16, Petite rue de la Grange
Petite rue de la Grange n° 16 – VI 419 (Blondel), N 783 puis section 61 parcelle 42 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Voltzenlogel, cloutier, vers 1782
La maison vers 1913, à droite du bâtiment à crépi blanc (AMS, cote 1 Fi 23 n° 10)
Même endroit en juin 2018, le n° 16 correspond aux premières travées du bâtiment du centre
La maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière appartient au début du XVII° siècle aux héritiers de Catherine Blum qui a épousé successivement deux meuniers du moulin Zorn. Le boulanger Mathias Hügler en rachète les parts et s’établit dans la maison qui revient à sa petite-fille Cléophée Hummel, épouse de l’aubergiste au Corbeau Ulric Goll. Jean Pierre Immendœrffer, apprêteur de tabac puis marchand de fruits et légumes (1702-1724) y établit sa boutique reprise par Jean François Laurhoss en 1724. La maison à rez-de-chaussée et trois étages est en partie masquée par la maison à l’angle de la rue au milieu de l’image du plan-refief (1727). La propriété est vendue en 1754 par adjudication judiciaire sur François Laurhoss, fils du précédent, au tanneur réformé de Westhoffen Jean David Büry. Le jeune cloutier Jean Voltzenlogel acquiert en 1783 la maison 500 livres (valeur qu’elle avait tout au long du siècle) et la revend 1 150 livres trois ans plus tard au cloutier Thiébaut Schatt. On peut donc en conclure que c’est lui qui a mis la façade au goût du jour comme le représente la photographie du début des années 1910 : porte d’entrée à encadrement mouluré, linteaux de fenêtre décorés à fausse clé plate et appuis galbés au premier étage. Les propriétaires suivants sont aussi cloutiers (Nicolas Bermann, Jacques Kuntz) jusqu’en 1835.
Plan-relief de 1725 (© Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 140
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la troisième à droite du repère (i) : porte d’entrée au milieu de la façade, deux fenêtres de chaque côté, cinq fenêtres au premier étage, trois au deuxième puis deux niveaux de lucarnes. La cour Q représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (2-3) vers le nord, la remise (3-4) au fond de la cour et le mur (4-1) de la propriété voisine au sud.
La maison porte d’abord le n° 2 (1784-1857) puis le n° 16.
Cour Q
Rez-de-chaussée en 1907 lors du projet de creuser une cave (dossier de la Police du Bâtiment)
Le contrôleur des droits de place Michel Jenner qui a acquis la maison en 1852 du tonnelier Jean Adam Kaltenbach reconstruit en partie la maison en 1856, ce qui en porte le revenu de 117 à 136 francs. La comparaison du dessin de 1830 et de la photographie de 1913 amène à conclure qu’il a transformé le deuxième étage à la manière du premier et aménagé les combles.
Le ferblantier Auguste Mæhn renonce en 1907 à son projet de faire creuser une cave. Le sous-sol est aménagé en abri anti-aérien en 1941. Les bombardements des 11 août et 25 septembre 1944 endommagent fortement la maison. La compagnie d’assurance Cité-Vie intègre en 1956 le n° 16 et le n° 18 dans un plus grand ensemble de bâtiments qu’elle reconstruit au titre des dommages de guerre. Le rez-de-chaussée est ensuite exploité en bar et en établissement de nuit.
juillet 2018
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1610 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
1600 | v | Jacques Sibenhorn, meunier au moulin dit Zornenmühl, et (1599) Catherine Blum veuve du meunier Jean Rab, (1610) Anne Antz, (1616) Agnès Carol et (1624) Marguerite Büttelbronn veuve de Paul Lutz – luthériens |
1644 | h | Mathias Hügel, boulanger, et (1624) Catherine Schædler – luthériens |
v 1670 | h | Thiébaut Hummel, boulanger, et (1656) Cléophée Hügel puis (1675) Anne Catherine Sattler remariée à Abraham Jundt – luthériens |
1685 | v | Jean Ulric Goll, et (1684) Cléophée Hummel – luthériens |
1688 | v | Jean Henri Stæbler, maître maçon, et (1667) Anne Marie Hartmann puis (1681) Salomé Wolfarth – luthériens |
1702 | v | Jean Pierre Immendœrffer, apprêteur de tabac et (1698) Marie Catherine Barth puis (1723) Marie Dorothée Erhard – luthériens |
1724 | v | Jean François Laurhoss, revendeur, et (v. 1690) Marguerite Schweitzer puis (1724) Anne Barbe Volck – luthériens |
1729 | h | François Laurhoss, cordonnier, et (1715) Marie Barbe Meyer puis (1721) Barbe Hoffmann – luthériens |
1754 | adj | Jean David Büry, tanneur à Westhoffen, et (1737) Marie Esther Heusch – réformés |
1766 | v | Jean Geoffroi Fichter, serrurier, et (1760) Marie Salomé Kæstler puis (1783) Anne Marie Schübler – luthériens |
1783 | adj | Jean Voltzenlogel, cloutier, et (1782) Eve Kalwinger – catholiques |
1786 | v | Thiébaut Schatt, cloutier, et (1779) Marie Madeleine Walther – luthériens |
1794 | v | Nicolas Bermann, cloutier, et (1791) Marie Salomé Eberstein |
1797 | h | Jacques Kuntz, cloutier, et (1797) Marie Salomé Eberstein, veuve de Nicolas Bermann, puis (1821) Marie Madeleine Ebel |
1835 | v | Jean Adam Kaltenbach, tonnelier, et (1822) Marie Madeleine Nonnenmann |
1843 | v | Jean Eckert, charpentier, et (1814) Marie Anne Roninger |
1852 | v | Michel Jenner, contrôleur des droits de place, et (1830) Marguerite Charpentier |
1857 | v | Marie Chartier et Françoise Jacqueline Chartier, marchandes de fruits |
1894* | v | Alphonse Gustave Sprandel et sa femme née Ulrich |
1904* | Ferdinand Auguste Mæhn, ferblantier, et Emilie Cabrolier | |
1949* | v | Félix Bloch, négociant, et Célestine Bloch |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1722, 325 livres et 1729, 600 livres en 1778
(1765, Liste Blondel) VI 419, Jean David Bury
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Fichter, 4 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 783, Kaltenbach, Jean Adam, marchand de vins – maison, sol – 0,9 are
Locations
1673, Valentin Hauswald, remueur de grains, et Esther Zoller
1846, Michel Platz, musicien
Description de la maison
- 1722 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, une boutique de revendeur, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière où se trouvent un petit poêle, des chambres pour le logement militaire, une cave voûtée, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
- 1729 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, poêle et chambre d’officier, boutique de revendeur, une cave voûtée, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Petite rue de la Grange
nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Kuntz
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 222 case 2
Kaltenbach, Jean Adam, place du vieux marché aux grains N° 5 à Strasbourg
Eckert Jean veuve Petite rue de la grange (1845)
Jenner Michel, place Kleber 22 (sub. 1854)
1858 Chartier Marie et Françoise Jacobée rue des orfèvres 22 à Strasbourg
N 783, maison, sol, petite rue de la grange 2
Contenance : 0,90
Revenu total : 117,47 (117 et 0,47)
Folio de provenance :
Folio de destination : Reconstr.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1856
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus :
N 783, maison
Revenu total : 136,47 (0,47 et 136)
Folio de provenance : N.lle C.on
Année d’entrée : 1856
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :
Augmentations – Jenner Michel f° 222, N 783, Maison, revenu 136, Reconstruction, imposable en 1856, imposée en 1856
Diminutions – Jenner Michel f° 222, N 783, Maison, revenu 117, Reconstruction, en 1856
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 950 case 1
Chartier Marie et Françoise Jacobée rue du chaudron 8
1894/95 Sprandel Alphons Gustav Wwe geb. Ulrich
1904 Maehn Ferdinand August Klempnermeister u. Ehefr. Emilie geb. Calrolier in Gg.
N 783, maison, sol, petite rue de la grange 16
Contenance : 0,90
Revenu total : 136,47 (0,47 et 136)
Folio de provenance : (222)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 32 p. 423 case 2
Parcelle, section 61, n° 42 – autrefois N 783
Canton : Kleine Stadelgasse Hs. N° 16
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,01
Revenu : 1100 – 1500
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1913), compte 2867
Maehn Ferd. Aug. u. Ehefr.
gelöscht 1913
(Propriétaire à partir de l’exercice 1913), compte 2866
Maehn Ferd. Aug.
Maehn Ferdinand August u. Ehefr. geb. Cabrolier
1933 Maehn Ferdinand Auguste sa veuve et descendants
clos 1949
(Propriétaire à partir de l’exercice 1933), compte 5480
Bloch Felix négociant sa veuve Célestine née Bloch sans profession
(870)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 100 Petite Rue de Stadel (p. 168)
2
Pr. Schatt, Thiebault, cloutier – Maréchaux
loc. Bertrand, Louis, Mtre d’armes – privilégie
loc. Hertmann, Sgt. recruteur
loc. Klein, Henri, tailleur
loc. Krumpt, Georges, Cartier – Manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Kleine Stadelgasse (Seite 169)
(Haus Nr.) 16
Gores, Schuhmacher. 1
Liedel, Oberkellner. 1
Moritz, Tagnerin. 2
Fischendorf, Maler. 3
Wildenthaler, Matratzenmacher. H 1
Stork, Spengler. H 2
Nikolas, Dientsm. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 802 W 129)
Rue de la Grange 16 (1887-1996)
La veuve Sprandel dont la maison constitue le seul revenu déclare en 1901 n’avoir pas les moyens de réaménager les cabinets d’aisance. Auguste Mæhn a l’intention de creuser une cave en 1907 puis renonce à faire faire les travaux. L’entreprise de construction Frères Steinbach aménage en 1941 un abri anti-aérien. Les bombardements des 11 août et 25 septembre 1944 endommagent fortement la maison.
La maison abrite le commerce du tailleur et fripier Netter, (1887, 1896), du cordonnier Charles Gores (1900) et du libraire Félix Bloch (1912, 1929, 1938, 1956) ainsi que la Gravure industrielle André Masse (1932). On trouve ensuite Marcel Schœnferber (Radio Génie, 1947) et l’entreprise Benino et Compagnie (Cartonnages Kleber, 1950, 1955).
La compagnie d’assurance Cité-Vie intègre en 1956 le n° 16 et le n° 18 dans un plus grand ensemble de bâtiments qu’elle reconstruit au titre des dommages de guerre.
La brasserie Charles Kleinknecht (Bières Perle) exploite à partir de 1956 le snack-bar le Carillon, géré par Robert Mengus (1975) puis Lucienne Coletta (1977). Le bar le Carillon devient alors le Club Sandra (1977) tenu à partir de 1979 par Michèle Lechat qui est autorisée à ouvrir son établissement de nuit. Yvonne Mengus reprend en 1986 le Club Sandra qu’elle rebaptise Carillon Club, cédé en 1983 à Jeannine Hemmerlé puis en 1996 à Charles Lux.
Le magasin à gauche du passage (ancien n° 18) est occupé par les Tapis Kleber (1963) puis par le Pressing Kleber (1963) et à partir de 1977 par la société Dinali (Diffusion nationale du livre neuf à prix réduits).
Sommaire
- 1887 – Courrier du commissaire de police – Jacques Netter demande l’autorisation d’accrocher des vêtements sur la façade – Le maire répond que les vêtements doivent se trouver à au moins 2,10 mètres du trottoir – Les vêtements sont accrochés, les droits payés
- 1895 – Le maire notifie la veuve Sprandel née Ulrich (demeurant 65, rue des Grandes Arcades) de faire ravaler la façade. – La façade est repeinte à l’huile, décembre 1895
- 1896 – Le tailleur Netter demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (libellé, fripier Netter) au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – La Police du Bâtiment demande au bénéficiaire de rehausser l’enseigne de 2,20 aux 3 mètres réglementaires – L’enseigne est déplacée à 2,85 mètres en août 1896 – Nouveau courrier. L’enseigne est à la hauteur réglementaire, septembre 1896.
- 1895 – Le maire notifie le sieur Sprandel de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés décembre 1896
- 1900 – Charles Gores demande l’autorisation de poser une petite enseigne (libellée Charles Gores, cordonnier) au commissaire de police – Autorisation – L’enseigne est posée, mars 1900
- 1902 – Les entrepreneurs Greiner et Peter (8, boulevard de la Tour Blanche) demandent l’autorisation d’aménager un troisième cabinet d’aisance dans la propriété de la veuve Sprandel – Autorisation – Dessin – Travaux terminés, septembre
- 1907 (mars) – Le peintre J. Arnheiter (11, rue du Finckwiller) demande l’autorisation de poser une échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés, mai
1907 (février) – Les entrepreneurs Greiner et Peter (8, boulevard de la Tour Blanche) demandent au nom d’A. Mæhn l’autorisation de creuser une cave et d’ouvrir un soupirail au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation – Dessins (plans du rez-de-chaussée et du sous-sol) – A. Maehn renonce à faire faire les travaux qu’il trouve trop chers mais est tenu de payer les droits liés à l’autorisation – Dossier classé, juin 1907 - 1906 – Le maire notifie Auguste Mæhn (demeurant 5, petite rue du Vieux-Marché-aux-Poissons) de faire ravaler la façade. – Il demande un an de délai. Travaux terminés, juillet 1907.
- 1912 – Le maire notifie le libraire Félix Bloch de demander une autorisation pour l’enseigne déjà posée. – Demande – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire
- 1926 – P. Gruckert (1, rue du Parchemin) demande l’autorisation d’occuper la voie publique
- Commission contre les logements insalubres – 1900. Propriétaire, veuve Sprandel, rentière, demeurant au deuxième étage du 65, rue des Grandes Arcades – La maison habitée par 9 ménages comprend deux cabinets d’aisance. Trappe au rez-de-chaussée. Murs sales dans la cage d’escalier et dans la cour. – Le maire demande au propriétaire de faire faire les travaux
1901 – Comme les canalisations sont posées, le propriétaire pourra aménager un troisième cabinet d’aisance.
1901 (septembre) – La veuve Sprandel dont la maison constitue le seul revenu déclare n’avoir pas les moyens de réaménager les cabinets d’aisance. – Rapport sur les revenus de la veuve Sprandel qui habite désormais à Schiltigheim. Les loyers lui rapportent 1160 marks par an – Le maire accorde un délai
1906. propriétaire, Mæhn. La maison est raccordée aux canalisations sauf les cabinets d’aisance – Tous les travaux sont terminés, avril 1907
1909. Rien à signaler
1912. Remarques en trois points. Travaux terminés, juin 1913
Commission des logements militaires, 1915, remarques en quatre points. Nouvelle inspection la même année, remarques en quatre points – Travaux terminés, juillet 1916 - 1929 – La Police du Bâtiment constate que la veuve Mæhn fait faire des travaux sans autorisation à la façade. Les travaux sont presque terminés, il reste à poser la devanture – Le maire demande d’engager des poursuites à l’encontre du propriétaire qui n’a toujours pas déposé de demande pour être autorisé à faire les travaux – La propriétaire en séjour à Nice chez ses enfants renvoie la Police du Bâtiment à son locataire la veuve Bloch
1929 (juin) – Le serrurier Samuel Levy (3, rue des Charpentiers) demande au nom de la veuve Félix Bloch, libraire, l’autorisation de poser des volets mobiles – Dessin – Autorisation - 1932 – La Police du Bâtiment constate que M. Sauer a posé sans autorisation une antenne de TSF – Le sieur Sauer demande l’autorisation de poser une antenne entre le n° 1 et le n° 16 petite rue de la Grange – Plan – Autorisation
1939 – L’antenne est démontée - 1932 – Le serrurier Samuel Levy demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire, André Masse, La Gravure industrielle – Autorisation
- 1933 – Le maire notifie la veuve Bloch de faire ravaler la façade – Les travaux ne sont toujours pas faits, août 1936, avril 1938 – Travaux terminés, décembre 1938
L’entrepreneur en crépissage Schizza (15, rue de Metzeral au Neudorf) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur le trottoir – Le maire transmet la demande au commissaire de police – Autorisation - 1938 – La veuve Bloch demande de faire faire l’inscription Librairie israélite sur son volet roulant – Autorisation
- 1941 – L’entreprise de construction Frères Steinbach (à la Montagne Verte) est autorisée à occuper la voie publique pour aménager un abri anti-aérien
- 1945. Certificats de sinistré suite aux bombardements des 11 août et 25 septembre 1944 qui endommagent fortement la maison : Mathilde Chèvre (2° étage), Marcel Sanner
- 1947 – Marcel Schœnferber (magasin Radio Génie) demande l’autorisation de poser une enseigne diurne (libellé Radio) – Maquette – Autorisation – L’enseigne est en place
- 1950 – L’entreprise Benino et Compagnie demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (libellé Cartonnages Kleber) et une inscription sur le volet roulant – Autorisation
L’enseigne simple est remplacée par une enseigne lumineuse, novembre 1950 – L’enseigne est posée, février 1951
1953 – Demande de remplacer l’enseigne par un caisson lumineux – Maquette- Autorisation
1955 – Les Cartonnages Kleber demandent l’autorisation de poser une enseigne provisoire pendant la reconstruction des bâtiments 16 et 18 rue de la Grange dans la plus vaste propriété de la société Cité-Vie – L’enseigne provisoire est retirée, février 1956 - 1956 (avril) – La Police du Bâtiment constate que la librairie Félix Bloch a posé sans autorisation une inscription sur la devanture du 12, rue de la Grange
1956 (mai) – La veuve Bloch (Librairie Félix Bloch) qui quitte le 12, rue de la Grange pour s’installer définitivement au n° 16 demande l’autorisation de poser l’inscription Maison Félix Bloch Librairie sur sa devanture – Autorisation - 1956 (juin) – La société Cité Vie est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique au titre des dommages de guerre
- 1956 – La brasserie Charles Kleinknecht (Bières CK Perle, à Schiltigheim) demande l’autorisation de poser une enseigne au snack-bar le Carillon – Maquette (Bières Perle) – Autorisation de poser une enseigne au néon en lettres détachées
1957 – Henry Weil demande une enquête de conformité sur le débit de boissons Au Carillon. Les locaux comprennent une salle de dégustation, une cuisine, des cabinets d’aisance. La porte d’entrée s’ouvre vers l’intérieur et non vers l’extérieur, la Police du Bâtiment est cependant d’avis d’accorder une dérogation eu égard à la disposition des locaux – Le préfet autorise Henry Weil à exploite le débit de boissons suivant le bail passé en octobre 1957 avec la Brasserie Perle mais il devra transformer la porte
Plan du local. Les transformations ne sont toujours pas faites à la fin du délai en juin. Le maire accorde un nouveau délai de trois mois. Une visite des lieux en septembre constate qu’il faudrait aménager un tambour, ce qui réduirait considérablement la surface déjà très faible du local, il serait donc souhaitable d‘aménager une deuxième sortie dans le passage. La Brasserie Perle répond en février 1959 en déclarant que le préfet a accordé dérogation en octobre 1958 et que la compagnie d’assurances Cité-Vie s’oppose à toute transformation (porte coulissante vers la rue, porte supplémentaire vers le passage privé) – Le dossier est provisoirement classé - 1963 – Les Tapis Kleber demandent l’autorisation de poser une enseigne plate – Maquette – Autorisation
- 1963 – Henri Thomann, président de la société anonyme Pressing Kleber a l’intention d’ouvrir un local (36 m²) de nettoyage à sec – Plan – Le préfet délivre un récépissé de déclaration concernant un établissement de troisième classe (atelier de dégraissage de vêtements au perchloréthylène)
- 1975 – L’Alsacienne de Brasserie demande l’autorisation de poser trois caissons lumineux au restaurant Au Carillon – Maquette (Mützig bière d’Alsace, Bar Le Carillon) – Autorisation – les enseignes sont posées, janvier 1976
- 1975 – Le préfet demande au maire un rapport sur le débit de boissons Le Carillon que Robert Mengus, domicilié à Vendenheim, sollicite d’exploiter. Les locaux comprennent une salle de restaurant (30 m²), des toilettes et une réserve. – Le préfet autorise en décembre 1975 Robert Mengus à exploiter le débit Le Carillon à condition de faire poser un garde-corps autour de l’ouverture menant au sous-sol – Travaux terminés, février 1976
- 1976 – Même demande au profit de Lucienne Coletta, demeurant à Rosheim – Le préfet autorise en janvier 1977 Lucienne Coletta à exploiter le débit Le Carillon
- 1977 – La société Dinali (Diffusion nationale du livre neuf à prix réduits, 26, rue de la Mésange et 8, rue du Maire Kuss) informe la Police du Bâtiment qu’elle ouvre un nouveau magasin 16 rue de la Grange
1977 (juillet) – La même demande l’autorisation de poser une enseigne en plexiglas vert – Maquette, photographie – Autorisation - 1977 (août) – L’Alsacienne de Brasserie demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (libellé Club Sandra) – Maquette (société Fluorest), photographie – La Police du Bâtiment émet un avis défavorable
1977 (septembre) – Lucienne Coletta (bar Le Carillon) présente un deuxième projet – Maquette – La Police du Bâtiment émet un avis favorable – Autorisation
1977 (novembre) – Changement de débiteur, le bar le Carillon devient le Club Sandra - 1979 – Le préfet demande au maire un rapport sur le débit de boissons Le Carillon que Michèle Lechat, demeurant à Griesheim-sur-Souffel, sollicite d’exploiter. Le préfet autorise en novembre 1979 Michèle Lechat née Cagliero à exploiter le débit Le Carillon
1980 – Le maire émet un avis favorable à la demande de Michèle Lechat d’exploiter le débit de boissons Club Sandra, anciennement Le Carillon
1980 (octobre) – Michèle Lechat demande l’autorisation de fermer tardivement son établissement dont les clients fidèles comprennent des membres du parlement et des journalistes – Le préfet accorde en avril 1980 pour six mois l’autorisation d’ouverture jusqu’à trois heures – Prorogation à titre permanent en octobre
1983 – Nouvelle demande d’exploitation par la même Michèle Lechat - 1980 – La Police du Bâtiment constate que la librairie Dinali a posé une enseigne plate sans autorisation – Le gérant Serge Clausen répond en déclarant que le panneau qui informait de l’ouverture du premier étage a été retiré
- 1983 – Le préfet demande au maire un rapport sur le débit de boissons Club Sandra, que Jeannine Hemmerlé née Weibel demeurant place d’Austerlitz sollicite d’exploiter. Le préfet accorde l’autorisation puis celle d’une ouverture jusqu’à trois heures pendant six mois – Proorogation, avril 1984
- 1985 – Le préfet demande au maire un rapport sur le débit de boissons Club Sandra, qu’Yvonne Mengus née Fischer demeurant à Vendenheim sollicite d’exploiter en le laissant ouvert jusqu’à trois heures – La Commission de sécurité remet son rapport – Le préfet accorde l’autorisation – L’autorisation d’ouverture tardive est prorogée en septembre 1986 – La Commission de sécurité remet son rapport en octobre 1986, le préfet accorde l’autorisation d’ouverture tardive à la même Yvonne Mengus sous la raison Carillon Club. Le préfet proroge l’autorisation en décembre 1986
1987 – Avis de changement de débiteur : le Club Sandra devient le Club Carillon - 1986 (novembre) – L’Alsacienne de Brasserie demande l’autorisation de poser des enseignes Loterie nationale, Centre de paiement, Loto – Maquette, photographie – La Police du Bâtiment et l’architecte des Bâtiments de France émettent un avis défavorable pour les enseignes à l’étage – Maquette – Avis favorable sous réserve de supprimer l’enseigne à l’étage – Autorisation accordée en janvier 1987 – Les enseignes sont posées
- 1995 – Yvonne Mengus née Fischer sollicite une autorisation d’ouverture jusqu’à quatre heures – La Commission de sécurité remet son rapport – Le préfet accorde l’autorisation le 30 janvier 1996
- 1996 – Le préfet demande au maire un rapport sur le débit de boissons Carillon Club, que Charles Lux demeurant à Hœnheim souhaite exploiter. Le préfet accorde l’autorisation, août 1996
Relevé d’actes
Les tenants et aboutissants indiquent que la maison appartient au début du XVII° siècle aux héritiers de Catherine Blum.
