26, rue des Chandelles
Rue des Chandelles n° 26 – IV 398 (Blondel), N 920 puis section 60 parcelle 30 (cadastre)
Démolie par la Ville (service d’assainissement), 1907, terrain réuni à la voie publique
Façade rue des Chandelles (AMS, 1 Fi 20, 22)
Angle, rue de la Demi-Lune à gauche
Inscrite dans le Livre des communaux de 1587 au nom du tailleur Mathias Schmeyer, la maison a un encorbellement de part et d’autre de l’angle. Thomas Schmeyer et son voisin tonnelier Simon Ringer (n° 22) réparent en 1602 leurs latrines communes dont la vidange a lieu par la maison de Simon Ringer. Le tailleur Jacques Schneider qui vient d’acheter la maison remplace en 1614 deux poutres de l’encorbellement par des neuves. Le marchand de futaine Jérôme Waltz en fait une maison de rapport. Le ferblantier Marc Schætzel puis son gendre perruquier Jean Jacques Wittmar en sont propriétaires pendant presque cinquante ans (1690-1737). La maison est estimée tout au long du siècle entre 300 et 450 livres. Le courtier Jean Daniel Ehrmann en fait à nouveau une maison de rapport avant de la vendre (1761) au perruquier Jacques Henri Ehrmann qui fait faillite. Le cordonnier Barthelémy Hansmann qui vient de s’en rendre propriétaire n’est pas autorisé en 1768 à peindre sa maison à encorbellement. Il modifie en 1781 sa porte de cave.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 (Musée des Plans-relief) 1
Elévations des n° 26, 24 et 22, rue des Chandelles, les deux façades du n° 26 se trouvent au milieu de l’image (vers 1906, AMS cote 316 MW 589)
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée en bois et deux étages en bois en encorbellement sur les deux rues. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (d) : sur la droite, la façade rue des chandelles a une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, deux fenêtres inégalement réparties à chacun des deux étages. La façade sur la gauche dans la rue de la Demi-Lune a un demi-toit.
La maison porte d’abord le n° 1 (1784-1857) puis le n° 26.
Relevé des Monuments historiques (vers 1906, © DRAC Grand-Est, cote DAR 482 B 036-008)
Plan des n° 22 à 26 (AMS cote 316 MW 590)
Le tonnelier et brasseur Jean Louis Specht est propriétaire de la maison (1813-1856) et des voisines (numéros 16 à 26, sauf 22). A sa mort, le menuisier Joseph Sutter l’achète. Ses héritiers la vendent au début du siècle suivant à la Ville de Strasbourg (service d’assainissement) qui la fait démolir en 1907 et en réunit le sol à la voie publique. Le conservateur des monuments historiques note en 1906 dans son rapport que la maison d’angle numéro 26 est « particulièrement remarquable et pittoresque avec ses coloris harmonieux et l’encorbellement du premier étage qui repose sur des consoles ».
août 2021
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Thomas Schmeyer, tailleur, et (1684) Ursule Seitterlin puis (1611) Anne Hammann – luthériens | ||
1613* | v | Jacques Dalheimer, tailleur, et Madeleine Helckann – luthériens |
1614 | v | Jean Schneider, tailleur, et (1608) Ursule Spillenmacher puis (1622) Rosine Kessmacher, d’abord (1620) femme du pelletier Jean Thiébaut Koch – luthériens |
1675* | adj | Jérôme Waltz, marchand de futaine, et (1660) Elisabeth Sommerecker – luthériens |
1685 | v | Adam Mey, marchand épicier, et (1641) Marie Gerlach puis (1654) Salomé Reinthaler – luthériens |
1690 | v | Marc Schætzel, ferblantier, et (1689) Marthe Meyer puis (1702) Catherine Fischer – luthériens |
1729 | h | Jean Jacques Wittmar, perruquier, et (1728) Marie Elisabeth Schætzel – luthériens |
1737 | v | Jean Daniel Ehrmann, perruquier puis courtier de change, et (1716) Marie Madeleine Fritschmann – luthériens |
1761 | v | Jacques Henri Ehrmann, perruquier, et (1756) Catherine Elisabeth von Gottesheim puis (1766) Marguerite Salomé Erhard, remariée (1774) avec le perruquier Jean Jacques Henri Winckelmann – luthériens |
1768 | adj | Barthelémy Hansmann, cordonnier, et (1752) Dorothée Vogel – luthériens |
1810 | v | Thérèse Bollen, blanchisseuse à Hermolsheim |
1813 | v | Xavier Zimmermann, tailleur puis marchand de fruits, et (1804) Marie Catherine Schock |
1813 | v | Jean Louis Specht, aubergiste, et (1810) Marie Hélène Gerlach |
1856 | v | Jules Joseph Sutter, menuisier, et (1845) Marie Louise Hahn |
1884* | h | (indivision) Adolphe Sutter, agent d’assurances, et (1873) Emilie Rhein Louise Jeanne Sutter |
1896* | Joseph Beguin, libraire, et (1886) Caroline Emilie Rhein veuve d’Adolphe Sutter | |
1899* | Louise Jeanne Sutter | |
1903* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 300 livres en 1729, 400 livres en 1753, 450 livres en 1764, 300 livres en 1785
(1765, Liste Blondel) IV 398, Henry Eremann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Haußmann, 5 toises, 5 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 920, Specht, Louis – maison, sol – 0,37
Locations
1765, Jean Baptiste Michel, manant
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 151
La maison est inscrite dans le Livre des communaux de 1587 au nom du tailleur Thomas Schmeyger (Thomas Schmeyer). Dans la rue des Chandelles la maison a un encorbellement jusqu’à l’angle de la ruelle vers Sainte-Barbe (22 pieds de long, 2 pieds 3 pouces de saillie) dont la corniche a 22 pieds de long et 1 pied de saillie. Il en doit 2 sols 8 deniers. Du côté de la ruelle, la maison a un encorbellement (21 pieds ½ de long, 4 pieds 2 pouces de saillie) et un chenal en bois. Il en doit 4 sols 7 deniers
Die Gaß nach der Beckenknecht Stuben zum Heiligen Liecht genandt
Thoman Schmeÿger der Schneider hatt vor seinem Hauß oben ein Vsstoß unz ane das Eckh ane die Zwerchgaß gegen Sanct Barbaren, xxij schu lang, vnd ij schuh iij Zoll herauß, daruor ein Staucher xxij schuh lang vnd j schuh herauß, Soll Allmendt sein vndt bleiben, Bessert für das Nüessen, ij ß viiij d
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 156-v
Anderseits der Zwerchgaß Wider Sanct Barbaren gaß zu
Thoman Schmeÿer der Schneider hatt vor dem Eckh Inn die Zwerchgaß gegen Sanct Barbaren Oben einen Vsstoß xxi+ schuh lang, vnd iiij schuh ij Zoll herauß, aampt einem hülzenen Naach, Bessert für das Nüessen, iiij ß viij d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1614, Préposés au bâtiment (VII 1329)
Le tailleur Jacques Schneider qui habite la maison d’angle face à la Monnaie remplace l’ancien évier à l’étage par un nouveau et remarque que la poutre sur lequel il reposait est pourrie. Il est autorisé à remplacer deux poutres par des neuves.
(f° 121-v) Montag 8.t. Augusti – Hans Schneid. d. schneid. Im Eckhauß geg. Müntzhoff sagt hab ein wasserstein oben In seinem hauß abgebrochen wöllen Newmachen, vnd fund. das die palcken daruff er gestand. so ein vberstoß Ist, gar faul, bitt Ihm Zu gönnen andere 2 balcken In Zu Ziehen, Erk Ist Ihme sein begeren willfahrt, solls machen wie vorhin geweß.
1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Le cordonnier Barthelémy Hansmann demande l’autorisation de peindre sa maison qui a un encorbellement mais pas d’auvent. Les préposés refusent.
(f° 28-v) Dienstags den 28. Junÿ 1768 – Bartholome Hannßmann
Bartholome Hannßmann der schuhmacher bittet umb erlaubnus sein hauß in der hellenlichter gaß so einen überhang hat aber kein wetterdach gehabt anzustreichen. Erkannt, Abgeschagen.
1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Jean Régnard Pfauth, contremaître chez la veuve Freisinger, est autorisé au nom du cordonnier Barthelémy Hansmann à modifier la porte de sa cave.
(f° 270-v) Dienstags den 14. Augusti 1781 – Bartholome Hannßmann
Idem [Johann Reinhard Pfauth der balier beÿ Fr. Freißingerin] nôe. Bartholome Hannßmann des Burgers und schuhmachers bittet um erlaubnus an deßen in der Barbaræ gaß gelegenen behausung die Kellerthür veränderen zu dörffen. Erkannt, Willfahrt.
1783, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Pfauth est autorisé au nom du cordonnier Barthelémy Hansmann à réparer et blanchir le crépi sous l’encorbellement à condition de ne pas toucher à l’encorbellement
(f° 334-v) Dienstags den 19. Augusti 1783 – Bartholomäus Hannsmann, Schumacher
Idem [Mr Pfauth der Maurer] nôe. Bartholomäus Hannsmann,, des Schumachers bittet zu erlauben an deßen Behausung an der Heiligen Lichter Gaß gelegen, unter dem Überhang den Bestich aus zu beßern und Zu weisen.
Erkannt Willfahrt, doch den Überhang nicht Zu berühren.
1815 (283 MW 357)
Le maire refuse à Louis Specht l’autorisation de ravaler sa maison
n° 361, Louis Specht (…) de faire crépir le rez de chaussée de sa maison sise rue des Chandelles N° 1 sans cependant toucher ni à la porte ni aux croisées, ses moyens après deux blocus de suite ne lui permettant de faire à sa maison d’autres réparations que de faire couvrir de mortier les endroits les plus endommagés, le 11. 8.bre 1815
Villot le 13. 8.bre, Considérant la maison dont il s’agit est a une avance aux deux étages et qu’elle n’est point alignée, suis d’avis que toutes réparations lui soient interdites, le 12. 8.br – maire 13. oct. – prefet 17. oct.
Description de la maison
- 1729 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, une petite cave solivée, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 600 florins.
- 1785 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 600 florins.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Chandelle
nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
Specht
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance sur 2 faces
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 262 case 1
Specht Louis, à Strasbourg
Sutter Joseph, Md. de charbon à Strasbourg (subs° p. 1857)
N 920, maison, sol, R. des Chandelles 1
Contenance : 0,37
Revenu total : 54,19 (54 et 0,19)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 1
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1011 case 2
Sutter Joseph, Marchand de charbons
1860 Sutter Joseph, Jules, la Veuve et Les enfants
1884 Sutter Emil Adolf und Luise Johanna
96/97 Beguin Josef die Frau geb. Rhein
1899/1900 Sutter Luise Johanna
1903 Straßburg die Gemeinde
(ancien f° 759)
N 920, maison, sol, Rue des Chandelles 26
Contenance : 0,37
Revenu total : 54,19 (54 et 0,19)
Folio de provenance : (262)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 / 1
Cadastre allemand, registre 32 p. 389 case 2 (biffé)
Parcelle, section 60, n° 30 – autrefois P 920
Canton : Heiligenlichtergasse Hs Nr 26
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,46
Revenu : 500
Remarques :
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 110 Rue de la Chandelle p. 186
1
Pr. Hansmann, Ve de cordonnier – Cordonniers
loc. Albrecht J. Georges, Cordonnier – Cordonniers
loc. Meyer, Jacques, imprimeur
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Heiligenlichtergasse (Seite 68)
(Haus Nr.) 26
Albert, Kohlenhändler. 01
Christoph, Maler. 2
Tietze, Schreiner. 2
Wacker, Tagner, 2
Annuaire 1907, p. 78 (i 327)
n° 12, 14, 16, 18, 20, 22, 24, 26, Stadt Strassburg E, unbewohnt
Annuaire 1908, p. 75 (i 330)
non mentionnées
Relevé d’actes
D’après les tenants et aboutissants de la maison voisine (ensuite n° 24), la maison appartient au tailleur Thomas Schmeyer en 1612, au tailleur Jacques Dalheim en 1613 et 1614, au tailleur Jacques Schneider en 1616 puis au tailleur Jean Schneider en 1623 puis à ses héritiers en 1641. Le propriétaire est toujours Jean Schneider en 1646 et 1677.
Originaire d’Ellweiler (en Palatinat), Thomas Schmeyer épouse en 1684 Ursule, fille du tailleur Marc Seitterlin.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 3-v, n° 67)
1584. Eodem die [Dom. 13. Trinit.] Thomas Schmeÿer von Ellwÿler, der Schneid. vnd Ursula, Marx Eÿtterlin des Schneids. nachgelaßene tochter, eingesegnet 6. Octob. (i 5)
Il devient bourgeois par sa femme trois semaines plus tard en s’inscrivant à la tribu des tailleurs.
