56, rue de la Krutenau
Rue de la Krutenau n° 56 – X 306 (Blondel), O 611 puis section 31 parcelle 74 (cadastre)
Maison dite zum Raumeck ou zum Romeck (1626-1788)
Maître d’ouvrage, Jean Thiébaut Ulrich, batelier (1857, 1865)
Le n° 56 et ses voisins (août 2024)
La maison, sise au lieu dit auf dem Wiel, à côté de celle dite zum Rom, est inscrite dans le Livre des communaux au nom du tonnelier Adolphe Huck qui l’achète en 1588. Le jardin est fermé vers le canal du Rhin par une clôture en lattes dont dépassent des latrines en bois. Jean Jacques Huck auquel incombe la réparation de la risberme la fait refaire en 1615 en se faisant avancer des matériaux municipaux. Il vend en 1620 la maison à Georges Kelterer, ancien tonnelier devenu aubergiste, qui quitte la Ville avec l’argent destiné à la payer. La veuve du docteur en médecine Sébastien Leitersperger, créancier qui en est devenu propriétaire, la vend en 1676 au jardinier David Gori. La maison, dite zum Romeck ou zum Raumeck (1626-1788, au coin de celle dite zum Rom), est estimée à la somme de 750 florins lors de l’inventaire dressé en 1702. Le manant Jean Jacques Heller n’est pas autorisé à y établir une auberge en 1703. Le boucher catholique Jean Georges Ehehalt l’acquiert en 1704, ses héritiers la conservent jusqu’en 1791. Il doit y faire d’importants travaux puisque les bâtiments (bâtiment avant, écurie et ancienne écurie sur la droite) sont évalués à 1 900 florins en 1740. Le batelier Jean Thiébaut Ulrich achète en 1791 la maison que les héritiers de son fils vendent en 1891. Il acquiert le 15 mars 1806 un terrain compris entre la façade et l’alignement, approuvé le 21 brumaire XIV, qui sera modifié en 1854 par le plan général d’alignement.
Plan-relief de 1725 (Musée historique) – La maison au milieu de l’image, la deuxième à gauche du coude que forme le canal
Plan de 1765 (Blondel, planches cotées VI 587, en rose les nouveaux alignements) – Plan de 1830 (plan-relief)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 217, cour E (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (l) : trois fenêtres au rez-de-chaussée et à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’entrée de la cour est à droite de (i), suivie de l’édicule (k-l) en avant de l’alignement (l-m). La maison (5-6) a son entrée dans la cour, la remise (6-4-8) est adossée au reste de la façade. D’autres remises (10-13) se trouvent derrière la maison voisine (n° 58), (13-14) forme la rive du canal.
La maison porte d’abord le n° 154 (1784-1857) puis le n° 56.
Terrain cédé en 1865 (en rose) – Plan cadastral de situation où sont portée les alignements de 1973 (dossier de la Police du Bâtiment)
Un procès verbal dressé en 1856 constate les jours qui se trouvent dans le pignon en bois de la maison Ulrich du côté de son voisin Dessecker (actuel n° 54). Le conseil municipal modifie le 4 novembre 1857 l’alignement d’après lequel la clôture suivra une ligne droite tirée de la maison à l’angle de la rue Sainte-Catherine (n° 12) jusqu’à la propriété Kieffer (n° 58). Thiébaut Ulrich démolit sa maison qu’il reconstruit en 1857 : le revenu passe de 72 à 109 francs, les ouvertures de 14 à 22, le bâtiment doit alors se prolonger à la place de l’ancienne entrée de cour. Les entrepreneurs Rœthlisberger et Seyboth construisent en 1865 un bâtiment à rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et troisième étage en pans de bois. Le propriétaire acquiert un petit terrain triangulaire derrière l’alignement ; le revenu est porté à 204 francs, les ouvertures au-dessous du troisième étage passent à 40, il en apparaît 15 au troisième et au-dessus. La Ville de Strasbourg vend en 1873 au propriétaire un terrain le long de la rue de Zurich, jusqu’alors occupée par le canal du Rhin, qu’il fait fermer par un mur.
Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Jules Schneider achète la maison en 1968, il y fait installer le chauffage central et des salles de bain en 1979. D’après les alignements du 28 mars 1973, la maison doit être démolie pour élargir la rue de Zurich.
La partie qui donne sur la rue de Zurich porte le numéro 45. Elle est d’abord occupée par un entrepôt (magasin) avant de devenir indépendante.
Arrière du n° 56 (bâtiment crépi en blanc au milieu de l’image et bâtiment en équerre sur la droite, mai 2024) – Vue du 45, rue de Zurich (avril 2024)
août 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Ammel, pêcheur, et (1583) Susanne Baldner – luthériens | ||
Adolphe Huck, tonnelier, et (1587) Madeleine Strintz, d’abord (1569) femme du charpentier Pierre Frech – luthériens | ||
1588 | v | Jean Jacques Huck, tonnelier, et (1610) Agnès Barth – luthériens |
1620 | v | Georges Kelterer, tonnelier, et (1611) Dorothée Roser puis (1616) Sara fille de Jean Schaft – luthériens |
1621 | v | Jean Andrès, passementier, et Apollonie Büchel – luthériens |
1628 | v | Damien Jung, aubergiste, et (1610) Odile Hermann puis (1627) Marie Stich – luthériens |
1635* | adj | Sébastien Leitersperger, docteur en médecine, et (1638) Appolonie Sebitzius, remariée (1651) au professeur d’histoire Jean Sébastien Gambs puis (1662) au juriste Jean Gaspard Bernegger – luthériens |
1676 | v | David Gori, jardinier, et (1652) Ursule Eberlin puis (1675) Marguerite Feierabend, d’abord (1646) femme du jardinier Jean Jacques Knecht – luthériens |
1704 | v | Jean Georges Ehehalt, boucher, et (1695) Eve Müller puis (1718) Anne Marie Brand, d’abord (1714) femme de l’aubergiste Jean Michel Kauffmann – catholiques |
1748 | h | Eléonore Salomé Ehehalt et (1731) Jean Georges Bollecker, échaudeur à la boucherie, d’abord (1728) marié avec Anne Françoise Ramser, (1740) le boucher Georges Pulvermüller (Bulffermüller) puis (1751) le boucher Jean Rohmann – catholiques |
1788 | h | Jean André Sultzer, serrurier, et (1776) Marie Anne Pulvermüller – catholiques |
1791 | v | Jean Thiébaut Ulrich, pilote, et (1789) Marie Barbe Fettinger, (1793) Marguerite Madeleine Riebel, (1796) Marguerite Salomé Jung puis (1803) Marie Dorothée Zabern, d’abord (1794) femme du capitaine Philippe Henri Nicolas Barbier – luthériens (puis les héritiers) Marguerite Salomé Ulrich et (1818) Jean Berni, batelier Jean Thiébaut Ulrich, batelier, et (1820) Madeleine Busch |
1849 | h | Jean Thiébaut Ulrich, batelier, et (1820) Madeleine Busch (seul propriétaire) |
1891 | v | Chrétien Laublé, fournisseur du génie militaire, et (1872) Sophie Kress |
1906* | h | Gustave Oscar Laublé, commerçant, et (1905) Augustine Christine Orth |
1908* | v | Benjamin Weill |
1926* | v | Joseph Kling, restaurateur, et (1923) Louise Wurmser |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 375 livres en 1702, 500 livres en 1716, 850 livres en 1740, 750 livres en 1788
(1765, Liste Blondel) X 306, Jean George Pulvermüller
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Rohman, 7 toises, 4 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 611, Ulrich, Thiébaut, cabaretier Pont Ste Catherine Krutenau 1 – maison, sol – 0,7
Locations
1806, Marie Salomé Ludescher, femme du doreur Jean Pierre Viatte
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 493
Le tonnelier Adolphe Huck règle 4 sols pour sa maison, à savoir une marche en pierre (5 pieds 9 pouces de long, saillie de 3 pieds et demi), à côté une porte de cave inclinée (6 pieds ½ de large, saillie de 3 pieds ½), vers la risberme le jardin est fermé par une clôture en lattes dans laquelle se trouvent des latrines en bois (4 pieds de large, saillie de 1 pied ½ sur le canal), à charge d’entretenir la risberme.
Il a un tas de planches, des fagots et des cercles de tonneaux, ainsi que deux tas sur le communal devant la maison, dont il règle 5 sols
Jenseit Sanct Catharinen Prucken angemeßen, Einseithen die Krauttenauw Hienein Werths.
Adolff Huckh der Küeffer hatt vor seinem Hauß iiij steinene Tritt, v schu, ix Zoll lang, iii+ schuh herauß, dar neben ein Lehenende Kellerthüer vi+ schu breÿt iii+ schu herauß, hatt auch ane seinem Hauß ein Gartten vff der Landt Vestin mit einer dielenen Wandt v.macht, Darinn ein hültzin Profeÿ iiij schuh breÿtt, i+ schuh Inn den Giessen hinaus, des soll Er, alß lang sein Gartten Ist, die Landtvestin vor Abgang erhalten, doch bessert Er für das Profeÿ iiij ß d
Und hatt ein heüfflin Bortt sampt ettlich Wellen Raÿff auch Zweÿ heüfflin vor dem hauß vff dem Allmendt, Bessert für dise Nießung v ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1588, Préposés au bâtiment (VII 1304)
Le tonnelier Adolphe Huck est autorisé à entreposer et à apprêter 300 pièces de bois de construction à la Krutenau près de la maison dite Romhaus.
Il demande le 19 juillet l’autorisation de refaire son encorbellement (3 pieds 9 pouces de large) et de rallonger sa maison de dix pieds en posant des matériaux sur le communal. Les préposés estiment que le pétitionnaire a assez de place chez lui pour poser les matériaux
(f° 85-v) Sambstag den 25. Martÿ – Platz inn Crutenaw
Adolff Hugk küffer begert Im Zu 300 stuck bawholtz Platz inn Crutenaw beÿ dem Rhomhuß Zugeb. d. dahin Zulegen und Zu Zÿmern, Ist Im gewilligt wiewol d. holtz Albereit dagelegen
(f° 115-v) Freÿtags den 19.ten Julÿ. – Adolff Huck küffer
Adolff Huck küffer inn Crutenaw bey dem Schlüssel hat begert An seinem huß Im Zughonnen den vßstoß so 2 schu 9 Zoll breit wid. Zumach. vnd d. sein huß umb Zehen schu lenger machen will* In den selbig nach* alß breitt Zulaßen, deßgleich d Er Einer Keiler* von notten* Im die selbige gewillig.* ufs Allmend Zuleg. 4 schu breit und 4 schu herauß,
Ist nach fürgenommenen Augenschein d. Er Zimblich platz hat Ist der vßstoß Zumachen Im Abgeschlag. soll gleich vnd sch*hlicher vffuhren d Auch vff sollicher seith kein ußstoß Ist, die Keule soll Er 3 ½ schu herauß v 4 sch breit sampt Einem pfalloch vff d. allmend mach. doch d. Allmend sein und bleiben soll.
1613, Préposés au bâtiment (VII 1328)
Les préposés demandent à nouveau à Jean Jacques Huck de refaire la risberme. Il répond qu’il n’en a pas les moyens est qu’elle n’est pas en si mauvais état. Il sollicite un délai jusqu’au printemps suivant à moins qu’on lui avance l’argent. Les préposés lui accordent quatre semaines de délai, ils sont disposés à lui avancer du bois s’il présente un garant. Jean Jacques Huck déclare qu’il va estimer le montant des frais et chercher un garant.
Il estime quinze jours plus tard les travaux à cent florins, somme qu’il estime trop élevée d’autant qu’il s’est engagé à rembourser d’autres dettes. Il propose à la Ville de lui avancer les cent florins. Les préposés réitèrent leur précédente proposition en déclarant qu’il leur est interdit de prêter de l’argent
(f° 175-v) Montag 22. 9.br. – Hans Jacob Hucken kieff. bescheid. Ihm abermal gebotten sein Landvest Zumach. vnd 5. h gefordert antwortet man soll Ihm thun wie man wöll, so vermag er doch nit, sein handwerck seie Jetzo kein nutz, traw* vnd kans nit machen, so seÿ es so böß nit, hat kein gelt, da man aber Ir will gemacht han so bittet Zil biß früling, oder man soll Ihme souil für strecken wöll ers mach. abdretten
Erkandt vnd Ihm nachmalen gebotten beÿ vorgemelter straff In 4 wochen Zumachen gebotten, vnd da er bürgschafft gibt Wöll man Ihm mit dem holtz helffen vnd lühen. Der will den vberschlag mach. vnd ein bürg such.
(f° 181-v) Sambstag d. 4. Xbr. – Blumengießen raumen.
Hans Jacob Hucken kieffer hab sein landuest vberschlag. lassen, werde Ihnen vber 100 fl costen vnd hab kein gelt, so seie sein Handwerck kein nutz bitt Ihm 100 fl ein Jar oder 2 Zu leühen, wöll das hauß versetzen das seine 1000 fl werth stehe 400 fl daruff, er habe andere schulden vff sich genommen Zubetzalen, vnd soll Jetzo bawen, d. seine Ihme Zuschwer bitt Ihme mit 100 fl bar Zu helffen, das holtz lauffe vff 13 h an,
Ist Ihm angezeugt, das holtz wöllen wir Ihm borg. wafern er bürgschafft gibt, aber gelt weg zu leühen seie wid. ordnung mög deßhalb. In der Müntz lueg.
1615, Préposés au bâtiment (VII 1330)
Jacques Huck déclare qu’il est disposé à refaire la risberme derrière le jardin dit Romgarten à côté de la maison à la Clé si la Ville lui donne le bois nécessaire. Les préposés lui demandent de présenter un garant. Jacques Huck souhaite s’en passer. Les préposés refusent tout prêt de matériau sans garant. Jacques Huck présente le 11 décembre un garant, les préposés lui donnent un bon pour retirer des matériaux au chantier municipal. Il demande le 6 janvier suivant la permission de remployer les décombres, les préposés le renvoient au préposé des rivières.
(f° 161) Sambstag 26 Augusti. – Jacob Huck der Kieffer sagt weg. seiner Landvest hinden am Romgarten Neben dem schlüssel wolt er dieselb bawen wofern mein h. Ihm das holtz dartzu geben wolte, wie die vor angebotten, bitt nachmalen also & dem Ist angezeigt wan er ein bürg gibt In eim halben Jar wid. Zu Zalen, wöll mans Ihm holtz verkauffen, der meinth ohne bürgen Könt man Ihm wol helff. Ihm anzeigt Müesse bürg haben, sonst nichts
(f° 219) Montag 11.t Xbris. – Jacob Huck der Kieffer In Crutenaw Neben dem schlüssel sagt wolt sein Landvest bawen, das bewilligt holtz empfahen, vnd stellt Zu bürgen Clauß geüßner den Zopffner vnd Meßer Krämer, der verwilligt die bürgschafft und Huck die schadloßhaltung vnd Ist Ihm nun Zedul vmb 16 Pfäl, 20 alte backdÿlen 13 Kleine Pfäl, 17 dannene dÿlen an den Werckmeister geben word.
(f° 226) Sambstag den 6. Jenner [1616] – Jacob Huck Küeffer begert Ihm Zu erlauben das gerör beim schlüssel Zu brauchen, wolt sein landuest machen, Soll beim Wassermeist. frag. ob er den bedarff od. nit.
1620, Préposés au bâtiment (VII 1335)
Georges Kelterer qui vient d’acheter la maison à côté de celle à la Clé demande la permission de poser des planches sur le communal voisin. Les préposés répondent qu’il leur faut se consulter.
(f° 253). Mittwoch den 4. Octobris – Platz beÿm Schlüßel
Georg Kelterer Zeÿgt an Habe Kurz verrückter Zeitt ein Behaußung neben dem Schlüßel Inn Crautenau erkaufft, pitt Ime Zuuergönnen, den daruon habenden platz Zu gebrauchen vnnd mit bortten Zu beleg. Ist angezeigt solle mann Bawherren vnnd dreÿen ein Zusammenkunfft haltten seiner gedacht werden.
Description de la maison
- 1702 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend un bâtiment accessoire, des galeries et une cave sous solives est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
- 1716 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend une cave voûtée, une écurie et un puits est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
- 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée le vestibule, un poêle pour l’officier, une cave sous solives, la cour et le puits, un petit bâtiment accessoire comprenant une écurie au rez-de-chaussée, deux chambres et petits greniers à l’étage, à main droite un ancienne écurie fermée de lattes, à l’étage un poêle, chambres, cuisine et vestibule, au deuxième étage deux chambres et vestibule, sous le toit des greniers dallés et un vieux comble, le tout estimé à la somme de 1900 florins.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue de la Krutenau
nouveau N° / ancien N° : 66 / 154
Ulrich
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 307 case 2
Ulrich, Thiébaut, près du pont Ste Catherine N° 1
O 611, maison, sol, quai des chevaux
Contenance : 0,70
Revenu total : 72,36 (72 et 0,36)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1858
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1056 case 2
Ulrich, Thiébaut, rue Ste Catherine 1
1892/93 Lauble Christian Ehefrau Sofie geb. Kress
1902 Lauble Christian Militärlieferanu in Straßburg und Miteigenthümer
O 611, Maison, sol, rue de la Krutenau 56.B u. Züricherstraße 45-b
Contenance : 0,70
Revenu total : 109,36 (109 et 0,36)
Folio de provenance : (307) Reconstr. de 1857
Folio de destination : 1056. aug. de Con.
Année d’entrée : 1860
Année de sortie : 1868 – sol Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22
fenêtres du 3° et au-dessus :
1858, Diminutions – Ulrich Thiébaut f° 307, O 611, maison, revenu 72, Démolition, supprimée en 1858
O 611, Maison
Revenu total : 204,36 (204 et 0,36)
Folio de provenance : (307) Reconstr. de 1857
Folio de destination : 1056. aug. de Con.
Année d’entrée : 1868
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 40 / 32
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12
1860, Augmentations – Ulrich Thiébaut f° 1056, O 611, Maison, revenu 109, Reconstruction, achevée en 1857, imposable en 1860, imposée en 1860
1868, Augmentations – Ulrich Thiébaut f° 1056, O 611, Maison, revenu 204, Aug.on de Const.on, achevée en 1865, imposable en 1868, imposée en 1868
Diminutions – Ulrich Thiébaut f° 1056, O 611, Maison, revenu 109, Aug.on de Const.on de 1865, supp. en 1868
O 611, magasin, Krutenau 56
Revenu total : 26 (230,36)
Folio de provenance : Neu
Folio de destination :
Année d’entrée : 94/95
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10
fenêtres du 3° et au-dessus :
1894 Augmentations – Lauble Christian, Frau Sofie Kress f° 1056, O 611, Magasin, Reinertrag 26, Neubau, vollendet 1891, steuerbar 1894, besteuert 1894/95
Cadastre allemand, registre 30 page 398 case 2
Note. La portion de parcelle 612.p (partie du n° 58) n’est expliquée ni par le cadastre ni par un acte.
Parcelle, section 31, n° 74 – autrefois O 611, 612.p, 1196 aus Weg
Canton : Züricherstraße N° 45 u. Krutenaustraße Hs. Nr 56
Désignation : Hf, Whs. und Magazin / sol, maison – 1147
Contenance : 3,09 / 1,98
Revenu : 2400 – 2600 – 3100 – 1900
Remarques : 1925 dim. p. 402 c. 6 – 1912 Aufbau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1926), compte 736
Lauble Christian
1906 Lauble Gustav
1908 Weill Benjamin u. Ehefr.
clos 1950
(Propriétaire à partir de l’exercice 1926), compte 4970
Kling Joseph restaurateur et son épouse Louise Wurmser
(2337)
Cadastre allemand, registre 30 page 402 case 6
Parcelle, section 31, n° 113/74 – autrefois 1147
Canton : Züricherstraße N° 45
Désignation : sol, maison
Contenance : 1,11
Revenu : 1200
Remarques : 1925 aug. p. 398 c. 2
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 736 (supra)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1932), compte 5540
Hassmann Emile, marchand de meubles et son épouse Elise née Toussaint en com. de biens
1952 Hassmann Louis Emile, sa veuve née Tousaint
1952 Schwartz Fernand, boucher et son épouse pour ½ et copropr.
(3808)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton X, Rue 351, Quai des Chevaux, Quartier de la Krautenau, p. 551
154
Loc. Feldmüller Jacques Fréd. Maître Cordier – Moresse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Krautenaustrasse (Seite 91)
(Haus Nr.) 56
Allegra, Rentneron. 0
Lauble, Mil.-Lieferant. E 0
Ulrich, Rentnerin. 1
Kampa, Einb. Sekr. 2
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 733 W 47)
56 rue de la Krutenau (1856-1980)
Le propriétaire acquiert le 15 mars 1806 un terrain compris entre la façade et l’alignement approuvé le 21 brumaire XIV puis modifié par le plan général d’alignement de 1854. Le conseil municipal modifie le 4 novembre 1857 l’alignement d’après lequel la clôture suivra une ligne droite tirée de la maison à l’angle de la rue Sainte-Catherine (n° 12) jusqu’à la propriété Kieffer (n° 58). Les entrepreneurs Roethlisberger et Seyboth construisent en 1865 un bâtiment à rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et troisième étage en pans de bois. Le propriétaire acquiert à cet effet un petit terrain triangulaire derrière l’alignement puis en 1872 le long de la rue de Zurich un terrain qu’il fait fermer par un mur.
Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Jules Schneider achète la maison en 1968, il y fait installer le chauffage central et des salles de bain en 1979. D’après les alignements du 28 mars 1973, la maison doit être démolie pour élargir la rue de Zurich.
Sommaire
- 1858 (avril) – L’entrepreneur A. Weyer demande au nom du propriétaire Ulrich l’autorisation d’établir une clôture devant sa propriété suivant le nouvel alignement. – Rapport de l’agent voyer. Le propriétaire a acquis le 15 mars 1806 un terrain compris entre la façade et l’alignement approuvé le 21 brumaire XIV, modifié par le plan général d’alignement approuvé par arrêté préfectoral le 11 mars 1854. Le conseil municipal consent le 4 novembre 1857 à apporter à cet alignement une modification approuvée le 27 novembre suivant par le préfet. L’alignement de la clôture suivra une ligne droite tirée de la maison à l’angle de la rue Sainte-Catherine (n° 12) jusqu’à la propriété Kieffer (n° 58)
- 1865 (mars) – Les entrepreneurs Roethlisberger et Seyboth demandent au nom du propriétaire Ulrich l’autorisation de surbâtir le terrain devant la maison et d’établir une clôture provisoire. – Rapport de l’agent voyer. Le bâtiment a un rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et un troisième étage en pans de bois. L’architecte de la Ville fixe la hauteur maximale à 12,7 mètres d’après l’arrêté n° 1587. – Le propriétaire devra acquérir le terrain triangulaire à bâtir. Le terrain CDE à retrancher de la voie publique (1,91 mètre carré) se trouve derrière l’alignement AB – Plan
- 1872 (août) – Rapport de l’agent voyer. L’entrepreneur Dietz demande au nom du propriétaire Ulrich père de fermer par un mur la cour qui donne sur la rue de Zurich. Approuvé le 3 mars 1871, l’alignement à suivre est porté sur le plan par une ligne rouge AB, le propriétaire devra acquérir le terrain marqué CDEF (19,19 mètres carrés) – Prix des terrains à céder par voie d’alignement dans la rue de Zurich, entre l’hôpital militaire et l’ancien pont Saint-Catherine. d’une part (20 francs) et ceux entre ce pont et le quai des Bateliers d’autre part (30 francs le mètre carré). Le prix des terrains a été interverti comme le sieur Ulrich est propriétaire de deux maisons, l’une donnant dans la première et l’autre dans la deuxième partie de la rue de Zurich.
- 1897 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Laublé l’autorisation de faire une prise pour environ 20 becs. – Autorisation
- 1898 – Les peintres Grimm et Schmœlé (14, Grande rue de la Grange) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant la maison Laublé (56, rue de la Krutenau) – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1898.