Fille de meunier, Catherine Blum épouse en 1581 Jean Rab originaire d’Ansbach puis en 1599 Jacques Siebenhorn, tous deux meuniers. Jacques Siebenhorn se remarie en 1610 avec Anne Antz, fille de notaire, en 1616 avec Agnès Carol, fille de pasteur enfin en 1624 avec Marguerite Büttelbronn, veuve de Paul Lutz de Heilbronn. Plusieurs inventaires de Jacques Siebenhorn sont conservés, ils seront présentés dans la notice d’une maison qui lui appartient en propre.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 285, n° 585)
1581. Hans Rab von Anspach der Müller & Catharina Blümen, Wilhelm Bluemen des Müellers nachgelaßene dochter. Dominica 2.da post Epiphaniam Domini (i 290)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 115-v, n° 332)
1599. 11. Decembr. Jacob Sibenhorn d. Müller Vndt Catharina, hannß rabern des Müllers Nachgelaßene Wittib. Eingesegnet 4. Decembris (i 118)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 294, n° 838)
1610. Jacob Sibenhorn d. Müller vndt Anna, Geörg Antzen des gewesenen Stattschreÿbers alhie Nachgelaßene tochter, Eingesegnet Zinntag den 12. Junÿ. (i 302)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 384, n° 1184)
1616. Dominica 12. Trinitatis. Jacob Sibenhorn der Müller Und Jungfrau Agnes, Herrn Johannis Caroli, Pfarrers Zu St: Wilhelm eheliche Tochter. Eadem die (i 396)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1)
1624. Dominica sexagesima den 1. Febr. H. Jacob Siebenhorn Alter großer Rathsverwanter alhier vnd Fr. Margreth h. Paulus Lutzen burgers Zu Heilbrun nachgelaßene wittib, Eingesegnet montag den 16. Febr. (i 3)
Guillaume Schædler (l’un des héritiers de Catherine Blum, voir plus loin) vend en 1623 au boucher Jacques Mille la part d’héritage provenant de Catherine Blum et dont le mari Jacques Siebenhorn a la jouissance
1623 (ut spâ [vij. Novembris]), Chambre des Contrats, vol. 450 f° 821-v
(Inchoat. in Prot. fol. 409.) Erschienen Wilhelm Schädler der Metziger burger Zue Straßburg (verkaufft)
Jacob Mille dem Metzier burger Zu Straßburg, So auch Zugegen
Seinen gebürenden Antheill Ane Weÿlandt Catharina Blumin seiner Baaßen s: Verlaßenschafft, So h. Jacob Sübenhorn der Müller vff der Blumenmühlen Ihr haußwürth ad dies vitæ Zu nÿssen – umb iiij. C. lb
L’inventaire dressé en 1637 des biens de Jacques Siebenhorn comprend en annexe un accord passé entre les héritiers de Catherine Blum et les deux filles de Jacques Siebenhorn. Jacques Kügler a dressé en 1610 l’inventaire des biens de Catherine Blum dont Jacques Siebenhorn avait la jouissance. La liquidation donne lieu à un procès entre les héritiers de Catherine Blum (le conseiller Marc Schedler, les boulangers Nicolas Guthmann et Mathias Hügel, l’huilier Samuel von Thour, le maréchal ferrant Ulric Koch et le tonnelier Guillaume Saur) et les filles héritières du meunier Jacques Siebenhorn au sujet de l’accord conclu le 30 décembre 1624. Les parties s’accordent le 11 décembre 1637. La maison Petite rue de la Grange revient aux héritiers Blum auxquels sont remis plusieurs titres, notamment celui passé à la Chancellerie de la Ville le 24 juillet 1600.
1637 (11.12.), Not. Gündel (Jean Pierre, 20 Not 1) Joint du 29 sept. 1636
[Inventarium und beschreibung Aller Haab Nahrung vnd güetter, ligender und vahrender, verändert vnd unveränderter So weiland der Ehrenvest vornehmen und weiß herr Jacob Sübenhorn E. Ers. und weiß groß. Raths Zu Straßburg Altter Beÿsitzer nuhnmehr seliger]
Zuwißen demnach vff Tödliches hienscheiden weÿland der Ehren vndt Tugendsamen Frauwen Catharinæ Blumin seel.. auch weilandt deß Ehrenuesten fürsichtig vndt weÿßen herrn Jacob Sübenhorns Elttern Großen Raths verwanten nunmehr auch seeligen geweßenen Ersten haußfrauwen, deroselben verlaßenschafft den 26. Februarÿ 1610. durch herrn Jacobum Küglern Notarium ordentlichen Inuentirt Auch Zweÿ gleichlautende Inventaria darüber verfertiget vndt vffgericht worden, das Zwar in solchem Inventario fo: 121. fac: 2.a der abgeleibtem Frauwen seeligen Substantz 3712. lb 8 ß 5 d sich erstreckt Herr Jacob Siebenhorn aber solche ad dies vitæ Zue genießen gehabt, die Er auch außerhalb deß haußraths, Silber, Guldin Ring, Vÿhe, Frucht, Wein, Faß vndt Brenholtz, welches alles Er Alßo baldt mit den Erben getheilt, vndt sich der vbergebenen Posten halben mit denselben verglichen, inn handen behalten rühwiglich ingehabt genutzt vndt genoßen worden, Nach dem aber Ehrenbemelter herr Siebenhorn In Anno 1636. auch Zeitlichen Todts Verfahren vnndt darauff ob angeregter widemb vff obehrenbemelter Frauwen Catharinæ Blumin seel. hinderlaßener Erben Erblichen Erwachßen, solche auch mit den Sübenhornischen Erben wegen deßen lüfferung außweißung im streit dergestalt gerathen, daß die Sach beÿ einem Ersamen Großen Rath Rechthängig gemacht, daßelbsten auch durch richterlichen Spruch für Blumische widembs erben wieder die Sübenhornische wie die beÿlag sub Lit. A. Zuerkennen gibt erörtet worden, daß darauff Mitwoch den 20.ten Septembris 1637. persönlich zusammen kommen vndt erschienen, der Ehrwürdig vndt wohlgelehrt Herr Johann Christoph Caroll Pfarherrn Zum Alten S. Peter, mehr ehrengedachten H. Jacob Sübenhorns deß widembs nießers seeligen mit weÿland Frauwen Agnes Carolin auch seeligen ehelich erzeugte hinderlaßener beeder Döchter geschwornen Vogt, mit beÿstandt deß Edlen Ehrenuesten vndt hochgelehrten herren Paul Friderich beeder Rechten Doctoris vnd Eines Ersammen Kleinen Raths wohlbestellten Actuarÿ ahn einem:
Andern theils aber die Ehrenveste weiße Ehrenthaffte vndt fürgeachte Herr Marx Schedler Alten Großen Raths Verwanthen Clauß Guthman vndt Mathÿß Hiegell beede Weißbecken Samuel von Thur der Ohlmann Ulrich Koch der huffschmidt hanß Wilhelm Saur der Küeffer theils für sich selbsten, theils aber Ehe: vndt vogtlicher weiß als Blumische widembs Erben, mit beÿstandt deß Ehrenvesten fürsichtig vndt weißen herrn Johann Georg Marbachs E. E. Großen Raths ietzmahligen beÿsitzers vndt Johann Cunradt Fuchßen Notarÿ vnndt Vogteÿ gericht schreibers vnd sich vff angezogenen Widembs vndt deßelben außweißung halben durch vermittlung der auch Ehrenvesten Fürsichtigen vndt Weißen herrn Johann Heinrich Gambßen vndt herrn Johann Phillipp Schatzen, beeder auß wohlermelten Eines Ersmaen Großen Raths mitell hierzue Insonderheit verordneten Herren, Volgender maßen mit einander v.glichen haben
Zuuorderst aber haben beede Parthen Vnderschiedliche Ersuchungen solchen Wÿdembs, einander vberlüffert, Es ist Aber gemelten 26.t Septembris 1637. beÿ Volgender letzten Calculation verpliben.
Erstlichen den drittentheil ane der loßung vnd Erblehnungs gerechtigkeit ahne der Zornen Mühlen à fol. 42. biß ad fol. 45. Blumischen Inventarÿ belangend vermeinen Sübenhornischen Erben dießer dritetheil seÿ in dem den 30. 10.bris 1624. getroffenen außkauff begriffen, deßen aber Blumische nicht gestendig dahero Sie ihnen solchen dritentheil, so wohl gütlich als rechtlich Zuesuchen hiemit besterform reseruirt vndt vorbehalten.
Zum Andern haben Blumische behaußung Zum Christophel oder den Kauffschilling darfür zuerfordern, welcher in Catharinæ Blumin seeligen Inventario fo: 26. sich belaufft 648. lb d darauff stehen noch so verzinßt worden, die widembs Erben auch hiemit Acception 150. lb, vndt hat herr Sübenhorn seeligen in Anno 1626. der Samblung Zum thurn vff die bezalte Goldgulden 100. lb Nachgetragen haben also Blumische noch rüchtig wegen dießer Behaußung zuerfordern 398. lb
Vndt dann so hat frauw Catharina Blumin seelig ane ihr also zugebrachten nahrung Ihro für unverändertert vorbehalten wie in derßelben Inventario fol: 3. fac: 2.a Zusehen 2250. lb
Summa So Blumischen Erben Vermög Inventarÿ für unverändert gehörig Ist vnd thutt 2645. lb
Hierauff nemen Blumischen Erben ahne Zahlung volgendte Posten so noch in specie sein sollen (…) 2129 lb, Rest vorbehaldts Blumische gehörig 1419. lib. 11. ß 8 d.
Hierzu Kompt noch von der Theilbahren Substantz. Erstlichen die Theilbahre häußer vnd Matten in Blumischen Inventario fol: 71. 72. et 73. berührend seind die beede heüßern in der Obern Straßen, vndt in der Kleinen Stadelgaß wie auch das zweÿtell Matten inm Obern Wünckel Zwüschen den Sübenhornischen vndt den widembs Erben verloßt, vndt vnder demselben die behaußung in der kleinen Stadelgaßen den widembs erben Zuegefallen geben daran Sübenhornischen Erben herauß, so die Zuuiel haben benantlichen 31. lb.
So hernach beÿ der anweißung denselben ane Zahlung gegeben worden
Ane der behaußung im Finckweiller aber so für 157. lb 10 ß d verkaufft gebürth den widembs Erben für die tertz 82. lb 10 ß d
Ahne dem Pfenning Zinß haupt güettern (…) 360 lb (…)
Summa waß den Blumischen Erben ahne der Theÿlbahren Substantz gehörig Ist 1309. lb. Darzu nuhn auch Zurechnen deroselben unverändert Vorbehalten guth thutt hieuor fol: 4. Benantlichen 1419. lb. Ist demnach der widembs Erben gantze Sunstantz vber die In specie Auß: vnd angewießene Posten zuesammen 2728. lb
Daruon Aber Abzuziehen So die Blumischen Erben Sollen (…) 675 lb (…)
Liquidirter Rest so Blumischen gehörig 2286. lib. (…)
Richtige Außweißung der Blumischen Wÿdems Erben 2286 lb (…)
Hierauff würdt beschrieben welcjergestalt die Blumischen widembs Erben der Briefflichen documenten vnndt anderer Posten halben gelüffert worden, beschehen den 11. Decembris 1637. (…)
das hauß In der Obern Straßen ane der Schilts gaßen so den Sübenhornischen Zugeloßt
Vber die Behaußung in der Kleinen Stadelgaßen so den widembs Erben zugefallen seind vorhanden zween brieff mit der Statt Straßburg Contract Insiegell verwahrt datirt den 24.ten Julÿ 1600. vndt ein alter Pergamenin Kauffbrieff sampt einem Vortrag, alles signirt mit N° 54. 18. et 13. so die Blumischen erben Empfangen
Daß hauß im Finckweiller ist den Sübenhornischen Zugefallen vndt in die Abtheilung mit den Blumischen verglichen. (…)
Montags den Eilfften Decembris Zwischen vier und fünff Uhren Nachmittag im jahr Alß man Zahlte nach Christi vnßers Erloßers vnndt Seeligmachers Geburth 1637. Johann Conradt Fuchs Sacra Imperiali autoritate Nots. Publicus Juratus ac Ciuis Argentinensis attestatur et in fidem præmissorum manù propria sic subscrip.
Le conseiller Marc Schedler pour deux 9°, le boulanger Nicolas Guthmann, Samuel von Thour au nom de sa femme Ursule Gutmann, Guillaume Saur au nom de sa femme Catherine Edelmann ensemble pour quatre 9°, le maréchal ferrant municipal Guillaume Saur au nom des enfants de Philippe Schætzel (Marc et Ursule épouse d’Euchaire Günther) et de la fille d’Onuphre Huck vendent 7/9 de la maison à leur cohéritier le boulanger Mathias Hügel dont la femme en possède déjà deux 9°, le dernier 9° appartenant à Augustin Güntzer
1644 (20. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 520-v
Erschienen H Marx Schedler alter groß Rhats Verwanther für Zwen neünte theil, Clauß Gutmann der Weißbeck für sich selbst, Samuel von Thour alß Ehevogt Ursulæ Gutmännin, und hannß Wilhelm Saur alß Ehevogt Catharinæ Edelmännin, diße treÿ, Zu Vier neünten theilen, Ulrich Koch der Statt schmid. alß Vogt Marxen, Weÿl. Philipß Schätzelß deß hueffschmidts seel: Sohns, und alß Befelchhabers Eucharÿ Günthers deß Weißbeckh. alß Ehevogts Ursulæ Schätzlerin sein Marxen Schwester und Annæ Weÿl. Onofrÿ Huckhen deß huffschmidts seel. dochter, diße treÿ zu einem neunt. theil,
haben in gegensein Mathiß Hügelß deß weißbeckhen
gemeldte Siben Neuente theil von und ahne hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen, alhie in der Kleinen Stadel gaß., neben hannß Peter Breitlern dem Kachlern ein: und anderseit hannß Georg Reuffer deß Kachlers wittib, hind. vff H Balthasar Wildermör groß. Rhats Verwanthen stoßend gelegen, für ledig und eig. Vnd seind die übrige 2/9. theil deß Käufflers ehelich. haußfrawen und Augustin Güntzern gehörig – umb 194. Guld.
Fils du jardinier Thiébaut Hügel, le boulanger Matthias Hügel épouse en 1624 Catherine, fille du boucher Marc Schædler : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrsamen vndt bescheidenen Mattheiß Hügel dem Becken, weÿl. Dieboldt Hügels geweßenen Garttners vndt Burgers Alhie Zu Straßburg nachgelaßenen Sohn, alß dem Bräuttigam an einem, So dann der Ehren: Vndt Züchtigen Jungfrawen Catharina weÿl. Marx Schädlers geweßenen Metzgers auch Burgers alhie in ermeltem Straßburg seel. hinderlaßenen dochter alß der hochzeiterin andern theils (in beÿsein) Herrn Georg Stöffelen Weißbecken vndt Gall Hügeln, garttners vff sein deß Bräutigambs, So dann vff der Jungfr. Hochzeiterin seithen Dominicus Heÿl vndt Marx Schädler beede Metzger, Heinrich Schädler, Müllers vndt herrn Pauli Roßenbrechers Notarÿ alle beede Jungen angehender Ehegemächten günstiger Herren Vögt, brüder, Schwägern, Gutter freündt vndt verwanthen – Beschehen vndt verhandelt inn dießer deß heÿligen Reichs freÿer Statt Straßburg vff der Pfaltzen inn der Allmendtstuben, Sambstags so da war der 24. Monaths tag Januarÿ alß man Zahlte nach vnsers einigen Herrn Erlösers vndt Seligmachers Jesu Christi geburth 1624. Urbanus Kißell Notarius
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 57)
1624. den 23. Febru. Ist nach ordentlicher ausruffung beÿ uns eingesegnet worden Mathes Hügel der weißbeck thiebold Hügel des gewesenen gartners S. hinderlaßener Sohn, Vnndt J. Catharina, Marx Schädlers des gewesenen Metzgers S. hinderlaßene eheliche tochter (i 29)
Mathias Hügel et sa femme passent un testament par lequel ils se lèguent mutuellement l’usufruit de leurs biens et font un legs à leur fils Mathias
1653 (16. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 514 n° 483
Erschienen H Mathiß Hügel der weißbeckh und Burg. alhie, und Catharina sein eheliche haußfraw, Jedes, durch Gottes miltreiche Güte noch vffgerichtet. stehend. und gehend. leibß auch völlig. Verstandts richtig. Sinn und vernünfftig. Rede, die constituirt. einander hiemit apud Protocollum publicum den widumnieß aller ihrer Künfftig. Verlassenschafft, also und dergestalt, daß, wann der Allgewaltige Gott über Kurtz od. lang Sie beÿde Eheleuthe, durch den Zeitlich. tod, von einand. trennen würde, alß dann daß letztlebende all des Zu erst versterbenden Verlaßenschafft, nichts davon alß der Kind. natürlich. Pflichttheil, und nachgeschrieb. prælegat außgenohmen, sein leben lang widums weiß Zu genieß. haben solle, fürs Eine
Zum Andern, so prælegirt Jedes ehegemächt absonderlich auß seiner eigenen nahrung, ihren mit einand. ehelich erziehltem sohn hannß Mathiß 24 Pfund pfenning (…)
Trittens, wann sich ihr d. beÿd. Eheleuth Kind. eines od. mehr beÿ d. Eltern leben verheurath. und von denenselb. einige Ehesteur empfang. würde, (…)
Augustin Güntzer cède un 9° indivis de la maison à Mathias Hügel (il devient ainsi seul propriétaire de la maison)
1660 (16. april), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 426
Erschienen Herr Augustin Güntzer
in gegensein Matthiß hügelß deß Weißbeckhen
Einen Neunten theil, ihme für ohnvertheilt gebührend, daran die übrige theil ihme dem Käuffern Vorhien Zuständig seindt, ahne hauß, hoffstatt, höfflin und allen übrigen deren Gebäwen & alhie in der Kleinen Stadelgaßen, einseit neben hannß Peter Breitlern dem Kachlern ein: und anderseit neben weÿl. hannß Georg Rueffen deß Kachlers s: wittib und Erben, hinden uff weÿl. H. Balthasar Wildermärs geweßenen Großen Rhats Verwanthens seel. Erben, stoßend gelegen – umb 11 Pfund
Matthias Hügel meurt en septembre 1663 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison Grand rue. La masse propre à la veuve est de 606 livres. celle propre aux héritiers de 683 livres. L’actif de la communauté s’élève à 998 livres, le passif à 1 238 livres.
