17, rue de l’Ecrevisse
Rue de l’Ecrevisse n° 17 – III 294 (Blondel), N 466 puis section 68 parcelle 50 (cadastre)
Démolie en 1971 lors de la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie »
La maison au premier plan avant démolition en 1971 (photographie dans le dossier de la Police du Bâtiment)
Vue du sud (bâtiment du fond à droite, AMS cote 1 Fi 148, 88)
Le maçon Jean Jacques Frey est propriétaire de deux maisons contiguës (la deuxième au nord qui portera ensuite le numéro 15) à la fin du XVI° siècle. Il vend en 1622 celle du nord au remueur de grains Jean Hag en établissant des servitudes et cède l’autre à son fils, aussi nommé Jean Jacques Frey, qui la vend à son créancier Christophe Goldbach en 1643. La maison appartient de 1662 à 1692 au manant Léonard Heckel, imprimeur dans l’atelier Stædel, puis à l’apprêteur de tabac Michel Widemann (1691-1713). Le cordonnier Louis Mohr recueille la maison et une autre à l’arrière qui s’ouvre sur la rue de Schiltigheim dans la succession de son père aux termes de litiges. L’inventaire dressé après sa mort en 1787 mentionne quatre poêles et plusieurs chambres.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 58 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la quatrième à gauche du repère (u) : fenêtre et porte au rez-de-chaussée, trois étages à fenêtres jumelles, toiture dont la lucarne du bas doit servir à un treuil et deux lucarnes par-dessus. La façade (2-3) dans la cour K est celle d’un bâtiment accolé au bâtiment sur rue, plus haute que la façade sur rue. Il faut supposer que le troisième étage de la façade sur rue date des années 1830 puisque l’Atlas des alignements n’en fait pas mention.
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 17.
La maison appartient (1831) au tailleur Chrétien Linden puis (1843) au casernier Georges Wild qui n’y habitent pas. Le cordonnier Jacques Ziegel (1865) puis Georges Schweisberger (1903) occupent par contre leur maison. La Ville l’acquiert et demande en 1971 l’autorisation de démolir la maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie pour réaliser la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie ».
novembre 2022
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1597 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Jacques Frey, maître maçon, et (1587) Elisabeth Kohler, (1597) Catherine Rummel, (1605) Appolonie Diebold puis (1623) Marthe Bischoff, d’abord (1601) femme du taillandier Jean Scheller et (1612) du maçon Wendelin Beutler – luthériens | ||
1622 | h | Jean Jacques Frey, maître maçon, et (1621) Madeleine Bott – luthériens |
1643 | v | Christophe Goldbach, tailleur, et (1621) Marie Cléophée Wittert puis (1639) Anne Marguerite Leonhard, d’abord (1637) femme du notaire François Jacques Eisenhuth – luthériens |
1660* | h | Samuel Goldbach, boucher, et (1664) Marie Behr – luthériens |
1662 | v | Léonard Heckel, imprimeur et manant, et (v. 1640) Marguerite Willenburger – luthériens |
1691 | v | Michel Widemann, apprêteur de tabac, et (1679) Anne Barbe Endres – luthériens |
1713 | v | Jean Lutz, tonnelier, et (1714) Anne Eve Bœgner – luthériens |
1717 | v | Jean Frédéric Berion, orfèvre puis précepteur, et (1725) Anne Catherine Schott, remariée (1838) avec le chapelier Simon Hollænder – luthériens |
1726 | v | Conrad Mohr, cordonnier, et (1726) Marie Elisabeth Vogler – luthériens |
1782* | h | Jean Louis Mohr, cordonnier, et (1769) Anne Marie Fegers – luthériens |
1794 | v | Georges Michel Hering, marchand, et (1757) Marguerite Elisabeth Stædel puis (1788) Marie Madeleine Plarr – luthériens |
1794 | v | Jean Bleydorn, menuisier, et (1780) Madeleine Gœrger – catholiques |
1794 | v | André Simon, menuisier, et (1785) Catherine Erhard d’abord (1776) femme du maçon Joseph Buchmüller – catholiques |
1822 | h | François Antoine Simon, tanneur, et (1822) Catherine Ehret |
1830 | v | Michel Gintz, farinier, et (1817) Anne Marie Jost |
1831 | v | Chrétien Linden, tailleur, et (1815) Marie Thérèse Hahn |
1843 | v | Georges Wilt, pensionnaire de l’état, et (1818) Susanne Mechain, d’abord (1807) femme de Jean Baptiste Diélaine |
1865 | v | Jacques Ziegel, cordonnier, et (1862) Frédérique Catherine Horsch |
1904* | v | Georges Schweisberger, tailleur, et (1884) Elisabeth Groth |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1787
(1765, Liste Blondel) III 294, Conrad Moor
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mohr, 2 toises, 1 pied et 1 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 466, Linden, Sébastien, tailleur – maison, sol – 0,55 are / Wild
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 258
La maison est sans doute celle inscrite au nom du maçon Jean Jacques Frey qui règle un sol pour un gradin en pierre (3 pieds de long, saillie d’un pied)
Krebsgaßen Einseitten
Hans Jacob Freÿ der Maurer hatt vor seinem Hauß, ein steinen Bencklin iij schu lang j schu breÿt, Bessert für das Niessen, j ß d
Description de la maison
- 1787 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend quatre poêles, quatre cuisines, plusieurs chambres, un comble couvert de tuiles plates est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 300 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de l’Ecrevisse f° 15-v
nouveau N° / ancien N° : 12 / 22
Simon
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 132 case 1
Wild à Strasbourg
Wilt, Georges, Casernier à la Marguerite (1845) rue St Aurélie
N 466, maison, sol, R. de l’écrevise 22
Contenance : 0,55
Revenu total : 66,29 (66 et 0,29)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 645 case 1
Wilt, Georges, Casernier
1867 Ziegel Jacques, fabricant de pains d’épice
1904 Ziegel Sophie Christine und Miterben / Schweissberger Georg Schneider vnd Ehefr. Elisabeth geb. Groth in Gg
(ancien folio 393)
N 466, maison, sol, Rue de l’écrevise 17
Contenance : 0,55
Revenu total : 66,29 (66 et 0,29)
Folio de provenance : (132)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre allemand, registre 32 page 544 case 3
Parcelle, section 68 n° 50 – autrefois N 466
Canton : Krebsgasse Hs N° 17
Désignation : Hf, Whs u. NG / Hf, Whs
Contenance : 0,45
Revenu : 500 – 700
Remarques
(Propriétaire), compte 3445
Schweissberger Georg u. Ehefrau
(3819)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton Canton 3, Rue 78 de L’Ecrevice
22
Loc. Marckwalter Jean Michel – manant
Loc. Rossenbach, André, Voiturier – manant
Loc. Bilingu Thérèse, raccomode les dentelles – vitriers
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 78 de L’Ecrevice p. 107
22
lo: Marckvalter Jean Michel – Manant
lo: Rosenbach, André, Voiturier – Manant
lo: Bilugen / Billmann Thérèse, raccomodeuse – Vitriers
[ajouts] loc: Barousselle, Marie Thérèse, Couturière – Bourgeoise
loc: Meyer, Catherine Salomé, Charpentiere – Manante
loc: Barousselle, Jean Claude, Domestique – Bourgeois
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Krebsgasse (Seite 84)
(Haus Nr.) 17
Jung, Tagner. 0
Huck, Näherin. 1
Groth, Tagner. 2
Kopf, Tagnerin. 2
Schweisberger, Schneid. E 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 645)
Rue de l’Ecrevisse n° 17 (1974-1971)
Le propriétaire Georges Schweisberger fait faire rapidement les travaux imposés par la Commission contre les logements insalubres, de sorte qu’elle n’a plus de remarques à faire à partir de 1904. Emile Schmitt exploite en 1944 des logements garnis. La Ville demande en 1971 l’autorisation de démolir la maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie pour réaliser la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie ».
Sommaire
- 1874 – Le maître maçon Joseph Starck demande au nom du propriétaire Jacques Siegel l’autorisation de badigeonner la façade. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et qu’elle n’a pas d’avance.
- 1887 – Le maire notifie Jacques Ziegel, demeurant sur place, de faire ravaler la façade. Le propriétaire déclare que la façade est en bon état, ce que les employés municipaux peuvent constater – Le maire répond qu’il suffira d’un lavage – Travaux terminés, novembre 1887.
- 1895 – Le maire notifie Jacques Ziegel, demeurant sur place, de faire ravaler la façade. Travaux terminés, décembre 1895
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire Ziegel de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. Rappel, 1898. Il reste un volet de soupirail à modifier. Travaux terminés, mai 1899.
- 1912 – Le propriétaire voisin (Decker, n° 15) déclare que le crépi du n° 17 est abîmé. La Police du Bâtiment constate que le crépi se détache – Le maire notifie la veuve Elisabeth Schweisberger, demeurant sur place, de faire ravaler la façade. – L’entrepreneur Alphonse Ludæscher (2, rue du Coq) demande l’autorisation de réparer le crépi.- Autorisation – Le même demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique, Autorisation (documents annulés parce qu’il font en partie double emploi avec les précédents) – Nouvelle autorisation – La veuve demande l’autorisation de repeindre la façade à l’huile en couleur jaune – Autorisation – Travaux terminés, la couleur est jaune clair, août 1912
- 1901 – Geoffroi Adolphe Hahn (demeurant 10, boulevard Saint-Nicolas, ensuite boulevard de la Victoire) fait des remarques sur l’état de la maison dont il a été locataire pendant un an et demi (latrines, escalier, logement du rez-de-chaussée) – La Commission contre les logements insalubres demande au propriétaire Ziegel de faire divers travaux (remarques en cinq points). – Le maire demande au propriétaire de transférer les latrines au bout du vestibule – Le transfert des latrines est reporté jusqu’à ce que la maison soit raccordée aux canalisations, 1902.
1902. Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Ziegel, demeurant sur place. Les latrines sombres sont en très mauvais état – Le maire demande de faire des travaux provisoires
1903 – L’aumône (Armenverwaltung, rue Saint-Marc) informe le service municipal du logement que le rez-de-chaussée occupé par la famille Kraft est malsain (sombre et humide) – Le propriétaire Schweisberger déclare que le logement doit être vide pour pouvoir y faire des travaux. – Le locataire Krafft quitte la maison
1903 – Le propriétaire fait faire des réparations
1904 – La commission n’a plus de remarques à faire
1906 – Les logements sont bien tenus, les latrines sont raccordées aux canalisations
1913 – Idem
1915 – Le locataire Walter se plaint de l’humidité. La plainte n’est pas fondée
1914 – Commission des logements militaires. Rien à signaler - 1924 – Le voisin se plaint que les clapiers dans la cave attirent les rats et les souris – La plainte est fondée
1929 – La dame Klotzner (n° 15) se plaint de la pluie qui pénètre dans la maison – La plainte n’est pas fondée, il s’agit d’un litige entre propriétaires
La même se plaint des clapiers qui se trouvent dans la cave de ses voisins et dégagent de mauvaises odeurs – La Police du Bâtiment constate les faits et demande de supprimer les clapiers – Il n’y a plus de lapins dans la cave, janvier 1930.
1930 – La Police du Bâtiment constate que le chenal défectueux laisse tomber de l’eau dans la rue – Travaux terminés, avril 1930 - 1941 (juin) – Le voisin Auguste Klotzner (n° 15) se plaint que le chenal du n° 17 est défectueux – La Police du Bâtiment demande au propriétaire (Weber, demeurant 11, rue de Ludwigshafen) de faire les travaux nécessaires – Il promet de les faire, janvier 1942
1943 (juillet) – Nouvelle plainte - 1944 – Le commissaire de police demande un rapport sur les logements garnis concédés à Emile Schmitt (né le 8 novembre 1885 à Ars-sur-Moselle et demeurant 10, rue Jules Loegel) – Rapport sur les logements garnis. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire contre leur habitation
- 1971 – Le président de la Communauté Urbaine de Strasbourg (7, avenue de la Marseillaise) demande au préfet l’autorisation de démolir la maison sise 17, rue de l’Ecrevisse, comprenant cinq logements d’une surface totale de 210 mètres carrés, pour cause de « rénovation urbaine ».
Observations. L’immeuble 17, rue de l’Ecrevisse est une construction à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie enduite et couverte en tuiles plates. L’ensemble est dans un état de vétusté totale. L’immeuble est encore occupé. L’avis favorable est donc lié au relogement des locataires. Il n’y a pas lieu de veiller à la récupération de matériaux.
Liste des locataires, Mme Vonarka-Varnhack (1° étage), M. Mohamed Saighi (2° étage), M. Abdelkader (3° étage)
Relevé d’actes
La maison appartient à la fin du XVI° siècle au maître maçon Jean Jacques Frey. Originaire de Brugg en Suisse (Argovie), il épouse en 1587 Elisabeth, fille de Jean Kohler de Kempten en Allgäu.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 375, n° 55)
1587. Dominica XII. Hans Jacob Freÿ von Bruck im schweizerland ein maurer, vnd Elizabeth Hans Kolers von Kempten in Algew tochter, Eingesegnet den 11 Sept.bris. Außgang beÿ der (*) (i 195)
Le maçon Jean Jacques Frey, de Brugg en Suisse, achète le droit de bourgeoisie au début de l’année suivante.
1588, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 479
Hans Jacob Freÿ von Bruch im Schweitzerlandt, der Maurer der Maurer, Hat das Burgerrecht Kaufft vnd will Zu den Maurern dienen, Ernant Zum Beÿstandt Stoffel Feürtag den Maurer, Act. den 20.t Januarÿ 88.
Jean Jacques Frey se remarie en 1597 avec Catherine, fille du boucher Nicolas Rummel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 112 n° 62)
1597. Dominica prima Aduentus. Hans Jacob freÿ der maurer vnd Katharina, Claus Rumels des metzgers hinderlaßene tochter. Eingesegnet Zu S Claus (i 60)
Jean Jacques Frey hypothèque deux maisons contiguës au profit de Christophe Feirtag, chef du chantier des Maçons
1597 (vts [xix tag Februarÿ]), Chancellerie, vol. 309 (Registranda Meyger) f° 70-v
(P. fol. 61.) Erschienen Hanns Jacob Freÿ der Murer burger Zu St. Hatt such für sich && verschrib.
gegen dem Erbaren Stoffell Feÿrtag, disser Zeit Werckmeister, vff dem Murhoff, so Zugeg. demselbig und seinen Erben Zu Zinsen j lb v ß gelts, ablosig mit xxv lb d St.
von, vff vnd abe Zweÿen Heüsern, nebenteinander, mit Iren hoffstett. vnd Höfflin, auch allen andern Iren gebeuwen, geleg. Inn der Statt St: Inn der Krebß gaß. Einsit nebent einer Behausung, dem grossen gemeÿnen Allmusen Zugegen, Andersit neben Jörg Böbell dem Lebküchler Hinden vff Georg Jeden den Karchern stoßend, Davon gehnd iij ß vj d Boden Zins, den guttenleüth Zur Roth. Kirch, Mehr zwen guld. glts ablosig mit L gulden dem Mehren Spiital alhie, Item fünff guldin gelts Losig mit C guldin Stoffell (-) den Schneÿer burgern alhie, Jarl. Zubezalen f* Alle Jahr verkäuffer Sebastiani vnd Fabiani vnd Anno & 98 den erst. Zinß
Jean Jacques Frey hypothèque les deux maisons contiguës au profit des pauvres lépreux de l’Eglise Rouge
1597 (xxiiij Decemb.), Chancellerie, vol. 308 (Registranda Kügler) f° 329
Erschienen Hanns Jacob Freÿ Murer hatt sich v.schriben
gegen den Armen sondersiech. Zur Roth. Kirch beÿ Straßburg j lbd gelts loßig m xx lb d
dafür Vnderpfand sein soll Zweÿ heüßer nebeind. m. Ir hoffestatt vnd hofflin auch all and. Iren gebeu geleg. In der SS In Krebßgaß. einseyt ein behausung d. groß. Almuß Zustendig and.seyt Jorg Bobel dem lebkuchmer stoßt hind. vff (-) davon gen iij ß vj d bod. Zins bemdl Armen, Mehr ij guld glts loßig m L g SW den mehr. Spittal, Item ij lb x ß glt loßig m L lb d Stoffell (-) dem Schnÿder, Item j lb v ß gelts losig m xxv ld Christoffell feyrtag der SS Werckmeister, It. x ß d gelts loßig m x lb d Jorg anth* Kirchenschaffner Zu Brumpt, It. x ß d gelt lößig x lb d Michell Steÿman den schlosser sunst eÿg.
