4, rue des Aveugles (ancien n° 11)
Rue des Aveugles n° 4 – IV 88 (Blondel), P 693 puis section 58 parcelle 104 (cadastre)
Maîtres d’ouvrage (anciens n° 8 et 11), Charles Edmond et Joseph Ernest Mœbs – architectes Edmond et Camille Rudloff, 1911
Le n° 4 en juin 2018. L’ancien n° 9 se trouvait à l’avant, l’ancien n° 11 à l’arrière de l’image
Elévations des 4 et 6 rue des Aveugles lors de la réhabilitation de 1984,
(dossier de la Police du Bâtiment)
La petite maison, située à l’arrière de celle qui forme l’angle oriental de la Grand rue et de la rue des Aveugles, appartient au XVII° siècle à des artisans, le tailleur Jean Büchner, le vitrier Gabriel Waldmann puis le tailleur Jean Jacques Herberling qui devient en 1642 messager municipal. La veuve de Matthieu Baumann acquiert le domaine direct du chapitre Saint-Thomas ; la maison reste grevée à son profit d’un chapon et d’un florin de rente foncière. Le charretier Daniel Hœltzel réunit un temps (1697-1701) la maison à celle qui forme l’angle de la Grand rue. Le paveur Jean Siegfried acquiert l’immeuble dans la faillite du pelletier David Dambach. Sa veuve transforme la maison en 1746 en la réparant et en y ajoutant un nouveau logement. Les bâtiments sont estimés à environ 200 livres tout au long du XVIII° siècle.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cours A’ et C’, îlot 146 (© Musée des Plans-relief)
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment dont le rez-de-chaussée et le premier étage sont en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve à droite du repère (z) : deux portes séparées par une fenêtre, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour (A’) représente l’arrière (1-4) du bâtiment sur rue et le bâtiment arrière (2-3) dont le côté sud (1-2) donne dans la cour (C’).
La maison porte d’abord le n° 22 (1784-1857) puis le n° 11. Suite à la Grande percée, elle porte ensuite le n° 4 après avoir été réunie au n° 9.
1911. Façade sur rue et façade sur cour (l’étage un moment supprimé est barré)
Plan des propriétés Mœbs rue des Aveugles et Grand rue (dossier de la Police du Bâtiment)
On constate début 1903 que le mur présente des fissures qui ne s’élargissent pas les mois suivants. Les entrepreneurs Mœbs font démolir en 1911 la maison voisine (n° 9) pour la faire reconstruire sous la direction des architectes Edmond et Camille Rudloff. Comme la partie inférieure du pignon du n° 11 dégagé présente des pans de bois pourris, ils achètent la maison et modifient leur projet pour construire un nouveau bâtiment à la place des anciens 9 et 11. Les propriétaires sont autorisés en juillet 1911 à construire un bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce en obtenant une dérogation pour construire un bâtiment arrière à 3,75 mètres du bâtiment avant. Un avenant accordé en octobre 1911 permet de construire l’étage d’abord supprimé pour tenir compte de la largeur réelle de la rue. Le gros œuvre est terminé en novembre.
François Trau fait réhabiliter le bâtiment en 1984 sous la direction de l’architecte Gérard Ecklé. Le quatrième étage est transformé en deux appartements dont les jours sont agrandis.
décembre 2018
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1615 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Jean Büchner, tailleur, et (1604) Susanne Kleindienst – luthériens | ||
1622 | v | Barthélemy Ostermeyer, employé de moulin, et (1612) Ursule Bader – luthériens |
1625 | h | Martin Rapp, charretier, et (1625) Ursule Bader veuve de Barthélemy Ostermeyer – luthériens |
1631* | adj | Jean Büchner, supra |
1632 | v | Gabriel Waldmann, vitrier, et (1621) Félicité Sultzer – luthériens |
1644 | v | Jean Georges Weiss, trompette, et Anne Madeleine Wild – luthériens |
1649 | v | Jean Jacques Herberling, tailleur puis messager, et (1629) Rosine Trenner puis (1658) Marie Uffhauser – luthériens |
1675 | h | Matthieu Baumann, tisserand, et (1666) Marie Uffhauser veuve de Jean Jacques Herberling puis (1676) Anne Marie Haag – luthériens |
1697 | v | Daniel Hœltzel, charretier, et (1676) Marguerite Mussler, veuve de Michel Vetter, puis (1689) Anne Scheer, veuve du ramoneur Jean Oswald Farrenschon et du boulanger Paul Weinschenck – luthériens |
1701 | v | David Dannbach, pelletier, et (1697) Madeleine Spangenberg puis (1709) Marie Elisabeth Wagenmann – luthériens |
1731 | adj | Jean Siegfried, paveur, et (1714) Anne Susanne Lemorm – luthériens |
1744 | h | Jean Jacques Braun, boulanger, et (1724) Anne Barbe Vogel puis (1744) Anne Susanne Lemorm veuve de Jean Siegfried – luthériens |
1761 | h | Jean Chrétien Eger, ferblantier, et (1754) Catherine Salomé Siegfried puis (1778) Anne Elisabeth Scharbach, veuve du tisserand André Grohberger – luthériens |
1802 | h | Frédérique Salomé, femme (1789) du tailleur de limes Jean Georges Rœmer, (1812) du capitaine Jacques Bosshart puis (1821) du tricoteur de bas Henri Klein |
1843 | v | André Ebel, limonadier, et (1845) Anne Marie Waag |
1863 | v | Georges Mœbs, cordeur de bois, et (1836) Christine Grusenmeyer |
Samuel Levy, négociant | ||
1899* | v | Jean Joseph, peintre, et Maria Grépin |
1909* | v | Eugénie Gauly, modiste |
1911* | Charles Edouard Mœbs et copropriétaires | |
1951* | Roger Mœbs, installeur à Neudorf et son épouse et copropriétaires |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1708, 200 livres en 1760 et en 1777
(1765, Liste Blondel) IV 88, Jean Chretien Eger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Höcher, 3 toises, 4 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 693, Sieffert, Henri, veuve du tourneur – maison, sol – 0,63 are / Ebel / Klein Henri propriétaire
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue des Aveugles
nouveau N° / ancien N° : 4 / 22
Egerd
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 173 case 4
Ebel, André
P 693, maison, sol, rue des aveugles 22
Contenance : 0,63
Revenu total : 68,33 (68 et 0,33
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 856 case 2
Ebel, André
1864, Moebs Georges
Levy, Samuel, Handelsmann
1899/1900 Joseph, Johann Malermeister u. Ehefr. Maria geb. Grépin in GG
1909 Gauly Eugenie, Modistin
(ancien f° 604)
P 693, maison, sol, Rue des Aveugles 11
Contenance : 0,63
Revenu total : 68,33 (68 et 0,33
Folio de provenance : (173)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5
Cadastre allemand, registre 31 p. 341 case 4
Case biffée, report à la case 3 – Les surfaces détachées au folio 342 case 1 sont réunies du 43, Grand rue
Parcelle, section 58, n° 104 – autrefois P 693
Canton : Blindengasse Hs N° 11 – 191/02, 204/12
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,59 – 0,97 – 0,99
Revenu : 600 – 800 – 1100
Remarques : 1912 Zug. S 342 F 1 – 1912 Zug. S 342 F 1 – 1912 Ab. F 3
(Propriétaire), compte 2225
Gauly Eugenie
1921 Kuhn Louis Fahrradhändler Ehefr. geb. Gauly
1926 Gauly Eugénie épouse de Louis Kuhn
1936 Gester Martine Joséphine épouse divorcée de Jean Louis Munchinger
(1598)
Cadastre allemand, registre 31 p. 341 case 3
Parcelle, section 58, n° 103 – autrefois P 692
Canton : Blindengasse Hs N° 6 / Nr 4 – 204/12
Désignation : Hf, Whs, N.G. – Whs u. N.G.
Contenance : 1,24 / 3,11
Revenu : 1000 – 1300 – 4300
Remarques : 1910 Berufung – 1912 Zug. F 4 u. S. 243 F 1, 2 – 1923 modifié – 1913 Neubau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 2973
Moebs Karl Edmund und Josef Ernst
(rayé 1932)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 2633
Kieffer Georges, la veuve
1929 Moebs Charles Edouard et son épouse et copropriétaires
1951 Moebs Roger, installeur à Neudorf et son épouse pour ½ et copro.
(2994)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 93 Rue des Aveugles (p. 234)
22
loc. Beyer, Wunibald, fais. de peignes – Miroir
loc. Bolette, Phil., tanneur – Manant
loc.Bürckel, Jean, journalier – Manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Blindengasse (Seite 14)
(Haus Nr.) 11
Leibbrand, Wwe. 0
Kuhn, Hutmacher. 1
Gaulÿ, Modistin. 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 65)
4, rue des Aveugles (1873-1986)
La Police du Bâtiment constate en janvier 1903 que le mur du 11, rue des Aveugles présente des fissures qui ne s’élargissent pas les mois suivants. Le marchand de cycles Louis Kuhn pose une enseigne en 1908.
Les entrepreneurs Ch. et E. Mœbs chargent début 1911 les architectes Edmond et Camille Rudloff de transformer le 7, rue des Aveugles et de reconstruire le n° 9 en supposant que la rue sera élargie à 9 mètres. Comme la Police du Bâtiment s’oppose à anticiper l’élargissement de la rue, les architectes suppriment un étage. La Commission des Beaux-Arts approuve le projet. Lors du terrassement, on constate que les pans de bois du mur pignon voisin (n° 11) sont pourris dans la partie inférieure. Les entrepreneurs Mœbs acquièrent le n° 11 et font modifier le projet pour reconstruire ensemble les n° 9 et 11. Le préfet approuve en octobre 1911 le nouvel alignement des 9 et 11, rue des Aveugles d’après lequel le sol du n° 11 est reculé de 6 centimètres à l’extrémité nord. Les propriétaires sont autorisés en juillet 1911 à construire un bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce en obtenant une dérogation pour construire un bâtiment arrière à 3,75 mètres du bâtiment avant (au lieu des 5 mètres réglementaires). Le maire accorde en octobre 1911 un avenant qui permet de construire l’étage d’abord supprimé pour tenir compte de la largeur réelle de la rue. Le gros œuvre est terminé en novembre.
François Trau fait réhabiliter le bâtiment en 1984 sous la direction de l’architecte Gérard Ecklé. Le quatrième étage est transformé en deux appartements dont les jours sont agrandis. Les travaux sont terminés en novembre. Le maire demande l’année suivante de démolir les constructions illicites élevées dans la cour.
Sommaire
- 1873-1910, Partie propre à l’ancien n° 9
- 1911 (octobre) – Dossier ouvert suit au courrier du Service d’architecture. Le préfet approuve le nouvel alignement des 9 et 11, rue des Aveugles. Plan (le nord du sol du n° 11 est reculé de 6 centimètres), propriétaire C. et E. Mœbs, installateur sanitaire
-
1911 (février) – Les architectes E. et C. Rudloff (72, avenue des Vosges) demandent l’alignement à suivre pour le bâtiment à reconstruire aux 7-9, rue des Aveugles, propriété de Ch. et E. Mœbs. Le service d’architecture répond que le projet d’alignement prévoit que la rue des Aveugles ait 9 mètres de large
1911 (mars) – La division III déclare que le nouvel alignement n’a pas été arrêté. Dans l’état des choses, (rue de moins de 7 mètres de large), le nouveau bâtiment ne doit pas dépasser 10 mètres de haut.
1911 (avril) – Les architectes transmettent les plans du nouveau bâtiment. La Commission des Beaux-Arts (composée du conservateur des monuments historiques Knauth, de l’architecte Berst, du conseiller municipal Hurst ainsi que des architectes municipaux Nebelung et Bebo) n’émet pas d’objections. Le conservateur Knauth confirme en mai qui’il n’y a aucune objection d’ordre esthétique.
1911 (mai) – L’entreprise Ch. et E. Mœbs (pose de canalisations, fondée en 1868) d’une part et les architectes E. et C. Rudloff (72, avenue des Vosges) d’autre part sont autorisés à construire un nouveau bâtiment au 9, rue des Aveugles et à transformer le n° 7. Plan de situation, plan portant les dimensions de la parcelle et de la cour, dessin (élévation, coupes, structure métallique), calculs statiques
Suivi des travaux. Le terrassement est en cours. Le mur pignon du n° 11 (propriété d’Eugénie Gauly) est étayé, Une visite des lieux établit que le pignon dégagé du n° 11 est constitué de pans de bois qui sont pourris dans la partie inférieure. Les travaux sont interrompus jusqu’à ce que la propriétaire du numéro 11 ait consolidé le pignon.
1911 (juin) – Les architectes Rudloff transmettent au nom des consorts Mœbs un projet pour reconstruire les 9-11, rue des Aveugles en supposant que la rue aura 10 mètres de large. La Police du Bâtiment fait six remarques. La hauteur du bâtiment doit prendre en compte la largeur effective de la rue (4,60 à 3,30 mètres), de sorte que le bâtiment devra avoir au plus 10 mètres jusqu’au début de la toiture dont l’inclinaison aura au moins 45 degrés. L’architecte modifie le projet en supprimant l’étage mansardé tout en conservant l’épaisseur des murs pour pouvoir ajouter ultérieurement l’étage supprimé.
1911 (juillet) – Autorisation de construire du nouveau bâtiment à deux étages servant à l’habitation et au commerce sur le sol des 9 et 11, rue des Aveugles. Le bâtiment arrière pourra se trouver par dérogation à 3,75 mètres du bâtiment avant (au lieu des 5 mètres réglementaires) – Dessins – Calculs statiques – Description. Les fondations sont en béton, les murs en briques, les escaliers en béton revêtu de granito, les encadrements des fenêtres sur rue et des devantures sont en grès des Vosges, le crépi gris clair, les piliers de pierre de taille, la corniche en bois, la toiture couverte de tuiles plates – Droits réglés pour un bâtiment principal de 15,80 mètres de long et un bâtiment accessoire de 13,80 mètres.
1911 (24 juillet) – Les architectes déclarent l’ouverture du chantier et demandent à suivre le nouvel alignement qui est confirmé début septembre.
1911 (septembre) – Les architectes et les propriétaires adressent au maire une demande pour pouvoir construire l’étage mansardé. Les consorts Mœbs construisent le nouveau bâtiment pour remplacer leurs locaux sis 12-14, rue des Aveugles sis sur le tracé de la Grande percée. Le projet initial consistait à reconstruire seulement le 9, rue des Aveugles. Les difficultés survenues ont amené à acquérir le 11, rue des Aveugles et le 43, Grand-rue voisins. Comme la rue sera élargie, le nouveau bâtiment pourra avoir la hauteur initialement prévue, d’autant que dans les premiers temps il servira de débit à la brasserie Freysz. – Le maire répond que la rue sera portée à 9,50, ce qui permet de construire l’étage mansardé à condition qu’aucun logement indépendant n’y soit aménagé et que la façade du n° 7 forme une unité avec le bâtiment à construire.
1911 (octobre) – Avenant au permis de construire autorisant l’étage mansardé – Dessins – Calculs statiques. Droit réglés pour un bâtiment à quatre niveaux
Suivi des travaux. Le terrassement est en cours. Les murs de séparation sont repris en sous-œuvre (juillet). L’entreprise Urban (au Neudorf) construit les murs du sous-sol (août), du premier étage (septembre), le troisième étage (octobre). L’aménagement intérieur est en cours (janvier 1912)
1911 (novembre) – Les architectes demandent le réception du gros œuvre. La visite établit notamment qu’il manque les barres de contreventement. Nouveau projet pour les têtes des piliers – Les architectes sont autorisés à commencer le crépi trois semaines après la réception du gros œuvre.
1911 (décembre) – Les architectes prient le maire de reconsidérer l’interdiction d’habiter dans l’étage mansardé avant que la rue ne soit élargie. Le maire accorde l’autorisation suite aux arguments présentés.
1912 (mars) – Les architectes demandent la réception finale. Le ramoneur Ph. Vogt atteste que les cheminées sont conformes. La Police du Bâtiment remet de certificat de réception. - 1912 (mars) – L’entreprise Rossi et Leja (40, rue Geiler) demande l’autorisation de poser à échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Accord
- Partie propre au n° 11
1871 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du plombier Mœbs l’autorisation de faire une prise pour environ trois becs au 11, rue des Aveugles. - 1885 – Le maire notifie la veuve Mœbs (domiciliée sur place) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, novembre 1885
- 1891 – Quittance de droits réglés par l’entrepreneur Matter (9, rue des Lentilles) pour avoir fait un branchement de canalisation pour le sieur Hittler au 11, rue des Aveugles
- 1895 – Le cordonnier Al. Dresch (demeurant 51, fossé des Tanneurs) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – Le pétitionnaire renonce à poser l’enseigne, août 1896.
- 1903 (janvier) – La Police du Bâtiment constate que la stabilité du 11, rue des Aveugles n’est pas altérée. Les fissures ne sont pas devenues plus importantes. Dossier classé après plusieurs visites en août 1903.
- 1905 – Le maire notifie J. Joseph (demeurant 1, rue Sainte-Hélène) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, octobre 1905
- 1908 – Louis Kuhn (cycles et réparations) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – La double enseigne en fer-blanc est posée.