1584, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 538
Thomas Schmoÿerr der Schneider Vonn Elweillerr Hatt das burgerrecht empfangen Von Ursulla Marx seitterlinsn deß schneiderß selligen dochter, Seiner haußfrauenb Vnnd will Zuo den schneidern diennen Acttum denn 31. 8.bris 1584
Le tailleur Thomas Schmeyer qui n’a pas eu beaucoup de travail pendant la guerre demande l’autorisation de débiter du vin dans sa maison face à la Monnaie où le grand-père de sa femme a débité le vin vingt ans auparavant. Les Quinze l’éconduisent, de même que lors d’une nouvelle requête un mois plus tard.
(f° 39) Sambstag den X Martÿ – Thomas Schmeÿer. Wein Zepffen
1593, Protocole des Quinze (2 R 22)
Thomas Schmeÿer. d. schneider p. Lt. Hüenerer, Er hab dißen Krieg wenig arbeit gehabt vnd sich schwerlich außpring. können, bitt Ime Zugestatten, Im Eckhauß beÿm Müntzhoff, da seiner Frawen großvatter vor Zwantzig Jaren wein geschenckt auch wein Zum Zepffen Zuschencken. Erkandt Ime sein begeren abgeschlagen. B. Mr.
(f° 56) Sambstag den VII Aprilis – Thomas Schmeÿer. Wein Zepffen
Thomas Schmeÿer. d. schneider p. Lt. Hüenerer übergibt ein S.pôn so verleßen, Inn deren er nochmalen bittet Ime auß fürgesprachten Ursachen, das wein Zepffen vff der gaß beÿ dem Müntzhoff Zugestatten & Erkandt, Ime sein begeren abschlag. vnd beÿ vorig. bescheidt pleiben lassen. B. Mr.
Thomas Schmeyer paie avec un retard de huit ans ses contributions de la Taille. Il rechigne à régler l’amende que la Taille lui a infligée en arguant que sa femme est malade depuis longtemps. Les Quinze confirment l’amende.
1598, Protocole des Quinze (2 R 27)
Thoman Schmeÿer Ca. Stall. 175.
(f° 175) Mittwoch den VI. Decembris – Thoman Schmeÿer schneider brigt für, er seÿ acht Jahr vff den Staii schuldig, Järlich 12 ß, Wollt Jetzo 4 lib. geben haben, vnd nach dem Schwörtag den Rest sambt dem Vncosten den sÿ Ime fordern, Wiewol ers vermeint nicht schuldig seÿn, So wöllens die dreÿ nicht von Ime annehmen, sonder haben Ihne für meiner Hn gewißen. Also begert er Ziel vnd ein Zedel vff den Stall, seÿ Ime nicht möglich Jetzo mehr Zugeben. Er hab ein lange Zeitt ein krancke frauw gehabt. Erkandt die dreÿ vff dem Stall beÿ Ihrer ordnung pleiben laßen vmb bößen eingang willen. Zeigen Ime an B. q. Mr
Le conseil des Drapiers inflige une amende à Thomas Schmeyer qui teint sans en avoir le droit. Le maître de la tribu donne lecture d’un état transmis par la chambre du Prévôt. Le juriste Bittlinger objecte que l’affaire n’est pas du ressort du Prévôt et que le maître de tribu a engagé des frais inutiles. Il demande à être exempté des frais de la procédure inutile ainsi que de l’amende elle-même.
1601, Protocole des Quinze (2 R 30)
Tucher Zunfft Ca. Thoman Schmeÿer. 68.
(f° 68) Sambstag den IIII Aprilis – Von weg. d. tucher Zunfft erscheint Peter Hönauwer Zunfftmeistern gepieten laß. Thoman Schmeÿern dem schneider, übergibt p. Lt. hünerer ein ohngehorsamenn Zedel, Vmb deßwillen das er weg. des ferbens, so nicht seines handwercks, gestrafft, verweigere sich die straff Zuerlegen, Bitt Ihne darzu anzuhaltten, mitt beköhrung Costens, Ist der ohngehorsam Zedel vom Schultheißen Gericht verlesen. Thoman Schmeÿer p. Lt. Bittlinger, die sach gehöre nicht dahere, es seÿ doch dem Zunfftmeister vndersagt, er werdt Zu ohnnöttigem Costen gebracht, Bitt aber Zeitt acht tag, So wöll er sein verantworttung alßo fürpring. das er nicht allein des Uncostens am Schultheißen Gericht, sonder auch der straff soll ledig Erkandt werden. Tucher Zunfftmeistern der gegentheil hab vff Crautt vnd loth getrauwen, Schmeÿer er hab mitt dem Büttel geschertzt, das wöllen sÿ Jetzo vff die Zunfft Ziehen. Zunfftmeister laßt sonst die begerte Zeitt Zu Ist ohnvmbgefragt Zugelaßen.
Thomas Schmeyer et son voisin tonnelier Simon Ringer (ensuite n° 22) s’accordent au sujet de leurs latrines communes. Elles seront remises en état à frais communs partagés par moitié. La vidange aura lieu par la maison de Simon Ringer comme par le passé quand elle appartenait à Jean Frœreisen (Gfrœrissen), Thomas Schmeyer devra supporter les deux tiers des frais.
1602 (xvj Xbris), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 488
(Inchoat. fo: 489.) Erschienen Meÿster Thoman Schmeÿer Schnÿd. ane Eim,
So dann Simon Ringer der Khüffer am and. theÿl
haben gegen einand. bekandt vnd offentlich verÿehen, das Sie sich eines Heimlichen gemachs halben welches mit beden Partheÿen Inn Iren Zween Heüßern Inn heÿligen lichter gassen & gelegen gemein Ist, Als Jetzmals eingefallen vnd bauwens von nöten Künffttigen streÿt Zu fürkommen nachburlich vnd freindtlich mit einander vereinbart vnd verglichen, das Nemblich beÿde Partheÿen daßelbig Inn gemeinen costen, Jedem Zum halbentheÿl widerumb erbauwen, vnd Im bauw erhalten werden soll, Wann aber solches auß fhürens von nöten soll es durch sein Simon Ringers behaußung außgefürt werden, Vnd ane dem uncosten solchen vßfhürens den Zweÿten Pfenning Er Thoman Schmeÿer, vnd den dritten pfenning Simon Ringer, wie es Zuvor auch mit Ime Thoman Schmeÿer vnd Hanns Gfrörÿßen sein Simon Ringers vorfahren gehalten word. Zuerlegen Vnnd aber noch ferners gedachten Simon Ringen so offt es gar außgefürt würdt, Ime Thoman Schmeÿern od. seine nachkommende, Jederzeit Zu seinem dritten Pfenning 5 schilling wid. zu steur vnd nachzugeben schuldig sein sollen
Hiebeÿ gewesen Bastian Steber Kürßner und Philipps Keller Schindelspalter als nachburen hierzu erbetten
Le tailleur Thomas Schmeyer et sa femme Ursule hypothèquent la maison au profit du marchand Christophe Merckelbach
1604 (19 Junÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 181-v
(Inchoat. fo: 190.) Erschienen Thoman Schmeÿer Schneider burger alhie Vnnd Ursula sein eheliche haußfrauw insonderheit aber derselben mit beÿstand Vnnd bewilligung Veÿt Werners Vnnd Hanns Häckels Irer Verwandten
In gegensein herrn Christoph Merckelbachs gewerbßmans – schuldig sein 60 guldin zu 15 batzen
dafür Vnderpfand sein soll Hauß vnd hoffestatt mit Iren gebeüwen gelegen In d. St. St. Inn der Heylgen Liechtsgaß einseit Ein Eck ane S Barbeln gaß, and.seit Simon Ring Khueffer stosst hind. vff Veltin freÿen Erben, Dauon gond 5 gld. St. .Ablösig Mit j C gld. bemelter Werung H D. Johann Harttman, Item 5 fl. St. W Ablosig mit j C gl St W Hanns Wolfarth Pergamentern, Item ij lb x ß ablosig mit 50 lb d Steffan Scheren wurth Zum Thiergarten, Item 15 schilling pfenning ablosig mit 15 pfund pfenning Paulo Mocken sunst ledig eig.
Le bailli de Gräfenstein demande l’intercession du Magistrat pour que Thomas Schmeyer délivre la part de succession échue de la femme Jean Walter, habitant de Clausen (en Palatinat)
1604, Conseillers et XXI (1 R 83)
Hans Walters haußfrau von Clausen contra Thoman Schmeÿern. 112.
(f° 112) Montag den VIII Maÿ – Heinrich Bilhartt Amptman Zu Grauenstein fürschreibt seinen angehörigen Hans Walters von Clausen haußfrau deren ein Erbfall Zu und anerstorben vnd von Thomen Schmeÿern soll geluffert werden, welcher sie aber bißher von Ime nit haben mög, Bitt Bitt Ime die handt wid. Ine Schmeÿern Zubiett. Erk. Man soll nach Thomen Schmeÿern schicken fürhalten vnd sein bericht begeren. H. Hugwart, H Schaw.
Le tailleur et fripier Thomas Schmeyer devra cotiser à la Mauresse (pour le droit de fripier). Il doit cependant un arriéré d’amende à la trubu des Tailleurs. L’affaire de l’amende de cinq livres a été portée en 1599 devant la Chambre municipale puis le Grand Sénat. Il est renvoyé devant les Quinze pour la même affaire alors que d’autres vendent aussi du cuir. Il demande à être relaxé ou à ce qu’on prouve qu’il a enfreint le règlement. Le maître de la tribu estime que l’affaire a été jugée et qu’il faut astreindre le contrevenant à payer sous peine d’emprisonnement. Bittlinger répond au nom de Thomas Schmeyer qu’il était absent quand la sentence de la Chambre municipale lui est parvenue, qu’il n’a pas enfreint le règlement et que l’affaire est du ressort du Sénat et non de la Chambre. Les Quinze renvoient à la décision du Sénat.
1604, Protocole des Quinze (2 R 32)
Thoman Schmeÿer ca. Schneider Zunfft. 202.
(f° 202-v) Sambstag den 22. Xbr. – Thoman Schmeÿer schneider vnd altgewender gepieten laßen Geörg Höfflin der Schneider Zunfftmeistern p. Lt Bittlinger sagt er erhalt der Schneider vnd Mörin Zunfftrecht vnd mitt dem leib der Schneider Zunfft, Soll dernweg. auch beÿder Zünfft gerechtigkeit vnd wie* sovihl die nicht wider einander genießen, Er hab Ime aber d. Schneider Zunfft Inn A° 99 ein vermeinte straff 5 lb abgefordert, Ihme darüber vor dem Stattgericht, wie auch vff ein vngehorsamen Zedel vor dem Großen Rhat fürgenohmen, da die sach für meine herrn gewießen vermög Extracts, Er Inn mittels Im wenigsten beclagt noch fürgestellt worden, er auch nicht ursach gehabt zu clagen weÿl die Schneider hetten Cläger seÿn sollen, Jetzo werd er widerumb wie vor fünff jahren gleicher vrsach willen fürgefordert, da er sich vff meine H XV referiret, Sÿ seind aber vff die vngehorsame vor einem Ersamen Rhat wider Ihne verfahren, Nuhn hab er mehr nicht gethan weder auch Urban Krat vnd andere, leder kauff vnd der Kunden verarbeittet. Bitt derwegen dem Zunfftmr. vffzulegen, Ihne ohnmolestirt Zulassen, oder da er vermeint das er wider art. gehandlet, solches vor mein herren für Zubringen, vnd bescheidts Zuerwartten.
Zunfftmr. p. Lt. Hüenerer, Es wüssen meine herren, wann Zünfftige gestrafft vnd sÿ vermeinen beschwert Zu seÿn, das sÿ pflegen sich Zubeclagen, vnd nicht die Zunfft oder gericht, so die straff vffgelegt. Weÿl er nuhr vmb 5 lb gestrafft vnd solches beÿ mein herren nicht angebracht, So seÿ vff des Zunfftmeisters endtlich anhaltten von einem Ersamen Rhat erkandt, das er Inn 8 tag. die straff erlegen, oder Inn gefangknuß eingezogen werden solle, darumb er nicht weitters Zuhören, sonder Zu weißen eines Ersamen Rhats erkandtnuß statt zuthun. Bittlinger, es seÿ Schmeÿer nicht hie gewesen, da der Zedel beÿm Statgericht außgebracht, hab auch nicht wider die artl. gehandlet, gehöre die cognitio vor meine herren vnd nicht für das Stattgericht. Hüenerer, diße exceptio seÿ auch vor Rhat fürgeredet, aber nichts verfangen, bittet es nochmalen beÿ eines Rhats erkandtnuß verpleiben Zulaßen. Erkandt vnd laßt mans beÿ eines Ersamen Rhats erkandtnuß verpleiben. H. Str. Wormßer vnd H Kolöffer B. q. Mr.
