22, rue Kageneck
Rue Kageneck n° 22 – I 34 (Blondel), P 61 puis P 282 (1874) section 54 n° 18 (cadastre)
Détruit par les bombardements en 1944, reconstruit – Démoli en 1997
Nouveau bâtiment 2000, maître d’ouvrage Société immobilière 3-F, architecte A-3 Architecture (Roland Hœnner)
Le n° 24 (bâtiment d’angle) suivi du n° 22 (vers 1942, AMS cote 1003 W 2, 813 )
Bâtiment reconstruit dans les années 1958 à la place de celui détruit par les bombardements en 1944 (dossier de la Police du Bâtiment)
Bâtiment actuel (avril 2014)
Le terrain sur lequel la maison et plusieurs voisines sont construites est cédé par la Ville en 1510. Le jardinier Augustin Trens achète en 1590 deux maisons dont l’une donne dans l’actuel faubourg de Saverne et l’autre à l’arrière dans la rue Kageneck. Il revend en 1602 la maison arrière à Jacques Jud que ses ayants-droit (les descendants de sa veuve remariée à Jean Westermann) conservent jusqu’en 1812. La propriété est à plusieurs reprises commune à deux frères, les jardiniers Laurent et Jean Schott de 1709 à 1746, Jacques et Michel Schott (1761-1781) qui font établir un partage des différentes localités par acte notarié, l’un obtenant le logement du rez-de-chaussée et l’autre celui à l’étage. Les héritiers de Jean Schott vendent en 1812 la maison à Thiébaut Nessmann et à son beau-frère Daniel Voltz qui rachète le tout dix ans plus tard.
Les lieux sont appelés au Marais Kageneck (im Kagenecker Bruch), une fois les casernes construites, au faubourg des Charrons aux Maisons neuves face aux casernes (in der Vorstatt Unterwagnern gegen denen Neuen Cazernen in der Neuen Zeilen), après l’ouverture de la rue du Feu, près de la rue du Feu (an der Feuergass).
Plan-relief de 1727. La maison se trouve face aux nouvelles casernes à droite de l’image
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 16 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (c) : deux fenêtres puis porte cochère, trois fenêtres à l’étage et toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour L montre l’arrière (3-4) de la façade sur rue, le bâtiment latéral (4-1) à l’ouest, le bâtiment (1-2) au fond de la cour et les murs (2-3) du voisin à l’est.
La maison porte d’abord le n° 35 (1784-1857) puis le n° 22.
Cour L
Devanture et plan de la parcelle (1915, dossier de la Police du Bâtiment)
La maison appartient au jardinier Daniel Reibel (1838) puis à son fils aussi nommé Daniel qui construit en 1878 un magasin dans la cour. Salomon Levy charge en 1914 l’entrepreneur Albert Wieger de transformer le bâtiment et d’en construire un nouveau dans la cour. La société Brunschwig et Bauer ouvre en 1915 un atelier pour confectionner des tuniques militaires au premier étage puis en 1917 au rez-de-chaussée.
Façade du bâtiment des années 1950 – Vue de la cour (dossier de la Police du Bâtiment)
Paul Levy, fils de Salomon, achète la maison voisine (n° 20) pendant son mariage avec Alice Bloch. Les deux maisons sont entièrement détruites par les bombardements de 1944. La veuve et les deux filles de Paul Lévy reconstruisent un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage comme le précédent.
Mireille Levy et Simone Levy vendent en 1995 les bâtiments à trois niveaux comprenant deux appartements et un local commercial (20 et 22 rue Kageneck) à la société immobilière 3-F (logements sociaux) qui charge le cabinet A-3 Architecture (Roland Hœnner) de construire un nouveau bâtiment. La Communauté Urbaine de Strasbourg et la société immobilière 3-F passent le 3 janvier 1996 une convention relative aux oriels qui surplomberont le domaine public. Le maire accorde le 4 mars 1996 le permis de construire, prorogé le 2 mars 1998. Les anciens bâtiments sont démolis en septembre 1997. Le gros œuvre est terminé en mai 2000. Le nouveau bâtiment comprend vingt-quatre logements, treize places de stationnement au sous-sol et treize autres dans la cour.
Plan lors de l’aménagement de l’atelier (1917, dossier de la Police du Bâtiment)
Façades sur rue du nouveau n° 20-22 et des bâtiments voisins – Façade sur cour (1996, dossier de la Police du Bâtiment)
Ancien bâtiment (1996, dossier de la Police du Bâtiment) – Nouveau bâtiment vu de l’est (avril 2024)
juin 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment 1890-1996, 1996, démolition, nouveau bâtiment – Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Roth, jardinier | ||
1590 | v | Augustin Trens, jardinier, et (1573) Catherine Graff – luthériens |
1602 | v | Jacques Jud, jardinier, et (v. 1595) Aurélie Wirich – luthériens |
1607 | h | Jean Westermann, jardinier, et (1606) Aurélie Wirich, veuve de Jacques Jud – luthériens |
1640* | h | Laurent Schott, jardinier, et (1635) Aurélie Westermann, d’abord (1630) femme de Thiébaut Voltz – luthériens |
1675* | h | Laurent Schott, jardinier, et (1669) Marie Wurtz – luthériens |
1709 | h | (moitié) Laurent Schott, jardinier, et (1733) Salomé Schertzer – luthériens Laurent Schott, jardinier, et (1704) Anne von Fridolsheim – luthériens |
1709 | h | Jean Schott fils de Laurent, jardinier, et (1718) Aurélie Reibel – luthériens |
1761 | h | (moitié 1761-1781) Michel Schott, jardinier, et (v. 1759) Anne Marie Spehner – luthérien converti |
1761 | h | Jacques Schott fils de Jean, jardinier, et (1752) Barbe von Fridolsheim puis (1790) Marguerite Barbe Schæfer, d’abord (1765) femme de Thiébaut Wild – luthériens |
1812 | v | (moitié) Thiébaut Nessmann, jardinier, et (1796) Marie Heydel – luthériens |
1812 | v | (moitié puis totalité 1822) Daniel Voltz, jardinier, et (1794) Salomé Nessmann – luthériens |
1838 | h | Daniel Reibel, jardinier, et (1814) Salomé Voltz – luthériens |
1844 | h | (moitié) Abraham Reibel, jardinier, et (1852) Salomé Wolff |
1844 | h | (moitié puis totalité 1861) Daniel Reibel, jardinier, et (1851) Marguerite Weinmann |
1888 | h | Chrétien Henri Rehberger, théologien, et (1888) Marie Catherine Peter en nue-propriété, Marguerite Weinmann en usufruit |
1911* | v | Salomon Levy, peintre en bâtiment, et (1876) Adèle Rebstock |
1941* | h | Paul Levy, peintre en bâtiment, et (1924) (Lucie) Alice Bloch |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation :
(1765, Liste Blondel) I 34, Michel Schott
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Jacob Schott, 6 toises, 0 pied et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 61, Voltz, Daniel, veuve – maison, sol, cour, bâtiment – 1,25 are / Reibel Daniel
Locations
1809, Jean Diemer charcutier
1862, Daniel Reybel, veuf de Salomé Voltz (ancien propriétaire)
Livres des communaux
1562, Livre D des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 224-v
Le loyer créé en 1510 est inscrit au nom d’Adolphe de Gugenheim dans le registre ouvert en 1562. Une partie en revient ensuite à la veuve de Jacques Jud.
Im Bruch
Item j lb xv ß gibt Adolff von Gugenheim von Einem gartten Im Bruch, lutt Brieffbuchs fo: 6 (de a° 1510)
geben Jetzt Ohl Christmann vnd hanß clein garttner
geben Jetzt Ohl Christmann vnd Michell Ruch garttner
Jetzt Bernhard scherer, diebolt moll Jud. Jacobs Wittib
(rub.) Jetzt Marzoll Musell vnd Bastian Reichart
hatt sich befund. daß eß ein ewig gelt derhalb. beÿ den j lb vßgelaß. d. 30. Aprilis 1629.
Neü 367. 328. 368.
1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 368
Le loyer de 19 sols dû par le maraîcher Laurent Schott provient du folio 224 du registre D (ci-dessus).
Jetzt Lorentz Schotten (Erb*)
Lorentz Schott, Gartner Vnderwagner, Soll gemeiner Statt, Vom garten im grünen bruch, Jahrs Vf Martini 19 ß d
Alt. d. f. 224
New 310
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 310
Même loyer reporté dans le registre suivant
Lorentz Schott Gartner Underwagner, Soll vom Garten im Grünenbruch, vf Martini, 19 ß
St. Zinnßb. p. 368
(Quittungen, 1674-1741)
Neuzb fol 29-b
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 29-b
Report suivant. Les contribuables sont Laurent Schott, puis Jean Schott fils de Laurent, Jacques Schott fils de Jean
alzb. 310
Lorentz Schott Soll vom Garten im Grünenbruch auff Martini (id est 11. Nov.) 19 ß
im Grünenbruch
(Quittungen 1741-an 10)
[in margine :] 21 Brumaire
Hanß Schott Lorentzen Sohn
modo Jacob Schott Hanßen Sohns Wittib
Description de la maison
- 1709 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend une grange, un hangar, une écurie et un puits est estimée à 1250 florins
- 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, il y a aussi une grange et une écurie dont le comble est couvert de tuiles plates, le tout estimé avec le puits, appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du marais Kageneck
nouveau N° / ancien N° : 30 / 35
Schott
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 71 case 2
Reibel, Daniel
Reibel Abraham, substitution 1854
1855 Reibel Abraham, fils, Reibel, Daniel, fils par ½, Rue Kageneck 35
P 61, sol, maison, bat, cour, Rue Kageneck 35
Contenance : 4,60
Revenu total : 65,39 (63 et 2,39)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 171 case 2
Reybel Abraham et Daniel fils
1863. Reybel Daniel fils de Daniel
P 61, maison, sol, cour Rue Kageneck 22
Contenance : 4,60
Revenu total : 65,39 (63 et 2,39)
Folio de provenance : (71)
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 24 f° 175 case 2
Reibel Daniel sohn von Daniel
1890/91 Rehberger Heinrich die Frau geb. Peter, Eigenth., Reibel Daniel We. Nutznießerin
P 282, Hofraum, Haus, Magazin, Kageneckergasse 22
Contenance : 4,60
Revenu total : 65,39 (63 et 2,39)
Folio de provenance : (71)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 14 / 11
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 282, Magazin
Revenu total : 158,39 (63 et 2,39 – 93)
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1881
Année de sortie : Neub.
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1881, Augmentations – Reibel Daniel f° 175-II, P 282, Magazin, Reinertrag 93, Neubau, vollendet 1878, steuerbar 1881, besteuert 1881
Cadastre allemand, registre 31 page 242 case 4
Parcelle, section 54, n° 18 – autrefois P 282
Canton : Kageneckergasse Hs N° 22
Désignation : Hf, Whs u. N.G. / sol, maison et bât. acc.
Contenance : 4,47
Revenu : 850 – 3000
Remarques : 1916 Neubau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1911), compte 3163
Rehberger Heinrich Ehefr.
(gelöscht 1911)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1911), compte 3937
Levy Salomon u. Ehefr.
1941 Levy Paul
(2657)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
(partie de rue non répertoriée)
Registres de population
(1795) (cote 600 MW 1)
1° section, Rue de Kageneck N° 35
Marguerite Schott, 50, Veuve Wildt, Strasbourg
Salomé Wildt, 15, Sa fille, id
Jacques Schwendt, 28, Jardinier, id
Anne Marie Schwendt, 23, Sa femme, id
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Kageneckerstrasse (Seite 72)
(Haus Nr.) 22
Friess, Schlosser. 0
Reybel, Wwe. E 1
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 937 W 8)
22 rue Kageneck (1890-1996)
La veuve Reibel fait aménager un portail en 1898. Salomon Levy charge en 1914 l’entrepreneur Albert Wieger de transformer le bâtiment et d’en construire un nouveau dans la cour. La société Brunschwig et Bauer ouvre en 1915 un atelier pour confectionner des tuniques militaires au premier étage puis en 1917 au rez-de-chaussée.
Entrepôt du marchand de meubles Eugène Meyer (1900-1915)
Société Electro-Est (matériel électrique, anciennement Lehrmann, 1934)
Indien Bazar (spécialités alimentation indiennes, 1990)
Sommaire
- 1890 – Le maire notifie la veuve Reibel de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1890
1895 – Le maire notifie Marguerite Reibel née Weinmann de faire ravaler la façade – La veuve répond que le dernier ravalement remonte à seulement cinq ans. Le maire fait observer que la peinture à l’eau est déjà sale. Il accorde un délai à la veuve qui n’a pas les moyens de faire faire les travaux et qui a seulement la jouissance de l’immeuble. – Pas de travaux - 1898 – La veuve Greiner, entrepreneur de bâtiment (8, boulevard de la Porte Blanche, ensuite boulevard de Nancy), demande au nom du sieur Reibel l’autorisation d’aménager un portail et de repeindre la façade. – Autorisation d’aménager un portail – Travaux terminés, octobre 1898 – Dessin du portail (grille en fer forgé) sis 9, quai Saint-Jean (pièce mal classée)
- 1900 – La veuve Eugène Meyer (demeurant 10, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire à son entrepôt (transfert de l’enseigne qui se trouvait à l’angle de la rue Kageneck et de la rue Moll) – Autorisation
- 1900 – Le maire notifie le rentier Daniel Reibel de faire ravaler la façade – La veuve Daniel Reibel demande de reporter les travaux à l’année suivante en faisant remarquer que le dernier ravalement remonte à 1896. – Travaux terminés, septembre 1901.
1909 – Le maire notifie Marguerite Reibel de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1909 - 1904 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Une plaque de cheminée est tombée – Le maire écrit à la veuve Reibel (demeurant chez l’aubergiste au Bœuf Lete à Ittenheim). La chute a endommagé la gouttière – Travaux terminés, avril 1901
- 1914 – L’entrepreneur A. Wieger demande au nom de Salomon Levy l’autorisation d’occuper la voie publique pour poser une devanture. Le commissaire de police transmet au maire – Accord
1914 – L’entrepreneur A. Wieger demande que le peintre Levy (148, Grand rue) soit autorisé à peindre le magasin et l’appentis dans la cour – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire contre le nouvel appentis (croquis)
1914 (juin) – L’entrepreneur A. Wieger (20, rue du Faubourg de Pierre) et S. Levy (148, Grand rue) sont autorisés à transformer le bâtiment et à en construire un nouveau – Dessins – Calcul statique – Travaux terminés, novembre 1914. – Remarques en six points de la Police du Bâtiment lors de la réception
1914 (décembre) – Le ramoneur Théodore Frédéric Bergmann (10, rue Sainte-Hélène) délivre un certificat
1915 (juillet) – Le maire délivre le certificat de réception finale, les entrepreneurs ayant remédié aux défauts - 1915 – La société Brunschwig et Bauer demande l’autorisation d’ouvrir un atelier pour confectionner des tuniques militaires. Frédéric Guillaume Kirchner (52, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons) dresse les plans. Dimensions des trois pièces au premier étage où travailleront 17 personnes – Conditions à respecter
1914 (octobre) – La société Brunschwig et Bauer informe le maire qu’elle transfère ses bureaux et son enseigne du 8, quai de Paris au 22, rue Kageneck – Le maire demande de rehausser l’enseigne à la hauteur réglementaire – Autorisation, novembre 1914
1917 – Le commissaire de police fait remarquer que la société Brunschwig et Bauer emploie 25 personnes au lieu d’un maximum de 15 dans son atelier 18, rue Kuhn. Il demande combien de personnes sont autorisées à travailler dans l’atelier rue Kageneck d’après l’autorisation du 21 juin 1915.
1917 (janvier) – La société Brunschwig et Bauer demande l’autorisation l’utiliser l’atelier pour confectionner des tuniques militaires. – La société Brunschwig et Bauer et Frédéric Guillaume Kirchner sont autorisés à aménager un atelier de tailleur au rez-de-chaussée, mars 1917 – Plan - 1915 – La fabrique de meubles E. Meyer (28, rue Thiergarten à l’angle de la rue Moll) déclare qu’elle a retiré son enseigne au 22, rue Kageneck
- Commission contre les logements insalubres, 1903. Propriétaire, veuve Reybel, demeurant sur place. Rien à signaler
1905, Remarques en trois points. – Abraham Federlin (43, rue de la Porte Blanche) demande au nom de la veuve Reybel de surseoir aux travaux (aménager une conduite d’eau)
1908, l’unique héritier a l’intention de démolir la maison et d’en construire une nouvelle après la mort de la veuve Reybel
1908, rapport sur le puits dans la cour (à dix mètres de la fosse d’aisances et de l’écurie)
1912, la maison a été entièrement transformée et raccordée aux canalisations
Commission des logements militaires, (1915) propriétaire Levy. Rien à signaler - 1934 – La société Electro-Est (matériel électrique, anciennement Lehrmann) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
- 1946 – Louis Hægel (premier étage) demande un certificat de sinistré. Le logement a été entièrement détruit par bombardement le 25 septembre 1944.