- 1906 – Le maire notifie Louis Gauly (demeurant sur place) de faire ravaler le 11, rue des Aveugles – Travaux terminés, octobre 1905 – Eugénie Gauly répond qu’elle n’est que principale locataire et que la façade a été lavée l’année précédente – La Police du Bâtiment note que la maison appartient à Jean Joseph, demeurant 6, rue Sainte-Barbe – Le maire envoie une nouvelle notification au propriétaire en novembre 1907. La maison a été vendue en mai 1908 à Eugénie Gauly qui obtient un délai – Travaux terminés, novembre 1908
- Commission contre les logements insalubres demande en 1902 au propriétaire Jean Joseph de faire installer un deuxième cabinet d’aisance – Les cabinets d’aisance ont été raccordés aux canalisations, mai 1904.
Commission des logements militaires, 1915. Rue des Aveugles –11. Rien à signaler - Nouveau bâtiment, n° 4
1934 – La Police du Bâtiment constate que le négociant Albert Schlüsselblum a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande par Edmond Hirtz (Palais des laines, 4, rue des Aveugles) – Autorisation - 1963 – Le locataire Schmitt (deuxième étage, immeuble appartenant à l’indivision Mœbs, géré par René Hug) se plaint que la pluie pénètre dans son logement. Le Police du Bâtiment observe des taches d’humidité. Elle demande au gérant de faire faire les travaux et de vérifier que les cheminées sont en bon état. René Hug déclare être seulement chargé d’encaisser les loyers et renvoie aux copropriétaires, les veuves Jeanne Mœbs et Adèle Mœbs – René Hug fournit un certificat du ramoneur Henri Reppert (4, rue du Fort) – Travaux terminés, octobre 1964
- 1983 – Roger Mœbs, domicilié à la Wantzenau, offre à la Ville d’acheter les 4 et 6 rue des Aveugles. Le n° 4 (section 58 parcelle 102) fait partie du secteur sauvegardé – La Division II estime que la Ville n’a pas intérêt à acquérir les immeubles.
- 1984 – François Trau (demeurant à Illkirch-Graffenstaden) demande l’autorisation de transformer des fenêtres (bâtiment non protégé située dans le secteur sauvegardé) sous la direction de G. Ecklé (Arical architecture) – Plan cadastral de situation, élévations
Description du projet de réhabilitation (4, rue des Aveugles). Les locaux professionnels du rez-de-chaussée restent tels quels. Les appartements des trois étages gardent leur distribution mais seront isolés et revêtus à neuf. Le quatrième étage sera transformé en deux appartements dont les jours seront agrandis. Dessins (deux projets d’élévation, dessins)
Un avis défavorable, non expédié, portait de conserver les pignon en l’état. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable (juillet 1984). La façade devra être aménagée pour poser l’éclairage public. Le maire transmet le dossier au préfet qui accorde le permis de construire en septembre 1984.
1984 (novembre) – Le maire signale au propriétaire que le panneau de chantier n’est pas affiché
1984 (novembre) – Déclaration d’achèvement des travaux. la réception finale qui a lieu en janvier 1985 ne donne lieu à aucune objection. Le préfet délivre le certificat de conformité en février 1985. - 1985 (octobre) – La Police du Bâtiment qui est entrée dans la cour avec l’architecte des Bâtiments de France a pu constater que le cour est surbâtie depuis peu. Les travaux non régularisables ne doivent pas constituer de précédent. Le maire demande au propriétaire de démolir les constructions illicites. Ce dernier déclare que des constructions précaires existaient avant la réhabilitation, l’agent de la Police du Bâtiment que la cour était dégagée lors de ses visites. Le conseiller général Hervé Busse intercède en mars 1986 en faveur du propriétaire François Trau, gérant de la s.à.r.l. Mœbs.
Relevé d’actes
La maison appartient dans les années 1610 au tailleur Jean Büchner.
Originaire d’Ermershausen en Franconie, Jean Büchner épouse en 1604 Susanne Kleindienst, fille de tailleur, et devient bourgeois quelques jours plus tard
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 92-v, n° 50)
1604. Hans Büchner von Ermeltshaußen im franckenlandt der schneider vnd J. Susanna Hans Kleindienst des schneiders Eheliche tochter, 27. Augusti. (i 95)
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 846
Hanns Beüchner der Schneider vonn Ermelßhaußen, empfahet das Burg: Vonn seiner Haußfr. Susanna Hanns Kleindiensts dochter, Will Zun Schneidern dienen. Act. vt supra [1. Septemb: 604
Jean Büchner et Susanne Kleindienst vendent la maison à Barthélemy Ostermeyer, employé de moulin, et à sa femme Ursule Bader
1622 (vij. Aprilis), Chancellerie, vol. 446 f° 125
(Inchoat. in Prot. fol. 93.) Erschienen hannß Büchener d. schneÿd. burg. Zu Straßburg und Susanna Klein dienstin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Barthell ostermeÿer dem treÿber vff d. Blumen Müelen burg. Zu Straßburg vnd Ursulæ Baderin seiner ehelich. haußwürthin So bede Zugeg.
hauß vnd hoffstatt samt dem schöpffell od. gang Zu dem profeÿ, durch die gerechtigkeit desselb. Profeÿgs, darzu mit Allen Ihren gebewen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Blind. gaß, einseit n. hanß Waltman des schreÿners erb. And. s. h. M. Adami Voltzÿ p.ceptoris classici s. erb. hind. vff Heinrich Mornhinweg des schmÿdts Zu Schaffoltzh. selig erben stoßend. Dauon gnd. x ß d vnd j Kapp. sie seint gleich ewig In Müntz od. gold Ablösig wie d. Brieff d* seÿ solches vßweÿß, Also haben es die Kheuffer vff sich genommen, vffv* sollend den stifft Zu St. Thoman, Mehr j lb d gelts loß mit xx lb d vff Mariä Verkndg soll dem mehren Spittal, Sunst ledig eig. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. v. besch. für vnd vmb 260 pfund
[in margine :] Erschienen hanß büchner der Verkäuffer, hatt in gegensein Georg Rauschenmeÿers alß der hierinn gemeldten Käuffern s. Kindts Ursulæ vogt, bekant, demnach vermög der den 25. Augusti negsthin vor den zu den Nachträgen insonderheit deputirten herren getroffenen v.gleichung, Er büchner dise behausung wider angenommen und dem Vogts döchterlin 45 fl. (…) zu eben schuldig – den 26. octob. 631.
[in margine :] Erschienen hanß Büchner hatt in gegensein Ursulæ Baderin vnd ihres ietzigen Ehevogts Martin Rappen deß holtz karchers (…) q.tirt den 19. Jan. 1627.
Originaire de Merching en Bavière, le meunier Barthélemy Ostermeyer épouse Ursule Bader en 1612. Il devient bourgeois deux mois plus tard en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Mariage, cathédrale (luth. p. 2)
1612. Barthol Ostermeyer der Müller von Mörgingen aus dem beyerlandt vnd Ursula Stephan Baders tochter, eingesegnet den 9. Novembris (i 317)
1612, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 956
Barthel Ostermeÿer von Merching Auß dem Beÿerlandt Empfahet d. Burgerrecht von Ursula Stephan Bader deß holtzhauers dochter wull Zu Mörin dienen, Actum den 21. Januarÿ A° 1613.
Devenue veuve de Barthélemy Ostermeyer alors charretier, Ursule Bader se remarie avec le charretier Martin Rapp originaire d’Eckartsweier (près de Kork) qui devient bourgeois en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 179)
1625. Martin Rapp d. Holtzkarcher Geörg Rappen deß bawrsmanns Zu Eckersweier nachgelaßener Sohn, Ursula Barthel Ostermeÿers des holtzkarchers allhier nachgelaßene Wittib, 9. 8.bris (i 182
1626, 4° Livre de bourgeoisie p. 91
Martin Rapp d. holtzkarcher Von Elchardtsweÿer Empfangt d. Burg. recht von Ursula, weÿlandt Barthel ostermeÿers deß holtzkarch. wittiben, wüll Zu Mohrin Zünfftig sein, den 14. Xbris 1626.
Martin Rapp et Ursule Bader hypothèquent la maison au profit de la fille du brodeur en soie Jean Charles Schaumann, pour laquelle agit Jean Büchner. L’acte renvoie à celui passé en 1622 pour l’origine de la dette
1627 (18. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 38
Erschienen Martin Rapp der holtzkarcher burger Zu St. vnd Ursula Baderin sein ehefr.
haben in gegensein Hanß Büchners deß Schneiders alß vogts Maria Magdalenen, hanß Carol Schawmanns deß seidenstickers ehelichen dochter – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand, hauß vnd hoffstat sampt einem schöpffell od. gang, und allen Anderen Zugehörd. alhie in der Blindengaß neben hanß Waldtmanns deß schreiners erben i. vnd 2. seit neben weÿ: H. M Adami Folsÿ gewesenen præceptoris Classici see: erben, hind. vff Heinrich Mornhinwegs deß Schmidts Zu Schöffholtzh. erben stoßend, dauon gehen x ß d vnd Ein Kapp Järlich Bodenzinß dem Stifft S. Thoma, Item j. lb d gelts dem mehren Spitahl lößig mit 20. lb d, So dann ist d hauß hoff vmb 100. lb ihme hannß Büchner selbsten, so aber Susanna Georg Speners witib ad dies vitæ Zu nüeßen hat, Item vmb 25. lb d restirend Kauffschillings
Nota. Es hat Büchner, wie in Notÿ Meÿgers Regist. de Anno 1622. fol: 125. zusehen bekannt, alß ob er wegen seines damalen an Barthel Ostermeÿer v.kaufften hauses Im Kauffschilling 50 lb d empfangen hete, dahero Rapp disse obligation weil er Büchner nichts empfang. vffrichten laß. dieweil aber Er Büchner sein Angeregt. Hauß, v.mög der beÿ den verordnet. Nachtrags herren den 25. Aug. nechsthin getroffenen v.gleich wider an sich genommen, Alß ist hiemit auch dies obligation gefallen vnd solche vß beeder parten geheiß wider cassiert worden Act. 26. Octobris 1631.
Le tuteur de la fille de Barthélemy Ostermeyer hypothèque la maison au profit des enfants de Christophe Rüder dont Jean Büchner est tuteur. L’acte renvoie aussi à celui passé en 1622
1629 (7. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 9-v
Erschienen Georg Rauschenmeÿer d. Holtz Karcher burger alhie alß vogt Ursulæ Barthel Ostermeÿers deß Karchers see. döchterlins
hatt in gegensein Christoff Rüedtern deß schneiders auch burgs s: alhie 2. ehe dreÿer Kindern vogts hanß Büchners deß Käufflers – schuldig seÿe xxv. lb
vnderpfand hauß, hoffstat vnd alle andern deren Zugehörd. alhie in der Blindengassen neben hanß Waldtmans des schreiners s: Erben & neben H. M. Adami Folsÿ gewesenen præceptoris classici see. erben, hind. vf Heinrich Mornhinwegs deß Schmidts see: zu Schäffholtzh. erben, dauon gehen Jahrß 10. ßd. j. Kapp. bodenzinß dem Stifft S. Thoman It. 1. lb. d gelts dem Mehren Spithal alhie losig mit 20. lb d. Item vmb 100. lb. d ihme hanß Büchner selbsten, so aber Susanna Georg Speners witib ad dies vitæ Zunüeß hat, So dan vmb 50. lb d Maria Magdalenen Schawmännin
[in margine :] Nota. Es hatt Büchner, wie in Not: Maÿgs. reg. de a° 622 zusehen bekandt, daß ob er wegen seines damalen an Barthel Ostermeÿer v. kaufften hauses, Am kauffschilling 25. Pfund empfangen (…) Actum 26. 8.bris Anno 1631.
Jean Büchner et Susanne Kleindienst vendent la maison au vitrier Gabriel Waldmann et à sa femme Félicité. L’acte fait seulement état des dettes sans citer l’origine de la propriété (la maison doit avoir été attribuée aux vendeurs pour défaut de paiement)
1632 (XIII. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 466 (expéditions) f° 26-v
(Gabriel Waldtman dem Glaser) Wir ut spâ [Joachim von Berstett der M. &] erschienen vnser Burger vnd geschworner Keüffler hanß Büchner vnd Susanna Kleindienstin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
auch Vnserm burger Gabriel Waldtman dem Glaser vnd Fœlictæ deßen Ehefrawen
hauß, hoffstat, höfflin und ein schöpfflin, mit allen andern ihren gebäwen & gelegen in unserer St. St. in der Blindengaß neben hanß Spitzen dem Amblungmacher ein: und anderseit neben hörman Adam Folsen, hinden vff Mathiß Mornhinwegs s: zu Schaffholtzheim nachgelaßene wittib stoßend, darvon gehen Jährlich auff Weÿhenachten Zehen schilling vnd ein Kapp dem Stifft S. Thoman alhie, sie seÿen ewig, ehrschätzig, fürbietig. bodenzinß (…), Item Ein pfund & gelts verkäuffer Mariæ Verkündigung dem Mehrern Spitahl alhie, in hauptgut mit 20. Pfund d. Item Zweÿ pfund Zehen schilling d. Zinß vff den Neünzehend. Januarÿ, Maria Magdalenæ Schawmännin, mit 50 pfund d., Item Ein pfund fünff schilling gelts vff den 6. Jenner, Christoff Rüeden deß Schneiders see: Zweÿen Kindern, mit 25. pfund & hauptgut abzulösen, vnd solche beede letstere posten vff begehren zuerlegen, So dann ist dise behausung auch noch verhafftet vmb 100. pfund d. ihnen den Verkäuffern selbsten, so Susanna Matheußin hr leben lang wÿdembs weiß Zunüeßen, vnd deren Jährlich vff Pauli bekerung mit fünff pfund d. verzinßt, nach ihrem absterben aber ihnen den Verkäuffern auff ein vorgehende Viertel Järige auffkündigung erlebt werden solle, sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerde, so die Käuffere auf sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 40 Pfund pfenning
Gabriel Waldmann épouse en 1621 Félicité Sultzer, fille d’oculiste
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 155)
1621. Gabriel Waltmann d, Glaßer, Fœlicitas Heinrich Sultzers deß gewesenen Oculisten v. Schnittartzt nachgelaßene Tochter. St. Thomas den 30. Aprilis (i 159, pas dans le registre de Saint-Thomas)
Félicité Sultzer veuve de Gabriel Waldmann et le tuteur de son fils vendent le domaine utile de la maison au trompette Jean Georges Weiss, originaire de Dresde, pour le compte de sa femme Anne Madeleine Wild
1644 (15. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 31-v
(Prot. fol. 9 & seq.) Erschienen Felicitas Sultzerin, weÿl. Gabriel Waldmanns deß Glaßers nunmehr seel: nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Mosen deß Schneiders ihres Vogts, Wie auch hannß Mockh der Mahler alß Vogt hannß Michaelß, ihr Felicitatis mit Ihme Gabriel ehelich erziehlt. Sohn,
haben in gegensein hannß Georg Weiß. deß Trompeters von dreßden alß Ehevogts Annæ Magdalenæ Wildin mit beÿstand Tobiæ Roth deß Ganth Käufflers – und Zwar mit vßtruckhlich. Consens H Probsts Dechants und Capitulß der Stifft: St: Thoman, denen daß Dominium directum vff nachgemeldter Behaußung gebührt, vffrecht verkäufflich cedirt und übergeben, gedachter Annæ Magdalenæ Wildin, Welche dann vff E. E. groß. Rhats Sambst. d. 16. Xbr. nechsthien, mit dem anhang daß gemeiner Statt Stall davon die iährlich Gebühr abgestattet werde, und Sie sich ihrem Erbiet. gemäß förderlich verburgere, ertheilte obrigkeitliche Bewilligung Käufflich angenohmen habe
das Dominium utile, die Beßerung und Erb lehnungs Gerechtigkeit, vff hauß, Hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen, & alhie in d. Blind.Gaßen: neben Michael Vettern dem Amlungmachern ein: und anderseit neben neben Weÿl. Ulrich Retzlobß geweßenen Statt Gerichts Procuratoris sel. Erb. hind. vff hannß Wurtzen den Würth Zu Schaffoltzheim stoßend gelegen, Welche Behaußung obgemeldtem Stifft St. Thoman eigenthümlich gehörig, deme mann auch iahrs vff Martini ein Cappen und vff weÿhenachten ein guld. gelts Zu 15. batzen Zu ewigem erbschätzig. fürbietigen Erblehenzinnß Zu raich. schuldig, So weit die Beßerung verhafftet dem mehrern Hospital umb 20. lib iährlich vff Mariæ Verkündigung mit j. lib. biß Zur Ablößung Zu verzinnß. (übernohmen) – umb 155 Pfund
Anne Madeleine Wild femme du trompette Jean Georges Weiss vend le domaine utile de la maison à Jean Jacques Herberling, messager au tribunal
1649 (25. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 504 f° 665
Erschienen Anna Magdalena Wildin Hannß Georg Weisen deß Trompeters eheliche Haußfraw, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts wie auch Tobiæ Roth. deß Ganth Käufflers ihres Vetters,
hatt in gegensein Hannß Jacob Herberling deß Statt Gerichts botten, mit beÿstand Jonas Trenners deß Schuhmachers seines Schwagers – Zwar mit vßtruckhlichem Consens herrn probsts, dechants und Capituls, deß Stiffts Zu St: Thoman denen daß Dominium directum vff nachgeschriebener Behaußung zustehet Verkäufflich. cedirt und übergeben hatt,
daß Dominium utile die Beßerung Und Erblehnungß Gerechtigkeit Vff hauß, hoffstatt, Höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie in der Blinden Gaß. neben Michael Vettern dem ammlungmachern ein: und anderseit neb. weÿl. Ulrich Retzlobß deß geweßenen Statt Gerichts Procuratoris seel. nachgelaßenen Erben, hinden vff Hannß Wurtzen den Würth zu Schaffoltzheim stoßend gelegen: Welche Behaußung obgedachtem Stifft St: Thoman eigenthümlich gehörig, deme mann auch Jahrs Vff Martini einen Cappen Vnd Vff Weÿhenachten einen Gulden gelts Zue 15 batzen Zu ewigen erschätzigen fürbietigem Erblehens Zinnß zuraich. schuldig ist, so ist die Beßerung dem mehrern Hospital annoch Verhafftet umb 20. lib. Jährlichen vff Mariæ Verkünduing mit 1. lb. biß Zu Abloßung Zu Verzinnßen (übernohmen) – umb 75. lib
Tailleur originaire de Seltz, Jean Jacques Herberling, épouse en 1629 Rosine Trenner, fille de cordonnier, et devient bourgeois moins d’un mois plus tard
Mariage, cathédrale (luth. f° 171)
1629. Hans Jacob Herberlin der Schneider Von Seltz, Hans Herberlin des schneiders daselbsten e. sohn, vnd J. Rosina Elias Drenner des schuhmachers tochter eingesegnet montag 29. Junÿ (i 140)
1629, 4° Livre de bourgeoisie p. 110
Hannß Jacob Häeberlin Schneid. Empfangt d. Burg. recht Von Rosina Elias Treners deß Schumach. tochter Wull Zu den Schneid.n dienen, Actum den 20. Augusti 1629.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Jacques Herberling messager de la chambre des Sept en mai 1642. Il est le seul candidat, ce que l’assemblée explique par la rétribution modique. Il sollicite à la fin de l’année le poste de messager au tribunal de la Ville qu’il obtient sur recommandation du greffier. Il prête serment fin janvier 1643
1642, Conseillers et XXI (1 R 125) et 1643 (1 R 126)
1642 – Hanß Jacob Herberlin wird Siebnergerichts bott. 29. 52. 153.