Thomas Schmeyer se remarie en 1611 avec Anne, fille du charpentier Jean Hammann d’Obernai.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 315-v, n° 961)
1611. Sonntag den j. Decembris. Thoman Schmeÿger d. Schneider, vndt Anna, hanß Haman deß Schreiners Zu Ober Ehenheim Nachgelaß. t. Eingesegnet Montag den 9. Decembris (i 325)
Susanne Schmeyer, fille de Thomas, s’est fiancée à Haguenau où une femme prétend qu’elle a eu un enfant illégitime et qu’elle a été condamnée pour deux ans. La Chancellerie atteste qu’une telle affaire n’a pas eu lieu
1613 (4. Nou.), Chancellerie, vol. 403 (Gemein Contract Buch)
(f° 63) Urkundt Susannä Schmeÿerin Thoman Schmeÿer des Schneiders dochter
(…) daß heüt dato Alls Wir Offener Rhattweÿß beÿ einand. versamblet waren, Unser gewesener burg. Thoman Schweÿer d. Schneid. unß fürbringen lassen, Wie das seine dochter Susanna Schmeÿerin, so sich Zu Hagenaw verlobt, von einer Weibspersohn beschuldigt werde, Als ob sie ein Unehelich. Kind gehabt hette deßweg. alhie Zu Straßburg ahne dem halßeisen gestanden und darzu ahne Vnser Stattwerck 2 Jahr lang gangen Were. Welches doch nicht seÿ, Mitt bitt deßelben In Unserer Cantzleÿ nachsuchen Zu laßen Und Werd sich v.hoffentlich nichts berfind. werd. seiner dochter dessen ein Urkundt mitzutheilen.
Wann Wir nun Ihme Inn seinem begehren willfahrt, inn Unsere Cantzleÿ nachsuchen laßen, sich ane dergleich. dessen sie deßwegen beschuldit word. gantz nichts Wed. eines noch des and. befunden, Als haben Wir Ihme dise Urkundt vff sein bit under Unserer Statt Secret Insigel mitgetheilt und Geben Donnerstags den 4. Nouembris Anno 1613.
Thomas Schmeyer qui a été déchu de son droit de bourgeoisie fait transmettre par sa femme une requête dans laquelle il demande à revenir en ville pour se faire soigner. Les Conseillers et les Vingt-et-Un rejettent la demande en estimant qu’il est déjà heureux qu’on ait pu se débarrasser de lui.
1613, Conseillers et XXI (1 R 93-94)
Thoman Schmeÿer auß der Statt pleiben. 355.
(f° 355-v) Mittwoch den XIV Nouembr. – Thoman Schmeyer laßt durch sein fraw ein schreiben von Distorpio geschrb. übergeben, so abgelesen, dorin er sein arbeit seelig keit des schenckels Zuerkennen gibt, und d. er einen hab der Inne hie heilen wolt wan er sich langer dorff aufhalten. Dan Ime d. burg. recht vonn Rhatt an halß gehenckt worden, Bitt der wegen so lang Ime alhie Zusein Zuerlauben. würdt angezeugt wie er ein boser betrogener Man gewesen d. man fro sein solt d. man seiner ledig were. Erk. Ist Ime sein begeren abgeschlagen und soll Ime bey d. thurnstraff auß d. Statt gebott. werden.
La maison appartient en 1613 et en 1614 à Jacques Dalheimer d’après les tenants et aboutissants. Son fils Jean Christophe naît en 1611. Sa femme défunte Madeleine est appelée Madeleine Helckann (nom raturé).
Baptême, cathédrale (luth. f° 222)
1611. eodem die [Montag den 24 Februarÿ] P Jacob dalheimer der schneider. M. Magdalena. I. Hans Christoph. Compatres Christoph merckelbach der handelsmann,Peter Sporer der papieer, K Anna Philips Riegels stifftochter (i 237)
La maison est vendue le 14 juin 1614 d’après les actes ultérieurs.
Elle appartient au tailleur Jean Schneider. Originaire de Hechingen en Wurtemberg, il épouse en 1608 Ursule, fille d’Erard Spillenmacher
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 264, n° 710)
1608. Sonntag den 10. Aprilis. Hans Schneider von Hechingen In Würtenberg. Landt d. schneÿd. vndt Ursula, Erhartt Spillen Machers des schreiners Nachgelaßenee tochter, Eingesegnet 19. Aprilis (i 270)
Originaire de « Göchingen » en Würtemberg, Jean Schneider devient bourgeois par sa femme neuf jours après son mariage
1608, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p.
Hanß Schneider, der schneid. von Göching. In dem Hertzogthum württenberg gelleg. Empfahet daß Burgrecht Von Ursula weÿlandt Ehrhardt Spüllenmachers deß Schreiners seellig. dochter wüll Zu den Schneidern dienen Actum den 28. Aprilis Aô 1608.
Employé à la halle, Georges Claus qui est tuteur d’Elisabeth, Jean Jacques, Anne Marie, André et Ursule, enfants du tailleur Jean Schneider et de sa femme défunte Ursule Spillenmacher, dépose à la Tour aux deniers un capital appartenant à ses pupilles
1623, Préposés au bâtiment (VII 1338)
Vogteÿ geldt angelegt, Hans Schneider des Schneiders
(f° 19-v) Mittwoch den 22. Janu. 1623. – Georg Clauß, Kauffhauß Knecht, als Vogt Elisabeth, Hannß Jacobs, Annæ Mariæ, Andreßen vndt Ursulæ, Hanß Schneider des Schneiders mit Ursula Spillenmacherin seiner ehern haußfr. ietzo seelig. ehelich erzeügter Kinder, hatt angelegt 250. h/
Haben thun darumb Zu kauffen geben 12 h 10 ß. Vff Pauli Bekehrung fallendt.Ing. fol. 47.
Jean Schneider se remarie en 1622 avec Rosine, veuve du pelletier Jean Thiébaut Koch.
Mariage, cathédrale (luth. p. 136)
1622. Dominica 21. Trinit: 10. 9.bris. Hans Schneider der schneider, und Rosina Hans Thibold Koch des Kürsners n. witwe, eingesegnet montag den 18. 9.bris) (i 73)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 357) 1622. Hans Schneider der Schneider, Rosina, Hans Dieboldt Kochs des Kürßners hinderlaßene Witwe, Eingesegnet Montag 18. 9.br Im Münster (i 183)
Fille de Frédéric Kessmacher bourgeois à Wittersdorf (à identifier avec le village du Sundgau), Rosine épouse en 1620 Jean Thiébaut Koch, fils du pelletier Barthelémy Koch
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 312-v)
1620. Hans Dieboldt Koch d. Kürßner Barthel Koch des Kürßners hind.laßener Sohn, Vndt J: Rosina, Friderich Keßmachers Burgers Zu Widerßdorff Eheliche dochter (i 161)
La maison revient sans doute par adjudication judiciaire au marchand de futaine Jérôme Waltz et à sa femme Elisabeth (Sommerecker) qui l’hypothèquent en 1676 au profit de Jean Frédéric Theurer, receveur à la fabrique de la Cathédrale
1676 (27. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 647-v
Hieronimus Waltz der barchetkrämer undt Elisabetha beÿdte Eheleuth und Zwar Sie Elisabetha insonderheit mit beÿstandt H Daniel Sommereckhers Silberarbeÿters undt hannß Martin Treutel des Trähers Ihres resp: eheleiblichen bruders und Vettern
in gegensein J Johann Friderich Teürers Schaffners der Fabric deß Münsters – schuldig seÿen 700. fl. à 15. batzen
unterpfand, Eine Vordere undt hindere behausung sampt hoffstatt, höfflin mit allen deren gebäwen undt Zugehördten alhier Vff dem Alten Weinmarckh beÿ der Kleinen Metzig, einseit neben H. Johann Friderich Medler Notario, anderseit neben hannß Christoph Dürrbach den huetmacher, hinden uff eine behaußung der Ellenden herberg Zuständig,
Item hauß, und hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten, alhier in der H. Liechtengaß, einseit neben H Johann Wolffgang Pfeÿlen anderseit neben hannß Siebenhans Erben, hinden auch die debitoris stoßend gelegen
Jérôme Waltz vend la maison à Salomé, veuve du marchand épicier Adam Mey, moyennant 400 florins
1685 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 333-v
(prot: fol: 27) Erschienen Hieronimus Woltz der barchet Krämer
hat in gegensein fr. Salome weÿl. Adam Meÿen deß Specerierers nachgelaßener Wittib mit beÿstand Lorentz Rheinthalers deß Kamm machers Ihres Vogts und Frantz Von Hipßheim hutmachers Ihrer Kinder Vogts
eine behaußung allhier in der Heÿligen Liechtergaß einseit ist ein Eckh anderseit neben Elia Drenner dem Schuhmacher hinden uff Tobias Burckhard den Kieffer stoßend gelegen – umb 400 fl.
L’acquéreuse hypothèque la maison le même jour au profit des enfants mineurs du marchand de bois Jean Jacques Kamm
1685 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 335
fr. Salome weÿl. Adam Meÿen deß Specerierers nachgelaßene Wittib mit beÿstand Lorentz Rheinthalers deß Kamm machers Ihres Vogts
in gegensein Frantz Von Hipßen deß hutmachers alß Vogts hannß Jacob Kammen geweßenen Holtzhändlers nachgelaßener Kinder – schuldig seÿe 100 fl.
unterpfand, eine behaußung mit allen deren Zugehördten allhier in der Heÿligen Liechtergaß einseit ein Eckh anderseit neben Elia Drenner dem Schuhmacher hinden uff Tobia Burckhard den Kieffer stoßend gelegen
Fils du tisserand Matthias Mey à Offenbourg, le marchand épicier Adam Mey épouse en 1641 Marie Gerlach, fille du cordonnier Pierre Gerlach : contrat de mariage à la Chambre des Contrats,, célébration
1641 (22. febr:), Chambre des Contrats, vol. 486 f° 155
(Eheberedung) Erschienen Adam Meÿ der Würtz Krämer der hochzeiter mit beÿstand H Joh: Jacob Walters Schul Meÿsters Zu St: Aurelien alhie eins
und Jungfr. Maria Gerlachin die hochzeiterin mit beÿstand Mathiß Streichers deß Schuhmachers ihres noch ohnentledigten Vogts und Abraham Gerlachß ingleichem Schuhmachers ihres Vettern andern theilß
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 262-v)
1641. Domin: XL. 14. Martÿ, Adam Meÿ der wurtzkrämer Matths Meÿen wullenwebers v. burg. Zu Offenburg Sohn, Jungfr. Maria Peter Gerlach Schuhmachers undt burgers alhie nachgelaßene Tochter. Eingesegnet Montag d. 22. Martÿ St. Thoman.
Adam Mey devient bourgeois quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1641, 4° Livre de bourgeoisie p. 199
Adam Meÿ Von Offenburg der wurtzkrämer Empfangt d. burgerrecht von Seiner Haußfrawen Maria weÿl. Peter Gerlachs deß Schuhmachers seel: nachgelaßener dochter vmb 8 gold. R. ist ledigen Standts geweßen vnd würd zu den Spieglern dienen. Jur. den 30 Martÿ 1641.
Marie Gerlach meurt en 1654 en délaissant pour héritier testamentaire son mari. L’inventaire est dressé dans une maison qui appartient à l’ancien consul Tobie Stædel au Fossé des Tailleurs. La masse active s’élève à 586 livres
1654 (4. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 22) n° 22
Inventarium vndt Beschreibung aller aller Haab vndt Nahrung, so weÿland die Ehren: vndt vieltugendtsame Fraw Maria Gerlachin, deß Ehrengeachten Herrn Adam Meÿen, Specereÿhändlers vndt Burgers alhie, haußfraw nunmehr seel. welche am j. Julÿ Jüngsthin Göttlichem willen nach Zeittl. todts verblichen, nach Ihrem aus dießer welt tödlichen Hinscheÿden Hinder Ihre V.laßen, welche vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren, erst ernandts Ihren hinderlaßenen wittwers, als Crafft auffgerichteten Testamenti Nuncupativi der Fr. seel. Instituirten eintzigen Erben, durch Ihne den H. wittwer selbsten vff Vorher beschehener gebührende errinnerung, auch würcklich erstattete handtrew geäugt und gezeigt (…) So beschehen auff Montag den 4.ten 7.bris A° 1654.
