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 359
Herr Esaias Johann Andres der Wachtmeÿster beÿ der Chur Pfaltz
in gegensein herren Johann Dietrich deß handelßmanns bekandt
Demnach herr Davidt Johann Andres der handelßmann und frau Susanna Papelierin beÿde Eheleuth, sein Esaiæ Eltern, in ihrem mit einander uffgerichttem Codicill § Zum dritten & dahin disponirt, daß dem letztlebenden aus deß zu erst Versterbenden Verlassenschafft Zum freÿen Eÿgenthümblichen Voraus 1500 Reichstahler bahr gelt gelüffert werden sollen, und aber dergleichen Vermächtnußen under Eheleuthen wider hießiger statt Constitution lauffen, und ohne Obrigkeitliche dispensation ohngülig seÿen, So hetten sich die Kinder hierüber beschwährt, doch Endlichen aus Consideration deren Vatter ohne dem ahne erwehnten 1500. Rhlr und ahn dem Oben in der Kieffergaß gelegenem Wohnhauß die helffte Krafft hierbeÿ producirten theil Registers de anno 1671. eÿgenthümblich gebühren sich dahin mit einander Verglichen, daß der Vatter die übrige helffte der 750 Rhl. wie auch die übrige helffte ahn der Oben gemelten Wohnbehaußung /:welche Vorhien noch um 550 fl. Verhafftet:/ wÿdumbs weiß zu genißen befugt sein solle, Gleich wie nun Ihme Esaiæ, ahne berührten 750. Rhlrn ein sibendertheil wirfft 107 1/7 Rhlr auß, eÿgenthümblich und ahn der Wohn behaußung auch 1/7 theil pleno Jure gebühre, Zumahlen sein Antheiler nach besag oballegirten Theil Registers /:über die obangegebene beschwerd:/ 69. lb æstimirt, So habe Er Esaias seine beÿde antheiler Ihme Herrn Dietrich iedoch salvo paterno usufructu verkaufft und zu kauffen gegeben umb 225 fl.

Isaïe Jean Andres vend la maison au marchand Jacques Bernus de Hanau

1673 (10. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 397
Erschienen Herr Esaias Johann Andres der Handelsmann
hatt, in gegensein herrn hannß Peter Heerdanns deß handelßmanns Zu Nürnberg alß hierbeÿ genugsam beschienener maßen constituirten Mandatarÿ herren Jacob Bernus deß Handelßmanns zu Hanaw (…) verkaufft und zu kauffen gegeben Innmaßen derselbe dann uff unserer Gnädigen herren Rät und XXI. am 5. hus. iüngsthien ertheilten Obrigkeitlich. Consens festiglich gekaufft Zuhaben geständig war
Zweÿ häußer Ein Vorders und Ein hinders, mit deren hoffstätten hoff, Gaden, und allen andern Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier under der Großen Erbs Lauben, einseit neben weÿl. Georg Klugen deß Kürschners nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, einseit neben Mathis Klingelmeÿer dem Kürschner ehevögtlicher weiß, hinden Zum theil uff den Dombprobsteÿ hoff und theils uff den Prediger Kirchhoff stoßend gelegen, und Von alters her der Glaßhoff genant, davon gehend iährlichen termino Laurentÿ. 2. lb 10. ß Allmend oder Bodenzinß der Statt Straßburg wegen deß hindern thors – 2250 Pfund pfenning

Isaïe Jean Andres sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un la permission de vendre la maison à son beau-père Jacques Bernus (Berbus). La commission chargée de l’enquête rapporte que le pétitionnaire est un mauvais gestionnaire et que le prix payé lors de l’achat a été avancé par Jacques Bernus.
Conseillers et XXI (1 R 156)
Esaias Johann Andres. 11. 284.
(f° 11) Montag den 13. Januarÿ 1673. – E. J. Andres
Esaias Johann Andres der handelsmann Überreicht p. D. B. Vnterth. Suppl. Will daß danbach. hauß alhier Kauffen, Sein Schwer Vatter Zu Bischweiler Jacob Berbus Aber Ihme daß geld darzu lehnen, bitt vmb Obrigkeitliche Confirmation, Vndt resp. erlaubnuß, daß Er Ihme daßelbe deßwegen pignoris loco einsetzen dörffe. Erk. Solle bericht eingezogen werden per Hn Bernegger, H. Reichardt

(f° 284) Sambstag d. 5.ten Julÿ aô 1673. – I. J. Andres
Nôe Isai Johann Andresen, bitt Reüßner principali Zu erlauben, daß Er seine Vnter der großen Erbislauben alhier stehende behausung, Ahn seinen Schwer Vatter H. Jacob Bernusen d. handelsmann Zu Hanaw Kaufflichen Überlaßen möge.
Würdt hierauff berichtet, Es wehre dieser Andres ein übler haußhalter, Vndt der Kauffschilling alß Er diese behaußung Von dem dambach ahn sich erhandelt, Von Gnd. Bernusen dargegeben Word. befurcht Er möchte schulden darauff machen Vndt Er dardurch So Weit Vmb daß seinige kommen, dannen hero Er selbsten daß hauß Widerumb Ahn sich lösen wolte. Erk. Willfart – H. XV. Bernegger, H. Reichardt

D’après les registres de la paroisse réformée de Cologne, Jacques Bernus, marchand à Hanau, est marié avec Marie Steining
Protokolle der Hochdeutsch-Reformierten Gemeinde in Köln von 1669-1794
3. Teil: Protokolle von 1669-1794
(586) 1680 Juni 2. Henrich Bernus, Eltern Jacob Bernus fürnehmer Handelsmann in Hanau und Maria Steinings
mit Margarete Langen, Eltern Simon Langen und Sybilla de Witt
(p. 324)
(175, 2) Ist bewilliget, daß Herr Henrich Bernus, Sohn von Herrn Jacob Bernus Bürgers zu Hanau und Maria Steining ehelicher Sohn mit Jungfrau Johanna Margareta Langens, Herrn Simon Langens und Sybilla de Witt eheliche Tochter der Gemeinde durch die Proclamation vorgetragen würden.
(p. 100, i 117)

Jacques Bernus de Hanau vend la maison et deux presses à tabac à Gaspard de Beyer

1676 (21. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 1027
Herr Johann Niclaus Herff der Handelßmann alß herren Jacob Bernus deß handelßmanns Zue Hanaw, vermög Zwoer resp. am 7. und 9. Novembr. jüngsthien ahne Ihne Herffen selbsthändig geschriebene (…) Gewalt Missiven hierzu Constituirter Mandatarius
in gegensein herrn Caspar Debeÿers deß Materialisten mit beÿstand Herrn Johann Jacob Saltzmanns deß handelsmanns seines Schwäher Vatters
Zweÿ häußer ein Vorders und eun hinders mit deren hoffstätten, hoff, Gaden und allen andern Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten undt Gerechtigkeiten allhier under der Großen Erbslauben einseit neben Mathiß Schmidmeÿer anderseit neben Christoph Klugen beÿden Kürschners, hinden Zum theil uff den Thumb Probsteÿ hoff und thels uff den Prediger Kirchhoff stoßend gelegen, und der glaßhoff genannt, davon gehend iährlichen term. Laurentÿ 2. lb 10. ß Allmend oder boden zinnß der Statt Straßburg wegen deß hindern thors – umb 3000 pfund
Vnd Zeigten beÿde Parten Zum beschlus ahn, daß in diesem Verkauff und Kauff auch 2. tabac preßen Sambt aller dero Zugehör in obberührtem hauß befindlich mit begriffen, warfür dann der Käuffer in obberührter Joh: Meß absonderlich 75. fl. also Verglichener maßen bezahlen solle

Gaspard de Beyer hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Charles Hammerer

1678 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 214-v
H. Caspar debeÿer der Materialist
in gegensein H. Friderich Hammerers E.E. Großen Rhats Actuarÿ, im nahmen H Joh: Carl Hammerers Med. Doct. et Pract. bekannt, daß Er Debeÿer Ihme H. Dri Hammerer, Uffrecht und redlich schuldig seÿe 500. lb
unterpfand, Zweÿ häußer Ein Vordern undt ein hinders mit allen deren gebäwen und zugehördten alhier Under der großen Erbslauben einseit neben Mathis Schmidmeÿer, anderseit neben Christoph Klugen beÿden Kürschnern, hinden Zum theÿl uff den Thumb Probsteÿ hoff, und theÿls Vff den Prediger Kirchhoff stoßend gelegen und der Glaßhoff genannt, davon gehendt Jährlichen term° Laurentÿ 2. lb 10. ß d Allmend: oder boden: zinß der Statt Straßburg wegen des hindern thors
[in margine :] (…) in gegensein Hn Johann Jacob de Beyers des Materialissten hierinn bemelten Hn Caspar Debeyers des Debitoris Nun seel. leiblichen Sohns, angezeigt und bekandt auch mit einer Von ehrenged. Dre Hammerer in fine des wegen dieser Verschreibung ausgefertigten Extracs eÿgenhändige schrieben, Unterschrieben am 6.ten Mart. 1697. datirter Quittung, welche bemeltem Hn Johann Jacob de beÿer hierbeÿ wied. eingehändigt word. (…), act. d. 30. Junÿ 1705.

Gaspard de Beyer hypothèque la maison au profit de Jean Henri Bischoff, assesseur au Grand Sénat

1685 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 71-v
herr Caspar de Baÿer der Materialist
in gegensein herrn Johann Henrich Bischoffs E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers – schuldig seÿe 1500 fl
unterpfand, zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten hoff gaden, und allen anderen deren Gebäuwen, begriffen, weithen Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhie in der Großen Erbs lauben, einseit neben Mathis Schmidmeÿer dem Kürschner, anderseit neben dem Schuldnern selbsten, hinden zum theil uff den thumbs Probsteÿ hoff, und theils uff den Prediger Kirchhoff stoßend gelegen, undt der Glashoff genannt, davon gehend jährlichen term. Laurenty. 2. lb. 10. ß allmend zinnß der Statt Pfenningthurn, wegen des hindern Thors

Gaspard de Beyer hypothèque la maison appelée Glasshoff au profit du docteur en médecine Marc Mappus

1689 (24.5.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 279
H. Caspar de Beÿer, der Handelßmann
in gegensein Hn Marci Mappi, Medicinæ doctoris & Professoris, auch dießer Statt Archiatri – schuldig seÿe 1000 Stück Gute Reichs guldner, wie solche nach jüngster devaluation zu 9 ß 3 d gewürdiget worden
unterpfand, Zweÿ Haüßer, ein vorderes und ein Hinderes, mit deren hoffstätten, hoff, gaden, und allen andern deren Gebäuen, Begriffen, Rechten und zugehördten allhier under der Großen Gewerbs lauben, einseit neben Matthiß Schmidmeÿer dem Kirschner, anderseit neben einer andern behaußung dem Hn debitori selbsten gehörig, hinden zum theil auff der Dom Probsteÿ hoff stoßend, theilß auff dem Prediger Kirchhoff außgehend, und der Glaßhoff genandt darvon gehend jährlichen termino Laurentÿ 2 lb 10 ß d Allmendgeld od. bodenzinß der Statt Pfenningthurn, wegen deß hindern Thors
[in margine :] (…) in gegensein H. Johann Jacob de Beyer des ledig. handelßmanns hierinn gemeldten H. Caspar de Beyer des Schuldners nun sel. leiblichen Sohns (quittung), den 4.ten Octobris A° 1696

Le droguiste Jean Jacques Debeyer porte devant les Quinze un différend qui l’oppose à la tribu du Miroir. L’affaire n’a pas de suite
1693, Protocole des Quinze (2 R 97)
(f° 110-v) Sambstags den 4. Julÿ – Herr Johann Jacob Debeÿer Ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel
Herr Johann Jacob Debeÿer, d. Materialist, per Saltzmann, cit. per sched. E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfftmeister, Hn Joh. Adam Spooren prod. hoch Flehen. Und.th. Anbringen Und bitten w. d. D. Goll cit. præs. bitt der einlang Copeÿ Und ad proximam. Obt.

(f° 113-v) Freÿtag den 11. Julÿ – E. E. Zunfft Zum Spiegel C. Hannß Jacob Debeÿer
E. E. Zunfft Zum Spiegel Zunfftmeister, Herr Johann Adam Spoor, per D. Schollen, cit. Hannß Jacob Debeyer, prod. Extractum Mghh. protocoll, wie auch Extractum E. E. Zunfftgerichts zum Spiegel, bescheid damit was gegen Beÿern gehandelt worden, und weilen gedachtes petitum schnur stracks den articuln Zu Wider, als bitt mann Zuforderist zu Mehrerm bericht deputation et Factâ relatione ihme solches abzuschlagen. Saltzman bitt d. einlag, copeÿ, und setzts jm übrigen der Deputation halben. D Goll Will deput. und copiam producti zulaßen.
Erk. Herrn XV. Weßner und Herrn XV.er Kellermann die sach Zu examiniren commendirt,

Justin de Beyer, marchand à Bâle, déclare avoir cédé à son frère Jean Jacques de Beyer sa part de maison lors du partage des biens de leur père

1706 (25.6.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 458
(825) hr. Justin De Beyer handelsmann zu Baßel
in gegensein H. Joh. Jacob De Beyer auch handelsmanns seines bruders
daß er, Justin, ihn Joh. Jacob bereiths beÿ vertheilung der vätterlichen verlassenschafft aufrichig vest und unwiderruflich verkaufft seinen antheil für unvertheilt ahn dem Debayerischen Gewerbshauß allhier unter der Großen Gewerbslaub einseit neben H. J. Jacob Rauch anderseit neben H. Joh. Mathis Schmidmeÿern hinten auf den Prediger Kirchhoff stoßend mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeit, Item sein antheil ahn dem Debeÿerischen Laden zu Zurzach – um 825 pfund

Marie Barbe de Beyer, femme de l’administrateur de l’hôpital de Liestal et bourgeois de Bâle, héritière pour un quart de Gaspard de Beyer et de Marie Barbe Saltzmann, cède sa part de la maison à son frère Jean Jacques de Beyer

1705 (29. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 857
immediate supra usq. ad De Beyer
[Joh: Jacob Burckhart Spitalpfleger zu Lihstal u. burger zu Baßel alß ehevogt fr. Maria Barb: geb. De Beyer mit beÿstand Hn Joh: Heinrich Gernlers U.J. Lti. u. Regist: Löbl. Statt Baßel haben in gegensein Joh: Jacob De Beyers et compagnie angezeigt u. bekant, daß Sie Burckhartische haußfrau ihr maritus noch sonst männiglich ihrentwegen nichts mehr ahn weÿl. Caspar Debeyers handelsmanns u. Maria Barbara geb. Saltzmännin deßen haußfrn. nunmehr auch seel. verlassenschafften zufordern haben, deßwegen ihr Joh: Jacob u. compagnie quittirendt verspr:, Actum den 29. oct. 1705, f° 856-v]
ihm De Beyer
erwehner frn. Burckhartin 4.ten theil ahn dem De Bayerischen gewerbs hauß sambt allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier unter der großen Gewerbslauben einseit neben Joh: Jacob Rauchen buchhändlern anderseit neben H, Joh: Mathaeus Schmidmeÿern rauchwahrhändlern hinten auf den Prediger kirchhoff stoßend gelegen zusambt ihrem 4.ten theil ahn dem Debeÿerischen laden zu Zurzach nach außweißung deß Debayerischen verlassenschaffts Invent: de A° 1699 – um 828 pfund

Jean Jacques de Beyer épouse en 1709 Sara Wettstein, fille du banquier Jean Raoul Wettstein et de Marie Socin de Bâle
1709 (7.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – zwischen dem wohl Ehrenvesten vnd Großachtbaren Johann Jacob de Beÿer Vornehmen handelßmann Vnd burgern Zu Straßburg alß hochzeitern ahne einem
So dann der Viel Ehren Vnd hoch tugendbegabten Jungfrauen Saræ Wettsteinin, deß Wohl Ehrenvesten Hochachtbaren vnd wohl weißen herrn Johann Rudolph Wettsteins, Vornehmen Banquiers Vndt deß Raths Zu Baßel mit der Viel Ehren vnd Hoch Tugendreichen frauen Mariæ Socin ehelich erzeugter Jungfer dochter, alß der Jgf. hochzeiterin andern Theilß
Bescheh. Vndt Verhandelt seind dieße ding In der Königl. Statt Straßburg Mitt. d. 27.t Monat tag febr. 1709.
Summarischer Calculus über Herrn Johann Jacob de Beyers Vornehmen handelßmanns vnd burgers Zu Straßburg habende eigenthümliche Nahrung, So derselbe Zu Jungfrau Saræ Wettsteinin seiner Hochzeiterin künfftigen Eheliebstin In den Ehestand Zubringen wird, auffgerichtet den 7. Martÿ 1709. (…) Summa 20.650 fl.

Jean Jacques de Beyer et Sara Wettstein font baptiser Marie en 1710 et Jean Raoul (Jean Rodolphe) en 1712
Baptême (réformés, f° 12)

1710. den 12.t. Aprilis liessen tauffen Herr Johann Jacob de Beÿer Burger und Handelßmann in Straßburg, Frau Sara geborne Wettsteinin. Testes Herr Benedict Socin Burger und handelßmann in Basel, an dessen statt stund herr Frantz Peter Crugot Burger und handelsmann in Straßburg, Fr. Maria Elisabeth Bernhardin gebohrne heüschin, Fr. Sara Socin gebohrene Sarasinin von Basel an deren statt stund Frau Sara de Barÿ gebohrne wirtzin, Infans Maria (i 14)

Baptême (réformés, f° 17-v)
1712. Aprilis. 3. ließen tauffen 1. Herr Johann Jacob de Beÿer Burger und Handelßmann in Straßburg, Fr: Sara geborne Wettsteinin. Testes Herr Johann Samuel de Barÿ handelßmann in Straßburg, Herr Johann Jacob Burckard, Spital Pfleger zu Liesthal Basler gebiets an dessen statt stund herr Johann Jacob Saltman Burger und handelßmann in Straßburg, Fr. Catharina Socin gebohrene Stähelÿ von Baßel an dero statt stund Fr. Elisabeth Pasquay gebohren Folltin. Infans Johann Rodolff (i 20)

Litige entre de Beyer et Güntzer au sujet de poivre pilé
1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
338-340 Herrn de Beÿer pt° erkaufften selbst gestoßenen pfeffers und Hn XV. Güntzer erzeügten schlechten respects, 367 Jacob de Beÿer

Le capitaine Jean Gaspard de Beyer vend sa part de maison à son frère Jean Jacques de Beyer

1715 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 44
Hr. Joh: Caspar De Beyer geweßener Capitaine
Johann Jacob De Beyer handelsmanns seines H. bruders
seinen vierten theil ahn dem Debeyerischen Gewerbshauß sambt allen darzu gehörigen gebaüen, begriffen, weithen, rechten zugehörden und Gerechtigkeiten allhie zue Straßburg unter der Großen Erbslauben einseit neben H. Joh: Jacob Rauch anderseit neben H. Johann Mathis Schmidtmeÿern gelegen hinten auf den Prediger Kirchhoff stoßend zusambt seinem antheil ahn dem Debeyerischen laden zu Zurzach cum appertinentiis deßgleichen alles d. jenige so ihm ahn dem Gewerb und handlung wie es immer nahmen haben mag auffrecht und redlichen gebüret, undt in summa alles mit eingerechnet was Er sonsten quocumque modo wegen weÿl. H. Caspar Debeyer und auch weÿl. Frauen Barb: geb. Saltzmännin seiner lieben Eltern seel. Verlassenschafften erbsweiße zu erfordern habe, nichs davon außgenommen – um 1100 Reichsthaler Straßb. Courrent à 15 ß gerechnet

La tribu du Miroir a infligé une amende à Jean Jacques de Beyer pour n’avoir pas inscrit trois compagnons à son service. Il répond que deux d’entre eux ont terminé leur apprentissage et qu’il va inscrire le troisième. Les Quinze décident de relever Jean Jacques de Beyer de l’amende à condition qu’il inscrive le compagnon lors de la prochaine assemblée du Miroir.
1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134, notes du greffier 2 R 133)
(Notes p. 53) Mittw. den 17. Martÿ – Iid. Secret. rec. vom 13. hus. in s. Joh: Jacob Desbaÿer Ca. E. E. Z. Zum Spiegel. Ille gehört, sagt d. die 2 ersteren außgelerten Waß den 3.ten anbelangt, wolle er selbig. einschrben laßen, pt° mulctæ b. absol. von der Straff, nôe E. E. Villars undt H: Beguinn bezieh. sich auff ihren bescheid. Hn Dep. den letzten beÿ nächstem gericht ein schrb. Zu laß. beÿ straff der ordng. Erk. in plenum.