- 1947 – Paul Lang (cuirs, dépôt de tanneries, 42 rue Geiler, anciennement 22, rue Kageneck) demande au maire d’attester que l’immeuble sis 22 rue Kageneck est sinistré – Le maire le renvoie en qualité de spolié à l’Office des biens et intérêts privés, service des biens spoliés
1947 – Métré - 1990 – Le magasin Indien Bazar (spécialités alimentation indiennes) et la société Litewka demandent l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Photographie – La société civile immobilière Dams autorise le sieur Seyd à poser une enseigne – Dessin – Autorisation – Les enseignes sont posées
- 1996 – La société Contrôle et Prévention demande au maire des renseignements afin d’établir un label de qualité pour des logements collectifs en projet – Le maire répond que le terrain ne se trouve pas dans un secteur d’isolation acoustique dans le Plan d’Occupation des Sols.
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 978 W 103)
20-22 rue Kageneck (permis de démolir,1996-1997)
Le maire accorde en septembre 1996 le permis de démolir les 20 et 22, rue Kageneck à l’immobilière 3-F, société anonyme d’habitations à loyer modéré.
Sommaire
- 1996 (août) – L’immobilière 3-F, société anonyme d’habitations à loyer modéré (5, rue du Maire Kuss) demande l’autorisation de démolir les bâtiments sis section 54 n° 17 (1,36 are) et 18 (4,47 ares) à rez-de-chaussée, premier étage et sous-sol
1996 (août) – Description du logement loué aux conjoints Dias par bail du 4 septembre 1980 – Convention de relogement
1996 (septembre) – Arrêté portant permis de démolir – Dessins du bâtiment à démolir, photocopies de photographies, plan cadastral de situation
1997 – Pas de travaux
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1331 W 46)
20-22 rue Kageneck (1995-2000)
Mireille Levy épouse Gœtschel et Simone Levy épouse Greenwood vendent en 1995 les bâtiments à trois niveaux comprenant deux appartements et un local commercial (anciennement Brossal), sis 20 et 22 rue Kageneck, à la société immobilière 3-F (logements sociaux) qui a l’intention de construire environ 25 logements de 80 m². Le cabinet A-3 Architecture (Roland Hœnner) demande en janvier 1996 l’autorisation de construire des oriels (31,20 m²). La Communauté Urbaine de Strasbourg et la société immobilière 3-F passent le 3 janvier 1996 une convention pour occuper le domaine public par des avant-corps fermés. Le maire accorde le 4 mars 1996 le permis de construire, prorogé le 2 mars 1998. Les anciens bâtiments sont démolis en septembre 1997. Le préfet autorise une fouille archéologique préventive en novembre 1997. Le chantier est ouvert en mars 1998, le gros œuvre est terminé en mai 2000. Le bâtiment comprend 24 logements, 13 places de stationnement au sous-sol et 13 autres dans la cour. Le maire accorde en août 2000 l’avenant au permis de construire.
Sommaire
- Description sommaire du bâtiment à construire (Groupe immobilier 3-F) – Photographies
1995 (août) – La Ville de Strasbourg informe le notaire Nicolas Heitz (3, place Saint-Pierre-le-Jeune) qu’elle renonce à son droit de préemption (section 54 n° 17 et 18)
1995 (octobre) – La société immobilière 3-F (logements sociaux, 5, rue du Maire Kuss) demande l’autorisation de construire des logements collectifs aux 20 et 22, rue Kageneck. Le bâtiment à trois niveaux comprend deux appartements et un local commercial (anciennement Brossal), surface utile 400 m². Propriétaires pour moitié Mireille Levy épouse Gœtschel, Simone Levy épouse Greenwood. Projet de construire environ 25 logements de 80 m²
1995 (novembre) – La Direction régionale des affaires culturelles demande un refus conservatoire, seul le bâtiment sur rue comprenant une cave – Le refus est levé le 31 janvier 1996.
1995 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest donne un accord de principe, sous réserve de modifier la corniche. Les architectes répondent que le pan de toiture n’est pas visible de la rue
1996 (janvier) – Le cabinet A-3 Architecture (R. Hœnner, 8, rue des Jardiniers) demande l’autorisation de construire des oriels (31,20 m²) – La Communauté Urbaine de Strasbourg et la société immobilière 3-F, représentée par son directeur régional Marcel Diel, passent le 3 janvier 1996 une convention pour occuper le domaine public par des avant-corps fermés, d’une surface totale de 31,20 m².
1997 (novembre) – Le préfet autorise une fouille archéologique préventive
1996 (4 mars) – Le maire prend un arrêté portant permis de construire
Suivi des travaux. Les anciens bâtiments sont démolis, septembre 1997. Les travaux commencent (sous-sol), avril 1998. L’excavation continue, mars 1999. Le gros œuvre est terminé, mai 2000 – Les travaux intérieurs sont terminés conformément aux plans, décembre 2000. Les bâtiments comprennent 24 logements, 13 places de stationnement au sous-sol et 13 autres dans la cour – Dessins
1998 (2 mars) – Prorogation du permis de construire
Déclaration d’ouverture de chantier
1999 (février, mars) – L’entreprise Socara (15, rue de Montreux à Lingolsheim) est autorisée à poser une grue et un échafaudage sur la voie publique
2000 (juin) – La société Dipol (26, route de Colmar à Ostwald) est autorisée à occuper la voie publique
2000 (juillet) – Demande d’avenant au permis de construire (rangement des deux-roues, cage d’escalier)
2000 (août) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – Le maire accorde l’avenant au permis de construire (surface hors œuvre brute 3526 m², nette 1962 m²)
2000 (décembre) – Le maire accorde le certificat de conformité
Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 424 D)
20, 22, rue Kageneck – MRU (cote 424 D 648)
Dossiers NV 36944 Z (n° 20), NV 9247 DS (n° 22), consorts Levy
Déclaration de sinistre par Paul Lévy, demeurant à Valence, pour l’immeuble sis 20, rue Kageneck (1946)
Déclaration de sinistre. Levy Paul, né le 17 février 1882 à Strasbourg, français, maître-peintre, Grand rue 140 à Strasbourg Bas-Rhin
domicile actuel, Avenue Victor Hugo 372 à Valence (Drôme)
Immeuble rue Kageneck n° 20, section 54 N° 17, détruit par le bombardement du 25 septembre 1944
Valence, le 16 juillet 1946.
La veuve et les deux filles de Paul Lévy demandent à bénéficier d’une indemnité de reconstruction
Demande d’indemnité de reconstruction
Déclaration de sinistre produite au nom de Mme Paul Lévy, Mlle Simone Lévy, Mlle Mariette Lévy, enregistré sous le n° N.V. 9247 DS
Propriétaire des biens sinistrés. Levy, Lucie Aline, née le 19.4.1897 à Sarreguemines (Moselle), française, veuve de Lévy Paul décédé. Mariage le 13 mai 1924 à Sarreguemines, communauté de biens réduite aux acquêts
Domicile, 140 grand’rue à Strasbourg
Lévy Simone, née le 21.2.1925 à Strasbourg, française, célibataire, Domicile, 140 grand’rue à Strasbourg
Lévy Mariette, née le 24.9.1928 à Strasbourg, française, célibataire, Domicile, 140 grand’rue à Strasbourg
Biens sinistrés, rue Kageneck n° 20 à Strasbourg, détruits à 100 %, par bombardement
Origine de la propriété pour Mme Lévy, achat, pour Mlles Lévy, héritage
Strasbourg, 2 mai 1950
Certificat collectif d’hérédité
Sont héritiers légaux de Levy Paul en son nom entrepreneur de peinture et domicilié à Strasbourg décédé le 28 avril 1947 à Valence (Drôme) 1° Simone, sans profession, demeurant à Strasbourg 140 Grand’rue
2° Levy Mariette, secrétaire, 140 Grand’rue à Strasbourg
Chacune pour la moitié de la succession. L’épouse survivante née Bloch Lucie Alice a droit à la moitié en usufruit de la succession conformément à l’article 7 du contrat de mariage passé le 14 mai 1924 devant Maître Gerhard notaire à Sarreguemines.
Strasbourg le 11 août 1947.
Tribunal Cantonal
Extrait du livre foncier pour le 20, rue Kageneck (immeuble dépendant de la communauté)
Livre foncier. Certificat – Bescheinigung
Au livre des immeubles il n’est inscrit aucune restriction au droit de disposer, aucun privilège, aucune hypothèque – rente foncière ou séparation de patrimoines – à charge de l’immeuble décrit ci-dessous.
section 54 n° 17, Rue Kageneck No. 20, 1 are 36 ca, sol, maison et bâtiment acc., Livre foncier de Strasbourg 1061, section1
Sont inscrits propriétaires Levy Paul, maître-peintre à Strasbourg et son épouse Alice née Bloch, en communauté de biens
Convention notariée relative aux indemnités, passée entre les héritiers Lévy
11 octobre 1954. Convention d’indivision
Certificat de conformité (…) Strasbourg le 26 mars 1958
Devis de destruction dressé par l’architecte Edmond Picard
Devis de destruction de la propriété de Madame Levy, 20, rue Kageneck
M. Edmond Picard, Architecte agréé, Strasbourg
Plan des n° 20-22, rez de chaussée, premier étage, sous-sol, coupes
Extrait du livre foncier pour le 22, rue Kageneck (immeuble propre à Paul Levy)
Livre foncier. Certificat – Bescheinigung
Au livre des immeubles il n’est inscrit aucune restriction au droit de disposer, aucun privilège, aucune hypothèque – rente foncière ou séparation de patrimoines – à charge de l’immeuble décrit ci-dessous.
section 54 n° 18, Rue Kageneck No. 22, 4 ares 47 ca, sol, maison et bât. acc., Livre foncier de Strasbourg 4162, section1
Est inscrit propriétaire Levy Paul, maître-peintre à Strasbourg
Rectification après la mort d’Alice Bloch le 10 mai 1957
Pierre Albrecht, notaire, 4, rue de l’Eglise, Strasbourg
Strasbourg, le 14 janvier 1958
à la Délégation Départementale du Bas-Rhin, rue des Arquebusiers
Par réquisition en date du 9 octobre 1957, l’émission d’un titre nominatif de Frs. 57.000. a été demandé au nom de Levy Mariette, Levy Simone, Mme Bloch Lucie Alice veuve de Levy Paul pour l’usufruit.
Madame Lucie Alice Bloch, veuve de Levy Paul est décédée à Strasbourg le 10 mai 1957, c’est-à-dire avant la date de réquisition du titre. Il faudrait en conséquence modifier l’immatriculation du titre (…)
Relevé d’actes
Le tuteur des enfants de Jean Roth vend deux maisons contiguës au maraîcher Augustin Trens le jeune. L’une fait partie des Maisons Neuves (Neue Zeil, ensuite Faubourg de Cronenbourg ou de Saverne), l’autre donne sur le Marais Kageneck.
1590 (5. Novembris), Chancellerie, vol. 268 (Registranda Kügler) f° 358
(Inchoat fo: 521.) Erschienen die Erenhafften Marx Roth der gartner Alls geschworner vogt Hanns Rothen seligen nach todt v.laßner Kinder, vnnd dan Diebolt von Fridolßheim d. gartner Alls mituogt bemelter Kinder haben (…) verkaufft
dem Erbarn Augustin Trennsen dem Jüngernn gartner Ime vnd seinen erb.
hoff u Zweÿ heüser neben einander mit Iren hoffestetten hoff Scheur vnd Gart. mit Allenn Ander & gelegenn In d. Statt Straßb vorstatt Inn d. Neuwen Zielen einseit neben Oll Cristman Zum theil vnnd Zum theil Jacob Treiger annderseit neben Antonius Schreter Zum theil vnd Zum theil Martin Schreter stoßen Hind vff d. Cageneckher bruoch, Dauon gonnd j lib 3 ß 4 d bodenn Zins der Statt Str. Mer xij gld gelts lesig mit 300 gld Sw fallend Jerlich vf Johannis Baruers Clausen Diebolts hansen vnd hans Meiernn burg. Zu richstett sonst ledig vnd eig. & der Kauff beschehen vber diße beschwerd. vmb 300 gld. Sw
Augustin Trens épouse en 1573 Catherine, fille d’André Graff.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 70, n° I)
1573. Augustin Drenß, Herr (-)ath drenßen Son vnnd Jungfrau Ketterin Grafin herrn Andres Grafen dochter (i 41)
La vente suivante constitue jusqu’au XVIII° siècle l’origine de la propriété de la maison. Augustin Trens cède par échange au maraîcher Jacques Jud et à sa femme Aurélie Wirich la maison qui donne dans le Marais Kageneck.
1602 (20. febr.), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 17
Thausch Herrn Augustin Trensen XV.rs vnd dan Jacob Juden deß Gartners wegen Zwoher Behausung.
(Extensionem reperies in lib: Contract: huius Anni fol: 134.) Erschienen herr Augustin Trens Fünffzehener an einem
vnnd dann Jacob Jud der Garttner vnder wagnern vnd Aurelia wÿrichin sein eheliche haußfr. andern theils mit beÿstand Dieboldt von friedelßheim deß würts Zu St: Arbogast vnd Andres Schneiders deß Gartners Ihrer Anverwanthen und Schwagers
Nemlichen Hatt berürter Herr Trens Ihnen beed. eheleüt. vbergeb. sein bißhero eigenthümlich gehabte Behausung hofflin Scheür Stall mit allen Zugehördt Rechten und gerechtigkeit. gelegen alhie Im Kagenecker bruch, einseit neben Jacob Trehern, anderseit neben Martin Schrettern beid. Garttnern, hind. vff Geörg Mollen den Schultheis Zu Oberhaußbergen stoßend, vber den bod. Zinß gehn Zuuor 19 ß 4 d ledig vnd eig.
Dagegen hatt Juden Jacob vnd Aurelia bede eleheüt Ihme herrn Trenßen auch* anstatt eingeraumbt vnd Zugestelt, Ihr bißhero bewonende behausung mit Ihren hoffstatt Scheür Stall. Schopff vnd gerechtigkeit. gelegen In d. Obernstraß. gegen der Garttner Zunfftstuben hinvber, neben w. Ullrich Cammerer dem Seilers erb. anderseit Jacob N. dem Schwartzbecken, hind. vff die Renngaß Ziehend. dauon gehn Jars vff Martini bod. Zins 2. lib d vnd Vier Cappen Johann von der Straßen Schaffners weiß, weÿtter Ist sie verhafftet David Voltzen alls Vogt weildt Margareth Völtzin Daniel von Schwartzach Kinder selig.verlaßene döchter vmb 200 lib d hauptgut, die Dieboldt von Fridelßheim alter Rhatherr darauff gelühen Zu Vier abloßig Jedes Jars 50. lib. (…) deßgleich vmb 100. lib. d. die erstberürter David Voltz vögtlicher weiß Ihnen eheleüt vnd gegen thauscherin vor ungevohr 3. wochen gelühen (…) deßgl.. 50. lb einander Daniel von Schartzach selig. Khinder (…) sonst ledig vnd eig. Also vnd dergestalt das Jedes theil die ihme verthauschte Behausung mit den droben Insonderheit angegebenen beschwd. hinfüro Zu rechter eigenthumbs weiß Innhab. besitz. bewohnen verleÿhen versetz. verkhauff. damit handlen thun vnd laß..nach seinem willen (…) hatt H Trenns seinem gegentheusch. noch ferner hinuß geben vnd bahr erstatten Nemlichen 50. pfund
Jacques Jud le jeune, tuteur de trois enfants de Jacques Jud l’aîné et d’Aurélie Wirich (Jean âgé de dix ans, Marguerite âgée de huit ans et Jacques âgé de six ans) cède la maison à la veuve Aurélie Wirich et à son mari Jean Westermann qui se chargent d’entretenir les enfants mineurs.
1607 (5.3.), Chancellerie, vol. 363 (Gemein Contract Buch)
Vertrag und Außkauff zwischen weyland Jacob Juden des eltern gewesenen Gartners seligen Wittwen und kindern, Aurelia Wyrichin und Hans Westermann. 89.
