36, rue du Bain aux Plantes
Rue du Bain-aux-Plantes n° 36 – VII 265 (Blondel), P 873 puis section 2 parcelle 38 (cadastre)
Reconstruction en 1756, Jean Conrad Rauch, sous-officier
La maison et sa voisine sont les seules de l’alignement sud de la rue à ne pas s’étendre jusqu’au canal. Le n° 36, la plus petite des deux, est une maison de rapport avant que Chrétien Hühn, gardien de tour au Wœrthel, ne l’achète en 1708. Elle appartient ensuite à des catholiques, Marc Langolff et Marie Elisabeth Nické, dont les héritiers la vendent au manant Conrad Rauch, fabricant de coton, qui la reconstruit en 1756 en lui donnant son aspect actuel : rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie d’après l’Atlas des alignements. Elle appartient ensuite à un marchand réformé puis à un aubergiste. Après avoir changé plusieurs fois de propriétaire, la famille du tanneur Jean Daniel Friedel la détient de 1829 à 1874.
Sur les dessins destinés au plan relief de 1830, le numéro 36 est la deuxième maison après le repère (a) qui est l’angle de la rue du Bain-aux-Plantes et de celle des Moulins , rez-de-chaussée (deux fenêtres et une porte), deux étages à trois fenêtres puis étage sous combles et greniers. La cour A appartient à la maison qui donne sur le canal, entre les repères (1) et (2) la façade arrière du n° 36 s’y ouvre par des galeries.
Elévations et cour A (documents préparatoires au plan-relief de 1830)
avril 2013
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1664 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Susanne Goll femme Bechtold puis Gambs | ||
h | Jean Bechtold, receveur des Chartreux et de Saint-Nicolas-aux-Ondes, et (1687) Anne Madeleine Saladin – luthériens | |
1707 | v | Marie Elisabeth Weyel et (1683) Jean Jacques Ichart, tailleur d’habits, puis (1712) Simon Hain, boucher – luthériens |
1708 | v | Jean Chrétien Hühn, gardien de tour, et (1707) Anne Marguerite Senger auparavant (1697) femme de Jean Daniel Volck, aubergiste – luthériens |
1728 | h | Marguerite Salomé Volck et (1723) Jean Martin Fischbach, tricoteur de chausses – luthériens |
1728 | v | Marc Langolff, tailleur d’habits, et (1700) Marie Elisabeth Nické auparavant (1691) femme de Jean Michel Müller, tailleur d’habits – catholiques |
1748 | h | Marie Eve Elisabeth Holtzer et (1747) Martin Rauch, batelier – catholiques |
1755 | adj | Jean Conrad Rauch, sous-officier à la milice d’Alsace puis fabricant de coton, et (1745) Elisabeth Apffler auparavant (1754) femme de Jean Thierry Dewald, puis (1758) Anne Barbe Kiehl – manants, catholiques |
1762 | adj | Jacqueline Herrmann veuve, femme (1703) de Michel Frédéric Bœhm, pasteur, puis (1737) de François Balthasar von Lindern, docteur en médecine – luthériens |
1766 | v | Jean Daniel Müller, cordier, et (1757) Marie Barbe Müller auparavant (1743) femme de Christophe Michelbach, charron – luthériens |
1784 | h | Marie Salomé Michelbach et (1775) Jean Léonard Giettelmann, marchand |
1784 | v | Jean Daniel Brickmann, marchand et (1771) Anne Marie Urfer, auparavant (1765) Anne Barbe Eck puis (1791) Catherine Elisabeth Siebold, luthérienne – manants, réformés |
1797 | v | Conrad Daschmann, aubergiste, et (1795) Ursule Schweinberger, auparavant (1790) Anne Marie Lieb – catholiques |
1810 | v | Joseph Lehmann, employé dans les fourrages, et (1813) Rose Bernheim veuve de Benoît Bernheim |
1811 | v | Jean Geoffroi Schæffer, marchand, et (1769) Marie Elisabeth Strohmeyer |
1818 | h | Chrétien Henri Schæffer, maréchal des camps et armées, célibataire |
1828 | v | Xavier Radat et Madeleine Lux |
1829 | v | Baruch Moïse Weil (Baruch Weil), boucher, et (v. 1796) Sophie Hallel (Ziphelé Nathan) |
1829 | v | Jean Daniel Friedel, fabricant de cuirs, et (1813) Dorothée Gœtzmann |
1855* | h | Julie Friedel femme de Louis Braun |
1875* | Jean Marie Ernest Wein, serrurier | |
1897* | Isidore Freydt, marchand de charbons et Salomé Klein | |
1926* | Auguste Schmitt, rentier, et Joséphine Berger | |
1935* | Gustave Kellner, employé d’assurances, et son épouse | |
1949* | Emile Krencker, la femme née Russi à Lingolsheim et consorts | |
1951* | Marie Louise Steiner, serveuse |
(1765, Liste Blondel) Jean Martin Rauch
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 873, Friedel, Jean Daniel, tanneur rue du Bain aux Plantes 23, maison, sol – 0,4 are
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Description de la maison
- 1723 (billet d’estimation traduit) 1723 la maison comprend un poêle, des chambres, un vestibule, un fourneau, un évier et une cave solivée
- 1784 (billet d’estimation traduit) la maison comprend quatre poêles, une chambre, les combles sont couverts de tuiles doubles, il y a aussi une cave solivée
Atlas des alignements
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du bain aux Plantes
nouveau N° / ancien N° : 3 / 21
Daschmann
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 263 case 3
Friedel Jean Daniel, Tanneur
1855 Friedel, Julie, Epouse de Braun Louis, Quai des Bateliers 44
P 873, maison, sol, Rue du bain aux plantes 21
Contenance : 0,40 are
Revenu total : 51,21 (51 et 0,21)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 9
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 582 case 2
Friedel Julie épouse de Braun Louis
1875 Wein Johann Maria Ernst, Schlosser, Pflantzbad, 36
1897/98 Freydt Isidor, Kohlenhändler
P 873, maison, Bain aux plantes 36
Contenance : 0,40 are
Revenu total : 51,21 (51 et 0,21)
Folio de provenance : (263)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 9 puis 7
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 puis 2
Cadastre allemand, registre 29 p. 26 case 8
Parcelle, section 2, n° 38 – autrefois Bain aux plantes 36
Canton : Plantzbadgasse N° 36 – Rue du bain aux plantes – Im Pflantzbad – Rue du bain aux plantes 36
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 0,39
Revenu : 850* – 1150
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1921), compte 398
Freydt Isidor
gelöscht 1921
(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 1487
Freydt Isidor u. Ehefr
1931 Freydt Isidore sa veuve Salomé née Klein (à Koenigshoffen)
1952 Meder Robert épicier
(Propriétaire à partir de l’exercice 1926), compte 4946
Schmitt Auguste rentier et son épouse Joséphine née Berger
1935 Kellner Gustave employé d’assurances et son épouse
1949 Krencker Emile, son épouse née Russi à Lingolsheim et copropr.
1951 Steiner Marie Louise, serveuse
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VII, Rue 225 Rue du Bain de Plante f° 361
(maison n° 21)
Pr. Brückmann Daniel, baumwollspinner – Manant
Loc. Niederhauser, garç. imprim.
Loc. Bardisser Georges, ouvr. en tabac – Manant
Loc. Loch, garç. tisserand – Manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Pflanzbad (III. Rev., F. G. 8.)
Vom Breuschstaden gr. Nrn. r., ungr. l.
36
Freyd, Kohlenhändler. 01
Stricker, Tagner. 2
Wohlhüter, Mälzer. 3
Relevé d’actes
Liste des revenus propres à Susanne Goll femme Gambs
1684 (19. 8.br), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 11) n° 611 (XIX°, 1209)
Herrn Doctorandi Gambßen ahngebene Gegen Rechnung vff Frauen Susannæ Gambßin gebohrner Gollin, ihrer und die Ehe Zugebrachter abgangenen Nahrung halben vffgesetzte Ergäntzung prætension
Hauszinsse
Pflantzhöfflin.
N° 3. It. die Eckhbehaußung beim Pflantzhöfflin soll inn 3 ½ Jahren ertrag. 17. lb. 15 ß
Pflantzbad
N° 4. It. die behauß. neb. dem Eckhauß tut in 3 ½ jahren à 8. R., 14. lb
N° 5, d. Eckhauß die Vnd.ste wohnung, soll jahrs 4 R. ertrag. souiel ab. auß dem haußzinßbuch. Abzu nemmen ist solche geraume Zeit lähr gestand. dahero nichts auß Zuwerffen.
N° 6 It. die Oberste wohnung, soll in 3 ½ jahren ertrag. haben 22 lb. 10 ß
Inventaire après le décès de Jean Bechtold, fils et héritier de Susanne Goll, ici sous forme d’extrait de l’intitulé. Jean Bechtold a épousé en 1687 Anne Madeleine Saladin
1724 (25.4.), Not. Mader (6 E 41, 682) n° 497
Inventarium über Weÿland deß Edel wohl Ehrenvest wohlgelehrt v. Großachtbahren H. Johann Bechtolds beeder Stiffter Carthauß v. Sti Nicolai in undis geweßenen wohlmeritirten Schaffners nunmehr seel. Verlassenschafft – durch die Fraw Annam Magdalenam gebohrne Saladinin die hinterbliebene Fr. Wittib (geäugt und gezeigt)
Ergäntzung 1687
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 150-v, n° 26)
1687. Dom: 2. post Trinit. Zum 2 mahl Hr Johann Bechtold Weiland H. M. Johann Rudolph Bechtolds gewesenen Diaconi Zt St. Thomæ hint. ehl. Sohn, Jfr. Anna Magdalena, des Weiland Wohledlen Fromm, Fürsicht. u. Wohlweisen Hrn Joh: Carl Saladins des beständigen Regiments der Hhrn XV. Beisitzers nachgel. ehel. T. – Mittw. den 18.ten Junÿ N Kirch.