(Notes p. 57) Sambst. den 20. Martÿ – Iid. H. Joh: Jacob Desbaÿer Ca. E. E. Z. Zum Spiegel. Erk. bed. Erl.

(f° 94) Sambstag den 13. Martÿ 1728. – Johann Jacob de Bayer ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel
Moss. nôe Johann Jacob De Beyer cit. E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfftmeister, prod. Zunfftbescheid von welchem er an Mghh. appellirt, bitt dießer Appl. g. Zu recipiren, Deput. Zu erkennen et Facta relatione Ihne von angeschribener Straff Zu befreÿen. Fuchß bitt auch Deput. und es beÿ Bescheid Zu laßen. Erk. wird mit gebettener Deput. willfahrt. [Notes p. 49]

(f° 111) Sambstag d. 20. Martÿ 1728. – Johann Jacob de Bayer ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel [N.B. Les passages manquants dans l’original endommagé sont restitués par les notes du secrétaire, ovir plus bas]
Iidem [Obere Handwercksherren] laßen per Eundem [Herrn Secret. Kleinclaus] referiren, daß Herr Johann Jacob De Bayer der burger undt Handelsmann allhier contra E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfftmeister einen Widrigen beÿ ged. Zunfft den 4. huj. ertheilten bescheid (.besag welches erkandt weil H. De Beyer gnädiger Hh. der XV. Decret vom 24. Januarÿ jüngst sich nicht Submittiren, und seine dreÿ Lehrjungen einschreiben laßen will, die darinnen enthaltene straff der 10 lb zu erlegen, undt beÿ dergleichen Straff solche einscheibung fürdersambst Zu Thun schuldig sein solle.) Producirt, wavon er an Mgh. Appellirt und unterthänige bitt dieße appellation gnädig Zu recipiren, Deputation [] Zu erkennen, et facta Relatione Ihne von angesch[riebener] Straaff gnädig Zu befreÿen, Worauff Louis B[eguin] Zunfftmeister beÿ gedachter Zunfft auch umb [Deputation] gebetten, et Facta Relatione die Sach beÿ e[rgangenem bescheid] Zu laßen, Refusis expensis. Auff gescheh[] habe der Appellant beÿgesetzt, Zweÿ sein[er Lehrjungen] hätten bereiths ausgelernt, was aber [den dritten anbelangt] weilen es Mghh. also haben wolten s[o wolle er jhnen einschreiben] laßen nomine gedachter Zunfft [H. Villars undt H.] Bequin sich auff Mghh deßwegen [deßweg. ertheilter Erk.] bezogen, Auff seithen der Hh. D[eputirten daß] diejenige Zweÿ jungen so b[ereits außgelertn haben, nicht,] wohl aber der dritte [einzuschreiben seÿe, und Weil der] Appellant sich hierzu [verstanden und sich declarirt, daß er den] dritten einschreiben [laßen wolle, alß habe man darvor] gehalten daß er von [angeschriebener straff vor dießes] mahl zu absolviren [seÿe, doch daß die einschreibung] beÿ nächstem Gericht geschehen solle, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. bedacht gefolgt.

(Notes p. 136) Sambstag den 20. Martÿ 1728. – Iidem [Obere Handwercksherren] ref. daß Herr Johann Jacob Desbaÿer Ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel einen Widrigen Zfftbescheid prod. Worvon et an Mgh. appellirt mit unterth. bitt dieße appellation gn. Zu recipiren, Dep. Zu erkennen, et f. Rel. Ihne von angeschriebener straaff gn. Zu befreÿen. Worauff Louis Beguin der Zfftr ged. Zunfft auch umb dep. gebetten, et F. Rel. die Sach beÿ ergangenem bescheid Zu laßen, ref. exp.
R. setzte der Appellant beÿ, Zweÿ seiner Jungen hetten bereiths ausgelernt, was aber den dritten anbelangt Weilen es Mghherren allso haben wolten so wolle er jhnen einschreiben laßen nôe ged. Zunft H. Villars undt H. Beguin bezog. sich auff Mghh. deßweg. ertheilter Erk. Hh. Dep. daß diejenige 2. jung., so bereits außgelertn haben, nicht, wohl aber der 3. einzuschreiben seÿe, und Weil der Appellant sich hierzu verstanden und sich declarirt, daß er den dritten einschreiben laßen wolle, alß habe man darvorgehalten gehalten, daß er von angeschriebener straff vor dießes mahl zu absolviren seÿe, doch daß die einschreibung beÿ nächstem Gericht geschehen solle.

(Notes p. 78) Sambst. den 17. Aprilis – f. nôe E. E. Zunfft Zum Spiegel
H. Zfftmts Ca. H. Desbaÿer b. comm. sententiæ. Erk. Willfahrt

(Notes p. 83) Sambst. den 24. Aprilis – Obhwks H. Secre. 3 bescheid in s. H. Joh: Jacob Debeÿer Ca. E. E. Z. Zum Spiegel in s. Johann Daniel Engelharth Ca. ged. Zunfft in s. Christian Heusch (…) Erk. sollen expedirt und extradirt werden.

Jean Jacques de Beyer meurt en 1740 en délaissant deux enfants. Son comptable est Georges Wachter (futur propriétaire de la maison). Les experts estiment la maison à 3 250 livres. La masse propre à la veuve est de 707 livres, celle propre aux héritiers est déficitaire de 337 livres. L’actif de la communauté s’élève à 29 904 livres, le passif à 23 973 livres. En annexe, contrat de mariage entre la veuve et le banquier Christophe André Sommer le 16 mai 1741.

1741 (23.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 238) f° 140
Inventarium v. Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung v. Gütheren, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Edle, wohl Ehrenveste, v. großachtbare herr Johann Jacob Debayer, gewes. Vornehmer Banquier, der reformirten gemeind bestmeritirter Ältister, v. Vornehmer b. allh. nunmehr seel. nach seinem den 28.ten Aprilis des letzt abgewichenen 1740.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödt. ableiben Zeitl. verlaßen (…) durch sie Edle, Viel Ehren v. hoch Tugendbegabte Fr. Saram geb. von Wettstein die hinderbliebene Fr. Wittib mit assistentz S.T. herrn Andreæ Christoph Sommers, vornehmen Banquier, wie auch Churfürst. Pfältzischen wohlverordneten Raths v. Vornehmen b. allh., ferner H. Georg Wachtern, ledigen Buchhaltern von Memmingen gebürtig, H. Johann Friderich Lämmern, den ledigen handels bedienten von Lahr in Breißgau gebürtig, So dann Jungfr. Salome Zornin die dienstmagd von Baßel gebürtig (…) geäugt v. gezeigt – So geschehen allh. Zu Str. auff Donnerstag den 23.ten Martii A° 1741.
Der Verstorbene Herr seel. Hat ab intestato Zu seinen Erben Verlaßen wie folgt 1° S. T. Frau Maria, Brennerin geb. Debayerin, S.T. H. Johann Jacob Brenners, Vornehmen Banquier v. b. in Baßel Frau Eheliebste, welche beede Ehepersonen dermalen beÿ dießer Inventur abweßend gewesen. So dann 2. S.T. Herrn Johann Rudolph Debayer, Vornehmen Banquier, wie auch Churfürst. Pfältzischen wohlmeritirten Rath allh. ohnverburgert, welcher in eigener Person beÿ dießer Inventur gegenwärtig war. Beede des verstorbenen H. seel. mit Eingangs wohlbesagter seiner hinderbliebenen frauen wittib ehel. erzeugter H. Sohn, v. Fr. Tochter und ab intestato Zu gleichen portionen nach todt verlaßener herr und Frau Erbin und dieweilen dieselbige allhier ohnverburgert, so ist auß E. E. Kl. Raths mittel (…) zu einem herrn Deputato Zugeordnet und ernennet worden S.T.. Herr Frantz Joseph Krug, J. U. Ltis v. E. E. Kl. Raths jetzmahlig. wohlmeritirter beÿsitzer, vnd b. all. welcher dießer Inventur inn Persohn abgeordnet

In einer allhier Zu Str. ane der großen Gewerbslaub gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen Beh. folgendermaßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Obern vordern Stub, Im Obern vordern Haußöhren, In der obern Kuchen, Auff dem gang in der Camin Cammer, Im Nebens Stüblein, In der obern Hindern Stub, In der Magd Cammer, In der untern Wohnstuben, In des Buchhalters Zimmer, In der diener Cammer, In des Kutschers Cammer, In der untern Kuchen, Im Comtoir
Eigenthum ane einem Reebhoff und darzu gebürtigen güthern (…)Ihro der fr. Wittib beÿ vätterl. Verl. abtheilung, so umb das Jahr 1736. geschehen seÿ solle, Zugefallen umb 3800 pfund baßler währ. (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Gewerbs Beh. bestehend in j.m Vordern: Mittlern v. hindern hauß nebens daran erbauten Stallung mit allen dere Gebaüden, Zugehördten, Rechten v. Gerechtigkeiten, ehedem der glaßhoff genand, gelegen allh. unter der großen gewerbs lauben, i.s. neben weÿl. Sieur Renal, des gewes. Tabackhändlers allh. wittib v. Erben, 2. s. neben H. Johann Matthia Schmidmeÿeren, dem Rauwaarhändlern, hinden Zum theil auff dem Prediger Kirchhoff, dahin auch ein außgang, v. Zum theil auff den neuen Markt, so der ehemalige Thomb Probst hoff geweßen stoßend, davon mann, und Zwar berichtetermaßen meheren theils von dem daran gebauten Stall alljährl. der Stadt Pfgth. 4. lb 10 ß d allmend oder Boden Zins Zugeben pflichtig, sonst aber ledig v. eigen, Wie dieße Behh. dh. der St. geschworene Hh. Werckmeistere in crafft der mir Not° Zum Concept überreichten schrifftl. abschatz. de dato 23.ten Martii 1741. æstimirt v. angeschlagen worden pro 3250. lb. d. Davon dann abgängig obig angezeigtes onus Zu doppeltem Capital gerechnet, so thun, 180. lb. Nach deren abzug im rest verbleibt so außzuwerffen 3070. lb
Über einen antheil dießer Beh. welchen der Verstorbene Hn. seel. von S.T. H. Justino Debayer, dem Handelsmann v. b. in Baßel seinem H. Brudern, erkaufft, bes. i. teutscher pergam. Kauffbr. in allh. C. C. stub gef. v. mit deren anh. Ins. corroborirt, datirt den 25.ten Junii A° 1706. Ferner über einen Vierdten th. daran so S. T. Fr. Maria Barbara geb. Debayerin S. T. Herrn Joh: Jacob Burckards wohlmeritirt Spital Pflegers Zu Liestal v. b. Zu Baßel, Fr. Eheliebstin, des abgeleibten herrn seel. fr. Schwester Zugehörig geweßen v. von ihme erkaufft worden meldet ein teutscher perg. Kffbr. in besagter C. C. stub gef. v. deren Ins. verwahret de dato 29.ten 8.bris A° 1705. Die übrige portionen solcher beh. seind dem verstorbenen H. seel. von Elterl. Erbschafft her eigenth. Zuständig, allermaßen auch über die gantze Beh. weiter vorhanden j. ältere teutsch. perg. Kffbr. auch in allh. C. C. stub gefertigt, v. m. deren anh. Ins. behänget deßen datum der 21.tr Xbris A° 1676. weißend daß dießelbe von längst weÿl. S. T. H. Caspar Debayern gewes. Materialisten v. b. allh. seinem H. Vattern seel. erkaufft worden seÿe. So dann melden auch andere perg. Kffbr. v. schrifftl. Bericht hierüber, alles th. m. altem v. th. m. jetzigem N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 22, Sa. Silbers 5, Sa. gold. Ring 180, Sa. activ schuld 500, Summa summarum 707 lb
der Erben unverändert g. Sa. haußraths 64, Sa. Silbers 21, Sa. gold. Ring 76, Summa summarum 162 lb – Schuld 500, der Erben passiv onus 337 lb
das Theilbare Guth, Sa. haußraths 445, Sa. Vas und andere Schiff und geschirr zu denen Materialien v. handlung gehörig 41, Sa. derer Materialien v. wenig anderen waaren zur handl. gehörig 12.345, Sa. Kutsch und Pferd 234, Sa. heues 4, Sa. der sein v. leerer faß 202, Sa. der Silber geschirr und Geschmeids 273, Sa. gold. Rings 2, Sa. baarschafft 630, Sa. Eigenth. ane jr. beh. 3070, Sa. Eigenth. ane einem Reebhoff 650, Sa. der activorum 12.004, Summa summarum 29.904 lb – Schulden 23.973, Rest 5927 lb – Stall Summ 2658 lb
Copia der Eheberedung (…), den 27. monatstag febr. A° 1709
Abschatzung dem 23: Martÿ: 1741. Auff begëren Weillandt deß Ehren Vësten und wohll achtbahren Herrn Johann Jackob Depeÿer deß gewëßenen Kauff und handelß Mann seel. hinter Laßenen frau wittib und Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg under der großen gewërbß Lauben gelegen, Einseitß an Hn Johannes schmidt Meÿern anderseitß an die frau rënalie wittib hindten Zum Theill auff dem Prëdiger Kirchhoff, Zum theill auff dem Neuen Marck, dem alten so genanten thombbrobst hoff Stoßent wëlche behausung, Ein gangß der Lahten hindten daran daß Contor gewölbter Keller, oben ihm Ersten Stock ein Stuben Kuchen und daß hauß Ehren, ihm Zweÿten Stock, eine Cammin Cammer Nebenß Cammer ein Stuben gëgen dem hoff und hauß Ehren, unden dem tach ihm triten Stock ein großen Cammer und hauß Ehren woruber daß tach mit einem alten tach Stull und besetzte binnen, daß seiten gebau rëchter handt darinnen unden ein alte Mackasin Von einen Stockhoch darauff ein alteß bienell, Neben daran ein Cammin Cammer Stubell und hauß Ehren oben dar über Zweÿ Cammern wor auff der tach stull mit einem halben Mansart tach seiten gebau Lincker handt so unden ein Stuben Kuchen und hauß Ehren oben dar uber ein große Kammer wor auff ein alter tach stull daß hinter gebau so sehr alt und baufellig wor under unden ein waren Kammer, Neben daran die bauch Kuchen, oben dar uber die tabackstuben Zweÿ Cammren worüber daß tach der hof und bronnen der Stall und gewölbter Keller, sambt aller gerëchtigkeidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Sechß Tausent und Vunff hundert Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Eheberedung – zwischen S. T. Herrn Andrea Christoph Sommern, Wittibern Vornehmen Banquier und Ihro Churfürst. durchlaucht von der Pfaltz, wolverordnetem Rath, auch vornehmen burgern allh. Zu Str. als dem H. Hochzeitern ane einem, So dann S.T. Fr. Saram geb. von Wettstein und Weÿl. S.T. herrn Joh: Jacob Debayer gewes. Vornehmen Banquier der Reformirten Gemeind allh. bestmeritirten Ältesten vnd vornehmen b. alhier seel. nachgelaßener Fr. Wittib als der Fr. Hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen und verhandelt seind dieße ding allhier in der König. freÿen Stadt Straßburg auff dienstag den 16.ten tag des monats Maÿ Im Jahr des herrn 1741.

Jean Jacques Debeyer, ancien de la paroisse réformée, meurt le 30 avril 1740 à l’âge de 65 ans. Son corps est inhumé au cimetière Sainte-Hélène.
Sépulture (réformés, f° 60-v)
H. Joh: Jacob Debeyer handelßmann und Elltester bey d. reform. Gemeind starb d. 30. Apr. 1740. alt. 65. Ann. bestattet auf Sr. Helenæ (i 70)

Les Quinze réduisent de moitié le droit de détraction eu égard que le fils, Jean Raoul de Beyer héritier pour moitié, est manant de Strasbourg et que les fonds ne quitteront pas la ville. Jean Raoul de Beyer s’engage à payer à la ville les taxes dès que la ferme de l’électorat palatin sera réglée.
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 307) Sambstag d. 29. Aprilis 1741. – Moss. nôe weÿl. H. Joh: Jacob de Beyers gewes. b. und handelsmanns allhier ohnverburgerter Sohns und Tochter prod. underth. Mem. mit Beÿlag Lit. A. pt° Abzugs. Erk. Ober Stallherren

(p. 334) Sambstag d. 13. Maÿ 1741. – Weÿl. H Joh: Jacob de Beyers EE pt° Abzugs
Obere Stallherren laßen per me proponiren, daß weÿl. H. Johann Jacob De Beyer des gewesenen burgers undt handelßmanns allhier hinderlaßener Sohn Johann Rudolph de Bayer auch handelsmann allhier und Schirmer, und tochter, welche Zu Baßel Verheürathet durch ein den 21. Aprilis jüngst producirtes Underthäniges Memoriale sambt Beylag Sub Lit. A. gehorsambst Vorgetragen Es erhelle aus erstangeregter Beylag (welches ein Stall Schein) wie daß von seithen der Statt Stall an weÿl. Johann Jacob De Beyer deren Verstorbenen Vatters ohnverburgerte Sohn und Tochter Vor Abzug gefordert werden die Summ von 261. lb 16 ß 10 d Nun aber befänden sich unter der Rubrica der Activ: Schulden Verschieden starcke posten, mit welchen es gefährlich stehe, undt da ein nahmhafftes davon Verlohren gehen Könne, ob Sie gleich nicht alß Zweiffelhafft jnventirt werden wie aus dem Inventario erweißlich, beneben deme Kähme auch noch Zu consideriren vor, daß des Defuncti sohn beständig allhier wohnhaft undt in den Schirm seÿen, deßen antheil in allhießiger Statt Verbleibe, und in Klein Frembd Land Zu Verschickhen seÿe, Wolten Sie also Vnderthg. gebetten haben Mgh. gnädigst geruhen wolten die geforderte abzugs Summ auff ein geringes und leidentliches Zu moderiren.
Auff geschehene Weißung seÿe nahmens deren Applicanten Vorgestanden H. Not. Dautel der Inventir schreiber beÿ diesem Geschäfft welcher ein Verzeichnuß aller Debitorum sowohl in der Frembde alß allhier deren Debita alß guth eingetragen à 16.006 Reichstahler 23. Xr. sich erstreckhend Vorgelegt, und sich in Specie auff die Zweÿ ohneins letzten da auff der Chur Fuestl. Pfältz. ferme 6666 Rthr und 60.Xr und auff Mr D’Elliot de Mortagne 1524 thl. und 16 Xr eingetragen bezogen mit dem Beÿsatz daß wann jemand H. De Beyer Vor die erste post die Helfte geben wolte, er selbige Zu cediren bereith Man Habe aber vor nöthig erachtet H De Beyer auch selbsten hierüber Zu hören, welcher auff geschehenes fürgebiethen erschienen, und declarirt, Er wolle sich Verpflichten Von demjenigen was aus der Chur Fürstl. Pfältz. ferme eingehen, und Ihnen erblich Zufallen würde, Gemeiner Statt ins Künfftige den 10.ten pfenning getreulich beyzutragen. Auff seithen der herrn Deputirte, habe man aber, mit hoher genehmhaltung des herrn P. Regÿ Excellenz erachtet daß beßer werde gethan sein wann man trachte gleich jetzo aus der sach Zu Kennen, vnd Vermeint daß ane denen angesetzten 261. lb 16 ß 10 d. die Helffte nachzulaßen, die genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 11 300 florins et que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1741, Livres de la Taille (VII 1179) f° 72-v
Spiegel F. N. 8327. – Weÿl. H. Johann Jacob Debayer gewesenen Matelialisten Banquier und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Dautel
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 124.b 2626 15. 4., Darzu gelegt die Abgezogene Beßerung auf den Wahren weilen selbige dem Einkauff nach Zu Verstallen seind 3086. 6. 3., Summa 5783. 1. 7
die machen 11.500 fl. Verstallte allein 11.300 fl. Zuwenig 200 fl.
Es hat aber wegen der Vielen außständigen Activ schulden, so nicht genoßen worden kein nachtrag ausgesetzt werden können.
Extat das Stallgeltt pro 1741. mit 18 lb 6 ß
Gebott 4 ß
Abhandlung 6 lb 7 ß 6 d, Summa 24 lb 17 ß 6 d
Abzug. Frau Maria gebohrne Debayerin H. Johann Jacob Brenner S. E. Banquier und burger Zu Baßel Eheliche haußfrau und H. Johann Rudolph Debayer Churfürstlich Pfältzischen Räht und Banquier alhier, beede ohn Verburgert haben von angefallenem Vätterlich. Erbe der 2618. lb 8 ß 2 d den abzug zu erlegen mit 261. lb 16 ß 10. s
Vermög Erkanntnus Gnädigen Herren der Fünffzehen ist vorstehender Abzug oderirtt worden auf die helffte, macgt 130. lb 8 ß 5 d.
die angesetzte Straffe der 8. lb d. wegen Zu Späthen gelüferten Inventarÿ ist auf eingebrachte erhebliche entschuldigung wieder nachgelaßen worden.
dt. 15. May 1741.

