Jean Frédéric Lobstein, marchand de soieries, et (1671) Marguerite Meyer – luthériens


Fils de l’aubergiste au Bouc André Lobstein, Jean Frédéric Lobstein devient tributaire au Miroir le 9 octobre 1671. Il épouse quelques jours plus tard Marguerite Meyer, fille du tonnelier Jean Meyer le vieux. Tous deux dictent testament en janvier 1675 dans une maison qui appartient à la fondation de l’université rue du Vieil-Hôpital.
Jean Frédéric Lobstein s’oppose devant les Quinze en 1705 et en 1706 au corps des passementiers qui lui reprochent de vendre toutes sortes de cordons mi-soie interdits par le règlement. Il n’obtient cependant pas gain de cause.
Jean Frédéric Lobstein meurt de maladie consomptive le 13 janvier 1729 à l’âge de 78 ans et
Marguerite Meyer le 13 juillet suivant à l’âge de 81 ans.

Maison en propriété
1705, Vieux-Marché-aux-Poissons (VI 221, actuel n° 40 )

Enfants

  • Anne Marguerite, épouse (1691) Jean Nicolas Wittmar, marchand de soieries, puis (1717) Jean Heupel, receveur à l’Orphelinat
  • Marie Salomé, épouse (1696) Jean Henri Vigera, marchand
  • Jean Frédéric, marchand, épouse (1708) Marguerite Mollinger


Signature au bas de l’acte d’achat de sa maison (1705, Chambre des Contrats f° 801-v)

Louis Pierre d’Hozier, Armorial général, page 751 (image B.N.F., Gallica)


Jean Frédéric Lobstein devient tributaire au Miroir le 9 octobre 1671. Il est imposé pour 22 livres 19 sols en 1724.

1724, Registres annuels de la Taille (VII 1217) f° 26
Spiegel – Johann Friedrich Lobstein Sen. ins. 9.ten 8.br. 71, 22 lb 19 ß

Fils de l’aubergiste au Bouc André Lobstein, Jean Frédéric Lobstein épouse en 1671 Marguerite Meyer, fille du tonnelier Jean Meyer le vieux

Mariage, cathédrale (luth. f° 150 n°71)
1671. Zum 2. mahl Johann Friderich Lobstein der Paßmentmacher, H. Andreas Lobsteins Würths Zum Bock und Burgers alhier ehel: Sohn, Jfr. Margaretha, hr Johann Meiers des ältern Kiefers undt Burgers alhier ehel. T. Montags den 11. 10.bris Münster (i 152)

Jean Frédéric Lobstein et Marguerite Meyer qui est alitée et souffrante font leur testament en janvier 1675 dans une maison rue du Vieil-Hôpital qui appartient à la fondation de l’université.

1675 (9.1.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Codicill Herrn Hannß Friderich Lobstein Paßmentirerers vndt Fr. Margaretha Meÿerin
persönlich Erschienen seindt der Ehrengeachte H. Hannß Friderich Lobstein Paßmentmacher, vndt beneben ihme die Ehren vnd tugendsame Fr. Margaretha Meÿerin beede Eheleüth, vndt Burgere alhie Zue Straßburg, Er der Ehemann vffrechten gesund gehenden vndt stehenden: Sie die Ehefrau aber Matten: vndt schwachen leibs auff einem beth ligendt (…)
Verhandelt seindt dise ding In Straßb. In einer In dem Spitthal gäßlein Vndt In die Schulschaffeneÿ gehöriger behaußung dero Wohnstub. mit den fensten In gedachtes gäßlin außsehendt (…) Sambstags den 9. Jan. A° 1675.

Le corps des passementiers fait grief à Jean Frédéric Lobstein de vendre toutes sortes de cordons interdits par le règlement. Jean Frédéric Lobstein porte l’affaire en mai 1705 devant les Quinze qui la jugent le 11 décembre 1705. Les passementiers demandent qu’il soit interdit d’apporter les cordons mi-soie et de les vendre à Strasbourg en arguant qu’ils sont interdits dans tout l’empire et portent préjudice aux passementiers. Jean Frédéric Lobstein objecte que les passementiers ont pris leur décision alors qu’il était souffrant et que les cordons incriminés sont apportés par les Français et les Genevois, qu’on les vend en grande quantité aux campagnards à Colmar et à Sélestat. Ce commerce apporte en outre des revenus à la Ville. Les passementiers relèvent que le contrevenant a de son aveu même vendu cinq cent cordons bien qu’ils le lui aient interdit depuis le mois de décembre précédent. Ils demandent qu’une amende soit infligée au contrevenant qui devra en outre se débarrasser des cordons qui lui restent. Le préteur royal est d’avis d’appliquer le règlement dans toute sa rigueur, ce que décident les Quinze.
Jean Frédéric Lobstein poursuit l’affaire. Il proteste en mars 1706 que son intention était de favoriser le commerce de la ville et de satisfaire la clientèle. Les cordons vendus par les marchands lyonnais parviennent en Alsace et outre-Rhin et pourraient être vendus lors des foires. Ils rapportent des taxes à la Ville et sont plus appréciés des campagnards que les cordons entièrement en soie. Les passementiers répondent que la marchandise est de mauvaise qualité, qu’elle rapporte peu à la Ville puisque les articles en soie sont exempts de taxe et qu’il s’agit seulement de tromper le client qui peut couramment trouver des cordons en laine. Si les passementiers de Strasbourg fabriquaient de tels cordons, ils ne gagneraient que 5 sols même si Jean Frédéric Lobstein les vendait 12 sols. La commission s’informe si la décision des passementiers de ne pas revenir sur l’interdiction de vendre les cordons mi-soie a été prise en toute équité, ce que confirme le secrétaire de la tribu. Le préteur royal déclare que le contrevenant ne présente pas d’argument suffisant pour que l’assemblée revienne sur son jugement. La question des foires a aussi été jugée. L’allégation d’après laquelle les passementiers auraient influencé leur décision est elle aussi fausse. Jean Frédéric Lobstein déclare ensuite avoir certes vendu les cordons mi-soie qui lui restaient, mais à ces marchands qui ont aussitôt quitté la Ville. Le préteur royal déclare qu’en l’occurrence on ne peut lui reprocher de ne pas avoir observé le règlement et que l’amende pourra être réduite de moitié.