Jean Bechtold, receveur des Chartreux et de Saint-Nicolas-aux-Ondes vend la maison à Marie Elisabeth Weyel veuve de Jean Jacques Ichart
1707 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 198
hr Joh: Bechtold Schaffner der Carthaus u. St Nicolai in undis
in gegensein frn Mariæ Elisabethæ Ichertin wittib geb. Weÿelin beÿständlich Daniel Haaß Kiefers ihres Curatoris
eine behaußung hoffstatt mit allen & allhier in der Pflantzbader Gass, einseit neben Joh: Michel Wagenstein maurern anderseit neben Joh: Georg Friedrich schneider hinten auf Rüeger gerbern – um 140 pfund
Marie Elisabeth Weyel veuve Ichert vend pour 375 livres la maison à Jean Chrétien Hühn, gardien de tour, et à Anne Marguerite Senger
1708 (23.8.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 508-v
(375) Maria Elisabetha Ichertin wittib geb. Weÿelin beÿständlich Daniel Haß Kiefers ihrs Curatoris
in gegensein Joh: Christian Hühn Thurnhüthers und Annæ Marg: geb. Sengerin [unterzeichnet] Johnkristian Hien
ein Hauß hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der pflantzbader gass, einseit neben H. Michel Wagenstein maurer anderseit neben frid: Heinrich schneidern hinten auf männel gerbern – um 115 capital verhafftet, geschehen und 260 pfund
Jean Chrétien Hien, originaire de Ribeauvillé, a épousé en premières noces Dorothée Chrétienne Hipp qui meurt en 1706 en délaissant deux enfants. Mariage, accession à la bourgeoisie
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 93-v, n° 476)
1698, Mittw. d. 3. Xbr wurd. nach ord.tl. außruff. copulirt Johann Christian Hien d. ledige Hauß Knecht V. B. alhier Hn Joh: Jacob Hienen des B. V. Pfaltz Birckenfeldischen taffeldeckers zu Rappolsweier ehl. sohn V. J. Christina Dorothe, weil. Joh: Niclaus Hippen geweßenen Pfaltz-Veldentzischen trompeters Zu Lützelstein nachgelaß. ehl. T. [unterzeichnet] Johannes Christian Hin als hochzeiter, x ist der J. hochzeiterin Zeich. (i 93)
1698, 4° Livre de bourgeoisie f° 705
Johann Christian Hühn, Von Rapolßweÿer, Joh: Jacob Hühnen des Taffeldeckers daselbst Ehl: sohn, Vnd Christina Dorothea Hüppin, Weÿl. Niclauß Hüppen des Trompeters Zu Litzelstein ehl. tochter, seine Verlobtin, empfangen das burgerrecht durchaus gratis Vnd Werden beÿ E.E. Zunfft der Freÿburger dienen. Jur: d. 22. Ejusd. 1698.
Inventaire après le décès. Les biens inventoriés se réduisent à 14 livres de mobilier
1707 (1.7.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 9)
Inventarium und beschreibung aller der Jenig. haab und Nahrung so Weÿland Frau Dorothea Christina gebohrne Hippin herrn Johann Christian Hienen deß thurnhüters und burgers zu Straßburg geweßene Eheliche hausfrau nunmehr seelige nach ihrem den 1* Aug: deß Zurück gelegten 1706.ten jahrs dießer Welt genommenen tödlichen hientriet zeitlichen hinderlaßen, welche vff ansuchen erfordern und begehren Meister Johann Jacob hamen Junioris deß Schneiders und burgers Zu gedachtem Straßburg alß geordneten Vogts Christian und Johann Jacob Bernhard der seelig verstorbenen mit dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlten Kinder und ab intestato hinderlaßene Erben ersucht – geschehen Straßburg den 1 Julÿ 1707
Bericht anstatt beederseiths Zugebrachter Nahrung. Es berichtet der wittiber daß beÿ seiner mit der seelig. verstorbenen frawen beschehener verheurathung weder Eheberedung noch zugebrachten nahrungs Inventarium auffgerichtet worden auch weder von einem noch dem andern theil, so annoch vorhanden etwas in die Ehe gebracht (…)
Summa vorherspecificirten haußrathß so auch die gantz Verlassenschafft, thut dem Stallanschlag nach 14. lb, Summa finalis Inventarÿ
Anne Marguerite Senger a épousé en premières noces en 1697 l’aubergiste Jean Daniel Volck : contrat de mariage, célébration
1697 (17.6.) Chambre des Contrats, vol. 569 f° 286
(Eheberedung) Johann Daniel Volck der würth und burger allhier alß Hochzeiter mit beÿstand H. Philipp Ludwig Benners deß Kaüfflers an einem
So dann Jfr. Margaretha geb. Sängerin weÿl. hans Georg Sängers gewesenen Schiffmanns seel. Nachgelaßene Tochter mit beÿstand Hannß Paul Sängers des Schiffmanns Ihres Vettern Und Vogts alß Hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 69-a, n° 26)
St. Wilhelm. Auff Vorbemelten Mittwoch [d. 3. Junÿ] seind nach gewohnlicher Proclamation Zu St. Wilhelm copulirt worden Johann Daniel Volck der led. Würth, Wld. Hrn Hanß Jacob Volcken, deß gewesenen B. Zollers V. Würths am Waßerzoll beÿ der Ruprechtsaw nachgelaßener ehel. Sohn, Und Jgf Anna Margaretha Wld. Hannß Georg Sengers, gewesenen Schiffmanns U. B. alhier Und Wld. Fr. Barbara Kaÿserin, nachgelaßene eheliche Tochter, deß Hochzeiters Mutter hatt geheißen Susanna, eine geb. Hecklerin [unterzeichnet] Johann Daniel Volck Alß hich Zeitter, + alßo hatt sich die Jgfr Hochzeiterin eingezeichnet (i 72)
Inventaire après le décès de Jean Daniel Volck, alors gardien de tour au Wöerthel. Il délaisse deux enfants. Les biens décrits sont uniquement meubles.
1707 (24.3.) Not. Mader (6 E 41, 665) n° 19
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung Gütter, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. Johann Daniel Volck geweßener Thurnhütter und burger allhier nach seinem den 27. Januarÿ dießes fortlauffenden 1707.sten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten Herrn Jacob Hornen Schneiders undt burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs und Margarethä Salome, deß Verstorbenen seel: mit frawen Maria Margaretha Volckin gebohrner Sengerin seiner hinterlaßenen Wittib ehelich erzeugter zweÿer Kinder Und ab intestato Erben Inventirt – Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff donnerstag den 24. Martÿ Anno 1707.
In Einem ane dem Wörtel gelegenen thurn ist befunden worden wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, Im Burger Stübel, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, In der Kuchen
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths, Vermög Theil Registers durch Weÿl. Hr Johann Heinrich Merckel geweßenen Notarium publicum seel. in Anno 1690. gefertiget, hat mann der Wittib wegen ermangmenden Vätter: und Mütterlichen Erbs so wehrender Ehe abgegangen Zu Ergäntzen alß Volgt
Abzug gegenwärtiges Inventarium, der Wittib unverändert Guth, Sa. Hausraths 17, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Ergäntzung 65, Sa. der Schulden 15, Summa summarum 130 lb
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 5, Sa. Silbergeschmeds 6 ß, Summa summarum 5 lb – Sa. Schulden 15 lb Compensandi übertreffen due Schulden der Erben Vermögen umb 9 lb
das Verändert und Theilbahre Guth, Sa. Haußraths 69, Sa. Früchten 3, Sa. Silbergeschirr und geschmeids 1, Sa. Schulden 23, Summa summarum 97 lb – Schulden 112 lb
Le mariage de Chrétien Hühn et d’Anne Marguerite Senger est célébré hors de Strasbourg, à Illkirch, sur ordre de l’ammestre
Mariage, Illkirch (luth. f° 133)
MDCCVII, den 12. Jul. sind auf Bewilligung ihro Gnaden, Regirenden H Ammeisters, laut beiligenden Scheins, zum I. Und II. mal außgeruffen, vnd den 13. Ejusd. copulirt und eingesegnet Worden, H Johann Christian Hin, Thurnhüter in Straßburg, H. Johann Jacob Hin burger in Rappoltswihr Und Taffeldecker bei Ihro durchlaucht d. Hertzog von B. und Fr. Anna Maria, gebohrner Sturmin ehl. haußfr., Und Fr. Anna Margaretha, Johann Daniel Volcken, gewesenen Thurnhüters in Straßburg hinderl. wittib, deren Eltern Hannß Jacob Senger, Schiffmann in Straßb, Und Barbara Keiserin sein ehel. Haußfr. hinderl. ehl. Tochter, beede Evangelischer Religion [unterzeichnet] Johann Christian Hien als hochzeiter, + dieses Zeichen hat due Fr. Hochzeiterin gemacht (i 143)
Inventaire des apports de Chrétien Hühn et d’Anne Marguerite Senger, dressé dans une tour au Wœrthel
1707 (16.8.), Not. Mader (6 E 41, 665) n° 21
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung Gütter, so Christian Hühn Thurnhüter und burger allhier und Fraw Anna Margaretha Hühnin gebohrne Sängerin beede Eheleuthe und burgere allhier einander in den Ehestand zugebracht und Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor Unverändert Vorbehalten haben – Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein deß Ehrengeachten Meister Jacob Hornen Schneiders und burgers allhier der Frawen noch ohnentledigtenn Curatoris und erbettenen beÿstandts auff Ihr der Frawen seithen auff dienstag den 16 Monaths tag Augusti Im Jahr Christi alß mann Zahlte 1707.
In Einem an dem Wörtel gelegen Mittlern Thurn ist befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Mannß in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 44 Sa. der Schulden 4, Summa summarum 48 lb
der Frawen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausrathß 267, Sa. Früchten 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1, Sa. Goldener ring 10, Summa summarum 282 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 330. lb
Marguerite Senger meurt en 1723. L’Inventaire après décès est dressé dans la maison. Les experts de la Ville estiment la maison 212 livres. Les biens du veuf s’élèvent à 143 livres, ceux des héritiers à 40 livres
1723 (31.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 55) n° 1783, 1784
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahrung und Güthere liegender und vahrender Keinerleÿ davon auß genommen so weÿland die Ehren und tugendsahme Margaretha gebohrne Sengerin des Ehrengeachten Hn Christian Hünen burgers allhier zu Straßburg geweßene haußfrau nunmehr seelig, nach ihrem den 19. Aprilis instehenden 1723. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachtn herrn Mattis Senger schiffmann und burgers allhier geordnet und geschworenen Vogt herrn Johann Jacob Volcken leedigen Schneiders und Margarethä Volckin des abgeleibten seeligen mit hernach gemeltem hannß Daniel Volcken geweßenen thurnhüter und burgers allhier erzeugte Kinder und nachgelaßener Erben fleißig inventirt und ersucht durch vorgemelten herrn Wittibern – So beschreibung allh: in der Königlichen freÿen Statt Straßb. auff Montag den 31. Maj. 1723.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbad gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft eigenthümlich zuständigen behausung sich folgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Wohnstub, Im mittlern haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung (E.) Nemlich ein hauß, hoffstatt, sambt allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten allhier gelegen in der Statt Straßb. ane dem Pflantzbad, einseit neben herrn Ludwig Kooben seeligen Wittib, anderseit neben Carl Verii des Kupfferschmidts hinderlaßenen Erben, hidnen auff Georg Hetzel stoßendt, davon gehen jährlichen 5 lb 15 ß d Zinnß Herrn Johann Bechtold dem wohlverordneten Schaffner Zur Carthaus ablößig in Capital mit 115. lb sonsten gegen männiglich freÿ leedig und eigen. Und ist solche behaußung der allhießig geschworner Werckmeistere Vermög deren beÿ mein Notarii Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 5. Junÿ 1723 æstimirt und angeschlagen worden vor 212. lb 10. ß d. Abgezogen Vorstehendes onus der 115. Verbleibt noch außzuwerffen im rest 97. Darüber besagt ein Teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem C.C. Innsiegel verwahrt de dato 23. Augusti 1708.