(f° 29-v) Sambstag d. 19. Martÿ
Hanß Jacob Herberlin der Schneider suppl. p. Knaf. Undt d. Siebnergerichts botten dienst. Erk. Soll sich gescheid. geb. die H. XV aber die Besoldung bedenck. – H. Mieg v. H. Gasner
(f° 52) Montag d. 9. Maÿ
H. Frantz Carol berichtet d. sich vmb d. Sibnergerichtß bott dienst nur einer geschrieben geb. nammenß Hanß Jacob Herberling, Zweiffels ohn weg. deß gering. Verdiensts so er demselbig. orth, Dann er nur 2 lb d wan die rechnung abgelegt werdt Vnd 4 d Von dem gebott. Stellt Zu Mh. ob sie dießem d. dienst anvertrawen v. Conferiren wollen. Sonst errinnert er daß der Actuarius bericht, d. nechst alle sach. Vor einem Ehrsamen policeÿ gericht Jetzmahlß außgemacht werd. hetten Vast an den Ihrig. gericht nichts Zu thun.
Beÿ dießer occasion ist Von Vnderschiedlich. H. errinnert worden, daß man Solte die visitationes beÿ d. Untern gerichten reassumiren. Erk; ist angenommen word. Jurat.
(f° 153) Montag d. 19. Decembr. Hanß Jacob Herberlin Supplicirt die Vacirende Statt gerichts botten s[t]ell. Erk. soll sich geschrieben gebeb.
1643 Conseillers et XXI (1 R 126)
1643 – Hanß Jacob Herberling würdt Stattgerichtß bott. 11. 12.
(f° 11-v) Sambstag d. 28. Januar:
H. XV. Reichßeÿß. Und H. Hellbeck laßen per H. Stattschreiber referiren, d. sie einen außschutz gemacht der Jenig. persohnen so sich Vmb die Vacirende Stattgerichts bott stell geschrieben geb. hab. Vnd d. die Treÿ in den selbigen gebracht, Vnder welch. Hanß Jacob Herberling Ihnen Insonderheit von dem Actuario gelobet word.
Erk. Ist der Herberling Zu einem Stattgerichts bott erkandt word.
(f° 12) Montag d. 30. Januar: – Hanß Jacob Herberlin der Stattgerichts bott schwöret uff seine Ordnung.
Le messager du tribunal Jean Jacques Herberling hypothèque la maison au profit de Jean Jacques Hagenstein, huissier au poêle des Tailleurs
1655 (2 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 4
Erschienen Hans Jacob Härberling der Stattgerichts bott
in gegensein Michael Hagensteins deß Büttels vff der Schneiderstuben – schuldig seÿen 50 Pfund pfenning
Unterpfand sein solle Eine Behaußung alhie in der Blindengaß. einseit neben Michael Vettern dem Karchern, anderseit neben Johann Friderich Retzloben dem wollenwebern gelegen, so Zuvor noch umb 20. lib dem mehren hospital und 10 lib. dem stifft St Thoman verhafftet
Jean Jacques Herberling se remarie avec Marie Uffhauser, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration
1658, Protocolle (64 not 5) f° 374
Eheberedungs Copia – Hannß Jacob Herberling Stattgerichtsbotten und Jungfrawen Mariæ Uffhaußerin
(…) ein ehelicher Heürath undt freündtliche Vermählung Zwischen dem Ehrengeachten Herrn Hannß Jacob Herberling, burgern und E. E. Stattgerichts allhie beampten alß Bräutigam an Einem,
So dann der Ehren undt tugendsamen Jungfrawen Mariæ, wÿland Bernhardt Uffhaußers geweßenen Schneiders undt burgers allhier Seeligen nachgelaßenen dochter, alß Hochzeiterin, Andern theils
deßen zu wahren Urbundt undt gezeügnuß haben beede obgemelte Ehe Persohnen mich Davidt Ösinger den Eltern geschwornen Offenbahren Kaÿßerlichen Notarium undt Burgern Zu Straßburg Insonderheit begetten und erfordert, alle vndt iede hievorstehende Puncte gebührlich ad notam Zu nehmen – den 10. 7.bris 1658
Mariage, cathédrale (luth. f° 94, n° LVI)
1658. Joh: Jacob Herberlin Statt gerichtbott Und Jungfr. Maria weÿl. Bernhard Vffhaußer, schneid.s hind.laßene eheliche Tochtern Dienstag d. 21.t 9.bris im Münster (i 95)
Les messagers Jean Jacques Herberling et Jean Schweitzer demandent à être dispensés du service de garde. Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent.
1659, Conseillers et XXI (1 R 142)
(p. 57) Mittwoch d. 30. Martÿ – Hanß Jacob Herberlin vnd Johannes Schweitzer beÿde Stattgerichts bott. vberzeichten per Wild. Undgr. Supplication, Bitt gleichfalls vm erlaßung d. aufferlegten Georg Wachten.
Erk. Soll ihnen d. begehren abgelehnet Werden
Jean Jacques Herberling fait son testament. Il lègue à sa femme la jouissance viagère de sa maison rue des Chandelles, qu’elle se remarie ou non.
1661, Protocolle (64 not 5), Jean Jacques Bœller
(f° 377-382) Testamentum nuncupativum. Herrn Hannß Jacob Herberlings Stattgerichtsbotten Im Jahr 1661
Im Jahr 1661 auff Donnerstag den 31. Octobris alten Calenders abends zwischen Sechs undt Siben uhren (…) der Ehrengeachte Hannß Jacob Herberlings, Stattgerichts bott vnd burger allhier (…) entzwischen seinen inn Zweÿen Ehen erzeugten Kinder, /:deren die Vier in Erster Ehe erzeüget, bereits beÿ ihren Jahren, Verstandt und inn denn Alter begriffen, daß Sie Sich schon selbsten wohl werden ernehren vndt außbringen mögen, das in Zweÿter Ehe gezeügtes Söhnlein hanß Friderich aber noch gar jung undt vnerzogen vndt Zu besorgen, daß wegen Ihme den Vatter obligenden Alters vnd blödigkeit halben ermeltes Kindt beÿ Künffiger Vfferziehung der Vätterlichen hülff nicht als lang vnd viel, wie gemelte seine Vier Geschwüsterdt empfangen, würdt genieß Können (…)
Zum Andern, hat Er Testirer Hanß Friderich Herberling, seinem Jüngsten mit Maria Uffhaußerin ehelich erzeugtem Söhnlein, als welcher vorgedachtermaßen, noch Jung undt unterzogen (…)
Drittens bericht Er der Testator, Er hab Zwar Mariæ Uffhauserin seiner haußfrauen, inn vffgerichteten Ehe pactis, Verschiedene gemach, in seiner behaußung ane d. Liechtergaßen in Straßburg gelegen, alleinst lang Selbige nach seinem Absterben im wittibstandt Verbleibt zu bewohnen verschrieben laßen (…) deßen aber oherachtet (…) ist sein des Testierers will und meinung daß nach seinem tödlichen hintritt gemelte Seine haußfrau, wie inn der Eheberedung Zum wÿdemb verschriebene gemach inn obbesagter behaußung, nicht nur allein so lang Sie ein wittib ist, sondern so lang Sie lebet, besitzen und bewohnen (…)
Fünfftens, dieweilen die institutio Hæredum oder Einsatzung der Erben eines iedwedern Testaments fundament und grundveste ist ohne welvhe auch kein Testament bestehen vnd Krafft haben mag, derowegen hat Er der Testator seine in beeden Ehen erzeügte liebe Kindern nahmentlichen Hanß Paulum, Mariam Salome, Hanß Jacoben, Hanß Carle vnd Hanß Friedriche,n und die Er noch etwan ferner erziehlen möchte, welche ohne das ab intestato seine wahre und ohngezweiffete Erben weren, himit Zu Erben ernennet vndt eingesetzt (…)
Welches alles dann beschehen undt Zugangen inn einer in der Statt Straßburg ane Jungfrauen gaßen gelegenen Zum Junckhern genanten behausung, dero Undern in den hoff außsehenden wohnstuben
Johann Jacob Böller Notarius
Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13), Protocollum Testamentum nuncupativum (f° 12-v) – Hannß Jacob Herberling (début de l’acte)
L’inventaire de ses biens est dressé en 1662 après sa mort. Il délaisse quatre enfants de son premier mariage avec Rosine Trenner et un fils du deuxième avec la veuve. L’inventaire cite deux titres datés de 1644 et 1556 concernant la maison rue des Aveugles, par ailleurs chargée d’un chapon et d’un florin de rente au profit de la fondation Saint-Thomas. La masse propre à la veuve s’élève à 10 livres, celle des héritiers à 133 livres. L’actif de la communauté s’élève à 145 livres, le passif à 73 livres
1662 (6.5.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 4) f° 13 (366)
Inventarium undt beschreibung Aller Haab Nahrung undt güttere so Weÿl. der Ehrenthaffte Hannß Jacob Herberling geweßener Schneider undt Statt Gerichtsbott, welcher den Andern Aprilis Innstehenden Jahrs todtlichen Verblichen hinderlaßen, so vff erfordern undt begehren deß Abgeleibten seel. p. Testamentum nominirter undt ane nachgemeltem filio benambster Erben, durch die Ehren und Tugendreiche Frau Maria Auffhaußerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt deß Ehrenthafften Herrn Alexander Kornnecker Schneiders Ihres geordneten Vogts mit Zuziehung deß Ehrenvesten Herrn Johann Christoph Ordtners Notÿ Jurati geeÿgt und gezeigt – Actum und Angefangen Dienstags den 6. Maÿ 1662.
Der Verstorbene seel. hat Zu Erben verlaßen wie Volgt 1. Mariam Salome deß Ehrenhafften Hannß Thomæ Kammen, Metzgers und burgers alhie haußfrawen mit beÿstand deßelben, 2. H. Johann Paulum, Ledigen scribenten, 3. H. Johann Jacobum, Ledigen scribenten, 4. H. Johann Carolum Theologiæ studiosum, dero geordneter undt geschworener Vogt der Ehrenhaffte undt bescheidene hannß Jacob Stahl Schneider undt burger alhie welche dem Geschäfft beneben den Vogt Söhnen in Persohn beÿgewohnt, Alle Vier des verstorbenen seeligen Inn erster Ehe mit weÿlandt Roßina Trennerin Ehelich erzeugte dochter und Söhn,
5. Hannß Friderichen, deß in Gott ruhenden seel. mit Vorgedachter seiner hinderlaßenen Wittib Ehelich erzeigten Söhnleins, deßen geordtneter undt geschworner Vogt der Ehrsamen undt bescheiden Hannß Georg Jung Kieffer undt burger alhie welcher den Geschäfft beÿgewohnt, Alle fünff deß Abgeleibten seel. Test. nominirter Erben.
Auff der Andern bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn der hindern Cammern Inn der hindern stuben, In der Wohnstuben, Im obern haußöhren, Im Vndern haußöhren, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane Häußern. (E.) It: j hauß, hoffstatt undt höfflin sampt j. hinderhauß mit allen deren gebauen, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten Inn der Statt Str: Inn der Heiligen Liecht gaßen, ein seith neben einer behaußung der samlung Zur dritten regul gehörig, anderseith neben weÿl. hannß Siebenhorn geweßenen Müllers hinderlaßene Wittib Zum theil, neben H. Dr Nicolao Aggerio hinten uff herrn Friderich Riehel Papÿrhauß, so weÿl. hern Daniel widern XV.ers seel. hinderlaßenen Wittib seel. Erben gehörig, davon geben Jahrs auff Michaelis 8 fl. Straß: wehrung lößig Inn hguet mir 200 fl. bemelter wehrung fr. Mariæ H. N. Herdenstein geweßenen Amptmanns Zu Marlenheim haußfrauen, So dann 1 lb 5 ß Jahrs auf Annunciationis Mariæ abzulößen mit 25. lb d dem großen Almoßen Zu S Marx sonsten allerdings ledig undt eigen undt hihero über bemelte beschwerden angeschlagen p. 130. lb
[[biffé] daran dem Verstorbenen seel. allein Zween drittetheil Zu eigen gehörig, so thun 56. lb, Davon der übrige dritte theil den Kindern Erster Ehe Vor Mütterlich gutt gehörig, vndt hernacher beÿ der Wÿdembs Verfangenschaft eingetr. Zubefinden]
darüber sagt ein Pergam. Kauffbr. mit der Statt Str. Contract Inns. sub dato 22. Junÿ 1654. Dabeÿ ferner ein Perga: Ganthkauffbr. mit deß Stattgerichts Anhangenden Innsigel deßen datum den 1. Junÿ 1652. mit Altem N° 1 notirt undt dabeÿ gelaßen.
(E.) Item j. Hauß, Hoffstatt, undt höfflein mit allen deren gebäu: weithen, rechten, Zugehörden undt gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Str: in der blinden gaßen einseit weÿl. Michael Vettern deß Amlungmachers hinderlaßene Wittib undt Erben, Anderseit neben weÿl. (-) hinden uff hannß Wurtzen gewesen würths Zum tieffen Keller hinderlaßenen Erben, daran gehent dem Stifft Zu Sanct Thoman alle Jahr auff Martini einen Cappen undt auff weÿhenachten 1 fl. gelts Ewigen Erbschätzigen undt fürbietigen Erblehen Zinnßes, So dann 1 lb d gelts Jährlichen auff Annunc. Mariæ widerkäuffig mit 20. lb d sonsten ledig undt eigen undt über obgemelte beschwerden æstimirt p. 50. lb. Darüber sagt 1. Perga: Cession mit der Statt Str. Contr. Inns. verwahret deren datum den 15.ten Januarÿ 1644. darbeÿ ferner j. alter Perga: Kauffbr: mit der Statt Str: Kleinen Secret Inns. deßen datum den andern tag Julÿ 1556. beeder mit alten N° 2 und dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Erben Unverändert Gutts. Vermög Inventarÿ über Weÿland Rosinæ Trennerin deß Abgeleibten Ersyen haußfrawen seel. Verlaßenschafft in Anno 1658. durch herrn David Ößingern Notarium auffgerichtetet
Abzug Inn dißes Inventarium. Der Wittib unverändert guet, Sa. haußraths 15, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Goldener Ring 2, Summa summarum 10 lb
der Erben verändert guet, Sa. haußraths 56, Sa. Leeren Vaß 3, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 3, Sa. Eÿgenthumb Ane heißern 180, Sa. ergäntzung (125, zalt 210), Summa summarum 243 lb – Schulden 109, Nach deren Abzug 133 lb
Theilbar Guet, Sa. haußraths 9, Sa. Weins vndt Leeren Vaß 27, Sa. Silbergeschirr vnd geschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. der baarschafft 5, Sa. Schulden 99, Summa summarum 145 lb – Schulden 73, Nach deren Abzug 72 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 238 lb
Marie Uffhauser se remarie en 1666 avec le tisserand célibataire Matthieu Baumann : contrat de mariage, célébration
1666 (9.7.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 13) N° 19
Eheberedung Entzwischen Mathæo Baumann leinenwebern v. Maria Uffhauserin hannß Jacob Herberlins wittibin auffgerichtet
entzwischen dem Ehrsamen und bescheÿdenen Mathæo Baumann dem ledigen leinenweb. deß Ehrenhafft vndt vorgeachten Mathæi Bawmanns auch Leinenwebers vnd burgers Zu Straßburg ehelich erzeügtem Sohn, alß dem hochzeiter ane einem,
So dann der tugendsamen Mariæ weÿland Hannß Jacob Herberlings gewesenen Stattgerichts botten vnd burgers Zu Straßburg hinterbliebene wittibin alß der hochzeiterin andern theils
Welche Ehepacta denn Beschehen vndt Zugangen in Straßb. den 9.ten Julÿ A° 1666 [unterzeichnet] Mattes bauman hochzeiter be ken wie ob stet, Joh: Alexander horneckel der hochzeiterin vogt bekenne wie obstett
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137, n° XXV)
1666. Dom. IX. post Trin. Matheus Baumann d. Leinenweber, Matthei Baumanns deß Leinenwebers Ehl. sohn v. Maria Joh. Iacob Herberlings Statt gerichts botten Wittib, Montag (i 138)
Les enfants Herberling vendent les trois quarts qui leur reviennent de la maison à leur beau père Matthieu Baumann
1675 (6. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 775
Maria Salome Herberlinin, hannß Thoman Kammen deß Metzgers Ehewib, mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts, ferners H. Johann Jacob Herberling Schaffner der Carthaus, so dann Johann Carl Herberling SS Theol. stud. mit beÿstand erstgedachts herrn Johann Jacob Herberlingß seines noch ohnentledigtenn Vogts
in gegensein Mathis Baumanns deß Leinenwebers
dreÿ Vierte theil, ihnen denen Herberlinischen Geschwisterd. für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß hoffstatt, höfflin und allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeit. alhier in der Blinden Gaßen einseit neben weÿl. Michael Vetters deß Amlungmachers, wittibin und Erben, anderseit neben Johann Jacob Redwitzen Not. Erben, hinden uff hannß Wurtzen Erben, daran der übrige ¼.te theil dem Käuffern Vorhien gehörig seÿe, und gehend Von der gantzen behausung iährlichen 10. ß und j. Cappen den Stifft St. Thomä, so seÿe solche behausung auch noch umb 20. lb dem Hospital Verhafftet – umb 150. fl
Matthieu Baumann se remarie en 1676 avec Anne Marie Haag, fille de cordonnier ; contrat de mariage, célébration
1676, Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 61
Ehepacta Zwischen Mathæo Baumann, Leinenwebern v. Jfr. Annæ Mariæ Haagin
entzwischen dem Ehrsam v. bescheÿdenen Mathæo Baumann, leinenwebern burgern alhier
v. der tugendsamen Jfr. Annæ Mariæ weÿl. Hannß Caspar Haagen gewesenen Schuomachers, burgers alhier hind.lasenen dochter
So beschehen inn Straßburg utt Sontag den 12. Martÿ A° 1676.
