37, rue des Grandes Arcades


Rue des Grandes Arcades n° 37 – V146 (Blondel), N 1034, puis section 62 parcelle 38 (a) (cadastre)

Façade reconstruite pour le marchand drapier Jean Daniel Berger en 1744
Nouveau bâtiment en 1899, voir n° 33


Le n° 37, enseigne Michel Ott, est au premier plan à droite (1898, carte postale G. Fischbach) – Elévation des anciens 33, 35 et 37 (1897, dossier de la Police du Bâtiment)

La maison appartient en 1587 aux héritiers du marchand épicier Jean Fischer. Le fondeur de pichets Jean Holm fait aménager 1589 une porte de cave inclinée et une échoppe pour son commerce, rehausser son auvent qui sera un peu plus étroit pour avoir davantage de lumière. Il fait faire en 1608 un soupirail au-dessous de son auvent pour lequel il paie à la Ville un cens qui sera racheté (sa dernière mention date de 1628). L’inventaire de 1713 cite plusieurs sentences arbitrales (25 février 1594, 5 avril 1597, 23 octobre et 29 novembre 1630). La maison appartient ensuite aux boulangers Georges Dambach (1629), Jean Balthasar Biehler (1679), Jean Hermann (1688), André Kempff (1713) et Jean Jacques Debus (1718-1727). André Kempff y a sans doute fait des travaux puisque la valeur minimale passe de 650 à 1700 livres entre 1713 et 1727 et que la vente est conclue pour 2 000 livres en 1718. Le marchand drapier Jean Daniel Berger, déjà propriétaire de la maison voisine (futur n° 39), achète la maison en 1744. Il est autorisé quelques mois plus tard à reconstruire la façade (18 pieds ½) à rez-de-chaussée et quatre étages en l’avançant sur le communal (de 5 pieds 5 pouces) selon un alignement tracé entre la ruelle des Dominicains et la rue de l’Outre. Les travaux ne sont pas terminés quand il meurt en janvier 1745. Le coutelier Chrétien Gimmig achète pour 5 000 livres la maison terminée alors que le vendeur, Jean Frédéric Berger, termine les travaux dans la sienne. Le vendeur se réserve un droit de rachat s’il était exproprié pour élargir la ruelle des Dominicains. Les élévations de 1830 montrent que les façades des n° 35 et 37, construites la même année, sont identiques.


Plan-relief de 1727, maisons entre la rue de l’Outre et la ruelle des Dominicains. La maison est la deuxième à partir de la droite, (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 63 et cour P (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et quatre étages en maçonnerie et un balcon. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à gauche de (a) : deux arcades au rez-de-chaussée, balcon, quatre étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau mansardé puis lucarnes sur deux niveaux. La cour P montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (1-4), le bâtiment latéral (1-2) au sud et le mur (3-4) qui sépare la cour de celle du n° 35.
La maison porte d’abord le n° 28 (1784-1857) puis le n° 37.

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Plan des Ponts et Chaussées 1856, cote 2 SP 52), maison Charles Ott à quatre étages en pierre, solide (4 EPS), en retrait de l’alignement fixé par l’ordonnance de 1828

La maison appartient aux joailliers Joseph Ott (1807), Philippe Joseph Ott (1828), Charles Ott (1853) puis Gustave Michel (1886) qui la vend au marchand mercier Marie Joseph Manrique, déjà propriétaire de la voisine (n° 35). La société Gœhrs et Compagnie achète trois maisons qu’elle fait démolir pour les remplacer par un grand magasin (voir ensuite le n° 33)

octobre 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1585 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Fischer dit Mentzer, marchand épicier
(ses enfants) Bernard Jobin, graveur, et (1567) Anne Fischer – luthériens
Georges Kirchhoffer, marchand épicier, et (1573) Barbe Fischer – luthériens
Jean Fischer
1588 v Jean Holm, fondeur de pichets, et (1583) Catherine Heim puis (1615) Anne Becker, veuve du tailleur Georges Grau – luthériens
1620* h Zacharie Holm, fondeur de pichets, et (1613) Jacqueline Kraus – luthériens
1629 v Georges Dambach, boulanger, et (1603) Anne Voltz – luthériens
1629 h Jean Georges Dambach, boulanger, et (1630) Marthe Hartung – luthériens
1679 v Jean Balthasar Biehler, boulanger, et (1679) Elisabeth Schæffer – luthériens
1688 v Jean Hermann, fournier, et (1681) Barbe Müller, d’abord (1661) femme du fournier Jean Hœrter – luthériens
1713 h André Kempff, boulanger, et (1703) Anne Catherine Herrmann – luthériens
1718 v Jean Jacques Debus, boulanger, et (1707) Marie Marguerite Weiss puis (1728) Anne Marie Schaffler – luthériens
1727 v Jean Georges Krauss, marchand épicier, et (1695) Sara Hünerer, veuve du marchand épicier Jean Louis Redslob puis (1700) Marie Ursule Sandherr – luthériens
1744 v Jean Daniel Berger, marchand, et (1701) Anne Chrétienne Maurer – luthériens
1745 h Jean Frédéric Berger, marchand, et (1743) Marie Madeleine Eisenmann – luthériens
1746 v Chrétien Gimmig, coutelier, et (1746) Marie Madeleine Brantz – luthériens
1878 v Jean Claude Besson, marchand, et (1786) Catherine Salomé Riff – catholiques
1807 v Joseph Ott, joaillier, et (1781) Louise Catherine Fibich puis (1809) Marguerite Elisabeth Redslob veuve du marchand de rubans Jean Daniel Graffenauer – luthériens
1828 h Philippe Joseph Ott, joaillier, et (1807) Marie Madeleine Graffenauer
1852 h Charles (Joseph) Ott, joaillier, et (1833) Marie Louise Frantz
1886 h Gustave (Emile) Michel, bijoutier, et (1865) Amélie Mathilde Ott
1890 v Marie Joseph Manrique, négociant, et (1868) Constance Petit puis (1892) Elisabeth Jehl
1897 v Gœhrs et Compagnie, société en nom collectif

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 650 livres en 1713, 1730 livres en 1727, 1000 livres en 1737, 1100 livres en 1745 (bâtiment en construction), 1500 livres en 1778

(1765, Liste Blondel) V 146 Chretien Kimmig
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Kimmig, 2 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1034, Ott, Philippe Joseph – maison, sol – 0,85 are

Locations

1656, Jean Brauner, boulanger
1680, François Roth, boulanger
1715, Jean Jacques Dorst, fabricant de bonnets
1717, Jean Daniel Hœrter, boulanger
1781, Paul des Jardins, négociant

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 137-v
Ledit Georges Krichhoffer paie en outre 2 livres 4 deniers pour son autre maison à côté, à savoir un auvent (17 pieds 9 pouces de long, saillie de 11 pieds) une plate-forme dallée (17 pieds de long, saillie de 8 pieds ½) sur laquelle se trouve une porte de cave inclinée (7 pieds de long, 4 pieds ½ de large), un soupirail incliné (2 pieds de long, 1 pied ½ de large), un étal pliable (7 pieds ½ de long, 1 pied ½ de large), un autre étal (6 pieds ½ de long, 2 pieds ½ de large), encore un autre étal (5 pieds ½ de long, 2 pieds de large), un chenal en bois transversal et un autre vertical.

Sondern Cleinen Prediger Gaëßlin gegen dem Pfenningthurn Zu
Gemelter Georg Kirchhoffer hatt noch ein hauß darneben, daruor ein Wettertach 17 schu 9 Zoll lang vnd 11 schu herauß, Vnden ein besetzter Tritt 17 schu lang vnd 8 ½ schu herauß, Darauff ein ligende Kellerthüer 7 schu lang, vnd 4 ½ schu breit, Mehr ein ligend Kellerfenster 2 schu lang vnd 1 ½ schu breit, Item mehr ein Vssatz banckh 7 ½ schu lang vnd 1 ½ schu breÿt, Item mehr ein Banckh 6 ½ schu lang vnd 2 ½ schu breit, Mehr ein Banckh 5 ½ schu lang vnd 2 schu breit sampt einem Überzwerchen vnd dann einem Vfrechten hültzenen Naach, Bessert für das Niessen, ij lb iiij d

1562, Zinßbuch D (VII 1446) f° 186-v
Le fondeur de pichets Jean Holm doit 8 deniers pour un soupirail (un pied et demi en largeur et en longueur) au-dessous de son auvent à côté de l’Encorbellement ou face à l’Ecrevisse, le premier loyer doit être versé à la Saint-Jacques 1609. Fait le 3 mai 1608

Item viii d. Soll geben Hanns holm d. Kannengiesser von eim Keller fenster Anderthalb schuh breit vnd weÿt vnder sein wetterdach neben dem vberhang oder gegen dem Krebs gefallt Jacobi 609 Zins erst mal Act. 3.ten Maÿ 1608.
(rub.) Bleibt – Abkaufft

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1589, Préposés au bâtiment (VII 1305)
Le fondeur de pichets Jean Holm est autorisé à placer une porte de cave inclinée (saillie de 7 pieds ½ et 5 pieds de long d’un côté, 5 pieds 9 pouces et 5 pieds ½ de long de l’autre) parce qu’il a l’intention de faire une échoppe pour son commerce de l’autre côté. Il est en outre autorisé à rehausser son auvent qui sera un peu plus étroit pour avoir davantage de lumière, en y aménageant en outre un chenal, et à poser un nouveau pilier sur le communal pour la porte de cave.

(f° 20-v) Buwherren Zinstag den 11.ten Februarÿ – Hans Holm Kantengieser
Vff Hans Holm der Kantengieser begeren Im die ligend Keuler thür An seinem huß beÿ dem cleinen Prediger gäßlin Zwischen (-) vnd (-) dem Kurschner so diß wegs* Acht halben schu heraus vnd funff schu weith Inn licht Ist vnd neb. obgemelt. Kurßner huß ligt Im Zughonnen die selbige vff die And seith neben dem wurtzkremer Zulegen fünff schu neun Zoll heruß und Sechsthalb schu weith Im liecht dagegen Zumach. dieweil Er vff die Anderseith Ein gad. Zumach vo*er Zu seinem handwerck, deßgleichen begertt Im Zughonnen d. wetterdach An solich huß hoher Zu schutzen wolt Er d. Etwaz schmeler mach. domit Er mehr tag und liecht hab. mehr und d. selbige mit Ein nachlin Infaßen, vnd dan Im Zulaßen wid. Ein Ander pfol loch Zu der Kouler thuren vffs Allmend Zumachen Ist nach fürgenommenen Augenschein In sein begeren wie Angezigt Zugelaßen vnd bewilligt Zumachen, doch d. Er Alles Allmend sein und pleiben soll.

1597, Préposés au bâtiment (VII 1312)
Le fondeur de pichets Jean Holm et le marchand épicier Albert Ackermann ne sont pas autorisés à construire deux cabanes en bois à côté de leur étal

(f° 177-v) Donstag 20.t Octobris Augenschein
Hans Holm Kannengießern Albrecht Ackermann wurtzkremer beÿ d. Clein Predig. gassen begeren gegen h. Jacob Kniebsen hauß vff beden seiten desselben bencklin 2 holtzhütten Zubawen, haben kein platz In Ihren heußern & Erkandt Ist abgeschlag. mög. beÿ XXI darumb Ansuch.

1608, Préposés au bâtiment (VII 1323)
Le fondeur de pichets Jean Holm est autorisé à faire un soupirail au-dessus de son auvent en réglant 8 deniers par an, inscrits au registre D folio 186 (voir plus haut)

(f° 78) Zinstag 3 Maÿ 608. – Hans Holm der Kannengiesser vnden an Albrecht Ackerman dem Wurtz kremer vnden der grossen Erbslauben. Bittet Ihm Zu gönnen ein Kellerfenster vnd. sein wetterdach, vff das Almendt Zu machen vnder der thur schwell hinunder stehend i+ schuh In die Viere & Ist Ihm sein begeren Zugelassen doch soll er davon 8 d Zinß geben.
C fo. 99, D fo. 186 vnd Zinß 8 d

1744, Préposés au bâtiment (VII 1401)
Le marchand drapier Jean Daniel Berger demande en avril 1744 l’autorisation d’avancer la façade qu’il veut reconstruire à côté de la maison dans laquelle il habite. Les préposés au bâtiment refusent en mai, le pétitionnaire devra construire selon les anciennes fondations mais sera autorisé à remettre son auvent à la même hauteur et en suivant l’alignement de celui de son voisin. Jean Daniel Berger réitère en juin sa demande d’avancer la façade. Les préposés chargent le chef des travaux de faire un plan qu’il présente en juillet. Selon le nouvel alignement entre la ruelle des Dominicains et la rue de l’Outre, le pétitionnaire pourra avancer la façade (18 pieds ½) de 5 pieds 5 pouces en versant un capital de 30 florins. Jean Frédéric Berger est autorisé en mars 1745 à établir un balcon comme son voisin au lieu d’un auvent (les autres actes ont trait à la maison d’angle).

(f° 15) Mittwochs den 22. Aprilis 1744. H. Joh: Daniel Berger – An H. Johann Daniel Berger des Tuchhändlers Hauß an der Großen Gewerbslaub, welcher um erlaubnus Gebetten mit seinem Hauß neben dem wo er wohnet woran er die fordere Wand Ohne dem Neü machen muß etwas Gegen dem Allmendt Vorzurucken.

(f° 19-v) Dienstags den 12. Ejusdem [Maÿ 1744]. H. Joh: Daniel Berger – Auf nochmahls eingenommenen Augenschein an H. Johann Daniel Berger des Handelsmanns Hauß an der Großen Gewerbslaub wegen Vorbauens ist Erkannt, solle derselbe auf seine alte fundamenten bauen, und nicht weiter Heraußfahren, jhme jedoch erlaubt seÿe, wieder ein Wetterdach in der Höhe und Flucht des Nachbaren seines daran Zumachen.

(f° 26) Montags den 8. Ejusdem [Junÿ 1744]. H. Joh: Daniel Berger – An H. Johann Daniel Berger des Handelsmanns Nebens Hauß am Kirchgäßel beÿ der Großen Gewerbslaub, welcher nochmahls Unterthänig gebetten jhme Zuerlauben, mit besagten seinem Nebens Hauß, so er Zubauen willens, gegen dem Allmendt Herauß Zufahren, Indeme die Nachbaren sich nicht darwider opponiren, wann Man jhnen nur die Nembliche gnad auch wolte angedeÿhen laßen, wann Sie über Kurtz oder Lang auch bauen werden. Erkannt, soll Herr Lohner einen Riß machen, damit Man darauß sehen Könne, wie es sich am besten thun laßen.

(f° 32) Dienstags den 7. Ejusdem [Julÿ 1744]. H. Joh: Daniel Berger – Herr Lohner producirt zufolg Erkantnus Mghh. Vom 8. Junÿ jüngsthin einen Riß die flucht Von der Saul unter H. Johann Daniel Bergers des Handelsmanns Eckhauß am Kirchgäßel beÿ der Großen Gewerbslaub, an Herrn Johann Braunen E: E: Großen Raths beÿsitzers Hauß an der Schlauchgaß weißend, welche durch Mghh. Examinirt und befunden worden, daß er mit seinem Hauß darneben, welches 18 ½ schuhe breit ist, 5. schuhe 2. zoll gegen dem Allmendt heraußfahren und bauen Könte. Welches jhme Gegen erlag 30. fl. für ein und alle mahl Zubezahlen erlaubt worden, so er acceptiret. dt. den 25. Julÿ 1744. 15 lb.

(f° 33-v) Dienstags den 14. Ejusdem [Julÿ 1744]. H. Joh: Daniel Berger – Herr Johann Daniel Berger der Handelsmann bittet um erlaubnus den Überhang seines Eckhaußes am Kleinen Kirchgäßel beÿ der Großen Gewerbslaub, so weit die darunter stehende Zweÿ steinere Saulen hervorgehen, seinen darneben gelegenen Hauß /:welches jhme, wie Hiefornen fol: 32. Zusehen, gegen dem allmendt Vorzubauen erlaubt worden:/ Zugleich Zuunterbauen. Erkannt Willfahrt, und sollen die Laut Statt Zinßbuch fol: 262. bezahlende 10. ß Zinß Von besagten Zweÿ Saulen und 10. ß Von dem Wetterdach continuirt werden.

(f° 75) Dienstag den 16. Ejusdem [Martÿ 1745] Joh: Friderich Berger – H. Johann Daniel Berger der handelsmann bittet um erlaubnus, einen 19 schuhe lang, und 3. schuhe tieffen gang Vor sein Neü erbauendes hauß, hieher der Großen Gewerbslaub, gegen der Kürßnerstub über, anstatt des Wetterdachs, Zumachen, gleichwie Friderich Rieger dem fripier seinem Nachbar auch erlaubt worden. Erkant in dießem Meß willfahrt.

(f° 97-v) Dienstags den 1. Junÿ 1745. H. Joh: Friderich Berger – H. Johann Daniel Berger der handelsmann, welcher den Überhang an seinem Eckhauß den dem Kleinen Kirchgäßel beÿ der Großen Gewerbslaub, Zufolg erhaltener erlaubnus, nach der jhme angewießenen Flucht, Untermauret, wurde bescheiden und jhme anbefohlen, daß weilen noch etwas Von seinem Überhang in Ungleicher tieffe, über die auffgeführte Maur Hervorstehet, und eine schädliche figur machet, er solches Ohnverweilt abschneiden, und die Wand Gerad aufführen solle. Ille est erbietig alles in erforderlichen standt Zustellen, weilen aber jhme dermahlen, da er noch an seinem Nebenhauß Zubauen hat, die Bau Materialien auch alle sehr theür und nicht wohl Zu über Kommen, sehr schwehr fallet alles zu præstiren, als bätte er jhne biß über ein Jahr frist Zugeben, da er als dann nicht nur die fordere Gantze façade aufführen, sondern auch einen Neüen dachstuhl auf das Hauß machen laßen will. Erkannt solle noch dießes jahr die Wand auf führen mit dem dachstuhl aber gleichwohl noch biß Zukünfftiges Jahr warten.

Description de la maison

  • 1713 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une cave voûtée, un fournil, un bâtiment arrière, un passage latéral, un puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2600 florins
  • 1727 (billet d’estimation traduit) La maison et son bâtiment arrière comprennent plusieurs poêles, chambres, cuisines, petite chambre à soldats, vestibule où se trouve l’évier, fournil voûté, four, deux caves voûtées, puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3500 florins
  • 1737 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, bâtiment arrière où se trouve le fournil et le four, au-dessus deux chambres dont l’une pour les soldats, au rez-de-chaussée petit poêle, petite cuisine, étroit vestibule, puits cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2000 florins
  • 1745 (billet d’estimation traduit) La maison qui n’est pas encore habitable parce qu’elle n’est pas terminée comprend au rez-de-chaussée un espace libre pour le poêle, à l’arrière la cuisine et le vestibule, cour, puits, cave voûtée, aux premier et deuxième étages un poêle non terminé, cuisine, vestibule, aux troisième et quatrième étages deux chambres, le vieux comble a un pignon en bois, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un bûcher, à chacun des premier, deuxième, troisième et quatrième étages une chambre, par-dessus le comble, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2200 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Grandes Arcades

nouveau N° / ancien N° : 58 / 28
Ott
Rez de chaussée et 4 étages bons en maçonnerie et balcon
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonienN 1034, registre 21 f° 300 case 1

Ott, Philippe Joseph à Strasbourg
Ott Charles Joseph vis-à-vis la Place d’armes 28 (1853)

N 1034, maison, sol – vis à vis la place d’armes N° 28
Contenance : 0,85 (total avec le suivant 1,14)
Revenu total : 432,59 (432 et 0,44 et 0,15
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 16 / 13

N 1039, sol – rue de l’Ecole 4
Contenance : 0,29

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1091 case 2

Ott, Charles Joseph
1887/88 Michel, Gustave die Frau geb. Ott
1891/93 Manrique Joseph
98/99 Goehrs & Cie offene Handelsgesellschaft
Goehrs Theodor Kaufmann u. Goehrs Luise Rentnerin

N 1034, maison, sol, Rue des grandes arcades 37, N 1069 sol
Contenance : 0,85 et 0,29 (total 1,14)
Revenu total : 432,59 (432 et 0,44 et 0,15
Folio de provenance : (300)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 16

Cadastre allemand, registre 32 page 446 case 3

Parcelle, section 62, n° 38-a – autrefois N 1034, 1069
Canton : An den Gewerbslauben Hs N° 37
Désignation : Hf, Whs, e.n.a.T u. NG
Contenance : 1,35
Revenu : 19.000 – 30.000
Remarques : 1909 von Parz. 38-a, VII, 112

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1914), compte 2263
Goehrs Theodor u. Luise
1911 Goehrs Theodor
gelöscht 1914

(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 446
Goehrs Karl Gustav Herm. We
1914 Goehrs Theodor August und Ehefr. Maria Elisabeth Leonie geb. Schmutz
1947 Goehrs Théodore Aug. les héritiers et sa veuve les héritiers
(1639)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1950), compte 2102
Elbel Marie Lucie
1924 Société Anonyme de l’Est Cinéma à Paris
1944 Arcaden Filmtheater Hochwelker u. Wintrich offene Handelsgesellschaft
1947 Société Anonyme de l’Est Cinéma à Paris
(359)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

VII 1295, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants
Canton 5, Rue 98 au bas de la Place D’armes

Pr. Besson, Jean Claude, Marchand – Miroir
Loc. Serveaux, Joseph, Marchand – Miroir
Loc. Moyse, François, Commis chez les frères Lotzbeck

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 98 au bas de la Place d’Armes p. 240

28
Pr. Besson, Jean Claude, Marchand – Miroir
Loc. Serveaux, Joseph, Marchand – Miroir
Loc. Moyse, François, Commis chez les frères Lotzbeck

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An den Gewerbslauben (Seite 48)

(Haus Nr.) 33-35-37
Manrique, Kurzwarenhandlung E 012
Schweitzer, Kaufmann. 3

Annuaire 1890 (p. 51) i 245
An den Gewerbslauben
35
Manrique, Kurzwarenhandlung E 2

Dossier de la Police du Bâtiment

Voir au n° 33


Relevé d’actes

La maison appartient à la fin du XVI° siècle aux héritiers de Jean Fischer. Elle est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de Georges Kirchhoffer (son gendre).

Anne, fille du marchand épicier Jean Fischer, épouse en 1567 le graveur Bernard Jobin
Proclamation, cathédrale (luth. p. 165)
1567. Bernhard Jobin formschneider, Anna, Hans Fischers des Wurtzkremers seligen docht. werden in Sant Thomas Zu Kirchen gehn Zinstag den 10. Junÿ eingesegnet worden hora 10. (i 85)
Bernhard Jobin x 1567 anna Vischer fille de j, Wurtzkremer

Barbe, fille de Jean Fischer dit Mentzer, épouse en 1573 Georges Kirchhoffer
Mariage, cathédrale (luth. p. 234)
1573. Sonntag den H: pfingsttag den 10 May. Georg Kirchoffer, Georg Kirchhoffers hind. Son, Barbara Fischerin, Hans Fischers Mentzer genant hind. Docht. Wonhafft in kleinen prediger gesle. Eingesegnet Montag den 25. Maÿ (i 120)

Le tuteur des enfants du libraire Bernard Jobin et d’Anne Fischer, Georges Kirchhoffer au nom de sa femme Barbe Fischer et Jean Fischer vendent la maison au fondeur de pichets Jean Holm et à sa femme Catherine Heim. En marge, quittance remise en 1630 au propriétaire Georges Dambach.