Eheberedungs Copeÿ (…) Beschehen den 22. Februarÿ nach Christi Vnsers lieben herrn geburth 1641, C. Contract stub
Copia Indulti Testandi (…)
Testamentum nuncupativum. 1650 (…) vff Donnerstag den 19. tag des Monats Decembris alten Calenders Zwischen ein Vnd Zweÿen Uhren nachmittag in deß Heÿligen Reichß freÿer Statt Straßburg vnd deroselb Cancelleÿ Contractstuben vor mir Gottfried Stößern als hierzu in specie requirirten Keÿßerlichem Notario publico, wie auch herrn Johann Baptista Börffenicht dem handelsmann vnd burgern Zu Straßburg, Christoff Meÿers der breührten Contractstuben geschwornem substituto,gewesen Jacoben Von Awenheim dem büttel vf der Zunfftstub Zum Spiegel (…) persönlich erschienen Herr Adam Meÿ der Würtzkrämer vnd burger Zu Straßburg vnd Frau Maria Gerlachin, beede Eheleuth Jedes durch Gottes milter ihr Güte noch vffgerichteten stehenden vnd gehenden leibs auch Völligen Verstandts richtiger Sinn vnd Vernünfftiger rede (…) Gotfrid Stösser,Sacræ Cesareæ Majestatis Authoritate publicus Reipublicæ Argentinensis Patriæ Cancellariæ Contractuum Notarius
Inn einer in der Statt Straßburg auff dem Schneid. graben gelegener behaußung, so weÿl. H Tobiæ Städels altten Ammeisters alhie seel. hind.laßener fr. wittwen gehörig, d. wittwer aber lehnungs weiß bewohnt Ist befund. worden, wie volgt
Auff der Obern Bühnen, Auff dem And.n boden, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn dem obern Stüblein, Inn der Wohnstuben, Im Obern Haußöhren, Im Keller, Im Gaden vnder dem Newebaw, Im Conthor
Sa. Haußraths 83, Sa. Weins vndt Vaß 2, Sa. Silbers vndt Geschmeids 9, Sa. Guldenen Ring 10, Sa. d. baarschafft 25, Sa. deß Zum handel gehörig. Schiff und geschirrs 22, Sa. der Wahren 402, Sa. der Schulden 29, Summa summarum 586 lb – Schulden (-), Conclusio finalis Inventarÿ 392 lb
Adam Mey se remarie en 1654 avec Salomé Reinthaler, fille du peignier Frédéric Reinthaler
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 566, LV.)
1654. Eodem [Sonnt. 26. Trin : 19. 9.br] H Adam Meÿ den Handelsmann Vnndt burger alhie Vnndt J. Salome weilandt H. Friderich Reinthalers des burgers vnndt streelmachers auch E. Ers. Großen Raths alten Beÿsitzers hinterlassene Eheliche dochter. Dienst. 28. 9.br. Münster, Spiegell. H.stub (i 315)
Salomé Reinthaler vend la maison au ferblantier Marc Schætzel et à sa femme Marthe Meyer moyennant 300 livres
1690 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 619
Salome, gebohrne Reinthalerin, Weÿl. H. Adam Meÿen gewesenen Specieriers nachgelaßene wittib, mit beÿstand Lorentz Reinthalers, deß Strehlmachers Ihres Vogts und H. Frantz Reinthalers E.E. Großen Raths beÿsitzers ihres leiblich. bruders
in gegensein Marx Schätzels, deß Spenglers und Marthä Meÿerin, mit beÿstand Marx Schätzels deß Pastetenbecks deß Kaüfflers leiblich. Vatters und hans Martin Eberlins, deß hohltrehers
eine behaußung allher in der Heÿlig. Liechtergaß, ist einseit ein Eck, anderseit neben Elias drenner, dem Schuhmacher hind. auff Tobian Burckard den Kieffer stoßend gelegen – geschehen umb 300 pfund
Fils du fabricant de pâtés Marc Schætzel, le ferblantier Marc Schætzel épouse en 1689 Marthe Meyer, fille du farinier Jean Jacques Meyer
1689 (30.5.), Not. Gross (Benoît, 14 not 1)
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Mr Marx Schätzeln, ledigem Spenglern und burgern alhier als dem Hochzeiter an einem,
So dann der Tugendsamen Jungfrawen Martha, weÿland deß Ehrengeachten Hn Hannß Jacob Meÿers gewesenen Meelmanns und burgers alhier in Straßb. mit Frn Anna Catharina gebohrner Gerlachin ehelich erzeugter dochter, als der Jungfr: Hochzeitherin andern theils
Actum Straßb. den 30. Maÿ als auf den H. Pfingstmontag Anno Christi 1669. [unterzeichnet] Marx Schätzel als hochzeither bekenne wie obstehet
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 17, n° 25)
1689. Auff vorbemeltem Tag [Mittwoch d. 18. Julÿ] seind nach 2. maliger proclamation copulirt word. Marx Schätzel d. ledige Spengler, Marx Schätzels des Pasteten: Becken vnd B. alhier v. Fr. Susannæ geb. Duttlerin ehelicher Sohn Vndt J. Martha Wld. Hn Jacob Meÿers deß Meelmanns Vnd B. allhier Und Fr. Catharinæ geb. Gerlachin eheliche Tochter [unterzeichnet] Marx Schätzel, + der Hochzeiterin handzeichen (i 17)
Marthe Meyer fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 295 livres
1690 (25.6.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6318) n° 265
Inventarium undt beschreibung aller d. Jenig. Haab undt Nahrung, so der Ehrsame Marx Schätzel, Spengler undt die tugendsahme Martha Meÿerin, beeder Eheleuth, burgere alhier Zu Straßburg einand. als ein ohnveränd.t Guth inn d. Ehestand Zugebracht, welches umb d. ursach. weilen in d. Zwisch. Ihnen bee. gedacht. Eheleuth. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich. versehen deß eines Jed. inn die Ehe begrache Zumahlen auch wehren. Ee ererbendte Nahrung jedem theil undt seinen Erb. ohn v.&a&dt seÿn (…) Mittwochs den 25. Januarÿ a° 1690.
Summa summarum d. frawen gantz Ingebracht Nahrung 295 lb, Zweiffelhaffte Schulden 11 – Haussteuren 12 lb
Marc Schætzel hypothèque la maison au profit de la confrérie des barbiers. Sa femme Marthe Meyer se porte garante.
1690 (12. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 695-v
Marx Schätzel, der Spengler
in gegensein Hn Johann Friderich Mägerle, deß Barbierers und wundartzts, alß Altmeisters, und Hn Johann Henrich Mosis, deß ledig. Barbieres alß altgesellen, angezeigt und bekandt, daß Er Schätzel E. Löbl. Gesellschafft der ledigen Barbierer auffrichtig und redlich schuldig seÿe 150 Pfund
unterpfand, Eine behaußung allhier in der Heilig. lichtengaß, ist einseit ein Eck, and. seit neben Elias drenner, dem Schuhmacher, hinden auff Tobiam burckard den Kieffer stoßend gelegen
Zu deßen mehrer Versicherung ist hiebeÿ persönlich erschienen Martha, gebohrne Meÿerin, deß debitoris eheliche haußfrau, und zwar dieselbe mit beÿstand Samuel Braun deß haußfeurers und Johann Haubenstrickers deß Weißbecken, Ihres respect. Schwagers und Vettern, die hat sich für solche Schuld verbürgt
L’inventaire dressé après la mort de Marthe Meyer n’est pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 700 florins
1701, Livres de la Taille (VII 1173) f° 126-v
(Schmid, F. N° 438) Weÿl: Fr: Marthæ Schätzelin, Marx Schätzels deß Spenglers geweßener Haußfrauen Verlaßenschafft, Inventirt Herr Nots: Johann Heinrich Lang.
Concl: fin: Inv: ist fol: 57.b 349. lb, 15. ß 8 d. die machen 700. fl. verstallte 500. fl. und also 200 fl. Zu wenig.
Extat Stall gelt 1701. 2 lb 2 ß
Nachtrag von nicht verstallten 200 fl. vor vier jahr in duplo macht à 12 ß, 2 lb 8 ß
So dann Vor Zweÿ jahr in simplo macht a 6 ß, 12 ß
Item so sind gebott, 1 ß
So dann thut die Abhandlung, 15 ß, Sa. 5 lb 18 ß 6 s
Bitt umb einige Nachlaß, welche willfahrt und nachgelaßen worden, 1 lb 8 ß. 8. ß, Rest noch 4. lb. 10. ß 6 d
dt. den 18. Jan: 1702.
Marc Schætzel se remarie en 1702 avec Catherine Fischer, fille du boutonnier Daniel Fischer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehr: und vorgeachten Herrn Marco Schätzel, Spenglern, und burgern Au Straßburg, als bräutigamb, ahne einem, so dann der Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Catharinä gebohrner Fischerin Weÿland deß Wohl Ehrengeacht: und wohlachtbar Herrn Daniel Fischers gewesenen Knöpffmachers und burgers allhier Tochter, am andern thei – Solches alles geschehen und Zugangen in der Königlichen Statt Straßburg den 28. Januarÿ 1702
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 86, n° 470)
Eodem [den 15. Februarÿ 1702] ist nach ordentlicher proclamation eingesegnet word. Marcus Schätzel der burger undt spenglern mit Jfr. Catharina weÿl. H Daniel Fischers gewesenen seÿdenhändlers und Knöpffmachers allhier nachgelaßener ehelichen tochter [unterzeichnet] marx schäxtzel, Catharina fischerin alß hochzeiterin (i 88)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Marc Schætzel à se remarier alors que son deuil n’est pas terminé.
1702 Conseillers et XXI (1 R 185)
Marx Schätzel pt° dispensationis Temporis luctus. 63.
(p. 63) Sambstags den 4. Februarÿ 1702. – Niess Ersch. Marx Schätzel der burger und Spengler allhier prod. seiner Frawen Documentum mortis vom 29. Octobris vorigen jahrs, vnd weilen Er den gantzen tag vor herrn Rhatherren Schweitzer hauß ahne dem stand ist, vnd seine haußhaltung dem gesind allein überlaßen muß, alß hat Er sich mit Jungfrau Anna Catharina Fischerin ehelich versprochen,bitt dispensando biß morgen sich Zum ersten mahl proclamiren Zuaßen gn. Zuerlauben. Erk. würdt Imploranten gegen erlag 1. ln ins allmosen dispensando in seinen begehren willfahrt. H. XV Leitersperger und H. Schmuck
Marc Schætzel vend à Anne Catherine Meyer les droits l’usufruit qui lui sont échus de sa première femme
1704 (5.5.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 224-v
Marx Schätzel Spengler
in gegensein Annæ Catharinæ Meÿerin mit beÿstand H. Joh: Heinrich Grünschmids schuem: Dero vogts u. Bernhard Wassermanns Tabackbereithers
Demnach Margaretha geb. Meÿerin sen Schätzels erste Haußfr: nunmehr seel. ihm Kraft Codicills den lebtägigen genueß aller ihrer Verlaßenschafft verschaffet ihro Annæ Cath: aber alß Erbin pro dimidia parte, sein Schätzels, tod zu erwarthen unthunlich, alß habe Er sich mit ihro u. berührten ihrem sponso auch Vogten eines freundlichen auß Kaufs dergestalt wissentlich verglichen, daß Er, Schätzel, ihro Annæ Cath: für alle Dero dißorths gehabte u. habende erbsforderung baar abgetretten solle 75 pfund wormit Sie von aller solcher Verlaßenschafft gäntzlichen außgewießen, u. der usufructus insoweith Cum proprietate Consolidiret seÿn solle
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 000 livres, ceux de la femme à 401 livres. L’inventaire cite trois titres à l’appui de la propriété de la maison, datés de 1569, 1614 et 1685.
1705 (11.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 13) n° 522
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte vndt bescheidene Meister Marx Schätzel Spengler und die Ehren und tugendsahme fraw Catharina gebohrne Fischerin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zu Straßburg einander in dero Ehestand Zugebracht (…) Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehrenvest vnd wohlvorgeachten herrn Johann Adam Müller Sen. vornehmen handelßmann vnd burgers allhier der Ehefrauen geweßenen Herrn Curatoris und dißorths Ihres erbettenen beÿtands, Donnerstags den 11. Junÿ Anno 1705.
In einer allhier Zu Straßburg theils ane der Heÿligen Liechter theils ane St. Barbara gaß gelegener behaußung volgender maßen befunden worden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Soldaten Cammern In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohn Stub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In der undern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung (M.) Item Hauß vnd Hoffstatt sampt dero gebäuwen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg, ane der heÿligen Liechtengaß, ist ein Eck einseits ane St. Barbara Gaß, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St Marx gehörig, hinden auff herrn Andream Greümen den Jüngen Apothecker stoßend, so freÿ leedig und Eigen, æstimirt hiehero ohnvergreifflich pro 215 lb Darüber meldet ein perg. Kauffverschreibung mit der St. Str. anh. C. C. Insigel Verwahrt, deren datum den 18.ten Novembris Anno 1690. Darbeÿ ferner 3 underschiedene ältere perg. Kauffbr. dero der eine de A° 1569, der andere 1614 und der dritte 1685 datirt alles mit N° 1 notirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Manns Nahrung betr., Sa. haußraths 213, Sa. Wahren und Werckzeugs 238, Sa. Frucht und meel 28, Sa. Weins und Leerer vaß 157, Sa. Silbergeschirrs 31, Sa. baarschafft 134, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 46, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 215, Summa summarum 1064 lb – Hierzu nun ferner zusetzen die dem Mann ane denen Haussteuren gebührende Zwo tertzen so thun 11 lb, des Manns gäntzlich in dieße Ehe eigenthümlich gebrachtes Vermögen 1075 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug verbleibt 1000 lb
Der Frauen Nahrung belangend, Sa. Kleÿdung und weißgezeugs 91, Sa. Silbers 8, Sa. Guldener Ring 13, Sa. baarschafft 277, Summa summarum 390 lb, Hierzu kombt ferner die angebühr hernach beschriebener Haussteuren 11 lb, Sofort erträgt der Frauen völlig vor unverändert in dieße Ehe gebrachte Nahrung benantlichen 401 lb
Litige entre Marc Schætzel qui emploie un fabricant de fioles et le corps des ferblantiers en 1708.
