24, rue Brûlée


Rue Brûlée n° 24 – V 71 (Blondel), N 1306 puis section 65 parcelle 7 (cadastre)

Millésime 1561. Deux maisons réunies en 1628 par le brasseur Jean Kolb
Nouveau bâtiment en 1747, maître d’ouvrage Jean François Hirschel, brasseur
Transformations en 1764 (millésime et lion), maître d’ouvrage Jean Gaspard Lœw, brasseur
Bâtiments démolis en 1904 pour élargir la rue du Parchemin
Nouveau bâtiment rue Brûlée, 1904, maîtres d’ouvrage Albert Wieger et Georges Graff, architectes Jules Berninger et Gustave Krafft

Autre adresse, 11, rue du Parchemin


Vue générale – Etage de l’angle (mai 2022) – Façade rue Brûlée (octobre 2024)

La maison d’angle qui appartient à la veuve du tailleur de pierres Jean Georges Fellinger n’a pas d’avance selon le Livre des communaux (1587). Adolphe Seyboth y signale le millésime 1561 (édition en allemand, p. 25). Christophe Hillmann est brasseur zum Rosenkrantz (soit Chapelet ou Couronne de roses) en 1609 avant d’acquérir la maison. Le brasseur Jean Kolb achète la maison brasserie en 1628 puis la voisine rue Brûlée (21 pieds de long) qu’il reconstruit la même année. Il s’établit ensuite à l’Autruche face à la Boucherie. Il vend le Chapelet à Michel Deffner en 1634 mais en redevient propriétaire quelques années plus tard. La brasserie revient ensuite à son gendre Jean Léonard Schropp (1658). Jean David Schurer entrepose du bois dans la maison arrière de son voisin boulanger en 1707. Jean Schuler réunit en 1738 à sa maison brasserie le terrain de 50 pieds sur 28 où se trouve le bâtiment arrière de la maison boulangerie voisine. Le brasseur Jean François Hirschel achète la maison en 1746, les préposés au bâtiment lui demandent l’année suivante de démolir la maison arrière dont le mur incliné menace de s’effondrer. Jean François Hirschel reconstruit alors sa maison comme en témoignent les obligations qu’il passe pour en couvrir les frais (1747) et le litige qui l’oppose au menuisier avec lequel il a passé un marché pour construire un escalier desservant trois étages (1748). Le brasseur Jean Gaspard Lœw et Marie Dorothée Feigler chargent en 1764 un des maîtres maçons Müller de faire des travaux (aménager un poêle, une cuisine et des cheminées à la française au premier et au deuxième étage). Adolphe Seyboth cite le millésime 1764 et une sculpture qui représente un lion (Löwe comme le nom du propriétaire) tenant un gobelet.


Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). Rue du Parchemin en bas, la maison est celle à l’angle, face au jardin du couvent des Antonins – Rue Brûlée, maison d’angle à pignon au milieu de l’image et bâtiment voisin à galeries

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois rue du Parchemin, un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie rue Brûlée. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (u-a) rue du Parchemin a une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres, un étage mansardé et une toiture à une lucarne. La façade correspondante (a-a’) rue Brûlée a trois ouvertures régulièrement réparties à chaque niveau. Le bâtiment suivant à droite de (a’) a une porte cochère au milieu de la façade et trois fenêtres de chaque côté. Les deux étages et l’étage mansardé ont chacun sept fenêtres. La toiture a un niveau de lucarnes. La cour A montre l’arrière (3-4) du bâtiment rue Brûlée, au nord l’aile (2-3) au fond de la cour un bâtiment à terrasse (1-2) derrière lequel on voit la propriété voisine, au sud (4-1) une porte et le mur d’un voisin rue du Parchemin.
La maison porte d’abord le n° 21 (1784-1857) puis le n° 13 de la rue du Parchemin, le n° 19 (1784-1857) puis le n° 124 de la rue Brûlée.


Cour A – Conversion de mansardes en étage ordinaire, 1873 (dossier de la Police du Bâtiment)

La maison sert toujours de brasserie en 1808 quand le sellier Jean Knoderer l’achète mais plus quand il la revend en 1810. Le menuisier Jean Michel Letz cède en 1844 à son voisin Jean Nicolas Villot la mitoyenneté d’un mur. D’après les polices d’assurance (1874 et 1884), la maison rue Brûlée construite en pierres, briques et bois, couverte en tuiles, comprend un bâtiment principal à trois étages sur la rue Brûlée à aile en retour à deux étages à droite dans la cour, un bâtiment au fond de la cour à rez-de-chaussée surmonté d’une plate forme, un bâtiment à gauche de la cour à rez-de-chaussée et comble. La maison rue du Parchemin, construite en pierres, briques et bois, couverte en tuiles, communique avec la précédente et comprend une cave voûtée, un rez-de-chaussée, trois étages, mansardes et grenier.


Façades vers la rue Brûlée, 1884 – Projet de devantures, 1897 (dossier de la Police du Bâtiment)

André Frédéric Mehl charge en 1873 l’entrepreneur Nuss de remplacer l’étage mansardé par un troisième étage en maçonnerie. En 1884, Jean Jacobi fait établir des devantures et une porte, agrandir les fenêtres en façade et transformer la distribution intérieure. Il fait aménager en 1887 une boulangerie au sous-sol. La Ville achète les bâtiments en 1900. Elle les revend en même temps que tous ceux de part et d’autre de la rue du Parchemin aux entrepreneurs Albert Wieger et Georges Graff qui sont chargés de les démolir et d’en construire de nouveaux sur les terrains non incorporés à la voie publique. Les architectes Berninger et Krafft déposent en 1903 une demande pour construire un nouveau bâtiment sur le terrain Wieger et Graff à l’angle de la rue Brûlée et de la rue du Parchemin. Les propriétaires sont autorisés en septembre 1903 à construire un bâtiment à quatre étages qui pourra avoir 18 mètres de haut sur toute sa longueur rue Brûlée. Les anciennes maisons sont démolies début 1904, le gros œuvre est terminé en octobre 1904. Les trois premiers étages sont en briques de deux couleurs, le quatrième en pan de bois soutenu par sept piliers en maçonnerie. Les piliers entre les baies des devantures sont en pierre ainsi que les consoles et les linteaux sculptés. L’angle arrondi a deux balcons (aux deuxième et quatrième étages) reliés par des colonnes métalliques. La toiture polygonale de la tourelle se termine par un lanterneau. Les linteaux, les consoles et les ferronneries sont ornés de motifs végétaux Art Nouveau.
Le local commercial est occupé par les installations électriques Ziss et Mensler puis Alphonse Bruder. Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944.


Dessins des architectes Berninger et Krafft, 1903. Elévation rue du Parchemin (et non rue Brûlée comme la légende le prétend) et coupe – Plan du rez-de-chaussée – Plan de situation et signatures (dossier de la Police du Bâtiment)

Détail de l’angle (novembre 2025) – Etages rue Brûlée (septembre 2024) – Etages rue du Parchemin (novembre 2025) – Porte, Millésime 1904, A. Wieger – Vue vers 1925 (coiffeur à gauche, électricien Ziss à droite)

novembre 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1578 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Georges Fellinger, tailleur de pierres, et (1571) Marie Nasser – luthériens
1588 h Josse Faullimmel, tonnelier, et (1588) Marie Nasser veuve de Jean Georges Fellinger puis (1591) Odile Zinck – luthériens
1594 v Jean Frauler, tailleur de pierres, et (v. 1593) Marguerite Detzer – luthériens
1615* v Christophe Hillmann, brasseur, et (1608) Julienne Keller, d’abord (1595) femme du soldat Philippe Gamuth – luthériens
1622 v Gabriel Beuchel, corroyeur puis brasseur, et (1620) Marguerite Dattler – luthériens
1627 h Jean Kolb, brasseur, et (1627) Marguerite Dattler, veuve de Gabriel Büchel – luthériens
1634 h Michel Deffner, brasseur, et (1634) Anne Marie Bertram, d’abord (1623) femme du graveur Pierre Aubri puis (1630) du libraire Jean Tscherning – luthériens
1641* adj Jean Kolb, supra
1658 h Jean Léonard Schropp, brasseur, et (1658) Judith Kolb puis (1661) Anne Marie Feigler – luthériens
1687* h Philippe Jacques Schropp, brasseur, et (1685) Anne Ursule Montfort, remariée (1695) avec Jean Philippe Grumbach puis (1697) Jean David Schurer, secrétaire puis brasseur – luthériens
1709 h Jean Michel Schad, marchand, et (1709) Anne Ursule Montfort veuve de Philippe Jacques Schropp, Jean Philippe Grumbach et Jean David Schurer – luthériens
1733 v Jean Schuler, tonnelier et brasseur, et (1734) Anne Marguerite Pick – luthériens
1746 v Jean François Hirschel, brasseur, et (1746) Susanne Barbe Illinger – luthériens
1750 v Jean Daniel Feigler, brasseur, célibataire – luthérien
1757 v Jean Gaspard Lœw, brasseur, et (1757) Marie Dorothée Feigler – luthériens
1786 h (copropriétaire pour moitié) Jean Pierre Graff, brasseur, et (1778) Marie Dorothée Lœw – luthériens
1808 h Jean Knoderer, sellier, et (1782) Susanne Barbe Lœw – luthériens
1810 v Jean Henri Widt, marchand, fabricant de tabac, et (1783) Marguerite Madeleine Grucker – luthériens
1821 v Jean Baur, chef de comptabilité, et (1813) Marie Madeleine Gœringer
1835 v Jean Michel Letz, receveur des contributions, et (1819) Salomé Molique
1873 v André Frédéric Mehl, menuisier, et (1840) Marguerite Barbe Hoffmann, (1847) Salomé Decker puis (1851) Marguerite Brückmann
1884 v Jean Jacobi, menuisier, et (1868) Françoise Sigrist
1900 v Ville de Strasbourg
1902 v (copropriétaires) Albert Wieger, entrepreneur de bâtiments, et (1896) Elisabeth Burger
Georges Graff, constructeur, et (1878) Elisabeth Dubesi – catholiques
1915 h Albert Wieger, entrepreneur de bâtiments, et (1896) Elisabeth Burger

Maison rue Brûlée, réunie à la maison d’angle en 1628

Loup Moler, potier
1603 v Henri Kieffer, remueur de grains
1620* h Jean Frédéric Kieffer, remueur de grains, et (1619) Anne Edich – luthériens
1628 v Jean Kolb (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 400 livres en 1705, 1 800 livres en 1728, 4 000 livres en 1778

(1765, Liste Blondel) V 71, Jean Gaspard Low
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Löb Wittib, 18 toises, 0 pied et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1306, Letz, Jean Michel – maison, sol – 1,15 are

Aubergistes

(Toutes les autorisations ne sont pas conservées, notamment au XVI° siècle)
1622, Gabriel Beuchler (autorisation)
1628, Jean Kaiser, brasseur (bail)
1634, Michel Deffner (autorisation)
1641, André Bœhm, brasseur (bail)
1645, Jean Thomas Holtzschuh, brasseur (bail)
1654, Jacques Kolb, brasseur, et (1654) Marie Salomé Gretzinger
1721, Jean Jacques Soderer (bail, autorisation)
1723, Jean Michel Schad (autorisation)
1732, Jean Wurm (tribu)
1733, Jean Schuler (autorisation)
1757, Jean Daniel Feigler, aubergiste (bail)
1757, Jean Henri Hirschling (autorisation)
1757, Jean Gaspard Lœw (autorisation)
1778, Jean Pierre Graff, brasseur, et Marie Dorothée Lœw (futurs propriétaires)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 107-v
La veuve de Jean Georges Fellinger de Meissenheim règle 1 sol pour sa maison entre Saint-André et la cour Hennengerg (rue des Parcheminiers), à savoir un gradin pavé (4 pieds ½ de long, 1 pied ½ de large) devant les portes.

Das Ander Eck gegen Sanct Andresen über dem Hennenberger Hoff vnd wider der Judengaßen zu gemessen
Hans Georg Fellingers von Meisenheim selligen Wittwe hatt ein gepflasterten Tritt vor d. Thüeren 4 ½ schu lang vnd 1 ½ schu breÿt, Soll Allmend sein und bleiben, Bessert für das Niessen, j ß d

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 118-v
La veuve de Jean Georges Fellinger de Meissenheim règle 1 sol pour sa maison rue Brûlée, à savoir deux gradins en pierre (7 pieds de long, 1 pied ½ de large) devant sa porte arrière face à Saint-André

Brandtgaß die Einseit
Hans Georg Föllingers Wittwe hatt vor Irer hind.e Thüeren gegen Sanct Andres 2 steinen Tritt 7 schu lang vnd 1 ½ schu breÿt, Soll & Bessert & j ß d

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 105
Jean Kolb doit un cens annuel de 2 livres pour une communication à sa maison dite au Chapelet. Le cens passe ensuite à Jean Léonard Schropp

Jetzt Hanß Lienhard Schropp
Herr Johann Kolb, Soll gemeiner Statt, Von einem durchbruch Zum Roßenkrantz, Jahres vf Vrbani 2 lb d
Ext. 1652
New fol. 90

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 90-v
Report dans le registre suivant. Les contribuables sont successivement Philippe Jacques Schropp, Jean David Schurer, Jean Michel Schad et Jean Schuler.

Hannß Leonhard Schropp, Soll von einem durchbruch zum Rosenkrantz vff Urbani, 2 lb
St. Zinnßb. p. 105
jetzt Johann Philipp Schropp ([corrigé en] Philipp Jacob Schroppen W.)
Jetzt H. Johann David Schurer
Jetzt Johann Michel Schad
Jetzt Johannes Schuler
(Quittungen, 1675-1741)
Neuzb fol 332

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 332
Report dans le registre ouvert en 1741. Les contribuables sont ensuite Jean Daniel Feigler et Jean Gaspard Lœw. Le loyer est supprimé par décision du Conseil municipal en date du 6 floréal V

alzb. 90-b
Johannes Schuler soll von einem durchbruch Zum Rosenkrantz Jahres auf Urbani (id est 25. Maji), 2 lb
(Quittungen 1741-1790)

Frantz Hirschel 1747. I°
Joh: Daniel Feigler
jetzt Joh: Caspar Löw der biersieder
(vide Arrêté du C.M. du 6. floreal V)

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1629, Préposés au bâtiment (VII 1344)
Le brasseur Jean Kolb vient d’acheter de son voisin Jean Frédéric Kieffer une petite maison délabrée qui a 21 pieds de long et 17 pieds ½ de large pour la réunir à sa brasserie en la reconstruisant. Les préposés acceptent cette réunion moyennant un cens annuel de deux livres payables à la Saint-Urbain.

(f° 31) Mittwochß den 13. Maÿ 1629. – Durchbruch Inn Judengaß
Im Bierhauß Zum Rosencrantz Und. Inn Judengaß. Augenschein Eingenommen, Begehrt Johann Kolb der Biersieder vnd Jetzige p.prietarius derselben Seines Nachbaren hanß Friderich Küeffers deß Kornwerffers behausung darneb. geg. der Brandtgaß hienab welcher er an sich erkaufft, vnd ein Klein Alt bawfällig uest 21 schuh lang vnd 17 ½ breÿt Ist Zu sein Bierhauß Zubrech. vnd Ein new hoch hauß vff d. gantz. Platz Zue setz. Soll biß negstkommend Sambstag J. d. xv. Stub visitirt vnd beschluß gefast werd. Factus, Erkant Willfahrt, Soll in recognitionem Zinß Jahrs Urbani 2 lb d Vermög Erkantnuß sub N° 34.

(f° 33-v) Mittwochß den 27. May aô 1629 – Zimmer Platz vff Steffanß Plan
Johann Kolb der Biersieder vmb Ein Zimmer Platz vff Steffans Plan Zue 300 Stuck holtz Zu sein vorhabend. baw Zum Rosencrantz. Erkannt Willfahrt ut more daß ers ohnclag v geschmeidig Zusammen leg.
Deficit XV 1629

1707, Protocole des Quinze (2 R 111)
Les deux chefs de chantier déclarent que feu Jean David Schurer a ouvert une communication entre le Chapelet et la boulangerie de Jean Braun. La veuve Schurer déclare que son mari a fait les travaux pendant ses couches et qu’elle ne s’en est pas mêlée. Le boulanger déclare avoir autorisé Schurer à entreposer du bois dans sa petite cave quand il a dû libérer la rue. Il a ensuite demandé un dédommagement pour l’ouverture de deux pieds sur trois que Schurer a faite lui-même dans le mur. Les Quinze condamnent chaque partie à deux livres d’amende dont ils remettent ensuite la moitié. L’ouverture devra être murée ou autorisée.

(p. 58) Freÿtags den 18.ten Februarÿ 1707. – Joh: David Schurer pt° gemachten durchbruchs in Joh: Braunen hauß
Obere Bawherren per Herren Friden, es haben die beeden Werckmeister angezeigt, daß weÿl. Johann Davidt Schurer geweßener biersieder Zum Rosencrantz, einen durchbruch in Johann Braunen des becken seines nachbarn hauß, gemacht habe, Worauff man ged. Schurers Wtb. wie auch ermelten Becken vor sich bescheiden laßen, vndt darüber gehört, da dann Schurerin beditten, daß Ihr mann solchen durchbruch in ihrer Kindbett gemacht, Sie sich mit deßen thun undt laßen nicht meslirt, derselbe auch vermeint, daß es nichts Zu bedeüten haben werde, weilen Er es selbsten gemacht, vndt keinen Maurer dazu gebraucht habe. Johann Braun der beck haben vermeldet, daß als dem Schurer anbefohlen worden sein holtz von der gaß Zu thun, derselbe einen kleinen Keller in der nachbarschafft gelehnt, weilen solcher aber gar verdumpffen war, ihre gebetten, Zu erlauben, daß Er ein Loch in sein holtzhauß machen dörffe, so Er Braun demeselben aus guter nachbarschafft nicht versagen wollen, wann es ohne sein gefahr geschehen könne, darauff Sie sich mit einander dahin verglichen, das ged. Schurer ihme jährl. davor 6 fl. geben solle, der durchbruch seÿe 2 Schuh breit vndt dreÿ schuh hoch.
Auff seithen der Obern Bawherren stelle man Mghherren anheim, Ob sie, obige Verantworttung, vor sufficient annehmen wollen weilen Schurer den durchbruch selbsten gemacht, undt kein Maurer dazu gebraucht worden, iedoch halte man auff solchen fall davor, daß doch iedem theil 2. lb d straff angesetzt werden könten. Erk. Bedacht gefolgt.

(p. 87) Sambstags den 26. Febr. 1707. – Joh: David Schurer pt° mulctæ
S. noîe weÿl. Davidt Schurers des gew. biersieders Zum Rosenkrantz Wb. vnd Erben, vndt dann Johann Braunen des weißbecken, prplen seindt wegen gemachten durchbruchs ieder in 2 lb d straff mulctirt worden, deponirt vor ieden 1 lb d vndt bittet des residui gn. nachlaßes. Erk. wirdt der rest in gnaden nachgelaßen, sollen aber d. gemachte loch wider Zu machen, oder wann Sie dießen durchbruch offen behalten wollen, deßwegen beÿ Mghherren Widerumb einkommen.

1738 Préposés au bâtiment (VII 1398)
Jean Schuler, brasseur au Chapelet, demande l’autorisation de réunir à sa maison brasserie le terrain de 50 pieds sur 28 où se trouve le bâtiment arrière de la maison boulangerie qu’il vient d’acheter, en le séparant du bâtiment avant par un mur et en ouvrant une porte de communication vers sa brasserie. Les Quinze lui ont accordé l’autorisation moyennant paiement d’un capital de 50 livres (N.B. le registre des Quinze est lacunaire)

(f° 45-v) Donnerstag den 31. Julÿ 1738. seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden – Johann Schuler
an Johann Schulers des Bierwürths Hauß Zum Rosenkrantz welcher umb erlaubnus gebetten, den 50. schuhe lang und 38. schuhe breiten Platz, darauff die hinder Gebäu seines neben dem Bierhauß gelegenen Von ihme ohnlängt erkaufften Beckenhaußes in der Judengaß stehen, In dem Bierhauß Zu Ziehen, selbigen Von dem fordern Hauß durch eine Maur Zu Separiren, um eine Communications thür Von dem Bierhauß in Besagten Platz Zumachen. Ist jhme Laut Erkantnus gnädigen Herren der XV. Vom 16. Augusti 1738. gegen einmahliger Bezahlung 50. lb d. willfahrt worden. dt. den 2. Septembris 1738.

1738, Protocole des Quinze (2 R 147)

(p. 321) Sambstag d. 24. May 1738. – Moss. nôe Johann Schühlers biersieders Zum Roßenkrantz bitt umb g. Erlaubnus in seinem 2. aneinander stoßenden Häußern durchbrechen Zu dörffen, wobeÿ doch den andern hauß gar nichy wegen der Einquartierung benomen wird. Erk. Oberbawherren.
(registre lacunaire)

1745 (18.10.) Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 60) n° 228
Jean Schuler passe un accord avec le contremaître Laurent Schott auquel il a vendu une maison entre la boulangerie et le Chapelet. L’accord porte diverses servitudes.

Kauff Zwischen H. Joh: Schuhler Verkäufer und H. Lorentz Schott Käuffer d. d. 18.ten 8.bris 1745
Hiemit bescheine daß ich Zu Ends bemelter dem H. Lorentz schott ballier auff dem bruckhoff Eine behaußung Zu Kauffen gegeben die zwischen dem becken hauß und dem bierhauß zum Rossen Crantz liget vor freÿ ledig vnd Eÿen vndt ist solcher verkauff geschehen vor vndt vm 1400 gulten vndt ist verglichen worden alß Nemlich wo die dielen wandt stehet so hoch sie dato ist ich eine Maur auff führe, als nemlich der untern schwell Zu gleich die maur auff meiner seith hingegen wird ein dächlein über die maur gemacht mit sparen daß daß wasser in daß höfflein Vom dach trauff fölt die maur obe Zum bier hauß gehörig daß dächlein soll aber nicht hoher sein als der jetzige noch am gang ferner ist daß der verkauffer sich vor behalt 2 francösch. im auß gang von seiner maur undt die thier gegen dem fenster geruckt der auß gang im höfflein soll 2 ½ franc. schuh haben, solte aber heute oder morgen etwaß gebawen werden, so hat der Käuffer die gerechtigkeit an dem nebenß hauß hienauff Zu bawen wie anjetzo der gang stehet oder so hoc man will hingegen aber dem nebens hauß einen steinen stück noch ein legen daß daß wasser des dach trauff von diessem Eck kan in höfflein fallen ferner hat es die gerecht daß becken hauß lassen Zu lauffen undt gleich falls von dach trauff soll der obere noch weggemacht werden und der dach trauff ins höfflin fallen auch noch Zu gleich daß wasser von dem gebau so in daß höfflein gehet vom dem bier hauß auch seinen fort gang durch daß becken hauß haben, ferner versprich daß profeÿ wie ihres dem becken Versprochen auff seiner Cösten unter daß höfflin mit einem steinern gewölb zu machen oben aber mit steinern bladen Zu belegen welches höfflein dem Käuffer gehörig ferner ist verglichen worden daß daß bier hauß ein durch Zug in des Käuffers maur auff ein halben schuh darff legen die maur aber sonsten dem käuffer Eÿen undt soll solcher verkauff mit Erster gelegenheit in allhießiger Contractstuben verschriben werden welche partheÿ aber soltte reuen werden biß Zur Contract verschreibung soll schuldig und verbund. sein dem andern 400 gulden beÿ Kauff zu geben, so geschehen Straßburg d. 18. 8bris 1745.
Underpfand sein soll Johannes schuller biersider Zum Rosen Crantz, Lorentz schott wie ob sted

1747, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Les préposés vont voir la maison arrière du brasseur Jean François Hirschel dont le haut du mur s’est incliné au point qu’il est à craindre qu’il ne s’effondre avec le comble. Hirschel est tenu de démolir la maison sous quinzaine sans quoi la ville la démolira à ses frais.
Le maçon Jean Michel Erlacher demande au nom de Hirschel l’autorisation d’avancer sa maison de 4 ou 8 pouces pour l’aligner avec celle se ses voisins. Les préposés ordonnent de conserver les anciennes fondations.

(f° 139) Mittwoch den 21. Juni 1747. folgende Augenscheine eingenommen worden – Joh: Frantz Hirschel
an Johann Frantz Hirschel des Biersieders Zum Rosenkrantz hinder Hauß, deßen Obere Wand sich so geschoben, daß Zubeförchten, Sie möchte sambt dem dachstuhl gar einfallen, und großes Unglück Verursachen. Erkant solle Hirschel jnnerhalb 14 tagen anfangen das hauß abzubrechen, und in sicherheit stellen, wiedrigenfalls solches auf seinen Kosten abgebrochen werden sollen.

(f° 149) Dienstags den 1. August 1747. – Joh: Frantz Hirschel
H. Johann Michael Erlacher der Maurer Zeigt an, daß die Häußer neben Johann Frantz Hirschel des Biersieders Hauß Zum Rosenkrantz dießem theils 4. und theils 8. Zoll Vorstehen, hat derowegen befragen wollen, ob er nicht Hirschel seines denen Andern Zugleich Vorbauen dörffe. Erkant solle beÿ denen alten fundamenten bleiben.

1748, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
Jean François Hirschel se plaint au conseil de la tribu que Daniel Zimmer avec lequel il a passé un marché pour faire un escalier sur trois étages n’a encore réalisé qu’un étage alors que les travaux auraient dû être terminés à la Saint-Michel. Le défendeur déclare que le marché se limitait à un étage. Soit le menuisier devra terminer l’escalier selon les termes du marché soit le propriétaire sera autorisé à s’adresser à un autre menuisier.

(f° 98) Montags d. 4. Novembris 1748
Herr Johann Frantz Hirschel biersieder Zum Rooßen Crantz Klagt ctra Mstr Daniel Zimmer den Zimmermann, daß Er demeselben schon verwichenen Ostern eine stiege verdingt von dreÿ Stock hoch, wavon Ein Stock verfertiget, mithin noch Zweÿ Stöck Zu machen Restiren, welche verwichene Michaelis hätten sollen verfertiget seÿn welches aber nicht geschehen bitt Ihme Zu verfertigung der übrigen Zweÿ Stöck eine Zeit anzuberaumen, oder aber in Entstehung deßen einen andern Zimmermann Zu nehmen, producirt deßwegen den mit Ihme getroffenen Accord, Crafft deßelben Er alle Stiegen, ohne die haupt: Stiege Zu machen Versprochen.
Beklagter Zugegen sagt in antworth daß Er die im Accord stehende Steegen würcklich Verfertiget, der Klagende Zwen Stöck seÿe Er aber nicht schuldig nach besag accords zu machen. Kläger Replicirt Es seÿe nur eine haupt Steeg in dem Accord genennet.
Erkanndt, Es seÿe der beklagte anzuhalten Hn Klägern alle Veraccordirte Stiegen accords mäßig Zu Verfertigen, In Entstehung deßen seÿe Klägern erlaubt, Einen andern Zimmermann Zu nehmen. Cop. Exp.

Droit de brasserie

1622, Protocole des Quinze (2 R 50)
Le brasseur Gabriel Beuchler qui vient d’acheter la brasserie au Chapelet de Christophe Kühlmann (Hüllmann) demande le droit de servir de la bière. Les Quinze renvoient l’affaire aux préposés de l’accise.

(f° 170). Sambstags den 19. Octob. – Bierschanck Zum Rosenkrantz.
Gabriel Beüchler der Biersieder p. D. Reng. mit beÿstand Abraham Dattlers, Sagt hab von Stoffel Kühlman daß Bierhauß Zum Rosen Crantz erkauft, bitt vmb erlaubnus deß biersiedens vnd schancks, erbeüth sich Zu abstattung der gebühr. Erkant, Vor die Vngeld herren gewiesen. Mr.

1623, Protocole des Quinze (2 R 51)
(f° 103-v). Mittwochs den 11. Junÿ – D. Scholl, Gabriel Beüchel der Biersieder bitt vmb nachlaß der angesetzten Straff. Erkant, Solls morgenden tags erlegen beÿ der Turnstraff. B. Mr.

1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
Le brasseur Jean Kolb a l’intention de vendre la brasserie au Chapelet, l’une des seize brasseries de la ville. Le tonnelier Michel Deffner qui souhaite l’acheter demande l’autorisation d’y servir de la bière. Les Quinze accodent l’autorisation à condition que Deffner promette d’observer le règlement des brasseurs et de s’entendre avec les préposés de l’accise.

(f° 67) Sambstag den 22. Martÿ. – Johann Kolb vnd Michael Deffner vmb Bierschanck Zum Rosen Crantz
Johann Kolb der Biersieder vnnd Michel Deffner der Kieffer Erschienen produxerunt p. Dr. Knafel. vnderthänige Supplication, so verlesen, Ermelter Kolb berichtet darinn, das er sein behausung Zum Rosen Crantz, welche vnder der Zahl der 16. bierhäuser begriffen, Zu verkauffen gewillt seÿe, Deffner sagt, wolte dieselbe kauffen, bitt ihme den bierschanck darin zu treiben, gn. Zu bewillig.
Beÿ der vmbfrag hatt man sich erinnert, das Zwar dieß bierhauß in der bestimmten Zahl begriffen, aber vnderschiedlich Articul hiebevor den biersiedern ertheilt worden, crafft deren Supplicant sich Zuuorderist beÿ Ihnen werde ein Zustellen haben.
Erkanndt. Beÿde Supplicanten dergestalt willfahrt, daß Michel Deffner Zuvorderist der Biersieder Articuln ein gnügen leisten, vnd Ober Vngelthh. das geschefft vollendts mit Ihnen auß Zumach. befelcht sein sollen. Mr

1636, Protocole des Quinze (2 R 61)
Michel Deffner demande l’autorisation de servir du vin jusqu’à ce que l’orge soit redevenu moins cher. Les préposés constatent que la même autorisation a été accordée à Noé Kuhlmann en 1623. Ils proposent d’accorder l’autorisation jusqu’à la Saint-Jean. L’autorisation est prorogée jusqu’à Noël.

(f° 3-v) Sambstag den 16. Januarÿ – Michel Deffner vmb weinschanck Zum Rosencrantz
Michel Deffner der biersieder Zum Rosencrantz Erschienen ddt p. Dr. Knafel. underthenige Supplication, so verlesen, bittet weilen Er beÿ diser Zeitt wegen der sehr thewren gerst das bier brawen nicht fortsetzen könne, Ihme an dessen statt so lang biß die Zeiten besser sich erzeigen, den weinschanck an diesen orth Zu gestatten, ward die consequentz so er beÿ andern biersiedern geben würden, angeregt. Daraufff Erkandt, Obere Vngeldherren sollen, ob es cermög ordung werde sein können, bedencken.

(f° 13) Sambstag den 30. Januarÿ – Michel Deffner vmb weinschanck Zum Rosencrantz
Obere Vngeldherren referiren p. H. Frantzen, hetten Michel Deffners des Biersieders Zum Rosencrantz hieob fol. 3. vmb permission des weinschancks einkommene Supplication bedacht, vnnd nach dem im vffschlagen ex Protocollo d. Aô 1623. sich befunden, das auch selbiger Zeitt Noë Kulmann dem biersieder Zim Vogelgesang eben vmb diser consideration willen, das die gersten in sehr hohen preiß gewesen, der weinschanck vff ein Zeitt lang bewilligt worden. So sollen sie, ob nicht ebenmesig Ihme deffern biß vff Johannis nechstkünfftig der Weinschanck Zu gestatten, doch der gestalt das er die ienige wein so Er Zu verschencken willens also balden im vngelt vffnehmen lassen vnnd die schuldige gepühr auch gleich davon Zu entrichten angemaßen werden solle ? Erkandt, das bedencken gevolgt.

(f° 162) Sambstag den 30. Julÿ – Michel Deffner vmb weinschanck Zum Rosencrantz
Michel Deffner der biersieder Zum Rosencrantz Erschienen ddt p. Dr. Knafel. vnderthenige Supplication, so verlesen, sagt könne wegen großen theurung der gerst mit dem bierschanck nicht fortkommen, bittet ihme den weinschanck noch ferner zu continuiren Zu gestatten, bescheint auß dem Vngelt, das Er bißher die schuldige gepühr iederweilen ordentlich abgerichet.
Erkanndt, wird Ihme der weinschanck noch biß vff weihenachten künfftig gestattet, doch der gestalt, das Er die ienige wein, so Er Zu verschencken wird, gleich vffnehmen lassen, vnnd das vngelt, wie bißher alp bald davon Zu entrichten schuldig sein solle.

1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
Les Quinze accordent l’autorisation de servir de la bière au Chapelet à Jean Jacques Soder, reçu à la maîtrise depuis trois mois.

(p. 415) Sambstag d. 25. Octobris 1721 – Moss. nôe Joh: Jacob Soder Biersieders undt burgers bitt undth. vmb den Bierschanck in dem Bierhauß Zum Roßen Crantz. Erk. ut modo [Ober Vngelt herren]

(p. 439) Sambstag d. 8. 9.bris 1721. – Joh: Jacob Soder pt° bierschancks
Iidem [Ober Vngelt herren] laßen ferner per Eundem [herrn Secret. Kleinclaus] referiren, Es habe Joh: Jacob Soder der biersieder undt burger allhier umb den bierschanck in dem bierhauß Zum Roßen Krantz eingesucht, Auff geschehene Remission habe Er beÿgefügt, daß er schon Vor einem Fiertel Jahr beÿ der biersieder Meisterschafft Zu einem Meister recipirt und angenommen word. welches auch H. Joh: Daniel Dürrenberger wahr zu sein ausgesagt, dahero die Hh Depp. davor gehalten, daß Ihme in seinem begehren Zu willfahren seÿe. Erk. Willfahrt.

1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
Jean Michel Schad souhaite recommencer à exploiter lui-même le Chapelet. La maîtrise déclare qu’il n’exerce plus le métier de brasseur depuis plusieurs années et n’a pas non plus réglé ses droits. Jean Michel Schad s’engage à régulariser sa situation.

(p. 337) Sambstag den 9.t Octobris 1723. – Römer pro H. Fuchs nôe Johann Michael Schad des burgers und Biersieders bitt Undthg. weil er sein hauß Zum Roßencrantz wieder selbsten bezogen, Ihme mit dem bierschanck allda wieder gnädig Zu willfahren. Erk. Ober Ungelt Herren.

(p. 353) Sambstag den 16.t Octobris 1723. – Johann Michael Schad pt° Bierschancks
Iidem [Ober Vngelt herren] laßen ferner per Eundem [herrn Secret. Kleinclaus] referiren, daß Johann Michael Schad der burger und Biersieder in einem gehaltenen recess berichtet daß er sein bierhauß Zum Roßencrantz wieder selbsten bezogen, mit Unterthäniger bitt Ihme mit dem bierschanck gnädig Zu Willfahren, Welches begehren er beÿ erkand und beseßener Deputation wiederhohlt, nomine E. E. Meisterschafft der biersieder seÿe erschienen Remigius Dürrenberger alß Ober Meister Welcher berichtet daß der Implorant seith einigen Jahren den bierschanckh nicht mehr getrieben, auch seithero das Aufflaag gelt wie gleichwohl andere Meister gethan, nicht erlegt hätte, weder sich dahero beÿ der Meisterschafft anzumelden haben, Ille replicirt, er wolte gleich morgenden tages deßwegen beÿ der Meisterschafft richtigkeit machen. Auff seithen der Hh Depp. vermeine man, so ferner der Implorant mit der Meisterschafft wegen der Aufflaag sich werde abgefunden haben, Ihme mit dem Bierschanck willfahrt werden könte. Erkandt Auff dieße Condition willfahrt.

1732, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
Jean Wurm, brasseur au Chapelet, est reçu cotisant chez les Fribourgeois

(f° 131) Mittwochß den 7.ten Maÿ 1732. – 2. Zudiener (dt. à 2 lb. d, 4 lb d)
Johannes Nagel, der biersieder Zum Bergfalcken undt
Johannes Wurm, der biersieder Zum Rooßen Crantz, beede burgere allhier werden dato auff geschehenes Ansuchen, weilen Sie den Schanckh von Gn. Herren denen XV.nern erhalten, Jeder gegen Erlag 2. lb d. nebst 4 sch Prothocoll geldt, als Zudienere recipiret, ded : et jur. auff den Art:

1733, Protocole des Quinze (2 R 141)
Jean Schüler demande l’autorisation de débiter de la bière au Chapelet

(p. 380) Sambstag den 14. Novembr. 1733 – Moss. noe. Johann Schühlers Kieffers und biersieders prod. Vnderth. Mem. mit beÿlag Lit. A. pt° bierschancks Zum Roßenkrantz. Erk. Oberungelt Hrn undt soll der Ober Meister der biersieder auch hierüber gehört werden.
(registre lacunaire)

1734, Protocole des Quinze (2 R 142)
Suite de l’affaire. Les Quinze n’accordent pas de dispense au pétitionnaire
Johann Schüler Bierschanck 24. 33. 45. 54
Johann Schüler Ca. E.E. Meisterschafft der biersieder 167. 181 (registre lacunaire)
(p. 33) Sambstag den 30. Januarÿ 1734.
[Obere Ung]elthrn laßen durch Hrn Secret. Kleinclaus referiren, daß [joan]nes Schuler der Kieffer Von Barr den 23. huj. abermalen [-] uberreichtes vnterthges Memoriale umb den bierschanck [zum Ro]ßen Krantz allhier angehalten, und begetten, dispensando [-] daß er Implorant, annoch in Verheurathetem [-]hr außstehen, vnd von abermahliger wander[schafft -] verschonet bleiben möge, folglichen wann er [zünfft]ig sein wird den bierschanck in seinem [bierhauß a]llhier treiben dörffe. Auff geschehen [-] dem Imploranten erschienen, deßen [-] Georg Pickh burger und biersieder [-]hlen instanden gebetten wie in [-]sieder Meisterschafft allhier habe [-] Vntermeister umn g. Manu[tenenz ihrer Articulen -] über ergangenen Bescheids [-] deme der Implorant auch [-] erhaltene Nachricht deß [-]th octobre jüngst in die [-]llhier sich habe einschreiben [-]gten Monath 9.bri [-] sothaner Requeste ab seith [-]behren wurde [-] werde demnach zu [-]nuß laßen und [-] Erkandt [-]

(p. 45) Sambstag den 6. febr. 1734. – nôe E. E. schu der Biersieder bitt umb Comm. bescheids C. Johann Schuler. Erk. Willfahrt

(p. 54) Sambstag d. 6. febr. 1734.
Bescheid. Sambstag den 30. Januarÿ 1734. In Sachen Johann Schuler des Kieffers Von Barr [gebürtig Implo]ranten, ane einem, entgegen und wieder E. [E. Meister]schafft der allhießigen biersieder, Imploraten, a[n dem andern] theim, Auff producirtes Unterthäniges M[emoriale und] bitten dispensando zu erkennen, daß er h [Implorant] in Verheurathetem stand die Lehr Jahr [-] von abermahliger Wanderschafft in ge[-] bleiben möge, folglichen, wann er bur[ger -] sein wird den bierschanck in seinem [-] allhier treiben dorffe.
der Implo[rant -] und besessener Deputation darüber [-] juncto petito sie beÿ dem Bier[-] ergangenen bescheid gnädigst [-] (p. 55) übriges angehörte Vor: undt Anbringen Ist der Hh Deputirten abgelegten Relation nach mit Urthel Zu Recht erkandt, Wird es beÿ voriger Erkanntnus gelaßen, undt der Implorant mit seinem begehren nochmahlen abgewießen.