1896 – Le maire notifie le fournisseur de vivres Chrétien Laublé de faire ravaler la façade. Chrétien Laublé répond qu’il a fait rafraîchir l’année précédente la façade rue de la Krutenau et qu’il n’a pas les moyens de faire les travaux rue de Zurich. – Le maire accorde un an de délai, la façade n’étant pas très sale. – Rappel, septembre 1898. Le maire accorde un nouveau délai, le propriétaire ayant déclaré avoir été malade – Nouveau rappel, juin 1898 – Gustave Laublé déclare que son père est parti pour ses affaires à Wahn près de Cologne. – Nouveau délai jusqu’en novembre – Travaux terminés, novembre 1898. - 1905. Commission contre les logements insalubres. Le locataire François Roni demande une visite de son logement. La plainte n’est pas fondée
1906. « Plusieurs habitants » se plaignent de la fosse d’aisances
1910. Autre plainte sans fondement
1915. Commission des logements militaires. Travaux à faire en cinq points.
1916. Plainte du locataire Helderlé (étage mansardé). Rapport de la commission de conciliation. Le propriétaire doit faire réparer la toiture et rénover le logement
1923. Cas de diphtérie (Germaine Schnell, 15 ans) - 1911 – Le peintre S. Gœggel (4, place des Bouchers, ensuite place d’Austerlitz) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire transmet la demande au maire. – Autorisation
- 1923 – Le locataire Emile Malz (troisième étage) se plaint de son logement, propriétaire Benjamin Weil, demeurant 4, rue Sainte-Odile (4, rue Oberlin) – Le maire demande au propriétaire de faire des travaux (revêtir la cloison en bois à l’arrière du fourneau, remettre en état le conduit électrique, réparer le plancher du corridor).
- 1946 – Le bâtiment est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. – Certificat accordé à Joseph Kling (demeurant rue du Maréchal Foch à Saverne, impôt de solidarité)
- 1954 – Le locataire Henri Stein (rez-de-chaussée) se plaint que les portes ouvertes rendent son logement humide. – La Police du Bâtiment estime qu’il n’est pas de sa compétence de régler les différends entre locataire et propriétaires.
1957 – Nouvelle plainte relative à un conduit de fumée – Le maire demande au propriétaire René Kling (15, rue du Maréchal Foch à Saverne) de faire réparer la cheminée – Le propriétaire déclare avoir déjà commandé les travaux auprès de l’entrepreneur et de l’architecte (Eugène-René Rohmer) – Les travaux sont exécutés en partie seulement, 1958 – Tous les travaux demandés ne sont pas encore faits, juin 1958.
1958 (novembre) – Le maire adresse une injonction au propriétaire – Travaux terminés, janvier 1959. - 1969 – Jules Schneider (demeurant boulevard de Lyon) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade et une exonération des droits de voirie – Travaux terminés, août 1969.
- 1979 – Le propriétaire Jules Schneider qui a l’intention d’installer le chauffage central et des salles de bain demande une subvention
- 1979 – Note sur les alignements à la Krutenau (12, rue de l’Académie et 7, place Saint-Nicolas-aux-Ondes)
1980 (janvier) – La Division II émet un avis favorable à la demande de Jules Schneider de supprimer l’alignement qui frappe le 56, rue de la Krutenau, bâtiment du XVIII° siècle à conserver, ainsi que le 43, rue de Zurich. Elle note cependant que l’immeuble était frappé de servitude quand le propriétaire l’a acheté en 1968.- Plan cadastral de situation portant les alignements du 28 mars 1973.
1980 (mars) – Note récapitulative sur les alignements à la Krutenau et l’élargissement de la rue de Zurich pour supprimer le goulot que forment les immeubles n° 43 et 45. Le n° 39 a été édifié suivant les nouveaux alignements.
Autres dossiers
Relevé d’actes
Adolphe Huck achète la maison du pêcheur Ulric Ammel et des deux filles du pêcheur Paul Baldner. L’hypothèse à corroborer ultérieurement est que la maison a appartenu au pêcheur Jean Ammel, fils d’Ulric, qui a épousé en 1583 Susanne Baldner, fille du pêcheur Paul Baldner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 54-v)
1583. Item [Am xxv Sontag nach Trinitatis den 10. Novembris] Hanns Ammel der fischer Vrich Ammels des fischers Sohn neben Rosen Andreas beim Schlüssel wonhafft, Susanna Baltnerin, pauli Baltners des fischers am vndern staden tochter. Confirmatio facta *pla Catharinæ die 25. Novembris (i 170)
L’archiduc Ernest d’Autriche intercède en faveur de Jean Ammel, en garnison à Vienne, pour qu’il soit autorisé à rentrer chez lui. Il a pu se repentir de ses fautes pendant son séjour à l’étranger. Son père Ulrich Ammel transmet aussi une requête dans laquelle il demande le pardon pour son fils qui a agi dans l’ivresse et par errement de jeunesse, qui a quitté la ville et s’est bien comporté depuis lors. L’assemblée, informée que Jean Ammel a engrossé la sœur de sa femme puis a quitté la ville, rejette la demande.
1589, Conseillers et XXI (1 R 66)
(f° 540-v) VII. Octobris – Hans Ammel
Ertzhertzug Ehrnst von Oesterreich schreibt für Hans Ammel so zu Wien in Kriegsdienst sich verhalt, vnd burg. alhie, und bitt denselben wider zu hauß und hoff einkohmen Zulaß. In ansehung nun lang In d. frembde gebüße, wölle sein mißhandlung darumb nicht gutt heiß. d. er darüber hertzlich raue vnd leid hat, so bitt er Ihme solches auß gnad. vnd vmb* diser fürbitt willen nach Zusehen, Ist der Inschluß sein Ammels Ihrer dht vberreichter supplô, auch v.lesen. Daruff erscheint Ulrich Ammel sein vatter und übergibt auch ein supplôn vmb begnadigung seines sons, v.meldet d. er solche mißhandlung In trunckener weÿß und In seiner unverstendig Jugent begang. sich auß forcht auß der Statt gethan und seithero sich wol gehalt. v.mög abschieds, bitt Ihme auß g. Zuverzeih. und wid. ein Kohmen Zulaßen. Geschiht bericht das er seiner frawen schwester geschwangert, darnach außgewiß.
Erkandt Man soll Ihme sein begeren abschlag. bleibt er drüber hin, mag er sein ge* bestehn, h. Trausch H Schach
Adolphe Huck achète une maison à la Krautenau au lieu dit auf dem Wiel, à côté de celle dite zum Rom
1588 (27 Augusti), Chancellerie, vol. 255 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 93-v
Kauff Adolff Hucken des Küeffers
Erschienen Ulrich Ammel der vischer burger alhie für sich selbs So dann h Anthoni Hertzog als vogt Susannen weÿland Pauli Balthners des vischers s. dochter vnd Thoman Hertzog der Küeffer als vogt Julian gedachter Susannen schwester ermelts Pauli Balthners dochter, vnd haben (verkaufft)
Adolff Hugken dem Küeffer
Hauß hoffstatt vnd hoflin mit all. derselb. gebew. gebriff. [sic] Recht. In der Statt Straßburg In vorstatt In Krautenaw vff dem Wiel geleg. neben einer behausung Zum Rom genant bewohnt Jetzo Mathis Schmidt der henffer ein vnd anderseit ein Eckhauß hinden vff Sant Johanns giessen stoßend, dauon gehnd Eilff schilling vier pfenning boden Zinß den guth. leuthen Zur Roth. Kirch. Mehr 9 schilling pfenning auch boden Zinß Gottfried Balland als Schaffner der Capellaneÿ Zu St Reichard hoher Stifft Straßburg sonst ledig eig. vnd alles Recht bekandt das der kauff vber vorgemelte beschwerd. Zugangen für vnd vmb 100 pfund pfenning Straßburg
Originaire de « Danbach », le tonnelier Adolphe Huck achète en 1585 le droit de bourgeoisie
1585, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 438
Adolff Huck von Danbach der Kieffer Hatt daß Burgerrecht Kaufft vnd will Zuo denen Kieffern dienen Actum denn 20.ten Julÿ 85. Zuo den Kieffern
Originaire de Stauffenberg et beau-fils de l’aubergiste à la Couronne Mathieu Roser, Adolphe Huck épouse en 1587 Madeleine Strintz, veuve du charpentier Pierre Frech.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 74, n° IIII)
1587. Am Ersten Sontag nach Epiphanie vt supra den 8 Januarÿ. Adolph Huck von Staufen burg. ein kieffer, Matthei Roßers des weinschencken Zur Crohn Stieff Sohn, Madalena Strintzin peter frechen eines Zimmermans allhir Hinderlassene wittwe. Dise sind mir anzeigt worden von philips Strintzen der Braut Kinder vnd seind zuertragen vber der deckten kircken Hinden an Stahels Hauß (im 81)
Le charpentier Pierre Frech épouse en 1569 Madeleine, fille du fripiet Valentin Strintz.
Mariage, cathédrale (luth. p. 188)
1569. Peter Frech der Zimmerman, Magdalena, Veltin Strintzen deß Altgewend. hind.lassne dochter wonet in deß Bruckmeisters hauß (im 98)
Jean Jacques, fils d’Adolphe Huck et de Madeleine Strintz, naît en décembre 1589.
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 35-II n° 134)
1589. Dominica 3. Adventus. Adolph huck ein Kiefer, Magdalena Strintzin, Hans Jacob – Lorentz Schot ein fisch, Sixt Schneid. d. alt Meÿer vfm neuen hoff, Katharina Meheldin ist von hagenaw, dient beÿm seiden sticker in Kalbs gaß (im 171)
Adolphe Huck et Madeleine Strintz hypothèquent la maison au profit de Jean Roppel
1602 (Ersten tag Aprilis), Chancellerie, vol. 342 (Registranda Meyger) f° 142
(Inchoat. in Proth. fol: 147.) Erschienen Adolff Hugk der Küffer burg. Zu Straßburg Vnnd Magdalen Strintzin sein eheliche haußfrauw
Haben bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit hannß Roppell burgers Zu Straßburg – Susann sigent 50 pfundt pfenning
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnnd Gärttlin mit Allen Iren gebeüwen & geleg. Inn d. Vorstatt Straßburg Inn Crutennouw, einsit nebent Mathÿß Schmÿtt vnnd Andersit ein Eckhauß, hind. vff Sant Johannis giessen stoßend, dauon gend ein pfund pfenning bodenzinß den guttleuth vnd dem Chor hoherstifft Straßburg Sunst ledig vnd eÿg.
Adolphe Huck et Madeleine Strintz hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Marbach, receveur des lods et ventes
1610 (vj tag Januarÿ), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 12-v
(Inchoat. in Proth. fol: 21.) Erschienen Adolff Huck der Küeffer burger zu Straßburg Vnnd Magdalen Strintzin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. hannß Geörg Marbach pfund Zollers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburg
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Hauß, hoffestatt v. Gärttell mit Allen Ihren geb. d geleg. Inn d. Vorstatt Inn Crutenauw, einsit Ist ein Eckhauß and.sit neb. dem schlüssell hind. vff Sant Johannes gieß. stoßend. Davon gnd viij ß ix d den Sondersiechen Zur Roth. Kirch. Mehr xj ß iij s dem hohenstifft Straßburg Mehr j lb x ß d gelts Ablößig mit xxx lb d Balthasar Göppell, It. j lb s ß d gelts Lösig mit xxx lb Magdalen Herlen, wÿland Geörg Müelmeÿers Witwen Sunst ledig vnd eÿg.
[in margine:] Erschienen h hannß Geörg Marbach hatt in gegensein hannß Andreß passamentmach. Als Jetzig. Inhaber d. Behaußung (…) Act. 25. Maÿ 1622
Le tonnelier Adolphe Huck vend à son fils Jean Jacques Huck la maison à côté de celle à la Clé (zum Schlüssel)
1612 (xxx tag Decembris), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 561-v
(P. fol. 542.) Erschienen Adolff Huck der Küeffer burger Zu Straßburg (verkaufft)
Hannß Jacob Hucken dem Küeffer burgern Zu Straßburg seinem Sohn
Hauß, hoffestatt, höfflin vnd Gärttell mit Allen Ihren gebeüwen & gelgen Inn vorstatt Straßburg Inn Cruttenouw einseit nebent der Herrberg Zum schlüssel, Andersit Ist ein Eck hauß Ane Sant Johannes güeßenn, hinden Auch vff die Herberg Zum schlüssell stoßend, Dauon gend Acht schilling Neün pfenning Boden Zinß vff Johannis Baptæ der Rothen kirchen Alhie, Item Eilff schilling dreÿ pfenning bodenzinß vff Johanni fallend, h. Johann Rieter schaffner Im Moß Münsterhoff, Mehr j lb x ß d Lösig mit xxx lb d vff prima Maÿ Balthasar Göppell del Fünffzehner Knecht Vnd dann ij lb x ß d Ablösig mit L lb d vff prima Januarÿ h. hannß Jörg Marbach Pfundt Zollern Sunst eÿgen, Vnd Alles Recht & Also d. & Vnd Ist dißer Khauff vber obbestimpte beschwerden für vnd vmb 325 pfundt pfenning Straßburg.
Jean Jacques Huck épouse en 1610 Agnès, fille du vigneron Paul Barth de Westhoffen
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 114-v n° 40)
1610. Dominica VI. Trinit. 15. Julÿ. Hans Jacob Huck d. Kiefer Adolff Hucken des Kiefers Sohn, J Agnes, paulus Barthen seligen des Rebmans zu Westhofen nachgelaßene tochter. Eingesegnet Montag den 3. Julÿ (i 119)
Jean Jacques Huck hypothèque la maison au profit de Jean Georges Marbach. En marge, quittance remise en 1622 au propriétaire Jean Andrès.
1613 (ut spâ [viij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 15-v
(Inchoat. in Prot. fol: 18.) Erschienen hannß Jacob huck der Küeffer burger Zu Straßburg mit beÿstand & Geörg Götzen des Stattgerichts botten seines schwagers
Herrn hannß Georg Marbach pfund Zoller burger Zu Straßburg demselben &
Zu Zinsen ij lb x ß gelts Ablosig mit L lb d von vff vnd Abe hauß, hoffestatt, höfflin vnd Garttell mit Allen Iren gebeuen & gelegen Inn d. St. St. Inn Crutenauw, einsit neb. d. herrberg Zum schlüßell, andersit Ist ein Eck hauß Ane Sant Johanns gießen, hind. Auch vff die herberg Zum schlüssel stoßend, dauon gend viij ß ix d Bod. Zinß den Sond. siech. zur Roth. Kirch, Mehr xj ß iij d Johann Ritt schaffner Im Marßmünster hoff, Item j lb x ß d gelts Ablösig mit xxx lb Balthasar Göppell den Fünffzehn knecht, Wÿther L lb d seins sie verhafftet dem gloublig. obgedacht Zuuor, vnd dann noch weÿther hafft vmb j C lb Adolff Hucken des Bekhenners Vatters
[in margine :] Erschienen h hanß Geörg Marbach hatt in gegensein hannß Andreß passmentmach. Alß Jetzig Inhabers (…) Actum 25. Maÿ Anno 1622
Jean Jacques Huck hypothèque la maison au profit de Georges Nagel, pasteur à Dorlisheim. Le messager Georges Gœtz et le débitant de vin Nicolas Geisser se portent garants
1617 (ut spâ [xviij. Aprilis]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 187-v
(Inchoat. in Proth. fol: 186) Erschien hannß Jacob Huck der Küffer burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit hannß Caspar Schön des schneÿders burgers Zu Straßburg, so zugegen Inn nammen seines Vettern herrn Magistri Geörg Nagells pfarrers Zu Doroltzh. – schuldig seÿe 50 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt, höffell vnd Gärttell mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. voorstatt Straßburg Inn Crutenauw einseit neben der herberg Zum schlüssel, anderseit ein Eck hauß Am Wassser, hind. vff Sant Johannes gießen stoßend, dauon gnd. ix ß xj d Bod. Zinß In Morßmünster hoff, Mehr xj ß j d den sond.siechen Zur roth. Kirch, Item j lb x ß gelts Ablößig mit xxx lb d Balthasar Göppell, It. v lb d gelts wid. khöffig mit j C lb h hannß Geörg Marbach, Item ij lbx ß d gelts stnd In hptgtt L lb h hannß Büchell dem Lederbereitt. Sunst ledig eig.
Vnd Zu noch mehrer Vorgewüsserung, So sind Auch p.sönlich Erschien, Geörg Götz Stattgerichts bott vnd Clauß Geÿser d. Weinschenck burger Zu Straßburg, habenn sich vnver: für sich & mit sampt Ime dem Bekhenner Zu recht. bürg., mit: und selbst schuldner und selbst Zahler vnver. gesetzt und gemacht
Jean Jacques Huck vend la maison au tonnelier Georges Kelterer
1620 (iij. Augusti), Chancellerie, vol. 439 (Registranda Meyger) f° 408
(Inchoat. in Prot. fol. 374.) Erschienen hannß Jacob Huck der Küffer burger Zu Straßburg (verkaufft)
Geörg Kelterer den Küffer burgern Zu Straßburg, So auch Zugegen
hauß, hoffestatt, höfflin vnd Gärttlin mit Allen Ihren gebeüwen & geleg. Inn der statt Straßburg Inn der Crutenaw einseit neben der herberg Zum Schliessell, and.seit Ist ein eck Ane Sant Johanns giessen hinden vff gemelts herrberg Zum schliessell stoßend, davon gend xj ß iij d boden Zinß vff Johannis Johannis Baptistæ den herrn deputaten Im Gürttlerhoff, Mehr ix ß ix d Auch bodenzinß Vff Johannis Baptistæ den gutten leütten Zur Rothen Kirchen, Mehr Ein pfund Zehen schilling pfenning gelts Ablößig mit xxx lb d vff 26. Aprilis Balthasar Göppell, Ferner ij lb x ß d gelts lößig mit L lb d vff den 18. Aprilis herrn Geörg Nagelln pfarrer Zu Doroltzheim, Item ij lb x ß gelts widerkeüffig mit L lb d hanß Büchell dem lederbereither vff den 3. Augusti fallend, So dann Ist die Behaußung verhafftet vmb j C lb herrn hannß Geörg Marbach so Jahrs vff trium Regul verzinßt werden, sunst ledig vnd eigen, alle nechst gemelte vier posten wann sie gefordert Werden Zubezahlen vnd Abzurichten, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Kauff vber obgehörtte beschwerden so der Kheüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 300 pfund pfenning Straßburger
(vide Nachtrag in regist: 1636 fol : 588.)
Fils du tonnelier Jean Kelterer, Georges Kelterer épouse en 1611 Dorothée, fille du tonnelier municipal Jean Roser : contrat de mariage, célébration
1611 (24.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° 392
Eheberedung Zwüschen dem Ersamen Georg Keltterer der Küffer, des Ehrenhafften hanß Keltterers deß küeffers burgers Zu Straßburg eheleiblich. sohn Ane einem
So dann der Ehren: vnd tugendsamen Jungfr. Dorotheen deß Ehrenhafften Meister Hanß Roßers des Stattküeffers v burgers Zu Straßburg eheleiblich. dochter Ane dem andern theÿl
In Straßburg Donnerstagß den 26.ten Aprilis 1611. [unterzeichnet] Ich Geörg Kolterer der hoch Zeiter Beken wie vorstet, Ich hans kelltter bekhen wue ob stetth, Ich hannß roser bekenn wie obsteht
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 312, n° 914)
1611. Sonntag 26. Maÿ. Görg Kelterer der Kieff. v. Dorothea, Hans Rosers des Stattkieffers alhie tocht. Eingeseg. Zinstag 4. Junÿ (i 321)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 235) 1611. Dominica 1 post trinit. 26 Maÿ. Jerg Kelterer ein Kieffer, Hans Kelterer des Kieffers sohn, Dorothea, Hans Rosers des stattkieffers Tochter. Eingesegnet zu S. Thoma (i 122)
Georges Kelterer se remarie en 1616 avec Sara, fille du taillandier Jean Schaft
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 273)
1616. Domi. Invocavit 18. Febr. Jerh Kelterer d. Kieffern Sara, Hans Schaften des waffenschmids tochter. Eingesegnet Mont. d. 4. Martÿ. eingesegnet Mont. d. 4. Martÿ (i 141)
Baptême de Jean, fils de Georges Kelterer, ancien tonnelier alors aubergiste au Chasseur
Baptême, Saint-Guillaume (luth. p. 89 n° 5)
1620. Eodem die [Dncâ post Circumcisio: 2. Januarÿ] P. Görge Kelterer, Kieffer, Jetzt Weinschenck Zum Jäger, M. Sara Schefftin. I. Johannes (+). Comp. (…) i 47
Jean Schafft, beau-père de Georges Kelterer, et Léonard Aurhammer, son tuteur, déclarent que Georges Kelterer s’est enfui de Strasbourg en emportant 1200 florins et qu’il s’est rendu à Saverne pour se convertir. Les Conseillers et les Vingt-et-Un décident le 16 juillet de ramener le fuyard à Strasbourg.
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
(f° 158) Sambstag den XIV Julÿ) Georg Kelterer ausgewich. einzuhalt lassen
Hans Schafft Lienhardt Uhrhammer vatter vnd vogt Georg Kelterers hausf. vbergeben supplôn dorin sie clagen wie er Kelterer disser tagen auß der Statt gewichen sein fraw vnd Kinder beraubt u auf 1200 fl. par gelt mit genohmmen und dissertag von Hanß Jacob Hugken den er ein hauß abkaufft u. beÿ Johannis 300 fl erleg. soll, Zu Zalen antroffen u deßweg. Zu red gestelt, der Ime Zu antwort geben er soll Zu seinen vnd.pfandt greiff. u sein fraw darauß stossen dan nit mehr gedenckt herzukommen sond. Papistisch Zu werd. u ehe sein gelt in ein Stifft geben d er aber 2 Kind. u sein fraw nach ane sein gewartig u nichts mehr hatt. Betten sie m hren wollen Innen ein schein geben damit sie Ine wo er an Zutreffen, nidtwerffen konnen u wid alher bring. Erk. Innen willfahrt, P Spielmann H Heusch
[in margine :] Patent gelüffert Inne allenthalben ein Zu Ziehen wie er Schafft begert.
(f° 161) Montag den XVI Julÿ – Georg Kelterer ist ausgetretten halt sich Zu Zabern Hans Schafft v. seiner dochter vogt erschinnen abermal v vbergeben Supllât meldt d. sie Ine Zu Zabern antroffen u beim Ober Schultheissen, Zuweg bericht d. er vor$ werde* d. er aber die religion fürwendes vndlenglich möchte ledig gelassen werd. sonderlich d. er allerhand bese reden von nichten* angeschlagt, vnd *nante der Religion halben grosse straff erlegen mussen Bitten sie mhn wollen Ine mit allem dem was er bey sich hatt vnd seine weib u Kindern remouirt und. hereinholen lassen. Ist d. *schbat so Daniel Buttner an Reg. Hn Amt. abgehen lassen der ausgegessen wid* halb abgelesen und. Erk. Man soll Ine herein holen lassen, H. Grienwad, H Herlin
(f° 163) Mittwoch den XVIII Julÿ – Georg Kelterer hieig. ausgewichener bewandt von Zabern gefolgt
Hanß Christoph von Wildenstein, ober Schultheiß Zu Zabern schbt. und antwortet auf ein schrbn weg. verfolgung Georg Kelterer des ausgewichenen burgers u. d. er also herkommen So will Ine auch folgenn laßen gegen abrichtung der uncosten. Erk. Ist für Rhat gewisen.
1617, XV (2 R 45) Georg Kelterer. 246. [Ca. Küffer Zunfft]
1618, XV (2 R 46) Georg Kelterer. 103. [Ca. Küffer Zunfft]
1619, XV (2 R 47) Georg Keltner. 115. [Würtschaft zum Jäger]
1620, XV (2 R 48) Georg Kelterer. 31. 35. 74. 78. [Würtschaft zum Jäger]
1622, VII 1337 Bauherren – Georg Kelterers Kinder. 307. 308-v (capital looßung)
Georges Kelterer achète le droit de bourgeoisie le 20 mai 1620.
1620, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 802
Georg Keltterer d. Kueffer Von Straßburg Khaufft d. Burgkrecht vnd wüll Zu den küeff. dienen. Actum den 20 Maÿ 1620.