Vertrag und Außkauff zwischen weyland Jacob Juden des eltern gewesenen Gartners seligen Wittwen und kindern, Aurelia Wyrichin und Hans Westermann. 89. (Confirmirt Dienstag deb 5.t Martÿ A° 1607.
erschienen seind vnser Burger Jacob Jud der Junger als von vns geordneter Vogt Hansen Margarethæ vnd Jacoben weÿland auch vnsers Burgers Jacob Juden des eltern selig hinderlaßener minder Järiger Kinder an einem, vnd Aurelia Wÿrichin ermelts Jacob Juden des eltern nachgelaßene wittib der Kind. Muter mit beÿstand Hanß Schwenden des Gartners Ihres noch ohnentledigten vogts vnd Hansen westermans Ires Jetzigen ehevogts am andern theÿl vnd vns erzehlen vnd furpringen lassen, Als nach tödtlichem abgang obernants Jacob Juden des eltern sie die vögt vnd die wittib alle desselben hinderlaßene haab vnd nharung durch vnsers darzu verodnete Schreÿber vnd geschwornen Keuffler ersuchen, anschlag. beschreÿben vnd ein ordentlich Inventarium darüber auffrichten lassen, vnd auß demselben sich befunden, das die theÿlbare nharung mit einem Zimlichen schulden last, welch. forderlichen abgelegt werden müessen beschwerdt, ermelte seine verlassene Kind. noch gar Jung, ohnerzogen vnd ane derselben ohnverändertem vätterlichem Gut ein geringes darzu mehrern theÿls ane fahrender haab vnd haußrhat Insonderheit vnd vberig also da manche* Theÿlung des verändert vnd Theÿlbaren guts fürgenommen werden sollen nach abzug obangeregter Theylbarn Schulden vnd andern vnkostens Ihnen den Kindern ein geringes vnd soviel nit das dieselben biß sie Ir brod verdienen, ahne mercklichen abgang vnd beschwerliche schmähllerung des eÿgenthumbs erhalten vnd außgepracht werden mögen, vnd aber sie Aurelia die Wittwe vnd Muter auß Mueterlicher affection vnd natürlicher Zuneÿgung dieselben Ihre Kinder beÿ Ir Zubehalten begert, Hetten sie auff gehabten Rhat Ihrer nechst verwandt vnd anderer der sachen verständiger sich entschlossen angezogene abtheÿlung anzustellen (…)
(f° 90-v) Benantlich das sie Aurelia die Muter vnd derselben Jetziger ehevogt Hanß Westermann alle vnd Jede theÿlbare wie auch der Kind. ohnveränderte fahrende haab vnd nahrung (…) vnd dann die Behausung sampt aller derselben weÿthen begriffen, Zugehörden Recht vnd gerechtigkeÿt wie die In angeregtem Inventario mit Ihren anstössen beschrieben für sie vnd Ire Erben eygenthumblichen haben besitzen geprauchen (…)
vnd mehrerwehnte Jre treÿ Kinder deren das eltiste Hanß Zehen, das ander Margaretha acht vnd das tridte Jacob genant Sechs Jahr alt beÿ Iro biß ein Jedes fünffzehen Jar seines alters vollig erreÿcht behalten (…)
Donnerstag den 5.ten Martÿ 1607.
Les registres de mariages et de baptêmes sont lacunaires. Le cadet des enfants cités ci-dessus est baptisé en 4 mai 1600.
Baptême, Sainte-Aurélie (luth. p. 3) 1600. den 4. Maÿ ist getauft worden Jacobus Jacob Juden des gatners Sohnlin. Ist pfetter gewesen Leonhard Grosheinrich der Jung (…) i 2
Le maraîcher Jean Westermann épouse en 1606 Aurélie, veuve de Jacques Jud
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 101 n° 14)
1606. Hans Westerman gartner Aurelia Jacob Juden des gartners Wittwe. 18. Martÿ (i 103)
La maison revient à leur fille Aurélie qui épouse en 1630 Thiébaut Voltz, fils de Laurent, puis en 1638 Laurent Schott, fils de Georges.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 5-v)
1630. Dominica Vocem Jucunditatis. Diebold Voltz der gartner Lorentz Voltz deß Gartners nachgelaßener Sohn, J Aurelia Hanß Westermann deß gartners eheliche dochter. (i 7
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 31)
1635. Dominica XV post Trinitatis Lorentz Schott d. Gartner, Gorg Schotten deß gartners nachgelaßener sohn alhier, Aurelia Diebold Voltzen deß Jungen Gartners nachgelaßene wittib. 14. 7.bris ( 32)
Laurent Schott, jardinier aux Charrons, et Aurélie Westermann hypothèquent la maison au profit de la fille mineure de Laurent Rencher. En marge, quittance remise en 1728 à leur petit-fils Laurent Schott, propriétaire pour moitié avec son frère Jean Schott fils de Laurent.
1648 (6. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 127
Erschienen Lorentz Schott Gartner Vnderwagner und Aurelia Westermännin sein eheliche Haußfraw, Vnd Sie Aurelia mit beÿstand Hannß Engels deß Rothgerbers vndt Adolph Huckhen Gartners Vnderwagner, beÿder alß ihrer hierzu insonderheit erbettener nechster Verwanther
haben in gegensein Martin Kauffers auch Gartners Vnderwagner alß Vogts Agneßen weÿl. Lorentz Renchers geweßenen Gartners seel. nachgelaßener dochter – schuldig seÿen 100 lb
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt Scheur und stall mit allen deren Gebäwen, alhie im Kagenecker bruch neben obgemelten Kauffern ein: vnd anderseit neben neben Adolph Huckh. auch obgedacht hinden vff Lorentz Pfitzers Scheür stoßend gelegen, so über 19 ß allmend geldts gemeiner Statt Straßburg sonst. ledig eig. seÿe
[in margine :] Erschienen hieringemelte Agnes Rencherin, anietzo Anthoni Demuths deß Jüngern Küeffers Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts (…) Act. 28.t Aprilis a° 1663.
[in margine :] (…) in gegensein Lorentz Schott garttners Underwagern als Enckels obbemeldten Schuldners und proprietarÿ der helffte obbeschriebener behaußung maßen deren ander helffte seinem bruder hannß Schott Lorentzen sohn, auch gartner allda, zugehöret (quittung) Actum den 12. Julÿ 1728.
Autre hypothèque des mêmes au profit de la tribu des Jardiniers aux Charrons pour régler le prix de la part de maison aux enfants de Jacques Jud, frère d’Aurélie Westermann.
1648 (28. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 543-v
Erschienen Lorentz Schott Gartner und: wagner und Aurelia Westermännin sein Eheweib und Sie Aurelia insonderheit mit beÿstand Caspar Hammerers und Jacob Juden beed. Gartner und. wagner alß ihre hierzu erbettener nechster Verwanther
haben in gegensein H Michael Voltz. alt. groß. Rhats Verwanthens und hannß hügelß Gartners und. Wagner beede alß Zunfftmaÿster E.E. Zunfft d. Gartner und. Wagner – schuldig seÿen 75. Pfund, Zu dem ende bahr gelühenen Gelts, daß Sie damit H Emanuel Scheddeln alß Margarethæ Mollin Groß Vattern und Erben umb die am 28. Jan: a° 1640. in d. Cancelleÿ Contractstuben verschriebene und am 23. Augusti iüngsthin von EE Stattgericht abgeurtheilte 50. lib und Weÿl. Jacob Juden deß iüngern ihr Aureliæ Mutterhalben recht. Bruders sel. Kind., umb ihr Aureliæ beÿ annehmung nachgemeldter Behaußung angewißener Schuld bezahlen möchten
dafür in specie Vnderpfand sein sollen hauß, hoff, hoffstatt, Scheur und Stall, mit allen deren Gebäwen & alhie im Kageneckher Bruch neben Adolph Huckhen ein: und anderseit neben Martin Keüfflern, hind. vff Lorentz Pfitzers Scheur stoßend geleg. davon gehnd iahrs 19 ß. Allmend Zinnß der Statt Straßburg, so ist solche Behaußung auch noch verhafftet umb 100. lib Martin Käufflern Gartnern und. Wagner, Item Ein Zweÿtheil Feldts hinder St. Gallen (…)
Leur fils Laurent qui hérite de la maison épouse en 1669 Marie, fille du maraîcher Martin Wurtz
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 161)
1669. Donnerst. den 23.ten 7.bris Aurelien. Lorentz Schott jun. Lorentzen Schotten Gartners Sohn vndt Jfr Maria, Martin Wurtzen des Gartners Tochter (i 83)
Laurent Schott l’ainé meurt en 1709 en délaissant huit enfants de sa veuve Marie Wurtz. Les experts estiment la maison à la somme de 628 livres. La conclusion finale de l’inventaire s’élève à 894 livres.
1709 (6. Hornung), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 16) n° 498
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Lorentz Schotten deß Eltern geweßenen garthners underwagnern und burgers Zue Straßburg, nunmehro seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1709
Inventarium vnd beschreibung aller Haab, nahrung vnd Gütheren ligend und vahrender, lehen: und Eÿgener, verändert vnd unveränderter, keinerleÿ davon ausgenommen noch vorhehalten, So weÿland der Ehrengeachte Lorentz Schott der ältere garthner under wagnern und burger Zue Straßburg, nunmehr seelig. nach seinem Montags den 23. August des nechst hingelegten 1709.t Jahrs beschehenem tödlichem ableiben verlaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren 1. der tugendsamen Mariæ Schottin gebohrener Schottin deß Ehrsam und bescheidenen Martin Schotten Gartners vnderwagnern und burgers Zu Straßburg ehefrau mit beÿstand gemelts ihres Ehemanns, 2. ferner der tugendsamen Aurelia Ruolmännin gebohrener Schottin des Ehrsam und bescheidenen Michael ruolmanns des Jüngern Garthners und burgers daselbst Ehegattin mit assistentz gerührts ihres haußwürths, 3. Item des Ehrsam und bescheidenen Lorentz Schotten des Jüngern Garthners und burgers allda, 4. Item der tugendsamen Margaretha Neßmännin gebohrener Schöttin des Ehrsam und bescheidenen Andreæ Neßmans des Jüngern Garthners underwagnern und burgers Zu Straßburg haußfrouw, beÿständlich gesagt ihres haußwürths, So dann des Ehrenvesten herrn Johann Welpers des Jüngern scribenten und burgers Zu Straßburg als ahne statt obgemeldt Andreæ Neßmans des rechten zu dießen geschäfft erbettenen theÿlvogts 5. 6. 7. 8. Hannßens, Martins, Jacobs und Salomä geschwisterden, der Schotten alle deß abgeleibten seeligen mit der tugendsamen Maria Wurtzin seiner gewesenen Ehefrauen vnd nunmehro hinterbliebener Wittiben ehelich erzeugte Kinder und nunmehre deroselben ab intestato nechste Erben Jedem Zum achten theÿl berührend, ersucht vnd befunden durch obgemelte Mariam Wurtzin der Wittib mit assistentz der Ehrsam und bescheidenen hans Philips Huober garthners under wagnern und burgers Zue Straßburg ihres geschwornen vogts (…) beschehen in wolgemelter Statt Straßburg Mittwochs dn 6.ten Hornung Anno 1709.
Haußrath. Holtz und Federwerck. In der obern Stub Cammer
Eigenthumb ahne Einer behaußung. Item Hauß, Hoff, Hoffestatt, Scheür, Ställ mit allen dero gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden rechten vnd gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg vorstatt im Kagenecker bruch einseit neben hanß Kauffern anderseit neben Daniel voltzen beeden Garthnern underwagnern, Hinden auff Jacob Renchert vnd hans Schotten beeden garthnern allda vnd davon man alle Jahr auff Martini 19 ß bodenzinß der Statt Pfenningthurn alhier abzulosen schuldig sonsten ledig eÿgen vnd vermög Einer von der Statt verordneten herren Werckmeÿstern deß maurs: und Zimmerhoffs Ertheÿlt und den 9.ten Februarÿ Anno 1709. datirter Abschatzung æstimirt und angeschlagen worden vor 587 lb d. Hierüber besagt Ein teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Contractstuben anhangendem Insigel verwahrt und datirt den 20. Februarÿ Anno 1602. mit N° 1 notirt.
Vergleich So Zwüschen der Wittib und denen Erben dießen verlaßenschafft halben beschehenen und vorgangen. (…) Zum andern, daß Lorentzen dem ältisten Sohn dien nach Inhalt seines auffgerichteten Eheberedung von dem abgestorbenen vatter seligen in der vätterlichen behaußung, biß ahne der mutter absterben, verordnete gemach, in besitz gelaßen, derselbe aber biß daß sich eines von seinen unverheuratheten geschwisterden * solte die wittib den Ihme in seiner Eheberedung Jährlichen abzurichten verordneten haus Zinnß ahn verwögerlich. ablegen solte.
Forma hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der wittib überlaßene Nahrung, Sa. haußraths 57, Sa. Früchten 22, blumen auf dem veld 18, Vÿhe 33, heuw und Strohe 3, beßerung 1, schiff und geschirr Zum Acker und Veldbouw gehörig 10, heuw und Strohe 3, beßerung 1, Silbergeschirr 11, Guldine Ring 1, Eÿgenthumb Einer behaußung 587, Eÿgenthumb liegender veldt Güether 532, beßerung ane lehengüettern 4, Summa summarum 1283 lb – Schulden 409, Nach deren Abzug 874 lb
Hierauff volgen die den Erben eÿgenthümblich überlaßene veldtgüettere, Eigenthum ahne liegenden veldtgüthern 10, Summa 285
Conclusio finalis Inventarÿ 894 lb
Abschatzung d. 9. febr: aô 1709. Weÿlandt herrn Lorentz Schott gewesenen gartners unter wagners ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg beÿ der Kunen gaß im Kageneckerburch gelegen, einseit neben h. hannß Kauffer gartnner unter Wagner, anderseits neben herrn Daniel Foltz gartener unter wagener, hinden auf herrn Jacob Renchert Gartner unter wagener stosend welche behausung scheur, schopff, stallung, hoff vnd bronnen sambt aller gerechtigkeit wie soclhes durch der Statt Straßburg geschwornne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach Abschatzung wird Vor undt umb Ein tausendt undt Zweÿ hundert Fünffzig gulden. Bezeichnus der statt Straßburg geschworne Werckhleuthe [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager, Werck Maister deß Münsters, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 500 florins (250 livres) sur un total de 1 700 florins
1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 86-v
(GUW, F., N. 181) Weÿl. Lorentz Schotten sen. geweßenen Gartners und burgers alhier Verlassenschafft inventirt H. Not. Marbach.
Concl. fin. Inv. ist fol. 78, 894. lb, die machen 1700 fl., Verstallte allein 1200 fl. alßo Zu wenig 500 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff acht jahr in duplo macht à 1. lb 10 ß d. – 12 lb
Und auch auff Sechs jahr in simplo th. à 15 ß d – 4 lb 10 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 2 ß 6 d – Summa 17. lb 13 ß 10 d
Auff Suppliciren haben die Hhn. dreÿ Zweÿ Jahr in duplo und 2. in simplo nachgelaßen th. 4. lb. 10. ß., rest. 13. lb. 2. ß. 10. d
dt. 12° junÿ 1709. in abschl. 10. lb 18. ß 10. s der rest auf ferners bitten und eingebrachte wichtige Motiven vollends erlaßen.
L’obligation ci-dessus (1648) et l’inventaire de 1757 attestent que la maison appartient pour moitié à Laurent et Jean, fils des précédents.
Jean Schott fils de Laurent hypothèque sa moitié de maison au profit de son frère Laurent Schott
1729 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 124-v
Hannß Schott Lorentzen Sohn
in gegensein seines bruders Lorentz Schott auch garttners allda – schuldig seÿe 70 pfund
unterpfand, die helffte für ohnvertheilt ahne einer Behausung hoff Scheur Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in dem Kagenecker Bruch beÿ der Neuen zeil einseit neben hanß Kauffer anderseit neben weÿl. Daniel Voltzen wittib hinten auff. Jacob Rencher – von solchem gantze hauß gibt man 19 ß ane bodenzinß
Jean Schott fils de Laurent et sa femme Aurélie Reubel hypothèquent la moitié de la maison au profit du maraîcher Abraham Lix.
1736 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 194
Hannß Schott Lorentzen sohn g.u.w. und Aurelia geb. Räubelin mit beÿstand H. Kögelin und H. Herttenbein beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Abraham Lix des garttners Unterwagnern, schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, die ohnvertheilte helffte einer behausung, Scheur, Stallung, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und rechten In der Vorstatt Cronenburg in der Neuenzeil, einseit neben Hannß Kauffer, anderseit neben Jacob Odino hinten auff Andreas und Hannß die Rencher alle g.u.w – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 19 ß ane bodenzinß
und feld …)
Laurent Schott épouse en 1704 Anne, fille du maraîcher Thiébaut von Fridolsheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 93-v)
1704. Heut dato den 2. Aprilis Haben sich Christlich Copuliren vndt Ehelich Einseegnen lassen Lorentz Schott der Ledige Gardtner Herren Lorentz Schotten des burgers v gardtners alhier Ehelicher Sohn Vnd Jungfr. Anna Thieboldt von Friedelsheims des burgers v gardtners alhier Eheliche tochter (unterzeichnet) x dises Zeichen hat der Hochzeiter anstatt seines Nahmens vorgesetzt. + deßgleichen auch der Jungfr. Hochzeiterin (i 100)
Anne von Fridolsheim meurt en décembre 1738 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre au veuf est de 548 livres, celle propre aux héritiers de 495 livres. L’actif de la communauté s’élève à 636 livres, le passif à 536 livres.