1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
Les Quinze autorisent Jean Henri Hirschling qui a été admis maître à débiter de la bière au Chapelet

(p. 202) Sambstags den 2. Aprilis 1757. – Johann Heinrich Hirschling pt° bierschanck
Christmann nôe Johann Heinrich Hirschling des Kieffers und biersieders allhier, des implorant ist Vermög urkundt und schein Vom E. E. msterschafft der biersieder, wegen erkaufften bierhauß zum roßen Crantz, als ein mit meister auff und angenommen worden, bitt unterth. ihme allda mit dem bierschanck gnädig Zu willfahren. Claus E. E. Meisterschafft der bierbrauer Obermeister setzt gegentheiliges petitum Zu Mghh. und hat nichts darwieder einzuwenden.
Erkanndt, daß dem Imploranten mit gebettenem bierschanck, in dem erkaufften bierhauß zum roßen Crantz nach ordnung Zu willfahren seÿe.

1757, Protocole des Quinze (2 R 168)
Jean Gaspard Lœw sollicite une dispense pour devenir maître bien qu’il n’ait pas fait ses années d’épreuve ni un chef d’œuvre de tonnelier. Il argue qu’il exerce le métier de brasseur depuis quatre ans, ce qui remplace les années d’épreuve, qu’il va épouser une fille de maître dont le fiancé est mort depuis peu. Comme il ne compte pas exercer le métier de tonnelier, le chef d’œuvre lui paraît superflu. La commission, considérant que le Chapelet a perdu de sa notoriété et que la famille Feigler y a déjà perdu plus de quatre mille florins, que Hirsching qui devait reprendre la brasserie est mort et que la maîtrise ne s’oppose pas à la demande du pétitionnaire, propose le 16 juillet d’accorder la dispense moyennant neuf florins. Les Quinze autorisent le 6 août Jean Gaspard Lœw à exploiter le Chapelet.

(p. 300) Sambstags den 9. Julÿ 1757. – Faust nôe Johann Caspar Löw des ledigen biersieders ctra E E Zunfft der Kieffer Hn Zunfftmeister, pt° admissionis Zum Zunfft und meisterrecht, producirt unterthäniges memoriale und bitten mit beÿlag Sub n° 1 bittet deput. Christmann nôe Imploratischen Hn Zunfftmeister bitt Comm. des übergebenen memorialis und Similiter deput. Erkt. Copia et Deput.

(p. 318) Sambstags den 16. Julÿ 1757. – Löw ctra die Kieffer
Obere ungelts herren laßen per Hn secretarium Städel referiren es habe Johann Caspar Löw der ledige biersieder den 9.ten hujus ctra E. E. Zunfft der Kieffer Hn Zunfftmeister ein unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlag sub N° 1 übergeben und darinn Exponirt er habe sich den 8. hujus um einen schein zur erlangung des hiesigen burger Recht beÿ E. E. gericht der Kieffer angemeldet, Er seÿe aber mit seinem begeren, weilen Er weder die muthjahr hier verarbeitet noch das Kieffer meisterstück gemacht mit seinem begehren abgewießen Worden, Weilen implorant aber hier auf dem bierbrauer handwerck Vier jahr gearbeitet, welche ihme ane statt der muthzeit dienen Können, Er auch einer burgers tochter welche mit ihren ersten Bräutigam, so Vor Kurtzem gestorben, das bierhauß Zum Rosen Crantz ihrem bruder Johann Daniel Feigler abgekauft, heurathen wollen, und das Kieffer handwerck nicht treiben, sondern beÿ der biersieder profession bleiben wolle, mithin das Kieffer meisterstück Zu verfertigen ihme etwaß überflüssiges wäre. Demnach ergeht das unterthänige bitten, dem Imploranten wegen obwaltenden dringenden umständen Von Verarbeitung der muthjahr und Verfertigung des Kieffer meisterstücks gnädig zu dispensiren, mithin zu Verordnen, daß Er auff E E Zunfft der Kieffer, Wann Er des burger recht wird erhalten haben, als ein leibzünfftiger anzunehmen seÿe. Eodem die habe der Imploratische H. Zunfftmeister per recessum um deputationem gebetten, et facta relatione den imploranten mit seinem wider artickel lauffendem begeren abzuweisen, ref. Exp. Auff geschehenen Weißung habe der Implorant sich auff Contenta memorialis und petiti bezogen.
Nôe Imploratischer Zunfft seÿe Vorgestanden H. Rathherr Johann Georg Hammerer als Zunfftmeister, welcher geziemend Vorgetragen, daß Zwar des imploranten begehren wider den artickel lauffe, indeme Krafft deßelben Kein biersieder Zu dem meisterrecht gelangen solle, Er habe dann seine muthjahr Verarbeitet, und das meisterstück verfertiget, welches beÿdes des implorant nicht gethan, Weilen aber in den heutigen fall sich gantz besondere umbstände herfür thun, auch die Meisterschafft der biersieder wieder des Imploranten petitum sich nicht opponiret, als Wolle Er daselbst Zu mghh. beliebiger entscheidung gesetzet haben doch mit angehencktem unterthänigen bitten die nöthige Verfügung dahin Zu thun, daß der implorant Zu Allen zeiten nicht anderst als ein biersieder anzusehen, mithin Zu keiner Zeit sich derer einem Kieffer meister Zukommenden Vorrecht zu erfreuen haben möge.
Auff seiten derer Hrn Deputirten habe man eines theils in Consideration gezogen, daß das bierhauß Zum rosen Crantz, als welches der implorant zu bewohnen gesinnet, seit einiger Zeit in solchen abgang gerathen, daß die Feiglerischen familie beÿ 4000 fl. darauff Verlohren, anbey durch absterben des genanndten Hirsching welcher die Feiglerische tochter heurathen sollen noch größerer Verlust Zu besorgen, ander theils aber weder jmploratischen Zunfftmeister das handwerck der biersieder sich dem Etablissement des Imploranten wiedersetze, weßwegen die hrn Deputirte dafür gehalte, daß wegen denen in dießer sach obwaltenden fauorable umständen, der Casus als gratiable anzusehen, mithin der meinung seÿn wollen, daß der implorant gegen Erlag der Verordneten gebühr in die Muthjahr einzuschreiben, so gleich aber wieder auszuthun seÿe, quo facto derselbe Ex speciali gratia und ohne einige Consequentz respectu anderer, gegen entrichtung Neun pfund d. pro dispensatione Von dem Meisterstück, Zwischen löbl. Statt und Implorantischer theilbahr als biersieder Meister zu recipiren seÿe, mit dem außdrucklichen anhang, daß der implorant Zu keiner Zeit der einem Kieffermeister Zukommenden Vorrecht zu genießen, sondern nur als ein biersieder angesehen werden, und in solcher qualitæt des Zunfftrechts sich Zu erfreuen haben solle. Erkanndt, bedacht gefolgt.

(p. 330) Sambstags d. 6. augusti 1757. – pt° Bierschancks
jdem [Faust] nôe Johann Caspar Löw des biersieders der bitt unterth. ihme mit dem bierschanck in dem bierhauß zum roßen Crantz gnädig Zu Willfahren. Christmann E. E. Meisterschafft de bierbrauer setzt gegentheiliges begehren Zu mghh. Erkanndt deß dem imploranten mit begehrtem bierschanck in dem bierhauß zum rosen Crantz Zu Willfahren seÿe.

(p. 384-v) Sambstags d. 1. Octobris 1757.
Bescheid. Sambstags den 16. Julÿ 1757. – In Sachen Johann Caspar Löw des ledigen biersieders Imploranten an Einem, Entgegen und Wieder E. E. Zunfft der Kieffer Hn Zunfftmeister Imploraten am andern theil, auff producirtes unterthäniges memoriale juncto petito Wir geruheten den Implorant Von Verarbeitung der muthjahr und Verfertigung des Kieffer meisterstücks gnädig zu dispensiren, mithin zu Verordnen, daß Er auff E E Zunfft der Kieffer, Wann Er des burger recht wird erhalten haben, als ein leibzünfftiger biersieder anzunehmen seÿe. des Imploratischen Hn. Zunfftmeisters beÿ gebettener bewilligter und beseßener deputation gethaner declaration, daß Er wegen obwaltenden besonderen umständen des Imploranten begehren zu unßerer Erkanndtnus setzt, auch all übrig derer Parthen angehörtes Vor und anbringen ist derer Hern Deptr. abgelegter relation nach Erkanndt, daß der implorant gegen Erlag der Verordneten gebühr in die muthjahr einzuschreiben, so gleich aber wieder auszuthun seÿe, quo facto derselbe Ex speciali gratia und ohne einige Consequentz respectu anderer gegen Entrichtung Neun pfundt d pro dispensatione Vom Meisterstück, Zwischen löbl. Statt und Implorantischer theilbahr, als biersieder meister zu recipiren seÿe, mit dem außdrucklichen anhang, daß der implorant Zu keiner Zeit, der einem Kieffermeister Zukommenden Vorrecht zu genießen haben, sondern nur als ein biersieder angesehen werden, und in solcher qualitæt des Zunfftrechts sich Zu erfreuen haben solle.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Müller expose les travaux à faire dans la brasserie au Chapelet appartenant à Gaspard Lœw : un poêle vers la rue, à l’arrière une cuisine avec un fourneau et une hotte aussi bien au premier qu’au deuxième étage. En outre au premier et au deuxième étage une chambre vers la rue et une cheminée à la française.

(p. 47) Freÿtags den 17.ten Augusti 1764.
Caspar Löw der Biersieder will in seiner bierbehaußung zum Roßen Crantz genannt, im ersten und Zweÿten stock jedesmal rechter hand des eingangs eine stube gegen der gaß machen, hinden daran eine Kuchen mit herd und Camin schooß das rohr mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Ferner im ersten und Zweÿten stock lincker hand eine Cammer gegen der gaß, jedesmal ein frantzösisches Camin, mit einem gewölb wohl versehen setzen das rohr an der feur mauer hinauf von allem holtz entfernt. Erkanndt Willfahrt – Mr Müller

Description de la maison

  • 1728 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, une salle de débit, des chambres, une brasserie, une resserre à grains, un séchoir, des greniers, une cave sous solives, une petite cour et un puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3600 florins.
  • 1778 (billet d’estimation traduit) La maison brasserie comprend une salle de débit, plusieurs poêles, deux chambres à cheminée à la française, quatre cuisines et plusieurs dépenses, en outre une brasserie comprenant une chaudière et un séchoir à malt, le comble est couvert de tuiles plates, les deux caves sont solivées, le tout estimé avec le puits la cour, autres appartenances et dépendances à la somme de 8000 florins.
  • 1874, police d’assurance en français
  • 1884, police d’assurance en allemand, même teneur sauf la description du bâtiment avant qui comprend trois étages du côté de la rue Brûlée et deux du côté de la cour
  • Adolphe Seyboth (édition en allemand, p. 25) Datum 1561. Sculptur, Löwe eine Kanne haltend und Datum 1764

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue du Parchemin

nouveau N° / ancien N° : 45 / 21
Widt
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages médiocres en bois
(Légende)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue Brulée

nouveau N° / ancien N° : 21 / 19
porte de derrière du N° 21 rue du Parchemin
Rez de chaussée et et 2 étages bons en maçonnerie

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 372 case 4

Letz Jean Michel à Strasbourg, Rue Brulée n° 19

N 1258, maison, cour, R. brulée 19
Contenance : 1,90
Revenu total : 378,99 (378 et 0,99)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / –
portes et fenêtres ordinaires : 43 / 44
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 5

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 389 case 1

Letz Jean Michel à Strasbourg

N 1306, maison, cour, Rue du parchemin 21
Contenance : 1,15
Revenu total : 121,60 (121 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1259 case 2

Letz Jean Michel
1875. Mehl, Andreas Friedrich, Schreiner
1885, Jacobi Johann, Schreiner
1901, Strassburg die Gemeinde
(ancien folio 1007)

N 1258, maison, cour, Rue brulée 24
Contenance : 1,90
Revenu total : 378,99 (378 et 0,99)
Folio de provenance : (372)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 44
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1240 case 1

Letz Jean Michel
1875. Mehl, Andreas Friedrich, Schreiner
1885, Jacobi Johann, Schreiner
1901, Strassburg die Gemeinde
1903, Wieger Albert, Bauunternehmer u. Ehefr. Elisabeth geb. Burger in G. G. zur Hälfte, 2) Graff Georg Bauführer und Ehefr. Elisabeth geb. Dubesi in G. G. zur Hälfte
(ancien folio 988)

N 1306, maison, cour, Rue du parchemin 13
Contenance : 1,15
Revenu total : 121,60 (121 et 0,60)
Folio de provenance : (389)
Folio de destination : Gb, (sol) frei 1240
Année d’entrée :
Année de sortie : 1903
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 6

N 1306.p, Hf
Contenance : 0,41
Revenu total :
Folio de provenance : 1240
Folio de destination :
Année d’entrée : 1903
Année de sortie :

Cadastre allemand, registre 32 page 512 case 2

Parcelle, section 65, n° 7 – autrefois N 1258.p, 1306.p
Canton : Brandgasse Hs N° 24
Désignation : Hf G Whs
Contenance : 1,78
Revenu : (Reinertrag 8,90) 6000
Remarques : B.V. 1907. 160

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1916), compte 1419
Wieger Albert et son épouse et Graff Georges et son ép.
clos 1925

(Propriétaire à partir de l’exercice 1916), compte 3734
Wieger Karl Albert und Ehefr. geb. Burger
1921 Wieger Charles Albert architecte veuve Marie Elisabeth Burger et descendants

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 5, Rue 144 Brulée

19 (ne fait qu’une maison appelée Rosen Kranz)
pro. Loew, Marie Dorothe – toneliers
loc. Graf, Pierre, Brasseur
loc. Nicolas N. Père, a la poste aux lettres – priv.
loc. Nicolas N. Fils, à l’Ohmgeld – Tanneurs
loc. N° 21 rue des Juifs Humel Suzanne Barbe veuve – miroere
loc. Muller Eberhard, Chasseur de S A S Mgr le Prince max – priv.

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 144 Brulée

19
Pr. Loew, Marie Dorothée – tonneliers
lo. Graf, Pierre, Brasseur
lo. Nicolas Jean. Pere employé à la poste aux lettres
lo. Nicolas Fils Ant. François, à l’Umgeld – tanneurs
lo. Humel Susanne Barbe veuve – Miroir, demeurant present dans N° 21
lo. Muller Eberhard, Chasseur

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Brandgasse (Seite 16)

(Haus Nr.) 24
Neubau

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 654 W 273)

24, rue Brûlée (1873-1982)

Le propriétaire Mehl charge en 1873 l’entrepreneur Nuss de surélever la maison d’un troisième étage en maçonnerie à la place des mansardes ; la hauteur totale (13,70 mètres) n’atteint pas la hauteur maximale réglementaire. Le propriétaire Jean Jacobi charge en 1884 l’entrepreneur Starck d’établir des devantures et une porte, d’agrandir les fenêtres en façade et de transformer la distribution intérieure aux 24, rue Brûlée et 13, rue du Parchemin. La boulangerie aménagée au sous-sol en 1887 est exploitée par le boulanger Ambroise Seiter en 1897. J. Grupp fait installer en 1899 un distributeur automatique de chocolat devant sa boutique. La veuve Carbiner qui vient de vendre le 11, rue du Parchemin à la Ville déclare en 1900 que son voisin Jacobi a ouvert deux fenêtres vers sa cour. Le propriétaire Jacobi est autorisé en 1897 à convertir des logements et des ateliers en locaux commerciaux et à poser des devantures rue Brûlée mais les travaux ne sont pas réalisés.
Les architectes Berninger et Krafft déposent en 1903 une demande pour construire un nouveau bâtiment sur le terrain Wieger et Graff à l’angle de la rue Brûlée et de la rue du Parchemin. La hauteur maximale est fixée à 15 mètres rue du Parchemin, à 15 mètres rue Brûlée sur une longueur de 2,40 mètres et à 10 mètres au-delà. La tour pourra par exception dépasser la hauteur maximale. Les propriétaires Wieger et Graff sont autorisés en septembre 1903 à construire un bâtiment à quatre étages servant d’habitation et de commerce. Le nouveau bâtiment pourra avoir 18 mètres de haut sur toute sa longueur (15,40 mètres) rue Brûlée. Les anciennes maisons sont en cours de démolition (janvier-avril 1904), le terrassement commence en avril 1904, le gros œuvre est terminé en octobre 1904. Un avenant autorise en septembre 1903 à transférer les cabinets d’aisance du rez-de-chaussée au sous-sol, un autre avanent du même mois à aménager une buanderie. Le mur extérieur du quatrième étage en pan de bois est soutenu par sept piliers en maçonnerie.
Le local commercial est occupé par Ziss et Mensler (installations électriques) qui sont autorisés en octobre 1905 à poser un moteur au sous-sol. Le dentiste Hubert Colette fait poser deux panneaux publicitaires puis deux enseignes plates sur le balcon du deuxième étage. Le coiffeur Michel Murr fait poser en 1911 une enseigne perpendiculaire puis une enseigne émaillée. Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Alphonse Bruder (installations électriques) remet son store d’avant guerre en place en 1950.

Sommaire
  • 1873 – Le sieur Nuss demande au nom du propriétaire Mehl l’autorisation de surélever la maison d’un troisième étage. Coupe jointe – Rapport de l’agent voyer. Le propriétaire demande l’autorisation de surélever la maison d’un troisième étage en maçonnerie pour remplacer les mansardes. Le bâtiment comprend un rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. La hauteur totale (13,70 mètres) n’atteint pas la hauteur maximale réglementaire.
  • 1884 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Woringer soit autorisé à faire au nom du propriétaire Jacobi une prise pour environ cinq becs – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1884 – Le maire notifie le propriétaire Mehl (13, rue du Parchemin) de faire ralaver la façade du 24, rue Brûlée – Les travaux ne sont pas faits, le nouveau propriétaire est Jacobi, demeurant 4, rue des Echasses – Travaux terminés, avril 1885
  • 1884 (septembre) – Rapport à l’architecte municipal Nebelung. Le sieur Jacob fait faire des transformations au rez-de-chaussée – Nebelung écrit au propriétaire Jean Jacobi – L’entrepreneur J. Starck (6, rue du Coq) demande au nom du propriétaire Jacobi l’autorisation de rénover le bâtiment – Autorisation d’établir des devantures et une porte, d’agrandir les fenêtres en façade et de transformer la distribution intérieure aux 24, rue Brûlée et 13, rue du Parchemin – Dessins
    Suivi des travaux. Nouvelle porte d’entrée dans l’atelier d’encollage, démolitions intérieures, octobre. Le nouveau cabinet d’aisance dans la cour ne sera pas réalisé. Les devantures sont posées, les transformations dans la cour ne correspondent pas aux dessins, février 1885. – Les nouveaux plans sont conformes, mars 1885
    1885 (avril) – Avenant à l’autorisation précédente – La structure métallique du rez-de-chaussée vers la rue Brûlée est complétée par un troisième pilier, avril 1885. Les modifications intérieures sont terminées, mai 1885. Les eaux pluviales s’écoulent dans la rue, les autres eaux s’écoulent sous terre.
    1885 (juillet) – Le propriétaire charge l’entrepreneur Starck de faire un nouveau raccord aux canalisations – Autorisation, août 1885
  • 1887 (février) – Le maître maçon J. Starck demande au nom du propriétaire Jacobi l’autorisation d’aménager une boulangerie au sous-sol (four à pain et cheminée) – Les poutres métalliques sont posées, calcul statique – Dessin (fragments) – Dossier classé, mai 1887
  • 1887 (juin) – Jean Jacobi se plaint que son voisin le boulanger Hert (rue du Parchemin) déverse de l’eau et des immondices par sa fenêtre non grillagée au troisième étage – La Police du Bâtiment constate les faits (croquis). Elle se déclare incompétente.
  • 1893 (juin) – Un incendie provoqué par la cheminée de la boulangerie qui s’est effritée détruit les combles. Croquis.
  • 1897 – Le préfet de police écrit au maire au sujet des installations de chauffage gênantes. Le service d’architecture demande que le bureau de contrôle des industries (kaiserliches Aufsichtsamt für Fabrikbetriebe) lui communique ses prescriptions. Dessin du chauffage au gaz
  • 1897 (mai) – Dossier ouvert suite à un courrier du préfet de police concernant les installations du boulanger Ambroise Seiter. La Police du Bâtiment répond qu’il est difficile de remédier aux dégagements de suie et de fumée qui sont peu importants. – Le service d’architecture répond qu’il invite le propriétaire à rehausser la cheminée de deux mètres.
    1898 – Le maire demande au propriétaire Jacobi de surélever la cheminée – Le propriétaire demande une inspection en arguant que la cheminée a été construite selon les prescriptions – La cheminée est pourvue de deux ouvertures de ramonage. Le voisinage ne se plaint plus.
  • 1896 – Le maire notifie le sieur Jacobi (demeurant sur place 24, rue Brûlée) de faire ravaler la façade. Le maire accorde un délai d’un an puis un nouveau comme le propriétaire a l’intention de transformer le rez-de-chaussée – Travaux terminés, juin 1898
  • 1899 – J. Grupp demande l’autorisation d’installer un distributeur automatique de chocolat devant sa boutique. – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1899
  • 1897 – Le propriétaire J. Jacobi demande l’autorisation de convertir des logements et des ateliers en locaux commerciaux – Autorisation de poser des devantures rue Brûlée – Dessin du rez-de-chaussée et de l’étage
    1898 – Le propriétaire demande que l’autorisation soit prolongée. Le maire donne son accord
    1899 – Nouvelle demande de prolongation. Le maire donne son accord. L’autorisation est périmée sans que les travaux aient eu lieu, août 1900
  • 1900 – La veuve Carbiner qui vient de vendre le 11, rue du Parchemin à la Ville déclare que son voisin Jacobi a ouvert deux fenêtres vers sa cour. Le maire demande une enquête. Les deux fenêtres pourvues de barreaux et de grillage remontent aux transformations de 1884-1885. Il existe une troisième fenêtre sans barreaux. Plan schématique des premier et deuxième étages – Le service d’architecture propose de laisser les choses en l’état.
  • 1904 (juin) – L’entrepreneur Albert Wieger (30, Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de poser des gravats et des matériaux de construction sur la voie publique devant le 24, rue Brûlée. Le transmet au maire – Autorisation de poser des matériaux dans le nouveau bâtiment sis 24, rue Brûlée
    1904 (15 puis 28 octobre) – Demandes de prolongation – Autorisations
  • 1903 (août) – Les architectes Berninger et Krafft ont déposé une demande pour construire un nouveau bâtiment sur le terrain Wieger et Graff à l’angle de la rue Brûlée et de la rue du Parchemin. La hauteur maximale est fixée à 15 mètres rue du Parchemin, à 15 mètres rue Brûlée sur une longueur de 2,40 mètres et à 10 mètres au-delà. La tour pourra par exception dépasser la hauteur maximale.
    1903 (août) – Les propriétaires Wieger et Graff demandent l’autorisation de construire un bâtiment de quatre étages sur une longueur de 16 mètres. Comme il a été convenu lors de l’achat que l’alignement de la rue des Récollets serait reculé dans la partie est mais maintenu dans la partie ouest, la façade ne s’étend que sur 8 mètres dans la rue Brûlée. Les propriétaires demandent de conserver quatre étages sur une longueur de 15 mètres rue Brûlée. – La réponse de l’architecte municipal Nebelung s’appuie sur le règlement. Il conclut que le nouveau bâtiment pourra avoir 18 mètres de haut sur toute sa longueur (15,40 mètres) rue Brûlée
    1903 (septembre) – Les sieurs Wieger et Graff sont autorisés à construire un bâtiment à quatre étages servant d’habitation et de commerce. La rue a une largeur moyenne de 7,75 mètres rue Brûlée et de 17 mètres rue du Parchemin – Plan de l’alignement légal – Dessins (plan de situation, élévations, coupes, plan des différents niveaux) signés par Berninger et Krafft – Calcul statique
    Suivi des travaux. Les anciennes maisons sont en cours de démolition, janvier-avril 1904. Le terrassement est en cours, avril 1904. Les murs du sous-sol sont en cours (mai), ceux du rez-de-chaussée (juin), ceux du quatrième étage (juillet). Le comble est posé, octobre 1904. Les plâtriers travaillent (janvier 1905), les peintres (mai, juin)
    1904 (juin) – La largeur de piliers est moindre que celle prévue. L’entrepreneur Wieger transmet un nouveau calcul statique – Plan du sous-sol (biffé)
    1904 (avril) – L’entrepreneur déclare avoir transféré les cabinets d’aisance du rez-de-chaussée dans le sous-sol
    1904 (août) – Avenant à l’autorisation de septembre 1903 – Plan du sous-sol, du rez-de-chaussée, cabinet d’aisance, calcul statique
    1904 (août) – A. Wieger demande l’autorisation de rehausser le mur du comble donnant dans la cour au niveau de l’entrait retroussé pour aménager une buanderie
    1904 (septembre) – Nouvel avenant. Plan des deuxième et troisième étages, des combles
  • 1904 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que la cage d’escalier qui supporte des poutres a seulement 25 centimètres d’épaisseur – La cage d’escalier a été consolidée
    1904 (novembre) – L’entrepreneur Wieger demande réception du gros œuvre. La Police du Bâtiment constate que le mur extérieur du quatrième étage en pan de bois a seulement 25 centimètres d’épaisseur alors qu’il devrait avoir 40 centimètres – Plan de l’étage mansardé – L’entrepreneur justifie la nouvelle épaisseur du mur soutenu par sept piliers en maçonnerie – La Police du Bâtiment accepte l’explication
    1905 (février) – Les propriétaires Wieger et Graff demandent le permis d’occuper les deux locaux commerciaux. Les travaux ne sont pas terminés
    1905 (juillet) – La réception finale peut avoir lieu
    1905 (août) – La réception finale a eu lieu, les fourneaux ne sont pas tous en place
    1905 (octobre) – La demande est faite par les locataires Ziss et Mensler. Dossier classé.
  • 1905 (février) – La Police du Bâtiment constate que les installateurs électriciens Mensler et Ziss ont posé sans autorisation une lampe électrique dans leur local commercial. – Demande – Autorisation
    1905 (mai) – Le dentiste Hubert Colette demande l’autorisation de poser deux panneaux publicitaires sur le balcon du deuxième étage – Autorisation
    1906 (juin) – Le même demande l’autorisation de poser deux enseignes plates sur le balcon – Autorisation – Les plaques émaillées sont posées
  • 1905 (octobre) – Les installateurs Ziss et Mensler demandent l’autorisation de poser un moteur d’un cheval-vapeur au sous-sol pour charger un petit accumulateur – Le maire transmet la demande à l’inspection du travail qui mentionne les conditions à respecter. – Autorisation, novembre – Le sous-sol ne servira pas d’atelier, novembre
  • 1906 (décembre) – Rapport du service des incendies suite à un feu dans le sous-sol – Les cheminées sont en bon état, le dossier est classé
  • 1911 – Hubert Colette est autorisé à poser une enseigne perpendiculaire
    1911 – Le coiffeur Michel Murr demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire puis une enseigne émaillée (inscription Schampoing amerik.). Sur une troisième demande figurent sept inscriptions – Autorisation de poser quatre enseignes perpendiculaires et un volet roulant
    1913 – Le dentiste Arthur Bode demande l’autorisation de poser une plaque émaillée à la porte. La plaque n’est pas posée. Nouvelle demande de poser une enseigne plate au balcon, février 1914 – Autorisation – L’enseigne est posée mars 1914 – Dessin
  • 1922 – L’architecte Charles Krebs informe la Police du Bâtiment qu’il a fait poser une petite enseigne émaillée
  • 1938 – La Police du Bâtiment constate que le sieur Murr a posé sans autorisation une enseigne. – L’enseigne remplace une ancienne enseigne lumineuse.
  • 1942 – Alphonse Bruder dénonce son volet roulant – Le volet est retiré, le fichier rectifié
  • 1945 – Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944 – Certificat accordé à Alfred Lejeal, à Michel Murr, à Louise Krebs, Alphonse Bruder (locaux commerciaux)
  • 1949 – La société Victor, représentée par Gilbert Bourraqui, est autorisée à poser une enseigne perpendiculaire au 11, rue du Parchemin – L’enseigne n’est pas posée
  • 1950 – A. Bruder (installations électriques) informe la Police du Bâtiment qu’il a remis son store en place (2,80 vers la rue du Parchemin)
  • (suite à venir)

Autre dossier
24, rue Brûlée (2007, transformation des combles) cote 1677 W 1627


Relevé d’actes

La maison d’angle est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de la veuve de Jean Georges Fellinger, de Meissenheim.

Le tailleur de pierres Jean Georges (ou Jean Georg), originaire de Meissenheim, épouse en 1571 Marie, fille de Nicolas Nasser
Mariage, cathédrale (luth. p. 124)
1571. Suntag den 14. Julÿ. Hans Jorg von Meisenheim, Steinmetz, Maria, Claß Nassers hind.lasne dochter, wirin* d. stadel gäßlen bei Leonhard Stelner Zuerp* – Eingesegnet 23. Julÿ Zur frübet (im 111)

Marie, veuve du tailleur de pierres Jean Georges Fellinger, se remarie en 1588 avec Josse Faullimmel, tonnelier originaire de Hœrdt
Mariage, cathédrale (luth. p. 147)
1588. Dominica VI. post Trinitatis. 14. Julÿ. Jost Fulemmel der küeffer von Herd, vnd Maria Hans Georg Fellinger von Meisenheim des Steinmetzes nachg. wittib (i 77)

Josse Faullimmel de « Werd » devient bourgeois par sa femme Marie Nasser, veuve du tailleur de pierres Georges Füllinger
1588, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 600
Jost Faullim. von Werdt ein Kieffer Hat das Burgerrecht empfangen von Maria Nasserin, weÿlandt Geörg Füllingers des Steinmetzen säligen hinderlaßenen Wittwe, Jetzt seiner Ehelichen Haußfrauwen, vnd will Zu den Kieffern dienen, den 15. ten Augusti 88.

Le tonnelier Josse Faullimmel et sa femme Marie, fille du tailleur de pierres Nicolas Nasser, hypothèquent la maison au profit de Barthélemy Nasser, pasteur à Dorlisheim, frère de la susdite Marie.

1588 (xxj.ten tag Augusti), Chancellerie, vol. 254 (Registranda Meyger) f° 154
(P. fol. 184.) Erschienen Jost Ful Lÿmmell der Kuffer, burger Zu Straßburg, vnd Maria sein eheliche haußfrauw, wÿland des Ersamen Claus Nassers des Steinmetzen daselbs selig. dochter, Haben sich vnver: für sich verschrieben
Gegen dem Wurdig Wolgelertten Herrn Bartholomeo Nasser disser Zeit Pfarrern Zu doroltzheim, bemelter Maria Bruder, vnd Annen Schallerin seiner Ehegemahlin die da Innen & Kauffen
fünff guldin gelds ablösig mit 100 guldin St. Werung, von vff vnd abe Huß Hoffestatt, höfflin vnd hinder heüßlin, mit Iren gebeuwen & geleg. In d. Statt St. beÿ Sant Andresen Thörell, Inn Dormenters gaß, einseit nebent Simon Bopp des Brottbeck. selig. erben, vnd Anderseit ein Eckhuß, hinden vff Wolff Maler des Steinmetzen selig erben stosend, welche freÿ, ledig vnd eÿg. sind, wie man sagt, Zubezalen vnuer. für sich (…) Alle Jar vff Bartholomei Apli.

Josse Faullimmel hypothèque la maison au profit de Thiébaut Frauler

1590 (vts [5. Julÿ]), Chancellerie, vol. 268 (Registranda Kügler) f° 241
(Inchoat fo: 365) Erschienen Jost Fulemmel der Küeffer
Hat bekannt Inn gegensein Diebold Frouwelers – schuldig sein L lib d Sw gelühenns gelts
dafür Vnderpfand sein sollen huß hoffstatt, hefflin vnd hinderheüßlein mit Allen & gelegenn bei S. Andres thor einseit neben Lorentz Burer d. brotbeck. Anderseit ein eck gegen S. Andres Pfarrkirch. stoßenn hind. vf wolff Molers selig. erbenn, dauon gond v gld gelts mit j C fl Sw abzulesenn Magistro Bartholomeo Naßern Pfarrhern Zu dorleßheim Sonst eigenn
(vide Anno 97 fo: 121)

Josse Faullimmel se remarie en 1591 avec Odile, fille du vigneron Jean Zinck de Reutenbourg
Mariage, cathédrale (luth. p. 187)
1591. Dominica II. post epiphan. 17. Januarÿ. Jost Fulemmel der Küffer, vnd Otilia Hans Zincken des Rebmans Zu Reiteberg nachg. wittib (i 97)

1591 Conseillers et XXI (1 R 68)
Christoph Thomas Walliser contra Jost Faulim den Kieffer. 84. 87. 129.

Le tuteur de la fille de Josse Faullimmel et de Marie Nasser vend la maison au tailleur de pierres Jean Frauler. L’immeuble est grevé de plusieurs capitaux, dont ceux au profit d’Anne Fœllinger femme de Charles Glück, de Jean, Ursule et Melchior, enfants de Jean Fœllinger.

1594 (10. Maÿ), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 66
Kauff Hans Frawlers deß Steinmetz. vber ein hauß
Erschienen Thieboldt Frauler gewesener Werckmeister, Als vogt Marien, w Jost Faullimmels deß Küeffers mit Maria Nasserin s. erzeugt vnd hinderlaßenen Kindts vnd hatt In nahmen Jetzgedacht. seines vogtkindts für deßelb. vnd alle seine Erben (verkaufft)
Hansen Frawlers dem Steinmetz. der Zugeg. solche behausung angenomm. Ihme und Margreth Dötzerin seiner ehelich. haußfr.
Ein Behausung hoff, hoffstatt sampt einem hinderhauß mit allen derselb. gebeuen weit. Recht. gerechtigkeit. vnd Zugehörden, geleg. alhie In d. Statt Straßb. beÿ S. Andresen Thörlin, Einseit neben Geörg Notzen dem Schwartzbecken Ist anderselt ein Eckhaus geg. S Andres Kirch. über hinden vff wolff Mahlers deß alt. Rhatherrn selig. Erb. Dauon gohnd 5 guld. gelts Straßburg. wehrung Järlich vff Bartholomei herrn M. Bartholme Nassern Pfarrherrn Zu S Thoman stohnd In hauptgut mit 100 gld. gleicher wherung abzulösen, (…) Item 2 lib 10 ß Jährlich Zins obgedachten Meister Dieboldt Frawlern für sich selbst vff den xj Aprilis mit 50 Pfund pf. abzulösen (…) Item Ein Pfund 5 schilling pfenning geltt vff den 6.ten Julÿ Jetzgedachtem Diebold Frawlern als Vogt Ursulen w. lienhard Stelners deß steinmetz hind.laßener tocht. mit 25. lib In hauptgut wid.lößig (…) Item j lb x ß Jährlich vff Mariæ Verkündung Carle Glück dem buchsenschiffter als ehevogt Annen Vollingerin stohnd In hauptgut 30 lb d (…) Item 3 lb x ß Jährlichs vff Johannis Ursulen vnd Melchioren w hans Geörg Völlingers deß steinmetz. Kindern deren Vogt Jost Heinrich der schumach. stohnd In hauptgut mit 70 Pfund pfenning abzulösen (…) sonst ledig eig. Vnd bekandt d der kauff bescheh. sampt den beschwerd. vmb 850 guld.
Actum in p.sentia Jacob Borsten deß Meßerschmidts sein deß Keüffers schwagers vnd Annen Rauchin w. Carle betz deß Pulvermachers witt. deß Keuffers Mutt. den 10.ten Maÿ Aô 94.

Jean, fils du tailleur de pierres Thiébaut Frauler et de sa femme Lucie, naît en 1567. Le premier enfant de Jean Frauler et de sa femme Marguerite naît en 1594, le mariage a sans doute été célébré pendant la lacune des registres.
Baptême, cathédrale (luth. f° 9, n° 65)
1594. Dominica Rogationum. p. Hans Frauler, m. Margaretha, I. Dorothea, patrini Hans Thomas vlenberger, Cleophe Jacob Riedingers raw, Dorothea Jacob weisenburgers tochter (i 11)

Baptême, cathédrale (luth. f° 238-v)
1567. Suntag den 16. Mertzen. p. Diebolt Fraweler, Steinmetz, m. Lucia, I. Hanß, Comp. Diebolt Vagius Gutleutschafner, Hans von Sarbrück Zimmermann, Maria, Martin Nessel Küffers fraw (i 252)

Anne, fille de Jean Georges Fœllinger, épouse en 1590 l’arquebusier Charles Glück
Mariage, cathédrale (luth. p. 178)
1590. Dominica III. post Trinitatis. 5. Julÿ. Carl Glück der Büchsenschifter, vnd Anna Hanß Georg Föllingers des Steinmetzen nachg. tochter Eingesegnet Zinstags den 14.ten Julÿ (i 92)

Charles Glück et Anne Fellinger cèdent à Marie, fille de Josse Faullimmel, un capital assis sur la maison devenue propriété de Jean Frauler et de Marguerite Detzer

1600 (xxvj tag Augusti), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 239
(Inchoat. in Proth. fol: 259.) Erschienen Carle Glick der Büchsenschÿffter Burger Zu Straßburg, Vnd Anna Fellingerin sein eheliche haußfrauw, Wÿland hanß Fellingers des Steinmetzen selig. dochter, Haben (verkaufft)
Marien Fullymmelin, Wÿland Jost Fullÿmmells des Küffers seligen dochter, obbemelten Annen (.Mutterhalb.) schwester, von deren Wegen Zugegen war, der Ehrwürdig vnd Wolgelert herr Bartholomeus Nasser Pfarrer der Pfarrkirch. Zu Sanct Thomann Zu St. Ir geschworner Vogt
Ein Pfund pfenning gelts, Von Vnd ane xxx ß d gelts, so obgemelte Anne Fellingerin, die Verkheüferin (.Vermög vffgerichten Vertrags Im Inventario begriffen.) sagte fallen haben, Vnd Ihre Hanß Frauwler der Steinmetz burger Zu St. Vnd Margred Detzerin sein Ehegemahel, Järl. vff Marie Verkhündung, Von Vnd abe, hauß, hoffestatt höfflin vnd hinderheüßlin mit Iren gebeuwen, begriffen, vnd zugehörden, alhie Inn der Statt Straßburg, beÿ sant Andres Thörlin, Inn darmenters gaß & gelegen zugeben Pflichtig, Vnd daran der Vberigen x ß d gelts, sie die Verkheüffere Inen noch Zur Zeit thun vorbehaltten & vnd alles recht & Also das & der Khauff beschreibung & für vnd vmb 20 pfund pfenning Straßburger

La maison devient propriété du brasseur Christophe Hillmann par un acte non connu. « Christoffell hillmann der Biersieder Zum Rosencrantz » prend à bail une maison rue du Parchemin en 1609 (Chancellerie, vol. 383 f° 501 correspondant à la parcelle Blondel VI 16).

Originaire de Strass (actuellement commune de Nersingen près de Neu-Ulm) près d’Ulm, le brasseur Christophe Hüllmann épouse en 1608 Julienne, veuve du soldat Philippe Gamuth.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 264-v n° 722)
1608. Sonntag den 4. Septembris. Christoph Hüllman Von Straß beÿ Vlm, d. biersied., vnd Juliana Philips Gamuth des soldners Nachgelaßne Wittib. Eingeseg. Montag. 19. Septemb: (i 271)

Le soldat Philippe Gamuth épouse en 1589 Susanne, veuve de tailleur de pierres Jean Eck, puis en 1595 Julienne, fille du boulanger Philippe Keller
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 119 n° 369)
1589. 3. post epiphaniam. Philips Gamuth der soldner vnd Susanna Hans Eckern, des steinmetzen nachgelasne witwe, eingesegnet den 10. Feb. (i 128)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 37 n° 88)
1595. Dominica j. post pascha. 27. Aprilis. Philips Gamuth d. soldner vndt Juliana Philips Keller des haußbecken Nachgelaßene Tochter. Eingesegnet Zinstag den 6. Maÿ (i 39)

Le brasseur Christophe Hüllmann devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1608, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 901
Christoph Hüllman der Bierbrüer von Straß beÿ Ulm Empfahet daß Burgerrecht Von Juliana weÿlandt Pillip Gammuths deß Einspennig.s alhier sellig wittib vnd wüll Zu Freyburg dienen Actum den 27. 7.bris A° 1608.