Fils de Jean Jacques Sommer, pasteur à Ravensbourg, André Christophe Sommer achète le droit de bourgeoisie en 1711
1711, 3° Livre de bourgeoisie p. 1279
Andreas Christoph Sommer der handelsmann Von Ravenspurg H. Joh: Jacob Sommers des Pfarrers daselbst sohn erkaufft das burgerrecht p. 6. gold fl. 16 ß d. 29. Dito, wird Zum Spiegel dienen

Règlement de la succession de Marie Dorothée Langrœthinger, femme d’André Christophe Sommer, qui laisse pour héritières ses deux filles, Marie Dorothée Reuter épouse Caspary et Anne Salomé Sommer épouse Debeyer (N.B. les actes concernant André Christophe Sommer seront présentés sur une autre notice)
1754, Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 295)
Summarische berechnung und respectivé Untersuchung Über Weÿland Frauen Maria Dorothea Sommerin geb. Langröthingerin nun auch Weÿl. H. Andreä Christoph Sommers geweßenen Vornehmen Bancquier und burgers allhier geweßener Frauen Eheliebstin längst seel. Verlassenschafft und das darüber in A° 1729 durch nun auch weÿl. H. Not. Johann Lobstein gefertigte Inventarium nach den Stall tax wie solches auch gestelt worden, simpliciter und ohne reflection auf die quæstionirte Transaction aufgerichtet
Welche demnach Sie Frau Maria Dorothea Casparÿn gebohrene Reuterin die tochter erster Ehe ane Vätter: und Mütter. guth loco Legitimæ zuempfangen habe
So dann gebühret Jungfrauen Sommerin, modo Frauen Annä Salome Debayerin, der Frauen Tochter letzter Ehe ane Mütterl. guth loco legitimæ vor einen drittentheil dem Stalltax nach

Jean Raoul de Beyer (Jean Rodolphe de Beyer) hérite de la maison de son père. Il épouse en premières noces la susdite Anne Salomé Sommer (ni contrat de mariage ni célébration ne se trouvent à Strasbourg) dont il a plusieurs enfants qui meurent après leur mère, de sorte qu’il hérite de la maison qui appartenait à son beau-père.

Jean Raoul de Beyer (né en 1712) se remarie en 1775 avec Sophie Elisabeth de Dietrich (née en 1754, voir les tableaux généalogiques dans De Dietrich, Le tricentenaire, La Nuée Bleue 1986), fille de Jean Nicolas de Dietrich et de Marguerite Salomé Gloxin : contrat de mariage, célébration
1775 (2. 7.br), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) f° 158
Eheberedung – zwischen dem hochwohlgebornen Herrn Johann Rudolph de Beyer, hertzoglich Zweÿbrückischen allhier zu Straßburg residirenden Geheimden Rath als dem Herrn Bräutigam ane einem
So dann der Freÿwohlgebornen Fräulein Sophia Elisabetha von Dietrich, weil. des Freÿwohlgebornen Herrn Johann Niclaus von Dietrich, des beständigen geheimen Regiments derer Herren Fünffzehen alhier geweßten hochansehnlichen Mitglieds mit der hochwohlgebornen Frauen Margaretha Salome von Dietrich gebohrner Gloxinin ehelich erzeugter Fräulein tochter als der Fräulein braut, ane dem andern theil – So geschehen alhier zu Straßburg den 2. Septembris Anno 1775.

Mariage, Niederbronn (luth. p. 10)
Im Jahr 1775 den 4. Septembris wurden nach vorher gegangener gewöhnlichen Ausrufung allhier ehelich eingesegnet S.T. Herr Johann Rudolph de Beyer des Herrn Herzogs von Pfaltz Zweÿbrücken Hochfürstl. durchleucht wirklichen Geheimden Rath und S.T. Fräulein Sophia Elisabetha von Dietrich des S.E. weÿl. herrn Johann Niclaus von Dietrich des beständigen Regiments der Herrn Fünffzehn in Straßburg hochansehnlichen Mitgliegs ehelich erzeugte ledigenFräulein tochter, [unterzeichnet] Johann Rudolph de Beyer als brautigam, Sophia Elisabetha von Dietrich als braut
Proclamation Saint-Nicolas (luth. f° 185 n° 24), 1775 den 3. herbstmonat (…) und den Montags darauf zu Niederbronn ehelich eingesegnet worden herr Johann Rudolph De Beyer des Herrn Herzogs von Zweÿbrücken Hochfürstlich durchleucht wirklich Geheimden Rath, weÿland Frauen (-) gebohrner Sommerin hinterlaßener Wittwer und Jungfer Sophia Elisabetha von Dieterich weÿland herrn Johann Niclaus von Dieterich des beständigen Regiments der Herrn Fünffzehn gewesten Mitgliegs mit deß. hinterlassenen wittib Fraun Margaretha Salome gebohrner Gloxinin ehelich erzeugte tochter (i 188)

Dissertation que Jean Raoul de Beyer présente à l’université de Strasbourg en 1753
Dissertatio inauguralis juridica, sistens theses
De jure belli et pacis in imperio romani-germanico
quas Deo Præside, ex decreto et auctoritate Illustris Jurisconsultorum ordinis
in alma argentoratensi universitate
Pro licentia summos in utroque jure honores et privilegia doctoralia rite consequendi, solenni eruditorum examini submittit
die XXIII. martii, A. C. MDCCLIII.
h. l. q. c.
Joh.Rrudolphus de Beyer, argentoratensis.
Argentorati, Typis Simonis Kürsneri, Cancellariæ Typographi.

Jean Raoul de Beyer meurt en 1786 en délaissant trois filles. L’inventaire est dressé dans la maison au Rheineckel (quai Saint-Thomas). La masse propre à la veuve est de 17 689 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 37 640 livres, le passif à 17 087 livres.

1786 (16.11.), Not. Zimmer (6 E 41, 1437) f° 764
Inventarium über Weiland des Hochwohlgebornen Herrn Johann Rudolph de Beyer, des alhier zu Straßburg wohnhaft gewesten Hertzoglich Zweÿbruckischen Geheimden Raths Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1786. (…) nach seinem den 13.ten Octobris dieses 1786.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen hat, Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen der Freÿ Hochwohlgebornen Frau Sophia Elisabetha von Dietrich, der hinterbliebenen Frau Wittib beiständlich Herrn Ernst Friderich Mollinger des Beamten in allhießigem Kaufhaus und sein des Verstorbenen Herrn mit deßen Frau Wittib ehelich erzeugt und nachgelaßener dreÿ Kinder und Erben geordneten Herrn Vogts alle nach diesem Eingang insonderheit benamset, inventirt und ersucht durch die Frau Wittib, Johannes Fenger, der Cammerdiener, Ignatius Eßlinger den Bedienten, Elisabetha Grieneckin die Cammerjungfer, Sophia Schwartzerin die Köchin, und Anna Maria Greÿin die Dienstmagd (…) So geschehen und angefangen alhie Zu Straßburg den 18. Novembris Anno 1786.
(f° 25) Der Eingangserwehnte verstorbene Herr de Beyer hat ab intestato Zu seinen einigen Erben hinterlaßen 1° Dlle Maria Margaretha Sophia de Beyer ihres Alters 9 Jar, 2° Dlle Eleonora Charlotta de Beyer und 3° Dlle Louise Amalie de Beyer, bede letztere Zwillinge und 8 Jahr am Leben, Alle dreÿ sein des Verstorbenen Herrn mit Eingangs erwehnter deßen hinterbliebener Frau Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheiler nachgelaßene Erben, deren geordnet und geschworener Vogt ist Hr Johann Friderich Herrmann J.V. Ltus und secretarius adjunctus des beständigen geheimen Regiments derer Hh. Fünfzehen dahier, welcher in dieser seiner qualtitæt sogleich declarirt, wie daß Er diese Verlaßenschafft schlechterdings anzutretten gedencke.
In einer alhier zu Straßburg an dem sogananten Rhein Ecklein gelegenen & hiehero gehörigen und hernach beschriebenen Behausung befunden worden, wie folgt
Ergäntzung der Fraun Wittib abgegangnen unveränderten Guts. Nemlich da die Wohlerwehnter Frau Wittib in der hieoben copeilich einverleibten Eheberedung §° 10° derselben Zum theil als eine Ehesteur verschriebene 60.000 livres von Ihro würklich baar in die Ehe gebracht worden (…) 15.000 lb
Hernachbeschriebene Mobilien und Effecten so sich auf dem Landguth in der Ruprechts-Au befinden (…)
Bibliotheca und Naturalien-Cabinet in Mineralien, Muscheln und andern See: Producten bestehend
(f° 23) Eigenthum ane einem Landguth und Zugehörden in Ruprechts-Au gelegen. (E. et T.)
(f° 24) Eigenthum ane einer behausung und Zugehörden alhier zu Straßburg. (E. et T.) Nemlich eine Behausung, Hoff und Hoffstatt, mit allen derselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg an dem sogenanten Rhein: Eckel (…)
(f° 25-v) Bericht wegen dieser Verlaßenschafft. Zufolg der vorher copeÿlich einverleibten Eheberedung §° 4.to wurde Zwar verabschiedet und verglichen, daß der nun Zertrennten Ehegatten in der Ehe gebrachtes und während derselben etwa ererbendes Vermögen, als eigen und unverändert seÿe und das davon abgegangene wider behörig ergäntzt, daher dann um der Ordnung Willen, bald auch vollzogener Copulation hat inventirt und angeschlagen werden sollen, Wie aber des Verstorbenen Herren Frau Wittib auf beschehene Anfrage declarirt, so seÿe bederseits in die Ehe gebrachtes Guth weder inventirt noch angeschlagen, auch stehender Ehe nichts ererbet worden (…)
(f° 26-v) Series rubricarum hujus Inventarii. copia der zwischen beden zertrennten Ehegatten den 2. Septembris 1775. in duplo errichteten Eheberedung (…)
Der Fraun Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 94, Sa. Silbers und Geschmeids 109, Sa. Gold und Geschmeids 486, Sa. Schuld 2000, Sa. Ergäntzung 15.000, Summa summarum 17.689 lb
Nota ! Außer dem ist der Fraun Wittib annoch für unverändert gehörig das von deroselben Herrn Vater ererbte Guth, welches aber ihr der Fraun Wittib eheleiblicher Fraun Mutter ohnuntersucht in Handen gelassen, und von derselben bis daher genossen worden, hier zum Bericht
Dießemnach wird auch alles übrige vorhandene Guth unter einem Titul und einer Mass als in des verstorbenen Herrn Verlaßenschaft gehörig, beschrieben, Sa. Haußraths 2889, Sa. Kutschen und Chaises 530, Sa. Bibliothec und Naturalien-Cabinet 300, Sa. Wein und leerer faß 310, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 2469, Sa. Gelds 235, Sa. Baarschafft 221, Sa. Eigentums ane einer behausung 11.500, Sa. Eigentums ane einem Landguth 3000, Sa. Schulden 16.184, Summa summarum 37.640 lb – Schulden 17.087, Nach deren Abzug 20.553 lb
Rentes viagères, Summa vorheriger von der Frau Wittib und ihren vorgedachten drei Dlles töchtern in vorbesagte Weise järlich zu beziehen habenden Rentes viagères beträgt 60 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen alhier Zu Straßburg den 2. Septembris Anno 1775, Zimmer, Notarius
Catalogue de livres de diverses matières notamment de mathématiques, physique, histoire naturelle, voyages, histoire et belle littérature qui seront vendus à l’enchère au quai de l’Esprit dans la maison Nro. 10. Lundi le 18. décembre prochain & les jours suivans. A Strasbourg chez Jean Henr. Heitz, Impr. de l’Université 1786.

Jean Raoul de Beyer meurt le 13 octobre 1786 à l’âge de 74 ans. Son corps est inhumé au cimetière Saint-Gall.
Sépulture (réformés, f° 20)
Anno 1786 Freÿtags den 13. Octobris nach mittag um dreÿ Uhr starb allhier der hochwohlgeborene Herr Johann Rudolf De Beyer, im Leben gewesenen hertzoglich Zweÿbruckischen Geheimde Rath und Burgers von Basel Seines Alters 74 Jahre sechs Monath und 13 tag. Sein Leichnam ward Sonntag den 15. Ejusdem auf St. Galli gottesacker beerdiget [unterzeichnet] Freÿh. Von Dietrich als Oncle Graf Von Steinthal, freÿherr Johann Niclaus von Dietrich als Schwager (i 66)

Jean Raoul de Beyer, marchand manant de Strasbourg, vend la maison au marchand Georges Wachter

1750 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 29-v
H. Johann Rudolph Debeyer der handelsmann und schirmsverwandte
H. Georg Wachter des handelsmanns
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, gewerbs laden, hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten unter der großen gewerbs laub, einseit neben weÿl. Antoine Raynal des handelsmanns wittib und erben, anderseit neben Mathias Schmidtmeÿer dem rauchwaarenhändler hinten theils auf den Neuenmarckt theils den Prediger kirch hoff einseit neben Johann Daniel Helmstätter dem meelhändler anderseit neben N Schöttel dem organisten ehevögtl. weiß – davon gibt man auff Laurentÿ wegen dem hintern thor hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 li 10 ß ane Almend oder bodenzinß – als eine zufolg erbsvergleichs de dato 16. maÿ 1742 aus vätterlicher Verlaßenschafft erhaltenes guth – um 9000 pfund

Originaire de Memmingen, le marchand Georges Wachter achète le droit de bourgeoisie en 1745.
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 240
H. Georg Wachter der ledige handelsmann Von Memming. gebürtig erhalt das burgerrecht um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel jur. eod. [22.ten 9.bris]

Fils du marchand Jean Wachter de Memmingen, Georges Wachter épouse en 1747 Marie Madeleine Hammerer, fille du marchand Philippe Hammerer : contrat de mariage, célébration
1747 (5.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 80) n° 520
Eheberedung – entzwischen dem Wohl Ehrenvest und großachtbahren Herrn Georg Wachter, dem Ledigen Vornehmen Handelsmann des Wohl Ehrenvest und Hochachtbahren herrn Johann Wachters, auch vornehmen Handelsmanns in der Statt Memmingen, ehelichem Herrn Sohn, als dem herrn Bräutigamb, ane einem
So dann der Edlen Hoch Ehren und hoch tugendgezierten Jungfrauen Maria Magdalena Hammererin, weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Philipp Hammerers geweßenen Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seeligen nachgelaßener Jungfer Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
Beschehen und Verhandelt sind dieße ding in der Königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 5. Monatstag Aprilis in Jahr nach Christi geburt gezahlt 1747

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 85-v n° 8)
1747. Mittw. den 19. Aprilis seÿndt nach Zweÿmahligen Vorhergeschehener Proclamation in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden Herr Georg Wachter der ledige Handelßmann und burger allhier, Herr Johann Wachter des handelsmanns und burgers Zu Memmingen ehel. Sohn und Jungfrau Maria Magdalena Hammererin Weÿl. Herrn Philipp Hammerer, geweßten Handelßmanns und burgers allhier hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Georg Wachter als Hochzeiter, Maria Magdalena Hammererin als hochzeiterin (i 88)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de l’Ecurie. Ceux du mari s’élèvent à 6 158 livres, ceux de la femme à 1 682 livres.
1747 (29.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 63) n° 1435
Inventarium und beschreibung aller jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so die Edle, hoch Ehren und hoch tugendbegabte Frau Maria Magdalena Wachterin, gebohrene Hammererin zu dem Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Georg Wachter, dem Vornehmen Handelsmann Ihrem hertzgeliebten Eheherrn Vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung, welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 29.ten Aprilis Anno 1747.
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Georg Wachters, Vornehmen Handelsmanns und der Edlen und hoch tugendgezierten Frauen Mariæ Magdalenæ Wachterin gebohrner Hammererin beeder Eheleut und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1747.
In einer allhier zu Straßburg ane der Stallgaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie volgt
Abzug in gegenwärtig Zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig. Des Herrn in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. baarschafft 5976, Hälfte ane denen haussteuren 181, des Herrn völlig in die Ehe gebracht Vermögen 6158 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 189, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 75, Sa. goldener Ring, Ketten, Peerlen und dergleichen geschmeids 685, Sa. baarschafft 549, Summa summarum 1501 lb – Hälfte ane denen haussteuren 181, der Frauen völlig in die Ehe gebrachte Nahrung dem billichen werth nach 1682 lb

Georges Wachter meurt en 1760 en délaissant quatre enfants. Le prix d’estimation de la maison (3 250 livres) est repris de l’inventaire dressé après la mort de Jean Raoul de Beyer. La masse propre à la veuve est de 1 393 livres, celle des héritiers de 5 914 livres. L’actif de la communauté s’élève à 9 585 livres et le passif à 18 120 livres.

1760 (5.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 797) n° 211
Inventarium über Weiland des Edlen, Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Georg Wachters, geweßenen vornehmen Handelsmanns und wohlangesehenen burgers allhier Zu Straßburg nun seel. Verlaßenschafft errichtet in Anno 1760.
Inventarium und beschehen aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weiland der Edle, Wohl Ehrenvest und großachtbahre Herr Georg Wachter, geweßener vornehmer Handelsmann und wohlangesehener burger allhier Zu Straßburg nun seeliger, nach seinem Dienstags den 10.t Junii dießes lauffenden 1760.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Edlen, hoch Ehren und hoch tugendgezierten Frauen Mariæ Magdalenä Wachterin gebohrener Hammererin, der hinterbliebenen Wittib, beiständlich S.T. H. Georg Daniel Meinicken, Vornehmen Handelsmanns und E.E. Großen Raths dermaligen wohlverdienten Herrn beisitzers auch Vornehmen burgers dahier, Ihres erbettenen H. Assistenten, wie auch S.T. H: Jacob Willibald Wachters, Vornehmen Handelsmanns vnd Georg Wachters, geweßenen vornehmen Handelsmanns und wohlangesehenen burgers dahier, als geordnet und geschworenen vogts des abgeleibten Herrn seeligen mit vorgemelter der hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlter Vier Kinder, als deßelben ab intestato zu 4 gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener Erben Nahmentlichen Jgfr. Mariä Salome, Johann Heinrich, Mariä Magdalenä und Georg der Wachter ersucht (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 5.ten Septembris Anno 1760.