– Abschatzung d.5 Juny ao. 1723. Auf begehren Weÿlandt der Ehr und Tugendsahmen Fraw Anna Margaretha Sennerin seel: hinterlaßene Erben ist eine behausung allhier in der Stadt Straßburg in der Pflantzbader gaß gelegen, einseits neben H Koben Wittib, anderseits neben H Carl Saffein Kupfferschmid hinden auf H Geörg Hetzel Rothgerber stosend, welche behausung, Stub, Kammern, hauß Ehren, herd, waßerstein, und gebälckter Keller, sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Stad Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Vier hundert Fünff Und Zwantzig gulden, bezeichnus durch der Stad Straßburg geschwornen werckhleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
des Wittibers nahrung betreffend Sa. hausraths 9, Sa. Silbers 7 ß, Summa summarum 9 lb – Schulden 153 lb, In Compensatione 143 lb
der Erben unverändertes Vermögen belangendt, Sa. hausrath 52, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthum ane Einer behaußung 97, Summa summarum 150. lb – Schulden 109, Nach deren Abzug verbleibt 40 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 102. lb
[Joint] Ver Zeichnuß was ich den H hans Jacob Volck in seiner behaußung Neben den Pflantzbad führ arbeit gemacht wie folgt
1723 Erstlich den 10. Heümonat 3 fenster Neÿ geglast halten 60 alte spigel scheiben 1 à 3 d, 1- 5 (…) Summa 5 R. 3 ß 4 d. Balthasar Beßele glaser
N° 1784, Verkauff und Registerlein
La maison reviendra à la fille Marguerite Salomé Volck qui épouse en 1723 le tricoteur de chausses Jean Martin Fischbach
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 13 n° 53)
1723. Mittw. d. 25. Aug. sind nach 2. maligen Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet word. Joh: Martin Fischbach der Ledige hoosenstricker v. b. alhier, weÿl. Joh: Conrad Fischbach gewesenen hoosenstrickers v. b. nachgel. ehl. Sohn, v. Jfr. Margaretha Salome, weÿl. Johann Daniel Volcken gewesenn b. v. Thurn hüters nachgel. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann martin fischbach Als hochzeitter, margreta sallame Volckin als hochzeiterin (i 16)
Jean Martin Fischbach et Marguerite Salomé Volck d’une part, Jean Jacques Volck d’autre part hypothèquent chacun la moitié de la maison au profit du musicien Jean Michel Klopffer
1724 (22.4), Chambre des Contrats, vol. 598 n° 218
Johann Martin Fischbach hoßenstricker haußfrau Margaretha Salome geb. Volckin beÿständlich ihres bruders Johann Jacob Volck des Schneiders und ihres stieffbruders Christian hühn Peruquemachers
in gegensein H. Johann Michael Klopffer des Musici – schuldig seÿen 100 lb
unterpfand, die helffte einer Behausung und hoffstatt mit dazu gehörigen gebäuden, begriffen, weithen und gerechtigkeiten in der Pflantzbader gaß, einseit neben der Kobischen Fr. Wittib anderseit neben N.N. des Kutschers wittib hinten auff diebold Hetzel den Rothgerber – der Mitschuldnerin zu einer, dem obgedachten bruder Johann Jacob Volck aber zur andern helffte eigenthümlich zuständig
Jean Jacques Volck, tailleur d’habits non marié, vend pour 130 livres sa moitié de maison à sa sœur Marguerite Salomé Volck femme de Jean Martin Fischbach
1728 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 44
Johann Jacob Volck lediger Schneider so über 25 jahr alt und ohnbevögtigt ist
in gegensein seiner schwester Margarethæ Salome gebohrner Volckin Johann Martin Fischbach hoßenstrickers Ehefrau beÿständlich ihres ehemanns
die ohnvertheilte helffte einer behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Pflantzbader gaß, einseit neben Fr. Kobin der wittib anderseit neben NN des Kutschers Ehefrau hinten auff Theobald Hetzel dem Rothgerber – die andere helffte aber der käufferin zuvorhin zugehörig – um 115 pfund capitalien verhafftet, geschehen um 15 pfund
Marguerite Salomé Volck et Jean Martin Fischbach vendent quelques mois plus tard la maison pour 200 livres au tailleur d’habits Marc Langolff et à sa femme Marie Elisabeth Nické
1728 (4.9.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 426-v
Margaretha Salome geb. Volckin Johann Martin Fischbach des hoßenstrickers Ehefrau
in gegensein Marx Langolff des Schneiders und Mariæ Elisabethæ gebohrner Nicke
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Pflantzbadergaß, einseit neben Fr. Susanna Kobin geb. Kastin der Wittib anderseit neben NN des Kutscher ehefrau hinten auff Theobald Hetzel den Rothgerber – um 115 pfund capitalien verhafftet, geschehen und 85 pfund
Marie Elisabeth Nické, fille de manants catholiques établis à Strasbourg, a épousé en premières noces Jean Michel Müller de Ringendorff en 1691 : célébration, accession à la bourgeoisie. Après la mort de son premier mari, elle épouse en 1700 Marc Langolff de Bergheim près de Ribeauvillé : célébration, accession à la bourgeoisie.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 66)
1691 – Die 4. Junÿ honestus Juvenis Joannes Michael Müller ex Ringendorff oriundus Joannis Jacobi Müllers et Annæ Müllerin cojnjugum filius et pudica Virgo Maria Elisabetha Nicket ex Marlenheim, Zachariæ Nicket et Mariæ Magdalenæ Bucherin conjugum filia rité eac decenter præhabitâ trinâ proclama.ne Matrimonio Juncti sunt (signé) Johan michel müller (i 54)
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1080
Joh: Michael Müller Von Scherrilßheim Hanawischer Herrschafft, der schneider erkaufft das burgerrecht Vor sich und Mariam Elisabetham gebohrne Nickin, von Marlenheim gebürtig seine Ehl: haußfr: p. 2 goldR. 16 ß. so Er bereits auf dem Pfenningth: erlegt hat, Vnd wird auf E.E. Zunfft der schneider dienen. Jur: d 22. 7.bris. 1691.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 121)
Die 14 februarii anno 1700 honestus Marcus Langhoff ex Oberbergheim prope Rabswir diœcesis Basiliensis et Maria Elisabetha Nicke vidua rite et canonice matrimonio Juncti sunt testes dominus Nicolaus pfeill consiliarius et joannes Carolus Laugel consiliarius sponsi parentes et Zacharias Nicke sponsæ pater et Joannes Thomas oyseur parens (signé) Marx langolff, +, Niclauß Pfeÿl Johann Carl Log. Jean Thoma veaÿssart (i 83)
1700, 4° Livre de bourgeoisie p. 717
Marx Langolff der schneider Von Oberbergheim, Weÿl. Joh: Jacob Langolffen gew: schäffers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Frawen Elisabetha Nickin, gratis, V,d wird beÿ E.E. Zunfft der schneider dienen. Jur: d. 22. Dito. 1700.
Marc Langolff et Marie Elisabeth Nické hypothèquent la maison à Marie Anne Eve Holtzer, petite-fille d’Elisabeth Nické par leur mère et fille respective Marie Elisabeth Müller femme de Simon Holtzer
1732 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 302-v
Marx Langolff der Schneider und Maria Elisabetha geb. Nické mit beÿstand ihres bruders Johannes Nické des wollenwebers und ihres bruders tochtermanns Nicolaus Ducland auch wollenwebers
ihr der mitschuldnerin leiblichen Enckelins Mariæ Annæ Evæ Elisabethæ Holtzerin weÿl. Simon Holtzer huffschmidts einigen kindts vogts Johann Barthelme Metzger des Nagelschmidts – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Pflantzbader: gaß, einseit neben Susanna Kobin geb. Kastin seel. Erben anderseit neben Johannes Nické Jun: wollenweber hinten auff Theobald Hetzel den Rothgerber
L’inventaire des apports de Marie Madeleine Langolff à son mari, Nicolas François Laussade origiaire de Cambrai est dressé dans la maison.
1737 (8.2.), Not. Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 358-1) n° 7
Inventarium über der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Magdalenä Laussade gebohrner Langolffin zu dem Ehren und Vorgeachten auch Kunsterfahrenen Herrn Nicolas François Laussade, dem Chirurgo, Ihrem Ehemann für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – in Ihrem vor ohngefähr Fünff Jahren angetrettenen Ehestand für ohnverändert Zugebracht – So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehren: und vorgeachten herrn Marx Langolffs, Schneiders und burgers allhier, der Ehefrauen eheleiblichen Vatters, auf Freÿtag den 8.ten Februarÿ Anno 1737.
In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Pflantzbad gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 101, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. goldener Ring 3, Sa. baarschafft 18, Summa summarum 132 lb
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 247)
Hodie 19 Mensis Martii anno 1732 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ coniuncti fuerunt nicolaus franciscus Lausade ex parochia sancti nicolai civitatis Cameracensis oriundus dimissis miles ex legione picardia et Maria Magdalena Langolffin filia legitima Marci Langolff cicis ac sartoris Argentinensis (signé) Nicolas François Lausade, Maria Magdalena langoffin (i 131)
Marc Langolff et Marie Elisabeth Nické hypothèquent la maison au profit du mineur isaac Gœssensohn
1739 (30.1.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 48
Marx Langolff der schneider und Maria Elisabetha geb. Nické mit beÿstand ihres bruders H. Johann Nické des Wollenwebers und dießen tochtermanns Nicolaus Ducland auch Wollenwebers
in gegensein Johann Philipp Wanner des Lebküchlers als vogts weÿl. Isaac Gößensohn des strumpffstrickers einigen kindts Isaac Gößensohns sup. Gymn. Discipuli – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine behausung, hoffstatt mit allen deren übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ane der Pflantzbadergaß, einseit neben H. Rathh. Johann Philipp Hecker dem stadtrichter und weÿl. Fr. Susanna Kobin geb. Kastin der wittib seel. erben anderseit neben obgedachten Nicke Sohn Johann Nicke auch wollenweber hinten auff Johann Theobald Hetzel den Rothgerber – als ein am 4. sept. 1728 erkaufftes guth
Marc Langolff est cité à comparaître devant le tribunal des Fribourgeois (tribu des aubergistes) pour avoir logé sans autorisation des étrangers&nbb& il nie les allégations
1742, Fribourgeois (XI 166), 5.te Gericht de 1742. Dienstags den 22. Nov: 1742.