Le brasseur Christophe Hillmann vend la maison au corroyeur Gabriel Beuchel. Le vendeur donne quittance en 1628 à Marguerite, veuve de l’acquéreur.

1622 (ut spâ [v. Julÿ]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 222-v
(Inchoat. in Prot. fol. 178. – Protocollat. fol. 481) Erschienen Christoff Hillman der Biersieder Burger Zu Straßburg (verkaufft)
Gabriel Beüchel Lederbereittern burgern Zu Straßburg
Ein Vorder: Vndt Hinderhauß, mit Ihren hoffstetten, Höfflin Undt Brunnen genant Zu dem Rooßen Crantz, Auch Allen Andern Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St: St: beÿ Sant Andreßen, einseit nebent Caspar Boppen dem Weißbeckhen, And.seit nebent dem Allmendt, hinden Vff hannß Küeffer den Kornwerffer stoßend, für freÿ, Ledig Vndt eÿgen, Vndt Alles Recht & Also & Vndt Ist disser Khauff Zugangen Vndt beschehen für vnd vmb 1000 Pfundt pfenning Straßburger,
Dabeÿ Abgeredt das dem Kheüffer Auch Inn dissen Kauff gelüffert Vndt eingeraumbt werden solle Zwen eingemaurte bier Kessel Zehen Stuck Vaß Vndt Sechs Vierling Auch Vier bitten sampt Allem dem schiff Vndt geschirr Zum Biersieder gehörig
[in margine :] Erschienen obgem. Hillman hatt in gegensein Margreth deß Keüffers s: wittib mit beÿstand Isac Dattlers ihres Bruders vnd vogts (…) q.tiert den 16. Julÿ 1627 (vide cessionem in Regist. de Anno 1628. fol. 112.)

Fils du corroyeur du même nom, Gabriel Beuchel épouse en 1620 Marguerite, fille du brasseur Abraham Dattler.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 314-v)
1620. Dom: Misericordia 30. Aprilis. Gabriel Beüchel d. Led.bereiter Gabriel Beüchels des Lederbereiters nachgelaßener Sohn, J. Margreth Abraham Dattler des Biersieders Eheliche dochter. Eingesegnet Zinstag 9. Maÿ (i 162)

Fils du maire de Weinsbach Jacques Kolb, le brasseur Jean Kolb épouse en 1627 Marguerite, veuve de Gabriel Büchel, brasseur au Chapelet.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 78)
1627. Dom. XX. Trinit. 7. 8.bris. Johann Kolb der biersieder von weinspach Jacob Kolben deß burgermeisters von winspach Ehelicher Sohn, Vndt Margaretha, Gabriel Büchels gewesenen biersieders zum Rosenkrantz, wittwe. Copulatio 16. 8.bris. zu J. S Peter (i 41)

Originaire de Weinsbach près d’Ansbach, le brasseur Jean Kolb devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage.
1627, 4° Livre de bourgeoisie p. 99
Johann Kolb der Buersieder Zum Roßen Krantz Von Winspach vnder ornoltzbach Empfang d. Burg.recht Von Margaretha, Weÿl. Gabriel Beuchel deß geweßenen Büersieders Zum Roßenkrantz Alhier sellig hünderlaßner Wittib Wull Zu den Freÿburgern Zünfftig sein den 11 xbris 1627.

Brasseur au Chapelet, Jean Kolb loue la maison au brasseur Jean Kaiser

1628 (9. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 374
Erschienen hannß Keÿser d. Biersied. burger Zu Straßburg
hatt in gegensein hannß Kolben Biersieders Zu Rosencrantz burgers Zu Straßburg bekhand,
daß er Ime Vor 2. Jahrlang so vff Michaelis nechsthkfftig Angehen solen vnd nit fürbaß desselb. kolben Behaußung Zum Rosencrantz beÿ Sant Andreß Thörlin, Inn d. St. St. gelg. entlehen* * hette, für vnd vmb ein Jährlich zinß xxxxij lb
[in margine :] Erschienen hanß Kolb bekhandte In gegensein Hanß Keÿsern d. derselb. Ihme die vff Michaelis a° 1629. & 630. Verfallene hauß Zinß Zu genüegen entrichtet (…) wieder umb 42. lb vff Michaelis fallend vff ein Jahr lang Wied. verlühen, Actum d. 28. 7.bris a° 630.
[in margine :] (…) wiederumb vmb 35 lb Zinß v.lühen vff ein Jar lang solchen nach Johannis Bpstsæ 1632. zuerlegen, Act. den 30. Septembris 1631.
[in margine :] (…) wiederumb ein Jar lang umb solchen Zinß der 35. lb verlühen – Actum den 29. Julÿ 1632

Devenu brasseur à l’Autruche (face à la Boucherie), Jean Kolb vend la brasserie au brasseur Michel Deffner et à sa femme Anne Marie Bertram

1634 (14. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 581
(Protocollat. fol. 101) Erschienen Johannes Kolb, der Biersieder Zum Straußen alhie
hatt in gegensein Michel Deffners auch Biersieders und Küeffers alhie (verkaufft) für sich vnd sein haußfraw Anna Maria Bertramin
daß Bierhauß Zum Rosenkrantz gent. sampt dem hind.hauß, hoff, hoffstatt und Bronnen, alhie beÿ S. Andreßen, ist einseit ein Eck an der Pergamenter gassen, 2.seit neben Caspar Poppen dem Weißbecken vnd neben H Johann Heüpels gewesenen Pfarrers see. Zu Wolfftzheim wittib, hind. vf gedachten Poppen stoßend gelegen dauon gehen Järlich vff Urbani 4 fl. gelts wegen deß durchbruchs d. St. St. So ist solch Bierhauß auch noch v.haftet vmb 700. fl. a 15. bz. Barbaræ Kellerin weÿ: Andreß Hafelins deß Soldaten see: wittiben, daran alle Jar vff Johannis Bpstaæ 100. fl. Item vmb 175. fl. hanß Friderich Küeffer dem Kornwerffer daran Jährlich vf Adolphi 25. fl. sampt den zinsen Zuerlegen sonst eÿgen, Vnd were diser Kauff, darinnen auch ales schiff und geschirr so zum Bier handwerck gehörig begriffen, vber die beschwerd. so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 1875 fl
[in margine :] Erschienen beedes der Käuffer vnd Verkäuffer Zeigten An, demnach sie beede wegen der Träm im Keller und der Dörr etwaß mißv.ständ, vnd weil dieselbe reparirens und besserens vonnöthen gewesen gehabt, daß sie sich deßwegen dahin v.glichen, daß Er verkäuffer ihme Käuffer An Bawcosten 6. lb 10. ß par erstaten dafür er ihne auch q.tirt – den 20. Julÿ 1635

Originaire d’Erlenbach dans le margraviat d’Ansbach, le tonnelier Michel Dæffner épouse en 1630 Anne Marie Bertram, veuve du libraire Jean Tscherning
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 157-v)
1634. Eodem [Sontag d. 9. Feb.] Michael Täffner d. Küeffer von Ober Erlenbach in d. Marggraffschaft Anspach, Conrad Täffners Nachgelaßener Sohn, v. Anna Maria, Johann Tresching buchhändlers alhie Nachgelaßene witwe, Eingesegnet word. zu St. Thomas Zinstag d. 18. Febr. (i 164)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 333) 1634. Michael Däffner der Küeffer, Conrad Däfner Zu Ober Erlenbach in der Marggraffschaft Anspach e. sohn vnd Anna Maria Johann Tresing buchhändlers n. witwe, eingesegnet zu S. Thoman Zinstag 18. febr. (i 171)

Michel Deffner devient bourgeois dix jours après son mariage (inscrit sous le nom de Daschner)
1634, 4° Livre de bourgeoisie p. 135
Michael Daschner d. Kueffer von Ober Erlenbach, Empfangt d. Burg. recht von Anna Maria weÿland Johann dorsching deß Buchhendlers Alhie ehel. hind. laßener wittib seine haußfrawen Wull bey den Küeffern Zünfftig sein den 20. Februarÿ A° 1634.

Anne Marie Bertram fait des legs à sa fille Anne Marie Aubry femme du tisserand Georges Zessenmacher, à son fils Jean Tscherni et aux enfants d’Anne Marie Aubry.
La maison redevient (sans doute par défaut de paiement) propriété du vendeur Jean Kolb

Jean Kolb loue la brasserie au tonnelier et brasseur André Bœhm, assisté de son beau-frère Jean Ruprecht.

1641 (ut supra [23. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 557-v
Erschienen Johann Kolb der Biersieder Zum Strauß burg. Zu Straßburg
hatt einer vffrecht. Lehnung verlüh. Andreß Böhmen dem Küffern und Biersiedern, so Zugeg., mit beÿstand hannß Ruprechten seines Schwähers entlehnte
daß Bierhauß Zum Rosen Krantz mit allen den gebäwen, wie auch dem ienig. Schiff und geschirr wie solches in einer sonderbahren designation ordentlich specificirt werd. soll. von nechstkünfftig Weÿhenachten. an biß vff Weÿhenachten hernach daß ist a° 1643. umb einen iährlich. Zinnß nemblich 25 Pfund
[in margine :] vide in regist. 1642. den 27. 7.bris
Erschienen der Verleÿher hatt in gegensein deß Entlehners bekannt, wiewohlen diße Lehnung nur vff ein Jahr verschrieben word. So seÿe dieselbe iedoch biß vff gegenwärtig Weÿhenachten und iedesmahlig verglichenem Zinnß continuirt – Act. in p.sent hannß Thoman holtzschuhß deß ietzig. Entlehners d. 15. Xbr. 1645.

Nouveau bail entre les mêmes

1642 (ut supra [27. 7.bris]), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 698
Erschienen H Johann Kolb der Biersieder Zum Straußen burger Zu Str.
verlühen, Andreß Böhmen dem Biersieder, so zugegen
daß Bierhauß Zum Rosen krantz mit allen deren gebäwen, wie auch dem Jenig. Schiff und geschirr, wie solches in einer sonderbahren Designation ordentlich specificirt word. soll, von nechstkünfftig Weÿhenachten biß Weÿhenachten 1643. Vmb einen Jährlich. Zinß Nemlichen 35. lb. Str.

Jean Kolb loue la brasserie au brasseur Jean Thomas Holtzschuh

1645 (15. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 636
Erschienen H Johann Kolb E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzer und Biersied. Zum Strauß
hatt in gegensein hannß Thoman Holtzschuch deß Biersieders
verlühen habe daß Bierhauß Zum Rosenkrantz, mit allen deßen Gebäwen, alhie beÿ St. Andreß geleg. Zusampt dem Schiff und Geschirr Zum Biersud gehörig. vff ein Jahr lang von bevorstehend Weÿhenachten. angerechnet, umb 35. lib Zinnßes

Le brasseur au Chapelet Jean Thomas Holtzschuh épouse en 1649 Anne Barbe Koch, veuve de Jean Gelff, prévôt de Burrweiler près de Landau.
1649 (25. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 63-v
(Protocoll. fol. 244 – Eheberedung) Erschienen Hannß Thoman Holtzschuh der Biersieder Zum Rosen Crantz Burger Zu Straßburg alß Hochzeiter, mit beÿstand Wendling Stiegelmanns deß Küeffers Vnd Burgers alhie an einem,
So dann Anna Barbara Kochin weÿl. Hannß Gelffen geweßenen Schultheißen vnd Kellereÿ verwalthers Zu Burweÿler beÿ Landaw gelegen, nachgelaßene Wittib, alß hochzeiterin, mit beÿstand frawen Barbaræ Kolchin weÿl. H Peter Aÿchlers deß Weinhändlers alhie seel. nachgelaßener Wittibin ihrer Basen, vnd H. M. Johann Caspar Mockhels E.E. Statt Gerichts Procuratoris ihr Fr. Barbaræ Golchin vogts am andern theil

Inventaire des apports de Jacques Kolb, brasseur au Chapelet, et de Marie Salomé Gretzinger

1654 (14. 7.bris), Not. Oesinger (David, 37 Not 12) f° 21
Inventarium vndt Beschreibung Aller vndt Jeder Haab Nahrung vndt Güethere, So der Ehrengeachte Herr Jacob Kolb burger vndt biersieder alhie Zum Rooßen Krantz Vndt die Ehren vndt tugendtreiche Fr. Maria Salome Gretzingerin beede Eheleuth Zusammen In den Ehestandt gebracht (…) In beÿsein der auch Vil Ehren vndt tugendreichen Fr. Anna Margaretha H Philipp Gretzingers auch burgers alhie ehelichen haußfr. Ihrer Mueter – So beschehen Donnerstags den 14. 7.bris A° 1654.
In dem Bierhauß Zum Rooßenkrantz alhie Welches dem Ehrenvesten fürsichtigen vndt Weißen H. Johann Kolben burgers vndt E. E. Großen Raths beÿsitzer, eigenthümlichen Zuständig ist befund. word. Wie volgt.
In der Cammer A, In des Knechts Cammer, Auff dem Maltz bod. In der Obern Stub, In der Stub Cammer In d. Mittleren Stuben, In der Stub Cammer, Vor der Stuben, In der Vndern Stub., In d. Kuch., Im hoff
Des Manns Vermögen, Sa. haußraths 166, Sa. Silbers 6, Sa. frucht 19, Sa. Schiff und geschirr Zum biersied. gehörig 2, Sa. lähren Vaßen 60, Sa. Baarschafft 113, Summa summarum 368 – Schuld, Nach deren Abzug 358 lb
Der Fraw Vermögen, Sa. haußraths 175, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. Guldenen Ring 34, Sa. baarschafft 37, Summa summarum 281 lb

Jean Kolb vend la maison en 1658 au brasseur Jean Léonard Schropff (Schropp)

1658 (14. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 491-v
(Protocoll. fol. 74.) Erschienen d. Ehrenvest- Fürsichtig weÿs- H Johann Kolb E E groß.Rhats Beÿsitzer
in gegensein hannß Lienhard Schropffen deß Biersieders und Judith seiner ehelichen hausfrawen mit beÿstand deß Ehrenvest- From- wohlweÿsen H Isaac Fausten deß beständigen Regiments der Herrn Fünffzeh. und deß Ehrenvest- hochwohlgebornen H Georg Basilÿ Geÿers der Statt Straßburg Stalls ihr de. Judith ohnentledigt. Vogts, bekannt, daß Er H Kob, gemelten beÿd. Eheleuth seinen dochtermann und dochter
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deri hoffstätten, höfflin, bronnen und all. übrig. ihren Gebäwen, Begriffen, Recht. und Zugehördt. alhir beÿ St. Andres, einseit neben weÿl. Caspar Poppen deß weißbeckh seel. Erben, anderseit neben dem Allmend hinden uff weÿl. H M. Georg Jacob Straußen geweßenen Pfarrherrn Zu St. Thoman nunmehr seel. nachgelaßene Erben stoßend gelegen und Zum Rosencarntz genannt, davon gehend iahrs termino Urbani 2. lib Allmendgelts weg. eines durchbruchs gemeiner Statt, so wollte der Vatter auch die dochter, umb 450. lib mütterlich. ohnverändert Guths vff solche behaußung angewießen und sie dieße Anweißung angenohmen haben – Zugangaen umb 650 Pfund

Fils du brasseur Georges Schropp de Lichtenau près de Nuremberg, Jean Léonard Schropp épouse en 1658 Judith, fille de de l’assesseur au Grand Sénat Jean Kolb
Mariage, cathédrale (luth. f° 94, n° LV)
1658. Johann Lienhard Schropp d. biersieder Von liechtenaw in Nürnberg herrschafft weÿl. herrn Georg Schroppen biersied. vnd deß Raths daselbst hind.laßener ehelicher Sohn. Jungfr. Judith herrn Joh Kolb Biersied.s v. eines Ehrsamen groß. Raths beÿsitzer alhie eheliche Tochter, den 21.t 7.bris Im münster (i 95)

Originaire de Lichtenau près d’Ansbach, Jean Léonard Schropp devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage.
1658, 4° Livre de bourgeoisie p. 317
Hannß Lienhardt Schropp d. Biersied. v. Liechtenaw beÿ Anspach empfangt das Burgerrecht von Seiner Haußfr. Judit H. Rathherrn Johann Kolben dochter vmb 8 gold fl. wlche er bereits beÿ d. Cantzleÿ erlegt, ist vorher ledigen Stands gewesen, Vnd will zu E. E. Zunfft der Fieffer dienen. Jurav: 23.t 7.bris 1658.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 661 livres, ceux de la femme à 721 livres.
1659 (16.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 14) n° 11
Inventarium vndt Beschreibung Aller vnd Jeder Haab, Nahrung vnd Güthere, So der Ehrenhaffte Hanß Lienhardt Schropp, burger Vndt biersieder Zum Rosenkrantz alhie Zue Straßburg, So dann die Ehren vndt Tugendsame fr. Judith Kolbin, beede Eheleuthen einander in den Ehestandt Zugebracht, welche Zue Verhüetung Künfftiger Vngelegenheit vndt Vmb beßerer richtigkeit willen, Vff Ihr gesamtes begehren (…) So beschehen Sambstags den 16.ten Julÿ A° 1639
Summarum der Fr. Zugebrachten unveränderten Nahrung 721 lb
Des Manns Zugebrachte Nahrung, haußrath 79, Silbergeschirr und Geschmeidt 23, Baarschafft (481 abzug 172, Bleibt) 303, Gewiße vnd Vngewiße Schulden 254 lb, Summa summarum 661 lb

Judith Kolb meurt en 1660 en délaissant une fille. L’inventaire décrit la maison acquise en 1658. La masse propre au veuf est de 359 livres, celle des héritiers de 643 livres. L’actif de la communauté s’élève à 599 livres, le passif à 742 livres

1661 (20.2.), Not. Oesinger (David, 37 Not 16) n° 5
Inventarium und beschreibung Aller vndt Jeder Haab Nahrung v. güethere, Liegender v. vahrender, So weÿl. die Ehren v. tugendsame Judith Kolbin deß Ehrenhafften H. Johann Leonhardt Schroppen burgers v. biersieders Zum Rosenkrantz alhie Zu Straßb. verstorbene Haußfr. Seel. nach dem dieselbe vff Martini deß nechst verwichenen 1660.ten Jahes Gottes Vätterlichen Willen nach, aus dießem müheseelichen Jammer thal abschieden hinder Ihro verlaß. welche vff beschenenes freundliches ansuchen erfordern v. begehren deß Ehrenvesten Vorgeacht. v. weiß. Herrn Jacob Karchers, burgers v. vornehmen handelßmanns auch E. E. Kl. Raths alhie wohlverordnet. beÿsitzers, alß geschwornen Vogts Mariæ Margarethæ, obgemelter Fr. Seel. hinterbliebenen döchterlins – So bescheh. d. 20. lb Februarÿ A° 1661.

In Einer In der Statt Straßburg beÿ St. Andreas gelegen. behaußung, d. bierhauß Zum Roßen Krantz genannt, so in dieße Verlaß. gehörig v hernach specificirt
In der Cammer A, In der Stuben Cammer, Vff den hinder, Stockh, Vor dießem Kasten, Vff d. undern Kasten Im hindern Stockh, Vor dießem Kasten, Vor der Mittlern Stuben, In der Mittlern Stuben, In der Stub Cammer, In der Vndern Stuben, In der Kuchen, Im Maltz Keller, Im Mertz. bier Keller
Eigenthumb an Einer Behaußung. It. 2. häußer Ein Vorders v. i. hinders mit dero hoffstätten, höfflin, bronnen, v. allen vbrig. Ihrenn gebeüwen, begriffen, Recht. v. Zugehörd. In d. Statt Straßb. beÿ St. Andreß. i. seith neb. weÿl. Caspar Poppen deß Weißbeckh. Seel. Erb. v. 2. seith neben dem Allmendt hinden vff weÿl. H. M. Georg Jacob Strauß. geweßenen Pfarr H. Zu St. Thomen alhie seel. nachgelaßenen Erben stoßend geleg. v. Zum Rosenkrantz genant, davon geh. Jahrs vff vrbani 2. lb d. Alldt Gelt d. St. St. weg. i. durchbruchs v. hat d. töchterlin Mütterlichen guths darauff steh. wie hievorn zue seh. So dann Ist dieße behaußung noch verhafft vmb 130. lb Kauffschillings Rest H. Johann Kolb. Alt. Groß Raths verwanth. alhie der Verstorbenen Fr. Vatter Seel. gehörig, so Jährlich. vff Michaelis mit 29. lb d verzinßt werden sonst ledig vndt Eig. vnd Ist über dieße beschwerden hiehero angeschlagen p. 400. Darüb. bsagt i. teutsch. Perg. Kauffbrieff mit d. Statt St. anh. Cont. Ins. verwahret deren datum den 14. d. octob : A° 1658. Signirt mit N° 1
Ergäntzung deß wittwers vnv: Vermög eines über hievorgedachter beeder Eheleuthen in den Ehestande Zugebrachter haab v. Nahrung durch mich vor v. nachbenambsten geschworne Keÿßerl. Notarium in Anno 1659 den 16.ten Julÿ Auffgerichteten Inventarÿ Ist dem Wittwer Zuergäntzen wie volgt
Abzug In dießes Inventarium, Sa. Haußraths 17, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Ergäntzung 327, Summa summarum des Wittwers unveränderten Gantzen Nahrung 359 lb
Sa. haußraths 72, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. Guldenen Ring 16, Sa. Schuldt 450, Sa. Ergäntzung 90, Summa summarum der Erbin Unverändert Guth 643 lb
Sa. Theilbarn haußrats, auf Ansuchen Maltz 27, Sa. Biers v. Lähren Faß 63, Sa. Schiff und geschirrs 6, Sa. Silbergeschirrs 4, Sa. Baarschafft 9, Sa. Eÿgenthumbs n Einer behauß. 400, Summa summarum 599 lb – Passiv Schulden übertreffen die Theilbar verlaßenschafft 142 lb
Summa finalis 832 lb

Jean Léonard Schropp se remarie en 1661 avec Anne Marie Feigler, fille du diacre Philippe Feigler
Mariage, cathédrale (luth. f° 6-v n° 25)
1661. Festum Pentecostes den 2. Maÿ. Zum 2.mahl hr Johann Leonhard Schropp, Bursieders undt Burger alhier und Jfr. Anna Maria h. M. Philipp feiglers Diaconi bei hiesigem Münster ehel. Tochter. Dienstags den 11.ten Junÿ Spiegell, Münster, Hhstub. (i 8)

1661 (4.6.), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 10) n° 27
Inventarium und beschreibung der Jenig. Nahrung welche die viel Ehren und tugendreiche Jfr. Anna Maria Feiglerin dem Ehrenhafften H. Johann Leonhardt Schroppen, biersiedern Und burgers Zu Str. ihrem geliebten hochzeitern, für unverändert in den Zum theil. Zubring. thut

La maison revient au brasseur Philippe Jacques Schropp qui épouse en 1685 Anne Ursule, fille du brasseur Jean Pierre Montfort

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 135 n° 37)
1685. Dom: 12.post Trinit. Zum 2 mahl Philipp Jacob Schropp der Bürsieder Weiland Leonhard Schroppen auch gewesenen Bürsieders v. burgers nachgelaß. ehl. S. Jfr. Anna Ursula Johann Peter Montfort auch Bürsieders v. burgers alhier ehel. T. Mittw. den 19. 7.bris N. Kirch (i 136)

Philippe Jacques Schropp et Anne Ursule Montfort hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Sachs, receveur de l’orphelinat
1688 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 559 n° 32
Philipp Jacob Schropp, Biersieder zum Rosen Crantz und Anna Ursula gebohrne Montfortin deßen haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Peter Montforts deß Biersieders Zum Vogelgesang ihres leiblich. Vatters und Dieterich Schlehenackers deß Biersieders zum Störckel, Ihrer Mutter sel. bruders
in gegensein H. Johann Friderich Sachßen Schaffners deß Waisenhaußes – schuldig seÿen 150 Pfund
unterpfand, d. biehauß Zum Rosen Crantz allhier, sambt allen deßen gebäuen und zugehördt., allhier in der Pergamenter gaß, so einseit ein Eck geg. dem Anthonierhoff, anderseit neben Simon Poppe dem Weißbecken, hind. gegen dem Andreßen thörlein auff (-) deß Amlungmachers wittib und Erben stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 2. lb Allmend Zinß Gemeiner Statt Pfenningthurn
[in margine :] (…) in gegensein schuldbekennenden Philipp Jacob Schroppen seel. tochter Maria Dorothea gebohrner Schroppin, Joh: Friderich Schweichhaüßer, des Zollers am Rhein ehefrauen beÿständlich deßelben, und in fernerer gegenwarth Johann Philipp Schropp, ledigen Kieffers wie auch Johann Ludwig Schropp des grempen allhier alle als proprietariorum hier verpfändeten Bierhaußes zum Roßenkrantz (quittung) den 13. oct. 1733

Philippe Jacques Schropp hypothèque la maison au profit de la fille mineure de Pierre Flechner, greffier du bailliage de Lichtenau

1688 (26. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 614
Erschienen Philipp Jacob Schropp, der Biersieder,
hat in gegensein Samuel Christoph Flechner, deß Schneiders alß vogts Annæ Barbaræ, weÿl. H. Peter Flechners geweßenen ambtschreibers Zu Lichtenau nachgelaßenen töchterleins – schuldig seÿe 300 gute Reichs guldner, wie solche nach jüngster devaluation Zu 9 ß 3 d gewürdiget word.
unterpfand, d. Bierhauß zum roßen Crantz und deßelb. hind.hauß mit allen deren Gebäuen, Begriffen. Recht. und zugehördten allhier geg. St. Andreß. thörlein Und an der Brandgaß. einseit ist ein Eck an d. Pergamenter gaß, and. seit neb. hans Caspar Rohren dem Schneid. hind. auff Johann – d. Beck. stoßend geleg., darvon gehend jährlich 2 lb d Bodenzinß geleiner statt Pfenningthurn
[in margine :] Philipp Jacob Flechtners Knöpffmacher und Anna Dorothea gebohrne Flechtnerin beÿständlich Joh: Kipß sattlers ihres mariti, haben in gegensein Joh: Philipp Schopp biersieders zum Mohren Kopff und Mariæ Dorotheæ gebohrner Schroppin beÿständlich H. Joh: Heinrich Illers deß Scribent ihres Curatoris (quittung), den 22. xbris 1713

Le brasseur au Chapelet Philippe Jacques Schropp hypothèque la maison au profit du barbier Emmanuel Brantz. Anne Ursule Montfort, femme du débiteur, se porte garante

1689 (4.6.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 292-v
Philipp Jacob Schropp der Biersieder Zum Rosen Crantz
in gegensein Hn Emanuel Brantzen des barbierers und wundartzts auch E.E. großen Raths alten beÿsitzers, seines Großschwehers
angezeigt und bekandt, daß Er Schropp in Weÿl. Fr. Dorotheæ Paulin sein H. Emanuel Brantzen haußfrauen Vierter Ehe nunmehr seel. Verlassenschafft, vermög Zweÿer underschiedener privat handschrifft respect. vom 11.ten 9.br 1687. und 10.ten Jan. 1688 die summ von zweÿ mahl Zweÿ hundert, d. ist Vier hundert Gute Reichs guldner, wie solche nach jüngster devaluation zu 9 ß 3 d gewürdiget worden, auffrichtig und redlich schuldig seÿen und beede Obligationes Ihme H. Brantzen beÿ abtheÿlung von seiner haußfrauen sel. Verlassenschafft an Ergäntzung assignirt word. seÿn
unterpfand, das bierhauß zum Rosen Crantz sambt dem hind.hauß und allen deßen Gebäuen begriffen recht. und zugehördten allhier in der Pergamenter Gaß einseit neben Johann Braunen dem wittiben and.seit ist ein Eck zu und.st an d. Brandgaß, hind. auff hans Caspar Rohren den Schneider stoßend gelegen, darvon gehend jährlich auff Urbani 4. gulden allmend od. Bodenzinß Gemeiner statt Pfenningthurn
Deßen zu mehrer Versicherung ist hiebeÿ persönlich erschienen Anna Ursula gebohrne Montfortin deß debitoris eheliche haußfrau mit beÿstand dietrich Schlehenackers Biersieders zum Störckel und Jacob Heckmanns, deß weißbecken Ihres respect. Vettern und Schwagers, die hat sich für obige schuld verbürgt
[in margine :] (…) in gegensein schuldbekennenden Philipp Jacob Schropp geweßten Biersieders Zum Roßenkrantz hinterlassener tochter, Mariæ Dorotheæ gebohrne Schroppin und deren ehemann Johann Friderich Schweickhaüßer Zoller am Rhein, und ged. Schroppen sohns weÿl. Johann Philipp Schroppen geweßten Bierbrauers hinterl. beder Kinder Joh: Philipp Schropp des ledigen Kieffers und Joh: Ludwig Schropp des grempen und burgers allhier, alß biß herigen Eigenthumbs besitzer hier verpfändeten Bierhaußes aum Roßenkrantz (quittung), den 13. oct. 1733

Philippe Jacques Schropp et Anne Ursule Montfort hypothèquent la maison au profit des fils mineurs du boulanger Sébastien Gœtz

1691 (letzten 9.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 886-v
Philipp Jacob Schropp, der Biersieder Zum Rosen Crantz und Anna Ursula, gebohrne Montfortin deßen eheliche Haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Jacob Heckmanns, deß weißbeck. ihres schwagers, und Niclaus Montforth ihres leiblich. bruders
in gegensein Johann Christoph Spangenbergs, deß buchbinders alß Vogts weÿl. Johann Sebastian Götzen, gewesenen weißbecken nachgelaßenen 3 Söhnen Erster Ehe – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, d. Bierhauß Zum Rosen Crantz mit allen deßen gebäuen Recht. und zugehörd. So ein Eck unden an der Pergamenter respect. an d. Brandgaß. geg. dem Andreßen thörlein über, in der Pergamenter gaß neb. Johann Braunen, dem weißbecken in der Brand gaß neben hans Caspar Rosen dem Schneider geleg.
[in margine :] Johann Georg Götz der Kremp, proprio noê und als hæres ab intestato wie er anzeigte seiner beÿden Verstorbenen brüder nahmens Johann V. Daniel der götzen (quittung), den 10. Xbris 1720

1694 (21. 7.br), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6296)
Herr Philipp Jacob Schropp Biersieder Zum Rosen crantz
Protholollum secundum, 1 AH 6295

Philippe Jacques Schropp meurt en 1694 en délaissant deux enfants de la veuve. Les experts estiment la maison à 850 livres. La masse propre à la veuve est de 465 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 087 livres, le passif à 1 369 livres

1695 (8.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6181) n° 439
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder. Liegendter und Vahrend. verändert undt unveränderter Haab, Nahrung undt güther, so weÿlandt der Ehrengeachte Herr Philipp Jacob Schropp, gewesener biersieder Zur roosencrantz, burger alhier Zu Straßburg nunmehr seelige, nach seinem d. 14. 8.bris Jüngst abgewich. 1694.t Jahrs tödtlich. genommenen hienscheid. hind. Ihme v.laß. welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erford.n und begehren deß Ehrengeachten Herrn Hanß Georg Deüblers, Einspennigers burgers allda, als geordneten undt geschwornen Vogts Hanß Philippß u. Mar. Dorotheæ aller Zweÿ deß verstorbenen seeligen mit der nachgelaßenen fraw Wittib ehelich erzeügter Kinder undt ab intestato nachgelaß.er Erben durch die Ehrn: undt tugendreiche fraw Annam Ursulam Montfortin die hinterbliebene wittib mit beÿstandt des Ehrengeachten herrn Dietrich Schlehenackers biersied. Zum Störckel burg. Zu ged. Straßburg. deroselb. geordnet undt geschwornen Vogts (…) beschehen in Straßburg Dienstags den 9. Martÿ St. N. Anno 1695.

Inn einer inn d. Statt Straßburg Zum Roosencrantz genant. an d. brandtgaß geleg.en bier behausung hatt sich befund. wie volgt.
Eÿgenthumb ane einer behaußung der Erben ohnverändert. Zweÿ haüß. ein Vords. undt ein hinders mit d.o hoffstatt, höfflin, bronnen undt alllen übrig. Ihren gebäwen, begriff. weit. Recht. Zugehörd. undt gerechtigkeit. das Bierhauß Zum Roosencrantz genannt geleg. alhie inn d. Statt Straßburg, beÿ St. Andreß. einseith neben Simon Boppe deß weißbeck. Erben modo Johann Braunen auch weißbecken and.seith weilen es ein eckhauß neb. d. Allmendt und Philipp N. dem Seÿler von Pfaffenhoffen, hind. auf gedacht. Braunen stoß.dt geleg. davon gehen Jahrs 2. lb d Allmendt gelt gemeiner Statt alhier, weg. eines durchbruchs, termino urbani, sonst hiehero für ledig undt eÿgen gesetzt undt hiehero üb. genant. allmetgelt æstimirt und angeschlag. vor 850. lb. Darüber besagt ein teutsch. pergament Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Contract Insiegel verwahrt, deß. datum d. 14. 8.br. 1658.
Höltzen: undt Schreinerwerck, Inn d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Inn des Knechts Cammer, Inn d. Obern Stub, Inn d. Obern Stub Cammer, Im obern haußöhren, Inn d. mittlern Stub, Inn d. mittlern Stub Cammer, Auf dem Gang, Inn der und.n Stub., Im und.n Haußöhren, Inn d. Kuch. Im Keller
Norma hujus inventarÿ, Copia d. Eheberedung, Copia Codicilli
der fraw wittib ohnverändert eÿgenthümblich Vermögen, Sa. haußraths 21, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. d. Guld.en Ring 7, Ergäntzung (auß dem Nahrungs Inventario durch Hn Joh: Friderich Redwitzen Notm. pub. d. 14. 8.bris aô 1685. auffgerichtet)
Theilbahr, Sa. haußraths 11, Sa. Bier, undt Hopff, vaß auch and. mehr zum bierbraueren und Küeffer handwerck gehörige Schiff und geschirr 61, Sa. Silbers 12, Sa. guld. Ring 14, baarschafft 20, Eÿgenthum ane einer behaußung 580, Sa. 1, Summa summarum 1087 lb – Schulden 1369, Passiv onus 271 lb
Sa. d. fr. wittib gantzen eÿgenthümblich. Vermögens ist 465 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 184 lb
Wÿdembs Verfangenschaft. fr. Mar. Salome Schillingin, weÿl. H. Joh: Baptist Fechers gewesenen Groß. Raths beÿsitzers undt Silberarbeiters seel. hind.laßene fr. wittib hat von weÿl. H. M. Joh: Philipp Feiglers Ihres auch gewesenen Eheherrn seel. Verlaß. Zeit lebens Zu genieß. 250. lb

Anne Ursule Monfort se remarie en 1695 avec Jean Philippe Grumbach, fils du pasteur de Brumath Valentin Grumbach : contrat de mariage, célébration

1695 (5.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892) n° 9
(Eheberedung) – zwischen den Ehrenvesten vorgeachten herrn Johann Philipp Grumbach, weÿlandt des wohl Ehrwürdigen undt wohlgelehrten herrn Johann Valentin Grumbachs gewesenen Ober Pfarrers in dem Ampt Brumat hochgräff. Hanauischer herrschafft seeligen nachgelaßenen ehelichen Sohn, als Hochzeitern an einem:
So dann der Ehrn: undt tugendtreichen frawen Annæ Ursulæ Montfortin, weÿl. des Ehrengeacht. herrn Philipp Jacob Schroppen, gewesenen Biersieders Zum Rosencrantz burgers alhier Zu Straßb. seeligen hinterbliebenen wittib der frawen hochzeiterin am andern theil
Geschehen undt verhanelt in dießer königlichen freÿen Statt Straßburg, dinstags den 15. Martÿ St. N. Anno 1695. [unterzeichnet] Johann Philipp Grumbach confirmire als hochzeither, Anna Ursula Schoppin als hochzeitherin
Protholollum secundum, 1 AH 6295

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 54 n° 318, 11)
1695. Dom: Quasimodo geniti seÿn Zum II. mahl außgeruffen worden. h. Johann Philipp Grumbach, weil. hr. Joh: Valentin Grumbachs geweßenen Pfarrers Zu Brumath, hochgäffl. Hanauischer herrschafft hinterlaßener Ehelicher Sohn, Fr. Maria Ursula, weil. hr. Philipp Jacob Schroppen, gewesenen biersieders und burgers allhier hinterlaßener Wittib Seÿnd copulirt worden Mittw. den 20. Apr. [unterzeichnet] Johann Philipp Grumbach alß hochzeiter, Anna Ursula Schroppin hozeütt (i 53)

Anne Ursule, veuve de Jean Philippe Grumbach, se remarie en 1697 avec le secrétaire Jean David Schurer, fils du corroyeur David Schurer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 81 n° 428)
1697. Mittw. d. 9. 8.br wurd. nach Zweÿmahl. außruffung auff erhaltene erlaubnus Zu hauß copulirt. H. Johann David Schuhrer, d. ledige Scribent, Weil. H. David Schuhrers, gewes. Rothgerbers v. B. allhie nachgelaß. ehl. sohn, Fr. Anna Ursula weil. Johann Philipp Grumbachs des geweß. Bierwürths v. B. alhie nachgel. Wittwe [unterzeichnet] Johann Davidt Schuerer als Hochzeiter, Anna Ursula Krumbaschin als hochzeütterrin (i 80)

Brasseur au Chapelet, Jean David Schurer qui a fini son apprentissage et qui est marié depuis un an et demi demande à être reçu au nombre des maîtres. La maîtrise répond que le règlement stipule que le candidat doit avoir fait son tour de compagnon mais que les Quinze ne devront pas oublier de faire entrer l’argent dans la caisse de la tribu s’ils accordent une dispense.
1699, Protocole des Quinze (2 R 103)
(f° 53) Sambstags den 21. Febr. 1699 – Johann David Schurer pt° Meisterrechts Ca. E. E. Meisterschafft d. Bürsied.
Reiß noîe Johann David Schurers des biersieders Zum Roßenkrantz C. E. E. Meisterschafft der Biersieder, weilen Prplis welcher die wittib Zum Roßenkranz schon vor anderhalb. Jahren geheürathet, die bestimbte Zeit bereits ausgelernt, alß bittet unterth. Ihme nunmehro das Meisterrecht gn. Zu Conferiren.
Gol. noîe Heinrich Rosers vnd Dietrich Schlehenackers im nahmen E. E. Meisterschafft der Biersieder, berichtet, daß Ihre articul expressé dahin gehen, daß ein Jeder nach vollendeter lehrzeit noch ein Jahr auff der wanderschafft sich auffhalten solle, dahero Sie dem Imploranten darin nicht dispensiren Können, solten aber Mghherren demeselben dispensiren wollen, bitten Sie, der laden nicht Zu Vergessen. R. sagt wider dießer unformliche begehren Generalia. G. setzt die dispensaôn vnd widerholt priore. Erk. wird dem Implorant. in seinem begehren Gegen erlag 2. lb f. dispensando willfahrt.