1663 (9. 9.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 32) n° 27
Inventarium und Beschreibung aller Haab vndt Nahrung, so weÿland der Ehrenhafft vndt Achtbahre Mathÿs Hügel, Weÿßbeckh vndt Burger alhie, nunmehr seel., welcher Mittwochs den 9.ten 7.bris Jüngsthin, Göttlichem willen nach Zeitlichen todts verblichen, nach seinem aus dießer welt tödlichen hinscheÿden hinder Ihme verlaßen, welche auch die Ehren vndt tugendsame frauw Catharinam Schädlerin, sein hinderpliebene wittib, mitt hülff vndt beÿstandt deß Ehrenhafften vndt vorgeachten Achtbahren herrn Michael Braunen, auch Weÿßbecken vndt Burgers alhier, Ihres geschwornen vogts, auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren der ehren vndt tugendsamem fraw Annæ Christinæ Hügellin deß Ehrenhafften Hrrn Nicolai Allheÿligs Pasetenbecken vndt Burgers alhier hfrauen mit beÿstand deßelben wie auch der Ehren vndt tugendsammen frawen Cleopheen deß Ehrenhafften Theobaldt Hummels ebenmäßig weÿßbecken vndt Burgers alhier hfraw, auch mit beÿstandt deßelben Ihres haußwürths vndt dann deß auch Ehrenhafft vndt Achtbahren H Johann Jacob Kreüttels Paßmentmachers vndt Burgers alhie als hannß Matheÿßen Hügels, geschwornen vogts, aller dreÿer geschwüsterdt vndt deß ietz abgeleibten seel. mit oberwendter seiner hind. pliebenen Wittwen ehelich erzeugter Kind. vndt ab intestato hind. laßene nechster Erben (…) So beschehen auff Montag den 9.ten 9.bris A° 1663.
Eheberedungs Copeÿ (…) 1624. Urbanus Kißell Notarius
Inn einer alhie in der Statt Straßburg in d. Straßen, gegen d. Schmidt Zunddtstuben über gelegener weÿßbecken behaußung, so auch in dieße Verlaßenschafft gehörig, vndt hernach beschrieben, ist befund. worden, wie volgt.
Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der hindern Stuben, Auff dem Gang, Inn der Obern vordern Stubkammer, Inn der obern Vordern Stuben, Inn d. obern küchen, Im Obern Haußöhren, Inn der Wohnstuben, Inn der undern Küchen, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer vordern vndt hindern behaußung (Th.) Item Ein Vorder vndt hind.hauß ane d. Obern Straaßen (…)
Ergäntzung der Erben Wittwen unveränderten Guths. Auß einem durch weÿl. Absolon Simon dem Notm. seel. verfertigtem Theil regiserlein, waß die Wittib von weÿl. frau Catharina Blumin, Ihrer Baaßen seel. ane haußrath vndt wahren. haabe A° 1611. vor 1/9.ten theil ererbt
Item wie in dem über weÿl. H. Jacob Siebenhorns, E. Ehrs. Großen Raths alhier Alten Beÿsitzers seel. Verlaßenschafft A° 1637. durch weÿl. H. Joh: Peter Güntheln den Notm. seel. auffgerichtetem Theilbuch Zubefind. hatt die wittib von weÿl. fraun. Catharina Blumin Ihrer Mutter seel. Schwester vndt sein H. Sibenhorns Erster hfr. seel. Zi einem achtentheil ererbt
Der Wittwen unveränderte Nahrung, Sa. Silbers 5, Sa. Guldinen Eing 2, Sa. Ergäntzung 598, Summa summarum 606 Lib.
Der Erben unverändert Gueth, Sa. Silbergeschmeids. 3. Sa. Pfenningzinß hauptgüter 45, Sa. Ergäntzung 634, Summa summarum 683 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffend, Sa. Haußraths 127, Sa. Weiins vnd leerer Vaß 11, Sa. Werckzeugs, Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig 26, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 63, Sa. Guldinen Ring 9, Sa. Baarschafft 257, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 500, Sa. Schulden 2, Summa summarum 998 lb – Schulden 1238, Übertreffen also die theilbahre Schulden die theilbahre Verlaßenschafft vmb 239. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1050 lb
La maison revient à sa fille Cléophée Hügel qui épouse en 1656 le boulanger Thiébaut Hummel, originaire de Biblenheim : contrat de mariage, célébration
1656 (19. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 472-v
(Prot. fol. 119. – Eheberedung) Erschienen Diebolt Hummel der Weißbeckh und Burger Zu Straßburg alß hochzeiterin an einem,
So dann Jungfr. Cleophe Hügelin alß hochzeiterin, mit beÿstand H Mathiß Hügels deß Weißbeckh. Burgers alhie, ihres eheleiblich. Vatters am andern theil
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 28-v)
1656. Dn. XVI. Trinit. 21. Septembris. Theobald Hummel der Weißbeck, Weiland Martin Hummels W[-] Zu Biblenheim hinderlaßener Ehelicher Sohn und J. Cleophe H. Mathiæ Hügels des Weißbecken vnd burgers alhie Eheliche Tochter. Copulirt d. 30. Septembris Zu St. Thomæ (i 32)
Thiébaut Hummel devient bourgeois quelques jours après son mariage
1656, 4° Livre de bourgeoisie p. 308
Dieboldt Hummel d. Weißbeck v. Biblenheim hat d. Burgerrecht empfangen v. seiner Haußfrawen Cleophe Mathis Hügels des weißbecken Tochter, Vmb 8. Golt fl. welche er beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Ledigen standts gewesen, vnd will Zu E. Z. Zunfft d. Becken dienen, Jurav: 9. 8.bris a° 1656.
Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Esther Zoller femme du remueur de grains Valentin Hauswald
1673 (8. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 43) n° 19
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsahme fraw Esther Zollerin, deß Ehrsamen Veltin Haußwaldts, Kornwerffers Undt Burgers alhie Haußfraw seel. welche Donnerstags den 28. Augusti Jüngsthin Zeitlichen todts verblichen, nach ihren aus dießer welt tödlichen hinscheÿden hinder Ihro verlaßen, welche durch ersternanten Ihren hinderpliebenen Wittwer, wegen hannß Veltin Ihr die letzterer verstorbenen, sel, mit Ihme Haußwalden ehelich erzeugten hind.laßenen aber Mittwochs den 3.t 7.bris gleich in 14. tage nach Ihro auch verstorbenen undt von Ihme als vattern geerbten Söhnlins – So beschehen auff Montag den 8. 7.bris A° 1673.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg in der Kleinen Stadelgaßen gelegener behaußung, so Diebold Hummeln weißbecken und burgern alhier Gehörig, beede Eheleüt aber Lehnungs weiße bewohnt, Ist befunden worden, wie volgt
Inn der wohn stueben, Inn dießer Stub Cammer, Im haußöhren
Sa. Haußraths 11, Sa. Silbers 1, Summa summarum 13 lb – Schulden, Erstlich solle mann diebold hummeln weißbecken v. burgern alhier vor + Jahr haußzinß j lb 10 ß, summa 11 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 1 lb
Thiébaut Hummel se remarie et 1675 avec Anne Catherine Sattler, fille de l’employé de poste Jean Vernier Sattler
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 54, f° 34)
1675. Dn. 16. v. 17. Trin. den 19. u. 26. Sept. Dieboldt Hummel der burg. und weißbeck allhier, Jfr. Anna Catharina H. Johann Werners Sattler postbedient. allhier v. burgers eheliche tochter. Cop. den 3.t Sept. St. Thomæ (i 29)
Le notaire Théus dresse en mars 1685 l’inventaire non conservé de la succession de Thiébaut Hummel mort le 22 janvier 1685 en délaissant une fille de son premier mariage, Cléophée épouse de l’aubergiste Ulric Goll et quatre enfants issus de sa veuve Anne Catherine Sattler, remariée au boulanger Abraham Jund. Un accord est conclu en mars 1686 (la maison revient à Cléophée Hummel, seule héritière de sa mère)
1686 (12.3.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 19) n° 637
Ersuchung vätterlicher Legitimæ auch Wÿdembs auffrichrung Weÿl. H. Theobald Hummels deß Weißbecken vnd Burgers alhier Zue Straßb. seel. Verlaßenschafft belangend Zwischen deßelben Hinterbliebenen hierinn benannten Wittibin vnd samptlich 5. Erben Anno 1686.
Zuwißen demnach der Ehrenhafft undt achtbare hr Theobald Hummel geweßene Weißb. undt burger alhierd. 22. Januarÿ A° 1685. dießes Zeitliche leben gesegnet hatte, Und deßelben Verlaßenschafft ordnungsmäßig inventirt angeschlagen Vnd beschrieben, auch d. Inventarium außgefertiget, auf Allhießigem Stall abgehandelt, Ingleichem solches beÿ E. E. Vogteÿ gericht producirt Wardt, daß hierauf auf Vnden gemelt datum die Viel Ehrn: Und Tugendsame Frauw Anna Catharina gebohrne Sattlerin gemelt. H. Hummels seel. hinderbliebene Wittib, so nunmehr Wiederumb anderwerts nemblichen ahn Abraham Jundten weißb. und burgern alhier Verheurathet ist, mit beÿstand deßelben Wie auch H. Lorentz Hammen, auch Weißbeckens ihres noch ohnentledigten Ingleichem H. Georg Andreæ Holtzbergers Paßmentirers Vndt burgers alhier als ihres mit vorgemeltem H. Hummel seel. Ehelich Erzeigter 4. Kindere seel. geordnet. Vogts Eines,
Andern theils aber die auch Viel Ehrw: Vndt Tugendtsame Frauw Cleophe gebohrne Hummelin Vor Ehrengedachten H. Hummels seel. in Erster Ehe Ehelich erzielte dochter und Zue Einem fünfft. theil In Legitimam hinterlaßene Erbin, Herrn Joh: Ulrich Gollen, deß Würths und Gastgebers Zum Raaben Alhier geliebter Eheliche haußfraw mit beÿstand Ehrengemelt ihres H. Eheliebsten zusammen kommen und erschienen , d. guten Intention und Meinung sich mitt einander gewiß undt sattsam Zu abschieden Wie wohlen Ehrengemelte Fr. Cleophe Gollin ihrer Vätterlichen Legitimæ halber gleichbalden richtig gelieffert Werden, Alß auch, Was obangeregte Hummelische Wittib dem billig. Wehrt nach Eigentlich Zugenießen auch obangeregt ihren 4. mit H. Hummeln seel. (.beneben noch Einem Posthomo, deßen Zeitlichen leben aber leÿder nicht an deß taglicht kommen.) Ehelich erziehtten Kinder
Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg dinstags den 12. Martÿ Stylo novo Anno 1686.
Aus dem über Weÿl. H. Theobald Hummels deß geweßenen Weißbecken Vndt burgers alhier seel. Verlaßenschafft A° 1685. d. 22. & 23.ten Martÿ durch mich Vor: Vndt nachbenatten Notarium auffgerichteten Inventario
Jean Ulrich Goll, aubergiste au Corbeau, et Cléophée Hummel vendent la maison 125 livres au maître maçon Jean Henri Stæbler
1688 (27.2.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 134-v
H. Johann Ulrich Goll, der Rabenwürth alß ehevogt Cleophe, gebohrne Hummelin
in gegensein H. hans henrich Stäbler, deß Maurers
hauß, hoffstatt, höfflein, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen Rechten und Zugehördten allhier in der Kleinen Stadelgaßen, anderseit neben Caspar Steiner dem Kachler, anderseit neben weÿl. Philipps Küffels gewes. Kammachers nachgelaßenen wittib und Erben, hinden auff (-) stoßend gelegen – umb 125 pfund
Jean Henri Stæbler vend la maison 500 livres à l’apprêteur de tabac Jean Pierre Immendœrffer et à sa femme Marie Catherine Barth
1702 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 183
(500) Johann Heinrich Stäbler der Maurer Und Stein Metz
in gegensein Johann Peter Immendörffers des Tabackbereiters Und Mariæ Catharinæ geb. Barthin
Hauß, Höfflein, Hoffstatt mit allen Gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer platz in der Kleinen Stadelgaßen einseit neben Hn. Georg Christoph Lautensack Organisten in d. neüen Kirchen allhier anderseit neben Hanns Jacob Springer dem Hohltreher hind. auff Friderich Kärlen dem Küffer stoßend gelegen, welches Hauß beneben des Verkäufers allhier an der oberen Straßen am Seiffengäßlein gelegenen neüer aufferbauter Wohnbehaußung umb 225 lb Capital verhafftet – geschehen umb 275 pfund
Jean Pierre Immendœrffer et Catherine Barth hypothèquent le même jour la maison au profit du diacre Frédéric Caroli
1702 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 184
Johann Peter Immendörffer der Tabackbereiter Und Maria Catharina geb. Barthin
in gegensein Hn. Mr Friderich Carolj Diaconj senioris zum alten St. Peter allhier – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Hauß, Höfflein, Hoffstatt mit allen Gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer platz in d. Kleinen Stadelgaßen einseit neben Hn. Georg Christoph Lautensack Organisten in d. Neüen Kirchen allhier anderseit neben Hanns Jacob Springer dem Hohltreher hind. auff Friderich Kärlen dem Küffer stoßend gelegen, welches Hauß beneben Hn. Johann Heinrich Stäblers des Maurers, von deme dieses Hauß erkaufft word., allhier an der oberen Straßen am Seiffengäßlein gelegenen neü aufferbauter Wohnbehaußung umb 225 lt Capital verhafftet – deßen zu Mehrer Versicherung ist hierbeÿ persönlich erschienen Fr. Catharina geb. ([barré :] Barthin) So deren Johann Heinrich Schreibers Cantoris in d. Neuen Kirchen Hausfrau der debitirend. Eheleüthe respect. leibliche und Schwiger Mutter mit beÿstand H. Jacob Gnilÿ des Glasers und Sigristen zu St. Thomæ Ihres Tochtermanns an statt obged. Schreibers, Ihres Ehevogts welcher Unpäßlichkeit halben nicht aus gehen kan, hierinn aber consentirt habe, wie Er Gnilius bejahet (…) verbürgt
Fils du sergent du consul, Jean Pierre Immendœrffer épouse en 1698 Marie Catherine Barth, fille du pasteur de Lampertheim : contrat de mariage, célébration à Illkirch
1698 (6.10.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 178
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen dem Ehrbahren Hannß Peter Immendörffern ledigen Tabackbereitern, deß Ehrengeachten Andreas Immendörffers Guarde beÿ dem Regirenden herrn Ammeister allhier ehelichen Sohn, als hochzeitern An einem, So dann
der Ehren: und Tugendsamen Mariæ Catharinæ Barthin weÿl. deß Ehrwürdig vnd Rechtsgelehrten herrn Mr Andreß Barthen geweßen Pfarrherrn Zu Lampertheim vnd burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßener Ehelichen dochter, als der hochzeiterin, Am andern theil
Actum Straßburg (…) auff der hochzeiterin seithen herrn Johann Zitterlins deß Käufflers Ihres Vettern und geschwornen Vogts, Montags den 6. Octobris Anno 1698 [unterzeichnet] hanß Peter Imendörffer als hoch zeider, Maria Catharia barthdin alß hochzeiterin
Mariage, Illkirch (luth. f° 92-v)
1698. den 12. Octobr. St. n. seind alß bewilligung Ihrer Gnaden des Regierenden H. Ammeisters in Straßburg, Zum I. vnd II. mal außgeruffen, vnd den 13. Ejusd. copulirt vnd eingesegnet Worden, Johann Peter Immendörffer der ledige Tabackspinner, Andreas Immendörffers Guarde Von dem H. Ammeister Vnd Maria Salome seine ehel. haußfr. Vnd Maria Catharina H. M. Andreas Barth, gewesenen Pfarrh. in Lamperth. Vnd Catharina sein ehel. haßfr [unterzeichnet] hanß Peter Imendörffer als hoch Zeiter, Maria Chatharina barthin als hoch Zeiter, Johann Heinrich Schreiber der Hochzeiterin Stieffvatter, Jacob Gnilius als der hochzeiterin Schwager (i 102)
Le revendeur Jean Pierre Immendœrffer devient bourgeois à titre gratuit en novembre 1698 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1698, 4° Livre de bourgeoisie f° 704
Joh: Peter Immendörffer, der Kremp von hier, Andreas Immendörffer gew. Statt soldaten beÿ Vormahliger garnison, Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht gratis, vnd wird beÿ E. E. Zunfft Zuer Mörin dienen. Jur. d. 12. Dito [9.bris] 1698.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Paysan bleu place des Cordeliers. Ceux du mari s’élèvent à 12 livres, ceux de la femme à 131 livres.
1698 (9. X.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 22) n° 23
Inventarium und beschreibung aller und Jeder Haab undt Nahrung, so der Ehrengeachte Hannß Peter Immendörffer der Tabackbereiter Und die Ehren und tugendsahme frau Maria Catharina Immendörfferin gebohrner Barthin beede Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg einander für Unverändert in den Ehestand Zugebracht, Welche Nahrungen, der Ursach halben, weilen in der Zwischen Ihnen beeden Eheleuthen auffgerichteten heüraths Verschreibung expresse Versehen, daß einem Jeden sein in die Ehe Zubringende Nahrung ein Ohnverändert Guth sein und pleiben sollen – Actum in fernerem beÿsein frawen Catharinæ gebohrner Sooderin, H. Johann Heinrich Schreibers Cantoris in der Prediger Kirch haußfrauen alß der frauen geliebten Mutter wie auch H. Johann Zittelins des Käufflers als deselben noch Zur Zeith ohnentledigtenen Vogts, Dienstags den 9.ten Decembris Anno 1698.
Inn einer alhier Zu Straßburg ane dem Parfußerplatz gelegener Zum blauen bauren genanter und in dieße Nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. (F.) Itel Ein füffter theil für ungetheilt von und ane hauß ane dem Alten Weinmarckh (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns ohnv. Vermög. Sa. Kleÿdter u. Weißem geräth 12
Der Frauen ohnverändert Guth, Sa. haußraths 70, Sa. Silbers 2, Sa. Goldt 2, Sa. baarschafft 6, Eigenthumb ane einer behausung (o), Eigenthumb ane liegenden Güttern (o), Summa summarum 131. lb
Les Tonneliers donnent lecture de leur règlement qui interdit de vendre de l’eau de vie aux revendeurs, dont Jean Pierre Immendœrffer
1700, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 144-v) Donnerstags den 2. Junÿ Anno 1699
Hernach folgende Krempen seind wegen deß bißherigen nunmehro aber verbottenen brandenwein Zäpffens, auff Vorgebott erschienen, denen dann der Articul deütlich Vor und abgelesen worden. (…)
Hannß Peter Immendörffer, Tabacmacher und Krempp
Jean Pierre Immendœrffer et Marie Catherine Barth hypothèquent leur maison au profit des enfants du tonnelier Paul Walter et du substitut à la Chambre des Contrats Jean Frédéric Rebhan
1709 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 221
Joh: Peter Immendörffer Gremp und Maria Cath: geb. Bartin beÿständlich Jacob Gnilius Sigristen beÿ St Thomas und Joh: Reinhard Wagners drehers
H. Joh: frid: Rebhans Subst. C. Contractuum und Joh: frid: Cottlers ohlmanns alß vogts weÿl. Paul Walter Kiefers KK, ih. H. Rebhan 25 und denen Curanden 50 pf
unterpfand, ihre behaußung allhier in der Kl. Stadelgaß, einseit neben Joh. Georg (-) dem hafner anderseit neben Joh: Zittler taglögnern hinten auff Kleinen deß kiefers hauß
Jean Pierre Immendœrffer est reçu cotisant à la tribu des Tonneliers pour pouvoir servir de l’eau-de-vie
1709, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 75-v) Mittwochs den 29. Maÿ Anno 1709 – Hannß Peter Immendörffer der Kremp auf prod. Schein von der Ehrsamen Möhrin Zunfft das Zunfftrecht, als Zudiener mit geld wegen des brandenwein schancks und Zalt gebühr 2. lb 10. ß 6 d und pro Zunfft schreiber und bittel 2 ß 6 d.