Litige soulevé en 1727 par Marc Schætzel qui ne peut plus marcher ni travailler concernant les remboursements des repas offerts aux compagnons lors de leur arrivée à Strasbourg.
Marc Schætzel meurt en 1729 en délaissant une fille issue de sa veuve. Les experts estiment la maison à 300 livres. La masse propre à la veuve est de 328 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 487 livres, le passif à 360 livres.
1729 (4. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 25) n° 582
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und Vahrender, Verändert: und ohnveränderter überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte Meister Marx Schätzel, der gewesene Spengler und burger allhier zu Straßburg, nunmehr seel. als derselbe Montags den 29.ten Augusti dießes lauffenden 1729.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und tugendsahmen frauen Mariæ Elisabethæ Wittmarin gebohrner Schätzelin, mit beÿstand des Ehren: und wohlvorgeachtn Herrn Johann Jacob Wittmars, des Perruckenmachers und burgers allhier Zu Straßburg, Ihres Mariti, als des verstorbenenn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib, ehelich erzeugter tochter, und ab intestato verlaßener universal Erbin inventirt und ersucht, durch die Ehren und tugendsahme Frau Catharinam Schätzelin gebohrne Fischerin die hinterbliebene Wittib, mit assistentz des Ehren und Wohlvorgeachten H Johann Reinhard Kuglers, des Gastgebers Zum Einhorn und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 4.ten Octobris Anno 1729.
Copia der Heuraths Verschreibung – Copia Codicilli reciproci
In Einer allhier Zu Straßburg ane der Heÿligenliechtergaß gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf der Bühn, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohn Stub Cammer, In der Wohn Stub, In der Kuchen, In untern Haußöhren
Eigenthumb ane einer Behaußung (E. et T.) Eine Behaußung und Hoffstatt sambt dero gebäuen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der heÿligen Liechtengaß einseit ist ein Eck anderseit neben Meister Johann Christoph Lichtenberger dem Goldschlager hinden auf herrn Andream Greumen den Apothecker, und E: E: Großen Raths jetzigen beÿsitzern stoßend, so freÿ Ledig eigen, und durch (die Werckmeistere) lauth Abschatzungs Zeduls vom 27. 7.bris Anno 1729. angeschlagen pro 300 lb. Darüber meldet ein teutsche pergamente Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel Verwahret, deren datum den 18.ten 9.bris A° 1690. Darbeÿ ferner ein alter pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Kleinern Secret Insiegel Verwahret datirt den 14.ten Junÿ Anno 1614, beede mit altem N° 1 notirt und nach beschehener besichtigung wider dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Wittib abgegangen ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über beeden gewesener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1705. durch Hn Notarium Daniel Rohr nun seel. auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 12 ß, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Schulden 25, Erg. (300, abgang 1, Remanet) 299, Summa summarum 328 lb
Der Erbin ohnverändert und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 63, Sa. Werckzeugs und gemachter Wahr Zum Spengler handwerck gehörig 81, Sa. Wein und Lährer Vaß 22, Sa. Silbers 14, Sa. goldener Ring 6, Sa. Eigenthumb ane einer Behaußung 300, Summa summarum 487 lb – Schulden 360 lb, Nach solchem abgang 127 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 455 lb
Abschatzung d. 27. 7.bris aô 1729. Auff begehren Weÿland des Ehren Vesten und Vorachtbahren Meister Martz Schettling gewesenen Spänglers seel. hinterlaßene frau Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der hellen liechter gaßen gelegen, ein Eckhauß am höllen gäßlein, anderseits Neben Johann Christoph Leuchenberger Goldschlager, Anderseits Neben herrn Rathh. Keÿmen welche behausung, Stuben, Cammern, Küchel, hauß Ehren Mit herd und Waßerstein und gebälcktes Kellerlein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Sechß Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 28. Januarÿ 1702
La maison revient à sa fille Marie Elisabeth qui épouse en 1728 le perruquier Jean Jacques Wittmar, fils de chirurgien : contrat de mariage, célébration
1728 (15. Maÿ), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 21) n° 492 et (31 Not 77) n° 183
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Johann Jacob Wittmar, dem Ledigen Perucquenmacher, Weÿland des Ehrenvest, Wohlvorgeacht vnd Kunsterfahrenen Herrn Johann Philipp Wittmars, des geweßenen Chirurgi und Wundartzten, auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Maria Elisabetha Schätzelin, des Ehren: Vnd Wohlvorgeachten Herrn Marx Schätzels des Spenglers Vnd burgers allhier Zu Straßburg, ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern Theil
(in gegenwarth Herrn Johann Philipp Wittmars Perucquenmachers deßen eheleiblichen bruders, auf sein des bräutigambs (…) auf Sambstag den 15. Maÿ Im Jahr des herrn als man Zahlte 1728, Johannes Lobstein, Notarius juratus
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 206-v, n° 1175)
Anno 1728 den 9. Junÿ sind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Wittmar der ledige Peruquenmacher alhie weil. H. Johann Philipp Widmar des burgers und Chirurgi alhier hinderlaßener ehelicher Sohn und Jungfr. Maria Elisabeth Marx Schätzel des burgers und Spenglers alhie ehel. tochter [unterzeichnet] Johan Jacob Wittmar als hoch Zeiter, Maria Elisabetha Schätzlerin Als hoch zeitrin (i 211)
Jean Jacques Wittmar et Marie Elisabeth Schætzel hypothèquent la maison au profit de Marguerite Salomé Tromer veuve du pasteur Jean Melchior Erhard.
1732 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 n° 205
Johann Jacob Wittmar Peruquenmacher und Maria Elisabetha geb. Schätzelin mit beÿstand ihrer mutter schwagers Bernhard Notter Buchbincers und ihres Vettern Johann Philipp Geÿler Cantzleÿ Buchbinders
in gegensein H. Notario Johann Paul Tromer der schaffneÿ verwalthers allhießigen Blatterhaußes als vogts seiner tochter Fr. Margarethæ Salome weÿl. H. Johann Melchior Erhard Pfarrers zu Bischheim am Saum hinterlaßener wittib – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, zwo tertzen Einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der heÿlgen Liechtergaß einseit ein eck ahne St Barbara gaß, anderseit neben einem Stiffts hauß dem Allmoßen zu St Marx gehörig hinten auff H. Rathh. Andreas Greuhm Apothecker und auff die Schaffneÿ des Stiffts Carthauß – ihro der correa zu gedachten zweÿ dritten theil, ihrer mutter Fr. Catharina geb. Fischerin weÿl. Marx Schätzel Spenglers wittib zur übrigen tertz eigenthümlich zuständig
Jean Jacques Wittmar et Marie Elisabeth Schætzel hypothèquent la maison au profit de Marie Salomé Jund veuve du marchand Valentin Grauel et du pasteur Jean Schmidt
1732 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 273-v
Johann Jacob Wttmar Peruquenmacher und Maria Elisabetha geb. Schätzelin mit beÿstand ihrer Mutter bruders Johann Ulrich Müller handelsbedienten und ihres Mutter schwagers Bernhard Notter Buchbinders wie auch dießes letstern tochtermanns Johannes Güntzer auch Buchbinders
in gegensein Fr. Mariæ Salome geb. Jundtin weÿl. H. Valentin Grauel gewesenen handelsmanns hinterlaßener wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Johann Jacob Spielmann Apotheckers und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzers und in fernerer gegenwart H. M. Johannes Schmidt Evangelisch Pfarrers zu Mundolßheim und Mittelhausbergen – schuldig seÿen 1000 pfund zwar Frau Grauelin 200 pfund und H. Pfarrer Schmidt 800 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und rechten am Fischmarckt einseit ist ein eck ahne der Kuttelgaß anderseit neben Andreas Schneller dem Chirurgi hinten auff eben denselben – davor soll man dem Stifft Carthauß 1 lb ahne ewigen ehrschätzigen und fürbietigen zinß, Ferner der hohen Schuel ahne ewigen zinß 7 ß 6 d, Item dem mehrern Hospital in der der Elender herrberg 7 ß 6 weither dem sSifft Nicolai in Undis 1 lb 10 ß ahne dergleichen zinß und endlich hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane allmend zinß
Ferner eine Behausung und hoffstatt cum appertinentis ahne der heÿlgen Liechtergaß einseit ist ein Eck ahne St Barbara gaß, anderseit neben einem dem Allmoßen zu St Marx gehörigen hauß hinten auff H. Rathh. and Greuhm apothecker und auff die Schaffneÿ des Stiffts Carhauß – als ein währender Ehe erkaufft die letstere aber Wittmarische Ehefrau allein als ein von ihrem vatter seel. ererbtes guth
Les héritiers sont exempts d’inventaire quand la veuve de Marc Schætzel meurt en 1736.
1736 (26.5.), Livres de la Taille (VII 1178) f° 134
fr. Maria Elisabetha gebohrne Schätzelin mit beÿstand H. Johann Jacob Wittmar des Peruckenmachers ihres Ehemanns producirt Vätterl. Inventarium de anno 1729. durch H. Not. Lobstein gefertiget, mit bitt weilen das Vermögen mehr ab alß zugenommen, bittet umb befreÿung fernerer Inventur. Erkannt willfahrt.
Etat des biens qui ont appartenu à Catherine Fischer, parmi lesquels la maison (dont elle avait l’usufruit)
1736 (24. 7.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 45) n° 1037
Designatio, Alles deßen so Frau Maria Elisabetha Wittmarin, gebohrne Schätzelin, herrn Johann Jacob Wittmars, des Peruquenmachers vnd Burgers haußfrau auf absterben frauen Catharinæ Schätzelin gebohrner Fischerin, auch weÿl. Mr Marx Schätzels, des geweßenen Spenglers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib nun auch seel. Ihrer lieben mutter, welche den 23. maÿ Anno 1736 dießes zeitliche geseegnet, geerbet (…) So beschehen zu Straßburg auff Montag den 24.ten 7.bris Anno 1736. In Einer allhier Zu Straßburg ane der Heÿligenliechtergaß gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane haußrath (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung und hoffstatt, sambt d° gebäuen, weithen, Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten, geleg. allh. Zu Straßb. ane der heÿligen Liechtengaß, einseit ist ein Eck, anderseit neben Mr Johann Christoph Lichtenberg. dem Goldschlag. hinden auff herrn Johann Daniel Branden, E: E : großen Raths alten beÿsitzers Ehefrau stoßend, so freÿ, ledig, eig. und in weÿl. Mr Marx Schätzels des geweßenen Spenglers v. burg ; allh. Zu Straßb. der fr. ehel. Vatters seel. Verlaßenschafft Invent° de A° 1729. d. mich unterschriebenen Not° auffgerichtet fol. 94. fac 2.da d. der Statt Straßb. geschworne Hn Werckmeistere angeschlag. dabeÿ mann es auch jedoch Keinem theil Zum præjuditz gelaßen pro 300 lb. Darüber sagt ein teutsche perg. Kauffverschreibung, mit der Statt Straßb. anh. Cancelleÿ Contract Ins. verwahret, d.en datum den 18.ten 9.bris Anno 1690. Darbeÿ ferner ein alter perg. Kffbrieff mit der Statt Straßb. Kleinern Secret Ins. Verwahret, datirt d. 14.ten Junÿ A° 1614, beede mit altem N° 1 notirt
Le perruquier Jean Jacques Wittmar meurt en 1783 en délaissant deux filles célibataires et un fils. L’actif de la succession s’élève à 30 livres, le passif à 37 livres
1783 (30.5.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 882) n° 184
Inventarium über Weiland Herrn Johann Jacob Wittmars geweßenen Perruquenlachers und burgers allier Zu Straßburg Verlaßenschafft, errichtet Anno 1780 – nach seinem den 2.ten Aprilis diesen laufenden 1783.ten Jahrs erfolgten Absterben hinterlassen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des Defuncti drei Majorener Kinder (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in einer an der Mittlern Langstraas gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung, Freÿtags den 30. Maÿ Anno 1783.
Des Verstorbenen seelig ab intestato verlassene Erben sind 1° Jungfer Maria Salome Wittmarin, in dem ersten dritten Stammtheil, 2. Jungfer Maria Dorothea Wittmarin, den den Zweiten dritten Stammtheil, diese beede Töchter sind majorennes und haben unter Verbeÿstandung herrn Georg Michael Krauß des buchbinders und burgers alhier dieser Inventation beigewohnt und ihren Nutzen beobachtet,
Und dann 3. Herr Ludwig Wittmar, Perrquenmacher und burger allhier, welcher diesem Verlaßenschaft geschäft persönlich abwartete und sein interesse besorgte, in den letzten dritten Stammtheil, Alle drei sind des Defuncti mit auch weiland Frau Maria Elisabetha gebohrner Schätzelin seiner geweßenen Ehegattin ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu gleichlingen Portionen verlaßene Erben.