Le tonnelier Georges Kelterer et Sara Schafft vendent la maison au passementier Jean Andrès et à sa femme Appolonie Büchler
1621 (j. Augusti), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 447
(Inchoat. in Prot. fol. 314. – Postea pthum. fol. 507.) Erschienen Georg Kelterer d. küffer burg. zu Straßburg, vnd Sara Schaffin sein eheliche haußfrauw (verkaufft)
hannß Andres dem passamentmacher burg. Zu Straßburg vnd Appolonia Büchlerin seiner ehelich. haußfr.
hauß, hoffestatt, höfflin vnd Gärttell mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der St. St. Inn Crutenauw einseit neben d. herberg Zum Schlüssell, And.seit ein Eck Ane Sant Johannes giesen, hind. vff gemelter herberg Zum Schlüssell stoßend, dauon gend xj ß iij d Bodenzinß vff Joh: Baptist. den deputaten Imm gürtler hoff, Mehr ix ß Auch Bodenzinß verkäuffer Johannis Bpt. den gutten Leuth. Zur Roth. Kirch, Mehr j lb x ß gelts lößig mit xxx lb vff 26. Aprilis Balthasar Göppell, Item ij x ß gelts lösig mit L lb vff 18. Aprilis Hn Geörg Negell pfarer Zu doroltzheim, It. ij lb x ß d gts wid. kheuffig mit L lb vff 3. Augusti hanß Büchell dem led. burger, deßgleich. seind sie verhafftet vmb 1 C lb hannß Geörg Marbach pfundt Zoller So Jahrs vff Trium Regum verzinset vnd nachgemelter vier posten wann sie gefordert werden zu bezahlen vnd Abzurichten Vnd dann Vmb j C lb d hannß Jacob Huckin dem Küffer daran an All Jahr xxv lb vff Johis mit dem Zinß Zuerlegen schuldig, Sunst ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also d. & Vnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 150 pfund pfenning
Jean Andrès et Apollonie Büchler hypothèquent la maison dite zum Romeck au profit de Chrétien Kollœffel, receveur de Saint-Nicolas-aux-Ondes
1626 (ut spâ. [29. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 457
(P. fol. 11.) Erschienen hannß Andreß der Paßmentmacher burger Zu St. vnd Appollonia Büechlerin sein Ehefr.
haben in gegensein Christoff Kohllöfels Schaffners Zu St. Clauß in undis alhie – schuldig worden Lxxv lb
vnderpfand, hauß vnd hoffstat Zum Romeck gnt. alhie in der vorstat Krautenaw einseit neben die herberg Zum Schlüßel 2.seit ist ein Eck, hind. vff S. Johans güeß. stoßend gelegen dauon gehen Jahrs ix. ß d. bod. Zinß vnd xj ß d gleich Zinßes im Gürtlerhoff vnd dem Guthleuthauß alhie sonst eÿg.
Jean Andrès vend la maison à Damien Jung. Il cède quelques mois plus tard un capital garanti sur la maison au docteur en droit Sébastien Leitersperger
1628 (4. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 3
(P. fol. 3.) Erschienen hannß Andreß d. passamentmach. burger Zu Straßburg hat (verkaufft)
h. Damian Jung. burgern Zu Straßburg
hauß, hoffstatt höfflin vnd Gärttell, mit Allen Ihren g. gelegn. Inn d. St. St. Inn Crutenaw Zum Romeck genant einseit n. dem hauß zum schlüßel, Ands. Ist ein Eck Ane Sant Johanns gieß. hind. auch vff d.gieß. stoßend, Dauon ged. xi. ß 3 s Bod. Zinß dem Stifft Zu Alt. S. Peter, etwan Im gürtler hoff vff Johannis Baptstæ, Mehr viij ß ix d gelts Bod. Zinß vff Johannis Bptæ den Sond.sich zur Roth. Kirch, It. seind sie verhafftet vmb 1. C. reichsdaler H. Georg Christoff Kollöffell schaffner S. Niclaus in Undis Zuerleg. Imm Vffkhds. eines V.ell Jahrs vnd vff Weÿhenachten Zuuverzinß, Item vmb 1. C lb d. Inn die Carthußen vff Johannis zuverpensioniren, Sunst ldg. eyg. Vnd ist disser Khauff vber obgehntten beschwd. so d. Kheuffer vff sich genommen, Zugangen für und vmb 525. lb
(f° 447) Erschienen hannß Andreß der Passamentmach. burg. Zu Straßburg hat (verkaufft) dem Ehrenvest. vnd hochgelehrten herrn Sebastian Leitersperg. der Rechten doctori & der Also Zugegen Ime & vestiglich. khauffte, Ein Schuldt Namblich 300 pfund pfenning So damian Jung burger Alhier Vonn seiner erkhaufften behaußung vnd Rest des Kauffschillings Vermög der Verschreÿbung In der Canceleÿ mit ampt dem Zinß Zuerlegen plichtig für freÿ Ledig Vnd eÿgen (fol. supra 3.) Vnd ist dißer Khoufff darunder dann Auch begriffen der Zinß so bitz Weÿhenachten Jetz nechst khünfftig Verfallen wirdt, vnd dem Kheüffer Albereith Zustendig Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 250 pfund pfenning Straßburger. Act. 16. Augusti Anno & 1628. in ædibus emptoris
Jean Andrès déclare devoir 200 florins au tonnelier Jean Jacques Huck sur la maison vendue à Damien Jung. Il hypothèque sa maison rue des Dentelles.
1636 (ut spâ. [20. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 475 f°588-v
Erschienen hanß Andreß der Paßmentirer burger Zu St.
hatt in gegensein hanß Jacob Hucken deß Küeffers auch burgers alhie bekannt, daß Er demselben, wegen der 200. fl. so Er Andreß vff seiner gehabten in Crautenaw gelegenen und an damian Jungen v.kaufften hauß, ihme Hucken in hohen dem Reichßthaler nach zu 6. fl. gerechneten gelt abgelegt (…) schuldig seÿe L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstat alhie in Spitzengaß neben Augusti Gollen witib und Erben & Paul Storcken dem Rothgerber hind vf die Breusch, so Zuuor verhafftet umb 200. fl. w. dem Spitahl, It. umb 50. fl. d. Zunfft Zur Steltzen, It. um 80. fl. dem Gutleüthauß, It. umb 100. fl. H Hanß Georg Marbach, It. umb 100. fl. Arnold Werbecken, Mehr umb 150. fl. H Sebastian Leitersperg. So dann umb 50. fl. H Hanß Büchels see. witib und Erben
[in margine :] Erschienen hannß Adolph Huckh der biersieder alhie alß Erb deß hierin gedachts Creditoris seines Vatters nunmehr seel. hatt in gegensein H Hannß Philipß Andreß deß Harpffenisten für sich selbsten und im nahmen Appoloniæ deß hierin gedachts hannß Andreß. seel. nachgelaßener Wittibin seiner mutter (…) Actum den 22. februarÿ Anno 1655.
La maison revient à Jean Georges Leitersperger, fils de Sébastien Leitersperger ci-dessus, qui épouse en 1638 Appolonie, fille du docteur en médecine Melchior Sebitzius
Mariage, cathédrale (luth. p. 406)
1638. Dominica Quinquagesima 4. Febr. h. Johann Georgius Leitersperger dißer Stadt bestellten Rathgeb. Vndt Advocaten Ehelicher sohn, Vndt J. Appollonia h. Melchioris Sebitzÿ Med. D. et Prof. Comitis Palatini Cæsarej Vndt gemeiner Statt Verordneten Physici Eheliche tochter (i 208)
Le docteur en médecine Jean Georges Leitersperger hypothèque la maison dite zum Raumeck au profit de Catherine Varrenbühler, veuve du receveur Joseph Arnhard
1646 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 274
Erschienen H Johann Georg Leitersperg. Med. Doctor und Burg. Zu Straßburg
hatt in gegensein Frawen Catharinæ Varrenbühlerin weÿl. H Joseph Arnhardts geweßenen Schaffners deß mehrern Hospitalß und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Wittib mit beÿstand H M. Simeonis Süeßen Præceptoris classici ihres Curatoris und H Johann Jacob Arnhardts ihres Sohns – schuldig seÿen 300 Pfund pfenning – schuldig seÿen 300 Pfund
dafür in specie Vnderpfand sein soll (…), It. hauß, hoffstatt, höfflin, und Gärtlin, mit allen deren Gebäwen alhie in Krautenaw, Zum Raumeckh genannt, einseit neben dem hauß zum Schlüßel, anderseit ist ein Eckh ahne St. Johannß Gieß., hind. vff besagt. Gießen stoßend geleg., davon gehnd iahrs vff Joh. Bapt: 11 ß 3 ß bodenzinß dem Stifft zum alt. St Peter und 8 ß 9 d Bodenzinß vf Joh. Bapt:
La maison dont la moitié appartient à son fils Jean Georges Leitersperger figure à l’inventaire des biens qu’apporte Appolonie Sebitzius lors de son remariage avec Jean Gaspard Bernegger
1663 (12.1.), Not. Braun (Jean Philippe, 5 Not 1)
Revisio und respectivé beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so die Edle viel Ehren und Tugendreiche frauw Apollonia gebohrne Sebiziusin Ihrem jetzigen geliebten Ehe herrn dem Edlen undt hochgeachten Herrn Johann Caspar Berneggern allhiesiger Cancelleÿ wohlbestellten Registratori, sowohl in Eÿgenthumb als wÿdumbs in die Ehe Zugebracht – Actum den 12. Januarÿ undt denen nachfolgenden Zeiten Anno 1663.
Haußrath der frauwen eÿgenthümblich Zuständig (…) nach dem über der frawen vorigen Eheherrn herrn Dr. Johann Sebastian Gambßen seel. verlaßenschafft p. herrn Not. Ursinum in a° 1658 auffgerichteten Inventario
Pfenningzinß hauptgüter, Vermög deß über weÿland Herrn Johann Sebastian Gambßen p. herrn Not. Ursinum den 3. Junÿ a° 1658 auffgerichtet
Eigenthumb ane Häußern d. frawen Zugehörig vermög Hn Dr Gambsen seel. Inventarÿ
It. fol. 85.b v. seq. den ½ theil ane d. Behausung in d. Crautenaw Zum Raumeckh genant & wie selbige mit sampt den darauff stehenden beschwerd. v. darüber sagend. Doc. an ermeltem Invÿ* specificirt Zubefind. daran d. überige ½. theil d. Fr. Sohn erster Ehe eigenthümlich zuständig.
It. fol. 86.b 2/3 für unv.theilt ahne d. behaußung in S. Barbaræ gassen gelegen, Zum frommen Glück genannt, so frey ledig eÿg. v. d. überige dritte teil daran Johann Georg Leÿterspergen d. frn . erster Ehe Sohn zugehörig
(f° 5) Wÿdumb, So die fraw von weÿland herrn Johann Georg Leÿtersperges Med. Dris. v burgers allhier ihres erstern herrn seel. verlaßenschafft Zugenießen hatt.
Appolonie, veuve de Jean Gaspard Bernegger, et le curateur de Philippe Gaspard Leitersperger vendent la maison au jardinier David Gori moyennant 375 livres
1676 (10. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 317
der Edel- Vest hochgelehrte Herr Johann Ulrich Frid, Jctus. et Rei publ. Patriæ Consiliarius alß Curator frawen Apoloniæ, weÿl. deß Edel- fürsichtig und hochweÿßen herrn Johann Caspar Berneggers dießer Statt geweßenen Ammaÿsters nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und der Ehrenvest- fürsichtig und weÿse herr Johann Philipps Schmidt E.E. Großen Rhats beÿsitzer alß Curator Philipp Caspar Leiterspergers
in gegensein Davidt Gori deß Gartenmanns mit beÿstand herren Johann Andreæ Mergilets Schaffners deß Closters Zu den Rewerin
hauß, hoff, hoffstatt Stallung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Krautenau ahn St. Johanns Gießen, einseit ist ein Eckh, anderseit neben Herrn M. Johann Georg Schnitzlers Diaconi Zu St. Thomæ Kindern erster ehe, hinden uff erwehnte Schnitzlerische Kinder stoßend gelegenn davon gehend iährlichen 11. ß ewigen zinß denen deputaten deß Chors hoher Stifft Straßburg, Item 8. ß 9. ewigen zinnß der Rothen Kirch alhier – umb 375. lb
Fils du jardinier du même nom, David Gori épouse en 1652 Ursule, fille du tonnelier Jean Henri Eberlin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 22-v)
1652. Dominicis Jubilate et Cantate 9/16 Maÿ. David Gori der Jüngere Garten Mann, David Goris des Gartenmanns Sohn, vndt Jungfr. Ursula Hans Heinrich Eberlins des Kieffers vndt Burgers alhie eheliche tochter. Copulati Mont. 17. Maÿ (i 26)
David Gori se remarie en 1675 avec Marguerite, veuve du jardinier Jean Jacques Knecht : contrat de mariage, célébration
1675 (21. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 632
(Eheberedung) Davidt Gori der Gartenmann burger zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand deß Edel- from und wohlweÿsen herren Johann Philipp Friderichß deß beständigen Regiments der herren Fünffzehen an einem
So dann Margaretha, weÿl. hannß Jacob Knechts deß Gartenmann nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit assistentz Abraham Schwingen in Krautenau ihres Curatoris am andern theil
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 113)
1675. Eod. diebus [dominic. 21. u. 22 Trinitatis, 24 et 31. 8.bris] David Gori der Gartenmann, Margaretha Jacob Knechten des gartenmanns nachgelaßene Wittib (i 75)
Jacques Knecht épouse en 1646 Marguerite, fille du journalier Laurent Feierabend
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 7-v, n° 11)
1646. Dominica Cuasimodo & Misericordia. Jacob Knecht der Gartenmann Hans Knechts des Gartenmanns vnd Burgers alhie hinderlaßener Ehelicher Sohn Und Jungfr. Margaretha, Lorentz Feÿrabends des Tagners und burgers alhie hinderlaßene Eheliche Tochter. Cop. Mont. d. 13. Aprilis Wilh. h. X. (i 11)
Marguerite Feierabend meurt en 1702 en délaissant quatre enfants ou leurs représentants. Les experts estiment la maison à 375 livres. La masse propre au veuf est de 908 livres, celle propre aux héritiers de 49 livres. L’actif de la communauté s’élève à 334 livres, le passif à 833 livres.
1702 (18.4.), Not. Redwitz (Jean Frédéric, 43 Not 8) n° 396-a
Inventarium über Weÿland frawen Margarethæ gebohrner Fewerabendin, herrn David Gori des Gartenmanns und Burgers alhier zu Straßburg, Geweßener haus frawen, nunmehro sel. Verlassenschafft – nach ihrem am 18. Martÿ nechsthien genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen (…) durch Ihne Herrn Gori den Wittiber mit assistentz herrn hannß Daniel Gori des Garten Manns – So beschehen und Angefangen Straßburg den 18.ten Aprilis Anno 1702.
die Verstorbene fraw seelig, hatt ab intestato Zu Erben verlaßen. Erstlich Weÿland Barbaræ gebohrne Knechtin seel. mit hannß Martin Buxbaum dem Gartenmann und Burger erziehlte 3. Söhne, namentlich hannß Jacob Buxbaum den *ner und Burger alhier, so jetzmahlen über land verreiß mehr Hannß Michel Buxbaum den ledigen Tabacc bereiter, So dann hannß Georgen Buxbaum, dieße 3 in einen stammtheÿl, und Wahr in dero nahmen Zugegen obgemelter hannß Martin Buxbaum dero eheleiblicher Vatter, 2. fraw Margaretham gebohrne Knechtin, so jetzmahls an Durst Lÿdi, dem Postilion und Schirmer alhier Verhewrathet, welche mit assistentz herrn Diebold Vixen des Gastgebs und E.E. Kleinen Raths jetzmahligen Beÿsitzers als hierzu erbettenen herren deputatus, 3. fraw Mariam Magdalenam Gebohrne Knechtin burgerin alhie, so an hannß Georg Otten den Schiffknecht und Schirmern alhier verhewrathet, 4. Weÿland Hannß Jacob Knechten des Schiffknechts und Burgers alhie hinderlaßen 2. döchter benantlichen Mariam Salomeam und Annam Margaretham, so beede mit Johann Knechten dem Gartenmann und burgern alhie bevögtiget, Alle der verstorbenen fr. seel. respectivé hinderlaßen Kinder und Enckele
In einer alhier Zu Straßburg ahne der Krautenaw gelegenen Zum Rom Eck genannten und in dieße Verlassenschafft gehörig: deßwegen hernach beschrienener behaußung volgender maaßen befunden
Ahne Haußrath und Vahrender haab, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor dießen Gemachen, In der Obern stub, In der Stub Cammer, Im Hauß-Öhren, In der Kuchen, In der Undern Stuben, Im Keller
(f° 9) Erb Lehen Stuck Grund. (W.) Ein Gartten auff anderthalben Acker Groß gelegen Vor dem Elßbethen thor, im Heiritz (…)
(f° 10) Eÿgenthumb ahne Einer Behaußung so theÿlbahr (T.) Hauß, hoff, hoffstatt, Stallung, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten vnd gerechtigkeiten, gelegen ahne der Statt Straßburg vorstatt der Krautenaw an St. Johannis Gießen, eonseit ist ein Eck 2.s. neben weÿland H. Mag. Johann Georg Schnitzlers Pfarrherrn Zu St. Aureliæ sel. Erben, hinden auch vff solche Schnitzerische Erben stoßend. Davon gehen jährlichen 11. ß ewigen Zinnß den deputaten des Chors hoher Stifft Straßburg, Item 8 ß 9 d ewigen Zinnß der Rothen Kirch alhier, Mehr 4 lb d. Zinnß jährlichen auff Mariæ Verkhündigung H. Philip Caspar Leuterspergern E.E. Gr. Raths beÿsitzern ablößig mit 100. lb d restirenden Kauffschillings Capital, sonsten für freÿ, ledig vnd eigen hiehero crafft der Geschwornen Herren Werck Leüthe gefertigten Abschatzung vom 15. Aprilis 1° 1702. æstimirt vnd angeschlagen pro 235. 10. Darüber besagt Ein Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangenden Cancelleÿ Contract Insigell verwahrt, vnd datirt den 10.ten Martÿ A° 1676. mit N° j signirt
(f° 11) Ergäntzung, Vermög Inventarÿ, durch herrn Johann Thomann Tromer Notarium, underm 18. Januarÿ, A° 1676.
Erg. Behaußung, Item für die behaußung und Gartten, so die fraw seel. in dieße ehe gebracht und gelegen alhier Zu Straßburg und dero vorstatt Crautenaw, in der Enden letz genannt, ist in wehrender ehe namentlich in A° 1692. erlöst worden, so alhie in Ergäntzung zu bringen, benantlich. 50.
(W) haußrath 93, silber 1, Erblehen 70, Ergäntzung 742, Summa summarum 908 lb
(E) haußrath 11, ergäntzung 37, Sa. der Erben Nahrung 49 lb
(T) haußrath 24, meel 1, Goldener Ring 3, Garten waar 17, behaußung 235, Pfenningzinß hauptgüter 45, Schuld 2, Summa summarum 334 lb – Schulden 833 lb
Activ Massa 1292 lb, Detrahendo 458 lb
Copia der Eheberedung – Unser burger David Gorj der Gartenmann alß bodenzinß, So dann Margarethan weÿl. Unßers burgers Hannß Jacob Knechts des Gartenmanns nunmehr seel. nachgelaßene wittib – am 21. Tag Montas Octobris im Jahr 1675, C.C. st.
(cote 64 not 9) Abschatzung Sammbstag d. 15. Appril 1702. Auff begehren deß Ehren Hafften vnd bescheidnen herrn Davidt Gori der Ellter, burger und Garttners behaußung alhie in der Statt Straßburg, In der Krauthen aw, Ein seitz Neben herrn Pfarrer böhler, daß hauß Zum Schlüssel Genandt, Ander seitz auff den blumen Gießen stoßendt hinden auch auff die gedachte behaußung Zum Schlüssel stoßend, welche behausung sambt Neben Gebäw und Gänge und einen gebalckhten Keller auch übrige begriffen Zu gehör und Gerechtigkeit, wie solches in der besichtigung befund. und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen vor und umb Sieben hundert Fünffzig Gulden. Bezeügnus der Statt Straßburg geschworne Werckhleuth, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß Münsters, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Marguerite, femme de David Gori, meurt à l’âge de 76 ans
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. f° 124-v)
1702. Montag d. 20.ten Martÿ früe Vor tag, starb Margaretha, David Gorj deß gartenmanns Und burgers Ehefrau, Ihres alters im lauffend. 76.t. Und ist folgend. 22.ten begraben ad S. Urbani in gegenwart d. Unterschriebenen, o des Wittibers Zeichen, hanß Görg gori alß Sohn (i 127)
David Gori meurt quelques mois plus tard à l’âge de 81 ans. Son fils Jean Georges Gori et son gendre Gaspard Cayon signent l’acte de sépulture.
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. f° 129)
1702. freytag d. 25.ten Augti. starb David Gorj der gartenmann Und burger, im 81.sten Jahr seines Allters, und ist folgend. Sonntag d. 27.ten auff Urbani zu erden bestattet. hanß Görg gori allß Sohn, caspr cajon als toter man (i 127)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 800 florins. Par ailleurs Susanne Gori, veuve de Daniel Zipff, doit un droit de détraction qui lui est remis.
1703, Livres de la Taille (VII 1173) f° 162
(Weinsticher, N° 616) Weÿl: Mstr: David Gori deß geweßenen Gartenmanns Verlassenschafft, jnventirt Nots: Redwitz.
Concl: fin: Inv: ist fol: 46.a dem Stall tax nach 495. lb. 13. ß. ½ d., die machen 1000. fl., hiengegen verstallte derselbe 800. fl. und also 200. fl. Zuwenig.
Extat daß Stallgelt –
Nachtrag von nicht verstallten 200. fl. vor in jahr in duplo, macht 12. ß
Gebott, 2. ß.
Abhandlung 15. ß. 6 d.
Sa. 1. lb. 9. ß 6. d
dt. 23. Julÿ 1703
Abzug. Susanna Gorin, Caspar Gori deß Maurers und Schirms Verwanthen allhier eheliche haußfr: soll von 119. lb. 12. ß 9 d angefallenen Erb: ane Abzug erlegen 11 lb 19 ß
(rub.) NB. diese Susanna, so Daniel Zipffen wb. ist im Stallbuch A fol. 87.a als burgerin eingeschrieben, und deßwegen deß abzugs freÿ
Les Quinze exemptent du droit de détraction Philippe Gori, engagé depuis dix-huit ans dans les troupes du roi, alors en garnison aux Pays-Bas espagnols.
1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
(f° 179) Sambstags den 14. Julÿ 1703 – weÿl. David Gori des burgers und gartenmanns hinterlaßener dreÿ Erben produciren per G. Unterth. Memoriale vnd bitten wie inhalts pt° abzugs. Erkandt An die Obern Stallherren gewießen.
(f° 181-v) Sambstags den 21. Julÿ 1703 – David Gori Erben pt° Abzugs von ihrem Brud.
Obere Stallherren Laßen per me proponiren, das weÿl. David Gori gewesenen Gartenmanns vnd burgers alhie hinterlaßene sich hier befindliche Kinder ein unterthäniges Memoriale übrreicht und darinnen angebracht, welcher gestalten von ihres bruders Hans Philips Gori welcher unter Ihrer Maÿt. Cauallerie anietzo in dem Spannischen Niderlanden sich befinde, erbten undt à 119. lb d bestehenden Guth von der Statt Stall der abzug gefordert werde, da Sie doch verhoffen daß, weilen ihr bruder nicht aus dem Königreich verzogen sondern in König. Kriegsdiensten begriffen, Er keinen abzug Zu erlegen habe, werden mit unterth. bitte, Ihne davon Zu absoluiren.
Auff beschehene remission habe man von den Imploranten hans Georg Gori darüber angehört, welcher bericht, daß obged. sein bruder schon 18 jahr unter dem Regiment Royal allemand Zu Pferdt, in Ihre May. Kriegsdiensen stehe, und erst vor einem viertel jahr geschrieben, daß man ihme sein Erbguth nicht verkauffen solte, sondern Er, nach der Campagne selbst anhero kommen wolte, wie man ihme dann seine Sachen auch verwahrlich auffbehalten, und dazu ein besonderliches Stübel gelehnt habe.
Auff seithen der Herren Deputirten habe man davor gehalten, daß weilen bemelter hans Philipps Gori, ein burgers Sohn und nicht auß dem Königreich verzogen, sondern noch würckl. in König. Kriegsdiensten sich befindet derselbe des abzugs befreÿt werden könne. Erk. Bedacht Gefolgt.
1675, Conseillers et XXI (1 R 158) David Gori würdt Thorschließer. 116.
1696, Conseillers et XXI (1 R 179) David Gori [der ältere, umb befreÿung der Einquartierung]. 175.
Le manant Jean Jacques Heller demande l’autorisation de tenir une auberge dans la maison de feu David Gori. Son père faisait partie de l’ancienne garnison de la Ville, lui-même a été concierge chez le commandant de Colmar jusqu’à sa mort. Il revient à Strasbourg où il entend gagner sa vie en débitant du vin. Les Quinze constatent que la maison n’a jamais servi d’auberge, ils invitent le pétitionnaire à trouver une maison dans un quartier où les manants ont le droit de tenir auberge.