David Schurer est accusé d’avoir insulté le Magistrat qui se serait laissé corrompre par Brey. David Schurer nie avoir eu de mauvaises intentions. L’affaire en reste là.
1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
(f° 319) Freÿtags den 23. Novembr. 1703 – David Schurer stoßt ungeziembt. red. auß, Herr Stättmr. Wormßer berichtet, daß Er vernommen, ob solte der würth Zum Roßenkrantz gesagt haben, der Breÿ seÿe Zwar wider beÿ Mghherren den XV. eingekommen, Er aber habe denenselben also Spendirt, und wolle sich noch mehr kosten lassen, daß Er nichts außrichten werde, so man ungeandet nicht hingehen laßen könne, in deme Er nicht glaube daß jemandt von Mghherren von Ihme etwan empfangen haben werde.
Erkandt, wird Implorirendem Breÿen der weinschanck in dem hauß quæstionis willfahrt, jedoch solle Zuvor ehe dieser bescheidt publicirt werde, dem Herrn Syndico davon part gegeben, bemelter Schurer über obige reden Zu red gesetzt auch obged. Hn Geist. Zu St. Stephan, von Mghherren Cathol. Religion, so mit ihme bekant seindt, untersagt werden, in dergleichen sachen sich nicht mehr zu mesliren, widrigen falls man es dem herrn General Vicario anzuzeigen gemüthiget werde.

(f° 323-v) Sambstags den 1. Decembris 1703. – David Schurer pt° ungeziembt. reden.
Obere Ungeltd herren laßen per Herrn Friden Proponiren, daß Zufolg Mgherren Erkanntnus vom 23. Novembr. man David Schurer den Würth Zum Roßenkrantz, über die außgestoßene ungeziemliche reden, gehört habe, welcher aber deroselben keines weegs geständig seÿn wolle, sondern die Jenige, so solche vor ihm außgesprengt Zu wißen begehrt, und anbeÿ Eÿdlich Zu behaupten sich offerirt daß er nie daran gedacht habe, welches Mghherren man wid. Zu hinterbringen nicht hette ermanglen woll. Erk. bleibt auf sich.

Jean David Schurer meurt en 1706 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à 1 400 livres. La masse propre à la veuve est de 723 livres, celle des héritiers de 65 livres. L’actif de la communauté s’élève à 351 livres et le passif à 229 livres.

1707 (8.2.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 10) n° 230
Inventarium und Beschreibung Allerderjenigen Haab Nahrung vnd Güethere, Liegender vnd Vahrender, Veränderter vnd Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Ehrenhaffte vnd Vorachtbare Herr Johann David Schuhrer geweßener bierbrauer vnd burger allhier Zu Straßburg nach seinem den 31.ten Augusti deß Jüngst abgelegten 1706.ten Jahrs beschehenen seeligen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren deß Wohl Ehrenvesten Rechts erfahrnen vnd Großachtbahren Herrn Daniel Rohren, Not. publ: vndt berühmten Practici alß geschwornen Tutoris Margarethæ Ursulæ, Mariæ Salomeæ der Schurerin, alß deß Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugten Kinder Vnd ab intestato nachgelaßener Erben inventirt und ersucht durch die Viel Ehren vnd Tugendbegabte frau Mariam Ursulam geborhne Montfortin die diß Orths wittib (…) Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerem beÿsein deß Wohl Ehrenhafften vnd Wohl Achtbaren herrn Johann Georg Deüblers Einspännigers vnd burgers allhier alß geschwornen Vogts der fr. Wittib beeden Kinder mit Weÿl. H. Philipp Jacob Schroppen geweßenen bierbrauers vnd burgers allhier seel. in erster Ehe erzeügt benantlichen Joh: Philipp Schropp ledig. biersieders vnd Mariæ Dorotheæ Schropp Dienstags d. 8. febr. a° 1707.

In einer in der Statt Straßburg ahne dem Rosen Krantz gelegenen vnd Zum Rosen Kranz Genannten in diese Verlaßenschafft gehörige vnd hernach beschriebener bierbrauerer behausung gefunden worden, wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerckh, In der Cammer A, In der Cammer B, Im kleinen stübel, In der obernstub, In der Stuben Cammer, Vor deßen Gemach
Eÿgenthumb ane einer Behaußung, Item Zweÿ häuser ein vorders und ein hinders mit dero hoffstätten höfflein, bronnen vnd allen übrigen Iren gebäuwen begriffen weiten rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten so das bierhauß Zum roßencrantz genand würd, Zu vnderst der brand gaßen gelegen einseith 1. eck anders. neben Johann braunen dem weißbecken, hinden auff H. M. Johann Martin Silberrad diaconum Zu St. Thomæ allhier stoßend, davon gehend Jährlich 2. lb d bodenzinß der St. Strb. Pfenningthurn auff Urbani so dem Zinß * in Capital Zu rechnen 50. lb. d. Item 10. lb. d Zinß ist mann Ihro herr herren Francisco Reißeißen jetz regirenden herrn Ammeistern und XIII.rn Jahrs auff weÿhenachten Zu reichen pflichtig, so ablößig in hauptgut mit 200 lb. d. Item 7. lb d Zinß reicht mann Jährlich auff dem 16. Xbr. dem allhießig. weißen hauß so in capital wid. Keuffig mit 175. lb. Item 6. lb d Zinß empfangt erstwohlgedachtes orth ferner Jahrs auff den 16. Jan: ist d Capital 150. lb. Item 6. lb d Zinß reicht mann Jahrs auff weÿhenachten weÿl. Johann Peter Flechners geweßenen amtschreibers Zu Liechtenaw seel. hinderbliebener dochter, ist die haubtsumma 150. lb, Item 2. lb d ist mann vorwohlgemeltem alh. waißenhauß alle Jahr auff dem 16. xbr. Zu reich. pflichtig, ist das haubtgutt 50 lb, Item 1. lb d Zinß gehöhrt Jährlichen auch auff den 16. xbris weÿl. H Johann Peter Mannfurths der Fr. W. verschollenen bruders, außgebürgtem Nahrung ist in capital abzustatten mit 25. lb macht obige beschwerden zusammen 800. lb. Wird über obbemelte beschwerden von den geschwornen Werckmeisteren alhier lauth übergebenen Abschatzung Zeduls so beÿ dem concept Inventarÿ befindlichen sub dato 8. febr. 1707 annoch æstimirt vnd angeschlagen pro 600. lb. d. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg contract Insiegel verwahret deßen datum den 14. 8.bris anno 1658.
Ergäntzung der fraw Wittib abgegangenen unveränderten Gutts. Vermög Inv: concept so über der Verstorbenen seel. vnd der hind. W. mit einander in den Ehestand Zugebrachten Nahrung in a° 1697. durch H Daniel Rohren Not. publ. auffgerichtett worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr: Wittib Unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 109, Sa. der bier vaß 12, Sa. Schiff und geschirr Zum biersieder und Kieffer handwerck gehörig 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Guldenner Ring 11, Sa. der baarschafft 4, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 600, Sa. der Ergäntzung (210, abzug 250, Conferendo verbleibt die Fr. Wittiben noch in die Theilbar Verlaßenschafft schuldig 40), Summa summarum 763 lb – Schuldt 40, Nach solchem abzug 723 lb
Der Kinder und Erben Vätterliche Unveränderte Verlaßenschafft, Solche bestehet einig und allein in dero Vatters seel. unveränderten Guths Ergäntzung, welche in Summa thut 65 lb
Das Gemein Verändert und Theilbare Guth, Sa. haußraths 74, Sa. Weins, bier und Lähren Vaß 85, Sa. Maltzes, Gersten, Habern und hopffens auch dauf Zum biersieder Handwerckh gehörig 89, Sa. Pferdt und Rollwagens 15, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 26, Sa. Guldene Ring 18, Sa. Schuld 40, Summa summarum 351 lb – Schulden 229 lb, Compensando 111 lb
Beschluß und Verstallungs Summa 967 lb
Abschatzung den 8. Februarÿ aô 1707. Weÿlandt des Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Davidt Schurer gewesenen biersieders seel. hinder laßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg beÿ dem Andres thörlein gelegen, ein Eck an der rosen Krantzgaß, das bier hauß Zum rosen Krantz genandt, einseits neben herrn Braunen Weißbecken, anderseit neben herrn Pfarrer Silberrath Zu St. Thomæ, Welche behausung Nebens hinder gebäu hoff und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Zweÿtausendt und acht hundert Gulden, Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Anne Ursule Monfort se remarie en 1709 avec le marchand Jean Michel Schad, originaire de Barr, qui se destine au métier de brasseur : contrat de mariage par lequel la future épouse assure à son mari la jouissance viagère de sa part à la brasserie, célébration.

1709 (5.11.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 39) n° 258
Eheberedung H. Johann Michael Schaden Ledigen Handels verständig. so sich aber nunmehro zu der bierbrauereÿ bequemen will, Vnd
Fr. Annæ Ursulæ gebohrner Monfortin Weÿl. H Joh: David Schuhrers geweßenen biersieders und burgers alhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib, Actum d. 5. 9.bris A° 1709
zwischen dem Ehrenvesten und Wohlachtbaren herrn Johann Michael Schaden, Ledigen Handels Mann Von Barr gebürthig, weÿl. S: T: hr Andreß Schaden geweßenen Schultheüßen zu gedachtem barr, mit weÿl. Fr. Anna Ursula Bläßin seel. ehelich erzeügten und nachgelaßenem Sohn, alß dem Bräutigam ahne einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen frawen Anna Ursula gebohrner Monfordtin, Weÿl. S: T: Herrn Johann David Schuhrers geweßenen Biersieders und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib, alß der hochzeiterin am andern theim sich begeben und Zugetrag.
Sechsten, so verschreibt der H Hochzeiter seiner geliebten brauth, wann Sie ihne über Lebet Zu einem gemeinen und lebtägigen alß dann widerfällig. Wÿdumb 500 Gulden, jeedem Zu 60. Xr. gerechnet, dahingegen Sie Ihme Zu einem dergleichen gegen Wÿdumb verordnet alles daßjenige waß Sie hienkünfftig ahne dem bierhauß Zum Rosen Crantz alhier eigenthümlich Verlaßen würd
Dienstags den 5.ten 9.bris Anno 1709. Johann Michäl schaadt alß hochzeiter, Anna ursula gebohrne Monfortin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 128-v n° 43, 927)
1709. Mittwoch den 27. 9.mbr. Seind nach 2. mahl. Proclamationen Ehelich copulirt worden H. Joh: Mich. Schad der Ledige Handelsmann, weÿl. H. Andreas Schaden gew. Schultheißen Zu Barr hinterl. ehel. Sohn vnd Fr. Maria Ursula weÿl. H. Johann David Schurer gew. B. vnd biersieders hinterl. Wittib [unterzeichnet] Johann Michäl Schaadt alß hochzeiter, Maria Ursula schurrerin Als hchzerin (i 209)

Jean Michel Schad devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage.
1709, 4° Livre de bourgeoisie p. 776
Joh: Michael Schadt der biersieder Von Barr, Andreaß Schaden Sohn, empfangt das Burgerrecht Von seiner Fr. Anna Ursula Schaurerin, p 2. gold fl. 16 ß. Wird beÿ E. E. Zunfft der Kürssner dienen. Jur. d. 28. Dito [X.bris] 1709.

La maîtrise des brasseurs renvoie aux Quinze Jean Michel Schad qui demande à être reçu maître. Lors de l’enquête, Jean Michel Schad déclare qu’il a appris le métier de marchand, s’est marié avec la veuve de David Schurer et a appris le métier de brasseur pendant un an chez Philippe Schropp à la Tête de Maure. Les Quinze accordent dispense au règlement moyennant six livres qui reviennent moitié à la Ville et moitié à la maîtrise.
1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
(f° 15-v) Freÿtags den 30.ten Januarÿ 1711. – Joh: Michael Schadt Ca. E. E. Meisterschafft der Biersieder
Iidem [Obere Ungelts Herren] lassen durch herern Friden referiren, daß Johann Michel Schad der burger vnd biersieder allhier in einem gehalten recess berichtet, wie daß Er sich beÿ E. E. Meisterschafft der biersieder vmb das Meisterrecht angemeldet, dieselbe aber ihne hiehero verwießen hetten, auch gebetten beÿ ihme gn. Zu dispensiren, alß man ihne ferner darüber gehört, habe Er beditten wie daß Er vor dießem den tuchhandel beÿ H. Rhatherrn Römer gelernt hette, nach deme über ohnlängsten mit David Schurers deß biersieders Wittib sich verheürathet, Er darauff beÿ Philipp Schroppen dem biersieder Zum Morenkopff das biersieder ein jahr lang gelernet habe, vnd nunmehro das Meisterrecht verlange.
Warauf H. Roßer der biersieder geantwortet, daß der articul halb wolle, daß 1. Einer 2 jahr lang lernen, vnd dan Zweÿ jahr anderwerths schaffen solle, es were dann daß Er seines Meisters Wittib heürathete auff welch. fall ihme ahne der Zeit ein jahr geschenckt würde, so gegner Zwar auch genieße Könte, weil. Er aber anderswo gar nicht geschafft, so hetten Sie hierin nicht dispensiren können, anbeÿ gebetten, daß Er auff allen fall pro dispensatione dem handwerck etwas beÿtrag. solte gn. Zuerken, in dem Exempel vorhanden weren, daß andere 4. 5. 6. biß 10. lb. gegeben hetten, auff seith der herren Deputirte, habe man sich deß. wohl errinnert, vnd dahero darvor gehalten, daß gegen erlag 6 lb. d. halb der Statt halb dem handwerck dispendando willfahrt werd. könte. Erk. beliebt.

Marie Dorothée Schropp, femme de l’aubergiste Jean Frédéric Schweickhæusser, hypothèque sa part de maison au profit de Catherine Dorothée Emmerich
1711 (5.10.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 565-v
Johann Friedrich Schweickhaüßer der Würth und Maria Dorothea geb. Schroppin mit beÿstand Johann Michael Schad biersieders zum rosen Crantz Ihres Stieffvatters und Johann Georg daüblers Einspennigers Ihres Vettern
in gegensein hrn Daniel Rohren Notarii publici als Vogts Catharinæ Dorotheæ Emerichin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Ihr antheil ahne dem bierhauß zum rosen Crantz allhier Und. ahne der Pergamener gaß ohnfern dem andresen thörlein gelegen mit allen gebäuen, rechten und gerechtigkeiten

Autre hypothèque des mêmes au profit de l’orfèvre Jean Paul Reisseissen

1712 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 47-v
Joh: Friedrich Schweickhäußer würt zuer guldenen Roßen und Maria Dorothea geb. Schroppin beÿständlich Joh: Michel Schadt bierwürts zuem Roßencrantz, Joh: Georg Deublers Einspennigers und Niclaus Montfort müntzbotts
in gegensein Joh: Paul Reißeißen goldarbeiters – schuldig seÿen, 300 pfund
unterpfand, d. gasthauß zuer guldenen roßen allhier in der weißenthurn straß wie sie solche ahm 18.ten h.us erkauffet
Item der Correæ theil ahn dem bierhauß zuem Roßen Crantz alhier an der pergamenter gass

Les enfants et héritiers de Philippe Jacques Schropp contestent la valeur à laquelle la brasserie au Chapelet a été portée lors de l’inventaire dressé en 1695.

1720, Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 47) n° 10
Zuwißen seÿe hiermit, demnach auff das den 14. 8.bris A° 1694. beschehene tödliche hinscheiden den Weÿl. H. Philipp Jacob Schroppen geweßenen Biersieders Zum Rooßenkrantz vnd burgers zu Straßburg seeligen, allse deßelben Verlaßenschafft den 8. Martÿ A° 1695. durch herrn Johann Kitschen Notm. seel ordentl. Inventirt und beschrieben, auch ein formblich Inventarium von 87. folÿs darüber expedirt, aber Zwischen der hinterlaßenen Wittib, frawen Annæ Ursulæ Gebohrnen Montfortin, vnd denen beÿden Schroppischen Kindern, Kein formblicher Vertrag sondern allein ein ohnvergreifflicher Calculus mit auffgerechneter beßerung auffgerichtet worden, worin daß Bierhauß Zum Rooßenkrantz über die 2. lb d Jährliche Allmend Zinß per 2000 lb d. taxirt, der Sohn vnd dochter aber, als welche nach außweißung auffgerichteten Vätterlichen Codicilli allein legitimam prætendiren können, mit solchem Anschlag deß haußes sich nicht contentiren wollen, sondern daßelbe in einen höheren Anschlag Zu bringen, vnd auff den fueß solchen anschlags die Lüffer oder Verzinßung der Legitimæ gefordert, daß ann Zu dabattirung solchen begehrens ane Zuend stehendem dato beÿsammen Erschienen Obgedachte fraw Anna Ursula gebohrne Montfortin, so nunmehro an herrn Johann Michael Schaaden biersiedern vnd burgern alhier Verheürathet, beÿständlich daßelben, Ihres haußwürths, an einem
Andern theils aber Herr Johann Philipp Schropp Biersieder Zum Moorenkopff vnd burger alhier, Vor sich selbsten, vnd herr Johann Friedrich Schweigheüßer Würth undt Burger alhier, als Ehevogt Frawen Mariæ Dorotheæ Gebohrner Schroppin beÿständlich Hn Johann Schweigheüßers Notÿ. vnd burgers alhier, seines brudern, beÿd. deß in Gott ruhenden H. Philipp Jacob Schroppen seeligen nachgelaßene Kinder und Erben, der Gutmüttigen Intention Meinung vnd Vorhabens (…)

Anne Ursule Montfort, femme du brasseur Michel Schad loue avec l’accord de ses deux enfants en premières noces la maison au brasseur Jean Jacques Soderer

1721 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 395-v
Anna Ursula geb. Montfortin Joh. Michael Schaden des Biersieders Ehefrau
in gegensein Johann Jacob Soderer biersieders so majorennis und ohnbevögtigt
der locatricis lebtägig zu genießen habende Bierbehausung zum Roßenkrantz genannt einseit ist ein eck ahn der brandtgaß anderseit ahn der Pergamenter: gaß hinten auff Mangold den haußfeurer, mit allen deren gebäuden, rechten und gerechtigkeiten samt dem zum Biebrauen gehörigen Schiff und geschirr, auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehend Michaelis
wobeÿ ferner eschienen H. Johann Schweickhäußer Not. publ. als vogt weÿl. Johann Philipp Schroppen gewesten Bierwürths zum Mohrenkopff hinterbliebenen zweÿ Kinder denen jetzt verlehnt Bier behausung zur heffte eigenthümlich zuständig (…) consentirt – um einen jährlichen Zinß nemlich 100 pfund
[in margine :] cassirt den 21. Aprilis 1724

Jean Michel Schad et Anne Ursule Montfort hypothèquent leurs droits sur la maison au profit du notaire Jean Schweighæuser

1723 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 177-v
Erschienen Johann Michael Schad, der Bierbrauer und burger allhier, und deßen eheliche haußfrau Anna Ursula gebohrne Montfortin, und Zwar dießelbe beiständlich Johann Niclauß Montfort, des Müntzbotten ihres bruders, und Johann David Montfort, bedienter beÿ dem ambt Illkirch, auch ihres bruders (…)
haben in gegensein H: Johannes Schweighaüser, Not. Publ. allhier (…) schuldig seÿen 75 Pfund
verlegt, all dasjenige so sie ahne Baucösten und Guths: ergäntzung außweißung auff dem Bierhauß zum Roßenkrantz allhier, und deßen und deßen Zugehörden, Rechten, gebäuden und gerechtigkeiten zu fordern habe

Jean Frédéric Schweighæuser et Marie Dorothée Schropp hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Schweighæuser, le remboursement ne pourra cependant commencer qu’après la mort de leur mère usufruitière.

1723 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 196
Erschienen Johann Georg Eißenmann, der Gastgeber und burger allhier, als mandatarius Johann Friederich Schweigheüßer, Maistre d’hostel beÿ Mr de Villars Lieutenant general du roy, und burgers allhier, dermahlen sich zu Lille beÿ Lausanne auffhaltend, von demselben (…) bevollmächtiget, und ged: Schweigheüßers Ehefrau Fr. Maria Dorothea gebohrne Schroppin, vor gemelten ihrem Ehemann hierzu authorisirt, und mit fernerem beÿstand ihrer zu dem und insonderheit erbettenen beeden nächsten verwanthen, Johann Nicolauß Montfort, des Müntzbotten allhier, und Johann David Montfort, bedienten beÿ dem ambt Illkirch, ihrer Mutter brüder
in gegensein hn: Johann Schweigheüßer, Notarÿ publii allhier – schuldig seÿen 100 pfund
daß der Creditor selbige zu allen zeithen anzunehmen schuldig, dahingegen nicht berechtiget sein sollen die schuldner zur zahlung erwehnter summ zu treiben, ehe und bevor der correæ debendi Mutter Fr: Anna Ursula gebohrene Montfortin, Johann Michael Schaden des Bierbrauers allhier Ehefrau dieses Zeitliche verlassen und durch dero todt die wÿdumbs: weiß genießende hernach beschriebener behaußung mit dem der mitschuldnerin gehörigen eigenthumb consolidirt sein wird
verlegt, die ohnvertheilte erwehnter Schadischen ehefrau mit lebtägigem wÿdumb verfangene helffte ahne der allhier zum Roßenkrantz genannten, ahne der Pergamener gaß, einseit ist ein eck ahne derselben, anderseit neben H. Berga, dem Steinhauer und Maurer, hinten auff Hn. Diaconum Silberrad stoßend gelegenen Bierbehausung, mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Recht: und gerechtigkeiten, von sothaner gantzen behaußung gibt mann jährlichen allhiesiger Pfenning Thurn 2 lb. ahne bodenzinß, so seÿe auch dieselbe do viel die jetzt verpfändete helffte betrifft (…)

Jean Philippe Schropp hypothèque son quart de maison au profit du tonnelier Jean Pierre Bickelhaub

1726 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 511-v
H. Johannes Schweickhäußer Notarius Publicus als Vogt Johann Philipp Schropp des Kieffer knechts
in gegensein H. Johann Peter Bickelhaub des kieffers – schuldig sen 25 pfund
unterpfand, des curandi 4.dte theil für ohnvertheilt ahne der Bierbehausung zum Roßenkranz ahne der Pergamener und Brandtgaß, einseit ist ein eck ahne ged. gaßen gegen St Andreßen Capell anderseit neben H. M. Johann Martin Silberrad Diacono Sen: zu St. Thomæ hinten auff H. Berga Maurers und Steinhauer – davon gibt man jährlich 2 lb ane allmend zinß

Jean Frédéric Schweighæuser et Marie Dorothée Schropp hypothèquent la maison au profit du brasseur Jean Pierre Brandhoffer

1727 (9.9.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 522-v
Joh. Friedrich Schweickhaüßer gastgeber und Maria Dorothea geb. Schroppin beÿständlich ihres stieffvatters Johann Michael Schad Biersieders und ihres mutter bruders Johann david Montfort bedienten beÿ dem ambt Illkirch
in gegensein H. Johann Peter Brandthoffer Bierbrauers – schuldig seÿen 175 pfund
unterpfand, die helffte für ohnvertheilt ahne der Bierbehausung zum Roßenkrantz hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten ahn der Pergamener gaß, einseit ist ein eck ahn der Brandtgaß gegen St Andreßen Capell ohnfern dem Andreßen thörlein anderseit neben Mangold dem haußfeurer hinten auff H. Silberad Diaconi zu St Thomæ – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß außer dem lebtägigen wÿdumbs genuß mit welchem solches der debitricis Mutter der Schadischen ehefrauen verhafftet, freÿ und ledig, der correœ debendi zu einer und ihres bruders seel. weÿl. Johann Philipp Schroppen gewesten bierseiders zweÿ Kindern zur andern helffte eigenthümlich zuständig

Jean Michel Schad meurt en 1728 en délaissant des héritiers collatéraux. La maison est décrite sous la rubrique de l’usufruit. Les experts estiment la maison à 1 800 livres. La masse propre à la veuve est de 307 livres, celle des héritiers de 65 livres. L’actif de la communauté s’élève à 218 livres et le passif à 2 148 livres.

1728 (20.7.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 38) n° 994-b
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, Verändert und Vnveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehrenhaffte und bescheidene Hr Johann Michael Schad, geweßener bierbrauer und burger allhier zu Straßburg nach seinem den 22. Maÿ dießes instehenden 1728.ten Jahrs aus dießer mühesammen Kummervollen und Zergänglichen Welt genommenen seel. Hientritt Zeitlichen verlaßen (…) ersucht durch die Ehren und Tugendbegabte frau Mariam Ursulam gebohren Montfortin, die dißorths Wittib beÿständlich H Johann Niclauß Montfort deß hießigen Müntzbotten Ihres bruders ahne Vogtsstatt, ferner H. Johann Friedrich Schwäughäußers Zollers ahne der Rheinbrucken, und Fr. Mariä Dorotheä gebohrener Schroppin beede Eheleute so dann auch Jungfrau Mariam Salomeam gebohrene Schuhrerin (…) geäugt und gezeigt – Actum in der Köngl. Statt Straßburg Dienstags den 20.ten Julÿ 1725.
Der Verstorbene seelig hatt ab intestato Zu Erben Verlaßen Wie volgt. 1.mo die Wohl Ehren und Tugendbegabte Frau Annam Ursulam gebohrene Schaadin weÿl. deß Ehrwürdig und Wohlgelehrten H. Friederich Heinrich Rentzen, geweßenen treueiffrigen Pfarrers beÿ der Evangelisch Lutterischen gemeind deß dorffs bläßheim hinterlaßene Wittib Welche dißmahlen Zu Darmstatt sich befindet, in dero Nahmen Wie auch der hernach benambsten Erben, Weilen Sie allhier ohnverburgert und frembd auß E. E. Kleinen Raths mittel alß Deputatus abgeordnet worden der Wohl Ehrenveste, Weiße und großachtbahre Hr Gallus Dieterich Welcher dem geschäfft beÿwohnete, ferner die Edel, Wohl, Ehrenveste, Recht Wohlgelehrte, und großachtbahre Hr Johann Thomas Römer Jurium Practicus und beÿ E. E. großen Rath auch andern gerichts stellen Wohlmeritirter vice Procurator alß obberwehnter frau Pfarrer Rentzin tochtermann,
2.do die Ehren und tugendsame Annam Ursulam Rrieffelin gebohrene Schaadin deß Ehrsammen und bescheidenen Johann Conrad Rieffels burgers und Metzgers in dem flecken Barr, Ehewürthin so abweßend.
3.tio Weÿl. der Ehren und tugendsammen Fr. Annä Mariä Kellerin gebohrene Schadin, mit dem Ehrsammen Johann Geörg Keller Kübler und burgers, in dem vorgedachten flecken Barr ehelich erzeugte fünff Kindere, benantl. Annam Ursulam gebohrene Kellerin, des Ehrsammen Mstr Hannß Geörg Geÿlers Kieffers und burgers Zu Barr Ehefrau, Ferner den Ehrsammen Johann Geörg Keller burgern und Küblern in Barr, Weiter Susannam Kellerin so noch ledigen Standts, Mehr Andreas Keller Lediger Kübler, So dann Annam Mariam gebohrner Kellerin des Erhsammen Mstr Ambrosÿ Wollenweber Zu Barr Ehegattin
4.to die Ehren und tugendsamme frau Margaretham gebohrner Schadin, Weÿl. deß Ehrsammen und bescheidenen Johann Friderich Eckerts geweßenen Metzgers und burger Zu oftgedachtem Barr hinterlaßener Wittib, Welche Vorher erwehnte Erben alle dieße Erbschafft cum beneficio legis et Inventarÿ antretten

In Einer allhier in der Königl. Statt Straßburg ohnfern dem Andreßen thörlein gelegenen Zum Roßen Crantz genannten in dieße Verlaßenschafft gehörigen, und hernach beschriebenen behaußung befunden Word. Wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Schwartz Getüch Kammer, In der mittlern Wohnstub, In der Mittleren Stub Kammer
(Wÿdemb) Die Vorder und Hinter behaußung sambt dero hoffstätten, Höfflin und bronnen, mit allen übrigen dero gebäwen begriffen Weithen rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten so das bierhauß Zum Roßen Crantz genannt wird, 1.s. ein Ecke anderseith erben H Johann Quirin Berga dem Maurer und Steinhauers, hint. auff H. Mag. Martin Silberrad Diac. Zu St.Thomann allhier stoßend Davon mann Jahrs Zu verzinßen pflichtig erst. 2. lb d boden Zinß auff Urbani der hiesigen Statt Pfenningthurn. It. 10. lb. d Zinß Tit. H. Johann Jacob Sachß Med. Doct. et Professori Publico Jährl. auff weÿhenachten so in capital Ablößig mit 200 lb, Item 7. lb d Zinß auff den 16. Xbris dem Stifft Weÿßen hauß allhier so in hauptgut wieder giebig mit 175. It. 6. lb d Zinß empfangt erstwohlgedachtes orth ferner Jahrs auff den 16. Jan: abloßig mit 150. lb. It. 6. lb d Zinß Jährl. auff Weÿhenachten ehemahls H Johann Jacob Reÿßen dem Stattmtr anjetzo aber H. Rathh. Daniel Ernst Braunen so in Capital abzutretten mit 150 lb, Dann 2. lb Zinß dem Allhiesigen Weÿßenhauß Weiter Jahrs auff den 16.r Xbris so in Capital Zu entrichten mit 50 lb. Vnd meldet über die behaußung ein teutsches Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. gefertiget, und mit deroßelben anhangendem Insiegel bekräfftiget so datirt den 14. 8.bris A° 1658.
Wÿdem So Fr. Anna Ursula Schaadin geb. Montfortin die dießeitige Wittib wegen Ihrer tochter dritter Ehe ad dies vitæ zu genießen hat
(f° 20) Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Innhalt Inventarÿ über der Wittib und deß verstorbenen seeligen mit einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen do durch mich unterschriebenen Notm. in Anno 1713 auffgerichtet Worden
(f° 30) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig, der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 87, Sa. Schiff und geschirrs Zum bierbrauen handwerck gehörig 15, Sa. Silber geschmeids 14, Sa. goldener Ring 19, Sa. Schulden 87, ergäntzung (561, Abzug 229, Restirt) 331, Summa summarum 557 lb – Schulden 249, Verbleibt 307 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 30, Erg. (1415, Abzug 75, Restirt) 1340, Summa summarum 1370 lb – Schulden 87, Compenando 1283 lb
Das theilbare Guth, Sa. haußraths 66, Sa. bier und vaß auch schiff und geschirrs Zum bierbrauerer handwerck gehörig 29, Silbers 9, Schulden 113, Summa summarum 218 lb – Schulden 2148, In Vergleichung 1923 lb
Stall Summ 466 lb
Abschatzung d. 21. Junÿ aô 1728. Auff begehren Weÿland des Ehrenvesten und Vorachtbahrrn H Johann Michael Schad geweßenen Biersieders seel. hinterlaßene frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Brandgaßen geleg. das Bierhauß Zum Rosen Krantz genandt ein Eck an der Juden gaßen einseits Neben H Johann Quirenus Berckan Steinhauer und Maurer, anderseits Neben. Majister Marthin Silberrath, welche behaußung Stuben, gaststube, Cammer, brau hauß, frucht boden, derr, bine offen, gebälckter Keller höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und umb Dreÿ Tausend und Sechs hundert gulden. Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

1733 Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 61)
Testament Annæ Ursulæ Schadin gebohrne Montfortin wittib, Michael Schaden

L’inventaire dressé en 1733 après la mort d’Anne Ursule Schad n’est pas conservé.
1733, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1232
Inventarium über weÿland Frauen Annæ Ursulæ Schadin gebohrner Montfortin auch weÿland Hn Michael Schaden geweßenen bierbrauers und burgers alhier nachgelaßener wittib seel. Verlaßenschafft

Marie Dorothée Schropp, femme de l’aubergiste Jean Frédéric Schweickhæusser, et les deux enfants du brasseur Jean Philippe Schropp vendent la maison au tonnelier Jean Schuler, originaire de Barr, et à Anne Marguerite Pick, fille du brasseur Jean Georges Pick, à chacun pour moitié

1733 (13.10.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 440-v
weÿl. Philipp Jacob Schropp gewesten bierbrauer am Roßenkrantz tochter Fr Maria Dorothea geb. Schroppin Johann Friedrich Schweickhäußer des zollers am Rhein ehefrau, Ferner ged. Schroppen Enckel und weÿl. Johann Philipp Schropp Bierbrauers zum Mohrenkopf hinterlassenen beede minderjährige Söhn Johann Philipp Schropp lediger kieffer und Johann Ludwig Schropp der gremp
in gegensein Johannes Schueler des seiner außag nach vertrösteten burger und kieffers von Barr gebürtig und deßen verlobter Jfr Annæ Margarethæ Pickin beÿständlich ihres vatters Johann Georg Pick des Bierbrauers zum schwartzen Bären zu gleichen ohnvertheilten helfften
Eine zum Roßen: Krantz genannte Bierbehausung bestehend in Vorder: und hinterhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeit. mit allem daselbst befindlichem zum Bierbrauen gehörigen schiff und geschirr und denen in der Bierstub vorhandenen Tischen Stühlen und bäncken – welches Bierhauß unten ahne der Pargamener gaß einseit ist ein eck ahne de Brandgaß gegen der Regenbogen oder Anthonier: gaß anderseit neben Lorentz Mangold dem haußfeurer und H. Johann Quirinus Berga dem Maurer und Steinhauer hinten auff theils ged. Mangold zum theil H. M. Martin Silberrad Diaconum seniorem zu St Thomæ vornen St Andreßen Capell beÿm Andreßen thörlein gelegen ist – davon gibt man auff Urbani hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb boden: oder allmend zinß – ihre Schweickhäusischer Ehefrau zu einer helffte zum übrigen halben theil aber Schroppischer beeden gebrüdern – umb 3220 pfund

La maison est décrite dans l’inventaire de leurs apports.

Jean Schuler et Anne Marguerite Pick vendent la maison au brasseur célibataire Jean François Hirschel

1746 (7.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 872
Johannes Schuler der biersieder und Anna Margaretha geb. Pickin
in gegensein Johann Frantz Hirschel des ledigen biersieders mit beÿstand seines annoch ohnentledigten vogts H. Johann Jacob Jung des fischkäuffers und EE. kleinen Raths alten beÿsitzers
eine zum Roßencrantz genandte bierbehausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten einseit ist ein eck ane der Brandgaß gegen der Regenbogen oder Anthonier: gaß, anderseit neben denen verkäufern selbst, hinden theils Nicolaus Grohberger leinenweber theils Emanuel Billet den meelmann, und allem daselbst befindlichen zum bierbrauen gehörig. schiff und geschirr, 12 tischen und bäncken zweÿ dutzend bierkannen, 200 gläßern und 7000 Ohmen Faß so meistens mit eißernen reiffen gebunden davon ein theil in verkauffter behausung, die übrige aber theils in Fr. Pfarrerin Gerstin theils in der Judengaß in des Cartenmachers Keller liegen, welche behausung ane der Pergamenergaß – davon soll man auf Urbani hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane boden oder ane allmend zinß – (um 2500 pfund verhafftet) als ein am 13. Octobris 1733 erkaufftes guth – geschehen um 3000 pfund

Fils du pasteur Jean Jacques Hirschel, Jean François Hirschel épouse en décembre 1746 Susanne Barbe Illinger, fille de l’aubergiste Jean Illinger : contrat de mariage, célébration
1746 (21.11.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 116
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Frantz Hirschel dem Ledigen bierbrauer und burgern allhier Zu Straßburg Weÿland des Wohl Ehrwürdig Großachtbahr und Wohlgelehrten herrn Mag: Johann Jacob Hirschels geweßenen wohlverdienten Pfarrers und treueifferigen Seelsorgers beÿ der Evangelischen Gemeind Zum Jungen St: Peter auch vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßenem, mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Anna Magdalena gebohrener Reiffin seiner Zweÿten Ehegattin ebenmäßig seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Susanna Barbara Illingerin, weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Illingers, geweßenen Gastgebers und Burgers allhier hinterlaßener, mit der Viel Ehren: und tugendreichen Frauen Susanna Margaretha gebohrener Gundelweinin seiner hinterbliebenen dermahlen ane den Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Lorentz Freÿß dem auch Gastgeber und burger, allhier verheuratheten Frau Wittib ehelich erziehlter Jungfer tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen und Verhandelt in der königlichen Statt Straßburg auf Montag den 21. tag des monats Novembris in dem Jahr (…) 1746 [unterzeichnet] Johann Franciscus hirschel, Susanna Barbara Illingerin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 255-v n° 36, 981)
1746. Mittw. d. 7. Dec. seind nach ordent. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden H. Johann Frantz Hirschel, der led. bierbrauer u. b. allhier, weÿl. H. M. Johann Jacob Hirschels geweßen Ev. Pfarrers beÿ der Christ. Gemeinde Zum J. St. Pet. nachgelaß. Ehel. Sohn, J. Susanna Barbara, weÿl. H Johannes Illingers geweß. Gastgebers u. b. allhier nachgelaß. Ehl. Tochter [unterzeichnet] johannes franciscus hirschel als hochzeiter, Susanna Barbara Illingerin Als hochzeierin (i 261)

Jean François Hirschel est reçu tributaire à la tribu des Tonneliers en décembre 1746.
1746, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 492-v) Dienstags den 2.ten Decembris 1746 – Erschien Johann Frantz Hirschel der bierbrauer dahier producande Scheins Von der Statt Stall vom 26.t Nov. h. a. mittelst welchen Er burger werden und bate ihn alß Einen leibzünfftigen beÿ dieser E. Zunfft anzunehmen. Erkannt wie gebetten und Erlegt dieserhalb 9 lb 6 ß pro fewr Eÿmer 10. ß pro protoc. 5 ß.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que Jean François Hirschel vient d’acheter. Ceux du mari s’élèvent à 3 912 livres, ceux de la femme à 898 livres.

1747 (3.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 366) n° 245
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Frantz Hirschels, des bierbrauers und der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Susannä Barbarä Hirschelin, gebohrener Illingerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1747. (…) welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehrenvest Wohlvorgeacht und weissen herrn Johann Jacob Jungen, des Fischhändlers und E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers, des Eheherrn noch ohnentledigten geschwornen Vogts, ferners der Viel Ehren und Tugendsamen Frauen Susannä Margarethä Freÿßin, gebohrnen Gundelweinin, des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Lorentz Freÿß, Gastgebers zur goldenen End und burgers allhier Frauen Eheliebstin, der Ehefrauen eheleiblicher Frau Mutter und des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Daniel Illingers Schreiners und burgers allhier Ihres geschwornen noch ohnentledigten Vogts auf Dienstag den 3.ten Januarÿ Anno 1747.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Judengaß gelegenen, Zum Roßen Krantz genanden, dem Eheherrn eigenthümlich zuständigen Bierbrauer Behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behausung (H.) Eine Zum Rooßen Krantz genande Bier behausung, bestehend in Vorder: und Hinderhauß, hoff und hoffstatt, mit allen übrigen derselben begriffen, weithen, zugehörden Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg unden ane der Pergamentergaß, einsit ist ein Eck ane der Brandgaß gegen der Regenbogen: oder Anthoniergaß, anderseit neben herrn Johann Schuler, dem bierbrauer, hinden theils auf Niclaus Grohberger, den Leinenweber theils auf Emanuel Billet, den Meelmann und theils auf Annam Margaretham Sohnin stoßend, davon gibt mann Jähr. auf Urbani der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb d. boden: oder Allmendzinnß, ferner 100. lb d Zinnß à 4. pro Cento gerechnet Johann Philipp Brandhoffer allhier Jahrs auf Weÿhenachten, redimibel in Capital mit 2500. lb. So dann 20. lb d auch à 4. pro Cento gerechneten Zinnßen Jahrs auf weÿhenachten herrn Johann Schuler dem Bierbrauer und Burgern allhier, ablößig in haubtgut mit 500 lb. Sonsten gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen Wie selbige Von Herrn Johann Schuler, dem bierbrauer und burgern allhier erkaufft und Ihme bezahlt worden pro 2500 lb. Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt de dato 7.ten 9.bris Anno 1746.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 69, Sa. Schiff und geschirr Zur Bierbrauer Profession gehörig 211, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 142, Sa. goldener Ring 6, Sa. Baarschafft 191, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 2500, Summa summarum 3849 lb – Darzu Kombt der halbetheil ane denen haussteuren 62 lb, Des Eheherrn völlig in die Ehe gebracht Guth 3912 lb
Dießemnach wird nun auch der Ehefrauen in de Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 218, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 33, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 51, Sa. baarschafft 510, Summa summarum 835 lb – Hierzu ist zu rechnen dero gebührige helffte ane denen verehrten haussteuren 62, Der Ehefrauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 898 lb

Jean François Hirschel cotise à la tibu des Fribourgeois pour avoir le droit de servir du poisson et des saucisses.
1747, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 341-v) Donnerstags den 9.ten Febr. A° 1747. – Biers. Zud. dt. 2 lb 4 ß d, 4 ß d Stg
Johann Frantz Hirschel der dießmahlig. Biersieder Zum Rooßen Crantz vndt burger allhier ist dato wegen Verkauffung Häring und bücklin wie auch bratwürst Zufolg. Art. vom 14.t Dec. 1643. gegen Erlag der 2. lb 4 ß d alß ein Zudiener recipirt worden. Item hatt auff der Ihme abgeleßenen Articul dato angelobet.