Schulden au dieser Verlaßenschafft zu bezahlend, Erstlich weiland herrn Antoine Voinson des frantzösischen Becken Wittib solle man an Hauszinns von ein Viertel Jahr bis nächstkünfftig Joh. Bapt: gerechnet à 26 ß 10 ß des Jahrs
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 21 lb, Sa. Schulden 9 lb, summa summarum 30 lb – Schulden 37 lb, Compensando, Passiv onus loco Stall summa 6 lb
Marie Elisabeth Schætzel femme de Jean Jacques Wittmar vend la maison au courtier Jean Daniel Ehrmann
1737 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 236-v
Fr. Maria Elisabetha geb. Schätzelin Johann Jacob Wittmar des Perruquenmachers ehefrau beÿständlich ihres Ehevogts
in gegensein Johann Daniel Ehremann des geschwornen Courtier
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der heilgen Liechtergaß einseit ist ein Eck ahne St Barbara gaß gegen der königlichen Müntz über, anderseit neben einem dem Stifft zu St Marx gehörigen, von Johann Christoph Liechtenberger dem goldschlager bewohntem hauß, hinten auff H. Rathh. Johann Daniel Brand uxorio nomine – ihr als universal erbin ihrer Elten weÿl. Marx Schätzel des Spenglers und deßen wittib weÿl. Catharina geb. Fischerin eigenthümlich zuständig – um 750 pfund
Marie Madeleine Fritschmann veuve de Jean Daniel Ehrmann vend la maison au perruquier Jacques Henri Ehrmann et à sa femme Catherine Elisabeth von Gottesheim moyennant 600 livres
1761 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 256
H. Johann Michael Emmerich der courtier als mandatarius Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Fritschmännin weÿl. H. Johann Daniel Ehrmann des Courtier wittib
in gegensein H. Jacob Heinrich Ehrmann des perruckenmachers und Catharinæ Elisabethæ geb. von Gottesheim beÿständlich H. Johannes Meÿer des säckers und H. Not. Johann Daniel Langheinrich
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der heÿligen lichtengaß, einseit ist ein Eck ane der Barbara gaß, anderseit neben einer dem Stifft St Marx gehörigen behausung, hinten auff N. Schmidt den kübler – um 600 pfund
La venderesse donne pouvoir à son gendre Jean Michel Emmerich de vendre la maison
(94 Z 79) persönlich erschienen frau Maria Magdalena gebohrene Fritschmännin, weÿl. Herrn Johann Daniel Ehrmanns geweßenen geschworne Wechßel Courtier und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßene Frau Wittib beÿständlich Herrn Johann Ludwig Imlin junioris Silber Arbeiters und Burgers allhier Ihres geliebten Hn Tochtermanns
anzeigend wie daß Sie die Von Ihrem Ehemann seelig den 2.ten Aprilis 1737. erkauffte Behausung und Hoffstatt mit allen übrigen deren Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der heÿligen Lichtengaß, einseith ein Eck ane der gegen St. Barbarä Gaß, Ziehenden Zwerchgaß, anderseith neben einem dem Stifft St. Marx Zuständigen hauß hinten auff N. Schmid den Kübler stoßend, si gegen männiglichen freÿ, leedig, eigen
an Herrn Jacob Heinrich Ehrmann des Perruquier und Burgern allhier Ver Kaufft Alldieweilen Ihme aber solche dermahlen in allhießiger Cancelleÿ Contract Zugeschrieben Werden solle, Ihro aber gegenwärtige Zeit nicht erlauben Will sich in eigener Persohn dahin Zu Verfügenn und solches Verschreibung beÿ zu wohnen, so Will Sie hiermit und in Crafft dießen Ihrem ältern Herrn tochtermann Herrn Joh: Michael Emmerich dem geschwornen Wechßel Courtier und Burgern allhier Vollkomen Macht und Gewalt ertheilt haben sich in Ihrem Nahmen in allhießige Contract stub Zu Verfügen (…)
So beschehen in Straßburg auff Sonntag den 27. Augusti A° 1761. Johann Daniel Langheinrich Notarius juratus
Jacques Henri Ehrmann termine son apprentissage chez son père Jean Philippe Ehrmann en juin 1750. Il devient maître en janvier 1756.
1750, Protocole du corps des perruquiers (XI 175)
(f° 244) 1750. Mittwochs den 17. Junÿ – Herr Johann Philipp Ehrmann der Perr. und Burger alhier, bittet seinen Sohn Jacob Heinrich, in die Lehr zuschreiben und auszuthun. Erk. seÿe hiemit Zu verzeichnen.
1756, Protocole du corps des Perruquiers (IX 176)
(f° 53-v) 1756. Montags den 19. Januarÿ – Eodem, Hr. Jacob Heinrich Ehrmann der Peruckenm. Herrn Phil. Ehrman, des Perr. u. b. alh. ehel. sohn, prod. Stall und Zftschein von dem heutig. dato, bittet ihne als einen Mr. Sohn, in die maitrise aufzunehmen. Erkandt, seÿe aufzunehmen, worauf ihme die art. vorgel. word. welche er auch zu halten verspr.
Jacques Henri Ehrmann épouse en 1756 Catherine Elisabeth von Gottesheim, fille du pasteur Jean von Gottesheim : contrat de mariage, célébration
1756 (25.10.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 113
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und wohlvorgeachten herrn Jacob Heinrich Ehrmann dem Leedigen Perruquenmacher Hn Joh: Philipp Ehrmanns ebenmäßigen Perruquenmachers und burgers allhier und fraun Maria Dorothea gebohrener Schatzin ehelich erziehlten Hn Sohn als dem H brautigam ane einem
sodann der Viel Ehren und tugendgezierten Jgfr Catharinæ Elisabethä Gottesheimin weÿl. S. T. H. Johann von Gottesheim geweßenen treu Eÿfferigen Diaconi beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu St Nicolai und burgers allhier seel. mit frauen Susanna Maria gebohrner Moscheroschin ehelich erziehlten Jgfr. tochter als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
auff Montag den 25.ten Octobris A° 1756. [unterzeichnet] Jacob Heinrich Ehrmann al s hochzeiter, Catharina Elisabetha Von Gottesheim als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 140 n° 36)
1756. Mittwoch d. 17. Nov. Seind auff Zweÿmahlige Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirche Zu S. Nicolai in den Ehelichen Stand eingesegnet worden. H. Jacob Heinrich Ehrmann, Peruquenmacher und burger allhier, H. Johann Philipp Ehrmanns, Peruquenmachers Haarshändlers und burgers allhier Ehelicher Sohn, und Jfr. Catharina Elisabetha Gottesheimin, Herren Johannes von Gottesheim geweßten Diaconi Senioris beÿ dieser Evangelischen Gemeinde Zu S. Nicolai nachgelaßene Eheliche Tochter [unterzeichnet] Jacob Heinrich Ehrmann ams hochzeider, Catharina Elisabetha Von Gottesheim als Hochzeiterin (i 142)
Catherine Elisabeth von Gottesheim meurt en 1764 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 655 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 493 livres, le passif à 1 083 livres.
1764 (6.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 722) n° 510
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen frauen Catharinæ Elisabethæ Ehrmännin geb. von Gottesheim des Ehren und Vorgeachten herrn Jacob Heinrich Ehrmanns Perruquier und Burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1764 – als dieselbe Freÿtags den 15.ten Junÿ dießes lauffenden 1764. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechselt auch solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johannes Meÿers Säcklers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Elisabetha und Mariä Magdalenæ derer Ehrmännin beeder der Verstorbenen seel. mit obgedachtem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugt und nach todt Verlaßener Kinder alß deroselben ab intestato Verlaßener Erben ersucht und inventirt (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 6.ten Junÿ Anno 1764.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Hellenliechtergaß gelegenen in dießer Verlaßenschafft gehörig. behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen begriffen Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der hellen liechtengaß einseit neben einem Löbl. Stifft St. Marx gehörigen Von H. Georg Jacob Lichtenberger dem Goldschlager bewohnenden behaußung 2.seith ein Eck ane der Allmendgaß gegen denen Kleinen Capucinern hinden auf Johann Schmid den Kübler stoßend, so außer hernach eingetragenen darauf hafftenden passiv Capital freÿ leedig eigen, und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 21. Julÿ 1764. angeschlagen pro 450 lb. Dießes hauß hat der Wittiber wehrender Ehe von Frauen Maria Magdalena Ehrmännin geb. Fritschmännin weÿl. Hn Joh: Daniel Ehrmanns geweßenen Wachßel Courtier und Burgers allhier seel. nachgel. Fr. Wittib an sich erkaufft, es ist auch solches in allh. C. C. Stub ordentlich verschrieben aber biß dato Kein Kauffbrieff davon außgefertiget worden. Es sagt aber hierüber 1. teutsch. pergam. Kauffbrief in allh. C. C Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel Verwahret d. d. 2. Aprilis A° 1737.
Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in der Ehestand Zugebrachte Nahrung Anno 1757. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändert Vermögens, Sa. hausraths 53, Sa. Silbers 8, Sa. Guldener Ring und dergleichen Geschmeids 15, Sa. Schuld 50, Erg. Rest 527, Summa summarum 655 lb
Dießemnach wird nun auch des Wittibers unverändert und theilbar Vermögen unter einem Titul beschrieben massen der Kind. und Erben Vogt auf die theilbahre Nahrung renunciren und solche dem Wittiber tam active quam passive allein eigenthümlich überlaßen wird, Sa. haußraths 43, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Summa summarum 493 lb – Schulden 1083 lb, In Vergleichung 590. lb – Stall summ 64 lb
Jacques Henri Ehrmann loue une partie de la maison au manant Jean Baptiste Michel
1765 (27.2.), Not. Lobstein (6 E 41, 840) n° 5 (III : Lehnungen)
zwischen H Jacob Heinrich Ehrmann dem Peruquenmacher ane einem
und Jean Baptiste Michel dem Schirmern dahier ane dem andern theil, nachfolgende 3 jährige Lehnung
in seiner ane der hellen Lichtergaß gelegenen behaußung den völligen ersten Stock das ist alles das jenige so eine Steege hoch, mehr im zweÿten Stock eine stub in die helleliechter gaß außsehend, ferner auf den dritten stock eine bühn und Cammer für die Magd zu legen und platz zum holtz wie auch im Keller platz für 20 Ohmen wein zu legen und auf nachst kommenden Annunciationis Mariæ dießes 1765 Jahr ihren Anfang nimbt (um einen jährlichen Zinß= 60 gulden
deponirt den 27. Februarÿ 1765
Jacques Henri Ehrmann se remarie en 1766 avec Marguerite Salomé Erhard, fille de coutelier
Mariage, Robertsau (luth. n° 489)
Montag den 16. November 1766 nach vorhergangener zweÿmaliger ausrufung in der Kirche Zu St. Nicolai in Straßburg, allhier auf Erlaubniß Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters Ehelich copulirt und eingesegnet worden, Herr Jacob Heinrich Ehrmann der Peruckenmacher, burger in Straßburg und Wittwer, und Margaretha Salome, Johann Georg Erhard des burgers und Meßerschmidts in Straßburg Eheliche tochter [unterzeichnet] Jacob Heinrich Ehrmann, als hochzeiter, Margareda salome Erhardin als hochzeiterin (i 255)
Marguerite Salomé Erhard fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 74 livres
1766 (28.11.), Not. Elles (6 E 41, 1333) n° 345
Inventarium über Fraun Margarethä Salome geb. Erhardtin, Jacob Heinrich Ehrmann des Peruquenmachers v. b. dahier Ehefraun, Zu erstged. ihrem Ehemann in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1766. – in beÿseÿn ged. ihres Mariti, inventirt v. ersucht, auch durch sie selbsten unter verbeÿstandung Joh: Georg Erhard des Meßerschmidtts v. bs. dahier, ihres Vatters – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg den 28. Novembris 1766.
In einer behaußung allhier Zu Straßburg ane en sogenanndten däumel Gäßel beÿ Finckweiler gemegen, befunden worden wie folgt
Sa. haußraths 60 lb, Sa. Silbers 14, Summa summarum 74 lb
Jacques Henri Ehrmann meurt en 1773 en délaissant deux filles de son premier mariage. L’inventaire est dressé dans la maison du cordonnier Michel Vollherbst au Fossé des Treize. La masse propre à la veuve est de 10 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 12 livres, le passif à 202 livres.