Catherine Barth femme de Jean Pierre Immendœrffer meurt en 1721 en délaissant un enfant né hors mariage, Marie Barbe épouse du cordonnier Daniel Gütel, et trois enfants issus de son mari. Les experts estiment la maison 400 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 411 livres. L’actif de la communauté s’élève à 246 livres, le passif à 588 livres
1722 (30.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 13) n° 478
Inventarium über Weÿland Frauen Mariæ Catharinæ gebohrner Barthin, Joh: Peter Immendörffer, des Krempen und burgers allhier geweßter Haußfr. nunmehro seel. Verl. auffgerichtet Anno 1722 – nach ihrem am 18. Septembris des Vorigen 1721.gsten Jahrs genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg d. 30. Maÿ Anno 1722.
Die Verstorbene seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Fr. Mariam Barbaram so die Frau in die Ehe gebracht Mstr Daniel Gütels des schuhmachers und burgers alhie ehel. haußfr. mit beÿstand deßelben,
2. 3 et 4. Mariam Catharinam, Mariam Salomeam et Joh: Andream derer geschworner Vogt ist Johann Georg Hölbe der schuhmacher und burger alhier, welcher dem geschäfft in person abgewartet, dieße 3. Letstere gebohrne Immendörffer so die Verstorbene seel. Vorger vermelten ihren hinterbliebenen Wittiber ehel. erzielt aber alle Vier Zu gleichen portionen und antheilern Zu Erben verlaßen
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Stadel gaß gelegenen und in dieße Verl. gehörige deßwegen hernach fol. (-) beschriebenen behaußung folgender maßen befunden
Schrein: und Höltzenwerck. (-), Ins officiers Stub, Haußöhren, In der wohnstub
Sa. haußraths 74 (E 36, T 37), Bereiter Tab: und bletter wie auch Schiff und geschirr Zum tabaco machen gehörig (T) 28, Silber 15 (E 10, T 4), Goldene ringe 3 (E 1, T 1), Eÿgenthumblicher Antheÿl ane einem gült güttlein, zu Lampertheim, 5) 16 ß, Schulden in der Erben ohnveränderte Nahrung Zugeltend 25
Eÿgenthumb ane einer behaußung so theÿlbar. Ein behausung Höfflein, Hoffstatt mit allen gebäuen, begriffen, weiten zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten alhie am barfüßer blatz in der Kleinen Stadelgaßen, 1.s neben Gottlob Nödel dem Kachler uxorio nomine 2. s. neben Jacob Koli hutstaphirer hinten auf Simon Holänder hutmacher stoßend gelegen und ist dieße behaußung annoch verhafftet dem Stüfft St. Thoma in Capital 225. lb sonsten freÿ ledig und eigen und ist solche behaußung durch die geschworne Hn Werckmeister der Statt Straßburg crafft dero Abschatzung v. 9.ten martÿ 1722. æstimirt und angeschlagen worden 400. lb, davon abgezogen obig onus verbleibt hiehero außzuwerffen 175. darüber bes. 1. teutsch pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg cancelleÿ contract Insigel verwahrt u. datirt d. 27. April 1702. mit Lit. bezeichnet
Summa Eÿgenthumb ane einer behaußung 175, Summa summarum alles Gemein und Theilbahren Guths 246 lb – Schulden 588 lb, Conferendo befindet sich daß die Theilbare Passiv Schulden die gantze Theilbare Activ Massam übersteigen umb 342 lb
Ergäntzung der Erben abgangen ohnveränderter Nahrung. nach ausweis Inventarÿ so Weÿl. H. Johann Heinrich Lang geweßener Nots. über eingangs gedachter beeder Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung underm 9. Decembris 1698 auffgerichtet 337 lb – Summa summarum der Erben sambtlich ohnveränderter Nahrung 411 lb – Schulden 75, Conferendo verbleibt 336 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 44 lb
Abschatzung d. 9.ten Martzÿ anô: 1722. Auff begehren deß Ehrenhafften vndt bescheÿten, H ; Joh: Pedter Immenderffer, tabackh bereÿder, ist Eine behaußung Allhier, in der Statt Straßburg in der gleinen Stadtell gaßen, gelegen, Ein seith Neben; Gott Lob Nettel, Kachler, Ander seÿth Neben, Jacob Köllig, taback bereÿter, hinden Auff Simmon hollender, hudt staffürer, stossendt, Welche behaußung, Hoff statt, Stuben, Kammern, Küchen Ein Grempen Ladten, Neben, Vnd hinder Gebeÿ Mit. Stübell, Vnd Kämmerlin So Vor die Ein quartirung, Ein höffell, vnd Gewölbdter Keller, Sammpt Aller Ihrer gerechtigkeith, wie solches durch der Statt Straßburg Geschwohrenen werckh Leüthen in der bescihtigung befunden, vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirdt Vor undt umb Acht Hundert Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werck Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Jean Pierre Immendœrffer se remarie avec Marie Dorothée Erhard. La minute du contrat de mariage n’est pas conservée mais une copie est jointe à l’inventaire dressé en 1738
1723, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 421
Eheberedung – Johann Peter Immendörffer, fastenspeishändlers
und Mariä Dorotheä Erhardin
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten H Johann Peter Immendörffer, Fastenspeishändlern und burgern allhier, als bräutigamn ane einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Mariæ Dorotheæ weÿl. H. Philipp Jacob Erhards gewesenen Schaffners beÿ dem Löbl. Stifft Corporis Pensionum und burgers allhier nunmehro seel. nachgelaßener ehelichen Tochter, als hochzeiterin ane andern theil – So beschehen und Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 27. Octobris Anno 1723. [unterzeichnet] Johan Peter Imendörffer als hochzeiter, Maria Dorothea Erhardin als hochzeiterin
Décompte passé en 1723 entre Jean Pierre Immendœrffer et sa belle-fille Marie Barbe qui porte son nom
1723 (23. 9.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 18) n° 594
Abrechnung zwischen Herrn Johann Peter Immendörffer dem Kremben und burgern alhier alß Vatter ane einem
So dann Frauen Mariæ Barbaræ Güettelin geb. Immendörfferin beÿständlich Meister Johann Daniel Güethel des Schuhmachers und burgers alhier ihres Ehemanns an andern theÿl
Herr Immendörffer der Vatter soll gedachter seiner tochter Vermög Kinder Vertrags vom 3.ten Augusti 1722. Vor anerstorben mütterlich guth ane 366 lb
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux de la femme s’élèvent à 438 livres, l’actif du mari à 197 livres, le passif à 252 livres.
1723 (20. X.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 18) n° 598
Inventarium über des Ehrengeachten Hn Johann Peter Immendörffers des Kremben und frawen Mariæ Dorotheæ geb. Ehrhardin beeder Eheleuthe und burgere alhier einander für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1723 – und Crafft derer mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen und ihren Erben alß ein ohnverändert vnd Vorbehaltenen gueth mithien die Ergäntzung des Künfftigen abgangs derselben expresse reservirt, conditionirt und bedungen
Sa. haußraths 431 (M 159, F 271), Sa. Werckzeuge zum Tabacobereiten gehörig (M) 15, Sa. Silbers 42 (M 10, F 31), Eÿgenthumblicher Antheÿl ane einem gült güttlein, zu Lampertheim (M), bleibt zur zeit ohnangeschlagen und in natura reservirt, Goldene ringe 22 (M 8, F 14), baarschafft 123 (M 3, F 120)
Summa summarum der Ehefrau sambtlich eingebrachter Nahrung 438 lb
Eÿgenthumb ane einer behaußung so der Mann in die Ehe gebracht. Ein behausung Höfflein, Hoffstatt mit allen gebäuen, begriffen, weithen zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten alhie am barfüßer platz, in der Kleinen Stadelgaßen, einseith neben Gottlob Nödel dem Kachler uxorio nomine, 2. seith neben Jacob Koli hutstaphirer hinten auf Simon Holänder den hutmacher stoßend gelegen, und ist dieße behaußung annoch verhafftet dem Stüfft St. Thomaæ in Capital 225. lb. Sonsten freÿ ledig und eigen und ist solche behaußung noch Zur Zeit ohn angeschlagen und in nature reservirt dahero in außwurff Zu bringen o. Darüber besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt und datirt den 27. Aprilis 1702. mit Lit. bezeichnet.
Summa summarum des Ehemanns sambtlich eingebrachten Vermögens 197 lb – Schulden 450, Conferendo übertreffen des Ehemanns Zugebrachte passiva deßen ohnverändert vorherbeschriebene außgeworffene Rubricen umb 252 lb
Haussteurren 13 lbn daran gebührt dem Ehemann 9 lb und dann der Frauen für einen dritten Theÿl 3 lb
Jean Pierre Immendœrffer hypothèque la maison au profit de son gendre par alliance Daniel Gütel
1724 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 15
Johann Peter Immendörffer der gremp
in gegensein seines Stieff tochtermanns Daniel Güthel des Schuemachers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff hinderhauß und hoffstatt cum omnibus appertinentis in der kleinen Stadelgaß, einseit neben Johann Gottgeb dem Kachler anderseit neben Jacob Kohli tabackbereither hinten auff H. Schloßer
Le marchand de fruits et légumes Jean Pierre Immendœrffer et Marie Dorothée Erhard font dresser un état de leur actif et de leur passif. Les biens de la femme s’élèvent à 441 livres, l’actif du mari et de la communauté à 141 livres, le passif à 290 livres.
1725 (19. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 92) n° 333
Inventarium über Meister Johann Peter Immendörffers des Fastenspeishändlers und Frauen Mariæ Dorotheæ Immendörfferin geb. Erhardin beeder Eheleuthe und burgere allhier Activ: und Passiv Nahrung
[Inventarium und] Beschreibung aller der[jenigen haab, nahr]ung und güethere, so Meister Johann Peter Immendörffer der Fastenspeishändler und Frau Maria Dorothea Immendörfferin gebohrne Erhardin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg anjetzo würcklichen tam active quam passive eigenthümlichen haben und besizter, der Ursachen, allweilen sein Meister Johann Peter Immendörffers, des Ehemanns habende Nahrung mit Zimblichen Passiv Schulden behafftet, auf Ihro frauen Mariæ Dorotheæ Immendörfferin gebohrner Erhardin, mit assistentz des Ehren: und wohlvorgeachten herrn Philipp Jacob Erhards, des Zinngießers und burgers allhier Zu Straßburg, Ihres eheleiblich, Bruders und geschwornen Curatoris, beschehenes formblicher ansuchen erfordern und begehren, umb Salvirung Ihres ohnverändert und eigenthümlichen Guths willen – So beschehen in Straßburg, auf Mittwoch den 19. Decembris Anno 1725.
[In einer allhier] zu Straßburg ane dem [- gele]genen und beedern Eheleuthen [bewohnenden] behaußung befunden worden wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der [-], in der Taback Kammer, Vor dießem Gemach, In der Soldaten Cammer, In der Cammer B, Im haußöhren Vor der Wohnstub, In der Wohnstub, In der Untern Stub, Im Keller
Inhalt des über Vorgedachter weÿl. frauen Mariæ Catharinæ Immendörfferin geb. Barthin seel. Verlaßenschafft in Anno 1722 durch Hn Notarium Christoph Michael Hoffmann gefertigtem Inventarii auch des demselben in fine annectirten beÿ E: Löbl. Vogteÿ gericht den 23. Augusti Anno 1724. auffgerichteten und den 6.ten 7.bris ejusdem Annj beÿ E: E: großen Rath confirmirten Kunder Vertrags, belaufft sich deroselben mit ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter dreÿer Kinder, nahmentlich Mariæ Catharinæ, Mariæ Salomeæ und Johann Andreæ, der Immendörffer ererbt ausgeworffen Mütterl. guth, so nunmehro auf Mr Frantz Lauhoß dem ältern fastenspeishändler und burgern allhier, wegen der Ihme ane der Kleinen Stadelgaß allhier gelegenen und Verkaufften behaußung ein Capital angelegt und Jährl. ane Michaelis à 4 pro Cento verpensionirlich.
[Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen nahrung] Sa. haußraths 127, Sa. Silbers 14, Sa. Goldener ring 8, Sa. baarschafft 2, Sa. Schulden 89, Sa. Ergäntzung (201, Abgang 2, verbleibt) 199, Summa summarum 441 lb
Des Ehemanns ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 92, [-], Sa. der baarschafft 12, Sa. der Schuld 15, Summa summarum 141 lb – Schulden 290, Übertreffen demnach die vorspecificirt Schulden aus der nahrung zu bezahlend umb 148 lb
Jean Pierre Immendœrffer meurt en 1738 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans la maison du vitrier Jean Jacques Müller rue des Drapiers. La masse propre à la veuve s’élève à 310 livres. Comme la veuve renonce à la communauté, les biens des héritiers et de la communauté sont décrits en une seule masse dont l’actif s’élève à 26 livres et le passif à 465 livres.
1738 (13.6.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 302) n° 118
Inventarium über Weÿland Johann Peter Immendörffers, geweßenen tabackbereiters und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1738. – nach seinem den 27. Martÿ jüngsthin aus dießem mühesamen Leben genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen seel. mit Weÿland Frauen Maria Catharina gebohrner Barthin seiner Zuvor Verstorbenen Ehefrauen seel. ehelich erzeugter Sohns und töchter, auch ab intestato Verlaßener Erben inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Frau Mariam Dorotheam gebohrne Ehrhardin, deßen hinterbliebeneen Wittib beÿständlich des Ehrengeachten H Joh: Jacob Ehrhards Knöpffmachers und burgers allhier dero Leiblichen Bruders und ane Vogts statt hierzu insonderheit erbettenen beystands (geäugt und gezeigt) – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Freÿtags den 13. Junÿ A° 1738.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. die Ehren und tugendsahme Frau Mariam Catharinam Michelin gebohrner Immendörfferin, des Ehrenhafften und bescheidenen Joh: Georg Michels, Schloßers in der Vestung Kaÿl Wohnhaft, und burgers allhier Zu Straßburg eheliche haußfrau, welche dießer Inventur Persönlich beÿgewohnt, und vermög producirter und von gedachtem Ihrem Ehemann eigenhändig geschriebener Vollmacht de dato 13. Junÿ 1738. hierzu authorisirt. 2. Jungfrau Mariam Salome Immendörffer welche mehrjährig dahero ohnbevögtigt die aber mit beÿstand des Ehrengeachten H. Johann Georg Hölbe, des Schuemachers und burgers allhier dero ehemaligen Vogts dießem Geschäfft abgewartet. 3. Johann Andream Immendörffer, den ledigen buchbinder Gesellen welcher dermahlen auff der Wanderschafft begriffen, deßen geschwornener Vogt Vorgedachter H. Joh: Georg Hölbe, welcher auch in dießes seines Vogts Sohns Nahmen Zugegen geweßen. Alle dreÿ des abgeleibten seel. mit eingangs gedachter Frauen Maria Catharina geb. Barthin seiner Zuvor verstorbenenn Ehefrauen ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Verlaßenen Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der thucher Stub Gaß gelegener H. Johann Jacob Müller dem Glaßer allhier eigenthümlich zuständiger Behaußung ist befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Crafft Inventarii über des Verstorbenen aus gebrochenes falliment auffgerichteten durch H. Johann Lobstein Not° publico et Pract. A° 1725. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 21, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen Rings 8 ß, Sa. Schulden 37, Sa. Ergäntzung 260, Summa summarum 310 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert und das theilbahre Guth /:in ansehung die Wittib ausser allen Zweiffel auff die theilbare Nahrung Verzug thun und den Erben tam active quam passive überlaßen, hingegen allein sich mit ihrem unveränderten guth und deme, waß Ihro die Eheberedung Zu eignet, Contentiren wird:/ beliebter kürtze halben unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Silbers 2 ß, Summa summarum 30 lb – Schulden 295 lb, Übertreffen also der Erben unveränderter und theilbarer Passiv Schulden derselben unveränderten und theilbaren Activ Nahrung dem Stall tax nach um 264 lb
Beschluß und Verstallung summa 46 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 27. Octobris Anno 1723
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 8, p. 224, n° 664)
Anno 1738. Donnerst. d. 27. Mertz nachts gegen 10. Uhr ist Johann Peter Immendörffer der burger und tabackbereiter gestorben und folgenden Freÿt. auf dem Gottes acker St. Helenæ christlich begraben Worden seines alters 69 Jahr 6 monath und 4 tag, Johann gering Müchel Als dochter Mann, Johann Jacob Erhard alls schwager (i 117)
Jean Pierre Immendœrffer vend les deux tiers de la maison 540 livres au cordier Jean François Laurhoss assisté de son fils cordonnier François Laurhos
1724 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 389-v
Johann Peter Immendörffer der gremp
in gegensein Johann Frantz Laurhoß des Seÿlers beÿständlich seines sohns Frantz Laurhoß des Schuemachers
zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Baarfüßer platz in der kleinen Stadel gaßen, einseit neben den Lautensackischen Erben modo Gottlob Nödtl dem haffner anderseit neben Jacob Kohli dem tabackbereither ehevögtl. weiß hinten auff Friedrich Körlen den Kieffer – daran der übrige dritte theil des verkäufers Kindern erster ehe zuständig – 450 lb außmachende Capitalien und 91 pfund
Les trois enfants de Jean Pierre Immendœrffer et de Marie Catherine Barth vendent leur part de maison à leur cohéritière Marie Barbe épouse du cordonnier Daniel Gütel
1724 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 408-v
weÿl. Fr. Maria Catharina geb. Barthin mit Johann Peter Immendörffer den grempen handelsmann dreÿ Kinder geschworner vogt Johann Georg höllbe der Schuemacher
seiner Curanden sororis uterinæ und Maria Barbara Daniel Gütel des Schuemachers Ehefrauen
die deren selben zugehörige dreÿ vierdte theil ahne eine tertz oder dreÿ zwölffte theil ahne einer gantzen behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Baafüßer: Platz und der Kleinen Stadel: gaß, einseit neben Gottlob Nödtl dem haffner anderseit neben Jacob Kohli dem tabackbereither ehevögtl. weiß hinten auff Friedrich Kärlen den Kieffer, ihme mit zu 8 jedem der dreÿ curanden zu einem und ihr güthelischer Ehefrauen zuvorhin auch zu einem 12 theil eigenthümlich zuständig, das gantze hauß auff dem fueß von 1000 pfund gerechnet
Jean Pierre Immendœrffer et Marie Barbe épouse du cordonnier Daniel Gütel vendent respectivement deux tiers et un tiers de la maison au cordier Jean François Laurhoss
1724 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 410-v
Johann Peter Immendörffer der gremp, Ferner Maria Barbara Daniel Gütel des Schuemachers so mehrjährig zu seÿn versicherte
in gegensein Johann Frantz Laurhoß des Seÿlers mit beÿstand seines sohns Frantz Laurhoß des Schuemachers, jene zu zween dieße aber zu einem ohnabgetheilten dritten theil ihme Laurhoß dem vater
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Baafüßer platz und der kleinen Stadelgaß, einseit neben Johann gottlob Nödtl dem haffner anderseit neben Jacob Kohli dem tabackbereiter hinten auff Friedrich Kährlen dem Kieffer
ihm Immendörffer zu zween dritten theilen ihre Güthelin aber nach deme Sie krafft unter heutigem dato auffgerichtete Kauffverschreibung von ihren geschwisterden 3/12 theil käufflich übernommen und selbsten seithero 1/12 und theil eigenthümlich beseßen zu einer tertz eigenthümlich zuständig, um 450 pfund capital wie auch der vier Kinder mütterlichen guth 376 pfund außmachend, geschehen um 173 pfund
Veuf de Marguerite Schweitzer, le revendeur Jean François Laurhoss se remarie avec Anne Barbe Volck : contrat de mariage non conservé, célébration
1724, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 455
Eheberedung zwischen Frantz Laurhoß, Krempen und Jungfrauen Annä Barbarä Volckin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 250)
Mittwochs den 27. 7.bris 1724 seind nach 2 maliger außrufung Dominica XIV et XV. Trin. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden Johann Frantz Luhrhoß der Gremp burger v. witwer weiland Annæ Margarethæ Schweitzerin ehemann v. Jfr. Anna Barbara Weiland Martin Volcken deß Fischers v. burgers mit Annæ Barb. Memmingerin nachgelaßene dochter [unterzeichnet] w, Ist handzeichen Joh: Frantz Luhrhoßeen, anna barra volckin als hoch Zeiterin (i 257)
Jusqu’à présent manant, Jean François Laurhoss devient bourgeois par sa femme en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1724, 4° Livre de bourgeoisie p. 911
Johann Frantz Lauerhos bißheriger schirmer undt geb. Von hier erhalt das burger recht Von seiner ehefr. Anna Barb. weÿl. Martin Volcken hinterlaß. dochter umb die tertz d. alten bs. will beÿ E. E. Zunfft Zur Möhren dienen. Jur. 4.ten 9.br. 1724.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison Petite rue de la Grange. Ceux de la femme s’élèvent à 131 livres, l’actif du mari à 1196 livres, le passif à 95 livres.