Jean Jacques Frey hypothèque les deux maisons contiguës au profit du jardinier Béat Weber
1603 (11. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 346 (Registranda Meyger) f° 48
(Inchoat. in proth. fol: 50.) Erschienen H. Jacob Freÿ der Murer burger Zu St.
hatt bekhandt vnd Inn gegenwertigkheit des Erbaren Beat Webers Gartenmanns burgers Zu Straßburg – schuldig sige 25 Pfund Pfenning
Vnd deß Zu mehrer sicherheit & Zweÿ heüser nebent einander, mit Iren hoffstetten vnd höfflin, Auch allen Andern Irn gebeuwen & geleg. Inn der Statt Straßburg Am Roßmarck Inn der Krebß gassen, einsit nebent Jörg Böble dem Lepkücher, Andersit nebent einer Behausung Sant Marx Zugehörig hinden vff Abraham Strubell den Henffer stoßend, Dauon gond ij lb x ß d gld ablosig mit L lb d Christoffell Ridd den Schneÿder, It. Zween guldin gelts Losig mit L guldin dem grossen Spittall alhie, Item j lb c ß h gelts Widerlheuffig mit xxv lb d Christoff Feÿertag dem Werckmeister, Item j lb g gelts Ablosig mit xx lb d den Gutteleüth Zur rothen Kirch. Vnd dann iij ß vj d Bodenn Zinß auch den Guttenleüthen obgedacht Sunst eÿg.
Accord entre Christoph Feirtag et le brasseur Sébastien Keil, tuteur de Jean Jacques et de Sébastien Frey, issus du mariage de Jean Jacques Frey et de sa première femme Elisabeth Kohler
1604 (xviij tag Januarÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 24
(Inchoat. in Proth. fol: 29.) Erschienen der Ehrenhaffte Christoffell Feurtag Werckmeister vff dem Murhoff Ane Eim
So dann Bastian Keÿl der Biersieder, Als ein geschworner Vogt vnnd Curator hannß Jacob vnnd Bastians gebrüdern, hanns Jacob Freÿ des Murers Sünen, vonn weÿland Elizabeth Kolerin seiner ersten haußfr. (Als sie lepte Jehrlich.) erzielet, mit beÿstandt d. dessellbig. Ihres Vatters, Am Andern theil
Haben bede Parth. gegen einander bekhandt vnnd offentlich verÿehen Jetzgenanten Vogtsünen vonn wÿland Fr. Anna Kholerin Ihrer Baasen selig Verlaßenschafft dem Anschlagk nach gebürth hette, Luth Inventariums fol: 54. Lxxxx lb. j ß vj d die Aber obgedachter Werckmeister der Zeit seines lebens Inn Wÿdems weÿß Zunÿessen, Das heruff beÿde Parth. durch vnderhandlung herrn Johann Scheÿrings Diaconj Im Münster, herrn Augustin Trenß beÿsitzers des grossen Raths vnnd hern hannß Melchior Silberrads lohnherrns sich mit einander freündtlich verglich. hetten, Inn maß hienach geschriben stoth
Nemlich das bemelter Werckmeister obgedachten Vogtsunen, für Alle Ihr Erb gerechtigkeit, forderung vnd Ansprach sampt daruff geschlagener Besserung geb. wölle 390 guldin p. xv. batz. thutt 196 pfund pfenning Straßburger (…)
(Vide dt In Reg. 601. fol : 264)
Jean Jacques Frey se remarie en 1605 avec Appolonie, fille de Bernard Diebold, de Waltenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 95-v n° 14) 1605. Hans Jacob Freÿ Maurer, J. Apolonia Bernhart Dieboldt von Walthenheim Verlasene Tochter. 8. Aprilis (i 98)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 180 n° 12) 1605. Do. Pasch. 31. Martÿ. Hans Jacob Freÿ d. Maurer, Appolonia Bernhard Thieboldts von wilten Hind.lassene Tochter. eingesegnet 3. d April. Zum alt. S Peter (i 95)
Sébastien Keil dépose au nom de ses pupilles Jean Jacques et Sébastien, enfants du maçon Jean Jacques Frey, un capital à la Tour aux deniers
1605, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1320)
(f° 28) Sambstag 23.ten febr. 1605. Vogteÿ geldt angelegt – Bastian Keÿl als vogt hans Jacobs vnd Bastians Hans Jacob Freÿen des Maurers söhne hat Ins vogteÿ gelt angelegt 40 h d haben denselben sein bed. vogtsöhne verkaufft 1 h 15 ß f vff Mathis tag gefallend. Zugeschrieben folio 4.
Sébastien Keyl retire le capital d’un de ses pupilles mort pour le remettre à son père
1614, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1329)
(f° 8) Mittwoch 26.ten Jenner, – Vogteÿ geldt abgelöst
Bastian Keÿl vnd hans Jacob Freÿ Khünden vff 40 h Capital so vff Mathis tag hanns Jacob freÿen sohn, so gestorben Zugehörig geweß.der ist gestorben, bitt Ihme vatteren solches alsbald Zugeben, Ist ihm als bald geben word. capital 40 h, für j Jar marzal 18 ß. Hatt vrkundt geliffert damit erlöß.
Sébastien Keil dépose au nom de son pupille Jean Jacques Frey un capital à la Tour aux deniers
1620, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1335)
(f° 292-v) Mittwoch den 15. Novembris 1620. – Vogteÿ geldt angelegt
Herr Sebastian Keül altten Rathsbewanther als Vogt Hanns Jacob Freÿen des Maurers, mit weÿland Elisabeth Kohlerin seines gewesenen Haußfrawen erzeugten sohns, hatt Inns Vogteÿgelt angelegt 75 lb
Haben Ime darumb Zukauffen geben 3 lb 15 ß, Zinß vff Catharinæ fallend. Ingeschriben folio 43.
Le maçon Jean Jacques Frey retire une partie du capital
1621, Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers (VII 1336)
(f° 280-v) Mittwoch den 20. Novembris 1621. Vogteÿ geltt abgelößt
Hanns Jacob Freÿ der Maurer Hatt vff abschlag 75. lb d Hauptgutt sobiß dahero Jhärlichen vff Catharinæ verzinßt word. erhopt 25 lb. Inn dahero für ein Jhar marzal 1 h 6 ß – vff die vrkund geschriben.
Jean Jacques Frey et sa femme Appolonie hypothèquent les deux maisons au profit d’André Diefffenbecher
1614 (xiij. Maÿ), Chancellerie, vol. 411 (Registranda Meyger) f° 259
(Inchoat. in Proth. fol. 236.) Erschienen hannß Jacob Freÿ der Maurer burger Zu Straßburg vnd Appolonia sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Andreß Dieffenbechers burgers Zu Straßburg – schuldig sige 55 pfund pfenning Str.
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, Zweÿ heüser neben einand. mit höfflin, Auch Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. vff dem Roßmarck In d. Krebß gaß. einsit neb. Niclauß Bertram dem Maurer, and.seit neb. hannß Jacob Caspar dem lebküch. hind. vff hanß Jörg Strobell den hänffer stoßend, dauon gend. iij ß vij d bod. Zinß d. Sond. siech. Zur Roth. Kirch. Mehr ij lb s sch d geld Loß. mit L lb d Christoff Riedlen des schneÿders selig. erb. Mehr iij gl gelts Loßig mit L lb dem lehren Spittal, It. j lb d gelts Loßig mit xx lb den Sonder siech. Zur Roth. Kirch
Jean Jacques Frey hypothèque sa maison au profit de son fils Jean Jacques, représenté par son tuteur Sébastien Keil, en garantie de ses biens maternels
1614 (24. Septembris), Chancellerie, vol. 409 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 65-v
Schuldbekandtnus Hans Jacob Freÿen des Jüngern vber 25. lib. auff seinem vattern
Erschienen Hanß Jacob Frey Murer vnd Burg. alhie vnd hatt in gegenwertigkeyt Herrn Sebastian Krebsen als *gelassenen Vogts Hanß Jacob Freyen seines Sohns welch. gleichergestalt Zugeg. mit beÿstand Hn Sebastian Goldbachs beysitz. des Grossen Rhat bekant
nachdem er Jetzgenannten Hanß Jacoben seinen Sohn vermög hievor desselben mütterlichen guts halb. auffgerichten Vertrags, vermög ererbts deßelb vogt (Rechnung) Zusammen 25 pfund pfenning Zubezalen schuldig worden
verhafftet seine Behausung alhie In Krebsgaß einseyt neben Georg (-) dem Lebkech. vnd and.seyt neben Niclaus Bertram dem Maurer, geleg. davon gehnd Jährlichs 5 guld. gelts Christoff Ried. selig. erben In hauptgut mit 50 lb, Item 1 lb 5 dem Spittal In hauptgut mit 25 lb, Item 1 lb 5 ß Andres Tieffebech. In hauptgut mit 25. lb Item 9 lb den Gutleut in hauptgut mit 20. lb h* den 15 ß gelts Magdalenæ (-) deren vogt Balthasar Ostermeÿer mit 15. lb abzulösen seind sonst vber 3 ß 6 d Bodenzinß den Guten leutt. ledig v eyg.
Jean Jacques Frey l’aîné se remarie en 1623 avec Marthe, successivement veuve du rémouleur Jean Schüller et du maçon Wendelin Beutler
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 4, n° 14)
1623. Hans Jacob Freÿ der Alter Maurer Martha Wendling Beütlers des Maurers hinderlaßene Wittwe. Eingesegnet Montag den 17. Febr. (i 4)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 245 n° 28)
1612. Dom. Misericord. 6. Aprilis. Wendling Beütler von Balmetzweiler* ein Maurer, Martha Hanns schöllers d. schleiffers hind.laßene Wittwe. Eingesegnet in d. Ruprechtsauw (i 127)
Wendelin Beutler devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1612, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) f° 951
Wendtling Beuttler d. Maurer, Empfahet d. Burgerrecht von Martha weÿlandt hanß Schüeller deß Schleüffers witib, wüll zu den maurern dienen, Actum den 22. Junÿ a° 1612.
Originaire de Schwäbisch Gmünd, le taillandier Jean Scheller épouse en 1599 Marthe, fille d’Urbain Bischoff, et acquiert le droit de bourgeoisie le 29 octobre 1601
Mariage, cathédrale (luth. p. 62) 1599. Doîca 16 Trinitatis den 23. sept. Hans Scheller der waffenschmidt von Schwebüschen gemün, Marthan urban Bischoffs Zu Stocke(-) n: g: dochter (i 34)
1601, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105), p. 649
Hans Scheller der waffenschmid vonn Gemünd Inn schwaben Kaufft mit beÿstand Ruprecht Stamler deß Waffenschmids das B: will Zun schmid. dienen vnd sein Nahrung für 100 fl. angeben Actum 29. ditto [Octob:1601]
Contrat passé par Jean Jacques Frey avec le tuteur des deux enfants (Eve et Jean Thiébaut) issus de son mariage avec Appolonie Diebold
1623, Chancellerie, vol. 447 (Gemein Contract Buch) f° 19
Vertrag zwischen Hans Jacob Freÿen dem steinmetzen vnd seinen zweÿen Jüngsten letzter Ehe Kindern
(Lect. et confim. 3. Febr. 1624.) erschienen seind vnser Burger Bechtold Haag der Maurer als von vns geordneter vogt Evæ vnd Hans Thiebaldten, mit weÿland Apollonia Theobaldin seiner ehelichen haußfrauwen selig erzeugten minderjährigen Kinder an einem
vnd dann Jetzernanter Hans Jacob Freÿ, der beder Kinder eheleÿblicher Vatter am andern theÿl
Jean Jacques Frey vend une des deux maisons contiguës (celle eu nord) au remueur de grains Jean Hag. Les acheteurs devront laisser s’écouler dans leur courette les eaux provenant des chambres du vendeur qui s’engage à construire un mur de séparation dans la cour et dans la cave ainsi qu’à grillager l’ouverture vers la cour vendue.
1622 (ut spâ [viij. Aprilis]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 126-v
(P. fol. 94.) Erschienen Hanß Jacob Freÿ der Maurer burger Zu Straßburg (verkaufft)
Hannß Hagen Kornwerffern burgern Zu Straßburg, Vndt Agathen Kogerin siner Ehelichen haußfrauwen
Hauß, hoffstatt, Höfflein, Vnd hinderheüßlin mit Allen Ihren gebäwen, beg. & gelegen Inn der St: St: Inn der Krebs gassen Vff dem Roßmarckh, einseit nebent dem Verkäuffern Anderseit nebent Niclaus Bertrams s. wittib Undt Erben, Hinden vff Abraham strobel den hänffer stoßend, dauon geht Jahrs 2 ß 6 d bodenzinß Zur Rohten Kirchen Alhien Vff Johannis Baptistæ. Mehr ij. lb x ß gelts Lößig mit L. lb Jahrs vff Laurentÿ, Weÿland Christoff Raiden des Schneÿders seligen wittib vnd erben Vnd Also & Vndt Alles Ist dißer Khauff vber obgehördte beschwerden so der Kheüffer vff sich genommen Zugangen Vndt beschehen für Vndt Vmb 230 pfund
Vnd Ist herinn sonderlich bedingt vnd Abgeredt das die Kheüffere schuldig sein sollen den dachtrauff Von des Verkheüffers hauß Vnd dan das wasser vß den Cammern durch ein plechen noch oder Rohr inn der Kheüffere höfflin lauffen lassen, Hingegen soll der Verkeuffer die scheidwandt im höfflein beÿ Oben auff An ein tagloch mit eim Ißern gremsen Zu Zumachen, Auch die scheidt wandt Im Keller Vffzuführen, Alles Inn sein der Verkäuffers Kosten vnd schaden.
Jean Jacques Frey vend la maison (au sud) qu’il s’est réservée à son fils Jean Jacques Frey. En marge, quittance remise en 1636 à Marie Madeleine Bott, femme de l’acquéreur.
1622 (ut spâ. [xxxj. Augusti]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 317
(Inchoat. in Prot. fol. 237.) Erschienen Hannß Jacob Freÿ d. Maurer burg. Zu Straßburg d. elter (verkaufft)
hannß Jacob Freÿ dem Jüng. maurer burgern Zu Straßburg seinem Sohn
hauß vnd hoffstatt, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vff dem Rossmarck Inn d. Krebß gassen, einseit n. Balthasar N. dem schwartzbeck and.seit n. hanß hag den kornmesser hind. vff Abraham Strobell den hänffer stoßend, dauon gnd. ij gl gld loßig mit L gl Werung vff Johannis Baptstæ dem mehren Spittal, Sunst ledig vnd eÿg. & Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. v. besch. für vnd vmb ij C L lb
Vnd Ist hierinn Abgered. das er d. verkeuffer vnd Vatter Ime den Nechst. Sechs Jahren vergebens vnd ohne Zinß Inn solchem verkhaufften hauß soll bewohnen ein stub ein Kammer dargeg. vber vnd ein Küchell sampt dem Kammerlin oben auff vnd das holtz bünell
[in margine :] Erschienen Philipp Wÿdman der Maurer und Catharina Freÿin sein ehefraw, haben in gegensein deß Kaüffers haußfrau Mariæ Magdalenæ Bottin (Nachtrag) Act. den 30. Augusti 1636
Jean Jacques Frey épouse en 1621 Madeleine, fille du coutelier François Bott
Mariage, cathédrale (luth. p. 120)
1621. Hanß Jacob Freÿ der Maurer vnd J. Magdalena Frantz Bothen des messerkrämers n. Tochter. eingesegnet Montag den 6. Augusti) (i 65).