1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 130-v) Sambstags den 2. May 1705 – G. noê der Meistersch der Paßmentirer erscheint Joh: Daniel Dünckel vnd Johann Ludwig Küchel Cit: per sched. Hn Johann Friderich Lobstein den handelsmann vnd burger alhie, Klagen deß derselbe wider artic. allerhandt Zugbandt verkauffe, bittet Ihme, welches obrigkeit Zu verbiethen. S. Citatus præs. bittet zu mherren bericht deputationem. G. setzts. Erkandt, an die Obere Handwercks Hh. gewießen.

(f° 148) Sambstags den 16. May 1705 – G. noê der Meistersch der Paßmentirer in dero nahmen Joh: Daniel Dünckel erschienen Cit: per sched. Hn Johann Friderich Lobstein den handelsmann prod. unterth. Gehorsambsten bericht juncto petito mit beÿlag Sub Lit. A. wie inhalts. S. Citatus præs. bittet dießer einlag Cop. vndt T. ord. obtinuit.

(f° 165) Sambstags den 30. May 1705 – G. noê der Meistersch der Paßmentirer erscheint Joh: Daniel Dünckel Cit: per sched. Hn Johann Friderich Lobstein den handelsmann, erhohlt Recess vom 16. hujus undt will erklärung vernehmen. S. producirt unterth. Gegenbericht mit angehengten bitten. G. Bittet Copiam vndt Term. Ord. Obtinuit.

(f° 182-v) Sambstags den 26.t Juny – G. noê E E Meistersch der Paßmentirer erscheint H Johann Daniel Dünckel Cit: Hn Johann Friderich Lobstein den handelsmann, prod. unterth. Gehorsambse Replic Schrifft, juncto petito et Conclusione, handelt wie darinn. S.. Citatus præs. bittet copiam producti et Term. ord. Obtinuit.

(f° 221-v) Sambstags den 22. Aug. 1705. – S. noîe H. Joh: Fridr. Lobsteins des handelsmanns alhie, Cit. per scheda E. E. Meisterschafft der Paßmentirer, prod. unterth. Schlußschrifft mit nochmahligem bitten, pri deputationem continuatione. G. H. Johann Daniel Dünckel præs. bittet copiam producti vndt s. die sach Zur deputaôn. F. laßt Cop. Zu. Erk. gebettene Deputation willfahrt. Obere Handwerckshh.