1724 (5. Xbris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 20) n° 656
Inventarium über des Ehrengeachten H. Frantz Lauerhoß des Krempen und der Ehren und tugendsahmen Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Volckin beed. Eheleuthe und bürgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1724. – krafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung ihnen und ihren Erben alß ein ohnverändert und Vorbehalten Gueth reservirt conditionirt und bedungen – So beschehen in ferenern beÿseÿn auff seithen der Ehefrauen Meister Philipp Volcken des fischers und burgers alhier ihres erbettenen beÿstands Straßburg den 5. X.bris Anno 1724.
In einer alhie zu Straßburg ane der Kleinen Stadelgaß gelegenen dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständigen und hernacher fol: beschriebenen behaußung folgender laßen befunden.
Sa. haußraths 284 (M 175, F 108), Frucht (M 45), Sa. Silbers 5 (M 3, F 2), Sa. Guldener Ringe (F 6), Sa. baarschafft 63 (M 45, F 14)
Summa summarum der Frauen zugebrachter Nahrung 131 lb
Eigenthumb ane Einer behaußung so der Mann in die Ehe gebracht. Eine behaußung höfflein und hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, recht. und Gerechtigkeiten alhier ahm Baarfüßer platz, in der Kleinen Stadel gaß, 1. s. neben Gottlob Nöder dem haffner uxorio nomine, 2. s. neben Jacob Kohli dem Tabacc bereiter, hinden auff Friderich Kährlein den Küffer stoßend, und ist dieße behaußung annoch Verhafftet nemlich dem Stifft St. Thomæ in capital umb 225 lb. It. H. Johann Peter Immendörffers mit weÿl. Maria Catharina Barthin ehel erzeugter 3. Kindern am Mütterlichen gueth in allen ohne das Pfettergeld umb 350 lb, Item H. Johann Friderich Rothen Cancellariæ Contractuum Substituto umb 25. lb, Item Johann Daniel Gütel dem Schuemacher umb 50 lb, So dann Frantz Lauerhoß der Ehemanns Sohns 2. Kinder erster Ehe umb 100 lb (summa) 750 lb. sonsten freÿ Ledig und eigen, und hat der Ehe Mann solche behaußung den 1. 7.bris 1724. erkaufft pro 1000 lb Abgezogen obige beschwerden restirt hiehero auß zuwerffen 249 lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamentene Kauffbr. mit der Statt Straßburg anhangenden Cantzleÿ Contract Stub Insigel verwahrt datirt den 1. 7.bris 1724.
Pfenningzinß hauptgüter (M 675)
Summa summarum des Ehemanns eingebrachtes Vermögen 1196 lb – Schulden 95 lb, Nach deren Abzug 1101 lb
Dießemnach Wird auch beschrieben der Ehefrauen Zugebrachte Nahrung
Sa. Haussteurern 27 lb
Jean François Laurhoss cotise à la tribu des tonneliers pour pouvoir servir de l’eau-de-vie.
1724, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 67-v) Dienstags den 12. Decembris Anno 1724 – Johann Frantz Laurhoß der Kremp, prod. Schein Von der Ehrsammen Möhrin Zunfft sub dato 14. Novembris Jüngsthin nach innhalt deßen Er befugt, das völlige Krempenrecht Zu treiben, bate um conferirung deß Zunfftrechtens, wegen deß brandenwein schancks alß Zudiener mit geld, so Ihme gegen erlag 2 lb 10 ß 6 d gebühr und 2 ß 6 d pro Zunfft schreiber und Büttel Willfhrt Worden.
Jean François Laurhoss meurt en 1729 en délaissant un fils de son premier mariage avec Marguerite Schweitzer. Les experts estiment la maison 325 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 63 livres. Les biens des héritiers sont estimés 350 livres. L’actif de la communauté s’élève à 22 livres, le passif à 55 livres. La veuve renonce à l’usufruit de la maison contre le logement gratuit dans un certain nombre de pièces.
1729 (16.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, V 151, 25) n° 982
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten Hn Frantz Lauerhoß, geweßenen Krempen und burgers alhier zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet in Anno 1729. – nach seinem am 26.ten Junÿ jüngsthin genommenen tödlichen hientritt hier Zeitlichen verlaßen, wie solce Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Meister Johann Frantz Lauerhoß, Schuhmachers und burgers allhier, als diß Orths leiblichen Sohns, so der verstorbene Seelig mit auch Weÿl. Frauen Margarethæ Laurhoßin gebohrner Schweitzern seiner Ersten haußfrauen seel. ehel. erziehlt und ab intestato Zu einigen Erben Verlaßen heut dato ordnungs mäßig inventirt und ersucht durch& Frau Annam Barbaram Laurhoßin gebohrner Volckin die hinterbliebene Wittib mit hülff und beÿstand des Edlen und rechtsgelehrten Hn Johannes Winter Not. publ. und wohlbestellten Schaffners Verschiedener hochadelig Familien und obgemelter H. Johann Frantz Lauerhoß der Sohn und Erben (geäugt und gezeigt) – So beschehen in ferneren beÿseÿn H. Johann Adam Nagels des Weinhändlers burgers alhier als des Erben erbettenen beÿstands Straßburg den 16.ten Julÿ Anno 1729.
Copia Eheberedung
Copia Testamenti nuncupativi
Inn einer alhier Zu Straßburg ane der Kleinen Stadelgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen, deßwegen hernach fol. (-) beschriebenen behaußung folgender maßen befunden
Holtz und Schreinwerck. In der Cammer A, Im obern Haußöhren, In der oben Stub, In der Wohnstub, In der Kuchen
Sa. haußraths 73 (W 17, E 50, T 6), Sa. Silbers 2 (W 14 ß, E 1), Sa. Goldener Ringe (W) 2, Sa. Frucht 11 ß, Schuld in der Wittib Vermögen zugeltend 40, Sa. Pfenningzinß hauptgüter (E) 400
Ergäntzung der Wittib abgangen ohnveränderten Vermögens, Nach ausweis Inventarÿ Zugebrachter Nahrung (…) unterm 5. Decembris Anno 1724. auffgerichtet 31, Summa summarum 92 lb
Summa summarum der Theÿlbahren Verlaßenschafft 22 lb
Eÿgenthumb ane einer behaußung so dem Sohn und Erben ohnverändert Zuständig, Eine behaußung, höfflein mit allen deroelben gebäuen begriffen weithen zugehörden Recht und Gerechtigkeiten allhier, am baarfüßer Platz in der Kleinen Staadelgaß einseit neben hannß Georg Clauß dem Haffner, anderseit neben Jacob Kohli dem Tabaccbereiter hinten auff Lorentz Lutzen der Kieffer stoßend gelegen und ist dieße behaußung annoch Verhafftet nemblich dem Stüfft St. Thomæ in Capital 225. lb d, Item H. Johann Peter Immendörffers mit weÿland frauen Maria Catharina gebohrner Barthin ehelich erzeugter dreÿen Kindern ane Mütterlichen Guth benantlichen 350. lb. Item H. Johann Friderich Rebhan Cancellariæ Contractuum Substituto umb 25. lb, So dann Frantz Laurhoß des Sohns und Erbens Zweÿer Kindern erster Ehe nemblichen 100 lb, Summa Vorstehender onerum 700 lb 18 ß 10 ½, sonsten freÿ Ledig und eig. und ist dieße behaußung durch die geschwornen herren Werckmeister Krafft dero Abschatzung vom 12. Julÿ Anno 1729. æstimirt und angeschlagen worden pro 375. lb. Weillen nur die Vorher specificirte onera den Anschlag der herren Werckmeistere umb 325. lb 18 ß 10 ½ d übertreffen alß ist hiehero auszuwerffen, Nihil. Über Vorstehende behaußung besagt ein teutscher Pergamentener Kauffbr. mit der Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insigel Verwahrt und datirt den 1.en Septembris Anno 1724. mit Lit. A. notirt
Schulden in die Theÿlbahre Verlaßenschafft Zugeltend 55 – Schulden aus der Theÿlbahren Verlaßenschafft Zubezahlend 824 lb, Conferendo befindet sich daß die Theÿlbahre Passiv schulden die Theÿlbahre Activ Nahrung übersteigen umb 811 lb
Ergäntzung des Sohns und Erbens abgangen ohnveränderter Nahrung (415, Abzug 56) verbleibt 359, Summa summarum 811 lb – Schulden 460, Nach deren Abzug 350 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 368 lb
Abschatzung d. 12.ten Julÿ aô 1729. Auff begehren des Ehren Vesten vnd Vorachtbahren H. Johann Frantz Laurhoß gewesenen Krempen seel. hinter laßen frau Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Kleinen stadel gaßen gelegen, einseits Neben Johann Georg Claus Kachler, anderseits Neben Johann Jacob goll Taback bereiter, hind. auf H. Schloßer schreiber in der Einquartierung stosend, welche behausung, Stuben, Cammer, Kuchen, hauß Ehren, officier Stub und Cammer, Krempen gädlin, gewölbtes Kellerlein und höffell sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuth sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Sieben hundert und Fünffzig gulden [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
– Zuwißen daß auff heut dato Zu end gemelt Zwischen Fauen Annæ Barbaræ Lauerhoßin gebohrne Volckin weÿland H. Johann Frantz Lauerhoßen geweßenen Krempen und burgers alhier nachgelaßene Wittib mit beÿstand S. T. Hn Johannes Winter wohlverordneten Schaffners Verschiedener hochadelichen Familien Ihres Curatoris ane einem,
So dann H. Johann Frantz Lauerhoßen, dem Schuhmacher und burgern allhier am andern theÿl, folgender güthlicher accord und Vergleich wohlbedächtlich abgered und beschloßen worden.
Erest. so hätte die Wittib Krafft der Eheberedung die Sterb behaußung lebtägig Zum Wÿdumbsitz Hingegen aber die Zinnß von denen darauff stehenden Capitalien abtragen, und daß hauß in gutem bau und Ehren Zuerhalten gehabt, weilen aber solche beede onera nach reiffer überlegung nicht nutzlich befunden alß hatt sie auff solche behaußung mit Consens Ihres Hn Vogts, biß auff hernach specificirte gemächer als die Obere Vordere Stub auff die gaß außsehend, die daran stoßende Kuchen und haußöhren, ferner die Cammer über gemelter Stube auff der Gaß außsehend, das oberste bühnlein Zum holtz, so dann zulänglichen blatz im Keller, welche bestimbte gemächer sie Zu Ihrem Lebtägigen Wÿdumsitz expresse ohne Veränderung Vorbehalten, wohlbedächtlich renuncirt und Verzug thut (…) Straßburg den 27. Julÿ Anno 1729
La maison revient à son fils François Laurhoss qui épouse à Illkirch Marie Barbe Meyer, fille de cordonnier : contrat de mariage (la minute n’en est pas conservée mais une copie figure à l’inventaire dressé en 1720), célébration qui porte que la mère du marié est originaire du diocèse de Bâle
1715, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Frantz Laurhoßen Schuemach. vndt Mariæ Barb: Meÿerin
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Frantz Laurhoßen annoch ledigen Schumachern Von Straßburg Gebürtig, des auch Ehrenhafften und bescheidenen Frantz Laurhoßen, Taglöhners und Schirmbs Verwanthen alda Ehelichem Sohn, alß dem breüttigamb ane einem, So dann der Tugendsamen Mariæ Barbaræ Meÿerin, des Ehrenhafften und Vorachtbahren Herren Balthasar Meÿers Schumachers und burgers alhier Ehelicher dochter als der hochzeiterin andern theils – Straßburg den 25. Augusti im Jahr 1715 – Jacob Christoph Pantrion
Mariage, Illkirch (luth.)
1715. den 1. Sept. sind auf Erlaubnus Ihro Gnaden Regirenden H. Ammeisters in Straßburg, laut beiligend. Scheines Zum I. vnd II. mal außgeruffen vnd d. 3. Ejusd. Copulirt vnd Eingesegnet worden Frantz Lauherhoß der ledige Schueknecht, Frantz Lawherhoßes Schirms Verwantdten und Hänffers in Straßburg, Vnd Margaretha Schweitzerin, auß d. Baßler gebieth ehl. Haußfraw ehl. Sohn, Und Maria Barbara, Balthasar Meÿers burger Und Schuhmachers in Straßburg, Und Ursula seines ehel. haußfrawen ehl. tochter, Beider Evangelisch Lutherischer Religion, Wohnhaft in Straßburg [unterzeichnet] Frantz lurhoß als hoch Zeitern Maria bara meÿerin als hoh zeiterin (i 16)
François Laurhoss fait dresser un état de sa fortune pour devenir bourgeois
1715 (15.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 34)
Inventarium über Frantz Laurhoßen, des ledig. Schumachers habende eigenthümliche Nahrung, auffgerichtet Anno 1715. – vnd vff deßen ansuch. weilen er fürderlich beÿ vnseren Gn. Herren das burgerrecht such. würdt inventirt
Actum Straßb. Freÿtags den 15. Aug: 1715.
Baarschafft 130. lb, Werckzeug 3, haußrath 38, Summar. 172. lb
Laurent (mis pour François) Laurhoss devient bourgeois par sa femme Marie Barbe Meyer quelques jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des cordonniers
1715, 4° Livre de bourgeoisie f° 816
Lorentz Laurhoß der schumacher Von hier, Frantz Laurhoß des Schirmers sohn emp: das burgerrecht von seiner Fr: Maria Barbara Meÿerin p. 2. gold fl. 16 ß wird beÿ den Schumachern dienen. J. d. 23. dito [7.bris 1715]
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Balthasar Meyer rue des Serruriers
1715 (30. 7.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 34)
Inventarium über Frantz Laurhoßen, des Schumachers, und Frauen Mariæ Barbaræ gebohrner Meÿerin beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1715
(dießes Inventarium ist zu ersparung Unkostens nicht ausgefertiget, sondern alß die Fraw in Anno 1720. gestorben, die Ergäntzung nur auß deù Concept ersucht worden.)
In einer allhier In der Schuemachergaßen gelegener, H. Balthasar Meÿern der Frauen Vettern Zuständigen behaußung, ist befund. worden, wie volgt
François Laurhoss sollicite auprès des Quinze une dispense pour faire son chef d’œuvre alors qu’il est marié. Il argue qu’il doit entretenir son vieux beau père et qu’il n’en aura pas les moyens s’il n’est pas maître. La commission estime que le beau père sera à la charge de l’hôpital si son gendre ne peut pas subvenir à ses besoins et accorde la dispense
1719, Protocole des Quinze (2 R 123)
Frantz Laurhoß Ca. E E Zunfft der Schumacher pt° Meisterstücks
(p. 88) Sambstag d. 11. Marty 1719. – Gug noê Frantz Laurhoß Schumacher C. E E Zunfft der Schumacher Zunfft Meister H. Neffian, Principal berichtet Unterthänig daß er bereiths schon vor 3. Jahren mit einer hiesigen burgers und Meisters tochter sich verheurathet, auch Kurtz darauff das burgerrecht erhalten, Weil nun anjetzo seine meinung, das Mstrstk. Zu Verfertigen, alß bitt Umb gn. dispensation und admission Zum Meisterstück. Moss. H. Citatus berichtet daß Gegner schnur strack wieder ordnung sich Verhalten, Weil dann deßen begehren denen Articuln Zu wieder, alß bitt Undthg. selbigen abzuweißen, Ref. Expensis. Gug erhelt petitum und setzt. Erk. Ober Handwerckherren.
(p. 116) Sambstag d. 18. Marty 1719. – Iidem [Ober Handwerckherren] laßen ferner per Eundem [Secretarium] Referiren, daß Frantz Laurhoß der Verheurathete Schumacher Gesell C. E E Zunfft der Schumacher berichtet daß er bereiths vor dreÿ Jahren sich mit einer hiesigen burgers und Meisters tochter verheurathet auch Kurtz darauff das burgerrecht erhalten, Weilen er aber anjetzo seine meinung, das Meisterstück Zu Verfertigen, alß bathe er Ine Zum meisterst. dispensando gnädig Zu admittiren.
Von seithen E E Zunfft seÿe hierwieder eingewendet worden, der Implorant habe sich schnur strack wieder Ordnung Verhalten, und begehrt derselben mit diesem seinem wieder Articul lauffenden begehren abzuweißen.
Beÿ beseßener Deput. habe der Implorant gemelt er gestehe daß er das Meisterstück hätte sollen in ledigem stand machen, allein er bathe Zu consideriren, daß er einen alten 70. jährigen Schwehrvatter habe, Welchen er ernehren müßte, welches er Anderst nicht præstiren Könte, als wann durch Verfertigung des Meisterstücks er in stand gesetzt würde Meister zu werden und gnd. seines Schwehrs Werckstatt auffrecht und beÿ Kunden Zu erhalten, mit nochmahliger demüthiger bitt, gn. dispensando zu Willfahren daß er das Meisterstück mache.
Nôe E. E. Zunfft seÿe erschienen H. Neffian alß Zunfft Meister Welcher Wiederhohlt daß des Imploranten begehren wieder Articul deren manutenentz Er demüthigst wolle gebetten haben, und würde es Zu einer bößen consequenz gerathen, wann dem Imploranten solte willfahrt werden, maßen andere ebenmäßige suchen würden.
Aauff seithen der Hh. Depp. haben man sich erkündiget was es für eine Beschaffenheit mit dieses Imploranten Schwehrvatter habe, da man des Vorgeben der Wahrheit gemäß gefunden, und daß wann dieser Implorant sich nicht mit der mit erhaltung sothanen seines Schwehrvatters, Welcher ein alter 70. jähriger unvermöglicher Mann, chargiren würde, derselbe Wohl dem Spithal allhier heimfallen möge, In welcher Consideration die Hh. Depp. vermeinten daß gegen erlag 4 lb halb Gemeiner Statt und halb der Zunfft der Implorant dispensanndo, jedoch ohne præjudiz und Consequenz Zu dem Meisterstück könte admittirt werden, die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.
Marie Barbe Meyer meurt en 1720 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Cordonniers. L’actif du veuf s’élève à 13 livres, le passif à 45, les biens des héritiers sont estimés 142 livres. L’actif de la communauté s’élève à 20 livres, le passif à 79 livres
1720 (29. 8.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 43)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland die Ehren und Tugendsame Fraw Maria Barbara Laurhoßin gebohrne Meÿerin des Ehrenhafften Meister Frantz Laurhoßen, Schuhmachers und burgers alhier geweßene eheliche Haußfrau, nunmehr seel. nach ihrem den 22.ten Septembris Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des auch Ehrenhafften Meister Johann Philipp Meÿers, Schuhmachers und burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Johannis Francisci, Margarethæ Salome und Mariæ Magdalenæ Laurhoßin, der Abgeleibten Frawen seel. mit obernantem ihrem hinterbliebenen Wittwer ehelich erzeugter Kinder und ab intestato verlaßener Erben, Inventirt – So beschehen in Straßburg dinstags den 29.ten 8.bris 1720.
In einer alhie zu Straßburg In der Schumacher gaßen gelegener Behaußung darinnen beede Eheleuthe lehnungs weiß bewohnt, ist befunden worden wie volgt
Ergäntzung der Erben Unveränderten Guths, Laut des über eingangs gemelter beeder Ehepersohnen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch mich Notarium den 30. 7.bris 1715. auffgerichteten Concept Inventarÿ
Series rubricar. des W. unverändertes Guth, Sa. Werckzeugs 1, Sa. Ergäntzung 12, Summa summarum 13 lb – Schuld 45 lb, Übertrifft also besagtes Passivum des Wittwers unverändert Guth vmb 31. lb
der Erben unveränderte Nahr. Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 2, Sa. Guldener Ring 1, Sa. Schuld 45, Sa. Ergäntzung 55, Summa summarum 142 lb
die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 16, Sa. leders 3, Summa summarum 20 lb – Schulden 79, Übertreffen also die Theilbare Passiva die Theilbare Verlaßenschafft vmb 58. lb
Conclusio finalis Inventarÿ 52. lb
Eheberedung (…) Straßburg den 25. Augusti im Jahr 1715 – Jacob Christoph Pantrion
François Laurhoss re remarie avec Barbe Hoffmann, fille de sachetier : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1721, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Frantz Laurhoßen Schumach: vndt Jgfr Barbaræ Hoffmännin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 333-v, n° 1372)
1721. Eod. [Mittw. d. 5. Martÿ] Wurden nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt vnd eingesegnet Frantz Laurhooß, der burger, schuhmacher v Wittwer alhier, v. Jgf. Barbara weÿl. Joh: Hoff Manns Geweßenen b. v. Säcklers alhier nachgelaßene ehl. tochter [unterzeichnet] Frantz lurhoß als hohzeiter, + der hochzeiterin mit ihren Zeich. (i 333)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison Petite rue de la Grange. Ceux du mari s’élèvent à 508 livres, ceux de la femme à 140 livres, le passif à 95 livres.