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 333) 1621. Hanß Jacob Freÿ der Maurer v. Jüng. Maria Magdalena Frantz Botten des [-]ßerkrämers hinderlaßene Tochter. Eingesegnet im Münster 6. Aug.
Jean Jacques Frey fils hypothèque la maison au profit de Sébastien Goldbach, assesseur au Grand Sénat
1622 (ut spâ. [xxxj. Augusti]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 317-v
(Inchoat. in Prot. fol. 237.) Erschienen Hannß Jacob Freÿ d. Jüng. maurer burger Zu Straßburg seinem Sohn
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Bastian Goldtbach groß. Raths Verwandtens – schuldig seÿe j. C. L lb
vnderpfand hauß vnd hoffstatt, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vff dem Rossmarck Inn d. Krebß gassen, einseit n. Balthasar N. dem schwartzbeck and.seit n. hanß hag den kornmesser hind. vff Abraham Strobell den hänffer stoßend, dauon gnd. ij gl gld loßig mit L gl dem mehren Spittal, vnd denn sind sie v.hafftet vmb L lb hanß Jacob Freÿen den eltern sein des Bekhenners vatt.
(vide Vergleichung vom 4. martÿ a° 1643. in selbig. Jahrs registrand. befindlich)
Jean Jacques Frey hypothèque la maison au profit du tailleur Christophe Goldbach
1630 (ut spâ. [28. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 476
Erschienen hanß Jacob Freÿ der Maurer
hatt in gegensein Christoff Goldbachen deß schneiders auch burgers alhie – schuldig seÿen XXV. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat alhie in der Krebßgaß vffm Roßmarckht neben Balthasar Dürwanger dem Schwartzbecken neben hanß hagen dem Kornmesser hinden vff (-) stoßend gelegen, so Zuuor v.hafftet vmb 50. fl. w. dem Spitahl, So dann vmb 100. lb seinen beeden geschwisterd. vnd dann vmb 90. fl. so zwar noch nicht gar wie er Debitor angezeigt richtig, weil solche von schlechtem gelt hiermit / Bastian Goldbachs s. Erben
Nouvelle hypothèque entre les mêmes
1631 (ut spâ. [10. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 159-v
Erschienen hanß Jacob Freÿ der Maurer
hatt in gegensein Christoff Goldbachen deß schneiders auch burgers alhie – schuldig seÿe X. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen and. ihren gebäwen & alhie in der Krebßgassen neben Balthasar Dürwanger den schwartzbecken & hanß hagen dem Kornmesser, hind. vff (-) stoßend gelegen, so zuuor verhafftet vmb 50. fl. St. w. dem Spitahl alhie, Item vmb 90. lb sein Debitoris zweÿen geschwisterd. Item vmb 90. fl. so zwar noch nicht durchauß richtig, Bastian Goldbachs s: Erben vnd dann vmb 25. lb. ihme Creditori selbsten
(Cassirt wegen der den 17. Jan. 637. vffgericht. verschrb.)
[in margine :] Erschienen Philips Wÿdtmann der Maurer ehevögtlicher weiß undt alß Vogt Jacob Freÿen des Maurers Kind. hatt in gegensein Hanß Jacob Freÿen des Debitoris hierin gemelt (…) q.tirt, Actum den 17. Aprilis 1634*
Jean Jacques Frey hypothèque la maison au profit du marchand Balthasar Louis Künast
1633 (25. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 522
Erschienen hanß Jacob Freÿ, Steinmetz burger Zu St.
hatt in gegensein herrn Balthasar Ludwig Küenasten des handelßmanns auch burgers alhie – schuldig sein soll und will xvj. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen ihren gebäwen & gelegen in d. Krebßgassen alhie einseit neben hanß hagen dem Kornwerffer and.seit Balthasar N. dem schwartzbecken hinden auff Abraham Strobels deß hänffers s. Erben tochter, so Zuuor noch verhafftet vmb 50. fl. d. dem mehren spital alhie, Item vmb 50. lb Philipp Wÿdtman dem Maurer, Mehr vmb 35. lb d. Christoph Goldbachen dem Schneider, So dann vmb 191. fl. Bastian Goldbachen see. Erben
Le maçon Jean Jacques Frey et sa femme Marie Madeleine hypothèquent la maison au profit du commissaire priseur Christophe Goldbach
1634 (ut spâ [17. Aprilis]), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 285
Erschienen hanß Jacob Freÿ der Maurer burger Zu Str. und Maria Magdalena sein eheliche haußfr. mit beÿstand Adam Botten, deß Krämers vnd Rupert Schielen, Nestlers, auch beeder Burg. alhie, alß ihrer hierzu insond.heit erbetener nechsten verwanthen
haben in gegensein Christoff Goldbachen deß Käufflers – schuldig seÿen XX. lb
für Vnd.pfand sein soll hauß vnd hoffstat mit Allen and. ihre, gebäwen & alhie in der Krebßgassen, neben Balthasar Dürrwanger dem Schwartzbecken ein vnd and.seit neben hanß Hagen dem Kornmesser hind. vff Wolff Grüenwaldten den handelßmann stoßend gelegen, so Zuuor v.hafftet vmb 50. gld. St. w. dem Mehrern spital alhie, Item vmb 30. lb. d Philipps Wÿdmann dem Maurer It. vmb 45. lb d Sebastian Goldbachs s: erb. So dann vmb 35. lb. d ihme Glaubiger selbsten
(cassirt weg. der den 17.t Januarÿ 1637. vffgerichteten verschreibung)
Nouvelle hypothèque entre les mêmes. La débitrice est assistée de son frère Adam Bott et de son beau-frère Robert Schielen
1637 (ut supra [17. Januarÿ]), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 45
Erschienen Hannß Jacob Freÿ der Maurer alhie und Maria Magdalena sein eheliche haußfr. mit beÿstand Adam Botten deß Krämers ihres bruders vnd Rupert Schielin Nestlers ihres Schwagers, alß ihres hierzu Insonderheit erpetener nechsten Verwanthen
haben in gegensein Christoff Goldbachen deß Käufflers alhie – schuldig seÿen LXXV lb.
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß vnd Hoffstat & alhie in der Krebßgassen neben Lorentz N. dem Schwartzbecken & neben Hanß Hagen dem Kornmesser, hinden vff Wolff Grüenwalden dem handelßmann stoßend, so zuuor verhafftet umb 50. fl. w. dem Mehren Spithal alhie
Marie Madeleine Bott, femme du maçon Jean Jacques Frey qui séjourne à Cologne, vend la maison au commissaire priseur Christophe Goldbach
1643 (2. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 491 (expéditions) f° 383
Kauffbrieff Christoph Goltbachß deß Käufflers
Wir Frantz Bastian Röder & verordnet. Notario persönlich erschienen, vnßer Burgerin Maria Magdalena Bottin auch vnsers Burgers hannß Jacob Freÿen deß Maurers sich anietzo Zu Cölln enthaltend, eheliche haußfraw mit beÿstand ingleich. vnsers Burgers Adam Botten deß Krämers ihres Bruders und Vogts
hatt in gegensein nicht wenig. vnsers Burgers Christoph Goltbachß deß Käufflers
hauß und hoffstatt, mit allen dern Gebäwen & in vnserer Statt am Roß Marckh in der Krebßgaß. neb. Lorentz Schmiden dem Schwartzbeckh. Zu beed. seit. hind vff Josiam Mittmann dem Schindelspaltern stoßend gelegen, davon gehnd iahrs vff Liechtmaß 2. fl. rlts lößig mit 50. beÿdes vnserer Straßburg. Wehr. deß Weg. ein Zinnß Zusampt dem Marzahl hinderständig ist dem mehren Hospital, So ist solch. hauß auch noch Verhafftet umb 75. lib. hauptgut Zinnß und Marzahl von Joh. Bapt: a° 1642. exclusive gerechnet, Ihme dem Käuffern selbst. so dann umb 37. lib 10. ß Nachtrag Sebastian Goltbachß Erb. Zwar ohne zinnß aber mit sampt denen vffgangenen statt Gerichts vncost. Zu bezahlen (vff sich genohmen) – umb 10. Pfund
La maison revient à son fils boucher Samuel Goldtach qui épouse en 1664 Marie Behr, fille du marchand Mathias Behr : contrat de mariage, célébration.
1664 (20.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 752
Eheberedung – zwischen dem Erbahren vndt bescheidenen H. Samuel Goldtbach dem Ledigen Metzgern Vnd burgern alhier zu Straßburg alß breuttigam an einem,
So dann der Ehren: Vndt Tugendsamen Jgfr. Mariæ Behrin weÿl. d. Ehren vnd vorgeachten H. Mathis Beeren Geweßenen burgers vndt handelßmanns alhier seeligen nachgelaßenen dochter alß hochzeiterin andern Theils
So beschehen in Straßburg Sonntag d. 20. Martÿ Anno 1664.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 270, n° 6)
1664. Dom. Jubilate et Cantate d. 1. et 8 Maÿ. seind von beede mahl außgeruffen worden Samuel Goldbach der Metzger, weÿl. Hn. Christoph Goldbachs deß gewesenen Burgers vnd Käufflers allhie hinderlaßener Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Maria weÿl. Johann Mattißen Bären, gewesenen Burgers Vnd und. händlers allhie hinderlaßene Eheliche Tochter. Copulirt 9 Maÿ im frühgebett Zi S. Ca: (i 288)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 141-v, n° 24) 1664. Dom. Jubilate 1. Maÿ. Samuel Goldbach der Metzger V. Burger allhie, Weÿl. Hn. Christoph Goldbach deß geschwornen Käufflers Vnd Burgers allhie nachgel. Sohn, Vnd Jfr. Maria Weÿl. h, Johann Matthis Beeren deß Burgers Vndt Badenhändlers allhie nachgelaßene Eheliche Tochter. Eingesegnet ad D. Nicolai in Matutinis (i 154)
Samuel Goltbach vend la maison à l’imprimeur Léonard Heckel et à sa femme Marguerite
1662 (3. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 529-v
(Prot. fol. 47.) Erschienen Samuel Goltbach Metzg.
in gegensein Leonhard Häckhels des Buchtruckhers und Margarethæ seines Eheweibs
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördt. und Gerechtigkeit. alhie am Roßmarckh in der Krebsgaß. einseit neben Lorentz Schmid. dem haußfewrer, anderseit neben Michael Finckh dem Kornwerffer hind. vff Josiam Mittmann den Schindelspalter stoßend gelegen, davon gehend iahrs vff Liechtmeß j. lib. j. ß dem Mehrern hospital – umb 150. Pfund
Manant de la ville, Léonard Heckel meurt le 28 août 1668 à l’âge de 59 ans. L’acte ci-dessous mentionne qu’il travaillait à l’imprimerie Stædel
Sépulture, cathédrale (luth. f° 41) 1668. August, d. 28.t Leonhard Heükel, buchdrucker, 59 jahr alt (i 43)
Mariage de sa fille Anne Catherine avec le garçon batelier Jean Ottmann
Proclamation, cathédrale (luth. f° 164-v, n° VIII) 1673. Zum 2. mahl Johann Ottmann, der Schiffknecht undt Burger alhier, Jfr. Anna Catharina, Weiland Lienhard Heckel gewesenen Buchdruckers v. Schirms Verwanthen alhier nachgelaßene ehl. T., Dienstags den 15.ten Maji St. Wilhelm (i 167)
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 95, n° 8) 1673. Dnicis Rogaônem & Exaudi d. 4 & 11 Maÿ. Hans Ottmann der Schiffknecht v. Jgfr. Anna Catharina, Lienhard Heyckels gewesenen druckers in Hrn. Städels druckerey rel. filia – W. (i 66)
Assistée de son fils tonnelier Léonard Heckel, Marguerite, veuve de l’imprimeur Léonard Heckel, hypothèque sa part de maison au profit de Marthe Zorn, veuve de l’assesseur des Quinze Jean Israël Faust
1672 (26. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 247
Margaretha, weÿl. Leonhard Häckhels deß buchtruckers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Leonhard Häckhels deß Küblers ihres eheleiblichen Sohns und Adolph Haußen deß Kornwerffers
in gegensein deß Edel- From und wohlweÿsen herren Johann Philipp Zeißolffen deß beständigen Regiments der Herren Fünffzehen alß Curatoris Fr. Marthæ Faustin gebohrner Zornin weÿl. herren Johann Israel Fausten XV. geweßenen Fünffzehners nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin – schuldig seÿe 15. Pfund pfenning
Unterpfand, Ihr der Debitricis Antheil ahn einer alhier am Roßmarckh in der Krebß Gaßen Zwischen Lorentz Schmidten deß haußfewrers seel. Wittiben und Michael Finckhen dem Kornwerffern gelegener behaußung, davon gehend iahrs uff Liechtmeß 1 lb 1 ß dem Hospital alhier
Marguerite, veuve de l’imprimeur Léonard Heckel, hypothèque sa part de maison au profit du commissaire priseur Jean Jacques Œhrlein. En marge, quittance accordée en 1692 à Michel Widemann, propriétaire de la maison.
1680 (11. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 609-v
Margaretha, Leonhard Heckhels deß buchtruckhers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Johann Leonhard Heckhels des Küblers Ihres Sohns, und Gabriel Burckhardts des Schneiders Ihres Vettern
in gegensein Johann Jacob Öhrleins deß Kaüfflers – schuldig seÿe 25. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebäwen undt Zugehördten allhier uff dem Roßmarckh in der Krebsgaß, einseit neben Lorentz Schmidten dem haußfewrer, anderseit neben Michael Finckhen dem Kornwerffer, hinden uff Josiam Mittmann den Schindelspalter stoßend gelegen, davon gehendt Jahrs uff Liechtmeß 1. lb 1 ß d dem Mehrern Hospital
[in margine :] (…) in gegensein Michael Widemanns, alß possessoris des obged. underpfands (quittung) Act. dem 22. April. 1692.
Marguerite Willenburger, veuve de l’imprimeur Léonard Heckel, son fils tonnelier Léonard Heckel et sa fille Catherine, veuve du garçon batelier Jean Ottmann, vendent la maison à l’apprêteur de tabac Michel Widemann et à sa femme Anne Barbe Endres
1691 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 492-v
Margaretha, gebohrne Willenburgerin weÿl. Leonhard Häckels, gewesenen, Buchtruckers und Schirms Verwanthen nachgelaßene Wittib, so ohnbevögtigt, mit beÿstand Philipp Färbers, deß Krempen, Ferner hans Leonhard Häckel der Kübler und burger allhier und Catharina gebohrne Häckelin deß. leibliche Schwester, weil. Johann Ottmanns gewesenen Schiffknechts nachgelaßene wittib so im Schirm, mit beÿstand Gabriel Burckards deß Schneiders ihres Kinds Vogts
Michael Widemanns, deß Tabacbereiters und Annæ Barbaræ gebohrner Endreßen
hauß, und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehördt und Gerechtigkeiten allhier am Roßmarckt, in d. Krebsgaß, einseit neben Friderich Dürren, dem haußfeurer, anderseit neben hans Jacob Nid.meÿer den Kornwerffern hind. auff Josian Mittmann, den Schindelspalter stoßend gelegen, darvon gehend jährlich auff liechtmeß Ein pfund ein schilling d dem mehren Hospital ablösig mit 21 lb d Capital, So seÿe deselbe auch noch umb 25 lb Capital d. Carthaus allhier verhafftet – geschehen umb 90 pfund
Originaire de Goldkronach en Franconie, Michel Widemann épouse en 1679 Anne Barbe Endres, fille du tailleur André Endres
Mariage, cathédrale (luth. f° 63-v n° 7)
1679. Dom 5.ma. Zum 2. mahl Michael Widenmann der [-]beck und Burgers alhier Weiland [-] Widenmans gewesenen Statt [-] Zu Goldgranach Fas(*) Mgfr * Baders nachgelaß: ehel. Sohn Anna Barbara, H. Andreß Enders gewesenen [schneiders] vnd Burgers alhier nachgelaßene ehelich T. Donnerstags den 13. Martÿ (i 65)
L’apprêteur de tabac Michel Widemann, originaire de Goldkronachen juridiction de Bayreuth, devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse.