[unterzeichnet] Mattes bauman alß hochzeiter, Johannes Böller, Pfundt Zoller vnd schimrgericht Schreiber
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 169-v, n° 22)
1676. Eodem [29. Martÿ] Matthiaß Baumann leinen weber, Jungfr. Anna Maria Joh: Caspar Hagen des Schuhmachers vnd burgers hinterlassene Wittib (i 171)
Matthieu Baumann hypothèque la maison au profit du vitrier Jean Georges Brand
1676 (17. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 478
Mathis Baumann der Leinenweber
in gegensein hannß Georg Brandten deß Glasers – schuldig seÿe 150. fl.
unterpfand, hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, zugehördten und Gerechtigkeiten alhier in der blindengaß, einseit neben weÿl. Michel Vetters deß Amlungmachers wittibin, anderseit neben H. Johann Friderich Redwitzen Notario, hinden uff hannß Wurtzen Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10. ß und j. Cappen dem Stifft St. Thomæ, so seÿe solche behaußung auch noch umb 20. lb dem mehren Hospital alhier Verhafftet
Matthieu Baumann hypothèque la maison au profit de la veuve Agathe Ursule Kolb
1680 (1. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 595-v
Mathis Baumann der Leinenweber
in gegensein Herrn M. Dominici Ringen Pfarrers Zu Bärstätt und Olvißheim, alß Curatoris frawen Agathæ Ursulæ Kolbin Wittibin – schuldig seÿe 50 fl
unterpfand, Hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der blindengaß, einseit neben Michael Vetters deß ammlungmachers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben herren Andres Mergilet Schaffners Zu den Rewerin, hinden uff Hannß Wurtzen Erben stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 10 ß in geld und j. Cappen dem Stifft St. Thomæ
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Mariæ gebohrner Hagin deß hierinn gemeldten debitoris nachgelaßene wittib, mit beÿstand hans Michael Braunwald deß Leinenwebers Ihres Vogts, angezeigt und bekandt, Nach dem deß debitoris hind.laßene Nahrung Zum falliment gekommen, und sich hervor gethan d. d.selbe an d. hierin verpfändeten behaußung nur dreÿ quart eÿgenthümblich gehabt, auch seiner Kind. darauff habend. prætension verschwigen, alß haben Er sich mit Ihro deß. wittib verglich., ane statt der hierinn verschriebenen 50 fl. Capital (…) Act. d. 22.ten 7.br 1690
Les syndics de la faillite de Matthieu Baumann vendent la maison à sa veuve Anne Marie Haag
1690 (5. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 529-v
H. Carl Obrecht, und H. Johann Caspar Böringer beede E.E. Kleinen Raths beÿsitzer und auß deßen Mittel Zu Außweißung weil. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers sel. Falliment insonderhait Deputirte
in gegensein Annæ Mariæ gebohrner Hagin ged. Baumanns hind. laßener Wittib, mit beÿstand Johann Michael Braunwald, auch Leinenwebers deren Vogts
Krafft der beÿ vorged. E. Ers. Kleinen Rath am 30.ten 7.br. jüngst beschehenen Außweißung Ihro Baumännischer wittib, alß jüngster Creditrici mit consens Übriger darauff versicherte gewesener Creditorum eÿgenthümblich cedirt und Uberlaß. haben, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheÿlt an Hauß, hoffstatt und höfflein auch allen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. recht. Und Gerechtigkeit. allhier in d. Blindengaß einseit neben weÿl. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers nachgel. Wittib und Erben, and. seit neben H. Johann Andres Mergilet, Schaffnern Zu S. Mariæ Magdalenæ und Statt richtern allhier hinden auff hans Wurtzen Erben, auff welche dreÿ vierdte theÿl /:daran der übrige Vierdte theÿl Ihr Annæ Mariæ mit obged. Baumann ehelich erzeugten 2. Kindern gehörig:/ nachfolgender darauff versichert gewesene Creditores krafft vorgemeldter außweißung gewiesen worden, Nemblich das Stifft St. Thomæ allhier umb 10. jährig außstend. ewigen Ehrschätzich. Erblehen Zinß nemblich 5 lb 11 ß 4 d Jährlich à 10 ß, und dann weg. eines jährlich dahin schuldig Cappen, Item dem Mehrern Hospital allhier an 20 lb Capital vmb 15 lb daran die übrige 5 lb ged. Kind. zu leid. Item von 10 jährig verfallenen zinß. 10 lb Item (6 lb, 2 lb, 16 lb, 75 lb, 3 lb, 10 lb, 25 lb)
Anne Marie Haag hypothèque deux jours plus tard les trois quarts de la maison dont le dernier quart appartient à ses enfants au profit de son curateur le tisserand Jean Michel Braunwald
1690 (7. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 534-v
Anna Maria gebohrne Hagin, weÿl. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Carl Obrechts und Hn Johann Caspar Böringers beeder E:E: Kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann Michael Braunwalds, deß Leinenwebers Ihres Vogts – schuldig seÿe 75 Pfund, daß Sie dreÿ Vierdte theÿl an nachbeschriebener behaußung beÿ außweißung obg. Ihres Verstorbenen Manns Falliment hat übernommen und die angewiesene Creditores damit außweißen können
unterpfand, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheÿlt an Hauß, hoffstatt und höfflein auch allen anderen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten Und Gerechtigkeit. allhier in der Blindengaß einseit neben weÿl. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers nachgel. Wittib und Erben, anderseit neben Hn Johann Andrea Mergileto, Schaffnern Zu St. Mariæ Magdalenæ und Statt richtern allhier hinden auff hans Wurtz. Erben, daran d. übrige Vierdte theÿl Ihro der debitricis leiblich. Kindern i. Ehe gehörig, und seÿe gebe mann von d. gantz. behausung jährlich 10 ß und einen Kappen Ewigen Erschätzig. Erblehen zinß
Anne Marie Haag hypothèque la maison au profit des enfants du boucher André Ott
1691 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 33-v
Anna Maria gebohrne Hagin weÿl. Mathæi Baumanns gewesenen Leinenweber, nachgelaßene wittib, mit beÿstand Johann Michael Braunwalds auch Leinenwebers Ihres Vogts
hans Georg Magnus deß Metzgers alß Vogts weil. Andres Otten gewesenen Metzgers nachgelaßene 3. Kind. – schuldig seÿe 100 pfund Ihro Zu erkauffung nach beschriebenen unterpfands
unterpfand, dreÿ Vierdte theÿl für ohnvertheilt an hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen den gebäuen, recht und Zugehördt. allhier in d. blindengaß einseit neb. weil. Michael Vetters gewesenen Amlungmachers wittib und Erben and. seit neben H. Johann Andres Mergilet Schaffnern zu St. Mariæ Magdalenæ und Stattrichtern allhier, hind. auff hans Wurtzen Erben stoßend, von welcher gantzen behaußung geh. jahr alt 10 ß Erschätzig. Erblehen Zinß, d. übrige Vierdte theil aber d. Debitricis leiblich. Kind. gehörig
Le chapitre Saint-Thomas vend 15 livres le domaine direct à Anne Marie Haag et à sa fille mineure
1696 (27. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 655
H. Johann Heinrich Feltz, J.U. Doctor et Professor, alß Canonicus E. wol Ehrw. Capituli deß Stiffts zu St. Thomæ und am 22.t huj. zu diesem geschäfft deputiret, beneben H. Johann Joachim Moseder dem Scribenten, im Nahmen H. Johann Jacob Moseders Schaffners zu St Thomä seines leibl. Vatters
Annæ Mariæ geb. Hagin, weil. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers sel. nachgelaßene wittib mit beÿstand Hn Johann Michael Braunwalds deß Leinenwebers und E.E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers Ihres Curatoris und Johannis Graffen deß Leinenwebers alß vogts Ihro Annæ Mariæ mit ged. Baumann erziehlt töchterleins Mariæ
d. dominum directum oder die Oberherrschafft eines haußes, hoffstatt eines haußes, hoffstatt und Höfflein, mit allen deren Gebaüen, recht. und zugehördt allhier in der blindengaß, einseit neben Daniel Höltzel dem holtzkarcher anderseit neben H. Johann Andreä Mergilet Schaffnern zu St Mariæ Magdalenæ und Stattrichtern allhier hind. auff hans Wurtzen Erben stoßend geleg. von welcher behaußung d. dominum utile oder die Erblehen gerechtigkeit Ihnen denen Kaüffern zu vorhin, und zwar der Mutter zu Sieben achten theilen, der tochter aber zum übrig. achten theil gehörig – das verkauffende Stifft (…) einen jährlich ewig. ehrschätzig. und fürbietig. zinß, nemblich 10 Schilling in geld und einen Kappen, jährlich auff weihnacht. soviel d. geld betrifft, den Kappen aber auff Martini zu lüffern – umb 15 pfund
Anne Marie Haag et sa fille Anne Marie Baumann vendent la maison au charretier Daniel Hœltzel et à sa femme Anne Scheer, déjà propriétaires de la maison voisine à l’angle de la rue des Aveugles et de la Grand rue
1697 (3.1.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 2
Anna Maria geb. Haagin weÿl. Matthæi Baumanns gewesenen Leinenwebers seel. Nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Hn Johann Michael Braunwalds deß Leinenwebers und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers ihres Curatoris und Johann Graff auch Leinenweber alß Vogt Ihro Annæ Mariæ, mit ged. Baumann erzielten und Nachgelaßenen Töchlerleins Mariæ Salome
Daniel Höltzels, des Holzkarchers und Annæ geb. Scheerin
hauß, hoffstatt und höfflein, mit allen übrig. deren Gebaüen, Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten daran Ihro ged. Baumännischen wittib Sieben achte dem Töchterlein aber der übrige achte theil zuständig, und gelegen allhier in d. blind.gaßen, einseit neben denen Kauffenden Eheleuthen, anderseit neben H. Johann Andrea Mergilet, Schaffnern zu St. Mariæ Magdalenæ Und Statt Richtern allhier hinten auf hans Würtzen Erben stoßend, davon gehend Jährlich 10 ß d in geld auff weihnachten und ein Kappen auff Martinj ewig Ehrschätzig und fürbietigen zinnßes dem Stifft St. Thomæ allhier, gegen Männiglichen freÿ leid und eÿgen, Inn maßen d. Verkäufer das dominum directum od. oberherrschafft, so ged. Stifft St. Thomæ auff jetzt verkaufftem hauß gehabt vermög CContract verschreibung Unterm 27. Xbr. 1696 an sich erhandelt – umb 175 pfund
Daniel Hœltzel épouse en premières noces en 1676 Marguerite Mussler, veuve de Michel Vetter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 171-v, n° 41)
1676, Augusti. Eodem [24.] Daniel Heltzel, Daniel Heltzels des Schirms Verwandten hinterl. ehl. Sohn v. Fr. Margaretha Michel Vetters des Burgers v. Holtzkarchers Alhier hinterl. Wittib (i 173)
Le charretier Michel Vetter épouse en 1654 Marguerite Mussler
Mariage, cathédrale (luth. f° 559, n° VI)
1654. Eodem [Dom. 29. Jan.] Michael Vetter der burger vnndt Holtzkarcher alhier, Vnndt J. Margaretha, weilandt Johann Mußlers des burgers vnndt holtzkarchers alhier, hinderlaßene Eheliche Tochter. Mont. 6. Feb. Münster, Spiegell, H. stub (i 307)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105-v, n° 5) 1654. Eod. [Dnca. 60. 29. Jan.] Michael Vetter der holtzkarcher vnd burger J. Margreth Johann Mußlers des holtzkarchers nachgelaßene eheliche Tochter, 6. Feb. im Münster (i 107)
Daniel Hœltzel se remarie en 1689 avec Anne Scheer, successivement veuve du ramoneur Jean Oswald Farrenschon et du boulanger Paul Weinschenck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 18)
den 24. Aug. A. 1689 seindt von mir Copulirt Worden Daniel Höltzel burger Vnd Holtzkarcher alhie Vnd Fraw Anna, Paul Weinschencken deß Weißbecken v. burgers allhie hinterlassene Wittib [unterzeichnet] daniel höltzell als hoch Zeter, dieses hat hiehergesetzt die hochzeiterin (i 19)
Jean Oswald Farrenschon épouse en 1664 Catherine Klettle originaire du canton de Zurich puis en 1676 Anne Scheer, originaire de Mittelbergheim qui devient bourgeoise quelques jours après son mariage
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 132, n° XXI)
1664. Domi. Trin. Johannes Oßwald Varrenschon Kemmetfeger v. J. Catharina Joh: Jacob Klettlen bauren von Bonstetten Ziercher gebiets ehl. tochter (i 133)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 169-v)
1676. 16. Eodem [Martÿ] Hanß Oßwalt Varrenschon des Caminfegers vnd burgers allhier v. Jungfr. Anna Scherin von Mittelbercken in d. Herrschafft Parr Caspar Scheren des Reebmanns daselbst Ehl: tochter (i 171)
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 427
Anna Scherin Von Mittelbergheim, empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann Hanß Oßwald Farenschon dem Caminfeger p. 8. golt fl, welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist zuuor ledigen standts,gewesen, Jur. et promis. d. 20. martÿ 1676.
La veuve de Jean Oswald Farrenschon épouse en 1686 le boulanger Paul Weinschenck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 203-v, n° 11)
1686. [1. Maÿ] Zu hauß copulirt worden, Paulus Weinschenck burger v: Weißbeck Fr. Anna Johann ostwald Farrenschons deß Kaminfegers alhie hinterlassene Wittib (i 216)
Fils de manant, Daniel Hœltzel devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
4° Livre de bourgeoisie p. 433
Daniel Höltzel der Holtzkarcher, weÿl. Daniel Höltzels des tagners vnd Schirms verwanthens seel: sohn, empfangt das burgerrecht von Margaretha, weÿl. Michael Vetters des Holtzkarchers seel. wittibin, seines haußfr. p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt ist zuvor ledigen standts gewesen vnd wird Zum spiegel dienen. Jur. 7. 7. br 1676.
Daniel Hœltzel meurt en 1705 dans sa maison Grand rue en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve s’élève à 1 136 livres, celle des héritiers à 445 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 419 livres, le passif à 1 586 livres.
1705 (22.6.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 26) n° 15
Inventarium über weÿland des Ehrenachtbarn und wohl vorgeachten Weißen Daniel Höltzels, geweßenen holtz Karchers und burgers zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1705. – nach seinem Mitwochs den 30. Monathstag Maÿ Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen. Welches alles auf gebührendes erfordern deßen per Testamentum instituirter Erben an nächstfolgendem blath benambßet und beschrieben, ersucht durch die Viel Ehr und tugendsame fraw Annam Höltzelin gebohrne Scheerin die wittib beÿständlich deß Ehren vorgeachten herrn Joachim Gerold, Caminfegers und burgers Zu Straßburg, Ihres geordnet und geschwornen Vogts, auf Zuvor erlaßen von unßern gn. Herren Räthen und XXI. eügens und Zeÿgens wegen ertheÿlte Ordnung, darüber besehen – Actum Straßburg, Montags den 22. Monats tag Junÿ Anno 1705.