1729 (21. 9.br) Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 60)
Inventarium über des Ehrenhafften Meister Frantz Laurhoßen, Schumachers: und der Ehren und tugendsamen frawen Barbaræ Laurhoßin, gebohrner Hoffmännin einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1729. – Crafft ihrer mit einand. auffgerichteter Ehepacten alß ein unverändert guth in den Ehestand Zugebracht, darunder auch in Specie und insonderheit begriffen, alles das Jenige waß Er Mstr. Laurhoß der Ehe Mann ohnlängsten von weÿland H. Frantz Laurhoßen, geweßenen Grempen und burgern alhier seinem geliebten Vatter seel. tanquam filius et hæres unicus ab intestato ererbt, und würcklichen im besitz hat – So bescheh. in Straßburg, In fernerem Gegenwarth des Ehren vorachtbaren herrn Johann Adam Nagels, Weinhändlers v. burgers Zu straßb. der Ehefrauen hierzu Insonderheit erbettenen beÿstands, Montags den 21.t 9.bris 1729.
(M.) Eigenthumb ane einer behaußung. Item eine behaußung und Höfflein mit allen deren gebeüwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörd. v. gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßb: ane dem Baarfüßer Platz in der Kleinen Stadelgaßen, eins. neben hanß Georg Clauß dem haffner, anders. neben Jacob Kohl dem taback fabricanten, hinden auff Lorentz Lutzen den Küffer stoßend, Davon Gehen Jährlich. dem Stifft St. Thoman 10. lb 2 ß 6 d bd. zinß vff Joh. Bapt: dem Stifft St. Thomæ ablößig in Cap: mit 225 lb. Item 9 lb 6 ß 4 d Zinß Johann Peter Immendörffers des Tabackbereiters Kindern, Jahrs auff weÿhenachten, ist in restirendem Capital abzulößen mit 233. lb. Item 4 lb d gelts des Ehe Manns mit weÿl. Frauen Maria Barbara gebohrner Meÿerin seel. in erster Ehe erzeugten Kinder, weg. ererten Großmütterl. Guths so vff diße behausung versichert worden 100 lb, Sonsten freÿ ledig und eigen vnd ist dieße behaußung welche der Ehe Mann von seinem Vatter seel: ererbt, auch deßen Stieffmutter Fraw Anna Barbara gebohrner Volckin nich dero bestimbten Wÿdembs sitz von einigen Gemachen derinnen hat Zu Verhütung Künfftig. Dispututats ohnangeschlag. gelaßen vnd der Künfftig davon erhaltene Preiß, Wafern solche behaußung solte alienirt werden, reservirt worden. Über vorstehende behaußung besagt i. teutsch. Perg: Kauff brieff, mit der Statt Straßburg anhang: Cantzleÿ Contract Insigel verwahrt datirt den 1. 7.bris 1724.
Wÿdemb, so Fraw Barbara Laurhoßin gebohrne Volckin des Ehemanns Stieffmutter ad dies vitæ Wÿdembs weiße Zu genieße hat, (…) 250. lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns unverändertes guth, Sa. haußraths 199, Sa. der frucht 40, Sa. des leders vnd werckzeugs Zum Schuhmacher handw. gehörig 11, Sa. des Silbers 5, Sa. des guldenen rings 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung nihil, Sa. Schulden 450, Summa summarum 1044 lb – Schulden 536 lb, Nach deren Abzug 508 lb
Der Ehefr. Zugebrachte Nahr. belangend, Sa. haußraths 83, Sa. silbers 2, Sa. goldenen Ring 5, Sa. baarschafft 50, Summa summarum 140 lb
François Laurhoss hypothèque la maison au profit de Marthe Salinus veuve du chaussetier Georges Jacques Goppert
1729 (5.12.), Chambre des Contrats, vol. 603 n° 550
Frantz Laurhoß Schuemacher
in gegensein Marthæ geb. Salinußin weÿl. Georg Jacob Goppert hoßenstrickers wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Daniel Elles des Sigristen beÿ der Prediger kirch und hoßenstickers
In seiner ahn der kleinen Stadelgaß, einseit neben Georg Clauß dem haffner anderseit neben Jacob Kohlÿ dem tabackbereither hinten auff H. Peter Schloßer den Einquartierungs Schreiber stoßend gelegenen behausung, Unden auff dem boden Eine Stueb Kuchen Laden im hoff platz zum holtz einen unterschlagenen Keller, mehr zwo stiegen hoch eine in den hoff gehende Kammer – auff 4 nacheinander folgenden jahren, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden
François Laurhoss hypothèque la maison au profit du chanoine de Saint-Thomas Jean Jacques Sachs
1732 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 488-v
Johann Frantz Laurhoß der Schuemacher
in gegensein S.T. H. Johann Jacob Sachs Med. D. und Phys. Prof. Publ. Ord. auch Capituli Thomani Canonici als Cistarÿ Senioris der Cistæ ged. Capituli Thomani – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer platz in der kleinen Stadel: gaß einseit neben Johann Georges Reh dem haffner anderseit neben Jacob Kohli de tabackbereither hinten auff Friedrich Kährlin den Kieffer – als einigem Erbe seines Vatters seel. weÿl. Johann Friedrich Laurhoß Seÿlers eigenthümlich zuständig
François Laurhoss hypothèque la maison au profit du diacre Jean Georges Schweigheusser
1743 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 97
Johann Frantz Laurhoß der schuhmacher [unterzeichnet] lurhoß
in gegensein H. M. Johann Georg Schweigheußer Diaconi senioris zu St Thomæ auch canonici als dasigen Capituli Cistarÿ – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis am baarfüßer platz in der Kleinen Stadelgaß, einseit neben Johann Georg Clauß dem haffner, anderseit neben N. Kreutzer dem Schloßer, hinten auff Friedrich Carlin den kieffer – als ein vätterliches erbguth
François Laurhoss hypothèque la maison au profit des enfants du boulanger Jean Frédéric Reumann
1747 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 516-v
Johann Frantz Laurhoß der schuhmacher
in gegensein H. Johann Martin Meÿer des schuhmacher E. E. kleinen Raths beÿsitzers als vogts weÿl. Johann Friedrich Reumann des weißbecken zweÿ kinder erster ehe Philipp und Friedrich – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben H. Rathh. Johann Georg Ihle dem weißbecken, anderseit neben H. Johann Michael Kreutzer dem schloßer, hinten auff Christian Tchiederich den leinenweber
François Laurhoss hypothèque la maison au profit de Marguerite Voltz, femme délaissée du marchand de cuir Jean Daniel Griesbach
1750 (7.4.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 165
Frantz Laurhoß der schuhmacher
in gegensein H. Samuel Bruder des knopff machers als vogt Fr. Margarethæ geb. Voltzin Johann Daniel Grießbach des von hier ausgetrettenen lederhândlers verlassenen Ehefrau – schuldig seÿe 201 gulden
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der kleinen stadel gaß, einseit neben H. Rathh Ihle dem weißbecken, anderseit neben N N dem tabacbereiter, hinten auff N. Tschiderich den leinenweber
François Laurhoss hypothèque la maison au profit du tanneur Jean David Büry pour lequel agit son beau frère Jean Jacques Buschardt
1750 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 255
Frantz Laurhoß der schuhmacher
in gegensein Johann Jacob Buschard des rothgerbers als gewalthabers seines schwagers Johann David Burÿ des rothgerbers – schuldig seÿe 446 fl.
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben H. Rathh Ihle dem weißbecken, anderseit neben N N dem tabacbereiter, hinten auff N Tschiderich den leinenweber
François Laurhoss hypothèque la maison au profit du meunier Jean Georges Fleischhauer
1750 (28.11.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 596
Frantz Laurhoß der schuhmacher
in gegensein Johann Georg Fleischhauer des müllers – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben H. Rathh. Ihle dem weißbecken, anderseit neben N N tabackbereiter, hinten auff N. Tschiderich den leinenweber
François Laurhoss et Marie Barbe Hoffmann hypothèquent la maison au profit du tanneur André Schurer.
1752 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 467
Frantz Laurhoß der schuhmacher und Barbara geb. Hoffmännin mit beÿstand Daniel Kleinschrot des Paßmentirers und Johann Schopff des bratwurstmachers
in gegensein Andreas Schurer des rothgerbers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben H. Rathh. Ihle dem weißbeck, anderseit neben N. Wurm dem tabacbereiter, hinten auff N. Tschiderrisch den leinenweber
La maison de François Laurhoss est vendue par adjudication judiciaire le 11 septembre 1754. L’adjudication au profit de Jean David Büry, tanneur à Westoffen, est confirmée par les Conseillers et les Vingt-et-Un le 16 septembre.
1754, Conseillers et XXI (1 R 237)
Johann David Burÿ der burger und Rothgerber Von Westhoffen erhaltet confirmationem einer auff dem ganth vorgenommenen adjudication der Frantz Laurhoß dem schuhmacher allhier zugehörigen behaußung nebst erlaubnuß sich solche behöriger orthen zuschreiben zulaßen. 209.
(p. 209) Montag den 16.ten Septembris 1754. Freund nôe Johann David Burÿ des burgers und Rothgerbers Von Westhoffen producirt unterth. Memoriale und bitten mit beÿl. Sub Lit. A pt° confirmationem adjudicationis einer behaußung.
Erkandt, wird die den 11.ten hujus auff allhießigem ganth vorgenommener adjudication einer Frantz Laurhoß dem ältern Schuhmacher und burgern alhier zugehörigen in der Kleinen Stadelgaß alhier einseith neben H. Rathh. Johann Georg Ihle anderseith neben Frantz Würmer gelegenen behaußung, welche H. David Burÿ der burger und Rothgerber Von Westhoffen für und umb dis summ der 1500 gulden nebst übernahm aller unkösten als meistbiethender ane sich ersteigert, obrigkeitlichen confirmmirt, in befolgung deßen wird dem Implorirendem H. Bürÿ in deßen nahmen H. Johann Jacob Buschard mand. nôe erschienen, mit gebettener erlaubnuß den gewöhnlichen ganth Kauffbrieff deßfalls behöriger orthen außfertigen zulaßen Willfahrt.
Depp. H. Rathh. Horrer, H. Rathh. Gangolff.
David Buri épouse en 1737 Marie Esther Heusch de Bischwiller
Mariage, Bischwiller (paroisse réformée française, p. 15) Le 4° mars 1737 a été béni le mariage du Sr. David Buri, Tanneur de Westhoffen, fils de feu le Sr Johann Jacob Buri le tanneur avec Dlle Marie Esther Heusch fille de Mr Abraham Heusch Echevin & marchand de ce Lieu et ancien de nôtre Eglise (i 105)
Jean David Büry vend la maison au serrurier Jean Geoffroi Fichter
1766 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 578
Johann David Büry, der rothgerber zu Westhoffen
in gegensein Johann Gottfried Fichter des schlossers
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben Franz Wurm dem tabacfabricant, anderseit neben weÿl. H. Rath Ihle erben, hinten auff Christian Tschickreich den leinenweber – als ein am 1. Septembris. 1754 ane der ganth ersteigertes guth – um 475 pfund
Jean Geoffroi Fichter qui déclare avoir terminé ses années d’épreuve demande un certificat et l’admission au chef d’œuvre. Les Maréchaux se réfèrent à leur règlement et renvoient le pétitionnaire aux Quinze
1758, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 3) Anno 1758, Freÿtags den 20. Januarÿ – Gottfried Fichter der leedige Schloßer Gesell, Jacob Fichter des Schirmers und Balierers auf allhießigem Zimerhoff ehelicher Sohn, stehet vor und bitt man wolle Ihn aus den Muthjahren austhun und Zum Meisterstück admittiren, die Zeit würde sich endigen d. 18. Aprilis 1759. Erkandt ist derselbe in seinem begehren ab: und an den Articul verwießen worden.
(f° 4) Montags d. 14. Februarÿ 1758. Eodem die wurde die von Gottfried Fichter dem Schloßer Gesell von hier gebürtig beÿ Gnädigen Herren denen Herren Fünffzehen eingegebene Schrifft puncto Dispensationis des Muthjahr E. E. Meisterschafft abgeleßen und Erkand, daß eine Gegenschrifft deßfals beÿ Gnädigen Herren denen Herren Fünffzehen eingegeben werden solle.
Jean Geoffroi Fichter sollicite auprès des Quinze une dispense parce qu’il n’a pas terminé ses années d’épreuve. Lors de la comparution du 11 mars, il ajoute que feu le conseiller Falckenhauer lui a assuré qu’il pouvait ne faire que trois années d’épreuve. Les fabricants de treuils répondent que jamais aucun étranger ni fils de manant n’a fait moins de quatre années d’épreuves. La commission se range à l’avis des représentants du métier et refuse d’accorder la dispense.
1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
Gottfried Fichter Ca. der Schloßer und Windenmacher
(p. 14) Sambstags d. 18. Januarÿ 1758. Freund nôe Gottfriedt Fichter des ledigen schloßers von hier gehörig, Ctra E. E. meisterschafft der schloßer und Windenmacher Obermeister producirt unterth. memoriale und bitten samt beÿlag Sub Litt. A puncto dispensation der übrigen muthjahr und admission Zum meisterstück. Claus bitt Cop. et term. ord. obtinuit.
(p. 43) Sambstags d. 18. februarii. Freund nôe Gottfriedt Fichter in actis Ctra E E msterschaffr der schloßer und Winden macher auch in actis erhohlt dießeitiges memoriale Vom 28.ten Januarÿ jüngst, bitt Deputation. Claus weilen ihm erst Vorgestern Copia gegentheiligen producti zugestellt Worden, ams bitt term. ord. Freund bitt wie vor. Erkandt Zeit ad proximam Zugelaßen.
(p. 53) Sambstags d. 25. februarii. Freund nôe Gottfriedt Fichter in actis Ctra E E meisterschafft der schloßer und Winden macher Obermeister erhohlt nochmahls dießeitiges memoriale Vom 28.ten Januarÿ jüngst. Claus producirt unterthänige beantwortung juncto petito und bitt Deputationem facta que relatione dem Imploranten ab: und an den artickel Zu verweißen. Freund bitt Cop. et Deput. Erkandt Cop. et Dep.
(p. 81) Sambstags d. 11. Martii. Iidem laßen per Eundem referiren es habe Gottfriedt Fichter der ledige Schloßer gesell Von hier den 29.ten Januarÿ Jüngst, Ctra E. E. meisterschafft der schloßer und Winden macher Obermeister unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿlag Sub Litt. A producirt und dahin concludirt mghhen geruheten Deputationem abzuordnen et facta relatione gnädig zu erkennen, daß der implorant Von der übrigen muthzeit dispensirt seÿn und Zum meisterstück admittirt werden solle, den 25.ten Februarii sequentes habe der Imploratische Obermeister seine unterthänige beantwortung übergeben, und seine conclusiones dahin eingereichet, Mghherren geruhten möchten zu erkennen, daß Implorant mit seinem begehren ab: und ane den articul Zu Verweißen seÿe, refusis Expensis
Auff geschehene Weißung habe der Implorant sich auff den jnnhalt seines producti bezogen, mit dem beÿsatz daß nicht nur H. Rathh. Falckenhauer ihne Versichert, daß Er nur 3 jahr Vermuthen dörff, sondern Er habe ihne auch auff den todtbett errinnert, Er solle nunmehr gehen, und sich Wegen auffnahm des meisterstücks melden.
nôe Imploratischer Meisterschafft, seÿen Vorgestanden Johann Carl Tretter, als Ober: Johann Martin Host als untermeister, und gottlieb Dittmann alle 3 schloßer, welche Ihrer beantwortyng beÿgesetzt, daß des Imploranten Vorgeben wieder ordnung und artickel seÿe, indeme Kein Exempel Vorhanden daß ein frembder oder schirmers sohn weniger als 4 Jahr Vermutht, da nur über dießes würcklich einer im stuck begriffen, auch ein anderer deßen muthzeit Vollendet, Von Paris allwo Er sich dermahlen aufhaltet, geschrieben, daß Er sobald des ersteren stuck Vollendet, das seinige antretten will, als Wollten sie Zu Vermeidung aller unordnung gebetten haben, den imploranten an seine ordnung Zu Verweißen.
die Hrn Deputirte hätten in der that des Imploranten petitum, als welcher ein schirmers sohn ist, und noch nicht 3 ane statt 4 jahr Vermuthet habe, als allzufrehzeitig angebracht angesehen und deßwegen dafür gehalten, daß derselbe noch Zur Zeit mit seinem begehren ref: Exp. abzuweißen seÿe. Erkannt, bedacht gefolgt.
Jean Geoffroi Fichter termine ses années d’épreuve et déclare vouloir préparer son chef d’œuvre chez Léonard Finck
1758, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 16-v) Mittwochs den 18. Aprilis 1759. – Ausgethaner aus denen Muthjahren
Gottfried Fichter der leedige Schloßergesell von hier gebürtig, stehet vor und bitt, man wolle Ihne aus denen Muthjahren austhun, seine Zeit hat sich hoc die geendet, vide die Einschreibung vom 12.ten May 1755. Erkannt Willfahrt (dt. 1 lb)
Eodem die stehet derselbe ferner Vor und bitt, man wolle Ihme den Riß des Meisterstücks auffgeben, will das Meisterstück beÿ Mr. Leonhard Finck Verfertigen, Erkannt, Willfahrt (Aufflag geld 7 ß)
Jean Geoffroi Fichter obtient en avril 1759 le sujet de son chef d’œuvre qu’il présente en janvier 1760. Les examinateurs y relèvent 19 défauts. Le candidat est reçu maître mais devra verser trois livres à cause des défauts et trois autres livres pour avoir outrepassé le temps imparti à réaliser son chef d’œuvre.
1759, Protocole de la tribu des Serruriers (XI 145 Protocole des chefs d’œuvre, 1755-1790)
(p. 10) Eodem die [Mittwochs d. 18.ten Aprilis 1759] stehet auch Johann Gottfried Fichter, der leedige Schloßer gesell Von gier gebürtig, welcher gleichfalls gebetten man wolle Ihme das Meisterstück auffgeben.
Ist Ihme hierauff auffgegeben worden, Ein eißernes Cassa trog, sambt dem Fuß. Davon das Schloß bestehen soll in 22. stumpffen Rieglen, einem Lößrigel und Vier Schlepp rieglen, sambt Auff und Zuhaltung und sollen solche riegel alle auff einmal mit einem Schlüßel auffgeschloßen werden, die Größe Vom Kasten mag der Stuckarbeiter ebenmäßig nach einer guten proportion selbsten eintheilen, jedoch mit gebrochenen Ecken, auch Gesimbßer und Laubwerck sauber ausarbeiten, das Eingericht soll seÿn mit 6. Spannischen Creutzen und einer in: und aiswendigen Strahl und solches solle innerhalb Sechß Monathen Verfertiget, sauber und meisterlich, gantz und grad auff die Schau gelieffert werden – Johann Friderich Lobstein, Notarius juratus und E: E: Zunfft der Schmid Zunfftschreiber
(p. 12) Mittwochs d. 2.ten Jan: 1760. erscheint in Gegewarth des hoch Edel vest fromb fürsichtig hochweiß und hochgelehrten herrn Joh: Philipp Dorßners, des beständigen geheimen Regiments derer Herren XV. in löblicher Statt Straßburg hochansehnlichen H. Assessoris als zu gegenwärtiger Schau hochverordneten Hn Obmanns, vor denen vier geschwornen Hn Meisterstück Schaueren, Joh: Georg Fichter der ledige Schloßergesell von hier gebürtig, welcher nach deme er den eißernen Cassa trog sambt dem Fuß gefertiget gebetten solches gebührender maßen Zubesichtigen.
Wobeÿ derselbe Handtreu ane Eÿdesstall abgelegt daß er sein vorgewießen Meisterstück mit eigener Hand verfertiget und haben sich nachfolgende Fehler daran befunden.
1.mo, die riegel schließen ohngleich auff und sind Zu dünn.
2.do, das Löß Riegel hält nicht genug ein, wann das Schloß aufgesperrt ist.
3.tio, vier Riegel stehen in der auffhaltung vor.
4.to, der Riebschweiff ist in denen langen theilen etwas buglicht.
6.to, die beede gebrochene Eck am Kasten sind ohngleich.
7.mo, weilen der Deckel zu schweer, als wurde dem Stuckmeister erlaubt, den Kasten an den Fuß anzuschrauben so sonsten nicht gebräuchlich ist.
8.vo, Und die Handhaben sind zu klein und zuweit unten am Kasten angemacht und solten die Ecke der Gesimbßer nicht bedeckt seÿn, auch sind die mößingen Knöpff wider Ordnung gegoßen.
9.no, die Zierath an dem Kasten sind nich nach der Ordnung.