1679, 4° Livre de bourgeoisie p. 456
Michel Widemann der tabacmacher von gold Kronach baräitischer herrschafft, empfangt das burger Recht von seiner haußfr. Anna Barbara Endreßin pro 8 golt fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledig. standts gewesen, und witrd Zur Mörin dienen. Jur. 26. martÿ 1679.
Michel Widemann hypothèque la maison au profit de l’apprêteur de tabac Jean Philippe Kohler
1693 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 533-v
Michael Widemann der Tabackbereiter
Johann Philipp Kohler auch Tabackbereiter, schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, Eine behaußung, sambt deren gebäuen, begriffen und zugehördten allhier in d. Krebsgaß auff dem Roßmarck, einseit neben Friderich dürr dem Haußfeurer, anderseit neben Hanß Jacob Nidermeÿer dem Kornwerffer hinten auff (-) den schindelspalter stoßend geleg.
Anne Marguerite Widemann femme de l’apprêteur de tabac Jacques Meyerhoffer, le tuteur de Jean Michel Widemann et Marie Salomé Widemann femme du passementier Sébastien Kern, vendent la maison au tonnelier Jean Lutz moyennant 396 livres
1713 (11.9. ut ante), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 517
(396) Erschienen Anna Marg: geb. Widemännin beÿständlich Jacob Meÿerhoffers tabacb: ihres mariti, Item Joh: Friedrich Besserer tabacb: alß vogt Johann Michel Widemanns, Item Maria Salome geb. Widemännin beÿständlich Sebastian Kern paßm: ihres mariti, Item Georg Friedrich Widemann tabacb:
in gegensein Joh: Lutz Kübers beÿständlich Hanß Michel Hering tabacb;
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten ahm Rossmarckt in der Krebsgass, einseit neben (-( harr haußfrau anderseit neben Joh: Jacob Nidermeÿer Kornwerffern hinten auf Josiam Wittmann – davon gibt man auff Liechtmes 1 lb 1 ß dem mehrern Hospithal ablößig mit 21 lb und 375 pfund
Fils du remueur de grains Daniel Lutz, Jean Lutz épouse en 1714 Anne Eve Bœgner, fille du tonnelier Georges Bœgner : contrat de mariage par lequel il lègue à sa future épouse la jouissance viagère de sa maison, célébration
1714 (16. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 40) f° 404
N° 404 Eheberedung Mstr. Johann Lutzen deß Ledigen Küblers Vndt
Jgfr. Annæ Evæ Bögnerin Mstr. Georg Bögners Küblers und Burgers allhier ehelichen Tochter beeder Eheverlobten
zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Meister Johann Lutzen, Ledigen Küblers von hier gebürthig, weÿl. deß Ehrsam und bescheidenen Daniel Lutzen gewesenen Kornwerffers und burgers allhier Zu Straßburg mit auch weÿl. der Tugendsamen Frawen Anna Maria gebohrner Bernhardtin ehelich erzeugtem und nachgelaßenem Sohne, alß hochzeiter, ane Einem
So dann der Ehren und tugendsammen Jungfr. Annæ Evæ Bögnerin, deß Ehrensamen und achtbaren Mstr. Georg Bögners Küblers und burgers allhier mit weÿl. Frawen Margarethæ Bögners Küblers und burgers allhier mit weÿl. Frawen Margarethæ gebohrner Heckin ehelich erzeugten tochtern als der hochzeiterin am andern theil
6. Verordnet der Hochzeiter seiner Brauth Wann Sie Ihne überlebet Zu einem Lebtägigen Wÿdumb seine allhier ahne der Krebsgaßen beÿm Roßmarckh gelegene eigenthümliche Behaußung mit dem anhang deß Sie verbunden seÿn solle, so lang Sie solche wÿdumbs weiß genießen Wird in guthem baw und ehren nach Wÿdumbs recht zu halten
Beschehen und verhandelt seÿnd dieße ding in der Königl. Statt Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher gegenwarth Mstr Johann Martin Weisen deß Schneiders burgers dahier auff seithen deß hochzeitters, So dann vorgedachten Mstr Georg Bögners Küblers und burgers alhier der hochzeiterin Leibl. Vatter auff seithen ihme erbettenen beÿstands, Welche sich neben beeden Ehe Verlobten und mir Notario hiernechst eigenhändig unterschriebenen haben, Freÿtags den 16.ten 9.bris Anno 1714 [unterzeichnet] Johannes Lutz Als Hoch Zeitter, Anna Eva Bögnerin Als Hoch Zeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 143 n° 14)
Mitwoch den 5. Dec. 1714. sind alhier in Straßburg in der Pfarrkirch Zu St. Nicol: nach vorhergegangenen Zweÿmahligen Außruffung Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden Johannes Lutz, der ledige Kübler, weÿl. Daniel Lutzen gewesenen Kornwerffer vnd burgers alhier hinterlaßener Ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Anna Eva Bögnerin Georg Bögners deß Küblers vnd burgers alhier Eheliche tochter welches bezeugen [unterzeichnet] Johannes Lutz als Hoh Zeder, Anna Eva Bögnerin Als hoch Zeÿerin (i 147, proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 16, i 20)
Jean Lutz et Eve Bœgner hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Heupel, enseignant au Gymnase
1714 (29.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 937 bb
Johann Lutz Kübler und Eva geb. Bögnerin beÿständlich Joh: Ulrich Bach Eberle und hannß Michael Gering tabacb:
in gegensein H. M. Joh: Friedrich Heupel præceptoris sup: Gÿmnasÿ – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert. auf dem Rossmarckt in der Krebsgass, einseit neben harr anderseit neben Joh: Jacob Nidermeÿer Kornwerffer hinten auff Josiam Wittmann
Jean Lutz a dépassé de quatre semaines le temps imparti pour faire son chef d’œuvre
1715, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 258-v) Dienstags den 9.ten Aprilis Anno 1715 – Johann Lutz erscheint auff vorgebott, demeselb. wurde vorgehalt daß Er 8 tag über die 4 wochen am Mstr: st. gearneitet. Ille replicirt seÿe nur 2. tag gewesen. Erk. ist ihme erlaßen.
Nouvelle hypothèque au profit de Jean Frédéric Heupel
1715 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 426-v
Johann Lutz kübler und Anna Eva geb. Bögnerin beÿständlich Georg Bögner küblers und Joh: Georg Bögner jun. küblers
in gegensein H. M. Georg Friedrich Heupel praecept: sup: Gymn: – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert:alhier auf dem Rossmarckt in der Krebsgass, einseit neben Harr anderseit neben Joh: Jacob Nidermeÿer hinten auff Josiam Mittmann
Jean Lutz et Eve Bœgner vendent la maison à Jean Frédéric Berion moyennant 381 livres
1717 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 505
Johann Lutz Kübler und Anna Eva geb. Bögnerin
in gegensein Johann Friedrich Berion
hauß und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier ahm Rossmarckt in der Krebsgass, einseit neben Harr hausfrauen anderseit neben Joh: Jacob Nidermeÿer hinten auff Josiam Wittmann – davon gehen jährlich auf Liechtmess 1 lb 1 ß dem mehrern spithal ablößig mit 21 lb – um 350 lb
Le précepteur Jean Frédéric Berion hypothèque la maison au profit du marchand de drap Jean Daniel Walther
1722 (6.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 466-v
Johann Friedrich Berion Informator privatus so über 25. jahr alt und ohnbevögtigt
H. Johann Daniel Walther weißleinwandhändlers – schuldig seÿen 7 pfund 10 s
hypothecirt, Eine Behausung cum appertinentÿs am Roßmarckt in der Krebsgaß, einseit neben NN dem haußfeurer anderseit neben Niedermeÿer hinten auff Josiam Wittmann
Le précepteur Jean Frédéric Berion hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Haan
1725 (12.1.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 14-v
Johann Friedrich Berion Informator privatus und deßen ältere schwester Jfr. Dorothea Berionin so beede majorennes und ohnbevögtigt
in gegensein H. Johannes Haan Med: D. und Practici – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Roßmarckt in der Krebsgaß, einseit neben Harr dem haußfeurer anderseit neben einer der von gemeiner Statt: Speichers Kornwerffer jeweilen bewohnenden behausung hinten auff N. N. den Schuemacher – davon gehen jährlich auff Liechtmeß 1 lb 1 ß dem Mehrern hospitahl ablößig mit 21 lb
Fils du tourneur Jean Frédéric Berion, l’orfèvre Jean Frédéric Berion épouse en 1725 Anne Catherine Schott, fille du pêcheur Jean Schott : contrat de mariage non conservé, célébration
1725, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 487
Eheberedung – H Johann Friderich Berion, ledigen Goldarbeiters
und Jungfrauen Annä Catharinä Schottin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 253-v)
Mittwochs d. 16. Maji 1725. seind in d. Kirch Zu S Wilhelm nach 2.maliger außruffung ehelich eingesegnet worden Joh: Fridrich Perion den goldarbeiter n. Joh: Frid. Perions deß holträhers v. b. v. Susannæ durgin ehelicher Sohn v. Jfr. Anna Catharina Hans Schotten deß fischers v. burgers v. Susannæ Kirchnerin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Friderich Berion als Hochzeiter, AD Ist d. handzeichen Annæ Catharinæ Schottin (i 261)
Jean Frédéric Berion devient tributaire à l’Echasse en déclarant exercer le métier de précepteur et non celui d’orfèvre qu’il a appris
1725, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 308) Donnerstag den 28. Junÿ Anno 1725 – Johann Friderich Perion, weÿland Johann Friderich Perion gewesten hohlträgers und burgers alhier ehel. Sohn, erscheint und præsentirt Stallschein vom 20.ten Novembris Anno 1724. bittet umb das Stuben recht, mit dem erbieten daß Er nicht auff der goldarbeiter Profession, worauff er zwar gelernet will fort fahren, sondern als Præceptor Domesticus sein Stücklein brod suchen wolte, Erkant wird als ein Zu diener, gegen Erlag der gebühr admittirt.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux de la femme s’élèvent à 61 livres. L’actif du mari, non comprises deux maisons dont il est propriétaire, s’élève à 31 livres, le passif à 502 livres.
1728 (31.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 27) n° 862
Inventarium über des Ehrengeachten H. Johann Friderich Berion des Informatoris und der Ehren und tugendsahmen frauen Annæ Catharinæ gebohrener Schottin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert die Ehe zusammen gebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1728. – und krafft deren mit einander auffgerichteten Ehevertrag ihnen und ihren Erben als ein ohnverändert und vorbehalten guth mithin die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expresse conditionirt reservirt und bedungen – So beschehen in fernern beÿseÿn H Johann Jacob Heßen Juris Candidati von hier gebürtig der Ehefrauen erbettenen beÿsitand, Strassburg den 31. Januarÿ Anno 1728.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Leimengaß gelegenen dem Ehemann gehörigen behaußung folgender maßen befunden
Des Eheherren eingebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 55 (M 11, F 43), baarschafft 21 (F),
Summa summarum der Ehefrauen sambtlich eingebrachte Nahrung 65 lb
Schulden in des Ehemanns nahrung Zugeltend 20 lb, Summa summarum des Ehemanns sambtlich eingebrachtes Vermögen 31 lb, ohne die in natura reservirte beede behaußungen
Eÿgenthumb ane Häusern so dem Ehemann ohnverändert gehörig. Eine behaußung und hoffstatt mit allen derselben Zugehörden begriffen und Rechten allhier ane der Vorstatt Krautenau im Preuschgäßel (…)
Item ein fordere behaußung antheil im leÿmengäßel (…)
Schulden aus des Ehemanns Nahrung zugeltend 502 lb – Haussteur 10 lb
Jean Frédéric Berion et Anna Catherine Schott fonf dresser un inventaire de leurs biens pour que la femme puisse demander le bénéfice de cession. L’inventaire est dressé dans la maison propre au mari rue de l’Argile. La masse propre à la femme est de 127 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 50 livres, le passif à 290 livres
1729 (18.5.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 3) n° 44
Inventarium über Joh: Friederich Berion, deß Informatoris und Fr. Annæ Catharinæ gebohrener Schottin, beeder Eheleuthe und burger allhier dermahlen besitzendt Vermögen auffgerichtet Anno 1729. (…) welche nahrung darauff geschehenes dienstfreundliches ansuchen Ihr der Ehefrauen erstbenandt, beÿständlich deß Ehrs: und bescheidenen Mr Joh: Heinrich Schlögelmilchs, deß schuemachers und burgers allhier Zu Straßburg auß dero geordnet und geschworenen Procuratoris ad lites in beÿsein dero Ehemanns obgemelt umb willen dießelbe beÿ E. E. Kleinen Rath Cessione Zu suchen gesonnen – So Beschehen Straßburg Mittwoch den 18. deß Monats Maÿ Anno 1721.
Copia der Eheberedung
In einer allhie Zu Straßburg ahne dem Leimengäßlein gelegenen dem Ehemann vor ohnverändert Zuständigen dahero infra fol° (-) beschriebener behaußung, alß volgt befunden
Ahne Holtz: und Schreinwerckh. In d. soldaten Cammer, Im hauß Ehren, In d. Wohnstub
Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behaußung v. hoffstatt mit allen deren Zugehörden
ane der Vorstatt Crautenau im Preuschgäßel (…)
It : ein Vorderbehaußung antheil hoffs allhier im Leÿmengäßel (…)
Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen unveränderten Guths. Laut Inventarii über beeder Eheleuth in den Ehestand einander Zugebrachte Nahrung besagend, durch H wohnhaft Michael Hoffmann Not. publ. et practic. A° 1728 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrauen Nahrung, Sa. haußraths 22, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 20, Sa. Schulden in die Nahrung 53, Sa. der Ergäntzung (32, Abzug 12 ß, Rest) 31, Summa summarum 127 lb
des Ehemanns unverändert v. theilbare Nahrung, Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumb ane häußern 35 , Summa summarum 50 lb – Schulden 290 lb, Conferendo übertreffen solche passiva des Ehemanns v. theilbare Nahrung dem billigen Werth nach umb 240 lb
La veuve et les héritières de Jean Frédéric Berion sont dispensés de faire dresser un inventaire à cause de leur pauvreté.
1735 (10.8.), Livres de la Taille (VII 1178) f° 85-v
Johann Friderich Perion des Informatoris wittib bittet umb erlaßung der Inventur.
Jungfer Elisabetha Perionin alß Erbin ab intestato mit beÿstand Johann Jacob Claußen des hosenstrickers declarirt deß Sie darmit, samt ihrer Schwester so dermahlen kranck, zu frieden seÿe in deme Sie nicht zu erben Verlangten, Erkannt wegen armuht willfahrt.