1588 (3.t Septemb.), Chancellerie, vol. 255 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 95
Kauffbrieff Hanns Holmen des Kandtengiessers vber Ein Behaußung
(Extendirt wie In dem Contract buch de Anno 1588 fol. 253. zubefinden beneben der Zinßverschreibung.) Erschienen h. Georg Kirchhoffer vnd H M. David Wolckenstein beede als geschworne vögt Susannæ, Thalliæ, Lucretiæ, David vnd Daniels geschwüsterd. H. Bernhard Jobins des Buchführers, mitt wÿland frawen Annæ Vischerin selig. ehelich. erzielter Kind. mit beÿstand Jetzgedachts Bernhard Jobins Iro der Kinder vattern deßgleichen Geörg Kirchhoffer für sich selbst als eheuogt Barbaræ Visch.in So dann Jetzgemelts h: M. Da: Wolckhenstein* Bernhard Jobin vnd Geörg Kirchhoffer als gewaltt vnd beuelchhaber des hochgelehrten h. Johann Visch. Ires Schwagers für den sie de rato Cauirt vnd versprochen
vnd haben Inn gegensein Hanns Holmen des Kandtengiessers Mit beÿstandt h hanßen Wedelins des Cleinen Rhats beÿsitzers freÿ offentlich bekhant (…) Eines vffrecht. redlich. kauffs Insonderheit mit beÿstand H Sebastian Schimpffen des Großen Rhats beÿsitzers verkaufft auch hiemit obgedachtem Hannß Holmen der Zugegen Ime vnd Catharinen heimin seiner ehelich. haußfr.
Ein Behaußung Hoffstatt höfflin vnd Stall mit allen Iren gebewen rechten vnd gerechtigkeiten geleg. alhie Nidwendig der grossen Erbßlauben ein seith neben Einer Eckh Behaußung vnden ahne dem Cleinen Prediger geßlin, so Inen den verkheüffern auch Zustendig ander seith neben Steffan Gaßner dem Kürschner, hinden vff Michel Frörÿsen den schumach. stoßend, Dauon gohnd Järlich iiij lb d vff Johannis Zu Singichten vnd weihenachten geltts sie seÿn ewig oder abzulösen wie sie wollen also will der Keüffer solche vber sich nemmen den armen sondersiechen Zu der Rothen Kürchen beÿ Straßburg sunst für freÿ ledig vnd eigen (…) bekandt das der kauff vber vorgemelte beschwerd. zugegen vnd beschehen seÿe für vnd vmb 900 gulden Straßburg wehrung (…)
Vff welchen hatt obgemelter Hanns Halm vnd Catharin Heÿmin sein eheliche hußfrauw die keüffere bekhandt (…)
[in margine, f° 96-v] Erschienen Wilhelm Schmaltz alß Ehevogt Margreth Kürchoferin bekante in gegensein M Zachariæ Holmen, deß Kannengüeßers als ietzigen Inhabern dißes haußes (…) q.tirt den Ersten Aprilis 1623.
Erschienen oggen.ten H Schmattz, hatt in gegensein Georg Dambachen deß weißbecken, alß ietzigen Inhabers der obspecificirten behausung (…) Act. den 6. Julÿ 1630

Originaire de Königsberg en Prusse, Jean Holm épouse en 1583 Catherine, fille du boucher Martin Heim.
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 352 n° 744)
1583. eodem die [Dominica xxv] Hans Holm von konigsperch aus preusen der cantegießer, J Catharina Heimin Martin Heimen des Metzgers nachgelaßene dochter 2. Novembr (i 357)

Jean Holm devient bourgeois par sa femme trois mois après son mariage
1584, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 525
Hanß Holm Vonn Künigspurg Inn preüsenn der Kanthengiesser Hatt daß burgrechtt empfangenn vonn Cattarina heiminn Marttens Heimin deß metzigers sel: dochtter seiner haußfrauwenn vnnd will Zuo denen Schmidenn dienenn Acttum denn 16.t Januarÿ 1584.

Jean Holm et Catherine hypothèquent la maison au profit du revendeur Etienne Mentzer

1599 (xiij. tag Martÿ), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 79
(Inchoat fo: 96.) Erschienen Hannß Holm Kannengießer burger alhie vnd Catharin sein eheliche haußfrauw
Haben Inn gegensein Steffan Mentzers Grempen auch burger alhie – schuldig seÿen 150 pfund
Zum vnderpfand ernant vnd ÿngesetzt Hauß hoffstatt höfflin sampt hinderheüßlin mit allen and. Iren gebeuwen gelegen Inn der Statt Straßburg vnden ane der großen Erblauben gegen der Kürschner Zunfftstuben hinüber, einseit neben Albrecht Ackerman, Wurtzhändler die anderseit neben Steffen Gaßnern Kürschnern stoßend hinden vff Michel Gfröreißin Schumacher, Dauon gond Vier pfund pfenning gelts ablößig mit 100 pfund pfenning den Armen Sondersiechen Zur rothen Kirchen beÿ Straßburg, Item 15 guldin gelt St W.ablößig mit 300 guldin bemelter Werung herrn Georg Kirchhoffern sunst ledig eÿgen

Jean Holm et Catherine Heim hypothèquent la maison au profit de leur cousine Salomé Heim veuve du sellier André Butzmann

1602 (xxiij tag Martÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 163-v
(Inchoat. fo: 166.) Erschienen hanns holm der Kannengiesser vnd Catharin heÿmin seinb eheliche haußfrauw
haben Inn gegensein frauwen Salome Heymin Irer basen wÿland Andres Butzmans des Sattlers seligen witwe Mit beÿstand V bewilligung herr Caspar Ruschle den hauptman vber die Einspänniger der Statt Straßburg – schuldig sige 125 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt hofflin vnd hinderheüßlin mit allen andern Iren gebeuwen gelegen In der S S beÿ dem Barfusser blatz nahe gegen der kurßner Zunfftstub einsyt neben Albrecht Ackerman wurtzkremer andersyt herr Steffen gaßner Kurßner stoßen hinden vff Michel Frörisin Schumacher, dauon gnd vier pfund pfenning gelt losig mit 100 pfund pfenning d. Armen Sonder Siechen Zur Rothen Kirchen bey Straßburg Mehr 50 guld glt loßig mit 300 guld. SW herrn Georg Kirchhoffers seligen erben Sunst ledig eÿgen

Jean Holm hypothèque la maison au profit du serrurier Josse Spott

1615 (ut spâ [10. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 9
(Inchoat. fo. 8) Erschienen der Ersam M hannß holm Kannengießer
hatt in gegensein des Erbaren M. Jeß Spotten schloßers – schuldig sein 15 pfund pfenning
dafür vnderpfand sein soll huß hoffestatt hofflin vnd hinderhus mit all Ir gebeuw gelg. In der S S hie Innwendig dem pfenning thurn, einseit neben Albrecht Ackermann wurtzhandler selig. erben andersyt h Steffan gessners selig erben stoßend hind. vff Michel gför Ißin dem Schuemacher dauon gend 50 gold gl abloßig mut 300 guld S W Wilhelm Schmaltzer, Mehr Vier pfund pfenning dem Neuen Sondersechen So dann viiij d Allmend Zinß von seinem kellerloch vor der scheuer
(Cassirt weg. der den 30. Jan: 1622 vffgerichten newen Verschreibung)

Jean Holm hypothèque la maison au profit de son beau-frère l’huilier Mathias Erhard.

1615 (ii tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 53
(Inchoat. in Proth. fol. 40.) Erschienen hannß holm der Khandtengießer burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vnd in gegenwertigkeit Mathÿß Erhardt des Ohlmans burgers Zu Straßburg seines schwagers – schuldig seÿe 25 pfund
vnderpfand, hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vnd. Ane der groß. Erbßlaub. einsit Albrecht Ackermanns erb. And.seit n. Steffen Gaßners erb hind. vff Michel Fröreÿsen den schuomach. stoßend, dauon gend viij d Allmend geldt d St. St. Mehr xv gl gelts Loß mit iij x gl werung Wilhelm Schmaltzen, Item iiij lb d gld widkheüffig mit j C lb der Sond.siech. Zur Roth. Kirch. Item j lb v ß d gelts Ablößig mit xxv lb Jost Spoth dem schlosser

Jean Holm se remarie avec Anne, veuve du tailleur Georges Gro (Grau)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 371 n° 1113)
1615. Dominica 2. post Epiphanias. Hans holm der Kantengießer Vnd Anna, weÿland Geörg Grawen d. Schneiders, hinderlaßene Witwe (i 383)
Mariage, cathédrale (luth. p. 25) 1615. Dominica 2. post epiphan: den 15. Jenner. Hans Holm der Kantengieser vnd burger alhie, vnd Anna Jörg Groen des Schneiders, nachgelasne witwe, eingesegnet montag den 6. hornung (i 17)

Vente par Anne Becker, veuve de Georges Grau, alors femme de Jean Holm
1619 (x. Aprilis), Chancellerie, vol. 436 (Registranda Meyger) f° 233-v
(P. fol. 144.) Erschienen Anna Beckerin weÿland Geörg Grauwen des schneÿders selig witwe, Jetz Hannß holmen des Khandtengiessers haußfr. mit beÿstandt Pauli Gothardt Wurtz Kremer vnd Niclauß Wolff schneÿders burgern Zu Straßburg Ihrer dochtermänner Ouch Zacharias Gesell des schneÿders Als vogt Geörg Leonhard vnd Ursulæ obgedachts Geörg Grauwen selig von Anna Beckein ehelich erzielter Khinder (verkaufft)

1616 Conseillers et XXI (1 R 97) Hans Holm vmb seiner baßen Kindt ins weysenhauß Zu nehmen. 221.

La maison revient à son fils Zacharie Holm qui épouse en 1613 Jacqueline, fille du boulanger Jean Kraus

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 133-v n° 41)
1613. 2. Septem. Zacharias Holm der Kantengiesser vnd Jacobe, Hans Krausen weißbeck. Tochter sein aus befelch des H. Ammeisters aus dem Thurn In die Kurch gefürt vnd eingesegnet (i 136)

Le fondeur de pichets Zacharie Holm hypothèque la maison au profit du receveur Laurent Werner

1621 (11. Aprilis), Chancellerie, vol. 441 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 20-v
Schuldbekandtnus Laurentz Werners Schaffners vmb 50 lib d.
Erschienen Zacharias Holm Kantengiesser vnd Burg. alhie
hatt in gegenwertigkeyt H Lorentz Werners Schaffners vnd burg. alhie – schuldig worden 50 pfund pfenning
Zum vnd.pfand verlegt Ein behausung alhie nidwendig der Grossen erbslauben bey dem Uberhang einseyt neben Ludwig Sener dem wurtzkremer and.seit neben Steffen Gasser selig. wittwen, hind. auff Barthel Frorisen stoßend geleg. darauff stehend Zuuor 7. lb 10 ß Wilhelm Schmaltz auf weÿhenachten In hauptgut mit 150 lb, Item 150 pfund pfenning auff (-) den gut.leut Zu d. Roten Kirch abzulosen, vnd dan Ist diße behausung auch verhafftet Matthaei seinem bruder für 175 lb vnd dann 100 lb Catharina seiner Schwester selig. Kinder

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Jean Joachim Frantz

1622 (ut spâ. [xxx. Novembris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 526-v
(Inchoat. in Prot. fol. 377.) Erschienen Zacharias Holm der Khandtengießer burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h. Johann Joachim Frantzen burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 150 pfund
Zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Hauß, Hoffestatt, höfflin, hinderhauß, Vnd Brunnen, mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. beÿ der grossen erbßlauben, einseit neben Albrecht Ackermanns Erben, And. s. Steffan Gaßners erben hinden Vff Barthell Frör Ißen stoßend, dauon gend 4 fl. gelts Lößig mit ij C. lb d Zur Rohten Kirchen, So dann 7 lb 10. ß d gelts widerkheüffig mit j. C. L. lb Wÿlhelm Schmaltzen

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Georges Müeg, assesseur des Treize

1623 (ut spâ [xxvij. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 449 (Registranda Meyger) f° 210-v
(Inchoat. in Prot. fol. 172.) Erschienen Zacharias Holm der Khandtengießer burger Zu Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit des Ehr: Fr. Vnd Weiße h. Geörg Müegen xiij.ners des bestendigen regiments Alhier Zu Straßburg – schuldig seÿe 250 pfund
Zu vnderpfand verlegt, Ein Vorder Vndt hinderhauß mit ihren hoffstetten hoff vndt Brunnen Auch Allen Andern Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St: St: Vnden Ane der großen erbßlauben einseit Steffan Geßners witwe Ands. Ludwig Sehner hinden Vff Barthel Frörÿßen den Schuhmacher, dauon gndt Von dem Kellerloch 8 d d. St. St. Allmendgeldt, Mehr Ist solche Behaußung Verhafftet vmb ij. C. lb Zu Rothen Kirchen, Item gegen H. Joachim Frantzen Vmb ij C L lb

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Sébastien Gambs

1623 (15. Aug.), Chancellerie, vol. 451 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 175
Schuldbekantnuß Sebastian Gambsen auff Zachariæ Holmen Kantengiessers vber 50 lib d
Erschienen M. Zacharias Holm der Kannengüeßer Alhie
bekannte in gegensein H. Sebastian Gambsen burgers alhie – schuldig worden 200 pfund pfenning
in spê hafft sein soll Ein behausung sampt deren hoffstat vnd aller and.er Zugehördt alhie vnderhalb der groß. Erbslauben i.seit neben Ludwig Sener dem wurtzhändler, 2.seit Peter Bernecker dem schuhmach. hind. vff Barthel Fröreiß. auch schuhmach. stoßend geleg. daruon gehen 8. fl. gelt der Rohten Kürchen Alhie Jahrß vff Joh. Bapt: von 200 gld. capital Item 2 lb 10 ß d Zinß Lorentz Werner dem Schaffner vff weÿhenachten gefallend in hauptgut mit 50 lb d. Item 7. lb 10 ß d Zinß hannß Joachim Frantzen in hauptgut mit 150. lb d abzulösen, sonst eÿg.

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock qui remet en1730 une quittance à Georges Steinbach

1625 (ut spâ. [vij. Maÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 172
(Inchoat. in Prot. fol. 184) Erschienen Niclauß Kocher d. Weÿßeck vnd Zacharias Holm der Khandtengiesser burger Zu Straßburg
Inn gegenwärtigkheit Daniel Steinbock burgers Zu Straßburg – schuldig seÿent 400 pfundt
vnderpfand hauß, hoffstatt höfflein vnd hind.hauß mit Allen Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. vnd. d. großen Erbß lauben, einseit neben Martin Gerlachs wb anderseit neben Geörg Brunner, hind. vff gemelt. Geörg Brunner vnd Bernhard Brand. erb. stoßend, dauon x batz. d. Samblung Zur dritten Regell, Mehr 2 lb Bod. Zinß Zu Sant Marx, It. seind sie verhafftet vmb L. lb Lorentz Wener, So dann Vmb 1 C. L lb. Sebastian Gambßen Sunst eÿg
Zugleich hatt Zacharias holm vervnd.pf. hauß, hoffstatt höfflin vnd hind. hauß mit Allen Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. vnd.halb der groß. Erbßlaub. eins. n. Ludwig Sehner, And.seit Peter Berneck schuemach. hind. vff Barthell Frör Isen stoßend, dauon gnd. vij. go. gld. Ablößig mit ij. C. g. dem Sond.sich. Zur Roth. Kirch. Mehr seind sie verhafftet vmb j. C. Reichts daler hn Geörg Müegg Vnd dann Vmb L. lb d Lorentz Werner
[in margine :] Erschienen H. Daniel Steinbock hatt in gegensein herren Benedict Großen alß ietzigen Inhabers Clauß Kochers see: behaußung (…) Act. den 5. Septemb. 1629.
[in margine :] Erschienen herr Daniel Steinbockh hatt in gegensein Philipps Großen deß Weißbecke burgers alhie alß ietzigen Inhabers benedickt Großen seines Vaters see. hierin vervnterpfand. behausung (…) q.tirt, den 11. Junÿ 1636.
[in margine :] Erschienen H. Daniel Steinbock hatt in gegensein Georg dambachen alß Inhabers Zachariæ Holmen behausung (…) q.tirt Act. 28. Junÿ. 1630.

Zacharie Holm se porte garant du boucher Balthasar Krauss en hypothéquant la maison au profit des enfants de l’huilier Jean Ulric Knæblin

1625 (10 Novembris), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 472
(Inchoat. in Prot. fol. 390) Erschienen Balthazar Krauß der Metzger burger Zu Straßburg
hatt in gegensein h. Niclaus Guottman weißbeck Als vogt Fr. Ursulæ Guottmännin wilandt herrn hannß Ulrich Knäblins geweßenen Ohlmanns s. wittwen – schuldig seÿe 100. pfund pfenning
deßen Zu mehrer sicherheit, so Ist Auch persönlich erschienen Zacharias holm der Kantengieß. burg. Allhie, hatt sich für sich & Zu einem recht. bürgen mit vnd selbst schuldner vnd selbst Zahler Vnversch. Vnd zu noch mehrer Vergewißerung so hatt er drr bürg Zum Vnderpfand ernant Vnd eingesetzt
hauß, hoffstatt, höfflin, Vnd hinderhauß, mit Allen ihren gebeüwen gelegen Inn der St: St: Vnd. halb der Erbßlauben, einseit neben h. Ludwig Söhner, And. sit Peter Bernecker hinden vff Barthell Fröreÿßer stoßendt dauon gend. viij gl. gelts Lößig mit ij. C. gl. Vff weÿhenachten den Sonder Siechen Zur Rothen Kirchen, Item iij lb xv ßd gelts Lößig mit Lxx lb d vff Mathiæ Apostoli herrn Geörg Müegen xiij Vnd dann x lb Ablößig mit ij C. lb d Daniel Steinbocken, deßgleichen viij. d Vonn einem Kellerloch, Sunst eÿgen
[in margine :] Erschienen Samuel von Tour, der Mahler, Alß ietziger Ehevogt der Glaubigerin hieringemeldt, hatt in gegensein Zachariæ Holmen deß hierinn verschriebenen Bürgen (…) q.tirt den 23. Junÿ Anno 1630.

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Marguerite Bœcklin de Bœcklinsau, veuve du préteur Adam Zorn

1626 (ut spâ. [13. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 491
Erschienen Zacharias Holm der kannengüeßer alhie
hat in gegenwertigkeit der Edlen Ehr & fr. Margreth. Böcklerin von Böcklinsaw, weÿ: H. Stettmeister Adam Zornen s. witiben – schuldig seÿ 100 Pfundt
Vnderpfand Ein gültguth Zu Wüverßheim (…)
So dann hauß vnd hoffstatt alhie vnderhalb der Groß. Erbslauben, neben Ludwig Seners s: wittib vnd erb. 1. vnd 2. Peter Bernecker schuhmacher, hind. vff Barthel Fröreÿsen den schustern vnd ist d. hauß Zuvor hafft vmb 50. Rthlr H. Georg Müegen XIII. Item vmb 200. fl. a 15. bz. dem Gutleüthauß, Item vmb 400. fl. Daniel Steinbocken, So gehet auch dauon Jarlich 8. d. Allmendgeldts

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Jean Lobstein, aubergiste au Bouc

1626 (ut spâ. [5. 8.bris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 628
Erschienen Zacharias holm obgedacht [d. Kannengueß burger alhie]
hatt in gegensein hannß Lobsteins auch obgemeldt [Würth Zum Bock] bekandt
demnach derselb sich für ihne holmen geg. H. Laurentium Werner [schaffners] vmb 400. ln d. wie obzusehen v.bürgt, daß Er Holm deßwegen ihme Lobstein Zur schadloßhaltung verlegt Ein hauß, hoffstatt mit allen Andern Zugehörd. alhie und.halb der groß. Erbslauben neben Peter Bernecker j. vnd 2. seit weÿl. Ludwig Seners deß würtzhändlers see. wittib hind. vff Barthel Fröreisen den schuhmacher stoßend gelegen, vnd ist daß hauß Zuuor hafft vmb 100 lb Capital dem Guthleüthauß, Item 50. lb. d vorermeltem H Werner, Item 100. lb d weÿ: Jrn. Sebastian Zornen Alten Stettmeisters s. wittib, vnd dann vmb 200. lb. d Daniel Steinbocken ietzigem Würth im Falckenkeller, So dann gehet Jahrs dauon j. bz Allmend Zinß, sonst eÿg.
So solle auch hafft sein 2200 lb d Verfangenschaft so Mathiß Erhardt der ohlman alhie von seiner haußfr. Anna Heimin vnd sein holmen Muter schwester see: ad dies vitæ Zunüeß. hat

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit de Paul Heydel, receveur de la fondation Saint-Marc

1627 (12. Feb.), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 96
(Proth. in Proth. N° 7. fol. 319) Erschienen Zacharias Holm der Kannengüeßer burger Zu St.
hatt in gegensein herrn Paul Heÿdells alß Schaffners des Stiffts Sanct Marx alhie – schuldig seÿe 150. Pfund
Vnderpfand hauß Vnd hoffstat mit allen anderen Zugehörd. alhie vnderhalb der großen Erbslauben neben weÿ: Ludwig Sehners deß Würtzhändlers s: witib j. vnd 2. seit neben Peter Bernecks schuhmacher hinden vff Barthel Fröreisen stoßend geleg. vnd ist d. hauß Zuuor v.hafft vmb 50. lb. Lorentz Werner dem Schaffner, Item vmb 200. lb. d Daniel Steinbocken, Item vmb 100. lb. d weÿl. Jr. Adam Zornen stetmeisters see. witib, Item vmb 100. lb d dem Gutleuthauß, Item vmb 400. lb. d obgemeltem Bürgen hanß Lobstein, So dann gehet dauon 8 d bod. Znß d. St. St. sonst eÿg., So sollen auch noch hafft. vnd verhafftet sein der sich vff 5000. fl. belauffende Wÿdemb so Mathiß Erhardt der ohlmann alhie ad dies vitæ Zunüeßen, das Eÿgenthumb aber ihme Holmen von Anna Heÿmin besagts Erhards haußfr. see: erblich anerstorben, welche Verfangenschaft auch neben dem hauß Zuuor hafft vmb obgemelter 400. lb d gegen hanß Lobstein alß bürgen obgedachts werners deß Schaffners

Zacharie Holm est aubergiste à la Mouche en 1631
1631, Protocole des Quinze (2 R 57) Zacharias Holm. Muckenwürtt 18. 214.

Convention sur les droits d’accise que doit le défunt Zacharias Holm, aubergiste au Poumon
1632, Protocole des Quinze (2 R 57)
(f° 238) Sambstag den 8. Xbris – Zachariæ Holmen Kinder, Ungelt nachlaß
Zachariæ Holmen, würth Zur Lung. nachgelaßener Kinder vogt Esaias Cneulin, so dann Lux Graßmann vnd Michel Breuning alß verwanthe produciren p. pulian vnd.then. Supplication, so verlesen, p. bitten ane 86. lb h. schuldigen vngelds den Kindern ettwas schninden* vnd fallen Zu lassen, weilen der Zeitt, alß ermelter holm vnd sein haußfraw kranck geleg. ane wein auch vff die haußgenossen ettwas gang. Erkandt, waß von den vffgenommenen weinen in werender kranckheit vndt biß vff den todtfall verzapfft, verpleib beim würthß vngelt die noch restirende also dafern sie kein würth erhandelt, sollen dem burger ungelt Zugeschrieben, auch supplicanten angezeigt werden, von der haußraths losung zu befriedig. *icht Mr.