(f° 157-v) Marx Langoller, burger undt Schneid. citirt wegen eines: unterm 12.ten octobris 1741. Ihro Gn. dem Reg. Herrn Ammeisters überschickhten straffbahren Nacht Zeduls, Maßen Er dero, nicht gemelder, woher die Persohnen so er logirt.
Ille præsens, Sagt, Er habe weder Jemandt frembdes logiret, noch den Nachtzedul geschrieben undt wiße hiervon Nichts, offerirt, wann man Ihme das Contratium darthun wirdt, sich gebührendt Abstraffen Zu laßen.
Erkannt, die Sache wird ad examinandum außgesetzt und Citato dia Abstraffung allenfalls reservirt.
Inventaire après le décès de Marc Langolff, non conservé, mentionné dans le répertoire du notaire. Comme Marie Elisabeth Nické meurt l’année suivante en délaissant pour héritiers sa petite-fille Marie Eve Elisabeth Holtzer (voir ci-dessous, son fils Zacharias Langolff et sa fille Marie Madeleine Langolff, citée plus haut. Il est probable qu’on ait à cette occasion révisé l’inventaire de son mari. Les titres ultérieurs (voir ci-dessous, 1748) citent la liquidation de cet inventaire.
1746, Not. Lichtenberger (Jean Philippe, rép. 65 not 21) f° 67-v, n° 839
Inventur Weÿl. Marx Langolff, gewesenen Schneiders allhier Verlassenschafft
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 188)
Anno Domini 1747 Die die 16 Mensis Septembris Mortua est Elisabeth Nicke ætatis suæ octoginta et aliquot annorum Sponsa Marci Langolf Civis et Sartoris dum viveret sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis pie munita (…) die 18 Ejusdem mensis Et anni in Cœmeterio Sancti Galli sepulta est, præsentibus testibus Nicolao Lossat Chirurgo et Zachariæ Langolff Cive et Sartore (signé) Nicolas Lausade, Zacharias Langolff (i 100)
Marie Elisabeth Nické veuve de Marx Langolff hypothèque la maison au profit de Joseph Holder
1747 (28.2.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 129-v
Maria Elisabetha geb. Nicke weÿl. Marx Langolff des schneiders wittib mit beÿstand Johann Philipp Wanner des lebküchers
in gegensein Joseph Holder – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Pflantzbadergaß, einseit neben N: N: anderseit neben Johannes Nicke dem wollenweber hinten auff Johann Theobald Hetzel den rothgerber
Accord au sujet des 100 livres que Zacharie Langolff doit à Marie Eve Elisabeth Holtzer femme de Martin Rauch qui a recueilli la maison dans la succession de sa grand-mère comme fille de Simon Holtzer et de Marie Elisabeth Müller
1748 (11.6.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 475-v
Zacharias Langolff der schneider
in gegensein Fr. Mariæ Evæ Elisabetha gebohrner Holtzerin Martin Rauch des schiffknechts ehefrau
demnach sie Rauchische Ehefrau ihme Langolff zufolg gestrigen tags beÿ H. Not. Johann Philipp Lichtenberger passirten Erbs cession wegen einer als ane der Pflantz bader gaß, einseit neben Andreas Mentzer des tagners Wittib und Erben, anderseit neben Johannes Nicke dem wollspinner, hinten auff Johann Theobald Hetzel den ältern rothgerber gelegen, käufflich angenommene behausung samt deren zugehörden und rechten ane cessions schilling die summ von 100 pfund (schuldig worden)
Marie Eve Elisabeth Holtzer a épousé en 1747 le batelier Martin Rauch : contrat de mariage, célébration
1747 (27. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 80) n° 532
Eheberedung Zwischen Martin Rauch, dem Ledigen Schiffknecht, Weÿland Conrad Rauch des geweßenen Schiff Knechts und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßenem Sohn als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Maria Elisabetha Holtzerin, weÿland Meister Simon Holtzers des geweßenen hueffschmids und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil, gehalten – so beschreibung in Straßburg auff freÿtag den 27.ten Octobris Anno 1747 [unterzeichnet] x des hochzeiters handzeichen, Maria Elisabetha Holtzerin Alls Hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. 284)
Hodie 20 mensis novembris anni 1747 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Martinus Rauch professione sua nauta filius defuncti Joannis Conradi Rauch Civis et lanarum textoris et annæ barbaræ surserin* Conjugum et eva Elisabeth holtzerin Argentinensis filia defunctorum Simonis holtzer Civis et Clavorum fabri et mariæ Elisabethæ Müllerin Conjugum adfuerunt testes bartholomæus metzger Civis et tutor sponsi (…) Conradus Rauch frater sponsi (signé) + signum sponsi, Elisabetha Holtzerin (i 149)
Les bateliers Conrad et Martin Rauch sont cités à comparaître devant le tribunal du Miroir pour répondre de la vente de coton. Ils repondent qu’ils achètent le coton et que le service est rendu entre père et fils. Le tribunal leur rappelle que toute vente de coton leur est interdite sous peine d’amende.
1754, Miroir (XI 277), Dienstags den 5. Novembris 1754
(f° 179-v) Conrad et Martin Rauch und Consort, die Schiffleuthe und burgere allhier ex officio Vorgestellt und angeklagt, daß Sie mit baumwoll handlen so wider ordnung dahero Straffbaar, beklagte seÿnd der Anklag geständig Sie Kauffen solches aber Rauch von hiesigen handelsleuthen Spinner und bleicher solchen Baumwoll selbsten und von Vatter Zu Sohn fabriciren sie solchen baumwoll schon über die 80 Jahr vermeinen* mithin nicht dieserwegen wider Ordnung gehadelt zuhaben.
Erkannt ist beklagten Zwar wohl erlaubt vor die hießige Kauffleuth Zu arbeiten sonsten aber Zu Verkauffen Ihnen beÿ Fünff pfund Pfenning Straff inhibirt werden.
Jean Martin Rauch et Marie Eve Elisabeth Holtzer hypothèquent la maison au profit du gainier Daniel André Unselt
1751 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 330
Johann Martin Rauch der schiffmann und Maria Eva Elisabetha geb. Holtzerin mit beÿstand Johann Georg Diemer des schuhmachers und Philipp Jacob Lefebure des tabachändlers beede ihrer vettern
in gegensein Daniel Andreas Unselt des säcklers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane der Pflantz Bader gaß, einseit neben Andreas Mentzer des tagners wittib und erben, anderseit neben Johann Nicke dem wollspinner, hinten auff Theobald Hetzel dem rothgerber
La maison est vendue aux enchères en 1755 (titre cité dans l’inventaire de 1760, actes judiciaires détruite en 1870). Le nouveau propriétaire est Jean Conrad Rauch, sous-officier à la milice d’Alsace, qui a épousé en 1745 Elisabeth Apffler de Wissembourg, veuve de Jean Thierry Dewald
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 278)
Hodie 30 mensis augusti anni 1745 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes conradus Rauch argentinensis militum instructor in legione militiæ alsaticæ ex cohorte Domini Krebs in nostra parochiâ commorans et Elizabetha apfflerin Weissenburgi oriunda vidua joannis Diederich dewald nunc in nostra parochia commorans Adfuerunt testes joannes petrus Rauch sponsi frater (…), (signé) + nota sponsi, Elisabetha Apflerin, hanß Peter Rauch (i 143)
Mariage, Saint-Jean de Wissembourg (cath. f° 27)
anno 1744 die 10 februarÿ (…) sacro matrimonii vinculo juncti sunt dietherich dobald filius petri dobald incolæ juiatis et margarethæ germengerin* et maria elisabetha apfflerin filia joannis appel incolæ huiatis et susannæ apfflerin (signé) Johannes dietrich duwalt, Maria Elisabetha Apflin (i 27)
Le fabricant de coton Conrad Rauch hypothèque la maison au profit de Jacques Hector Gombault, greffier en chef à la halle commerciale, pour régler les frais de construction
1756 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 195
Conrad Rauch der baumwollfabricant
in gegensein H. Jacob Hector Gombault des Oberschreibers im kaufhauß, zu erbauung hiernach beschriebener behausung schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pflantzbadergaß einseit neben Jacob Gerold dem Caminfeger anderseit neben Martin Rauch hinten wieder auf gedachten Gerold
Le fabricant de coton Conrad Rauch et Elisabeth Apffel, manants, hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit du mineur Jean Georges Wagner fils du marchand de vins Frédéric Wagner
1756 (5.10.), Chambre des Contrats, vol. 630 f° 255-v
Conrad Rauch der baumwollfabricant und schirmer und Elisabetha geb. Äpfflerin beÿständlich H. Georg Daniel Meinicken und H. Herrmann Georg Rauch beede EE. Kleinen Raths beÿsitzers
in gegensein Johann Daniel Ott des ohlmanns als vogts weÿl. Friedrich Wagners gewesten weinhändlers sohns Johann Georg Wagner – schuldig seÿen 150 lt
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pflantzbadergaß einseit neben Jacob Gerold dem caminfeger anderseit neben Martin Rauch des schuldners bruder hinten wieder auf ihne Gerold
Les mêmes hypothèquent leur maison au profit de Jacqueline veuve von Lindern pour laquelle agit son fils, le odocteur en médecine Jean Michel Bœhm
1757 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 99-v
Conrad Rauch der baumwoll fabricant und Elisabetha geb. Apfflerin mit beÿstand Tobias Gundelwein und H. Johann Friedrich Beck beede EE. Kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Johann Michael Böhm M. Doctoris und Practicis nahmens seiner mutter Fr. Jacobeä von Lindern Med. Doctoris wittib -schuldig seÿen 750 lt
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Pflantzbadergaß, einseit neben Jacob Gerold der caminfeger anderseit neben Martin Rauch des schuldners bruder hinten auff ged. Gerold
La veuve du maçon André Gœbel porte plainte contre Conrad Rauch devant le tribunal des maçons pour non paiement d’une facture. Le débiteur estime que la facture est surestimée, le tribunal réduit la somme à payer.
1757, Maçons (XI 239)
Montags den 25.t Aprilis 1757., Ist das Quartal Gericht pro Annunciationis Mariæ
(f° 28-v) Mstr Andreæ Göbels des Maurers Verlassene frau, Klagt contra Conrad Rauch den bauwollhändler Und burger allhie, daß dieselbe an beklagten Vor gemachte arbeit Laut Comto 18. R. 3. ß 1. d Zu fordern habe, bittet denselben in dero beahlung zu Condemniren.