Anne Catherine Schott se remarie avec le chapelier Simon Hollænder : contrat de mariage, célébration
1738 (29. 7.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 517
Eheberedung – Zwischen dem ehrsamen vnd bescheidenen Meister Simon Holänder dem hutmacher burg. vndt wittibern alhie als hochzeithern ane einem
so dann Fr. Anna Catharina gebohrne Schottin, weÿl. Friderich Berion geweßenen Informatoris vndt ebenfalls burgers alhier hinterbliebenen wittib alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb: d. 29. 7.bris 1738. [unterzeichnet] Simon Holländer Als Hochzeiter,+ d. hochztr: handz.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. ß 171 n° 24)
1738. Mitwoch den 8. 8.br sind nach ordentlichen zweÿ mahliger proclamation und Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden Simon Holländer der Huthmacher burger und wittwer allhie und Fr: Anna Catharina, weÿl. Joh: Friderich Berions gewesenen Informatoris und burgers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Simon Holänder als Hochzeiter + der Fr. Hochzeiterin handzeichen (i 173)
Jean Frédéric Berion et Anne Catherine Schott vendent la maison au cordonnier Conrad Mohr et à Marie Elisabeth Vogler
1726 (14.11.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 576
Johann Friedrich Berion Informator privatus und Anna Catharina geb. Schottin
in gegensein Conrad Mohr des Schuemachers und Mariæ Elisabethæ geb. Voglerin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Roßmarckt in der Krebsgaß, einseit neben Johann Jacob Niedermeÿer dem Statt Kornwerffer anderseit neben Michael Wöhrle haußfeurer hinten auff Valentin Jäger dem haubenmacher – davon gibt man auff Liechtmeß 1 lb 1 ß ahne zinß ablößig mit 21 lb dem mehrern hospithal – um 171 pfund ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 104 pfund
Originaire de Sarrebruck, Conrad Mohr sollicite auprès des Quinze une dispense pour faire son chef d’œuvre en arguant qu’il n’ouvre pas de nouvel atelier mais qu’il reprend celui de son beau-père. Les représentants de la tribu objectent que la fiancée est une fille adoptive et que le beau-père Fischer n’est pas maître mais un simple savetier. Les Quinze éconduisent le pétitionnaire.
1725, Protocole des Quinze (2 R 130)
(p. 352) Sambstag den 15. Decembris 1725 – Conrad Mohr lediger Schuhmacher Ca E. E. Zunfft der Schuhmacher pt° admissionis Zum Meisterstück
Moss: nôe Conrad Mohren des ledigen Schuhmachers von Sarbrücken gebürtig contra E. E. Zunfft der Schuhmacher H. Zunfftmeister Ppal ist pt° admissionis Zum Meisterstück laut mitkommenden bescheids von MGhh verwißen, bitt Deput. et Facta relatione umb gn. Dispensation, Zumahlen Principal keine newe werckstatt anfangen, sondern eine alte continuiren will. Fuchs weilen Citati begehren Wider ordnung alß bitt Deput. et Facta relatione den gegner mit seinem begehren an die Ordnung Zu weißen, ref. Expensis. Erkandt, Oberhandwerck herren.
(p. 370) Sambstag d. 2. Decembris 1725) – Conrad Mohr Ca E. E. Zunfft der Schuhmacher
Obere handwerck herren lassen durch Hn Secretar. Kleinclaus referiren daß Conrad Mohr der ledige Schumacher von Sarbrücken gebürtig, contra E. E. Zunfft der Schuhmacher den 15. hujus einen Zunfft gerichts bescheid de dato 27. 9.bris jüngst producirt, und berichtet habe, daß er laut deßen puncto admissionis Zum Meisterstück an MGhh verwißen worden, seÿe anbeÿ umb Deputation et Facta relatione umb gn. Dispensation gebetten, Zumahlen er keine newe Werckstatt anfangen, sondern eine alte continuiren wolle, worauff ged. Zunfft geantwortet, daß Gegners petitum Wider ordnung seÿen anbeÿ umb Deput. et Facta relatione den gegner mit seinem begehren ab: und an die Ordnung Zu weißen, ref. Expensis.
Auf geschehene remission habe der Implorant sein petitum widerhohlet, nôe E. E. Zunfft seÿen erschienen H Johann Georg Holdermann und H. Not. Pantrion, welche geantowrtet, daß gegner sich nicht habe beÿm handtwerck Zum meisterstück einschreiben laßen sondern vermeint, daß wann er dieses Fischers, so Kein ordenlticher Meister der das Meisterstück verfertiget, sondern ein altbüßer seÿe tochter heurathe, er ohne das einschreiben Zum Meisterstück gelangen Könne, welches aber nicht angehe, Zumahlen dieser Mensch keine gebohrene Meisters Tochter sondern eine Von ged. Fischer adoptiret seÿe. Auff seithen der Hh. Depp. habe man gefunden, daß wann ged. Fischer ein ordentlicher Meister wäre, eine große quæstion movirt werden Könte, ob nicht dieße adoptirte tochter das nemliche recht zu genießen hätte, als eine gebohrene Meisters tochter, weilen aber von seithen E. E. Zunfft versichert worden daß der Adoptans Kein ordenltcher Meister, sondern ein Altbießer seÿe, habe man nicht nöthig diese Frag zu erörtern, dahero davor gehalten orden, daß der Implorant mit seinem begehren ab: und an die ordnung Zu verweißen seÿe.
Erk. Bedacht gefolgt.
Fils du cordonnier Pierre Mohr de Sarrebruck, Conrad Mohr épouse en 1726 Marie Elisabeth, fille de Jean Adam Vogel, cultivateur à Wintzenbach : contrat de mariage non conservé, célébration
1726, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Conrad Mohrer Schumach: undt Jgf. Mariæ Elisab: Vogelin (Exp.)
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 43-v, n° 170)
1726. Mittw. d. 18. 7.bris sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, Conrad Mohr, der ledige schuhmacher von Saarbrücken v. burger alhier, weÿl. Joh: Peter Mohrs gewes. b. v. schuhmachers daselbst ehl. nachgelaßener sohn, v. Jgfr. Maria Elisabeth, Joh: Adam Vogels b. v. Ackersmanns Zu Wintzenbach ehl. tochter [unterzeichnet] Conrad Mohr als hohzeiter, Maria Elisabeth Voglerin als hchzeidrin, Johann Philipp Fischer als beÿstand auff der honzeitter seÿt (i 47)
Conrad Mohr, originaire du comté de Nassau, et sa femme Marie Elisabeth, fille adoptive du cordonnier Jean Frédéric Fischer, acquièrent le droit de bourgeoisie, la femme à titre gratuit, le mari au tiers de l’ancien tarif
1726, 3° Livre de bourgeoisie p. 1360
Conrad Mohr d. schuem. auß d. graffschafft Naßau geb. undt sein ehefr. Maria Elisabeth Johann frid: fischers b. undt schuemach. allher der. adoptirte dochter erhalten d. b. die fr. gratis d. ehemann umb die tertz d : alt. b. wollen beÿ E E Zunfft d. schuemach. dienen Jur. et prom. d. 2. Xb. 1726.
Conrad Mohr hypothèque deux tiers de la maison au profit du cordonnier Jean Frédéric Fischer (son beau-père)
1727 (29.4.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 296-v
Conrad Mohr Schuemacher
in gegensein Johann Friedrich Fischer des Schuemachers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, zween dritte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung und hoffstatt mit derselben gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Roßmarckt in der Krebs: gaß, einseit neben Niedermeÿer dem statt Kornwerffer anderseit neben Michael Wöhle dem haußfeurer hinten auff Valentin Jäger dem haubenmacher
Conrad Mohr rachète de l’hôpital bourgeois une rente annuelle établie par un titre de 1482
1728 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 41-v
S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger alter Ammeister dreÿzehner und Scholarcha als Pfleger des Mehrern Hospitals H. Johann Martin Schlitzweg Schaffners allda im nahmen des Mehrern hospitals
in gegensein Conrad Mohr schuemachers als eigenthums besitzers
einer allhier ahm Roßmarckt in der Krebs gaß, einseit neben Jacob Niedermeÿer dem Statt Kornwerffer anderseit neben Michael Wöhrle dem haußfeurer hinten auff Valentin Jäger den haubenmacher gelegenen behausung, demnach erwehnter Mehrern Hospital auff erstbeschriebener behausung einen auff Trium Regum bißher jährlich giebig gewesten mit 40 gulden wiederloßigen zinnß von 1 lb 1 ß stehen gehabt und von weÿl. Jgfr. Elisabetha Prechterin krafft Directorii Censuum et Gultarum ged. hospitals de Anno 1482 fol. 81b donations weiß überkommen hat
Conrad Mohr et Marie Elisabeth Vogel font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison.
1734 (28.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 65) n° 153
Inventarium über Meister Conrad Mohren, Schumachers und burgers und frauen Maria Elisabetha gebohrener Vogelin, beeder Eheleuthe vnd burgere alhier einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen auffgerichtet in Anno 1734. – Crafft derer mit einander Georgloßene Ehepacten alß ein ohnverändert guth sich reservirt vnd vorbehalten haben (…) Actum Straßburg den 28. Julÿ Anno 1734.
In einer alhie Zu Straßburg in der Krebsgaßen gelegenen, beeden Eheleuthen Zuständiger behausung nefunden worden wie volgt
Volgt nun die beschreibung eingangs berührter von beeden Eheleuthen einander in den Ehestand Zugebrachtr Nahrungen, Und Zwar erstlichen des Ehemanns Zugebrachten Vermögens, baarschafft 100 lb
1769 (16.10.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 351) n° 528
Eheberedung – Persönlich erschienen Johann Ludwig Mohr, der ledige Schuhmacher und burger allhier Zu Straßburg, H. Conrad Mohr des Schuhmachers und burgers dahier und Frauen Elisabethæ gebohrner Vogelin ehelicher Sohn, beÿständlichen erstgedachten seines leiblichen Vaters als Hochzeiter ane einem,
So dann Jungfrau Anna Maria Fegersin, H Jacob Fegers des Schuhmachers und burgers hieselbst und Weiland Fraun Annæ Mariæ gebohrner Baumhauerin eheliche tochter – So beschehen Zu Straßburg auf Montag den 16. Octobris 1769 [unterzeichnet] Johann Ludwig Mohr als hochzeiter, Anna Maria Fegersin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 154, n° 41)
Im Jahr 1769. Mittwochs den 15. Novembris nach vorhergenagenen gewohnlichen Proclamationen Dominica XXIV et XXV post Trinitatis offentich copuliret worden Johann Ludwig Mohr leediger Schuhmacher Johann Conrad Mohr Schuhmachers und burgers allhier und Frau Maria Elisabeth Vogelin ehelich erzeugter Sohn, und Jgfr. Anna Maria Fegersin, Jacob Fegers Schuhmachers und burgers allhie und weil. Frau Anna Maria gebohrner Baumhauerin ehelich erzeugte Tochter – [unterzeichnet] Johann Ludwig Mohr als Hochzeiter, Anna Maria Fegersin Als hochzein (i 162)
La maison est estimée à la somme de 400 livres lors de l’inventaire dressé en 1787 après la mort de Jean Louis Mohr. La veuve explique qu’aucun titre ne relate la cession de la maison au défunt par ses parents.
Anne Marie Fegers, veuve de Jean Louis Mohr, vend la maison ainsi que plusieurs autres au marchand Georges Michel Hering
1794 (3 pluviose 2), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 60
Frau Anna Maria Mohr geb. Fegers weiland Johann Ludwig Mohr geweßten Silberbotten und bürgers allhier hinterbliebene Wittib
in gegensein bürger Georg Michael Hering Handelsmanns
die ihro eigenthümlich zuständig behausung Höflein Hoffstatt und Schöpflein samt allen übrigen deroselben zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier ane dem Leimen Gäßlein einseit neben weiland bürgers Nöthel des Hafners Erben und hinten auf die Gastbehausung zum Goldenen Pferd stosend gelegen, so mit N° 27 bezeichnet,
Ferner die ihro auch eigenthümlich gehörige behausung Höflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane dem alten Weinmarckt gegen dem vormaligen Speÿerthor über einseit neben Fraun Sarger der Gimpelkäuflers wittib anderseit neben bürger Gerold dem Caminfeger und hinten auf besagten Sarger wittib stosend gelegen so mit N° 57 bezeichnet,
Item die ihro auch eigenthümlich gehörige behausung hoffstatt samt zugehörden alhier ane dem Roßmarckt in der Krebsgaß einseit neben bürger Braun dem Peruckenmacher anderseit neben bürger heÿdel dem beck und hinten auf nachbeschriebene behausung stosend gelegen so mit N° 22 bezeichnet,
So dann die ihro auch eigenthümlich zuständige behausung höflein und hoffstatt samt allen zugehörden und gerechtigkeiten alhier ane dem Roßmarckt in der Kleinen Schildsgaß einseit neben weiland bürger fäßler des Maurers wittib anderseit neben Nicolas Martin dem Employé und hinten auf vorbeschriebene behaußung stosend gelegen – 8900 livres capitalien
Wobei aber annoch folgende puncte stipulirt und bedungen worden, 1. daß der Käufer und seine Erben und nachkommen Ihro der Verkäuferin die Vorbesagte behausung im Leimengäßlein gelegen frei und ohne einige Entgeld annoch Lebenslänglich zu besitzen und ruhig bewohnen zu lassen, (…) 5. daß falls bürger Häring der Käufer annoch vor siner jezigen Ehefrauen Maria Magdalena geb. Plarr dieses zeitliche geseegnen würde (…) um 14.400 Livres worunter die capitalien begriffen
acp 20 f° du 3 pluv. 2
Georges Michel Hering revend deux mois plus tard la maison au menuisier Jean Bleydorn et à Madeleine Gœrger
1794 (4 germinal 2), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 65
bürger Georg Michael Hering Handelsmann
in gegensein des bürgers Johann Bleÿdorn Schreiners und Magdalena geb. Görger
die ihme eigenthümlich zuständige behaußung und hoffstatt samt allen mit allen übrigen deroselben zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Roßmarckt in der Krebsgaß einseit neben bürger braun dem përruquenmacher, anderseit neben bürger Heidel dem beck und hinten auf nachbeschriebene behaußung stosend gelegen so mit N° 22 bezichnet
wie auch die ihme eigenthümlich gehörige behausung höflein und hoffstatt samt allen zugehörden und gerechtigkeiten acuh allhier ane dem Roßmarckt in de kleinen Schildsgaß einseit neben weiland bürger Fäßler des Maurers wittib anderseit neben Nicolas Martin dem Employé und hinten auf vorbeschriebene behaußung stoßend gelegen so mit N° 6 bezeichnet – um 8000 Livres
acp 21 f° 189 du 5 germ. 2
Originaire d’Aschaffenburg dans le diocèse de Mayence, Jean Bleidorn épouse en 1780 Marie Madeleine Gœrger, originaire de Bœrsch
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 55.)
Hodie 21. Aprilis anni 1780 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti Joannes Bleidorn ex aschaffenburg diœcesis Moguntinæ oriundus, Jacobi Bleidorn molitoris in Schweinheim et Franciscæ N. filius Legitimus, Legionis pedestris alsace dicta miles dimissus, ratione præsidÿ ultimi militaris parochianus noster ætatis 31 anni, solutus, et Maria Magdalena Georger ex Börsch hujus diœcesis oriunda, defunctorum ibidem conjugum Ignatÿ Georger et Mariæ Franciscæ Schrapf filia legitima, jam à quatuor decim annis in hac Civitate et à Septem mensibus ultimis in nostra commorans, soluta, ætatis 37 circiter annorum (signé) bleÿdorn, + signum sponsæ (i 31)
Jean Bleidorn meurt à l’hôpital de Landau en fructidor XII sous le nom de Jean Bleydorff
Décès, Strasbourg (n° 1560)
Du 28° jour du mois de Fructidor l’an XII de la République, à trois heures de relevée. Acte de décès de Jean Bleydorff, décédé le 6 du courant à une heure de relevée à l’hospice Civil de la ville de Landau, âgé de 47 ans, menuisier, demeurant à Strasbourg Epoux de Madeleine Joerger, domiciliée en cette ville (i 170)
Madeleine Gœrger meurt en 1809 en délaissant une petite-fille et des héritiers collatéraux
1809 (19.6.), Strasbourg 2 (31), Not. Knobloch n° 4217
Inventaire de la succession de Madeleine Georger, veuve de Jean Bleidorn, menuisier, décédée le 2 avril 1809 – à la requête de 1. Catherine Odile née Heling veuve de François Henri Knopffer, musicien, tutrice naturelle de Catherine Madeleine âgée de 12 ans, issue de François Henri Knopffer, enfant naturel de la défunte, en présence de M. (-) Hecor tailleur d’habits subrogé tuteur
2. Françoise Georger femme de Jean Georges Lind, vigneron à Obernai, 3. Catherine Georger, femme de Frédéric Huber thulier à Bernardsweiler, héritières pour moitié, représentées par M Jean Bleuler, fabricant d’étoffes à Strasbourg – Dénomination des héritiers, 1. Catherine Madeleine Knopffer, 2. Françoise Georger, 3. Catherine Georger
en la maison mortuaire sise en cette ville rue du Sanglier n° 5 au troisième étage dans une chambre ayant vue sur ladite rue
mobilier 204 fr, dettes actives 129 fr, total 333 fr, passif (non additionné, 445 fr)
Enregistrement, acp 112 F° 51-v du 22.6.