Zacharie Holm hypothèque la maison au profit du ceinturier Marc Locher

1629 (9. feb.), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 83
Erschienen Zacharias holm der Kannengüeßer burger Zu St.
hatt in gegensein Marx Lochers deß gürtlers auch burgers alhie – schuldig seÿe 95 Pfund Straßb.
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen anderen deren gebäwen & alhie vnderhalb der groß. Erbslauben neben Ludwig Seners witib & Peter Bernecker dem schuemacher, hind. vff Barthel Fröreisen stoßend gelegen, so Zuuor verhafftet vmb 200. fl. den Gutleüthen, Item 400. fl. Daniel Steinbock, Item 300. fl. S. Marx, Item vmb 800. fl. Lorentz Werner dem Schaffner, Item 100. R.thaler Bastian Gambsen, So dann soll auch haff sein die Verfangenschaft so sich vff 4300. lb erstreckt, vnd Mathiß Erhardt der ohlmann alhie ad dies vitæ Zunüeß. hat

Zacharie Holm et Jacqueline Kraus vendent la maison au boulanger Georges Dambach.

1629 (13. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 445
(Protocollat. fol. 70.) Erschienen Zacharias Holm der Kannengüeßer vnd Jacobe Krausin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
Georg Dambachen dem weißbecken, auch burg. alhie
Ein Vorder vnd hinderhauß sampt deren hoffstat, höflin, vnd allen andern gebawen & gelegen in der St. St. vnderhalb der großen Erbslauben neben weÿ: Albrecht Ackermans gewesenen Wurtzkramers see. witib vnd erben ein vnd anderseit neben Peter Bernecker dem schuhmacher, hinden vf Barthel Fröreisen auch schuhmacher stoßend, dauon gehen Jährlich vff Johannis Baptistæ 4. lb d geltd den Sond.siechen Zur Rothen Kürchen in hauptgut mit 100. lb. d abzulösen, so seind diese häuser auch noch v.hafftet vmb 200. lb. Daniel Steinbocken so biß hero mit 12. lb v.zinßt word. Item vmb 450. lb. d. Laurentio Werner dem Schiffmann, Item vmb 110. lb Bastian Gambsen, solche biß nechst kommend. Michaelis Zuerlegen, So hat vff diesen behausungen auch Anna Beckin deß Verkäuffers Stieff Mueter 250. lb ad dies vitæ usufructuarié Zunüeßen (…) vnd wiewol solche häuser auch noch verhafftet seind vmb 150. lb. d dem Allmosen Zu St. Marx alhie, So haben doch die v.käuffere solche 150. lb d vber sich Zunemmen vnd deßwegen den Käuffer allerdings zuvertreten vnd deren gäntzlich zuentheben vnd schadloß zuhalten Versprochen sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerden, so der Käuffer vf sich, vßerhalb der 150. lb. S. Marx, genommen, noch Zugangen per 465. lb
[in margine :] Erschienen Zacharias Holm für sich und alß Vogt Joseph Roschachs deß Becken mit Catharina holmin sein holmen schwester see. erzeügten Kindern (…) Act. den. 8. Aprilis. 632.

Zacharias Holm, aubergiste à la Mouche, hypothèque 150 florins que lui doit le boulanger Jean Georges Dambach sur la maison dont sa belle-mère Anne Beck a la jouissance viagère

1631 (16. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 232
Erschienen Zacharias Holm, ietzig. Gastgeb zur Mucken alhie
hatt in gegensein Daniel Steinbocken Weinschencken im Falcken Keller auch burgers Zu St. – schuldig seÿe 150 Pfund
zu vnderpfand verlegt vnd eingesetzt 150. lb. d welche Er Debitor vff hanß Georg Dambachen deß weißbecken behausung alhie vnderhalb der grossen Erbslauben gelegen, stehen hat, vnd solche sein deß Bekenners Stieffmuter Anna Beckin ad dies vitæ usufructuarié zunüeßen sonst ledig eÿgen,
So dann Ein Ohlhauß vnd hoffstat, mit allen andern ihren gebäwen & alhie an der Obernstraßen neben Sontag Ammelen dem Pastetenbecken & Lorentz Förster hinden vff Peter Reÿser stoßend gelegen, so Zuuor noch verhafftet vmb 50. fl. dem Stifft zum Jungen S Peter, So dann vmb 100. fl. H hanß Friderich Gollen juris studioso sonst eÿgen
(vide cassaturam in Regist. 1629. fol. 458. et in Regist. 1630 fol. 58.)

Jean Georges Dambach vend la maison au boulanger André Fischer

1638 (26. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 798-v
(Protocollat. fol. 133.) Erschienen Hanß Georg Dambach der Weißbeck burger Zu Straßburg (verkaufft)
Andreß Fischer auch Weißbecken und burgern alhie
ein Vord: undt Hinderhauß, sampt deren hoffstatt und höfflein auch allen and.en ihren gebäwen gelegen alhie vnderhalb der Großen Erbslauben, einseit neben Daniel Ackermann dem handelßmann, anderseit neben Balthasar Häckel dem Kannengüeßer, hinden vff hannß Fröreisen den Schuhmacher stoßend, dauon gehen Jährlich Bartholomei 6 ß. Allmend gelts von dem Wetter dächlin undt 8. d Allmend Zinnß Jahrs vff Jacobi + (+ vom Kellerfenster) beede Posten der Statt Straßburg, So seindt diße häußer auch noch verhafftet vmb 185 lb d Str. Joseph Roschachen deß Weißbecken burgers Zu Straßburg mit Catharina Holmin see. ehelich erzeugten Vier Kindern vff isch genommen, umb 2215 pfund
Dabeÿ geweßen herr Johann Adam Hüenerer der Handelßmann sein deß verkäuffers Schwager undt H Georg Kÿsel Notarium sein deß Käuffers Stieff schwager

André Fischer épouse la fille du boulanger Louis Velder qui se prénomme Marie d’après l’acte de baptême de 1637.
Mariage, cathédrale (luth. p. 331)
1634. Dom 1. post Epiph.12. Jan. Andreas Fischer der Weißbeck, Andres fischers sohn vnd J. Ludwig Velder des schwartzbecken tochter, eingesegnet Zinstag 21 Jenner (i 170)

Baptême, cathédrale (luth. f° 67)
1637. Eodem [Mittwoch 22 Martÿ] Paren: Andres Fischer der weisbeck vnd Maria. Inf. Andres. Comp. H. M. paulus gnilius, Hans Heinrich geyger der glaser vnd Salome Hans Heinrich hoser des Capitäns hausfr. (i 71)

André Fischer loue la maison au boulanger Jean Brauner

1656 (3. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 272-v
Erschienen Andres Fischer der Weißbeckh
in gegensein hannß Brauner deß Weißbeckh, mit beÿstand deß Ehrenvest- Fürsichtig- Weÿs- hochgelehrten H Dominici Dietrichß deß beständig. Regiments der Herren Ein und Zwantzig.
verlühen habe, sein Beckhenhauß, alhie underhalb der groß. Erbßlaub. beÿm Überhang, neben H Daniel Ackhermann dem Specereÿhändler gelegen nichts davon, alß die mittelste Kammer im mittelsten stockh, so der Verleÿher ihme außtruckhlich vorbehalt, außgenohmen:/ so dann in der ienig. Behaußung, welche der Verleÿher anietzo besitzen wirt, und neben H Hannß Henrich Geÿers geweßenen groß. Rhats Verwanthens seel: Erben, ohnfern der verlühenen Behaußung geleg. ist, einen Platz ohngefährdt eilff oder zwölff fuder holtz, Zu legen, vff vier Jahr lang von nechst künfftig. Joh. Bapt: angerechnet, für und umb einen wochentlich. Zinnß, benantlich 10 schilling pfenning
Mit dißen außtruckhlichen bedingungen (…) Fürs Ander, so soll der Entlehner, deß Verleÿhers Sohn, Zu sich nehmen denselben Zum beckhen handwerck gebrauch. Zweÿ Jahr beÿ sich behalten und ihme wochentlich 2. ß Zu lohn geben. (…) Wann aber, fürs sechßten der Sohn von dem Entlehnern kommen wirt, so solle der Entlehner, von selbig. Zeit an, hienführo ahne statt der bestimpten 10. ß wochentlich 12. ß Zu Zinnß geben, darbeneben die Camin und bronnen in seinem Cost. säubern laßen.

André Fischer est élu assesseur des Vingt-et-Un en 1672 puis des Quinze en 1675, administrateur de l’auberge des Pauvres passants en 1678
1672 Conseillers et XXI (1 R 155) Herr Andreas Fischer Würdt XXI. 55.
1675 Conseillers et XXI (1 R 158) H. XIII. Andreas Fischer wirt XV. 194. It. Ober Gruben herr. 226.
1678 Conseillers et XXI (1 R 161) H. XV. Andreas Fischer wirdt Pfleger der Elendten herberg. 329. Curherr. 373.

Assesseur des Quinze, André Fischer vend la maison au boulanger Jean Balthasar Biehler et à sa femme Elisabeth Schæffer

1679 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 176-v
der Edel- from und wohlweÿse Herr Andreas fischer des beständigen Regiments der Herren fünffzehn
in gegensein Johann Balthasar Biehlers deß Weißbeckhen undt Elisabethæ Biehlerin gebohrner Schäfferin seines eheweibs, mit assistentz Herrn Philipp Schäffers Kauffhauß Amptens ihres eheleiblichen Vatters und Johann Jacob Schellen deß Jüngern Weinhändlers ihres Schwagers
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäuen begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier außerhalb der Großen Erbslauben einseit neben Isaac Woillaume deß Specereÿhandlers Erben, anderseit neben anthoni Füeßen dem Kandten Gießer, hinden uff Hannß Georg Beernegger den Schuhmacher stoßend gelegen

Fils du boulanger Balthasar Biehler, Jean Balthasar Biehler (ici Bœhler) épouse en février 1679 Elisabeth, fille de l’employé à la halle Philippe Schæffer
Mariage, cathédrale (luth. f° 63 n° 4)
1679. Dom. 70. Zum 2. mahl Johann Balthasar Böhler der Weißbeck Weiland Balthasar Böhlers gewesenen Münster- Becken u. Burgers nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr Elisabeth H Philipp Schäffers Kauffhauß bedienten vnd burgers alhie ehel: T. Donnerstags den 27.ten Febr: Münster (im 65)

Elisabeth, femme de Balthasar Biehler loue toute la maison sauf une chambre au troisième étage, au boulanger François Roth

1680 (24. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 584
Elisabetha, Balthasar Böhlers deß Weißbeckhens eheweib
in gegensein Frantz Rothen auch Weißbeckens mit beÿstand herrn Mathiæ Kallhardts des Goldschlagers seines noch ohnentledigtenen vogts undt Philipp Metzgers des Ältern Weißbeckhens
entlehnt, die gantze behaußung nichts alß die im Vordern hauß im dritten Stockh sich befindliche Kammer, außgenohmen allhier am Kornmarckt, Zwischen Johann Bozon den handelßmann und Anthoni Füßel dem Kanthengießer geleg. uff 3. Jahr lang Von nechstkommend. Michael. angerechnet, umb einen Wochentlichen Zinnß benantlichen 2. fl.

Jean Balthasar Biehler et Elisabeth Schæffer vendent la maison au fournier Jean Hermann et à sa femme Barbe Müller

1688 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 101
Johann Balthasar Biehler der Weißbeck vnd Elisabetha gebohrne Schäfferin, deßen eheliche haußfrau
in gegensein Johannes Hermanns deß haußfeurers und Barbaræ gebohrner Müllerin, mit beÿstand Georg Hennings und hans Carl Herters auch beeder Haußfeurer Ihrer respect. Schwagers und Sohns
Zweÿ Haüßer ein vorderes und ein hinderes, hoff stätt, höfflein, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier underhalb der Großen Gewerbs lauben, einseit neben weÿl. Isaac Woillaumé gewesenen Specereÿ händlers Erben, anderseit neben Michael Schwartzen dem Kupfferschmid, hinden auff Henrich Füßeln dem schuhmacher stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 1250 pfund, Kauffschillings rest, weÿl. H. XV. Andreæ Fischers sel. hinterlaßenen sohn und tochter verhafftet – geschehen umb 175 pfund

Fille de l’appariteur Martin Müller, Barbe Müller épouse en 1661 le fournier Jean Hœrter : contrat de mariage, célébration
1661 (13. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 415
(Eheberedung) Erschienen hannß Hörter der haußfewrer und Burg. zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand Christmann Alberts deß Weißbeckh. und Burgers alhier an einem,
So dann Jungfr. Barbara Müllerin alß hochzeiterin, mit assistentz Martin Müllers deß Außruffers und Burgers zu Straßburg und Susannæ ihrer Eltern wie auch Georg Herrels deß Karchers Zu St. Marx und Burgers alhie am andern theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 126 n° 16)
1661. Hanß Herder der Schwartzbeck v. J. Barbara Martin Müllers b. v. außruffers ehl. tochter Copulirt d. 24. Junÿ (i 127)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 603 n° 77)
1667. 13. Aug. Hanns Herter der Schwartzbech auf dem Alten weinmarck vndt Barbara Millerin, Hans Georg (i 308)

Fils de Mathias Hermann d’Oedenburg en Hongrie (aujourd’hui Sopron), Jean Hermann épouse en 1681 Barbe, veuve du boulanger Jean Hœrter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 190 n° 25)
1681. 25. Julius. hans Herman Lediger schwartzbeck von Ödenburg auß Vngarin Mathis Hermans burgers daselbst hinterl. eh. sohn, Fr. Barbara Hans Hörters schwartzbeck. v. burgers hinterl. W. (i 191)

Jean Hermann et Barbe Müller hypothèquent la maison au profit du fabricant de courroies Jean Bauer

1701 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 293
Johannes Hermann der Weißbeck Und Barbara geb. Müllerin mit beÿstand Georg Müllers des Spanners, ihres leiblichen bruders Und Johann Michael Ewingers des Tabackbereiters Ihres Vettern [unterzeichnet] Johann Herman, Hanß Michell Ebinger
in gegensein Hannß Georg Bauren des Riemenschneiders – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, Zweÿ Häußer ein Vorder Und ein hinderes, Hoffstatt, Höfflein mit allen deren Gebäuen, begriffen, Rechten Und Zugehördten allhier Underhalb der großen gewerbslaub einseit neben Michel Schwartzen dem Kupfferschmidt anderseit neben Johann Daniel Berger dem Handelsmann hinten auf Johann Heinrich Füßel den Schuhmacher stoßend gelegen

Jean Hermann et Anne Barbe Müller meurent successivement en 1713. Jean Herrmann délaisse une fille mariée avec le boulanger André Kempff, Anne Barbe Müller en outre quatre enfants (ou leurs représentants) de son premier mariage. Les experts estiment à 650 livres la maison dont les différents titres sont inventoriés, y compris des sentences arbitrales. La masse propre au mari est de 134 livres, celle propre à sa femme de 918 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 904 livres, le passif à 1 457 livres.
Un accord annexé à l’inventaire attribue la maison à Catherine Herrmann, femme du boulanger André Kempff

1713 (25. 8.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 37) n° 31
Inventarium über Weÿland deß Ehrenvorgeachten Herrn Johann Hermanns deß Weißbecken und der Ehren und Tugendreichen Frawen Annæ Barbaræ Herrmännin, gebohrner Müllerin beÿder geweßener Eheleuthe und burgere Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1713. – nach deme Er der Ehemann den 24.ten Aug. Jüngsthien, die Ehefrau aber den 7.ten dieses Monaths Octobris dießes Irrdische Leben quittirt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Ihr der beÿden geweßenen Ehepersonen hinderlaßener Kinder und Enckel alß per Testamentum instituirter Erben, wie auch dero Ehe: und geschwornen Vögte (…) vorgenommen – Actum Straßb. Mittwochs den 25.ten Octobris Anno 1713.
Der Verstorbene Ehemann seelig Hat per Testamentum zu Erben verlaßen wie volgt.
1. die Ehren und tugendsame Fraw Annam Catharinam Kempffin gebohrne Herrmännin deß Ehrenhafften Meister Andreæ Kempffen Weißbecken und burgers alhier Zu Straßb. Eheliche haußfraw alß deß verstorbenen, Eheleibliche dochter, Zwar allein in Legitimam, das ist einen dritten theil v ist dieselbe mit assistenz erst gedachts Ihres haußwürths beÿ dießer Inventur zugegen geweßen. 2. Johann Kempffen alß Vorgemelter Beÿder Kempffischer Eheleüth mit einander erzeugtes Söhnlein, wie auch alle die Jenige Kinder welche Sie die Mutter ferner Ehelich erziehlen wird, vor die übrige Zween dritte theil, deren geschworner Vogt herr Johann Carl Bolgaw der Zinngießer und Burger alhier dem geschäfft beÿgewohnt
Die in Gott ruhende Ehefrau hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie volgt. In den Ersten Stammen 1° den Ehrengeachten Meister Johann Carl Hörtern, haußfeürern und burgern alhie welcher Vor sich selbsten Zugegen, 2° Johann Hörtern Ledigen Glaßer Gesellen so sich nunmehro auff der Wanderschafft befindet, deßen geschworner Vogt herr Johann Conrad Schäffer, der Tabackbereiter undt burger alhier dem gescheft von anfang biß Zu end beÿgewohnt, 3° Johann Danieln, 4° Johann Theobald, 5° Abraham, 6° Johann Jacob: und 7° Johann Georgen die Hörtere, welcher fünff Gebrüdere geschwornen Vogt, der Ehrenhaffte Mr Johann Friderich Clor, Schuhmacher und burger alhier, mit assistentz Joh: Heinrich Langen deß Jüngern Notarÿ dießer Inventation abgewartet. Also alle Sieben Weÿl. Mr Johann Carl Hörters geweßenen Haußfeurers undt Burgers alhier seel. in Erst und anderer Ehe Ehelich erzeugte Kinder, alß der Jetzt Verstorbenen, frawen geliebte Enckel und Zwar Jedes an dießem Stammen vor Ein Siebenden theil
In den Andern Stammen Johann Georg Hörtern, Ledigen Weißbecken welcher ohnbevögtigt und Majorennis und deßwegen dem geschäfft für sich selbsten in person beÿgewohnt, aber Zu seinem Mandatorio constituirt vorgemelten Mr Johann Friderich Cloren den Schuhmacher
In den dritten Stammen die Ehren und Tugendsame Fraw Dorotheam Feÿelmännin gebohren Hörterin Herrn Johann Feÿelmanns deß Krempen und burgers alhier Eheliche haußfraw welche mit beÿstandt erstgemelts Ihres haußwürths beÿ dießem geschefft Zugegen geweßen
In den Vierten Stammen die Ehren und tugendsame Fraw Annam Dorotheam Harrin gebohrne Nonnenmännin, deß Ehrenachtbarn Mr Johann Georg Harren, haußfeürers und burgers alhier Eheliche haußfraw alß Weÿl. Fr. Barbaræ Hörterin mit Johann Nonnenmann Weißbecken und burger, alhier erzeugte und hinderlaßene Eheliche dochter, welche mit beÿstand Vorgemelts Ihres haußwürths Zugegen
In den fünfften und Letztern Stammen die Ehren und tugendsame Fraw Annam Catharinam Krmpffin gebohrne Hermännin, deß Ehrenhafften Mr Andreæ Kempffen Weißbecken und burgers Zu Straßburg Eheliche haußfraw, mit assistentz deßelben Ihres haußwürths, Alßo alle der Frawen seel. auß Erst: und anderer Ehe erzeugte Söhn, döchter undt Enckel.
Copia der Eheberedung
Copia deß abgeleibten Ehemanns seel. auffgerichten Testamenti nuncupativi
Copia der Verstorbenen Ehefrawen auffgerichten Testamenti nuncupativi

In einer alhier Zu Straßburg ohnfern der Großen Gewerbslaub gegen der Kürßner Zunfftstub hienüber gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden wie volgt
Ane Hültzen: und Schreinwerckh. Auff der obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Im Haußöhren, Im Keller, In der Soldaten Cammer
Eÿgenthumb an einer Behaußung (T.) Item Zweÿ Häuser, ein Vorders und ein hinders, sampt dero hoffstätt v. höfflein, und Allen andern dero Gebäwen begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, Gelegen Alhier Zu Straßburg unden der Großen Gewerbslaub, einseith neben herrn Johann Daniel Berger dem handelßmann Anderseith neben Mr Michel Schwartzen dem Kupfferschmidt, Hinden auff Heinrich Füeßel den Schuemacher stoßend, so Gegen männiglichen freÿ, Ledig, eigen, vnd durch d. Statt Straßburg Geschworne Werckhleüthe vermög einer apud Conceptum befindlicher Abschatzung vom 22. 8.bris Anno 1713. hiehero æstimirt per 1300.
Welcher gestalten die verstorbene beede Eheleute seel. dieße Häußer erkaufft meldet ein in alhiesiger Cantzleÿ Contractstub Auffgerichtete perg. Kauffverschreibung mit dero Angehencktem Contract Insiegel Verwahrt, vnd datirt den 13. febr: A° 1688. mit N° 1. signirt. Wie aber die darauff übernommene Fischerische Beschwerdt der 1250. lb. d. bezalt und nach vnd nach abgeführt worden findet sich in margine Gemelten Kauffbrieffs. Ferner ist vorhanden i. perg. Kauffbr Auß Wohlgemelter Contractstub sub dato 13. Julÿ A° 1629. mit Lit: A. notirt. Mehr i. perg: Spruch oder Confirmations Brieff mit der Statt Straßburg Kleinerm Secret Insigel Becräfftiget und datirt den 5. Apr. A° 1597. auch mit N° 1 bemerckt. Weiter i. perg. Kbr. auff obwohlgemelter Contract stub, mit dero angehencktem Insigel verwahrt, deßen datum den 20. 9.bris A° 1638. mit altem N° 25 bezeichnet. So dann Zween underschiedene Extractus Auß E. E. Kleinen Raths Memoriali, deren der eine den 23. 8.br. vnd der Andere den 29. 9.bris A° 1630. ergangen beede auch mit N° 1 bezeichnet. Weiter hat sich befunden i. perg. Kbr. Auß Alhiesiger Contractstub deßen datum den 8. Martÿ A° 1679. Wie auch i. perg. Spruch brieff mit der Geschwornen Werckhleüth anhangenden Insigeln verw. de dato 25. febr. Anno 1594. beede Auch mit N° 1 signirt
Ergäntzung deß Manns Erben unveränderten Gutt. Auß dem über beÿder Geweßener Eheleüth in dieße Ehe Gebrachte Nahrungen, durch weÿl. H. Eliam Wincklern Notm: den 9. August A° 1681. Auffgerichtetem Inventario
Wÿdumb Welchen die Abgeleibte Fraw seel. von Weÿland Mr Johann Hörtern, Geweßenen Schwartzbecken vnd Burgern Alhie Zu Straßburg, dero Erstem Haußwürth seel. nach Außweißung des mit demselben Auffgerichten Codicilli reciproci ad dies vitæ Genoßen, davon das Eigenthum denen Kindern vnd Enckeln Erster Ehe gehörig und nunmehro auff diesemne rückfällig erwachßen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns seel. Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 5, Sa. Silbers 2, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzungs Rest 75, Summa summarum 134 lb
Der Fr. Erben unverändert Vermög. Sa. haußraths, Sa. Silbergeschmeids 21, Sa. Guldenen Ring 15, Sa. Ergäntzung 1353, Summa summarum 1516 lb – Schulden 597 lb, der Fr. Erben unverändert Vermög. 918 lb
Endlichen wird auch das Gemein verändert v. theilbahr Gutt beschrieben, Sa. haußraths 262, Sa. Schiff und geschirrs Zum Becken Handwerck gehörig 1, Sa. leerer Vaß 11, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 24, Sa. Guldener Ring. 3, Sa. Eigenthums ane einer theilbaren behaußung 1300, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1300, Summa summarum 2904 lb – Schulden 1457, Nach deren Abzug 1447 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2764 lb
Abschatzung Den 22.ten Octobris: anô 1713: Weiland, der Ehr vnd Tugentsame Frau: Anna Barbara hermänin, Weißbeckherin, Seel: hinderlassene Erben, ist eine behaußung, allhier, in der Statt Straßburg, Gegen der Kirschner stub über gelegen ein seits, Neben, H: Joha: Daniel berger, Kauffman, ander seitz, Neben Michäl schwartz, Kupfer schmit, hinden auff Michel füssel, Stoßent: welche behaußung, ein gewölbter Keller, bachstuben hinder hauß, Nebens gäng, hoff, hoffstatt vnd brunen, Sampt aller ihrer Recht vnd gerechtigkeit, durch der Statt Straßburg, geschworen werckh Leüthe, sich in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß, Nach an geschlagen Wirt Vor und umb Zweÿ Taußend Sechs hundert Gulten. Bezeichnus, durch der Statt Straßburg geschworene werckh Meister, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs
(f° 40) Die Eigenthümliche in der Statt Straßburg underhalb der Großen Gewerbslaub Gelegenen und im Verfertigten Inventario fol: 137.b et 138.a weitläuffig beschriebene Becken behausung cum appertinentiis Zusampt deme fol: 128.b et 129.a specificirten Schiff und geschirr Zum Becken handwerck gehörig ist, nach Gepflogener underredung der Gesampten im Inventario benambsten Erben auch dero Ehe: vnd Geschwornen Vögte und Assistenten, frawen Catharinæ Kempffin, Gebohrener Hermänin der dochter letzter Ehe Käufflich cedirt vnd überlaßen worden (…) Actum Straßburg Mittwochs den 17.ten Januarÿ A° 1714.