(f° 376) Freÿtags den 11. Decembris 1705. – E E Meistersch der Paßmentirer Ca. Joh: Fridrich Lobstein
Obere Handwercks herren laßen durch herrn Secretarium Friden referiren wie In Sachen E. E. Meisterschafft der Paßmentirer gtram Johann Philipp Lobsteins dem handelsmann allhier pt° Verkauffs der halbseidenen Zuckbanden vorkommen, vnd berichten daß die parten weitläuffige schrifften in dießer Sach gegen einander gewechßelt vnd die Kläger fürnemlich auff Einem ahne dießem orth im Decembri vorigen jahrs erhaltenen bescheid sich bezogen, der dahin gienge, das solche halbseidene Zuckbande vnd dergleichen gattungen nicht mehr hergebracht, viel weniger allhier verkaufft, sondern gäntzlich abgethan vnd verbotten sein sollen, mit dem anhang, daß dieße halb seidene band nicht allein in dem gantzen Römischen Reich verbotten sein sondern auch der debit derselben dem sambtlich. Paßmentirer handwerck höchst præjudicirtlch were, dabeneben auch große betriegereÿen damit vorgiengen, maßen die Krämer, so dieselbe allhier einkauffen, nachgehends selbige auff den land für gantz seidene verkauffeten vnd daß ohngeachtet sothanem Verbotts beklagter Herr Lobstein, ob schon andere hiesige handelsleüth dem selben Zufolge Keiner dergleichen band mehr anhero brächten vnd verkauffeten, demnach damit continuire vnd ihren handwerck großen schaden thäte, mit beÿgefügter bitt die Obrigkeitliche hülffs hand ihnen dahin Zubieten daß dergleichen liederliche vnd verfälschte wahren gantzlichen niedergelegt vnd außgerottet mithien dem beklagten beÿ empfindlicher straff verbotten [f° 377] werden möchte keine dergleichen Zuckband mehr anhero bringen Zu laßen viel weniger zu debitiren
der beklagte Lobstein aber darauff geantwortet habe, daß die Klägere den allegirten bescheid beÿ seiner dermahligen unpäßlichkeit sub: et obreptitié erhalten, auch denenselben Schwer fallen würde Zu erweißen, daß solche Zuckband in dem gantzen Römischen Reich verbotten seÿen, maßen Zu dem Friedens Zeiten von denen frantzoßen selbsten anjetzo aber von dem Genffen dieselbe im zimlicher quantität ins Reich gebracht vnd verkaufft würden, mit dem anhang daß wan solche wahren ferner anhero zubringen verbotten werden solten, nicht allein ein großer abgang ahne der Statt gefällen vnd Zöllen erscheinen, sondern auch der freÿe lauff der commercien dadurch gehindert vnd gleichwohlen durch solches verbott, dergleich. Zuckband nicht auß dem land gebracht werden würden angesehen dieselbe Zu Collmar vnd Schlettstatt in großen quantität den Landtkrämern verkauft würden, mit beÿgefügter bitt Zu mehrer der sachen vndersuchung die Deputation mit Zu Ziehung einiger von der handlung vnd noch mehrerer von der Meisterschafft Zu continuiren,
Warauff hien die herren Deputirte nach reifflicher ponderiren aller vorgebrachter rationen vnd vmbständen vnd alles dießem was hinc inde beÿderseiths gehandelt [f° 377-v] worden, darvorgehalten, daß weilen der in aô 1704. im Decembris ergangener bescheid gantz klar auch damahlen die Sach genugsam erwogen worden, der beklagte aber ohngeachtet deßen mit verkauff solcher verbottener halb seiden Zuckband continuirt habe auch biß auff 500 stuck, wie Er selbsten beÿ der Deputation bekandt, verkaufft, es beÿ sothanem Verbott nicht allein Zulaßen, sondern auch der Contravenient in 5. lb. straff beneben bekehrung der Vnkosten, welche sich auff 7 fl. 7. ß 8 d belauffen, Zu condemniren und die noch restirende dergleich banden ohnverzüglich auß der Statt Zu schaffen schuldig sein solle, vnd wenn auch künfftighien dergleich beÿ ihme gefunden würden, sollen dieselbe confiscirt vnd hie* allen andern Kauffleuthen solche Zu debitiren Verbotten sein.
Herr Syndicus Regius meldet hierauff, es were nicht genug, daß Eine Obrigk. ordnung mache, sondern es müßte auch ab der execution derselben gehalten werden, weilen nun dießes reglement vndt verbott der quæstionirten Zuckbandt cum plena cognitione causâ ahne dießem orth gemacht vndt auch publicirt worden, alß werde auch solche Zu exequiren sein vnd Zwar solches vmb so mehr weilen es schon längsten in rem judicatam erwachßen, es were auch gar wohl von denen herren Deputirten angesprochen worden, daß zu coercirung deß Contravenienten derselbe mit 5 lb straff angesehen, vnd ihme beditten werden sollte, daß wann Er ins Künfftige wider solches verbott handlen solte, man sich mit der gelt straff nicht contentiren, sondern mit aller rigueur vnd confiscation der wahren selbsten wider ihne procediren werde. Erk. H. Syndico gefolgt.

1705, Protocole des Quinze (2 R 110)
Johann Friedrich Lobstein,
(f° 13) Sambstags den 23.t Januarÿ 1706 – Saltzm. noîe Joh: Friderich Lobstein gtra. E E Meisterschafft der Paßmentirer Ober meister H. Johann Ludwig Bruder, prod. unterthäniges Memoriale vnd bitten pro Deputatione. G. Citatus præsens b. copia vnd T. O. obt.

(f° 40-v) Sambstag den 13. Febr. 1706) – G. noîe E E Meisterschafft der Paßmentirer erscheint H. Johann Ludwig Brud. d. Ober Mr Cit: Hn Johann Friedrich Lobstein den handelßmann prod. unterth. exception, juncto petito handelt wie darin. S. Citatus præs. prod. gegenschrifft anstatt mündlichen Receßes und bittet Deputationem. G. bitt cop. producti vnd Jur. Deputaô. Erk. gebettene Copia und Deputation willfahrt. Obere handwercks Hh.