Décès, Strasbourg (n° 537)
L’An 1809 ce troisième jour du mois d’Aout (…) sont comparus (…) lesquels nous ont déclaré que Madeleine Goerger, agée de 58 ans, native de Boersch, Département du Bas Rhin, fille légitime de feu N. Goerger et de feu N.N. veuve de Jean Bleidorn, Menuisier, est décédée hier 2 avril à onze heures du matin en la Maison située Rue du Sanglier N° 5 [in margine :] hydropisie (i 142)
Jean Bleydorn et Madeleine Gœrger vendent la maison au menuisier André Simon et à sa femme Catherine Erhard
1794 (29 frimaire 3), Strasbourg 10 (8), Not. Heus n° 87
bürger Johannes Bleÿdorn Schreiner und Magdalena geb. Görger
in gegensein bürgers Andreas Simon des Zimmermanns und Catharina Erhard
Eine behausung und Hoffstatt samt allen mit allen übrigen deroselben zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier ane dem Gleichheits platz in der Krebsgasse mit N° 22 bezeichnet, einseit neben bürger Braun dem Perruckenmacher, anderseit neben bürger Heÿdel dem beck und hinten auf die Verkäufer selbsten – als ein den 4. Germinal vorigen Jahrs von bürger Georg Michael Hering Handelsmann erkauftes Guth eigenthümlich gehörig – um 3500 Livres
Enregistrement, acp 30 F° 28-v du 1 nivôse 3
Originaire de Kirchzarten en Bade, André Simon épouse en 1785 Catherine Erhard veuve du maçon manant Joseph Buchmüller
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 516)
Hodie 5. Aprilis anni 1785 tribus proclamationibus, tam in Ecclesia nostra Parochiali quam in Parochia Kirchzarten Dioecesis Constantiensis (…) s. matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Andreas Simon faber lignarius, filius minorennis Christiani Simon er defunctæ agnetis Bussetin* quondam cinnjugum ex Kirchzarten, ratione domicilii Parochianus nostri Et Catharina Erhard vidua Superstitis defuncti tutelaris et Cæmentarii dum vieret hujatis (signé) andreas simon, Catharina Ehrhart (i 264)
Originaire de Soufflenheim, Joseph Buchmüller épouse en 1776 Catherine Erhard, native de Bœrsch : contrat de mariage sous seing privé joint à l’inventaire, célébration
Eheberedung. Erstlich Frantz Joseph Buchmüller Maurer und Steinhauer Gesell des Ehrsamen H michel* Buchmüller von Suflumheim ehelicher Sohn und deßen Mutter Margarätha Wilhelm, als Hochzeiter, an Einem, so dann die Ehr und tugendsame Jungfrau Catharina Erhardin, des Ehrsamen Frantz Ehrhard und Magdalene Löhn deri beeden abgelebten Eltern, als hochzeiteren (…) So geschehen Börsch den 27.ten Junii 1776
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 135)
Anno domini 1776 die vero 1. julii (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti sunt Josephus Buchmüller oriundus ex Sufflenheim cæmentarius et lapicidæ filius legitimus et majorennis joannis michaelis Buchmüller civis ibidem et margartithæ Wilhelm conjugum in parochia ad sanctum petrum seniorem commorans et Catharina Ehrhard oriunda ex Bersch filia minorennis defunctorum Laurentii Ehrhard civis olim ibidem et Magdalenæ Lehn conjugum in parochia hac commorans (signé) Frantz Joseph buchmüller, Catharina Ehrard (i 144)
1780, Protocole des Quinze (2 R 190)
Kostgänger Joseph Buchmüller schirmer und Maurergesell 209, R-36
Joseph Buchmüller meurt en 1785 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Fort. La masse propre à la veuve est de 193 livres, celle de l’héritier de 22 livres. L’actif de la communauté s’élève à 376 livres et le passif à 212 livres.
1785 (23.3.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 869) n° 343
Inventarium über Weil. des Ehrsamen Joseph Buchmüller, gewesenen Maurers-Gesellen und Schirmers alhier seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet in Anno 1775. – nach seinem Montag den 29.ten Martii des Verfloßenen 1784.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt welt genommenen tödlichen Hintritt nach sich verlaßen, Welche Vermögens-Nachlaßenschaft heutigem Zu End gesetztem dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgemelten des defuncti seel. ab intestato Zu Erben verlaßenen einigen Söhnleins Namens Joseph Friderich, so 8 Jahr alt, wie auch der Tugendsamen Fraun Catharinæ gebohrner Erhardin der hinterbliebenen Wittib selbsten, beiständ. des Ehr. Andreas Simon, des Zimmergesellen und Schürmers alhier (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ane der Burggaß gelegenen dießorts Zum theil Lehnungsweiß bewohnender Behaußung auf Mittwoch den 23.ten Martii Anno 1785.
Bericht Zu gegenwärtigem Inventario. Es haben Zwar beede nun Zertrennte Ehepersohnen den vorher copialiyer einverleibten Ehe Contract sub signatura provata unter sich errichtet, auch darinnen tacite ein unverändertes Gut und Ergäntzung stipulirt, aber nach beschehener Copulation der hinterbliebenen Wittib Declaration nach über die beeder seitige Illata kein Inventarium errichten laßen. Diesem Zufolge (…)
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib. Anfänglich Zufolg des von H. Simminger dem Stadtschreiber zu Börsch gefertigten Extractus aus der von Niclaus Korner dem Schuhmacher und burger Zu Börsch, als deroselben gewesenen Vogt am 9.ten Cbris 1777. abgelegt und Richterlich abgehörten Rechnung
(f° 7-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Hinterbliebenen Wittib unverändert Vermögen, Sa. Haußraths 2, Sa. der Ergäntzung 191, Summa summarum 193 lb
Dießemnach so wird auch des Kinds und Erben unverändert Vermögenschaft beschrieben, Sa. Kleÿdung 22 lb
Endlich so wird auch die gemein und theilbare Verlaßenschafft beschrieben, Sa. Haußraths 101, Sa. baarschafft 25, Sa. Schuld 250, Summa summarum 376 lb – Schulden 212 lb, Nach deren Abzug 163 lb – Beschluß Summa 379 lb
Eheberedung. (…) So geschehen Börsch den 27.ten Junii 1776
Codicilli nuncupativi. An heute den 13. Decembris Anno 1783. (…) erschienen persönlich Joseph Buchmüller der Maurers Gesell alhier wohnhaft – Lacombe Königlichener Notarius
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 359)
Anno Domini 1784 die 29 Martii Mortuus est Josephus Buchmüller tutelarius et cæmentarius hujas maritus superstitis Catharinæ Erhard annos 33 natus sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus et die subsequente a me infra Scripto sepulrus est in cœmeterio ad Stum Helenam hujus Parochiæ extra portem civitatis (i 184)
Marie Catherine Erhard meurt en 1818 en délaissant un fils de son premier mariage et un autre du deuxième.
1818 (27.2.), Strasbourg 7 (59), Not. Stoeber jeune n° 3598
Déclaration d’hérédité, inventaire de la succession de Marie Catherine née Ehrhard, veuve en premières noces de Joseph Buchmüller, maçon, femme en secondes noces d’André Simon, charpentier, décédée le 6 septembre dernier – dressé à la requête 1. du veuf, 2. de François Antoine Simon tanneur
la défunte laisse pour uniques héritiers 1. Joseph Frédéric Buchmüller cordonnier demeurant Soultz sous Forets, 2. ledit François Antoine Simon en secondes noces – mariés sans contrat de mariage longtemps avant la publication du Code Civil
immeubles, une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Ecrevisse n° 22, d’un côté Jacques Zehr cabaretier, d’autre le Sr Maehn boulanger, aboutissant à la maison ci après, acquise par les conjoints de Jean Bleydorn, menuisier et de Madeleine Goerger par acte reçu par M° Heus le 28 frimaire 3. Cette maison est occupée, savoir le rez de chaussée par Catherine Michel pour un loyer de 50 fr, le premier étage occupé par les déclarants 74 fr, le second étage par la veuve Kentzinger 38 fr, le troisième par Georges Huber 38 fr, au total 200 francs faisant en capital 4000 francs
une autre maison sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 6, d’un côté Henri Martin, de l’autre le Sr Renaud, devant la rue, derrière la maison précédente – acquise d’Antoine Linck et Elisabeth Linck les deux majeurs par acte sous seing privé le 18 mars 1812 enreg. le 18 juin 1812 f° 74 transcrit au bureau des hypothèques volume 67 n° 79 – occupée le rez de chaussée par la veuve Rodé pour 120 fr, le premier étage par la veuve Mechin 65 fr, le second par Dlle Ganter 65 fr, total 250 francs faisant en capital 5000 francs
mobilier 174 fr, garde robe 36 fr, ensemble 9000 fr, pas de passif
Enregistrement, acp 138 F° 31 du 6.3.
Joseph Frédéric Buchmüller cède le 2 octobre 1817 sa part d’héritage à son frère François Antoine Simon et à son beau-père André Simon (voir les actes ci-dessous) qui cèdent la cour commune entre la maison sise rue de l’Ecrevisse et celle rue de Schiltigheim lors de la vente de cette dernière.
1821 (22.9.), Strasbourg 8 (33), M° Roessel n° 8043
André Simon, charpentier, et François Antoine Simon son fils, tanneur
à Victor Mueth, sans état
une maison avec cour, aisances et dépendances situéé à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 6, entre Georges Leiblick sans état et Julien Renon cocher, derrière une maison appartenant aux vendeurs située rue de l’Ecrevisse n° 22 et Pierre Stephan boulanger – acquis par André Simon pendant la communauté avec Catherine Ehrhard d’Antoine et Elisabeth Linck par acte sous seing privé daté du 18 mars 1812 enregistré le 18 juin suivant j° 74 et déposé au rang des actes de M° Lex ledit jour 18 juin, transcrit au bureau des hypothèques volume 67 n° 79 – après le décès de Catherine Ehrhard le tiers qu’elle possédait est passé dans le patrimoine de ses deux fils François Antoine Simon et Joseph Frédéric Buchmüller, cordonnier à Soultz sous Forêts, ce dernier issu premier mariage avec Joseph Buchmüller, maçon à Strasbourg, suivant inventaire reçu Stoeber jeune notaire à Strasbourg le 27 février 1818, et transport reçu M° Knobloch le 2 octobre 1817 le Sr Buchmüller a cédé aux vendeurs tous ses droits pour 2000 francs
sous les conditions suivantes, 1. comme il existe entre la maison vendue et celle de la rue de l’Ecrevisse dont les vendeurs restent propriétaires une cour qui a été jusqu’ici commune aux deux maisons et comme cette cour se trouve comprise en la présente vente les Sr Simon s’obligent de faire murer à leurs frais la porte de derrière de leur maison qui sert à communiquer dans ladite cour afin que l’acquéreur puisse en jouir à son gré comme d’une propriété exclusive. 2. De son côté le Sr Mueth s’interdit de faire dans ladite cour aucune construction qui par sa trop grande proximité de la maison des Sr Simon puisse lui oter ou seulement diminuer le jour qu’elle reçoit de cette cour au moyen des fenêtres et ouvertures qui y sont pratiquées – moyennant 4000 francs
enreg. vol. 154 F° 51 du 24.9.
Le tanneur François Antoine Simon épouse en 1822 Catherine Ehret. Son père lui cède la moitié indivise des deux maisons lors du contrat de mariage. François Antoine Simon devient seul propriétaire de la maison rue de l’Ecrevisse à la mort de son père le 25 octobre 1826.
1822 (15.5.), Strasbourg 13 (38), M° Bremsinger n° 2373
Contrat de mariage – François Antoine Simon, tanneur, fils d’André Simon, charpentier, et de feu Catherine Ehrhard
Catherine Ehret, fille majeure de feu François Ehret et de Catherine Geyer
régime de communauté d’acquets partageable par moitié
art. 7, en considération du futur mariage, André Simon père constitue en dot à son fils François Antoine Simon, ce acceptant, et lui fait donation irrévocable par préciput et hors part de la moitié par indivise d’une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Ecrevisse n° 22 d’un côté le Sr Jacques Zehr cabaretier, d’autre le Sr Maehn boulanger, derrière maison rue de Schiltigheim n° 6. Le donateur se réserve l’usufruit et la jouissance viagère de cette moitié de maison. Le futur époux a recueilli le 6° indivis dans la succession de Marie Catherine née Ehrhard sa mère suivant inventaire reçu M° Stoeber le 27 février 1818, acquis un 12° de Joseph Frédéric Buchmüller, cordonnier à Soultz sous Forêts, par acte reçu M° Knobloch le 2 octobre 1817, en sorte que le futur époux est actuellement propriétaire des trois quarts de ladite maison, l’autre quart appartenant à son père, la totalité estimée à un revenu de 200 francs, faisant en capital 4000 fr – acquise suivant acte passé devant M° Heus le 29 frimaire 3
Enregistrement, acp 157 F° 158-v du 25.5.