1739 (20.3.), Not. Mader (6 E 41, 692) n° 954
Inventarium über Weÿl. der Tugendsahmen Frauen Annæ Schottin geb. Von Fridolsheim des Ehrengeachten Lorentz Schotten GVW. v. b. zu Straßburg geweßenen Ehefr. nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1739.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab Nahr. v. Güthern, Liegend v. vahrender verändert vnd unveränderter, so weÿl. die Tugendsame Frau Anna Schottin gebohrne Von Fridolsheim des Ehrengeachten Lorentz Schotten GVW. v. b. allhie zu Straßburg geweßene Ehefrau nach ihrem Freÿtags d. 26.ten Monaths tag Decembris des mit Gott zurückgelegten 1738. Jahrs beschehenen tödl. ableiben zeitl. Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erfordern v. begehren hernach folgendem folio jn specie benahmbster Erben inventirt (…) So beschehen allh. Zu Straßb. auff Freÿtag d. 20. Martÿ 1739.
Die Verstorbene Frau seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt 1.mo den Ehrsam v. bescheidenen Lorentz Schotten, den Jüngern gvw. v. b. allh. so dießer Inventation in persohn abgewartet, 2.do die tugendsahme frau Annam Mariam Lixin gebohrene Schottin des Ehrsam v. bescheidenen Andres Lixen hannßen Sohn gvw. v. burger allh. Ehefr. welche mit beÿstand gedachten Ihres Mariti dießer Inventation beÿgewohnet, dieße Zweÿ der Verstorben seel. mit eingangs gedachtem hinterbliebenem Wittiber ehelich erzeugt v. nachgelaßene Kinder v. Erben Zu gleich. portionen v. Antheilen.
In einer in der König. Statt Straßburg Vorstatt Unterwagnern gegen denen Neuen Cazernen in der Neuen Zeilen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig v. hernach beschr. behaußung befund. word. wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf dem Frucht Kasten, In der Cammer A, In der Kuchen, In der Soldaten Cammer, In der Wohnstub, Auf dem haustall
Eigenthumb ane Einer Behaußung. (W.) die helffte ane Einer Behaußung Hoff, Hoffstatt und Bronnen mit allen deren begriffen, weithen, rechten zugehördten und gerechtigkeiten, allhier in der vorstatt unter Wagnern ane dem Kagenecker bruch, einseit neben Hanß Kauffer GVW anders. neben Jacob Odino auch Garthnern alda hinden auff Jacob Rencher und Consorten stoßend gelegen davon mann Jährlichen auff Martini Neün Schilling Sechß Pfenning bodenzinß gemeiner Statt Pfenningthurn Zu reichen schuldig, Vnd durch der St. Straßb. geschohrne Hh Werckmeistere Crafft einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlicher Abschatzung angeschlagen umb 550. lb.d. Davon abzuziehen obige beschwerde so in ohn vorgreifflichem Capital thut 19 lb. Nach solchem abzug wird abe vorstehendem anschlag der behaußung annoch übrig Verbleiben so hieher Zum außwurff thut 531. Darüber besagt i. teutscher perg: Kbr: m. der St: Str: CCst. anh. Inns. vw: und dat: d. 20. Februarÿ A° 1602. notirt.
Ergäntzung deß Wittibers wehrender dießer ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über alles dasjenuge was beede nun zertrennten Eheleute einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrung durch weÿl. herrn Johann Friderich Marbach geweßenen Notm. Publ. in anno 1704. gefertiget hat mann dem Wittiber Zu Erg. alß folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. deß Wittibers ohnverändert Guth, Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 6 ß, Sa. Eigenthum ane einer behausung 531, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 94, Beßerung ane lehen Güthern 2, Sa. Ergäntzung (75, Abzug 139, Übertrifft allßo der Abzug die Ergäntzung umb 64) Summa summarum 637 lb – Schulden 89, Nach deren Abzug 548 lb
Der Erben Eigenthümlich ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 39, Sa. der lähren Faß 8 ß, Sa. Silbers 3, Sa. Goldtener Ring 5, Sa. der baarschafft 1, Sa. Eigenthums ane liegend. Güthern 185, Sa. beßerung ane lehen Güthern 3, Sa. der Ergäntzung (236, Abzug 5, Remanet) 231, Summa summarum 495 lb
Das Gemein, verändert und theilbare Guth, Sa. haußraths 39, Sa. der Früchten auf der Kast 33, Sa. der lehren Faß 1, Sa. der Pferdt vnd rindt viehes 53, Sa. Schiff und geschirrs 22, Sa. deß heu und Strohes 7, Sa. deß Tabacks 13, Sa. der tung und beßerung 4, Sa. der blumen auf dem feld 16, Sa. der baarschafft 2, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 373, Sa. beßerung ane lehen Güthern 5, Sa. der Schuldt 64, Summa summarum 636 lb – Schulden 536 lb, Nach deren Abzug 100
Conclusio finalis Inventarÿ 1194 lb
Laurent Schott l’ainé meurt le 11 mars 1741. L’inventaire de sa succession est connu par le répertoire du notaire.
1741, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 114
Inventarium über Weil. Lorentz Schott des ältern gew: G.U.W. Verlassenschafft
Laurent Schott meurt d’apoplexie à l’âge de 66 ans. Sont témoins son fils Laurent et son gendre Jean Mœtschel (qui a épousé la veuve d’André Lix depuis l’inventaire précédent)
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1736-1757, f° 52-v)
1741. Sambstag den 11. Martÿ abends Zwischen 6 und 7 uhr starb an Engbrestikeit Lorentz Schott Gartner vnterwagner und burgers allhier seines alters 66 Jahr alt und 9 wochen und wurde Montags darauff auff dem Gottes Acker St Galli nach gehaltener Leichpredigt zum alten St Peter mit Christlichen ceremonien begraben requiescat un Dnô. (Unterzeichnet) Lorentz Schott der iung als sohn, Johannes Möttschel als tochterman (i 57)
Sa moitié de maison revient à son fils Laurent qui épouse en 1733 Salomé, fille du maraîcher André Schertzer
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 132-v, n° 7)
1733. Mittw. d. 15. Aprilis sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, Lorentz Schott der ledige Gartner v. burger, Lorentz Schott burgers v. Gartners alhier ehel. Sohn v. Jfr. Salome weÿl. Andreß Schertzers gewesenen burgers vnd Gartners nachgelaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Lorentz Schott als hochzeiter, o Salome Schertzin handzeichen (i 136)
Inventaire des apports dont la minute n’est pas conservée
1734, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 815
Inventarium illatorum über Lorentz Schotten Jun: GVW Und Fr. Salome geb. Schertzerin
Laurent Schott et Salomé Schertzer hypothèquent la moitié de la maison au profit de Marguerite Heydel, veuve du maraîcher Georges Wunderer
1745 (5.10.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 698
Lorentz Schott der G.U.W. und Salome geb. Schertzerin mit beÿstand Johann Daniel Baumgartner des leinenwebers und Jacob Rencher des G.U.W. beede ihrer schwäger
in gegensein Fr. Margarethæ geb. Heÿdelin weÿl. Georg Wunderer des G.U.W. wittib mit beÿstand ihres bruders und vogts Michael Heÿdel
unterpfand, erstlich die unvertheilte helffte einer behausung, scheur, stallung, bronnen und hoffstatt im Kageneckerbruch beÿ der neuen Cazernen, einseit neben Jacob Kauffer, anderseit neben Jacob Odino beede G.U.W., hinten auff hi. Hanß Rencher auch G.U.W.
(und feld)
Laurent Schott meurt en 1763 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Sainte-Aurélie. La masse propre à la veuve s’élève à 302 livres, celle des héritiers à 1 105 livres. L’actif de la communauté s’élève à 816 livres, le passif à 1 361 livres.
1763 (7.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1191) n° 1349
Inventarium über Weiland des Ehrsam und bescheidenen Lorentz Schott gew. gvw. und bs. allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaft auffgerichtet Anno 1763. – nach seinem Donnerstags den 27.ten Januarii dieses instehenden 1763.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen Fr. Salome Schottin geb. Schertzerin der hinterbliebenen Wb. unter assistentz des Ehrenachtbaren Mstr. Daniel Baumgarthner des ältern Webers und Sigristen Zu St. Aurelien auch bs dahier Ihres Schwagers, der Sie ane vogts statt Zu dero beÿstand hierzu angesprochen (…) – So beschehen Straßburg Donnerstags den 7.ten Aprilis et seqq. Aô 1763.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen Andream Schott, Lorentzen Sohn gvw. u. Br. alhier, welcher in Ehe lebet mit Fr. Margaretha geb. Kauferin, Zweitens Lorentz Schott, leedigen Garthner, welcher etwas über 2. Jahrr sich in Königl. frantzösische Kriegs Diensten unter das löbl. Regiment Royal Bavière genannt angagiret, aber nur etliche Täge dabeÿ verblieben, sich aber biß daher nicht mehr hier eingefunden und ob Er annoch beÿ Leben seÿn oder nicht, ist man dießorts ohnwißend
So dann drittens Jgfr. Salome Schottin welche den 24.ten Novembris 1748. zur Welt geboren worden. Dieser Tochter und nechstgedachter abweßenden Sohns, sofern Er annoch am Leben, geordnet und geschworener Vogt ist Diebold von Fridolsheim der Mittler gvw. und br. allhier der auch in solcher qualität diesem Geschäfft beÿgewohnet.
In einer alhier Zue Straßburg ane St. Aurelien gaß gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen dannenhero daunten beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt.
Ergäntzung der Wittib ermangelden ohnveränderten Guths, Nach Anleitung des über beeder geweßter Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen durch weil. H. Notarium Philipp Jacob Mader seel. den 18. Martii 1735. auffgerichteten von mir Notario aber den 6. Julii 1742. verfertigten Inv°
Eigenthum ane einer behaußung (T.) Nemlichen i. behaußung ane St. Aurelien gaß gelegen (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. Haußraths 10, Sa. silbers 1 ß, Sa. goldenen Rings 1, ß der activ Schuld 37, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 69, Sa. beßerung ane lehengüthern 3, Sa. Ergäntzung 180, Summa summarum 302 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 20, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 301, Sa. beßerung ane lehengüthern 4, Sa. Ergäntzung 816,Summa summarum 1143 lb – Schuld 37, Nach deren Abzug 1105 lb
Endlichen folgt auch das gemein verändert vnd theilbar Guth, Sa. haußraths 23, Sa. Schiff und geschirr Zum feld und ackerbau gehörig 31, Sa. Pferdt samt denen geschirrs wie auch Rindviehs 39, Sa. der Früchten auf der Kast, wie auch Meels 10, Sa. Tabacks u. hanffs 21, Sa. Heu und Strohs 3, Sa. leerer Faß 8, Sa. Beßerung im hof und auf dem feld 16, Sa. blumen auf dem feld 19, Sa. Silbers 7 ß, Sa. baarschafft 18, Sa. Eigenthum ane i. behaußung 400, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 221, Sa. der beßerung ane lehen güthern 1, Summa summarum 816 lb – Schulden 1361 lb, Theilbar passiv onus 549 lb – Stall Summ 589 lb
Copia der Eheberedung (…) Philipp Jacob Mader Nots.
Laurent Schott vend la moitié de la maison à son oncle Jean Schott et à sa femme Aurélie Reibel qui deviennent ainsi uniques propriétaires de la totalité.
1746 (20.10.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 820-v
Lorentz Schott G.U.W.
seines vatters bruders Hanß Schott Lorentzen sohns auch G.U.W. und Aureliä geb. Reubelin
die unvertheilte helffte ane einer behausung, scheur, stallung, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehör und rechten in der Vorstatt Cronenburg in der Neuen Zeil einseit neben Jacob Kauffer, anderseit neben Jacob Odinot, hinten auff Andreas und Hanß die Rencher alle G.U.W. – von solchem gantzen hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 19 ß ane bodenzinß – als ein vätterlichen erbguth – 800 pfund
Jean Schott fils de Laurent épouse en 1718 Aurélie, fille du maraîcher André Reibel
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 86, n° 10)
1718. Mittw. d. 15. Junÿ wurden, nach zweÿmal. proclamation Ehl. copulirt v. Eingesegnet Johannes Schott lediger gartner v burger alh. weil. Lorentz Schotten, burgers v. gartners alh. hinterl. Ehl. Sohn, vnd Jgfr. Aurelia, weÿl. Andres Reibels burgers v. gartners alh. hinterl. Ehl. tochter (unterzeichnet) Johnß schott als hozeiter, aureliareibrin alshoßirin (i 87)
Jean Schott et Aurélie Reibel hypothèquent la maison pour en payer le prix d’achat
1746 (20.10.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 822
Hanß Schott Lorentzen sohns G.U.W. und Aureliä geb. Reubelin mit beÿstand Clauß Jud und Hanß Wunderer beede G.U.W. ihrer vettern
in gegensein Annæ Lix auch G.U.W. zu bezalung des völligen kauffschillings der anheute erkaufften behausung, schuldig seÿen 800 lb
unterpfand, eine behausung, scheur, stallung, hoff und hoffstatt in der Vorstatt Cronenburg in der Neuen Zeil einseit neben Jacob Kauffer, anderseit neben Jacob Odinot, hinten auff Andreas und Hanß die Rencher alle G.U.W. – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 19 ß ane bodenzinß – die eine dem schuldner von seinem vatter erblich zugekommenen helffte dem creditore vorhin um 100 verpfändet (und feld)
Jean Schott meurt en août 1756 et sa veuve en mars 1757 en délaissant cinq fils. Les experts estiment la maison à la somme de 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 503 livres, le passif à 1 130 livres.
1757 (22.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1173) n° 1068
Inventarium über Weiland des Ehrsam und bescheidenen Hannß Schott, Lorentzen Sohns, gew. GVW. und auch weiland Fr. Aureliæ Schottin, gebohrener Reÿbelin, beeder Eheleuthen und br. alhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1757.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güther, liegender und fahrender, keinerleÿ davon ausgenommen, so weiland der Ehrsam und bescheidene Hannß Schott, Lorentzen Sohn, gew. GVW. und auch weiland Frau Aureliæ Schottin, gebohrene Reÿbelin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg so nunmehr seel. nach ihrem und Zwar der Ehemann Freÿtags den 13.ten August des abgewichenen 1756.gsten die Ehefrau aber Sonntags den 13.t Martii dießes 1757.gsten jahrs aus dießer welt genommenen töd. hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen, erfordern und begehren Ihr beeder Eheleuten seelig mit einander ehelich erzeugter fünff Söhne und ab intestato verlaßener Erben (…) So beschehen Straßburg Freÿtags den 22.ten Aprilis A° 1757
Beede Verstorbene Eheleute seelig haben ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. Erstl. Johann Schott Hannßen sohn, den jüngern gvw. und Burgern allhier, welcher in Ehe lebet mit Frauen Anna geb. Judin, 2.tens Abraham Schott, gvw. Wr und br. allhier, drittens, Jacob Schott hannßen Sohn, auch Garthner allda und br. allhier, verehelichet mit fr. Barbara geb. von Fridolßheim, Viertens Michael Schott, den leedigen Garthner, so majorennis und ohnbevögtigt, so dann 5. Andres Schott, leedigen Garthner ebenfalls majorennis und ohnbevögtigt. Als fünff Zugleichen portionen und haupttheilen verlaßene Erben
Copia Codicilli
In einer allhier zu Straßburg dero Vorstatt unterwagnern ane dem Kageneckerbruch gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden word. wie folgt
(f° 11) Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich Eine Behaußung hoff, hoffstatt Scheur und Stallung, mit allen dero gebäuden, begriffen, weiten, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Cronenburg in der Neuen Zeil, j.s. neben Jacob Kaufer, gvw. 2.s. neben Jacob Odino, hinten auf Andres Renchert Jacob S. alle gvw. stosend gelegen, davon man jähr. der Stadt Str. Pfenningthurn 19 ß ane bodenzinß, Zu geben Verbunden, Es ist aber dieselbe durch (die Werckmeistere) vermög deren außgestellten Zu mein Notarÿ Concept übergebenen Abschatzung Zed. Vom 9.ten Maÿ A° 1757. vor freÿ leedig und eigen taxirt worden pro 350 lb. Abgezogen henen Bodenzß. Zu doppeltem Capital gerechnet antreffend 38 lb, So sind hier außzuwerffen 312.
Solche behaußung und dero Zugehörde hat Weÿl. Lorentz Schott gew. gvw u. b. dahier seel. in deßen gestiffteten Codicillo dem dießorts verstorbenen seel. und seinem Bruder Lorentz Schott auch Garthner alda alß seinen Söhnen prælegiret. Und hat nechstgedachten Lorentz Schott des Verstorbenen respê Sohns und Bruders seel. Sohn auch Lorentz Schott genannt gvw. u. b. allhier die seinem Vater seel. Zuständig geweste helffte ane diesseits Verstorbene beede Eheleute seel. verkauffet, wie der in allhießiger C. C. Stb. verfertigte und mit dero anh. Ins. Verwahrte teutsche perg. Kfbr. dedato 20. 8.bris A° 1746. weiset.