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Gewerbslaub gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt
(f° 10) Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine Behausung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Gewerbs Laden, Hoff und Hoffstadt, und außer dem Hauß einer nebens daran erbauten Stallung, mit allen deren übrigen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier zu Straßburg unter der großen Gewerbslaub, 1.s. neben weil. Hn Antoine Raynal geweßenen Handelsmanns Wittib und Erben, 2.s. neben Hn Joh: Jacob Schäffer, dem Seidenhändlers, hinten, theils auf den neuen Marckt v. theils auf dem Prediger Kirchhoff, 1.s. neben Johann Daniel Helmstätters, des ehemaligen Meelhändlers geweßener ersterer Ehefrauen seeligen Erben, 2.s. neben Löbl. Stadt Häußeren, davon man nunmehr jährl. berichteter maßen 7. lb. d. auf löbl. Statt Pfenningthurn ane boden: und Allmend Zinnß zu reichen hat und Zwar wegen dem hinteren thor 2. lb. 10. ß. d. wegen dem Pferdstall 10. ß. d. und dann wegen dem Schwibbogen 4. lb d. sonsten aber gegen männiglicher freÿ, leedig und eigen, und dißorths mit hochgeneigter Approbation der Hhn Dreÿer löblicher Stadt Stalls angeschlagen, wie selbige in weiland S.T. Hn Johann Jacob Debayer geweßenen Vornehmen Banquier der reformirten Gemeind bestmeritirten ältisten und Vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft Inventario durch H: Not.um Frantz Heinrich Dautel in A° 1741. errichtet durch der Statt Straßburg damals geschwornen H: Werckmeister taxirt worden pro 3250 lb. ab obiger angezeigter Onus zu doppeltem Capital gerechnet mit 350 lb. Nach deren Abzug in Rest verbleibt 2900. lb. Hierüber meldet ein in allhiesiger Löbl. C.C.stub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff weißend, wie der Verstorbene Hr seliger solche behaußung von S.T. Herrn Rudolph Debeyer, vornehmen Banquier und Schirmer allhier erkauft hat, mit dero Anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahret, sub dato 22.ten Januarÿ 1750. mit jetzigen N° 1 notirt
Ergäntzung der hinterbliebenen Fr. Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnverändert Guths, Vermög des über beeder Zertrennten Ehepersohnen einander für ohnverändert in dem Ehestand Zugebrachter Nahrungen durch nun weil. H. Notarium Johann Lobstein meinem Vatter seel. in A° 1747. errichtet hat
(f° 20-v) Series rubricarum hujus Inventarii – Copia Eheberedung vor weil. H.Notario Johann Lobstein
Copia des verstorbenen Herrn seel. den 28. Maÿ A° 1748. vor weil. H. Notario Johann Lobstein errichteten Codicilli
Der hinterbliebenen Frau Wittib, Sa. Hausraths 47 lb, Sa. Silbergeschirrs und dergleichen Geschmeids 36 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 240 lb, Sa. Schulden 250 lb, Sa. des Ergäntzungs rests 818 lb, Summa summarum 1393 lb
Dießemnach wird nun der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 57 lb, Sa. Silbergeschmeids 33 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 17 lb, Sa. des Ergäntzungs rests 6115 lb, Summa summarum 6224 lb – Schulden 250 lb, Nach solchem abzug 5914 lb
Endlichen Kommet auch die beschreibung des gemein, verändert: und theilbaren Guths, Sa. Hausraths 224 lb, Sa. Materialien, Gewerbs und farben wie auch Schiff und geschirr zur handlung gehörig 4715 lb, Sa. Wein und lährer faß 35 lb, Sa. Silbersgeschirrs und dergleichen Geschmeids 77 lb, Sa. goldengeschmeids 1 lb, Sa. der baarschafft 570 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 2900 lb, Sa. Schulden 1061 lb, Summa summarum 9585 lb – Schulden 18.120 lb, In Vergleichung 8534 lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stall tax nach 1167 lb, Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die theilbahre Verlaßenschafft zugeltend 571 lb

Marie Madeleine Hammerer meurt en 1769 en délaissant trois enfants. Le prix d’estimation de la maison est repris de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 8 626 livres, le passif à 2 607 livres.

1770 (16.2.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 813) n° 548
Inventarium über Weiland des Wohl Edlen und Viel tugendgezierten Fraun Mariä Magdalenä Wachterin, geb. Hammererin auch weiland Herrn Georg Wachters, geweßenen Vornehmen handelsmanns und wohlangesehenen Burgers dahier Zu Straßburg seeligen nachgelaßener Fr. Wittib, nun auch seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1770. – nach ihrem Dienstags den 26.ten X.bris des Zurückgelegten 1769.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren S. T. Herrn Jacob Willibald Wachters, vornehmen handelßmanns und wohlangesehenen burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Jungfer Mariä Salome, Herrn Johann Heinrich, leedigen Handelsmanns, und Jgfr. Mariæ Magdalenä der Wachter, der Verstorbenen Frn seel. mit erstgedachtem ihrem Ehe H. seel. ehelich erzielte Kinder und ab intestato Zu dreÿen gleichlingen portionen und Antheileren Verlaßener Erben inventirt, durch Ihne den Hn Vogt und die dreÿ Erben selbsten (…) geäugt und gezeigt – So beschehen allhier Zu Straßburg, angefangen auf Freÿtag den 16.ten Februarÿ 1770.

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Gewerbslaub gelegenes und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden Worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung. Nemlichen eine Behausung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Gewerbs Laden, Hoff und Hoffstadt, und außer dem Hauß einer nebens daran erbauten Stallung, mit allen deren übrigen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier zu Straßburg unter der großen Gewerbslaub, einseith neben Hn Dimier, dem Marchand Quinquailler, anderseith neben weil. Hn Joh: Jacob Schäffers, des geweßenen Seidenhändlers und burgers dahier seel. nachgelaßener Wittib und Erben, hinten, theils auf den neuen Marckt und theils auf dem Prediger Kirchhoff einseith neben weil. Hn Joh: Daniel Helmstätters, des ehemaligen Meelhändlers Ehefrauen seel. Erben, anderseith neben löbl. Stadt Häußeren, davon gibt mann jährl. auf löbl. Statt Pfenningthurn 7. lb. d. ane boden: und Allmend Zinnß, als wegen dem hinteren thor 2. lb. 10. ß. d. wegen dem Pferdstall 10. ß. d. und dann wegen dem Schwibbogen 4. lb d. sonsten gegen männiglichen freÿ, leedig und eigen, und in weiland Hn Georg Wachters, geweßenen Vornehmen Handelsmanns und wohlangesehenen Burgers dahier Zu Straßburg, der Defunctæ Eheherrn seel. Verlaßenschaffts Inventario, durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1760. gefertiget, folio 136. facie 2.da gewürdiget, dabeÿ es auch dermahlen mit hochgeneigter Approbation der Hhn Dreÿer löbl. Stadt Stalls wieder gelaßen worden pro 2900 lb. Hierüber sagt ein in allhiesiger Cantzleÿ Contractstub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff weißend, wie des Verstorbenen Hr Wachter seel. solche behaußung von Herrn Rudolph Debeyer, vornehmen Banquier dahier erkauft hat, mit dero Anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahret, sub dato 22.ten Januarÿ 1750.
(f° 18) Series rubricarum hujus Inventarii, Sa. haußraths 325, Sa. Gewerbswaaren auch Schiff und geschirr Zur handlung gehörig 3059, Sa. Weins und lährer Faß 13, Sa. Silbers 137, Sa. goldener Ring 159, Sa. baarschafft 1319, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2900, Sa. Schulden 811, Summa summarum 8626 lb – Schulden 2607, Nach deren Abzug 3019 lb – Stall Summ 3988 lb

Marie Salomé Wachter meurt célibataire en 1770 en délaissant pour héritiers son frère et sa sœur. Les préposés de la Taille accordent dispense de dresser un inventaire.

1770 (27.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 813) n° 558
Vergleich: Abtheil: und Erörter: auch respectivé Præ: und Legaten Außlüfferung über Weiland Jgfr. Mariæ Salome Wachterin auch weil. H. Georg Wachters, geweßenen Vornehmen handelsmanns und burgers dahier Zu Straßburg mit auch weil. Frn. Maria Magdalena Wachterin geb. Hammererin seiner Fr. Ehegattin beeder nun seel. nachgelaßener Jgfr. tochter nun auch seel. Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1770. (…) den 30.ten Martÿ dieses lauffenden 1770.ten Jahrs seelig gestorbenen und ab intestato dero beede noch lebenden Geschwüsterden als Herrn Johann Heinrich Wachter, leediger handelsmann und Jungfer Mariam Magdalenam Wachterin Zu Zwoen gleichlingen portionen Zu Erben Verlaßen, daß darauffhin dero geordnet und geschworener Vogt herr Jacob Willibadl Wachter, Vornehmer handelsmann und wohlangesehener burger dahier auff löbl. Statt Stall Dispensationem Inventationis sollicitirt und erhalten, mithien wurde daselbsten nur eine Berechnung über dero Mütterlich Verlaßenschafft Inventarium durch mich unterschriebenen Notarium in hoc Anno gefertiget, producirt und abgehandelt (…) sofort eodem die selbige durch denselben theils unter Sie die beede Erben vertheilt, theils auch sie Käuflich angenommen und theils annoch gemeinschaftlich ohnvertheilt gelaßen worden und weilen die verstorbene Jfr. Wachterin seel. d. 15.ten april. jüngsthien ein verschloßen Codicill erichtet, so eodem die beÿ mir Notario deponirt und den 20.ten Hujus mensis et anni publicirt worden (…)
Wie nun obiger allda beschehen und Zugegangen das ist durch mich Notarium ordnungs mäßig verzeichnet worden angefangen allhier zu Straßburg auf Mittwoch den 27.ten Junÿ Anno 1770.

Compte que rend le marchand Jean Willibald Wachter de la tutelle des biens qui appartiennent à Marie Madeleine Wachter, femme de l’enseignant Jean Henri Gnilius, et à Jean Henri Wachter. Le compte mentione le loyer dû par l’associé Wachter, Jean Georges Hebeissen.
1774, Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 841) n° 15
Rechnung Mein Jacob Willibald Wachters, Handelsmanns und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts weiland Herrn Georg Wachters des geweßenen Handelsmanns und b. allhier mit auch weil. frn. Maria Magdalena, gebohrner Hammererin seiner geweßener Eheliebstin, beeden nun seeligen nachgelaßenen H. Sohns und frn. Tochter, namentlich Herr Johann Heinrich leediger Handelsmann und Frn. Maria Magdalena H. M. Johann Heinrich Gnilius wohlverordneten Lehrers der Schulen und Abendpredigers zum Jungen St Peter, auch Membri Seminarii Ecclesiastici und b. allhier Frn. Ehegattin, die Wachter, inhaltend alles dasjenige was Ich von Joh. Baptistæ 1772 als dem Schluß meiner erstern abgelegten Rechnung, bis den 30. Aprilis 1774. da die Handlung Bilanz gezogen worden, dießer meiner Curanden wegen eingenommen und ausgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe – Zweÿte und letzte Rechnung dieser Vogteÿ
Erstl. 60. lb d gibt Johann Georg Hebeisen der handelsmann v. b. allhier meiner Curanden H. Johann Georg Hebeißen der handelsmann v. b. allhier meiner Curanden H. Associé von der in derselben zuständigen ane d. Großen Gewerbslaub gelegenen behaußung innhabenden Wohnung jährlichen Zinß, so in Capitali a 4 p Cto gerechnet antrifft 1500

Jean Henri Wachter rachète la part de sa sœur et devient seul propriétaire de la maison

1775 (20.10.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 813) Joint au n° 548 du 16 févr. 1770
Zuwißen seÿe hiemit daß ane heut Zuende stehendem dato, Vor mir unterschriebenem, als zu Weil. Mariä Magdalenä Wachterin, geb. Hammererin, auch weiland Hn Georg Wachters, geweßenen handelsmanns und wohlangesehenen Burgers dahier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Fr. Wittib, nun auch seeligen Verlaßenschafft Inventur, Abtheil und Erörterung in specie adhibirt geweßenem Notario persönlich erschienen H. Jacob Willibald Wachter, der handelßmann und b. allhier, als theilvogt Frauen Mariæ Magdalenä geb. Wachterin, Hn M. Johann Heinrich Gnilius, Wohlverordneten Lehrers der Schulen und Abendpredigers Zum Jungen St. Peter auch Membri Seminarÿ Ecclesiastici und b. allhier Fr. Ehegattin, so würck. 24 Jahr Zurückgelegt, der hat
in Gegensein Hn. Johann Heinrich Wachtern des leedigen majorennen Handelsmanns dero Bruder angezeigt und bekandt, wie daß Er für Sie, deren Erben und Nachkommen (…) eigenthümlich cedirt, abgetretten und überlaßen habe, geständig ist
Erstlichen die Ihro als eine Elter: und Schwesterliche Erbschafft gehörige helffte für ohnvertheilt Von und ane einer Behaußung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, Gewerbs Laden, Hoff und Hoffstatt, und außer dem Hauß einer nebens daran erbauten Stallung, mit allen deren übrigen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, gelegen allhier zu Straßburg unter der großen Gewerbslaub, 1.s neben Hn Dimier, dem Marchand Quinquailler, 2.s. neben weil. Hn Schweighäußer, dem handelsmann uxorio nomine, hinten, theils auf den neuen Marckt und theils auf dem Prediger Kirchhoff 1.s. neben Hn Wurmel, dem handelsmann, 2.s. neben löbl. Statt Häußeren, von der völligen behaußung gibt man jährl. auf löbl. Statt Pfenningthurn Sieben Pfund d. ane boden: und Allmend Zinnß, als wegen dem hinteren thor 2. lb. 10. ß. d. wegen dem Pferdstall 10. ß. d. und dann wegen dem Schwibbogen 4. lb d. sonsten aber ist solche haußhälffte gegen männigl. freÿ, leedig und eigen, und dann die Hälfte ane denen auff ultimo Julÿ hujus anni inn der gemeinschaftlich geführten handlung (…)
Actum allhier zu Straßburg auf Montag den 20. Octobris Anno 1775

Jean Henri Wachter épouse en 1776 Catherine Elisabeth Birr, fille du pasteur de Vendenheim Jean Frédéric Birr : contrat de mariage, célébration
1776 (24.10), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 567)
Eheberedung – der Wohl-Edel u. großachtbahre Herr Johann Heinrich Wachter, leediger Handels-Mann u. b. allh: zu Straßburg, weÿl. Herrn Georg Wachter ebenfalls gewes: Handelsmanns u. b. allh: seel. nachgelaßener Sohn, so majorennis und seiner eigenen Rechten geniesend, als Bräutigam, ane Einem
so dann die Viel-Ehren: u. tugendbegabte Jungfrau Catharina Elisabetha Birrin, weÿl. Hn M. Johann Friedrich Birr, gewesenen Evangelischen Pfarrers in Vendenheim u. b. allh. zu Straßb: mit Fr. Margar: Salome geb. Bruderin ebenfalls großjährig und ihren eigenen Rechten genießend hierzu mit H. Joh: Georg Schweighäuser dem br. und Handelsmann allh. ihren Vettern verbeistandet, als Braut am andern theil
Straßburg auf Donnerstag den 24. Octobris im Jahr der Gnaden 1776. [unterzeichnet] Johann Heinrich Wachter als Braütigam, Catharina Elisabetha Birrin als baut

Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 26)
Im Jahr 1776 Montag den Eilfften Novembris seind nach vorher gegangener Zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausruffung in der Prediger Kirch ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr Johann Heinrich Wachter der ledige Handels Mann und burger allhier, weiland Herrn Georg Wachter gewesenen Handels Mann und burgers allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Catharina Elisabetha Birrin, weiland Herrn M. Johann Friedrich Birr gewesenen Pfarrers zu Vendenheim hinterlassene eheliche Tochter (i 29)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 142)
Im Jahr Christi 1776 Montags den Eilfften Novembris nach mittag gegen Zweÿ uhr, sind nach vorher gegangenen ordentlichen Proclamationen welche Dominica XXII. und XXIII. post Trinitatis geschehen, in offentlicher Kirche vor denen unterschriebenen Zeugen ehelich copulirt und Christlich eingesegnet worden H. Johann Heinrich Wachter, lediger Handelsmann und burger allhier, weÿl. Hn Georg Wachters, gewesenen Handelsmanns und burgers allhier und auch weÿl. Frau Maria Magdalena gebohrner Hammererin nachgelaßner ehelicher Sohn, und Jgfr. Catharina Elisabetha Birrin, weÿl. Hn M. Johann Friedrich Birr, gewesenen Evang. Pfarrers zu Vendenheim und burgers allhier und Frau Margaretha Salome, gebohrner Bruderin, als seiner hinterlaßenen Wittib, ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Wachter als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Birrin (i 194)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari, estimée à 7 500 livres. Ceux du mari s’élèvent à 6 043 livres, ceux de la femme à 522 livres.

1777 (6.2.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 557) n° 288
Inventarium über Herrn Johann Heinrich Wachter des handelsmanns und frauen Catharinæ Elisabethæ Birrin, beede Ehe-Persohnen und burgere allh. zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet im Jahr 1777 – in ihren den 11. 9.bris letztabgewichenen 1776.sten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich in der Vor mir Not° den 24.ten Oct. besagten Jahrs auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten, auch die Ergäntzung der aug begebenden fall sich manglend befindlicher Stuck bedungen haben (…) So geschehen in fernerem beiseÿn herrn Joh: Georg Schweighäußer des Handels-Manns u. br allh. der Ehefrauen hierzu erbettenen beistand in einer allh. Zu Straßburg unter der großen Gewerbs-Laub gelegenen dem Eheherrn eigenthümlich zuständigen Handels-behausung, Auf Donnerstag den 6.ten Februarÿ Im Jahr 1777.

Eigenthum ane einer Behausung, so der Eheherr in die Ehe gebracht. Neml: eine behausung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, Gewerbs-Laden hof u. hoffstatt, und außer dem Hauß eine nebens daran erbaute Stallung mit allen deren übrigen deroselben begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg unter der großen Gewerbs-Laub, 1.s. neben Hn Dimier dem Marchand Quinquailler, 2.s. neben Hn Schweighäußer dem Handels-Mann uxor° nôe. hinten, theils auf den neuen Marckt und theils auf dem Prediger Kirch hoff stoßend, 1.s. neben Hn Wurmel dem handels-Mann 2.s. neben löbl. Statt zugehörigen haüßern. Von solcher völligen behausung gibt mann jährl. auf löbl. Statt Pfenningthurn 7. lb. d. ane bodenzinß, neml. wegen dem hinteren thor 2. lb. 10. ß wegen dem Pferd-Stall 10. ß. und dann wegen dem Schwibbogen 4. lb d. sonsten aber ist sothane behaußung außer dem darauf versicherten hernach passive inventirtem Capital, gegen männiglich freÿ, leedig und Eigen, Und wird solche hier ohnpræjudicirlichen wie der Eheherr die helfte davon von seiner fr: Schwester per cessionem angenommen hat, æstimirt pro 7500 lb. Von solcher behausung hat der Eheherr die helfte von seinen Eltern und einer nachher im leedigen Stand verstorbenen Schwester ererbt, die andere helfte aber von seiner Annoch lebenden Schwester fraun Mariæ Magdalenæ Gniliusin geb. Wachterin per Cessionem vor herrn Notario Lobstein den 20. Xbris 1775 verschrieben eigenthümlich ane sich gebracht. Und besagt hierüber außer ersterwehnten Cession I. in allhies. C. C. Stb gefertigter teutscher pergam. Kfbr. ausweißend wie des Eheherrn Hr Vater seel. solche behauß. von H. Rudolph Debeyer dem gewes. Banquier allh. erkauft hat, mit dem Anhangenden E.E. Ins. verwahret, de dato 22. Januarÿ 1750, Wobeÿ sich auch noch verschiedene Alte dergleichen briefe befinden.
Summa berechnung. Des Eheherrn eingebacht Vermögen, Hausrath, Silber, goldenen Ringen und dergleich. Geschmeid wie auch Baarschafft 675 lb, Haussteuren 82 lb, Handels-fond 5625 lb, Behausung 7500 lb, Summa summarum 13.882 lb – Schulden 7838 lb, Deducendo 6043 lb
Der Ehefrau eingebrachtes Vermögen, Hausrath, Silber, goldenen Ringen und dergleich. Geschmeid wie auch Baarschafft 440 lb, Haussteuren 82 lb, Summa summarum 522 lb

Jean Henri Wachter devient tributaire au Miroir le 27 février 1777. Il a appris son métier chez Jean Keller, marchand à Marseille. Il déclare exercer le métier de droguiste.
1777 (27.2.), Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 165-v) Donnerstags, den 27. Februarii 1777 – E. Leibzünftiger
Hr Joh: Heinrich Wachter, des Weil. H. Joh: Georg Wachter, diesorts leibzünftig gew. hdlsm. hinterl. einziger ehl. Sohn, wurde auf den von H. Johannes Keller dem Hdlsm. in Marseille d. 25. sept. 1775. gesiegelt ertheilten Lehrbrief, und Stallschein von heute, gegen Erlag 1. lb d diesorts leibzünfftig als Handelsmann aufgenommen, Führt den Materialhandel. prom. (dt. 1. lb, 13 ß Findl.)

Contrat de société entre Jean Henri Wachter et Jean Georges Hebeissen
1777 (1. Martÿ), Not. Schweighæuser (6 E 41, 574) n° 97
Societæts Contract zwischen Herrn Johann Heinrich Wachter und herrn Johann Georg Hebeißen

Jean Henri Wachter meurt en 1795 en délaissant quatre enfants. La maison est portée à la somme de 28 910 livres de France. L’actif de la succession s’élève à 54 271 livres, le passif à 32 000 livres.