10.mo, Alle Riegel und Schlepp Riegel seÿndt eingefeÿelte, welches nicht seÿnn soll und könnte wohl ein Hauptfeher daraus gemacht werden.
11.mo, der Schlüßel im Eingericht ist Zu schwach und Zu klein im rohr.
12.mo, der Dorn ist Zu dünn gefeigelt.
13.tio, die Besatzung ist vornen im Barth nicht gleichling.
14.to, den Creutz: dorn kan man nicht abschrauben, und ist
15.to, in denen Gesimbßen Zu breit, stehet ein viertels Zoll von barth ab.
16.to, die hinterstudlen von denen Schlepp Rieglen, solten doppelt Stefftzen haben.
17.mo, die vier Eck an dem Umbschweiff seÿnd Zu kurtz gebrochen.
18.vo. das Vorgesperr ist gar schlecht verfertigt.
19.no, das Stück ist überhaupt nicht fleißig genug gearbeitet.
Dießemnach sidn dem Stuckmeister solche Fehler vorgehalten worden, und soll derselbe für die Fehler, so sich an dem Stuck befunden, 3 lb
so dann weilen er 8. wochen über die Zeit ane dem Stuck gerabeitet, statt 6. lb d. ex speciali gratia nur 3. lb d alß in allem 6. lb d Zahlen, übrigens aber soll das Stuck gezeichnet und Er für einen erhrlichen Meister auff und angenommen werden. – Johann Friderich Lobstein, Notarius juratus und E: E: Zunfft der Schmid Zunfftschreiber
Fils du contremaître et manant Jacques Ficher, Jean Geoffroi Fichter épouse en 1760 Marie Salomé Kæstler, fille de menuisier : contrat de mariage, célébration
1760 (9.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 128
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren: und wohlvorachtbare Mr. Gottfried Fichter der leedige Schloßer und burger dahier, beiständlich Jacob Fichters des balierers auf dem Zimmerhoff und Schirmers dahier seines Vatters als Hochzeiter ane einem
Vnd dann die Viel Ehren: und tugendsamen Jungfer Maria Salome Kästlerin, weil. Christian Kästler, des gewesenen Schreiners und burgers dahier seeligen nachgelaßener tochter unter autorisation Mr. Joh: Heinrich Beude des auch Schreiners und burgers dahier, dero geordnet und geschworenen Vogts als Hochzeiterin ane dem andern theil
auf Mittwoch den 9. Julÿ Anno 1760 [unterzeichnet] Johann Gottfriedt fichter Als hochzeiter, Maria Salome Kästlerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 22)
1760 Mittwoch d. 30. Jul. wurden nach Zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S Nicolai Ehelich eingesegnet Johann Gottfried Fichter der Ledige Schloßer v. burger allh. Jacob Fichter Ballier auff der Statt Zimmerhoff und Schirmers allhier Ehelicher Sohn, v. Jfr. Maria Salome Kästnerin weÿl. Christian Kästners gew. Schreiners und burgers allhier hinterlaßene Ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Gott fridt fichter Als hochzeiter, Maria Salome Kastlerin als hochzeiterin (i 163) – Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 221)
Après avoir accédé à la bourgeoisie (les livres de bourgeois manquent pour cette époque), Jean Geoffroi Fichter devient tributaire chez les Maréchaux le 22 janvier 1760
1760, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 95) Dienstags d. 22. Januarÿ 1760 – Evangelischer neuer Leibzünfftiger
Johann Gottfried Fichter, der leedige Schloßer von hier gebürtig, stehet vor und bitt, mann wolle Ihne dißorts als j.m Leibzünfftigen auff und annehmen, producirt Cantzleÿ, Stall: und Pfenningthurns Schein, de datis 17. et 19.ten Januarÿ 1760
Erkannt Willfahrt, dt. 3. lb 16 ß d.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Meuniers. Ceux du mari s’élèvent à 166 livres, ceux de la femme à 198 livres.
1760 (4.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 797) n° 208
Inventarium über des Ehren: und Wohl Vorachtbahren Mr Gottfried Fichters, des Schloßers und Frauen Mariä Salome Fichterin geb. Kästlerin, beeden Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, errichtet in Anno 1760 – der Ursachen alldieweilen in Ihr beede Eheleuthe den 9. Julÿ jüngsthien Vor mir Notario errichteten Heuraths: Verschreibung enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – Actum allhier Zu Straßburg in beisein Mr Johann Heinrich Buckel des Schreiners und burgers alhier, der Ehefrauen annoch ohnentledigten Vogts, auf Montag d. 4. Augusti Anno 1760.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Müllergäßlein gelegenen und in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behausung befunden worden als folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 9 lb, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar zur Schloßer Profession gehörig 178 lb, Sa. Silbers 4 lb, Summa summarum 192 lb – Schulden 50 lb, Nach solchem abzug 142 lb, Darzu kommt ferner die helffte ane denen haussteuren 24 lb, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen 166 lb
Dießemnach kommt nun auch die beschreibung der Ehefrauen gesamten vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Vermögens, Sa. hausraths 68 lb, Sa. Silbers 10 lb, Sa. goldenen rings 6 lb, Sa. der baarschafft 90 lb, Summa summarum 174 lb – Dazu gelegt die helffte ane denen haussteuren 24 lb, der Ehefrauen gesamt in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 198 lb – Beschluß summa 365 lb
Jean Geoffroi Fichter et Marie Salomé Kæstler hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs de Jacques Frédéric Huffschmidt
1770 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 451
Johann Gottfried Fichter der schloßer und Maria Salome geb. Kästlerin mit beÿstand ihres bruders Johann David Kästler des schreiners und Philipp Jacob Rein des spenglers beede ihren nächsten
in gegensein Jacob Samuel Fichter des perruckenmachjers als vogt Johann Jacob Huffschmidt des consigne kinds I. ehe Jacob Friedrich Huffschmidt – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem kleinen Stadelgaß, einseit neben den Jchleinschen erben, anderseit neben H. Wurm dem tabackhändler, hinten auff N. Leis den hoßenstricker
Le serrurier Jean Frédéric Fuchs porte plainte contre Jean Geoffroi Fichter qui a accepté un nouveau travail chez un client sans avoir été payé du premier. Comme cette pratique est contraire au règlement, Jean Geoffroi Fichter devra régler une amende de 5 livres, réduite à 1 livre 10 sols, et en outre 5 sols pour avoir été irrespectueux envers Jean Léonard Finck lors d’une précédente réunion.
1770, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 76-v) Dienstags den 20.ten Novembris 1770 – Mr Johann Friderich Fuchs der Schloßer und burger dahier stehet vor und klagt wieder Meister Gottfried Fichter dem auch Schloßer und burgern dahier daß deß in herrn Merckels des Goldschmidts behaußung auf dem Roßmarckt einige thüren in die band gehenckt, Zweÿ täg darnach beklagter die Schloß daran angeschlagen, ob er gleich noch nicht bezahlt war, Weilen nun solches wieder Ordnung und Articuls als bittet er umb Abstraffung idque refusis expensis.
Ille zugegen ist der Anklag geständig, sagt aber es haben schon unterschiedenene Meister das nemliche gethan, bittet dahero um absolutionem.
Erkannd, ist beklagter laut des von Gnädigen Herren denen Herren Fünffzehen den 20.ten Februarÿ 1751. E: E: Meisterschafft ertheilten Sechsten articuls in 5. lb d Straff und in die aufgeloffene Handwercks uncösten condemnirt worden.
Bath um Gnad, ist die Straff ad 1 lb 10 ß d moderirt worden
Weilen uch gedachter Meister Gottfried Fichter beÿ versammeltem handwerck sich gegen Meister Johann Leonhard Finck verfehlt und ihne an der Ehr angegriffen, als solle er das Auflaggeld liegen laßen, 5 ß d Straff Zahlen und Ihme Mr Finck die hand geben, so er auch sogleich gethan.
Jean Geoffroi Fichter se plaint de Jean André Scholl qui l’a traité de goujat. L’accusé répond qu’il n’a fait que répéter les paroles de l’aubergiste Claussmann. Le conseil de tribu estime qu’il n’y a pas lieu de donner suite à l’affaire.
(f° 80-v) Dienstags den 11. Februarÿ 1772 – Mr Gottfried Fichter der Schloßer und burger dahier stehet vor und Klagt wieder Mr Joh: Andream Scholl den auch Schloßer und burger dahier, daß Er Ihne ohnlängst geschimpft und einen Flögel geheißen, weilen nun solches wieder Ordnung, als bittet Er um abstraffung, reparation d’honneur und refundirung der Unkösten.
Ille zugegen sagt, Hr Claußmann der ehemalige Gastgeber allhier, welchen Cläger die Arbeit habe verbiethen laßen, habe gesagt, es seÿe flögelhafft, daß der solches gethan welches Er darauffhien nur Erzählung weiße wider gesagt, bitte dahero um Absolutionem.
Erkanndt, da sich in der Umfrag geäußert, daß Mr Scholl nur beditten, was Claußmann gesagt, als solle diese Sach aufgeschoben seÿn, beede theil einander die Händ geben und die Auffgeloffdne Handwercks Unkösten mit einander errichten.
Jean Geoffroi Fichter et Marie Salomé Kæstler hypothèquent la maison au profit de Catherine Dorothée Güntzer veuve du marchand Georges Henri Krauss
1776 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 88-v
Johann Gottfried Fichter der schloßermeister und Maria Salome geb. Kästnerin unter assistentz Johann David Kästner des schreiners ihres leiblichen bruders und Philipp Jacob Reÿn des spenglers ihres geschwister kinds [unterzeichnet] Rhein
in gegensein Fr. Catharinæ Dorotheæ Kraußin geb. Güntzerin weÿl. H. Georg Heinrich Krauß des handelsmanns wittib – schuldig seÿen 120 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben den Ihleischen wittib und erben, anderseit neben N. Wurm dem tabackhändler, hinten auff N. Leiß den hoßenstricker zum theil theils eine dem mehrern hospital zuständige behausung
Marie Salomé Kæstler meurt en 1777 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 260 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 630 livres, le passif à 1 182 livres
1778 (23.2.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 823) f° 803
Inventarium über Weil. Frn. Mariæa Salome Fichterin geb. Kästlerin Mr Gottfried Fichters des Schloßers und burgers alhier Zu Straßburg geweßener Haußfrauen nun seel. Verlaßenschafft errichtet in Anno 1778. – nach ihrem im Monath februarii letzt verfloßenen 1777.sten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch Mr Johann Daniel Butz des Schreiners und burgers dahier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Gottfried, Mariæ Salome, Philipp Jacob, Johann Gottlieb und Johann Friderich der Fichter, der Verstorbenen Frn seel. mit erstgemeldtem dero hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Fünff Kinder und ab intestato verlaßener Fünff Erben – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 23.sten Februarÿ 1778.
Copia der Eheberedung
In einer alhier Zu Straßburg ane der Kleinen Stadel Gaß gelegenen und in deß Wittibers ohnverändert und theilbare Nahrung gehörigen behaußung befunden worden als folgt.
Eigenthumb ane einer behausung (W. T.) Nembl. j. behausung und hoff auch hoffstatt, mit aller deren gebaüen, begriffen, Weithen, und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Stadelgaß, i. s. neben H. Rathh. Joh: Georg Ihle, 2. s. neben H. Frantz Wurm dem tabachändler, hinden aug Christian Tschitterich, den Leinenweber stoßend so außer denen darauf hafftenen Passiv Capitalien, sonsten gegen männigl. freÿ leedig eigen und dh. löbl. Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe vermög Abschatzung Zeduls Vom 16.ten hujus mensis et anni gewürdiget pro 600. Diße behaußung wurde in A° 1766. von H: Johann Jacob Burÿ dem Rothgerber v. b. in Westhoffen erkaufft auch in allhies. löbl. C C stub ordnungsmäßig Verschrieben, aber biß dato Kein Kauffbrieff darüber expedirt ferner sagt über solche behaußung ein alter teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff vom 11.ten 7.bris 1754.
Ergäntzung der Erben wegen der verstorbenen Fr. seel wehrend dießer Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Zufolg Inventarium (…) durch mich unterschriebenen Notarium in Anno 1760. gefertigt
der Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 12, Sa. Silb. 1, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzungs rests 209, Summa summarum 260 lb
des Wittibers ohnverändert und theilbar Vermögen, Sa. haußraths 16, Sa. Werckzeugs Zum Schloßer handwerck gehörig 13, Sa. Silb u. dgl. geschmeids 1, Sa. Eigenthums ane i. behaußung 600, Summa summarum 630 lb – Schulden 1182 lb, Compensando 551 lb
Mehr Schuld. als Nahrung dem Stalltax nach 391. lb
Geoffroi Fichter se remarie en 1783 avec Anne Marie Schübler, originaire de Böblingen en Wurtemberg : contrat de mariage, célébration
1783 (1.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 527
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Mr. Gottfried Fichter der Schloßer und burger allhier zu Straßburg als Hochzeiter ane einem
Vnd Jgfr. Anna Maria Schübelin weÿl. Sigmund Friderich Schübler, des geweßenen Zeugmanns und burgers in Böblingen hertzog Würtenbergischer herrschafft nachgelaßener tochter, so majorennis und ohnbevögtigt beiständlich Hn Johann Nicolaj Megret des ehemaligen Schneiders und burgers allhier, als hochzeiterin ane dem andern theil
auf Dienstag den Ersten Julÿ Anno 1783 [unterzeichnet] Johann Gottfriedt fichter Als hochzeiter, Anna Mara Schibelein als hoch zeinterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 23)
1783 Montag den 21. des Heumonats sind nach ordentlich geschehener Ausrufungen in der Kirche Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Gottfried Fichter der Witwer burger und Schloßer alhier und Jfr. Anna Maria Schübelin, weiland Sigmund Friderich Schübelin gewesenen burgers und Zeugmachers in Beblingen Hertzog Würtenbergischen Jurisdiction nachgelaßene eheliche tochter, wie solches bezeugen [unterzeichnet] Johann Gott fridt fichter Als hochzeiter, Anna Maria Schibelin als hoch Zeitnerin (i 80)
Catherine Dorothée Güntzer veuve du marchand de fer Georges Henri Krauss acquiert par adjudication judiciaire la maison de Jean Geoffroi Fichter le 22 janvier 1783 moyennant 555 livres
1783 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 156
Gantkauf vom 22. jan. 1783 – ist die Gottfried Fichter dem schloßer zuständige ane der kleinen Stadelgaß gelegenen behausung einseit neben Mr Schweighäußer dem schreiner, anderseit neben der Jehleische wittib hinten auff H. Zschittrich den weber um 1110 gulden
Fr. Catharinæ Dorotheæ geb. Güntzerin weÿl. Georg Heinrich Krauß des eisenhändlers wittin, als letzt und meistbietenden verkaufft worden
L’acquéreuse la revend deux mois plus tard 500 livres au cloutier mineur Jean Voltzenlogel
1783 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 156
Fr. Catharina Dorothea geb. Güntzerin weÿl. Georg Heinrich Krauß des eisenhändlers wittib, beÿständlich H. Johann Jacob Suß des handelsmanns
in gegensein Michael Schmidt des nagelschmidts als geordneter curatoris ad actum Johannes Voltzenlogel des minderjährig verheuratheten nagelschmidts
eine behausung, höffelin, hoffstatt und gemeinschafft des bronnens mit allen deren gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der kleinen Stadel gaß, einseit neben Mr Schweighäußer dem schreiner, anderseit neben der Jehleischen wittib, hinten auff H. Zschittrich den leinenweber – als ein den 22. Januarÿ jüngsthin auff allhiesiger Ganth ersteigte behausung – um 501 pfund 18 sch.