1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
(f° 104-v) Sambstags den 14. Aprilis 1703 – K. noîe Joh: Jacob Heller des Schirmers vnd Würths alhie, der will in der Krautenau alhie, in des verstorbenen David Gori des Gartenmanns hauß den weinschanckh treiben bittet vmb deßen Gn. permission. Erk. an die Obern Vngelthh. gewießen.
(f° 106-v) Freÿtags den 20. Aprilis 1703 – Hans Jacob Heller pt° weinschancks
Obere Vngelts Herren Laßen per Hrn Friden Proponiren, es habe Hans Jacob Heller in einen gehaltenen Recess ansuchung gethan, daß Ihme den Weinschanck in der Krautenau erlaubt werden möchte, undt alß mann Ihnen ferner angehört, beditten, daß das hauß worin er den weinschanckh zu treiben willens, David Gori des gew. gartenmanns hinterlaßenen Erben Zugehöre, daß sein vatter beÿ vormahliger alhießiger Statt garnison, 30 jahr Sergeant, Er aber 16 Jahr Zu Colmar Concierge gewesen nachdem aber der Vorige Commandant alda gestorben, Er sich anhero begeben habe, vnd sehen wollen ob Er sich mit dem Weinschanckh ernehren könne, vnd verhoffe Er, weilen man anderen Schirmeren es erlaubt, man es ihme nicht werde erschwehren wollen. man habe sich aber gleich errinnert daß an dießen orth, der Weinschanckh den Schirmern nie erlaubt auch in dem hauß quæstionis, niemahlen wein auß geschenckt worden, welches man demselben auch remonstrirt, vnd ihn dahin angewießen, daß Er Sich eine andrere Gelegenheit an denen Orthen, wo den Schirmeren bißhero wein außzuschencken vegönnet worden, außsehen vnd sich alß dann wider anmelden solte, so Er Zu thun auch versprochen habe, welches Mgherren, man zu referiren, nicht habe ermanglen wollen.
Erkandt, bleibt auff sich, biß der Implorant eine andere gelegenheit finden werde.
Les héritiers Gori vendent la maison au boucher Jean Georges Ehehalt moyennant 600 livres
1704 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 145-v
(600) Erschienen Joh: Georg Gori tabackbereither, Item Susanna gbre. Goriin Caspar Gajons maurers Haußfr: mit beÿstand u bewilligung desselben, Item Urßula gbr. Goriin Hanß Hanß David Illingers tabackbereithers haußfr: mit beÿstand u bewilligung desselben, Item Joh: Philipp Gori Gartenmann [unterzeichnet] hanß Görg Gori, Susanagoriin, davidt Illinger tabackmacher
haben in gegensein Hn. Joh: Georg Ehalds metzgers angezeigt u. bekant, daß Sie gesampte obige Gorische geschwisterde ihm Hn Ehhalt (verkaufft) [unterzeichnet] hanß Jerg Ehhalt
Hauß, Hoff, Hoffstatt, Stallung mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der Krautenau ahn St. Johann Gießen /:zuem Raumeck genant:/ einseith ist ein eck anderseith neben weÿl. Hn M. Joh: Georg Schnitzlers Pfarrers zu St. Aurelien KK. hinten auch auf Sie stoßend gelegen, darvon gehen jährlichen 11 ß d ewigen Zinßes denen Deputaten deß Chors Hoher Stift Strb. Item 8 ß 9 d ewigen Zinß der rothen Kirchen allhier, sonsten seÿe es freÿ ledig u. eigen – geschehen um 600 pfund
Originaire de Denkingen en Souabe, Jean Georges Ehehalt épouse en 1695 Eve, fille de Jean Müller de Strasbourg
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 58)
Die 16 Maÿ Anno Domini 1695. honestus Adolescens Joannes Georgius Ehhalt ex Deckingen in Suevia, Civis Argentinensis ex una parte, et honesta puella Eva filia honesti Joannis Müller Civis Argentinensis et Agathæ Conjugum parochiæ nostræ ex altera parte (…) in facie Sanctæ Matris Ecclesiæ (…) (signé) Jeorg Ehhalt, Effen Millen (i 31)
Fils du boucher Georges Ehalt de Deckingen en Wurtemberg, Georges Ehalt achète le droit de bourgeoisie le 9 mars 1695.
1695, 3° Livre de bourgeoisie
Georg Geholdt der Metzger Von Deckingen im Würtenbergerland, Georg Geholdts auch Metzgers daselbst ehl: sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. gold fl. und 16. ß so bereits auf dem Pfenningthurn erlegt worden, ist noch led. standts Vnd wird Zu E.E. Zunfft Zur blumen dienen. Jur. d. 9.t Martÿ 1695.
Fille du marchand de chevaux Jean Müller de Strasbourg, Eve Müller devient bourgeoise par son mari un mois après son mariage.
1695, 4° Livre de bourgeoisie
Eva Müllerin, Johann Müllers des Roßhändlers allhier Ehl. tochter, empfangt das burgerrecht von Joh: Georg Eholdt dem Metzger, p. 2. Gold fl. 16. ß.so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt worden, Vnd wird Zu E.E. Zunfft Zur blumen dienen. Promis: d. 15. Dito [Junÿ 16] 95.
Marie Eve Müller meurt en 1715 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison dite zum Raumeck à 500 livres. La masse propre aux héritiers est de 22 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 238 livres, le passif à 608 livres
1716 (9.3.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 10) n° 488 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿl. der Ehr: undt Tugendbegabten Frauen Mariæ Evä Ehehaltin, gebohrner Müllerin deß Ehren Vesten undt Vorachtbahren herrn Johann Georg Ehehalts deß Metzigers undt E:E: Kl: Raths alten beÿsitzers auch burgers alhier Inn Straßburg geweßener Eheliebstin nunmehr seel. verlaßenschafft, auffgerichtet vnndt verfertiget In Anno 1716. (…) nach Ihrem auff Donnerstags alß den 21.ten Monatgstag Februarÿ deß verfloßenen 1715.ten Jahrs aus dießer müheseel: welt genommenen seel. hindritt, hinder Ihro Verlaßen – Actum Straßburg auff Montags den 9.ten Martÿ Anno 1716.
Die verstorbene Frau seel: hatt ab intestato Inn Stämme Zu Erben hinderlaßen, wie Volget 1. Jungfr. Anna Eva alß die eltere tochter, 2. Johann Georg als einiger Sohn, 3. Leonora Salomea das Jüngere Töchterl. 4. So dann Maria Elisabetha alß das Jüngste Töchterlein, dießer Vier Ehehalten, alß aller rechtmäsiger Erben beÿstädtlich deren geschwornen herren Vogten deß Ehren Vesten vndt wüßen herrn Zachäo Sauren deß hueffschm. und E. E. Großen Raths alten beÿsitzern und Burgers alhier Inn Straßburg, Welcher Zugegen vnndt dem Geschäfft beÿgewohnt.
Bericht, Gegenw. Verlaß. Invent. Demnach beede wohl Ehrengemelt Eheleute Zur Zeit ihrer Verheürath. mit Einand. keine pacta dotalia auffgerichtet, also auch nicht inn die Ehe inventirt haben, Viel wenig. sonsten Etwann Einig. letzt. willen (…)
Inn Einer alhier Inn der Statt Straßburg der Vorstatt Crauttenauw nahe dem sogenandten blumengießen gelegener, vnndt Inn dieße verlaßenschafft eigenthümlich zuständig. bewohnder behaußung sich befunden unndt angegeben
Ane Holtz und Schreinw. In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießen beeden Cammern, Inn der obern Wohnstub, Inn der Stub Cammer, Inn dem obern hauß öhren, Inn der Kuchen, Inn der undern Stub, Im Keller
Eigenthumb ahne einerm Metziger banck so theilbahr (…)
Eigenthumb ahne Einer behaußung. Item ein hauß, höffl. vnndt hoffstatt auch Klein Stallung, neben anjetzo einem bronnen, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten, v. Gerechtigkeiten gelegen alhier in der Crauttenau an S. Johann oder blumengießen vnd altem her Zum raum Eck genandt, 1. s. das Eck, 2. s. neben weÿl. Hn M. Joh: G: Schnitzlers geweß. Pfarrherrn Zu S: aurelia hinderlaßener Erben; hinden auff ged. Erben stoßend, davon gehen jahrl. 11 ß d. ewigen Zinnßes denen Deputaten des Chors hoher Stifft Straßburg, Item 8 ß 9: d. ewigen Zinnß der Stifftung rother Kirchen alhier, vnndt ist solche behaußung über die darauff hafftenden beschwerdten durch der Statt geschwohr. Werckmeister nach besag von denen selben überreichter schrifflichen Abschatzung Sub dato d. 2: Martÿ 1716. hie hero æstimirt vnndt abgeschätzt vor 480. lb 5 ß d. Darüber sagt j: teutscher Pergament Kauffbrieff, auß allhiesiger Cancelleÿ Contract stub verfertiget, mit deren anhangendem Innsiegel verwahret datirt d. 19: Martÿ Anno 1704. alhier mit Lit. A. et N° 1. sign. Ferner i: teutscher Pergament: Kauffbrieff auß alhieß: Cancelleÿ Contract Stub gefertiget mit deren Innsiegel verwahrt, de dato den 10. Martÿ 1676. mit altem N° 1 undt neuem Lit: B: sig. vnd dabeÿ gelaßen.
Norma huius Inv. d. Kind. v. Erb. ihr ohnv. Er Erbt Mut. g: Sa. haußr. 30, Sa. g. ring 2, Summa summarum 22 lb
Auff solches volgt nun auch d. gem. verändt. v. T: g. Verl., 1) haußr. 104, 2) Schiff und gesch: Zur Metzg. handw. geh. 4, 3) leerer Vaß 9, 4) haaw auffm Stall 4, 5) Unschlitt 4, 6) durrer hauth 26, 7). leb. vnd vieh 25, 8) Silb. v. geschm 11, 9) baarsch. 71, 10) Eigth. ane i. Metzig b. 490, 11) Eigth ane i. behausung 480, 12) Schulden 8, Summa summarum 1238 lb – Schulden 608, Nach solchem abzug 629 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 663 lb – Zweiffelhaffte actiua 577
Abschatzung d. 2.ten Marttz: 1716: Auff begehren deß Ehrenhafften vnd bescheiten H: hanß Görg Eehalt, Metziger ist Eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Graudtenau gelegen Ein Seith Neben H: Christian pfarr Zu Nunenwühr, Ein Eckh am Wasser, hinden Auch auff daß wasser Stosend, welche behaußung hoff, hoffstatt, Gewölbter Keller, Stallung, hoff und brunen sambt aller Ihrer Recht, vnd gerechtigkeith wie solches durch der Statt geschworne Werckhleüthe in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirt Vor und umb Ein Tausendt Gulten
der Ander begriff ist auch alhier in der großen Metzig bestehet in Einem Metziger banck Ein Seith Neben hanß Jacob dadt, Ander seith Neben hanß görg König (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren Werckhleuth, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters, Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff
Jean Georges Ehehalt se remarie avec Anne Marie Brand, veuve de Jean Michel Kauffmann, aubergiste au fort de Kehl : contrat de mariage par lequel le mari assure à la future épouse l’habitation dans sa maison pendant son veuvage, célébration
1718 (7.7.), Not. Courtz (6 E 41, 461) n° 46
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehren Vest und Großachtbahren Herrn Johann Georg Ehehalt E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzern, vornehmen Burgern Metzgern und Wittibern Zu Straßburg alß Hochzeitern an Einem,
So dann der Viel Ehr und Tugendreichen frauwen Annæ Mariæ Brandin Weÿl. H. Johann Michel Kauffmans geweßenen burger und Grünbaumwürths zu Kaÿl hinderlaßene wittib alß der Hochzeiterin, andern theils
Drittens Verspricht ehrengemelter Herr Hochzeiter seiner geliebtesten Hochzeiterin Einen Wiedumbs Sitz in seinem Eigenthumb. alhier Zu Straßburg in der Krautenaw gelegenen behaußung, benant. Stub, Stub Kammer, Kuchen, Platz in dem Keller, Platz Zum brennholtz, und Ein frucht Casten, ad dies viduitatis vnd solang Sie in unverruckten wittibstand Verbleiben wirdt
so geschehen Straßburg den 7. Julÿ A° 1718. [unterzeichnet] hanß Georg Ehehalt Als hoch Zeiter, + der Hochzeiterin Hand Zeichen
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 154-v)
Hodie die 12 Septembris Anni 1718 (…) sacro Matrimonÿ vinculo copulati honestus vir Joannes Georgius Ehaldt viduus Evæ Müllerin civis et Lanio hujus urbis, et Anna Maria Brandin vidua Joannis Michaelis Kauffman cvis et Cauponis dum viveret in dicta arce Kehlensi (signé) hanß Jeorg Ehehalt, + signum sponsæ (i 157)
Originaire de Bornheim en Palatinat, Jean Michel Kauffmann épouse en 1714 Anne Marie Brand, native de « Matterwil » dans le canton de Lucerne en Suisse
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 255)
Die 13. Mensis Februarÿ Anni 1714 (…) sacro Matrimonÿ vinculo copulati sunt Honestus Juuenis ac dominus Joannes Michael Kauffman oriundus ex Bornheim in Palatinatu et pudica virgo Anna Maria Brandin oriunda de Mattervuill in Helvetia et ditionis Lucernensis (signé) hnß michel Kuffman, + signum sponsæ (i 150)
Fille du receveur Jean Jacques Brand de Lucerne, Anne Marie Brand acquiert le droit de bourgeoisie par son mari Jean Georges Ehehalt
1718, 4° Livre de bourgeoisie p. 835
Anna Maria Brandin Von Lucern, weÿl. Joh: Jacob Brandt gew. Schaffners Tochter, emp. das Burgerrecht Von ihrem Mann Joh: Georg Ehehald p 2. gold fl. 16 ß wird Zur Blum dienen. Promis.d. 17. Ejuds. [9.bris] 1718
Inventaire des apports
1721 (27.8.), Not. Courtz (6 E 41, 460), non signé (grosse signée Courtz, annexe au n° 9) n° 16
Inventarium über Herrn Johann Georg Ehehalt E: E: kleinen Raths Beÿsitzer, Burger und Metzgern alhier, und frauen Annæ Mariæ Brandin beeder Eheleuthe Zusammen gebrachte Nahrung auffgerichtet A° 1721.
Sa. Frauen Kleidung 108
[grosse] Beschehen auffgerichtet worden Straßburg den 27. Aug. Anno 1721.
Copia Eheberedung, auffgerichtet d. 7. Julÿ 1718
Summa summarum, so Frau Anna Maria gebohren Brandin Ihrem Eheherren In die Ehe gebacht 744 lb.
Anne Marie Brand meurt en décembre 1727 en délaissant une fille. La maison est portée à une valeur de 450 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 519 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 1076 livres, le passif à 909 livres
1728 (12.10.), Not. Courtz (6 E 41, 460) n° 9
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren v. Tugendreichen Frauen Annä Mariä Ehehaltin gebohrner Brandtin, des Wohl Ehrenvest v. Weißen H. Joh: Georg Ehehalts, Metzgers v. Burgers allhier auch E: E: großen Raths Alten beÿsitzers geweßener Ehefrauen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet A° 1728. – nach ihrem d. 29. Xbris deß Zurückgelegten 1727.sten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren deß Ehrengeachten H. Stephan Schmidts, Gastgebers v. burgers allhier, als geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ Ehehaltin der Verstorbenen Frauen seel. mit obged. ihren hinterbliebenen H. Wittiber ehel. erzeugt v. hinterlaßenen einzigen Töchterleins v. ab intestato Erbin inventirt (…) So geschehen in der Königl. Statt Straßburg in fernerem gegenweÿn deß Ehrenvesten v. weißen herrn Johann Martin Cuntzen geschwornen Käuffers v. E: E: Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers als der Kinder Erster Ehe geschwornen Vogts, auff Dienstag den 12.ten 8.br. 1728.
In einer in der Statt Straßburg ane der Crautenau ane dem sogenandten Blumengießen gelegenen in diße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obersten Bühn, Im oberst Hauß Ehren, In d. Cammer A, In d. Cammer N, In der obern Stub, In d. Stub Cammer, Im mittlern hauß Ehren, In d. Kuchen, In der untern Stub, Im untern hauß Ehren, In d. Kuchen
Eigenthum ane Hauß v. Metzigbanck. (W.) Erstl. ein behaußung, höfflein v. hoffstatt mit allen deren gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten v. gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg in der Vorstatt Crautenau eins. neben einer behausung Zum Schlüssel genandt, 2. s. neben H: Becquin dem Handelsmann allhier, hinden auff dem Blumengießen stoßend gelegen, so über 8 ß 4: d.s bodenzinß, so man Jähr. der rothen Kirchen allhier zu geben schuldig, leedig und eigen v. durch obged. geschwohrne Werckmeistere, obige beschwerd. angeschlagen pro 425. Davon abgezogen obige Beschwerd so in ohnvergreifflichen Capital th. (-) So verbleibt ane dem anschlag solcher behaußung annoch übrig (-). Darüber bes. i. teut. perg. Kbr. in allhies. C. C. Stuben gefertiget v. mit dero. anh. Ins. verw. datirt d. 19: Mart: Anno 1704. mit Lit. A. et N° 1. not. Ferner ein älterer perg: Kbr. in bes. C. C. Stuben gef. v. mit dero Ins. verw. de dato 10. Mart: 1676. mit a. Lit: B: v. N° 1 marquirt.
(W.) It: ein Metzigbanck allhier unter der großen Metzig (…)
Ergäntzung der Erbin unveränderten Guths, Vermög Inventarii über der Verstorbenen Frauen seel. Zu dem hinterbliebene Wittiber in die Ehe gebrachte Nahrung durch auch Eingangs gesachten Notm. A° 1721 auffgerichtet
Series rubricarum. Des H. Wittibers unverändert guth unter einer Masse, Sa. haußraths 73, Wein Faß v: bütten 16, Sa. Vieh v: Fütterung 169, Silber 21, Goldene Ring 2, baarschafft 42, Eigenthum ane einer Behaußung 425, Eigenthum ane einem Metzger banck 200, Schulden 117 – Summa summarum 1076 lb – Schulden 909 lb, Compensando 167 lb
Der Erbin unverändert Nahrung, Sa. haußraths 57, Ergäntzung (557 Abzug 60, Rest) 487, Summa summarum 519 lb
(Joint, grosse de l’inventaire des apports Brand)
Jean Georges Ehehalt meurt en 1740 en délaissant quatre enfants de son premier mariage et un du deuxième. Les experts estiment la maison dite zum Raumeck à 850 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 029 livres, le passif à 1 126 livres.
1740 (15.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 53) n° 1183
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der wohl Ehrenvest, Großachtbahr und wohlweiße herr Johann Georg Ehehalt geweßener Metzger und E: E: großen Raths alter wohlmeritirter beÿsitzer und burger allhier zu Straßburg nunmehr seelige, als derselbe Sambstags den 16.ten Aprilis dießes Lauffenden 1740.sten jahrs dießes Zeitliche in das ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenem tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg, auf dienstag den 3.ten Maÿ & seq. Anno 1740.
Der abgeleibte herr seeliger hat zu seiner Erben ab intestato verlaßen wie volgt. 1.mo Frau Annam Evam Huckin geb. Ehaltin, weÿl. mstr. Joh: Michael Hucken, des geweßenen Schuhmachers v burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßene wittib, so mit beÿstand H Peter Noel des Schuhmachers und burgers allhier, ihres geordnet und geschwornen Vogts dießem geschäft abwartete, 2. Johann Georg Ehalt, leediger Metzger Knecht so in die 20. Jahr lang in der frembder begriffen dahero mann nicht weiß, ob er noch beÿ leben is oder nicht, in deßen nahmen aus E. E. Kl. Raths mittel Crafft Extractus Memorialis vom 30. Aprilis h a. S.T. H. Johann Niclaus Meltzheim Rothgerber und Lederbereiter auch E. E. gr. Raths alhier und E. E. kleinen Raths jetzmahliger Beÿsitzer dießer Inventur beÿwohnt, 3. Frau Eleonoram Boleckerin geb. Ehaltin weÿl. Mstr. Joh: Georg Boleckers des geweßenen Büech Ziehers in dem Schlaghauß v: burgers alhie nunmehr hinterbl: wittib, welche mit assistentz H. Peter Kaimen des Büech Ziehers und burgers allhier ihres geschwornen Vogts dem geschäfft zugegen war. 4.to Jfr. Mariam Elisabetham Ehaltin, so majorennis und ohnbevögtigt, welche aber mit beÿstand H. Johann Rudolph Dinckels Notarÿ publ. et practici allhier dießer Verlaßenschafft Inventur selbst Persönlichen beÿwohnte, dieße Vier in erster Ehe mit auch weÿl. Fr. Maria Eva Ehaltin geb. Müllerin seel. ehel. erzielten Sohn, Frauen und Jfr. Tochter
Und dann 5.to Jgfr. Mariam Magdalenam Ehaltin, mit beÿstand H. Stephan Schmids des Barthwirths und burgers allhier, ihres geordnet und geschwornen Vogts, dießem geschäft beÿwohnte, diese in letzter Ehe mit auch weÿl. Frauen Anna Maria geb. Brandin ehel. erzeugte tochter
Extractus Aus Weÿland Johann Georg Bohlecker, des Metzgers wittibers und burgers allhie nunmehr seeligen und Jgfr. Eleonoræ Salome Ehehaltin vor nun auch weÿl. Wolffgang Courtzen Notario den 15.ten Martÿ Anno 1731. auffgerichteter Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befund. worden, wie folgt
Ane Schrein und Höltzenwerck, Auff der Bühn, In der Cammer auff der Bühn, In der Cammer darneben, Im Haußöhren im obdern Stock, In der Cammer A, Auff dem Gang, In der Cammer B, Im mittlern haußöhren, In der Küchen, Im untern haußöhren, In des officiers Stub, Im Keller
(f° 9) Eigenthumb ane einem Metzger Banck (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung (1/3 denen 4. Kindern erster Ehe vor Mütterlich guth zuständig) Eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt, Stallung mit allen deren gebäuen, begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Krautenau an St. Johann Gießen, Zum Raumeck genandt, 1.s. ist i. eck, 2. s. neben Hn Beguin dem Handelsmann, hinten auff den Blumen Gießen stoßend, von dießer gantzen behaußung gibt mann Jährl. 11. ß d. ewigen Zinßes denen Deputaten des Chors hoher Stifft Straßb. It. reicht mann davon ferner Jährl. auff Joh. Bapt: 8 ß 9 d ewigen Zinß dem mehrern Hospitahl allhier, sonsten freÿ leedig und eigen, und über vorstehende beschwerden durch H. Joh: Pflug (…) vemög überschickten: und beÿ mein des Notarÿ Concept befindl. Abschatz. Zed. de dato 29.ten Aprilis A° 1740. annoch angeschlagen, vor 910. lb 10 ß. Darüber sagen 2. teutsche pergamentene Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertiget v. mit anh. Inns. corroborirt, de datis 10. Martÿ 1676. et 19: Martÿ 1704. beede mit altem N° 1. et Lit. A. etet B. bemerckt
2/3.tetheil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, betrag. die hiehero gehörige 2/3.te theil 607. lb über die völlige behaußung & Und ist der übrige eine drittetheil ane vorbeschriebener behaußung denen 4 Kindern Erster Ehe, daran d. verstorbenen seel. die helffte biß an sein tödl. absterben wie hier und fol: (-) fac: (-) Zusehen geweßen, der übrige halbe theil aber ist frauen Annæ Evæ Huckin und fr. Eleonoræ Salome Boleckerin denen beeden töchteren Erster Ehe vor Mütter: guth zuständig
Wÿdemb, Welchen der Abgeleibte seeligen von auch Weÿland frauen Maria Eva Ehehaltin gebohrner Müllerin seiner Ersten haußfrauen seeligen biß an sein tödlichen ableiben wegen Johann Georg und Jfr. Mariæ Elisabethæ denen Ehehalten genoßen hat
Erstl. ein Sechstertheil Vor ohnvertheilt Von und ame der hieoben fol: (-) fac. (-) et seqq: eingetragenen Behaußung cum appertinentiis (…)
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig, Sa. haußraths 91, Sa. Rindviehs 54, Sa. der heüth 22, Sa. Lährer Vaß 6, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. goldenen Ring 2, Sa. baarschafft 264, Sa. Antheils ane einer Behaußung 607, Sa. Antheils ane einem Metzigbancks 920, Sa. Schulden 25, Summa summarum 2029 lb – Schulden 1126, Detrahendo verbleibt 902 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1863 lb
Abschatzung dem 29: Aprill 1740. Auff begehren Weilandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Johann Jörg Ehehalts, E.E. Großen Raths alter geweßener beÿsitzer seel. hinder Laßenen Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau gelegen ein seitß Neben dem Gunterweinischen Erben, anderseitß Neben einer behausung so H. Bëckeng dem handelßmann Zu gehorig, hinden auf dem Blumen gießen Stoßend, welche behaußung unden daß hauß Ehren Neben dar an ein Stuben und Kuchen Vor dem Officiern, getrëmbter Keller hoff und bronnen, ein Klein Nebens gebeu worinn unden der Stall oben dar über Zweÿ Cammern und Kleine bienen, Lincker handt ein alter Stall so mit diellen Zugeschlagen, ihm obern Stock ein Stuben Cammern Kuchen und daß hauß Ehren, oben ihm 2.ten Stock Zweÿ Cammeren und daß hauß Ehren, war über daß tach mit einer besetzten bienen und alten tach stull sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meistern sich in der besichtigung auch befundet und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wirdt vor und umb Ein Tausent und Neünn hundert Gulten
Der 2.te begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der großen Metzig gelegen (…)
bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Eléonore Salomé Ehehalt, veuve de l’échaudeur Jean Georges Bollecker, prend à bail la maison et l’étal de boucher.