1797 (14 vendemiaire 6), Strasbourg 4 (8), Not. Greis n° 1276, altes [670]
Inventarium und Erörterung Weÿl. burgers Johann Heinrich Wachter gewesenen handelsmanns und Inwoners, nach seinem am 13. floreal 3 geschehenen tödlichen hintritt zurückgelaßenen zeitlichen vermögen, auf Ansuchen br.in Catharina Elisabetha geb. Birr der Wittib beiständlich brs Johann Friedrich Aufschlager des beamten bei alhiesiger Municipal verwaltung wie auch b. Johann Heinrich Gnilius als beeidigten Theilvogts sein mit deßen Wittib erzeugter 4 Kinder und ab intestato Erben mit Namen 1. Georg Heinrich so 19 Jahr alt, 2. Maria Elisabetha so 17 Jahr alt, 3. Ludwig so 15 Jahr alt und 4. Christine Wilhelmina so 13 Jahr alt

in der unter der Grosen Gewerbslaub gelegenen mit N° 35 bezeichneten in diese Verlassenschafft gehörigen Sterbbehausung
der Wittib unveränderten Vermögens, schulden 1000 lb, Ergäntzung Not. Schweighäußer am 6. feb. 1777, 2080 lb, summa summarum 3080 lb,
der Kinder und Erben unverändert Vermögen, Kleidung 200 lb
Eigenthum ane einer behaußung so der Erben unverändert. Nemlich Eine behaußung bestehend in Vorder und Hinter Hauß Gewerbsladen Hoff und hoffstatt und auser dem hauß eine nebens daran erbaute Stallung mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten unter der grosen Gewerbslaub mit N° 35 bezeichnet einseit neben weÿl. brs Dimier gew. handelsmanns Erben anderseit neben br Joh: Gottlieb Kusian Nadler hinten auff den Prediger Kirchhoff daselbst einen Ausgang habend mit N° 5 bemerckt stoßend, alda einseit neben br. Friedrich Wilhelm Tilling Föchhändler anderseit neben br Johann Friedrich Murr beck und verschiedenen andern Particuliers, Von solcher behaußung gibt mann jährlich alhiesiger Gemeind 28 lb ane bodenzinß, nemlich wegen dem hinten thor 10, wegen dem Pferdstall auf dem Prediger Kirchhoff mit N° 5 marquirt 2 lb und wegen dem Schwibbogen unter der grosen Gewerbslaub 16 lb, nach Masgab der davon in 1791 mit 189 lb abgerichteten Grundsteur als welche 150 mal zu berechnet hier ohnnachteilig und vorbehaltlich des Eigenthums in natura in anschlag gebracht mit 28.350 Ib, langt obiger bodenzinß der 28 in Hauptgut zu 5 pC. gerechnet an 560. Die eine helfte dieser behaußung hat der verstorbene von seinen Eltern und der nachher im ledigen Stand verstorbenen Schwester ererbt, die andere helfte aber von seiner noch lebender Schwester brin Maria Magdalena Gnilius geb. Wachter laut vor Not. Johann Friedrich Lobstein am 20. Decembris 1775 errichteten Erbs Cession eigenthümlich an sich gebracht, Sonsten besagt darüber einen in der C.C. St. Kfb. de dato 22. Januarÿ 1750
Summa behaußung 28.910 lb, ergäntzung 25.161 lb, summa summarum 54.271 lb – Schulden aus der Nahrung 32.000 lb, Nach deren Abzug 22.271 lb
nach Inhalt der im Inventario illatorum enthaltenen übereinkunfft alles vorhandene als in die gemein und theilbare Nahrung gehörig, hausrath 2173 lb, silbers 141 lb, Goldene ringe 340 lb, Waaren 27.441 lb, schulden 300 lb, summa summarum 30.396 lb – Schulden 27 841 lb, Nach deren Abzug 2555 lb
Abschrift der vor br. Johann Daniel Schweighäußer am 24. oct. 1776 errichteten Eheberedung
Enregistrement, acp 54 F° 124 du 15 vend. 6

Catherine Elisabeth Birr meurt en 1814 en délaissant quatre enfants
1814 (22.8.), Strasbourg 12 (56), Not. Wengler n° 8347
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth Birr veuve de Jean Henri Wachter, marchand droguiste, décédée le 13 courant, dressé à la requête de Georges Henri Wachter droguiste, Marie Elisabeth Wachter femme de Jean Georges Dahler professeur en théologie, Jean Frédéric Aufschlager, employé au Bureau de la recette de la mairie de cette ville, tuteur de Louis Wachter pensionnaire à l’hôpital civil, Jacques Frédéric Birr négociant subrogé tuteur de l’interdit nommés par procès verbal du 5 janvier 1811, Christine Guillemette Wachter épouse d’Adolphe Heydenreich négociant de Wissembourg, les quatre enfants héritiers de leur mère
dans la maison mortuaire appartenant au Sr Wachter le fils ainé sous les grandes Arcades n° 35
acp 125 (3 Q 29 840) f° 70-v du 29.8. Meubles évalués à 3436, argent comptant 22.244, dettes actives 65.418 (total) 91.098
Georges Henri Wachter fils aîné cohéritier présent doit à la succession 50.500 et capital et intérêts que la défunte avoit dans son commerce san allégation de titre, dont à déduire le quart pour sa portion héréditaire 12.625, reste 37.875
Marie Elisabeth Wachter femme Dahler doit à la succession 6000 sans allégation de titre, à déduire sa part héréditaire 1500, reste 4500
Christine Guillaumette Wachter femme Heidenreich doit à la succession 3764 sans allégation de titre, à déduire sa part héréditaire 941, reste 2823
passif 3168 fr

Le marchand droguiste Georges Henri Wachter rachète les parts de ses frères et sœurs et devient seul propriétaire de la maison

1810 (8.7.), Strasbourg 12 (32), Not. Wengler n° 4943
Marie Elisabeth Wachter épouse de Jean Georges Dahler Professeur en Théologie, Louis Wachter commis droguiste, Christine Guillemine Wachter épouse d’Adolphe Heydenreich négociant à Wissembourg, en qualité d’héritiers partiaires de Jean Henri Wachter leur père marchand droguiste
à Georges Henri Wachter leur frère marchand droguiste
Cahier des charges, 6. 7.bre 1845 – Ont comparu I. Monsieur Georges Louis Wachter, droguiste, demeurant et domicilié à Strasbourg, II. M Jean Théodore Körttgé, clerc de notaire, demeurant et domicilié en la même ville, ce dernier agissant ès présentes en qualité de mandataire général et spécial de Dame Corinne Ernestine Wachter, épouse de Mr Paul Joseph Michel Cécile Fouque, lieutenant de grenadiers au troisième régiment d’infanterie de ligne en garnison à Wissembourg (…) III. Melle Eugénie Fanny Wachter, majeure, célibataire, demeurant et domiciliée à Strasbourg, IV. Mme Salomé Emilie Wachter, épouse dûment assistée de et autorisée de Mr Henri Petit, maître d’équitation, demeurant et domiciliés conjointement en la même ville, V. Monsieur Alfred Oscar Wachter, sous lieutenant au troisième régiment d’infanterie de ligne en garnison à la Petite-Pierre où il demeure mais se trouvant présentement à Strasbourg, mineur émancipé, VI. Mme Salomé Birr, rentière demeurant & domiciliée à Strasbourg, veuve de Georges Henri Wachter, ancien marchand droguiste, Cette dernière comparaissant tant en son nom personnel que comme curatrice légale du dit sieur Alfred Oscar Wachter qu’elle autorise à l’effet ce tout ce qui suit. Lesquels comparans ont exposé 1° que de la succession de feu ledit Georges Henri Wachter il dépend une maison sise à Strasbourg plus amplement désignée ci après, appartenant par indivis à la famille Wachter ci avant nommée, 2. que le sieur Georges Henri Wachter comparant et la Dame Fouque n’ayant voulu rester dans l’indivision ont provoqué la vente par licitation dudit immeuble par le ministère de M° Theis, avoué près le tribunal civil de première instance de Strasbourg qui l’ont constitué à cet effet, 3. que cette demande ayant été accueillie par ledit tribunal suivant son jugement à la date du 22 juillet dernier en donnant défaut contre les autres intéressés faute d’voir constitué avoué et en commettant M° Zimmer soussigné pour procéder à cette adjudication (…)
trois quarts appartenant auxdits vendeurs de la succession de leur père dont le quatrième quart appartient à pareil titre aud frère acquéreur dans une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, grande cour, magazin et fontaine sise à Strasbourg sous les grandes arcades n° 35, d’un côté le Sr Leivert bourrelier en partie le Sr Koch fils marchand graissier, de l’autre en partie le Sr Dobner marchand d’instruments en partie le Sr Schneider négociant, devant la rue, derrière en partie le Sr Heinrich teinturier en partie le Sr Schleifer marchand farininier, ensemble l’écurie qui se trouve hors l’enceinte de cette dite maison mais qui y est contiguë avec toutes ses appartenances droits et dépendances – moyennant 22.963 francs
Enregistrement, acp 115 f° 34 du 11.7.

Georges Henri Wachter épouse en 1804 Christine Aufschlager, fille du pasteur de Kunheim Jean Melchior Aufschlager
1804 (18 vendémiaire 13), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 1098
Contrat de mariage – est comparu Sieur George Henri Wachter, Negociant en cette ville majeur d’ans jouissant de ses droits, fils de feu le Sr Jean Henri Wachter vivant Negociant en cette ville et de D° Catherine Elisabeth Birr sa Veuve d’une part et
Demoiselle Christine Aufschlager fille de feu le Sr Jean Melchior Aufschlager, Ministre du Culte protestant à Kuhnheim et de Anne Marie née Birr sa veuve majeure d’ans agissant sous l’assistance du sieur Jean Kohl Licencié ez loix son tuteur de l’autre part
Fait lu et passé à Strasbourg Le 18 Vendemaire An Treize (…) dans la maison sous les grandes arades N° 35 (signé) H. H. Wachter, Christine Aufschlager
Enregistrement, acp 94 F° 66-v du 28 vend. 13

Christine Aufschlager meurt en 1809 en délaissant deux enfants
1809 (29.8.), Strasbourg 12 (26), Henri Joseph Wengler n° 4214
Inventaire de la succession de Christine Aufschlager, épouse de Georges Henri Wachter Droguiste, décédée le 11 août 1809 – dressé à la requête du veuf en son nom et en qualité de tuteur naturel de Sophie âgée de 4 ans et de Georges Henri âgé de 1 mois, les deux enfants héritiers pour moitié de la défunte – en présence de Jean Frédéric Aufschlager employé au bureau de la recette de cette ville subrogé tuteur – Contrat de mariage reçu M° Stoeber le 18 vendémiaire 13
dans la maison mortuaire sous les grandes arcades n° 35
meubles garde robe 4225 fr, prétentions actives 1500 fr, total 6750 fr
Enregistrement, acp 113 f° 39 du 1.9.

Georges Henri Wachter se remarie en 1814 avec Salomé Birr, fille du négociant Jacques Frédéric Birr
1814 (13.9.), Strasbourg 12 (56), Not. Wengler n° 8396
Contrat de mariage – Georges Henri Wachter, marchand droguiste demeurant sous les grandes arcades n° 35, veuf avec enfants de Christine Aufschlager
Demoiselle Salomé Birr fille mineure du sieur Jacques Frédéric Birr, négociant et de dame Salomé Best sous les grandes arcades n° 48
acp 125 (3 Q 29 840) f° 108-v du 14.9. il est stipulé 1° réserve d’apports 2° communauté d’acquêts seulement 3° les père et mère de la future épouse lui donnent en dot un trousseau évalué à 260 francs plus un bien dont le revenu annuel est de 160 francs en capital 3200 francs, avec promesse que si ledit bien doit être vendu un jour et que le prix de vente s’élève à 6000 francs ils ajouteront ce qui pourrait manquer à ladite somme de 6000 francs
don matutinal de 1200 francs en faveur de la future épouse par le futur époux, toutefois ce don est réversible sur lui s’il survit à la future épouse
5° le futur donne à la future en cas de prédécès la jouissance du logement au second étage de la maison sous les arcades n° 35

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Les apports du mari se montent à 95 302 francs, ceux de la femme à 6 551 francs.

1815 (19.7.), Strasbourg 12 (61), Not. Wengler n° 9135
Inventaire des apports de Georges Henri Wachter, marchand droguiste, et de Salomé Birr, suivant contrat de mariage dressé par le soussigné notaire le 13 septembre 1814
dans une maison appartient au mari sise à Strasbourg sous les Grandes arcades n° 35
le mari, Immeuble, Une maison consistant en bâtiments de devant de derrière et latéraux, grande cour, magasin, pompe, tres fond avec toutes ses autres appartenances aisances, droits et dépendances sise en cette ville de Strasbourg sous les grandes arcades n° 35, d’un côté en partie le Sr Leitner bourrelier en partie la succession de feu Jean Daniel Koch marchand graissier, de l’autre en partie le Sr Kramp marchand passementier en partie le Sr Schneiter négociant devant la rue derrière en partie la place du Temple Neuf où il y a une porte d’issue en partie le Sr Heinrich teinturier en partie la veuve Schleifer farinière, ensemble l’écurie qui se trouve hors l’enceinte de cette maison mais qui y est contigue, estimée à 31.000 fr. Provenant de la succession de trois quarts acquis de ses deux sœurs et frères par acte dressé devant le notaire soussigné le 9 juillet 1810
terres labourables à Schiltigheim 2220 fr et 2160 fr, à Guggenheim 999 fr, total des apports du mari, 165.199 francs, passif 69.897 fr, reste 95.302 fr
la future épouse, immeubles à Pfettisheim 3200 fr, total apports 6551 francs
acp (3 Q 29 843) f° 111 du 22.7. Les apports du mari se montent à 95 302 francs, ceux de la femme à 6551 francs

Le marchand droguiste Georges Henri Wachter et Salomé Birr louent la maison au commis négociant Louis Victor Schwartz

1842 (30.11.), Strasbourg 10 (100), Louis Frédéric Zimmer n° 4563
Bail pour 18 ans, 30 novembre 1842 – ont comparu M. George Henri Wachter, Marchand Droguiste & D° Salomé Birr son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes tous deux demeurant à Strasbourg, Lesquels ont par ces présentes donné à bail pour 18 années consécutives qui commenceront le premier janvier prochain & finiront le même jour de l’année 1851, sauf ce qui sera stipulé ci après en faveur du preneur
à M. Louis Victor Schwartz, Commis négociant demeurant à Strasbourg, preneur ci présent & acceptant
Une maison sise à Strasbourg grandes arcades N° 35 ayant une issue à porte cochère sur la place du temple neuf sous le N° 5, consistant en maison de devant bâtimens latéraux & de derrière, cave, cour, puits, appartenances & dépendances y compris le petit bâtiment tenant à la maison principale & situé place du temple neuf à côté de la porte cochère, plus les poêles, glaces, tringles & placards se trouvant dans ledit immeuble & appartenant au bailleur. De tout quoi il sera dressé un état entre les parties dès le commencement du bail. Ainsi que cette maison & ses dépendances parfaitement connues du Sr preneur qui déclare les avoir vues et visitées, se trouvent exister sans aucune exception ni réserve et telles qu’en jouissent actuellement les bailleurs eux-mêmes.
M. Wachter a recueilli un quart indivis de cet immeuble dans la succession de son père M. Jean Henri Wachter, vivant marchand droguiste à Strasbourg et il a acquis les trois autres quarts de ses frères et sœurs suivant contrat de vente passé devant M° Wengler, Notaire à Strasbourg le 9 juillet 1810. Le présent bail est consenti moyennant un loyer annuel de 5000 francs
acp 304 (3 Q 30 019) f° 82-v

Georges Henri Wachter meurt en 1845 en délaissant un fils de son premier mariage et quatre enfants du deuxième.

1845 (21.4.), Strasbourg 10 (104), Me Zimmer n° 5655
Inventaire de la succession de Mr Georges Henri Wachter, ancien marchand, décédé à Strasbourg le 4 avril 1845.
L’an 1845 le 21. avril à neuf heures du matin en la maison mortuaire rue Salpetriere à l’usine de M Schmitt, à la requête de I. Madame Salomé Birr, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve dudit Mr Georges Henri Wachter, ancien marchand droguiste, agissant aux présentes 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre la requérante et le défunt, 2° comme donataire pour partie de la succession de ce dernier, 3° à cause de ses droits et reprises matrimoniaux ainsi que le tout résulte de leur contrat de mariage reçu de M° Henri Joseph Wengler, notaire à Strasbourg le 13 septembre 1814 qui sera détaillé ci après
II. Monsieur Georges Henri Wachter, droguiste demeurant à Strasbourg, III. Mlle Eugénie-Fanny Wachter, majeure demeurant et domiciliée en la même ville, IV. Madame Salomé-Emilie Wachter, épouse dûment assistée et autorisée de Mr Henri Petit, maître d’équitation demeurant en la même ville, V. Monsieur Jean Théodore Körtgé, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de général et spécial de Dame Corinne-Ernestine Wachter, épouse de Mr Paul-Joseph-Michel-Cécile Fouque, lieutenant de grenadiers au troisième régiment d’infanterie de ligne en garnison à Strasbourg (…(…) VI. Monsieur Alfred-Oscar Wachter, sous lieutenant au troisième régiment d’infanterie de ligne en garnison à Strasbourg où il demeure et est domicilié, âgé de 19 ans & demi, mineur émancipé par déclaration faite devant le juge de paix du canton est de Strasbourg (…) stpiulant sous l’autorisation de Mme Wachter déjà nommée sa curatrice légale
Lesdits Eugénie Fanny, Salomé Emilie, Corinne-Ernestine & Alfred Oscar Wachter enfants issus du mariage du défunt avec la première requérante et Georges Henri Wachter enfant issu du premier mariage du défunt avec Christine Aufschlager, habiles à se dire et porter héritiers pour un cinquième chacun de mondit Georges Henri Wachter, leur père commun

Le 21 juin 1845, continuation d’inventaire. Immeuble de la succession. Une maison sise à Strasbourg, grandes arcades N° 35, ayant une issue à porte cochère sur la place du temple neuf sous le N° 5, consistant en maison de devant, bâtimens latéraux & de derrière, cour, caves, puits, appartenances et dépendances, y compris un petit bâtiment tenant à la maison principale & situé place du temple neuf à côté de la porte cochère entre les héritiers Kramp et Mr Ott. Mr Wachter a recueilli un quart indivis dudit immeuble dans la succession de son père Mr Jean Henri Wachter, vivant marchand droguiste à Strasbourg et il a acquis les trois autres quarts de ses frère & sœurs suivant contrat de vente passé devant M° Wengler, alors notaire à Strasbourg le 9 juillet 1810.
Titres et papiers. Cote A. Pièce unique formant la grosse du baim de la maison susdésignée laquelle est louée à Mr Louis-Victor Schwartz de Strasbourg suivant acte passé devant M° Zimmer soussigné le 30 novembre 1842 pour 18 années qui ont commencé le premier janvier 1843 moyennant 5000 francs par an
acp 335 (3 Q 30 050) f° 10-v – mobilier de la communauté, estimé à 2417, garde robe du défunt 271
acp 338 (3 Q 30 053) f° 8 – l’actif de la communauté se monte à la somme de 3817 francs, rapport à faire par les enfants 6000 – Passif de la communauté 11.435
Dettes de la succession 1875 – Reprises de la Dame Wachter 9351
Désignation des titres et papiers
Il dépend de la succession une maison à Strasbourg Grandes Arcades N° 35
Les héritiers se sont partagé entre eux la garde robe du défunt & ont attribué hors part à Georges Henri Wachter cohéritier une montre en or évaluée ci 100
Les héritiers font abandon à la D° Wachter leur mère ce acceptant les meubles dépendances de la Communauté au taux de l’estimation du présent inventaire pour lui servir jusqu’à concurrence et compensation à laquelle elle a à prétendre contre la succession

La veuve et les héritiers Wachter exposent la maison aux enchères. Le fils cadet Alfred Oscar Wachter s’en rend propriétaire. Le locataire Louis Victor Schwartz renonce à son droit de préemption (N.B. Alfred Wachter est l’auteur de La guerre franco-allemande de 1870-71, histoire politique, diplomatique et militaire. De la déclaration de guerre à la chute de l’Empire, en ligne)