Jean François Hirschel et Susanne Barbe Illinger hypothèquent la maison au profit des enfants du docteur en médecine Jean Bœckler pour en payer le prix de construction

1747 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 614-v
Johann Frantz Hirschel der biersieder mit beÿstand seines vogts ad actum Johann Daniel Lung des knopffmachers und gedachten Hirschel Ehefrau Susanna Barbara geb. Ihlingerin mit beÿstand ihres vogts und vettern Johann Daniel Ihlinger des schreiners und ihres Stieffvatters Lorentz Freÿß des wirths
in gegensein S.T. H. XV Paul Gottfried Gambs als vogts H. Johann Böckler Med. D. et Prof. dreÿ kinder Johann, Margarethæ Salome und Catharinæ Salome der Böckler – zu bauung hiernach beschriebener behausung, schuldig seÿe 2000 pfund
unterpfand, die zum Roßencrantz genandte bierbehausung samt deren zugehörden und rechten unten an der Pergamener gaß einseit ist ein eck ane der brandgaß, anderseit neben Johann Georg Bast dem schreiner, hinten theils auff Nicolaus Grohberger dem leinenweber theils auff Emanuel Billet dem Meelman und theils auff Anna Margaretha Sohnin – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß

Le marchand de poissons Jean Jacques Jung rend compte de sa tutelle à Jean François Hirschel
1747 (27.4.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 366) n° 255
Rechnung Mein Johann Jacob Jungen, Fischkäufflers und E. E. großen Raths jetzigen beÿsitzers, als geordnet und geschworenen vogts herrn Johann Frantz Hirschels, des bierbrauers und burgers allhier, außweißend alles dasjenige was Ich vom 27.ten Februarÿ Anno 1745. als dem schluß meiner abgelegten Ersten Vogteÿ Rechnung, biß den 27.ten Aprilis Anno 1747. ernanten meines Curandi halben, ferner Eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten vögtlicher Weiße verrichtet und verhandelt habe. Zweÿte und Letste Rechnung dießer Vogteÿ

Jean François Hirschel hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Saltzmann, veuve du marchand Chrétien Mentzel, pour en régler le prix de construction

1748 (8.10.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 727-v
Johann Frantz Hirschel der biersieder /:wobeÿ erschien Lorentz Freÿß der gasrgeber und Susanna Margaretha geb. Gundelweinin mit beÿstand ihres bruders Tobias Gundelwein des gastgebers und ihres vettern Johann Daniel Illinger des schreiners, verbürgt
in gegensein H. M. Johann Jacob Dieterlin des organisten beÿ der Neuen oder Prediger kirch als mandatarÿ Fr. Mariæ Salome geb. Saltzmännin weÿl. H. Christian Mentzel des handelsmanns, zu bauung hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, die zum Roßencrantz genannte bierbehausung samt deren zugehörden und rechten ane der Pergamener gaß, einseit ist ein eck ane der brand gaß, anderseit neben Johann Georg Bast dem schreiner, hinten theils auf Nicolaus Grohberger den leinenweber theils Emanuel Billet den schirm:botten theils Anna Margaretha Sohnin – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb Ane allmend zinß

Jean François Hirschel quitte la tribu des Tonneliers pour celle des Fribourgeois. Il introduit une demande auprès des Quinze (la plus grande partie de l’affaire est consignée dans une partie manquante du registre).
1750, Protocole des Quinze (2 R 161)
(p. 353) Sambstags d. 22. Augusti – Idem [Rœmer] nôe Joh: Frantz Hirschel, des burgers und biersieders C. E. E. Zunfft der Freÿburger Hn Zunfftmeister pt° Zunfft und Würtsrecht, prod. memor. und bitten mit beil. Lit. A. Faust bitt cop. er T.O. obt.

(p. 375) Sambstags d. 5. Septembris – Freund nôe Joh: Frantz Hirschel C. E. E. Zunfft der Freÿburger erholt Memor: Vom 22. Augusti und bitt deppôn, Faust bitt manutenentz der ordnung und deppôn. Erk. deppôn.

(p. 390) Sambstags d. 12. Septembris – H. Joh: Frantz Hirschel C. E. E. Zunfft der Freÿburger
Obere Ungelt Hh. lassen per Eundem [secretarium friderici] referiren, es habe Joh: [Frantz] Hirschel, der burger und [biffé]herige biersieder [den 22.] Augusti jüngst C. E. E. Zunfft der Freÿburger [Hn Zunfft]meister ein unterth. mit beÿl. L[it – über] geben und darinn Vorgetragen

Jean François Hirschel quitte la tribu des Tonneliers
1750, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 4-v) Dienstags den 29. 7.bris 1750 – Joh: Frantz Hirschel, der geweßene Biersieder, hat sein Zunfftrecht auffgegeben, und deßwegen die ordinari gebühr erlegt mit 5 ß.

Jean François Hirschel et Susanne Barbe Illinger vendent la maison au brasseur Jean Daniel Feigler assisté de son père marchand Jean Georges Feigler. Les vendeurs déclarent avoir reconstruit la maison qu’ils ont acquise en 1746.

1750 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 147
Johann Frantz Hirschel der biersieder und Susanna Barbara geb. Ihlingerin
in gegensein Johann Daniel Feigler des biersieders mit beÿstand seines vatters H. Johann Georg Feigler des handelsmanns
die zum Rosencrantz genante bierbehausung mit allen dero gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten auch allem was zur bierbrauereÿ und zum schanck gehört (und faß) welche behausung gelegen unten ane der Pergamener: gaß, einseit ist ein eck ane der Brandgaß, anderseit neben Johann Georg Bast dem schreiner, hinten theils auffNicolaus Grohberger dem leinenweber theils Emanuel Billet dem schirmbotten theils Anna Maria Söhnin – (um 5500 lb capital verhafftet, geschehen um 3000 pfund) – als ein d. 7. Novembris 1746 erkaufftes guth so sie seithero neu erbaut haben

Jean Daniel Feigler devient tributaire chez les Tonneliers.
1750, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 1-v) Dienstags d. 7. Aprilis 1750.
Joh: Daniel Feigler der Biersieder erhaltet auff producirtes Stallschein vom 4. hujus das Zunfftrecht, undt Zahlt als ein hießiger burgers Sohn deßwegen 2 lb 5 ß pro feur Eÿmer 10. ß pro protoc. 5 ß d

Le brasseur Jean Daniel Feigler cotise à la tribu des Fribourgeois pour avoir le droit de servir du poisson et des saucisses
1750, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 65) Donnerstags den 30.ten deß Monaths Aprilis Anno 1750
Johann Daniel Feigler der hiesige bierbrauer vndt burger, so den Bierschanckh Zum Rooßencrantz allhier Erhalten, Erscheint auff gebott vndt Macht sich wegen Speißung buckling vndt Häring wie auch Bratwürst Zufolg Articuls vom 17.ten Dec. 1643. alß Zudiener Zünfftig mit 2 lb 4 ß s. Undt Zahlte dato Stubengeldt.

Jean Daniel Feigler vend la maison par un article du contrat de mariage passé en mars 1757 entre le tonnelier et brasseur Jean Henri Hirsching et sa sœur Marie Dorothée Feigler

1757 (30.3), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 285
Eheberedung – entzwischen dem Ehre vest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Heinrich Hirsching, Ledigem Kieffer und bierbrauer, Weÿland des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Georg Heinrich Hirsching, geweßenen Bierbrauers und Burgers allhier Zu Straßburg längst seeligen hinterlaßenem, mit der Wohl Ehren: und Viel tugendbegabten Frauen Maria Salome gebohrener Pfundin, seiner hinterbliebenen, dermahlen ane den Wohl Ehrenvest, Wohlvorachtbahr und Weißen herrn Johann Diebold Ulrich, den Schiffmann und E: E: Kleinen Raths jetzig Wohlverdienten beÿsitzer, Verheuratheten Frau Wittib ehelich erzeugtem herrn Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Wohl Ehren und Viel Tugendbegabten Jungfrauen Maria Dorothea Feiglerin Weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Georg Feiglers, geweßenen vornehmen handelsmanns und burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßener, mit der Wohl Ehren: und Viel tugendbegabten Frauen Susanna Barbara gebohrener Pfeffingerin seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzielterrt Jungfer tochter, als der Jungfrauen Braun andern theils
Siebendens, hatt Herr Johann Daniel Feigler, der Bierbrauer und burger allhier, der Jungfer hochzeiterin Vielgeliebter herr Bruder vor sich und seine Erben Ihnen beeden Vertrauten Neuangehenden Ehepersohnen vest und ohnwiderrufflichen verkaufft, maßen auch dieße und Zwar Jedes derselben Zur helffte vbor sich und seine Erben auf gleicherweiße erkaufft Zuhaben, hiemit bekennen, die zum Rooßenkrantz genande Bier behaußung, bestehend in Vorder: und hinderhauß, hoff und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg unden ane der Pergamenergaß, einseit ist ein Eck ane der Brandgaß gegen der Regenbogen: oder Antoniergaß, anderseit neben Weÿland Meister Johann Georg Benedict Bast, des Schreiners Wittib und Erben, davon man Jährlichen der Statt Straßburg Pfenningthurn Zweÿ Pfund pfenning Boden: oder allmend Zinnß zureichen hat, über dieße beschwehrden umb 14.700 Gulden, welcher Kauff und respectivé Verkauff mit ehistem in allhießiger Cancelleÿ Contract stub (verschriben werden solle)
So beschehen in der königlichen Stat Straßburg, auf Mittwoch den 30. tag des Monats Martÿ in dem Jahr als mann nach der gnadenreichen und allein Seligmachenden Geburth und Menschwerdung Unßers Einigen Erlößers und heÿlandes Jesu Christi Zahlte 1757. [unterzeichnet] Johann heinrich hirsching Als Hochzeiter, Maria Dorothea Feiglerin Als Hochzeiterin

Jean Frédéric Ulrich demande au nom de son demi-frère Jean Henri Hirsching à être reçu cotisant à la tribu des Fribourgeois
1757, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 8-v) Samstags den 16.ten deß Monaths Aprilis in A° 1757.
Johann Heinrich Hirsching der hiesige burger vndt dermahliger biersieder Zum Rooßen Crantz, so unpaß. dahero Erscheint dato in deßen Nahmen Johann Friderich Ulrich der Leedige Würth, deßen Stieff bruder vndt zwar ohngebotten vor E. E. Gericht, vndt bittet Ihme vermög der Ordnung alß einen Zudiener Geldzünfftig Zu recipiren.
Hierauff Erkandt worden, daß demeselben in Seinem Gesuch gegen Erlag der 2. lb 4 ß d vnd Jährlicher Entrichtung der 4 ß d Stubengeldt Zu willfahren vndt anbeÿ demeselben beÿ ersterer Session Zu Erscheinen vnd den Art: vom 14. Dec: 1643. Abzuleßen vndt Ihme solchem stricte Nachzugeben ex officio Zu injungiren seÿe (Zud. biers. ddt. 2 lb 4 ß, Stg. 4 ß d)
pro Nota, dießer ist d. 23. Apr. darauff gestorben dahero Zum bericht

Jean Henri Hirsching meurt quatre semaines plus tard à l’âge de vingt-huit ans de fièvre, d’exantème et d’apoplexie
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. f° 233 n° 28)
1757. Sambstags d. 23.t April morgens ein Vierthel nach 8. uhr starb allhie an frießel, hitzigen Gallenfieber und Schlagfluß H Johann Heinrich Hirsching, Kiefer, bierbrauer v. burger allhier, weÿl. Herrn Georg Heinrich Hirschings geweßten bierbrauers und burgers allhier und Frauen Mariæ Salome gebohrner Pfundin, ehl. Sohn, welcher ehelich verlobt war mit Jungfrau Maria Dorothea, weÿl. H. Johann Georg Feiglers, Handelsmanns v. Burgers nachgelaßener ehl. tochter, seines alters 28. Jahr und 3 Monat, weniger 4 tage, Montags darauf als d. 25.t ejusdem, wurde deßen leiche auf den Gottesacker S. Urbani, Vor gehaltener leichpredigt, ehrlich begraben [unterzeichnet] Johann Diebolt Ulrich als Vatter (i 241)

Marie Dorothée Feigler loue sa moitié de maison à son père Jean Daniel Feigler

1757 (8.6.), Not. Humbourg (6 E 41, 97)
Bail pour une année à compter de ce jour d’hui – Dle Marie Dorothé feigler fille de de 21 années demeurant en cette ville assistée du Sr Jean Godefroi Feigler son frere licencié ez Loix en qualité de curateur
au Sr Jean Daniel Feigler son pere
de la moitié de la brasserie au chapelet de Roses situé en cette ville faisant coin de la rue des Juifs et de la rue brulée avec les tonneaux outils et généralement tous les droits appartenances et dépendances même les meubles sans réserve ni exception, l’autre moitié de la maison, des tonneaux et autres effets dépendant de la brasserie appartiennent aux héritiers de feu Jean Henry Hirsching Brasseur à ladite brasserie – moyennant un loyer annuel de 500 livres

Jean Daniel Feigler vend la maison à sa sœur Marie Dorothée Feigler et à son fiancé Jean Gaspard Lœw

1757 (2.8.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 206
Johann Daniel Feigler der gastgeber
seiner schwester Jfr. Mariæ Dorotheæ Feigler und deren brautigam Johann Caspar Löw des ledigen bierbrauers
die zum Roßencrantz genannte bierbehausung mit allen dero gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten auch allem zum bierbrauen gehörigen schiff und geschirr unten ane der Pergementergaß, einseit ist ein eck ane der Brandgaß, anderseit neben Johann Georg Bast des schreibers wittib und erben, hinten theils auff Nicolaus Groh den leinenweber theils Emanuel Billet den schirmbotten theils Anna Maria Sohnin – als ein d. 19. Martÿ 1750 erkaufftes guth (um 2500 lb, 2000 lb, 500 lb, 500 lb, 600 lb capital verhafftet, geschehen um) 1250 pfund

Marie Dorothée Feigler épouse en août 1757 le brasseur Jean Gaspard Lœw, originaire de Dettlingen en Wurtemberg : contrat de mariage, célébration
1757, Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 291
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Caspar Löw, Ledigem Bierbrauer von Düttlingen hoch Fürstl. Würtenbergischer herrschafft gebürtig, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Jacob Löw, geweßenen Metzgers und burgers daselbst nunmehr seeligen hinterlaßenem mit der viel Ehren: und tugendsamen Frauen Maria Magdalena gebohrener hiltzingerin, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigams ane einem
So dann der Wohl Ehren: und viel tugendbegabten Jungfrauen Maria Dorothea Feiglerin, weÿland des Wohl Edlen und Großachtbahren herrn Johann Georg Feiglers, geweßenen Vornehmen handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seeligen hinterlaßener mit der Wohl Edlen und Wohl tugendbegabten Frauen Susanna Barbara gebohrener Pfeffingerin seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehevogt erziehlter Jungfer Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin
[unterzeichnet] Johann Caspar Löw Alls Bräutigam, Maria Dorothea Feiglerin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 143-v n° 31)
1737. Mittwoch d. 17. Aug. Seind auff Zweÿmahlige Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirche Zu S. Nicolai Ehelich eingesegnet worden, Johann Caspar Löw, der Ledige Bierbrauer v. burger allh. weÿl. Johann Jacob Löw, gew. Metzgers v. burgers Zu Dettlingen Würtembergischer Herrschafft hinterl ehl. Sohn, und Jfr. Maria Dorothea Feiglerin, weÿl. Herren Johann Georg Feiglers gew. Handels Manns v. burgers allh. Hinterl. Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Caspar Löw als Hochzeiter, Maria Dorothea Feiglerin Als hochzeitrin (i 146)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui leur appartient à chacun pour moitié. Ceux du mari s’élèvent à 750 livres, ceux de la femme à 1 234 livres.

1757 (5.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 390) n° 750
Inventarium über des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren herrn Johann Caspar Löw, des bierbrauers und der Wohl Ehren: und Viel tugendbegabten Frauen Mariä Dorotheä Löwin gebohrener Feiglerin, beeder Ehepersohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen aufgerichtet Anno 1757. – welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringend Nahrung reseruirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Edel, Wohl Ehren Vest und Großachtbahren herrn Johann Friderich Lobsteins, Vornehmen handelsmanns, und des Ehrenvest und Wohl vorachtbahren herrn Johann Lobsteins, Bierbrauers beeder burgere allhier des Eheherrn erbettener herren beÿständere, So dan des hoch Edlen und hochgelehrten herrn Johann Gottfried Feiglers Juris Utriusque Licentiati, der Ehefrauen eheleiblichen herren Bruders und erbetteten herren asssitenten, auf Montag den 5. Decembris Anno 1757.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Pergamenergaß gelegenen Zum Rooßenkrantz genannten, Von beeden Ehepersohnen und Zwar Jedem derselben Zur helffte für Ohnverändert in die Ehe gebrachten, dahero theils hieoben und theils hernach eingetragenen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung (H.) Der halbetheil für ohnvertheilt von und ane einer Bierbehaußung Zum Rooßenkrantz genand, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, samt allen Zum Bierbrauen gehörigen Schiff und geschirr gelegen allhier Zu Straßburg unten ane der Pergamenergaß, einseit ist ein Eck ane der Brandgaß und gedachter Pergamennergaß, anderseit neben H. Georg Bast, des Schreiners Wittib und Erben, hinden theils auf Niclaus Grohberger den Leinenweber, theils auf Balthasar Emanuel Billet, dem Schirmbotten und theils auf Annam Mariam Sohnin stoßend, Von Welcher gantzen Behaußung mann Jährlichen auf Urbano der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb d ane Boden: oder allmend Zinß Zureichen hat. Ferner reicht man davon 100. lb d a 4 pro Cento geechneten geld Zinnßes herrn Johann Philipp Brandhoffer dem Weinhändler und burgern allhier Jährlichen auf Johannis Baptistæ ablösig im Capital mit 2500. lb, It. 80. lb d à 7. pro cento gerechneten Zinnßes, Herrn Johann Böckler Medicinæ Doctoris et Profesoris publici ordinarii, auch Capituli Thomani Canonici ehelich erziehlten dreÿen Kindern Jahrs auf den 12.ten Martÿ, redimibel in haubtguth mit 2000. lb. It. 20. lb d à 4 pro Cento gerechneten geldzinnßes herrn Jacob Reinbold Spielmann, Medicinæ Doctori et Professori publico ordinario, Jahrs auf Joh. Bapt: wiederlößig in Capital mit 500 lb, It. 20. lb d a 7 pro Cento gerechneten Zinßes, Herrn Francisco Oesinger, J. Ct° hochgräffl. Leiningen Hartenburgischen Regierungs Rath, Jährlichen auf den 19.ten Aprilis, redimibel in Capital mit 500. lb, So dann 30. lb d à 6 pro cento gerechneten Zinnßen, Frauwen Susannä Catharinä gebohrener Düringerin, Weÿland herrn M. Johann Conrad Christen geweßenen Pfarrers beÿ der Evangelischen Gemeind Zu St. Aurelien und Canonici Zu St. Thomæ allhier seeligen nachgelaßener Frau Wittib Jeweilen auf den 27.ten Maji ablößig in hauptgut mit 600. lb, sonsten gegen männiglichen freÿ Ledig und eigen und dißorts ohnpræjudicirlich anzuschlagen, wie solche behaußung über vorbeschriebene darauff hafftende mit übernommene, sammelthafft 6100. lb d antreffede Capitalia erkaufft worden, pro 1250. lb. Ane welcher summ der Eheherr aus seinen ohnveränderten Mittlen beÿgetragen, so Ihme dißorts als baargeld einzutragen und außzuwerffen 500.
Und ist die übrige helffte solcher Behaußung cum appertinentÿs der Ehefrau eigenthümlich zuständig, welche den überrest des Kauffschillings mit 750. lb b. beÿgeschoßen, so Ihro auch hernacher fol. (-) fac. et sequentibus zugeschrieben. Welchergestalten aber beede Eheleuthe Vor Ihre Verheürathung im Ledigen Stand dieße behausung mit deren Zugehörden von Herrn Johann Daniel Feigler, dem Gastgeber der Ehefrauen eheleiblichem Bruder Jedes Zur helffte ane sich erkaufft haben, meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 2.ten Augusty Anno 1757.
Pro Nota. So viel die Marzahlien von denen Vorher beschriebenen Passiv Capitalien biß den 17.ten Augusti 1757. als zu dißeitigen verheürathung verfallenn anbelangt, so seind selbige dem Verkäuffer angerechnet und beeden Eheleuten als denen Käufern bonificirt worden.
(F.) Item der halbe theil für ohnvertheilt Von und ane der hieoben fol. (-) fac. (-) ey sequentibis beschriebenen Bierbehaußung Zum Rooßenkrantz genand, mit allen deren Zugehörden allhier Zu Straßburg ane der Pergamenergaß gelegen, samt dem Zum Bierbrauen gehörigen Schiff und geschirr, welche völlige behaußung der der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb d Jährlichen Boden: oder allmend Zinßes, So dann in Fünff unterschiednenen Posten um 6100 lb. d. ane Capitalien verhafftet, Sonsten aber gegen Männiglichen freÿ Ledig, eigen und über Solche beschwährden erkaufft worden Vor 1250. lb. Ane Wlecher Summ, so beÿ der Verschreibung baar bezahlt worden die Ehefrau beÿgeschoßen, so Ihro Von Ihrer Werth geehrten Frau Mutter Frauen Susanna Barbara Feiglerin gebohrener Pfeffingerin, Weÿland herrn Johann Georg Feiglers, geweßenen Handelsmanns und burgers alhier seeligen nachgelaßener Frau Wittib auf Rechnung Vätterlichen guths mit in die Ehe gegeben worden, und dießorts als baar geld außzuwerffen 750. lb. Laut des hieoben allegirten Kauffbrieffs Vom 2.ten Augusti Anno 1757.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. Lährer Faß 15, Sa. Silbergeschmeids 28, Sa. goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 76, Sa. Antheils an einer behaußung 500, Sa. Schuld 73, Summa summarum 694 lb – Darzugerechnet die Ihme gebührige helffte ane denen Verehrten haussteuren 55, Trifft demnach des Eheherrn völlige in die Ehe gebracht guth in allem in vero pretio an 750. lb
Dießemnach Wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe begrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 166, Sa. Silbergeschirrs 58, Sa. Goldener Ring 169, Sa. baarschafft 34, Sa. Antheils ane einer behaußung 750, Summa summarum 1178 lb – Hierzu Kombt der Ihro gebührige halbe theil ane denen Verehrten haussteuren außmachend 55: Erstreckt sich alßo der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen 1234 lb

Jean Gaspard Lœw meurt en 1778 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 4 000 livres. La masse propre à la veuve est de 1 843 livres, celle des héritiers de 2 261 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 653 livres et le passif à 3 042 livres.

1778 (14.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 421) n° 1386
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Caspar Löw, des geweßenen bierbrauers zum Rooßenkrantz und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1778. (…) nachdeme derselbe Dienstags den 17. Martÿ dießes lauffenden 1778. Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt, nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Wohl Ehren und Viel tugendbegabten Frauen Maria Dorothea Löwin gebohrener Feiglerin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Hitschlers des geschwornen Wechßel Courtiers und burgers allhier Ihres hierzu in specie erbettenen herren beÿstands, ingleichem des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Ulrich Graff des handelsmanns und Burgers allhier, als geordnet und geschwornen Vogts Jungfrauen Mariä Dorotheä, Jungfrauen Susannä Barbaræ und Jungfrauen Margarethä Salome derer Löwen, des seelig verstorbenen mit vorernannter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter dreÿer Jungfrauen töchtere und ab intestato nachgelaßener Universal Erben ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auf Montag den 4. Maji Anno 1778.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Pergamenergaß gelegenen Zum Rooßen Krantz genandten in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunten eingetragenen Bierbrauer behaußung befunden worden als folgt
Schiff und geschirr auch holtz Zur Bierbrauer Profession gehörig
Eigenthumb ane Häußern und einem Lähren Holzplatz. (W.) Nemlichen der halbe theil für ohnvertheilt Von und ane einer bierbehausung zum Zum Rooßen Krantz genand, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten samt dem Zum Bierbrauen gehörigen Schiff und geschirr bestehend in einem Kupfernen Brau Kößel 66 ohmen haltend, einer Mastbütt, mit vier eißenen Reiffen, samt dem Senckboden, einer Gerstenbütt mit dreÿen eißernen Reiffen, einem forlenen Nagelfesten Kühl Schiff, einem hopfenbüttel mit dreÿen eißernen Reiffen und dreÿen ohngleichen Laufkändlen gelegen allhier Zu Straßburg unden ane der Pergamenergaß einseit ist ein Eck ane der brandgaß und gedachter Pergamenergaß anderseit neben Johann Georg Bast, des Schreiners Wittib und Erben, hinden theils auf Niclaus Grohbergers des Leinenwebers Wittib theils auf Klein den Becken und theils aug Baret, den Mohler stoßend, von welcher gantzen behaußung mann Jährlichen auf Urbani der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb d ane boden Zinnß Zureichen hat, Sonsten ist dieselbe vor freÿ Ledig und eigen durch herrn Sebastian Hueber (…) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung vom 27.ten Aprilis 1778. angeschlagen pro 3920. lb. Macht daran der hiehero gehörige halbetheil 1960. Und ist die übrige helffte solcher behausung cum appertinentÿs denen Erben für ohnverändert eigenthümlich zuständig wie hernach fol (-) fac (-) eingetragen zuersehen.
Welcher gestalten beede geweßene Eheleuthe Vor Ihrer Verheurathung im ledigen Stand diesße behaußung mit deren Zugehörd Von herrn Johann Daniel Feigler, dem Gastgeber, der Frau Wittib eheleiblichen Bruder jedes Zur helffte ane sich erkaufft haben, meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stubb gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret, de dato 2. Augusti Anno 1757.
(E.) Ir. der halbetheil für ohnvertheilt von und ane der hieoben fol (-) fac (-) et sequentibus beschriebenen bierbehausung zum Zum Rooßen Krantz genand, mit allen deren Zugehörden, allhier zu Straßburg ane der Pergamenergaß gelegen, samt dem Zum Bierbrauen gehörigen Schiff und geschirr, welche völlige behaußung der Statt Straßburg Pfenningthurn umb 2. lb d. Jährlichen boden oder Allmend Zinnßes verhafftet und über dieße beschwährde derer herren Werckmeistere Abschatzung nach antrifft 3920. lb. Mithien zu dißeitiger helffte 1960. Laut des hieoben beÿ der Frau Wittib ohnverändertem Vermögen deren die andere helffte hieran eigenthümlich zuständig, allegirten Kauffbrieffs vom 2.ten Augusti Anno 1757.
(T.) It. eine Behaußung ane der Jungfrauengaß (…)
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleute einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch ich Notarium in Anno 1757 auffgerichtet, hat mann der hinterbliebenen Frau Wittib zu Ergäntzen, wie folgt.
Wÿdems Verfangenschaft Welche Frau Maria Magdalena Löwin gebohrne Lobsteinin, Weÿland herrn Johann Jacob Löw, geweßenen Capitaine des ouvriers d’Etat au Departement d’alsace nunmehr seeligen hinterlaßene Frau Wittib von besagten Ihrem Verstorbenen Eheherr seeligen Lebtägig Zu geniessen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ Copia der Eheberedung
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 17, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring Kett und dergleichen Geschmeids 41, Sa. Antheils ane einer behaußung 1960, Sa. Schulden 125, Erg. wird von dem angang übertroffen, Summa summarum 2153 lb – Schulden 3996 lb, In Compensatione 1843 lb
Dießemnach Wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 84, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 5, Sa. Antheils ane einer behaußung 1960, Erg. wird von dem angang übertroffen, Summa summarum 2056 lb – Schulden 4317 lb, In Vergleichung 2261 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 176, Sa. Schiff und geschirr auch holtzes Zur Bierbrauer Profession gehörig 78, Sa. Gerst, Maltz, hopfen und anders so theilbar 237, Sa. biers und Faß 347, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. Goldengeschmeids 12, Sa. baarschafft 166 lb, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 1023, Sa. Schulden 2595, Summa summarum 4653 lb – Schulden 3042 lb, Detrahendeo verbleibt 1611 lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 2493 lb – Zweiffelhaffte und verlohrne Schulden in das Erbe Zugeltend 284 lb
Abschatzung Vom 27.t apprill 1778. Auf begeren Weÿland Herr johann Caspar Löb des geweßenen bierbrauer ist Eine bierbehausung alhir in der ststt strasburg Zum Roßen Crantz genannt Ein seÿts neben Meister stangel dem schreiner aanderseÿts Ein Eck auf das allmend und hinten auf NN Baret dem Kunstmahler und Zum theil auf Weÿland Meister groberger dem Weber stoßend gelegen solche bier behausung bestehet in Einer bierstube ferner in Etlichen stuben Zweÿ fransösche Cammin Kammeren Vier Kuchen und Etliche hauß Kammere, ferner befindet sich das brauhaus worinnen Ein bauch Kößel und Maltz derr, darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt hat auch Zweÿ getremte Keller hoff und bronnen Vor und um Acht tausend gulden
Der Zweÿte begriff (…)
Der dritte begriff (…)
Von uns unterschriebene der Statt strasburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Sechtzig hulden [unterzeichnet] Hueber, Götz WMstr, Kaltner WMStr.

Marie Dorothée Feigler loue la maison à Jean Pierre Graff et à sa fiancée Marie Dorothée Lœw, fille de la bailleresse.

1778 (24.10.), Not. Lacombe (6 E 41, 172) n° 33
Bail du 24. 8.bre 1778. – fut presente D° Marie Dorothée Feÿgler veuve de feu Jean Gaspard Löw en son vivant bourgeois brasseur de la ville de Strasbourg du Sr Jean Jacques Hitschler Courtier de change et bourgeois de lad° Ville son Cousin qu’elle en a requis cÿpresent, laquelle a volontaireùent cedé, et donné a bail pour 9 années consécutives qui commencerony a Courir à Noäl prochain
au Sr Jean Pierre Graff garçon brasseur bourgeois de Strasbourg cypresent et preneur pendant ledt. tems pour lui et Marie Dorothée née Löw fille de lad° bailleuse qu’il est a la veille d’Epouser, laquelle ratiffira les présentes dès qu’elle aura atteint l’age de majorité
sçavoir la maison et brasserie en entier qui appartient à lad D° bailleresse en cette ville portant le Chapelet pour Enseigne ensemble la brasserie y attenant, cave appartenances et dependances ainsi que le tout se contient et se comport sans en rien excepter ny reserver, si ce n’est le premier Etage de la maison de devant avec une place dans la cave pour y mettre son vin, plus trois Chambres aux Mansardes donnants sur la rue du Chapelet et l’usage des commodités de ladite maison pour la lesive,
2. la place fermée d’une Cloison vis à vis la porte des Recollets sur laquelle la D° Löw avait jusqu’icy son bois,
3. la grande cave voutée dans la maison qui appartient à la D° bailleuse dans la Rüe des pucelles, Ensemble les tonneaux qui s’y trouvent,
4. Et Enfin toutes les outils et ustensils de brasserie, tonneaux et Choses qui ont servi à l’usage de la D° Löw dont sera dressé un etat et inventaire à l’Epoque de l’Entrée dud. prenneur, lequel sera rapporté et joint au present bail (…) Le bail est fait pour et moyennant le loyer annuël de 800 livres tournois par an
[Joint] Etat des tonneaux
[in fine] Cejourdhuy 26° novembre 1782 (…) laquelle a déclaré volontairement prolonger led. bail pour le tems de sa vie au profit de Jean Pierre Graff son gendre (…)

Marie Dorothée Feigler, assistée de son gendre Jean Pierre Graff, hypothèque la maison au profit du baron Auguste Frédéric Emile de Rœder

1781 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 56
Fr. Maria Dorothea Löwin geb. Feiglerin weÿl. H. Johann Caspar Löw des bierbrauers wittib beÿständlich H. Johann Peter Graff des bierbrauers ihres tochtermanns
in gegensein H. Johann Ernst Beck des schaffners löbl. stifft Wilhelmitanii als gerichtlich bestellter curator des freÿherrn August Friedrich Emilius von Röeder – schuldig seÿe, 2000 gulden
unterpfand, die zum Rooßen crantz geschildete bierbehausung mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Brandgaß respectivé Pergamenter gäßlein, anderseit neben N. Parrt dem mahler, anderseit neben Mr Stengel dem schreiner, hinten auff den speicher des domb capituls

Marie Dorothée Feigler cède sa moitié de maison brasserie à sa fille Marie Dorothée, femme du brasseur Jean Pierre Graff, par avancement d’hoirie.

1786 (16.12.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 454-v
Jean Daniel Stoëber, 13 déc. 1786 (liasse 1264 n° 157)
auff ansuchen Fr. Maria Dorothea Gräffin geb. Löwin, nachstehene par avancement d’hoirie cession
Frau Maria Dorothea Löwin geb. Feiglerin weil. herrn Johann Caspar Löw des bierbrauers zum Rosencranz wittib beÿständlich herrn Johann Friedrich Pfeffinger Mezgers und EE grosen raths dermahligen wohlansehnlichen beÿsitzers wie auch herrn Lt. Rudolph Friedrich Ferber Exsenator und wohlverordneten Secretarii auf allhiesigen Stadt Pfenning Thurn ihrer verwandten
ihrer tochter Fraun Mariæ Dorotheæ Gräffin geb. Löwin herrn Johann Peter Graff des bierbrauers ehefrau, par avancement d’hoirie und auf rechnung mütterlicher Erbschafft
Ihre der Fraun Mutter participierende helffte für unvertheilt an einer bierbrau behausung zum Rosencranz genannt mit der dazu gehörigen bierbrau gerechtigkeit auch allen Gebäuden, begriffen, weiten, zugehörden und übrige, Rechten gegen der franciscaner kirchen über, einseit ist ein Eck an der brand und Pergamenter gaß anderseit neben Stangler dem Schreiner hinten theils auf Nicolaus Grohberger des leinenwebers Wb. theils auf Klein den beck und theils auf frau Hirschelin die Gastgeberin zum silbernen Roos ziehend, von welcher behsg. man jährlich der Stadt Pfenning Thurn 2 pfund pf. an bodenzinß zu entrichten hat – samt dem zur bierbrauerei gehörigen schiff und geschirr, bestehend in (…)
1. der Frau mutter (…) den ungestörtern wittum und genuß vorher überlassene helffte (…), declarirt die Fr. mutter beständlich wie gedacht das sie für samtliche sowol im lagerkeller ane der Jungfrauengaß als auch im bierhauß keller befindliche (…) faß keines ausgenommen so Sie ihrem tochtermann obgemelt. H. Graff vermög vor H. Lacombe d. königl. notario den 26. Novembris 1782 passirte verschreibung käufich überlaßen (…) quittirt die helffte um 10.000 gulden

Nouvelle cession entre les mêmes après que la maison a changé de valeur suite aux nouvelles prescriptions

1792 (13. 7.bris), Strasbourg 2 (5), Not. Knobloch
Cession – Persönlich erschienen Frau Maria Dorothea Löwin gebohrene Feiglerin Weÿl. H. Johann Caspar Löw, des gewesenen bierbrauers Zum Roßen Crantz und Burgers allhier Wittib, beÿständlich Herrn Johann Friederich Pfeffinger des Metzgers und Hr. Joh: Friederich Petsch des bierbrauers beeder jnnwohner und anverwande, freÿ offentlichen Declarirend, wie daß die Zugefolg vor Hn Stoeber Notario Publico allhier den 13. Decembris 1786 passirten und den 16. Ejusdem beÿ hiesiger Cantzleÿ Contract stub Enregistrirten acts nun Weÿland frauen Dorotheä Graffin gebohrener Löw ihrer tochter und Hn Johann Peter Graff bierbrauers und activ Innwohners allhier im leben gewesener Ehefrauen
ihre Eigenthümlich Zuständige Helffte der bierbrau behaußung zum Roßen Krantz samt gerechtigkeit schiff und geschirr auch einiger Mobilien, wovon sie sich jedoch den ungestörten lebenlänglichen genuß Vorbehalten für und um die summe der 20.000 livres nach ihren seel. absterben Zahlbahr, par avancement d’hoirie Cedirt und Eigenthümlichen überlassen habe, da nun heutiges tags durch die Neue Constitution alle dergleichen Gerechtigkeiten die solche Häußer vormals in einen sehr hohen werth setzten aufgehoben mithin auch dieße Cedirte behaußung ohne gerechtigkeit ein Merckliches von ihrem werth Verlohren und also der Cessionariæ Kinder und respectivé Erben ein großer schaden Zufließen würde, wenn sie künfftig obgesagten Cessions schilling für obgedachte behaußung ohne gerechtigkeit und ohne bis dato davon gehabten genußes Zahlen müßten, als Ziehet sich Frau Declarantin Löw Wittib und besonders auf die vor Hr Hombert der Verstorbenen Cessionariæ seel. Kinder und Erben vogt gemachte Vorstellungen und Ersuchen in ihrem gewißen schuldig und verbunden jagezwungen Zu verhütung der verstorbenen frauen Cessionaria seel. Kindter und Erben ohnfehlbahren schaden und verlust obgedachte Cession vollkommentlich hiermit auf Zuheben und Zu annulliren (…) hat obgedachte Frau Löwin Wittib mit H Johann Peter Graff dem bierbrauer allhier ihrem tochtermann und ihrer Enckeln Vatter nachfolgende Cession (…) treffen und Errichtet allermaaßen folgt
Als Nemblich überlaßt Cedirt und abbandonnirt Sie Frau Löwin Wb. gebohren Feiglerin unter beÿstand wie obgemelt ihme H Graff und nachkommen Vest und unerbrüchlichen ihme Hn Graff ihrem tochtermann der für sich vnd seine mit Maria Dorothea Graffin gebohrner Löwin seiner Ehefrauen selig Ehelich Erziehlte Kindter annimmt und acceptirt
benantlichen ihr Frau Cedentin Löwin Wittib participirende Eigenthumliche Helffte für ohnvertheilt ane der bierbrau behaußung Zum Roßen Krantz genannt mit deren dazu gehörige Rechten, gebäudten, begriffen Weiten und Zugehörden gelegen allhier Zu Straßburg am Eck an der brand: und Pergamentergaß anderseit neben Stangler dem schreiber Hinten theils aus Niclaus Grohberger des Leinen Webers Wittib theils auf klein den becken und theils auf frau Hitschelin die gastgeberin Zur Silbernen Rooß Ziehend, von Welcher behaußung jährlich der Stadt Pfenningthurn zweÿ Pfund Pfenning ane bodenzinß Zu Entrichten hat, sonsten ist dieße völlige behaußung über die gewöhnliche beschwerden 10.000 livres Herrn Joh: Philipp Brandhoffer dem Weinhändler alhier und 10.000 livres Herrn Bußmann Wirth allhier gebührigen Capitalia leedig vnd Eigen samt dem Zum bierbraueren gehörigen Schiff und geschirr bestehend in eineù kupffernen Braukeßsel, einer Maßbütt mit vier Eissernen Reiffen (…) um die summe der 16.000 livres frantzösischer wehrung (…)
Zu Straßburg den 13. Septembris 1792

Salomé Lœw, femme du brasseur Jean Frédéric Leser, vend la part d’immeuble héritée de son père à Lippmann Lehmann

1802, 11 mess. 10, Strasbourg 14 (18), Not. Lex n° 2110
bürgerin Margaretha Salome geb. Löwe weÿl. br. Johann Friedrich Leser bierbrauers wittwe beÿständlich des b. Philipp Quellet Rechtsbefliesenen
dem burger Lippmann Lehmann zu Straßburg wohnhaft
den samtlichen theil so ihr an der behausung der bierbrauerei zum Roßenzweig genannt mit N° 19 und 21 bezeichnet so theils in der brand und theils in der Pergamentgaß gelegen und ihr aus weÿl. Kaspar Löwe gewesten bierbrauers daselbst rückgelassener verlassenschafft zu und anheim gefallen, unter welchem verkauf begriffen dero antheil an dem alda sich befindlichen hof gegen der bierbrauerei hinüber neben b: Gutmann wittib die samtliche theil an der Stallung bierbrauerei alle zugehörden Recht und gerechtigkeiten, welcher hof zwar am eck der Regenbogengaß gelegen mit einer Maur umgeben und mit einem großen alten thor versehen ist und liegt zwar gedachte behausung einseit neben der Jungfrauen Guerin von hier anderseit neben b. Pelet* dem Mehlhändler in der Weißenthurnstraß vornen zum theil die Pergamenter und zum theil auf die brandgaß aussehend – Es wurde ferner verabredet daß weilen gedachte behausung gegen die b: Maria Dorothea geb. Faigler weÿl. Kaspar Löw wittwe wie auch die übrige zugehörden mit Witum und lebtägig. genuß verflangen so vom käufer dieselben so lang sie bei leben seÿn wird in sodanen Witum und Genuß keines weegs stören noch bekräncken – um 2000 francken
acp 84 F° 177-v du 12 mess. 10

Lippmann Lehmann vend sa part au sellier Jean Knoderer

1802 (13 mess. 10), Strasbourg 5 (14), Not. F. Grimmer n° 1736
Cession – burger Lippmann Lehmann handelsmann
an bürger Johannes Knoderer Sattler
die sammtlichen Antheiler ane der behausung der bierbrauereÿ zum Rosenkranz genannt allhier zu Straßburg ane der brand: und pergament gaß gelegen mit N° 19 und 21 bezeichnet mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten einseit neben der Jfrau. Gering anderseit neben bürgerin petet Mehlhändlerin und hinten auff NN
ferner den ganzen Antheil an einem gegen vorbemelter bierbrauerei über gelegen mit einer Mauer umbegenen hof einseit ist ein Eck der Regenbogengaß ausmachend und anderseit neben burger Gutmann weinhändler, so alles der bürgerin Margaretha Salome geb. Löeb weÿl. burgers Johann Friedrich Leser gewesten bierbrauers wittib aus weÿl. bürgers Caspar Loeb bierbrauers gedachter Wittib Leser gewesten vaters verlaßenschafft erblich und eigenthümlich zugefallen und dieselbe vermög vor Notario Lex dahier den 11. dieses Monaths errichtet und Contracts an verkaufenden Lippmann Lehmann verkauft hat – um 2100 francken
acp 84 F° 188 du 18 mess. 10

La cession à Jean Pierre Graff est résiliée

1802 (2 thermidor 10), U 1852, Second arrondissement f° 336
Est comparu la Cit. Marie Dorothée Feyl Vv. de feu Caspar Loew Brasseur Demanderesse
Contre le Cit. Jean Pierre Graaff Brasseur Defendeur
que faute par le Defendeur de remplir a son egard les Charges et Conditions de la Cession de la Brasserie au Chapelet des Roses situé en cette Ville qu’elle a fait par l’article 2 du Contrat passé entre les parties le 13. 7.bre 1792 /:V. St:/ et la manière qu’il a été condamné par les Jugements rendus au Tribunal Civil de l’arrondissement de Strasbourg et Tribunal d’appel seant a Colmar les 14. pluviose 9 et 15 prairial 10 il sera declaré déchu du Benefice dudit Contrat
Le Defendeur a dit pour reponse que sa femme s’etant pourvu au Tribunal Civil pour la séparation de biens que la Demanderesse ne peut ignorer (…) et que l’inventaire ayant été commencé le 24 suivant devant le Notaire public le Cit. Knobloch il n’a plus qualité d’agir en justice

La maison qui appartient indivisément à Marie Dorothée Feigler veuve de Gaspard Lœw, Barbe Lœw femme du sellier Jean Knoderer, Marguerite Salomé Lœw veuve du brasseur Jean Frédéric Leser, et à Susanne Dorothée Graff femme de l’huissier Simon Simon, représentant sa défunte mère Marie Dorothée Lœw femme de Jean Pierre Graff est vendue par expropriation forcée au copropriétaire Jean Knoderer.