Beklagter Verantwortet sich sagend der Comto seÿe Zu hoch gespannen, Und die arbeit seÿe nicht in gehörigen stand verfertiget, dahero gebetten Klägerin mit ihrem begehren abzuweisen.
Ist nach angehörter Klag Und antwort Zu recht Erkand, wird der producirte Comto auff 14. R. 6. ß 5. s moderirt, Und beklagter in die bezahlung derselben gegen Klägerin condemnirt.
Veuf, Conrad Rauch épouse en secondes noces Anne Barbe Kiehl fille de batelier. Contrat de mariage, célébration et inventaire des apports de l’épouse dressé dans la maison
1758 (12.10.), Not. Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 392) n° 785
Inventarium über der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Barbarä Rauchin gebohrner Kiehlin, des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Conrad Rauch, des Baumwollfabricanten und burgers allhier zu Straßburg Ehegattin zu gedachtem Ihrem Ehemann für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten Eheberedung dem hiebeÿ ertheilten bericht nach expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle
So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Kiehlin gebohrner Sargerin, weÿl. des Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Kiehlen, gewesenen Schiffmanns und burgers allhier seeligen nachgelaßener Wittib, der Ehefrauen eheleiblicher Mutter und des Ehren und Vorachtbahren Meister Bernhard Benedict Pfeiffers des Schuhmachers und burgers allhier deroselben geschwornen noch ohnentledigten Vogts auf donnerstag den 12. Octobris anno 1758
In einer allhier zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 67, Sa. Silbergeschirrs 11, Sa. goldenen Rings 3, Sa. baarschafft 219, Summa summarum 300. lb
Haussteuren 41 lb
Contrat de mariage
1758 (16.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 360
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenachtbaren herrn Johann Jacob Conrad Rauch, dem Wittiber, baumwoll fabricanten und Schirmer allhier zu Straßburg als Hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Barbara Kiehlin, weÿl. herrn Johann Kiehlen, des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier seel. mit frauen Maria gebohrner Sargerin, seiner hinderbliebenn Wittib ehelich erzeugter Tochter, als der Hochzeiterin am andern theil – beschehen allhier zu Straßburg auff Montag den 16. Januarÿ anno 1758. [unterzeichnet] Conrad Rauch, + Jungfrauen Barbaræ Kiehlin handzeichen, Bernhard Pfeiffer alß fogt
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. 335)
Hodie Sexta februarii anni 1758 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes jacobus Conradus Rauch ciuis hic viduus defunctæ Elisabeth apfler, et Barbara Kiehl hujus filia Legitima defuncti joannis Kiehl cuius olim et nautæ hic, Et Mariæ Sarger in vita conjugum (signé) Conrad Rauch, + sponsæ signum nescientis scribere (i 175)
Conrad Rauch veut devenir bourgeois et souhaite que la tribu du Miroir lui délivre un certificat. Il argue qu’il connaît la fabrication du coton bien qu’il n’ait pas appris le métier puisqu’il a été sergent dans la milice d’Alsace. Le Miroir refuse parce que son commerce pourrait porter préjudice à la profession et qu’il n’a pas appris le métier
1758, Miroir (XI 278)
(f° 28-v) Freÿtags den 20. Januarii 1758. Abweisung – Conrad Rauch, so seiner außsag nach keine Profession erlernt sondern beÿ sech Zehen jahr, unter Königl. diensten als Sergeant unter denen Elsäßischen militzen Servirt, bittet Ihme schein an E.E. Großen Rath mitzutheilen, daß dießseithige E Zunfft jhne nach gnädig erlangter burgerrecht, Leibzünfftiger auff und annehmen wolle, beÿfügend Er habe gelegenheith mit baumwoll zu verarbeithen sich ehrlich durch zu bringen.
Weilen nach gehaltener umbfrag erhellte daß solch sein vorhaben der handlung schädlichen eingriff thun könne, Er über dießen keine fixe profession gelernet, als ist Er mit seinem begehren abgewiesen worden.
Inventaire de l’actif et du passif de Jean Conrad Rauch, fabricant de coton, absent, et d’Anne Barbe Kiehl. La maison estimée à 1 250 à l’inventaire (non conservé) de se première femme appartient pour deux tiers au mari et pour un tiers aux trois enfants de son premier mariage. Les biens propres de la femme s’élèvent à 334 livres, ceux du mari et de la communauté à 1 098 livres mais comme le passif s’élève à 1 752 le reliquat passif se monte à 653 livres. Pièces de procédure contre son frère débiteur Jean Pierre Rauch
1760 (23.2.), Not. Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 396) f° 836
Inventarium über Johann Jacob Conrad Rauch, des baumwoll fabricanten und Frauen Annä Barbarä Rauchin gebohrner Kiehlin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg dermahlen besitzende Activ: und Passiv Nahrung – welche der ursachen, alldieweilen Er der Ehemann sich ohnlängstens von hier absentirt und deßen habende Nahrung mit zimblichen Passiv: Schulden beladen, auff Ihro Frauen Annä Barbarä Rauchin gebohrner Kiehlin der Ehefrauen, mit assistentz herrn Johann Georg Eckert, des Schiffmanns und burgers allhier Ihres erbettenen beÿsitzers beschehener freundliche ansuchen, erfordern und begehren umb salvierung Ihres ohnverändert und eigenthümlichen guths willen ersucht – So beschehen in Straßburg auf Sambstag den 23. Februarÿ Anno 1760.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß gelegenen, in dieße Nahrung gehörigenen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung, (M.) Zween drittetheil für ohnvertheilt Von und ane Einer behaußung und hoffstatt, mit allen dero gebäuen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß, einseit neben Johann Jacob Gerold, dem Caminfeger, anderseit neben Johann Martin Rauch, dem baumwollfabricanten, hinden auf vorgedachten Johann Jacob Gerold Ehevögtlicher Weiße, stoßend, so vor freÿ, ledig und eigen dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen wie selbige in dem über weÿland Frauen Elisabethä Rauchin gebohrner Apflerin des Ehemanns gewesener Ersten Egefrauen seeligen Verlassenschafft de Anno 1758 durch herrn Beguin E.E. Kleinen Raths hochverdienten Actuarium errichteten Inventario fol. 23. fac. 1. æstimirt worden vor 1250 lb, machen daran die hiehero gehörige zween dritte theil 833. 6. 8., und ist der übrige eine drittetheil des Ehemanns dreÿen Kinder Erster Ehe vor Mütterlich. gutheigenthümlich zuständig, Darüber besagt ein teutscher pergamenter Ganthkauffbrieff mit E.E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insiegem Verwahret de dato 5. Novembris Anno 1755
Ergäntzung der Ehefraun abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalt Inventarÿ über der Ehefrauen zu ihrem Ehemann für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch mich Not. in Anno 1758 aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Anfänglich aber der Ehefrauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 47 lb, Sa. Silbers 8 lb, Sa. goldenen Rings 3, Sa. Schulden 37 lb, Erg. 238 lb, Summa summarum 334 lb
Dießem nach Wird nun auch des Ehemanns ohnverändert und theilbahre Nahrung unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 51 lb, Sa. Schiff und Geschirrs auch wahr zum Baumwollfabriciren gehörig 69 lb, Sa. silbers 4 ß, Sa. versetzten Unterpfand 144 lb, Sa. antheils ane einer behaußung 833 lb, Summa summarum 1098 lb – Sa. Schulden 1752 lb, In Vergleichung, Passiv onus 653 lb
Des Ehemanns dreÿer Kinder Erster Ehe mütterlichen Guth betreffend. Inhalt Inventarÿ über Weÿland Frauen Elisabethä gebohrner Apfelin, des Ehemanns geweßener Erstern Ehefrauen nunmehr seeligen Verlassenschafft durch Herrn. Lt. Beguin E.E. Kleinen Raths Actuarium in Anno 1758 aufgerichtet, besthehet Ihrer dreÿen Kinder und Erben, Nahmentlich Christoph, Mariä Elisabethä und Theodoræ der Rauchen dermahlen mit Johann Philipp Wießer, dem Schiffmann und burgern allhier bevögtiget, anerstorben Mütterlich Erbguth in folgende Rubricen. Erstl. in einem dritten theil für ohnvertheilt von und ane der hieoben eingetragenen behaußung cum appertinentÿs allhier zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß gelegen, Vor freü Ledig und eigen dem ohnpræjudicirlichen anschlag ane 1250. lb. ertragend, 416 lb – Sa. der dreÿen Kinder erster Ehe gebührigen Mütterlichen guths 449, davon abzuziehen 250. lb, Detrahendo verbleibt 199 lb
Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns Massam zugeltend 211 lb
Copia der Heuraths Verschreibung (…) auf Montag den 16. Januarÿ Anno 1758. Frantz Heinrich Dautel, Notarius juratus
– Auß Ihro Gnaden des Regirenden Herrn Ammeisters der Stadt Straßburg Hauß memoriali de anno 1757. Freÿtag den 16. Septembris. Erschiene Conrad Rauch der schirmer und baumwoll fabricant alhier, geziemed vortragend wie daß sein bruder Johann Peter Rauch der hisige burger und Schiffmann, Zufolg Unsers bescheids vom 22. Augusti jüngst condemnirt worden ihm die Summ von 300. Gulden in termino ordinis Subscripsa Executione refusis Expensis zu bezahlen (…)
– Extractus Ganth Prothocolli der Stadt Strassburg de Anno 1758. Sub dato Donnerstags den 11.ten Maÿ 1758. In Sachen Conrad Rauchen der baumwoll fabricanten Klägers, Contra Herrn Peter Rauchen den Schiffmann seinen brudern beklagten. Kläger producirt bescheid aus Ihr Gnaden regirenden Herrn Ammeisters Hauß memoriali de dato 22.ten Augusti 1757 vermög deßen beklagter Ihme Klägern in termino ordinis Subscripsa Executione refusis Expensis zu bezahlen condemnirt worden 300. R, Uncosten pro Executione 4. R 8. ß, (…) beÿ welchen Umständen, weilen anoch weiter beklagten Ehefrau versicherte, daß sich Ihres ehemanns Mass über obigen belauff seit hero im gerigsten nicht gebeßert habe, man denjenigen Nachenselb dritt, so eben das jenige Schiff ist, woher des Klägers Schuld rühret, und welches dahero nicht in das falliments Inventarium aungetragen Worden, pignoris loco Zur Ganth saisirt, und zu dem Ende durch der Ganth geschwornen botten dem büttel E.E. Zunfft Zum Ancker angesagt gemeld schiff anzuschließen, Nach welchem mann sich von Seithe, der Ganth, weilen sonst nichts Zu saisiren geweßenen wieder von dannen begeben Vorgemendes Schiff ust Sambstags den 3.ten Junÿ anno 1758. In præsentia Herrn Stadtrichter Zeisen und derer Herren Deputatorum wie auch übrige Ganth beamten ordungs mäßig versteigert worden pro 78. R
– Dürschheim d. 10. April 1757. Wier Ens unterschtiebene hirmit bekenne das wier Einen auffrichtigen acort Mit einander getroffen haben und mier Johanns rauch schüffman Von strasburg Mein zu gebauen schüff abgekaufft Und Mier davor in barem geld wan er das schüff abholt 300 gilden frantzöß gelt Zahlen will (…) bekenne hanß Peter Rauch, Johan Martin senger
La maison est vendue aux enchères en 1762 à Jacqueline Herrmann veuve de Michel Frédéric Bœhm et de François Balthasar von Lindern, créancière. Le titre est cité à son inventaire après décès.