(f° 81-v) Freÿtags den 19. Martÿ 1706. – E E Meistersch der Paßmentmach. Ca. Joh: Fridrich Lobstein pt° der Zug bandt
Obere Handwercks hh. laßen durch herrn Friden proponiren, es hette MGHherren, auff ansuchen E. E. Meisterschafft der Paßmentirer den 12. Xbris 1705. wie in dem Protocollo fol. 328. Zu sehen, Erkandt, daß die so genante halb Seiden Zug bandt, allhier nicht mehr gelitten, und weder eineführt noch hier verkaufft werden solten. Es seÿe aber ein gantzes Jahr verstrichen, bis Johann Friderich Lobstein eingekommen, Vndt gebetten, daß solche Zugbandt erlaubt werden möchten. Worauff den 11.ten Xbris 1705. widerumb Erkandt worden, daß es beÿ dem vorigen bescheidt sein verbleiben haben, vndt weilen H. Lobstein selbsten beÿ der deputation bekant, daß Er seithero über 500 stuckh von den banden quæstionis verkaufft habe, Er deßwegen 5. lb d straff neben refundirung der unkosten Zuerlegen schuldig seÿn solle, Worauff derselbe den 23. Januarÿ jüngst mit gegenwärtigem unterth. Memorial, so H. Fridt abgelesen, eingekommen, vndt darinnen repræsentirt, welcher gestalten Er mit höchster betrübnus vernommen, daß Er nicht allein in meiner Gn. Herren ungnadt gefallen, sondern auch noch in eine Geltstraff condemnirt worden seÿe, da Er doch nur die intention gehabt mit dießen Zugbanden, das bonum publicum vndt interesse fisci Zu beförderen, maßen seithero als herr XV. König als ober handwercks hh. in dem Kauffhauß angezeigt, daß man keine Zugbandt mehr anhero kommen laßen solte, Er keine mehr eingekaufft, sondern von 5. Jahren her, noch 4. bis 500 dutzendt dergleichen bandt in vorrath gehabt, davon aber keine ehl verkaufft habe, ohngeachtet solches von seinen [f° 82] nachbaren geschehen seÿe. (2) seÿe zwar wahr daß als die geschworene Meister ihne gefragt, ob Er die verkauffung der quæstionirten Zug bandt, unterlaßen wolle ? Er mit Nein, geantworttet, es seÿe dann daß Sie Ihne, beÿ MGHerren verklagen würden, allein habe Ers nicht in der intention gesagt, deroselben bescheidt sich Zu widersetzen, sondern nur occasion Zu haben, der Paßmentirer falsches gesuch Zu remonstriren, und laße Er Zwar gern denenselben, ihre articul, daß dergleichen bandt alhier nicht gemacht werden solten, allein were die frag, ob solche nicht in de beeden Meßen eingekaufft werden dörffen. Die affirmativa erhelle daraus, daß solche Bandt in Franckreich und im Reich vor passirlich gehalten, vndt von den Lyoner Kauffleüthen ins Reich in die Schweitz vnd von dar ins Elsas geführt, vnd sowohl diß, als Jenseiths Rheins verkaufft werden, wann schon solche in der Statt verbotten seÿen. (3) gehe dem fisco von iedem Cto 10 fl. Zoll ab, so davon bezahlt worden, vnd seÿe dieße wahr den Landtleüthen desto angenehmer, weil sie nicht so hoch als die gantze seidene band kommen. (4) seÿe die Klag nur von etlichen Meistern Guth geheißen, von vielen aber nich approbirt worden, vndt wann dieße wahr, wie gegentheil Vorgibt, so betrüglich were, selbige weder in Franckreich noch ilm Elsaß nicht geduldet werden würden, neben dem die Paßmentmacher aus ihren articlen nicht erweißen werden, daß solche bandt in den Meßen verbotten geweßen, mit unterth. bitt, die einfuhr vndt verkauffung ged. bandt in den Meßen, so zu gemeiner Statt besten gereiche*, Zu erlauben, vndt Ihne der angesetzten straff gn. Zu erlaßen.
Auff welches die Meisterschafft der Paßmentm. den 13. febr. jüngst in einer exception schrifft, be- [f° 82-v] richtet daß Lobstein seithero, wider das verbotten die bandt quæstiois in seinem Laden offentlich feil gehabt, undt den Schawmeistern sagen dörffen, daß Sie Ihme nichts Zu befehlen hetten, und andere, dergleichen bandt auch verkauffen, so der wahrheit Zuwider, maßen Sie wohl wüßten, daß solche betrüglich undt keine gute wahren seÿe, (2) were das, wie vom fisco angeregt worden, lächerlich, als wann die Seiden wahr Zollfreÿ seÿen, so seÿe (3) das Lobstein vorgeben, als wass dieße wahr, den Landtleüthen angenehmer were, auch eine schöne Feinte die leüth zu betriegen, grad als wann keine wullene bandt auff den landt getragen würden, daß (4) nur etliche Meister die Klag approbirt, seÿe der wahrheit nicht gemäß, in dem einer nach dem andern, darüber angehört worden, vnd Sie alle einmüthig dahin eingestimmet daß das verbott continuirt werden möchte, wie dan auch dem H. Schwartzen, dergelichen Bandt Confiscirt vndt ins weißenhauß getragen und den Kindern außgetheilt worden seÿen. Weilen nun des Lobsteins vorgeben, eigennützig, falsch und der wahrheit zu wider seÿe, auch der Statt und burgerschafft zu höchster præjuditz vndt schaden gereiche, Als wolten Sie unterth. Gebetten haben, des Lobsteins halsstarrigkeit den Ziehl* nicht Zu laßen, sondern Sie, beÿ dem gegebenen bescheidt undt habenden articlen gn. Zu manuteniren.