1803 (28 fruct. 11), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 13 n° 107
Audience du 4 fructidor 11. Entre Clement Momÿ cidevant employé des vivres a Strasbourg demandeur en expropriation forcée, defendeur en Intervention comparant par le Cit. Momy avoué d’une part et Marie Dorothée Feigler veuve de feu Caspar Loew Brasseur defenderesse en expropriation forcée comparant par le C. Sahler avoué d’autre part, Et encore Jean Pierre Graff, brasseur, defendeur en expropriation defaillant d’ultérieure part, plus Jean Knoderer sellier comme poursuivant les droits de sa femme Barbe Loew et encore comme cessionnaire de Marguerite Salomé Loew veuve de Jean Frédéric Leser, brasseur, demandeur en intervention comparant par led. Cit. Sahler avoué et enfin Simon huissier au Tribunal Civil comme etant aux droits de Susanne Dorothée Graff son épouse, également demandeur en Intervention comparant par le Cit. Marco de derniere part
que la moitié de la maison comprise en l’affiche soit distraite au profit de la demanderesse en Intervention, Knoderer et Simon et leurs cointeressés ainsi que les deux tiers du petit chantier situé vis à vis lad. brasserie, ce faisant dire que l’autre moitié de Brasserie ainsi que le tiers du chantier seront vendus et adjugés au dernier encherisseur à charge par l’adjudicaire de laisser à la veuve Loew l’usufruit viager desd. portions d’immeuble
La moitié d’une Maison et Brasserie ayant pour Enseigne la couronne civique avec toutes ses aisances et dépendances et trois neuviemes d’un petit chantier situé vis à vis d’Icelle, le tout sis à Strasbourg rue brulée N° 19 d’un côté les héritiers Guerin n° 20 d’autre veuve Wurtz aussi N° 20 dans la rue des Parcheminiers pardevant et partie de la rue Brulée et une partie de celle des Parcheminiers parderrière une partie lad. veuve Wurtz et une partie lesdits héritiers Guerin, le tout grevé d’usufruit viager envers la veuve Loew née Feigler, Evalué en produit net ladite moitié à 206 fr, criée pour la somme de 3000 fr
au C. Jean Knoderer sellier, pour 8400 francs

Les héritiers Lœw exposent la maison aux enchères. L’acquéreur est à nouveau Jean Knoderer

1808 (18.11.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 40, n° 78
le 30 avril 1808. M° Momy avoué pour et au nom de Jean Knoderer, sellier, et Susanne Barbe Loew, a déposé le Cahier des charges sous lesquelles la maison provenant de la succession de feu Gaspard Loew, brasseur a Strasbourg sera vendue – Cahier des charges à la requête de (…) il sera procédé par devant Geofroi Riehl juge au Tribunal Civil commissaire nommé en cette partie par jugement du 7 avril courant (…) appartenant à Jean Knoderer et Susanne Barbe Loew demeurant rue de la mesange n° 6, Marie Dorothée Graff épouse de Simon Simon huissier à Wissembourg et Henri Graff commis de Bureau, Louis Graff sans profession demeurant chez led. Sr Simon a Wissembourg les deux enfants mineurs délaissés par Marie Dorothée Loew veuve de Jean Pierre Graff brasseur, lesdits mineurs ayant pour tuteur ledit Jean Pierre Graff demeurant à Strasbourg rue Brulée a l’auberge du Dep. et pour subrogé tuteur Simon Schaeffer rue de l’Arc en ciel n° 11
D’une maison servant de brasserie portant pour enseigne la couronne de roses sise à Strasbourg et fesant le Coin de la rue brulée et de celle des pacheminiers n° 19, d’un côté les héritiers Guerin, de l’autre la veuve de Wurz, par devant rue brulée et en partie celle des parcheminers, par derrière les héritiers Guerin et la veuve Wurz, avec cour pompe cave cellier brasserie secherie aisances appartenances et dépendances
Plus d’un chantier en face de ladite maison de l’autre côté de la rue des parcheminiers, d’un côté le Sr Guthmann tonnelier, de l’autre la rue de l’arc en ciel dont il fait le coin, par devant ladite rue des Parcheminiers, par derrière Kirchmeyer chapelier – Les droits de propriété des conjoints Knoderer, de la D° Simon et des enfants mineurs sont établis ceux des D° Knoderer et D° Simon et enfants mineurs Graff par l’inventaire de la succession de Gaspar Loew, brasseur, dressé le 4 mai 1777 par M° Dinckel, ceux des conjoints Knoderer par jugement d’adjudication devant ledit tribunal le 4 fructidor 11, contrat de vente du 11 messidor 10 reçu M° Lex, le 13 du même mois M° Grimmer. La maison dans laquelle il compete 15/18 aux conjoints Knoderer, un 18° à la D° Simon, un 18° à Henri Graff, un 18° à Louis Graff est estimée par rapport d’experts dressé le 24 mars dernier à 15.000 francs et le chantier dans lequel il compete 21/27° aux conjoints Knoderer, 2/27 à la D° Simon, 2/27 à Henri Graff, 2/27 à Louis Graff, estimée 1000 fr – fait le 29 avril 1808
adjudication préparatoire du 27 septembre – adjudication définitive du 25 octobre
à M° Laemmermann – déclaration de command du 26 octobre au nom de Jean Knoderer sellier, la maison 15.200 francs et le chantier 1025 francs

Jean Knoderer et Susanne Barbe Lœw vendent la maison au fabricant de tabac Jean Henri Widt

1810 (20.7.), Strasbourg 12 (32), M° Wengler n° 4966
Jean Knoderer sellier-carossier domicilié rue de la Mésange n° 6 et Susanne Barbe Loew
à Jean Henri Widt fabricant de tabac demeurant rue des Ecrivains n° 3
1. une maison ci devant brasserie ayant pour enseigne le Couronne de Roses sise à Strasbourg et faisant le coin de la rue brulée et de celle des parcheminiers marquée du n° 10, d’un côté sur la rue Brullée aux héritiers Guerin, de l’autre sur la rue des parcheminiers au Sr Eylé boulanger, par devant lesdites deux rues, derrière lesdits héritiers Guerin et Eylé, consistant en bâtiments de devant et de derrière, cave, Pompe avec toutes ses autres aisances, appartenances et dépendances, droits actifs et passifs,
2. et un chantier ou emplacement de maison en face de la susdite Maison de l’autre côté de la rue des parcheminiers d’un côté la veuve et héritiers Gutmann tonnelier, de l’autre la rue de l’Arc en Ciel dont il fait le coin devant ladite rue des parcheminiers derrière Sr Kirchmeyer Chapelier
Le chantier est grevé envers la fondation protestante de St Thomas d’une rente foncière d’un chapon et 45 c – provenant de la succession de Gaspard Loew, brasseur, dont l’inventaire des biens a été dressé par M° Dinckel le 4 mai 1779 et sur une partie desquels la veuve Loew Marie Dorothée Feigler avoit a exercer l’usufruit, auquel usufruit cependant elle a renoncé en faveur dudit Sr Knoderer covendeur par acte reçu M° Grimmer le 2 octobre 1809. La moitié de ladite maison et un tiers du chantier appartenant a ladite veuve Loew furent vendus sur icelle par expropriation forcée à la barre du Tribunal civil dont le Sr Knoderer s’est rendu adjudicataire le 4 fructidor 11 et lequel en possédoit a cette epoque un 6° dans la maison et 6/27 dans le chantier du chef de son épouse co venderesse comme héritière du Sr Gaspard Loew et autant du chef de Lippmann Lehmann acquis par acte reçu M° Grimmer le 13 messidor 10, Ledit Lippmann Lehmann a acquis cette dernière portion de Marguerite Salomé Loew sœur et belle sœur des vendeurs par cate reçu M° Lex 11 dudit mois de messidor au point que les conjoints Knoderer sont devenus propriétaire savoir de la maison de 15/18 et du chantier de 21/27, il n’en restoit a acquérir que le 6° de la maison et le 6° du chantier qui appartient aux trois enfants de Marie Dorothée Loew fille du défunt Gaspard Loew procréé avec Jean Pierre Graff brasseur, acquis au Tribunal Civil par licitation le 25 octobre 1808 et déclaration de command – moyennant 29.629 francs
(Joints, adjudication de l’an 11, adjudication de l’an 10, vente Lippmann 11 mess.10]
acp 115 f° 47 du 20.7.

Fils de l’orfèvre du même nom, Jean Henri Widt épouse en 1783 Marguerite Madeleine Grucker, fille du maréchal ferrant Jean Paul Grucker : contrat de mariage, célébration
1783 (23. 7.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 240
Eheberedung – Erschienen der ehrenveste und wolachtbare Herr Johann Heinrich Widt, lediger Handelsmann, des H. Joh. Heinrich Widt, Goldarbeiters, beeidigten Gewichtfechers und burgers alhier, mit Frau Margareta Salome geb. Heimin ehelich erzeugter ältere anjetzo großjähriger Sohn, als Hochzeiter an einem Theil
So dann die Viel Ehren: und Tugendbegabte Jungfrau Margareta Magdalena Gruckerin, des H. Joh: Paul Grucker Hufschmids und Fraun Anna Ursula geb. Wildin beder Eheleut und Burger alhier, einzige eheliche Tochter als Hochzeiterin, beiständlich dieses ihres Vaters, an dem andern Theil
[unterzeichnet] Johann Heinrich Wildt Sohn als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Krucker als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 79 n° 30)
1783 den 7. Octobris sind nach ordentl. geschehenen Ausrufungen auff der Kirche Zu St Nicolai ehl. eingesegnet worden H Johann Heinrich Witt lediger Handelsmann u. burger allh. Johann Heinrich Witt des Gold: arbeiters und Burgers allh. mit Fr: Margaretha Salome geborner Heimin ehel. erzeugter Sohn u. Jgfr. Margaretha Magdalena Gruckerin H. Johann Paul Grucker des Hufschmidts u. Burgers allh: mit Fr. Anna Ursula geborner Wildin ehel. erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Widt Sohn als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Kruckerin als Hochzeiterin (im 82 – proclamation, Temple-Neuf f° 127-v)

Le marchand Jean Henri Widt est reçu tributaire au Miroir en décembre 1783.
1783, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 310) Samstags, den 20. Decembris 1783 – E. Leibzünfftiger
H. Joh: Heinrich Widt, des H. Joh: Heinrich Widt hies. b: Goldarbeiters und geschwornen Gewichtfechers, einzigen ehl. Sohn, welcher bei Hn Joh: Gottfried Schäffer allhier die Handlung erlernte, hat man nach vorgelegtem Stall schein vom 11. Hujus gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d leibzünfftig als Hdlsm. angenommen
promisit obedentiam. Will dermalen keinen Handlungs Zweig wählen, sondern erst als dann denselben diesorts anzeigen, wenn er seine Rechnung handlen wird.
dt 2 lb 13 ß 4 d, 16 ß 5 Findl.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue d’Or. Ceux du mari s’élèvent à 1 711 florins (855 livres), ceux de la femme à 2 169 florins (1 035 livres).
1783 (12.12.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 605) n° 477
Inventarium über H. Joh. Heinrich Widt, des Hdlsm. u. Fraun Margareta Magdalena geb. Gruckerin, beder Eheleute und burger alhier zu Straßburg vor unverändert in die ehe gebrachtes Vermögen, aufgerichtet in A° 1783. (…) in ihrem den 7. Weinmonats dieses zu End laufend. Jahrs mit einander angetrettenen Ehestand gebracht, und laut des dritten Articuls ihrer d. 23. Herbstmonats kurz vorher vor mir Notario aufgerichteten Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben
So geschehen in Straßburg, in fernerem Beiseÿn H. Joh. Paul Grucker, des hies. b. u. Hufschmids, der Ehefrau Vaters und von ihr hierzu erbettenen beistands, in deßen an dem Goldgiesen gelegener, diesorts bewohnender behausung auf Freitag den 12. Weinmonats nachmittag in dem Jahr 1783.
Des Eheherrn beigebrachtes Vermögen, Sa. Hausrats 377, Sa. Silbers 134, Sa. goldener Ringe, Uhr und Stock 105, Sa. Baarschafft 1016, Summa summarum 1622 fl. – Darzugelegt den ihm gebührenden Halben theil vonn nachverzeichneten Haussteuren 77 fl., Mit deren Beirechnung 1711 fl.
Nach diesem wird der Frau in die Ehe gebrachtes Gut verzeichnet, Sa. Hausraths 601, Sa. Silbergeschirrs 69, Sa. goldener Ringe 421, Sa. baarschafft 1000, Summa summarum 2092 fl – Rechnet man die ihr Zuständige Hälfte von nachstehenden Haussteuren dazu mit 77, Wornach der Ehefrau gesamtes beigebrachtes Gut dem wahren Wert nach sich belauft auf 2169 fl.

Inventaire des biens appartenant au failli Jean Henri Widt
1811 (19.3.), Strasbourg 11 (10), M° Thurmann n° 1178
Inventaire de ce qui appartient à Jean Henri Widt fabricant de tabac – dressé à la requête de Mess. Mart Dillemann l’oncle de la maison Christophle Dillmann et Jean Daniel Saum de la maison André Cossa négociants en qualité de syndics provisoires de la faillite suivant jugement du Tribunal Commerce du 14 février dernier – en présence de Jean Henri Widt et Marguerite Madeleine née Grucker
dans le logement qu’ils occupent dans leur maison rue de l’Arc en ciel n° (-)
dans les magasins et ateliers de la fabrique de M Widt
acp 116 acp (3 Q 29 831) f° 175 du 29.3.

Jean Henri Widt expose la maison aux enchères puis l’en retire

1820 (2.12.), Strasbourg 8 (31), M° Roessel n° 7526
Cahier des charges – Jean Henri Widt ci devant fabricant de tabac
Désignation des objets à vendre. 1. une maison avec cour, pompe, appartenances et dépendances située à Strasbourg et faisant le coin de la rue Brûlée et de celle des Parcheminiers attenant dans la première où elle a le n° 19 aux héritiers Guerin et dans la seconde où elle a le n° 10 au Sr Ayllé boulanger aboutissant derrière auxdits héritiers Guerin et S Aylé
2. un emplacement de maison situé vis à vis de ladite maison et faisant le coin de la rue des Parcheminiers et de celle de l’Arc en Ciel, attenant dans la première aux veuve et héritiers Gutmann et dans l’autre au Sr Kirchmeyer
Etablissement de la propriété, acquis de Jean Knoderer, sellier carossier, et de Susanne Barbe Loew, par acte passé devant M° Wengler le 20 juillet 1810. Ils avaient appartenu à Gaspard Loew, brasseur qui a son décès transmit une partie à sa fille la D° Knoderer. L’autre partie a passé dans le patrimoine de ses autres héritiers de qui le Sr Knoderer l’a acquis par acte reçu M° Lex le 7 messisor 10 et Grimmer le 13 du même mois et conformément à deux jugements rendus au tribunal civil de première instance les 4 fructidor 11 et 24 octobre 1808. Charges, clauses et conditions, 3) rente foncière d’un chapon et 45 c par an dont l’emplacement est grevé envers la Fondation St Thomas
Enchère 19 décembre n° 7560, aucune enchère – le 2 janvier 1821 n° 7569 à Charles Drion avocat pour 20.500 francs, Jean Frédéric Eyth pour 21.900 francs
le 15 janvier, retrait

Jean Henri Widt et Marguerite Madeleine Grucker vendent la maison au chef de comptabilité et archiviste Jean Baur

1821 (10.4.), Strasbourg 12 (82), M° Lex n° 2986-bis
Jean Henri Widt, ci devant employé à la manufacture des tabacs présentement fabricant de tabacs à Kehl, et Marguerite Madeleine Grucker
à Jean Baur, chef de comptabilité et archiviste de la ville
1. une maison ci devant brasserie ayant pour enseigne à la Couronne de Roses sise à Strasbourg faisant le coin de la rue Brulée et de celle des Parcheminiers marquée du n° 19 et n° 21, tenant au côté de la rue Brûlée aux héritiers Guerin, rue des Parcheminiers au Sr Eylé boulanger, d’autre côté les deux rues, par derrière les héritiers Guérin et Eylé, consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour pompe, avec toutes ses autres aisances, appartenances et dépendances
2. un chantier ou emplacement de maison en face de la susdite maison de l’autre côté de la rue des Parcheminiers, d’un côté la veuve et héritiers Gutmann tonnelier, de l’autre la rue de l’Arc en Ciel dont il fait le coin er la rue des Parcheminiers, derrière le Sr Kirchmeyer chapelier, chargée d’une rente foncière envers la Fondation de St Thomas de 1 chapon et 45 c en argent selon inscription hypothécaire du 28 octobre 1819 n° 318 en capital 29 fr
acquis de Jean Knoderer, sellier carossier, et Susanne Barbe Lew suivant acte reçu M° Wengler le 20 juillet 1810. Les immeubles vendus proviennent de la succession de Gaspard Loew, brasseur, suivant inventaire dressé par M° Dinckel le 4 mai 1779 sur une partie de laquelle la veuve Loew Marie Dorothée Feigler avait à exercer l’usufruit et jouissance sa vie durante, auquel elle a renoncé en faveur du Sr Knoderer par acte reçu M° Grimmer le 2 octobre 1809. La moitié de la maison et le tiers du chantier appartiennent à la veuve Loew, suivant jugement d’expropriation forcée rendu au Tribunal civil dont le Sr Knoderer s’est rendu adjudicataire le 4 fruidor 11, lequel possédait déjà à cette époque un 6° dans la maison, 6/27 dans le chantier du chef de son épouse cohéritière du Sr Loew et autant du chef de Lippmann Lehmann duquel il l’acquis par acte reçu M° Grimmer le 13 messidor 10, lequel Lippmann Lehmann l’a acquis de Marguerite Salomé Loew par acte reçu M° Lex le 11 messidor 10, au point que les conjoints Knoderer sont devenus propriétaires savoir de la maison 15/18 et du chantier 20/27 et il restait à acquérir 1/6 de la maison et 6/27 du chantier qui appartenaient aux trois enfants de Marie Dorothée Loew procréés avec Jean Pierre Graff brasseur, suivant adjudication au Tribunal Civil par licitation le 25 octobre 1808 et déclaration de command – moyennant 25.000 francs
acp 152 F° 30-v du 10.4.

Natif de Breitenbach dans la vallée de Villé, Jean Baur épouse en 1813 Marie Madeleine Gœringer, native de Rippelsau en Bade
Mariage, Strasbourg (n° 398)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 20 novembre 1813. Jean Baur, majeur d’ans, né en légitime mariage le 3 septembre 1775 à Breitenbach, Département du Bas-Rhin, Emploïé à la Mairie de Strasbourg, fils de François Joseph Baur, propriétaire à Breitenbach, et de feu Catherine Noss, décédée audit lieu le 23 Fructidor an onze de la République
Marie Madeleine Goeringer, majeure d’ans, née en légitime mariage le 5 septembre 178(-) à Rippelsau, Grand-Duché de Bade, domiciliée à Strasbourg, fille de Xavier Goeringer, aubergiste à Rippelsau et de feu Marie Catherine Sturmlohrner, décédée audit lieu le 24 janvier 1804 (signé) Jean Baur, Marie Madeleine Goeringer (i 12)

Registre de population 600 MW 67) (1815 sqq) Rue des Tonneliers N° 29, p. 643 (i 299)
Bauer, Jean François, 1775, Empl. à la mairie, Breitenbach, (à Str. depuis) 1806 – E. 1813
id. née Goeringer, Marie Madel: 1778, Ripelsau, (à Str. depuis) 1807
id. Charles, 1814, Strasbourg
id. Auguste, 1816, Strasbourg
(Jean Baur employé à la mairie demeurant rue des Tonneliers n° 29, acte Wengler n° 11.082 du 22 octobre 1818)

Jean Baur vend la maison au commissaire de police Jean Michel Letz

1835 (28.1.), Strasbourg 2 (77), M° Weigel n° 8694
Jean Baur, propriétaire ci devant chef de comptabilité à Kuttolsheim
à Jean Michel Letz, Chevalier de la Légion d’Honneur commissaire central de police
une maison ci devant brasserie ayant pour enseigne la Cour de Roses située à Strasbourg faisant le coin de la rue Brûlée et de la rue des Parcheminiers marquée d’un côté du n° 19 de l’autre du n° 21, consistant en bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, aisances, appartenances & dépendances du côté de la rue Brûlée attenant aux héritiers Guerin, de la rue des Parcheminiers au Sr Aylé boulanger, apr devant les deux rues, derrière les héritier Guérin & le Sr Aylé
Origine de la propriété, acquis de Jean Henri Widt, employé à la manufacture royale des tabacs depuis fabricant de tabacs à Kehl et Marguerite Madeleine Grucker, par acte reçu M° Lex le 10 avril 1821 transcrit au bureau des hypothèques vol. 139 n° 94. Les époux Widt l’avaient acquis de Jean Knoderer, sellier carrossier, et Susanne Barbe Loew par acte reçu M° Wengler le 20 juillet 1810. Elle provenait de la succession de Gaspard Loew, brasseur, suivant inventaire dressé par Dinckel notaire le 4 mai 1779. La veuve Loew née Marie Dorothée Feyller avait l’usufruit viager d’une partie de la maison, elle y a renoncé par acte reçu M° Grimmer le 2 octobre 1809. La moitié de la maison appartenait à la D° Loew suivant adjudication à la Barre du tribunal civil le 4 fructidor 11, la D° Knoderer était déjà propriétaire comme héritière de Gaspard Loew. Le Sr Knoderer acquis un second 6° de Lippmann Lehmann, par acte reçu M° Grimmer le 13 messidor 10. Lippmann Lehmann avait acquis ce 6° de Marguerite Salomé Loew sœur et belle sœur des époux Knoderer, par acte reçu M° Lex le 11 messidor 10. Le le dernier 6° acquis des trois enfants de Marie Dorothée Loew épouse de Jean Pierre Graff, brasseur, suivant adjudication sur licitation au Tribunal Civil le 25 octobre 1808 et déclaration de command le lendemain, la femme Graff et Marguerite Salomé avaient elles même recueilli l’immeuble dans la succession de Gaspar Loew leur père
description des biens meubles. au rez de chaussée dans la chambre à droite en entrant, dans la pièce à côté, dans la pièce suivante, dans la quatrième pièce en suivant, dans la buanderie, dans la cave, dans la première pièce à gauche du vestibule, dans la pièce suivante – au premier étage dans le logement du Sr Foucault, au salon, dans la pièce suivante, dans la cuisine – au second étage dans le logement occupé par M. Schmaltzigang, Dans le logeemnt de Mde Schwartz, Dans le logement du Sr Bauer, Dans la partie de maison donnant sur la rue du Parchemin au premier étage, au second étage, au troisième étage (total du mobilier 1600 fr) moyennant 30.400 francs
acp 229 F° 197-v du 2.2.

Le receveur des contributions Jean Michel Letz épouse en 1819 Salomé Molique, native de Landau, après avoir passé un contrat de mariage devant le notaire Chaveheid à Bischheim-au-Saum, le 5 avril précédent (voir plus bas l’acte de notoriété) Mariage, Strasbourg (n° 103)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 10 avril 1819. Jean Michel Letz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 24 juin 1787 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Receveur des contributions directes de la circonscription de Willgottheim (Bas-Rhin), fils de Jean Michel Letz, propriétaire décédé à Strasbourg le 5 floréal an six, et de Catherine Noisset ci présente et consentante
Salomé Molique, majeure d’ans, née en légitime mariage le 19 avril 1793 à Landau, cercle bavarois du Rhin, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean François Molique, capitaine pensionné chevalier de l’ordre roïal de la légion d’Honneur en cette ville et d’Anne Bregler, ci présents et consentants (…) troisième témoin Edme Ragot agé de 53 ans, sellier, oncle de l’épouse (signé) saget née noisette mère (i 20)

Registre de population 600 MW 58 (1815 sqq) Rue Brulée suite du N° 18, p. 518 (i 155)
Letz, Jean Michel, 1787, Commiss. de police, M, Strasbourg, (auparavant) r. des Veaux 23 – E. avril 1835
id. née Molique, Salomé, 1796 Ep., Landau, (à Str. depuis) 1818
id. Mathieu Henri, 1823, Enf., Strasbourg
id. François Louis, 1823, Enf., Strasbourg
id. Michel Charles, 1826, Enf., Strasbourg

Jean Michel Letz cède à son voisin Jean Nicolas Villot la mitoyenneté d’un mur

1844 (30.11.), Strasbourg 3 (90), M° Burtz n° 481
du 30. 9.bre 1844. Cession de mitoyenneté – a comparu M. Jean-Michel Letz, préposé en chef de l’octroi de Strasbourg, demeurant en cette ville, lequel, sur la demande qui lui a été faite par M. Villot ci après nommé, de rendre moyen un mur dépendant de la maison de M. Letz située à Strasbourg rue brûlée N° 19 et contigu à celle de M. Villot située en la même ville rue du parchemin N° 18, a par les présentes cédé avec la garantie de droit
à M. Nicolas Jean Villot, ancien architecte de la ville de Strasbourg, demeurant en cette ville, à ce présent et acceptant
la moyenneté du mur de pignon du bâtiment latéral s’élevant à droite de l’entrée de la propriété du cédant et contre lequel est adossé le bâtiment de derrière de la propriété de M. Villot, plus la moitié de la fondation et du sol de ce même mur.
Cette cession de moyenneté n’est toutefois faite que jusqu’à la hauteur actuelle du bâtiment de M. Villot qui est moins élevé que celui de M. Letz et ce dernier continuera par conséquent à rester seul propriétaire de toute la partie supérieure de son bâtiment depuis le point où s’arrête le toit de M. Villot. Ainsi que la partie de mur cédée se comport et telle qu’elle est désignée par toutes ses dimensions dans un procès verbal de partage et d’estimation dressé le 8 octobre dernier par M.M. Daubenberger et Petiti experts nommés par les comparans à cet effet et lequel procès verbal completement admis et certifié véritable par ces derniers reste annexé aux présentes et sera soumis en même temps à la formalité de l’enregistrement. M. Villot déclare avoir parfaite connaissance du droit de propriété de M. Letz sur le mur dont il s’agit et n’en pas exiger ici la justification ni un établissement quelconque – moyennant le prix de 194 francs
Procès verbal d’estimation d’un mur appartenant à Monsieur Letz propriétaire de la maison sise rue brulée N° 19 et dont la mitoyenneté est demandée par M. Villot architecte propriétaire de la maison adjacente sise rue du parchemin N° 18
Nous soussignés Thiébaut Daubenberger, expert agissant au nom de Monsieur Villot et Eugène Petiti, expert agissant au nom de Monsieur Letz d’autre part nous sommes transportés dans les deux propriétés sus dénommées, nous avons reconnu que la partie du pignon à acquérir par le demandeur se trouve placée entre le corps de bâtiment latéral à droite de l’entrée de la propriété de Monsieur Letz et le bâtiment de derrière de la propriété de Monsieur Villot lequel bâtiment étant moins élevé que celui de Monsieur Letz, Monsieur Villor acquerra seulement la partie comprise de la surface verticale de son bâtiment et la partie supérieure du pignon depassant le dit bâtiment restera exclusivement la propriété de Monsieur Letz
Nous avons en conséquence procédé ainsi qu’il suit au métrage et à l’estimation de cette partie du pignon
La fondation longue 4.18, haut 1.15, épais 0,50 (3,14)
Le pignon Longueur 4,18, haut 9,13, épais 0,36 (13,74)
triange formant la 2° partie, ½ hauteur 0,50, long 0,95, épais 0,36 (0,17) total (17,15)
à raison de 22. livres le mètre cube 375,40
Le terrain formant le sol du pignon long 4,18, large 0,50 (2,09), à raison de 7. l. le mètre quarré 14,63, Total 389,73
dont 194 francs, 86 centimètres formeant la moitié du total général du mur est à payer par M. Villot à Monsieur Letz
En foi de quoi nous avons dressé le présent procès verbal le 8 octobre 1844
acp 330 (3 Q 30 045) f° 73-v

Jean Michel Letz et sa femme consentent au mariage de leurs fils Mathieu Henri et Michel Charles
1857, (27.1.), Charles Keller
Consentement par Jean Michel Letz et Salomé Molique sa femme à Strasbourg au mariage de son fils Mathieu Henri Letz négociant à Paris avec Marie Reine Anaïs Lafage célibataire à Passy
acp 457 (3 Q 30 172) f° 6 du 28.1.

1857 (1.4.), Charles Keller
Consentement par Jean Michel Letz ancien directeur d’octroi et Salomé Molique sa femme à Strasbourg au mariage de leur fils Michel Charles Letz Employé des Contributions indirectes à Meaux avec Hortense Victoire Galippe au dit lieu
acp 458 (3 Q 30 173) f° 93-v du 2.4.

Jean Michel Letz meurt en juin 1860 en délaissant trois fils issus de sa veuve
1860 (2.7.), Strasbourg 11 (56), Charles Keller n° 7478
Notoriété du 2 juillet 1860. (…) lesquels ont, par ces présentes, attesté avoir parfaitement connu Monsieur Jean Michel Letz, en son vivant Préposé en chef de l’octroi de Strasbourg en retraite, chevalier de la légion d’honneur, décoré de la médaille de Ste Hélène, et savoir qu’il est décédé en son domicile le 10 juin 1860 ainsi que le constate un acte de décès, inscrit sur les registres de l’Etat civil de la Ville de Strasbourg à la date du 11 du courant mois
qu’il est mort ab intestat et sans délaisser d’ascendants, qu’il laisse pour veuve survivante Dame Salomé née Molique avec laquelle il était marié sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Chaveheid, alors notaire à Bischheim au Saum, le 5 avril 1819
Enfin qu’il délaisse pour seuls et uniques héritiers ses trois fils ci après nommés issus de son mariage avec ladite veuve survivante, savoir 1° Mr François Louis Letz, pharmacien à Strasbourg, 2° Mr Mathias Henri Letz, négociant à Paris et 3° Mr Michel Charles Letz, commis à la direction des contributions indirectes de Meaux, héritiers chacun pour un tiers de leur père défunt
Joint, grosse du contrat de mariage reçu Georges Antoine Chaveheid – sont comparus Monsieur Michel Letz, officier rétraité et percepteur de la circonscription de Wiltenheim domicilié à Strasbourg, fils de feu Jean Michel Letz et de Catherine Noisette de la dite ville, futur époux d’une part, Mademoiselle Salomé Molique, majeure d’ans, demeurante à Strasbourg, fille de Monsieur Jean François Molique, capitaine retraité, Membre de la légion d’honneur, domicilié en la dite ville & de Dame Anne Bregler, future épouse
Joint, Acte de décès
acp 489 (3 Q 30 204) f° 81-v du 3.7.

François Louis Letz dépose un acte sous seing privé par lequel les héritiers de Jean Michel Letz vendent la maison au menuisier André Frédéric Mehl et à sa femme Marguerite Brückmann à condition que les acquéreurs versent au terme convenu une somme de 50 000 francs provenant de l’indemnité à recevoir de la Ville de Strasbourg pour leur maison expropriée rue Kageneck.

1873 (29.1.), Strasbourg 11 (72), Charles Keller n° 10.512
Dépôt 29. Janv. 1873 – a comparu M. François Louis Letz, ancien pharmacien, propriétaire rentier demeurant à Strasbourg, agissant tants en son nom personnel qu’en ceux de 1° D° Salomé Molique, sa mère veuve de Mr Jean Michel Letz, vivant propriétaire, 2° de M. Mathias Henri Letz, rentier, les deux demeurant à Strasbourg, 3° et de M. Charles Michel Letz, contrôleur des contributions demeurant à Meaux, desquels il se porte fort.
Lequel a déposé à M° Keller l’un des notaires soussigné pour être mis au rang des minutes de son étude à telles fins que de droit, l’un des doubles d’un acte sous signature privée en date à Strasbourg du 2 novembre 1872 portant en idiome allemand la relation d’enregistrement suivante, Enregistré à Strasbourg le 25 janvier 1873 f° 139 v°

(acte déposé) Les soussignés Mad° Salomé Molique, propriétaire veuve de M. Jean Michel Letz, M. Mathias Henri Letz, rentier, M. François Louis Letz, ancien pharmacien, les trois demeurant à Strasbourg, agissant tant en leur nom personnel que comme se portant fort de M. Charles Michel Letz, contrôleur des contributions indirectes demeurant à Meaux, vendent et transportent sous la garantie de droit entr’eux solidaire
à M. André Frédéric Mehl menuisier ebeniste & à Mme Marguerithe Brückmann sa femme de lui autorisée, acceptant comme acquéreurs solidaires
Une maison composée de deux bâtiments d’habitation avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg et formant coin en la rue brulée où elle porte le n° 24 & la rue du parchemin où elle porte le n° 13, le tout tenant d’un côté vers la rue brûlée à M. Maas ancien controleur des poids & mesures, de l’autre vers la rue du parchemin à M Carbiener, aboutissant pardevant sur lesdites rues et par derrière tenant à l’ancienne propriété de Mr Villotte ayant pour successeur M. Kleinknecht & autres. Ainsi que cet immeuble s’étend, se poursuit & se comporte sans par les vendeurs en rien excepter ni reserver. Feront partie de la vente tous les poelss placés dans les divers logements desdites maisons, cinq glaces, deux armoires de coin, plusieurs doubles fenêtres, une chaudière à lessive, les chantiers & rayons de la cave
Cet immeuble depend de la communauté qui a subsisté entre M. Jean Michel Letz & sa femme actuellement sa même & duquel M. Jean Michel Letz les trois fils susnommés sont les seuls héritiers. Cette vente est faite sous les charges & conditions suivantes (…) la présente vente est faite moyennant le prix de 67.500 francs. En deduction de cette somme les acquéreurs promettent & s’obligent de payer celle de 50.000 francs avec l’indemnité qui leur est due par la Ville de Strasbourg pour expropriation de l’immeuble qui leur appartenait en cette ville rue du marais Kageneck n° 2, 2.b & 5, le chiffre de laquelle expropriation a été fixé par jugement à 100.000 francs selon qu’ils le déclarent. (…) Et il est convenu que lors du contrat définitif les vendeurs remettront les titres de propriété relatifs à l’immeuble vendu. Mais que si contre toute attente la ville de Strasbourg devait ne pas payer les 50.000 f. dont il est ci-dessus fait delegation les vendeurs seront libres de reprendre la libre disposition dudit immeuble & que jusque là les présentes n’opéreront pas transmission de propriété si bon semble aux vendeurs (…)
Fait en double à Strasbourg le 2 novembre 1872
Enregistrement de Strasbourg, ssp 157 (3 Q 31 656) f° 139-v du 25.1.