Jacqueline Herrmann meurt en 1764 en délaissant trois enfants de son premier mariage. Sa succession comprend deux maisons, celle rue du Dôme et celle rue du Bain-aux-Plantes qu’elle a acquis par adjudication. La succession se monte à 7 297 livres
1764 (18. 7.br), Not. Haering (6 E 41, 1364) n° 255
Inventarium über Weÿl. der HochEdlen, Viel Ehren und tugendreichen Frau Jacobe gebohrner Herrmännin weÿl. des hochEdlen hochgelehrt und hocherfahnen herrn Frantz Baltasar von Lindern im Leben gewesenen ältesten Medicinæ Doctoris und berühmten Practici Fr. Wittib Verlassenschafft, nach ihrem Samstags den 1. sept. laufenden 1764.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen von hinnen Scheiden, auf Ansuchen Fr. Mariam Salome Böhmin gebohrner Erhmännin hernach gemeldten H. Dr Böhmen Fr. Eheliebste, deßgl. Margaretham und Catharinam Rößlingin beede Schestern die dienstmägd
der nun in Gott ruhende Fr. Drin ab intestato zu erben sind fähig S.is ubique Tl.is 1. Fr. Susanna Salome geb. Böhmin H. Johann Kratzen Medicinæ Doctoris und berühmten Practici Fr: eheliebste weÿl. H. Joh: Daniel Böhm gewes. handelsmanns seel. mit Fr. Eva Barbara gebohrner Bechtoldin einige Tochter in deren Namen weil Sie in der Kindbett ged.r ihr H. Ehevogt u. Frau mutter, 2. .H Johann Christian Böhm M. Philos. und Not.s Caesar: pub. Jur: in Franckfurth am Maÿn, in deme Er aber alh. unverburgert so hat in abweßenheit H. Ammr. Kien (…) abgeordnet S.T. H. Joh: Frantz Burgardt hochedelged. Gerichtstellen der zeit wolansehn. und E.E. Großen Raths alten beÿsitzer, 3. herr Johann Michael Böhm Medicinæ Doctor und berühmten Practicus allhier, samtl. d. seel. Fr. Dris Enckelin und H. Söhne
In einer zu Straßburg an der Münster Gaß gelegen in dieße Verl. Eigenthümlich gehörigen behausung
(f° 11-v) Eigenthum an häußeren. Nemlich eine behaußung höfflein hintergebäu bronnen und hoffstatt an der Münstergaß (…)
It: eine behaußung gelegen alhier an der Pflanzbader Gaß I.s neben H. Jacob Gerold dem Caminfeger uxorio noe. 2.s neben Martin Rauchen dem baumwollhandlern hinten auf Ihn H. Gerold ux. noe. abgeschätzt worden pro 750 R oder 375, dieße behaußung hat sie seel: fr. Drin Vermög Extractus Ganth Protocolli vom 28. julÿ 1762 an sich ersteigt der Kaufbrieff darüb: ist aber noch nicht außgefertiget
(f° 15) Wÿdem
Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ, hausrath 605 lb, silbers 210 lb, goldene ringe 196 lb, häußern 1375 lb, Pfenningzinß hauptgüter 5300 lb, Summa summarum 7688 lb – Schulden 390 lb, Nach deren Abzug 7297 lb – zu vertheilen 8547 lb, Nach außrichtung dieße Legaten 8482 lb
Copia der seel. vor mir Not° am 31. aug. 1759 gestiffeten Codicilli
Les héritiers de Jacqueline Herrmann vendent pour 650 livres la maison au cordier Jean Daniel Müller et à sa femme Marie Barbe Müller
1766 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 463
Johann Michel Böhm Med. Doctor und Practicus vor sich selbst und als mandatarius seines bruders Johann Christian Böhm des Not. Cæsarei zu Franckfurt, Susanna Salome geb. Böhmin H. Johann Kratz des Med. Doctoris und Practici Wittib
in gegensein Johann Daniel Müller des seilers und Mariæ Barbaræ gebohrner Müllerin
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, weither zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, an dem Pflantzbadergaß, einseit neben Jacob Gerold dem Caminfeger anderseit neben Philipp Rauch dem baumwollspinner hinten auff Daßauer dem weißgerber – um 650 pfund
Le cordier Jean Daniel Müller a épousé en 1757 Marie Barbe Müller veuve du charron Christophe Michelbach : contrat de mariage, célébration
1757 (12.10), Not. Lichtenberger (6 E 41, 350) n° 369
(Eheberedung) persönlich erschienen Meister Johann Daniel Müller, lediger Seiler, Weÿland Meister Johann Jacob Müller gewesenen Seilers und burgers allhier zu Straßburg mit Frauen Anna Maria gebohrner Baldnerin ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich Meister Johann Georg Ruhff, auch Seilers seines Stieff Vatters und Meister Daniel Baldner, küblers, seines Oncle, beeder burgere allhier, als bräutigal ane einem,
So dann Frau Maria Barbara Michelbachin gebohrene Müllerin, Weÿland Meister Christoph Michelbach, gewesenen Wagners und burgers allhier hinterlassene wittib, mit assistentz Meister Bernhard Müller Seilers und burgers allhier – so beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auf Mitwoch den 12. Octobris Anno 1757 – [unterzeichnet] Johann Daniel Müller als hochzeiter, Maria barra Michelbächin als hochZeiderin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 162)
Mitwoch d. 25 Januarÿ 1758 seind nach vorher geschehener zweÿmahligen Außruffung Ehelich copulirt und eingesegner worden Johann Daniel Müller der ledige Seyler und burger allhier weÿl. Joh: Jacob müller gewes. Seylers und burgers allhier nachgel. hel. Sohn, und Fr. Maria Barbara gebohrne Müllerin weÿl. Johann Christoph Michelbach gewes. wagners und burgers allhie hinterl. wittib, [unterzeichnet] Johan Daniel Müller als hoch Zeider, barbra Michelbachin als hoch zeiterin (i 86)
Inventaire après le décès de Christophe Michelbach qui délaisse une fille issue de la veuve. L’inventaire est dressé dans la maison Wirter Grand rue
1757 (4.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1171) n° 1048
Inventarium über Weiland des Ehrsam und bescheidenen Mr Christoph Michelbach, gew. Wagners und brs. allhier zu Straßburg nunmehr selig Verlassenschafft – nach seinem donnerstags den 14.ten Aprilis inbstehenden 1757.sten jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Barbarä Michelbachin gebr. Müllerin der hinterbliebenen Wb. unter assistentz des bruders Mr. Johann Bernhard Müllers, Seÿlers und brs. allhier, der Sie ane Vogtsstatt zu Ihrem beÿstand angesprochen wie auch Mr. Andreä Stöhr des Schuhmachers und brs. allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome Michelbachin des abgeleibten seel. mit Ihro der Wb. ehelich erzeugten Töchterleins und ab intestato verlaßener universal Erbin inventirt – So beschehen Straßburg Samstags den 4.ten Junÿ A° 1757
In einer allhier zu Straßburg ane der Langen straß gelegenen H. Wirter dem Fripier zuständigen und dießorts zum theil lehnungsweiße bewohnenen behaußung befunden worden wie folgt.
Ergäntzung der Wittib mangelnden ohnverändertem Guths. Zufolg des über beeder geweßter Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 4.ten 8.bris Anno 1743. aufgerichteten Invÿ.