Originaire de Munster au val Saint-Grégoire en Haute-Alsace, André Kempff épouse en 1703 Anne Catherine Herrmann : contrat de mariage, célébration
1703 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 302
Eheberedung – Andres Kämpff lediger becker auß dem münsterthal gebürthig mit beÿstand Joh: Georg Feltzen Speÿerbaders
Anna Cath: Herrmännin Joh: Herrmanns weißbeckers Tochter mit beÿstand erwehnten ihres vatters

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 137 n° 650)
1703. Mittw. d. 25. Jul. wurd. nach ord.tl. p.clam. copulirt Andreas Kämpf d. led. Weißbeck V. B. allhier hrn Johann Kämpffen, des Handels. n. Burg. Zu Münster in Gregorien thal ehl. sohn vnd J. Anna Catharina, Johann Hermanns, des Weißbeck. v. Burg. allhie ehl. Tochter [unterzeichnet] Andreas Kämpff Als Hochzeiter, Anna Cathrine Hermännin Als hochzeiterin (i 136)

André Kempff devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1703, 4° Livre de bourgeoisie p. 744
Andreas Kämpff der Weißbeck Von Münster in St. Gregorienthal Johann Kämpffen des Krämers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von Anna Catharina Hermännin, Johann Hermanns des weißbecken allhier tochter seiner Frauen V. 2. Gold fl. V. 16 ß, so beÿ der Cantzleÿ erlegt, worden, wird beÿ E.E. Zunfft der Becken dienen, Jur: d. 25. Ejusd: [7.br.] 1703

André Kempff est mis à l’amende pour avoir fait vendre du pain derrière la cathédrale en-dehors des heures autorisées
1706, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 7-v) Mittwochs, den 16.ten junÿ 1706
Andreas Kempff hatt nach der Zeit Brod hinder das Münster geschickt. Ille negat. Erkant soll als überwießen 15 ß d erlegen, Er bat umb gnad, bleibt beÿ 10. ß d.

André Kempff est mis à l’amende pour avoir injurié des membres du conseil. Il présente ses excuses en déclarant avoir été ivre.
(f° 9) Donnerstags, den 12.ten Augusti 1706
Andreas Kempff der Weißbeck welcher neülicher Zeit beÿ gehaltener Geding sich sehr ohngebührlich mit Wortten und gebärden gehalten auch gegen etliche Hhn des Gerichts gesagt, Er seÿe so gut, als einer am Tisch wäre, Ward Vorgestellt und Ihren solchen Vorgehalten Er entschuldigt sich mit der Unwißen und Trunckenheit. Erkant, soll die Lædirte Hhn und Zunfft bruder umb Verzeichung bitten undt Zur Straff 2. lb d. erlegen, dabeÿ die injurien ex officio auff gehoben seÿn. Auff gebettene Gnad bleibts beÿ 30. ß d.

André Kempff est mis à l’amende pour avoir vendu illicitement du pain derrière la cathédrale
(f° 24) Donnerstags, den 28.ten Aprilis 1707
Andres Kempff hatt der 11.t Januarÿ 1707 Weich schwartz Brod hinderm Münster Verkaufft deßen Er geständig. Erkant, soll den Articul beßern auff gebettene Gnad bleibt es beÿ 1. lb. d.

1707, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(Klag) Andreas Kempff

André Kempff et Anne Catherine Hermann hypothèquent la maison au profit du farinier Jean Georges Strohl

1714 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 38
Andres Kempf weißbeck und Anna Cath: geb. herrmännin beÿständlich Michael Schwartz Kupferschmidts und Joh: heilmann gremp
in gegensein Joh: Georg Strohl meelmanns – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: beÿ der großen Gewerbslaub, einseit neben Bergern anderseit neben obigem Schwartz hinten auf Johann Heinrich Fießel

André Kempff et Anne Catherine Hermann hypothèquent la maison au profit de l’apprêteur de tabac Jean Conrad Schæffer

1714 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 210-v
Andres Kempf weißbecker und Anna Barbara geb. herrmännin beÿständlich Joh: Frischmann* gremp und Carl Härter haußfeurers
in gegensein Joh: Conrad Schäfers tabacm: – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert ahn der großen gewerbslaub, einseit neben Berger handelsmann anderseit neben Michel Schwartz hinten auf Friedrich fießel

Les préposés généraux aux métiers soumettent aux Quinze l’affaire d’André Kempff qui a vendu à un soldat du pain qui n’a pas le poids légal. La commission qui n’est pas entièrement convaincue par les arguments du prévenu lui inflige une amende de trois livres.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
(f° 224-v) Sambstags den 18. Augusti 1714 – Andreas Kempff pt° mulctæ
Iidem [Obere Handwerck herren] maßen durch herrn friden proponiren daß Andreas Kempff der burger und Weißbeck alhier durch die brodschawer angeklagt worden were, daß Er einem soldathen dreÿ paar ladenbrodt, so in allem 3 batzen werth und 6 biß 7 loth Zu leicht gewesen verkaufft vnd neben dem auch man auff seinem laden ein schilling leib 3 batzen werth 8. biß 10. loth Zu leicht gefunden hette, darüber man ihne gehört, der sich damit entschuldigt, daß Er nicht Zuhauß gewesen, vnd sein schiesser das gewicht nach dem alten tax angeschrieben hette, so er nicht gewußt, Er were sonsten ohnglücklich geweß. in dem ihme die soldathen vor 6 fl. brodt von dem laden vorgenohmen hetten dazu noch sein Nachbar herr berger so ihme Zu hülff können, von ihnen geschlagen worden were, vermeine nicht daß sonst einige klagen wegen schlechten gewichts wider ihne vorkommen weren, seÿe ihm Leÿd daß es geschehen weilen man aber dießen entschuldigung nicht für sufficient gehalten vnd beklagter alß Meister in dem hauß Zuvor das brodt, ehe Er es außgestellt hette wiegen sollen, so halte man darvor, daß er mit einer straff von 3. lb d belegt werden könte. Erk. beliebt.

André Kempff loue une partie de la maison au fabricant de bonnets Jean Jacques Dorst

1715 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 503-v
Andres Kempf weißbecker
in gegensein Joh: Jacob Dorst haubenmachers
in seinem hauß allhier beÿ der Erbslaub die stueb auf dem ersten stock sambt Küchen und haußehren, Item im andern stock eine Cammer und im dritten stock auch eine Cammer, platz zuem holtz und platz im keller, auf 6 jahr lang anfangend auf Mich. 1715 um einen jährlichen Zinß nemlich 20 lb

André Kempff et Anne Catherine Hermann hypothèquent la maison au profit de serrurier Jean Georges Bullenbach

1715 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 811
Andres Kempf weißbr: Anna Cath geb. Hermännin beÿständlich Georg Härter deßen stiefbruders und Joh: Georg Bullenbach schlossers
in gegensein S.T. H Joh: Friedrich Reichardt Mockel XV.ers – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung cum appert: beÿ der Großen gewerbslaub, einseit neben Daniel Berger anderseit neben Joh: Michel Schwartz hinten auff Friedrich Fießel

André Kempff et Anne Catherine Hermann hypothèquent la maison au profit du sellier municipal Jean Georges Brœsamlé

1716 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 271-v
Andreas Kempff Weißbecker und Anna Catharina Herrmännin mit beÿstand Johann Georg Müllers Spaners und Johann Georg Bullenbach des Schloßers
in gegensein Johann Georg Brösamle des Statt Sattlers – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine weißbecken behausung cum appertinentÿs Unterhalb der Gewerbslaub einseit neben H. Johann Daniel Berger handels Mann anderseit neben H. Michel schwartz kupfferschmidt hinten auff Heinrich füesel Schuemacher

André Kempff et Anne Catherine Hermann hypothèquent la maison au profit de l’emballeur Jean Georges Müller et du serrurier Jean Georges Bullenbach

1716 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 415-v
Andres Kempf weißbecker und Anna Cath. geb. Herrmännin beÿständlich Joh: Georg Härter haußfeurers und
in gegensein Joh: Georg Müllers spanners wie auch Joh: Georg Bullenbach schloßers – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: ahn der Großen gewerbslaub, einseit neben Daniel Berger anderseit neben Michel Schwartz hinten auf Heinrich Fießel
item ein hauß im brendten endt einseit neben Stahl dem weißgerber anderseit neben (-) hinten auf den graben

André Kempff et Anne Catherine Hermann louent une partie de la maison au boulanger Jean Daniel Hœrter

1717 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 446
Andres Kempf weißbecker und Catharina geb. Herrmännin
in gegensein Joh: Daniel Hörter weißbecks beÿständlich Friedrich Klar schuemachers seines vogts
in ihrem hauß allhier beÿ der großen gewerbslaub einseit neben Bergern anderseit neben Schwartz hinten auff Friedrich Fießel stoßend, den gantzen untern boden, ein keller zuem hotz und einen kleinen beschlissigen keller zuem wein auf dem andern boden eine Cammer auf dem hintern stock auf dem dritten stock zweÿ kammern auf dem 4.ten stock eine Cammer auf d. 5.ten stock einen frucht Kasten, auf 2 jahr anfangend auff Mich: nächstkünfftig – um 1 lb 5 ß und ein schilling brodt wochentlichen zinnß

André Kempff et Anne Catherine Hermann hypothèquent la maison au profit du tonnelier Jean Georges Schauer

1718 (10.2.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 72
Andres Kempf weßbr. und Anna Cath: Hermännn beÿständlich H. Joh: Jacob Gebhardt Exs: ihres vogts wie auch Joh: Carl Härter beder weißbecker
in gegensein Joh: Georg Schauer Kiefers – schuldig seÿen 39 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier beÿ der großen gewerbslaub, einseit neben Bergern anderseit neben Schwartz hinten auf Fießel

André Kempff demande qu’on prenne en charge sa femme folle. Le greffier de la chambre de police rapporte huit jours plus tard qu’Anne Catherine, femme d’André Kempff, est plus méchante que folle, elle injurie nombre de personnes honorables et écrit des libelles contre eux. Les Conseillers et les Vingt-et-Un renvoient l’affaire au Grand Sénat.
1740, Conseillers et XXI (1 R 223)
(p. 47) Montag d. 1.ten Februarÿ – Andreß Kempff bitt umb Verwahrung seiner Wahnsinnigen frauen.
Lt. Mosseder Nomine gegenwärtigen Andreß Kempff des hiesigen burgers und gewesten Weißbecken, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten mit beÿlagen sub Num. 1. bis 24. umb gnädige Verwahrung Annæ Catharinæ seiner Wahnsinnigen ehefrauen, handelt innhalts. Ist Erkandt, Wird dem actuario beÿ E. Löbl. Policeÿ gericht über den innhalt dieses Memorialis und der angeführten beÿlagen eine summarische Inquisition einzuziehen anbefohlen, damit Wann solches geschehen und sothane Inquisition Wird referirt Worden seÿn, auff das begehren gesprochen werden möge, Was recht ist. Deputati H. Anstett und H. Plarr

(p. 54) Montag d. 8.ten Februarÿ 1740. – Wieder Andreß Kempffen ehefrau soll der Procurator fisci beÿ Rath seine Requisitiones beÿ Rath eingeben
Ferners ist die, Zu folg Meiner gnädigen Herren Erkandtnuß Vom 1.ten huius, durch H. Daudet den Policeÿ Schreiber eingezogene, Andreß Kempff des hiesigen burgers und gewesenen Weißbecken ehefrau annam Catharinam, puncto Vieler Wider Verschiedene ehrliche leüthe allhier außgestreüten iniurien schmäch: schrifften, betreffende, und von selbigem dem Regierenden Herrn Ammeister verschloßen eingehändigte summarische Inquisition eröffnet, abgelesen, und darauff erkandt worden, daß, in erwegung dieses Weib mehr dem Wein ergeben und boßhafftig als Wahnsinnig Zu seÿn scheinet, dem Procuratori fisci sowohl die eingezogene Inquisition alß das Von ihrem Ehemann übergebene Memoriale sambt beÿlagen Zu Communiciren seÿe, damit Er beÿ Einem Ehrsamen Großen Rath seine Requisitiones Wider dieselbe produciren, und auff solche daselbst erkandt Werden möge, Was recht ist.

André Kempff et Anne Catherine Hermann vendent la maison au boulanger Jean Jacques Debus

1718 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 459-v
(2370) Anna Catharina Kempfin geb. Herrmännin beÿständlich H. Andres Gundelwein und H. Joh. Quiring Berga ahn statt des vogts, Item Susanna Catharina Hoffingerin wittib geb. Baltzin beÿständlich Joh. Friedrich Baltz ihres bruders weilen unbevögtigt, Item hr. Joh. Georg Brößamle statt sattler, Item Joh: Georg Strehl meelmann, Item Andes Koller Pfister beÿ St Marx, Item Friedrich Klor Schuemacher [unterzeichnet] Clohr
Joh. Jacob Debus weißbeckers
ein beckenbehausung höfflein hoffstatt mit allen begriffen und Gerechtigkeiten allhier beÿ der großen gewerbslaub, einseit neben H. Daniel Berger anderseit neben Michel Schwartz hinten auf Heinrich Fießel – um 1628 pfund Johann Kempf und deßen verhoffenden geschwisterde (beladen, geschehen um) und 741 pfund

Fils du boucher Jacques Debus de Schiltigheim, Jean Jacques Debus épouse en 1707 Marie Marguerite, fille du cordonnier Jean Weiss : contrat de mariage, célébration
1707 (2.11.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung Johann Jacob Debußen ledigen becken von Schiltigh. und burgern alhier Zu Straßb. und Jgfr. Mariæ Margarethæ gebohrner Weißin auffgerichtet d. 2. 9.bris in Anno 1707, auß gefertigt d. 14. febr : 1708.
zwischen dem Ehrengeachten vnd bescheidenen Johann Jacob Debußen dem ledig. becken weÿl. hn Jacob Debusen Metzgers und burgers Zu Schiltigh. seel. ehelichem Sohn, dem hochzeiter ann Einem
So dan die tugendsame Jungfr. Maria Margaretha gebohrne Weißin weÿl. hn Johannes Weißen geweßenen Schuhmachers und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinderlaßener ehelichen dochter der hochzeiterin am andern theil
So verhandelt und bescheh. in der Königl. freÿen Statt Straßburg auf Mittwoch den Zweÿen Novembris Anno 1707 [unterzeichnet] x des hochzeiteres handzeich. o der hochzeiterin handzeich.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 149-v)
1707. Dominica XX. et XXI. post Trinit. proclamati sunt Johann Jacob Debuß der ledige weißbeck von Schiltigheim, weÿl. Jacob Debuß, gewesenen Metzgers und Burgers Zu Schiltigheim nachgel. Ehl. Sohn und Jfr. Maria Margaretha weÿl. Johann Weÿß gewesenen Schuemachers und Burgers allhier nachgel. Eh. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 16.t. Novembr. [unterzeichnet] + Ist das Bey Zeich. deß Hochzeiters, + Ist das Bey Zeich. der Hochzeiterin (i 156)

Jean Jacques Debus devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage.
1707, 4° Livre de bourgeoisie p. 768
Joh: Jacob Debuß d. beck v. Schiltigheim empfangt d. burgerrecht v. s. Fr. Anna Maria Margareth Weißin p. 2. gold.fl 16 s wird beÿ den becken dienen, Jur. d. 5. Dito [Xbris] 1707.

Le conseil des Boulangers n’inflige aucune amende au jeune boulanger Jean Jacques Debus qui a vendu une miche de pain noir.
1708, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
Donnerstags den 2. Februarÿ 1708.
(f° 46-v) Hannß Jacob Debus, hatt den 31. Januarÿ einen schwartzen Leib Brod Zu Wohlfeil gegeben, deßen Er geständig. Erkant, als ein junger Meister dißmahls absolvirt.

Jean Jacques Debus et Marie Marguerite Weiss hypothèquent la maison au profit de la veuve Kessler

1720 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 277
Joh. Jacob Debus weißb. und Maria Marg: geb. weißin beÿständlich Philipp Weiß schurm: und Daniel Henning garde im umgeldt
in gegensein H. Joh. Sebastian Kratz chirurg: als vogt Kesslerischer wittib – schuldig 250 pfund in billets de banque
unterpfand, ihr hauß cum appert: beÿ der großen gewerbslaub, einseit neben Bergern anderseit neben Michel Schwartz hinten auff Füßel

Marie Marguerite Weiss meurt en 1727 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 1 750 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 61 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 849 livres, le passif à 1 771 livres.

1727 (10.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 18) n° 392
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so Weÿland die Ehren und tugendsahme Frau Maria Margaretha Debußin geb. Weißin, des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Jacob Debußen, des Weißbecken und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel. als dieselbe Sambstags den 4.ten Januarÿ dießes Lauffenden 1727.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt nach solch Ihren aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und Wohl vorgeachten herrn Daniel Hennings des Garde im allhießigen Löbl. Umbgeld und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob, Mariæ Margarethæ, Mariæ Dorotheæ, Annæ Catharinæ und Annæ Mariæ der Debußen, der Verstorbenen Frauen seel. mit vorgedachtem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlte Fünff Kinder und ab intestato Verlaßener Erben, inventirt – So beschehen in Straßburg, auf Montag den 10.ten Martÿ Anno 1727.
Copia der Zwischen Eingangs gedachten beeden geweßenen Eheleuten Zur Zeit Ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung
Bericht Wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen seÿe hiemit demnach dieße Verlaßenschafft völlig inventirt geweßen und mann beederseits ohnveränderte Nahrungen ersuchen wollen, so Zeigte der hinterbliebene Wittiber an, daß Ihr beeder geweßener Eheleute einander in die Ehe gebrachte Nahrungen nicht inventirt worden und weilen die Verstorbene Fr. seel. anders nicht ane Zeitlicher Nahrung als dero Kleÿdung und Weißgezeug umb und ane Ihren Leib gehörig in die Ehe gebracht (…)

In einer allhier Zu Straßburg beÿ dem Überhang nahe beÿ dem Baarfüßerplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden, Wie Volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, In der Knecht Cammer, Inn der Soldaten Cammer, In der Magd Cammer, Im Obern haußöhren, Im untern haußöhren, In der Kuchen, In der Obern Stub, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine Beckenbehaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deren gebäuwen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhie Zu Straßburg beÿ der großen gewerbslaub einseit neben Hn Johann Daniel Berger dem Handelsmann, anders. neben Mr Johann Michael Schwartzen dem jüngern Kupfferschmid, hinden auf Heinrich Füeßel dem Schuhmacher stoßend, so dißorths Vor freÿ Ledih und eigen, durch (die Werckmeistere) vermög Abschatzungs Zeduls Vom 22.ten Martÿ Anno 1727. angeschlagen pro 1750. lb. Darüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub auffgerichtet und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 12.ten 7.bris Anno 1718. mit N° 1 notirt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Erben Ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 16, Sa. Schulden 75, Summa summarum 61 lb
Theilbahres Vermögen, Sa. haußraths 54, Sa. Schiff und geschirr Zul becken handwerck gehörig 10, Sa. früchten, Meels 26, Sa. Lährer Vaß 2, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1750, Sa. Schuldt 1, Summa summarum 1849 lb – Schulden 1771 lb, Nach deren Abgang 78 lb – Stall Summ 95 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe Zugeltend 65 lb
Copia der Eheberedung (…) Johann Peter Kolb
Abschatzung d. 22.ten Martÿ 1727. Auf begehren des Ehren hafften und bescheidenen Johann Jacob Dibis Weißbeck, ist eine behausung allhie in der Stadt Straßburg nicht weit Von dem pfenningthurn gelegen, einseits Neben Michel Schwartz Kupfferschmidt, anderseits Neben Johann Berger handelsmann hinden auf Heinrich Fießel stosend, welche behausung hindergebäw, Stuben, Cammer, Kuchen, Soldaten Cämmerlein, hauß Ehren Mit einem waßerstein, gewölbtes backstübel, bachoffen, zweÿ gewölbte Keller, höffel und bronne sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Stast Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigel preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Dreÿ Tausend und Fünff Hundert gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Jean Jacques Debus se remarie avec Anne Marie Schaffler, fille de Jean Georges Schaffler de Bouxwiller, employé au service des comtes de Hanau : contrat de mariage, célébration à Bouxwiller
1728 (4.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 77) n° 179
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Jacob Debuß dem weißbecken vnd burgern allhier Zu Straßburg als dem Bräutigam ane einem
So dann der tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Schafflerin, des Ehrengeachten herrn Johann Georg Schafflers, bedienten beÿ Ihro hochgräffl. Gnaden von hanau in buchsweÿler ehelich erzielter tochter, als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen in Straßburg in beÿsein (…) Philipp Jacob Schafflers des ledigen Zimmermanns Ihres bruders, auf Donnerstag den 4.ten Martÿ Anno 1728 [unterzeichnet] + Mr Hanns Jacob debuß des hochzeiters handzeichen, Anna Maria schafflerin Als hochzeiterin

Mariage, Bouxwiller (luth.)
1728. den 11. Maji worden nach dreÿmaliger proclamation eingesegnet Meister Joh: Jacob Debus der Burger und weißbeck Zu Straßburg u. Jgfr. Anna Maria Joh: Georg Schaffners des herrschafftl. Hühnerwärter dahier ehl. Tochter (i 336)

Compte que rend Daniel Henning, garde de l’accise, de la gestion des biens qui appartiennent aux mineurs Debus
1729, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 23) n° 534
Rechnung Mein Daniel Hennings Garde in allhießigem Umbgeld und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Mariæ Margarethæ, Mariæ Dorotheæ, Annæ Catharinæ und Annæ Mariæ, der Debußen, Mr Johann Jacob Debus des ehemahligen Weißbecken, mit weÿl. Frauen Maria Margaretha Debußin geb. Weißin, nunmehr seel. ehelich erziehlter Fünff Kinder, außweißend alles das dasjenige, was Ich Vom 3.ten Martÿ Anno 1727 als da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 3. Martÿ Anno 1729 berührter meiner Curanden halben Eingenommen und hingegen Wieder außgegeben auch sonsten vögtlicher Weiße verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ.