Eigenthumb ane einer Behaußung und Metzigbanck betreffend.
die allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Crautenau an St Johann Gießen gelegene Zum Raumeck genannte behaußung, mit deren Zugehörden so über 11. ß d. denen Deputaten des Chors hoher Stifft Straßb. und 8 ß 9 d ewigen Zinß dem mehrern Hospitahl Jährlich abzurichten habenden ewigen Zinnßes freÿ leedig und eigen,
Ingleichen der unter der Großen Metzig allhiier liegende Metzigbanck warvon mann der Statt Straßburg Pfenningthurn Jährl. 10. ß d. Bodenzinß zureichen hat, welche beede Posten zu zween tertzen in die vätterliche Verlaßenschafft und der übrige eine dritte theil denen Vier Kindern erster Ehe vor Mütterlich guth gehörig seind noch zur zeit zwischen gesambter Erbs Interessenten ohnvertheilt außgesetzt worden
Und Wurde vorderistens der Metzigbanck ane Frau Eleonoram Salomeam Boleckerin gebohrene Ehehaltin Weÿland Meister Johann Georg Boleckers geweßenen Büechziehers in dem Schlaghauß und burgers allhier seeligen hinterlaßene Wittib die mittlere Tochter erster Ehe umb 120 gulden, so dann die behaußung an eben dieselbe umb 40 gulden Jährlichen Zinßen Von heut dato angefangen Verlühen (…) Straßburg den 25. Maÿ Anno 1740. (annexe de l’acte précédent)
Marie Elisabeth Ehehalt, veuve de l’aubergiste Etienne Pierre Cordier, vend sa part d’immeuble à Eléonore Salomé Ehehalt, femme du boucher Jean Georges Pulvermüller
1745 (15.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 53) Joint au n° 1183 du 15 mars 1740
Erschienen vor mir endes unterschriebenenem Notario Frau Maria Elisabetha gebohrne Ehehaltin, weÿland Stephan Peter Cordier, geweßenen gastgebers Zum Grünen Jäger und hiesigen Burgers nachgelaßene wittib, nunmehr aber Lorentz Kramern des Kornwerffers und Burgers allhier Ehefrau, beÿständlich deßelben und Ihres Curatoris Meister Johann Georg Stoltz, Schneiders an einem
und Frau Eleonoram Salome gebohrene Ehehaltin, mit assistentz Meister Johann Georg Pulvermüllers des Metzgers und Burgers allhier Ihres haußwürths, am andern theil, allerseits anzeigend,
demnach Sie wegen 1000 gulden Capital so Pulvermüllerische Eheleut Verstorbenenem Cordier und deßen Wittib Kramerischer Ehefrauen Vorgelühen (…)
über das hat Sie Frau Maria Elisabeth Kramerin gebohrene Ehehaltin mit Consens Ihres mariti
Ihro Frauen Eleonoræ Salome Pulvermüllerin gebohrener Ehehaltin eigenthümlich und ohnwiderrufflich cedirt und abgetretten, wie dann dieselbe auff gleiche weis mit consens Ihres haußwürths angenommen Zu Haben bekandlich war
Erstlichen 13. 16.te theil für ohnbgetheilt an dem Elterlichen Metzigbanck und Behaußung samt zugehörden, daran jener allhier unter der großen Metzig beÿ dem Kleinen thürlein gegen dem bierhauß Zum Strauß über einseit neben dem Eingang, anderseit neben Georg Hannß Metzger, dieße aber in der Krautenau an St. Johannis Gießen Zum Raumeck genannt ist ein eck, anderseit neben Hn Louis Beguin des Handelsmanns Erben, hinten auf dem Blumengießen stoßend gelegen, Von dießem hauß gibt mann jährlich hiesigem hohen Chor 11 ß d vnd dem mehrern Hospitahl allhier 8 ß 9 d ahne ewigem Zinß, Von dem Metzigbanck aber (…)
So Beschehen in Straßburg auf Montags den 15.ten Martÿ Anno 1745.
Les héritiers Ehehalt cèdent leurs parts d’immeuble à Eléonore Salomé Ehehalt
1748, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 53) Joint au n° 1183 du 15 mars 1740
Vergleich und überlaßung der Behaußung und Metzigbanck, daran denen Kindern und Erben Von Erster Ehe ein drittertheil die übrige zween drittetheil denen sambtlichen fünff Kindern Erst: und anderer Ehe eigenthümlich zuständig
Erschienen vor mir endes unterschriebenenem Notario Frau Frau Anna Eva Huckin gebohrene Ehehaltin, weÿland Herrn Johann Michael Hucken, des geweßenen Schuhmachers und burgers allhier, nunmehr seeligen nachgelaßene wittib, mit beÿstand H. Joh: Jacob Hess, Notarÿ publ. und burgers allhier, Mehr Herr Joseph Anthoni Ducret, der Metzger und E. E. Großen Raths jetzig wohlmeritirter Assessor, als Vogt Johann Georg Ehalt, des Ledigen Metzger Knechts, so schon über 26. jahr verschollen, jedoch dießer mit hernach gesetzter expressen Condition und Bedingung, So dann frau Maria Magdalena Nickerin gebohren Ehehaltin, mit beÿstand herrn Johann Frantz Nickers, des Zimmermanns und burgers allhier, Ihres Mariti, Zeigten an und gaben zu vernehmen wie daß Sie annoch in ohnvertheiltem Erb proprio et Curatorio nomine
Frauen Eleonoræ Salome Pulvermüllerin gebohrener Ehehaltin, Herrn Johann Georg Pulvermüllers, des Metzgers und Burgers allhier Ihres ehelicher haußfrauen Verkaufft und Zukauffen gegeben haben (…)
ihre, jedoch Zu ohngleichen antheilern eigenthümlich zuständigen Metzigbanck allhier Zu Straßburg unter der großen Metzig, beÿ dem Kleinen thürlein gegen dem bierhauß Zum Strauß über einseit neben dem Eingang, anderseit neben Georg Hannß Metzgers des Metzgers seligen Erben, hinten auf die Maut stoßend gelegen (…)
Mehr eine Behausung, Hoff, Hoffstatt, Stallung mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Krautenau an St. Johann Gießen, Zum Raumeck genandt, einseith ist ein eck, anderseith neben Hn Louis Bequin seel. Erben, hinten auf den Blumengießen stoßend, Von dießer gantzen behaußung soll mann jährlichen 11 ß d Ewigen Zinßen denen Deputaten des Chors hoher Stifft Straßburg abrichten,welche aber schon eine geraume Zeit nicht gefordert worden, So dann reicht mann davon jährlichen auf Johannis Baptistæ 8 ß 9 s Ewigen Zinnßes mehrern Hospitahl, sonsten freÿ Ledig und eigen – der Metzigbanck vor und umb 4400 Gulden, die behaußung aber umb 2800 Gulden
Eléonore Salomé Ehehalt épouse en premières noces Jean Georges Bollecker, échaudeur à la boucherie. Fils de l’aubergiste au Soleil à Reguisheim près de Colmar, Jean Georges Bollecker épouse en 1728 Anne Françoise Ramser, fille du cordeur de bois Jacques Ramser : contrat de mariage, célébration
1728 (9.3.), Not. Claus (Adam, 7 not 12, protocole) f° 21-v
Eheberedung – zwischen dem ehrengeachten Herrn Johann Georg Bolegger Ledigen Metzgern, Bugziehern undt Burgern allhier Zu Straßburg des Ehr und wohlachtbaren H Johann Georg Boleggers burgers und Gastgebers Zur Sonnen Zu Regisheim ehelich erziehlten Sohn als Hochzeiter ane Einem,
So dann die Viel Ehr: undt tugendhafften Jungfr. Annæ Franciscæ gebohrner Ramßerin des Ehr undt wohl Achtbaren H Jacob Ramßers des Burgers undt geschworne, Statt Holtzlegers allhier ehelich erziehlte tochter als hochzeiterin anderen theils
so beschehen und abgehandelt worden Zu Straßburg d. 9. Monaths tag martÿ 1728
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 229-v)
Hodie 23 aprilis Anni 1728 tribus proclamationibus in hac Ecclesia et totidem in Ecclesius parochialibus tam ad Stum Ludovicum hujus civitatis quam in Regisheim diœcesis basiliensis (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Georgius Bolleger vocatione lanio ex Regisheim diœcesis basiliensis oriundus filius Georgii Bollegger et anna francisca Ramser, filia Jacobi Ramser civis argentinensis ambo nunc in hac parochoa commorantes [unterzeichnet] Johann Georg Bollegger, anna francisca ramserin (i 234)
Georges Pollecker de Rexheim (Reguisheim) obtient le droit de bourgeoisie à titre gratuit un mois après son mariage
1728, 4° Livre de bourgeoisie p. 944
Geörg Pollecker d. Metzger von Rexheim erhalt d. b. gratis, will beÿ E. E. Zunfft d. bluem dienen. Jur. f. 5.t Junÿ 1728
1730 (31.5.), Not. Claus (Adam, 7 not 12, protocole) f° 41-v
Codicillus reciprocus – in eine auff der großen metzig allhier gelegene wohnung
Johann Georg Bolegger und Anna Francisca Ramserin
Veuf de Françoise Ramser, Jean Georges Bollecker se remarie avec Marie Salomé, fille de l’assesseur au Grand Sénat Jean Georges Ehehalt. Le contrat de mariage (non conservé) passé devant le notaire Courtz est cité à l’inventaire de 1740 (voir plus haut)
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 27-v)
1731. Hodie 22 Aprilis Anni 1731 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti Joannes Georgius bollecker viduus Franciscæ Ramserin civis argentinensis commorans in dicta parochia ad Stum Laurentium et Maria Salome Ehaldin Joannis Georgÿ Ehaldt senatus majoris argentinensis antiqui assessoris filia parochiana nostra (signé) Johann Geörg Bolleyger, Maria Salome Erhaltin (i 41)
Eléonore Salomé Ehehalt, veuve de Jean Georges Bollecker, se remarie en 1740 avec Georges Pulvermüller (Bulffermüller), originaire de Wiesensteig en Bavière, dans le diocèse de Constance : contrat de mariage, célébration
1740 (8.6.), Not. Sommervogel (Jean Nicolas, 64 not 9) N° 4
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen sind der Ehrbar undt bescheidene Geörg Bulffermüller Von Weißensteig beÿerischer Herrschafft weÿl. Hannß Conrad Bulffermüllers ehelich hinterlaßener Sohn, mit beÿstand herrn Johann Geörg Stehle E. E. Zunfft Zur blum nunmaliger Zunfft Meister hochzeiter ahne Einem,
so dann die Ehr: und tugendbegabte fraw und Eleonora Salome Boleckerin gebohrner Ehehaltin weÿl. herrn Johann Geörg Ehehalts burgers und Metzgers wie auch E. E. Großen raths allhier alten beÿsitzers hinterlaßener tochter mit beÿstandt herrn Peter Kaÿms des burgers und Biegziehers allhier als hochzeitterin am andern theil
So geschehen und zue gangen zue Straßburg den 8. junÿ 1740. [unterzeichnet] Johann Gorg Bulfer Miller als hochzeiter, Maria lelone sasome bemeckern geboren Eehaltin, Johan Petter Keim als uogt
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 152-v)
Die 26 Junÿ Anni 1740 sacro matrimonii vinculo copulati ferunt Joannes Jeorgius Bulffermüler lanio et civis huius civitatis solutus oriundus ex weissenstaig in Bavaria Diœcesis constantiensis a decem annis præfata parochia commorans et honesta Maria Salome Ehaldin vidua Defuncti Jeorgii Polker civis et sutoris dum viveret etiam ex eadem Parochia orta obtenta secundi æqualis consonguinitatis gradus inter eos existentis impedimenti absolutione et dispensatione a summo Pontifice clemente xiii Data Roma apud sanctam mariam majorem die 13 Aprilis anni 1739 (signé) Johan Gorg bulfer Miller, Maria salome bolckerin geborne Erhaldin (i 160)
Georges Pulvermüller devient bourgeois plus d’un an après son mariage
1740, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 17
Georg Bulffermüller, der Metzger Von Wißenstaig in Baÿern gebürtig, erhalt das burgerrecht v. seiner Ehefraun, Maria Salome weÿl. Joh: Georg Bolleckers gewesenen burgers und Metzgers Wittib um den alten burger schilling, will beÿ E.E. Zunffft Zur Blum dienen, jur. d. 11.ten Julÿ 1740.
Veuve de Georges Pulvermüller, Eléonore Salomé Ehehalt se remarie en 1751 avec le boucher Jean Rohmann, fils du boucher Valentin Rohmann, de Billigheim (près de Karlsruhe) : contrat de mariage, célébration
1751 (20.11.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 969) n° 16
Eheberedung – zwischen dem vorachtbahren Johannes Rohmann, dem leedigen Metzgern von Billichheim, des Ehren achtbahren Mstr Valentin Rohmanns, des Metzgers und Burgers zu gedachtem Billichheim, ehelich erziehlten Sohn, als dem Hochzeither ane Einem
So dann der Ehren und tugendbegabten Fr. Eleonoræ Salome gebohrner Ehehaltin Weÿl. des Viel Ehren und großachtbahren H. Georg Bulffermüllers des geweßenen Metzgers wie auch beÿ E. E. Zunfft Zur Blum wohlverordneteen Schöffen und E.E. Kleinen Raths wohlverdienten Beÿsitzers, hinterlaßene Wittib als der Fr. Hochzeitherin andern theils
So geschehen allhier Zu Straßburg auff Sambstag, den 20.t Novemb. 1751. [unterzeichnet] Johannes Rohmann als hochzeiter, eleonora salome geborene ehalet als hochzeidrin
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 107-v)
Hodie 13 Decembris anni 1751 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt (…) joannes Rohmann professione Lanio ex Billigheim dioecesis spirensis oriundus filius Valentini Rohmann senatoris civiumque præfecti ibidem et Elisabethæ bergerin Conjugum in parochia ad Stum Ludovicum Commorans, et Maria Salome Ehaldin vidua joannis Georgÿ pulvermüller dum viveret lanionis et civis hujatis in hac parochia commorans (signé) Johannes rohman, Maria salome ehaldin (i 170)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la veuve Pulvermüller à se remarier avant la fin de son deuil à condition de verser deux livres à l’Orphelinat
1751 Conseillers et XXI (1 R 234)
(p. 155) Sambstag den 4.ten Decembris 1751 – Fr. Maria Salome weÿl. Johann Georg Pulvermüllers wittib erhaltet dispensation von noch übriger trauerzeit gegen erlag 2. lb d in das allhiesige Findling hauß.
Faust n. frauen Mariä Salome weÿl. H. Johann Georg Pulvermüllers geweßenen Metzgers hinterl. wittib producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. sub N° 1 umb gnädige dispensation von noch übriger trauerzeit.
Erkandt wird der Imploranton mit gebettener dispensatione in tempore Luctus heurathen zu dörffen Jedoch unter dießem anhang willfahrt, daß dieselbe pro gratiosa Concessione 2. lb d in das allhiesige Findling hauß erlegen solle.
Depp. H. rathh. Kleinclaus, H. rathh. Marbach.
Jean Rohmann devient bourgeois trois jours après son mariage
1751, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 475
Johannes rohmann von Billingheim gebürthig der metzger erhält das burgerrecht von seiner Ehefr. Maria Salome weÿl. h Johann Georg Pulvermüller gew. burgers und metzgers hinterl. wittib umb den alten burger schilling, will beÿ EE Zunfft Zur blum dienen, jur. d. 16. decemb. 1751.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dite zum Raumeck qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 269 livres, ceux de la femme à 1 705 livres.
1753 (29.5.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 959) n° 48
Inventarium über des vorachtbahren Herrn Johann Rohmann, des Metzgers und der Ehren und tugendsahmen Fr. Eleonora Salome gebohrener Ehehaltin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen auffgerichtet Anno 1753 – vermög des den 20. 9.br. 1751. vor mir Notario errichteten Eheberedung vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht
So beschehen in Straß. auff Dienstag d. 29. May 1753. in præsentia des Ehren und vorachtbahren H. Joh: Frantz Nicker, des Zimmermeisters und burgers allhier, als der Ehefr. beÿstand und des Ehrenachtbahren H Joh: Daniel Braunen Schreiners und Burgers allhier als geordnet und geschwornen Vogts der Ehefr. in erster Ehe ehelich erziehlter 2.er Kindern
In einer allhier Zu Straßburg ane der Krautenau ane St Johann Gießen zum Raumeck genand gelegenen, der Ehefr. eigenthümlich gehörigen und hiernach beschriebenen behausung befunden worden wie folgt
Eigenthumb an einer Behausung und Metzigbanck. (F.) Nehml. eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und Stallung mit allen deren Gebäuden begriffen weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßb. in der Krautenau ane St Johann Gießen, zum Raumeck genand 1.s. ein Eck 2.s. Diebold Beÿerle dem Zimmermann, hinten auf den Blumengießen stoßend, davon gibt mann jährl. 11. ßd. ewigen Zinnßes, denen deputaten des Chors hohen Stiffts Straßb. so dann reicht mann jährl: auff Johannis Bp.tæ 8. ß 9. d ewigen Zinnßes dem mehrern Hospital allhier, sonsten gegen männiglichen freÿ ledig, und eigen. Darüber besagen 2. teutsche Pergamentene Kaufbrieff, in allhießiger C.C. stub gefertiget mit dero anhangendem Innsiegel corroborirt, de datis 10. Martii 1676. et 19.t Martii 1704. beede mit altem N° 1. et Litt. A.A. et B. bemercket.
So dann ein Metzigbanck allhier Zu Straßb. unter der großen Metzig beÿ dem kleinen thürl: gegen dem bierhauß zum Strauß hienüber (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns vor ohnverändert in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 6 lb, Sa. Silbers 9 lb, Sa. baarschafft 250 lb, summa summarum 259 lb – haussteur 10 lb, des Ehemanns gesambtes ohnverändert Vermögen 269 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 250 lb, Sa. Silbers 43 lb, Sa. Goldener Ring 5 lb, Sa. baarschafft 234 lb, Eigenthumb ane einer behausung und Metzigbanck (-), Summa summarum 533 lb – schulden 1038 lb, übertreffen umb 504 lb – behausung 1200 lb, Metzigbanck 1000 lb, dießem nach belauffen sich der Frauen ohnveränderte immobilia dem ohnpræjudicirlichen anschlag nach auff 2200 lb, Wann nun der Ehefrauen vorheriges ohnveränderte passiv onus der 504 von nächstehender Summ der Immobilien abgezogen wird, so verbleibt an deselben ohnveränderten Nahrung annoch per rest übrig, benantlichen 1695 lb – haussteur 10 lb, Der Ehefrauen Nahrung 1705 lb
Jean Rohmann est élu échevin à la tribu des Bouchers en 1754.
1754, Conseillers et XXI (1 R 237) H. Johannes Rohmann wird beÿ E. E. Zunfft Zur Blum zum schöffen erwehlt. 234.
Eléonore Salomé Ehehalt, veuve de Jean Rohmann, meurt en 1787 en délaissant deux enfants de son mariage avec Jean Georges Pulvermüller. Les experts estiment la maison à 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 392 livres, le passif à 1 515 livres.
1788 (11.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 832) n° 1074
Inventarium über Weiland Fraun Eleonorä Salome Rohmännin geb. Ehehaltin weÿl. Johann Rohmann des von hier sich absentirten Mezgers und Exsenatoris auch brs. alhier verlaßener Ehefraun nun seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1788. (…) nach ihrem dienstags den 11. Decembris des abgewichenen 1787.gsten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt verlaßen. – So beschehen allhier Zu Straßburg Freÿtags den 11. Januarÿ Anno 1788.
Die Abgeleibte selig hat ohne testamentliche Verordnung Zu Erben velaßen wie folgt 1° Herrn Johann Georg Pulvermüller den Metzger u. brn. allhier so dermalen in Ehe lebet mit Fraun Maria Agatha geb. Windin, u. hierbeÿ Zugegen in die helffte gegenwärtiger Verlt. und 2. Frau Annam Mariam Sultzerin geb. Pulvermüllerin, H. Johann Andreas Sultzer des Schloßermeisters u. brs. allhier Ehegattin unter deßen autorisation anwesend in die überige helffte dieser Succession. Beede sind der abgeleibten in voriger Ehe mit weÿl. H Johann Georg Pulvermüller dem gew. Mezger u. brn. allhier ihrem A. 1773. verstorbenen Ehemann seel. ehelich erzeugte Kinder u. ab intestato Zu gleicher portionen u. haupttheilen verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg an der Krautenau am S. Johann Gießen Zum Raumeck genannt gelegenen u. in diese Verl. gehörigen deswegen hernach beschriebener behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum an einer behausung. Neml. I. behausung, Hof, Hoffstatt, Stallung u. bronnen m. allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörd, Rechten u. Gerechtigkeiten gelegen dahier Zu Straßburg in der Krautenau an St. Johann Giesen Zum Raumeck genannt, 1.s. ein Eck, 2. s. neben weil. Diebold Beÿerle des gew. Zimmermanns Erben, hinten auf den Blumengiesen stoßend. Davon gibt man jährl. 11 ß ewigen Zinses denen Deputirten des Chors hohen Stifft Straßburg, so dann reicht man jährl. auf Joh. Bapt: 8 ß 9 d ewigen Zinß dem mehrern Hospithal allhier, sonsten gegen männigl. freÿ, ledig und eigen. Es wurde aber solche behausung s. Zugehörd durch (die Werckmeistere) ausweis. deren zu diesem Concept übergebener Abschatzung vom 21.ten Januarÿ 1788. taxirt pro 750. abgezogen jene Real beschwerden sammenthafft anlangend 19 ß 9 d Zu doppeltem Capital gerechnet mit 39. 10. So restiren auszuwerfen 710. Über solche behausung mälden 2. deutsch perg. Kfbr. in allh. C.C. Stb gefertiget mit deren anhangend. Insieglen versehen de datis 10. Martÿ 1676. et 19.t Martÿ 1704.
Norma hujus inventarÿ. Sa. haußraths 473, ß Silbers und dergleichen Geschmeids 9, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthums an i. behaußung 710, Sa. der Activ schulden 627, Summa summarum 1392 lb – Schulden 1515 lb, Passiv onus 123 lb
Jean Georges Pulvermüller cède sa part de maison à sa sœur Anne Marie Pulvermüller, femme du serrurier Jean André Sultzer
1788 (11.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 832) Joint au n° 1074 du 11 janv. 1788
Cession und übergab der in dieser succession gehöriger behaußung
Zuwißen seÿe hiermit, daß an Zu End genanntem Tag vor mir dem unterschriebenem geschwornem Notario und dißortigen Inventir Schreiber persönlich erschienen seÿe herr Johann Georg Pulvermüller der hiesige burger und Metzger welcher
in gegensein deßen vollbändigen Schwester Fr. Anna Maria Sultzerin geb. Pulvermüllerin H. Johann Andreas Sultzer deß Schloßers und burgers allhier Ehegattin freÿwillig anzeigte vnd bekante daß er Pulvermüller für sich und seine Erben fest und unwiderruflich im unvertheiltem Erb cedirt und überlaßen wolle (…)
sein des cedenten Hälfte für unvertheilt an einer behausung, Hof, Hoffstatt, Stallung und bronnen und allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Krautenau an St. Johann Giesen Zum Raumeck genannt, 1.s. ein Eck, 2. s. neben weil. Diebold Beÿerle des gewesenen Zimmermanns Erben, hinten auf den Blumengiesen stoßend, davon gibt man jährlich 11 ß ewigen Zinses denen Deputirten des Chors hohen Stifft Straßburg, so dann reicht man jährlich auf Johannis Baptistæ 8 ß 9 d ewigen Zinß dem mehrern Hospithal allhier, sonsten gegen männigl. freÿ, leedig eigen. Als welche Helfte dem cedenten von seiner Mutter weÿl. Frn Eleonoræ Salome geb. Eheheltin erblich angefallen, die übrige Helfte aber der Frn Cessionnariæ selbsten auf solche weiß Zugekommen und in diese Cession übergab und Annahm Zugegangen, die völige Behausung samt Zugehörd Zu 2950 Gulden gerechnet – Straßburg den 19. Martii 1788
Jean André Sultzer demande en mars 1774 à faire son chef d’œuvre.