François Antoine Simon et Catherine Ehret vendent par adjudication la maison au farinier Michel Gintz
1830 (29.7.), Strasbourg 7 (81), M° Stoeber n° 12.874
Cahier des Charges du 5 juillet n° 12.802 – Adjudication définitive sauf surmise n° 12.849 du 19 juillet – Adjudication définitive – François Antoine Simon, tanneur, et Catherine Ehret
à Michel Gintz, farinier pour 4300 francs
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Ecrevisse n° 22, d’un côté Louis Jacques Zehr cabaretier, d’autre le Sr Maehn boulanger, derrière la propriété du Sr Oberhey
Titres de propriété, acquis de ses père et mère André Simon, charpentier, et Catherine Ehrhard veuve en premières noces de Joseph Buchmüller, maçon, dont la communauté était régie par les statuts locaux, sur Jean Bleydorn, menuisier, et Madeleine Joerger, par acte reçu M° Heus le 29 frimaire 3. Le Sr Bleydorn l’avait acquis le 4 germinal 2 sur Georges Michel Hering, négociant. La D° Simon délaissa (1) Joseph Frédéric Buchmüller, (2) François Antoine Simon, suivant inventaire dressé par M° Knobloch le 2 octobre 1817. M Buchmüller vendit un 6° audit Simon son frère qui devint par la propriétaire de 3/12 de cette maison et son beau père André Simon 19/12. Par contrat de mariage des conjoints comparants reçu M° Bremsinger le 15 mai 1822 le père Simon donna à son fils la moitié de ladite maison à titre de donation par préciput et hors part, enfin par son décès arrivé le 25 octobre 1826 il a recueilli le quart restant, ledit contrat de mariage transcrit au bureau des hypothèques volume 157 n° 13. – Mise à prix 3000 fr
Enregistrement acp 200 (3 Q 29 915) f° 54-v (cahier des charges) – acp 200 (3 Q 29 915) f° 96
L’acquéreur doit être Michel Gintz, originaire de Mittelschæffolsheim, qui épouse en 1817 Anne Marie Jost, native de Flexbourg
Mariage, Strasbourg (n° 264)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 22 septembre 1817. Michel Gintz, majeur d’ans, né en légitime mariage de 15 août 1786 à Mittelschaeffolsheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Boulanger, fils de feu Joseph Gintz, cultivateur décédé à Mittelschaeffolsheim le 7 mars 1812, et de feu Marie Catherine Wendling, décédée ausit lieu le 4 novembre 1806, Anne Marie Jost, majeure d’ans, née en légitime mariage le 9 juin 1778 à Flexbourg (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille d’Hipolite Jost, vigneron à Flexbourg, ci présent et consentant, et de feu Anne Marie Stephan décédée dudit lieu le 12 frimaire an VI. (…) Premier témoin, Jacques Gintz, âgé de 48 ans, boulanger, oncle de l’époux, deuxième témoin François Antoine Jost, agé de 69 ans, farinier, oncle de l’épouse (signé) miahael Ginß, Anna Maria Jost (i 11)
Michel Gintz vend la maison au tailleur Chrétien Linden
1831 (8.5.), Strasbourg 3 (83), M° Schreider n° 4926
Christophe Frédéric Baer, passementier, mandataire de Michel Gintz, farinier
à Chrétien Linden, mre tailleur
une maison avec tous ses droits, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de l’Ecrevisse n° 22, d’un côté le Sr Zehr cabaretier, d’autre le Sr Maehn boulanger, derrière le Sr Oberhey -Etablissement de la propriété, acquis de François Antoine Simon, tanneur, et Catherine Ehret, suivant adjudication définitive reçue M° Stoeber le 29 juillet 1830 – moyennant 4300 francs
acp 204 (3 Q 29 919) f° 26-v du 18.5.
Originaire de Freistroff en Moselle, Chrétien Linden épouse en 1815 Marie Thérèse Hahn, native de Ribeauvillé
Mariage, Strasbourg (n° 448)
Acte de mariage célébré à l’Hôtel de ville à dix heures du matin le 4 décembre 1815. Chrétien Linden, mineur d’ans, né en légitime mariage le 31 mars 1791 à Freistroff, (Moselle) domicilié de droit audit lieu, tailleur, fils de Jacques Linden, tailleur à Freistroff et de feu Marguerite Carlheim décédée audit lieu le 12 octobre 1793, Marie Thérèse Hahn, majeure d’ans, née le 23 juin 1793 à Ribeauvillé (haut-Rhin= domiciliée à Strasbourg, fille de Xavier Hahn, charpentier à Ribeauvillé, et de Marie Monique Hammann (…) premier témoin, Antoine Linden, âgé de 38 ans, propriétaire, frère de l’époux (signé) christian Linden, Marie Louise hahn (i 29)
Marie Thérèse Hahn meurt le 28 février 1871 après avoir institué son neveu Victor Morro légataire universel et son mari usufruitier de ses biens
1871, M° Victor Holtzapffel
31 Oktober 1870. Testament von Maria Theresia Hahn Ehefrau von Christian Linden, Schneider in Straßburg wohnhaft durch welches sie ihrem Neffen Victor Morro, Schneider in Straßburg ihren gantzen Nachlass vor Eigenthum vermacht und ihrem Gatten die lebenlängliche Nutzniesung ihres samtliches Vermögens – gestorben den 28 februar 1871
acp 597 (3 Q 30 312) f° 79 du 24.3. (Sterbefall erklärt den 28. Juli 1871)
Décès, Strasbourg (n° 338)
Acte de décès. Le 28 janvier 1871 ont comparu Victor Morro âgé de 36 ans, tailleur, neveu de la défunte, domicilié à Strasbourg et Bernard Linden, restaurateur, neveu de la défunte, domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Marie Thérèse Hahn, âgée de 78 ans, née à Ribeauvillé (Hau-Rhin) épouse de Chrétien Linden, rentier domicilié à Strasbourg fille de feu Xavier Hahn, Charpentiern et de feu Marie Monique Hamann est décédée le 28 janvier 1871 à deux heures du soir en la maison rue du Dôme 17 (i 86)
Chrétien Linden meurt le 29 juillet 1871 à Bischheim après avoir institué son neveu Victor Morro légataire universel de ses biens
1871 (14.8.), M° Victor Holtzapffel
acp 596 (3 Q 30 311) f° 134-v n° 1435 du 17.8.
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments von Christian Lindner, Schneider in Straßburg, heute registrirt
acp 596 (3 Q 30 311) f° 159 n° 1704 du 24.9. – Den 16 September, Hinterlegung des eigenhändigen Testaments vom 1. Mai 1870, heute registrirt
acp 596 (3 Q 30 311) f° 172 du 6.10. – den 6. Oktober. Notorietäts Aktt bestätigennn daß Christian Linder in Straßburg den 29. Juli 1871 verstorben ist
Enregistrement de Strasbourg, ssp 155 (3 Q 31 654) 87 du 20.9. (Erkl. am 17/1 72 Bd. 111 f° 15)
1 mai 1870, Testament – Ich vermache meiner Ehefrau die Nutzniesung meines Nachlasses und setze meinen Neffen Hyppolit Moro als Erben ein. Christian Linden unterschrieben
15. Januar 1872 – Hinterlegung von einer Ordonnantz vom Praesidenten des Civil gerichts von Straßburg, durch welche Victor Morro, Schneider in Straßburg als Erbe von Christian Linden in Straßburg gestorben eingesetzt wurde.
acp 601 (3 Q 30 316) f° 54-v du 17.1.
Décès, Bischheim (n° 127)
Le 29 juillet 1871. Acte de décès de Linden Chrétien âgé de 80 ans décédé à Bischheim le 29 juillet 1871 à mars heures du matin, tailleur né à Freistroff, département du Bas-Rhin, domicilié à Strasbourg veuf de Hahn Marie Thérèse, fils légitime de feu Linden Jacques en son vivant propriétaire audit freistroff et de feu Carlheim Marguerite en son vivant domiciliée à Freistroff. Sur la déclaration à nous faite par Morro Victor âgé de 37 ans, maître tailleur domicilié à Strasbourg, neveu du défunt et de Morro Eugène, âgé de 44 ans tailleur domicilié à Strasbourg, neveu du défunt (i 41)
Inventaire dressé après la mort de Chrétien Linden
1871 (7.10.), M° Holtzapffel
Inventar des Nachlaßes von Christian Linden, Schneider in Straßburg den 29. Juli 1871 in Bischheim gestorben, errichten von Victor Morro, Schneider in Straßburg, universal Erbe nach eigenhändigen Testament vom 28. April 1871 den 17. August registrirt
acp 600 (3 Q 30 315) f° 94-v du 14.10. (Sterbefall erklärt den 17. Januar 72) Mobilien 1545
acp 602 (3 Q 30 317) f° 61 du 17.1. Fortsetzung vom 15 Januar – Schuldschein 20.000, verfallene Pension 20
Chrétien Linden et Marie Thérèse Hahn vendent la maison à Georges Wilt, pensionnaire de l’état et concierge à la caserne de Sainte-Marguerite
1843 (10.2.), Strasbourg 3 (88), M° Burtz n° 228
Vente – Ont comparu le S. Chrétien Linden maître tailleur et D° Marie Thérèse Hahn son épouse qu’il autorise aux effets ci après, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels ont vendu par les présentes
au S. Georges Wilt, pensionnaire de l’état, concierge à la caserne de Ste Marguerithe au faubourg national demeurant en cette conciergerie en la ville de Strasbourg
Une maison avec droits et dépendances située à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 22 tenant d’un côté au S. Füllhardt autrefois le Sr Maehn, de l’autre à la veuve Raff précédemment le Sr Zehr, devant à la rue et derrière à M. Goupon, capitaine en retraite en place du Sr Oberhey.
Etablissement de la propriété. Les vendeurs déclarent que cette maison est devenue leur parfaire propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite du Sr Michel Gintz, farinier demeurant à Strasbourg au termes d’un contrat de vente passé devant M° Schreider notaire à Strasbourg le 8 mai 1831 & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg volumele 19 du même mois vol. 245 N° 43. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 4300 francs que l’acquéreur a par le même contrat payé en entier (…). Le Sr Gintz était propriétaire de l’immeuble pour l’adjudication que lui en ont consentie le S François Antoine Simon, tanneur, et D° Catherine Ehret sa femme de Strasbourg pour le même prix de 4300 francs (…) La même maison appartenait aux conjoints Simon de la manière qu’on le dira plus bas et avant eux le S. André Simon, charpentier et D° Catherine Ehrhard, sa femme et veuve en premières noces du Sr Joseph Buchmüller de Strasbourg père et mère du mari, l’avaient acquis du Sr Jean Bleydorn menuisier et D° Madeleine Georger conjoints de Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Heus, notaire à Strasbourg le 29 frimaire an III. Cette acquisition eut lieu durant la communauté de biens des acquéreurs régie les les statuts d’Alsace d’après lesquels deux tiers en reviennent au mari et un tiers la femme. Cette dame décédée le 6 septembre 1817 laissant d’après une déclaration d’hérédité reçue par le notaire Stoeber le 27 février 1818 pour ses seuls héritiers le Sr Frédéric Buchmüller, son enfant du premier lit et le S’ François Antoine Simon, nommé ci-dessus et né de son second mariage. Son tiers de maison se divisa par égales portions entre ces deux héritiers qui eutent de la sorte chacun un 6° ou deux 12° de la totalité. Le Sr Buchmüller vendit sa part à son frère et à son beau-père par moitié entre eux, en vertu d’un contrat passé devant M° Knobloch notaire à Strasbourg le 2 octobre 1817 et à ce moyen le frère se trouva posséder trois 12° et le Sr Simon père les neuf autres 12° (…) Enfin par le contrat de mariage du Sr Simon fils passé devant M° Bremsinger notaire à Strasbourg le 15 mai 1822 et transcrit le 14 juin suivant vol. 151 N° 13, son père lui fit donation de six des neuf 12° qu’il possédait de la maison ou de la moitié de cet immeuble et après le décès du même arrivé le 25 octobre 1826 le fils, en sa qualité de seul et unique héritiern recueillit dans sa succession les trois derniers 12° qui étaent restés au défunt. – Prix, 4000 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 3-v
Originaire de Lauterbourg, Georges Wild épouse en 1818 Susanne Mechain, veuve de Jean Baptiste Diélaine
Mariage, Strasbourg (n° 338)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 8 octobre 1818, Georges Wild, majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 septembre 1787 à Lauterbourg (Bas-Rhin) domicilié de droit audit lieu, Gendarme roïal à cheval, proposé pour la retraite, fils de feu Martin Wild, menuisier décédé à Lauterbourg le 13 février 1810 et d’Elisabeth Schoenagel, Susanne Mechain, majeure d’ans, née en légitime mariage le 20 septembre 1784 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, veuve de Jean Baptiste Diélaine, brigadier commandant la Gendarmerie roïale de Lauterbourg, décédé à Scheibenhard (Bas-Rhin) le 2 novembre 1815, fille de feu Antoine Mechain, scieur de long à Strasbourg et de Thérèse Matzenmüller (signé) Georg Wild, Susanne Mechain (i 24)
Originaire de Fréland dans le Haut-Rhin, le gendarme Jean Baptiste Dielaine épouse en 1807 Susanne Mechain
Mariage, Strasbourg (n° 119 f° 61)
L’an 1807 le 18° jour du mois d’avril (…) Jean Baptiste Dielaine, âgé de 30 ans, gendarme de la gendarmerie impériale du Département du haut-Rhin détaché pour le service près le dépôt des conscrits réfractaires établi en la Citadelle de cette ville depuis 3 ans, né à Fréland Département susdit le 22 avril 1776, y domicilié de droit, majeur, fils de Joseph Dielaine, propriétaire audit lieu, consentant (…) et de feu Marie Petit Demangé décédée à Fréland le 6 Floréal en VI (…) et Susanne Mechain, âgée de 22 ans, née en cette ville le 20 septembre 1784, y domiciliée, majeure, fille de feu Antoine mechain, scieur e long décédé en cette ville le 4 Fructidor en V et de Thérèse matzenmüller, ci présente et consentante (signé) Jean Baptiste Dielaine, Susanne Mechain (i 26)
Décès, Scheibenhard (n° 19)
Déclaration de décès faite le 2 du mois de novembre 1815, Jean Baptiste Dielain, âge de 39 ans, né à frelin département du haut rhin, Brigadier commandant la gendarmerie Royale de Lauterbourg, mort en cette mairie le deux présent du mois de novembre à sept hueres du matin dans la maison de Jean fischer Cabaretier (i 7)
1840 (2.11.) Strasbourg, M° Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Consentement par Suzanne Mechaine femme de Georges Wild, au mariage de Louis Alexandre Dielaine, fourrier au troisième de cuirassiers à Provins son fils issu d’un premier mariage
Enregistrement, acp 282 F° 65-v du 3.11.
Georges Wilt et Suzanne Mechain hypothèquent la maison au profit de Marguerite Salomé Schnell veuve du tourneur Daniel Kayser
1846 (8.7.), Strasbourg 3 (91), Not. Burtz n° 755
Obligation – Ont comparu le S. Georges Wilt, pensionnaire de l’état, concierge à la caserne de Ste Marguerithe au faubourg national à Strasbourg, et D° Suzanne Mechin, sa femme qu’il autorise aux effets ci après, demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir légitimement
à D° Marguerite Salomé Schnell veuve du Sr Daniel Kayser, tourneur demeurant à Strasbourg rue du maroqusin N° 32, la somme de 1000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèquent, Une maison avec droits et dépendances située à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 22 tenant d’un côté au Sr Füllhardt, de l’autre à la veuve Raff, devant à la rue et derrière à M. Goupon, capitaine en retraite.
Etablissement de la propriété. Les emprunteurs déclarent que cette maison est devenue leur pleine et entière propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite du Sr Chrétien Linden, maître tailleur et D° Marie Thérèse Hahn, conjoints de Strasbourg pour le prix de 4000 francs suivant contrat reçu par M° Burtz notaire soussigné le 10 février 1843 qui porte quittance pleine et entière du prix et dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 du même mois vol. 397 N° 67. (…) Le Sr Linden avait acquis l’immeuble du S. Michel Gintz, farinier demeurant à Strasbourg au termes d’un contrat de vente passé devant M° Schreider notaire à Strasbourg le 8 mai 1831 et transcrit le 19 du même mois vol. 245 N° 43. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 4300 francs que l’acquéreur a par le même contrat payé en entier (…). Le Sr Gintz était propriétaire de l’immeuble pour l’adjudication que lui en avaient consentie le S François Antoine Simon, tanneur, et D° Catherine Ehret sa femme de Strasbourg pour le même prix de 4300 francs (…) L’immeuble appartenait aux conjoints Simon ainsi qu’on le dira plus bas et avant eux le S André Simon, charpentier et D° Catherine Ehrhard, sa femme veuve en premières noces du Sr Joseph Buchmüller de Strasbourg père et mère du mari, l’avaient acquis du Sr Jean Bleydorn menuisier et D° Madeleine Georger conjoints de Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Heus, notaire à Strasbourg le 29 frimaire an III. Cette acquisition eut lieu durant la communauté de biens des acquéreurs régie les les statuts d’Alsace d’après lesquels deux tiers en reviennent au mari et un tiers la femme. Cette dame décédée le 6 septembre 1817 laissant d’après une déclaration d’hérédité reçue par le notaire Stoeber le 27 février 1818 pour ses seuls héritiers le Sr Frédéric Buchmüller, son enfant du premier lit et le S’ François Antoine Simon, nommé ci-dessus et né de son second mariage. Son tiers de maison se divisa par égales portions entre ces deux héritiers qui eutent de la sorte chacun un 6° ou deux 12° de la totalité. Le Sr Buchmüller vendit sa part à son frère et à son beau-père par moitié entre eux, en vertu d’un contrat passé devant M° Knobloch notaire à Strasbourg le 2 octobre 1717 et à ce moyen le frère se trouva posséder trois 12° et le Sr Simon père les neuf autres 12° (…) Enfin par le contrat de mariage du Sr Simon fils passé devant M° Bremsinger notaire à Strasbourg le 15 mai 1822 et transcrit le 14 juin suivant vol. 151 N° 13, son père lui fit donation de six des neuf 12° qu’il possédait de la maison ou de la moitié de cet immeuble et après le décès du même arrivé le 25 octobre 1826 le fils, en sa qualité de seul et unique héritiern recueillit dans sa succession les trois derniers 12° qui étaent restés au défunt.