Deuxième compte
1732, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 35) n° 770
Rechnung Mein Daniel Hennings Garde und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Mariæ Margarethæ, Mariæ Dorotheæ, Annæ Catharinæ und Annæ Mariæ, der Debußen, Mr Johann Jacob Debus des ehemahligen Weißbecken mit Weÿl. Frauen Maria Margaretha Debußin geb. Weißin nunmehr seel. ehelich erziehlter 5 Kinder, inhaltend alles dasjenige Was Ich vom 3.ten Martÿ Anno 1729. als dem Beschluß meiner Erstern Rechnung biß den 3.ten Novembris Anno 1732. berührter meiner Curanden halben, ferner Eingenommen und hingegen Wieder Außgegeben habe. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.

Troisième compte
1737, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 46) n° 1067
Rechnung Mein Daniel Hennings Garde und burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen Mariä Margarethä, Mariä Dorotheä, Annä Catharinä und Annä Mariä, der Debußin, Meister Johann Jacob Debus des ehemahligen Weißbecken mit Weÿl. Frauen Maria Margaretha Debußin geb. Weißin seiner Erstern Ehefrauen seel. ehelich erziehlter vier Jüngeren Kinder außweißend alles dasjenige was Ich vom 3.ten Novembris Anno 1732 als dem Beschluß meiner abgelegten Zweÿten Rechnung, biß den 3.ten Maji Anno 1737. erwehnter meiner Curanden halben weiter Eingenommen und hingegen wieder Außgegeben habe. Dritte Rechnung dießer Vogteÿ.

Jean Jacques Debus et ses enfants vendent la maison au marchand Jean Georges Krauss

1727 (4.12.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 633-v
Johann Jacob Debus der weißbeck und deßen mit weÿl. Anna Margaretha geb. weißin erzeugter 5 Kinder Johann Jacob, Anna Margaretha, Dorothea, Anna Catharina und Anna Maria der Debus geschworner vogt Daniel Henning garde in hießigem Umbgeldt
in gegensein H. Johann Georg Krauß des handelsmanns, unter dem 3. hujus obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Weißbecken: behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten wie auch denen eißernen und kupfferenen Keßlein ofenthürlein und eÿmern denen liegerlingen in denen kellern wie auch denen daselbst befindlichen zum unterschlag dienlichen Latten, welche behausung allhier ohnfern der großen gewerbs: laub, einseit neben H. Daniel Berger dem handelsmann anderseit neben Michael Schwartz dem Kupfferschmidt hinten auff Heinrich Fießel den Schuemacher – ihme Debus zu zwo, deßen 5 Kindern aber zu einer tertz eigenthümlich zuständig – um 1750 pfund beladen, geschehen um 500 pfund

Les experts estiment la maison à la somme de 1000 livres lors de l’inventaire dressé en 1737 après la mort de Jean Georges Krauss

Les héritiers Krauss vendent la maison au marchand Jean Daniel Berger, propriétaire de la voisine au sud (actuel n° 39)

1744 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 236-v
H. Johann Heinrich Rützhaub der banquier als vogt weÿl. Fr. Marthä geb. Kraußin mit auch weÿl. H. Johann Georg Büchel dem handelsmann ehelich erzeugte 5 kinder Johann Georg, Johann Heinrich, Johann Daniel, Margaretha Ursula und Catharina Salome der Büchel und eben derselbe als negotiorum gestor S.T. H. XV Johann Daniel Wetzel als mandatarii und vogts ad actum weÿl. Fr. Maria Catharina geb. Kraußin weÿl. H. Johannes Ritter sen. des handelsmanns erzielten einigen sohns H. Johannes Ritter junioris auch handelsmann, so dann H. André Venino ebenmäßigen handelsmann als mandatarius H. Johannes Rech des rathsverwandten der Stadt Colmar tutorio nomine weÿl. H. Johann Georg Krauß gewesten handelsmanns daselbst einiger Söhnleins Johann Jacob Krauß
in gegensein H. Johann Daniel Berger des handelsmanns, laut producirten erkantnus vom 19. mart. jüngst obrigkeitlich confirmirten versteigerung
eine weißbecken behausung bestehend in vorder und hinderhauß, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten, welche behausung alhier ohnfern der großen gewerbslaub einseit neben dem käuffer, anderseit neben Friedrich Rüger dem Altgewändter hinten auff N. Reeb den schuhmacher – als ein großelterlich erbguth zu ungleichen antheilen
wobeÿ auch erschienen vorgemelter H. Johann Ritter senior der declarirte daß war auf den wÿdemb in natura seines sohns an hievor verkaufften behausung habenden antheil verzug thue – geschehen um 2445 pfund

Fils du marchand Martin Berger, Jean Daniel Berger épouse en 1701 Anne Chrétienne Maurer (davantage d’actes seront présentés à la notice sur sa maison)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 80-v n° 439)
1701. Eodem [Mittwoch den 13. April.] sind auff geschehener proclamation Zur christlichen Ehe eingesegnet word. H. Johann Daniel Berger burger undt handelsmann, weÿl. H. Johann Martin Bergers gewesenen burgers und handelsmanns allhier nachgelaßener ehelich. Sohn und Jfr. Anna Christina, Meister Leonhard Maurers, burgers und weißbeck. ahier, eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Daniel berger als hochzeiter, Anna Christina Maurerin als hochzeiterin, lien hardt maurer groß vatter (i 83)

Jean Daniel Berger meurt en 1745 en délaissant trois enfants ou leur représentant. Les experts estiment à la somme de 1 100 livres la maison dont la construction n’est pas achevée. L’actif de la succession s’élève à 3 552 livres, le passif à 830 livres.

1745 (27.2.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 38) n° 780-a
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Daniel Berger gewesenen Handelßmann und burgers alhier zu Straßburg nunmehr seel: Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1745.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. der Wohl Ehren Veste und Großachtbare Herr Johann Daniel Berger gewesene handelßmann und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 11.ten Januarÿ dieses Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen und begehren des Herrn seel. per Testamentum zu Erben Verlaßener und nach dem Titulo dieses Inventarÿ benannter Kinder und Enckel, fleißig inventirt (…) So geschehen in Straßburg auf Sambstag den 27. Februarÿ A° 1745.
Der Verstorbene seel: hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen Wie folgt. 1. Mariam Jacobinam Bergerin, Weÿl. herrn Johann Daniel Berger gewesenen Handelßmann und burgers Zu Nürnberg mit Frauen Barbara gebohrner Seitin ehelich erzeugte und nach todt hinterlaßene tochter als seine Enckelin jedoch nur in die Legitimam und daß dieselbe anestatt deren Groß Vätterlichen legitima auf gewiße Condition 1800 fl. oder 900. lb. d. Zu empfangen haben solle, in deren Nahmen Hr Johann Gottfried Zeÿß, EE Kleinen Raths nunmahliger beÿsitzer als deputatus beÿgewohnt
wegen des überrests aber nach abzug der legaten Zu Erben 2. Frau Annam Christinam Saltzmännin gebohrene Bergerin, Herrn Philipp Friedrich Saltzmann, Knöpffmacher und burgers allhier Ehegattin, so sich mit beÿstand ihres Eheliebsten hierbeÿ eingefunden, 3. Herrn Johann Friderich Berger, Handelßmann und burgern allhier so auch gegenwärtig war, also alle dreÿ des Verstorbenen herrn seel. mit weÿl. Frauen Anna Christina gebohrener Maurerin seiner Frau Eheliebstin seel. erzeugte Kinder und nebst sem Enckel auf vorgenannte weiß per Testamentum verlaßene Erben
Copia Testamenti inscriptis clausi, so der abgeleibte herr seel. den 14. Novembris Anno 1743 auffgerichtet
Copia Instrumenti publici

Eigenthum ane Häußern. Erstlichen ein Vierter theil vor ohnvertheilt vonn einer behaußung ane der Spitzengaß (…)
Item neun zwölffte theil vor ohnvertheilt ane einem Vorder und Hinder hauß unterhalb der grosen Gewerbslaub ane dem Kleinen Prediger Kirchgäßlein (…)
Item ein ohnaußgebaune Vorder und Hinderhauß höfflein und hoffstatt, mit allen übrigen Gebäuen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten in allhiesiger Statt ohnfern der grosen Gewerbslaub, ein Seith neben Vorstehender behausung ander Seith neben Friedrich Rüger dem Altgewänder gelegen, hinden auf Melchior Rebb den Schuhmacher stoßend, so über hernach passive eingetragenem Capital freÿ, ledig und eigen und durch die allhiesig geschwornen Werckmeister vermög vorallegirten Abschatzung Zeduls æstimirt worden vor 1100 lb. Darüber besagt ein teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contract Stub anhang. Innsiegel Verwahrt, datirt den 24. Aprilis Anno 1744.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 141, Sa. Wein und leerer Faß 116, Sa. Silbers 15, Sa. goldenen Rings 7, Sa. baarschafft 51, Sa. Pfenningzinß haubtgüther 953, Sa. Eigenthum ane häußern 2172, Sa. Activ Schulden 94, Summa summarum 3552 lb – Schulden 830, Nach deren Abzug 2722 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung Zugeltend 69 lb
Abschatzung dem: 6. Martzÿ: 1745. Auff Begehren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johann Daniell berger deß gewëßenen handelß Mann seel. hinder Laßenen Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, an der großen gewërbß Lauben gelegen ein Eck in das Kirch gäßlein (…)
Der 2.te begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg, beÿ der großen gewërbß Lauben gelegen, so ein seitß an die Erben, anderseitß Neben frittrich riger dem fripie hinten auf oben gedachten Meister rëb Stoßend wëlche behausung noch in brauchbarr Zu bewohnen weillen solche noch nit auß gebauen, darinen unden ein Lehrer blatz Zur Stuben, hinten daran die Kuchen und hauß Ehren der hoff und bronnen gewölbter Keller, oben ihm Ersten und Zweÿten Stock, ein un auß gemachte Stuben Kuchen und haus Ehren ihm 3.ten und 4.ten Stock 2: Camren worüber ein alter tach Stull mit einem holtzren gebell, daß hinterhauß so unden ein holtz Cammer oben ihm Ersten 2.ten 3.ten und 4.ten Stock Jeten eine Cammer, worüber der Tachstull sambt aller gerëchtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Zweÿ Tausent und Zweÿ hundert Gulten
Der 3.te begrieff (…)
bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

La maison revient à son fils Jean Frédéric Berger qui épouse en 1743 Marie Madeleine, fille de l’aubergiste Jean Frédéric Eisenmann

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 190-v n° 16)
1743. Mittwoch den 10. Julÿ sind nach geschehener Zweÿmahliger Außruffung ehelich eingesegnet word. H. Joh: Friderich Berger Ledige handelsmann und burger allhier H. Johann Daniel Bergers burgers und Handelsmanns allhier ehl. Sohn und Jfr. Maria Magdalena H Joh: Friderich Eisenman ehmaligen Gastgebers vnd burgers allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Berger als hochzeiter, Maria Magdalena Eisenmännin als hochzeiterin (i 193 – procl. Saint-Thomas f° 44 n° 229)

Jean Frédéric Berger vend la maison au coutelier Chrétien Gimmig. Les parties conviennent que le mur entre leurs maisons sera mitoyen, le vendeur pourra poser les poutres de sa nouvelle toiture dans le mur mitoyen et poser provisoirement le bois nécessaire à sa nouvelle toiture dans les combles de la maison vendue, l’acheteur ne pourra revendre la maison à un marchand de drap. L’acheteur ou ses ayants droit sera tenu de restituer la maison au vendeur si la sienne était expropriée pour élargir la ruelle des Dominicains.

1746 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 620 n° 395-v
H. Johann Friedrich Berger der tuchhändler
in gegensein H. Christian Gimmig des Kurtz Meßerschmidts
eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt mil allen deroselben weithen, zugehörden und rechten ohnfern der großen gewerbslaub, einseit neben dem verkäufer selbst, anderseit neben Johann Friedrich Rüger dem altgewänder, hinten auff Melchior Reeb den schuhmacher – theils als ein vätterliches erb theils als ein am 9. junÿ 1745 erkaufftes guth
ferner ist expresse bedungen worden 1° daß die maur so zwischen jetztverkauffter und des verkäufers behausung ist jederzeit gemein seÿn, 2° der käuffer dulden solle, die Pfetten und Gebel reißen von dem neuen dach stuhl so der verkäufer auff sein hauß noch dieses jahr setzen laßen will in die gemeinschaftliche maur legen und durchziehen zu laßen, 3° ist der käuffer nicht befugt so lang des verkäufers hauß nicht in fremden personen verkauft wird noch auch seinen erben und nachkommende jetzt verkaufte behausung an einem tuchhändler ihne des verkäufers oder deßen erben und nachkommenden willen zu verkaufen, 4° ist dem verkäufer erlaubt die latten holtz und was vom seinem alten dach stuhl abgebrochen und abgehen wird auff sein des käuffers bühnen solang zu legen biß er in seinem hauß platz solches zu logiren finden wird, endlichen wurde noch verabschiedet daß falls mit dem Prediger Kirchgäßlein eine veränderung geschiehe selbiges breiter gemacht und also dem verkäufer sein hauß gantz oder zum theil weggenommen würde er käuffer deßen erben und nachkommende schuldig und gehalten seÿn sollen dem verkäufer und seinen erben und nachkommenden jetzt verkaufte behausung gegen restitution des kauffschillings und aller gehabter bau und anderer uncösten wider abzutretten – um 750 pfund beladen, geschehen um 4250 pfund

Chrétien Gimmig (Kimmich) s’adresse aux Quinze pour être admis maître coutelier sans faire les années d’épreuve imposées par le nouveau règlement de 1739 alors que la durée réglementaire de son tour de compagnon s’est terminée trois ou quatre ans auparavant. Il a passé huit années en France et en Allemagne, Personne ne lui a parlé du nouveau règlement quand il est venu à Strasbourg deux ans plus tôt, sans quoi il aurait demandé l’autorisation de faire ailleurs ses années d’épreuve. La maîtrise objecte que Chrétien Gimmig était alors pressé de se rendre à Paris et demande l’application du nouveau règlement. Le préteur royal est d’avis de lui accorder, comme à deux autres couteliers, la dispense en inscrivant et en libérant aussitôt le pétitionnaire des années d’épreuve.
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 525) Sambstag d. 16. Sept. 1741. – Römer noe Christian Kimmich des ledigen Burgers und Kurtz Meßersch. Cit. E. E. Handw. der Kurtz Meßerschmid Ober M. prod. vnterth. Mem. sambt beÿlag lit. A. Moss. bitt Deput. Römer bitt auch Deput. M Erk. Deput. willfahrt

(p. 653) Sambstag d. 16. Xbris 1741. – Christian Kimmich C. E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmid
Iidem [Obere Handwerckh herren] laßen weithers per Eundem [Hn Secret. Kleinclauß] referiren, daß Christian Kimmich der ledige Burger und Meßerschmidt allhier in einem den 16. Sept. jüngst. C. E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmid Ober Meister producirten Vnderth. Memorial sambt beylag Sub Lit. A. gehorsambst Vorgetragen Mgh wurden aus sothaner beylag ersehen Wie er den 12. Ejusd. beÿ der Gegenwth. Meisterschafft umb admission Zum Meister Recht gegen erlag der Gebühr eingekommen, aber ab: und sich in die Muthjahr einschreiben Zu laßen, angewiesen worden, wann aber er, Implorant, Keines weges glauben Könne daß er A° 1739. erst errichtete Articul diejenige Zu denen Muthjahren Verbinde welche 3. 4. und mehr Jahr Vorher schon Ihre Wander Jahr ausgestanden haben, und selbiger Zeit ohne anstand wären Zu dem Meister Recht gelaßen werd. die Sich aber noch länger in der Frembde Zu Versuchen sich eine Freude gemacht, er, Implorant aber 8. Jahr gewandet und Franckreich und Teutschland durchreißet & wolle Er also Mghh. gehorsambst gebetten haben Ihme Von denen Muthjahren gn. Zu absolviren, vnd gratiose Zu erkennen daß er Zu dem Meister Recht, gegen erlag der ordentlichen gebühr Zu admittiren seÿe. Worauff die Meisterschafft umb deput. gebetten, welche auch willfahrt und beseßen worden. Da der Implorant beygesetzt Vor 2. Jahren seÿe er hier durch geseißt, und habe man Ihme damahls nichts Von denen Muthjahren gesagt, wann von selbigen damahlen Nachricht bekommen hatte, würde er beÿ Mgh umb Erlaubnuß gebetten haben seine Muthjahr außerhalb zu Verarbeithen. Nahmens deren Appellaten seyen Vorgestanden Christoph Bogner und Joh: Heinrich Schneider, welche geantwortet, daß gegner Vor 2 Jahren nicht willens gewesen hier Zu arbeithen, sondern habe rectà Von hier nach Paris verreißen wollen, hoffe, Sie alßo Mghh werden die Meistersch. beÿ Ihren Articulen g. manuteniren. Wie man dan auch auff seithen der Hh. Depp. den bedacht dahien abgefaßt daß die sententia à quà Zu confirmiren, und der Appellant mit seinem begehren ref. Expensis abzuweisen. Allein wie in Sachen Senckeißen c. die Kurtz Meßerschmid Mghh. alles erst berichtet worden, daß der herr Prætor auch dießen Imploranten, alß welches ein fürtreffelicher arbeither sein solle Zur dispensation recommendirt stehe Zu Mgh. was Sie erkennen Wollen. Erkant wie inn nechst hievor stehenden Zweÿ Sachen.
(p. 652) (…) insonderheit der letztere sehr gute arbeiter sein sollen, welche sich dann auch an des Hrn Prætoris Regÿ Excellenz addressirt dero man allein umbständliche nachricht gegeben welche dero Meinung dahien declarirt, daß deßen dreÿen Imploranten mit der Dispensation zu willfahren, jedoch so daß dieselbe Zu denen Muthjahren annoch sollen eingeschrieben, aber gleich Wiederumb gegen abtragung der Gebühr außethan werden, anbeÿ auch pflichtig denen Imploraten die unkosten wieder Zu erstatten und dreÿ pfund pfenning pro dispensatione halb der Statt und halb der Meisterschafft Zu erlegen

Chrétien Kimmich fait appel d’une condamnation par la maîtrise des couteliers. Il aurait confié des couteaux à un soldat pour qu’il les livre à des officiers. L’affaire ne s’étant pas conclue avec les officiers, le soldat colporte les couteaux en ville. La commission confirme la sentence de la maîtrise. Les marchandises saisies seront rendues à Chrétien Kimmich dès qu’il aura réglé l’amende et les dépens (le registre des Quinze lacunaire est complété par les notes du secrétaire).
1742, Protocole des Quinze (2 R 151)
Notes, 2 R 152 (p. 238) Sambst. den 17. 9.bris
R. nôe Christian Kimmich Kurtz meßerschmidt Mstrs und burgers Ca. Ca. E. E. hwkh der Kurtz Meßerschmidt Ob.stre prod. Widrigen Bescheidt, Von welchem pplis appellirt. E. deßen Verzeichnuß und will ad prox. darzu Verkünden lassen. Erl. Verzeichnung und Verkündung.

(Notes p. 247) Sambst. den 24. 9.bris – R. nôe Christian Kimmich in actis Ca. Ca. E. E. hwkh der Kurtz Meßerschmidt ob.str in actis erhalt die den 17. hus. interl. appel. prod. unth. appl. k. j. pet M. b. zu mündl. Vertw. dep. R. b auch dep. Erk. Ob. hwkh h.

(Notes p. 261) Mittw. den 5. Xbris
Iid. Lect. acta vom 17. und 24. 9.bris jüngst in s. Christian Kimmich Ca. E. E. hwkh der Kurtz Meßerschmidt, dieße bitteten Zu mündlicher V.antw. dep. so willfahrt. Appellant ferner gehört, sagt, der soldat habe Von dißen messerern auch 3. im ruobenloch Versetzt, welche, hernach durch die Meisterschafft außgelößt worden. nôe der Msch. Zugeg. Daniel Froschhammer ob.str. Johann Heinrich schneider und Rudolph halter welche geantwortet, der soldat habe die Waahr umb selbige denen officirern Zu Verkauffen von gegnern empfangen und weilen mit denen officirern nicht habe Zu recht kommen können, habe er sie hin und wid. in würths und andere häußer herumbgetragen. der appellant rep. dieße habe der soldat ohne sein wissen und willen gethan, bezoge sich übrigens auf den jnhalt seiner appel. schrifft. die appellaten beruffen sich auf den 6. jhrer art. vom 14. 9.br. 1739. vid.
H. dep. d. nicht nur allein die sent. à quâ Zu confirmiren sondern auch die confiscation der saisirten waahr beÿ Zu setzen appellant mit seinem begehren abzuweißen und in die unkosten Zu condemniren. Erk. in plenum

(p. 620) Sambstag d. 15. Xbris 1742. – Moss nôe Ejusd [Kurtz Meßerschmid] C. Christian Gimmich. bittet ut modo. Erkannt ut ante.

(p. 650) Sambstag d. 22. Xbris 1742. (notes p. 279)
Bescheid. Montag den 10. Xbris 1742. In sachen Christian Gillig des burgers und Kurtz Meßerschmidts Appellanten ane einem, entgegen und Wieder E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmid Appellaten, am andern Theill, Auff producirten bescheid so den 5. Nov. jüngst beÿ ged. Meisterschafft Ergangen und laut deßen und laut deßen gemelter Gimmig, weilen er durch einen Soldaten mit Meßer und Schirm haußieren geschickt in 5. lib straff condemnirt worden. Appellations Klag juncto petito der Appellanten von dieser gantz wiederrechtlichen straff Zu absolviren und die Appellatische Meisterschafft in alle Ihnen deßfalls muthwillig Verursachte unkosten, und Versaumnis Zu condemniren, der Appellaten beÿ gebettener bewilligter und beseßener Deputation darüber gethane Verantwortung und all übriges angehörte Vor: und anbringen, Ist der Hh. Depp. abgelegten Relation nach Erkant, Wird die Sententia â quâ confirmirt, und der Appellant in alle unkosten condemnirt, jedoch solle Ihme die saisirte Waahr, gegen wieder erstattung des jenigen so die Meisterschafft solche außzulaßen, bezahlt hat, Wieder Zurück gegeben werden.
Zu Mhh stellend ob Sie dieße Auffsatz also genehm halten vnd dabeÿ erkennen wollen, daß dieselbe in dieser formn expedirt und denen petenten Zugestellt werden sollen. Erkand Quod sic.