1773 (19.6.), Not. Lauth (6 E 41, 646) n° 4
Inventarium über Weÿland Mr Jacob Heinrich Ehrmann, des gewesenen Peruquier und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1773 – , nach seinem den 29.ten Martii laufenden 1773. Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Nahrungs: Verlaßenschaft auf Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohl Fr. Margarethæ Salome Ehrmännin gebohrner Erhardin der hinterbliebenen Wittib beÿständlich H. Johannes Hertenstein des Weisgerbers und Br. hieselbsten fleißig inventirt vnd ersucht, als auch H. Johann Christoph Geÿler, Phil: Magistri und Burgers dahier als geordnet und geschworen Vogts Mariæ Elisabethæ und Mariæ Magdalenæ beeder Ehrmännin, des Verstorbenen seel. mit weil. Fr. Maria Elisabetha gebohrner von Gottesheim in erster Ehe erzeugter und ab intestato Hinterlaßener Erben (…) So geschehen Straßburg auff Sonntag den 19.ten Junii 1773.
Bericht wegen gegenwärtiger Verlaßenschaft. Dieweilen nach dem durch die hinterbliebene Wittib anbeÿ ertheilten Bericht, Zwischen Ihro und ihrem Verstorbenen Ehemann Keine Eheberedung errichtet, annoch aber ihr der Wittib in nun zertrennte Ehe gebrachtes Guth nach Außweißung producirten durch Vormahligen herrn Not. Joh: Georg Elles den 28.ten Nov. 1766 errichteten Inventarÿ ordnungs-mäßig Verzeichnet und æstimirt worden ist (…)
In einer zu Straßburg ane dem dreÿzehen Graben gelegenen, Mr Michael Vollherbst dem Schuhmacher v. b. allhier zuständigen Behausung befunden worden wir folgt
Passiva (…) It. Fr. Mariæ Salome Erhardin geb. Ittin der Wb. leibl. Mutter für avancirte Kranckheits: und Leich-Unkosten
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Wittib in die Ehe gebrachte und dermahlen annoch in natura Vorhandene Posten, Sa. hausraths 8 lb, Sa. Silbers 1 lb, Summa summarum 10 lb
Solchemnach wird auch die übrige Verlaßenschafft, als derer Beneficial Erben unverändert und theilbahr beschrieben, Sa. hausrath 13 lb – Schulden 202 lb, Compensando, passiv onus 188 lb – Passiv onus loco Stall summ 178 lb
Marguerite Salomé Erhard se remarie en 1774 avec le perruquier Jean Jacques Henri Winckelmann
1774 (27.1.), Not. Anrich (6 E 41, 1516) n° 109
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Johann Jacob Heinrich Winckelmann der leedige Peruckenmacher, Hrn Johann Heinrich Winckelmanns des schirmers und tabackbereiters allhier mit fraun Maria Elisabetha gebohrner Ehretsmännin ehelich erzeugter mehrjähriger Sohn als Hochzeiter ane einem, So dann
Frau Margaretha Salome geborne Ehrhardin weiland Hrn Jacob Heinrich Ehrmanns geweßenen burgers und Perruckenmachers hieselbsten Zurückgelaßene Wittib beÿständlich Hrn Philipp Immhoffs des hiesigen burgers und Schuemachers als Hochzeiterin am adenrn theil
(…) zu Straßburg dden 27. Januarÿ anno 1774 [unterzeichnet] Johann Jacob Heinrigh winckelmann, margreda salome geborne Erhardin
Marguerite Salomé Erhard meurt en 1781 en délaissant des héritiers collatéraux. L’inventaire est dressé dans la maison du tanneur Jacques Ott rue du Coin-brûlé. La masse propre aux héritiers est de 6 livres. L’actif du veuf s’élève à 72 livres, le passif à 118 livres.
1781 (26. 8.br.), Not. Lauth (6 E 41, 648) n° 103
Inventarium über Weiland Fraun Margar. Salome Winckelmännin, gebohrner Ehrhardin Herrn Jakob Heinrich Winckelmann, des Peruquenmachers und burgers allhier Zu Straßburg gewesener Ehefraun, nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1781. (…) nach ihrem den 12.ten 8.bris laufenden 1781.gen Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohl Vorgedachten H, Winckelmanns des hinterbliebenen Wittibers als auch Hn Joh. Mich: Salzmann des Schuemacher meisters Es. En. grosen Raths alten und E. E. Kleinen Raths dermahlig wolverdienten beisitzers (…) vor die beide abwesende und auf nachstehendem blatt benambste Erben insonderheit ernanten Hn Deputati (…)& So geschehen Straßburg auf Freÿtag den 26. Octobris Anno 81.
Die verstorbene hat in Ermanglung ehelich erzeugter Kinder ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1° Johann Georg Ehrhard des bedienten bei einem officier von dem Regiment Dauphin Cavallerie in diensten, mit demselben en semestre sich befindet, mithin dermalen abwesend und dann 2° Jungfer Cathar. Lucretiam Ehrhardin, welche sich in Augsburg bei ihren verwanthen aufhaltet, derowegen hier nicht gegenwärtig. Diese beide Abwesende und der Verstorbenen seel. Leibl. Geschwisterde und wegen nicht vorhandene ehelich erzeugten Kindern ab intestato nachgelaßenee Erben
Bericht in gegenwärtiges Verlaßenschaft Inventarium gehörig. Nachdeme ich der Inventir: Not° Vorher copialiter eingetragene Eheberedung dem Wittiber sowol als auch vor ged. H. Rathh. J: Mich: Saltzmann Verlesen hatte und dem Innhalt deren 2. Punctens gemäs gemelten Wr. um die Documenten Zu der jetzigen Ersuchung der Natural Posten, wie auch Ergäntzungen dienlich, befragte, so hat mit derselbe Zur antwort ertheilt, daß nicht wäre in die Ehe inventirt word. (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane den Brand ein End gelegen hn Jb: Ott dem Rothgerber eigenthüml. Zuständigen und diesorts lehnungsweise bewohnenden behausung befunden worden, wie folgt
Ergäntzung der Verstorbenen seeligen anjetzo derer B: E: angegangen unveränderten Guths, (…) über weil. Mr Jb. Heinrich Ehrmann des gewesenen Perruquier und burgers allhie der verstorbenen seel. geweßten erstern Ehemanns auch seel. Von mir dem disortigen Inventir: Notario in Anno 1775. d. 19. Junii aufgerichtet und expedirten Verlaßenschaft: Inventarii denenselben als manglend Zu ersetzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarii. Der verstorbenen seeligen modo dero B: E: unveränderten Guths, Sa. hausrath 63 lb, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8 ß, Sa. Golden Geschmeids 2 lb, Ergäntzung &, Summa summarum 65 lb – Schulden 59 lb, Detrahendo 6 lb
Solchemnach wird auch des Wittibers unverändert und T. Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 11 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Schulden 59 lb, Summa summarum 72 lb – Schulden 118 lb, In compensatione 46 lb – Passiv Onus loco Stall summæ 40 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 27. Januarÿ 1774, Johannes Anrich Notarius
La maison provenant de la fallite de Henri Ehrmann est vendue par enchère judiciaire au cordonnier Barthelémy Hansmann moyennant 800 livres
1768, s.d. [19/22.9.], Chambre des Contrats, vol. 642 f° 516
Ganthkauf vom 17 Septembris 1767, in sachen Heinrich Ehremann des perruckenmachers alhier creditmaß
ist die ane der heiligen Lichtengaß gelegenen behausung
an Bartholome Hanßmann dem schumacher um 1600 gulden adjudicirt worden
Fils du boulanger Barthelémy Hansmann à « Deningen » en Wurtemberg, Barthelémy Hansmann épouse en 1752 Dorothée Vogel, fille du cordonnier Jean Vogel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.
1752, Not. Hess (J. Jacques, répert. 6 E 41, 1267-2) n° 192
Eheberedung – Bartholme Hannßmanns, Schuhmachers, u. Jgf. Dorothe Vogelin
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Bartholome Hannßmann, leedigem Schuhmacher von Deningen Hochfürstlich Würtenbergischer Jurisdiction gebürtig als bräutigam ane einem, So dann der Ehr: und tugendsamen Jungfrau Dorothea weil. Johannes Vogel, gewesenen Schuemachers und Burgers allhier ehelich erzeugtt und hinterlaßener tochtern als Hochzeiterin andern theils (…) So beschehen Straßburg 28.t Augusti Anno 1752. T. Johann Jacob Heß mit handzug Notarius juratus
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 310, n° 1139)
1752. Mittwoch d. 15. Nov. seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt undt eingesegnet bartholomæus Hansman der ledige schumacher weÿl. bartholomæi Hansman des becken iin donatingen* in wirtenbergischen ehl. sohn undt Jfr. Maria Dorothea weÿl. Joh: Vogels Schumachers u. b. all. ehl. tochter [unterzeichnet] bartholomö hanßmann als hochzeiter, Maria dorodea Voglerin als hochzeiterin
Barthelémy Hansmann devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Cordonniers
1752, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 511
Bartholme Hannßmann Von Döhningen auß dem würtembergischen der schuhmacher, erhalt das burgerrecht von seiner [Ehefrau] Maria Dorothea weÿ. Johannes Vogel des burgers und schuhmachers Ehel. tochter um den alten burgerschilling, und dient beÿ EE Zunfft der schuhmacher, jur. eodem [2 X.bris 1752]
Barthelémy Hansmann meurt en décembre 1784 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 387 livres, le passif à 749 livres.
1785 (14.4.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1486) n° 105
Inventarium über Weiland Meister Bartholome Hanßmann des gewesten Schuhmachers und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. Verlaßenschafft aufgerichtet in Anno 1785. – nach seinem Dienstags den 22. Decembris des Verwichenen 1784.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hientritt, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes ansuchen Frauen Mariæ Dorotheæ gebohrner Vogelin, der dißorts hinterbliebenen Wittib unter assistentz Meister Caspar Schnell, des Schuemachers und burgers allhier, wie auch derer gleich nach dem Eingang dieses Inventarii in specie benembste Kinder und Erben ersucht und inventirt (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Donnerstag den 14.ten Aprilis Anno 1785.
Der Verstorbene sel. hat mit Eingangs gemelter seiner hinterlaßenen Wittib nachbenandte Kinder Ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben Verlaßen wir folgt als. 1. Frau Dorotheam Salome Burgerin gebohrne Haanßmännin H Johannes Burgers des Schuhmacher Meisters und Burgers alhier Ehefrau, welche unter autorisation und Verbeÿstandung erstgedacht ihres Ehemanns dieser inventur persönlich beÿgewohnt, und 2. Jungfrau Mariam Magdalenam Haanßmännin, so großjährig, welche unter verbeÿstandung erstgedachten Hn Johannes Burgers ihres Schwagers, diesem Geschäfft persönlich abgewartet, beede Zu gleichen portionen und antheilern verlaßene Kinder und Erben
Bericht und respective Declaration über gegenwärtig Verlaßenschafft. Nach deme man Zur Inventur gegenwärtiger Verlaßenschafft schreiten wolte, Declarirte Eingangs gemelte hinterbliebene Wittib daß Sie Zwar mit ihrem Verstorbenen Ehemann seel. Zur Zeit ihrer Verheürathung Vorherio Copialiter inserirte Eheberedung errichtet, dero Illata aber nicht inventiren laßen auch von beederseits eingebrachtem Vermögen nicht das mindeste mehr naturaliter vorhanden seÿe (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane der heiligen Liechter Gaß gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer Metzigbanck (…)
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlichen eine Behausung und Hoffstatt sambt allen übrigen deren begriffen, Rechten und gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der Heiligen Liechter Gaß gelegen einseit ist ein Eck ane der Zwerchgaß, anderseit neben Meister Kraußert dem Schneider und Hinten auf meister Pastorius den Kübler stoßend, so außer dem darauf hafftenden und hernach eingetragenen passiv Capital, freÿ leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) zufolg deren Zu mein Notarii concept übergebener Abschatzung Zeduls Vom 20. Aprilis jüngst æstimirt pro 300. lb. Hierüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Von H Actuario Beguin gefertigte und mit E. E. Kleinen Raths anhangendem Insigel verwahrter ganth Kauffbrief sub dato 17. Septembris 1767. Sothane behaußung hat der dißorts verstorbene aus weiland Johann Jacob Ehrmans geweßten Perruckenmachers und burgers allhier Credit Mass ane sich ersteigert.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Hierauf folgt nun die Beschreibung Eingangs gedachter Verlaßenschafft und Zwar Zufolg Vorstehenden bericht und respectivé Declaration unter einer Massa Vor und ane sich selbsten. Sa. haußraths 54, Sa. Werckzeugs Zur Schuhmacher Profession gehörig 3 ß, Sa. Silbers 16 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 875, Sa. Eigenthums ane einer Metzigbanck 57, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 300, Sa. Schulden 100, Summa summarum 1387 lb – Schulden 749, Deducendo Verbleibt 638 lb – Stall Summa 463 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg 28.t Augusti Anno 1752. T. Johann Jacob Heß mit handzug Notarius juratus
– Abschatzung Vom 20.t apprill 1785. Auf begeren Weÿland Herr Bartholome Hantzmann, dem geweßenen schumacher Meister ist Eine behausung alhie in der statt strasburg in der Heillige lichter gaß gelegen Ein seÿts Ein Eck auf das allmend anderer seÿts neben Herr Krauß dem schneider, und Hinten auf Meister pastorius dem Kübler stoßend gelegen solche behausung bestehet in Zweÿ stuben Zweÿ Kuchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breidziegel belegt hat auch Ein getremter Keller Vor und um Sechs Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist auch alhir in der statt strasburg in der glein Metzig gelegen (…)
Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Bau Inscpector und Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um Vier Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhor architecte, Kaltner Mstr. Götz Wmstr.