1845 (6.9.br), Strasbourg 10 (105), Me Zimmer n° 5836
Cahier des charges, 6. 7.bre 1845 – Ont comparu I. Monsieur Georges Louis Wachter, droguiste, demeurant et domicilié à Strasbourg, II. M Jean Théodore Körttgé, clerc de notaire, demeurant et domicilié en la même ville, ce dernier agissant ès présentes en qualité de mandataire général et spécial de Dame Corinne Ernestine Wachter, épouse de Mr Paul Joseph Michel Cécile Fouque, lieutenant de grenadiers au troisième régiment d’infanterie de ligne en garnison à Wissembourg (…) III. Melle Eugénie Fanny Wachter, majeure, célibataire, demeurant et domiciliée à Strasbourg, IV. Mme Salomé Emilie Wachter, épouse dûment assistée de et autorisée de Mr Henri Petit, maître d’équitation, demeurant et domiciliés conjointement en la même ville, V. Monsieur Alfred Oscar Wachter, sous lieutenant au troisième régiment d’infanterie de ligne en garnison à la Petite-Pierre où il demeure mais se trouvant présentement à Strasbourg, mineur émancipé, VI. Mme Salomé Birr, rentière demeurant & domiciliée à Strasbourg, veuve de Georges Henri Wachter, ancien marchand droguiste, Cette dernière comparaissant tant en son nom personnel que comme curatrice légale du dit sieur Alfred Oscar Wachter qu’elle autorise à l’effet ce tout ce qui suit. Lesquels comparans ont exposé 1° que de la succession de feu ledit Georges Henri Wachter il dépend une maison sise à Strasbourg plus amplement désignée ci après, appartenant par indivis à la famille Wachter ci avant nommée, 2. que le sieur Georges Henri Wachter comparant et la Dame Fouque n’ayant voulu rester dans l’indivision ont provoqué la vente par licitation dudit immeuble par le ministère de M° Theis, avoué près le tribunal civil de première instance de Strasbourg qui l’ont constitué à cet effet, 3. que cette demande ayant été accueillie par ledit tribunal suivant son jugement à la date du 22 juillet dernier en donnant défaut contre les autres intéressés faute d’voir constitué avoué et en commettant M° Zimmer soussigné pour procéder à cette adjudication (…)

Désignation de l’immeuble. Une maison sise à Strasbourg, grandes arcades N° 35, ayant une issue à porte cochère sur la place du temple neuf sous le N° 5, consistant en maison de devant, bâtimens latéraux et de derrière, cour, caves, puits, et en un petit bâtiment tenant à la maison principale situé place du temple neuf à côté de la porte cochère, avec toutes ses aisances, appartenances et dépendances, entre Mr Ott, tanneur d’un côté et M. Schneegans de l’autre côté, par devant et par derrière entre M. Ratisbonne, Gloeckler et Koch, d’un côté et la maison de Mme Remp de l’autre côté donnant par sa façade de devant sur la rue des arcades et par derrière sur la place du temple neuf. Elle sera exposée aux enchères sur la mise à prix de 80.000 francs
Bail. Suivant acte passé devant M° Zimmer soussigné le 30 novembre 1842 cet immeuble a été loué par Mr Georges Henri Wachter & Salomé Birr, sa veuve comparante, à Mr Louis Victor Schwartz, négociant demeurant à Strasbourg pour une durée de 18 années qui ont commencé le premier janvier 1843 pour finir à pareil jour de l’année 1861 moyennant un loyer annuel de 5000 francs (…) Par l’article six de ce bail il a été stipulé que le preneur aura pendant toute la durée du bail la faculté d’acheter la maison louée à un prix à convenir ultérieurement entre les parties, à cet effet les bailleurs lui ont accordé le droit de préemption sur tout autre acquéreur, en conséquence le dit immeuble ne pourra être vendu ni adjugé définitivement qu’après ratification au preneur de l’offre qui en aurait été faite, à partir de laquelle ratification ce dernier aura un délai d’un mois pour acheter la maison au même prix.
Etablissement de la propriété. Cette maison dépend de la succession de Mr George Henri Wachter père ci avant nommé, décédé à Strasbourg ab intestat le 4 avril dernier, laissant cet immeuble, la jouissance viagère du logement qui se trouve au second étage à Mme Salomé Birr, sa veuve, ainsi que cela résulte de leur contrat de mariage passé devant M° Wengler notaire à Strasbourg le 13 septembre 1814 & la totalité de l’immeuble en toute propriété, sauf la jouissance de Mme Wachter, à ses cinq enfants ci avant nommés savoir 1° Georges Louis Wachter, fils issu du premier mariage du défunt avec Christine Aufschlager, 2° Mme Fouque, 3° Melle Eugénie Fanny Wachter, 4° Mme Petit et 5° Mr Alfred Oscar Wachter, ces quatre derniers enfants issus du second mariage du défunt avec la Dame Salomé Birr, comparants, pour un cinquième à chacun. Le tout ainsi constaté par un inventaire dressé par M° Zimmer soussigné les 21 avril & 21 juin dernier. M. Georges Henri Wachter est devenu propriétaire de cet immeuble pour en avoir recueilli un quart dans la succession de son auteur feu M. Jean Henri Wachter, vivant marchand droguiste à Strasbourg et pour en avoir acquis les trois autres quarts de ses frère & sœurs suivant contrat de vente passé devant ledit M° Wengler, le 9 juillet 1810. Justification du paiement du prix d’acquisition sera faite par les parties à la première réquisition de l’acquéreur.
Etat hypothécaire (…) Charges, clauses et conditions (…)
Du 27. 7.bre 1845. Adjudication – Trois bougies allumées successivement s’étant éteintes sans enchère nouvelle, M. Alfred Oscar Wachter est demeuré adjudicataire moyennant ladite somme de 98.000 francs
Du 6. 9.bre 1845. Ratification (…) Les comparans déclarent et rconnaissent, Mr Schwartz qu’il se reconnaît déchu du bénéfice dudit droit de préemption (…) et les six premiers comparans que ledit Mr Alfred Oscar Wachter est adjudicataire définif de ladite maison
acp 339 (3 Q 30 054) f° 82-v – acp 340 (3 Q 30 055) f° 49 – acp 341 (3 Q 30 056) f° 82-v

Liquidation de la succession
1845 (6.12.), Strasbourg 10 (106), Louis Frédéric Zimmer n° 5989
Liquidation et partage tant de la communauté de biens qui a existé entre entre Georges Henri Wachter, ancien marchand droguiste à Strasbourg et Dame Salomé Birr sa veuve survivante aux termes de leur contrat de mariage reçu M° Wengler le 13 septembre 1814 que de la succession du Sieur Henri Wachter décédé en cette ville le 4 août 1845.
Entre 1° ladite veuve agissant tant à cause de la communauté que comme donataire d’une partie de la succession de son mari défunt aux termes du contrat de mariage susrelaté, 2° Georges Henri Wachter fils, droguiste à Strasbourg, 3° Eugénie Fanny Wachter, sans état audit lieu, 4° Salomé Emilie Wachter, femme de Henri Petit, maître d’équitation à Strasbourg, 5° Ernestine Wachter, femme de Paul Joseph Michel Cécile Fouque, lieutenant de grenadiers au troisième régiment de ligne en garnison à Strasbourg, 6° Alfred Oscar Wachter, sous lieutenant au même régiment

acp 343 (3 Q 30 058) f° 98 du 12.12. Lesdits Henri Wachter, Fanny Wachter, Dame Petit, Dame Fouque et Oscar Wachter seuls héritiers chacun pour un 5° du défunt leur pète susnommé. Le défunt aux termes du contrat de mariage sus relaté a fait donation à sa veuve survivante d’un don matutinal de 1200 francs et lui a donné la jouissance à vie du logement qui se trouve au deuxième étage de la maison sise à Strasbourg grandes arcades N° 35 qui dépendait de la succession.
Après le décès du défunt cette maison a été vendue et adjugée au sieur Oscar Wachter cohéritier susnommé moyennant 98.000 francs suivant procès verbal d’adjudication reçu Zimmer notaire le 6 novembre dernier, par le même procès verbal la veuve a renoncé à la jouissance dans ladite maison à charge par l’adjudicataire de lui payer une rente annuelle de 450 francs formeant la rente à 4 ½ pour cent du capital de 10.000 francs qui appartient aux enfants Wachter après le décès de leur mari et qui reste en crédit pour assurer le paiement de ladite rente
Inventaire a été dressé après le décès du défunt par M° Zimmer notaire le 21 août et 21 juin 1845, cet inventaire constate les valeurs suivantes
Communauté. Les meubles et objets maisons faisant l’objet de la communauté ont été abandonnés à M° veuve Wachter moyennant le prix d’estimation de 2417 francs pour lui servir jusqu’à concurrence du paiement de ses reprises
Succession. Masse active. Elle se compose 1° du prix de la maison susindiquée 98.000 2° des loyere échus de cette maison 2500, 3° du rapport y compris les intérêts que doit faire M. Petit aux termes de son contrat de mariage reçu M° Hatt notaire le 12 juillet 1840 montant à 9225, 4° et l’argent comptant montant à 1400, total 111.125 francs – Passif y compris les reprises, indemnités et don matutinal 32.503 francs, Reste 78.621 francs, soit un 5° à chaque copartageant 15.724, à déduire les frais 163, reste 15.660 francs
Abandonnements (…)

Le sous-lieutenant Alfred Oscar Wachter hypothèque la maison au profit de l’ingénieur Gabriel Auguste Daubrée et du bottier Ignace Stoffel

1845 (21.11.), Strasbourg 10 (106), Louis Frédéric Zimmer n° 5965
Obligation & subrogation 21 novembre 1845. – a comparu M. Alfred Oscar Wachter, sous lieutenant au troisième régiment d’infanterie de ligne, demeurant et domicilié à Strasbourg, Mineur émancipé stipulant sous l’assistance et l’autorisation de Mme Salomé Birr, rentière, veuve de M. Georges Louis Wachter, ancien marchand droguiste demeurant et domiciliée en la même ville sa mère et curatrice, lequel sieur Alfred Oscar Wachter a déclaré devoir bien et légitimement
à 1° Mr Gabriel Auguste Daubrée, Ingénieur des mines, professeur à la faculté des sciences de Strasbourg où il demeure, présent et acceptant, 2° Mr Ignace Stoffel maître bottier de la garde municipale de Paris, y demeurant, pour lequel M. Emile Weiss, clerc de notaire demeurant à Strasbourg à ce présent stipule et accepte, la somme principale de 42.000, savoir à Me Daubrée celle de 18.000 et à Mr Stoffel celle de 24.000 pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque. Une maison sise à Strasbourg, grandes arcades N° 35, ayant une issue à porte cochère sur la place du temple neuf sous le N° 5, consistant en maison de devant, bâtimens latéraux et de derrière, cour, caves, puits, et en un petit bâtiment tenant à la maison principale situé place du temple neuf à côté de la porte cochère, avec toutes ses aisances, appartenances et dépendances, entre Mr Ott, tanneur d’un côté et M. Schneegans de l’autre côté, par devant et par derrière entre M. Ratisbonne, Gloeckler et Koch, d’un côté et la maison de Mme Remp de l’autre côté donnant par sa façade de devant sur la rue des arcades et par derrière sur la place du temple neuf.
Cet immeuble dépendait de la succession de feu le Sieur George Henri Wachter ci avant nommé et a été acquis par ledit Alfred Oscar Wachter par suite de la licitation qui en a été faite entre lui, la dame veuve Wachter ci avant nommée et les quatre frères et sœurs dudit débiteur qui sont a) Mme Corinne Ernestine Wachter, épouse de Mr Paul Joseph Michel Cécile Fouque, lieutenant de grenadiers au troisième régiment d’infanterie de ligne, domiciliés à Strasbourg, b) M. Georges Henri Wachter, droguiste demeurant et domicilié à Strasbourg, c) Mlle Eugénie Fanny Wachter, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, et d) Mme Salomé Emilie Wachter, épouse de Mr Henri Petit, maître d’équitation, demeurant et domiciliés au même lieu, seuls enfants avec ledit Alfred Oscar Wachter et uniques héritiers du dit feu Georges Henri Wachter et moyennant une somme de 98.000 francs, ainsi qu’il résulte d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Zimmer, soussigné le 27 septembre dernier, et d’un acte de ratification du même notaire le 6 novembre de la même année. Aux termes du cahier des charges dressé préalablement à ladite adjudication par M° Zimmer soussigné le 6 septembre dernier, l’acquéreur est chargé de payer son prix d’adjudication de la manière suivante (…)

Le capitaine Alfred Oscar Wachter vend la maison au négociant Louis Victor Schwartz

1860 (16.6.), Strasbourg 10 (142), Louis Frédéric Zimmer n° 13.578
Vente, 16 juin 1860 – ont comparu Mr Jean Théodore Koerttgé, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire de M. Oscar Alfred Wachter, propriétaire, non marié, Capitaine d’Etat major, demeurant à Paris Cour Bony place du havre N° 2 aux termes de sa procuration (…) lequel (a vendu)
à Mr Louis Victor Schwartz, négociant, demeurant et domicilié à Strasbourg, acquéreur ci présent & acceptant
Une maison sise à Strasbourg rue des grandes arcades N° 49 autrefois N° 35, ayant une issue à porte cochère sur la place du temple neuf sous le N° 7, consistant en maison de devant, bâtimens latéraux et de derrière, cour, cave, puits, et en un petit bâtiment situé place du temple neuf à côté de la porte cochère, avec toutes ses aisances, appartenances et dépendances, tenant le tout d’un côté aux sieurs Schneegans & Lippmann, de l’autre aux sieurs Ott, Remp, Koch & Gloeckler, donnant par sa façade de devant sur la rue des arcades et par derrière sur la place du temple neuf
Cet immeuble est vendu dans l’état où il se trouve (…) plus avec le droit d’établir & d’adosser des boutiques aux piliers qui supportent le devant de la maison du côté de la rue des arcades, tel que ce droit a été consenti par l’ancien magistrat de Strasbourg contre une rente éteinte depuis plus de trente ans et tel que le tout a été transmis de propriétaire et propriétaire jusqu’à M. Wahter vendeur lequel le transmet de même à M. Schwartz mais sans aucune espèce de garantie de sa part à raison des prétensions que le ville pourrait élever à ce sujet. (…)
L’entrée en jouissance au profit de l’acquéreur est fixée au premier juillet 1860 (…) M. Wachter est propriétaire du dit immeuble pour avoir recueilli un cinquième dans la succession de M. George Henri Wachter en son vivant marchand droguiste à Strasbourg, son père & pour avoir acquis les quatre cinquièmes restant de ses frères et sœurs 1. M. Georges Henri Wachter fils droguiste demeurant à Strasbourg, 2) Mad° Corinne Ernestine Wachter, demeurant en la même ville veuve de M. Paul Joseph Michel Cécile Fouque, décédé capitaine service de France, 3) Mad° Salomé Emilie Wachter, décédée épouse de M. Henri Petit, alors maître d’équitation à Strasbourg & 4) Mad° Eugénie Fanny Wachter épouse en secondes noces du dit M. Petit, actuellement employé aux Chemins de fer de l’Est, demeurant à Paris aux termes d’un procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Zimmer soussigné le 27 septembre 1845 qui a été ratifié par acte par devant le même notaire le 6 novembre 1845. Le prix de cette adjudication était de 98.000 francs (…) Les frères et sœurs du vendeur avaient comme ce dernier recueilli les dits quatre cinquièmes dudit immeuble dans la succession de M. Georges Henri Wachter leur père défunt susnommé dont ils étaient les seuls héritiers chacun pour un cinquième ainsi que le tout se trouve constaté au cahier des charges ayant servi de base à ladite adjudication, dressé par M° Zimmer soussigné, le 6 juillet 1845.
M. George Henri Wachter père avait lui [même] recueilli un quart dudit immeuble dans la succession de son père défunt & il avait acquis les trois quarts restants de ses frères et sœurs suivant contrat de vente passé devant M° Wengler, alors notaire à Strasbourg le 9 juillet 1810, ainsi que le tout est constaté au cahier des charges sus allégué. (…) La présente vente est faite et acceptée pour le prix de 80.000 francs à compte duquel M° Koerttgé reconnaît par ces présentes avoir reçu de l’acquéreur la somme de 78.000 francs
acp 489 (3 Q 30 204) f° 39 du 18.6.

Louis Victor Schwartz loue la maison au droguiste Louis Wilhelm et à sa femme Marie Caroline Saueressig

1860 (12.7.), Strasbourg 10 (142), Louis Frédéric Zimmer n° 13.604
Bail, 12 juillet 1860 – a comparu Mr Louis Victor Schwartz, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a, par les présentes, donné à titre de bail à loyer pour 6, douze ou dix-huit années entières et consécutives qui ont commencé le premier juillet courant pour finir à l’expiration de l’une des trois époques susfixées
à Mr Louis Wilhelm, droguiste, et à Dame Marie Caroline Saueressig son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, preneurs solidaires à ce présens et acceptant
une maison sise à Strasbourg, rue des grandes arcades N° 49, autrefois N° 35, ayant une issue à porte cochère sur la place du temple neuf sous le N° 7, consistant en maison de devant, bâtimens latéraux & de derrière, cour, cave, puits, et en un petit bâtiment situé place du temple neuf à côté de la porte cochère, avec toutes ses aisances, appartenances et dépendances, tenant le tout d’un côté aux sieurs Schneegans et Lippmann, de l’autre aux sieurs Ott, Remp, Koch et Gloeckler, donnant par sa façade de devant sur la rue des arcades et par derrière sur la place du temple neuf
Les localités de ladite maison telles qu’elles se trouvent en ce maison, seront plus amplement détaillées sur un état que les parties sont convenues de dresser ultérieurement (…) Le présent bail et fait et accepté moyennant un loyer annuel de 5000 francs
acp 490 (3 Q 30 205) f° 11 du 13.7.

Natif de Gœrsdorf dans le canton de Wœrth-sur-Sauer, Louis Victor Schwartz épouse en 1840 Henriette Kob
1840 (26.8.), Strasbourg 10 (97), Louis Frédéric Zimmer n° 3673
Contrat de mariage – Louis Victor Schwartz, négociant né à Goersdorf canton de Woerth le 13 février 1806, fils de Louis Auguste Schwartz, propriétaire, et de feu Marguerite Madeleine Kob
et Henriette Kob, majeure née à Strasbourg le 17 frimaire 13 (8 décembre 1804) fille de feu Jean Jérôme Kob et de Caroline Stromeyer
acp (3 Q 29 996) f° 281 f° 1 du 27.8. – régime de la communauté d’acquets, donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession du prémourant réductible à la quotité disponible en cas d’existence d’enfants

1840 (17.8.), Strasbourg 10 (97), Louis Frédéric Zimmer n° 3657
Consentement par Louis Auguste Schwartz, propriétaire, au mariage de son fils Louis Victor Schwartz, négociant à Strasbourg, né à Goersdorf canton de Woerth le 13 février 1806 avec Marguerite Madeleine Kob fille de feu Jérôme Kob et Caroline Stromeyer
acp 280 (3 Q 29 995) f° 79 du 19.8.

Victor Schwartz passe un accord avec son voisin Jean Christophe Otto (actuel n° 51) au sujet de leur pignon. Le texte intégral de l’accord est copié à l’inventaire dressé en 1883 et au partage en 1888.

1861 (31.10.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 134 (3 Q 31 633) f° 44-v du 9.11.
Déclaration par laquelle le Sr Victor Schwartz, propriétaire de la maison sise à Strasbourg
autorise le Sr Jean Christophe Otto, négociant à Kehl (Bade) propriétaire de la maison contiguë à celle du Sr Schwartz, sise grandes arcades N° 45 et la première N° 49 à démolir la partie du pignon qui sépare les deux propriétés, et ce sur la longueur de la petite cour de la maison de derrière de la maison du Sr Otto jusqu’au faitage du bâtiment latéral de la maison Schwartz et lui permet d’établir des ouvertures de croisées dans la façade vers cette petite cour, à charge par le Sr Otto de faire exécuter le tout à ses frais et d’entretenir le mur en bon état, le Sr Schwartz se réservant le droit imprescriptible d’exiger le changement des lieux à sa convenance

Autre accord relatif à un toit vitré

1861 (26.12.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 134 (3 Q 31 633) f° 73-v du 30.12.
Déclaration par Mr Victor Schwartz, propriétaire de la maison sise à Strasbourg grandes arcades N° 49
par laquelle il concede au Sr Jean Christophe Otto, négociant à Kehl, propriétaire de la maison contiguë à la précédente N° 45 le droit d’établir un petit toit vitré avaçant par-dessus le pignon qui sépare les deux propriétés, à charge de rétablir l’état actuel des choses à la première réquisition

Louis Victor Schwartz et Henriette Kob louent la maison au droguiste Jean Diebolt et à sa femme Marguerite Urban

1877 (18.10.), Strasbourg 10 (183), Frédéric Antoine François Pierron n° 1387
Miethvertrag 18 Oktober 1877 – sind erschienen Herr Ludwig Victor Schwartz Eigenthümer und Frau Henriette Kob dessen von ihm hierzu gehörig ermächtigte Ehegattin, beide mit einander in Straßburg wohnhaft, Welche hiemit erklären für eine Dauer von sechs, zwölf oder achtzehn auf einander folgende Jahre zu verlehnen, welche den 24. Juni 1878 anfangen werden, um am nehmlichen tag den Jahren 1884, 1890 oder 1896 zu endigen
an Herrn Johann Diebold, droguist und an Frau Margaretha Urban, dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau in Straßburg wohnhaft, solidarische Lehner hierzugegen und anwesend
ein Haus in Straßburg gelegen, an der großen Gewerbslauben N° 49 (früher rue des grandes arcades N° 35) mit einem Ausgang durch ein Hofthor auf dem Neukirchplatz unter N° 7, bestehend aus Vorder, Seiten und Hintergebäuden, Hof, Keller, Brunnen, nebst einem kleinen Gebäude auf den Neukirchplatz neben besagtem Hofthor, Rechten und Dependenzien, einseits stößt dasselbe an Eigenthum Adolph Stiegelmann und Schwartz, anderseits an das jenige den herren Eyrich und Koch, vorn an die Gewerbslaubstraße hinten an den Neukirchplatz.
Sowie sich die Räumlichkeiten in demselben Hause wirklich befinden und worüber sich die Parteien verpflichten unverzüglich nach Errichtung dieses Actes ein Verzeichniß aufzunehmen welches doppelt ausgefertigt von beiden Parteien unterschrieben und jedem derselben ein Exemplar eingehändiget werden soll. (…) für einen jährlichen Miethzins von 4800 Mark oder 6000 Franken
acp 671 (3 Q 30 386) f° 76-v du 22.10.