Der abgeleibte seel. hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. Johann Friedrich Höltzeln; Schneidern und burgers alhier, welcher in Persohn zugegen geweßen, 2. und Johann Höltzeln ledigen Schloßern, welcher beneben Herrn Johann Göbeln Schloßern und burgern alhier deßen geordnet und geschworenen Vogten der Inventation in Persohn abgewartet.
Der verstorbene seel. hat Zwar auch Susannam gebohrne Höltzelin seines bruders dochter, und Mariam von Awenheim seine halb Schwester Zu Erben instituirt, die weilen solche bede aber vor dem abgeleibten seel. Verstorben ist solche Erbsatzung erloschen.
Deßgleichen hat er auch seinen halb bruder Johann Jacob von Auenheim instituirt, dieweilen man aber bereits beÿ Zwantzig Jahren nichts von Ihme vernommen württ derselbe für tod vermuhtet. Dieweilen aber der Wittib das usufructum omnium banorum verschafft, und die Erben ietzmahlen der Erbschafft hebhafft werden können, als würd dießes Zur Nachricht alhier vermeldet, darmit wann derselb wider Vermuhten annoch beÿ Leben sein solte, Ihme nichts præjudicirt, sondern seine Erbsgebühr ihme allenfalls nach geendigtem Wÿdemb gedeÿen möchte.
In hernach eingetragenen ae der langen straßen gelegenen behaußung, befunden worden wie folgt
Höltz: und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Obern Stuben, Im Obern haußöhren. In der Soldaten Cammern Auff dem gang, In der Cammer C, In der undern Stuben, In der Kuchen, Im Stall
Eÿgenthumb ane häußern (T.) Item ein vorder: und hinderhauß, sambt dem höffel, hoffstatt und Brunnen, sambt allen übrigen deren gebäuwen, begriffen, Weithen, Rechten ane der Obern Straßen einseith ein Eck ane der Blindengaß (…)
(T.) Item hauß, hoffstatt, ane dem Alten Weinmarckh (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten guths. Auß dem, über der Wittib und deß verstorbenen seel. in die Ehe gebracht Vermögen durch mich Notarium den 8. Septembris Anno 1689. auffgerichteten Inventario
Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 24, Sa. faß 5, Sa. Silber geschemeids 2, Sa. guldiner Ring 10, Sa. Eigenthumbs ane einem liegenden guth 6, Sa. Schulden 15, Sa. Ergäntzung (1167, Abgang 218 verbleibt) 948, Summa summarum 1146 lb – Schulden 10, Nach deren Abzug 1136 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 40, Sa. faß 15 ß, Sa. Schiff und geschirrs Zum Amlungmachen gehörig 1, Sa. Ergäntzung 478, Summa summarum 520 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 445 lb
Theÿlbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 41, Sa. Amlung, Schiff und geschirr dazu gehörig 12, Sa. Weins und Faß 78, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Eigenthum ane häußern 1212, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 66, Sa. Schuld 5, Summa summarum 1419, Schulden 1586 lb, Theilbahre passiv Schulden übertreffen Solch guth umb 167 lb
Stall Summ 278 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1425 lb
Sa veuve meurt en 1709 en délaissant pour unique héritière sa fille Anne Marguerite Farrenschon femme du boulanger Jean Bernard Stieffel. L’actif de la succession s’élève à 1381 livres, le passif à 295 livres.
1709 (24.6.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 32) n° 18-a
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendsamen Frawen Annæ Höltzelin Gebohrner Scheerin Auch Weÿl. Herrn Daniel Höltzels, Geweßenen Holtzkarchers und burgers alhier zu Straßburg nunmehr beeder seeligen, nachgelaßener wittib Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1709. – nach Ihrem den 12.ten Maÿ Jüngsthien, aus dießer welt Genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und tugendsame frawen Annæ Margarethæ Gebohrner Farrenschonin deß Ehrengeachten Johann Bernhard Stüffels, Weißbecken und burgers allhier ehelicher haußfrawen, als der Jetzt abgeleibten frawen seel. in Erster Ehe mit Weÿl. dem Ehrengeachten Johann Oßwald Farrenschon Geweßenen Caminfegern und Alhiesigen burgern auch seel. erzeugter dochter und ab intestato nachgelaßener Eintziger Erbin – Actum Montags den 24.ten Junÿ Anno 1709.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Obern Straaß neben dem Blindengäßlein Gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Gehöriger Behaußung Befunden Worden wie volgt.
In der obern Vordern Cammer,
Eÿgenthumb ane häußern. Item 2/3 theil für ungetheilt Von und ane einerm Vorder und hinder hauß, s. dero höffl. hoffstatt u. Bronnen, auch übrig. gebäuen, begriffen, weithen, Rechten ane der obern straß, i. s. ein Eck ane der Blindengaß (…)
Item ferner 2/3 theil für ungetheilt Von und ane hauß, hoffstatt, ane dem Alten Weinmarckh (…)
Wÿdumb, Welchen die Verstorbene seel. Von Weÿl. H. Daniel Höltzel geweßenen Holtzkarchern und burgers allhier Ihrem Verstorbenen letzten haußwürth seel. ad dies vitæ genoßen, davon das Eigenthum nunmehro auf Mr Johann Friedrich Höltzeln Schneidern und burgern allhier rückfällig erwachßen
Und bestehet dieser Wÿdumb in Volgend. beeden posten (…)
Rubricæ hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 58, Sa. Weins und Faß 36, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 10, Sa. Eigenthum ane häußern 808, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 105, Sa. Schulden 358, Summa summarum 1381, Schulden 295 lb, Nach deren Abzug 1086 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1325 lb
Daniel Hœltzel et Anne Scheer revendent 200 livres la maison qu’ils ont acquise en 1697 au pelletier David Dannbach et à sa femme Madeleine Spangenberg
1701 (14.4), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 200
Daniel Höltzel, der Holtzkarcher und Anna geb. Scheerin [unterzeichnet] daniel heltzell
in gegensein David Dambachs deß Kirschners und Magdalenæ geb. Spangenbergin mit beÿstand H. Georg Friderich Spangenbergs deß buchbinders ihres leiblich. Bruders [unterzeichnet] dauid dambach
Hauß, Hoffstatt und Höfflein mit allen übrigen deren Gebaüen, Begriffen, weithen, Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit allhier in der Blindengaß einseit neben den Verkauffenden Eheleuthen anderseit neben Hn. Johann Andrea Mergiloth Schaffnern zu S. Maria Magdalena und Stattrichtern allhier, hinten auf Hans Wurtz Erben stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 10 ß d in geld auff weÿhnacht. und Einen Kappen auff Martini Ewig, Ehrschätzig und fürbietig. zinßes dem Stifft St. Thomæ allhier – um 200 pfund
Fils du pelletier David Dannbach, David Dannbach épouse en 1697 Madeleine Spangenberg, fille de relieur, après avoir passé un contrat de mariage cité dans l’inventaire de 1708
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 79-v, n° 421)
1697. Mittw. d. 28. Aug. wurd. nach Zweÿmahliger Außruffung copulirt, David Dannbach, der lediger Kürßner v. B. allhier weil. Daniel Dannbachs des geweßenen Kürßners v. B. allhier nachgelaßener ehl. sohn, vnd J. Anna Magdalena, weil. Wohlfarth Spangenbergs geweßenen B. v. Buchbinders allhier nachgelaß. ehl. T. [unterzeichnet] dauid dannbach als hoch Zeiter, + ist der J. hochzeiterin Zeichen (i 79)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Chandelles. Ceux du mari s’élèvent à 143 livres, ceux de la femme à 237 livres.
1697 (3. 8.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 28) n° 31
Inventarium undt Beschreibung Aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehrsam und bescheidene Meister David Dambach Kürßner und die Ehren und Tugendbegabte fraw Anna Magdalena Dambachin gebohrne Spangenbergerin, beede Eheleuthe und burgere zu Straßburg einander In den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen halben, weilen in den Zwischen Ihnen beeden auffgerichteten Ehepacten expresse Versehen, daß eines Jeden in die Ehe bringend Nahrung erservirt und unverändert seÿn und bleiben solle – Actum in der königlich. freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 3.ten Monatstag Octobris anno 1697.
In Einer In der Statt Straßburg In der heiligen Liechten Gaß gegen der becken herberg über gelegenen undt hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Des Manns in die Ehe gebrachte Eigenthümb. Mobilien, Sa. haußraths 53, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 65, Summa summarum 143 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Eigenth. Vermögen, Sa. haußraths 108, Sa. Silbers 9, Sa. gld. Ring 6, Sa. baarschafft 15, Sa. Pfgzß hptguths 76, Summa summarum 237 lb
haussteuren 40 lb
Madeleine Spangenberg meurt sans postérité en 1708 après avoir nommé ses héritiers par testament. Les experts estiment la maison 225 livres. La masse propre au veuf s’élève à 95 livres, celle des héritiers à 169 livres. L’actif de la communauté s’élève à 111 livres, le passif à 296 livres
1708 (3. 9.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 29
Inventarium über Weÿl. der Ehrn: und Tugendreichen Frawen Annæ Magdalenæ Dannbachin, Gebohrner Spangenbergerin, deß Ehrenhafften Mr David Dannbachs, Kürßners und burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehelicher haußfrawen seel. Verlaßensch. auffgerichtet Anno 1708. – nach ihrem den 22. 7.br dießes Zuend lauffenden 1708. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlich Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der jetzt abgeleibten frawen seeligen per Testamentum instituirter Erben – Act. Sambstags d 3. 9.bris Anno 1708.
Die Abgeleibte Fraw seelig hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie Volgt. 1. Hn Georg Friderich Spangenbergern buchbinder, und burgern alhier, welcher Vor sich selbsten dem geschäfft in persohn abgewartet, für einen, 2. H. Johann Christoph Spangenbergern, auch buchbindern und alhießigen burgern, so ebenmäßig persönlich zugangen, Zum andern, 3. et 4.diejenige welche Eingangs gedachten Mr David Dannbach, deß Wittibers Künfftiger Zeit sive ab intestato sive per Testamentum instituite Erben sein werden, weilen dann Fr. Salome Dannbachin gebohrne Rudloffin weÿl. Hn Johann Daniel Dannbachs geweßenen Kürßners und burgers alhie seel. nachgelaßene Wittib als des Wittibers Liebe Mutter, und für dieses mahl ab intestato nechste und einzige Erben in persohn Zugegen, so hat dieselbe auch solche Erbschafft sofern sich angenmaßt, für den dritten und Vierten Theil.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden Wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Soldaten Cammer In der Wohnstub, In der Stubcammer, In der Küchen, Im Keller
Eigenthumb an einer Behaußung. Item hauß, hoffstatt und höfflein mit allen übrig dero gebäuwen, begriffen, weith. Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Stb. ane d. Blindengaß i.s neben Daniel Höltzel deß Krautschneiders nachgelaßener W. 2.s. neben hß Martin Steinen dem blinden Mann würth hind. auff H. Wurtzen Erben stoßend. Davon gehen Jährlich auff weÿhenachten 10 ß d in gelt und I. Cappen auff Martini ewig Erschätzig und fürbietigen Zinnßes dem Stifft St Thomæ allhier, Ferner ist dieße behaußung annoch Verhafftet umb 125. lb Cap: H. Georg Friderich Spangenbergers der Verstorbenen brud. sonsten ledig und eigen und über obangeregte beschwerden durch d. St. Stb. geschworne Würcklich, Vermög einer ad Conceptum überreichter schrifftlicher Abschatzung Vom 28. 7.br Jüngst hiehero æstimirt per 72. Darüber Vorhanden i. perg. Kb. auß allhies Canc. C. stub sub dato 14. April A° 1701. dabeÿ noch 4. und. schiedene perg. Kb. auß wohlgedachter Contr: stub deren d. 1. datirt d. 3. Januarÿ A° 1697, d 2. d. 27. Xbr A° 1696, der 3. d 6. Xbr A° 1675 und d. 4.te d. 8. 8.br A° 1690.
Abschatzung d. 28. 7.bris aô 1708. Auf begehren herrn Davidt danbach Kirsner ist eine behausung allhier in der statt Straßburg in der blindten gaßen gelegen einseits neben Daniel höltzels Wittib, anderseits neben hern Martin Stein Wirt und gastgeber Zum blindtenmann, hienden auf hanns Geörg haubenstricker stosendt Welche behausung undt höffl. sambt aller gerechtigkeit wie solches durch dier statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden undt Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Vier hundert und Fünffzig Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Ergäntzung der Erben abgegangenen unveränderten gutts. Vermög deß über beeder geweßener Eheleüth einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung durch H. Stephan Cornelius Saltzmann den Notm. den 3. 8.br A° 1697. auffgerichteten Inventarÿ
Norma hujus Inventarÿ – Heüraths Verschreibung, perge in Prot: C fol. 734.b, Copia Testamenti nuncupativi, perge in Protocollo F. fol: 224. et seqq.
des Wittibers unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 2, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. baarschafft 4, Sa. Ergäntzung 85, Summa summarum 95 lb
Dießemnach wird auch der Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschmeid 2 ß, Sa. Guld. Ring 3, Sa. Ergäntzungs Rest 142, Sa. 169 lb
Endlichen wird auch das Gemein verändert und Theilbar Gut beschrieben, Sa. Haußraths 16, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Kürßner handwerck Gehörig 23, Sa. Eÿgenthumbs an einer behaußung 72, Summa summarum 111 lb – Schulden 296, Übertreffen also die Theilbare passiv Schulden der Vorhergeschriebene Gantze theilbar Verlaßenschafft dem Stall tax nach umb 185 lb
Summa finalis Inventarÿ 84 lb
Wÿdumb Welchen Herr Johann Jacob Heinrich der Geweßene Schreiner und burger alhier von Weÿl. Frawen Martha Gebohrner dannbachin seiner Verstorbenen haußfr. seel. ad dies vitæ Zugenießen hat, Wavon das Eigenthumb dem Wittiber pro rato verfangen. Vermög eines den 9. Martÿ 1689. (…) Getroffenen Vergleichs und respê Wÿdumbs auffrichtung
David Dannbach se remarie avec Marie Elisabeth Wagenmann, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1709 (18.2.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 270
Verglichene Heüraths: Puncten Zwischen dem Ehrenhafften Mr David Dannbach Kürßnern vnd burgers Zu Straßburg Als Hochzeitern an einem
So dann der Ehrn: und Tugendsamen Jungfr. Mariæ Elisabethæ Wagenmännin, Weÿl. Mr Hannß Michel Wagenmanns, geweßenen Küeffers vnd burgers alhier seeligen hinderlaßenen Ehelichen dochter alß der Hochzeiterin am andern theil
Montags den 18. Februarÿ Anno 1779 [unterzeichnet] dauid dannbach Als hochithze
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 201-v, n° 894)
1709. Mittwoch den 10.ten apr. seind nach 2.mähl. Proclamation ehelich copulirt worden, David danbach der ledige Kürschner, weÿland Daniel danbach, gew. Kürschners und burgers allhier nachgel. ehel. Sohn, und J. Maria Elisabetha weÿland Joh: Michel Wagenmanns, b. und Kieffers allhier nachgel. ehel. tochter, unter assistentz david dannbach Als hochzeiter, + (i 201)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari dont les apports présentent un déficit passif de 5 livres, ceux de la femme s’élèvent à 116 livres.
1709 (14. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 32) n° 24
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so Mr David Dannbach der Kürßner und die Ehren und tugendsahme Fraw Maria Elisabetha gebohrne Wagenmännin beede Eheleuth und burgere alhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebracht, Welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich Künfftiger Zeit der Ergäntzung Wegen darnach Zu reguliren haben möchte – Actum Straßburg in fernerer p.senz Hn Johann Knoblochs Küeffers und Weinhändlers der Frawen noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts und Fr. Salome Dannbachin gebohrne Rudloffin deß Ehemanns geliebter Mutter Sambstags den 14. 7.br A° 1709
In einer allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß gelegener und dem Ehemann für unverändert Zuständiger Behaußung befunden worden Wie Volgt.
Eÿgenthumb an einer Behaußung. (M.) Item hauß, hoffstatt u. höfflein mit allen übrigen dero gebäuwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Stb. ane der Blindengaß i.s neben Daniel Höltzel deß Krautschneiders nachgelaßener Wb. modo Bernhard Wb. modo Bernhard Stiffel dem Weißbecken ux: nôe. 2.s. neben hß Martin Steinen dem Blinden Mann würth hind. auf Hß Wurtzen Erben stoßend. Davon gehen Jährlichen auff Weÿhenachten 10 ß d in gelt und I. Cappen auff Martini ewig, Erschätzig und fürbietigen Zinnßes dem Stifft St Thomæ allhier, Ferner ist dieße behaußung annoch Verhafftet umb 125. lb Capital H. Georg Friderich Spangenberg. dem buchbindern als deß Ehemanns Schwagern sonst ledig eigen. Es ist aber dieselbe deß Orths ô Zu æstimiren, sondern wann Sie stehend. Ehe erkaufft werden solte dem erlößten pretio nach Zuergäntzen, Verglich. worden. Darüber Vorhand. i. perg. Kb. auß allhies. C. C. stub sub dato 14. April A° 1701. dabeÿ noch 4. underschiedene perg. Kb. auß wohlgedachter Contr: stub deren der 1. datirt d. 3. Januarÿ A° 1697, der 2. d. 27. Xbr A° 1696, d. 3. d 6. Xbr A° 1675 und d. 4.te d. 8. 8.br A° 1690. Wie auch eine Cessio dominj Utilis meliorationis et Juris Emphytteuitci m. wohlgemeltem C. C. Inns. Verw. und Datirt d. 15. Januarÿ A° 1644.