1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
(p. 29) Moss. noe. E. E. Handwercks der Kurtz Meßerschmidt C. Christian Kimmich pt° bescheids so anfangs 1743 ergang. bitt ut modo [communication des Bescheids]. Erk. ut modo. [willfahrt]

Fils du pasteur de Gertwiller Jean Georges Gimmig, Chrétien Gimmig épouse en 1746 Marie Madeleine Brantz, fille du fabricant de harnais argentés et de boutons d’étain Emmanuel Brantz : contrat de mariage, célébration
1746 (11.6.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 540) n° 18
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Christian Gimmig, leedigen Meßerschmid, Weÿland S: T: Herrn Magister Johann Georg Gimmig geweßenen wohlmeritirten Evangelisch Lutherischen Pfarrers Zu Gertweÿler nunmehr seeligen, mit der Viel Ehr: und Tugendreichen frauen Mariæ Dorotheæ gebohrnen Strohlin ehelich erzeugtem herrn Sohn, als dem Bräutigamb an einem,
So dann der Viel Ehr: und Tugendbegabten Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Brantzin des Ehrenvest und Wohl Vorachtbahren herrn Emanuel Brantz, Versilbert Knöpff: und Pferdzeugmachers, auch burgers allhier Zu Straßburg, mit der Viem Ehr: und tugendreiche, Frauen Mariæ Salome gebohrner Roßnerin ehelich erziehlten Jungfer Tochter als der Jungfer hochzeiterin an dem andern theil
So beschehen und Verhandelt in der Königlichen Stadt Straßburg auf Sambstag den 11. Junÿ Anno 1746 [unterzeichnet] Christian gimmig als hochzeiter, Maria Magdalena brantzin Alß hochzeitrin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 144 n° 26)
aô 1746. d. 20. Jul. Seind nach Zweÿmahliger Ausruffung Dominicis V.ta & VI.ta post Trinitatis in der Kirche Zu S. Wilhelm ehelich copulirt und eingesegnet worden. H. Christian Gimmig, der ledige Messer Schmidt u. burger allhie, Weÿl. H. Joh: Georg Gimmig gewesenen Pfarrers Zu Scharrachbergheim u. Irmstett u. fr. Mariæ Dorotheæ Strehlin ehl. Sohn und Jungfrau Maria Magdalena H Emanuel Brantzen Kunsterfahrnen Zinn Versilbert. Knöpff v. Pferd Zeug Machers v. b. alhie u. fr. Mariæ Salome Roserin ehl. Tochter [unterzeichnet] Christian Gimmig als Hochzeiter, Maria Magdalena Brantzin als hochzeiterin (i 147)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que Chrétien Gimmig a achetée un mois auparavant. Les apports du mari s’élèvent à 2 834 livres, ceux de la femme à 882 livres.

1746 (28.7.), Not. Euth (Jean, 6 E 41, 514) n° 40
Inventarium über des Wohl Ehren: und Wohl Vorgeachten Herrn Christian Gimmig des Meßerschmidts und der Viel Ehr und Tugendreichen frauen Mariæ Magdalenæ Gimmigin gebohrener Brantzin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1746. (…) welche der Ursachen beschrieben worden, alldieweilen beede Eheleute in der unterm 11.ten Junÿ dießes 1746.sten Jahrs mit einander auffgerichteten Eheberedung und des darinn enthaltenen 3.ten paragraphi, solches mit einander abgeredet und Stipuliret haben, Inventirt und ersucht durch Sie beede Eheleute selbsten (…) Actum Straßburg in beÿseÿn und Persönlicher Gegenwarth H Emanuel Brantzen versilbert Knöpff: und Pferdzeugmachers auch burgers allhier der Ehefrauen geliebten H: Vatters und respectivé beÿstand auf Donnerstag den 28.ten Julÿ 1746.

In einer allhier Zu Straßburg beÿ der großen Gewerbslaub gelegenen und dem Eheherrn Eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb an einer Behaußung so der Eheherr in die Ehe gebracht. (M.) Eine behaußung bestehend in Vorder: und hinter hauß, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, Zugehörden und rechten allhier ohnfern der großen gewerbs Laub einseit neben H Johann Friderich Berger dem Buchhändler, anderseit neben Johann Friderich Rüger dem altgewänder, hinten auff Melchior Reeb den Schuhmacher stoßend gelegen, so über hernach befindliche Passiva freÿ Ledig und eigen und ist dieße behaußung, wie solche erkaufft doch aber ohne præjuditz anzuschlagen beliebet worden vor 5225 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cantzleÿ Contract Stub auffgerichtet, mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrt de dato 2.ten Junÿ 1746.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 47, Sa. Wahren und Werckzeug Zur Meßerschmidt profession gehörig 400, Sa. silbergeschmeids 42, Sa. Goldenen Rings 6, Sa. Eigenthumbs an einer behaußung 5225, Summa summarum 5721 lb – Schulden 3000, Nach solchem abzug 2721 lb, Hierzu ist ferner Zurechnen die helfte an denen haussteuren antreffend 112 lb, des Eheherrn völlig Vermögen 2834 lb
Der Ehefrauen Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 135, Sa. Silbergeschmeids 47, Sa. Goldenen Ring 47, Sa. baarschafft 539, Summa summarum 769 lb – Dazu ist ferner Zurechnen die helffte an denen haussteuren ausmachend 112 lb, der Ehefrauen völlig Vermögen 882 lb

Chrétien Gimmig meurt en 1778 en délaissant huit enfants. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 2 453 livres, celle propre aux héritiers est déficitaire de 928 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 149 livres, le passif à 3 234 livres

1779 (26.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 825) n° 858
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren Vest und Großachtbahren Herrn Christian Gimmig, geweßenen Kurtz Meßerschmids und burgers allhier Zu Straßburg nun seel. Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1779. – nach seinem Freÿtags den 29.ten Januarÿ dießes lauffenden 1779.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft inventirt worden auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Fr. Mariæ Magdalenæ Gimmichin geb. Brantzin, der hinterbliebenen Fr. Wittib beistand. Hn Emanuel Brantz des Versilbert Pferd Zeug und Zinn Knöpffmachers auch burgers allhier, wie auch des Verstorbenen H. seel. mit vorgedachter seiner hinterbliebenen Fr. Wittib ehelich erziehlter 8. Kinder und ab intestato Verlaßener Erben auch dero Ehevögte (…) So beschehen allhier Zu Straßburg angefangen auf Mittwoch den 26.ten Maÿ 1779.
Des Verstorbenen seel. ab intestato Verlaßene Erben sind. 1.mo H. Christian Gimmig leedigen handelsmann in Manheim établirt so in selbst eigener Persohn beÿ gegenwärtigem Verlaßenschafft Geschäfft erschienen In den Ersten Achten Stammtheil, 2.do Fr. Maria Magdalena Strohmeÿerin geb. Gimmigin, H. Johann Daniel Strohmeyers des tuchhändlers und burgers allhier Ehegattin welche mit beÿhülff dießes Ihres mariti bei gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur erschienen, In den Zweÿten Achten Stammtheil, 3.tio Fr. Dorothea Sabina Weberin, geb. Gimmigin, Hn Johann Jacob Weebers des Kurtz Meßerschmidts und b. allhier Ehefrau welche unter assistentz Vorgedachten Ihres Ehevogts beÿ gegenwärtigem Verlaßenschafft geschäfft Zugegenn gewesen, In den dritten Achten Stammtheil, 4.to Jgf. Margaretha Salome Gimmigin, so 20. Jahr Zurückgelegt, beiständlich E H. Paul Leÿsers* des Kieffers und burgers allhier, welche beneben demselben beÿ dießer Verlaßenschafft Inventur Ihr Interesse besorgte, in den Vierden Achten Stammtheil, 5.to Jfr Catharina Gimmigin, in dem Fünfften Achten Stammtheil, 6.to Philipp Jacob Gimmig, in den 6. Achten Stammtheil, 7.mo Gottfried Gimmig IV.tæ Curiæ Discipulus inn den Siebenden Stammtheil und dann 8.vo Sara Gimmigin in den Achten und letzten Stammtheil, dießer Vier letzterer jüngerer Kinder geordnet und geschworenen Vogts ist Vorgedacht Johann Daniel Strohmeÿer der Tuchhändler und b. alhier, weilen aber derselbe beÿ dießem geschäfft selbsten uxorio noê interessiret ist, als were* als theilvogt Zugegen Hr Paul Kaÿßer der Kieffer und b. alhier, welcher bei gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventation dero Interesse besorgte. Alle Acht seine der Verstorbenen seel. mit vorgedachter seiner hinterbliebenen wittib ehel. erziehlte Kinder und ab intestato Zu acht gleichlingen portionen und Antheilern Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg bei der großen gewerbs laub gelegenen und in der Erben unveränderte Nahrung gehörig. behaußung befunden worden als volgt
Werckzeug und gemachte Waar Zum Kuttz Meßerschmid Handwerck gehörig
Eigenthumb ane Einer behaußung (E.) Nehml. eine behausung bestehend in Vorder und hinter Hauß, höflein und Hoffstatt, mit allen deroselben begriffen Weithen, Zugehörden Vnd Rechten gelegen alhier Zu Straßburg ohnfern der großen Gewerbslaub 1.s. neb. H. Johann Friderich berger dem Handelsmann, 2.s. neben H. Grafenauer dem Seidenhändler, hinten auf Mstr Letz dem Schuhmacher stoßend so gegen männig. frei, Ledig eigen und durch löb. Stadt Straßburg geschworner Werckleuthe vermög Abschatzung Zettul Vom 3.ten Maÿ huj. anni gewürdiget pro 1500. dießerwegen ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhiesiger löblicher Cantzlei Contract Stub Verfertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt, de dato 2.ten Julÿ 1746.
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib wehrend dieser Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Zufolg Inventarÿ über beeder nun Zertrennten Ehepersohnen mit einander ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen dh. H Notar Euth in aô 1746. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ der Wittib ohnverändert Guth, Sa. haußraths 7, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 6, Sa. guldener ring 10, Sa. Pfenningzinß hauptguths 500, Sa. Gülth von liegenden güthern 18, Sa. Schuld 100, Ergäntzung 1807, Summa summarum 2453 lb
Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. Kleÿdung 12, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthum an einer behaußung 1500, Summa summarum 1514 lb – Schulden 2442, Passiv onus 928 lb
Das theilbahre Guth, Sa. haußraths 88, Sa. Werckzeug und gemachter waar Zum Kurtz Meßerschmidt handwerck gehörig 14, Sa. lährer Vaß 29, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 15, Sa. baarschafft 76, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1575, Sa. Schulden 2349, Summa summarum 4149 lb – Schulden 3234 lb Nach solchem abzug 915 lb
Stallsumm 2027 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in der Erben ohnveränderte Nahrung zugeltend 298, in die theilbare Nahrung Zugeltend 2203 lb
Copia der Eheberedung (…) den 16.ten Junÿ 1746, Johannes Euth

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 400 florins (1 700 livres) sur un total de 4 000 florins
1779, Livres de la Taille (VII 1180) f° 254-v
Schmidt N° 4645 Weÿl. – Weÿl. Christian Gimmig des Kurtz meßerschmids und Burgers allhier Verlaßenschafft invent. H. Not. Lobstein
Concl. final. jnvent. ist fol. 114., 2440 lb 6 ß 10 ½ d davon gehet aber wieder ab wegen den a 4 pro Cento angelegter Capitalien und nicht genoßenen active schulden 413 lb 5 ß 3 d Verbleibt 2027 lb 1 ß 7 ½ d die machen 400[0] fl. Verstallte 600 fl. zu wenig 3400 fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo a 10 lb 4 ß 61 lb 4 ß
und 4 Jahr in simplo 20 lb 8 ß
Ext. kein Stallgeldt
gebot 2 ß 6 d
Abhandlung 5 lb 7 ß 6 d (Summa) 87 lb 2 ß
das Simplex nachgelaßen, restiert 66 lb 14 ß
dt. 26. junÿ 1779.

Marie Madeleine Brantz loue un appartement au négociant Paul des Jardins

1781 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 655 n° 269
D° Marie Madeleine Gimmig née Brantz veuve du Sr Chrétien Gimmig coutelier sous l’assistance de M. Emanuel Brantz marchand boutonnier et conseiller siégeant au grand Sénat
Bail à M. Paul des Jardins, négociant
un appartement complet dans la maison qui lui appartient en propre au bas des Arcades vis à vis la tribu des Pelletiers, d’un côté le Sr Berger, de l’autre le Sr Graffenauer marchand passementier, l’appartement consiste en une boutique, petit comptoir, plus le premier étage en entier, plus au cinquième étage deux chambres, une cave séparée et un sellier dans la cour – pour 3 années à commencer ce jour moyennant un loyer annuel de 480 livres

Marie Madeleine Brantz meurt en 1787. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 5 011 livres, le passif à 500 livres.

1787 (19.7.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 888) n° 363
Inventarium über Weiland der ehren und tugendbegabten Fraun Maria Magdalena Gimmichin geb. Branzin auch weil Herrn Christian Gimmig gew. Kurtzmeßerschmidts hinterbliebenen Wittib Verlassenschafft, nach ihrem den 24. Junÿ jüngst erfolgten Absterben hinterlassen hat
Der verstorbene seelig ab intestato Verlassenen Erben sind 1. Herr Christian Gimmich leedig majorenner handelsmann in Marseille etablirt in deßen Nahmen H. Emanuel Brantz der Knöpffabricant, 2. Frau Maria Magdalena geb. Gimmigin herrn Johann Daniel Strohmeÿers des Tuchhändlers Ehegattin, 3. Fr. Dorothea Salome geb. Gimmigin herrn Joh: Jacob Weebers des Kurtzmeßerschmidts Ehegattin, 4. Fraun Margaretha Salome geb. Gimmigin Herrn Johann Daniel Ott des Ohlmüllers Ehegattin, 5. Fr. Maria Catharina geb. Gimmigin herrn Johann Michael [Roser] des frantzösischen becken Ehegattin, 6. herr Philipp Jacob Gimmig leediger Handelsmann in Marseille, 7. herr Gottfried Gimmig ebenmäßigen leedigen handelsmann in Marseille, So dann 8. Jungfer Sara Gimmigin dieser dreÿ letztbenahmßen jüngern Kinder geordnet und geschworener vogt ist vorgeadchter Herr Johann Daniel Strohmeÿer der tuchhändler [unterzeichnet] Maria Katharina Roserin, Johann Michael Roser
Declation und resperctive Vergleich wegen dieser Verlassenschafft
Copia der Verordnung unter Kindern, 6. sept. 1786 Not. Lobstein

in einer beÿ der großen Gewerbslaub gelegen und in diese Verlassenschafft gehörigen behaußung
Eigenthum an einer behaußung, Nemlich eine behaußung bestehend in Vorder: und Hinterhauß Höflein und hoffstatt mit allen übrigen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen ohnfern der großen Gewerbslaub einseit neben Weiland herrn Johann Friedrich Bergers gew. handelsmanns Wittib und erben anderseit neben H. Joh: Daniel Graffenauer dem Seidenhändler und Knopffmacher hinten auf Mr. Letz den Schumacher, Welche behaußung in dem über weil. herrn Christian Gimmich geweßen Kurtzmeßerschmidts der Defunctæ Ehemanns Verlassenschafft durch H. Not. Lobstein im Jahr 1779 die hiesiger löbl. Stadt geschwornen Werckmeister gewürdiget und wobeÿ es auch dermalen auf erhaltenen erlaubnis der herrn dreÿ löbl. Stadt Stalls wieder gelaßen worden ist pro 1500. lb. Über diese behaußung ist vorhanden C.C. Stub Kaufbrieff de dato 2. Julÿ 1746
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 131 lb, lerer Faß 9 lb, silbers 17 lb, goldene ringe 4 lb, pfenningzinß hauptgüter 3350 lb, behaußung 1500 lb, Summa summarum 5011 lb – Schulden 500 lb, Nach deren Abzug 4510 lb, Prælegaten 198 lb, restirt 4312 lb, beschluß summa 4510 lb, Stall summa 3900 lb, Zweiffelhaffte und verlotrene schulden 1666 lb,
Verkauf und Erlös Register (f° 14) N° 12, Hr Jean Claude Besson der handelsmann als Käufer der in diese Verlassenschafft gehörig gewesenen behaußung zufolg der in C.C. Stub im Monat Dec. 1787 passirten Kauffverschreibung

Les enfants et héritiers Gimmig vendent la maison au marchand Jean Claude Besson.

1787 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 661 n° 438
H. Exsenator Emanuel Brantz der handelsmann vor und innahmen H. Christian Gimmig des in Marseille seßhafften handelsmanns, Fr. Maria Margaretha geb. Gimmigin H. Johann Daniel Strohmeÿer des handelsmanns Ehegattin, Fr. Dorothea Salome geb. Gimmigin Johann Jacob Weber des kurtzmeßerschmidts Ehefrau, Fr. Margaretha Salome geb. Gimmigin Daniel Ott des ohlmüllers Ehegattin, Fr. Maria Catharina geb. Gimmigin H. Johann Michael Roßer des frantzösischen becks Ehefrau, H. Paul Kaÿßer der kieffermeister als geordneter und geschworener vogt Philipp Jacob Gottfried und Sara der Gimmig, samtlich weÿl. Maria Magdalena in geb. Brantzin kinder und Erben
in gegensein H. Johann Claudius Besson des handelsmanns
die in angeregte mütterliche nachlassenschafft gehörig gewesene behausung bestehend in vorder und hinter hauß, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ohnfern der großen gewerbslaub, einseit neben weÿl. H. Johann Friedrich Berger handelsmanns wittib und erben, anderseit neben H. Johann Daniel Graffenauer dem seidenhändler, hinten auff Mr Letz den schuhmacher – um 10.320 gulden, meistgebotten

Fils du marchand Claude François Besson de Soultz en Basse-Alsace, Jean Claude Besson épouse en 1786 Catherine Salomé Riff, fille du sellier Michel Riff : contrat de mariage, célébration
1786 (2.1.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 101
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen sind, Herr Jean Claude Besson, der leedige Handelsmann Herrn Claude François Besson, des Handelsmanns und frauen Mariä Evä gebohrner Romer, beede Eheleute und Inwohner in Sultz im untern Elsaß ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich seines H. vatters allhie anwesend,
So dann Jungfer Catharina Salome Riff, Herrn Michael Riff des Sattlers und Frau, Mariä Salome gebohrener Tetard beeder Ehepersohnen und burgere dahier ehelich erziehlte Tochter unter assistentz ihres Herrn Vatters, als Hochzeiterin ane dem andern Theil [unterzeichnet] C Besson, Catherine Riff

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 243)
Hodie 23 januarii anni 1786 (…) in facie ecclesiæ sacro matrimonii vinculo conjuncti sunt joannes claudius Besson, oriundus ex mox dicto Sultz (inferioris hujus dioecesis) filius minorennis claudii besson mercatoris et civis et Evæ Rauer conjugum in Sultz commorantium, parochianus noster ex una, et Catharina Salomea Riff, filia minorennis Michaelis Riff civis hic et Ephipparii et Salomeæ tetart conjugum parchiana nostra ex altera partibus (signé) Jean Claude Besson, Catherine Salomé Riff (i 121)

Jean Claude Besson devient bourgeois par sa femme trois jours après son mariage.
1786, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) p. 99-v
H. Claudius Besson des handelßmann von sultz im vntern Elsaß gebürtig herr Joh Claudius Besson des burgers vnd ein handelßmann daselbst ehl. sohn verheurathet mit Catharina salome riffin H Michael Riff des sattlers vnd Burgers allhier ehl tochter erhalt das burgerrecht ab uxore vmb d. alt. burger schilling will dienen Zu E. E. Zunfft Zum spiegel, juravit d. 25.t jenner 1786.

Catherine Salomé Riff meurt en 1816 en délaissant six enfants. L’inventaire est dressé dans la maison au quartier des Souabes.
1816 (13.5.), Strasbourg 6 (42), M° Meyer n° 1197
Inventaire de la succession de Catherine Salomé née Riff, épouse de Jean Claude Besson, décédée le 18 avril dernier – à la requête de Jean Claude Besson, négociant, tuteur naturel de François Paul et François Henri ses deux enfants nés de son mariage avec la défunte, à cause de la communauté suivant contrat de mariage reçu Lederlin notaire le 2 janvier 1786, donation à cause de mort par acte reçu M° Thurmann le 24 mai 1809
plus à la requête de 1. Louis Théodor Besson, majeur, 2. Marie Thérèse Victoire Besson, majeure, 3. Marie Eve Gabrielle Besson, majeure, les trois enfants issus du mariage – en présence de Benjamin Roederer, négociant, subrogé tuteur des enfants mineurs issu du mariage et de Jean Dagobert Hyppolite Besson leur frère germain issu du même mariage actuellement absent

meubles, dans le poel au premier étage donnant sur la cour, dans la chambre à la suite, dans la troisième chambre à la suite ayant vue par une croisée sur le jardin, dans la quatrième chambre à la suite éclairée par deux croisées sur le jardin, dans la quatrième chambre à la suite ayant vue par deux croisées sur le jardin, dans la chambre vis à vis la précédente ayant vue par une croisée sur une cour d’une maison contiguë, dans la chambre à côté, dans une autre chambre à la suite éclairant par une croisée sur ladite cour, dans la chambre au second étage en face des escaliers ayant vue par deux croisées sur la cour, dans la chambre à côté, dans un grenier à la suite des chambres ci dessus, dans la chambre à la suite ayant vue par une croisée sur le jardin, chambre des soldats, au comptoir au rez de chaussée, dans la cuisine au premier étage, dans la cave 1616 fr, total des meubles, linge 2 fr, vaca* 1020 fr, garde robe 256 fr, marchandises 13 036 fr, numéraire 485 fr
Par contrat reçu M° Wengler le 31 octobre 1806 Marie Thérèse Schwendel domiciliée à Mayence veuve de Germain Breck entrepreneur des fortifications de Landau a vendu à Jean Claude Besson une maison située en cette ville quartier des Souabes n° 43 avec ses appartenances et dépendances pour 15.802 francs
dettes actives 28.634 fr, total de la masse mobiliere commune 44.791 francs
masse immobiliere, une maison consistant en deux corps de bâtiment cour basse cour écurie grange pompe jardin potager le tout en un seul enclos au quartier des Suabes n° 43, d’un côté la rue, de l’autre la manufacture de MM Hauffé et Schneegans, devant chemin communal du rempart, derrière sur la propriété du Sr Münch, acquis par titre inventorié, estimée 13.000 francs
passif 61.424 francs

Jean Claude Besson et Catherine Salomé Riff vendent la maison au marchand joaillier Joseph Ott

1807 (2.2.), Strasbourg 10 (48), M° Zimmer n° 2130, 3036
Jean Claude Besson négociant et Catherine Salomé Riff demeurant place d’armes n° 28
à Joseph Ott marchand Jouaillier demeurant place d’armes n° 42
une maison consistant en Bâtiments sur le devant et sur le derrière cour puits appartenances et dépendances scise à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes marquée du n° 28, d’un côté celle de D° Marie Madeleine Suës épouse séparée quant aux biens de Jean Frédéric Berger négociant, de l’autre la veuve et héritiers Jean Daniel Graffenauer marchand de soie, devant la rue de la place d’Armes, derrière la maison des veuve et héritiers du Sr Vest cordonnier – moyennant 17.777 francs
Enregistrement, acp 101 f° 192 du 9.2.