Abzug gegenw. Invÿ. Der Wb. ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 15, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 1, Sa. activ Schuld 25, Erg. per rest 170, Summa summarum 213 lb – Schuld 10 lb, Nach deren Abzug 203 lb
Dießemnach wird allen übrige, weilen die Wb. auf die theilbar Verl. tam active quam passive renunciret, unter einem titul als in des Verstorbenen seelig Verl. gehörig beschrieben, Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 3, Summa summarum 40 lb – Schulden 201 lb, des Verstorbenen seelig verlaßenes passiv onus 160 lb
Stall summ 42. lb
Widems Verfangenschaft, Welche Frau Anna geb. Federlinin weil. Andreæ Kugels gew. GaSt. und brs. dahier seel. Wb. aus Ihres erstern ehemanns weil. Hannß Roth des ältern gew. GVW. und brs allhier der diesortigen Wb. Großvatter seel. Verlassenschafft, lebtägig zu genießen berechtiget. Nach besag über Ihr der Wb. und der nunmahligen Fr. Mariæ Salome Bitzenbergerin geb. Müllerin, Mr Joh: Georg Bitzenberger des Schuhmachers und brs. allhier Ehefrauen Ihrer Schwester beÿ Vergleich und Abtheilung gedachten H Rothen seel. Verlassenschafft erlaltener Erbschafft durch nun auch weil. H. Notm. Philipp Jacob Mader seel. in A° 1730. aufgerichteten Verzeichnuß
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Christoph Michelbach, dem leedigen Wagner Meister Christoph Michelbach Wagners und brs allhier mit weiland Frauen Anna Barbara Michelbachin gebohrner Bilgerin nunmehr seligen ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter ane einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Mariä Barbarä Müllerin weiland Johann Peter Müllers geweßenen Seÿlers und brs allhier, mit auch weiland Frauen Maria Barbara gebohrner Rothin seiner Ehefrauen seeligen ehelich erziehlern tochter alß der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil – den 17.ten Julÿ A° 1743 Johann Daniel Stöber
Le charron Christophe Michelbach a épousé Marie Barbe Müller en 1743 : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports, inscirption à la tribu des charpentiers
1743 (17.7.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 127
Eheberedung zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Christoph Michelbach dem leedigen Wagner Mr Christoph Michelbach Wagners und burgers allhier mit weÿl. Fr. Anna Barbara Michelbachin gebohrner Bilgerin nunmehr sel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeitern beÿständlichen erstgedachten seines Vatters, ane einem,
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfr. Mariæ Barbaræ Müllerin Weÿl. Johann Peter Müllers geweßenen Seÿlers und burgers allhier mit auch weÿl. fr. Maria Barbara gebohrner Rothin seiner Ehefr. seel. ehelich erziehlern tochter, mit beÿstand Mr Bernhard Wagners Seÿlers und burgers allhier ihres annoch ohnentledigten Vogts und Mr Johann Bernhard Müllers Seÿers und burgers allhier ihres halbbruders alß der Hochzeiterin ane dem anderntheil, gepflogen – Actum Straßburg Mittwoch den 17.ten Julÿ A° 1743 [unterzeichnet] Christoph Michelbach Alß Hochzeiter, Maria barra Millerin als hohzeitterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 191, n° 19)
1743 – Mitwoch d. 7. Aug. sind nach vorher gegangener zweÿmahliger Außruffung ehelich copulirt und eingesegner worden, Christoph Michelbach lediger Wagner und burger allhie Christoph Michelbachs burgers und Wagners allhie ehel. Sohn, und Jf. Maria Barbara weÿl. Joh: Peter Müllers gewesenen burgers und Seilers ehelich hinterl. ehel. Tochter [unterzeichnet] Christoph Michelbach Als hochzeiter, Maria barbra Millerin als Hochzeüter (i 193)
Inventaire des apports dressé dans une maison faubourg Blanc
1743 (4. 8.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1135) n° 250
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Meister Christoph Michelbachs, Wagners und der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Barbarä Michelbachin, gebohrner Müllerin, beeder Eheleuthe und bürgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in ihrer der Vor mir Notario den 17.ten Julÿ instehenden 1743.gsten Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 4.to expresse enthalten, daß einem jeden sein in die Ehe bringendes Vermögen Vor ohnverändert Verbleiben solle – So beschehen, in fernerem beÿseÿn Mstr. Bernhard Wagners Seÿlers und burgers allhier der Ehefrauen annoch ohnentledigtenn Vogts und Mstr. Johann Bernhard Müllers auch Seÿlers und burgers allhier Ihres halbbruders, Straßburg Freÿtags den 4.ten Octobris Anno 1743
In einer allhier zu Straßburg dero Vorstatt Unterwagnern ane der Weißthurn straß gelegenen: dißorths Lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Wÿdembs Verfangenschafft Welche Fr. Anna gebohrne Ferderlinin dermahlen Andres Kugels GaStStr. und b. allhier Ehefr. auß ihres j.n Ehemanns weÿl. hannß Roth geweßenen gvw. und burgers allhier deß dißortigen Groß Vatters seel. Verlassenschafft lebtägig Zugenießen berechtiget. Nach besagter über dießeitigen Ehefr. und Jgfr. Mariæ Salome Müllerin ihrer Vollbändigen Schwester beÿ Vergleich und abtheÿlung nechstged. hannß Rothen seel. Verlassenschafft erhaltene Erbschafft durch nun auch Weÿl. Hn Norarium Philipp Jacob Mader seel. in A° 1730. auffgerichteten Verzeichnus
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. des Ehemanns ohnverändert Guth, Sa. hausraths 37, Sa. Werckzeugs wie auch holtz und Gemacher Arbeith zum wagner handwerck gehörig ist 54, Sa. Silbers 2, Sa. Schulden 36, Summa summarum 131 lb – Schulden 90 lb, Nach deren Abzug 40 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 129, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 29, Eigenthum ane einem Liegenden feld -, beßerung ane lehengüthern – Summa summarum 181 lb – Schulden 11 lb Nach deren Abzug 169 lb.
Christophe Michelbach est inscrit à la tribu des Charpentiers
1743, Charpentiers (XI 32), (f° 26-v) Dienstag den 10. Decembris 1743
Evangel. Neu Z. – Christoph Michelbach, Wagner, Mstr Christoph Michelbach des wagners allhier Ehelicher Sohn prod. stall sch. Vom 20.ten Novembr. 1743. bitt Ihne als einen Leibzünfftigen anzunehmen. Erk. willf. dt. 1 lb. 10 ß d
Inventaire après le décès de Marie Barbe Müller qui délaisse sa fille issue du premier mariage, Marie Salomé Michelbach femme de Jean Léonard Giettelmann. La maison est estimée 450 livres. Les biens propres de la femme s’élèvent à 51 livres, ceux du veuf à 71 livres et ceux de la communauté à 393 livres. La maison revient à la fille
1784 (18.10.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 346) n° 1227
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Barbarä Müllerin geb. Müllerin, H. Joh: Daniel Müller, Jakob Sohns, des ältern Seilermeisters und burgers alhier zu Straßburg gewesener Ehefr. nunmehr sel. Verlassenschaft – nach ihrem am 29.sten Septembermonats in gegenseinen Zu End laufenden 1784.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, hie zeitlich zurückgelaßen hat. Solche Verlassenschafft wurde auf gebührendes Ansuchen vorgenannten des diesorts hinterbliebenen Wittibers sowol als auch Fraun Mariæ Salome Gutelmännin geb. Michelbachin, H Joh: Leonhard Gutelmann, des handelsmanns und burgers hieselbst, Ehegattin der selig Verstorbenen in erster ehe mit weiland Mr Christoph Michelbach dem gewesenen hiesigen Verburgerten Wagner ehelich erzeugten tochter und diesorts ohntestirt hinterlaßenen inigen Erbin – So geschehen alhie Zu Straßburg in einer ane dem Pflantzbaad gelegenen hieher gehörigen und hieunten beschriebenen behaußung auf Montag den 18. Octobris im Jahr 1784
Eigentum an einer Behaußung. Nämlich eine behausung und Hoffstatt samt allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhie zu Straßburg an dem Pflanzbaad, 1.s neben N. Jost dem Rotgerber, 2.s neben Martin Rauch dem baumwollspinner und hinten auff N. Dasauer den Weisgerber stosend, so gegen männiglich frei, ledig , eigen und durch (den Inspectorem und Werckmeistere) alle als hierzu beeidigte Schätzern Vermög ihrer zu dem Concept dieses Inventarii gelieferten schriftlichen Abschatzung Zeduls Vom 18. Octobr. 1784. angeschlagen worden für und um 900. R. oder 450. lb. Solche behausung haben beede disortige nun durch den zeitliche tod zertrennte Eheleute von H, Dr Joh: Michael Böhm alhier und H. Joh: Christian Böhm dem Notario Cæsareo zu frankfurt, so dann Fraun Susanna Salome gebohrner Böhmin, weil. H. Johann Kratz Med. Dris hinterbliebener Fr. Wwe. erkaufet, welches der in alhies. Kanzlei Kontractstube passirt und auf Papier ausgefertigte Kaufbrief vom 210 Aug. 1766 erprobet
– Abschatzung Vom 18.ten octobre 1784. Auf begehren Herr johann Danjel Müller dem Saltzmeßer ist Eine behausung alhie in der statt strasburg am pflantzbad gelegen, Ein seÿts neben Herr Rauch, anderer seÿts neben Herr jost dem gerber und hinten auf Herr Dasauer dem Weißgerber stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Vier stuben Vier Kuchen und Eine Kammer, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach æstimirt und angeschlagen Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr., Götz Wmstr.
Ergäntzung der Erbin wà l’aidehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guts, Aus demjenigen Inventario welches über beeder diesortiger Eheleuth (…) durch mich Inventir Notarium am 19° Mai 1758 errichtet worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Abschrift Der Heirathsabrede, Vor mir am 12. Octobris 1757 passirt
Der Universal Erbin unverändertes Vermögen, Sa. hausraths 29, Sa. Schuld 25, Sa. Ergäntzung (143, Abgang 97, Rest) 46, Summa summarum 101 lb – Schuld 50 lb, Nach deren Abzug 51 lb
des Wittwers unverändert Guth verzeichnet, Sa. Silbers 1, Sa. Schuld 50, Sa. Ergäntzung (48, Abgang 2) Rest 45, Summa summarum 96 lb – Schuld 25 lb, Detrahendo restirt 71 lb
endlich wird auch die teilbare Nachlaßenschafft gewiesen, Sa. hausraths 63, Sa. Weins und leerer Faß 4, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthums an vorherbeschriebener behausung 450, Summa summarum 522 lb – Schulden 129 lb, nach deren Hinwegrechnung 393 lb
Beschluß und Stallsumma 516 lb
La chambre de la Taille impose la succession
1784, VII 1180 – Livres de la Taille f° 361
Mörin N° 324 – Weÿland Fr: Mariä Barbarä gebohrner Müllerin, Johann Daniel Müller, Jacobs Sohn des ältern, Seÿlermeisters und burgers alhier gewesener Ehefr. Verlassenschafft inventirt Hr. Notarius Lichtenberger.
Concl. fin: Invent: ist folio 83.b, 516. lb 14. ß 4 s die machen 1000 R., verstallte 800. R. also Zuwenig 200. R.
Wovon Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 12 ßd, 3 lb 12 ß
und Vier Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 4 ß
Ext: Stallgeld pro 1784, 2 lb 11 ß
Marzal 3 Monat, 3 ß
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 17 ß 6 d
Summa 8. lb 9. ß 6 d., Hievon gehet ab das simplex, so nachgelaßen werden mit 1 lb 4 ßn Restiret 7 lb 5 ß 6 d
dt. 10.ten Novembris 1784.