Les comparans déclarent que l’immeuble de la propriété duquel il vient d’être rendu compte sert présentement de gage avec d’autres biens à une obligation de 3000 francs souscrite par les Sr et D° Hintermeyer de Lauterbourg au profit de Mad° Weigel de Strasbourg (…)
1848 (30.12.), M° Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Consentement par Georges Wild pensionnaire de l’Etat et Susanne Mechain conjoints à Strasbourg au mariage de leur fils Georges Eugène Michel Wild tapissier à Metz avec telle personne qu’il choisira
acp 378 (3 Q 30 093) f° 27-v du 2.1.1849
Georges Wilt et Suzanne Mechain hypothèquent la maison au profit du maraîcher Daniel Friedolsheim
1849 (16.2.), Strasbourg 13 (63), Not. Flach f° 79
Obligation – Ont comparu M. Georges Wilt, pensionnaire de l’Etat, concierge à la caserne de Ste Marguerithe au faubourg national, et D° Suéanne Maechen, sa femme de lui duement autorisée à l’effet des présentes, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par les présentes déclaré et reconnu devoir
à M. Daniel Friedolsheim, jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme de 1000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèquent, Une maison avec droits et dépendances située à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 22 tenant d’un côté au Sr Füllhardt, autrefois le Sr Martin de l’autre à la veuve Raff, précédemment le Sr Zehr devant à la rue et derrière à M. Poupon, capitaine en place du Sr. Oberley. (Les débiteurs) déclarent sous les peines de droit qu’ils sont propriétaires du dit immeuble pour avoir été acquis du Sr Chrétien Linden, maître tailleur et Marie Thérèse Hahn, conjoints en cette ville en conformité d’un contrat de vente reçu par M° Burtz Notaire en cette ville le 10 février 1843 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 du même mois volume 397 N° 67, ils déclarent en outre que ladite maison avec dépendances est franche et quitte de toutes dettes, hypothèques, privilèges, à l’exception, d’une somme de 3000 francs dont elle est hypothécairement grevée au profit de Mad. veuve Weigel de cette ville en vertu d’un acte passé devant ledit notaire Burtz le 7 novembre 1843
Georges Wilt meurt en 1858 en délaissant une fille et une petite-fille
1858 (29. Xbr), Strasbourg 3 (101), Not. Burtz n° 4786
Inventaire après le décès du Sr Georges Wilt, concierge à la Caserne Ste Marguerite
Cejourd’hui mercredi 29 décembre 1858, à onze heures du matin, à la requête et en présence 1° de D° Susanne Mechin veuve du Sr Georges Wilt, pensionnaire de l’Etat, Concierge à la caserne de Ste Marguerite au faubourg national de Strasbourg Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, agissant en son nom personnel à cause de la communauté légale qui, à défaut de contrat de mariage, a existé entr’elle et son mari défunt, que comme usufruitière de la moitié de la succession du même défunt en vertu d’un acte de donation entre époux reçu par M° Burtz le 8 juin 1846
2° & de Madlle Antoinette Pauline Wilt, majeure demeurant à Strasbourg avec ladite Dame sa mère, 3° et de M Alphonse Joseph Hoummel, typographe, demeurant en la même ville, ce dernier agissant au nom et comme mandataire de spécial du Sr René Adolphe Renard, chef armurier au 88° régiment de ligne en garnison à Dellys province d’Alger, domicilié à Strasbourg (…) au nom et comme et tuteur de ses trois enfants encore mineurs nés de son mariage avec D° Joséphine Wilt décédée à Strasbourg le 10 avril de la présente année, savoir 1° Adolphine Maria Adrienne Renard, née le 21 juillet 1847, 2. Marie Louise Renard née le 2 décembre 1852, 3° et Charles Adolphe né le 14 août 1855, Mlle Antoinette Pauline Wilt et ces trois mineurs par représentation de leur mère, habiles à se dire et porter seuls héritiers, la première pour moitié et les mineurs pour l’autre moitié de la succession du Sr Georges Wilt, cidessus nommé, leur père et grand père décédé à Strasbourg le 15 septembre dernier
Et encore en présence de M. Victor Nicolas Hummel, typographe demeurant aussi à Strasbourg ce dernier agissant comme subrogé tuteur des trois mineurs (…)
le tout trouvé en leur demeure dans la Caserne de Ste Marguerite
Donation entre époux – Pension militaire du défunt de 251 francs – Traitement de légion d’honneur
Maison. Une expédition d’un contrat passé devant M° Burtz notaire soussigné le 10 février 1843, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 du même mois Vol. 397 N° 67 et contenant vente au profit du défunt par le Sr Chrétien Linden, maître tailleur et D° Marie Thérèse Hahn conjoints demeurant à Strasbourg, d’une maison avec dépendances située en la même ville rue de l’Ecrevisse N° 22 pour le prix de 4000 francs payé comptant
acp 475 (3 Q 30 190) f° 3-v du 30. Xbr (succession déclarée le 20 janvier 1859) Communauté, un mobilier estimé 246, arrérages de pension et de légion, mémoire
Succession, une maison rue de l’Ecrevisse N° 22, garde robe 200
Registre de population 600 MW 27 (1815 sqq) Rue Ste aurélie suite du N° 9, hôpital de la Marguerite, f° 17.b (i 24)
Wild, Georges, 1786, Gendarme retraité, M. Lauterbourg, (auparavant) rue du Fort 17, (entré) sept. 34
id. née Mechain, Susanne, 1785, Ep. Strasbourg
id. Pauline Antoinette, 1819, Enf. Strasbourg
id. Josephine 1821, Enf. Strasbourg
id. Georges Eugène Michel 1823, Enf. Strasbourg
Susanne Mechain meurt en 1865 en délaissant une fille de son premier mariage, une fille et une petite-fille du deuxième
1865 (31.10.), M° Victor Nœtinger
Inventaire de la succession délaissée par Susanne Mechain, veuve en premières noces de Jean Baptiste Dielaine et en secondes noces de Georges Wild, pensionnaires de l’Etat, décédée à Strasbourg le 20 octobre 1865, à la requête de 1° Thérèse Mélanie Dielaine épouse de François Joseph Charles Wolff, compositeur d’imprimerie à Strasbourg,
2° Antoinette Pauline Wilt, débitante de tabac à Strasbourg, 3° René Adolphe Renard, chef armurier en retraite à Charleville, comme père et tuteur de Marie Adolphine Adrienne Renard, Marie Louise Joséphine Renard et Adolphe Charles Renard [ses enfants issus de son mariage avec Joséphine Wilt sa femme]
acp 547 (3 Q 30 262) f° 58 du 6.11. (succession déclarée le 1° mars 1866)
Il dépend de ladite succession un mobilier estimé 71, argent comptant 110, arrérages de pension 9, garde robe 87
la moitié d’une maison sise à Strasbourg rue de l’écrevisse n° 22, masse pour 4373
Liquidation des successions ci-dessus
1866 (14.2.), M° Victor Noetinger
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre entre Georges Wild, vivant pensionnaires de l’Etat, et Susanne Méchain sa femme à Strasbourg, 2) de la succession du Sr Wilt décédé le 15 7.bre 1858, 3) de la succession de la De Wilt décédée le 20 octobre 1865, 4) Marie Adolphine Adrienne Renard décédée le 30 décembre 1865
Entre 1° Thérèse Mélanie Dielaine épouse de François Joseph Charles Wolff, compositeur d’imprimerie à Strasbourg, 2° Antoinette Pauline Wilt, débitante de tabac à Strasbourg, 3° René Adolphe Renard, chef armurier en retraite à Charleville, comme père et tuteur de, Marie Louise Joséphine Renard et Adolphe Auguste Charles Renard issus du mariage avec Joséphine Wilt
acp 552 (3 Q 30 267) f° 13-v du 21.2. (succession déclarée le le 20 janvier 1859, 1 mars 1866) Communauté, mobilier vendu 378, loyer 114, prix de la maison vendue 5122 (total) 5608 – Masse passive 1413 (reste) 4195
Succession du Sr Wild, Masse active, moitié de la communauté 2097, à déduire frais d’actes 28 (reste) 2069
Succession de la D° Wilt, moitié de la communauté 2097, argent 110, arrérages de pension 7 (total) 2216 – Masse passive 320 (reste) 1896, le ? 632
Attributions (…)
Les héritiers vendent la maison à Jacques Ziegel
1866 (9.1.), M° Victor Noetinger
13 décembre 1865 – Cahier des charges pour parvenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue de l’Ecrevisse n° 17 – Dépôt dudit cahier des charges
acp 548 (3 Q 30 263) f° 97-v du 18.12.
9 janvier 1866 – Adjudication définitive d’une maison sise à Strasbourg rue de l’Ecrevisse n° 17, à la requête de 1) Thérèse Mélanie Dielaine épouse de François Joseph Charles Wolff, compositeur d’imprimerie à Strasbourg, enfant du premier lit,
2) Antoinette Pauline Wilt, débitante de tabac à Strasbourg, 3) Pierre Adolphe Renard, chef armurier en retraite à Charleville, en qualité de tuteur de Marie Adolphine Adrienne mais décédée le 30 décembre dernier, Marie Louise Joséphine et Adolphe Charles Renard ses enfants issus de son mariage avec Joséphine Wilt sa femme
au profit de Jacques Ziegel, fabricant de pain d’Epice à Strasbourg
moyennant 5400 francs
acp 549 (3 Q 30 264) f° 99-v du 16.1. (succession déclarée le 1° mars 1866 de la V° Wilt)
Le cordonnier Jacques Ziegel épouse en 1862 Frédérique Catherine Horsch
Mariage, Strasbourg (n° 120)
Du 22° jour du mois de mars l’an 1862 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jacques Ziegel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 21 avril 1835 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, cordonnier et militaire de la réserve, fils de feu Jean Jacques Ziegel, cordonnier décédé à Strasbourg le 16 novembre 1858, et de Christine Kurtz, sans profession, domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante, Frédérique Catherine Horsch, majeure d’ans, née en légitime mariage le premier juillet 1837 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, couturière, fille de Daniel Henri Horsch, ouvrier charpentier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant, et de feu Marie Catherine Roth, décédée à Strasbourg le 27 décembre 1841 (…) il n’a pas été faitt de contrat de mariage. Et aussitôt lesdits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Marie Frédérique Horsch née d’eux à Strasbourg le 11 juin 1860 et inscrite le 12 du même mois dans les registres de l’état civil de cette ville (i 25)
Jacques Ziegel est fils et unique héritier de ses parents Jacques Ziegel et Christine Kurtz
1866 (28.2.), Strasbourg 4 (123), Not. Lauth n° 11.709
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu M. Jacques Ziegel, cordonnier, et Dame Christine Kurtz, conjoints domiciliés à Strasbourg er savoir qu’ils sont décédés à leur domicile, savoir le mari le 11 novembre 1858 et la femme le 10 janvier 1862, qu’après leur décès il n’a point été fait d’inventaire et qu’ils ont laissé pour leur seul et unique héritier M. Jacques Ziegel, cordonnier, demeurant et domicilié à Strasbourg leur fils
acp 552 (3 Q 30 267) f° 48-v du 5.3.
1875 (14.11.), M° Metz
14. November 1875. Schenkung – wodurch Catherine Horsch Ehefrau von Jacob Ziegel, Schuster, beide in Straßburg wohnhaft, ihrem genannten Ehemann ihr sämtliches Vermögen geschenckt hat (tod, 18 Januar 1878)
acp 676 (3 Q 30 391) f° 79-v du 3.4.1878
Frédérique Catherine Horsch meurt en 1878 en délaissant cinq enfants
1878 (4.4.), M° Constant Schmitz
Erbverzeichnis über dem Nachlaß von Friederike Catharina Horsch, lebend Ehefrau von Jacob Ziegel, Schuhmacher verstorben am 18. Januar 1878 auf Ansuchen von Jakob Ziegel, obgenannt, handelnd a) eigenen Namens, der Gütergemeinschaft wegen und als Schenknehmer der Nutznießung der Hälfte des Nachlasses seiner verstorbenen Ehefrau laut Schenkung vor Notar Metz vom 14. November 1875, b) als gesetzlicher Vormund seiner minderjährigen Kinder, nämlich 1) Sophie Christine, 2) Jacob Carl, 3) August Alfred, 4) Mathilde, 5) August Karl Ziegel, Erbe je zu 1/5
Mobilien geschätzt zu M. 181, 2) Ausstandt (Sparkassenbuch) 2
3) Liegenschaften Ein kleines Wohnhaus in der Krebsgasse N° 17
alles der Gütergemeinschaft gehörig
der Wittwer bespricht an Ersatz forderungen welche gehörig justificirt sind 800
Nachlass, Kleider geschätzt zuM. 18
acp 676 (3 Q 30 391) f° 84 n° 1214 du 5.4. (Tab. Bd. 64 Bl. 60 N° 13 – Stb. Erk. Bd. 126 N° 179)
Registre de population 600 MW 117, Rue de l’écrevisse 17 (62 sqq) i 65
Ziegel, Jacques, Strasbourg, 1835, (culte) P, français, (à Strasbourg) de rechef depuis 2 8.bre 1859, mariés le 22 mars 1862
id. née Horsch, Frédérique Catherine, id. 1837, luthérienne, française, (à Strasbourg) dsn
id. Marie Frédérique, id, 11 juin 1860 leur fille, français, légitimée le 22 mars 1862
Rue Graumann 6, délogé 25 8.bre 64
r. du faub. de pierres 30, dél. 10 avril 1866
r. de l’écrevisse 17
Jacques Ziegel meurt à l’hôpital civil le 11 décembre 1902
Décès, Strasbourg (n° 2954)
Strassburg am 12. Dezember 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute Joseph Epithalbre, Beamter im Civilhospital, wohnhaft in Straßburg Spitalplatz 1, und zeigte an, daß der gewerblose Jakob Ziegel, 67 Jahre 7 Monate alt, evangelischer Religion, geboren zu Strassburg, Wittwer von Friederika geborner Horsch, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Jakob Ziegel, Schuhmacher und Christine geborner Kurtz, zuletzt wohnhaft gewesen zu Strassburg im Civilspital am 11. Dezember des Jahres 1902 Nachmittags um 10 Uhr verstorben sei (i 179)
Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1904, le tailleur Georges Schweisberger, originaire de Wimmenau, épouse en 1884 Elisabeth Groth, originaire de Kork près de Kehl
Mariage, Strasbourg (n° 553)
Strassburg am 13. September 1884 Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schneider Georg Schweisberger, evangelischer Religion, geboren den 17. Dezember des Jahres 1860 zu Wimmenau (Unter Elsass) wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des tagners Christian Schweisberger wohnhaft zu Wimmenau und der verstorbenen Elisabeth Weissmüller wohnhaft zuletzt zu Wimmenau, 2. die Elisabeth Groth, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 7. März des Jahres 1857 zu Kork (Baden) wohnhaft zu Kork, Tochter des Maurers Jakob Groth und dessen Ehefrau Elisabeth Hirth, beide wohnhaft zu Kork (i 31)