Norma hujus Inventarÿ – Eheberedung den 18. febr: Anno 1709. vor mir Notario verschrieben Zu befinden
Des Ehemanns unverändert Guth, Sa. haußraths 65, Sa. Wahren und Werckzeug Zum Kürßner handwerck Gehörig 2, Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. baarschafft 5, Sa. Eÿgenthumbs an einer behaußung (-), Sa. Schulden 2, Summa summarum 82 lb – Schulden 87, die passiva übertreffen des Ehemanns unveränderte Nahrung umb 5 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 42, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 3, Sa. Guldiner Ring 5, Sa. baarschafft 5, Sa. der Schulden 59, Summa summarum 116 lb – Haussteuren 12 lb
David Dannbach demande son admission à l’hôpital, que refusent les Conseillers et les Vingt-et-Un parce qu’il a des enfants. Il est renvoyé à l’aumône Saint-Marc
1730, Conseillers et XXI (1 R 213)
David Danbach Wird an St. Marx Verwießen. 171.
(p. 171) Montag d. 19.ten Junÿ. Mosseder Nomine gegenwärtigen David Danbach des hiesigen burgers und Kürßners producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿlagen Sub Num. 1. 2. 3. et 4. umb gnädiger Auffnahm in den Hoßpital handelt innhalts.
Ist Erkandt, wird das begehren abgelehnt, in ansehung der Implorant noch seine frau So eine Wascherin, und dabeneben Kinder hat, welche ihm beÿspringen können, Jedoch derselbe Wegen seiner dürfftigkeit Zu erhaltung eines Wochentlichen Allmoßens an St. Marx Verwießen. Deputati H. Rht. Garand und H. Rht. Brew.
David Dannbach meurt à l’âge de 66 ans en 1734
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1719-1755 f° 51)
1734. Mitwochs d. 3.t Febr. morgens Früh ist in in s. Erlößer J. Xt sanfft u. seelg eingeschlaffen David Dambach b. und Kürschner allhier, wurde Donnerstags darauff ehr. Zur erden bestattet auff d. gottes acker St. Helen. s. alters 66 jahr 8 monath und 6 tag deßen seind Zeugen Johann Daniel Männel als schwager, Johann Niclaus wagenmann (i 55)
La maison est vendue par adjudication judiciaire le 18 juin 1731 (référence à l’inventaire des apports dressé en 1744, infra) au paveur Jean Sigfrid et à sa femme Anne Susanne Lemorm.
Jean Sigfrid fait son apprentissage chez son oncle Jean Frédéric Sigfrid de 1709 à 1712. Il est reçu tributaire chez les Maçons le 27 août 1714.
1710, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
Johann Sÿfrid, Pflästerer
(f° 90-v) Mittwochs den 5.ten Martÿ A° 1710 – Inscription I.s Pflästerer Jungens – Joh: Friedrich Sÿfrid, der Pflästerer stellt vor Johann Sÿfrid, Seines bruders seel. Sohn , bittet Inscription maßen er Ihne auf dreÿ Jahr lang das Pflästerer handwerck Zulernen auf und angenommen, und solle die Lehrzeit den 5.ten 7.br. 1709. Ihren Anfang und auf gemelten termin 1712. Ihre endschafft nehmen, v. verspricht der Mstr. den Jungen Wochentlich 15. ß d. Costgelt, er arbeite ou. nicht.
Erk. gegen erlag der gebühr willfahrt (dt. 13. ß d – außgethan d. 12.ten 7.br. 1712)
(f° 136) Montags den 12.ten Septembr: A° 1712 – Außgethaner Pflästerer Jung
Mstr. Joh: Frid. Sifrid, der Pflästerer erscheind mit Johann Sÿfrid seinem geweßenen Jungen, und bitt, weilen desen Lehrzeit Vorbeÿ, Ihne ledig Zu sprechen.
Erk. und gegen erlag der gebühr Willfarth.
(f° 168) Montags den 27.to Augusti A° 1714 – Neu Zünfftiger
Johannes Sÿfrid, der Pflästerer, Weÿl. Joh: Sÿfrid hinterlaßener Ehel. Sohn prod. Stall schein vom 18.ten Julÿ A° 1714. und bitt umb seines Vatters recht. Erk. und Willfarth (Zunfft 5 ß, Zsch u. b. 4 ß, Summa 9 ß)
Fils du paveur Jean Sigfrid, Jean Sigfrid épouse en 1714 Anne Susanne Lemorm, fille de l’éclusier Pierre Lemorm et de sa femme Anne Marie Schrœderin (filiation donnée par l’inventaire après décès des parents). La minute du contrat de mariage n’est pas conservée. Le mariage est célébré le 26 avril 1714 par le pasteur de Kehl (Jean Siffert, fils de Jean Siffert, et Anne Susanne, fille de Pierre Lemorm, voir BCGA n° 104)
1714, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) N° 74
Eheberedung – Johann Siegfrid, ledigen Pflästerers
und Jungfrauen Annnä Susannä le Morm
Jean Sigfrid et Anne Susanne Lemorm hypothèquent la maison au profit de la mineure Madeleine Brohm
1733 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 607 n° 9
Johannes Siffrid der Pflästerer und Anna Susanna geb. Le Mormin beÿständlich ihres schwagers Alexander Kretzmeÿer des Metzgers und ihres bruders sohns Samuel Le Morme des Porcelan: Mahlers
in gegensein Johann Georg Ernst Nagel als vogts weÿl. Jacob Brohm des Nagelschmidts einigen töchterleins letster ehe Magdalenæ geb. Bromin – 25 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Blindengaß, einseit neben H. Johann Valentin Juncker E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer anderseit neben hannß Martin Stein dem würth zum Blinden Mann hinten auff NN den Kieffer – davon gibt man dem Stifft zu St Thomä 10 ß und einen Capaunen in Federn ahne ehrschätzigen zinnß
Jean Sigfrid meurt en 1742 à l’âge de 51 ans. La minute de son inventaire n’est pas conservée
1742, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1745
Inventarium über Weÿland Meister Johannis Sigfrid geweßenen Pflästerers und burgers alhier zu Straßburg seel. Verlassenschafft
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1714-1780 f° 81-v)
1742. Donnerst. d. 17 Maji 8.. matut. starb Johannes Siegfridt Stadtpflästerer und b. h. l. natus 1690. d. 29. (-) alt 51. j. 7. M. 2. W. 4. tag deme ich M. J. J. Graff diac. Freÿt. seq. Zu St. Helenæ parentirt [unterzeichnet] Johann PeterSiegfriedt als Sohn (i 83)
Anne Susanne Lemorm hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Faust, receveur de l’hôpital
1742 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 489-v
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme weÿl. Johann Siefferts des Pflästerers wittib mit beÿstand ihres vogts Philipp Albrecht Marzolff des leinenwebers
in gegensein des Mehrern Hospitals schaffners H. Johann Friedrich Faust J.U.L. – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis in der Blindengaß einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben N. N. hinten auff Johannes Hartmann den kieffer – davon gibt man dem Stifft St Thomä 10 ß in geld und einen Cappen ane bodenzinß
Anne Susanne Lemorm se remarie en 1744 avec le boulanger Jean Jacques Braun.
Boulanger et fils de boulanger, Jean Jacques Braun se marie en 1724 avec Anne Barbe Vogel, fille de barbier : contrat de mariage, célébration
1724, Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 17
Eheberedung – Zwischen dem bescheidenen Mstr Johann Jacob Braun dem ledigen Weißbecken undt burgern allhier hochzeitern ane Einem, So dann der Ehr: undt Tugendsamem Jungfr. Annæ Barbaræ Voglerin herrn Johann Friderich Vogells deß Chirurgi undt Wundartzten auch Burgers allhier Ehelicher dochter der Jfr Hochzeiterin andern theills
actum Straßburg auff Mittwoch den 1. Martÿ a° 1724 [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als Hochzeiter, Anna Barbara Vogelin als hoch Zeiterin
(grosse, Not. Abraham Kolb, 22 Not 29)
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 102-v, n° 11)
1724. Mittw. d. 26. April: wurden nach Zweÿ: mal. proclamation Ehel. copuliret v. Eingesegnet Johann Jacob Braun, lediger burger v. Weißbeck alhien H. Joh: Friderich Braun, burgers v. Weißbecken alh. Ehel. Sohn, vnd Jgfr. Anna Barbara H. Joh: Friderich Vogels, burgers vnd Barbierers alhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, Anna Barbara Vogelin Als hochzeitterin (i 104)
Fils du maître de tribu en fonction, Jean Jacques Braun est reçu tributaire chez les Boulangers en février 1723
1723 (16. Xbr), Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 404) Donnerstags den 16. Xbris 1723 – Neuzünfftiger
Johann Jacob Braun, H. Friderich Braunen deß Nunmahligen Zunfft Meisters Ehelicher Sohn stehet vor undt producirt Stallschein Vom 13. Febr. 1723. mit Ersuchen alß Einen Zünfftigen anzunehmen, undt seines Vatters recht gedeÿen Zulaßen, so ihme uach gegen der gebühr willfahrt worden (4 lb 5 ß)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison près de l’église Saint-Pierre-le-Vieux. Ceux du mari s’élèvent à 404 livres, ceux de la femme à 354 livres.
1729 (2.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 24) n° 555
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren und Vorgeachte Herr Johann Jacob Braun der Weißbeck und die Ehren: und tugendsahme frau Anna Barbara gebohrne Vogelin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, Welche der vrsachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und vorbehalten seÿn solle – So beschehen in Straßb. in præsentia H. Johann Friderich Vogels, barbierers und wundartztens v. burgers allhier Zu Straßburg der Ehefr. eheleibl. Vatters, auf Donnerstag den 2.ten Junÿ 1729.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß nahe beÿ der Kirchen zum alten St Peter gelegener und in dieße Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden Word. wie volgt
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Frau Anna Catharina Braunin gebohrne Hohin, Weÿland herrn Friderich Braunen geweßenen Weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib des Ehemanns Stieff Mutter Wegen gedachtes Ihres Stieff sohns ad dies vitæ usufruiren hat
Abzug in gegenwärtig Inventarium illatorum gehörig. Des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußrath 85, Sa. weins und lähren Vaßes 2, Sa. Silbers 9, Sa. baarschafft 253, Summa summarum 351 lb – Dazu ist ferner zurechnen die helffte an denen Verehrten haussteuren 53, Des Manns in die Ehe gebracht Guth dem billichen Werth nach 404 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 168, Sa. Silbers 13, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 107, Summa summarum 301 lb – Dazu kombt ferner d. halbe theil ane denen verehrten Haussteuren 53, Der Frauen in die ehe gebracht Vermögen in vero pretio 354 lb
Jean Jacques Braun obtient le droit de vannage que détenait Thiébaut Hummel en 1741
1741 (17.5.), Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 147-v) den 17. Maÿ 1741 – Johann Jacob Braun meelmann dahier bittet Ihme wegen des gekörns das Wannenrecht zu accordiren.
Erkandt seÿe Ihme Diebold Hummels recht zugestatten, hingegen Er dessen Extantzen mit 6 ß nebst anderer gebühr Zu Entrichten so Er auch gleich Erlangt hatt.
La tribu des Boulangers autorise le farinier Jean Jacques Braun à devenir boulanger
1742, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 12-v) Mittwochs den 5. Decembris 1742 – Handwercks veränderung
Johann Jacob Braun der bißherige Meelmann undt becker will sein Meelweßen in das Schwartzbecken verändern, bittet umb gerichtliche permission, Erkandt, Kan ihme gegen der gebühr nach ordnung willfahrt seÿn (1 lb.)
Anne Barbe Braun meurt en 1742 en délaissant sept enfants dont le plus jeune meurt peu de temps après sa mère. L’inventaire est dressé dans une maison de location à la Krutenau. La masse propre aux héritiers s’élève à 735 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 58 livres, le passif à 791 livres.
1743 (24.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 57) n° 1305
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland die Ehren und tugendsahme frau Anna Barbara Braunin gebohrne Vogelin, des Ehren und wohl vorgeachten Mr Johann Jacob Braunen des Schwartzbecken und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau, nunmehr seelige, als dieselbe Dienstags den 4. Monatgstag Decembris des Zurückgelegten 1742.sten Jahres dießes Zeitlichein das Ewige Verwechselt nach solch Ihrem aus dießer welth genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten Meister Georg Eckel haußfeurers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Friderichs, Johann Daniels, Susannæ Barbarä, Mariä Catharinæ, Johann Georgs, Mariä Elisabethä und Johannis der Braunen, alle Sieben der Verstorbenen frauen seligen mit vorgedachtem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßner Erben, davon aber Johannes des jüngste gleich* solch seiner Mutter seel. Ableiben auch seelig verschieden und von seinem vatter als dem hinterbliebenen Wittiber geerbet worden – Geschehen in Straßburg auf Freÿtag den 24. Maÿ Anno 1743.
In einer allhier Zu Straßburg ane d. Vorstatt Krautenau gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Erben abgegangenen ohnveränderten guts. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1729. durch mich unterschriebenenen Notm. auffgerichtet
Abzug In Gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung 685, Summa summarum 735 lb
Des Wittibers ohnverändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 55, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Summa summarum 58 lb – Schulden 791 lb, In Vergleichung 732 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 630 lb. Wann aber des wittibers Passiv: Schulden Rest hievon abgezogen wird, 627 lb, So wird endlichen an dießes Inventarÿ gantzer Verlaßenschafft in allem annoch per rest übrig verbleiben, welches die Stall Summam deßelbig. außmacht 2 lb
Le boulanger Jean Jacques Braun épouse Susanne Lemorm veuve du paveur Jean Sygfrid : contrat de mariage, célébration
1744 (30.7.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 23) n° 39
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Mstr Johann Jacob Braun dem Schwartzbecken burgern undt wittibern dahier Zu Straßburg, alß hochzeiter ane Einem,
So dann der Tugendsamen Fr. Susanna Sÿffertin gebohrne Lemormin weÿl. Johannes Sÿfferts des geweßten Pflästerers auch burgers dahier hinderlaßener Wittib d. hochzeiterin andern theills
Actum Straßburg auff Donnerstag d. 30.ten Julÿ 1744. [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als Hochzeiter, + der hochzeiterin gemachtes Zeich.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 173-v)
1744. Dom. VIII et IX post Trinit. proclamati sunt Joh: Jacob Braun, Hausfeurer u. burger h. l. u. Fr. Anna Susanna geb. Lemorm, weÿl. Johannrs Siefert, gew. pflästerers u. b. h. l. copulati Mittw. d. 5. Augusti [unterzeichnet] Johann Jacob Braun als hochzeiter, x hiemit Zeügt Fr. hochzeiterin [in margine :] † hæc Sambst. 3. 9.br 1759, † illa Sambst. 29. Mertz 1760. (i 178)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de l’épouse rue des Aveugles. Ceux du mari s’élèvent à 66 livres, ceux de la femme à 384 livres.
1744 (7.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 4) n° 83
Inventarium über die Jenige Nahrung so Mstr. Johann Jacob Braun der Schwartzbeckh undt Fr. Susanna Sÿffertin gebohrner Mormin, beede Eheleuthe undt burgere dahier Zue Straßburg Einander für Unverändert in den Ehestandt gebracht, auffgericht a° 1744. (…) und Zwar die Ehefrau mit beÿstand Philipp Albrecht Martzolff deß Leinenwebers und burgers dahier ihres noch ohnveränderten vogts – Actum Straßburg auff Freÿtag den 7. Augusti an: 1744.