Henriette Kob meurt en 1882 en délaissant pour héritières testamentaires sa sœur et sa nièce. Le veuf a la jouissance viagère de ses biens.

1883 (13.1.), Strasbourg 10 (201), Frédéric Pierron n° 5362
Inventar 1) der Gütergemeinschaft welche zwischen Herrn Ludwig Victor Schwartz, Rentner, ehemaliger Kaufmann und Frau Henriette Kob dessen verstorbenen Ehefrau bestanden hat, 2) und der Hinterlassenschaft dieser Letzteren in Straßburg den 25. Oktober 1882 gestorben
Im Jahre 1883, Sambstag den 13. Januarÿ um zwei Uhr Nachmittags, auf Ansuchen I. des Herrn Ludwig Victor Schwartz, Rentner, ehemaliher Kaufmann, wohnhaft in Straßburg, handelnd in seinem persönlich Namen a) wegen der Gütergemeinschaft welche auf die Errungenschaft beschränkt war und theilbar zur Hälfte ist welche zwischen ihm und Frau Henriette Kob dessen verstorbenen Ehegattin bestanden hat, auf Grund ihres Ehevertrags durch den damaligen Notar Ludwig Friedrich Zimmer in Straßburg den 26. August 1840 errichtet, b) wegen den Ersatzforderung in Geld welche denselben auf besagte Gütergemeinschaft zu erheben hat für ihm gehörige Güter und Werthschaften welche während der Ehe sind veräußert worden, sowie auch die zurücknahme in Natur denjenigen ebenfalls ihm gehörigen Güter und Werthschaftes welche wirklich noch vorhanden sind u als lebenslänglichen Nutznießen (…)
II. der Frau Maria Elisabeth Fanny Kob, hierzu gehörig ermächtigte Ehegattin des Herrn Ludwig Julius Himly, Kaufmann ehemaligen Präsident des Hanselsgreichts zu Straßburg hier zugegen mit einander in denselben Standt wohnhaft
III. des herrn Jérôme Kob, Rentner wohnhaft in Straßburg, in seiner Eigenschaft als bevollmächtigter der Frau Victoire Kob, Wittwe des Herrn Jacob Mercklin, in Paris rue Michelet 7 wohnhaft auf Grund einer Vollmacht (…), genannte Frau Himly, Nichte der Verstorbenen und Frau Wittwe Mercklin vollbändige Schwester denselben in ihren Eigenschaften als Universallegatarinnen der in Straßburg den 25. Oktober 1882 ohne Pflichterben zu hinterlassen verstorbenenen Frau Henriette Kob als Ehegattin des genannten Herrn Ludwig Victor Schwartz, auf Grund eigenhändigen Testaments derselben von Straßburg vom 21. Novembris 1876 datirt und eines Codicills vom 5. April 1878 beide nach Vollziehung der gesetzlichen Formalitäten auf dem Amtsstube des auch genannten Notars Pierron auf Grund eines actes durch denselben den 2. Novembrer 1882 errichtet hinterlegt
In gegensein des genannten herrn Jérôme Kob, ins einem Namen, und Fräulein Adèle Kob, Rentnerin, und des Herrn Georg Kob, ebenfalls Rentner, alle drei in Straßburg wohnhaft, in ihrer Eigenschaft als Particular Legatare der Verstorbenen (…)
Errichtet zu Straßburg in dem Sterbhauseneuen Fischmarkt N° 11

Gütergemeinschaft. Im Wohnzimmer, Im Saal, Im Schlafzimmer, Im Toiletten Cabinet, In der Küche, in dem Magd Zimmer, Im Keller, Im Schranken* Zimmer
In dem Landhause in der Ruprechtsau gelegen
Liegenschaften. Stadt Straßburg. Liegenschaften I) ein Haus in Straßburg gelegen an den großen Gewerbslauben N° 49 (früher rue des grandes arcades N° 35) mit einem Ausgang durch ein Hofthor auf dem Neukirchplatz unter N° 7 bestehend aus Vorder, Seiten und Hintergebäuden, Hof, Keller, Brunnen, einem kleinen Gebäude auf den Neukirchplatz, Rechten und Zugehörden, einseits stößt dasselbe an Eigenthum Stiegelmann und Schwartz, anderseits an das jenige den Herren Eyrich und Koch, vorn an die Gewerbslauben hinten an den Neukirchplatz.
Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft erworben worden welche zwischen den Ehegatten Schwartz Kob bestanden hat von Herrn Oscar Alfred Wachter frantzösischen Staabs Officier, ledigen Standes in Paris wohnhaft, auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Zimmer in Straßburg den 16. Juni 1860, im Hypothekenamte von Straßburg den 27. des nämlichen Monats Band 819 N° 38 trascribirt und von Amtswegen eingeschrieben Band 759 N° 222. Dieser Kauf geschah für eine Summ von 80.000 Franken, wovon 70.000 Franken baar bezahlt wurden und in dem Kauf quittirt sind, die übrige 10.000 Franken sind die Käufer angewiesen worden folgender maßen zu bezahlen, 2000 Franken an Herrn Georg Heinrich Wachter drogist in Straßburg wohnhaft, gleiche Summ an Frau Corinne Ernestine Wachter Wittwe des Herrn Paul Joseph Michel Cécile Fouque, eine nämliche Summ an Frau Salome Emilie Wachter verstorbenen Ehegattinin des Herrn Henri Petit, 2000 Franken an Frau Eugenie Fanny Wachter, gattin in zweiter Ehe des genannten Herrn Petit und die letztete 2000 Franken an Herrn Oscar Alfred Wachter selbst (…) Herr Oscar Alfred Wachter ist selbst Eigenthümer dieses Hauses geworden, nämlich ein fünftel um dasselbe ererbt zu haben in der Verlaßenschaft seines Vaters Herr Georg Heinrich Wachter, im Leben gewesenen drogist, und die übrigen vier fünftel um dieselbe auf Lizitationswege von seinen oben genannten Miterben auf Grund eines Steigprotokolls durch denselben Notar Zimmer den 27. September 1845 errichtet, ratifizirt auf Grund eines actes durch denselben Notar den 6. November desselben Jahres errichtet.
Herr Georg Heinrich Wachter, Frau Fouque, Frau Salome Emilie Petit und Frau Eugenie Fanny Petit haben ihre vier fünftel in der Verlaßenschafft ihres genannten Vaters ererbt, sowie dieses bestätigt ist in einem Lastenheft welches als Basis obiger Steigerung diente durch denselben Notar Zimmer den 6. September 1845 errichtet.
Herr Georg Heinrich Wachter Vater hat selbst einen viertel theil dieses Hauses ererbt in die Verlaßenschaft seines Vaters Herrn Georg Heinrich Wachter, bei Lebzeiten droguist in Straßburg und die übrigen drei Viertel um sie auf Lizitations Wege erworben zu haben von seinen drei Geschwistern Frau Marie Elisabeth Wachter Ehegattin des Herrn Johann Georg Dahler, Professor der Theologie in Straßburg, Herr Ludwig Wachter Droguist und Frau Christine Wilhelmine Wachter Ehegattin des Herrn Adolph Heydenreich, Kaufmann in Weißenburg wohnhaft auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Wengler in Straßburg den 9. Juli 1810 errichtet.
die so eben erwähnten Eigenthumsschriften sind als Stücke 1, 2, 3 und 4 der cote C paraphirt und inventirt worden
Es besteht ferner noch ein Vertrag zwischen Herrn Schwartz und dem früheren Nachbar desselben Herrn Johann Christoph Otto, Kaufmann in Kehl deßen Inhalt folgender maßen lautet
Entre les soussignés Mr Victor Schwartz ancien négociant et propriétaire de la maison sise en cette ville grandes arcades 49 d’une part et Mr Jean Christophe Otto, négociant à Kehl et propriétaire de la maison contiguë à la précédente d’autre part il a été convenu ce qui suit.
M. Schwartz concède à M. Otto à titre de bon voisinage, de démolir la partie du pignon qui sépare les deux propriétés, et ce sur la longueur de la petite cour de la maison de derrière de la maison de Mr Otto jusqu’au faitage du bâtiment latéral de la maison Schwartz et lui permet d’établir des ouvertures de croisées dans la façade vers cette petite cour, façade qui est parallèle audit pignon à une distance de moins d’un mètre 90 centimètre de la ligne qui sépare les deux propriétés aux clauses et conditions qui suivent
M. Otto fera à ses frais tous les ouvrages résultant de la présente concnession et garnira la surface du couronnement de la partie du mur démoli de dalles et les entretiendra en bon état, 2) la présente concession étant tout dans l’intérêt de Mr Otto, Mr Schwartz se réserve le droit qui est par la présente convention imprescriptible d’exiger le changement des jours de souffrance des dites croisées établies à une distance de la ligne séparative des deux propriétés, moindre que celle de un mètre 90 centimètres prescrite par l’article 678 du code civil, et d’élever le mur de son bâtiment latéral à sa convenance quant à l’époque et quant à la hauteur de ce mur et sans que pour le fait du retard de la présente concession M Schwartz soit tenu de donner des motifs. (…) Fait en double à Strasbourg le 31 octobre 1861. Enregistré à Strasbourg le 9 novembre 1861 folio 44 (…)
Auf demselben Hause ruhten früher drei Grundrenten, die eine von 15 Franken jährlich welche den 10. November 1820 für den Preis von 320 Franken losgekauft wurde, und die beiden andern die eine von 11 Franken 65 centimes und die andere von 9 Franken 67 centimes, welche den 20. Mai 1811 für de Preis von 237 Franken neun centimes losgekauft wurden. (…)
Dasselbe Haus ist für eine dauer von 6, 12 oder 18 Jahren verrmiethet welche den 24. Juni 1878 begonnen haben, um an demselben Tage der Jahre 1884, 1890 oder 1896 zu endigen an Herrn Johann Diebolt, Droguist und Fraun Margaretha Urban dessen Ehefrau in Straßburg wohnhaft auf Grund einer Lehnung durch den unterschriebenen Notar den 18. october 1877 errichtet, für einen jährlichen Miethzins von 4800 Mark Haussteuren zur Last des Eigenthümers, Cote C. paraphirt und inventirt worden
Landgut in der Ruprechtsau (…)
acp 734 (3 Q 30 449) f° 11-v n° 3662 du 22.1. (Tafel Bd. 68 Bl. 97 N° 246 – Sterbfatt Erkl. vom 18.4.83 Bd. 141 N° 35 – Gemeinschaft Mobilien geschätzt 4174
idem f° 71-v n° 4073 du 17.2. (vacation du 12 février) Nachlass, Kleider 462
von dem vorhandenen baaren Geld hat der Wittwer Passiven bezahlt mit 544
acp 737 (3 Q 30 452) f° 4 du 18.4. (vacation du 13 avril) Gemeinschaft, Obligationen der Stadt Paris 2836, Obligationen der Eisenbahn Paris-Lyon 1470, Obligationen der frantzösischen Ostbahn 13.202, Obligationen der Stadt Paris 2836, Obligationen der Eisenbahn Paris-Lyon 1470, Obligationen der frantzösischen Ostbahn 5696, Obligationen des Bodencredits in Frankreich 4576 und 1436, Aktien des hiesigen Bankhauses Staehling Valentin et Cie 40.320, (Obligationen) 8720, 3200, 2000, 3200, 2240, Forderungen 4070, 12.020
Liegenschaften, ein hier an der Großen Gewerslauben N° 49 gelegenes Wohnhaus, ein an der Ill-Rheinkanalstraße N° 4 gelegenes Landgut
Ersatzforderungen 1) des Nachlasses für nicht mehr wehrendes Eheeinbringen 13.040, 2) Wittwe für desgleichen 34.118, durch die Gemeinschaft bezogene Summ 1153, Zusammen 35.312
hierzu noch eine bei der Pariser Sparkasse hinterlegt gewesenen und * bezogene Summ 646, Ersatzforderung der Wittwe 35.958

Lors de la liquidation, la maison est attribuée en nue-propriété aux deux héritières et en usufruit au veuf.

1886 (29.9.), Strasbourg 10 (216), Frédéric Pierron n° 8081
29. September & 1. Oktober 1886. (Theilung des Nachlasses von Henriette Kob Ehefrau des Rentners und ehemaligen Kaufmanns Ludwig Viktor Schwartz)
sind erschienen I) Herr Ludwig Victor Schwartz, Rentner ehemaliger Kaufmann in Straßburg wohnhaft, handelnd in seinem persönlichen Namen a) wegen der Gütergemeinschaft welche auf die Errungenschaft Gütergemeinschaft beschränkt war und theilbar zur Hälfte ist welche zwischen ihm und Frau Henriette Kob seiner verstorbenen Ehegattin bestanden hat auf Grund ihres Ehevertrags durch den damaligen Notar Ludwig Friedrich Zimmer in Straßburg den 26. August 1840 errichtet, b) wegen den Ersatzforderungen in Geld welche denselben auf befragte Gütergemeinschaft zu erhaben hat für ihm gehörige Güter und Werthschaften, welche während der Ehe sind veräußert worden, c) als lebenslänglicher Nutznießer (a) des ganzen Antheils der Verstorbenen an besagter Errungenschaft, (b) des sämmtlichen Nachlasses derselben, alles auf Grund der Artikel 1 und 5 des erwähnten Ehevertrags
II) Frau Maria Elisabeth Fanny Kob, hierzu gehörig ermächtigte Ehegattin des Herrn Ludwig Julius Himly, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handelsgerichts zu Straßburg, hier zugegen mit einander in derselben Stadt wohnhaft, handelnd in ihrem persönlichen Namen
III) Herr Arthur Schützenberger, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter der Frau Caroline Victoire Marie Mercklin Rentnerin zu Paris wohnhaft, Wittwe des Herrn Paul Emmerich bei Lebzeiten Kaufmann auf Grund einer Vollmacht (…)
genannte Frau Himly und Frau Wittwe Emmerich in ihren Eigenschaften als Universalllegatarinnen, Letztere an Stelle ihrer nachgenannten verstorbenen Mutter, der genannten Frau Schwartz geborener Kob auf Grund des nachher erwähnten Testamentes
diese Comparenten erklären, daß Frau Henriette Kob im Leben geweßene Ehegattin des obengenannten Herrn Ludwig Victor Schwartz in Straßburg den 25. Oktober 1882 gestorben ist ohne Pflichterben zu hinterlassen. Auf Grund ihres eigenhändigen Testaments von Straßburg vom 24. November 1876 und 5. April 1878 datirt, nach Vollziehnung der gesetzlichen Formalitäten auf der Amtstube des unterzeichneten Notars hinterlegt (…) hat die Verstorbene zu ihren Universallegataren eingesetzt a) für eine Hälfte ihre Schwester Frau Victoire Kob Wittwe des Herrn Jacob Mercklin in Paris wohnhaft, b) und für die andere Hälfte ihre Nichte obgenannte Frau Himly (…)
Nach dem Ableben der Frau Schwartz wurde durch den unterzeichneten Notar unter dem datum vom 13. Januar 1883 und folgende Tage ein Inventar errichtet sowohl der Güter und Werthschaften welche vor den zwischen den Ehegattin Schwartz-Kob bestandenen Gütergemeinschaft herrührten als auch den jenigen der Verlaßenschafft der Frau Schwartz.
Auf Grund eines Beschlußes des kaiserlichen Amtsgerichts von Straßburg vom 28. Juli 1886 sind die beiden obengenannten Universallegatareninnen in Besitz des Nachlasses genannter Frau Schwartz gebornen Kob eingewiesen worden