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ, Sa. haußraths 23, Sa. Schiff und geschirrs Zum feld und Ackerbau gehörig 9, Sa. Pferds s. deß geschirrs wie auch Pferd Gezeug 6, Sa. Blumen auf dem feld 3, Sa. beßerung auf dem feld 3, Sa. Eigenthums ane jr. behaußung 312, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 129, Sa. Beßerung ane lehen güthern 6, Sa. activorum 8, Summa summarum 503 lb – Schulden 1130, In Vergleichung 627 lb
Copia Codicilli – persönlich kommen und erschienen Hannß Schott, Lorentzen Sohns, Garthner unterwagnern zwar alters halben blöden und zum theil ohnpäßlichen Leibs – Sambstags den 10.ten Maÿ Anno 1755 abends zwischen fünff sechß und sieben uhr – Johann Daniel Stöber Notarius
Abschatzung vom 9.ten Maj 1757. Auff begehren weill. frau Schottin gebohrener Reübelinn Seel. hinterlaßener Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Kagenecker Pruch gelegen, einseits neben Jacob Kauffer, anderseits neben Jacob Adam und hinten auf Andreas Rencher stoßendt, solche behaußung bestehet in 2 stuben 2 küchen und etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breit Zieglen belegt hat auch einen getremten Keller hoff und brunnen, ferner befindet sich eine scheur hoff und stallung darüber der dachstuhl mit breit Zieglen belegt, Von uns unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorhero geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtigkeit dem jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen vor und umb Sieben hundert gulden, (unterzeichnet) Ehrlacher werck Meister deß Münsters, Werner, Hueber
Michel et Jacques Schott rachètent en 1760 les parts de la maison et constituent deux lots avant de les tirer au sort. Jacques Schott obtient l’appartement du bas et Michel l’appartement du haut. Chaque partie est aussi propriétaire de dépendances, le restant étant indivis.
1761 (15.9.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1173) Joint au n° 1068 du 22 avril 1757
(Inventarium über Hannß Schott, Lorentzen Sohns, gew. GVW. und auch weiland Fr. Aureliæ Schottin, gebohrener Reÿbelin, beeder Eheleuthen und br. alhier Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft)
Cessio und Übergab der behaußung und dero Zugehörde
Zuwißen seÿe hiermit daß en heut Zu endgemeltem dato Vor mir Notario und dem dißortigen Inventir Schreiber persönlich kommen und erschienen Johannes, Abraham und Andreas Schott, dießortige zween älteste und der Jüngste Sohn
haben in gegenseÿn ihrer beeden Brüder und Miterben Jacob Schott und Michael Schott angezeigt und bekandt wie daß sie Johann, Abraham und Andreas für sich und ihr Erben ihnen Jacob und Michael Schotten in ohnvertheiltem Erb käuflich cedirt und überlaßen Hetten
benantlich das dreÿ fünffte theil Vor ohnvertheilt von und ane der in gemeiner Erbschafft gehörigen behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung, mit allen dero gebäuden, begriffen, weiten, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßb. ane dem Kagenecker bruch in der sogenannten Neuen Zeil, j.s. neben Jacob Kaufer, 2.s. neben Jacob Odino, beeden guw. hinten auf weÿl. Andreä Renchert Jacobs S. gew. Garthners daselbsten Verlaßenschafft. stoßend gelegen, wegen welcher völligen behausung der Stadt Pfenningthurn 19 ß ane bodenzinß, Zu geben Verbunden – zugangen und beschehen Vor und umb vnd Zwar die Völlige behaußung und dero Zugehörde ad 900 Pfund pfenning – Straßburg den 15.ten 7.bris 1760
(f° 13) Zuwißen seÿe (…) als zu weil. hß Schott, lorentzen Sohns, gew. gvw. und auch weil. Fr. Aureliä Schottin, geb. Reÿbelin, beeder Eheleuthen und brn. alhier Zu Straßburg seel. Verl. Inventation adhibirtem Inventir schreiber persönlich kommen und erschienen Jacob Schott guw. und br. allhier und deßen bruder Michael Schott, leediger Garthner, anzeigende, welchergestalten Sie ihre theils ererbte und theils von ihren dreÿen brüderen in ohnvertheiltem Erb den 25.ten 7.bris A° 1760. angenommener Vätterl. behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung, mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem Kagenecker bruch in der sogenannten neuen Zeil gegen der Cazern über, j.s. neben Jacob Kaufer, gvw. 2.s. neben Jacob Odino, beede, guw. hinten auf weil. Andreä Renchert Jacobs S. alle gew. G. daselbsten Verl. stoßend gelegen, davon man jähr. der Stadt Pfenningthurn 19 ß ane bodenzinß, Zu geben Verbunden, in zweÿ theil partagirt und vertheilt hätten und willens wären anjetzo ohnpartheÿisches Loos darüber legen zu laßen, mit birr solche Abtheil. zu verzeichnen, und ihnen so dann nachgelegtem loos behörige urkund Zuertheilen
Demnach begreifft das erstere Loos in sich
1.mo die untere Stub
2.do das untere haußöhren und die Kuchen daran
3.tio die einer steg hoch befind. Kammmer in den hof gehend
4.to die dreÿ übereinander befind. Fruchtkästen im hinaufgehten lincker hans neben Jacob Odino
5.to das hintere Theil am Schopf gegen dem hof
6.to die Zweÿ vordere theil des Kellers, neben dem schopf
7.mo die hintere helffte am hof, gegen der Scheune
8.vo die Zween Schweinställ neben Jacob Odino
9.no das hintere theil des heu Stalls, samt dem darunter befindlich. Roß und Kühe Stall und
10.mo das Vordere viertertheil in der Scheur von unten hinauf bis unter die fürst, nebst dem daran gelegenen Sprauer Kämmerlein.
das Zweite Loos aber soll bestehen und in
1.mo die obere Stub sampt beeden daran gelegenen Kammeren auf die gaß
2.do das haußöhren und Kuchen
3.tio die dreÿ übereinander befind. Fruchtkästen neben Jacob Kaufer
4.to das vordere Theil am Schopf gegen der gaß
5.to die Zweÿ hintere theil des Kellers, neben Jacob Kaufer
6.to die vordere helffte am hof, gegen dem schopf oder Einfarth
7.mo den Schweinstall neben Jacob Kaufer
8.vo das vordere theil des heu Stalls, samt dem darunter befind. Roß und Kühe Stall und dann
9.no das hintere viertertheil in der Scheur von unten hinauf bis unter die fürst, nebst dem Sprauer Kämmerlein.
Sonsten aber verbleibt gemeinschafft und zu gemeinem Nutzen auch hingegen gemeinschafft. Zu unterhalten
1.mo das hof und Scheuren thor samt der Scheuren thenne
2.do die Soldaten Kammer neben der untern Stub, samt den Zur Einlogirung gewidmeten Mobilien, wie auch der Zue Einlogierung bestimmte Stall
3.tio der in der untern Kuchen befindl. Bauchkeßel
4.to der bronnen sampt s. h: Privet
5.to Solle das erstere loos berechtiget seÿn das Fleisch auf der mittlern Kast neben Jacob Kaufer in das Camin zu hängen hingegen und
6.to solle das 2.te Loos befugt seÿn beÿ der wasch und metzigen sich das bauchkeßels zu bedienen
7.mo Soll das samt. dachwerk über dem hauß, Scheür heü Stall nebst dem dach über dem bronnen so breit das haus ist gehend gemeinschaftlich unterhalten werden, so dann
8.vo wann derjenige welchem das erstere loos Zukommt aus der Soldaten Kammer eine wohn Stube, Kammer erbauen wolle, so solle ihme solches Zwar Zu thun erlaubt seÿn er aber hingegen schuldig seÿn auf einer ihme am hof zukommenden begrif eine anderwärtige Soldaten kammer auf seine Kosten Zu erbauen.
Als nun (…). Actum Straßburg Dienstags den 24.ten 9.bris A° 1761
Und da zweÿ besondere theil Zettulein wie auch zweÿ besondern Loos Zettulein verfertiget beede letztere zusammen gewückelt sofort durch ohnparteÿische hand auf jener gelegt worden, hat sich in deren eröfnung ergeben, daß Jacob das erstere, Michael Schott aber das Zweÿte Loos Zuefallen – Dato et Anno ut supra
Jacques Schott fils de Jean épouse en 1752 Barbe, fille de Thiébaut von Fridolsheim : contrat de mariage, célébration. Jean Schott fait donation à san fils de la moitié de la maison à condition de verser 600 livres dans sa succession.
1752 (18.11.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 438
Eheberedung Zwischen dem Ersamen Jacob Schott dem ledigen Gartner, hanß Schott, Lorentzen Sohn, GVW mit Fr. Aurelia gebohrener Reÿbelin, ehelich erzeugter Sohn, alß dem hochzeiter mit assistentz seines eheleiblichen Vatters ane einem
So dann der tugendsamen Jgfr. Barbara Von Fridolßheim, weÿl. Diebold Von Fridolßheim Jacob Sohn geweßten GaStSt und burgers dahier mit auch Weÿl. fr. Anna geb. Rinckin nun beeder seel. ehelich erzeugten tochter alß der Jungfr. hochzeiterin, unter assistentz Diebold Von Fridolßheim, deß jüngern gvw. ihres Vettern, ane dem andern theil gepflogen
Endlichen und Zum Achten hat deß hochzeiters Vatter ihme dem hochzeiter die hiebevor abgetheilte helffte von und abe seiner allhier Zu Straßburg dero Vorstatt unterwagnern ane dem Kageneckerbruch gegen der Cazern über gelegenen Behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung dergestalten eÿgenthümblich Zu gesagt und versprochen, daß Er der hochzeiter Vor solche helffte in Künfftige Vätterl. Verlaßenschafft 1200 gulden einzuschießen schuldig aber auch wieder seiner gebührenden Erbantheil daran zu beziehen berechtiget seÿn solle, gleichwohl solle Er auch alßdann die helffte ane dem gemeiner Statt Pfenningthurn jähr. zu geben habenden bodenzinß der 19 ß Zu übernehmen Verbunden seÿn. Welche haußhelffte in sich begreifft die untere Stub, jr Steeg hoch eine Cammer in den hoff, die untere Kuche und des haußehrens, die helffte ane der Scheür neben Andres Renchert den Kühe Stall und darneben den Roß stall sampt den Schweinstall auf solcher seith, sampt der heubühn über solcher Stallung, den halben hoff, der halbe Keller welcher in Zweÿ theil Separirt und der nechste von Eingang ist, die helffte ane deren Beeden frucht Kästen im hauß neben Jacob Kauffer und die helffte Vor ohnvertheilt ane der Soldaten Cammer, In Zwischen und solang der Vatter lebt, sollen beede hochzeitleuthe dieße specificirte hauß helffte und dero Zugehörde gegen jährlichen Zß Von 30 gulden Zu besitzen und Zu bewahren haben. Wurde aber die Mutter ihne den Vatter überleben und dießer Zufolg dero Eheberedung selbige helffte in lebtägigen Wÿdembs genuß prætendiren, so hat solchen falls der hochzeiter erst nach dero todt obige 200 fl. dafür in gemeine Vätterl. Erbschafft Zu conferiren.
So beschehen Straßburg Sambstags den 18.ten 9.bris A° 1752. (unterzeichnet) Jacob schott als hochzeiter, o Jgfr. Barbara Von Fridolßheim handzeichen
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 97, n° 25)
Mittwochs d. 13. Dec. 1752. sind nach vorher geschehener Zweymahligen Außruffung Ehelich copulirt und eingesegnet worden Jacob Schott der ledige Gertner, und burger allhie, Johannes Schott Gartners und burgers allhier Ehel. Sohn, und Jungfrau Barbara weÿl. Dieboldt von Friedolsheim gartners und burgers allhie nachgel. Ehel. tochter (unterzeichnet) Jacob Schott als hochzeÿtern o also zeichnet die hochzeiterin (i 53)
Propriétaire de l’autre moitié, Michel Schott se convertit, épouse sans doute à Altorf Anne Marie Spehner qui en est originaire et devient bourgeoise par son mari en mai 1769
1769, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 167
Maria Anna Spenerin von Altdorff gebürtig erhalt das burgerrecht à marito Joh: Michel Schott dem G. U. W. und burger allhier umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der G. U. W. prom. den 3. Maÿ 1769. soll nachtrag.
Baptême catholique du fils de Michel Schott et d’Anne Marie Spehner
Baptême, Saint-Marc (cath.p. 202)
Hodie 9. Januarÿ Anni 1770 Baptizatus fuit a Me infra scripto heri natus Joannes Georgius filius Legitimus Michaelis Schott Civis et hortulani hujatis et Annæ Mariæ Spæner Conjugum parochianorum nostrum (i 207)
Michel Schott et Anne Marie Spehner font dresser un état de leurs biens grevés de dettes. Ils sont propriétaires de l’auberge au Cheval blanc (zum wiessen Roessel) hors la porte Dauphine. La masse propre à la femme est de 622 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 541 livres, le passif à 2 660 livres
1785 (6.10.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 923) n° 55
Inventarium über Johann Michael Schott, sen.is Gartner unterwagners u. Fr. Annæ Mariæ geborner Spennerin, beder Eheleuthe und burg. alh. dermalen besizendes Activ-Vermögen und hingegen wieder zu bezahlen habende passiv Schulden, aufgerichtet Anno 1785. – der ursachen halben, aldieweilen sich ein Schuldenlast hervor gethan und sie deßfalls ihre Maasreglen, so gut als gerichtlich Zunehmen, gemüsiget sein, inventirt (…) So geschehen und angefangen in einer alhier vor dem Dauphine thor nächsten der Rhein Zoll gelegenen hernach beschriebener behausung, in fernerer gegenwarth Frid. Riedlin des Practicanten alhier d. Ehefr. beistandts zu Straßburg auf Donnerstag den 6.ten Octobris Anno 1785.
Vorbericht. Beÿ gegenwärtiger Inventur und gleich nach abgelegter handtreu, declarirte die disortige Ehefrau u. der Ehemann daß sie Zur Zeit angetrettener Ehe, Ehepacta mit einander auffgerichtet und unterschrieben, auch solche bei dem damaligen Schultheis der hochzeiterin geburts orts Altdorf in originali hinterlegt hätten, da nun gedachter Schultheis seithero verstorben seÿe, so hätten Schottische Eheleute alles nachsuchens ohnerachtet bis dato solche ehepacta nicht habhaft werden können (…)
Eigenthum ane einer Behaußung und dabeÿ befindlichen liegenen Güthern. Eine Behaußung hoff Scheur Stallung Remises Garten und hoffstatt samb der Gemeinschafft des Bronnens (…) so vorhien zum weisen Rössel geschildete Wirth behaußung ware vor dem Dauphine thor nechst der Rhein Zoll an der rheinstras (…)
Ergäntzung der Ehefr. wehrender Ehe als abgegangenen præt. guths. Nach maasgab obstehenden Berichts
Series rubricarum hujus Inv. Der Ehefr. prætendirt ohnverändert. Vermögenschaft, Sa. haußraths 17, Erg. 606, Summa summarum 622 lb
Dießemnach wird auch die übrige Maß als des Ehemanns ohnv. u. theilbar beschrieben, Sa. Haußraths 5, Sa. Früchten in d. Scheür, Sa. Schiff und geschirrs 9, Sa. Pferd 12, Sa. blumen auf dem feld 6, Sa. Ohmet u. Stroh 7, Sa. beßerung im hoff 1, Sa. beßerung a. leh. gütern, Sa. Eigenth. an i. bhßg 1500, Summa summarum 1541 lb – Schulden 2660, theilbar passiv onus 1119 lb
Jean Michel Schott et Anne Marie Spehner vendent la moitié de la maison à leur frère et beau-frère Jean Jacques Schott et Barbe von Fridolsheim (qui deviennent ainsi seuls propriétaires)
1781 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 139-v
Johann Michael Schott der g. unter wagnern und Anna Maria geb. Spennerin
in gegensein Johann Jacob Schott des g.u.w. und Barbaræ geb. von Fridolßheim unter assistentz Hannß Georg Vix und Diebold Rinck g.u.w.
die helffte vor abgetheilt von und ane einer behausung, hoff, bronnen und hoffstatt, schopff, scheuer und stallung mit allen denen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in dem Neuen ziel in dem Kagenecker bruch, einseit neben Abraham Odino, anderseit neben Hannß Kauffer, hinten auff David Voltz – als ein elterlich ererbt guth – um 266 gulden und 266 gulden beladen, geschehen um 1633 gulden worunter die capital summen begriffen
Barbe von Fridolsheim meurt en 1790 en délaissant des héritiers testamentaires. Les experts estiment la maison à 1800 livres. La masse propre au veuf est de 340 livres, celle propre aux héritiers de 162 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1169 livres, le passif à 700 livres
1790 (29.3.), Not. Stoeber (6 E 41, 1258) n° 755
Inventarium über Weiland Fraun Barbaræ Schottin gebohrener von Fridolsheim, Jacob Schott hansen Sohn GUW und bs. allhier gewesener Ehefrau Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1790.