In einer allhier Zu Straßb. ane der Blindengaß gelegene der frau Wittib zuständig. behaußung hat sich befunden wie folgt. des Ehemanns Nahrung in deß. wohnbehaußung am gaulstad. in der Crautenaw
Eigenthumb ane einer behaußung, so der Fraw zueständig. Eine behaußung Hoff, Hoffstatt undt höfflein, m. alleen derenselben rechten, undt gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Blindengaß eins. Neben Abraham Schätzell dem würth Zum Blindenmann, 2.s neben Philipp Cortier dem Krempen, hinten auff Johann hardschmidt den Kieffer stoßend davon gibt mann jährlichen 10 ß in geltt undt einen Cappen bodenzinß dem löbl. Stifft St. Thomä, maht Zu doppeltem Capital gerechnet 60. lb
Undt ist sothane behaußung dermahlen allhier ohnpræjudicirlich angeschlagen worden umb 1200. fl. th. 600 lb. Darüber besagt ein perg. ganth Kauffbrieff m. E. E. Kl. Raths anhangendem Insiegell verwahrt datirt den 18.ten Junÿ 1731. mit Lit. A. signirt
deß Ehemanns Nahr. Sa. haußraths 57, Sa. Werckzeug Zum beckh. handwerck 6, Sa. Früchten Meeel u. Kleÿen 14, ß Schwein 4, Sa. Silbers 1, Summa summarum 84 – Schulden 18 lb, Compensando 66 lb
Was nun Er der Ehemann seinen Kindteren voriger Ehe ane Mütterlichem guth undt vor paten geltt schuldig so sit deßen annoch zu erkündigen, maßen mir Notario davon nichts ad conceptum angeben worden
der Ehefr. Nahr. Sa. haußraths 92, Sa. Silbers 1, Sa. gold. Ring 10, Sa. behaußung 600, Summa summarum 703 lb – Schulden 319, Verbleiben 384 lb
Was nun ihro der Ehefrau von ihres vorig. Ehemanns seel. Verlaßenschafft wÿdumbs weiß alß auch dero beed. töchteren prælegats undt deß. ab intestato Erben Erbßweiß Zu kommen trag. so berufft sich hr. Nots. Hoffmann welcher deßen Verlaßenschafft in anno 1742. fol. 55.a auff eine anderwärtige berechnung, so zum bericht
haussteuren 2 lb
Anne Susanne Lemorm femme du boulanger Jean Jacques Braun hypothèque la maison au profit de Jacques Minck pour pouvoir construire un nouveau logement
1746 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 33
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des Haußfeurers ehefrau
in gegensein Jacob Minck des kräutlers – zu bauung einer neuen wohnung in hiernach beschriebener behausung schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen ihr vor unverändert gehörigen dritten theil vor unvertheilt ane der behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben (-) dem krempen, hinten auff N. Hartmann den kieffer
Elle hypothèque à nouveau la maison quelques mois plus tard au profit des mineurs Hæss pour pouvoir réparer la maison
1746 (18.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 914
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des meelmanns ehefrau [unterzeichnet] +
in gegensein Johann Christoph Rooß des huthmachers als vogts Caspar Häß des schiffmanns zweÿer kinder Dorotheæ und Salome der Häß – zur reparation hiernach beschriebener behausung, schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, einen ihro vor unvertheilt gehörigen dritten theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben (-) dem krempen, hinten auff N Hartmann kieffer
Anne Susanne Lemorm femme du boulanger Jean Jacques Braun et sa fille en premières noces hypothèquent les deux tiers indivis de la maison au profit du tailleur Jean Christophe Walch
1747 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 47-v
Fr. Anna Susanna geb. Lemorme Johann Jacob Braun des meelmanns und dero in erster ehe mit weÿl. Johann Sigfrid des Pflästerers erzeugte tochter Jgfr. Susanna Margaretha Sigfrid mit beÿstand Johann Philipp Martzloff des leinenwebers
in gegensein Johann Christoph Walch des schneider – theils ane repararation hiernach beschriebener behausung theils zu ihrem anderwärtigen gebrauch, schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, zweÿ dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Blindengaß, einseit neben Abraham Schätzel dem wirth, anderseit neben N dem krempel, hinten auff N. Hartmann den kieffer
L’appariteur Jean Jacques Braun produit un certificat qui atteste qu’il quitte la tribu des boulangers pour pouvoir s’inscrire à celle de la Mauresse en qualité de marchand de fruits et légumes
1756 (20.7.) Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 261)
(f° 344) Dienstags den 20.ten Julÿ Anno 1756 – Neuer Leibzünfftiger Gümpel Käuffler
Johann Jacob Braun, der Fausthammer und burger alhier welcher weiland Johann Seÿfridt gewesenen Pflästerers und burgers alhier hinterlaßene Wittib der dißorts leibzünfftig gewesene Gümpel Käuflerin geheurathet, producirt Stallschein vom heütigen dato, vermög deßen er E. E. Zunft der Becker quittiret, bittet ihme das Zunfftrecht Gümpelkäufler Recht Zukommen Zu laßen.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr Willfahrt, dedit.
Susanne Lemorm meurt en 1759 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 200 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 218 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 102 livres, le passif à 942 livres.
1760 (5.2.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 745) n° 90
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Frauen Susannä Braunin gebohrner Lemorm, Johann Jacob Braun des Fausthammers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Hausfrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1760. – nach ihrem Sambstags den 3. Novembris des Zurückgelegten 1759.ten Jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auff gebührendes ansuchen erfordern und begehren erstgemelten Johann Jacob Braun des Wittibers wie auch der Verstorbenen seel. in erster Ehe mit auch weÿland meister Johann Sigfrid dem geweßenen Pflästerer und burgern allhier ehelich erzeihlter noch lebender tochter und Verstorbenen Sohns und töchter seel. hinterlaßenen Kinder alß dißortiger Enckel und ab intestato Verlaßener Erben – So beschehen Straßburg Dienstags den 5.ten Februarÿ Anno 1760.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen weÿland Johann Peter Sigfrid geweßenen Pflästerers und burgers allhier in Zwoen Ehen erziehlte und nach tod verlaßene Zweÿ Kinder alß Enckel 1. Susannam Margaretham Sigfridin welche derselbe in erster Ehe mit auch weÿland frauen Susanna Margaretha gebohrner Häffelin ehelichen erziehler, so sich in allhießigem Evangel. Waÿßenhauß befindet, in deren Nahmen H. Frantz Ludwig Etter des Evangelischen Waÿßen Vatter beÿ dießem geschäfft erschienen und 2. Jgfr. Magdalenam Sigfridin, so ohnefähr 8 Jahr alt dießer Sohn seel. in zweÿter Ehe mit Frauen Anna Maria gebohrner Meÿerin seiner hinterbliebenen Wittib ehelicher erziehlet davon geordnet und geschworener Vogts ist H. Samuel Lemorm des mahlers und burgers allhier so dießer Inventur beÿwohnete.
Zweÿtens wÿland Frauen Susannä Margarethä gebohrne Sigfridin die ältere Tochter seel. in erster Ehe mit auch weÿland Niclaus Lang dem geweßenen amlungmacher und burgern alhier erziehltes Söhnlein Nahmens Niclaus so sich in allhießigem Evangelischen Weÿßenhauß befindet in deßen Nahmen vorgemelter H. Etter der Evangelische Waÿßenvatter erschienen
So dann drittens Frau Catharinam Salome Eggerin gebohrne Sigfridin mstr. Christian Eggers des Spenglers und burgers allhier eheliche haußfr. beede dießem geschäfft beÿwohnende, Alßo alle der Verstorbenen seel. in erster Ehe mit eingangs gemeltem Johann Sigfrid ihrem ersten Ehemann seel. erziehlte noch lebende tochter (…) zu gleichen portionen haupt: und Stammtheilen verlaßene Erben
In einer allhier zu Straßburg ane der Blinden gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 5-v) Eigenthumb ane einer Behaußung. (E.) Nembl. der dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung höfflin und hoffstatt mit allen deren gebeüen begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Blindengaß einseith neben H. Abraham Schätzel dem gastgeber zum Blinden Mann anderseit neben H. Bortmann dem fastenspeishändler hinten auf H. Johann Hartmann den Kieffer stoßend gelegen, von welcher völligen behaußung man Jährlichen 10. ß in geld und einem Kappen bodenzinß Löbl. Collegiat Stifft St. Thomä allhier zu lieffern schuldig, sonsten ist dießelbe über hernach eingetragene passiv: Capitalia gegen männiglichen freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) außweißlich des zu mein Notarÿ Concept geliefferten schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 18. Januarÿ 1760. angeschlagen worden vor 400. lb. Woran dißortiger dritte theil antrifft so hier außzu werffen, 133. 6. 8. Die übrige zween dritte theil seind denen Erben Vor anerstorbenen vätter: und respe. großvätterlich guth zuständig, so hernacher ins besondere beschrieben werden. Über die Völlige Behaußung besagt ein teutscher perg: ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths anhangendem Insiegel verwahrt, datirt den 18.t Junÿ Anno 1731.
(f° 6) Ergäntzung derer Erben ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag der über beeder geweßener Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch nunmehro weÿland Hn Notarium Abraham Kolb seel. in Anno 1744. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 12) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Derer Erben ohnverändert guth, Sa. Haußraths 18, Sa. goldenen rings 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 133, Ergäntzung witd passive übertroffen (97), Summa summarum 153 lb – Schulden 372 b, In Vergleichung, passiv onus 218 lb
Dießemnach wird auch des Wittibers ohnverändert und zugleich das gemein Verändert und theilbar guth weilen die Erben beÿ so übel bestanden umbständern auf das letztere tam active quam passive renunciren werden unter einem titul als deßelben Nahrung gehörig beschrieben, Sa. haußraths 5, Sa. activ Schulden 97, Summa summarum 102 lb – Schulden 942 lb, In Vergleichung 840 lb
Mehr Schulden dann guth 778 lb – Zweiffelhaffte Schulden in des Wittibers Nahrung zugeltend 73 lb
Copia der Eheberedung (…) den 30. Julÿ Anno 1744, Abraham Kolb
Vente de meubles quelques mois plus tard après la mort de Jean Jacques Braun
1760 (2.10.), Not. J. Henri Thenn (6 E 41, 745) n° 92
Verkauf und Erlös Register über Weÿland Johann Jacob Braun des geweßenen Fausthammers und burgers allhier Zu Straßburg seel. Verlaßener Mobilien und Effecten, welche den 21. Octobris Anno 1769 (…) verkaufft worden
Tuteur de la fille issue du deuxième mariage de Jean Pierre Siegfried, Jean Samuel Lemorme vend sa part de maison au ferblantier Jean Chrétien Eger (mari de la fille cadette d’Anne Susanne Lemorm
1761 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 204-v
Johann Samuel Lemorme der mahler als vogt weÿl. Johann Peter Siffert des pflästerers tochter Magdalena Siffert
in gegensein Johann Christian Eger des spenglers
ein 9.te theil vor unvertheilt ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen rechten und gerechtigkeiten ane der Blindengaß, einseit neben N. Portmann dem fastenspeishändler, anderseit neben Abraham Schätzel, hinten auff Johannes Hartmann den kieffer – um 30 pfund
Chrétien Eger et Catherine Salomé Siegfried hypothèquent la maison au profit du marchand de farine Georges Bubenhoffer
1767 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 258
Johann Christian Eger der spengler und Catharina Salome geb. Siegfriedin mit beÿstand H. Johann Jacob Conrad des fastenspeishändlers und Johann Jacob Conrad des frippier beede ihren nächsten
in gegensein H. Georg Bubenhoffer des meelhändlers – 250 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Blindengaß, einseit neben N. Portman dem fastenspeishändler, anderseit neben H. Abraham Schätzel dem gastgeber zum Blindenmann, hinten auff Johann Hartmann den kieffer
Les experts estiment la maison 200 livres à l’inventaire dressé en 1776 après la mort Catherine Salomé Siegfried femme du ferblantier Jean Chrétien Eger
Jean Chrétien Eger meurt en 1803 en laissant pour seule héritière sa fille Frédérique Salomé, femme du tailleur de limes Jean Georges Rœmer.
1802 (8 germinal 10), Strasbourg 3 (24), Not. Übersaal n° 730, 1304
Inventarium über des weÿl. Bürgers Johann Christian Egger gewesenen ehemaligen Spengler Vermögens Nachlassenschafft, nach seinem den 28. nivos X erfolgten Absterben, auf ansuchen deßen Wittib der bürgerin Anna Elisabetha geb. Scharbach beiständlich des brs Johann Wilhelm Rautenstrauch Greffier bei dem Friedens Gericht des ersten Gerichts: bezircks und der bürgerin Friderica Salome geb. Egger des bürgers Johann Georg Roemer Feilhauers Ehegattin des Verstorbenen einiger tochter und Universal Erbin in seiner ersten Ehe mit weÿl. Frau Catharina Salome geb. Siegfried erzeuget hat
der Wittib unveränderten vermögen, hausrath 192 fr, silber 13 fr, goldene ringe 12 fr, angelegtes Capital 978 fr, Ergäntzung Not. Saltzmann 25. maÿ 1781, 134 fr, abzuziehen 114 fr, per rest 20 fr, summa summarum 1217 fr
der Tochter und Universal-Erbin unverändertes Gut, hausrath 335 fr, Werckzeug 42 fr, silber 29 fr
Eigenthum an häusern so der Erbin unverändert. Erstlich zween dritte theile für ohnvertheilt von und ane einer einstöckigten kleinen behausung mit N° 2 bezeichnet samt hoffstatt höfflein Gemeinschafft des bronnens der bauchküche und des s.v. Privets mit allen zugehörden und Rechten an dem Jung St Peter Kirchgäßlein einseit neben des brs Johann Georg Schmid Meelhändler Ehefrau Erben anderseit neben des brs Christian Friedrich Klüpfel Säcklers Wittib und Sohn hinten auf den b. Johann Heinrich Conrad tabakhändler, verlehnt an den br. Wittersom Wurstmacher 168 fr, in capital 3360 fr, für zwo terzten 2240 fr
Item zwo terzten für ohnvertheilt an einer zweÿstöckigten behausung ohne Nummer nebst Seiten: und hinte: Gebäuden hoffstatt höflein Gemeinschafft des bronnens und der bauch küche zugehörden und Rechten gelegen an erstberührtem Jungen St Peter Kirch gäßlein einseit neben dem br. Klüpfel anderseit neben dem hiernach beschriebenen häußlein hinten auff den br Conrad
Item zween dritte theil für ohnvertheilt von und ane einer zweÿstöckigten behausung mit N° 4 bemerckt samt der hoffstatt auch übrigen zugehörden und Rechten an gesagtem Jungen St Peter Kirch gäßlein einseit neben nächst vorstehendem haus anderseit neben br Johann Michael Jost Eisenhändler hinten auf eben denselben, die beÿde letztere häuser sind verlehnet und ertragen jährlich an zinns br. Freÿdinger der Wirth 272 fr, br. Weil der Colporteur 240 fr, br Rother Gremp 100 fr zusammen 612 fr. in Capital 12 240 fr, die zween dritte theil 8160 fr, Über obige 3 häuser lauten 5 Kaufbrieff in der C.C.Stub de dais 28. Aprilis 1695, 8. Aprilis 1774, 10. Decembris 1778 und 12. Martÿ 1779, Mehrer bericht darüber der Eggerischen Eheleute Inventarium illatorum durch Notarium Saltzmann den 25. Maÿ 1781
So dann zwo tertzen für ohnvertheilt von und ahne einer behausung mit N° 22 notirt samt der hoffstatt einem höflein auch allen übrigen zugehörden und Rechten an der Blindengaße einseit neben br Johann Georg Blöchel hauslehrer anderseit neben br. Schäffer Schuemacher hinten auff br. Johann Adam Knab hutmacher, Von der gantzen behausung auf den 6. nivose der hiesigen verwaltung St Thomä 2 fr in geld und einen Cappaun in Federn an ewigem ehrschätzigem und fürbietigem zinnß, ertragt an zinns br. Näß der buchdrucker 60 fr, br. Spinner Schuemacher 60 fr, br. bollet der Gerber: taglöhner 48 fr, br. Spielmann der Schneider 40 fr, summa 208 fr in Capital 4160 fr, für zwo tertzen 2773 fr, darüber vorhanden Ganth Kaufbrieff vom 16. junÿ 1761
die übrige tertz an allen vorbeschriebenen häusern ist der diesortigen tochter als universal Erbin als ererbtes mütterliches Gut gehörig
Summa häusern 13 173 fr, Ergäntzung 7752 fr, abzuziehen 2222 fr, Nach deren Abzug 5529 fr, summa summarum 19 108 fr
Theilbare Masse, hausrath 206 fr, Wein 240 fr, silber 4 lb, Weißblechner waare 98 fr, baarschafft 1341 fr
Eigenthum an einer behausung so in die theilbare Massam gehörig
Nämlich eine behausung mit N° 18 bemercket samt hof hoffstatt bronnen auch allen mit allen deren übrigen zugehörden und Rechten zu Straßburg an der Pergamentergaße ohnfen dem bierhaus zum Rosenkrantz einseit neben br. Johann Daniel busch Gastgeber anderseit neben Johann Jacob Aÿle des beckers Ehefrau Catharina Salome geb. Imber hinten auff gedachten br. busch, an jährlichem zinns erträgt br. Wendling Schuhmacher zahlt 60 fr, Meyer buchdrucher 60 fr, Lux buchhändler 60 fr, Abend Schuhmacher 48 fr, Paulus Schuhmacher 48 fr, Stangel Schreiner 48 fr, Kößler bedienter 48 fr, Waßermann Mahler 40 fr, blind buchdrucker 40 fr, Spahn Maurer 40 fr, summa 492 fr in Capital 9840 fr, über diese behausung Kauf Contract under C. C.Stube de datis 17. Augusti 1602, 1. Martÿ 1654, 28. Julÿ 1687, 17. Sept. 1711, 20. Januarÿ 1780, Mehrere bericht aber ist in der Wittib verstorbenen erstern Ehemann des weÿl. brs Johann Andreas Grohberger Leinenwebers Verlassenschafft Invetar. durch Notarium Saltzmann im Jahr 1777 aufgerichtet zu finden
summa summarum 11.730 fr, passiv schulden 11.671 fr, Nach deren Abzug 58 fr
(n° 2205) Liquidatio Eroerter: und General Abrechnung – Eigenthum an einer behausung so in die teilbare Massam gehörig alhier in der Pergamenter gaße gelegen mit N° 18 bezeichnet wie der tochter und der wittib abgeredet und verglichen, daß die Wittib für und anstatt des ihr in dem 5.t Punct der Eheberedung von dem Verstorbenen zum lebenslänglichen Gebrauch verschriebenen Spengler Werckzeug auf deßen Genuß die Wittib verzichtet gethan hat, in dieser behausung lebtägig zinnsfrei zu besitzen zu bewohnen und zu geniesen berechtiget seÿn solle auf dem ersten Stock eine Stube Stubkammer noch zwo Kammern und eine Kuche alles auf dem nämlichen boden, so dann das zu dieser Wohnung gehörige Kellerlein, diese Wohnung gewürdiget für eine jährlichen zinns von 60 francs, 20 fri 12
Letzten willen, Ich unterschriebener Johann Christian Egger will hiemit daß meine Ehefrau Anna Elisabet geb. Scharbach insofern sie mich überleben wird anstatt meines ihr in unserer Eheberedung zum lebenslänglichen Gebrauch verschriebenen Spenglerwerckzeug bis an ihres lebens Ende in meinem an der Pergamenergaß gelegenen behausung N° 18 auf dem ersten Stockwerk neben dem bäcker zinsfrei bewohnen darf: Stube Stubkammer noch zwo Kammern und eine Kuche alles auf dem nämlichen boden, so dann das zu dieser Wohnung gehörige Kellerlein, den 3. ni. 10
(Contestation sur les réparations majeures qu’il a fait faire dans la maison appartenant à sa succession sise Petite rue de l’eglise N° 4 pendant son mariage, 1350 fr)
Copia der Eheberedung vor Notario Saltzmann den 21. sept. 1778, der Ehrengeachte Johann Christian Egger verwittbter Spenglermeister So dann die tugendsame Fr. Anna Elisabetha Grohbergerin geb. Spenglerin des weÿl. Johann Andreas Grohberger Leinenwebers Wittwe
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 10-v du 9 ger 10
Anne Elisabeth Scharbach veuve en secondes noces de Jean Chrétien Egger meurt en 1810
1810 (23.6.), Strasbourg 4 (38), Not. Stoeber n° 1073
Inventaire de la succession d’Anne Elisabeth Scharbach veuve en secondes noces de Jean Chrétien Egger ferblantier décédée le 9 cinq. dernier – à la requête de 1. Catherine Barbe Groberger femme de Jean Henri Naeff Imprimeur, 2. Marguerite Salomé Groberger femme de Jean Chrétien Gammig Imprimeur, 3. Jean André Groberger ancien ferblanter les trois enfants, suivant testament nuncupatif du 3 février 1808
mobilier 305 fr, déclarations actives 8115 fr, total de la masse 8420 fr, passif 619 fr, reste 7801 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 F° 19 du 2.7.