Gütergemeinschaft (…) Liegenschaften I) ein Haus in Straßburg gelegen an den großen Gewerbslauben N° 49 (früher rue des grandes arcades N° 35) mit einem Ausgang durch ein Hofthor auf dem Neukirchplatz unter N° 7 bestehend aus Vorder, Seiten und Hintergebäuden, Hof, Keller, Brunnen, einem kleinen Gebäude auf den Neukirchplatz, Rechten und Zugehörd, einseits stößt dasselbe an Eigenthum Stiegelmann und Schwartz, anderseits an das jenige den herren Eyrich und Koch, vorn an die Gewerbslaubstraße hinten an den Neukirchplatz.
Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft erworben worden welche zwischen den Ehegatten Schwartz-Kob bestanden hat von Herrn Oscar Alfred Wachter frantzösischen Stabs Officier, ledigen Standes in Paris wohnhaft, auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Zimmer in Straßburg den 16. Juni 1860, im Hypothekenamte von Straßburg den 27. des nämlichen Monats Band 819 N° 38 trascribirt und von Amtswegen eingeschrieben Band 759 N° 222. Dieser Kauf geschah für eine Summ von 80.000 Franken, wovon 70.000 Franken baar bezahlt wurden und in dem Kauf quittirt sind, die übrige 10.000 Franken sind die Käufer angewiesen worden folgender maßen zu bezahlen, 2000 Franken an Herrn Georg Heinrich Wachter drogist in Straßburg wohnhaft, gleiche Summ an Frau Corinne Ernestine Wachter Wittwe des Herrn Paul Joseph Michel Cécile Fouque, eine nämliche Summ an Frau Salome Emilie Wachter verstorbenen Ehegattinin des Herrn Henri Petit, 2000 Franken an Frau Eugenie Fanny Wachter, gattin in zweiter Ehe des genannten Herrn Petit und die letztere 2000 Franken an Herrn Oscar Alfred Wachter selbst (…) Herr Oscar Alfred Wachter ist selbst Eigenthümer dieses Hauses geworden, nämlich ein fünftel um dasselbe ererbt zu haben in der Verlaßenschaft seines Vaters Herr Georg Heinrich Wachter, im Leben gewesenen drogist, und die übrigen vier fünftel um dieselbe auf Lizitationswege erworben zu haben von seinen oben genannten Miterben auf Grund eines Steigprotokolls durch denselben Notar Zimmer den 27. September 1845 errichten gutgeheißen auf Grund eines actes durch denselben Notar den 6. November desselben Jahres errichtet.
Herr Georg Heinrich Wachter, Frau Fouque, Frau Salome Emilie Petit und Frau Eugenie Fanny Petit haben ihre vier fünftel in der Verlaßenschaft ihres genannten Vaters ererbt, sowie dieses bestätigt ist in einem Lastenheft welches als Basis obiger Steigerung diente durch denselben Notar Zimmer den 6. September 1845 errichtet.
Herr Georg Heinrich Wachter Vater hat selbst einen viertel theil dieses Hauses ererbt in die Verlaßenschaft seines Vaters Herrn Georg Heinrich Wachter, bei Lebzeiten droguist in Straßburg und die übrigen drei Viertel um sie auf Lizitations Wege erworben zu haben von seinen drei Geschwistern Frau Marie Elisabeth Wachter Ehegattin des Herrn Johann Georg Dahler, Professor der Theologie in Straßburg, Herr Ludwig Wachter Droguist und Frau Christine Wilhelmine Wachter Ehegattin des Herrn Adolph Heydenreich, Kaufmann in Weißenburg auf Grund eines Kaufvertrags durch den damaligen Notar Wengler in Straßburg den 9. Juli 1810 errichtet.
Hinsichtlich dieses Hauses besteht ein Vertrag zwischen Herrn Schwartz und dem früheren Nachbar desselben Herrn Johann Christoph Otto, Kaufmann in Kehl deßen Inhalt folgender maßen lautet
Entre les soussignés Mr Victor Schwartz ancien négociant et propriétaire de la maison sise en cette ville grandes arcades 49 d’une part et Mr Jean Christophe Otto, négociant à Kehl et propriétaire de la maison contiguë à la précédente d’autre part il a été convenu ce qui suit.
M. Schwartz concède à M. Otto à titre de bon voisinage, de démolir la partie du pignon qui sépare les deux propriétés, et ce sur la longueur de la petite cour de la maison de derrière de la maison de Mr Otto jusqu’au faitage du bâtiment latéral de la maison Schwartz et lui permet d’établir des ouvertures de croisées dans la façade vers cette petite cour, façade qui est parallèle audit pignon à une distance de moins d’un mètre 90 centimètre de la ligne qui sépare les deux propriétés aux clauses et conditions qui suivent
M. Otto fera à ses frais tous les ouvrages résultant de la présente concnession et garnira la surface du couronnement de la partie du mur démoli de dalles et les entretiendra en bon état, 2) la présente concession étant tout dans l’intérêt de Mr Otto, Mr Schwartz se réserve le droit qui est par la présente convention imprescriptible d’exiger le changement des jours de souffrance des dites croisées établies à une distance de la ligne séparative des deux propriétés, moindre que celle de un mètre 90 centimètres prescrite par l’article 678 du code civil, et d’élever le mur de son bâtiment latéral à sa convenance quant à l’époque et quant à la hauteur de ce mur et sans que pour le fait du retard de la présente concession M Schwartz soit tenu de donner des motifs. (…) Fait en double à Strasbourg le 31 octobre 1861. Enregistré à Strasbourg le 9 novembre 1861 folio 44 (…)
Auf demselben Hause ruhten früher drei Grundrenten, die eine von 15 Franken jährlich welche den 10. November 1820 für den Preis von 320 Franken losgekauft wurde, und die beiden andern die eine von 11 Franken 65 centimes und die andere von 9 Franken 67 centimes, welche den 20. Mai 1811 für de Preis von 237 Franken neun centimes losgekauft wurden.
Dasselbe Haus ist für eine dauer von 6, 12 oder 18 Jahren verrmiethet welche den 24. Juni 1878 begonnen haben um an demselben Tage der Jahre 1884, 1890 oder 1896 zu endigen an Herrn Johann Diebolt, Droguist und Fraun Margaretha Urban dessen Ehefrau in Straßburg auf Grund eines Miethvertrags durch den unterschriebenen Notar den 18. october 1877 errichtet, für einen jährlichen Mietzins von 4800 Mark Haussteuren zur Last des Eigenthümers
Für die gegenwärtige Theilung ist dieses Haus abgeschätzt zu 80.000 Mark
II. Ferner gehört zu demselben Gütergemeinschaft, ein Landgut in der Ruprechtsau (…)
Procuration, Victoire Marie Mercklin rentière demeurant à Parie rue Michelet N° 7
Überlieferungen. A. die Rechte des Herrn Schwartz (…) ferner noch das Landgut in der Ruprechtsau gelegen nebst den damit verbundenen Rayon Entschädigung alles in vollem Eigenthum für ihren Werthanschlag von 20.000 Mark
B. die Rechte der Frau Himly und der Frau Wittwe Emmerich (…) 98.563, für welche Herr Schwartz ihnen in bloßem Eigenthum nur damit nach seinem Ableben die Nutznießung zu vereinigen folgende Werthschafen und Liegenschaft überläßt (…) 4) ferner noch das Haus in Straßburg an der großen Gewerbslauben N° 49 für dessen Werthanschlag von 80.000
acp 782 (3 Q 30 497) f° 42 n° 2361 du 4.10. – Gütergemeinschaft 1) Mobiliargegenstände 6014, 2) ad 18) Obligationen (zusammen) 112.853
Liegenschaften I) ein Wohnhaus an den großen Gewerbslauben N° 49, 80.000, II) ein Landgut in der Ruprechtsau Ill Rhein Kanalstraße N° 4, 20.000, (zusammen) 212.853
Passiva, Ersatzforderung a) des Nachlasses 13.040, b) des Wittwers 28.766 (zusammen) 41.806, bleiben 171.047, die ½ 85.523
Nachlass 1) Ersatzforderungen 13.040, 2) Hälfte der Gütergemeinschaft 85.523 (zusammen) 98.563 – Passiva, dieselben bestehen einzig in dem durch das testament ausgesetzten Legaten, welche jedoch erst nach dem Tode des p. Schwartz zu entrichten
Zutheilungen I. dem überlebenden Wittwer (…) 19. das Landgut in der Ruprechtsau 20.000 (…)
II. den Erben Kob 4) das haus Gewerbslauben

Louis Victor Schwartz qui habite dans la maison à la Robertsau qui lui a été attribuée en toute propriété lors du partage prolonge le bail de Jean Diebolt et de Marguerite Urban.

1894 (26.6.), Strasbourg 10 (245) Jean Hammann n° 544
Vermiethung – Erschienen 1. Herr Ludwig Victor Schwartz, ehemaliger Kaufmann, Eigenthümer zu Ruprechtsau Bannweile Straßburg Ill Rhein Kanalstraße N° 4 wohnhaft Einerseits
2. Herr Johann Diebolt, Droguist und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Margaretha Urban, beide in Straßburg wohnhaft, Andererseits
dieselbe erklären, Zufolge Vertrags vor Notar Pierron zu Strassburg – mittelbarer Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars – vom 18. October 1877, vermietheten Herr Schwartz und seine inzwischen verlebte Ehefrau Henriette Kob den Eheleuten Diebolt, für die dauer von 18 Jahren vom 24. Juni 1878 ab bis zum nämlichen Zeitpunkt des Jahres 1896 das nachher bezeichnete zu der zwischen den Vermiethern bestandenen Gütergemeinschaft gehörige Wohnhaus um den jährlichen Miethpreis von 4800 Mark, zahlbar vierteljährlich.
Frau Schwartz geborene Kob starb seither am 25. October 1882 ohne Ascendenten oder Desecndenten zu hinterlassen, nachdem sie Zufolge eigenhändigen Testaments vom 24. November 1876 und Codizills vom 5. April 1878 hinterlegt zu den Urschriften des besagten Notars Pierron am 2. November 1882 a. ihre Schwester Victoria Kob zeitlebens Wittwe von Jakob Mercklin in Paris wohnhaft gewesen b. und ihre Nichte Maria Elisabeth Fanny Kob Ehefrau des Herrn Ludwig Julius Himly Kaufmann beide in Strassburg wohnhaft, beziehnugsweise deren Nachkommen, als Universalerben eingesetzt hatte.
Die vorgenannte Wittwe Mercklin starb aber seither ebenfalls zu Paris am 24. Januar 1886 und hinterließ als einzige Erbin ihre Tochter Caroline Victoria Marie Mercklin Wittwe von Paul Emmerich in Paris wohnhaft, sowie dies aus einem Notorietätsact vor besagtem Notar Pierron vom 16. April 1886 hervorgeht, so daß Wittwe Emmerich und Frau Himly einzige Erbinnen der verlebten Frau Schwarz sind.
Am sämtlichen Nachlasse der Letztern steht dem Comparenten Herrn Schwartz laut Ehevertrags vor Notar Zimmer zu Straßburg vom 26. August 1840 die lebenslängliche unentgeltliche Nutznießung zu. Zufolge Liquidation vor dem besagten Notar Pierron vom 29. September und ersten October 1886, wurde sodann die in Rede stehende nachbeschriebene Liegenschaft den beiden genannten Erbinnen der verlebten Frau Schwartz der genannten Frau Himly und Wittwe Emmerich zum nackten Eigenthum zugewiesen.
Da nun der vorbesagte Pachtvertrag seinem Ende entgegen geht und bereits 16 Jahre davon abgelaufen sind, haben die Parteien eine weitere Verlängerung desselben um neun Jahre vereinbart. Sie ersuchen deßhalb den unterzeichneten Notar dies zu beurkunden, welchem Gesuch entsprochen wurden wie folgt.
Herr Schwartz vermietet hierdurch, in seiner Eigenschaft als lebenslänglicher unentgeltlicher Nutznießer des gesamten Nachlasses seiner genannten Ehefrau und in Gemäßheit der Artikel 595. 1421 und folgenden des Code Civil
den dies unter solidarischer Haftbarkeit annehmender Eheleuten Diebolt auf weitere neun Jahre anfangend am 24. Juni 1896 und endigend am selben Zeitpuncten des Jahres 1905, die folgende Liegenschaft als
Stadt Strassburg. Ein Hausanwesen gelegen zu Straßburg, an den Gewerbslauben N° 49 früher rue des grandes arcades N° 35 mit einem Ausgang durch ein Hofthor auf dem Neukirchplatz und daselbst die Nummer 7 tragend aus Vorder, Seiten und Hintergebäuden, Hof, Keller, Brunnen, einem kleinen Gebäude auf den Neukirchplatz neben besagtem Hofthor, Rechten und Zugehör, begrenzt einerseits von Eigenthum Adolf Stiegelmann und Schwartz, andererseits von Eigenthum Eyrich und Koch, vorn von der Gewerbslauben hinten von dem Neukirchplatz.
Bedingungen (…) 7. Parteien haben den Jährlichen Miethpreis auf 4800 Mark festgesetzt
acp 889 (3 Q 30 604) f° 20-v n° 1713 du 11.7.

Louis Victor Schwartz meurt en 1896 en délaissant des héritiers testamentaires
1896 (20.4.), Jean Hammann N° 1547
Inventar über den Nachlass des zu Straßburg am 31. Maerz 1896 verstorbenen Rentners Ludwig Viktor Schwartz, Wittwer von Henriette Kob. Auf Anstehen 1. Carl Friedrich Dangler, Rentner in Colmar, 2 Juliette Henriette Dangler, Wittwe Michel Ledermann hier, 3. Henriette Cecilie Dangler, Wittwe Friedrich Bricka hier, handelnd als Vermächtnissnehmer des Verstorbenen nach seinem eigenhändigen Testament, hinterlegt bei Hammann am 4. April 1896.
acp 910 (3 Q 30 625) f° 93-v n° 365 du 23.4. (St. Tab. Bd. 182 Bl. 147 N° 69 – E. 28 IX 96 Bd. 227 N° 299) Folgt Beschreibung des Testaments
acp 912 (3 Q 30 627) f° 54-v n° 800 du 19.5. (vacation du 9 mai) N° 1596.
Obligation 400, Miethe 243 (Summa) 643
Nachlass, 1. vermachte Mobilien 102, 2. andere Mobilien 2316, 3. baares Geld 421, Contocurrent bei Staehling-Valentin hier 5305, 5. Werthpapiere auf der Inhaber 187.623, 63 Forderung an Eheleute Johann Diebolt nach Schuldschein 24.000, Rückständige Zinsen vom 27. Dezember 1895, 250, Rückständige Zinsen aus dem Vermögen seines Ehefrau 238, Rayonentschädigung 756
Passiva 2091, Legate nach dem testament 10.400

Partage des biens propres au défunt
1896 (28.5.), Jean Hammann n° 1620
Theilung des Nachlasses des zu Strassburg am 31. Maertz 1896 verlebten Rentners Ludwig Viktor Schwartz, auf Anstehen 1. Carl Friedrich Dangler, Rentner in Colmar, 2 Julie Henriette Dangler, Wittwe Michel Ledermann hier, 3. Henriette Emilie Dangler, Wittwe Friedrich Bricka hier, handelnd als einzige Erben des verstorbenen je zu 1/3 nach Testament hinterlegt bei Hammann am 4. April 1896. Als Grundlage dient ein Inventar Hammann vom 20. April und 9 Mai 1896.
acp 912 (3 Q 30 627) f° 86 n° 973 du 1.6. (St. T. Bd. 82 Bl. 147 N° 70 – E.E. 28 IX 96 Bd. 227 N° 299) Aufstellung der Masse. 1) Rechnungs Ueberschuß in Händen der Wittwe Bricka 473, 2) Rechnungs Ueberschuß bei Staehling-Valentin 1249, 3) Mobilien 2316, 4) Werthpapiere in drei Loose eingetheilt 59.540, 59., 907 und 59.895, 5) Forderungen an Eheleute Johann Diebolt Droguist hier nach Schuldschein 24.250, 6) Forderung an dem Militärfiskus für Rayon-Entschädingung11.376 (Summa) 219.010
Besondere Rechnung und Zutheilung (…)

Délivrance des legs assurés par Henriette Kob, dont le défunt avait la jouissance
1896, Jean Hammann n° 1619
12, 15, 21 und 28. Mai 1896. – Auslieferung durch die Erbvermächtnißnehmer des zu Straßburg wohnhaft gewesenen und am 31. Maertz 1896 verlebten früheren Kaufmanns, nachmaligen Rentners Ludwig Viktor Schwartz. Die Universallegataren der zu Straßburg am 25. Oktober 1882 verlebten Henriette geb. Kob gewesene Ehefrau des vorgenannten Ludwig Viktor Schwartz als
1) Maria Elisabeth Fanny Kob, ermächtigte Ehegattin des Ludwig Julius Himly, Rentner, beisammen in Straßburg wohnhaft, 2) Caroline Victoire Marie Mercklin, Rentnerin au Paris wohnhaft Wittwe des Kaufmanns Paul Emmerich, letztere in Stellvertretung ihrer verlebten Mutter Wittwe Mercklin geb. Kob, vertreten durch Arthur Schützenberger, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft auf Grund registrirter Vollmacht
und zwar des ihnen unvertheilteweis mit einander in nacktem Eigenthum zugetheilten Vermögens gemäß Liquidation und Auseinandersetzung errichtet vor dem früheren Notar Pierron dahier am 29. September und 1. Oktober 1886. Inhaltlich dieser Theilung fiel den Universallegataren der Frau Schwartz zu
1) 16 Actien des Bankhauses Ch. Staehling, L. Valentin & Cie in Straßburg, eine jede auf den Namen des verlebten Schwartz lautend, und jede von einem Nominalwerth von 800 Mark, 2) eine Obligation der Stadt Paris, 3) Hausmiethe 243 4) und ein Haus gelegen zu Straßburg an der großen Gewerbslauben N° 49
diese Vermögensstücke unterlagen der lebenslänglichen Nutznießung des p. Schwartz, welche Nutznießung durch das Ableben des Letzteren erloschen ist
Auslieferung. Theilung
Unvertheilt bleibt das Haus Große Gewerbslaubenstraße N° 49

Lors du partage judiciaire entre les enfants d’Elisabeth Fanny Kob, femme de Louis Jules Himly et héritière testamentaire de Henriette Kob, la moitié de la maison aux Grandes Arcades revient pour un quart à Charles Louis Maurice Himly, négociant et juge au tribunal de commerce, pour un quart à Marie Elisabeth Himly, épouse de Charles Léon Ungemach, négociant et président de la bourse de commerce, pour un quart à Jeanne Caroline Himly, veuve du banquier Charles Stæhling et pour un quart à Berthe Marguerite Himly

1897 (30.7.), Jean Hammann N° 2344
(Gerichtliche Theilung, Marie Elisabeth Fanny Kob Ehefrau von Ludwig Julius Himly)
auf Anstehen von 1. Ludwig Julius Himly, ehedem Kaufmann und Präsident des früheren Handelsgerichts, Rentner zu Straßburg, handelnd als Schenknehmer der lebenslänglichen Nutznießung der Hälfte des persönlichen Nachlasses seiner zu Straßburg am 6. Juni 1896 verlebten Ehefrau Maria Elisabeth Fanny Kob, auf Grund Schenkung im Ehevertrag vor amt. Notar vom 17. September 1849
2. Maria Elisabeth Himly Ehefrau Carl Leo Ungemach, Kaufmann, Präsident der Strassburger Warenbörse in Straßburg, 3. Karl Ludwig Moritz Himly, Kaufmann, Handelsrichter allda, 4. Berta Margaretha Himly ohne Gewerbe großjährig in Straßburg, 5. Ludwig Schmuck Notariatsgehülfe in Schiltigheim, als Bevollmächtigter von Johanna Caroline Himly, Rentnerin in Paris, Wittwe Carl Staehling Sohn ehedem Bankier in Straßburg und Rentner in Paris, 6. Joseph Schwartz Notariatsgehülfe in Straßburg als Bevollmächtigter von Alfred Staehling Eigenthümer in Biarritz, dieser handelnd als Dativvormund von a) Carl Ludwig Marcel Staehling geb. 11. August 1877, b) Carle René Staehling geb. 17. April 1879, c) Carl Johann Staehling geb. 15. April 1882 minderjährige Kinder von Carl Staehling Sohn und dessen verlebten ersten Ehefrau Bartha Elisabeth Himly gestorben 15. April 1882
die ad 2-6 genannten Partheien erbberechtigte zu je ein 5. am Nachlass der Marie Elisabeth Fanny Kob erstgenannte ihrer Mutter und Großmutter
von verschiedenen am fraglichen Nachlass abhängigen Vermögensstücke die zwischen den Partheien ungetheilt geblieben sind
Die übrige Vermögensstücke wurden bereits geteilt laut Urkunde des amt. Notars vom 20. Maertz 1897. Die zur Theilung gelangenden Vermögensstücken fielen der Frau Himly geb. Kob während der Ehe mit verschiedenen Nachlaßenschaften zu, deren Erträgnissen Zinsen ganz erg. theilweise dem Georg Jerome Kob Licentiat der Rechte ehedem im Ministerium der äußeren Angelegenheiten in Paris, jetzt in Algier, lebenslänglich zustehen, welche wegen Verkaufs dieser Werthschaften währen der Ehe der Erblasserin und der Erlös durch Eheleute Himly vereinahmet, dem p. Kob zur Leistung der lebenslänglichen Rente bestimmt wurden
acp 930 (3 Q 30 645, II) f° 22-v n° 2005 du 11.9.
Masse 1) Hälfte eines Hauses zu Straßburg, Gewerbslaubenstraße & Neukirchplatz mit An- und Zubehör und kleinen Gebäude auf dem Neukirchplatz N 1075 mit 6 ar 10 Fläche, 60.000
2) Aktien 800, 3) idem 496, 4) Preuß. Anlage 3988, 5) Hinterlegung bei Firma Louis Himly 12.800, 6) Conto courrent 1280 (Summa) 79.364
Diese Summe kommt zu (…) Zuweisungen
30. Juli N° 2344, bestätigt durch des Amtsgericht hier am 6. September 1897, an den Notar zurückgereicht am 7. September

Caroline Victoire Marie Mercklin, veuve de Paul Emmerich d’une part et les héritiers d’Elisabeth Fanny Kob, femme de Louis Jules Himly, tous héritiers testamentiares de Henriette Kob, femme de Victor Schwartz, vendent la maison à la Brasserie du Lion, société anonyme à Munich

1897 (24.9.), Gustave Edouard Loew n° 29.741
Verkauf durch den Bevollmächtigten von 1. Karoline Victoire Marie Mercklin, Rentnerin in Paris, Wittwe Paul Emmerich, 2 Ludwig Julius Himly ehemaliger Kaufmann Rentner in Straßburg, Wittwer von Marie Henriette Fanny Kob, 3. Karl Ludwig Moritz Himly, Kaufmann in Straßburg, 4. Marie Elisabeth Himly, Ehefrau Karl Leo Ungemach, Kaufmann allda, 5. Jeanne Caroline Himly Rentnerin in Paris Wittwe des früheren Banquier Karl Staehling Sohn zu Straßburg nachher Rentner in Paris († St Jean les Tours 4. April 1894)
an der zu München bestehende Firma Aktienbrauerei zum Löwenbräu
Stadt Strassburg. Ein Anwesen Gewerbslauben N° 49, vorher rue des grandes Arcades 35, mit Ausfahrt auf dem Neukirchplatz wo es Nr. 7 trägt, bestehend aus Vorder- Seiten- Gebäuden, Hof, Keller, Brunnen und einem kleinen Gebäude auf den
Zur Hälfte des Wittwe Emmerich und Zur andern Hälfte, wovon Julius Ludwig Himly einen gewißen Nießbrauch hat, den vier anderen Genossen Himly zu gleichen Anteilen gehörig und zwar der Wittwe Emmerich laut Urkunde des Notars Pierron hier vom 29. September & 1. Oktober 1886. & den Consorten Himly vorgenannt zu 3 ad 6 für die andere Hälfte laut Theilung Hammann vom 30. Juli 1897 bestätigt. Dem Wittwer Ludwig Julius Himly steht auf Grund Schenkung im Ehevertrag des Notars Zimmer hier vom 17. September 1849, die Nutznießung der seinen Kindern gehörigen Anteile zur Hälfte zu
Genuß vom 30. September 1897 ab, Steuern vom 1. April 1897 – Preis 120.000 Mark
acp 931 (3 Q 30 646) f° 66 n° 3173 du 4.10.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.