Fils du précepteur Jean Michel Ott. Joseph Ott épouse en 1781 Louise Catherine Fibich, fille du joaillier Jean Philippe Fibich : contrat de mariage, célébration
1781 (13.3.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 45
Eheberedung – persönlich erschienen der Wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Joseph Ott, leediger Juwilierer und Goldarbeiter, weiland S. T. Herrn M. Johann Michael Ott, geweßenen Præceptoris Superioris Gymnasii auch burgers dahier seel. hinterlaßener ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich S. T. Herr, Johann Friderich Büchels treüeifrigen Pastoris emeriti der Evangelischen Gemeinde Zu Barr und Burgers allhier, seines Herrn Oncle, alß Bräutigam ane einem
So dann die Wohl, Edle und tugendgezierte Jungfer Louisa Catharina Fibichin, S. T. Herrn Johann Philipp Fibich, Juwilierer und Silberarbeiters wie auch E. E. Großen Raths alten beÿsitzers und burgers allhier ehelich erzeugte Tochter
Actum allhier Zu Straßburg Dienstags den 13. Martÿ Anno 1781 [unterzeichnet] Joseph Ott als Hochzeiter, Louisa Catharina Fibichin alls Braut

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 47-v n° 26)
Im Jahr 1781. Montags den 7. Maji Morgens um Zehen Uhr und nach vorher geschehenen Proclamationen in offentlicher Kirche ehelich eingesegnet worden H. Joseph Ott lediger Goldarbeiter und Burger allhier weiland Hn M. Johann Michael Ott gewesenen Lehrers in dem hiesigen obern Gymnasio und burgers allhier und weiland Frauen Maria Elisabeth gebohrner Eberlinin hinterlaßene ehelicher Sohn Und Jgfr Louisa Catharina Fibichin Hn Johann Philipp Fibichs Juvelierers Es. En. Grosen Raths alten beÿsitzers und burgers allhier und weiland Frauen Susanna Catharina gebohrener Sebischin ehelich erzeugte Tochter unterzeichnet Joseph Ott als Bräutigam, Louisa Catharina Fibichin als braut (i 49)

Louise Fibich meurt en 1805 en délaissant deux fils
1805 (1 vend. 14), Strasbourg 7 (21), M° Stoeber n° 2065, 6714
Déclaration sur la succession de D° Louise Fibich épouse de Joseph Ott, Jouailler, décédée le 27 germinal 13 – à la requête de 1. Philippe Joseph Ott, garçon jouailler âgé de 22 ans, 2. Charles Jonathan Ott, garçon passementier âgé de 21 ans
meubles 1063 fr, argenterie 656 fr, dettes actives et remplacement suivant contrat de mariage reçu Greiss notaire le 13 mars 1781, 5000 fr, total 6679 fr
Enregistrement, acp 97 F° 142 du 5 vend. 14

Joseph Ott se remarie en 1809 avec Marguerite Elisabeth Redslob veuve du marchand de rubans Jean Daniel Graffenauer
1809 (12.4.), Strasbourg 10 (32), M° Zimmer n° 422, 4001
Contrat de mariage – Mr Joseph Ott pere marchand Jouaillier demeurant à Strasbourg rue des Grandes arcades N° 25 veuf avec enfants de Louise Catherine Fibich décédée le 27 germinal 13
Dame Marguerite Elisabeth Redslob veuve avec enfants de feu Jean Daniel Graffenauer, marchand de Rubans en détail, décédé le 21 vendemiaire 14 ou 13. octobre 1805 demeurant rue des Grandes Arcades n° 27
article 3, les deux futurs conjoints etant propriétaires des deux maisons dessus enoncées la future celle n° 27 et le futur celle N° 28 il est convenu entr’eux que tout abaissement du mur de séparation ou toute porte de communication ouverte et pratiquée dans le mur de séparation desdites deux maisons ne pourront être considérées que comme une pure faveur momentanée et jamais comme un droit acquis a l’une ou a l’autre desdites deux maisons
Enregistrement, acp 111 f° 46 du 13.4.

1809 (7.4.), Strasbourg, M° Zimmer
Consentement par Marie Baum veuve Redslob au mariage de Marguerite Redslob avec Joseph Ott
Enregistrement, acp 111 F° 36-v du 7.4.

Marguerite Elisabeth Redslob meurt en 1814 en délaissant cinq enfants de son premier mariage

1814 (28.4.), Strasbourg 10 (22), M° Zimmer n° 533, 6339
Inventaire de la succession de Marguerite Elisabeth Redslob, veuve en premières noces de Jean Daniel Graffenauer, marchand de rubans, et épouse en secondes noces de Jean Joseph Ott père, bijoutier, décédée le 14 février dernier, Ladite défunte a délaissé pour ses seuls enfants 1. Caroline Marguerite Graffenauer épouse de Jean Chrétien Hasslauer porpriétaire, 2. le descendant de Charles Louis Graffenauer, fils de la défunte, enjoliveur et fleuriste, nommé Charles Louis Graffenauer né le 31 mai 1811 du mariage avec Salomé Gambs présentement épouse de Jonathan Ott négociant, Philippe Joseph Ott bijoutier subrogé tuteur dudit mineur, 3. Charlotte Marguerite Graffenauer épouse de Jean Schaeff passementier, 4. Marie Madeleine Graffenauer épouse de Philippe Jacques Ott bijoutier, 5. Frédérique Sophie Graffenauer épouse de Jean Silbermann négociant

garde robe 517 fr, meubles 1337 fr, farine et sel 46 fr, marchandises 14.400 fr, vins tonneaux 588 fr, argenterie, or, bijoux 296 fr, numéraire 2631 fr, créances 4926 fr
Propriété d’une maison. Savoir une maison avec cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes n° 27 d’un côté celle des veuve et héritiers Eloy, de l’autre celle dudit Sr Ott veuf ci devant Besson en partie celle du Sr Vest cordonnier, derrière le Sr Vest – occupée par la défunte, estimée à un revenu de 900 francs faisant en capital 18.000 fr – acquis trois 5° par indivis suivant acte passé par D° Hasslauer et Schaeff et Charles Louis Graffenauer devant le notaire soussigné le 7 nivôse 14
un 5° par indivis de Marie Madeleine Ott née Graffenauer au profit de sa mère, par acte devant ledit notaire le 4 avril 1807 et le 5° restant à la D° Silbermann née Graffenauer au profit sa mère le 21 juin 1813, échu aux enfants Graffenauer de la succession de leur père, suivant inventaire dressé par le notaire soussigné le 24 mars 1806. Propriété constatée par acte passé à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777
total 42.744 fr, passif 14.593 fr, reste 24.150 fr
Enregistrement, acp 124 f° 106 du 29.4.

Joseph Ott meurt en 1828 en délaissant deux enfants

1828 (13.10.), Strasbourg 10 (79), Me Zimmer n° 406
Déclaration tenant lieu d’inventaire des biens de Joseph Ott père, bijoutier décédé le 17 avril dernier, à la requête des deux enfants 1. Philippe Joseph Ott, joailler, 2. Salomé née Gambs veuve de Charles Jonathan Ott, fabricant de fleurs artificielles décédé le 17 juillet 1828, mère et tutrice légale de Mélanie Ott mineure, 3. Charles Jonathan Ott, fabricant de fleurs, 4. Jonathan Martin, capitaine retiré, chevalier de la Légion d’honneur tuteur ad hoc attendu que Philippe Jacques Ott subrogé tuteur est lui même intéressé. Joseph Ott était veuf en premières noces de Louis Catherine Fibich et en secondes des Marguerite Elisabeth Redslob, elle même veuve en premières noces de Jean Daniel Graffenauer, marchand de rubans
immeuble, une maison sise à Strasbourg entre les Grandes Arcades et la place d’Armes n° 28, d’un côté Joseph Krick, négociant, de l’autre Marie Madeleine Fües épouse de séparée quant aux biens de Jean Frédéric Berger, négociant, derrière la maison sise dans la ruelle de l’école n° 4 appartenant à Philippe Joseph Ott cohéritier, ci devant veuve et héritiers Vest. La moitié indivise est échue au défunt pour lui avoir été cédée par Philippe Joseph Ott son frère co propriétaire de l’autre moitié par cession reçue M° Zimmer le 4 juin 1828. Le rez de chaussée, premier et quatrième étage sont occupés par Sr Ott fils joailler pour 700 fr, le deuxième étage occupé par le défunt Sr Ott père, 200 fr, le troisième occupé par la veuve Keller pour 900 fr, la totalité 1100 fr de revenu faisant en capital 22 000 fr
Enregistrement, acp 191 (3 Q 29 889) f° 133 du 14.10. – Garde robe 100, boiserie 231, literie 179, linge 108, argenterie 213, total 931 francs
Immeubles, une maison à Strasbourg n° 28 près les grandes arcades 22.000 francs
une tuilerie à Wolfisheim 8000 fr, 15 ares 69 ca terres ban dudit lieu 600 fr et 80 ares de terres et pré ban dudit lieu 800 fr, vignes à Pfulgriesheim 330 fr, total 31.730 francs – passif 5300 fr

Charles Jonathan Ott vend sa moitié de la maison à son frère Philippe Joseph Ott qui en devient seul propriétaire

1828 (24.6.), Strasbourg 10 (78), Me Zimmer n° 338
Charles Jonathan Ott, fabricant de fleurs artificielles, et Salomé née Gambs
à Philippe Joseph Ott frère du Sr vendeur, joailler
la moitié indivise dans une maison, consistant en bâtiment de devant et de derrière cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg entre les Grandes Arcades et la place d’Armes n° 28 d’un côté le Sr Joseph Krick, négociant, de l’autre Marie Madeleine Fuës épouse de séparée quant aux biens de Jean Frédéric Berger ci devant négociant par devant la place d’Armes, par derrière la maison sise dans la ruelle de l’Ecole n° 4 appartenant à l’acquéreur – provenant de la succession de Joseph Ott père, jouailler décédé le 17 avril 1728 dont il est héritier pour moitié – le Sr Ott père l’a acquis de Jean Claude Besson, négociant, par acte reçu M° Zimmer le 7 février 1807 – moyennant 14.500 fr
Enregistrement, acp 190 f° 14 du 25.6.

Philippe Joseph Ott épouse en 1807 Marie Madeleine Graffenauer, fille du passementier Jean Daniel Graffenauer
1807 (8.4.), Strasbourg 7 (29), M° Stoeber n° 465, 7814
Contrat de mariage – ont comparu en personne le Sr Philippe Joseph Ott, garçon jouaillier de cette ville, fils du Sr Joseph Ott aussi jouaillier de ladite ville et de défunte D° Louise Catherine Fiebich comme futur époux d’une part
et Delle Marie Madeleine Graffenauer, fille de feu le Sr Jean Daniel Graffenauer vivant passementier en la susdite ville et de Dame Marguerite Redslob sa veuve comme future épouse d’autre part
Fait passé et interprété en langue allemande à Strasbourg en la demeure du père du susdit futur époux le 8 avril 1807 (signé) Philipp Joseph Ott, Marie Madeleine Graffenauer
Enregistrement, acp 102 F° 97-v du 15.4.

Philippe Joseph Ott meurt en 1843 en délaissant cinq enfants

1843 (4.12.), Strasbourg 10 (102), Me Zimmer n° 4992
Déclaration tenant lieu d’inventaire, 4 décembre 1843 – Philippe Joseph Ott, joailler
ont comparu 1) Mme Marie Madeleine Graffenauer veuve de Mr Philippe Joseph Ott en son vivant joaillier à Strasbourg où il est décédé le 9 juin dernier, agissant dans les qualités suivantes 1. comme ayant droit à la moitié de la communauté de biens qui a existé entre entre elle et feu son époux aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Jean Daniel Stoeber, alors notaire à Strasbourg le 8 avril 1807, 2. comme donataire de l’usufruit viager de la moitié de la succession laissée par son époux en vertu du même contrat de mariage, 3. à cause du don matutinal stipulé à son profit par ledit contrat de mariage, 4. et comme créancière de la communauté et des biens propres du défunt pour raison de ses reprises et des avantages matrimoniaux
2. Mr Auguste Théodore Ott, bijoutier, 3. Louise Adélaïde Ott, majeure sans état, 4. Mr Frédéric Emile Ott, commis négociant, 5. M. Charles Joseph Ott, bijoutier, tous demeurant à Strasbourg, ce dernier agissant tant en son nom personnel que comme mandataire général et spécial à l’effet des présentes de Mad. Emilie Hortense Ott, épouse de Mr Philippe Hammel, confiseur, les deux demeurant à Baden (…) lesdits Srs et Dlle Ott & Mme Hammer seuls enfants et uniques héritiers chacun pour un cinquième dudit défunt Sr Philippe Joseph Ott leur père

Expédition du contrat de mariage (…)
Masse propre au défunt. 2. Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes N° 28, tenant d’un côté à Mr Krick, négociant, de l’autre à Mme Berger sur la ruelle de l’école où elle porte le N° 4, cette maison est estimée par les parties à un revenu annuel de 1910 francs formant au centime vingt un capital de 38.200 francs. Cet immeuble formait autrefois deux maisons distinctes dont l’une dépendait de la succession de M. Théophile Ott père, dont le défunt était héritier pour une moitié, aux termes de la déclaration tenant lieu d’inventaire dressée par M° Zimmer soussigné le 13 octobre 1828 sus relatée. M. Philippe Joseph Ott a acquis l’autre moitié de ladite maison de son frère M. Charles Jonathan Ott, héritier pour l’autre moitié, aux termes d’une cession de droits immobiliers passée devant M° Zimmer, soussigné le 24 juin 1828, le prix de cette acquisition est encore dû.
Le défunt Sr Joseph Ott avait acquis la totalité de la maison de Jean Claude Besson négociant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Zimmer père le 7 février 1807.
Quant à l’autre maison dans la rue de l’école N° 4 M. Philippe Joseph Ott l’avait acquise conjointement avec sa veuve survivante des veuve et héritiers de M. Georges Fest, en son vivant cordonnier à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 12 juin 1826. Par suite des constructions qui y ont été faites par les conjoints Ott, cette dernière maison ne fait plus qu’une seule et même maison avec la première qui est propre aux héritiers et comme il est impossible de séparer actuellement les deux immeubles les parties l’ont également considéré comme propre et ont porté au chapitre des récompenses dues à la communauté le prix et les frais d’acquisition
2. Un jardin avec une maison située à Wolffisheim (…)
acp 317 (3 Q 30 032) f° 26-v Masse active de la communauté. Un mobilier, linge et argenterie évalué à 1435, créances 3655, total 5090
Reprises dues à la veuve 17.641, Reprises en deniers dues aux héritiers 11.478 de laquelle somme il faut déduire les récompenses dues à la communauté 7245, reste 4213.
Passif de la communauté 27.251, la masse active ne montant qu’à 5090, il a un déficit de 22.160
Masse propre au défunt. Garde robe 145
Une maison à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes N° 28, estimée en capital 38.200
Un jardin avec une maison située à Wolffisheim sur le canal d’un revenu annuel de 75, en capital 1500
Total 39.360, l’actif ne s’élevant qu’à 39.845 il y a un déficit de 484 francs dont moitié aux héritiers et moitié grevée d’usufruit au profit de la veuve
Droit de Mme la veuve Ott, don matutinal 1000, ses reprises 17.671, total 18.571.

Marie Madeleine Graffenauer veuve du joaillier Philippe Joseph Ott et ses enfants hypothèquent la maison au profit de Marguerite Frédérique Weber, veuve de l’architecte Gédéon Emanuel Stuber

1843 (30.9.), Strasbourg 10 (101), Me Zimmer n° 4922
Obligation. 30 septembre 1843. – ont comparu 1. Mme Marie Madeleine Graffenauer demeurant à Strasbourg, veuve de Mr Philippe Joseph Ott en son vivant joaillier en cette ville, 2. Mr Auguste Théodore Ott, bijoutier, 3. Mlle Louise Adélaïde Ott, sans état, majeure, 4. Mr Frédéric Emile Ott, commis négociant, 5. M. Charles Joseph Ott, bijoutier, et Dame Marie Louise Frantz, sa femme, de lui dûment autorisée à l’effet des présentes, tous demeurant à Strasbourg, ce dernier agissant tant en son nom personnel que comme mandataire général et spécial à l’effet des présentes de Mme Emilie Ott, épouse dûment autorisée de Mr Philippe Hammer, confiseur, les deux demeurant à Baden (…) lesquels comparans ont reconnu et déclaré qu’eux et Mme Hammer doivent bien et légitimement
à Mme Marguerite Frédérique Weber, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Gédéon Emanuel Stuber, en son vivant architecte en cette ville, pour laquelle Dame créancière est ici présent et accepte M. Frédéric Auguste Stuber, architecte demeurant à Strasbourg, Une somme principale de 15.000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèque spéciale, Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes N° 28, tenant d’un côté à Mr Krick, négociant, de l’autre à Mme Berger, par devant sur la rue de la place d’armes et par derrière sur la ruelle de l’école où elle porte le N° 4. Les Srs et Dlle Ott comparants et la Dame Hammer ont recueilli cet immeuble dans la succession de leur père M. Philippe Joseph Ott en son vivant joaillier en cette ville où il est décédé le 9 juin dernier et dont ils sont les seuls et uniques héritiers ainsi qu’ils le déclarent. Le défunt St Ott en était propriétaire pour en avoir hérité une partie de son père Mr Joseph Ott dont il était héritier pour moitié suivant déclaration tenant lieu d’inventaire dressée par M° Zimmer soussigné le 13 octobre 1828 et pour avoir acquis une autre partie de son frère M. Charles Jonathan Ott, suivant cession dressée par M° Zimmer, soussigné le 24 juin de la même année et la dernière partie le défunt Sr Ott l’avait acquise conjointement avec sa veuve survivante de Jean Georges Fest suivant contrat de vente dressé par M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 12 juin 1826.
Les comparants certifient sous les peines de droit que cet immeuble leur appartient encore en toute propriété ainsi qu’à Mme Hammer et qu’il n’est grevé d’aucune autre dette, rente, privilège ni hypothèque que (…)

Charles Joseph Ott rachète les parts de ses frères et sœurs

1852, Enregistrement de Strasbourg, ssp 112 (3 Q 31 611) f° 29 du 11.6.
15 mai 1852. Vente immobilière – Les soussignés savoir 1° Mr Auguste Théodore Ott, bijoutier à Strasbourg, 2° Mlle Louise Adèle Ott, majeure sans état à Strasbourg, 3° Mad. Emilie Hortense Ott, épouse du Sr Hammel confiseur à Baden, de ce dernier dument autorisée à cet effet, 4° Mr Frédéric Emile Ott, bijoutier à Alger, tous propriétaire par indivis chacun pour un 5°
conjointement avec leur frère Charles Joseph Ott, bijoutier à Strasbourg, copropriétaire pour l’autre 5° vendent à à dernier en toute propriété
les 4/5 qui leur appartiennent d’une maison située au bas des grandes arcades portant le n° 28 d’un côté les héritiers de Me Stammler épinglier de l’autre les héritiers de Mr Krick, ladite maison ayant une entrée par son bâtiment arrière dans la rue de l’école portant le N° 4, d’un côté encore les héritiers Stammler et Krick, de l’autre les héritiers Erdmann
Ils la vendent avec tous ses droits et dépendances dans l’état où elle se trouve avec tous les trumeaux, glaces, portes, volets, doubles croisées et autres objets de cette nature qui par leur destination font partie de ladite maison, pour les quatre cinquièmes d’une somme principale de 32.200 francs, à laquelle la maison a été estimée dans la déclaration tenant lieu d’inventaire lors de la succession de M. Philippe Joseph Ott leur père y décédé le 9 juin 1843 et dressé par M° Zimmer notaire à Strasbourg le 4 décembre 1843
Cet immeuble faisait autrefois deux maisons distinctes dont l’une portant le N° 28 pour une moitié dépendait de la succession de M. Ott bijoutier, leur grand père, suivant déclaration tenant lieu d’inventaire dressée par M° Zimmer notaire le 13 octobre 1828 et pour l’autre moitié a été acquis par feu M. Philippe Joseph Ott de son père Charles Jonathan Ott aux termes d’une cession de droits immobiliers passée devant le même notaire le 24 juin 1828.
La maison portant le N° 4 dans la rue de l’école a été acquise par M. Philippe Jacques Ott conjointement avec feu dame Marie Madeleine Graffenauer son épouse, suivant acte de vente reçu M° Wengler notaire à Strasbourg le 12 juin 1826 de la veuve et des héritiers du Sr Georges Fest cordonnier à Strasbourg et par les constructions intérieures les deux maisons sont devenues inséparables (v. le titre cité ci-dessous)
Le Sr Charles Joseph Ott prendra à sa charge entière et à la décharge de ses frères et sœurs une somme de 32.000 francs hypothéquée sur ladite Maison et qui est due savoir (…)

Charles Joseph Ott épouse en 1833 Marie Louise Frantz. Les père et mère du futur époux promettent d’associer leur fils dans leurs affaires et de loger les nouveaux conjoints gratuitement pendant un an
1833 (29.10.), Strasbourg 3 (84), Me Kratz n° 199
Contrat de mariage – Charles Joseph Ott, ouvrier bijoutier, fils né le 1 avril 1808 de Philippe Joseph Ott, bijoutier, et de Marie Madeleine Graffenauer
Marie Louise Frantz née le 4 février 1813 fille mineure de Philippe Jacques Frantz, propriétaire, et de Marie Schwebel
régime de la communauté réduite aux acquets
art. 6, promettent de recevoir leur fils comme associé à la fabrication et à la vente de l’orfèvrerie et bijouterie établie dans leur maison place d’Armes n° 18 vers les Grandes Arcades, à dater de la célébration. Enfin les conjoints Ott père et mère donnent aux futurs époux le logement au troisième étage pour une année gratuitement jusqu’au 25 décembre 1834, pour un loyer évalué à 250 francs
Enregistrement, acp 221 F° 6-v du 2.11.