Worauff mehrged. Lobstein eod. eine schrifft anstatt mündlichem Receßes übergeben, undt darinnen ferner angebracht, daß nach deme die geschwornen Meister seine erste schrifft erhoben, Sie von einer werckstatt Zu der andern herumb gegangen vndt denen Meisteren, so nicht in ihren favor geredet [f° 83] ihr übles procediren Zu gemuth geführt, und dabeÿ ermahnt beÿ dem handwerckh fest zu halten, und daran zu seÿn, das offbesagtes verbott continuirt werden möchte, mit vorstellung daß wann solche bandt hier gemacht würden, Sie vom stückh nicht über 5 ß macherlohn haben würden, da doch Er Lobstein gern vom stk. 12 ß geben wolte. Vndt nachdeme er in seinem ersten Memoriali vorgestellt, daß nicht alle Meister mit der abstellung Zufrieden, so habe man ein Handwerckh darüber gehalten, da Zwar die meisten in die abschaffung der quæstionirt. Zugband gewilligt, die andere aber, so etwa dawider einwenden wollen, Bette man nicht anhören wollen, deßwegen sein anbringen auch kein gehör gefunden. Bathe dahero Joh: Niclaus Karthen, Joh: Friderich Kipßen, Johann Michael Rüchel vnd Joh: Michael Braunen darüber Zu hören, aus deren außsagen sich Clar hervor thun werde, daß Er nichts als der Statt interesse gesucht habe, Zumahlen solche wahr ohne dem, auff alle ersinnliche weiße in die Statt gebracht werde.
Auff beschehene Remission habe man nicht ermangelt davon Zu reden, sonderlich weilen Lobstein angebracht, daß nicht alle sonderlich weilen Lobstein angebracht, daß nicht alle Meister der meinung weren, daß d. Verbott contuinuirt werden solte Es habe aber H. XV. Scherer, als Ober Handwercks Herr berichtet, daß dann nicht also seÿe, sondern die gantze Meisterschafft die observation MGHeren bescheids Verlange, man habe aber auch vor nöthig erachtet, das handwercks protocoll herauf bring. Zu laßen, vndt den H. Not. Winckler gefragt, Ob die allegirte 4. Meister auch dabeÿ gewesen ? [f° 83-v] welches derselbe mit ja beantwortet, vnd dabeÿ berichtet, daß die gantze Meisterschafft, so in etlich vnd 30.en bestehe, ein müthig geschloßen, daß es beÿ der abschaffung sein verbleibens haben solte, außer daß Johann Friderich Kipß beigesetzt, daß wann alles drunter und drüber gehe, Er auch mit mache. Beÿ welchen umbständen Zu MGHerren stehen werde, ob Sie es beÿ den vorigen bescheiden laßen, undt dem Lobstein an der, ihm angesetzten straff, eine moderaôn gedeÿen laßen wollen.
Herr Prætor Regius sagt, es hetten MGHerren über 2. puncten in dießem geschäfft Zu sprechen, der Erste betreffe die Erkantnus so schon hierin ergangen, Vndt die observation deroselben, so von seithen der Paßmentmacher begehrt werde, der 2.te aber die Remission der 5. lb s straff, so dem Lobstein andictirt worden. Den 1.ten puncten belangendt, könne er nicht sehen, aus was vor einem fundament der Implorant die retraction MGHherren bescheidts suche, undt wie man Ihme in seinem begehren willfahren könne, maßen die sach schon Zum 2. mahl cum plenâ Causæ cognitione erörtert vnd außgemacht worden, undt die ergangene bescheidt in rem judicatam erwachßen, dabeÿ das fundament geweßen die articul und Ordnungen, vndt Mghherren intention allezeit dahin gegangen, daß Sie exequirt werden sollen, man habe auch wider Zeit Considerirt, daß wan die articul abgethan würden, keine ordnung, keine disciplin, keine Policeÿ mehr seÿn, vndt von der burgerschafft kein respect vndt kein Gehorsam mehr bezeügt werden würde. Dießes seÿen die fundamenta geweßen, welche so starck [f° 84] daß wann nicht also gesprochen worden were, es noch geschehen müßte. wann auch Imploranten angeführten rationes solten considerirt werden, so hetten MGHerren gehört, daß von demselben nichts newes eingebracht word. vnd weilen kein Richter etwan von seinem Bescheidt ändern solle, als hetten MGHerren keine macht ihre Erkantnusen Zu ändern und Zu retractiren. Was die Meßen belange, seÿe es auch eine sach so außgemacht, vnd in rem judicatam erwachßen dahero auch dabeÿ nichts Zu änderen seÿn werde. Daß Lobstein sage, das vier Meister begehren daß solche Zugbandt gelitten werden solten, seÿe es in facto falsch, maßen nicht allein dieße Mstr. darüber gehört, sondern auch aus dem Protocollo dargethan worden, daß solches vorgeben, der wahrheit nicht gemäß seÿe. Supponirt aber daß es wahr were, so könten doch umb vier Meister willen, das Jenige; so MGHherren Erkant, noch die articul nicht geändert werden, dann wann MGHhn. einmahl eine Ordnung gegeben, vnd wann schon die gantze Meisterschafft deren änderung begehren würde, MGHh. es doch ohne große erhebliche ursach nicht thun solten. Deßwegen Er davor halte, daß der Implorant mit seinem begehren abgewießen vnd es beÿ der ergangenen 2.en Erkantnußen gelaßen werden könte. Was die angesetzte straff betreffe, weilen Lobstein vorgebe, daß Er nur gesagt, daß Er den bescheid nicht pariren wolle, aber dawider nicht gethan habe, undt ein unterscheidt unter dem sagen vnd dem facto, Zu Mghh. so halte Er darvor, es werde dießes beßer zu untersuchen seÿn, vndt wann sich finden würden, daß er wider das verbotten von bemelten Zugbandten verkaufft habe, ihme die straff abgefordert, wo es aber nicht were dießelbe remittirt werden könte. Erkandt, Gefolgt.