Inventarium und Beschreibung derjenigen haab Nahrung und Güter so Weiland Fraun Barbara Schottin gebohrene von Fridolsheim, Jacob Schott hansen Sohn Guw und brs. allhier Ehefrau nach ihrem den 19. Jenner dieses instehenden 1790.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt verlassen hat (…) So geschehen in einer allhier Zu Straßburg an der Feuergaß gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen Behausung Montags den 29. Martÿ Anno 1790.
Die Abgeleibte hat zufolg hernach Copeÿlich enthaltenen Testaments zu Erben verlaßen wie folgt, Erstlich Diebold Rinck, Gartner ane Steinstras Wbr. u. b. allhier, Zweitens Frau Annam Vixin gebohrene Rinckin, Joh. Georg Vix GUW. u. brs. allh. Ehefrau unter deßen. Auth. Zugegen. Drittens Frau Margaretham Lixin gebohrene Rinckin weiland Andreß Lix hansen Sohn gew. Guw und brs. allh. Wb. beiständlich ihres vorbenannten Bruders Diebold Rinck, Alle drei sind der Abgeleibten vollbändiger bruder weiland Diebold Rinck gewesenen G. A. StStr. u. weil. Abraham Rinck gew. Guw. u. brn allhier hinterlaßenen Kinder, und Zufolg hernach Copeÿlich enthaltenen Testaments Zu drei gleichen Theilen instituirten Erben
Copia der Eheberedung
Copia Testaments
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Guts. Nach masgab theil R.rs deßen so der Wr. beÿ abtheil. weil. hanß Schott Lorenzen Sohn gew guw. u. auch weil. Fr. Aureliä Schottin geb. Reÿbelin seiner Eltern Verl. A° 1757. empfangen durch mich Not. d. 22.t 7.bris 1780. ausgefertiget
Antheil an einer Behaußung. (W.) Die helfte für unvertheilt an einer Behausung hof, hofstatt, Scheur u. Stallung mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg dero Vorstadt Kageneck an der Feurgaß 1.s. neb. Joh. Zinck Guw ehevögtl. ws. 2.s. neb. Joh. Frid. Rooß dem Seiler, hinten auf david Volz Guw stoßend, und hat man jährl. der Stadt Pfenningthurn 19 ß bodenzinß von der völligen behausung zu geben, sonst über hernach folgd. Passiv Capitalien ledig und den & eigen und taxirt pro 900. Über die völlige behausung besagt eine in allhies. C. C. Stb pass. Kf verschreibung vom 20. Octob. 1746. So dann eine vor weiland Hn Not° Stöber seelig den 25. Sept. 1760. pass. Erbs Cession.
(T.) die helffte für unvertheilt an der droben f. et seqq. beschriebenen behausung allhier zu Straßburg dero Vorstadt Kageneck an der Feurgaß gelegen so währende dißortiger Ehe & Zwar den 19. Martÿ 1781. von Johann Michael Schott guw des wrs. bruder erkaufft u. darüber in allhies. C.C. Stb eine förmliche Verschreibung passirt worden. Es ist aber solche behausung helffte ebenfalls mit ausnahm des darauf hafftenden bodenzinßes u. hernach folgender Passiv Capitalien ledig eigen, und unpræjudicirlich auszuwerfen pro 900.
Ergäntzung der Erben manglender unveränderter Guts. Wie aus dem vorher im bericht angezogener über des verstorbenen eheleibl. Mutter weil. Fr. Annä von Fridolsheim geborener Rinckin Verl. durch H. Not. Stöber A° 1749
Bericht dießes Inventarÿ. Es haben Zwar beede im Leben gewesene Eheleut Zur Zeit dero Verheürathung des zusammengebrachte Mittel so sie sich in der vorher copeÿlich enhaltenen Eheberedung §. 3.tio für unverändert vorbehalten haben Zu inventiren unterlaßen. Er bezeuget aber der Wittiber deß Er auser seiner Kleidung u. weisen Gezeug, wogegen er sowie dermalen besitzende behält, nichts in die Ehe gebracht (…)
Norma hujus inventarii. des W.bers Vermögen, Sa. Feldts 25 lb, Sa. beßerung ane lehengüthern 15 ß, Sa. antheil an 1. behausung 900, Erg. passive, Summa summarum 925 lb – Schulden 584, Nach deren Abzug 340 lb
Diesemnach wird auch der E. unverändert Guth beschrieben, Sa. hausraths 2, Sa. Eigenth. an liegend. Güthern 185, beßerung Sa. ane lehengüthern 1, Ergäntzung 73, Summa summarum 262 – Schulden 100 lb, Nach deren Abzug 162 lb
Endlich wird auch das gemein verändert und theibare Guth beschrieben, Sa. hausraths 13, Schiff und Geschirr 5, Pferd 9, heu und stroh 2, blumen auf dem feld 21, antheil an 1. behausung 900, Eigenth. an lieg. Gut 32, Sa. beßerung ane lehengüthern 15 ß, Sa. activ Schulden 184, Summa summarum 1169 lb – Schulden 700, Nach deren abzug 469 lb – Beschluß summa 972 lb
Jacques Schott se remarie avec Marguerite Barbe Schæfer, veuve du maraîcher Thiébaut Wild : contrat de mariage, célébration
1790 (15.6.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 349
Eheberedung – persönlich erschienen Jacob Schott Hansen Sohn Gartners unterwagnern, Wittiber und burger allhier als hochzeiter an einem
und Frau Margaretha Barbara Wildin geborene Schäferin, weiland Diebold Wild gewesenen Gartners unterwagnern, und burgers allhiier Wittib als hochzeiterin beÿständlich Johann Jacob Schäfer auch Gartners allda am andern theil
unterschrieben Straßburg Mittwochs den 15. Junÿ 1790 nachmittags in meiner gewohnlichen Schreibstub (unterzeichnet) Jacob schott, Margareta Barbara Wiltin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 57 n° 19)
Im Jahr 1790. dienstag den dritten Augst, wurden nach Zweimaliger Ausrufung in unserer Kirche getraut Jacob Schott, verwittibter Burger und Gartner unter Wagnern allhier, und Fr. Margaretha geborne Schäfer weiland Theobald Wild, gewesenen Burgers und Gartners unter Wagnern allhier, nachgelaßene Wittwe. Dieser Trauung wohnten bei, welche nebst den Ehepaar unterschrieben haben Abraham Schott, Bruder des Hochzeiters, des Schreibens unerfahren, Johann Jacob Schäfer der Hochzeiterin bruder, Theobald Schäfer, gleichfalls bruder der Hochzeiterin, Andreas Riehl, Tochterman der Hochzeiterin, alle Gartner und Burger dahier (unterzeichnet) Jacob schott hochzeiter (i 41)
Maraîcher et transporteur de bois, Thiébaut Wild fils de Thiébaut épouse en 1765 Marguerite Barbe Schæfer, fille du maraîcher Jean Jacques Schæfer : contrat de mariage, célébration
1765 (17.Xbris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 813
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Diebold Wild der leedige Garthner u. Holtzkarcher weÿl. Diebold Wild gew. GVW. u. brs. allhier seel. mit frn. Anna geb. Judin seiner hinterbliebenen Wb. dermahlen Andres Lix Georgen S. des von hier ausgetrettenen GVW Verlaßener Ehefr. ehelich erzeugter Sohn, so majorennis u. ohnbevögtigt als Hochzeiter ane 1.m
so dann die Ehren und Tugendsame Jgfr Margaretha Barbara Schäferin, Joh: Jacob Schäfer GVW u. brs. allhier mit frn. Anna Margaretha gebr. Riehlin ehelich erzeugte tochter beÿständl. solchen ihres Vaters, als Hochzeiterin ane dem 2. theil
Straßbr. den 17.ten Xbris A° 1765. (unterzeichnet) diebold Wild alß hoch Zeiter, Margaretha Barbara schäffrin als hoch Zeiterin
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 50 n° 20)
Anno 1766 Mitwoch den 30. Aprilis sind nach ordentlicher Dominica Jubil. und Cantate geschehenen Proclamationen in den Heiligen Ehestand eingesegnet worden Theobald Wild der ledige Gartner und burger allhie, Weÿl. Theobald Wild geweßenen Gartner Untewagner und burger allhie hinterl. ehel. Sohn und Jgfr. Margaretha Barbara Schäfferin Johann Jacob Schäfer sen. Gartner Underwagner und burgers allhie ehel. Tochter (unterzeichnet) diebold Wild als hochzeiter, Margaretha Barbara Schäfferin als hoch zeuterin (i 53)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1297 livres, ceux de la femme à 278 livres.
1791 (10.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1259) n° 803 a
Inventarium über Jacob Schott, Hansen Sohn, Gartners unterwagnern und Fraun Margarethæ Barbaræ gebohrener Schäferin, beeder Eheleuthen und burgere alhier einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1791.
Inventarium und Beschreibung desjenigen Vermögens, so Jacob Schott, Hansen Sohn, Gartner unterwagnern und Frau Margaretha Barbara gebohrene Schäferin, beede Eheleute und burgere allhier einander in ihrem den 2. August 1790 angetrettenen Ehestand zugebracht haben. Solche Inventur wurde auf ansuchen ihr beeder Eheleute selbst, deswegen Eingenommen weil dieselbe in ihrer vor mir Notario den 15. Junÿ solchen Jahrs aufgerichteten Eheberedung §. 1.mo ihres Einbringens halben ein unverändert und vorbehalten Gut stipulirt haben
So geschehen in einer allhier zu Straßburg an der Feuergaß gelegene und in des Ehemanns Mass gehörigen behausung, Montags den 10. hornung 1790 und in fernerem beÿseÿn Andreas Riehl hansen Sohn Gartners unterwagnern der Ehefraun tochtermanns u. erbettenen beistands.
Eigenthum an einer behausung. (M.) Nemlichen eine behausung, hof, hoffstadt Scheur und Stallung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg dero Vorstadt Kageneck an der Feurgaß einseit neben Johannes Zinck dem Gartner ehevögtl. weise, anderseit neben Joh. Friedrich Reÿß dem Seiler hinten auf david Volz Garten ziehend, u. hat man jährlich der Stadt Pfenningthurn 19 ß bodenzinß von der völligen behausung zu geben, sonst über hernach folgenden Passiv Capitalien ledig und eigen. Hieran hat der Ehemann die helffte von seinen Geschwisterden vermög der vor weiland herrn Not. Stöber den 25. 7.br 1760. passirten Erbs Cession angenommen und die übrige helffte in voriger Ehe vermög der in hies. Cantzleÿ Contract Stub passirten Kauffverschreibung vom 19. Martÿ 1781. von deßen bruder Joh. Michael Schott den Gartner abgekaufft. Welche leztere helffte ihme dem Ehemann in deren über seiner vorigen Ehefrau Barbara geb. von Fridolsheim Verl. vor mir Notario den 14. Junÿ 1790. passirten summarischen berechnung allein überlaßen worden. Sonsten besagt hierüber i. älterer in allhies. Cantzleÿ Contract Stub verfertigter Kaufbrief vom 20. 8.br 1746.
Wittum Welcher der Ehemann von weiland Frau Barbara Schottin geborene von Fridolsheim seiner den 19. Jenner 1790. verstorbenen Ehefrauen krafft dero bor auch weil H. Not. Stöber d. 4. Februarÿ 1772. gestiffteten testaments lebenslänglich zu geniesen hat
Norma hujus inventarii. des M. Guth, Sa. hausraths 34, Schiff und geschirr 19, Pfenningzinß hauptgüter 18, früchten 92, beßerung auf dem feld 18, Eigenthum an i. behausung o, Eigenthum an liegend. Güthern o, Summa summarum 182 lb – Schulden 1297 lb
der Ehefrau eingebrachte Guth, Sa. hausraths 95, Schiff und Geschirr 24, Pfenningzinß hauptgüter 7, früchten 105, beßerung auf dem feld 27, Antheil an i. behausung o, liegende güther o, activ schulden 19, Summa summarum 278 lb
Antheil an einer behausung (F.) an dem Kagenecker bruch (…)
Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Diemer
1809 (25.9.), Strasbourg 7 (26), M° Stoeber père n° 2303, 9251
Inventaire de la succession de Jean Diemer charcutier (puis, voiturier, patente de voiturier) décédé le 9 septembre dernier – à la requête de I. Jean Diemer jardinier, II. Salomé Diemer femme de Jean Diemer cordonnier, III. Marguerite Diemer épouse de Thibaud Bilger cordonnier, héritiers pour un tiers ses enfants
(Joint, Direkte Auflagen, H. Johann Diemer wohnhaft im Kageneck nro 35)
meubles 22 fr, patterie de cuisine 27 fr, linge 65 fr, hardes 31 fr, grains et paille 60 fr, outils de labour 202 fr, numéraire 120 fr, dettes passives 1537 fr, total de l’actif 529 fr, excédent 998 fr
vente de meubles 9262 fr marais verd n° 15
Enregistrement, acp 113 F° 69 du 26.9.
Marguerite Barbe Schæffer meurt en 1812.
1812 (11.7.), Strasbourg 4 (41), M° Stoeber n° 1893
Inventaire de la succession de Marguerite Barbe Schaeffer veuve en secondes noces de Jacques Schott fils de Jean, jardinier, décédée le 6 avril dernier – à la requête de 1. Marguerite Barbe Wild femme d’André Riehl, 2. Anne Marie Wild femme de Jacques Schwend journalier, 3. Thiebauld Wild journalier, 4. Salomé Wild femme de Michel Kieffer farinier, héritiers de leur mère
dans une maison en cette ville rue du Feu n° 35
mobilier 54 fr, numéraire 2550 fr
immeubles, Le tiers d’une maison, remises, écurie, grange, jardin, appartenances et dépendances sise en cette ville marais Kageneck n° 9 d’un côté Samuel Maul boulanger et Abraham Wunderer, de l’autre Abraham Reibel aboutissant sur le fossé communal – occupée par Jacques Schwend 60 fr de revenu en capital 1200 francs
10 ares de terres 200 fr
Enregistrement, acp 120 F° 50-v du 20.7.
Salomé Schott vend à Georges Schott le huitième de la maison qu’elle a héritée de Jacques Schott fils de Jean
1812 (30.5.), Strasbourg 4 (40), M° Stoeber n° 1809
Salomé Schott fille majeure assitée de Michel Seiler jardinier
à Georges Schott jardinier
le 8° indivis d’une maison sise en cette ville avec cour, grange, écurie et dépendances au marais Kageneck rue du feu n° 35, d’un côté les héritiers de Jean Zinck jardinier, de l’autre Jacques Bolster blatier, aboutissant sur Abraham Rinck jardinier – à la venderesse en qualité d’héritière pour un huitième de Jacques Schott fils de Jean jardinier – chargé d’une rente foncière de 47 centimes – moyennant 1000 francs
Enregistrement, acp 119 F° 179 du 4.6.
Les héritiers de Jacques Schott fils de Jean vendent la maison à Thiébaut Nessmann et à Daniel Voltz
1812 (15.6.), Strasbourg 4 (40), M° Stoeber n° 1828
Georges Schott cultivateur au Neuhof, Jacques Schott cultivateur au Neuhof, Thiébaut Schott fabricant d’amadou en cette ville, Georges Schott jardinier, David Schott, Salomé Wolff veuve de Jean Schott jardinier tutrice naturelle de Salomé Schott, Marguerite Schott et Marie Schott ses trois enfants, Salomé Schott fille majeure, Anne Marie Schott veuve de Jean Jacques Bersch jardinier, héritiers de Jacques Schott fils de Jean, leur oncle et grand oncle, décédé le 14 octobre 1793
à Thiébaut Nessmann, tant pour lui qu’au nom de Daniel Voltz jardinier
une maison avec cour, grange, écurie et dépendances sise à Strasbourg au marais Kageneck rue du feu n° 35, d’un côté les héritiers de Jean Zinck jardinier, de l’autre Jacques Bolster blatier (affiche, Kornwerffer, mesureur de grains), aboutissant sur Abraham Rinck jardinier – mise à prix 8000 fr – chargée d’une rente foncière de 3,80 fr envers la ville
le 20 mai n° 1801, à André Schott demeurant rue Ste Aurélie 9590 fr, portée à 10.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 119 F° 192-v du 15.6.
autre acte 1812, adjudication du 4 juin, Cahier des charges du 21 mai n° 1789
Thiébaut Nessmann fils de Thiébaut épouse en 1796 Marie Heydel, fille d’Abraham Heydel.