1774, Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 89) Anno 1774, Montags d. 7. Martÿ – Johann Andreas Sultzer, der leedige Schloßer gesell H. Rathh. Joh: Adam Sultzers des Schloßers und burgers alhier ehelicher Sohn, stehet vor und bitt man wolle Ihm den Riß des Meisterstücks aufgeben. Erkannt Willfahrt.
Jean André Sultzer devient tributaire ches les Maréchaux
(f° 94-v) Mittwoch den 7. Junÿ 1775
Meisterrecht – Johann Andreas Sultzer der leedige Schloßer von hier gebürtig, stehet vor und bittet man wolle ihme das Meister Recht Zukommen laßen maßen er sein Meisterstück nach Ordnung verfertiget und den 20.ten Januarÿ hujus anni würcklich auf die Schau gelieffert.
Erkannt Willfahrt und seÿnd ihme sogleich der Articul abgelesen worden (dt. 3 lb 15 ß 9 d, Auflag gelts dt. 7 ß, T. 6 ß)
Fils du serrurier Jean Adam Sultzer, Jean André Sultzer épouse en 1776 Marie Anne Pulvermüller : contrat de mariage, la célébration doit avoir eu lieu à Mommenheim dont le frère du marié était curé (registres manquants). Les parents du marié promettent à leur fils la maison sise rue du Dôme.
1776 (27.8.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 420
Eheberedung – persönlich erschienen, der Ehren: und wohlvorachtbahre Herr Johann Andreas Sultzer, der leedige Schloßer Mr Hn Johann Adam Sultzers, des auch Schloßers und burgers allhier, wie auch E. E. Großen: und Kleinen Raths alter wohlmeritirter beisitzer mit Frauen Catharina, gebohrene Jacquot ehelich erziehlter Sohn unter authorisation dießes seines H. Vatters, als hochzeiter ane einem
und die Wohl Ehren: und tugendgezierte Jungfer Maria Anna Pulvermüllerin weil. Georg Pulvermüllers, des geweßenen Metzgers und burgers allhier mit Frn Maria Salome gebohr. Eehaltin seines hinterbliebenen Fr. Wittibin, so dermalen an H. Johann Rohmann den Metzgern und E. E. Großen: und Kleinen Raths alten wohlmeritirten beisitzer verheurathet ist, ehelich erziehlte tochter unter authorisation dieses Ihres H, Stieffvatters als Jungfer hochzeiterin ane dem andern theil
Sechstens haben des Hn Hochzeiters geliebte Eltern vorgedachtem H. Rathh. Johann Adam Sultzer und Frau Catharina gebohrene Jacquot sich leibreich erklärt, nach Ihr beederseithigen Absterben dießem Ihrem Sohn eigenthümlich Zukommen Zu laßen, die wehrender Ehe mit einander erlauffte Behaußung ane der Münstergaß (…)
auf Dienstag den 27. Augusti Anno 1776 [unterzeichnet] Johann Andreas sultzers als hochzeiter, anna maria Pulfermüllerin als hochzeiterin
Baptême du premier enfant de Jean André Sultzer et d’Anne Marie Pulvermüller
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 51)
Hodie 15 Augusti Anni 1777 (…) baptizta est Maria Anna hodie nata, filia Joannis Andreæ Sultzer civis et fabri serrarii hujus urbis, et Annæ Mariæ Pulvermüller conjugum in hac parochia commorantium (i 31)
Jean André Sultzer meurt en délaissant deux enfants
1794 (12 ther. 2), M° Stoeber
Inventaire de la succession de Jean André Sultzer serrurier à Strasbourg décédé au mois de Wendemiaire dernier, à la requête d Jean Georges Pulvermüller Boucher de Strasbourg comme tuteur d’Anne Marie et Jean André Sultzer enfants mineurs du défunt
la masse active mobiliere montant à 4217 livres
immeubles de ladite succession
acp 25 f° 87-v du 22 ther. 2
Anne Marie Pulvermüller vend la maison au pilote Thiébaut Ulrich.
1791 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 63-v
Fr. Anna Maria geb. Pulvermüllerin H. Johann Andreas Sultzer des schloßers ehegattin
in gegensein H. Theobald Ulrich des steuermanns
eine behausung, hoff, hoffstatt und bronnen mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau, einseit neben das zum Schlüßel genannten haus, anderseit neben die zum Krebs geschildete behausung, hinten auff den Blumengiesen – davon gibt man auff Johannis Baptistæ 8 ß 6 d dem mehrern Hospital ane ewigen zinß – geschehen um 1900 gulden
enreg. 23.2. F° 18
Fils du batelier Jean Jacques Ulrich, Jean Thiébaut Ulrich épouse en 1789 Marie Barbe Fettinger, fille du boucher Jean Fettinger : contrat de mariage, célébration
1789 (13.9.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 97
Eheberedung – persönlich erschienen der Wol Ehren: und Vorachtbare Herr Johann Theobald Ulrich der jüngere, lediger Schiff: und Steurmann, auch burger alhier, des wol Ehren: und Vorachtbahr, Hn Joh: Jakob Ulrich Theobalds Sohns, Schiffmanns, des Umbgangs und hiesigen burgers, mit weil. Frau Maria Magdalena geborener Isenmheimin seel. ehelich erzeugter Sohn, beiständlich erstgedachten seines H. Vatter, als Bräutigam, an einem,
Und die Viel Ehren und Tugendbegabte Jungfrau Maria Barbara Fettingerin, des wol Ehren und Vorachtbaren H. Johann Fettinger, Metzgers und burgers dahier, mit Frau Anna Barbara geborner Wolfin ehelich erzielte Tochter, unter Verbeiständung dieses ihres Vaters, als Braut ane dem andern Theil
So beschehen allhier zu Straßburg in mein des Notarii Schreibstube an der St. Helenengaß gelegen, den 13. Septembris, Abends zwischen fünff und sechs Uhren, im Jahr der Gnade 1789. [unterzeichnet] Johann Theobald Ulrich als Hochzeitter, Maria Barbara Föttingerin als hochzeitterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 56-v)
Im Jahr 1789 Dienstags den 10. Novembris (…) öffentlich eingesegnet worden Johann Diebold Ulrich der Jüngere, lediger Schiffmann und burger alhier, des Johann Jacob Ulrich Schiffmanns und burgers alhier und weÿland Frauen Magdalena einer gebohren Isenmann ehelich erzeugter Sohn, 23 Jahr alt, und Jungfrau Maria Barbara Fettingerin des Johannes Fettingerins metzgers und burgers alhier und Frauen Anna Barbara gebohrnen Wolfin ehelich erzeugte Tochter 18 Jahr alt [unterzeichnet] Johann Theobald und als hochzeitter, Maria Barbara Föttingerinn als Hochzeiterin (i 47)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison quai aux Chevaux. Ceux du mari s’élèvent à 505 livres, ceux de la femme à 1 172 livres.
1789 (19.11.), Not. Übersaal (6 E 41, 659) n° 271
Inventarium über des Wol: Ehren: und Vorachtbaren Herrn Johann Theobald Ulrich des jüngern, Schiffmanns und Steuermanns, wie auch der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Mariæ Barbaræ geborener Fettigerin, beeder Eheleute und Burgere alhier zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, auffgerichtet den 19.ten Novembris im Jahr 1789. – in ihrem den 10. dieses angetrettenenen Ehestand zugebracht haben, Wolches wurde auf deroselben freundliches Ansuchen und zwar die Ehefrau beiständlich Hn. Johann Fettingern des Metzgers und Burgers dahier ihres leiblichen Vaters (…) um der Ursache willen, weil dieselbe in dem 3.ten Punkt der vor mir den 13. Septembr: jüngst auffgerichteten Eheberedung (…)
So geschehen alhier zu Straßburg in einer an dem Gaulstaden gelegen zum Gaul genannten behausung N° 150. in Gegenwart H. Johann Jakob Ulrich Theobalds Sohns, des Schiffmanns des Umgangs und hiesigen Burgers, des Ehemanns leiblichen Vaters, auf Donnerstag den 19. Novembris im Jahr 1789.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Manns in die Ehe gebrachtes Vermoegen, Sa. hausraths 160, Sa. Silbers 65, Sa. baarchaftt 163, Summa summarum 389 fl. – Dazugelegt die Ihme an denen haussteuren gebürige Hälfte 115, fl. Des Ehemanns Vermoegen 505 fl.
Diesemnach wird auch der Ehegattin zugebrachtes Gut verzeichnet, Sa. hausraths 398, Sa. silbers 29, Sa. goldenen rings 30, Sa. der baarschafft 600, Summa summarum 1057 fl. – haussteuren 115, der Ehefrau Mittel 1172 fl.
Marie Barbe Fettinger meurt en 1792 en délaissant un fils. La maison est estimée à la somme de 6 100 livres tournois.
1792 (6.7.), Strasbourg 3 (15), Not. Übersaal, enreg. 30.7. n° 352
Inventarium über Weÿl. Frau Maria Barbara Ulrichin geb. Fettingerin, H Johann Theobald Ulrich des jungern Schiff und Steuermanns und Activbürger gewesener Ehegattin seel. vermögens: Nachlaßenschafft – nach ihrem den 23. junÿ jüngst erfolgten absteben, auf Ansuchen des Wittwers und H. Johann Fettinger des metzgers und activ burgers, als ernannt und beeÿdigten Vogts Johann Theobald Ulrich, so 1 ¾ Jahr alt, der Verstorbenen mit dem Wittwer erzeugten Söhnleins und Universal Erbs ab intestato
in einer in der Vorstadt Krautenau gelegenen behaußung N° 154
des Kinds und universal Erbs unverändertes Vermoegen, hausrath 1022 lb, haussteur 37 lb, silbers 26 lb, gold. Rings 40 lb, Morgengaab 300 lb, besserung und übrigen Mobilien und effecten erlöset worden 757 lb, schulden 1380 lb, summa summarum 3564 lb
die theilbare massa, hausrath 48 lb, Schiff und geschirr zur Schiffahrt 922 lb
Eigenthum an einer behaußung so in die theilbare Massam gehoerig, Nämichen eine behaußung hof hoffstatt und bronnen mit N° 154 bezeichnet samt zugehörden und Rechten gelegen zu Straßburg in der Vorstadt Krautenau einseit neben dem zuer Schlüssel genannen haus, so weÿl. N. Beÿerle des gewesenen Zimmermanns Erben gehörig, anderseit neben dem zum Krebs geschildeten haus, so N. Mördel dem Metzger zuständig, hinten auf den blumengiesen stoßend, davon gibt man jährlich auf Joh. Bapt. 1 lb 5 ane ewigen zinns dem allhiesigen mehrern hospital, ohnpræjudicirlich ausgeworfen wird pro 6100 livres, darüber lautet ein Kaufbrieff aus der Contractstube vom 22. Februarÿ 1791
behausung 6100 lb, summa summarum 7070 lb, schulden 7319 lb, Passiv onus 248 lb
Copia der Eheberedung (…) den 13. sept. 1789 Ph. Ludwig Übersaal (…)
Jean Thiébaut Ulrich se remarie avec Marguerite Madeleine Riebel
1793 (17.2.), Strasbourg 3 (38), Not. Übersaal N° 155
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Johann Theobald Ulrich der jüngere, Wittwer, Schiff: und Steuermann allhier wohnhaft, als Bräutigam an einem
Und Jungfrau Margaretha Magdalena Riebel, des Bürgers Johann Daniel Riebel, Schiffers und Hauptmanns der Schiffer der Francken-Armee dahier wohnhaft, mit Frau Catharina Margaretha gebohrner Kuntzin ehelich erzeugte tochter, beiständlich erstgedachten ihres Vaters, als Braut, an dem andern Theil
So geschehen (…) den 17. Hornung Nachmittags im Jahr 1793
Actum Straßburg auf tag und Jahr vie vorher gemeldet [unterzeichnet] Johann Theobald Ulrich, Margaretha Magdalena Riebelin
acp 14 f° 52-v – il n’y a pas de désignation d’apports
les futurs se donnent au survivant l’usufruit des biens du prémourant
plus le futur fait don matutinal à la future de 300 livres
est comparu le futur époux qui a déclaré que son revenu n’excede pas 100 livres
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie au mari. Ceux du mari s’élèvent à 4 616 livres, ceux de la femme à 1 753 livres.
1793 (26.7.), Strasbourg 3 (15), Not. Übersaal – enreg. 28.7. n° 374
Inventarium über des bürgers Johann Theobald Ulrich, Schiff: und Steuermanns und Frau Margaretha Magdalena geb. Riebel einander vor unverändert in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, einander in ihrem den 30. Aprilis jüngst angetretenen Ehestand – die Ehegattin beiständlich des bürgers Johann Conrad Stüttge Mahlers, in ihrer den 17. hornung 1793 vor mir aufgerichteten Eheberedung
in einer an der Krautenau gelegenen behaußung N° 154
Güther so der Mann in die ehe gebracht, hausrath 738 li, Wein und Faesser 540 lb, Schiff und geschirr 922 lb, silbers 127 lb, baarschafft 2325 lb
Eigenthum an einer behaußung so der Mann in die Ehe gebracht, Nämlich eine behaußung hoff hoffstatt und bronnen mit N° 154 bezeichnet samt zugehörden und Rechten in der Vorstadt Krautenau einseit neben den zum Schlüßel genannten haus so weÿl. N. beÿerle des gewesenen zimmermann erben gehörig, anderseit neben dem zum Krebs geschildeten haus so dem burger Mördel Metzger zuständig hinten auf den blumengiesen, davon gibt man auf Joh. bapt. 1 li 15 s an ewigen zinns dem alhiesigen mehrern hospital, hier ohnpræjudicirlich ausgeworfen worden pro 6100, darüber lautet ein Kaufbrieff aus der C. Stub vom 22. Februarÿ 1791
summa behaußung 6100 lb, summa summarum 10.754 lb – haussteur summa 10.980 lb, schulden 6364 lb, Nach deren Abzug 4616 lb,
der Ehegattin zugebrachtes Gut verzeichnet, hausrath 710 lb, silbers 45 lb, Gold. ring 96 lb, baarschafft 675 lb, summa summarum 1526 lb – haussteur 226 lb, summa 1753 lb
Marguerite Madeleine Riebel meurt en 1794 en délaissant pour unique héritière sa sœur célibataire
1794 (11 frimaire 3), Strasbourg 3 (16), Not. Übersaal n° 422
Inventarium der weiland bürgerin Margaretha Magdalena Ulrich geb. Riebel des bürgers Johann Theobald Ulrich Schiffmanns gewesenen Ehegattin Verlassenschafft, angefangen den 11. thermidor 2 – nach ihrem den 16 prairial 2. erfolgten Absterben
Auf Ansuchen des Wittwers und Jungfrau Maria Salome Riebel der Verstorbenen leiblicher großjähriger Schwester und in Ermanglung Leibes Erben ab intestato hinterlassener Universal Erbin, beiständlich des bürgers Friedrich Kolb beckers
in einer an der Vorstadt Krautenau gelegenen dem bürger Johann Daniel Riebel dem Schiffer zuständigen behaußung
der Verstorbenen in die Ehe gebrachtes und vermög der vor mir Not. den 17. feb. 1793 aufgerichteter Eheberedung vor unverändert vorbehaltenes Vermögen 1529 L.
Mobilien und effecten welche dem Wittwer von de Erbin eigenthümlich abgetreten und überlaßen worden 951 L, beÿde suimmen zusammen gerechnet 2481 L
die Teilbare Massam betreffend, der Wittwer declarirte, daß während seiner kurzen, seit dem 30. Aprilis 1793 bis den 16. Prairial 2, folglich nur 13 Monate gedauerter Ehe an Vermögen nichts errungen noch gewonnen worden
Enregistrement, acp 29 F° 148 du 11 frim. 3
Jean Thiébaut Ulrich se remarie avec Marguerite Salomé Jung, fille du marchand de poissons André Jung : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1796 (7 pluviose 4), Strasbourg, Not. Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) n° 394
Contrat de mariage – Thébaud Ulrich veuf batelier
Marguerite Salomé Jung
Enregistrement, acp 39 F° 43-v du 14 pluv. 4 – revenu industriel 450 livres
Mariage, Strasbourg (n° 269)
Cejourd’hui 28° Pluviôse l’an IV de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part 1° Jean Thiébaud Ulrich, agé de 31 ans, batelier, né et domicilié en cette commune, fils de feu Jean Jacques Ulrich, le jeune, batelier, et de feuë Marie Madeleine Isenheim, veuf de Marguerite Madeleine Riebel,
del’autre part Marguerite Salomé Jung, âgée de 28 ans, repasseuse en linges, née et domiciliée en cette commune, fille de feû André Jung, Marchand de poissons, et de Marguerite Salomé Mahler, lesquels futurs conjoints étoient accompagnés de Jean Foettinger, agé de 56 ans, Boucher, père de le défunte épouse en premières noces du futur, de Jean Daniel Riebel, agé de 53 ans, Capitaine des Pontonniers du Rhin, père de la défunte épouse du futur en secondes noces, de Jean André Jung, agé de 28 ans, Libraire, frère de la future (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 24 avril 1764 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 10 septembre 1767 (signé) Johann Theobald Ulrich, Margaretha Salome Jungin (…) 3° de l’acte de décès de Marguerite Madeleine Riebel épouse en secondes noces du futur, portant qu’elle est morte en cette commune le 16 Prairial deuxième année républicaine (i 141)
Marguerite Salomé Jung meurt en 1798
1798 (25 messidor 6), Strasbourg, Not. Saltzmann (Rép. 6 E 41 499, 5 a) n° 812
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé née Jung troisième femme de Jean Thiebaud Ulrich batelier décédée le 2 Messidor dernier, à la requête du veuf et d’André Jung tuteur
masse active 727 fr, pas d’immeuble
Enregistrement, acp 62 F° 58-v du 2 ther. 6
Jean Thiébaut Ulrich se remarie avec Marie Dorothée Zabern, veuve du capitaine Philippe Henri Nicolas Barbier
1803 (23 fructidor 11), Strasbourg 10 (32), M° Zimmer n° 303, 1693
Eheberedung – burger Johann Diebold Ulrich, Schiffer lezmals als von weÿl. fraun Margaretha Salome geb. Jung deßen den 2. Messidor 6.t Jahrs verstorbenen Ehefrauen hinterbliebener wittiber
Frau Maria Dorothea geb. Zabern als von weÿl. dem b. Philipp Heinrich Niclaus Barbier Capitaine der 100. halb Brigade der Infanterie de Ligne derselben den 1 floreal 3.t jahrs verstorbene Ehegatten hinterbliebene Wittib
Nicolas Henri Barbier épouse en 1794 Marie Dorothée Zabern, fille du batelier Jean David Zabern
1794 (2 Thermidor), Strasbourg 3 (11), Not. Ensfelder N° 188
Contrat de mariage – fut présent le Citoyen Nicolas Henry Barbier, Lieutenant au deuxième Bataillon de l’Aube présentement en cette Commune fils du Citoyen Thomas Nicolas Barbier, Inspecteur général des forêts du Département de l’Aube procréé en légitime mariage avec Edmée née Gibert demeurant à Piney Département de l’Aube, majeur d’age en jouissant de ses droits d’une part
et la Citoyenne Marie Dorothée Zabern fille majeure de feu le Citoyen Jean David Zabern en son vivant battelier procréé en légitime mariage avec la Citoyenne Catherine Madeleine née Zimmer, sous l’assistance du Citoyen Jonathan Zabern aussi batelier son frère, d’autre part
Fait lû passé et interpretté en allemand par ledit Notaire audit Strasbourg le 2 Thermidor l’an second de la République français une et indivisible (signé) Barbier, Maria Dorothea Zabern
Philippe Nicolas Henri Barbier meurt en 1795 en délaissant des héritiers collatéraux
1795 (27 messidor 3), Strasbourg 3 (9), Not. Ensfelder n° 440
Inventaire de la succession delaissée par le Cit. Philippe Nicolas Henri Barbier, Capitaine du 2° Bataillon de l’Aube de la 6° brigade, arrivé en cette commune le 3 floreal de la présente année, à la requisition de la C. Marie Dorothée née Zabern, veuve du défunt, assistée de Jean Geofroi Mann Boucher son beau frère et à celle du Cit. Jean Joseph Bitschnau homme de lettres mandataire des C. et Cit. Henri Philippe Buttel, demeurant en la commune de Piney, et Edmée Gabrielle Barbier son epouse, Pierre Bollot marchand demeurant audit Piney et Germaine Barbier son épouse, Claude Barbier Garde des Bois nationaux au Canton dudit Piney et la Cit. Edmée Louise Barbier fille majeure au même Piney, habiles à se porter héritiers de leur frere (district de Troyes)
Copie résumée du Contrat de mariage dressé devant le soussigné notaire le 2 thermidor II
habits 2941 li, Dettes passives 2784 li, Deduction faite 157 li
Enregistrement, acp 36 F° 84 du 16 ther. 3
Jean Thiébaut Ulrich et Marie Dorothée Zabern font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari.
1804 (6 prairial 12), Strasbourg 10 (18), M° Zimmer n° 292, 1995
Inventarium illatorum – br. Johann Theobald Ulrich, Schiffer und Fr. Maria Dorothea geb. Zabern, Eheberedung vor dem unterschriebenen Notario den 23. fructidor 11 Jahrs, den 8. vendemiaire jüngst angetrettenen Ehestand
in beden Eleuthen Wohnung an der Krautenau N° 154
des Ehemanns Guth, hausrath 962 fr, silber und gold 115 fr, Schiff und Geschirr zur Schiffereÿ 4383 fr, holz und wellen 1362 fr, baarschafft 2400 fr
Eigenthum einer haushelfte, Nemlich die helfte vor unvertheilte ane einer behausung hoff hoffstatt und bronnen samt allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der Krautenau N° 154 einseit neben der Beÿerle’scher Erbschaft anderseit neben br. Mördel dem Mezger, hinten auff den blumengiesen. Von dieser ganzen behausung gibt man hiesigem hospithal 1,75 fr, angeschlagen 3000 fr. Hierüber und wie der Ehemann dieße behausung in erster Ehe erkauft hat besagt eine Kauffverschreibung in der C.Stb den 22. Februari 1791, die andere ohnvertheilte helfte dieser behausung ist des Ehemanns Sohn erster Ehe gegen übernahm der hälfte der auf seiner Mutter absterben darauf gehafteten Passiv Schulden eigenthümlich zuständig
Summa summarum 12.223 fr
Berechnung des Sohns erster Ehe mütterlichen Erbes, vermög des über weÿl. fraun Maria Barbara geb. Fettinger dißorigen Ehemann erstern Ehefrau vor M° Übersaal den 30. Julÿ 1792
passiva 7350 fr, Nach deren Abzug 4873 fr
der Kinder Pathengeld, Johann Theobald dem sohn erster Ehe, Margaretha Salome der töchterlein dritter ehe
der Ehefrau eingebrachte guth, hausrath 631 fr, silber und gold 160 fr, summa summarum 791 fr
Enregistrement, acp 92 f° 17 du 8 pr 12
Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Salomé Ludescher, femme du doreur Jean Pierre Viatte
1806 (19.9.), Strasbourg 14 (31), M° Lex n° 765
Inventaire de la succession de Marie Salomé Ludescher, femme de Jean Pierre Viatte, doreur et vernisseur, décédée le 4 juin dernier – à la requête du veuf, tuteur naturel de François Antoine âgé de 8 ans et demi – en présence de François Joseph Ernwein, ouvrier en tabac, subrogé tuteur
en la maison du Sr Ulric battelier à la Krautenau n° 154
meubles 302 fr, pas de numéraire ni de dettes
Enregistrement, acp 100 F° 170 du 20.9.