(f° 101-v) Freÿtags den 26. Martÿ 1706. – Johann Fridr. Lobstein Ca. die Paßmentirer
Iidem [] per herren Friden, es seÿe zufolg MGhherren Erkantnus Johann Fridrich Lobstein, beschickt vndt Gefragt worden, Ob Er seith MGHherren bescheidt keine halbseidene Zugbandt verkaufft habe ? der gesagt, er könne es nicht läugnen, habe aber dabeÿ Versichert, daß Er keinen den burgern, sondern Sie, Frembde Krämeren, die sie gleich Zur Statt hinaus Geführt, verkaufft habe, stünde demnach Zu Mghherren, Ob Sie dem Lonstein an der straff eine moderaôn gedeÿen laßen wollen, was sie unkosten betreffe, die sich auff 7 fl. 7 ß 8 d habe er bereist die meinung gehabt, daß derselbe sie auch bezalhen solle.
Herr Prætor Regius sagt, wann der Lobstein einmahl die Zugbandt eingekaufft, so müße man Ihme auch die gelegenheit geben, solche wider Zu verkauffen, vndt weilen Er keine alhie, sondern dießelbe an frembde verkaufft, so vermeine Er nicht, daß Er wider MGHh. bescheidt gethan habe, vndt deßwegen auff seiner affirmation der straff erlaßen, die vnkosten aber, weilen Eine gantze Meisterschafft solche beßer als ein privat leiden kan, vndt Lobstein schon darin Condemnirt worden, auff die helffte moderirt werden könte. Erk. Gefolgt.