1796 (17 pluv. 4), Strasbourg 7 (28), M° Stoeber
Eheberedung – persönlich erschienen Br. Theobald Nessmann der ledige Gartner alhier bs. Theobald Neßman Gartners alhier mit weil. Fr. Salome geb. Lixin ehelich erzeugter Sohn
und Jungfr. Maria Heidelin, bs Abraham Heidel Gartners mit Fr. Maria gebohr. Wunderer ehelich erzeugte Tochter, als braut am andern theil
Straßburg den 17. Pluvios 4 (unterzeichnet) Theobaldt Nesman Als Hochzeiter, Maria Heÿdelin als hochzeiterin
Enregistrement, acp 39 F° 56-v du 19 pluv. 4 (revenu industriel 500)
Thiébaut Nessmann et Marie Heidel cèdent leur part de maison à Daniel Voltz et à Salomé Nessmann qui en deviennent ainsi seuls propriétaires.
1822 (26.2.), Strasbourg 4 (52), M° Hatt n° 228
Partage – Thibaut Nessmann, jardinier, et Marie née Heidel
Daniel Voltz, jardinier, et Salomé née Nessmann
aux conjoints Nessmann la maison rue Moll n° 10 estimée 3000 fr
aux conjoints Voltz une maison rue du Feu n° 35 estimée 3000 fr
qu’ils possèdent par indivis deux maisons dont l’une située à Strasbourg rue Moll n° 10 avec cour, grange, écurie, jardin, appartenances et dépendances, d’un coté Daniel Schott de l’autre la veuve Jean Michel Susser, derriere André Wunderer, que le Sr Nessmann et la D° Voltz ont hérité de la succession de Thiébaut Nessmann, jardinier et Salomé née Lix leurs père et mère
et l’autre sise en la même ville Marais Kageneck rue du Feu n° 35 avec cour, grange, écurie, appartenances et dépendances, d’un côté Jean Federlin jardinier, del’autre Jacques Bolster blatier, derrière Abraham Rinck jardinier – acquis par Nessmann et Voltz des héritiers Jacques Schott fils de Jean, jardinier, par acte reçu M° Stoeber le 15 juin 1812
Enregistrement, acp 156 F° 98 du 27.2.
Daniel Voltz fils d’André épouse en 1794 Salomé Nessmann, fille de Thiébaut Nessmann (sœur du précédent)
1794 (15 germ. 2), M° Stoeber n° 485
Eheberedung – erschienen bürger Daniel Voltz, lediger Gartner, bürgers Andreas Volz des Gartners mit Fraun Maria Salome geborener Renchertin ehelich erzeugter Sohn als hochzeiter unter authorisation seines Vaters
und Jungfer Salomea Neßmännin bürgers diebold Neßmann Gartners mit weiland Salome geborener Lixin ehelich erzeugte tochter als braut unter authorisation ihres Vaters
Straßburg den 15. germinal in Zweiten Jahr der Republick (unterzeichnet) Daniel Voltz als Hochzeiter, Salome Neßmännin als Braut
acp 22 f° 65-v du 17 ger. 2 – Diebold Nessmann père de la future promet à cette dernière un mobilier de 600 livres
Le futur fait don matutinal à la future de 200 livres
est comparu le futur époux qui a déclaré que son revenu n’excède pas 300 livres par an
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père du marié rue de Cronenbourg. Ceux du mari s’élèvent à 797 livres tournois, ceux de la femme à 2 192 livres.
1795 (6 therm. 3), Strasbourg 7 (7), M° Stoeber n° 1152
Inventarium über Daniel Volz des jüngsten Gartners und Fr. Salome Volz geb. Neßmann zugebrachte Nahrung, in ihrer Vor mir Notario den 15. germinal Vorigen Jahrs passirten Eheberedung vorbehalten haben
in der an der Cronenburgerstras N° 15 gelegen u. des Ehemanns Vater zuständigen behaußung, in gegensein b. Andreas Volz andresen Sohn des mittlern Gartners und Diebold Neßmann Gartner der Eheleute eheleiblicher Väter
Norma hujus inventarii, des Ehemanns Vermögen, hausrath 347 li, Frucht 48 li, Fuhrgeschirr 324 li, blumen auf dem feld 131 li, baarschafft 190 li, summa summarum 740 li, haussteur 57 li, summa 797 livres
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, hausrath 329 li, Frucht 48 li, Blumen und besserung auf dem feld 79 li, silbers 16 li, baarschafft 563 li, liegende güther o, Capital 1400 li, summa summarum 2135 li, haussteur 57 li, summa 2192 livres
liegende güther so die Ehefrau in die ehe gebracht 10 stück, lehene 2 stück
Daniel Voltz meurt en 1825 en délaissant quatre enfants
1825 (11.8.), Strasbourg 4 (61), M° Hatt n° 2447
Inventaire de la succession de Daniel Voltz, jardinier cultivateur, décédé le 14 juillet dernier, à la requête de 1. Salomé Nessmann la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu M° Stoeber le 15 germinal 2, tutrice naturelle de Daniel Voltz âgé de 20 ans et de Marie Madeleine Voltz âgée de 16 ans, 2. Salomé Voltz femme de Daniel Reibell, jardinier, 3. Marguerite Voltz femme de Thiébaut Rinck, jardinier, 4. Marguerite Barbe Voltz fille majeure, seuls et uniques héritiers – en présence de Daniel Schott, jardinier cultivateur, subrogé tuteur des enfants mineurs
dans une maison Fauxbourg de Saverne n° 14
immeubles appartenant à la veuve suivant inventaire des apports. Une maison sise à Strasbourg au Marais Kageneck rue du Feu n° 35 avec cour, grange, écurie, appartenances et dépendances, d’un côté Jean Federlin jardinier, de l’autre Jacques Bolster blattier, derrière Abraham Rinck jardinier. Cette maison a été abandonnée à la veuve en replacement de la moitié de la maison sise en cette ville rue Moll n° 10 échue dans la succession de Thiébaut Nessmann et Salomé Lix ses père et mère, suivant partage passé le 26 février 1822
immeubles 198 ares pour 4300 fr, 15 ares à Oberhausbergen pour 200 fr ; passif 1480 fr
propre, une maison sise en cette ville au Fauxbourg de Saverne n° 14 d’un côté les frères Ruhlmann, de l’autre Jean Michel Birckel, devant le Marais Kageneck, estimée 3000 francs
vignes à Mittelhausbergen 100 fr, vignes à Niederhausbergen 200 fr total des immeubles propres 11.500 fr, immeuble acquis 4500 fr
Titres et papiers. Inventaire des apports M° Stoeber le 21 thermidor 8, 3) Partage de deux maisons rue Moll n° 10 et Marais Kageneck rue du Feu n° 35 M° Hatt 26 février 1833, 6) vente par les héritiers Jacques Schott fils de Jean, jardinier, à Thiébaut Nessmann et Daniel Voltz de la maison rue du Feu n° 35 M° Stoeber 15 juin 1811, 17) vente par la femme Renchert et Boettiger de 1 are 25 de jardin au Marais Vert suivant acte M° Stoeber le 16 novembre 1818
communauté meubles 532 fr, grains 1064 fr, voitures 411 fr, bestiaux 435 fr, tonneaux 95 fr, bois 24 fr, créances 1072 fr, total 3633 fr ; passif 1480 fr
meubles propres 29 fr, garde robe 108 fr – propres 48 ares pour 8200 fr
remploi du défunt 551 fr, remploi de la veuve 3928 fr, défalcation de la maison rue du Feu 3000 fr, reste 728 fr
Revetement, Propres de la veuve 1128 fr, propres du défunt 13.388 fr, après déduction 13.188 fr, communauté 8133 fr, déduction 1480 fr, reste 6653 fr
Enregistrement, acp 174 F° 107-v du 20.8. – (vacation du 14 septembre) acp 174 F° 193-v du 20.9.
Salomé Nessmann fait donation de la maison à sa fille Salomé Voltz, femme du jardinier cultivateur Daniel Reibel
1838 (30.3.), Strasbourg 4 (85), Me Hatt n° 10.492
Donation – Salomé Nessmann veuve de Daniel Voltz, jardinier cultivateur
à sa fille Salomé Voltz épouse de Daniel Reibel, jardinier cultivateur
une maison avec cour, grange, écuries, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue dite Kageneck n° 35, d’un côté Jean Federlin, de l’autre le S. Vogt perruquier, derrière les héritiers Rinck – fait partie de ses propres hérité de ses père et mère, estimée à un revenu de 350 fr ou un capital de 7000 fr, à charge de payer à 1. Daniel Voltz, jardinier cultivateur, 2. Marguerite veuve de Thiébaut Rinck, 3. Barbe femme de Thiébaut Ruhlmann, jardinier, 4. Marie Madeleine, majeure à Koenigsfeld (Grand Duché de Bade) ses quatre frères et sœurs – pour 7000 francs
Enregistrement, acp 258 F° 62-v du 9.4.
Daniel Reibel épouse Salomé Voltz en 1814.
1814 (27.8.), Strasbourg 7 (51), M° Stoeber jeune n° 615
Contrat de mariage – Daniel Reybel, garçon jardinier, mineur fils de défunt André Reybel, jardinier cultivateur, et de Marie Anne Renchert, assisté de Tiébaut Ohl son tuteur
Salomé Voltz, fille mineure de Daniel Voltz, jardinier, et de Salomé Nessmann
le futur époux donne à la future épouse la jouissance viagère de la moitié par indivis d’une maison, cour, grange, écurie, puits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue dite Kuhnengass n° 42, cette maison dépendait de la succession des père et mère du futur époux, héritier pour un tiers, l’autre moitié dans la totalité acquise par le futur époux et sa sœur Anne Marie Reybel femme divorcée de Georges Vix suivant acte reçu M° Stoeber le 28 juin dernier
Enregistrement, acp 125 F° 74-v du 30.8. – communauté d’acquets partageable par moitié
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1817 (30.1.), Strasbourg 7 (57), M° Stoeber jeune n° 2282
Inventaire des apports de Daniel Reÿbel, jardinier, et Salomé née Voltz assitée de ses père et mère Daniel Voltz et Salomé Nessmann,suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 27 août 1814
dans la demeure des requérants rue dite Kageneck n° 35
la femme mobilier 1342 fr, biens ruraux
le mari : mobilier 1339 fr biens ruraux, passif 839 fr
la moitié pour indivis d’une maison, cour, grange, écuries, puits, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg au faubourg de Saverne rue dite Kuhnengass marquée du n° 42, d’un côté la veuve Stoll de l’autre le Sr Jean Oesinger aboutissant sur le jardin du Sr Strohl chanvrier – Ledit tiers non divisé appartenant au Sr Daniel Reybel requérant échu dans la succession de ses père et mère, suivant Partage et liquidation citée (de Marie Anne Renchert veuve d’AndréReybel jardinier par le soussigné le 24 décembre 1814), la moitié par indivis lui appartient pour avoit été acquise de sa sœur Anne Marie Reybel femme divorcée de Georges Vix jardinier par acte du soussigné le 28 juin 1814
Enregistrement, acp 133 F° 5-v du 10.2.
Salomé Voltz meurt en 1844 en délaissant trois enfants
1844 (13.8.), Strasbourg 4 (98), M° Lauth n° 1261
Du 13 août 1844. Inventaire de la succession de Salomé Voltz femme de Daniel Reybel fils d’André
L’an 1844 le mardi 13 août à neuf heures du matin, à la requête de 1. Sieur Daniel Reybel fils d’André, jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre lui et Dame Salomé Voltz son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Stoeber jeune et son collègue notaires à Strasbourg le 27 août 1814 et dont une expédition sera ci après inventoriée, qu’au nom et comme tuteur légal d’Abraham Reybel mineur âgé de 14 ans issu de son mariage avec ladite défunte
2. Sieur Daniel Reybel, fils jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg, 3. Dame Salomé Reybel, épouse assistée et autorisée du sieur Daniel Flach, jardinier cultivateur demeurant et domicilié en ladite ville
Lesdits Daniel Reybel, Dame Flach et Abraham Reybel habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers de ladite Dame Reybel née Voltz leur mère. Et en présence du sieur Daniel Voltz jardinier cultivateur demeurant et domicilié [à Strasbourg] au nom et comme subrogé tuteur audit mineur Abraham Reybel
dans une maison sise à Strasbourg rue du Kageneck n° 35 où la Dame Reybel est décédée le 11 mai dernier
(vacation du 12 octobre 1844 N° 1261, 1342) Titres et papiers, contrat de mariage
Expédition de l’inventaire d’apports dressé par ledit M° Stoeber le 30 janvier 1817
Succession de la Dame Reybel. Ville de Strasbourg 1. Une Maison avec cour, grange, écurie, droits appartenances & dépendances rue dite Kageneck N° 35 entre les sieurs Federlin & Vogt
acp 326 (3 Q 30 041) f° 71-v – Meubles et objets mobiliers de la communauté estimés 1507 – Garde robe du défunt 76, argent comptant 500 – Les fruits produits par les immeubles tant de la communauté qu’à chacun des conjoints Reibel s’élèvent à 615 francs
acp 327 (3 Q 30 042) f° 74 – Désignation des titres et papiers – Créances 1237, passif de la succession 194, Les indemnités dues à la communauté par le veuf s’élèvent à la somme de 839 francs et par les héritiers 4200 francs.
Les immeubles de la communauté se composent 1) d’un ha 82 ares 50 de terre ban de Strasbourg en 12 articles, 2) de 4 ares de verger audit ban canton Mühlbrügel
La communauté de compose passivement de la somme de 8014 francs
Les immeubles de la succession se composent 1° d’une maison rue Kageneck à Strasbourg 2) d’un ha 25 ca de terre en huit articles, 3) de la moitié de 20 ares 80 terres et prés audit ban canton Ziegelfeld, 4) de 10 ares de prés même ban canton Holtzmatten, 5) de la moitié de 15 ares de vignes ban de Niederhausbergen canton Oberstensteigklamm
La succession doit la somme de 1400 francs à Marie Madeleine Voltz et celle de 42.000 francs pour indemnité à la communauté
Daniel Reibel épouse en 1851 Marguerite Weinmann, fille du cultivateur Michel Weinmann de Handschuheim : contrat de mariage, célébration. Daniel Flach et Salomé Reibel vendent la moitié de leur part de maison (un sixième indivis) à leur beau-frère et frère respectif lors du contrat, analysé à l’inventaire dressé en 1888.