Jean Thiébaut Ulrich meurt en 1811 en délaissant un fils issu de Marie Barbe Foettinger et une fille de Marie Salomé Jung
1811 (20.6.), Strasbourg 12 (38), M° Wengler n° 5834
Inventaire de la succession de Jean Thiebaud Ulrich l’ainé, batelier décédé le 2 juin 1811 – dressé à la requête de Marie Dorothée Zabern la veuve assitée de M° Roessel, de Jean Thiebaut Ulrich cadet, batelier, assité de Jean François Toepké, propriétaire son curateur, d’André Jung, marchand libraire, tuteur de Marguerite Salomé Ulrich âgée de 14 ans
Jean Thiebaud Ulrich cadet procréé du premier mariage avec Marie Barbe Foettinger, Marguerite Salomé Ulrich procréée en troisième noces avec Marie Salomé Jung, héritiers pour moitié de leur père – Marie Dorothée Zabern, quatrième femme du défunt et sa veuve actuelle suivant contrat de mariage reçu M° Zimmer le 23 fructidor 11
dans la maison mortuaire fauxbourg de la Krautenau n° 154
meubles, garde robe, argenterie, bateaux, numéraire
immeuble, La moitié par indivise d’une maison, cour, pompe et trefonds avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg fauxbourg de la Krautenau n° 154, d’un côté les héritiers Beyerlé, de l’autre en partie le Sr Feyerabend marchand maçon en partie au canal du Rhin devant rue derrière héritiers Beyerlé – acquis pendant le premier mariage avec Marie Barbe Foetinger à la Chambre des contrats le 22 février 1791, l’autre moitié appartient au fils cohéritier – loué le rez de chaussée et le premier étage pour 200 fr, le second étage 100 fr, ensemble 300 fr de revenu, faisant en capital 3000 fr
total de la succession 14.054 fr ; passif 12.762 fr
Enregistrement, acp 117 f° 96 du 22.6.
Marie Dorothée de Zabern meurt en 1840 en délaissant des héritiers collatéraux
1840 (5.9.), Strasbourg 10 (97), M° Zimmer (Kratz subst.) n° 3679
Inventaire de la succession de Mme Marie Dorothée de Zabern décédée à Strasbourg le 23 juillet dernier, veuve de M. Thiébaut Ulrich, batelier
L’an 1840, le 5 du mois de septembre à neuf heures du matin, A la requête et en présence 1. de dame Catherine Madeleine de Zabern, demeurant à Strasbourg, veuve de M. Jean Geoffroi Mann, boucher, 2. de M. Auguste Arnold, architecte, demeurant en cette ville, au nom et comme mandataire a) de M. Jean Baptiste Martel, précepteur demeurant à Mayence, b) de M. David de Zabern, lithographe, demeurant à Mayence, suivant procuration donnée par M. Martel comme tuteur de Charles Joseph de Zabern, mineur, et par M. David de Zabern, tant en son propre nom que comme subrogé tuteur dudit mineur (…) 3. de M. Théodore Koerttgé, clerc de notaire demeurant à Strasbourg au nom et en qualité de mandataire des Dlles Sophie de Zabern & Elisabeth de Zabern, commerçantes demeurant à Bingen, grand Duché de Hesse (…), 4. de Dlle Marguerite Salomé de Zabern, demeurant à Strasbourg et jouissant de ses droits, 5. et de D° Sophie Maguin, femme du sieur Frédéric Münch, garde de police également ici présent, habile à se dire et porter héritière pour un quart de sa sœur Mme Marie Dorothée de Zabern
M. David de Zabern, Mlle Sophie de Zabern, Mlle Elisabeth de Zabern tous par représentation de leur père M. Jonathan de Zabern de Mayence, frère de la défunte, héritiers de cette dernière pour le second quart conjointement avec le mineur Charles Joseph de Zabern par représentation de son père feu Jonathan de Zabern de Darmstadt lequel était fils dudit Jonathan de Zabern (…), Mle Marguerite Salomé habile à se dire et porter héritière pour de sa sœur pour le troisième quart, et la dame Münch née Maguin par représentation de sa mère D° Marie Barbe de Zabern veuve de M. Jean Baptiste Maguin, laquelle était sœur de la veuve Ulrich
dans le premier étage de la maison de Thiébaut Ulrich, rue de la Krutenau n° 154
[Arbre joint] Jean David Zabern et Catherine Madeleine Zimmer (dont les suivants)
Catherine Madeleine Zabern x Jean Geoffroi Mann boucher, dont Jean David Mann
Marie Elisabeth x Mathias Robert, boucher dont Mathias Robert militaire resté en Russie
Jonathan x Anne Barbe Renchert à Mayence dont a) Jonathan dont Charles Joseph, b) Sophie, c) Elisabeth, d) David
Marguerite Salomé + à l’hôpital
Marie Barbe x Jean Baptiste Manguin dont Sophie fe. Münch, Jean Baptiste et Michel (lesquels) n’ont plus donné de leurs nouvelles depuis de longues années
Marie Dorothée x Thiébaut Urlich puis Henri Barbiet dont Thiébaut Ulrich
[Procuration :] Charles Joseph mineur de Jonathan de Zabern et Gertrude née Martel
Enregistrement, acp 281 f° 32 du 8.9.
Propriétaire du quart de la maison, sa fille Marguerite Salomé Ulrich épouse en 1818 le garçon batelier Jean Berni
1818 (21.9.), Strasbourg 15 (24), M° Lacombe n° 5067
Contrat de mariage – Jean Berni, garçon batellier, fils majeur de Jean Berni, pilote, et de Marguerite Salomé Wintersinger
Marguerite Salomé Ulrich fille majeure de Thiebaut Ulrich, batelier, et de feu Salomé Jung
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
art. 3, la future épouse apporte le quart par indivis d’une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg Faubourg de la Krutenau n° 154, d’un côté les héritiers Beyerlé, de l’autre le coin de l’eau
Enregistrement, acp 140 F° 83 du 24.9.
Inventaire des apports dans lequel figure la part de maison
1822 (29.8.), Strasbourg 4 (53), M° Hatt n° 516
Inventaire des apports de Jean Berni, garçon batelier, et de Marguerite Salomé Ulrich
suivant contrat de mariage dressé par M° Lacombe le 22 septembre 1818
le mari, 739 fr, la femme 3913 fr
maison, le quart par indivis d’une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg Fauxbourg Krautenau n° 154, d’un côté les héritiers Beyerlé, e l’autre le coin de l’eau – total des apports 4586 fr
Enregistrement, acp 159 F° 12 du 3.9.
Son fils Jean Thiébaut se marie en 1820 avec Madeleine Busch
1820 (13.5.), Strasbourg 15 (27), M° Lacombe n° 5626
Contrat de mariage – Jean Thiébaut Ulrich, candidat pilote, fils majeur de Jean Thiébaut Ulrich et de Marie Barbe Foettinger
Madeleine Busch fille mineure de Jean Thiébaut Busch, batelier, et d’Anne Marie Elisabeth Eichborn
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Etat des biens (joint) Jean Thiébaut Ulrich, immeuble, les trois quarts par indivis d’une maison située à Strasbourg Fauxbourg Krautenau n° 154, d’un côté le Sr Wandhammer, de l’autre les héritiers Beyerle, derrière eau
argenr comptant 9800 fr, meubles 1255 fr
Enregistrement, acp 147 F° 122-v du 20.5.
Marguerite Salomé Ulrich, femme du pilote Jean Berni, meurt en 1829 en délaissant deux fils
1829 (29.7.), Strasbourg 4 (69), M° Hatt n° 4876
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé née Ulrich femme de Jean Berni, pilote de la navigation marchande du Rhin demeurant à Strasbourg, décédée le 3 avril dernier – dressé à la requête du veuf, père et tuteur légal de Jean, et Auguste Berni en présence de Thiébaud Ulrich aussi pilote de ladite navigation subrogé tuteur
en la maison mortuaire quai des Chevaux n° 133
immeubles propres, le quart indivis d’une maison sise à Strasbourg Fauxbourg de la Krutenau n° 154 évaluée 1000 fr
remplois 1913, revetement 1367 fr, bien propre du défunt 1643 fr ; mobilier 546 fr dont propres 492 fr + garde robe 124 fr
Contrat de mariage, M° Lacombe 22 septembre 1818 – créances actives propres 1000 fr, propres 3930 fr
Enregistrement, acp 195 F° 171 du 7.8.
Thiébaut Berni cède son huitième indivis de la maison à Thiébaut Ulrich
1849 (24.7.), Strasbourg 10 (114), M° Zimmer n° 7956
24 juillet 1849 – a comparu Monsieur Thiébaut Berni, batelier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire spécial de Mr Jean Berni, tailleur demeurant à Bar sur Aube (Aube) célibataire majeur (…) déclare avoir vendu
au Sr Thiébaut Ulrich, maître batelier demeurant et domicilié à Strasbourg, acquéreur ci présent et acceptant
Le huitième indivis d’une maison, sise à Strasbourg rue de la Krutenau N° 154, avec cour, aisances et dépendances, d’un côté la veuve Desecker, de l’autre Mr Wandhammer, par devant la rue, et par derrière le canal du Rhin.
Cette part d’immeuble est vendue en l’état où elle se trouve (…) Le sieur Berni est devenu propriétaire du huitième indivis de ladite maison pour lui être échu dans la succession de feue dame Salomé Ulrich, sa mère, vivant épouse de Mr Jean Berni, cordeur de bois, également décédé, ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé par M° Hatt, alors notaire à Strasbourg, le 14 Mai 1833, et d’un décompte dressé par le même notaire le 5 août de la même année. La Dame Berni née Ulrich était elle-même propriétaire du quart de la maison susdésignée pour l’avoir héritée dans la succession de feu son père Mr Thiébaut Ulrich, vivant maître batelier à Strasbourg, ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé après le décès de ce dernier par M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 20 juin 1811. Lors du décès de la Dame Berni, le quart ou les deux huitièmes de ladite maison sont échus à ses deux enfants, alors mineurs, à chacun pour un 8°, savoir à 1) M. Jean Berni, vendeur un 8° et 2) Mr Auguste Berni, actuellement caporal au deuxième régiment d’Infanterie légère, en garnison à Neuf Brisach, l’autre 8° (…) Quant aux trois quarts ou six huitièmes de la dite maison restans, ils appartiennent déjà au Sr Thiébaut Ulrich, acquéreur pour lui être échus dans la succession de ses père et mère feu le Sr Ulrich susnommé et dame Marie Barbe Fettinger, son épouse également décédée ainsi qu’il résulte de l’inventaire dressé par M° Wengler, ci avant rappelé (…) La présente vente est faite moyennant le prix de 1000 francs
acp 385 (3 Q 30 100) f° 84-v
Auguste Théodore Berni cède son huitième indivis de la maison à Thiébaut Ulrich qui en devient ainsi seul propriétaire
1849 (7.8.), Strasbourg 10 (114), M° Zimmer n° 7976
7 août 1849 – a comparu Monsieur Thiébaut Berni, batelier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire spécial de Mr Auguste Théodore Berni, caporal au deuxième régiment d’Infanterie légère en garnison à Besançon, domicilié à Strasbourg (…) déclare avoir vendu
au Sr Thiébaut Ulrich, maître batelier demeurant et domicilié à Strasbourg, acquéreur ci présent et acceptant
Le huitième indivis d’une maison, sise à Strasbourg rue de la Krutenau N° 154, avec cour, aisances et dépendances, d’un côté la veuve Desecker, de l’autre Mr Wandhammer, par devant la rue, et par derrière le canal du Rhin.
Cette part d’immeuble est vendue en l’état où elle se trouve (…) L’immeuble ci-dessus désigné appartenoit au Sr Thiébaut Ulrich, vivant batelier à Strasbourg et dame Marie Barbe Fettinger, son épouse en premières noces pour l’avoir acquis de Mr Jean André Sultzer, serrurier et dame Anne Marie Pulvermüller, conjoints de Strasbourg, ainsi qu’il résulte d’un acte passé à la ci devant chambre des contrats de Strasbourg le 22 février 1791. Après le décès desdits époux Ulrich, les trois quarts ou les six huitièmes du dit immeuble sont échus à M. Thiébaut Ulrich, comparant, et le dernier quart ou les deux huitièmes à Mme Salomé Ulrich, épouse de Mr Jean Berni, vivant cordeur de bois à Strasbourg, ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé par M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 20 juin 1811. Lors du décès de la dame Berni, le quart ou les deux huitièmes de ladite maison sont échus à ses deux enfants, alors mineurs, à chacun pour un 8°, savoir à 1) M. Jean Berni, tailleur demeurant à Bar sur Aube (Aube) un 8° et 2) Mr Auguste Berni, susnommé, l’autre 8°. Ainsi qu’il résulte 1) d’un inventaire dressé par M° Hatt, alors notaire à Strasbourg, le 14 Mai 1833, 2) d’un décompte dressé par le même notaire le 5 août de la même année (…). En vertu d’un contrat de vente reçu par M° Zimmer soussigné le 24 juillet dernier, le Sr Jean Berni susnommé a vendu le huitième lui appartenant dans ledit immeuble au Sr Ulrich susnommé. Par suite de la présente acquisition le Sr Thiébaut Ulrich, comparant, devient propriétaire de la totalité de la maison susdésignée (…) La présente vente est faite et acceptée moyennant le prix de 1000 francs
acp 386 (3 Q 30 101) f° 14
Procès verbal constatant les jours qui se trouvent dans le pignon en bois de la maison Ulrich du côté de son voisin Dessecker (actuel n° 54)
1856, Enregistrement de Strasbourg, ssp 124 (3 Q 31 623) f° 22-v du 17.12.
10 décembre 1856. Procès verbal d’état des lieux dressé et signé par Jean Frédéric Ballis, propriétaire à Strasbourg, expert nommé par Mr Dessecker, propriétaire en ladite ville, et Jean André Weyer, architecte, expert nommé par Tiébaut Ulrich, propriétaire, tous à Strasbourg, constatant les jours existants dans le pignon en bois de la maison du Sr Ulrich rue de la Krutenau N° 154
Acte de société entre les deux fils de Thiébaut Ulrich, les négociants Thiébaut Ulrich le jeune de Strasbourg et Charles Auguste Ulrich de Cumières (Marne)
1861 (25.10.), Strasbourg 10 (145), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.228
Société – ont comparu 1° M. Thiébaut Ulrich, père, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme mandataire de M. Charles Auguste Ulrich, négociant demeurant à Cumières (Marne) aux termes d’une procuration (…) 2° M. Thiébaut Ulrich, fils, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son nom personnel, lesquels comparans ont arrêté, ainsi qu’il suit, les conditions de la société commerciale que M. Thiébaut Ulrich fils & M. Charles Auguste Ulrich sont convenus d’établir entre eux.
Formation et objet de l’association. Article premier. Il est formé entre MM Thiebaut Ulrich fils, Charles Auguste Ulrich, sus-nommés & les membres de leur famille qui seront nommés plus tard, une société en nom collectif pour le transport par eau ou le commerce de toutes sortes de marchandises.
Durée de la société. Article deux. Cette société est contractée pour une durée illimitée (…)
Mises sociales. Article trois (…) Il sera acquis au profit de la société, dans le plus bref délai, un immeuble propre à ses opérations (…)
Raison sociale. Article quatre. La raison sociale sera Frères Ulrich (…)
Siège social. Le siège de la société existera à Strasbourg.
Gestion, administration & signature de la Société. Article six (…)
acp 503 (3 Q 30 218) f° 65-v du 30.10.
La Ville de Strasbourg vend au marchand de charbons Thiébaut Ulrich un terrain le long de la rue de Zurich (jusqu’alors occupée par le canal du Rhin)
1873 (3.6.), Maire
Verkauf durch die Stadt Straßburg
an Theobald Ulrich, Kohlenhändler zu Straßburg
von 19 Q. Meter Bodenfläche Zürcher Strasse zu Straßburg zu 383 Franken
acp 616 (3 Q 30 331) f° 89-v n° 2500 du 5.6.
Jean Thiébaut Ulrich meurt en 1873 en délaissant sa veuve Madeleine Busch et trois enfants ou leurs représentants
1873 (10.7.), Strasbourg 10 (172), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 3528
Inventaire de la succession de M. Jean Thiébaut Ulrich, en son vivant propriétaire domicilié à Strasbourg où il est décédé le 17 avril 1873.
L’an 1873 le 10 juillet à deux heures de l’après-midi, à la requête de 1° Mad° Madeleine Busch, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Thiébaut Ulrich, en son vivant propriétaire en la même ville, agissant en son pour nom à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre entre elle et feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Hatt, alors notaire à Strasbourg le 13 mai 1820, et à cause des avantages matrimoniaux résultant en sa faveur du même contrat de mariage
2° M. Jean Thiébaut Ulrich, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son propre nom et comme subrogé tuteur des deux mineurs Ulrich ci après nommés, élu à cette fonction (…), 3° M. Charles Auguste Ulrich, négociant demeurant et domicilié en la même ville, 4° Mad° Sophie Mathilde Gerner, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Théodore Ulrich, en son vivant négociant en la même ville, agissant comme mère et tutrice légale de Mathilde Ulrich, née le 15 août 1865 et de Bertha Ulrich, née le 23 novembre 1866, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec son mari défunt
Lesdits S. Thiébaut Ulrich, S. Charles Ulrich, Auguste Ulrich & les deux mineurs Ulrich habiles à se dire et porter seuls héritiers dudit Sr Jean Thiébaut Ulrich leur père et les deux mineurs Ulrich, ensemble pour le dernier tiers dudit défunt leur grand père décédé à Strasbourg le 17 avril 1873.
3) Et d’une maison avec appartenances & dépendances, située à Strasbourg rue de la Krutenau N° 56 autrefois N° 154, tenant d’un côté à M. Kieffer et de l’autre à M. Desecker. Cet immeuble est évalué, sans distraction des charges, à un revenu annuel de 2000 francs, donnant un capital de 40.000 francs
Ladite maison appartient à feu M. Ulrich pour avoir recueilli trois quarts ou six huitièmes dans la succession de M. Thiébaut Ulrich, en son vivant maître batelier à Strasbourg, & Dame Marie Barbe Föttinger, sa femme en premières noces, ses père et mère défunts, dont il était héritier pour pareille portion et pour avoir acquis les deux huitièmes restans du S. Jean Berni, tailleur à Bar sur Aube et du Sr Auguste Théodore Berni, son frère, alors caporal au deuxième régiment d’Infanterie légère en garnison à Besançon, aux termes de deux contrats passés devant ledit M° Zimmer les 24 juillet et 7 août 1849, contenant quittance des prix y stipulés. Les Srs Berni étaient propriétaire des deux huitièmes de ladite maison pour les avoir recueillis dans la succession de la D° Salomé Ulrich, en son vivant épouse de M. Jean Berni, décédé cordeur de bois à Strasbourg, leurs père et mère dont ils étaient les seuls héritiers, ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé par M° Hatt, alors notaire à Strasbourg, le 14 Mai 1833. La Dame Berni née Ulrich était elle-même propriétaire de deux huitièmes de la maison dans la succession dusit Sr Thiébaut Ulrich, son père, sont elle était héritière pour moitié, comme seule enfant issue de son mariage en secondes noces avec D° Ulrich née Jung, son épouse défunte, ainsi que cela se trouve constaté dans l’inventaire dressé par M° Wengler, alors notaire à Strasbourg, le 20 juin 1811.
Masse propre à la veuve. I. En toute propriété. 1) De la maison sise à Strasbourg, rue Sainte Catherine N° 1, que la D. veuve Ulrich a recueilli dans la succession de M. Jean Thiébaut Busch, son père, ainsi que les parties el déclarent
acp 617 (3 Q 30 332) f° 80-v n° 3070 du 12.7. – Gemeinschaft. Mobilien 3840, Geld und Austanden 25.351. Ein Haus zu Oberhausbergen 2200
Nachlass, Kleidung 310, ½ der Gemeinschafft 24.445
Ein Haus zu Straßburg Krutenau N° 56
Déclaration par laquelle la société contractée en 1861 continue après la mort du négociant Charles Auguste Ulrich
1881 (13.5.), M° Pierron
Betriebs Erklärung – 1) Theobald Ulrich, Kaufmann zu Straßburg, 2) Hortense Louis Wittwe des Kaufmanns Carl August Ulrich, zu Straßburg, handelnd sowohl eigenen wie Namens ihrer minderjährigen Kinder Carl, Celine und Emil Ulrich
zwischen dem Comparenten Theobald Ulrich und dem verstorbenen Carl August Ulrich hat eine offene Handelsgesellschaft bestanden, gemäß ihren am 29. Oktober 1861 vor Notar Zimmer zu Straßburg errichteten Gesellschaftsvertrage. Die Firma besteht fort, wie Wittwe & Kinder Ulrich haben Antheil je zu ein Achtel.
acp 713 (3 Q 30 428) f° 45 n° 587 du 18.5.
Les héritiers exposent la maison aux enchères sur la mise à prix de 36 000 marks. La seule mise de 28 000 marks est agréée à titre povisoire
1882 (28.12.), Strasbourg 10 (200), M° Frédéric Pierron
Vereinbarung – N° 5327. Sind erschienen I. Frau Magdalena Busch, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft Wittwe des Herrn Johann Theobald Ulrich bei Lebzeiten Eigenthümer dortselbst, Handelnd eigenen Nahmens als Nutznießungin eines theils des Nachlasses ihres genannten Ehemanns, II. Herr Theobald Ulrich, ledig Kaufmann zu Straßburg wohnhaft, Handelnd eigenen Namens und als Nebenvormund nachgenannten Minderjährigen Emil und Celine Ulrich, III. Mathilde Ulrich geboren den 15. August 1865, IV. Bertha Ulrich geboren den 23. November 1866, beide entsprossen aus der Ehe des Herrn Theodor Ulrich bei Lebzeiten Kaufmann zu Straßburg und dessen Wittwe Sophie Mathilde Gerner, jetziger Ehegattin zweiter Ehe des Kaufmanns Gustav Frantz Koch, früher zu Metz wohnhaft, Emancipirte Minderjährige handelnd in der Gegenwart und unter dem Beistand ihrer Mutter und ihres Curators Herrn Isidor Ott, Glasmaler zu Straßburg wohnhaft, zu dieser Funktion ernannt (…), V. Frau Hortense Louis zu Straßburg wohnhaft, Wittwe des daselbst verlebten Kaufmanns Herrn Carl August Ulrich, Vormünderin ihrer nachgenannten Kinder Celine und Emil Ulrich, handelnd eigenen Namens, VI. Herr Carl Scheer, Direktor des städtiéxéen Waisenhaus zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Spezial Vormund von Celine Ulrich geboren den 25. Juli 1862 und Emil Ulrich geboren den 6. Februar 1864 beide minderjährig entsprossen aus der Ehe der genannten Wittwe Ulrich gebornen Louis mit ihrem Ehegatten, und dies nur zum Zwecke gegenwärtigen Aktes und der Veräußerung (…), VII. Und H. Karl Ulrich, Handlungs Commis, ledig und unverheirathet wohnhaft zu Straßburg, handelnd eigenen Namens,
Welche hiemit Folgendes erklärt haben. Genannter Herr Johann Theobald Ulrich ist am 15. April 1873 dahier gestorben und hat als Erben hinterlassen Herrn Theobald und H. Carl August Ulrich, zu je einem drittel und die Eheleute Ulrich-Busch waren verheirathet unter dem Rechtsverhältnis der auf das Errungene beschränkte Gütergemeinschaft laut ihrem Ehevertrag errichtet durch Notar Hatt zu Straßburg den 13. Mai 1820, der unter andern für den Fall des Vorhandenseins von Kindern für das Ueberlebende die Schenkung der Nutznießung der Wittwe enthält. Ueber die Gemeinschafft Ulrich Busch sowie über dem Nachlass des Herrn Ulrich wurde Inventar errichtet durch Notar Koerttgé zu Strassburg den 10. Juli 1873. Herr Carl August Ulrich ist gestorben am ersten März 1880 und hat seine genannte drei Kinder als seine einzige Erben hinterlassen. Derselbe war mit seiner Ehefrau jetzige Wittwe verheirathet gewesen unter dem Rechtsverhältnis der auf das Errungene beschränkte Gütergemeinschaft gemäss ihrem Ehevertrag errichtet durch Notar Malo zu Hautvillers den 13. Januar 1857, der ebenfalls eine für den Fall des Vorhandenseins von Kindern gesetzlich auch die Hälfte zu reduzirende Schenkung der Nutznießung des Nachlasses der Erstversterbenden zu Gunsten des Ueberlebenden enthält. Ueber die Gemeinschafft Ulrich Louis sowie über dem Nachlass des Manns ward durch den unterschriebenen Notar den 13. August 1880 ein Inventar errichtet.