Le receveur Heupel obtient des préposés de la Taille de surseoir à l’inventaire de (son beau père) Jean Frédéric Lobstein eu égard que sa veuve est à l’article de la mort.

1729 (16. Maÿ), VII 1176 – Livres de la Taille f° 281
H. Schaffner Heüpel, wegen weÿl. H. Johann Friderich Lobstein sen. gewesenen Handelßmanns Verlaßenschafft bittet umb dispensation der Inventur biß nach der 81. Jährigen Wittib, welche ohne deme moribunda ihrem erfolgenden ableiben, Erkannt, Willfahrt

Jean Frédéric Lobstein meurt en janvier 1729 et sa veuve au mois de juillet suivant en délaissant trois enfants. Les experts estiment 4000 livres la maison au Vieux-Marché-aux-Poissons que les défunts ont léguée à leur fils. La succession s’élève à 7559 livres.

1729 (30.8.) Not. Lobstein (Jean, 31 Not 25) n° 573
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿland der Wohl Ehrenvest und großachtbahre Herr Johann Friderich Lobstein der ältere Vornehmer Handelsmann und Weÿland die Viel Ehren und tugendreiche Frau Margaretha Lobsteinin geb. Meÿerin beede geweßene eheleuthe nunmehr seel. als dieselbe und zwar Er der Herr zuerst nemblichen donnerstags den 13. Januarÿ Sie die Frau aber zuletzt nemblichen Mittwochs den 13. Julÿ beeder dießes Lauffenden 1729.sten Jahres dieses zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen – So beschehen auf dienstag den 30. Augusti et seqq. Anno 1729
Beede nun in Gott seelig entschlaffene Eheleuthe haben zu Ihren Erben S.is ubique T.is per Testamentum verlaßen wie volgt, 1. Frau Annam Margaretham Heupelin geb. Lobsteinin Herrn Johann Heupels wohlverdienten Schaffners des Stiffts Waÿßenhaußes und Vornehmen burgers allhier Frau Eheliebste, welche mit assistentz Ehrenbesagten Ihres geliebten Eheherrn dem geschäfft in Persohn abwartete, 2. Frau Mariam Salome Vigerain geb. Lobsteinin, Weÿland Herrn Johann Heinrich Vigera geweßenen Vornehmen Handelsmanns nunmehr seel. hinterlaßene Frau Wittib, deren geschworner Herr Curator Herr Johann Friderich Lobstein vornehmer Handelsmann dero eheleiblicher Herr bruder, welcher aber Vor sich selbsten interessirt, dahero dieselben mit assistentz Herrn Philipp Jacob Eberts Vornehmen Handelsmanns Ihres geliebten Herrn tochtermanns beÿ dem geschäfft in Persohn sich eingefunden, So dann 3. Herrn Johann Friderich Lobstein Vornehmen Handelsmann und burgern allhier, Welcher gleichweiße in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingestellt. Alßo alle dreÿ beeder Verstorbener Eheleuthe nunmehr seel. mit einander erziehlten Herrn Sohn und Frau töchtere als per Testamentum zu gleichlingen portionen und antheilen verlaßene Erben

In einer allhier zu Straßburg ane dem Untern Fischmarckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auf der bühn, In der Cammer A, Vor dießem Gemach, Auf der Trückeneÿ Im hindern Cämmerlein, In der Cammer B, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In dero Stub Cammer, Im Haußöhren, In der Küchen, Im hintern Stübel, Im Keller, In des Officiers Stub, Im Garthenhauß
Eigenthum ane Häußern und Gärthen, ([in margine :] Hn Joh: Frid: Lobstein sambt denen vaßen prælegirt umb 4000 lb aber Von denen erben überlaßen umb 3750 lb) Erstl. ein Vorder: und Hinderhauß, Hoff, Hoffstatt mit allen dero gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßburg, ane dem Untern Fischmarckt einseit neben Herrn Johann Nicolaj Mannbergers des geweßenen Langmeßerschmids seel. hinterlaßener Wittib und Erben, anderseit neben Herrn Johann Daniel Langen dem Knöpffmacher hinden auf den Ulmergraben stoßend, davon reicht mann Jährl. dem Mehreren Hospithal allhier wegen des Stifts zuer Rothen Kirchen 1. lb 10. d. Ewigen Zinnßes Jährl. auf Johannis Baptistæ et Nativitatis Christi, ferner 3. lb 14. ß Jährl. Bodenzinßes der Statt Strasburg Pfenningthurn termino Urbani, Sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen, durch (die Werckleute) laut Abschatzungs Zeduls Vom 22. Augusti Anno 1729 angeschlagen per 3810 lb. Darüber meldet ein frantzösischer pergamentener Kauffbrieff in alhießiger Cancelleÿ Contract Stub aufgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel coroboriret, de dato 5. Octobris Anno 1705. mit N° 5. signirt.
It. eine behaußung, Hoffstatt, Höfflein und garthen mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßburg und dero vorstatt Krautenau, ohnfern dem hauß zum Gaul (…)
It. ([in margine :] Frauen Annæ Margarethæ Heupelin prælegirt) ein Gärthlein ohngefähr ein Vierzahl groß, sambt dem darinn stehenden garthenhäußlein, Hoff, Stallung und allen deren zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg und dero Vorstatt Krautenau (…)
– Abschatzung d. 22.t. aug. aô 1729, Auff begehren Weÿland des Ehrenvesten und großachtbahren H. Johann Friederich Lobstein gewesenen handelsmann seel. hinterlaßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auf dem fischmarckt gelegen, enseits Neben H. Johann Daniel Lang handelsman, anderseits Neben H. Mombergers seel: hinter lassenen frau Wittib, hinden auf den Ulmer Graben stosend, Welche behausung hintergebäu, Stuben Cammern, Küchen, hauß Ehren mit steineren platten belegt, laden, Contor, speiß Cämmerl. gewolbte bauch Küche, gewölbter Keller, höffel und bronnen, sambt aller gerechtigkeit wie alles durch der Stat Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb acht Tausend gulden
Der 2.te begriff ist auch allhier in der statt Straßburg in der Krautenau am gaulstaden gelegen einseits Neben H. Consolent Steinheÿl garten stosend anderseits Neben Christop Specht Tabackbereiter hinden auf die heilische scheur stosend, welche behausung, Nebens gebäul., Tricaney, Stuben officier Stub, Cammeren, Kuchen, Hauß Ehren, gewächß und Sommer häusel gewölbter Keller höffel und bronne sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe (…) angeschlagen wird Vor und Umb 900 gulden [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werckmeister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug werck Meister deß Mauerhof
Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. hausraths 386 lb, Sa. Wein und Lährer Vaß 247 lb, Sa. Garthen gewächßes 54 lb, Sa. Silbergeschirr und geschmeids 281 lb, Sa. goldener Ring 37 lb, ß baarschafft 882 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1058 lb, Sa. Häußern und gärthen 4056 lb, Sa. Matten 37 lb, Sa. Schulden 516 lb, Summa summarum 7559 lb – Conclusio finalis 7559 lb, Warvon aber Wider Wegzurechnen der sambtliche hausrath als welchen beede eheleuthe seel. zuverstallen nicht obligirt Waren thut 386 lb, Detrahendo, Stall summ 7172 lb
[Joint] Verzeigniß der Jenigen gewäcks so sich anietzo In des Seel. Verstorbenen Herrn Lobsteins seinen in der Krauttenau gelegnen gartten befinden und wie sie itz im Stand sein und Von unß beÿde unter Schriebene d. billigen Wert nach seind geschätz und an geschlagen worden wie folget, erstl. in d. kleinen blumen gartten (…), Zweitens was sich in d. grössere Küchen gartten befinden thut wie folget, Straßburg d. 12 August 1729
Copia Testamenti, in dem Jahr 1721 den 15. Junÿ vor weÿland Herrn Not. Daniel Rohren persönlich erschienen Johann Friederich Lobstein der ältere vornehme Handelsmann und beneben Ihme die Viel Ehren und tugendreiche Frau Margaretha gebohrne Meÿerin dessen Ehegattin (…), ane dem Vierdten, prælegiren sie beede testirende Ehepersohnen Ihrer ältern lieben dochter Frauen Annä Margarethä Heupelin geb. Lobsteinin dero Kleinern Garten sambt ellen darinn befindlichen Gewächßen bäumen und was sonsten darzu gehörig, beneben dem neüen Gebäu, Häußlein, Hoff, Stallung und übrigen begrüffe, und die Helffte des vorder Haußes, woran Sie schon selbsten den anderen halben theil eigenthümlich hat, vor freÿ ledig und eigen, ohne Entgeltung oder bezahlung einigen Hellers, doch solchen allererst anch beeder Eltern todt, also finito usufructu habend zuempfangen und zubeziehen,
Sechstens, ist Ihr beeder Will und Verordnung daß Ihrem lieben Sohn Herrn Johann Friederich Lobstein dero eigenthümliche ane dem Fischmarckt liegende gantze Wohnbehaußung mit allen zugehördten, beneben denen offenthürlein, Camin bräther, bauchkößel, alle faß im Keller groß und klein, sambt den Liegerlingen, nach beeder Eltern Todt gegen Einschießung in gemeines Erbe die Summ vom 5000 thaler (…), mit dem expressen Anhang, daß solche behaußung künfftig allezeit auf Lobsteinischer Lini und also sein des Sohns familie verbleiben solle,
Ane dem Siebenden, befehlen und Ordnen beede disponirende Ehepersohnen, daß der Große Garten cum appertinentiis acht Jahr lang nach Ihr beeder tödlicihen Ableiben ohnverkaufft und unter denen dreÿen Kinderen und erben (ohnvertheilt bleiben soll), expedirt den 5. feb.1728, Johann Philipp Lichtenberg
Copia Nachdispositionis – der Ehrenvest und Großachtbahre Herr Johann Friederich Lobstein der ältere Handelsmann und die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Margaretha geb. Meÿerin beede eheleuthe, den 6. Novembris 1727, Not. Johann Philipp Lichtenberg