La maison revient à sa fille unique Frédérique Salomé Eger qui épouse en 1789 le tailleur de limes Jean Chrétien Rœmes : contrat de mariage, célébration. Le père fait donation à son fils de sa maison près de l’église Saint-Louis
1788 (1.7.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 300
Eheberedung – der Ehrengeachte Mr Johann Georg Römer der jüngere hiesige Burger und ledige Feielhauer des Hn Joh: Georg Römer ältern ebenmäßigen Feilhauers und burgers alhier in erster Ehe mit weil. Fr. Maria Dorotea geb. Jungin ehelich erzeugte ältere, anjetzt großjährige Sohn, als Hochzeiter an einem Teil
So dann die Ehren und tugendsame Jungfrau Friderika Salome Eggerin, Mstr Johann Christian Egger des Spieglers und Burgers hieselbst mit seiner verstorbenen erstern Ehefrau Katharinaa Salome geb. Siegfriedin erzielte einzige nach hiesiger Stadt rechten majorenne Tochter als Hochzeiterin
Sechstens, gibt Hr. Römer der Vater dem Hochzeiter hiemit das Recht und die Wahl sein in hiesiger Stadt gegen St. Ludwigs Kirche über, eisneit neben H. Stephan Lorentz Lefebvre dem Tapezierer, ander Seit neben Johann Jacob Schmidt dem Schneider gelegene, hinten auf gedachten H. Lefebvre stosende in Vorder- und Nebens-Hauß, Hoffstatt, Höfelin und bronn bestehende eigenthümliche Eckbehausung mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allem was darin Badn- Wand- Maur- Nied- und Nagel- vest ist, Vorfenster und Faßliegerlingen, allen eingemaurten und nicht eingemaurten Öfen und dem Bauch kesseln nach seinem dereinstigen Absterben in dem Stand wie solches alles sich als dann befinden wird um 4000 Gulden nebst Uebernahm deren davon Joh. Bapt: al 24. Junÿ und 19 Septembris auf den hiesigen Pfenningthurn zu entrichten habenden drei Gulden vier Schilling Allmendzinses und Zween Schilling jeweilen auf Weihnachten dem Stift St. Thomä schuldigen ewigen Zinses, käuflich anzunehmen
(Werckstatt)
Straßburg den 1. Junius in dem Jahr 1788 [unterzeichnet] Johann Georg Römer der jüngere als hochzeiter, Friederika Salome Eggerin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 10, n° 13)
Im Jahr 1789, Dienstags den 18. Augusti (wurden) ehelich eingesegnet Johann Georg Römer, lediger burger und Feielhauer allhier, weÿl. Johann Georg Römer, gewesener burgers und Feielhauers allhier mit weÿl. Frau Maria Dorothea gebohrner Jungin, ehelich erzeugter nachgelaßener Sohn, 28 Jahr alt, und Jgf. Friderika Salome Eggerin Johann Christian Egger, burgers und Spenglers allhier mit weÿl. Frau Maria Salome gebohrne Siefertin, ehelich erzeugte Tochter, 25 Jahr alt [unterzeichnet] Johann Georg Römer als Hochzeiter, Friederika Salomé Eggerin als Braut (i 11) – Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 8-v, n° 16) 1789
Jean Georges Rœmer meurt en 1811
1811 (2.8.), Strasbourg 3 (35 A), Not. Übersaal n° 1246, 5879
Inventaire de la succession de Jean Georges Roemer, tailleur de limes décédé le 8 juin dernier – à la requête de Frédérique Salomé Egger héritière universelle par testament nuncupatif dressé devant le soussigné notaire le 27 frimaire an 12 (19 décembre 1803) enregistré le 10.6. dernier
propriété d’une maison apportée en mariage, Sçavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Vent ci devant St Louis n° 13, d’un côté le Sr Lefevre tapissier d’autre le Sr Rissler perruquier derrière les même voisins – évaluée 400 fr de revenu en capital 8000 fr
meubles, argenterie 366 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 151-v du 3.8.
Frédérique Salomé Egger se remarie en 1812 avec le capitaine Jacques Bosshart
1812 (6.1.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 635, 5898
Contrat de mariage – Mr Jacques Bosshart, Adjudant Major Capitaine rétiré à Strasbourg membre de la Légion d’Honneur, natif de Berentzweil District d’Uster au Canton de Zuric en Suisse
De Frédérique Salomé Egger veuve du Sr Jean Georges Roemer tailleur de limes
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 157-v du 7.1.
Jacques Bosshart meurt en 1821 en délaissant sa veuve pour unique héritière
1821 (17.12.), Strasbourg 3 (67), Me Schreider n° 956
Inventaire de la succession de Jacques Bosshart, adjutant major capitaine retiré décédé le 31 octobre dernier – à la requête de Frédérique Salomé née Egger la veuve héritière universelle testament, contrat de mariage Me Übersaal le 6 janvier 1812, Testament olographe du 25 octobre 1813 déposé au rang des minutes de Me Schreider le 2 novembre
immeubles propre à la veuve non vendus, une maison rue des Parchemins n° 19
une maison rue des Aveugles n° 22
une maison rue du Vent n° 13
dressé au domicile rue du Vent n° 13 – garde robe 645 fr, apports 4205 fr
propres à la veuve 114 fr, vendus pendant le mariage 300 fr, don matutinal 4000 fr ;
communauté meubles 150 fr, total 5000 fr – passif 1460 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 101 du 26.12.
Frédérique Salomé Egger se remarie avec le tricoteur de bas Henri Klein
1821 (27.12.), Strasbourg 3 (67), Me Schreider n° 969
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Klein, tricotteur de bas demeurant rue des Bouchers n° 42 veuf d’Elisabeth née Burger
Frédérique Salomé née Egger veuve en secondes noces de Jacques Bossart, adjudant major demeurant à rue du Vent n° 13
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 115 du 2.1.
Frédérique Salomé Egger meurt en 1843 après avoir institué pour seul héritier son mari qui meurt quelques jours plus tard sans postérité.
1843 (8.3.), Strasbourg 3 (88), Me Burtz n° 237
Inventaire des succession de Henri Klein et De Frédérique Salomé Egger
L’an 1843, le Mercredi 8 mars à neuf heures du matin. A la requête et en présence 1. de De Amélie Martin, femme du Sr Joseph Mosbach, tailleur à ce présent qui l’autorise, demeurant ensemble à Strasbourg, 2. de Dlle Louise Martin, ouvrière passementière, demeurant en la même ville, 3. et de Dlle Madeleine Martin, aussi ouvrière passementière, à Paris et domiciliée à Strasbourg, toutes trois comme habiles à se porter légataires universelles de feu le Sr Henri Klein leur oncle maternel, ancien tricotteur de bas domicilié à Strasbourg, en vertu de son testament reçu par Me Burtz notaire soussigné le 20 février dernier, lequel défunt était lui-même légataire universel de feu De Frédérique Salomé Egger sa femme suivant le testament de cette dame reçu par Me Schreider notaire à Strasbourg le 14 juin 1830. enregistré.
Il va être procédé à l’inventaire fidèle et exact de tous les biens et documents dépendant de la succession desd. Sr et De Klein, décédés tous deux à Strasbourg en leur maison située Quai St Nicolas N° 72 sans laisser d’héritier à réserve, le mari le 23 février dernier et la femme le 20 du même mois. Sur la représentation et la déclaration qui seront faites tant par le Dlle Christine Poetel domestique des défunts habitant de la maison mortuaire et à ce présente que par le Sr Pierre Antoine Zottner, marchand demeurant à Strasbourg gardien des scellés
Les meubles et objets mobiliers évaluée 1080 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 83 du 13.3.
23 mars 1846 n° 242 – Titres et papiers. Cote 1. Première pièce, expédition du contrat de mariage des défunts passé devant Me Schreider le 27 décembre 1821, le Sr Klein était alors veuf en premières noces de feu De Elisabeth Buttler et le De Klein l’était en premières noces du Sr. Jean Georges Roemer tailleur de limes et en secondes du Sr Jacques Bosshard adjudant major capitaine en retraite
Seconde pièce, expédition du testament de la De Klein fait devant Me Schreider le 14 juin 1830 (…)
La deuxième est une expédition du testament du Sr Klein reçu par Me Burtz notaire soussigné (…)
Cote 2. Titres de propriété d’une maison située à Strasbourg rue du parchemin n° 18 (…)
La 4° pièce est une expédition d’un testament reçu Me Übersaal le 27 frimaire an XIII par lequel led. Sr Roemer a institué sa femme son héritière universelle en pleine propriété (…)
Cote 3. Titres de propriété d’une maison située à Strasbourg au quai St Nicolas n° 72 (…)
numéraire 10, description des titres et papiers – Passif 16.202 francs
acp 308 (3 Q 30 023) f° 31-v du 29.3.
1843, Me Schreider
le 14 juin 1830 – Testament par lequel Frédérique Salomé Egger veuve en 2° noces de Jacques Bosshart et épouse actuelle de Henri Klein ci devant tricotteur de bas les deux domiciliés à Strasbourg, institue son dit mari comme légataire universel
acp 307 (3 Q 30 022) f° 27 du 22.2.1843
Frédérique Salomé Egger vend peu de temps avant sa mort la maison au limonadier André Ebel
1843 (18.2.), Strasbourg 3 (88), Me Burtz n° 230
Ont comparu le Sr Henri Klein, ancien tricotteur de bas demeurant à Strasbourg et le Sr Laurent Peter, propriétaire demeurant en la même ville, ce dernier agissant mandataire de De Frédérique Salomé Egger, épouse autorisée de mond. S. Klein (…)
au Sr André Ebel garçon limonadier au Café Baur demeurant à Strasbourg à ce présent et acceptant
Une maison avec une petite cour, droits et dépendances située à Strasbourg rue des aveugles N° 22 et tenant d’un côté à M. Stuber maître charpentier de l’autre à M. Bader de Haguenau, devant à la rue des aveugles derrière à M. Denni surveillant à la manufacture des tabas.
Etablissement de la propriété. Les comparans déclarent que cette maison est la propriété incommutable et irrésoluble des conjoints Klein mariés ensemble sous le régime de la communauté de biens en vertu de leur contrat de mariage passé devant Me Schreider notaire à Strasbourg le 27 décembre 1829 et qu’elle l’est devenue de la manière suivante, savoir, la De Klein qui, avant son mariage actuel, était veuve en secondes noces du Sr Jacques Bosshard adjudant major capitaine retraité et en premières du Sr Jean Georges Roemer tailleur de limes de Strasbourg, a recueilli deux tiers de lad. maison dans la succession du Sr Jean Chrétien Egger ferblantier son père et un tiers dans celle de De Catherine Salomé Sigfried sa mère femme en premières noces dud. Sr Egger desquels défunts la De Klein était seule et unique héritière ainsi que cela résulte d’un inventaire dressé après le décès de la mère par Me Lobstein notaire à Strasbourg le 15 février 1777, d’un inventaire dressé après le décès du père, dernier décédé, par Me Übersaal notaire à Strasbourg le 9 germinal et 11 messidor an X. Et feu les conjoints Egger l’avaient acquise pendant leur mariage aux enchères publiques de la masse des successions du Sr Jean Jacques Braun garde police et de De Susanne Lemorme décédés avec l’accomplissement des formalités judiciaires à la Cidevant chambre des contrats de Strasbourg le 10 mars, 5, 13 et 20 mai et 16 juin 1761. D’après les actes précités, la maison était anciennement grevée d’une petite rente au profit de la fondation de St Thomas de Strasbourg, cette rente paraît avoir été rachetée depuis fort longtemps et supprimée comme entachée de féodalité car M. Klein déclaré n’avoir jamais eu à la payer pendant son mariage. Et suivant un état d’inscription (…) – Prix, 6000 francs
acp 307 (3 Q 30 022) f° 27
Originaire de Rumersheim, André Ebel épouse en 1845 Anne Marie Waag, originaire d’Epfig
Mariage, Strasbourg (n° 112) Du 27° jour du mois de mars 1845, acte de mariage d’André Ebel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 25 novembre 1813 à Rumersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, limonadier, fils de Joseph Ebel, cultivateur et de Catherine Weil conjoints domiciliés à Rumersheim ci présents et consentants, et d’Anne Marie Waag, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 octobre 1812 à Epfig (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de François Joseph Waag, charpentier, et d’Elisabeth Legel, conjoints domiciliés à Schweighausen (BasRhin) ci présents et consentants (signé) André Ebel, A M Waag (i 15)
Inventaire dressé après la mort d’André Ebel
1870 (4.6.), Me Becker
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre André Ebel, farinier, et Anne Marie Waag sa femme à Strasbourg et de la succession du Sr Ebel décédé le 15 mai 1870, à la requête de la veuve comme commune en biens à défaut de contrat de mariage, 2) Marie Julie Ebel, majeure, 3) Marie Anne Elise Ebel, 4) Marie Joséphine Ebel, majeure, 5) Marie Philippine Ebel, majeure, tous à Strasbourg
Communauté, mobilier estimé 2648
acp 594 (3 Q 30 309) f° 13-v du 8.6. (succession déclarée le 13 août 1870)
(vacation du 15 juillet)
une obligation du chemin de fer Villa Emanuel
37 ares de terre ban de Stützheim
créances 200 francs
acp 595 (3 Q 30 310) f° 6-v du 18.7.
André Ebel et Anne Marie Waag vendent la maison au cordeur de bois Georges Mœbs et à sa femme Christine Grussenmeyer
1863 (9.4.), Me Grimmer
André Ebel, garçon limonadier aujourd’hui marchand de farines, et Anne Marie Waag sa femme à Strasbourg
à Georges Moebs, cordeur de bois, et Christine Grussenmeyer sa femme
une maison sise à Strasbourg rue des Aveugles n° 11 moyennant 7000 francs dont mille francs payés comptant – origine vente Burtz le 18 février 1843
acp 520 (3 Q 30 235) f° 90 du 11.4.
Originaire de Rumersheim, Georges Mœbs épouse en 1836 Christine Grusenmeyer originaire de Surbourg
Mariage, Strasbourg (n° 155) Du 20° jour du mois de avril 1836, acte de mariage de George Möbs, majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 avril 1815 à Rumersheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, cultivateur, fils de Florent Möbs, cultivateur domicilié à Rumersheim ci présent et consentant, et de Brigitte Runtz décédée à Rumersheim le 24 mars 1829, et de Christine Grusenmeyer majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 avril 1815 à Sourbourg (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de Georges Grusenmeyer et de Marie Anne Sugg, conjoints domiciliés à Sourbourg ci présent et consentants. (signé) Georg Möbs, Christina Grüsenmeier (i 43)
Registre de population (600 MW 300) i 256
Moebs, Georges, Rumersheim 15, homme marié, Journalier, catholique, français (séjour dans la commune) 32
id. née Grussenmeyer, Christine, Surbourg 15, femme mariée, sa femme, catholique, française, 32
id. Victor, Strasbourg 40, garçon, son fils, d. s. n.
id. Charles, Strasbourg 12 mai 1844, id. fondeur, d. s. n.
(demeure) Quai de la Bruch 5 (puis) 1864 rue des Aveugles 11