Zum Nachlass des Herrn Johann Theobald Ulrich gehört nun ein Wohnhaus mit Hof Rechten und Zugehörden gelegen zu Straßburg Krutenaustrasse N° 56 (früher N° 154) grenzend einseits an Herrn Kieffer und in die Züricherstraße auf welche der Hof zieht, anderseits an Herrn Dessecker, Alles auf eine ohngefähren Fläche von 2 Aren 50 Quadratmeter section O N° 611, 611.
Dieses Haus gehört nunmehr in vollem und bloßem Eigenthum
zu 12/36 theil dem Herrn Theobald Ulrich,
zu 12/36 theil den minderjährigen Kindern des Herrn Theodor Ulrich, also der Mathilde Ulrich zu 6/36, der Bertha Ulrich deßgleichen 6/36,
und für die letzere 12/36 theil den Kindern des Herrn Carl August Ulrich, nämlich dem Carl Ulrich zu 4/36, dem Emil Ulrich desgleichen 4/35 und der Celine Ulrich für gleichen Bruchtheil 4/36, zusammen 36/36.
Was die Nutznießungsrechte der Frau Wittwe Ulrich geborner Busch eventuell der Frau Wittwe Ulrich geborner Louis am obbeschriebenem Hause betrifft, so werden dieselbe in einer später aufzustellenden Liquidation genau festgesetzt werden.
Eigenthums Nachweis. Befragtes aus wurde das Eigenthum des Herrn Johann Theobald Ulrich auf folgende Art, nämlich drei Viertel ererbte er in der Verlaßenschafften seiner Eltern Theobald Ulrich bei Lebzeiten Schiffer zu Straßburg und dessen Ehefrau Maria Barbara Föttinger, von welchen er Erbe für gleiche theile war. Das letzte Viertel erkaufte derselbe von Johann Berni, Schneider zu Bar-sur-Aube, und August Theodor Berni, Sergent im zweiten leichten Infanterie Regiment in Garnison zu Besançon, auf Grund zweier Akten aufgenommen durch Notar Zimmer zu Straßburg, der eine den 24. Juli und der andere den 7. August 1849 beide gegen baarzahlung. Die Herren Berni wurden selbst Eigenthümer fraglicher Theile der Behausung um ihnen zugefallen zu sein in der Verlaßenschafft ihrer Mutter Salomea Ulrich Ehegattin des Herrn Johann Berni, bei Lebzeiten zu Strassburg wohnhaft, von welcher sie die einzigen Erben waren, sowie dies bestätigt wurde durch vorgenanntem Notar Hatt den 14. Mai 1833 errichtetes Inventar. Frau Berni hatte selbst das theil an gedachtem Hause ererbt in der Verlaßenschafft ihres Vaters des gedachten Herrn Theobald Ulrich, von welchem sie Erbin war zur Hälfte, als einziges Kind entsprossen aus der Ehe desselben mit Frau Ulrich gebornen Jung, dessen verstorbenen Ehegattin, sowie dies hervorgeht aus einem Inventar vor Notar Wengler zu Straßburg vom 20. Juni 1811.
Um nun aus gedachter Unvertheiltheilt zu kommen sind, auf dem förmlichen Antrag der Frau Wittwe Karl und deren beiden Töchter, die Comparenten übereingekommen fragliches Haus durch unterzeichneten Notar öffentlich versteigern zu lassen und zwar auf den Anschlagpreis von 36.000 Mark und unter folgenden Rechten, Clausulen und Bedingungen (…) Geschehen zu Straßburg den 14. & 22. November, 28. Dezember 1882.
acp 732 (3 Q 30 447) f° 46 du 2.1.1883
Und im Jahr 1883, Montag den 5. März Nachmittags zwei Uhr auf der Amtsstuben des Notars Pierron zu Straßburg, Sind erschienen (…) Auf diesen Ansatz wurde klein Gebot gemacht. So dann wurde ein Gebot gemacht von 28.000 Mark durch Herrn Jacob Klein Vater, Bauunternehmer zu Straßburg wohnhaft, hiezugegen, welcher erklärt hat, er thue dies im Nahmen des Herrn August Kieffer, Holzhändler zu Strassburg wohnhaft für welchen er sich stark erklärt (…) dem Herrn Kieffer provisorisch Zugeschlagen um das gemachte Gebot vom 28.000 Mark.
acp 736 (3 Q 30 451) f° 15 du 12.3.
Madeleine Busch lègue à son fils Thiébaut l’usufruit viager de sa maison rue Sainte-Catherine avec les meubles qui s’y trouvent
1887 (2.3.), M° Pierron
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments – P.U. vom 28. Januar 1882. Testament der zu Strassburg wohnhaft gewesenen daselbst am 20. Februar gestorbenen Magdalena Busch Wittwe von Johann Theobald Ulrich, wonach sie ihrem Sohne Theobald Ulrich die lebenslängliche Nutznießung des Hauses Catharinengasse N° 1 dahier & die darin befindlichen Mobilien zum vollem Eigenthum, alles zum voraus & außer Theil vermacht unter der Last an seine Miterben jährlich 600 fr. zu zahlen
acp 785 (3 Q 30 500) f° 70-v n° 4099 du 4.3. (Sterbf. Erk. am 17/8 82, B. 154 N° 223)
Madeleine Busch meurt en 1887 en délaissant son fils Thiébaut et les petits-enfants issus de ses deux autres fils. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Sainte-Catherine
1887 (2.9.), Strasbourg 10 (220). Frédéric Pierron n° 8744
Inventar des Nachlass der zu Straßburg unterm 20.ten Februar 1887 verstorbenen Frau Magdalena Busch, Wittwe von H. Johann Theobald Ulrich.
Im Jahr 1887, Freÿtag den 2. Septembris des Nachmittags Zwei Uhr, zu Straßburg auf dem Amtsstube Judengasse N° 11. Auf Anstehen und Betrieben von 1. Herrn Theobald Ulrich, Rentner und Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, 2. Frau Mathilde Ulrich, gewerbloser Ehegattin des Herrn Frantz Wernert, Notariatsgehülfe, beisammen zu Straßburg wohnhaft, und letztere selbst der ehelichen Ermächtigung und Gütergemeinschaft wegen, 3. Fräulein Bertha Ulrich, gewerblos, noch minderjährig, jedoch emanzipirt zufolge Beschlusses des kaiserlichen Amtsgerichts hier vom 5. November 1881, in Verbeistandung von hier unterschwornen Kurators des zu Straßburg wohnhaften Glasmalers Hrn Isidor Ott, 4. Frau Hortense Louis, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft Wittwe des nachgenannten Hrn Karl August Ulrich, handelnd und Bevollmächtigte ihres Sohnes Hrn Alfred Karl Eugen Ulrich, Kaufmannn zu Courbevoie bei Paris wohnhaft (…), 5. Fräulein Celine Ulrich, gebwerblos und 6. Herrn Emil Ulrich, Chemiker, beide großjährig, zu Straßburg wohnhaft,
Herr Theobald Ulrich Sohn der erstgenannten Erblasserin, Frau Wernert & Fräulein Bertha Ulrich, diese beide in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verlebten Kaufmannes Hrn Theodor Ulrich, eines Sohnes der Erblasserin und H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Fräulein Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese drei in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verstorbenen Kaufmanns Hrn Karl August Ulrich, ebenfalls eines Sohnes der erstgenannten Erblasserin, einzige Erbberechtigte und zwar
H. Theobald Ulrich zu einem Drittel,
Frau Wernert und Fräulein Bertha Ulrich zusammen zu einem Drittel,
H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Frl. Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese zusammen ebenfalls zu einem Drittel, am Nachlasse ihrer Mutter (…)
in ihrer in der Katharinengasse N° 1 hier gelegenen Behausung, woselbst sie am 21. Februar verstorben ist, vorgefunden haben
Cote 1. Testament. Auf Grund ihres eigenhändigen Testaments de dato Straßburg den 28. Januar 1882 (…) Ich vermache zum voraus meinem genannten Sohn [Theobald Ulrich] die lebenslängliche Nutznießung meines Hauses Katharinengasse N° 1
Beschreibung des Immöbels. Ein zu Straßburg in der Katharinengasse N° 1 und an der Ecke der Züricherstraße gelegenes Wohnhaus (…)
acp 792 (3 Q 30 507) f° 86 du 5.9.
Liquidation de la même succession
1887 (2.9.), Strasbourg 10 (220). Frédéric Pierron n° 8745
Liquidation über den Nachlass der zu Straßburg unterm 20.ten Februar 1888 verlebten Frau Magdalena Busch, Wittwe von H. Johann Theobald Ulrich.
sind erschienen 1. Herr Theobald Ulrich, Rentner und Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, 2. Frau Mathilde Ulrich, gewerblose Ehegattin des Herrn Frantz Wernert, Notariatsgehülfe, beisammen zu Straßburg wohnhaft, und letztere selbst der ehelichen Ermächtigung und Gütergemeinschaft wegen, 3. Fräulein Bertha Ulrich, gewerblos, noch minderjährig, jedoch emanzipirt zufolge Beschlusses des kaiserlichen Amtsgerichts hier vom 5. November 1881, in Verbeistandung von hier unterschwornen Kurators des zu Straßburg wohnhaften Glasmalers Hrn Isidor Ott, 4. Frau Hortense Louis, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft Wittwe des nachgenannten Hrn Karl August Ulrich, handelnd und Bevollmächtigte ihres Sohnes Hrn Alfred Karl Eugen Ulrich, Kaufmannn zu Courbevoie bei Paris wohnhaft (…), 5. Fräulein Celine Ulrich, gebwerblos und 6. Herr Emil Ulrich, Kaufmann, zu Straßburg wohnhaft, ein Chemiker, beide großjährig, Fr. Celine Ulrich in Straßburg wohnhaft
handelnd, Herr Theobald Ulrich, Sohn der erstgenannten Erblasserin, Frau Wernert & Fräulein Bertha Ulrich, diese beide in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verlebten Kaufmannes Hrn Theodor Ulrich, eines Sohnes der Erblasserin und H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Fräulein Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese drei in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verstorbenen Kaufmanns Hrn Karl August Ulrich, ebenfalls eines Sohnes der erstgenannten Erblasserin, einzige Erbberechtigte und zwar
H. Theobald Ulrich zu einem Drittel,
Frau Wernert und Fräulein Bertha Ulrich zusammen zu einem Drittel,
H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Frl. Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese zusammen ebenfalls zu einem Drittel, am Nachlasse ihrer Mutter (…)
I. Verehelichung der Erblasserin Frau Wittwe Ulrich. Absterben ihres Ehegattes Inventarisierung
II. Absterben der Frau Wittwe Ulrich, letztwillige Verfügung
III. Inventarisierung
Unvertheiltheit. In Unvertheiltheit bleibt bis auf Weiteres zwischen den Erben, Ein zu Straßburg in der Katharinengasse N° 1 und an der Ecke der Züricherstraße gelegenes Wohnhaus (…)
acp 792 (3 Q 30 507) f° 87-v n° 2053 du 5.9. Activmasse – Mobiliengegenstände p. m.
Aktivforderung schuldig durch 1. Eheleute Ludwig Emil Paul Dürr 9000, Zins 202, 2. Eheleute Heinrich Oberdoerfer und Klementine Louy 12.000, Zins 126, 3. Eheleute Jakob Stieffer und Karoline Gehlin 8000, Zins 9, Weitere Zins davon, durch den Miterben Theobald Ulrich bezogen 90, 4. Eheleute Nikolaus Geÿ und Maria Hamm Ackerseue in Oberhausbergen 300, 5. Miterben Theobald Ulrich 2200, Zins 12, und 4833 – Gesamtbetrag der Aktivmasse 36.773
Passiva 1107, bleit 35.666
Belieferung und Anweisung (…)
acp 792 (3 Q 30 507) f° 90 n° 2056 du 5.9. Bruttoaufstellung
Les héritiers Ulrich vendent la maison à Sophie Kress, femme séparée de biens de Chrétien Laublé, fournisseur du génie militaire. L’acte mentionne le contrat de mariage passé le 13 janvier 1857 entre Charles Auguste Ulrich et Hortense Louis devant M° Malo à Hautvillers
1891 (12.3.), M° Loew
1. Thiébaut Ulrich, Rentner hier, 2. 2 Karl Alfred Eugen Ulrich, Kaufmann in Courbevoie bei Paris, 3. Celine Eugenie Luise Ulrich, Rentnerin hier, 4. Emil Theodor Ulrich, ledig, Rentner hier, 5. Mathilde Ulrich, Ehefrau von Florentz Wernert, Notariatsgehülfe hier, 6. Berthe Ulrich, großjährig, Rentnerin hier, 7. Hortense Louis, Wittwe des Kaufmanns Karl August Ulrich, hier
an Sophie Kress, in Güteren getrennte Ehefrau von Christian Lauble, Militär-Lieferant hier
Ein Haus mit Erdgeschoß und 2 Stockwerken, Ma,sarden, Bühnen nebst Hofraum, Rechten und Zubehörden zu Straßburg, Krutenaustraße N° 56
gehörend zum Nachlasse des am 17. Aprilis 1873 hier verstorbenen Johann Theobald Ulrich, welcher als Erben hinterließ je zu einem Drittel seine Söhne, den obengenannten Thiébaut Ulrich, Karl August Ulrich & seine beiden Enkelinnen Frau Wernert und Berthe Ulrich. Genannter Karl August Ulrich starb hier an 1. März 1880 hintelassend als Erben seine 3 Kinder Karl Alfred Eugen, Celine Eugenie Luise und Emil Theodor Ulrich. Seiner obengenannter Wittwe Hortense Louis hatte derselbe im Ehevertrag vor Notar Malo in Hautvillers vom 13. Januarÿ 1857 den Nutzen des halben Nachlasss vermacht.
Besitz und Genuß sofort mit Anspruch auff den Miethzinsen seit 15. Dezember 1890. Steuren seit 1. Januar 1891 – Kaufpreis M. 36.000, wovon 10.000 M schon früher bezahlt
acp 840 (3 Q 30 555) f° 20 n° 5117 du 19.3.
Sophie Kress fait son testament par lequel elle lègue à son mari un quart de ses biens en toute propriété et un autre quart en usufruit
1899 (17.4.), M° Keller
Eigenhändiges Testament durch Sophie Kress Ehefrau des Militärlieferanten Christian Lauble hier, wonach dieselbe ihrem Ehemann ein viertel des Nachlasses in Eigenthum und ein viertel in Genuß vermacht. – P. U. errichtet in Strassburg den 3. März 1894, hinterlegt bei Notar Keller hier den 17. April 1899
acp 953 (3 Q 30 668) f° 47 n° 347 du 18.4.
Sophie Kress meurt à Brumath en 1899 en délaissant sept enfants. La séparation de biens a été prononcée à Kehl le 24 septembre 1884
1899 (17.6.), M° Antoine Keller
N° 14.170. Erbverzeichnis über den Nachlass der zu Strassburg wohnhaft gewesenen und zu Brumath am 12. März 1899 verstorbenen Sophie Kress, Ehefrau des Viktualienhändlers Christian Lauble
acp 955 (3 Q 30 670) f° 70 n° 1156 du 19.6. (Sterbf. Tab. Bd. 83 Bl. 89 N° 192 – Erb, 26-8-99 Bd. 250 N° 257) Vorbemerkungen. Eheleute Lauble Kress waren unter der gesetzlichen Gütergemeinschaft verheurathet, zwar zu Kehl. Durch Urtheil des Amtsgerichts Kehl vom 24. September 1884 ist die Ehefrau ermächtigt* *den zu erklären ihr Vermögen von jenem ihres Manns abzusondern.
Erben sind die sieben Kinder, 1. Sophie Karoline Lauble, gewerblos hier, 2. Emil, Metzger allda, 3. Wilhelm Christian Lauble, Konditor allda, 4 Gustav Oskar Lauble, 5. Emma Elisabeth Lauble, 6. Albert Otto Lauble, 7 Luise Bertha Lauble, noch minderjährig unter vormundschaft des vorgenannten Vaters.
Durch eigenhändiges Testament hinterlegt bei Notar Dr Keller hier am 17. April 1899 hat die Verstorbene ihrem Ehemann ein viertel in Eigenthum und ein viertel in Genuß vermacht
Nachlass. Wohnhaus mit Ergeschoß und zwei Stockwerken Masarden & Speicher, Hofraum An- und Zubehör zu Straßburg an der Krutenaustraße N° 56 früher N° 154, section O n° 611 mit 0,70, Akt Loew vom 12. März 1891.
Forderung an den Mann für Rechte* * der Erblasserin zur Befriedigung ihrer Ansprüche laut Auseinandersetzung des Notars Hitzig in Kehl vom 6. Januar 1885 zugetheilt worden als 1. Mobilien 1600, 2. Forderungen 1448, Summa 3028
Die Erblasserin hat in die Verhandlung Schulden zu zahlen übernommen 1926, verbleibt 1101
Schulden 36.000. Kleider 4
Miethzins seit 1. Januar 1899 im Ganzen 500
Native de Helmlingen dans l’arrondissement d’Offenbourg en Bade, Sophie Kress meurt à l’âge de 48 ans à l’asile de Stephansfeld
Décès, Brumath (n° 38)
Brumath, am 27. Februar 1899. Zufolge der amtlichen Anzeige der direction der vereinigten Bezirks: Irren: Heil: und Pflege: Anstalten Stephansfeld-Hoerdt zu Stephanfels bei Brumath vom 26. Februar 1899, wird nach Streichung des nebenstehenden Vordruckes eingetragen, daß die gewerblose Sophie geborne Kress, 48 Jahre acht Monate alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, Elsaß, geboren zu Helmlingen, Regierungsbezirk Offenburg, Bundesstat Baden, Ehefrau von Christian Lauble, Tochter der verstorbenen Eheleute Johann Jakob Kress, Schuhmacher und Elisabeth gebornen Kress, beide zuletzt wohnhaft zu Helmlingen, am 26. Februar des Jahres 1899, Nachmittags um vier ein viertel Uhr, zu Brumath in der genannten Anstalt gestorben sei (i 26)
Partage de la succession. Les époux Laublé se sont mariés sans contrat de mariage à Kehl le 19 septembre 1872.
1901 (11.12.), M° Keller n° 17.183
Theilung des Nachlasses der am 2. Maÿ 1899 zu Straßburg verlebten Sophie Kress gewesene Ehefrau des Militärlieferanten Christian Lauble in Straßburg
Auf Anstehen I. des p. Wittwers Lauble handelnd als Vermächtnißnehmer seiner verlebten Ehefrau zu ¼ in Eigenthum und zu ¼ in lebenslängliche Nutznießung, auf Grund eigenhändigen Testaments vom 3. März 1894 hinterlegt bei amt. Notaram 17. April 1899
Für den Rest wird die Erblasserin beerebt von ihren Kindern als Erben sind die sieben Kinder, 1. Sophie Karoline Lauble, gewerblos zu Straßburg, 2. Emil, Metzger allda, 3. Wilhelm Christian Lauble, Konditor allda, 4 Gustav Oskar Lauble, allda, 5. Emma Elisabeth Lauble geb. 9 März 1881, 6. Albert Otto Lauble geb. 25. Okt. 1885, 7 Luise Bertha Lauble geb. 5. Juli 1887, unter der Pflegschaft von Joseph Mengus, Bureauvorsteher
acp 993 (3 Q 30 708. III) f° 47-v n° 2787 du 17.12. – Vorbemerkungen. Die Eheleute Lauble-Kress verheiratheten sich am 18. September 1872 ohne Ehevertrag errichtet zu haben zu Kehl. Durch Urtheil des Amtsgerichts Kehl vom 24. Septembris 1884 wurde die Gütertrennung ausgesprochen. Inventur wurde errichtet vot amt. Notar am 17. VI. 99. Derselbe dient als Grundlage zu dieser Theilung. Der Werth gilt vom Todestage 26. Februar 1899 ab.
Nachlass der Erblasserin. 1) Flur 31 N° 74, 3,09 a Hof mit Wohnhaus und Magazin Züricherstraße N° 45 und Krutenaustraße N° 56. Werth 40.000, erworben laut Akt Loew vom 12. III 91, 2) Forderung an den Wittwer laut Inventar 111, 3) Kleider geschätzt zu 4, 4) die durch den Wittwer zu verrechnenden Mietzinse 500, Summa 41.605
Passivmasse, 1) Schulden am theilbar Ulrich Rentner hier, Restkaufpreis laut Inventar 12.000, Zinsen p.m. 2) Schuld an den Wittwer laut Inventar 24.000, 3) Kosten des Inventars durch den Wittwer bezahlt 37, Summa 36.037
Bleibt Überschuß 5568.
Hiervon dem Wittwer a) in Volleigenthum 1392, b) in Nutznießung 1392, und den 7 Kindern in Volleigenthum 2784
Originaire de Gutach-Hohenweg en Bade, Chrétien Laublé meurt à l’âge de 60 ans à l’hôpital civil le 8 septembre 1905.
Décès, Strasbourg (n° 2554)
Strassburg am 9. September 1905. Der Direktor des Bürgerspitals hierselbst hat mitgeteilt, daß der Rentner Christian Lauble, 60 Jahr 11 Monate alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg, Wimpfelingstraße 13, geboren zu Gutach-Hohenweg, Baden, Wittwer von Sophie, gebornen Kress, Sohn der verstorbenen Eheleute Christian Lauble, Bierbrauer und Marie gebornen Langenbacher, zuletzt in Gutach wohnhaft, zu Strassburg im Bürgerspital am 8. September des Jahres 1905 Nachmittags um elf ein halb Uhr verstorben sei (i 235)
Chrétien Laublé hypothèque la maison au profit du Crédit foncier
1902 (6.1.), M° Keller n° 17.268
Schuldbrief – Christian Lauble, Militärlieferanten in Straßburg, Wittwer von Sophie Kress
zu Gunsten des Bodenkredits über ein Darlehen von 30.000 Mark
Pfand, ein Anwesen Krutenautstraße N° 56 und Züricherstraße N° 45-b, Nutz 1700 M. und Magaziin Nutz 700 M
acp 991 (3 Q 30 706. II) f° 64-v n° 3252 du 19.1.
Chrétien Laublé hypothèque la maison au profit de la Banque du commerce et de l’industrie
1902 (21.11.), M° Keller n° 18.308
Krediteröffnung durch die Bank für Handel und Industrie, Filiale in Straßburg mit dem Sitze in Darmstadt
an Christian Lauble, Militärlieferanten in Straßburg, Wittwer von Sophie Kress, bis zum Nelaufe von 6000 M.
Pfand, Flur O N° 611, Krutenaustraße N° 56 und Zürcherstraße N° 45-b, 3,09 a Hf. Nutz 1700 M, Magazin Nutz 700 M
acp 1004 (3 Q 30 719. II) f° 55-v n° 2352. du 24.11.
La maison revient ensuite à son fils Gustave Oscar Laublé, né à Kehl en 1879, qui épouse en 1905 Augustine Christine Orth, catholique de Strasbourg
Mariage, Strasbourg (n° 1481)
Strassburg am 28. Dezember 1905. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Gustav Oskar Lauble, evangelischer Religion, geboren am 30. Aprilis des Jahres 1879 zu Stadt Kehl (Baden) wohnhaft in Straßburg, Krutenaustraße 56, Sohn des verstorbenen Schuhmachers Christian Lauble und seiner verstorbenen Ehefrau Sophie gebornen Kress, beide zuletzt wohnhaft in Straßburg
2. die Augustine Christine Orth, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 28. August des Jahres 1879 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg wie oben, Tochter des Schuhmachers Thomas Gregor Orth und seiner Ehefrau Klara gebornen Paulus, beide wohnhaft in Strassburg (i 9)
Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1926, le restaurateur Joseph Kling épouse Louise Wurmser à Saverne le 26 octobre 1923.
Mariage, Saverne (n° 49)
Saverne, le 26 octobre 1923. Par devant l’Officier de l’État-Civil soussigné ont comparu dans le but de contracter mariage 1° Monsieur Kling Joseph, commerçant, de religion catholique, né le 7 mai de l’année 1891 à Marlenheim demeurant à Strasbourg, fils de Kling Louis, cultivateur demeurant à Marlenheim et de feu son épouse Madeleine Marie née Kauffer, demeurant en dernier lieu à Marlenheim,
2° Mademoiselle Wurmser Louise, sans profession, de religion catholique, née le 6 septembre de l’anne 1900 à Eckartswiller, demeurant à Saverne, fille de feu Joseph Wurmser, cultivateur demeurant en dernier lieu à Eckartswiller, et de son épouse Catherine née Weis demeurant à Saverne