Jean Frédéric Lobstein meurt de maladie consomptive le 13 janvier 1729 à l’âge de 78 ans. Il est inhumé au cimetière Sainte-Hélène

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1716-1731, f° 154, n° 5)
1729. Eod. [Donnerst. d. 13. Jan:] Nachmittahs ein Viertel nach 3. Uhr ist an Verzehender Kranckheit gestorben v. Sambst. darauff nach gehaltener Leich Pr. in der Neuen Kirch, auff dem Gottes Acker S. Helenen begraben worden H. Joh: Friedrich Lobstein Senior, b. v. handels M. seines alters 78. Jahr 10. Monath v. 9 Tag, deme ich Mich. Fr. Boehm Diac. Sen. parentirt [unterzeichnet] Johann Friderich Lobstein als Sohn, Johann Heupel Weÿß. Schfr. als Tochtermann (i 159)

Marguerite Meyer meurt de maladie consomptive le 13 juillet 1729 à l’âge de 81 ans. Il est inhumé au cimetière Sainte-Hélène

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1716-1731, f° 161-v, n° 51)
1729. Mittw. d. 13. Jul. abends Zwischen 6. v. 7. Uhr ist an Verzehender Kranckheit gestorben v. Freit. darauff nach gehaltener Leich Pr. in der N. Kirch, auff dem Gottes Acker S. Helenen begraben word. Fr. Margaretha geb. Meÿerin, weÿl. H. Joh: Friedrich Lobstein geweßenen Handels M. v. b. alhie nachgel. fr. Wittib, Ihres alters 81. Jahr weniger 1. Monath, deren ich Mich. Fr. Boehm Diac. Sen. parentirt [unterzeichnet] Johann Friderich Lobstein als Sohn, Johann Heupel Weÿß. Schfr. als Tochtermann (i 167)


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