Charles Joseph meurt en 1861 en délaissant trois enfants

1861 (4.6.), Strasbourg 10 (144), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.030
Inventaire de la succession de M. Charles Joseph Ott, en son vivant bijoutier à Strasbourg où il est décédé le 10 mai 1861.
L’an1861 le mardi 4 juin à huit heures du matin, à la requête I. de Madame Marie Louise Frantz, veuve de M. Charles Joseph Ott, en son vivant bijoutier à Strasbourg, agissant A. en son nom personnel 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts & partageable par moitié qui a existé entre entre elle e son défunt mari, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Kratz, alors notaire à Strasbourg le 29 octobre 1833, 2° comme créancière de cette communauté & même de la succession de son mari pour raison des reprises qu’elle peut avoir à exercer, résultant soit de son contrat de mariage soit de tous autres titres, 3° & comme donataire a) en propriété d’une somme de 600 francs à prélever à titre de don matutinal sur le plus clair des biens qui composeront la succession de son défunt mari, b) en usufruit de la moitié de tous les biens meubles & immeubles de cette succession, le tout en vertu du contrat de mariage précité. B. au nom et comme tutrice légale de Mr Charles Albert Ott, né à Strasbourg le 16 mai 1843 de son mariage avec son défunt mari
II. de Madame Louise Adélaïde Emilie Ott, épouse autorisée de M. Charles Auguste Siegfried, marchand de porcelaine ci présent, III. de Mademoiselle Mathilde Amélie Ott, en jouissance de ses droits sans état, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg.
En présence de Mr Auguste Théodore Ott, bijoutier demeurant & domicilié en cette ville, agissant en qualité de subrogé tuteur du mineur Ott (…) Mme Siegfried, Madlle Ott et le mineur Ott habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un tiers de M. Charles Joseph Ott leur père susnommé
dans les lieux ci après désignés faisant partie d’une maison sse à Strasbourg rue des grandes arcades N° 37 où le défunt est décédé

Copie du contrat de mariage (…) Article six. De plus les conjoints Ott père et mère promettent de recevoir le sr futur comme associé à la fabrication & la vente de l’orfèvrerie & bijouterie établie dans leur maison rue place d’armes N° 28 vers les grandes arcades à dater de la célébration su mariage & aux conditions qui seront ultérieurement fixées par un acte de société
Etat du Fonds de bijouterie dépendant de la communauté de biens qui a existé entre entre M. Charles Joseph Ott en son vivant bijoutier et d° Marie Louise Frantz sa veuve survivante (…) 33.861 francs
Succession. 4° Une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Grandes Arcades N° 27 autrefois N° 28
Titres. A l’appui de la propriété de la maison dépendant de la succession il existe 1° L’un des originaux du contrat de vente sous seing privé du 15 mai 1852, 2° La grosse de l’expédition de la cession immobilière du 24 juin 1828, 3 L’expédition de la déclaration tenant lieu d’inventaire du 4 décembre 1843. 4° L’original de la quittance sous seing privé du 31 décembre 1849, ces actes susrelatés. 5° L’un des originaux d’une convention sous seing privé en date à Strasbourg du 27 juillet 1852 enregistrée en la même le 26 octobre suivant folio 27 (…) cette convention a pour objet le pignon des maisons de M. Ott & de Mme Hornus née Stammler. 6° Un acte sous seing privé fait double à Strasbourg le 13 mai 1853 enregistré en cette ville le 15 du même mois folio 71 v° par lequel M. Erdmann, médecin & Madlle Wilhelmine Erdmann, les deux de Strasbourg, ont renoncé à la jouissance des latrines existant dans la maison de M. Ott rue de l’Ecole N° 4 moyennant 200 francs quittancés
7° L’expédition d’un contrat de vente passé devant M°Wengler alors notaire à Strasbourg le 12 juin 1826 par lequel M Philippe Joseph Ott, bijoutier & Dame Marie Madeleine Graffenauer conjoints en cette ville ont acquis des veuve & héritiers de M. Jean Georges Fest de la même ville la maison sise petite rue de l’église rès du temple neuf N° 4
8° La grosse d’un acte passe devant M° Hatt alors notaire à Strasbourg le 8 décembre 1825 par lequel la dite D° veuve Fest a racheté une rente foncière qui grevait ladite maison au profit de l’hôpital cibomde cette ville
9° La grosse d’un contrat de vente passé devant M° Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 7 février 1807 par lequel M. Joseph Ott a acquis de M. Jean Claude Besso, négociant & de D° Catherine Salomé Rif conjoints à &Straßburg la maison rue des grandes arcades N° 28
10° L’expédition sur parchemin d’un contrat de vente passé à la cidevant chambre des contrats de la ville de Strasbourg le 15 novembre 1787
11° L’expédition d’un contrat de vente passé devant la même chambre le 15 septembre 1630
12° L’expédition d’un contrat de vente passé devant la même chambre des contrats le 14 janvier 1758
acp 499 (3 Q 30 214) f° 62 du 8.6. (succession déclarée le 9 9.bre 1861) Communauté, mobilier 3081 – Succession, garde robe 215
acp 503 (3 Q 30 218) f° 92-v du 8.11. (vacation du 7 novembre) Communauté, Fonds de bijouterie 33.861, argent 884, Récompenses dues par le défunt 30.608, Reprises 23.716, Passif 48.427
Succession, garde robe 215, Rapport de D° Sigfried 10.515
Une Maison rue des grandes Arcades n° 37

Marie Louise Frantz et ses deux filles (le fils Charles Albert étant mort) hypothèquent la maison au profit du marchand Henri Victor Broistedt

1876 (20.5.), Strasbourg 10 (180), M° Frédéric Antoine François Pierron n° 297
Obligation. 20. Mai 1876. – sind erschienen I. Frau Maria Luise Frantz, Wittwe des Herrn Karl Joseph Ott, im Leben gewesenen Juwelenhändler, II. Frau Luise Adelheid Emilie Ott, Wittwe des Herrn Karl August Siegfried im Leben gewesenen Porzelanhändler, III. Frau Mathilde Amelie Ott, hierzu gehörig ermächtigte und verbeiständete Ehegattin des Herrn Gustav Emil Michel Juwelenhändler, hierzugegen, alle in Straßburg wohnhaft,
an Herrn Heinrich Victor Broistedt, ehemaligen Kaufmann in Straßburg wohnhaft, Gläubiger hierzugegen und solches annehmend, die Hauptsumm von 4000 Franken oder 3200 Mark (…)
Hypothekenpfand. ein Haus mit Hof, Rechten und depedenzien in Straßburg gelegen, an den Gewerbslauben N° 37 (früher rue des grandes arcades Nr 28) einseits Eigenthum Manrique anderseits dasjenige des Herren Elbel, hinten auff das Dominikanergäßchen stoßend wo dieselbe einen Ausgang unter N° 5 hat (früher rue de l’école N° 4)
Eigenthums-Recht. Dieses Haus gehörte früher dem oben genannten Herrn Karl Joseph Ott, ein fünftel um dasselbe ererbt zu haben in der Verlaßenschaft seines verstorbenen Vaters Herrn Philipp Joseph Ott, und die übrigen fünftel um die auf Lizitations wege erkauft zu haben von seinen vier Geschwistern Herr August Theodor Ott, Fräulein Luise Adèle Ott, Frau Emilie Hortense Ott, Ehegattin des Herrn Philipp Hammer, Zuckerbäcker und Herr Friedrich Emil Ott Juwelierhändler, laut Privat Kauf von Straßburg vom 15. Mai 1852 datirt, in derselben Stadt den 11. Juni desselben Jahrs folio 29 (…) registrirt.
Nach dem Ableben des Herrn Karl Joseph Ott fiel diese Liegenschaft seinen drei Kindern und einzigen Erben zu, die obengenannten Frauen Siegfried und Michel und Herr Karl Albert Ott, sowie dieses bestätigt ist durch das Inventar dieses Nachlasses durch Herrn Ludwig Friedrich Zimmer damals Notar in Straßburg, Vorgänger des unterschriebenen Notar den 4. Juni 1861 errichtet, in desem Act ist noch bestätigt daß die Wittwe Ott gebohrne Frantz die lebenslängliche Nutznießung der Hälfte des oben beschriebenen Hauses hat, zufolge den in ihrem Ehevertrag durch H Kratz damals Notar in Straßburg den 29. Oktober 1833 errichtet, enthaltenen Bestimmung.
Nach dem Ableben des Herrn Karl Albert Ott fiel dessen Antheil an demselben Hause seiner Mutter für einen vierten theil zu und für die übrigen drei Viertel seinen beiden Schwester die Frauen Siefgried und Michel. So daß also heute dieses Haus unvertheilt in Eigenthum gehört der Wittwe Ott für zwei 24. und den beiden Frauen Siegfried und Michel für die übrigen 22/24.
Civil und Hypothekenstand. Die Wittwe Ott und ihre beiden Kinder erklären 1) daß die erstere noch Wittwe in erster Ehe ist, 2) daß die Wittwe Siegfried ebenfalls noch Wittwe in erster Ehe ist, mit drei noch minderjährigen Kinder, denen gesetzliche Vormünderin sie sit, 3) daß die Ehegatten Michel in erster Ehe unter dem Regime der Gütergemeinschaft so auf Errungenschaft beschränkt ist, verheirathet sind laut ihrem Ehevertrag durch genannten Notar Zimmer den 17. August 1855 errichtet, (…)

Louise Frantz lègue la maison à son gendre Gustave Emile Michel

1885 (27.10.), Strasbourg 10 (212). M° Frédéric Pierron
Hinterlegung des in folgender Nummer registrirten Testaments
acp 769 (3 Q 30 484) f° 41 n° 2572 du 28.10.
n° 2573. Testament der am 21. Oktober 1885 hieselbst verstorbenen Luise Frantz Wittwe Ott, lautend übersetzt wie folgt
Ich verkaufe mein Haus dem Herrn Michel zum Preise von 78.000 Franken, wovon 39.000 Franken ihm zugefallen und 29.000 Franken meinen Enkeln Siegfried
Ferner wünsche ich daß das Kapital von 15.000 Franken welches die Lebens Versicherungs gesellschafft nach meinem Tode auszahlen wird, und welches meinen Erben zufällt, vollständig den Kindern Siegfried anheimfalle, da Herr Michel schon ein Kapital von 27.000 Franken hat, welches mir gehört und zur Hälfte meiner Tochter Mathilde Michel und zur andern Hälfte den 3 Kindern Siegfried zukommt. Ferner hat er eine Hypothek auf das Haus und zwar von 20.000 Franken, was also eine Summe von 47.000 Franken ausmacht, um welche er zuvor ist (qu’il est en avance), deshalb soll das Kapital der Lebens Versicherungs gesellschafft den Kindern Siegfried zufallen. Diese letztere haben auch eine Hypothek von 20.000 Franken auf das Haus. Die Hypotheke von 40.000 Franken ist auf meinem Namen genommen aber es geschah das für meine Kinder welche die Zinsen bezahlt haben. Privaturkunde Straßburg 11. Juli 1885.

Acte de notoriété qui établit les héritiers de la défunte
Notorietät n° 7341, 10. November 1885 (acte bilingue) 1. qu’ils ont parfaitement connu Madame Marie Louise Frantz veuve non remariée de Mr Charles Joseph Ott, vivant bijoutier, 2. que la dite dame veuve Ott née Frantz est décédée à Strasbourg où elle était domiciliée le 21 octobre 1885, 3. qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire, 4. qu’elle laissé pour seuls héritiers A) pour une moitié ou trois 6° sa fille Madame Amélie Mathilde Ott, épouse de M. Gustave Emile Michel, bijoutier demeurant ensemble à Strasbourg, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts, sans obligation d’emploi ni de remploi aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg, prédécesseur immédiat de M° Pierron notaire soussigné le 17 août 1865
B) et pour l’autre moitié ou chacun pour un 6° ses trois petits enfants a) Mr Charles Albert Siegfried, négociant demeurant à Strasbourg, b) Mr Gustave Adolphe Siegfried, négociant demeurant à Bâle, c) et Madame Mathilde Louise Alélaïde Siegfried, épouse de M. Jean Martin Scheer, rentier demeurant ensemble à Strasbourg, ces trois par représentation de leur mère Madame Louise Alélaïde Emilie Ott décédée veuve de M. Charles Auguste Siegfried vivant négociant, lesdits époux Scheer mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts sans obligation d’emploi ni de remploi aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Pierron notaire soussigné le 15 juillet 1878
5. et que par son testament olographe déposé pour minute en l’étude de M° Pierron notaire soussigné par acte par lui dressé le 27 octobre 1885 la défunte dame veuve Ott a fait plusieurs dispositions de dernière volonté mais que ne changent en rien la qualité des héritiers susnommés
acp 769 (3 Q 30 484) f° 60-v du 11.11. Pierron 10.11.

Lors du partage, la maison est attribuée à Amélie Mathilde Ott, femme du bijoutier Gustave Emile Michel

1886 (3.4.), Strasbourg 10 (214), M° Frédéric Pierron
(Acte bilingue en deux colonnes) Theilung des Nachlasses des am 10. Mai 1861 hier verlebten Carl Joseph Ott, Ehegatte von Marie Luise Frantz
ont comparu a) dame Amélie Mathilde Ott, épouse dûment autorisée de M. Gustave Emile Michel, bijoutier ci présent demeurant ensemble à Strasbourg
II. a) dame Mathilde Louise Adélaïde Siegfried, épouse dûment assistée et autorisée de M. Jean Martin Scheer, rentier, ci présent demeurant ensemble à Strasbourg, b) Monsieur Charles Albert Siegfried, négociant demeurant en cette dernière ville, agissant tant en son nom personnel qu’au nom et comme mandataire de Monsieur Gustave Adolphe Siegfried, négociant demeurant à Bâle (…) ladite dame Michel, Messieurs Siegfried et Madame Scheer agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de M. Charles Joseph Ott, vivant bijoutier et de dame Marie Louise Frantz son épouse et de M. Charles Albert Ott, ainsi que ces qualités se trouvent établies par les actes ci après relatés. (…) de procéder à la liquidation et au partage des successions desdits époux Ott ainsi que de celle de Monsieur Charles Albert Ott

Observations préliminaires. Décès de M. Charles Joseph Ott. Inventaire.
M. Charles Joseph Ott, vivant bijoutier, et époux de Dame Marie Louise Frantz est décédé à Strasbourg le 10 mai 1861 en laissant pour seuls et uniques héritiers des trois enfants (…)
2. Contrat de mariage de Madame Siegfried (…) reçu par le dit M° Zimmer le 31 mai 1855 (…)
3. Décès de M. Charles Albert Ott. M. Charles Albert Ott est décédé célibataire sans testament le 27 juillet 1864 (…)
4. Contrat de mariage de la dame Michel (…)
5. Emprunt de 40.000 francs soit 32.000 Mark (…)
6. Décès de Mme veuve Siegfried. Madame veuve Siegfried (…) est également décédée à Strasbourg le 19 février 1879 (…)
7. Décès de Mme veuve Ott. Testament. Madame veuve Ott est décédée à Strasbourg le 21 octobre 1885 (…) Aux termes de son testament olographe déposé en l’étude du notaire soussigné par acte par lui dressé le 27 octobre 1885 (…) La défunte a en outre par le même testament disposé par erreur en faveur de Madame Michel de la maison ci-dessus désignée, attendu qu’elle n’en possédait que 2/24 ainsi qu’il est établi ci-dessus, qu’elle a recueilis dans la succession de son fils Charles Albert Ott. Toutefois pour honorer les dernières volontés de la défunte, les parties sont convenues d’attribuer la maison ci-dessus désignée à Madame Michel au prix d’estimation de 62.400 Marks
D’après ce qui précède il devient inutile de partager séparément les trois successions en question mais au contraire de les réunir en une seule et même masse.
Masse active 2) dans une maison avec droits et dépendances, sise à Strasbourg rue des arcades N° 37 (autrefois rue des grandes arcades N° 28) entre propriétés Manrique et Elbel, donnant par derrière sur la rue des dominicains où elle a une issue sous le N° 5 (autrefois rue de l’école N° 4). Cette maison était un bien propre du défunt Sr Charles Joseph Ott susnommé, savoir d’un 5° pour l’avoir recueilli dans la succession de son père Mr Philippe Joseph Ott vivant bijoutier et pour avoir acquis les quatre 5° restans à titre de licitation de ses frères et sœurs 1) Mr Auguste Théodore Ott, bijoutier à Strasbourg, 2) Mlle Louise Adèle Ott, majeure demeurant en ladite ville, 3) dame Emilie Hortense Ott, épouse de Mr Philippe Hammer confiseur demeurant à Bade, 4) Mr Frédéric Emile Ott, bijoutier à Alger, le tout aux terme d’un contrat de vente fait dans la forme sous seing privé le 15 mai 1852 enregistré à Strasbourg le 11 juin de la même année folio 29 (…). Pour les opérations du présent partage cette maison est estimée à 62.400 Mark
Droits des parties et abandonnements. 1) Les droits de Madame Michel (…) ses cohéritiers lui abandonnent en toute propriété, ce qui est ainsi accepté par elle, la maison sise à Strasbourg rue des arcades N° 27 (article deux de la masse active) pour son prix d’estimation de 62.400 Mark
acp 775 (3 Q 30 490) f° 73-v n° 182 du 9.4. (Sterbefall Erkl. vom 9. April 1886 Bd. 149 N° 19) Activmasse 1) Mobilien 1734, 2) Haus gelegen zu Straßburg Gewerbslauben N° 37 & Dominikanergäßchen N° 5, 62.400, 3) Forderungen Frau Michel für darlehen 21.600, 4) Rückbringen derselben laut Ehevertrag Zimmer vom 17. August 1685, 3180, 5) Rückbringen durch die Vertreter der Frau Siegfried laut Ehevertrag Zimmer vom 31. Mai 1855, 4851, 6) Lebens Versicherungssumme, bezahlt durch die Gesellschaft La Nationale (12.000 woran Ausgaben bestritten wurden mit 1410) 10.590
Woran zukommt der Frau Michel ½, 52.178, der Frau Siegfried ½, 52.178
Frau Michel bespricht 52.178 & verrechnet das Haus 62.400, die Mobiliern 1734, ihre Schuld 21.600, ihr Rückbringen 3180, einen Theil der Lebensversicherung 2590 (zusammen) 91.504, zu viel 39.326 ab die hälfte des Hypothekarschuld auf dem Haus 16.000, Noch zu viel 23.326 (…)

Le bijoutier Gustave Emile Michel épouse Amélie Mathilde Ott en 1865
1865 (17.8.), Strasbourg 10 (154), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.201
Contrat de mariage du 17 août 1865 – ont comparu I. Monsieur Gustave Emile Michel, bijoutier demeurant et domicilié à Strasbourg, né en cette ville le 16 janvier 1839 du légitime mariage de M. Jean Michel, rentier, et de Dame Madeleine Wilhelmine Schwing, conjoints demeurant actuellement à Schiltigheim, stipulant comme futur époux
II. Mademoiselle Amélie Mathilde Ott, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née en cette ville le 4 août 1840 du légitime mariage de feu M. Charles Joseph Ott, bijoutier, avec Dame Marie Louise Frantz, sa veuve demeurant à Strasbourg stipulant comme future épouse
acp 545 (3 Q 30 260) f° 47 du 18.8. stipulation du Régime de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux consistent en une somme de 15.000 francs,
ceux de la future épouse consistent 1) en un mobilier estimé à 3975 2) dans des droits non liquidés dans les successions de Charles Joseph Ott son père & de Charles Albert Ott son frère
Donation par les conjoints Michel au futur époux leur fils, ce acceptant en avancement d’hoirie 1) d’un mobilier estimé 250, 2) d’une somme de 6000 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession, réductible à moitié en cas d’enfants. Le survivant aura l’usufruit de la moitié des biens de la communauté.

Gustave Emile Michel et Amélie Mathilde Ott hypothèquent la maison au profit de l’ancien négociant Henri Victor Broistedt

1886 (17 & 21.4.), Strasbourg 10 (214), M° Frédéric Pierron n° 7722
Obligation mit Vorrangsrecht Abtretung, 17 & 21. April 1886 – sind erschienen Herr Gustav Emil Michel, Juwelenhändler, und Frau Amalia Mathilde Ott dessen von ihme hierzu gehörig ermächtigte Ehegattin mit einander in Straßburg wohnhaft, Welche hiemit erkennen rechtmäßig schuldig zu sein
an Herrn Heinrich Victor Broistedt, ehemaligen Kaufmann in Straßburg wohnhaft, Gläubiger hierzugegen und solches annehmend, die Hauptsumm von 4000 Mark für baar geliehenes Geld (…)
Hypothecarische Verpfändung. ein Haus mit Hof, Rechten und depedenzien in Straßburg gelegen an den Gewerbslauben N° 37 (früher rue des grandes arcades Nr 28) einseits Eigenthum Manrique anderseits dasjenige des Herren Elbel, hinten auff das Dominikanergäßchen stoßend wo dieselbe einen Ausgang unter Nummer 5 hat (früher rue de l’école N° 4)
Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus gehört als ein sondergut der Frau Michel, nämlich 8/24. um dieselbe ererbt zu haben in der Verlaßenschafft ihres Vaters Herrn Carl Joseph Ott, im Leben gewesener Juwelhändler und Gatte von Frau Marie Luise Frantz, 3/24. um dieselbe ererbt zu haben in der Verlaßenschafft ihres Bruders Karl Albert Ott, 1/24 um dasselbe ererbt zu haben in dem Nachlasse ihrer genannten Mutter Frau Wittwe Ott gebornen Frantz und die übrige 12/24. um ihn in Eigenthum überliefert worden zu sein durch die Theilung der soebenerwähnten Nachläße auf Grund eines actes durch den unterzeichneten Notar den 3. und 5. April gegenwärigen Monats errichtet. Diese Theilung geschah außer der Verpflichtung welche Frau Michel übernahm die gantz Hypothekenschuld von 32.000 Mark wovon die Rede hernach sein wird zu bezahlen, vermittelst eines Nachgeldes von 15.775 Mark zu Gunsten der Miterbin Frau Mathilde Luise Adelheid Siegfried Ehegattin des Herren Johann Martin Scheer, Rentner und eines Nachgeldes von 7550 Mark zu Gunsten der beiden Miterben Herrn Karl Albert Siegfried und Herrn Gustav Adolph Siegfried beide Kaufmänner
Civil und Hypothekenstand. Die Schuldner erklären daß sie beide in erster Ehe unter dem Rechtsverhältniß der Gütergemeinschaft verheirathet sind welche auf Errungenschaft beschränkt ist auf Grund ihres Ehevertrag durch den damaligen Notar Zimmer in Straßburg den 17. August 1865 errichtet (…)

Gustave Emile Michel et Amélie Mathilde Ott vendent la maison au marchand Marie Joseph Manrique, déjà propriétaire de la maison voisine (n° 35)

1890 (24.6.), Jean Mossler
Verkauf – Gustav Emil Michel, Juwelier und dessen Ehefrau Amalia Mathilde Ott hier
an Joseph Manrique, Kaufmann hier
eines Hauses mit 4 Etages, Hof, Rechten & dahier an den Gewerbslauben N° 37 section N n° 1034 mit 1,14 Ar Fläche. Sondergut der Ehefrau Michel, da ererbt im Nachlasse ihres Vaters Karl Joseph Ott, Juwelier, gestorben dahier am 10. Mai 1861.
Besitz, Genuß und Steuren vom 25. Juni 1890. Kaufpreis 76.000 wovon baar bezahlt 16.000
acp 830 (3 Q 30 545) f° 71 n° 1507 du 2.7.

Marie Joseph Manrique vend la maison à la société en nom collectif Gœhrs et Compagnie le même jour que la voisine (n° 35) qui dépendait de la communauté avec Constance Petit

1897 (6.2.), Jean Mossler
Verkauf – Marie Joseph Manrique, Rentner in Straßburg
an die offene Handelsgesellschaft Firma Goehrs & Cie hier
Stadt Strassburg. N 1034 und 1069, 1 Ar 14 Wohnhaus bestehend in Erdgeschoß & 4 Stockwerken sowie Mansarden mit Hof, Hinterhaus aus Erdgeschoß & 4 Stockwerken Gewerbslauben N° 37, hinten das Dominikanergäßchen N° 5
erkauft amt. Notar 24. Juni 1890.
Genuß vom 25. März Steuren vom 1. April 1897 ab. Kaufpreis 130.000 Mark
acp 922 (3 Q 30 637) f° 72 n° 5347 du 16.2.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.