Marie Dorothée Vogler veuve de Barthelémy Hansman hypothèque la maison au profit de Jean Daniel Busch, chef du bureau des travaux publics
1790 (26.8.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 180
Fr. Maria Dorothea Hansmännin geb. Voglerin weÿl. Bartholme Hansmann des schuhmachers wittib beÿständlich Johannes Burger des schuhmachers ihres tochtermanns
in gegensein H. Lt. Johann Daniel Busch chef du bureau des travaux publics in deßen nahmen Johann Georg Bleßig des klein uhrenmachers – schuldig seÿen 600 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden ane der heiligen Lichtergaß, einseit neben Mr Kraußert dem schneider, anderseit neben Mr Pastorius dem kübler
Les héritières Marie Madeleine et Dorothée Salomé Hansmann vendent la maison à la blanchisseuse Thérèse Bollen, demeurant à Hermolsheim
1810 (28.4.), Strasbourg 2 (32), Not. Knobloch n° 4563
1. Marie Madeleine Hansmann épouse de Frédéric Bein passementier, 2. Dorothée Salomé Hansmann épouse de Jean Burger cordonnier
à Thérèse Bollen blanchisseuse de toiles demeurant à Hermolsheim
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Chandelles n° 1 formant d’un côté le coin d’une rue traversière, d’autre la veuve Schutz, derrière le Sr Mees graissier – avenu de la succession de Bartholomé Hansmann cordonnier qui l’avait acquis par adjudication le 17 septembre 1767 – moyennant 4905 francs
Enregistrement, acp 114 F° 130-v du 28.4.
Thérèse Bolling, née à Hermolsheim (Mutzig) le 10 août 1777 du blanchisseur Jean Michel Böhling et d’Anne Marie Carl
Thérèse Bollen revend la maison trois ans plus tard au marchand de fruits Xavier Zimmermann
1813 (21.5.), Strasbourg 2 (37), Not. Knobloch n° 6211
Thérèse Bollen célibataire majeure
à Xavier Zimmermann marchand de fruits
une maison avec appartenances et dépendances rue des Chandelles marquée du n° 1, d’un côté le coin d’une rue traversière, d’autre la veuve Schultz, derrière Sr Muss graissier – acquise suivant acte reçu M° Knobloch le 28 avril 1810 – pour 4400 francs
Enregistrement, acp 122 F° 105-v du 22.5.
Fils du tailleur Jacques Zimmermann, le tailleur Xavier Zimmermann épouse en 1804 Marie Catherine Schock, fille du marchand de fruits Georges Schock
1801 (25 germ. 9), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius n° 101 (567)
Eheberedung – erschienen der Burger Xaverius Zimmermann, lediger Schneider und großjährigen Alters, bürgers Jakob Zimmermann, hiesigen Schneiders mit B. Magdalena gebohrner Bernhard ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter, an einem
Und Jungfer Maria Katharina Schock, bürgers Georg Schock, Fastenspeishändlers allhier mit b. Katharina gebohrner Walter ehelich erzielte tochter, beiständlich gedachter ihres Vaters als Braut, am andern theil
Straßburg em 25. Germinal neunten Jahrs der fränckischen Republique [unterzeichnet] Xaverÿ Zimmerman, carin Schock
Enregistrement, acp 78 F° 9 du 2 floréal 9
Xavier Zimmermann et Catherine Schock vendent la maison à l’aubergiste Jean Louis Specht et à sa femme Marie Hélène Gerlach
1813 (14.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 36), Not. Bossenius n° 3697
Sr Xavier Zimmermann, fruitier, et Catherine Schock
au Sr Louis Specht, aubergiste, et Helene Gerlach
Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Chandelles N° 1 d’un côté faisant le coin d’une rue traversiere d’autre veuve Schultz par derrière sur le Sr Mus graissier – le vendeur est devenu propriétaire par acte passé devant M° Knobloch le 21 mai 1813 – remis 1. la grosse du Contrat d’acquisition du 21 mai 1813, 2. la grosse du Contrat de vente par De Marie Madeleine Hausmann femme de Frédéric Bein passementier et De Hansmann femme de Jean Burger cordonnier à Thérèse Bollen, fille majeure, devant M° Knoboch le 28 avril 1810, 3. expédition sur parchemin du procès verbal d’adjudication définitive par le ci devant petit Sénat du 17 septembre 1765 – 4000 francs
Enregistrement, acp 122 F° 141 du 15.6.
La maison figure à l’inventaire dressé en 1850 après la mort d’Hélène Gerlach puis à la vente par adjudication des différentes maisons en 1856. L’acquéreur du n°1 (futur n° 26) est le marchand de charbons Joseph Sutter.
Suite à une surenchère, la maison est criée au tribunal. L’acquéreur est à nouveau Joseph Sutter.
1856 (8.8.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 654 (2796) n° 21, Tribunal civil
(Transcription de l’acte de M° Becker)
(f° 52) Par acte dressé au greffe de ce siège le 14 juillet 1856, le sieur Benjamin Levy commerçant domicilié à Strasbourg a fait une surenchère du sixième sur le premier lot
Par acte dressé au greffe de ce siège le 12 juillet 1856, le sieur Joseph Rohfritsch journalier domicilié à Strasbourg a fait une surenchère du sixième sur le deuxième lot
Par acte dressé au greffe de ce siège le 15 juillet 1856, dame Caroline Specht veuve de feu le sieur Jean Michel Doerffer tonnelier à Strasbourg où elle est domiciliééa fait une surenchère du sixième sur le cinquième lot (…)
L’adjudication sur surenchère a eu lieu à l’audience des criées de ce siège vendredi 8 août 1856 (…) 1) Le premier lot [rue des Chandelles n° 1] crié à 2695 francs, enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par M° Picard avoué à 3000 francs
(f° 54) Déclaration d’adjudicataire. L’an 1856 le 8 août au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg ont comparu 1. M. Joseph Achille Picard, avoué près ledit tribunal, domicilié à Strasbourg, 2. le sieur Joseph Sutter, marchand de charrbons domicilié à Strasbourg, M° Picard avoué déclare que c’est pour le sieur Joseph Sutter susdit comme en ayant eu commission qu’il a enchéri et s’est rendu adjudicataire pour le prix de 3000 francs de l’immeuble vendu aujourd’hui ensuite de surenchère
Le menuisier Jules Joseph Sutter épouse en 1845 Marie Louise Hahn
1845 (9.8.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2812
Contrat de mariage – Ont comparu Le sieur Jules Joseph Sutter, menuisier demeurant & domicilié à Strasbourg, fils majeur & légitime du sieur Antoine Sutter, tisserand & de De Madeleine Weber son épouse décédée, agissant en son nom personnel et comme futur époux d’une part
Et Dlle Marie Louise Hahn, fille majeure & légitime du sieur Alexandre Hahn, marchand de charbons & de D° Caroline Armbruster son épouse, tous demeurant et domiciliés en ladite ville
acp 339 (3 Q 30 054) f° 17-v du 16 août – sous le régime de la communauté d’acquets
Les apports de la future épouse se composent d’un mobilier évalué à 500 francs
Donation par le futur époux à la future épouse qui accepte d’une somme de 500 francs pour le cas où elle lui survivrait, laquelle somme sera prélevée sur les biens qui composeront la succession de l’époux prédécédé. Les futurs époux se font en outre donation mutuelle, le prémourant en faveur du survivant, ce qu’ils acceptent, réciproquement de l’usufruit et jouissance viagère et gratuite de tous les biens du prédécédé
Consentement par les parents de la mariée.
1845 (30.7.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2799
Consentement à mariage – Le Sr Alexandre Hahn, marchand de charbons & de De Caroline Armbruster demeurant et domiciliés à Strasbourg, Lesquels déclarent consentir formellement au mariage que Dlle Marie Louise Hahn leur fille majeure demeurant en cette ville se propose de contracter avec le sieur Jules Joseph Sutter menuisier demeurant en la même ville fils du sieur Antoine Sutter tisserand et de Dle Madeleine Wever son épouse demeurant à Strasbourg
acp 338 (3 Q 30 053) f° 77
Joseph Sutter meurt en 1858 en délaissant trois enfants
1858 (26.6.), M° Stromeyer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Joseph Jules Sutter, en son vivant marchand de charbons, et Louise Elisabeth Hahn ; sa femme à Strasbourg et de la succession du dit Sr Sutter décédé le 10 février 1858, dressé à la requête de la veuve, agissant comme commune en biens à défaut de contrat de mariage et comme mère et tutrice naturelle de Adolphe, Louise et Emilie Sutter ses enfants
acp 470 (3 Q 30 185) f° 50 du 2.7. (succession déclarée le 2 juillet 1858)
Communauté, mobilier 664, créances 7
Une maison à Strasbourg rue des Chandelles N° 1
Succession, garde robe 44
Dissolution de société entre la veuve et Auguste Hahn
1869 (9.11.), M° Keller
Notoriété constatant que la société qui a existé entre Auguste Hahn et Madeleine Louise Hahn veuve Joseph Sutter, marchand de bois à Strasbourg, a été dissoute par jugement du 1° août 1868, qu’il en dépend une somme de 500 francs, montant du cautionnement pour fourniture de charbons à l’école de médecine pour 1868
Intervention de la veuve Hahn, la quelle consent* que ladite somme soit délivrée audit Sr Hahn seul
acp 584 (3 Q 30 299) f° 126 du 11.11.
L’agent d’assurances Adolphe Sutter épouse en 1873 Emilie Rhein, fille du lampiste Auguste Rhein
1873 (25.4.), Strasbourg 4 (137), Not. Charles Lauterbach n° 481
Contrat de mariage. Ont comparu 1. M. Adolphe Sutter, commis d’assurance demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur et légitime de feu Mr Joseph Jules Sutter et de Dame Marie Louise Hahn, sa veuve, marchande de charbons, demeurant à Strasbourg, futur époux procédant seul et en son nom personnel d’une part
2. Et Mde.lle Emilie Rhein, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille encore mineure de M. Auguste Rhein, lampiste et de Dame Sophie Simonin son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg grand rue N° 107, Future épouse, procédant du consentement et avec l’assistance de ses père et mère ci présents, d’autre part
acp 615 (3 Q 30 330) f° 96 du 26.4. n° 1915 – Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C.C. Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
Schenkung durch die Eheleuthe Rhein der Braut ihrer tochter annehmend von einem Mobilien abgeschätzt zu 2473 rankcen
Der Bräutigam bringt in die Ehen Geld 1200, Mobilien 500
Gegenseitige Schenkung dem überlebenden von der Nutzniesung des gantzen Nachlasses
Mariage, Strasbourg (n° 290)
Stadt Strassburg, den 6. Mai 1873. Heiraths-Urkunde öffentlich abgeschlossen im Stadthause von Strassburg von Adolph Sutter, geboren zu Strassburg an 16. Februar 1856, Assekurantsbeamter wohnhaft zu Strassburg, ehelicher Sohn von weiland Joseph Julius Sutter, Schreiner zu Straßburg, gestorben den 10. Februar 1858 und von Marie Louise Elisabeth Hahn, ohne Gewerb zu Strassburg wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend, und von Caroline Emilie Rhein, gebürtig Zu Strassburg den 11. April 1856 zu Straßburg, ohne Gewerb wohnhaft zu Strassburg, minderjährige Tochter von August Rhein, Plombier zu Straßburg wohnhaft und von Margaretha Sophie Simonin seiner Ehefrau daselbst wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend (…) die künftige Gattin legt ein gehörig registrirtes von den Herrn Lauterbach, Notar Zu Straßburg wohnhaft den 25. Aprilis dieses Jahrss errichtetes heirathsconsens ihres Vaters vor (i 14)
Veuve du directeur de compagnie d’assurances Adolphe Sutter, Caroline Emilie Rhein se remarie en 1886 avec le libraire Joseph François Beguin
Mariage, Strasbourg (n° 543) Straßburg am 2. Septembre 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Buchhändler Joseph Franz Beguin, katholischer Religion geboren den 18. Juni des Jahres 1861 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg ehelicher Sohn des verstorbenen Buchhändlers Joseph Antoni Franz Beguin, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und der Magdalena Hisler, ohne Beruf, wohnhaft zu Straßburg 2. die Caroline Emilie Rhein, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 11. April des Jahres 1856 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Assekuranz-Direktor Adolph Sutter, gestorben zu Straßburg den 10. Januar 1883 eheliche Tochter des Rentners August Rhein, wohnhaft zu Straßburg und der verstorbenen Margaretha Sophie Simonin, zuletzt wohnhaft zu Straßburg (i 1)