1851 (25.1.), Wiwersheim, Henri de Hausen (6 E 68, 66) n° 2881
Mariage – Ont comparu Le S. Daniel Reybel, jardinier cultivateur demeurant à Strasbourg, fils majeur du Sr Daniel Reybel, jardinier cultivateur demeurant en la même ville et de feue D° Salomé Voltz, stipulant pour lui et en son nom futur époux d’une part
E Dlle Marguerite Weinmann demeurant à Handschuheim, fille majeure du Sr Michel Weinmann cultivateur et de D° Marguerite Lobstein conjoints demeurant au même lieu, stipulant également en son nom personnel future épouse d’autre part
Sont encore intervenus le Sr Daniel Flach, jardinier cultivateur & sous son autorisation spéciale D° Salomé Reybel sa femme demeurant audit Strasbourg, lesquels ont déclaré par ces présentes vendre avec garantie solidaire de tous troubles (…) au futur époux, leur frère et beau-frère qui accepte
Le sixième indivis d’une maison avec cour, grange, écuries, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue dite Kageneck N° 35 tenant d’un côté à Jean Federlin de l’autre au Sr Vogt perruquier par devant à la rue et par derrière aux héritiers Rinck. Cette portion d’immeuble appartient à la D° Flach pour l’avoir recueillie dans la succession de feu sa mère ainsi qu’il résulte de l’inventaire des 13 août & 12 octobre 1844 précité. La présente vente est faite pour le prix de 500 francs (…)
Article 9. Le futur époux fait donation à la future épouse, pour le cas où elle lui survivrait, de la moitié indivise de la maison avec dépendances, décrite au précédent article, pour par la future épouse dès le jour du prédécès du futur époux, en faire, jouir et disposer comme de sa propriété, à charge par elle de faire état dans la masse de la succession du futur époux d’une somme de 4000 francs
Mariage, Strasbourg (n° 88)
Du 5° jour du mois de mars l’an 1851 à dix heures du matin. Acte de mariage de Daniel Reybel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 2 février 1816 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, jardinier cultivateur, fils de Daniel Reybel, jardinier cultivateur, domicilié en cette ville, ci présent et consentant, et de feu Salomé Voltz décédée en cette ville le 11 mai 1844
et de Marguerite Weinmann, majeure d’ans, née en légitime mariage à Handschuheim le 6 février 1827, domiciliée à Handschuheim, fille de Michel Weinmann, cultivateur, et de Marguerite Lobstein conjoints domiciliés à Handschuheim ci présents et consentants (…) il a été dressé un contrat de mariage devant M° de Haussen notaire à Wiwersheim le 25 janvier dernier (signé) Daniel Reibel, Margaretha Weinmann (i 9)
Abraham Reibel épouse en 1852 Salomé Wolff. Daniel Flach et Salomé Reibel vendent l’autre moitié de leur part de maison (un sixième indivis) à leur beau-frère et frère respectif
1852 (8.3.), Strasbourg 4 (108), M° Lauth n° 5149
Mariage – Ont comparu M. Abraham Reybel, jardinier cultivateur demeurant & domicilié à Strasbourg, fils majeur et légitime de M. Daniel Reybel, jardinier cultivateur, demeurant et domicilié en la même ville & de feue dame Salomé Voltz, son épouse défunte, stipulant pour lui et en son nom du consentement de son père, comme futur époux, d’autre part
Delle Salomé Wolff, célibataire majeure, en jouissance de ses droits, demeurant & domiciliée à Strasbourg, fille légitime de M. Daniel Wolff, jardinier cultivateur & de dame Barbe Friedolsheim son épouse demeurant et domiciliés en la même ville stipulant pour elle et en son nom du consentement de ses dits père et mère, comme future épouse, d’autre part
M. Daniel Reybel père, susnommé qualifié & domicilié, agissant tant pour assiser son dit fils qu’à cause de la donation qu’il fera ci après, de troisième part
Et M. et Madame Wolff, susnommée, la dame de son mari autorisée, agissant tant pour autoriser leur fille qu’à cause de la constitution de dot qu’il vont lui faire ci après, de quatrième part
Article huitième. Sont encore intervenus & furent présent le sieur Daniel Flach, jardinier cultivateur & dame Salomé Reybel, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont, par les présentes, déclaré vendre avec la garantie solidaire (…) au sieur Abraham Reybel, le futur époux, leur frère & beau-frère qui accepte. Le sixième indivis d’une maison avec cour, grange, écurie, droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue dite Kageneck N° 35 tenant d’un côté à Jean Federlin, de l’autre côté au sieur Vogt, pardevant la rue & par derrière les héritiers Rinck. Pourra l’acquéreur réunir ce sixième aux deux sixièmes qui lui appartiennent déjà en sorte qu’il est propriétaire des trois sixièmes de la moitié de la maison. Cette portion d’immeuble appartient à la dame Flach pour l’avoir recueillie dans la succession de feue sa mère ainsi qu’il résulte de l’inventaire des 13 août et 12 octobre 1844 précité. La présente vente est faite pour le prix de 1500 francs
acp 407 (3 Q 30 122) f° 96-v du 10.3. – Apports du futur époux constatés par le notaire rédacteur sous la date des 13 août et 12 octobre 1844. Le futur époux déclare être débiteur d’une somme de 400 francs
Donation par le Sr Reybel père, au futur époux son fils, ce acceptant, en avancement d’hoirie de sa succession future, savoir 1) d’une somme de 400, 2) d’un trousseau de 1385 francs, le tout livrable au jour du mariage
Donation par les époux Wolff à la future épouse leur fille, acceptant, en avancement d’hoirie, chacun de par moitié, sur leurs successions futures, d’un trousseau d’une voisin de 965 francs
Intervnetion de Daniel Flach (supra)
Donation par le futur époux à la future épouse en cas de survie 1) de la moitié indivise de la maison susdécrite, à charge par elle de faire état à la succession du donateur d’une somme de 3000 francs 2) et à titre de douaire d’une somme de 500 francs
Donation mutuelle au survivant des futurs de l’usufruit viager de la succession du prémourant, en cas de non existence d’enfants
Abraham Reybel, fils de Daniel, et Salomé Wolff hypothèquent la moitié qui leur appartient de la maison à Jean Frédéric Reussner
1853 (4.4.), Strasbourg 4 (109), M° Lauth n° 5871
Du 23 août 1861 – Furent présents M. Abraham Reybel, fils de Daniel, jardinier cultivateur et dame Salomé Wolff, son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent par ces présentes devoir bien et légitimement
A M. Jean Frédéric Reussner, père, instituteur demeurant et domicilié à Strasbourg, ci présent et acceptant, la somme principale de 400 francs
hypothèquent. La moitié indivise d’une maison avec cour, grange, écurie, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue Kageneck n° 35, tenant d’un côté à André Federlin, de l’autre côté au Sieur Vogt, donnant par devant sur ladite rue et par derrière sur les héritiers Rinck. (…)
Déclarent les débiteurs sous les peines de droit qui leur ont été expliquées & qu’ils ont dit bien comprendre, que ladite moitié de maison leur appartient en toute propriété et qu’elle est franche et libre de toutes dettes, privilèges et hypothèques, à l’exception d’une somme de 2200 francs mais que sa valeur est plus que suffisante pour assurer le capital présentement emprunté
Abraham Reybel vend la moitié de la maison à son frère Daniel Reybel fils de Daniel.
1861 (23.8.), Strasbourg 4 (119), M° Lauth n° 9879
Du 23 août 1861 – A comparu M. Isaac Weill, commerçant demeurant et domicilié à Wolfisheim, agissant en sa qualité de mandataire de M. Abraham Reybel, jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg (…) lequel ès dit nom, déclare par ces présentes vendre (…)
à M. Daniel Reybel, fils de Daniel, jardinier cultivateur, demeurant et domicilié à Strasbourg rue Kageneck n° 22, à ce présent et acceptant
La moitié indivise d’une maison avec cour, grange, écurie, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue Kageneck n° 22, tenant d’un côté à André Federlin, de l’autre côté à Frédéric Vogt et tirant par derrière sur André Hoerter et dont l’autre moitié indivise appartient à l’acquéreur, ledit immeuble inscrit au cadastre section P Numéro 61 avec une superficie de 4 ares 60 centiares. Ainsi que ledit immeuble se poursuit (…)
Déclare M. Weill que la susdite maison dépend de la succession de Dame Salomé Voltz décédée épouse de M. Daniel Reybel, propriétaire à Strasbourg, mère de Mr Reybel, vendeur et acquéreur, et est échue à ses trois enfants, auxdits Srs Reybel et à Dame Salomé Reybel, épouse de M. Daniel Flach, jardinier cultivateur à Strasbourg à chacun pour un tiers ainsi que le tout est constaté par un inventaire dressé par M° Lauth l’un des notaires soussignés, le 5 août 1844, enregistré, que plus tard Madame Flach a cédé son tiers au dit immeuble à ses deux frères, savoir un sixième à M. Abraham Reybel, le vendeur suivant contrat passé devant M° Lauth le huit mars 1852, enregistré, et l’autre sixième à M. Daniel Reybel, l’acquéreur suivant contrat passé devant M° de Hausen Notaire à Wiwersheim le 25 janvier 1851 de sorte que MM Reybel frères sont propriétaires chacun de pour moitié indivise de l’immeuble en question. La propriété antérieure se trouve établie dans l’inventaire dressé après le décès de Mad. Reybel mère. (…) La présente vente a été conclue pour le prix et somme de 8000 francs
acp 501 (3 Q 30 216) f° 75 du 24.8.
Daniel Reybel fils loue à son père une chambre dans la maison
1862 (15.3.), Strasbourg 4 (120), M° Lauth n° 10.138
Bail – A comparu M. Daniel Reybel fils, jardinier cultivateur, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel déclare avoir loué pour 18 années entières et consécutives qui ont commencé à courir le 25 décembre dernier
A M. Daniel Reybel son père, propriétaire demeurant et domicilié en la même ville ci présent et acceptant
Une chambre au premier étage de sa maison sise à Strasbourg, rue Kageneck n° 22, entre André Federlin & Frédéric Vogt, cette chambre se trouvant du côté de la propriété de Frédéric Vogt, plus une petite chambre se trouvant derrière la première. Lesquelles chambres le preneur déclare parfaitement connaître pour en être déjà en possession. Le présent bail a été fait sous les conditions prescrites par le Code Napoléon et il a eté expressément convenu que le preneur ne pourra sous-louer ni céder son droit au bail. Le présent bail a été conclu pour un loyer annuel de 75 francs
acp 508 (3 Q 30 223) f° 72-v du 17.3.
Daniel Reybel institue pour son héritière universelle Marie Catherine Peter de Handschuheim (nièce de sa femme)
1888, M° Lauterbach 13. octobre 1874 – Testament des zu Strassburg m 11. Juli 1888 verlebten Ackergärtners Daniel Reybel, Sohn von Daniel. Derselbe setzt die Maria Katharina Peter, Tochter von Johann Peter aus Handschuheim, zu seiner Universalerbin ein
acp 804 (3 Q 30 519) f° 76 n° 1610 du 17.7.
Daniel Reybel fils de Daniel meurt en 1888 en délaissant pour héritière Marie Catherine Peter, sa veuve étant usufruitière
1888 (5.11.), M° Lauterbach
Erbverzeichnis nach Ableben von Daniel Reybel, Sohn von Daniel, Ackergärtner hier, gestorben. Einzige Erbin ist Maria Katharina Peter, ledig, ohne Gewerb hier, nicht anwesend, auf Grund Testament Lauterbach vom 10. Oktober 1876, reg. 17. Juli 1888.
acp 808 (3 Q 30 523) f° 51 n° 3109 du 14.11. (Sterbef. Erkl. vom 7.1.1889 Bd. 157 N° 471) Mit seiner jetzgen Wittwe Margaretha Weinmann lebte der Erblasser laut Ehevertrag vor Notar de Hausen in Wiwersheim vom 25. Januar 1851 in auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, Art. I. Annahme der Errungenschaft gemeinschafft Art. IV, Vorbehalt der Kleider, Art. V. Einbringen des Bräutigams Güter ererbt aus dem Nachlass der Mutter Salome Voltz Ehefrau Reybel, bestätigt durch Inventar Lauth vom 13. August und 12. Oktober 1844. Liegenschaften erworben laut Verkaufe vor demselben vom 18. November 1846 und 29. April 1847. Art. VI Schenkung des Vaters des Bräutigams als Erbvorschuß Geld 330, Mobilien 1300, Art. VII Schenkung der Eltern der Braut an dieselbe a) Liegenschaften Bann Itlenheim 13,33 Ar Feld Bann Fürdenheim 13,33 Ar Feld, Osthoffen Feld und Reben, Handschuheim (…), b) baares Geld 320, c) Mobilien geschätzt zu 713, Art. VIII Eheleute Flach Reybel verlauften an den Bräutigam das ungetheilte Sechstel eines Wohnhauses mit Zugehörden hier Kageneckerstraße N° 35 für 400 Mark, Art. IX Schenkung des Bräutigams an die Braut der ungetheilten Hälfte des vorbeschriebenen Hauses, unter der Auflage in den Nachlass des Ehemanns zu verrechnen 3200 Mark, Art. X. Schenkung des Bräutigams an die Braut von 800 Mark, Schenkung der Braut an den Bräutigam des Ehebettes, Art. XI. Gegenseitige Schenkung der Nutznießung des Nachlasses
Mobilien der Gemeinschafft 117, Baar Geld 45, Kleider des Erblassers 45, Sparkasseneinlage nebst Zins bis Todestag 807
Forderung an Eheleute Valentin Merckel, Ackerer und Salome Hohlweg in Ittenheim laut Obligation Lauterbach von 7, 9 Mai 1879, 1440, Zinsen 12.
Liegenschaften der Gemeinschafft. Bannweile Straßburg 1) L 141, 2) B 586, 3) B 978, 4) G 947, 5) B 580, 6) B 789 (…) 21) B 440. Bann Schiltigheim 22) D 183
Liegenschaften des Nachlasses, Bannweile Straßburg 1) Wohnhaus mit Erdgeschoß, 1 Stockwerk, Hof, Magazin, Rechten, Zugehörden hier Kageneckerstraße N° 22
2) B 1154 (…) 15) B 1306
Betrag von der Wittwe vom Nachlass zu * 3200
Ersatzforderungen der Wittwe an d. Gemeinschafft 5147
Ersatzforderungen durch den Nunmehr an d. Gemeinschafft 6800
Ersatzforderungen de Nachlasses an d. Gemeinschafft 7803
acp 810 (3 Q 30 525) f° 56 du 18.12. (vacation du 17 décembre) Gütergemeinschaft Reybel-Weinmann, Sparkassenbuch 800, Zinsen 7
Marie Catherine Peter épouse en 1888 le théologien Chrétien Henri Rehberger, fils du maître d’école de Furchhausen. Marguerite Weinmann institue la future épouse pour son héritière
1888 (10.12.), M° Loew
Ehevertrag zwischen Christian Heinrich Rehberger, Theologe dahier, sohn von Christian Heinrich Rehbeger, Lehrer in Furchhausen, und dessen verstorbenen Ehefrau Caroline Wagner
Maria Catharina Peter, ledig, ohne Gewerbe dahiern Tochter des zu Handschuhheim verstorbenen Ackerers Johann Peter und dessen Wittwe Catharina Weinmann in Handschuhheim
acp 810 (3 Q 30 525) f° 41 du 12.12. Annahme der auf die Errungenschaft beschränkten zur Hälfte theibaren Gütergemeinschaft
das Überlebende der Ehegatten soll vertragsmäßig die lebenslängliche Nutznießung des Anteils des Zuerst verstorbenen an dieser Gemeinschaft haben
Einbringen des Bräutigams. Derselbe erklärt z. Zt kein persönliches Einbringen zu bestätigen zu haben, der Nachlass seiner Mutter sei noch ungetheilt und *se er sich sein etwaiges späteres Vermögen auf die später zu errichtenden dies bezüglicher Urkunden
Einbringen der Braut 1) An Geld und Mobiliarwerthen 16.000
2) dasjenige Vermögen, welches sie im Nachlass ihres Oheims Daniel Reybel, Sohn von Daniel, Ackergärtner, Gatte von Margareth Weinmann gestorben dahier den 11. Juli 1888, dessen Universalerbin sie war, laut Testaments Lauberbach vom 13. Oktober 1874, ererbte, und über welches Vermögen Inventar errichtet worden vor dem amt. Notar vom 5. November vor.
Vorgenannte Wittwe Reybel geb. Weinmann setzt ihre Nichte, die Braut, zur einzigen Erbin ihres Gesamt Nachlasses ein, ohne Ausnahm noch vorbehalt unter Verzicht zu deren Nachtheil ein freigebige Verfügung zu machen.
Schenkung auf Todesfall durch die Braut an dem Bräutigam der lebenslänglichen Nutznießung ihres Gesamt Nachlasss, bei Vorhandensein von Kindern auf die Hälfte reducirbar
La maison est incrite dans le cadastre au nom de Salomon Levy à partir de 1911.
Originaire de Mutzig, le peintre en bâtiment Salomon Levy épouse en 1876 Adèle Rebstock.
1876 (27.7.), Strasbourg 8 (97), M° Gustave Edouard Loew n° 9432
Ehe Vertrag – sind erschienen herr Salomon Levy, häuseranstreicher, wohnhaft zu Straßburg, großjähriger Sohn des verstorbenen Tapezierers herrn Simon Levy zu Mutzig und dessen Wittwe Frau Virginie Blum wohnhaft daselbst, handelnd in eingenen Namen als künftiger Ehegatte unter Genehmigung von Seite seiner mitanwesenden Mutter und
fräulein Adele Rebstock, ohne besondern Stand, wohnhaft zu Straßburg, 18.jährige Tochter der daselbst wohnhaften Metzgersehegatten herrn Michael Rebstock und & frau Jeannette Weill, handelnd in eingenen Namen als künftiger Ehegattin unter Genehmigung von Seite ihrer anwesenden Eltern, von deren die frau durch den Mann ermächtiget ist
acp 653 (3 Q 30 368) f° 65 n° 2540 du 3.8. Annahme der auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, mit Vorbehalt der Kleider und Schmuck
Der Bräutigam bringt in die Ehe 1) Möbel & Waaren angeschlagen zu M. 800, 2) baares Geld 2400, Summa 3200, 3) die mit seinem Bruder Isaac Levy, Hausanstreicher dahier ungetheilte Hälfte eines Hauses nebst Zugehör zu Straßburg St. Helenengasse N° 21.
Die Braut bringt in die Ehe 10.400 in baarem Geld.
Eventuelle Schenkung unter den Brautleuten zu Gunsten des Ueberlebenden von ihnen von der lebenslänglichen Nutznießung des gantzen Nachlasses des Vorabsterbenden, beschränkbar auf den gesetzlichen Theil, falls Kinder vorhanden sind & nichtig bei zweiter Verhehelichung.
La maison revient à son fils Paul Levy, peintre en bâtiment, qui épouse en 1924 à Sarreguemines Lucie Alice Bloch
Naissance, Strasbourg (n° 464)
Strassburg am 17 Februar 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Baumaler Salomo Levy, wohnhaft zu Straßburg Helenengasse 21, israelitischer Religion, und zeigte an, daß von seiner Ehefrau Adele Rebstock, israelitischer Religion, wohnhaft bei ihm, in seiner Wohnung am 17. Februar des Jahres 1888 um vier Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden, welches den Vormamen Paul erhalten habe.
[in margine :] Marié à Sarreguemines (Moselle) le 14 mai 1924 avec Lucie Alice Bloch
Décédé à Valence s. Rhône le 28 avril 1947 (i 238)