Fils du cloutier Joseph Voltzenlogel, Jean Voltzenlogel, assisté de son beau père Michel Schmidt, épouse en 1782 Eve Kalwinger, fille d’un garçon batelier manant : contrat de mariage, célébration
Marie Eve Kalwingerin figure sur la liste des nouveaux bourgeois (VI 370, 12, nouveaux bourgeois, 1781-1783)
1782 (5.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 498
Eheberedung – persönlich erschienen Johannes Voltzenlogel, der ledige Nagelschmid, weil. Mr Jacob Voltzenlogels, des auch geweßenen Nagelschmids und burgers alh. zu Straßburg seel. nachgelaßener Sohn, so noch bevögtiget ist, mit Johann Martin, dem Ackersmann und burger, Zu Wiersheim, (…) und unter fernerem beistand Mr Michael Schmid des Nagelschmids und burgers alh. seines Stief Vatters, als Hochzeiter ane einem
und die Viel Ehren und tugendsahme Jgfr. Eva Kalwingerin, weil. Michael Kalwingers des geweßenen Schifknechts und Schirmers alhier nachgelaßene tochter so majorennis und ohnbevögtigt, beiständlich Joh: Michael Pfrimmers des Kornwerffers und burgers alh. als hochzeiterin ane andern theil – auf Sambstag den 5. Januarii Anno 1782. [unterzeichnet] Johannes Voltzenlogel als Hochzeiter, Eva Kallwinger als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 416)
Hodie 8 Aprilis anni1782 (…) S. matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Paulus foltzenlogel Clavicularius filius minorennis defuncti Jacobi foltzenlogel Civis et Clavicularii dum viveret hujatis et superstitis Susannæ Malleger* quondam conjugum Parochianus ad Stum Petrum Seniorem Et Maria Eva Kalwinger filia majorennis defuncti Georgii Michaelis Kalwinger tutelaris et nautæ dum viveret hujatus et defuncta Maria Catharina Saarburger in vita conjugum Parochiana nostra, testes aderant Michael Schmitt Civis et Clavicularius hujas, Sponsi vitricus (signé) Johannes Voltzenlogel, Eva Kallwinger (i 215)
Jean Voltzenlogel et Eve Kalwinger hypothèquent la maison au profit du marchand de fer Jean Jacques Ulmer
1784 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 204-v
Johannes Voltzenlogel der minderjährige nagelschmidt unter der authorität Joseph Voltzenlogel des nagelschmidts seines gerichtlich geordneten curatoris, mehr des curandi Ehefrau Eva geb. Calwingerin unter assistentz Michael Schmidt des nagelschmidts und Johann Bartholome Paulus des nagelschmidts [unterzeichnet] Kallwingerin
in gegensein Johann Jacques Ulmer des eißenhändlers- schuldig seÿen 400 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden rechten und gerechtigkeiten ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben H. Schweighäußer dem schreiner meister, anderseit neben der verwittibten Fr. Jehle, hinten auff Christian Z’schitterich den leinenweber
Jean Voltzenlogel vend la maison au cloutier Thiébaut Schatt
1786 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 110
Johannes Voltzenlogel der nagelschmidt
in gegensein Diebold Schatt des nagelschmidts
eine behausung, höfflein, hoffstatt und gemeinschafft eines bronnens mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der kleinen Stadelgaß, einseit neben H. Schweighäußer dem schreiner, anderseit neben der verwittibten Fr. Jehle, hinten auff Christian Zschittrich den leinenweber – als ein von Catharina Dorothea verwittibte Kraußin unterm 29. martÿ 1783 erkaufftes haus – um 400 gulden und 1900 gulden capitalien verhafftet
Originaire de Niederhausbergen, Thiébaut Schatt épouse en 1779 Marie Madeleine Walther, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration (les registres de bourgeoisie manquent pour cette époque)
1779 (15. 7.br), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 471
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Diebold Schatt, der ledige Schwartz nagelschmid von Niederhaußbergheim gebürtig, H Philipp Schatt des geweßenen Leinenwebers und burgers daselbst seel. nachgelaßener Sohn, so majorennis und ohnbevögtigt als hochzeiter ane einem,
So dann die Ehren und tugendsahme Jgfr. Maria Magdalena Waltherin, weil. Mr. Johann Jacob Walthers des geweßenen Schuhmachers und burgers in Buchßweiler nachgelaßene tochter, so gleichfalls majorennis und ohnbevögtigt beiständlich Mr Johann Georg Fichters des nagelschmids und burgers allhier, als hochzeiterin, ane dem andern theil
auf Mittwoch den 15. Septembris Anno 1779 [unterzeichnet] diebold schatt, Maria magdlena walderin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 58 n° 115)
Im Jahr 1779 Montag en 4. Octobris Vormittag nach Eilff Uhr sind nach Vorhergegangene ordentlichen Proclamationen in unsere Kirche Zu St. Thomä in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Diebold Schatt der ledige Nagelschmid meister allhier weiland Philipp Schatt gewesenen Webers und burgers in Niederhaußbergen mit frau Maria gebohrner Battin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Maria Magdalena Walterin, weiland Johann Christoph Walter gewesenen burgers und Schuhmachers in Buchsweiler mit wei Maria Magdalena Lugin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] diebold schatt als hochzeits, Maria Magdalena walterin als hochzeiterin (i 64) – Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105)
Thiébaut Schatt vend la maison au cloutier Nicolas Bermann
1794 (2 ventose 2), Chambre des Contrats, vol. 671 n° 1391
cit. Thiébaut Schott cloutier
au cit. Nicolas Bermann cloutier
une maison, petite cour et puits commun avec toutes ses appartenances, droits et dépendances rue dite petite Stadelgass marquée du N° 2, d’un côté le cit. Schweigheuser menuisier, d’autre le cit. Ihle, derrière le cit. Jean Chrétien Zschitterich – le vendeur se réserve tant pour lui que pour sa femme la cit. Marie Madeleine Walter leur vie durante une logement gratuit dans la maison consistant au premier étage dans une poele, chambre à côté et cuisine sur le devant, bûcher, au grenier place dans la cave – moyennant 3800 livres (1500, 400, 500 et 1500 livres de capital)
Enregistrement, acp 21 f° 33 du 6 ventose 2
Originaire de Sarralbe en Lorraine, Nicolas Bermann épouse en 1791 Marie Salomé Eberstein, fille de maçon. Les quatre témoins sont luthériens
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. f° 148)
Hodie 5 mensis julÿ anni 1791 (…) sacro matrimonii vinculo juncti sunt honestus juvenis Nicolaus Bermann natus in Saralbe in lotharingia germanica filius majorennis Nicolai Bermann et Catharinæ Schreiner superstitis parochianus noster et pudica virgo Maria Salome Eberstein filia minorennis Francisci Antoniii Eberstein Cæmentarii et Salomeæ brumptin* superstitis etiam parochiana nostra testes adfuerunt Joannes Meÿer faber ferrarius parochanus nostrer evangelicæ professionis, Johannes Georgis paulus nostrer evangelicæ professionis, Caspar Roser faber ferrarius evangelicæ professionis, Henricus Hörter faber lignarius nostrer evangelicæ professionis, (signé) Nicolas Bermann, Saloma eberstein (i 84)
L’inventaire des biens de Nicolas Bermann qui est mort deux années plus tôt en délaissant une fille est dressé en 1797
1797 (4 nivose 6), Strasbourg 13 (9), Not. Vix (Bremsinger) n° 43
Inventarium über Weÿl. des Ehrsamen Niclaus Bermann gewesenen Nagelschmied Verlassenschafft – nach seinem vor ohngefehr 2 Jahr aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auf Ansuchen Salome geb. Ebersteinin des Verstorbenen Wittib beiständlich Jacob Kuntz Nagelschmidts
Benennung der Erben, der Verstorbene ab intestato zu seinem einigen Erben hinterlassen benandlich Salome so 7 Jahr am leben, deren vogt ist der ehrsame Michael Laurendet hiesiger Sprach Meister
Bericht und Vergleich, weder eine Eheberedung noch ein Testament vorhanden
in dem hernach beschriebenen Sterbhaus
der Wittib unveränderten Vermögen 90 livres – der Erben ohnverändert vermögen 40 livres – alles übrige vorhandene vermögen so gemein und theilbar ist beschrieben, fahrende haab 195 livres
Eigenthum ane einer behaußung (gemeinschafftlich zwischen der Erbin zu zween und der Wittib zu einem dritten theil). Nemlich eine behaußung höfflein eine mit dem hernachbemelten br. Schweighäuser gemeinschaftlichen brunnen, mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen an der Kleinen Stadelgass mit N° 2 bezeichnet, einseit neben br. Schweighäuser dem Schreiner anderseit neben burger Jehle hinten auf den br. Johann Christian Zschitterich stoßend, zufolg Kauf Contracts erkaufet worden vor 3800 livres. Diese behaußung und zubehörden ist zufolg C.C. Stub d. 2 ventose 2 passirten Kaufcontract von diebold Schatt dem Nagelschmidt und Maria Magdalena Walterin erkaufet worden, welche bede Schattische Eheleuthe lebenslänglich zu besitzen haben die auf dem ersten Stock befindliche Stub und neben daran befindliche Cammer wie auch vordere Kuche auf der bühn befindlichen holz Plaz und einen Plaz im Keller
nach abzug der Capitalien 510 li, summa summarum 615 li, schulden 190 li, Nach deren Abzug 425 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 56 F° 121 du 4 niv. 6
Thiébaut Schatt renonce à l’usufruit des localités qu’il s’était réservées lors de la vente
1811 (15.7.), Strasbourg 2 (34), Not. Knobloch n° 5206
Renonciation d’usufruit – Thiebaut Schott, cloutier, au droit d’habitation qu’il s’est réservé dans la maison sise en cette ville rue dite petite Stadelgass n° 2 par contrat passé à la Chambre des Contrats le 2 ventose 2 – sont comparus Jacques Kuntz cloutier et Salomé Ebenstein propriétaires de la maison prédésignée – moyennant 1300 francs
Originaire de Wöllstein en Palatinat, Jacques Kuntz (Kuhnz) épouse en 1797 Marie Salomé Eberstein, veuve de Nicolas Bermann
Mariage, Strasbourg (n° 610)
Cejourd’hui 4° fructidor l’an Cinq de la République française une et indivisible (…) ont comparu pour contracter mariage d’une part Jacques Kuhnz agé de 25 ans, cloutier domicilié en cette commune depuis quatre ans, natif de Woelstein dans le Palatinat, fils d’André Kuhnz, tisserand au dit lieun et d’Anne Marie Hineschit, de l’autre part Marie Salomé Eberstein agée de 25 ans, née et domiciliée en cette commune, fille de feu François Antoine Eberstein, chanvrier et de feue Salomé Brumpter, veuve de Nicolas Bermann cloutier en cette commune (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 14 mars 1772 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 18 mars 1772, et l’acte de décès de Nicolas Bermann époux en premières noces de la future portant qu’il est mort en cette commune le 4 ventôse en l’année troisième de la République (signé) Jacob Kuns, sala ber man (i 111)
Jacques Kuntz se remarie en 1821 avec Marie Madeleine Ebel, originaire de Rumersheim près de Brumath
Mariage, Strasbourg (n° 204)
Acte de mariage, le 28 juin 1821, Jacques Kuhnz majeur d’ans, né en légitime mariage le 14 mars 1772 à de Woelstein, Grand duché de Bade, domicilié à Strasbourg, cloutier veuf de Marie Salomé Eberstein décédée en cette ville le 25 mai dernier, fils de feu André Kunhtz tisserand à Woelstein et de feue Anne Marie Hineschit, Marie Madeleine Ebel majeure d’ans née en légitime mariage le 24 octobre 1787 à Rumersheim (Bas-Rhin) domiciliée audit lieu, fille de Pierre Ebel cultivateur à Rumersheim, ci présent et consentant et de feue Brigitte Arbogast décédée audit lieu le 8 novembre 1811 (signé) Jacob Kuntz, Maria Magdalena Ebel (i 30)
Marie Salomé Eberstein, légataire de son premier mari et héritière de sa fille Salomé, a légué ses biens à son deuxième mari Jacques Kuntz.
Jacques Kuntz et sa deuxième femme exposent la maison au enchères. Le tonnelier Jean Adam Kaltenbach s’en rend adjudicataire pour 5 350 francs
1835 (11.2.), Strasbourg 2 (77), Me Weigel n° 8704
Adjudication – Cahier des Charges du 19 septembre 1834 n° 8518, n° 8549, 8664 – Jean Jacques Kuntz, cloutier, et Marie Madeleine Ebel
à Jean Adam Kaltenbach, tonnelier
Désignation de l’immeuble, une maison située à Strasbourg petite rue de la Grange n° 2 composée d’un rez de chaussée, deux étages, grenier, petit bâtiment de derrière, d’un côté Ignace Bosch, d’autre le Sr Kirchheim, par devant la rue par derrière Hagenschmidt tisserand – Titres de propriété, recueilli dans la succession de Salomé Eberstein sa première femme décédée le 25 mai 1821 sans avoir laissé d’héritier à réserve après avoir institué le Sr Kuntz son mari légataire universel par testament, de la communauté de biens de Salomé Eberstein et de Nicolas Bermann son premier mari, cloutier. Salomé Eberstein est devenue seule propriétaire en sa qualité de légataire universelle de son défunt mari et seule et unique héritière de Salomé Bermann leur fille, le Sr Bermann a acquis ledit immeuble de Thiébaut Schatt, cloutier, à la Chambre des Contrats le 2 ventose an 2 – mise à prix 4000 fr
Testament 29 mars 1821 enreg. 30 mai suivant
adjudication préparatoire 8 janvier, pour 5350 francs
Originaire de Dietersweiler en Würtemberg, le tonnelier Jean Adam Kaltenbach épouse en 1822 Marie Madeleine Nonnenmann, fille de baquetier
1822 (22.9.), Strasbourg 3 (68), Me Schreider n° 1252
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Adam Kaltenbach, tonnelier à Schiltigheim fils majeur de feu Chrétien Kaltenbach, cultivateur à Didersweiler royaume de Würtemberg, et de feu Anne Wolff
Marie Madeleine Nonnenmann fille majeure de feu Jean Daniel Nonnenmann, baquetier, et de Marie Marguerite Bernhardt
Enregistrement de Strasbourg, acp 159 F° 84 du 27.9.
Adam Kaltenbach et Madeleine Nonnenmann vendent la maison à Marie Anne Rohninger, veuve du charpentier Jean Eckert
1843 (10.7.), Strasbourg 12 (161), Me Noetinger n° 16.133
Ont comparu le Sr Adam Kaltenbach, tonnelier & Dame Madeleine Nonnenmann sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg
à Marie Anne Rohninger, veuve de Jean Eckert, charpentier à Strasbourg où elle demeure
Une Maison avec une petite cour, petite maison de derrière sise à Strasbourg petite rue de la Grange N° 2 d’un côté Ignace Bosch de l’autre côté le Sr Kirchheim pardevant lad. rue par derrière en partie Hagenschmidt tisserand ou son ayant droit & en partie le Sr Kienlin charcutier – Les vendeurs sont propriétaires de lad. maison pour en avoir fait l’acquisition de M. Jean Jacques Kuntz cloutier demeurant à Strasbourg & de Marie Madeleine Ebel sa femme suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Weigel qui en a la minute & son collègue Notaires à Strasbourg le 12 février 1835, enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 7 mars suivant volume 290 N° 90 (…). légué par Salomé Eberstein première femme dudit S. Kuntz suivant son testament par acte public reçu apr M° Weigel notaire à Strasbourg le 29 mars 1821 enregistré le 30 mai suivant (…) – Mond. S. Kuntz était propriétaire de lad. maison comme l’ayant recueillie dans la succession de ladite Salomé Eberstein sa première femme décédée à Strasbourg le 25 mai 1821 sans avoir laissé d’héritiers à réserve après avoir institué led. S. Kuntz son mari son légataire universel aux termes de son testament susénoncé. Cette maison dépendait de la Communauté de biens qui avait subsisté entre ladite Salomé Eberstein & Nicolas Bermann son premier mari vivant cloutier à Strasbourg. Lad. Salomé Eberstein est devenue seule propriétaire de cet immeuble tant comme légataire universelle dud. Nicolas Bermann que comme seule et unique héritière de Salomé Bermann leur fille décédée en minorité le 4 octobre 1802. Enfin led. Sr. Bermann avait acquis cette maison de Thiébaut Schott cloutier domicilié à Strasbourg le 2 ventôse an II de la République – moyennant le prix de 7000 francs
acp 312 (3 Q 30 027) f° 14-v
Originaire de Sundheim à côté de Kehl, Jean Eckert épouse en 1814 Marie Anne Roninger de Saverne
Mariage, Strasbourg (n° 254)
Acte de mariage le 19 septembre 1814. Jean Mathias Eckert, majeur d’ans, né en légitime mariage le 8 septembre 1788 à Sundheim en Wurtemberg, domicilié à Strasbourg, Garçon charpentier, fils de feu François Antoine Eckert, charpentier à Sundheim et de feu Madeleine Kiel, Marie Anne Roninger, majeure d’ans, née en légitime mariage le 13 août 1791 à Saverne (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg fille de feu Jean Roninger charpentier décédé à Saverne le 20 pluviôse an VI et de feu Marguerite Baureif décédée audit lieu le 4 mars 1806 (…) ladite future épouse produit (…) un acte de consentement au présent mariage qui lui a été délivré par Salomé Buhler veuve de Joseph Baureif menuisier demeurant à Saverne son aïeule maternelle, passé devant François Antoine Müller notaire à Saverne le 5 du présent mois de septembre (signé) Johann Mathes Eckert, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 14)
Jean Eckert meurt en 1841 au 2, petite rue de la Grange
1841 (24.4.), Strasbourg 8 (63), Me Zeyssolff n° 703
Inventaire de la succession de feu le sieur Jean Eckert, vivant charpentier à Strasbourg où il est décédé le 8 avril 1841
L’an 1841 samedi le 24 avril à trois heures de relevée. A la requête et en présence de Marie Anne Rohninger veuve du Sr Jean Eckert, vivant charpentier, agissant tant en son nom personnel à cause de la communauté de biens qui a subsisté entre elle et son mari défunt qu’en qualité de mère et tutrice légale de Charles Philippe, Adélaïde, Alice et Jean Eckert ses enfants mineurs procréés en son légitime mariage avec sondit époux,
2° Marie Barbe Eckert épouse assistée du sieur Frédéric Helms charpentier présent, 3° Joséphine Eckert majeure, 4° sieur François Philippe Eckert, charpentier, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de subrogé tuteur des mineurs sus nommés (…) tous demeurant et domiciliés en ladite ville, lesdits Marie Barbe Eckert femme Helms, Joséphine Eckert, Sr François Philippe Eckert et les quatre mineurs habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un 7° sur le St Jean Eckert leur père susnommé
(…) en sa demeure à Strasbourg petite rue de la grange N° 2
Immeuble. Une maison appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du coin brûlé N° 22 d’un côté Mr Cafuri de l’autre Mr Holderer, par derrière Mr Hammer. Acquis moyennant la somme de 3400 francs de De Marie Salomé Reidiger épouse du sieur Joseph Frédéric Kappus ancien boulanger demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant Me Zeyssolff soussigné le 8 octobre dernier, enregistré
acp 286 (3 Q 30 001) f° 87-v du 28 avril – Communauté, mobilier 477
Immeuble une maison rue du Coin brûlé N° 22
Successionn effets mobiliers 55 francs
Passif 3767, remplos dus à la veuve 1800
Locataire de la maison, le musicien Michel Platz meurt en 1846
1846 (13.8.), Strasbourg 12 (169), Me Noetinger n° 18.621
Inventaire de la succession du sieur Michel Platz en son vivant ancien musicien ambulant aveugle et sourd décédé à Strasbourg où il demeurait le 21 juillet 1846.
Cejourd’hui le 13 août 1846 à trois heures d relevée, à la requête 1° de Dame Louise Platz veuve du St Joseph Berringer en son vivant marchand à Strasbourg elle y demeurant, 2° Et de Mr Antoine Platz, ouvrier tanneur demeurant en la même ville, agissant tous deux en qualité se seuls et uniques héritiers chacun d’eux pour moitié, mais seulement sous bénéfice d’inventaire, de la succession de feu le Sr Michel Platz
L’indication des biens sera faite par Marie Roninger veuve de Jean Eckert vivant charpentier à Strasbourg, elle aubergiste en la même ville petite rue de la grange N° 2, chez laquelle le défunt étoit en pension et où il est décédé
Immeubles. Une maison, cour puits appartenances & dépendances le tout situé à Strasbourg petite rue de la course N° 7, d’un côté Jean Wunderer fils de l’autre les frères Renchert fils de Thiébaud, pardevant la rue et par derrière lesdits Wunderer et Renchert, acquis par le défunt de Jean Jacques Liebert maçon et De Salomé Rickert sa femme de Strasbourg suivant acte reçu par el même notaire Noetinger le 3 novembre 1841, enregistré Les requérants déclarent que cette Maison est louée à Stephan Marchand de Strasbourg verbalemrnt, les contributions à la charge de la succession, moyennant un loyer annuel de 500 francs qui capitalisés au denier vingt font une somme de 10.000 francs
Une maison avec cour & dépendances sise également à Strasbourg rue de la soupe à l’eau N° 18 entre le Sr Manglin et les veuve et héritiers Vogt par devant la dite rue et par derrière le Sr Wilhelm maréchal ferrant. Le défunt est devenu propriétaire (…)
acp 351 (3 Q 30 066) f° 61-v du 21. août – objets mobiliers, 101 francs. Il est déclaré par Marie Roninger veuve de Jean Eckert aubergiste qu’elle a reçu du défunt à titre de cadeau une somme de 400 francs qu’elle se réserve de rapporter à la succession
acp 353 (3 Q 30 068) f° 40-v du 4 octobre – créances 7308, une maison petite rue de la course 10.000, une autre maison rue de la soupe à l’eau 7000 – masse passive 34.714 francs
Marie Anne Rohninger veuve de Jean Eckert hypothèque la maison au profit du cordonnier François Charles Dauphiné
1852 (27.4., Strasbourg 12 (180), Not. Noetinger n° 24.014
Obligation – a comparu De. Marie Anne Rohninger, veuve de Mr Jean Eckert vivant charpentier à Strasbourg où elle demeure (devoir)
à M. François Charles Dauphiné marchand cordonnier demeurant à Strasbourg, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque, Une Maison avec une petite cour petite maison de derrière sise à Strasbourg petite rue de la Grange N° 2 d’un côté Ignace Bosch cloutier de l’autre le Sieur Kirchheim pardevant la rue par derrière le Sr Hagenschmidt tisserand en partie et aussi en partie le Sr Kienlin charcutier. – La dame Eckert autorise le Sr Dauphiné à prendre au bureau des hypothèques de Strasbourg toutes inscriptions de ladite maison qu’elle affirme sous les peines du stellionat lui appartenir en toute propriété pour l’avoir acquis du Sr Adam Kaltenbach tonnelier et Madeleine Nonnenmann conjointss et du Sr Michel Platz musicien tous de Strasbourg pour un prix actuellement soldé, le tout aux termes d’un contrat contenant vente et délégation passé devant M° Noetinger soussigné le 10 juillet 1843
Marie Anne Rohninger vend la maison 5 500 francs à Michel Jenner, contrôleur des droits de place
1852 (17 X.bre), Me Noetinger – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 556 (2782) n° 21
a comparu dame Marie Anne Rohninger veuve de Jean Eckert vivant charpentier à Strasbourg où elle demeure (vendu)
à Monsieur Michel Jenner Contrôleur des droits de place de la Ville de Strasbourg où il demeure
Une Maison avec une petite cour, petite maison de derrière sise à Strasbourg petite rue de la Grange N° 2 entre Ignace Bosch et le Sieur Kirchheim pardevant la Rue par derrière le Sieur Hagenschmidt et le Sr Kienlin – La dame Eckert a acquis ledit immeuble d’Adam Kaltenbach tonnelier et Madeleine Nonnenmann sa femme de Strasbourg en vertu d’un acte reçu par M° Noetinger soussigné le 10 juillet 1843, les Epoux Kaltenbach en étoient propriétaires pour l’avoir acquis de Jean Jacques Kuntz et de Marie Madeleine Ebel aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel notaire à Strasbourg le 12 février 1835, quant à la propriété antérieure les partie se réfèrent à l’acte du 10 juillet 1843 susdit – moyennant le prix de 5500 francs
acp 415 (3 Q 30 130) f° 92-v
Originaire de Haguenau, l’ébéniste Michel Jenner épouse en 1830 Marguerite Charpentier, de Montmédy
1830 (14.9.), Strasbourg 4 (72), Me Hatt n° 5632
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Michel Jenner, ébéniste, fils de feu Xavier Jenner, menusier,et de Catherine Bersauter demeurant à Haguenau
Marguerite Charpentier, fille majeure de feu Pierre Charpentier, marchand de fer, et de feu Anne Gaule à Montmédy
Enregistrement de Strasbourg, acp 200 F° 193 du 22.9.
Michel Jenner vend la maison 8 000 francs à Marie Chartier et Françoise Jacobée Chartier
1857 (26.3.), Me Noetinger
Vente – Michel Jenner, contrôleur de droits de place et Marguerite Charpentier son épouse à Strasbourg
à Marie Chartier et Françoise Jacobée Chartier les deux rentières à Strasbourg
la jouissance au profit des deux et la nue propriété au profit de la survivante d’elles d’une maison à Strasbourg petite rue de la Grange, moyennant 8000 francs – Origine vente Noetinger le 17 Xbre 1852
acp 458 (3 Q 30 173) f° 90-v du 1.4.
Françoise Jacqueline Chartier et Anne Marie Chartier déposent en 1865 leur testament olographe
1865 (24.1.), Me Noetinger
Dépôt par Françoise Jacobée Chartier, marchande de fruits de son testament olographe en date du 20 janvier 1865
Dépôt par Anne Marie Chartier, marchande de fruits de son testament olographe en date du 20 janvier 1865
acp 540 (3 Q 30 255) f° 2-v du 30.1.