Vente définitive après que les acquéreurs ont satisfait aux conditions de l’acte précédent

1873 (26.9.), Strasbourg 24 (4), Joseph Allonas n° 467
Vente de 67.500. du 26. septembre 1873 – ont comparu 1° D° Salomé Molique, rentière demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Jean Michel Letz, vivant propriétaire et chevalier de la Légion d’honneur en la même ville, 2° Mr Mathias Henri Letz, rentier, et D° Reine Lafage son épouse de lui autorisée, demeurant ensemble à Strasbourg rue de la Toussaint N° 7, 3° Mr François Louis Letz, ancien pharmacien, propriétaire rentier et D° Ernestine Tibaut son épouse de lui autorisée demeurant ensemble à Strasbourg, agissant tous les comparants en leurs noms personnels et Mr François Louis Letz agissant en outre comme mandataire spécial de Mr Charles Michel Letz, son frère, contrôleur des contributions indirectes et D° Victoire Hortense Galippe son épouse demeurant ensemble à Meaux (…) d’une part,
4° et Mr André Frédéric Mehl, menuisier et D° Marguerite Bruckmann sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg, d’autre part, lesquels ont dit et fait ce qui suit
Par acte sous signature privée en date à Strasbourg du 2 novembre 1872 Mad° veuve Letz et ses enfants ont vendu aux époux Mehl
Une maison composée de deux bâtiments d’habitation avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg et formant coin en la rue brûlée où elle porte le n° 24 et la rue du parchemin où elle porte le n° 13, le tout tenant d’un côté vers la rue brûlée à Mr Maas ancien contrôleur des poids & mesures, de l’autre vers la rue du parchemin à M Carbiener, aboutissant pardevant sur lesdites rues et par derrière tenant à l’ancienne propriété de Mr Villotte, appartenant actuellement Mr Kleinknecht & autres. Cette vente a eu lieu pour le prix de 67.000 francs, stipulés payables, savoir 50.000 francs lorsque les époux Mehl auront touché de la ville de Strasbourg le prix d’une maison qui leur appartenait rue du marais Kageneck dont ils ont été expropriés pour cause d’utilité publique et les 17.000 francs restants au premier janvier 1874. Il a été stipulé que ledit acte de vente n’opérera transmission réelle de la propriété qu’après que les vendeurs auront été payés par les acquéreurs ou par la ville de Strasbourg à l’acquit des époux Mehl de la susdite somme de 50.000 francs. Un exemplaire de contrat sus énoncé portant la mention suivante Registrirt zu Straßburg den 25. Januat 1873 fol° 139 v° (…) a été certifié véritable et déposé au rang des minutes de M° Keller notaire prédécesseur de M° Allonas par acte reçu M° Keller le 29 janvier dernier. Aujourd’hui les parties déclarent se présenter en l’étude de M° Allonas à l’effet de donner à ladite vente un caractère définitif. En conséquence Mad. veuve Letz et ses enfants reconnassent par ces présentes avoir reçu à la date du 3 juillet dernier de Mr & Mde Mehl et cela en dehors de la vue du notaire soussigné en déduction du prix de la vente dont s’agit la somme de 50.000 francs provenant du prix d’expropriation susmentionné (…)
Etablissement de propriété. La maison dont il s’agit appartenait aux vendeurs comme ayant fait partie de la communauté qui a subsisté entre Mr Jean Michel Letz père et D° Salomé Molique comparante, son épouse, communauté restée indivise entre cette dernière et ses trois fils, seuls enfants issus de leur mariage et seuls héritiers chacun pour un tiers de leur père. Mr Jean Michel Letz en avait fait l’acquisition au cours de ladite communauté de M. Jean Baur, propriétaire demeurant à Kuttolsheim suivant contrat passé devant M° Weigel alors notaire à Strasbourg en présence d’un collègue le 28 janvier 1835 dont une expédition a été transcrite au bureau des hypothèques le 3 février suivant vol. 290 N° 48. Cette acquisition a eu lieu pour le prix de 32.000 francs y compris celui des objets mobiliers cédés avec l’immeuble, et cette somme a été payée (…). Le contrat du 28 janvier 1835 contient en outre une filiation de propriété remontant au 24 octobre 1808, laquelle filiation on juge superflu de reproduire attendu la prescription plus que trentenaire existant en faveur de la famille Letz
acp 620 (3 Q 30 335) f° 70-v du 3.10.

Natif de Bouxwiller, André Frédéric Mehl épouse en 1840 Marguerite Barbe Hoffmann
Mariage, Strasbourg (n° 266)
Du premier jour du mois de juillet l’an 1844 à dix heures du matin. Acte de mariage de André Frédéric Mehl, majeur d’ans, né en légitime mariage le 10 novembre 1816 à Bouxwiller (Bas Rhin), domicilié à Strasbourg, menuisier, fils d’André Mehl, sellier, et de Salomé Mechling, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants
Et de Marguerite Barbe Hoffmann, majeure d’ans, née en légitime mariage le 8 mars 1812 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Georges Hoffmann, Journalier décédé en cette ville le 29 avril 1830 et de Marguerite Papelauer domiciliée eb cette ville ci présente et consentante
Et aussitôt les dits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Marguerite Madeleine Hoffmann, née d’eux en cette ville le 21 septembre 1838 inscrite le 23 du même mois sur les registres de l’état civil de cette ville, et Frédéric Henri Mehl né d’eux en cette ville le 28 août 1842 inscrit sur les dits registres le lendemain (…) L’épouse a dit ne savoir signer (i 43)

1851 (5.3.), M° Roessel ainé
Donation – Salomé Decker épouse d’André Frédéric Mehl
acp 401 (3 Q 30 116) f° 10 du 11.6.

André Frédéric Mehl se remarie en 1847 avec Salomé Decker, native de Brumath, après avoir passé un contrat de mariage devant le notaire Trautmann notaire à Brumath (voir l’inventaire ci-dessous)
Mariage, Strasbourg (n° 11)
Du 9° jour du mois de janvier l’an 1847 à dix heures du matin. Acte de mariage de André Frédéric Mehl, majeur d’ans, né en légitime mariage le 10 novembre 1816 à Bouxwiller (BasRhin), domicilié à Strasbourg, menuisier, veuf de Marguerite Barbe Hoffmann décédée en cette ville le 22 janvier 1845, fils d’André Mehl, sellier, et de Salomé Mechling, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants
Et de Salomé Decker, majeure d’ans, née en légitime mariage le 16 janvier 1816 à Brumath (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Joseph Deckert, pêcheur, décédé à Brumath le 10 novembre 1844 et de Anne Marie Herrmann, domiciliée à Brumath ci présente et consentante (i 7)

Salomé Decker meurt en 1851 en délaissant un fils
1851 (21.7.), Roessel ainé
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre André Frédéric Mehl, menuisier à Strasbourg et Salomé Decker son épouse, décédée à Brumath le 9 juin 1851, mais domiciliée à Strasbourg et de la succession de cette dernière. A la requête du veuf agissant 1° comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Trautmann notaire à Brumath le 6 janvier 1847, 2) comme donataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession, suivant donation reçue Roessel notaire le 5 mai 1850, 3) comme tuteur de Louis Emile Mehl son enfant mineur issus dudit mariage
acp 402 (3 Q 30 117) f° 30 du 30.7. Communauté. Mobilier estimé à 560
Succession, mobilier estimé à 113, garde robe 30, créances dépendant de la communauté 325
Passif de la communauté 1531, de la succession 72
Description du contrat de mariage et d’autres titres

André Frédéric Mehl se remarie en 1851 avec Marguerite Brückmann de Brumath
1851 (2.8.), Roessel ainé
Contrat de mariage – André Frédéric Mehl, menuisier à Strasbourg, veuf avec deux enfants de Barbe Hoffmann, sa femme en premières noces et veuf en secondes noces avec un enfant de Salomé Decker sa femme d’une part
et Marguerite Brückmann fille de Nicolas Brückmann, cultivateur, et de Marguerite Decker sa femme tous à Brumath
acp 402 (3 Q 30 117) f° 44 du 6.8. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une somme de 500 francs, dans sa part dans la communauté avec sa deuxième femme constatée par inventaire reçu Rosssel notaire le 21 juillet 1851
Les apports de la future consistent 1) en un mobilier estimé à 197 francs, 2) argent comptant 200 francs

André Frédéric Mehl et Marguerite Brückmann hypothèquent la maison

1873 (26.12.), Strasbourg 24 (5), Joseph Allonas
Obligation – Andreas Friderich Mehl Margaretha Bruckmann
Brandgasse N° 24 und Pergamentergasse N° 13

André Frédéric Mehl et Marguerite Brückmann hypothèquent la maison au profit de Catherine Salomé Magnus, veuve de Charles Steinmetz. La police d’assurance est jointe à l’acte.
1875 (31.7.), Strasbourg 24 (13), Joseph Allonas n° 2065
Schuldbekenntnis von 3200 Mark – Erschienen Herr Andreas Frederich Mehl, Schreinermeister und dessen ermächtigte Ehefrau Margaretha Bruckmann, mit einander zu Straßburg, Brandgasse N° 24 wohnhaft, dieselben bekennen andurch
der hier gegenwärtigen und dies annehmenden Frau Catharina Salome Magnus, Wittwe des Hn Karl Steinmetz, Eigenthümer, sie zu Straßburg wohnhaft, die Hauptsumme von 3200 Mark oder 4000 Franken schuldig zu sein für darlehen einer gleichen Summe (…)
Unterpfand. Ein zu Straßburg gelegenes & aus zwei Hauptgebäuden und andern Weiten und Gerechtigkeiten bestehendes Wohnhaus, das Eck von der Brandgasse, wo es die N° 24 trägt und von der Pergamentergasse, wo es die N° 13 trägt, bildend, einerseits auf der Seite der Brandgasse gränzt dieses Wohnhaus an Herrn Maas, ehemaligen Controleur von Maaß und Gewicht, anderseits auf der Seite der Pergamentergasse an den Schuhmacher Carbiener, vornen an der Façade sind gedachte Straßen, hinten ist das ehemalige Eigenthum des H. Villotte, welches würcklich Herr Kleinknecht gehört und noch andere Partikularen
Eigenthumsnachweise. Eheleute Mehl erwarben dieses Haus von Salomea Molique, Rentnerin zu Straßburg wohnend, Wittwe von Herrn Johann Michael Letz, verlebten Eigenthümer und Ritter der Ehrenlegion zu Straßburg wohnend, von Herrn Mathias Heinrich Letz, Renter, von H. Frantz Ludwig Letz ehemaliger Apothecker würcklich Eigenthümer, diese beiden Letztern auch Zu Straßburg wohnend und von Herrn Carl Michael Letz Controleur der indirekten Steuren, zu Meaux in Frankreich wohnend, auf Grund eines Kaufvertrages unter Privat Unterschrift zu Straßburg den 2. November 1872 gefertigt, eines der Duplicata dieses Kaufes wurde den 29. Januar 1873 zu Straßburg Vol. 139 verso (…) einregistrirt und Hr. Notar Keller zu Straßburg unmittelbaren Vorgänger des Notars Allonas, laut Akt vom 29. Januar 1873 als Original Urkunde hinterlegt. Das angedingene Kaufpreis belief sich auf 67.500 Franken, die auf folgende Art und Weise zahlbar stipulirt waren, nämlich 50.000 Franken im Augenblick selbst wo die Eheleute Mehl von der Stadt Strassburg den Preis eines Hauses, welches durch die Stadtbehörde enteignet wurde, beziehen konnten. und der Ueberrest mit 17.500 Franken am ersten Januar 1874.
Ferner wurde noch formlich angedungen, durch fraglichen Privatkauf, daß das Eigenthum des fraglichen Hauses, erst dann übertragen sein würde, wann die Verkäufer durch die Käufer oder durch die Stadt Strassburg, zur Entledigung dieser letzteren mittelst Zahlung gedachter Summe von 50.000 Franken ausbezahlt sein würden.
Da dieser Privatkauf nur provisorisch war, und viele Bedingungen und Punkte nicht berührten und die Eheleute Mehl unter dessen der Entschädigung für das ihnen enteignete zu Straßburg Kageneckerbruch gelegen von der Behörden der Stadt Strassburg bezogen, so wurde fraglicher Verkauf und respective Kauf, durch folgende Personen bestätigt, confirmirt und ratifiirt, nämlich durch Wittwe Letz geborene Molique, gedachten Mathias Heinrich Letz, Rentner und dessen Ehefrau Regina Lataye, Frantz Ludwig Letz, Rentner ehemaliger Apotheker und dessen Ehefrau Ernestine Tibaut, dieser Letztere H. Letz, seinen Bruder H. Carl Michael Letz, controleur der indirekten Steuren zu Meaux in Frankreich wohnend und dessen Ehefrau Victoria Hortensia Galippe vertretend, auf Grund einer Vollmacht (…). Zu diesem Behuf haben sich die Parteien in der Schreibstube des H. Notar Allonas gemeldet, um diesem Kauf einen festen und defiitiven Charakter zu verleihen. Demzufolge haben die Verkäufer anerkannt von den Käufern unter dem Datum vom 3. Juli 1873 abschläglich auf dem Steigpreis von 67.500 Franken eine summe von 50.000 Franken erhalten zu haben (…)
Gedachtes Haus rührte aus der Gemeinschafft hern die zwischen dem verlebten Herrn Letz Vater und seiner Wittwe geborne Molique statt hatte, und alle Güter die zu dieser Gütergemeinschaft gehörten, blieben in Unvertheilten zwischen Frau Wittwe Letz und ihren drei Söhen, einzige Erben jedes für einen dritten Theil von ihrem verlebten Vater Johann Michael Letz.
Letztere erwarb diese Besitzthum während seiner Ehe von dem Eigenthümer Johannes Baur, zu Küttolsheim wohnend, auf Grund eines Kaufvertrags durch den Notar Weigel zu Straßburg den 28. Januar 1835, gefertigt, wovon eine Ausfertigung im hiesigen Hypothekenamte den 3. Hornung 1835, Band 290 N° 48 überschrieben wurde. Diese fand statt für den Preis von 32.000 Franken (…)
Bürgerliche Standesverhältnisse der Entlehner. Eheleute Mehl erklären, daß die beide mit einander verheirathet sind, unter der Herrschaft der Gütergemeinschaft, die sich auf das Errungenen beschränkt, auf Grund ihres Ehekontraktes durch Notar Roessel den Aelteren den 2. August 1851 gefertigt (…)
Police d’assurance. Compagnie du Soleil. Police n° 27.681. M. Mehl, date 20. janvier 1874, durée 10 ans
Mehl, André, Frédéric, profession de Propriétaire à Strasbourg, agissant pour son compte. 90.000 francs, savoir
1° 45.000 francs sur la propriété sise à Strasbourg rue Brulée N° 24 construite en pierres, briques et bois, couverte en tuiles, composée des bâtiments ci-après désignés, attenant les uns aux autres et ne renfermant aucune profession augmentant le risque
A. Bâtiment principal donnant sur la rue brulée avec aile en retour à droite dans la cour, élevé sur cave voûtée, de rez-de-chaussée, deux étages, mansardes et grenier
B. Bâtiment au fond de la cour, élevé de rez-de-chaussée avec plate forme garnie d’une rampe en fer
C. Bâtiment à gauche en entrant dans la cour, élevé de rez-de-chaussée et comble, Ensemble y compris la valeur de la pompe, des poêles chez les locataires et celle de tous les autres objets réputés immeubles par destination.
Pour se conformer aux dispositions de l’article 14 des conditions générales, M. Mehl déclare qu’il a fait assurer par le compagnie la Confiance une somme de 20.000 francs sur la susdite propriété
2° 15.000 francs par la garantie des recours des voisins
3° 20.000 francs sur une propriété à Strasbourg rue du Parchemin N° 13 attenante à la précédente avec communication, élevé sur cave voûtée, de rez-de-chaussée, trois étages, mansardes et grenier, construite en pierres, briques et bois, couverte en tuiles renfermant habitation et garnis, y compris la valeur des poeles et de tous autres objets réputés immeubles par destination.
4° 10.000 francs par la garantie des recours des voisins
La présente police remplace et résilie les articles 1, 3 et 4 de celle N° 25.584.

André Frédéric Mehl et Marguerite Brückmann hypothèquent la maison

1877 (6.10.), Strasbourg 24 (22), Joseph Allonas
Schuldbekenntnis – Andreas Ferdinand Mehl Margaretha Bruckmann
Brandgasse N° 24 und Pergamentengasse N° 13
acp 671 (3 Q 30 386) f° 24 du 8.10.

André Frédéric Mehl et Marguerite Brückmann hypothèquent la maison

1879 (7.1.), Strasbourg 24 (26), Joseph Allonas
Schuldbekenntnis – Andreas Friderich Mehl Margaretha Bruckmann
Brandgasse N° 13 und Pergamentengasse

André Frédéric Mehl meurt en 1879 en délaissant deux enfants de son premier mariage et quatre du troisième.

1879 (1.2.), Strasbourg 24 (26), Joseph Allonas
1. Februar 1879 – Inventar nach Ableben des zu Straßburg am 10. Januar 1879 verlebten Schreinermeisters Andreas Friderich Mehl
Im Jahr 1879 Montag den 3. Februar zwei Uhr Nachmittags zu Straßburg im Sterbhaus, auf Anstehen von 1° Frau Margaretha Brückmann, ohne Gewerbe zu Straßburg wohnhaft Wittwe des hieselbst verlebten Schreinermeisters Andreas Friderich Mehl, handelnd I. eigenen Namens a) wegen der Errungenschaftgemeinschaft welche zufolge dem hiernach analysirten vor Notar Roessel dem Aeltern zu Straßburg am 2. August 1851 abgeschlossenen Ehevertrage zwischen ihr und ihrem genannt verlebten Ehemann bestanden hat, b) wegen der Ersatzansprüche & Forderungen welche sie gegen diese Gütergemeinschaft eventual gegen den Nachlass ihres Ehemanns geltend zu machen hat, c) als Vermächtnißnehmerin zu einem gewissen Theil in vollem Eigenthum des Vermögens ihres verlebten Ehemanns laut dessen Testament vor dem unterzeichneten Notar vom 23. Juni 1873 und 20. Juni 1873 welches hiernach wörtlich niedergeschrieben wird
II. im Namen und als gesetzliche Vormünderin ihrer noch minderjährigen mit ihrem verlebten Ehemann erzeugten & bei ihr domizilirten Kindern als a) August Adolph Mehl 19 Jahre alt, Eduard Gottfried Mehl, 15 Jahre alt, c) Carolina Luise Mehl 10 Jahre alt,
2° Herr Friedrich Heinrich Mehl, Möbelschreiner zu Straßburg wohnhaft, lezterer handelnd I. eigenen Namens, II. im Namen und als Special-Bevollmächtigter der Frau Margaretha Magdalena Mehl, seiner Schwester, ohne Gewerbe zu Boulogne sur Seine bei Paris wohnhaft (…) & 2) noch im Namen und als Beivormund der oben genannten minderjährigen Mehl, seine Geschwister, Eigenschaft zu welcher er durch Beschluß des Familienraths gefaßt (…) die genannten Margaretha Magdalena Mehl, Friedrich Heinrich Mehl erzeugt aus der ersten Ehe des Herrn Mehl mit seiner schon früher verlebten Ehefrau Margaretha Hoffmann (aus der zweiten Ehe des H. Mehl mit Salomea Decker ist ein Sohn erzeugt worden Namens Ludwig Emile Mehl, welcher aber längst verstorben ist)
und Karl Mehl, August Mehl, Eduard Gottfried Mehl & Carolina Luise Mehl erzeugt aus der dritten Ehe des H. Mehl mit seiner hinterbliebenen Wittwe obengenannter Margaretha Brückman, einzige Erbberechtigte zu einem Sechstel an dem Nachlasse ihres zu Straßburg am 10. Januar letzthin verlebten genannten Vaters Herrn Andreas Friedrich Mehl.
So aber der Verlebte laut seinem dem unterzeichneten Notar diktirten und obenerwehnten testamente seiner hinterbliebenen Wittwe der Theil seines Vermögens gleich dem Antheil des am wenigsten begünstigten seiner Kinder und seinen Kindern aus der dritten Ehe die dipsonible Quota geschenkt hat, gebührt der Nachlass desselben den zwei Kindern aus erster Ehe je zu vier 32. theil oder Zusammen 8/32, der Wittwe Mehl auch zu 4/32, und den vier Kindern aus der dritten Ehe je zu fünff 32 oder 20/32

Beschreibung & Abschätzung. I. im Speise-Saal, II im Zimmer des H. Hecht, III. im Zimmer der Fr. Melmann, IV im Zimmer der Fr. Maria Jaeger, V. aufm Speicher
im Haus Pergementgasse, im Erdgeschoß, im Zimmer der Fr. Feldstücker, in einem unbewohnten Zimmer, im Erdgeschoß in der Brandgasse, im Zimmer der Söhne, im Offizier Zimmer, im Salon, in der Küchen
C. Immöbel der Gütergemeinschaft. Stadt Strassburg. ein zu Straßburg gelegenes & aus zwei Hauptgebäude als Wohnhäuser dienend bestehendes besitzthum, die Ecke von der Brandgasse wo es die N° 24 & von der Pergamentergasse wo es mit N° 13 bezeichnet ist, bildend An- und Zubehörungen, einerseits in der Brandgasse neben H. Maas anderseits in der Pergamentergasse neben dem Schuhmacher Carbiener, vorn an der Façade die Brandgasse und hinten H. Kleinknecht.
Eigenthumsnachweis. Eheleute Mehl haben die soeben bezeichnete Liegenschaft von 1° Frau Salome Molique Rentnerin zu Straßburg wohnhaft Wittwe des H. Johann Michael Letz, 2° von deren Kinder H. Mathias Heinrich Letz, Renter, c) Frantz Ludwig Letz ehemaliger Apothecker beide zu Straßburg wohnhaft c) H. Carl Michael Letz Contrôleur der indirekten Steuren zu Meaux (Frankreich) wohnhaft, laut einem unter Privat Unterschrift dahier am 2. November 1872 verfertigten Privat Vertrage, wovon einer der Exemplaren * durch Notar Keller unmittelbar Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars am 29. Januar folgend aufgenommenen Akte sich beigebogen befindet.
Diese Erwerbung geschah vermittelst einem Preis von 60.500 Franken welche auch folgenden Weise zahlbar stipulirt wurde, als 50.000 Franken sobald Eheleute Mehl von der Stadt Strassburg den Preis eines Hauses welches ihnen durch die Stadt enteignet wurde, beziehen werden. Und der Ueberrest mit 17.500 Franken am ersten Januar 1874.
Ferner wurde in erwähntem Privatvertrage noch förmlich bedungen, daß das Eigenthum des besagten Hauses erst dann den Eheleuten Mehl übertragen sein solle, wann die Verkäufer durch die Käufer oder durch die Stadt Strassburg von den obigen 50.000 Franken ausbezahlt sein würden.
Da dieser Privat-Vertrag nur provisorisch war und die Eheleute Mehl in zwischen von der Stadt Strassburg die Entschädigung für das ihnen enteignete zu Straßburg Kageneckerbruch gelegene Wohnhaus bezogen hatten, wurde fraglicher Akt durch nachgenannte Personen genehmigt 1° Wittwe Letz geborene Molique, 2. Mathias Heinrich Letz, Rentner und dessen Ehefrau Regina Lataye, 3° Frantz Ludwig Letz Rentner und dessen Ehefrau Ernestine Tibaut & 4° H. Michael Letz & dessen Ehefrau Victoria Hortensia Galippe zufolge einem durch den unterzeichneten Notar am 26. September 1873 aufgenommenen Akte in welchen die Verkäufer Consorten Letz erkannt haben auf den erwähnten Kaufpreis von 60.500 Franken abschläglich die summe von 50.000 Franken erhalten zu haben (…) Früherer Eigenthumsnachweis. Aus dem soeben inventorisirten Schriftstück daß das hievor bezeichnete besitzthum von der Gütergemeinschaft herrührte welche zwischen dem verlebten H. Letz & seiner Wittwe geborner Molique bestanden hatte und daß alle Güter welche in dieser Gemeinschafft gehörten zwischen Wittwe Lentz und ihren drei obengenannten Söhnen in ungetheiltheit blieben.
Der verlebte H. Letz erwarb dasselbe Besitzthum während seiner Ehe von dem zu Küttolsheim wohnenden Eigenthümer H. Johann Baur, auf Grund einer Kaufurkunde von Notar Weigel zu Straßburg am 28. Januar 1835, wovon eine Ausfertigung auch dem hiesigen Hypothekenamte vom 3. Februar folgend Band 290 N° 48 überschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst einen Preis von 32.000 Franken (…)
acp 687 (3 Q 30 402) f° 16-v du 8.2.


Lors de la liquidation, la maison est attribuée à la veuve

1879 (31.3.), Strasbourg 24 (27), Joseph Allonas n° 4702
31. März 1879. Liquidation und Theilung der 1. der Gütergemeinschaft welche zwischen dem zu Straßburg am 10. Januar 1879 verlebten Schreiners H. Andreas Friderich Mehl und dessen hinterbliebenen Wittwe Margaretha Bruckmann bestanden hat, 2° & des Nachlasses des genannten H. Mehr
Sind erschienen 1° Frau Margaretha Bruckmann, ohne Gewerbe zu Straßburg wohnhaft, Wittwe der hieselbst verlebten Schreinermeisters H. Andreas Friderich Mehl handelnd I° eigenen Namens a) wegen der Errungenschaftgemeinschaft welche zufolge dem vor Notar Roessel dem Aeltern zu Straßburg am 2. August 1851 abgeschlossenen Ehevertrage zwischen ihr und ihrem genannt verlebten Ehemann bestanden hat, b) wegen der Ersatzansprüche & Forderungen welche sie gegen diese Gütergemeinschaftsmasse geltend zu machen hat, c) als Vermächtnißnehmerin zu einem gewissen Theil in vollem Eigenthum des Vermögens ihres verlebten Ehemanns laut dessen Testament vor dem unterzeichneten Notar vom 23. Juni 1873 (…)
II. im Namen und als gesetzliche Vormünderin ihrer noch minderjährigen mit ihrem verlebten Ehemann erzeugten & bei ihr domizilirten Kindern als a) August Adolph Mehl 19 Jahre alt, Eduard Gottfried Mehl, 15 Jahre alt, c) Carolina Luise Mehl 10 Jahre alt,
2° Herr Friedrich Heinrich Mehl, Möbelschreiner zu Straßburg wohnhaft, lezterer handelnd I. eigenen Namens, II. im Namen und als Special-Bevollmächtigter der Frau Margaretha Magdalena Mehl, seiner Schwester, ohne Gewerbe zu Boulogne sur Seine bei Paris wohnhaft (…) III. & noch im Namen und als Beivormund der oben genannten minderjährigen Mehl, seine Geschwister, Eigenschaft zu welcher er durch Beschluß des Familienraths gefaßt (…) die genannten Margaretha Magdalena Mehl & Herr Friedrich Heinrich Mehl erzeugt aus der ersten Ehe des Herrn Mehl mit seiner schon früher verlebten Ehefrau Margaretha Hoffmann (aus der zweiten Ehe des H. Mehl mit Salomea Decker ist ein Sohn erzeugt worden Namens Ludwig Emile Mehl, welcher aber längst verstorben ist) und Karl Mehl, August Mehl, Eduard Gottfried Mehl & Carolina Luise Mehl erzeugt aus der dritten Ehe des H. Mehl mit seiner hinterbliebenen Wittwe obengenannter Margaretha Brückman, einzige Erbberechtigte je zu einem Sechstel an dem Nachlasse ihres zu Straßburg am 10. Januar letzthin verlebten genannten Vaters Herrn Andreas Friedrich Mehl.
So aber der Verlebte laut seinem dem unterzeichneten Notar diktirten und obenerwehnten testamente seiner hinterbliebenen Wittwe der Theil seines Vermögens gleich dem Antheil des am wenigsten begünstigten seiner Kinder und seinen Kindern aus der dritten Ehe die dipsonible Quota geschenkt hat, gebührt der Nachlass desselben den zwei Kindern aus erster Ehe je zu vier 32. theil oder Zusammen 8/32, der Wittwe Mehl auch zu 4/32, und den vier Kindern aus der dritten Ehe je zu fünff 32 oder 20/32

I. Vorbemerkung. Gütergemeinschaft Mehl-Hoffmann
II. Vorbemerkung. Heirath des H. Mehl mit Salome Decker seine zweite Frau
III. Vorbemerkung. Heirath des H. Mehl mit Salomea Brückmann seine dritte Frau
IV. Vorbemerkung. Tod des H Mehl. Testament, Inventar
V. Vorbemerkung. erichtigung des Erbverzeichnises. I) Ersatzansprüche der Wittwe Mehl gebornen Bruckmann an die Gütergemeinschaft Mehl-Brückmann
acp 689 (3 Q 30 404) f° 52 n° 12 du 1.4. (St.B. Bd. 65 Bl. 105 N° 11, Stfl. Erk. Bd. 129 N° 157) Gütergemeinschaft. I. Aktivmasse 1) Möbel nach dem Inventar M. 2422, 2) baares Geld 1069, 3) Nachstand Bauer 17, 4) Hausmiethe 104, 4) Ersatzleistung durch den Nachlass 801, 6) Ein Wohnhaus an der Ecke der Brandgasse N° 24 und Pergamentergasse N° 13, geschätzt zu 54.000 (Summa 58.416)
II. Passiv Masse 1) gemeinschaftliches Passiv 31.618, 2) Ersatzansprüche des Nachlasses 400, 3) der Wittwe 677 (Summa 32.696) Netto 27.720.
Nachlass I. Aktiv Masse 1) ½ des Ueberschusses 12.866, 2) Ersatzansprüche 400, 3° Garde robe 35 (Summa 13.296)
II. Passiv Masse 1) Entschädigung an die Gemeinschaft 801, 2) Trauerkleider der Wittwe 100 (Summa 901) Netto 12.394
daran bespricht die Wittwe 4/32 mit 1549 (…) Es wird ihr zugetheilt 1) das Haus 54.000
acp 689 (3 Q 30 404) f° 52 du 1.4.

Marguerite Brückmann hypothèque la maison deux fois en 1779, en 1882 et en 1884

1879 (7.4.), Strasbourg 24 (27), Joseph Allonas
Schuldbekenntnis – Margaretha Brückmann Wittwe Andreas Friderich Mehl
Brandgasse N° 24 Pergamentergasse N° 13

1879 (5.8.), Strasbourg 24 (28), Joseph Allonas
Obligation – Margaretha Brückmann Wittwe Andreas Friderich Mehl
Ecke der Brandgasse N° 24 und der Pargamentergasse N° 13

1882 (12.7.), Strasbourg 4 (158), Charles Lauterbach
Obligation – Margaretha Bruckmann Wittwe Andreas Friderich Mehl
Ecke der Brandgasse N° 24 und Pergamentgasse N° 13

1884 (15.10.), Joseph Allonas
Rechnung Maria Margaretha Brückmann Wittwe Andreas Friderich Mehl
acp 755 (3 Q 30 470) f° 18 du 24

Les enfants et héritiers Mehl exposent aux enchères la maison composée des bâtiments sis 24, rue Brûlée et 13, rue du Parchemin. Le cahier des charges prévoit les conditions auxquelles les propriétaires devront se conformer si la maison est vendue en deux lots. L’adjudication définitive n’est pas prononcée.

1884 (20.2.), Strasbourg 24 (45), Joseph Allonas n° 7571
30. October 1883. Bedingnisheft. Im Jahr 1883 den 30. October zu Strassburg in der Schreibstube des amtierenden Notars sind erschienen 1. Herr Karl Mehl, Zeichner bei der Verwaltung des Reichseisenbahnen in Elsass-Lothringen, zu Straßburg wohnhaft, handelnd eigenen Namens, 2. Herr August Adolph Mehl, Kellner zu Straßburg handelnd eigenen Namens, 3. Herr Heinrich Friedrich Mehl, Tischler, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Specialvormund der aus der Ehe zwischen den zu Straßburg verlebten Eheleuten Andreas Friderich Mehl, zu Lebzeiten Schreinermeister daselbst, und dessen Ehefrau in dritter Ehe Margaretha Brückmann entsprossenen noch minderjährigen Kinder, nämlich a) Eduard Gottfried Mehl, geboren am 10 April 1864, b) Caroline Luise Mehl, geboren am 24. September 1886, laut des am Kaiserlichen Amtsgerichte zu Straßburg unter dem Vorsitze des Amtsgerichtsraths Breuer am 14. September 1883 gefassten Familienrathsbeschlusses, 4. Herr Jacob Brückmann, Ackerer in Brumath wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der obengenannten minderjährigen Kinder Mehl laut des am Kaiserlichen Amtsgerichte zu Straßburg unter dem Vorsitze des Amtsrichters Bostetter am 20. Juli 1883 gefassten Familienrathsbeschlusses,
die genannten Karl Mehl, August Adolph Mehl, Eduard Gottfried Mehl und Caroline Luise Mehl, einzige Erben zu je einem Viertel ihrer zu Straßburg am 5. Juli 1883 verstorbenen obgenannten Mutter Margaretha Mehl gebornen Brückmann, sowie dies erhellet aus dem nach den Toder derselben Frau Mehl durch den unterzeichneten Notar errichteten, am Anfang den 27. Juli 1880 datirten Inventare (…) behufs Veräusserung des hiernach beschriebenen, den obgenannten Erben Mehl gehörende Besitzthums den unterzeichneten Notar ersuchten, sowohl die Beschreibung dieser schon in dem erwähnten Vereinbarungsacte näher bezeichneten Liegenschaft als auch deren Eigenthumsnachweis und die Lasten, Clauseln und Bedingungenen unter welchen die vorhabliche Versteigerung geschehen soll, aufzustellen was geschah wie folgt

Beschreibung des zu versteigernden Besitzthums. Statt Strassburg.
Ein zu Strassburg gelegenes und aus zwei Hauptgebäuden als Wohnhäuser dienend bestehendes Besitzthum die Ecke der Brand- und Pergamentergasse bildend in ersterer mit N° 24 und in letzterere mit n° 13 bezeichnet, nebst An- und Zubehörungen, einerseits in der Brandgasse neben Maas anderseit in der Pergamentergasse neben dem Schuhmacher Carbiener, vorn an der Façade die Brandgasse, hinten Herr Kleinknecht.
Grundsteur des grossen Wohnhauses Brandgasse n° 24, 122 M 77. Anschlagpreis dieses Wohnhauses 44.000 M
Grundsteur des kleinen Wohnhauses Pergamentergasse n° 13, 39 M 39. Anschlagpreis dieses Wohnhauses 20.000 M
Eigenthumsnachweis. Das bezeichnete Besitzthum gehörte der Frau Wittwe Mehl geborene Brückmann, indem dasselbe abhieng von der Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem Ehemann bestand und ihr zugeteilt wurde, in einer Liquidation und Theilung vor dem unterzeichneten Notar vom 31. März 1879. Eheleute Mahl haben diese Liegenschaft erworben von Salomea Molique zu Straßburg, Wittwe des Herrn Johann Michael Letz und ihren Kindern laut einer unter Privatunterschrift verfertigten Verkaufsurkunde, wovon ein Exemplar einem durch Notar Keller dahier am 29. Januar folgend aufgenommenen Acte sich beigebogen befindet. Die Erwerbung geschah um einen Preis von 67.500 Franken, welche folgenderweise bezalt und quittirt wurden (…). Eine Ausfertigung des obenerwähnten Privatactes und der Urkunde vom 26. September 1873 wurde auf dem Hypothekenamte am 24. Oktober folgend unter Band 1448 n° 38 überschrieben. Aus dem erwähnten Acte erhellet dass das hievorbezeichnete Besitzthum von der Gütergemeinschaft herrührte, welche zwischen dem verlebten Herrn Letz und seiner Wittwe geborne Molique bestanden hat und dass alle Güter, welche zu dieser Gemeinschaft gehörten, der Wittwe Letz und ihren Kindern in Ungetheiltheit verblieben.
Der verlebte Herr Letz erwarb dasselbe Besitzthum während einer Ehe von dem zu Küttolsheim wohnenden Eigenthümer Herrn Johann Baur, auf Grund einer Kaufsurkunde vor Notar Weigel zu Straßburg vom 28. Januar 1835, wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte am 3. Februarÿ folgend Band 290. N° 48 überschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst eines Preises von 32.000 Franken (…) – Hypothekenlage (…) – Lasten, Clauseln und Bedingungenen (…) Für den Fall dass die beiden Wohnhäuser verschiedenen Ansteigern zugeschlagen werden sollten, so haben die beiden neuen Eigenthümer auf gemeinschaftliche Kosten die in der die beiden Häuser trennenden Mauer sich befindenden Oeffnungen im ersten Stock und auf dem Speicher zuzumauern, ferner soll die Abtrittgrube zur beide Wohnhäuser gemeinschaftlich bleiben. (…)
Standesverhältnisse. Die Comparenten erklären, Karl Mehl dass er in erster Ehe verheiratet ist mit Maria Jung unter der Herrschafft der gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags, August Adolph Mehl dass er ebenfalls in erster Ehe verheirathet ist mit Emilie Boulot unter der Herrschafft der gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags
(Joint) Vereinbarungsakt, 19. Oktober 1883
Versteigerung. 30. November 1883. (…) das grosse Wohnhaus Brandgasse n° 24 wurde ebenfalls noch einmal ausgesetzt und wurde während des Brennens von drei nach einander angezündeten Lichtern kein Gebot darauf gemacht. Zuletzt wurde das kleine Wohnhaus Pergamentergasse n° 13 (wurde) ein Gebot von 10.000 Mark durch den zu Strassburg wohnenden Handelsmann Samuel Hirsch gemacht
Versteigerung, 20 Februar 1884. (…) Herrn Joseph Jacobs zu dem obigen Preise von 33.200 Mark ausser der Lasten der Versteigerung provisorisch zugeschlagen
acp 752 (3 Q 30 467) f° 46-v du 7.8.
acp 741 (3 Q 30 456) f° 81 du 9.11.1883, Allonas 30.10. – Bedingnisheft
acp 743 (3 Q 30 458) f° 64 du 6.12.1883, Allonas 30.11. – Versteigerung an Samuel Hirsch
acp 744 (3 Q 30 459) f° 44 du 18.1.1884, Allonas 16.1. – Terminaufsetzung
acp 744 (3 Q 30 459) f° 47-v du 28.2.1884 Allonas 20.2. Versteigerung an Joseph Jacobi
acp 741 (3 Q 30 456) f° 58 du 22.10.1883, Mossler 19.10. – Vereinbarung

Lors de la nouvelle adjudication par exécution forcée à la demande du créancier Daniel Wilhelm, l’acquéreur est le maître menuisier Jean Jacobi

1884 (30.7.), Strasbourg 24 (47), Joseph Allonas n° 8101
30. Juni 1884. Bedingnisheft im Zwangsvollstreckungssachen des Daniel Wilhelm, Rentner zu Straßburg, Hypothekengläubiger, gegen die Erben Mehl zu Straßburg, Schuldner
Zwangsvollstreckungsbeschluss. Auf Betreiben des Daniel Wilhelm, früher Kaufmann jetzt Rentner zu Straßburg, Hypothekengläubiger, welcher den daselbst wohnenden Kassirer Ludwig Arbogast als seinen Zustellungsbevollmächtigten benannt hat, ist gegen 1. Karl Mehl, Zeichner bei der Eisenbahnverwaltung in Elsass-Lothringen, dahier, 2. August Adolph Mehl, daselbst, 3. Eduard Gottfried Mehl, geboren am 10 April 1864, empanzipirter Minderjähriger dahier unter Curatel von Heinrich Friedrich Mehl, dahier, 4. Caroline Luise Mehl, unter Vormundschaft des genannten Karl Mehl, die genannten gross- und minderjährigen Kinder Mehl einihe Erben ihrer dahier gestorbene Mutter Margarethe Brückmann, Wittwe des Schreinermeisters Andreas Friedrich Mehl, durch Beschluss des Kaiserlichen Amtsgerichte zu Straßburg vom 14. Mai 1884 die Versteigerung des hiernach beschriebenen Immöbels als

Statt Strassburg. Eines zu Strassburg gelegenen und aus zwei Hauptgebäuden als Wohnhäuser dienend bestehenden Besitzthums, Section N Parzellen n° 1306 und 1306 auf einer Fläche von 1 Ar 15 Quadratmeter und Parzellen n° 1258 und 1258 auf einer Fläche von 1 Ar 90 Quadratmeter, bildend die Ecke von der Brandgasse, wo es die Nummer 24 trägt, und von der Pergamentergasse, wo es mit Nummer 13 bezeichnet ist, An- und Zubehör, einerseits in der Brandgasse neben Maas, anderseit in der Pergamentergasse neben Carbiener, vorn die besagten Gassen und hinten Herr Kleinknecht, mit einem Angebote von 30.000 Mark verordnet und der unterzeichnete Notar Allonas zum Versteigerungsbeamten ernannt worden. (…)
Titel der Zwangsvollstreckung. Das Zwangsvollstreckungsverfahren erfolgt auf Grund der vollstreckbaren Ausfertigung einer Schuldbekenntnises aufgenommen durch den unterzeichneten Notar Allonas den 5. August 1879 inhaltlich dessen Frau Margaretha Brückmann, Wittwe des Schreinermeisters Andreas Friedrich Mehl zu Straßburg dem oben genannten betreibender Gläubiger Herrn Daniel Wilhelm die Hauptsumme von 5600 Mark zur baares Darlehen schuldet und zue Sicherheit des Rückzahlung derselben sowie der Entrichtung der stipulirten Zinsen der Kosten und Accessorien das zue Versteigerung kommende Besitzthum verpfändet hat. (…).Die auf Grund dieser drei Urkunden geschuldeten Zinsen der Gesamtsumme von 8900 Mark sind rückständig seit dem 1. Oktober 1883. Die Schuldnerin Frau Wittwe Mehl ist zu Straßburg den 5. Juli 1883 gestoben und hat als einzige Erbberechtigte an ihrem Nachlasse ihre vier oben genannten Kinder hinterlaßen gegen welche nun das Zwangsvollstreckungsverfahren betrieben wird.
Eigenthumsnachweis. Das oben beschriebene Besitzthum gehört den genannten Kindern Mehl zu Eigenthum als Erbberchtigte an dem Nachlasse ihrer Mutter Margaretha Brückmann, Wittwe von Andreas Friedrich Mehl. Dieser letzteren war das Besitzthum zugetheilt und abgetreten worden gelegentlich der Liquidation und Theilung der Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem Ehemann bestanden hat, sowie des Nachlasses dieses Letztgenannten beurkundet durch den unterzeichneten Notar den 31. März 1879, welche Theilung durch Familienrathbeschlusses der mitbetheiligten minderjährigen Kinder Mehl gefasst am Kaiserlichen Friedensgerichte I der Straßburg den 12. Mai desselben Jahres genehmigt und durch Beschluß des Kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg vom 11. Juni nachher bestätigt worden ist. Diese Theilung geschah unter verschiedenen Lasten und Bedingungen, namentlich (…) eine Herauszahlung zu entrichten. Die Kinder Mehl aus der ersten Ehe sind seither vollständig befriedigt worden. Von den übrigen Kidnern hat (…) Diese cedirten Forderungen sowie die Antheile der übrigen Kinder Mehl sind noch vollständig geschuldet.
Dasselbe Besitzthum gehörte zu der Gütergemeinschaft Mehl Brückmann und hatten es dieselben Eheleute erworben von 1. Salomea Molique, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft, Wittwe von Johann Michael Letz, und 2. von deren Kindern als a) Mathias Heinrich Letz, b) Frantz Ludwig Letz, ehemals Apotheker, beide dahier wohnhaft, c) Karl Michael Letz, Controlör der indirekten Steuern zu Meaux in Frankreich wohnhaft, laut einer unter Privatunterschrift dahier am 2. November 1872 verfertigte Verkaufsurkunde, wovon ein Exemplar einem durch Notar Keller zu Straßburg am 29. Januar folgend aufgenommenen Acte sich beigebogen befindet. Dieser nur provisorisch abgeschlossene Kaufertrag wurde ratificirt gemäß Urkunde vor dem unterzeichneten Notar Allonas vom 24. Septembris 1873. Die Erwerbung geschah um einen Preis von 67.500 Franken, welche folgenderweise bezalt und quittirt wurden (…). Eine Ausfertigung des obenerwähnten Privatactes und der Urkunde vom 26. September 1873 wurde auf dem Hypothekenamte am 24. Oktober folgend unter Band 1448 n° 38 überschrieben. Aus dem erwähnten Acte erhellet dass das hievor bezeichnete Besitzthum von der Gütergemeinschaft herrührte, welche zwischen dem verlebten Herrn Letz und seiner Wittwe, geborne Molique, bestanden hat, und dass alle Güter, welche zu dieser Gemeinschaft gehörten, der Wittwe Letz und ihren Kindern in Ungetheiltheit verblieben.
Der verlebte Herr Letz erwarb dasselbe Besitzthum während einer Ehe von dem zu Küttolsheim wohnenden Eigenthümer Herrn Johann Baur, auf Grund einer Kaufsurkunde vor Notar Weigel zu Straßburg vom 28. Januar 1835, wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte am 3. Februarÿ folgend Band 290. N° 48 überschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst eines Preises von 32.000 Franken (…)
Angebot. (…) wie folgt 1. für das grosse Wohnhaus in der Brandgasse 22.000, 2. für das kleine Wohnhaus in der Pergamentergasse 8000 Mark, zusammen 30.000 – Lasten, Clauseln und Bedingungenen (…) Für den Fall dass die beiden Wohnhäuser verschiedenen Ansteigern zugeschlagen werden sollten, so haben die beiden neuen Eigenthümer auf gemeinschaftliche Kosten die in der die beiden Häuser trennenden Mauer sich befindenden Oeffnungen im ersten Stock und auf dem Speicher zuzumauern, ferner die Keller der beiden Wohnhäuser zum theil unter das kleine Wohnhaus ragt so durch eine Maur zu trennen das jeder Keller genau dem sich darüber befindenden Hause entspricht, dazu soll die bestehende Abtrittgrube zur beide Wohnhäuser gemeinsam bleiben. (…)
Versteigerung. 30. Juli 1884. (…) das grosse Wohnhaus Brandgasse n° 24 (…) mehrer Gebote wovon das letzte im Betrage von 25.000 Mar durch den hierselbst Stelzengasse n° 4 wohnenden Schreinermeister Johann Jacobi
das kleine Wohnhaus Pergamentergasse n° 13 (wurde) Herrn Jacob Jung um den Preis von 12.000 Mark zugeschlagen
Zuletzt wurden die beiden Wohnhäuser en bloc ausgebotten (…) oben genannten Herrn Johann Jacobi um den Preis von 39.700. zugeschlagen
acp 752 (3 Q 30 467) f° 46-v du 7.8.

Originaire de Kirrwiller, le menuisier Jean Jacobi épouse en 1868 Françoise Sigrist, née à Allenwiller
Mariage, Strasbourg (n° 584)
Du 20° jour du mois d’octobre 1868 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Jacobi, majeur d’ans, né en légitime mariage le 26 janvier1838 à Kirrwiller (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, menuisier, fils de Michel Jacobi, tisserand et de Marguerite Ferber conjoints domiciliés à Kirrwiller, ci présents et consentants
et de Françoise Sigrist, majeure d’ans, née en légitime mariage le 2 novembre 1841 à Allenwiller (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, servante, fille de François Joseph Sigrist, tisserand, et de Elisabeth Heim, conjoints domiciliés à Allenwiller, ci présents et consentants (i 56)

Jean Jacobi et Françoise Sigrist hypothèquent la maison au profit de Louise Kohl, veuve du marchand Louis Fritsch. Une police d’assurance est jointe à l’acte.

1884 (1.12.), Strasbourg 8 (125), Gustave Edouard Loew n° 16.455
Schuldverschreibung – sind erschienen Herr Johann Jacobi, Schreinermeister und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Francisca Sigrist, beide wphnend zu Straßburg, dieselbe bekennen hiermit an die mitanwesende, dieß annehmende
frau Louise Kohl, wohnend in Straßburg, Sankt-Nikolausplatz N° 7, Wittwe des Kaufmanns herrn Louis Fritsch, daselbst, ein darlehen von 24.000 Mark zu schulden (…)
Hypothek-Bestellung. Stadt Strassburg. Zwei beisammenstehende Wohnhäuser, Sektion N Nr 1306 und 1306 auf einer fläche von 1 Ar 15 Quadratmeter und Nr 1258 und 1258, auf einer fläche von 1 Ar 90 Quadratmeter, bildend die Ecke der Brandgasse, wo das Gesamtwesen die Nr 24 trägt, und der Pergamentergasse, wo es mit N° 13 bezeichnet ist, nebst An- und Zugehörden, einerseits in der Brandgasse neben Maas, anderseit in der Pergamentergasse neben Carbiener, vorn die Gassen, hinten Kleinknecht.
Eigenthumsnachweis. herr Jacob ersteigerte das Anwesen in der durch herrn Daniel Wilhelm, früher Kaufmann, jetzt Rentner zu Straßburg gegen 1. Karl Mehl, Zeichner bei der Eisenbahnverwaltung in Elsass-Lothringen dahier, 2. August Adolph Mehl, Kellner dahier, 3. Eduard Gottfried Mehl, emanzipirter Minderjähriger unter Küratel des Tischlers Heinrich Friedrich Mehl dahier, und 4. Karoline Luise Mehl, minderjährig, unter Vormundschaft des genannten Karl Mehl, laut Versteigerungsprotokoll des Notars Allonas in Straßburg vom 30. Juli 1884, überschrieben am Hypothekenamte Straßburg den 21. folgenden Monats Band 2173 Nr 9, mit amtlicher Einschreibung Band 1541 Nr 110 um den Preis von M. 39.700 (…)
frühere Eigenthumsherkunft. Die Genossen Karl, August Adolph, Edmund Gottfried und Karoline Louise Mehl hatten das Anwesen von ihrer Mutter Margaretha Brückmann, Wittwe des Schreinermeisters Andreas Friedrich Mehl geerbt, welche es durch Urkunde des Notars Allonas vom 31. März 1879, bestätigt bei Betheiligung Minderjähriger durch das kaiserliche Landgericht Straßburg der 11. Juni darauf, aus der zwischen ihr und ihrem Gatten bestandenen Gütergemeinschaft zugetheilt erhalten hatte.
Eheleute Mehl hatten das Anwesen gekauft von 1. Salomé Molique, Rentnerin zu Straßburg, Wittwe von Johann Michael Letz, und 2. deren Kindern a) Mathias Heinrich Letz, b) Frantz Ludwig Letz, ehemals Apotheker, beide in Straßburg, c) Karl Michael Letz, Controleur der indirekten Steuern in Meaux, laut Privatvertrags vom 2. November 1872 zu einer Urkunde des Notars Keller in Straßburg vom 29. Januar darauf genommen und durch Urkunde des Notars Allonas vom 26. September 1873 genehmigt wurde. Vertrag und Genehmigung kamen zur Überschreibung am Hypothekenamte Straßburg den 24. Oktober darauf Band 1448 Nr 38.
Standes- und Hypothekverhältnisse. Es erklären Ehegatten Jacobi, das die beide in erster Ehe und in gesetzlicher Gütergemeinschaft leben, da sie vor ihrer am 20. Oktober 1869 auf der Bürgermeisterei Straßburg erfolgten Verheirathung keinen Ehevertrag errichtet hatten (…) Feuer Versicherung (…)
Police d’assurance – Rhein und Mosel, Feuer: Versicherungs: Aktien: Gesellschaft, Compagnie anonyme d’assurances contre l’incendie Rhin et Moselle, N° 3827, 20. Juli 1884, Dauer 10 Jahre, Jacobi, Johann
Jacobi, Johann, Schreiner in Straßburg, als Eigenthümer handelnd, 100.000 Mark
1° 50.000 Mark auf der in Straßburg Brandgasse N° 24 gelegenen, als Wohnhaus dienend, aus nachbezeichneten Gebäuden bestehende Liegenschaft
1) Hauptgebäude, theils über gewölbten theils über ungewölbten Keller erbaut, Seitens der Brandgasse aus Erdgeschoß, drei Stockwerken & Speicher und Seite des Hofes aus zwei Stockwerken, Mansarden und Speicher bestehend,
2) Gebäude hinten im Hofe aus Erdgeschoß & dach bestehend
3) Gebäude links im Hofe, nähmlicher Einrichtung als Vorstehendes
Zusammen & mit Zubegriff des Werthes der Pumpe, der Oefen & Röhre und des Werthes aller als unbeweglich betrachteten Gegenständen
2° 20.000 Mark auf das in Straßburg, Pergamentgasse 13 gelegenen an der Gerechtigkeit Art. 1° anstoßende Wohnhaus über Keller erbaut, aus einem Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden und Speicher bestehend mit begriff des Werthes der Oefen & Röhre & der als unbeweglich betrachteten Gegenständen
3° 30.000 Mark, um Herrn Jacobi gegen der Nachbaregefahr zu versichern.
Durch gegenwärtige Polize ist der N° 1009 Ag. A. aufgehoben

Constitution de rente au profit de Laure Victoire Dufresnay qui a avancé 9 600 marks

1884 (22.12.), Strasbourg 8 (125), Gustave Edouard Loew n° 16.530
Bestellung durch Johann Jacobi und Francisca Sigrist zu Gunsten Laura Viktorine Dufresney (en deux colonnes, allemand et français)
Ont comparu M. Jean Jacobi, maître menuisier & Mlle Françoise Sigrist son épouse de lui assistée & autorisée demeurant ensemble à Strasbourg
Lesquels créent et constituent par ces présentes en faveur & sur la tête de Mlle Laure Victoire Dufresnay née à Rennes (Ille & Vilaine) la 2 août 1819, sans profession demeurant à Strasbourg à ce présente et acceptant 1200 francs soit 960 Marks de rente annuelle & viagère ont le service commencera le premier janvier 1885 (…) Cette constitution de rente est faite au moyen de la somme de 9600 Mark que M. & Mme Jacobi reconnaissent avoir reçu de Mlle Dufresnay en bonnes espèces sonnantes comptées et délivées à la vue de M° Loew notaire soussigné dont quittance
Affectation hypothécaire. Ville de Strasbourg. Deux maisons contiguës section N N° 1306 & 1306 d’une superficie de un are 15 centiares & N° 1258 & 1258 d’une superficie de un are 90 centiares, à l’angle de la rue brûlée où toute la propriété porte le N° 24 & de la rue du parchemin où elle porte ne N° 13, avec tous droits, appartenances & dépendances, tenant d’un côté dans la rue brûlée à M. Maas, de l’autre dans la rue du parchemin à M. Carbiener, devant la rue derrière M. Kleinknecht
Etablissement de Propriété. M. Jacobi a acquis cette propriété dans l’expropriation forcée poursuivie par M. Daniel Wilhelm, rentier à Strasbourg contre 1. Charles Mehl, dessinatuer à l’administration des chemins de fer d’Alsace-Lorraine à Strasbourg, 2. Auguste Adolphe Mehl, sommelier en ladite ville, 3° Edouard Geoffroi Mehl, maison émancipé sous la curatelle de Henri Frédéric Mehl, ébéniste en ladite ville, 4° Caroline Louise Mehl, mineure sous la tutelle de Charles Mehl sus nommé aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Allonas notaire à Strasbourg le 30 juillet 1884 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 21 août suivant Vol. 2173 N° 9 avec inscription d’office vol. 1521 N° 110. Le prix d’acquisition s’élevait à 39.700 Mark en principal (…)
Origine de la propriété antéieure. Les consorts Mehl sus-nommés ont hérité l’immeuble sus-décrit dans la succession de D° Marguerite Brückmann, leur mère, veuve du Sr André Mehl en son vivant menuisier à Strasbourg où elle est décédée. Feu Mad. Mehl en était propriétaire pour lui avoir été attribué dans le partage de la communauté de biens qui a existé entre entre elle et son défunt mari suivant acte dressé par M° Allonas notaire sus nommé le 31 mars 1879, homologué par le tribunal régional de Strasbourg le 11 juin même année.
M & Mme Mehl avaient acquis ledit immeuble I. de Salomé Molique, renière, veuve de Jean Michel Letz à Strasbourg, 2. des enfants des époux Letz sus nommés savoir Mathias Henri Letz, François Louis Letz, les deux à Strasbourg, & Charles Michel Letz à Meaux, aux termes d’un contrat de vente sous signature privée du 2 novembre 1872 déposé au rang des minutes de M° Keller, alors notaire à Strasbourg suivant acte par lui reçu le 29 janvier 1873 & ratifié suivant acte reçu par M° Allonas, notaire sus-nommé le 26 septembre 1873, le tout transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 octobre suivant vol. 1448. N° 38
Etat-civil & situation hypothécaire. M & Mme Jacobi déclarent 1° qu’ils sont mariés tous les deux en premières noces, sous le régime de la communauté de biens légale à défaut de contrat de mariage ayant précédé leur union, célébrée à la mairie de Strasbourg le 20 octobre 1869 (…) – Subrogation dans l’hypothèque légale de Madame Jacobi (…) – Assurance contre l’incendie
acp 758 (3 Q 30 473) f° 19 du 29.12.

Nouvelle hypothèque au profit de Louise Kohl

1885 (8.9.), Strasbourg 8 (129), Gustave Edouard Loew n° 11.279
Schuldverschreibung – sind erschienen herr Johann Jacobi, Schreinermeister, und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Franziska Sigrist, beide wohnend zu Straßburg, dieselben bekennen hiermit, an die mitanwesende, dieß annehmende
frau Louise Kohl, wohnend in Straßburg Sankt Nikolausplatz N° 7, Wittwe des Kaufmanns herrn Louis Fritsch, daselbst, ein darlehen von 9600 Mark zu schulden (…)
Hypothek-Bestellung. Stadt Strassburg. Zwei beisammenstehende Wohnhäuser, Sektion N Nr 1306 und 1306 auf einer fläche von 1 Ar 15 Quadratmeter und Nr 1258 und 1258, auf einer fläche von 1 Ar 90 Quadratmeter, bildend die Ecke der Brandgasse, wo das Gesamtwesen die Nr 24 trägt, und der Pergamentergasse, wo es mit N° 13 bezeichnet ist, nebst An- und Zugehörden, einerseits in der Brandgasse neben Maas, anderseit in der Pergamentergasse neben Carbiener, vorn die Gassen, hinten Kleinknecht.
Eigenthumsnachweis. herr Jacob ersteigerte das Anwesen in der durch herrn Daniel Wilhelm, früher Kaufmann, jetzt Rentner zu Straßburg gegen 1. Karl Mehl, Zeichner bei der Eisenbahnverwaltung in Elsass-Lothringen dahier, 2. August Adolph Mehl, Kellner dahier, 3. Eduard Gottfried Mehl, emanzipirter Minderjähriger unter Küratel des Tischlers Heinrich Friedrich Mehl dahier, und 4. Karoline Luise Mehl, minderjährig, unter Vormundschaft des genannten Karl Mehl, laut Versteigerungsprotokoll des Notars Allonas in Straßburg vom 30. Juli 1884, überschrieben am Hypothekenamte Straßburg den 21. folgenden Monats Band 2173 Nr 9, mit amtlicher Einschreibung Band 1541 Nr 110 um den Preis von M. 39.700 (…)
frühere Eigenthumsherkunft. Die Genossen Karl, August Adolph, Edmund Gottfried und Karoline Louise Mehl hatten das Anwesen von ihrer Mutter Margaretha Brückmann, Wittwe des Schreinermeisters Andreas Friedrich Mehl geerbt, welche es durch Urkunde des Notars Allonas vom 31. März 1879, bestätigt bei Betheiligung Minderjähriger durch das kaiserliche Landgericht Straßburg der 11. Juni darauf, aus der zwischen ihr und ihrem Gatten bestandenen Gütergemeinschaft zugetheilt erhalten hatte.
Eheleute Mehl hatten das Anwesen gekauft von 1. Salomé Molique, Rentnerin zu Straßburg, Wittwe von Johann Michael Letz, und 2. deren Kindern a) Mathias Heinrich Letz, b) Frantz Ludwig Letz, ehemals Apotheker, beide in Straßburg, c) Karl Michael Letz, Controleur der indirekten Steuern in Meaux, laut Privatvertrags vom 2. November 1872 zu einer Urkunde des Notars Keller in Straßburg vom 29. Januar darauf genommen und durch Urkunde des Notars Allonas vom 26. September 1873 genehmigt wurde. Vertrag und Genehmigung kamen zur Überschreibung am Hypothekenamte Straßburg den 24. Oktober darauf Band 1448 Nr 38
Standes- und Hypothekverhältnisse. Es erklären Ehegatten Jacobi, das die beide in erster Ehe und in gesetzlicher Gütergemeinschaft leben, da sie vor ihrer am 20. Oktober 1869 auf der Bürgermeisterei Straßburg erfolgten Verheirathung keinen Ehevertrag errichtet hatten (…) Feuer Versicherung (…)

Jean Jacobi et Françoise Sigrist hypothèquent la maison au profit de Xavier Fürderer

1898 (2.11.), Gustave Edouard Loew
Obligation – Johann Jacobi, Schreinermeister und Franziska Sigrist Eheleute hier
zu Gunsten Xaver Fürderer, Rentner hier, über ein baares Darlehen von M. 15.0000
Pfand, 2 Wohnhäuser Ecke Brandgasse N° 24 & Pergementergasse N° 13 hier
acp 947 (3 Q 30 662) f° 9 n° 3892 du 7.11.

Françoise Sigrist meurt en 1908 en délaissant des enfants non dénommés dans l’enregistrement
1908 (24.7.), Adolphe Riff n° 4896
Inventar über d, Nachlass der hier am 12. Februar 1908 verstorbenen Franziska Sigrist Ehefrau des Rentners Johann Jakobi.
Erben sind der Wittwer und Kinder. Der Ehemann schlägt den hier lt Schenk. vom 28. November 1876 vermachten Nießbrauch aus mit nimmt das gesetzliche Erbteil an
acp 1081 (3 Q 30 796. III) f° 58-v n° 1138 du 11.8. Massenaufstellung. Gesamtgut. a) Mobilien 976, b) bares Geld 150, c) Contokorrent Guthaben 50, d) Wertpapiere 70.265, e) Ausstand 86.542, f) Grundstücke in der Gem. Hattmatt
Lebensversicherung des Ehemanns bei der Lebensversicherungs gesellschafft L’Urbaine in Paris 4000
Ersatzforderung der Erblasserin an das G. S. 280
Nachlass. Garde robe 30, Ersatzanspruch 280 – Passiv, Begräbinkosten 417

Le décès est déclaré par son mari Jean Jacobi, demeurant 18, rue des Veaux
Décès, Strasbourg (n° 424)
Strassburg am 13. Februar 1908. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Rentner Johann Jacobi, wohnhaft in Strassburg, Kalbsgasse 18, und zeigte an, daß seine Ehefrau Franziska geborne Sigrist, 66 Jahre alt, katholischer Religion, wohnhaft in Straßburg, geboren zu Allenweiler, Unter-Elsaß, Tochter der verstorbenen Eheleute Frantz Joseph Sigrist, Weber und Elisabeth geborne Heim zuletzt in Allenweiler wohnhaft, zu Straßburg am 12. Februar des Jahres 1908 Nachmittags um drei Uhr verstorben sei (i 213)

Jean Jacobi et Françoise Sigrist vendent la maison composée de deux bâtiments à la Ville de Strasbourg. Le bâtiment rue du Parchemin servira à élargir la rue alors que celui rue Brûlée subsistera.

1900 (18.9.), Gustave Edouard Loew n° 33.243
Verkauf – Johann Jacobi, Schreinermeister und Franziska Sigrist Eheleute hier
an der Stadt Strassburg
Stadt Strassburg zwei Häuser Brandgasse N° 24 und Pergamentestraße N° 13, jedes mit Erdgeschoß, 4 Stockwerken Dachraume, nebst Hof, katastrirt 1) Sektion N n° 1306, 1,15 ar Hof, 2) Sektion N n° 1255 1,90 Hof, zusammen 3,05 auf dem Plane nur 2,95 – ersteigert Allonas 30. VIII 1884
Genuß vom 1. IV 1901, Steuern vom selben Tage. Der Erwerb geschieht zur Erbreiterung der Pergamentergasse um 190.000 Mark, wovon entfallen 1) auf den in die Straße fallende theil 51.228 und auf den Rest des Anwesens 138.772
[in margine :] Laut Antwortschreiben des hiesigen Bürgermeisteramt vom 10/10.00 dient das Haus Brandgasse N° 24 nicht zur Straßenerweiertung
acp 972 (3 Q 30 687. III) f° 92 n° 1000 du 22.9.

La Ville vend à l’entrepreneur de bâtiments Albert Wieger et à Elisabeth Burger d’une part et au chef de chantier Georges Graff et à Elisabeth Dubesi d’autre part les immeubles de part et d’autre de la rue du Parchemin, dont le 13 rue du Parchemin qui tombe sur le nouveau tracé de la rue élargie du Parchemin et le 24, rue Brûlée qui le borde, à charge de démolir les anciens bâtiments et d’en construire de nouveaux sur les terrains restants

Fils d’Emile Wieger, l’architecte et entrepreneur Charles Albert Wieger épouse en 1896 Marie Elisabeth Burger, fille du brasseur Charles Guillaume Burger
1896, Gustave Edouard Loew n° 28.698
Ehevertrag – Karl Albert Wieger, Architect und Unternehmer in Straßburg, Sohn des verstorbenen Architekten Emil Wieger und dessen Wittwe Emma Schlagdenhauffen allda
Marie Elisabeth Burger geb. 10. Oktober 1876, ohne Gewerbe in Straßburg, Tochter des verstorbenen Brauers Karl Wilhelm Burger in Straßburg und dessen Wittwe Karoline Lauth
acp 918 (3 Q 30 633) f° 44 n° 3291 du 8.10. unter Annahme der Errungenschaftgemeinschaft teilbar zur Hälfte mit Vorbehalt der Gerodnete
Einbringen der Braut 1. Eine Hauseinrichtung im Gesamtwerte von M. 1000
2. Ihren Anteil an der noch ungeteilten Verlaßenschat ihres Vaters gemäß Inventar des Notars Loew vom 14. Juli 1891
3. Anteil am Nachlass ihres am 6/8.93 in Paris verstorbenen Oheims Friedrich Gustav Burger Architekt daselbst gemäß einer noch nicht bestätigten Teilung des Notars Meunié zu Paris, deren Erbgebis noch nicht bekannt ist, mag sich mindestens auf 16.000 M. belaufen
4. Anteil am Nachlass ihrer am 6/1.95 in Straßburg verstorbenen Schwester Katharina Margaretha Karoline Burger mit einem Viertel, bestehend aus der Anteile am Nachlass des Vaters & des Oheims
5. ein drittel von 6663. M. aus dem Nachlasse Georg Lauth von Wolfisheim laut Theilung Loew vom 4. Juni 1890. belastet mit dem Genuß der Mutter M. 2221
Einbringen des Bräutigams. 1. Anteil am vätterlichen Nachlass laut Inventar Pierron vom 17. April 1880 worauf er jezt schon 8540. M. in Empfang gewonnen hat
2. Baugeschäft E. Wieger hier gemäß Inventar vom 1. Januar 1896 einem reinen Wert von M. 45.988
3. Ein Anwesen zu Straßburg Vitriolgäßchen unverbaut, belastet mit einer Hypothek von 20.000 M.
Schenkung auf Todesfall des Nachlasses des Erst verstorbenen in Nutznießung bei Kindern die Hälfte

Albert Wieger et Elisabeth Burger d’une part, Georges Graff et Elisabeth Dubesi d’autre part hypothèquent les nouveaux bâtiments rue du Parchemin au profit du Crédit foncier

1903 (18.8.), Charles Lauterbach n° 26.897
Schuldbrief – 1. Albert Wieger, bürger und Elisabeth Burger, Eheleute hier, Steinstraß 30, 2. Georg Graff Bauführer und Elisabeth Dubesi, Eheleute daselbst
zu Gunsten des Bodenkredits hier über ein Darlehen von 140.000 Mark
rückzahlbar nach 6 m. Kündigung nicht vor 1. X 1913
Pfand, 3 Neubauten Pergamentergasse
acp 1014 (3 Q 30 729. I) f° 95 n° 1649 du 19.8.

Nouvelle hypothèque entre les mêmes, les immeubles hypothéqués comprenant le bâtiment à usage d’habitation et de commerce sis 24, rue Brûlée

1905 (26.1.), Charles Lauterbach n° 29.136
Schuldbrief – 1) Eheleute Albert Wieger, Bauunternehmer & Elisabeth Burger, hier, 2) Georg Graff, Bauführer und Elisabeth Dubesi, Eheleute hier
zu Gunsten der Aktiengesellschaft für Bodenkredit hier über ein Darlehen von 133.000 Mark, rückzahlbar nach 6 Monate nach Kündigung mit 4,25 % Zinsen
Pfand, Stadt Strassburg, Flur 65 N° 7 – 1,80 Wohn- und Geschäftshaus Brandgasse N° 24, hierauf sollen 65.000 M. ruhen
Flur 65 N° 8 – 1,43 Wohn- und Geschäftshaus an der Pergamentergasse N° 9, hierauf sollen 34.000 M. ruhen
Flur 65 N°9 – 1,37 Wohn- und Geschäftshaus an derPergamentergasse N° 7, hierauf sollen 34.000 M. ruhen
acp 1037 (3 Q 30 752. I) f° 82 n° 2779 du 30.1.

Nouvelles conventions matrimoniales entre Albert Wieger et Elisabeth Burger selon le code civil allemand
1910 (2.6.), Charles Lauterbach n° 36.979
Ehevertrag – Carl Albert Wieger, Architekt
und Maria Elisabeth Burger hier
verheiratet in Errungenschaft gemeinschafft laut Ehevertrag Loew vom 1. Oktober 1896
Jetzt annahme der allgemeinen Gütergemeinschaft § 1437 B.G.B. mit Fortsetzung zwischen dem Überlebenden den gemeinschaftlichen Abkömmlingen
acp 1099 (3 Q 30 814. III) f° 36 n° 350 du 4.6.

La maison figure à l’inventaire dressé en 1915 après la mort d’Elisabeth Dubesi
Lors du partage des biens indivis entre les époux Wieger et Graff, la maison rue Brûlée revient à Albert Wieger

1915 (8.3.), Charles Lauterbach n° 43.251
(genehmigt 29. März 1915) Theilung zwischen 1. Albert Wieger, Bauunternehmer, und Elisabeth Burger, hier, 2. Georg Graff, Bauunternehmer hier Wittwer von Elisabeth Dubesi, und seine minderjährige Kinder a) Joseph Alfred Graff, b) Michael Ernst Graff geb. 2. März 1896, Elisabeth Georgette Graff, ledig hier
der nachbezeichneten Grundstücke, eingetragen im Eigenthumsbuch hier auf Namen der Eheleute Wieger zur ½ und Eheleute Graff in Gütergemeinschaft zur ½
1) Flur 25 N° 105/69 pp – 1,48 ar Hof Whs (4500) Pergamentergasse N° 4
2) Flur 25 N° 9 pp – 1,35 ar Hof Whs (3400) Pergamentergasse N° 7
3) Flur 25 N° 104/69 pp – 0,99 ar Hof Whs (3100) Pergamentergasse N° 2
4) Flur 25 N° 106/69 pp – 1,26 ar Hof Whs (3400) Pergamentergasse N° 6
5) Flur 65 N° 7 – 1,78 ar Hof Whs (6000) Brandgasse N° 24
6) Flur 65 N° 8 – 1,44 ar Hof Whs (2400) Pergamentergasse N° 9
Die Grundstücke sind hypothekarisch belastet wie folgt (…) 248.000 M
Ehefrau Graff starb am 19. Jan. 1915 beerbt von Wittiber und drei Kindern obengenannt zu je ein Viertel. Die beteiligten Eheleute Wieger einerseits und Genossen Graff anderseits haben vereinbart daß sie wegen obiger Grundstücke das Miteigentum aufheben und eine Teilung der Grundstücke vornehmen
Loosebildung. I. Los der Eheleute Wieger
1. das Grundstück 3 geschätzt zu 53.000,
2. das Grundstück 4 geschätzt zu 56.000
3. das Grundstück 5 geschätzt zu 110.000, zusammen 219.000, ab Hypotheken 139.000, Restwert 80.000
II. Los der Genossen Graff
1. das Grundstück 1 geschätzt zu 65.000
2. das Grundstück 4 geschätzt zu 59.000
3. das Grundstück 6 geschätzt zu 60.000, zusammen 184.000, ab Hypotheken 109.000, Restwert 75.000
Das II. Los erhält um die Wertgleichung mit baar 2500. Genußantritt 1. April 1915
Steuerberechnung (…)
acp 1138 (3 Q 30 853. III) f° 91-v n° 33 du 8.4.

Maison rue Brûlée, réunie à la maison d’angle en 1628

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 118-v
La maison est inscrite au nom de la veuve Loup Moler dans le Livre des communaux
La veuve Loup Moler doit un sol pour sa maison, à savoir une marche en pierre (5 pieds de long, saillie de 13 pieds)

Brandtgaß die Einseit
Wolff Molers seligen Wittwe hatt daselbsten vor Irem hauß Ein steinen staffel 5 schu lang vnd 13 zoll herausser, Soll & Bessert für die Nüßung, j ß d

Le tonnelier Jean Peler reconnaît devoir au marchand d’épices Guillaume Waldeck 10 florins provenant de son beau-frère potier Loup Moler de Rosheim
1588 (xxx Julÿ), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 395-v
(Inchoat fo: 381) Erschienen hanns Peler der Khüffer burger Zu Straßburg,
Hatt in gegensein Wilhelm Waldecks wurtzhändlers burgers alhie bekhant vnd offentlich verÿehen
demselben vffrechter vnd redlicher schulden schuldig sein 10 guldin Straßburger So er vonn wolff Molers des Kachlers Zu Roßheim seines Schwagers wegen Zubezalen vber sich genommen, Zubezalen (…)

Le tonnelier Grégoire Bender, tuteur de Jean Jacques, fils du potier Loup Moler de Rosheim, hypothèque au profit de Guillaume Waldeck un huitième de la maison appartenant à son pupille

1590 (xxij August), Chancellerie, vol. 268 (Registranda Kügler) f° 289
Erschienen Gregorius Bender khuffer burger Zu Straßburg Alls geschworner vogt hanns Jacob wÿland wolff Molers des Kachlers Zu Roßheim Sun hat vogtlicher weys
In gegensein hrn Wilhelm Waldecks wurtzhendlers bekhant demselben vffrechter vnd redlicher schulden schuldig sein 6 pfund pfenning Straßburger Zubezalen vogtlich weys alls bald Margred Meÿgerin wÿland wolff Molers alten Ratherrn* selig. witwe vßer dißem Zergenglichen leben verscheyden vnd abgangen
Dessen Zu sicherheyt soll verhafft vnd vnderpfand sein das eÿgenthumb v. Verfangenschafft bemelten vogtsuns Zum Achtentheil für vngetheylt gebürende ane huß hofestatt v hefflin m der gebeu & geleg. In der S S bey Sant Andres einseyt neben diebolt Gameder anderseyt neben Jost N dem Biersieder stoßend hind. vff Lorentz (-) den Brottbecken Ist Frey ledig eyg,
[in margine :] als bald dise v.schreÿbung best*en soll die v.schreÿbung 88 fo. 395 cassirt werden

Le cuisinier Jean Dietermann et sa femme Marguerite, fille de Loup Moler dit Steinmetz, bourgeois de Strasbourg, le musicien Luc Deppler et sa femme Susanne, sœur de ladite Marguerite, Blaise Leitersperger en qualité de tuteur de Madeleine et de Frédéric, enfants de feu Henri Pfoler, Sébastien Amrhein, tuteur d’Elisabeth, fille de Grégoire Bender, Jean Dietermann et Luc Deppler au nom de leur beau-frère Simon Moler, absent depuis sept ans, vendent la maison au remueur de grains Henri Kieffer

1603 (24. 7.bris.), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 309-v
Erschienen Hannß Dieterman d. Koch vnd Margred sein Eheliche hausfr. weÿland Wolff Molers gnt Steinmetz burg. alhie selig dochter, Item Lux Depplers Spielman vnd Susanna seine haußfr. bemelter Margreden schwester, Bläsin Leÿtersperger als geschworner Vogt Magdalenen vnd Friderichs weÿland Henrich* Pfölers selig. Kinder, Bastian Am Rein d. khuffer Als geschwornen vogt Elßbethen, Gregorÿ bemders dochter So dann bemelter Hans Dietherman vnnd Lux Döpper Inn namen vnd von wegen Simon Molers (.Ihres abwesenden schwehers Von welchem sie bitz Inn die 7 Jar kein wissens.) haben verkaufft
Heinrich Kuffern Kornwerffern
Hauß v hoffestatt Inn bemelter Vnserer Statt, In Brand gaß Vnd.halb dem Maurhoff einseit neben diebold Frawlers selig. erben, anderseit neben hannß Frawler dem Steinmetz stoßend hinden vff (-) Brottbecken, Ist eig. Vnnd alles recht & vnd beschiht der khauff vmb 100 Pfund pfenning Straßburg
Hiebeÿ gewesen herr Elias Mertelius Cantzleÿ verwanten, herr Balthazar Junius, Hannß Scheffer Beßler Maurer, Jacob Rappen Leuffer botten

La maison appartient ensuite à Jean Frédéric Kieffer, fils du remueur de grains Jean Kieffer, qui épouse en 1619 Anne, fille d’André Edich, originaire de Klagenfurt

Mariage, cathédrale (luth. p. 82)
1619. Hans Friederich Küeffer, Hans Küeffer des Kornwerffers sohn, vnd J. Anna Andres Edich Zu Clagenfuhrt, n. tochter, eingesegnet montag den 5. Aprilis (im 48)

Jean Frédéric Kieffer naît en mars 1587
Baptême, cathédrale (luth. f° 20-v n° 34)
1586. Martius. Sontags 27.t Hans Küfer Kornwerffer vnd Ursula, Hanß Fridrich. Comp. Fridrich Zorn Schafner, Balthasar Junius Schreib. vnd Christina Christiani Mylÿ nachg. tochter (im 23)

Jean Frédéric Kieffer et sa femme Anne vendent la maison au brasseur Jean Kolb, déjà propriétaire de la maison voisine. En marge, quittance remise en 1636 à Michel Deffner, alors propriétaire de la maison.

1628 (20. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 450-v
Erschienen hannß Friderich Küeffer d. Kornwerffer, burger Zu St. vnd Anna sein eheliche haußfr. mit beÿstand hanß Diebold Frawlers deß Werckmeisters vffm Maurhoff alhie (verkaufft)
Johann Kolben dem Biersieder auch Burgern alhie, so Zugegen mit beÿstand Christoff Hillmanns auch Biersieders vnd Burgers Zu St.
Ein behausung sampt deren hoffstat vnd allen Andern Zugehörd. gelegen alhie in der Brandtgaßen nid.wendig dem Maurhoff, einseit neben Herrn M. Johann heüpeln Pfarrerrn Zu Wolfftzheim, anderseit neben dem Käuffer selbsten hinden vff Caspar Poppen den Weißbecken stoßendt so gantz freÿ, ledig, eÿgen, Vnd ist der Kauff beschehen per 200 Pfundt (vide in Regist. 1634 fol. 581.)
[in margine :] Erschienen hannß Heinrich Kooberger hohlträher alß der Verkäuffern see. hinderlaßener Kindern vogt, hatt in gegensein Michel Deffners deß Biersieders alß Jetzigen Inhabers dißer hierin gemelten behaußung (…) q.tirt, Act. den 14. Aprilis Anno 1637.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.