Marie Salomé Michelbach a épousé en 1775 Jean Léonard Giettelmann, marchand natif d’Ilbesheim en Palatinat : contrat de mariage, célébration, accession à la bourgeoisie, inscription à la Tribu du Miroir, inventaire des apports
1775 (1.6.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 27
(Eheberedung) persönlich erschienen sind Herr Johann Leonhard Giettelmann der leedige Handelsmann so bereits um das allhiesige burgerrecht behöriger Orten die unterthänige Ansuchung gethan längst Weiland Johann Jacob Giettelmann gewesenen Ackermanns in Ilbesheim auf dem Gleichen in der herrschafft Falckenstein gelegen mit auch Weiland Anna Elisabetha gebohrner Heidelbachin seel. ehelich erzeugt nach tod hinterlassener sohn so majorennis als Hochzeiter ane einem
So dann die ehren und tugendbegabte Jungfrau Maria Salomea Michelbachin Weiland Meister Christoph Michelbach gewesenen Wagners und burgers alhier seel. mit frauen Maria Barbara gebohrner Müllerin dermahlen Johann Daniel Müllers Seÿlers und Saltzmeßers auch burgers dahier Ehefrau ehelich erzeugte Tochter unter Authorotate und beÿstand H. Andreas Stöhr des hiesig verburgerten Schuhmachers ihres geordnet und geschworenen Vogts agirend, als hochzeiterin am andern theil – So geschehen alhier auf dienstag den Ersten Junÿ im Jahr Christi Geburth 1775 [unterzeichnet] Johann Leonhard Giettellmann Als hochzeiter, Maria Salome Michelbachin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 1)
Im Jahr 1775 seind (… den) 14. Junii copulirt worden, hr, Johann Leonhard Göttelmann lediger handelsmann weil. Jacob Göttelmanns gesesenen Ackersmanns und burgers in Ilwisheim in der Graffschafft Falckenstein und weil. fr. Annæ Elisabethä gebohrner Heidelbachin ehelicher Sohn und Jungfr. Maria Salome weil. Mstr. Christoph Michelbachs gewesenen Wagners und burgers allhier und Fr. Mariä Barbarä gebohrner Müllerin eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Lienhardt Giettelmann als Hochzeider Maria Salome Michelbachin als Hochzeiterin (i 3)
1775, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 133-v
Johann Leonhard Güettelmann der Kauffmann von Illwisheim in der Graffschafft Falckenstein erhalt das burgerrecht von seiner ehefrauen Mari Salome weÿl. Christoph Michelbachs gewesenen Wagners und burgers alhier hinterlaßener ehel. tochter um den alten burgerschilling, will dienen beÿ EE. Zunfft Zum Spiegel. Jur. den 19. Junii 1773
VI 286 bis – (p. 232) spiegel. N 23, d. 31. Maÿ 1775
Joh: Leonhard Giedelmann der ledige handelsmann von Ilbisheim aus d. grafschaft Falckenstein geb. weÿl. Joh. Jacob Giedelmann des b. und Ackersmanns allda mit Anna Elisabetha geb. Heidelbachin ehelich erzeugter sohn, Verlobt an Jfr. Maria Salome Michelbach gewesenen b. und wagners allhier ehel. erziehlt tochter. Sein vorgelegt schein verwiesen, daß er ehelich geboren, augsp. confess. zugethan, daß der Sponsæ stallgebühr in richtigkeit gebracht, daß er due gehörige Stadtstall caution geleistet und auch des zunftrechts um Spiegel ist geleistet worden. 500 R baares geld hat er vorgewieden und deren eigenthum mit einer handtreu erhärtet, aucg 100 R 5 ß beÿm b. protocoll deponirt. Implorant bittet Er Gn. ihn a sponsa um d. A. B. S. in das B.recht aufzunehmen
Receptus a sponsa um d. A.B.S.
1775, Miroir (XI 279)
(f° 140) Freitags, den 26. Maji 1775 bei gehaltenem Kaufgericht
Vertröstung – Joh: Leonhard Göthelmann, des weil. Joh: Jacob Göthelmann, gew. bildhauers Zu Ilbosheim Chur-Pfältzischer Herrschafft, hinterl. ehel. Sohn, stehet vor und meldet, daß er bei H. Joh: Georg Hebeisen alhier die Handlung erlernet habe. Bittet um den zu Erlangung des hiesigen burgerrechts benötigten Vertröstungschein. Nach engesehenem Lehrjungen protokoll, Erkannt, Willfahrt
Dienstags, den 27. Junii 1775 bei gehaltenem Kaufgericht
E. Leibzünftiger – In Sachen H. Joh. Leonhard Giettelmann, imploranten, auf vorgelegten burger- und Stall- Schein vom 19. dieses, mit Bitte, ihn gegen Erlag gewohnlicher Gebühr leibzünfftig als Specirer anzunehmen. Erkannt, seÿe der Implorant gegen Erlag 3 lb. 15 ß leibzünfftig als Handelsmann aufzunehmen, mit mmehrerem begehren aber, weil er die Specereihandlung weder erlernet, noch darin gedienet hat, abzuweisen. Promisit.
Inventaire des apports dressé dans un appartement rue du Vieux marché aux vins dans la maison de la veuve Gerold
1777 (5.8.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 630) n° 79
Inventarium über Herrn Johann Leonhard Giettelmann, Handelsmanns und frauen Maria Salome gebohrner Michelbachin beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachtes Vermögen – in ihren den 13. Juny 1776 angetretten Ehestand einander zugebracht haben, Welche beederseithige Vermögenschaften /:angesehen beede Ehegatten in der vor mir Notario unterm 1. vorbesagten Monaths Junÿ errichteten heuraths Abrede Paragrapho 4.to die Versehung gethan, daß solche ein unverändert, eigen und vorbehaltenen Guth seÿn und bleiben solle:/ – So geschehen alhier Zu Straßburg mit Zuziehung herrn Johann Georg Reichard Paßmentirer und burgers dahier der Ehefraun hierzu erbettenen beistands auf dienstag den 5.ten Augusti A° 1777
In einer alhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckh gelegenen frauen Geroldin Kaminfegers Wittib eigenthümlich zuständigen dißorts Zum theil in lehnung habende behaußung hat sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Manns in die Ehe gebrachten Guths, Sa. hausraths 10, Sa. Silbers 17, Sa. baarschafft 225, Summa summarum 253 lb, dazu kommt noch deßen helffte an denen haußsteuren 38 lb, des Manns Zugebracht Guth 291 lb
Diesemnach wird auch der Frauen in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 110, Sa. silbers 19, Sa. Goldenen Rings 5, Sa. der baarschafft 28, Summa summarum 162 lb, dazu kommt noch deßen helffte an denen haußsteuren 38 lb, So Zeiget sich daß der Frauen in die Ehe gebrachte vor ohnverändert vorbehantene Vermögenschaft ausmache 200 lb – Beschluß summa 491 lb
Marie Salomé Michelbach femme de Jean Léonard Giettelmann vend 700 livres la maison au marchand Jean Daniel Brickmann et à sa femme Anne Marie Urfer
1784 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 425-v
Fr. Maria Salome Giettelmännin geb. Michelbachin H. Johann Leonhard Giettelmann des handelsmanns Ehegattin
in gegensein H. Johann Daniel Brickmann des handelsmanns und Annæ Mariæ gebohrner Urferin unter assistentz H. Abraham Mürdel des lichtermachers und Heinrich David Broistedt des seidenknopffmachers
eine behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Pflantzbadergaß, einseit neben Martin Rauch dem baumwollspinner anderseit neben Mr Jost dem rothgerber hinten auff H. Daßau den weisgerber – als ein von ihrer mutter zum theil ererbt theils von deren miterben cedirt erhaltenes guth – um 1400 gulden
Jean Daniel Brickmann, journalier réformé, épouse en 1765 Anne Barbe Eck, fille d’un manant de Straßburg : contrat de mariage, célébration
1765 (6.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 486
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsamen Johann Daniel Brickmann, dem ledigen tagnern, Weÿl. des Ehrengeachten Johannes Brickmanns des geweßenen Küblers und auch weÿl. der tugendsamen frauen Magdalenæ gebohrner Durbo, beeder Eheleuthe und burgere allhier seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hochzeitern ane Einem
So dann der tugendsamen Jungfrauen Annæ Barbaræ Eckin, weÿl. des Ehrsamen Johann Jacob Ecken, geweßenen taglöhners und auch weÿl. der tugendsamen Annæ Barbaræ gebohrner Buxin beeder Eheleuthe und Schirmere allhier seel. ehelich erzeugter tochter, als der hochzeiterin am andern theil – So geschehen allhier Zu Straßburg auf dienstag den sechßten augusti anno 1765 – [unterzeichnet] + Johann Daniel Brickmanns Handzeichen, Annæ Barbaræ Eckin der hochzeiterin Handzeichen
Mariage, Strasbourg (réf. f° 7)
Anno 1765 Sonntags den 11. Augusti Seÿnd nach vorgergegangener gewohnlichen Proclamation Ehel. Eingesegnet worden, Johann Daniel Brüggmann weÿl. Johannes Brüggmanns gew. burgers und Küblers in Straßburg hinterl. Ehel. Sohn, Jgfr. Anna Barbar weÿl. Joh: Jacob Ecken gew. Schirmers und Karchziehers in Straßburg hinterl. Ehel. Tochter [unterzeichnet] x des hochzeiters handzeichen, x der hochzeiterin handzeichen (i 10)
Inventaire des biens, dressé dans la maison de Jean Pasquay, tanneur réformé au Bain aux Plantes
1766 (12.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 270) n° 1015
Designatio Alles desjenigen, was der Ehrsame Johann Daniel Brickmann, der Tagner und die tugendsame Frau Anna Barbara gebohrne Eckin beede Eheleuthe allhier zu Straßburg dato ane Nahrung eigenthümlichen besitzen und sie nach abgelegten Handtreu selbsten geägt und gezeigt
in H. Joh: Pasquaÿ in der Pflantzbader gaß
Summa vorstehenden haußraths 188 lb, Sa. Silbers 19, Goldener Ring 5, baarschafft 10, Schulden 3, Summa summarum 227 lb
So geschehen allhier Zu Straßburg auf Mittwoch den 12. febr. ao. 1766
Inventaire après le décès d’Anne Barbe Eck dressé dans la même maison Pasquay
1771 (16.1.), E 5789 n° 277
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so weÿl. die tugendsame Fr Anna Barbara geb. Eckin des Ehrenachtbahren Johann Daniel Brickmanns des tagners beÿ denen allhießigen Gerbers und Schirms verwanthen nach ihrem den 9. 8.bris des letztabgewichenen 1770. Jahrs jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des Ehrengeachten Johannes Kuhn des Schirmers und tagners allhier als geordnet und geschworenen vogts Johann Daniel in 5 Jahr und Catharina Elisabetha in die 3 Monath alt die Brückmann
In einer ane der Pflantzbader gaß gelegenen herren Johannes Pasquay dem Rothgerbern und Lederbereitern wie auch der Evangelisch Reformirten Gemeinde in Wolfißheim wolverdienten Eltisten zugehörigen behaußung
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der erben unverändert 20 lb,
das theilbare Guth, hausrath 86 lb, silbers 3 lb, baarschafft 9 lb, summa summarum 99 lb, schulden 9 lb, Nach deren Abzug 90 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf dienstag den sechßten augusti anno 1765, Frantz Heinrich Dautel
Jean Daniel Brickmann se remarie avec Anne Marie Urfer native de Bischwiller : contrat de mariage, célébration
1771 (1.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 572
(Eheberedung) erschienen der Ehrsame und bescheidene Johann Daniel Brickmann, der tagner Wittiber und Schirms Verwanthe dahier zu Straßburg als hochzeiter mit beÿstand des Ehrsamen und bescheidenen Johann Kuhn des Schirmers und Tagners allhier seiner Kinder Erster ehe Vogten ane Einem,
So dann die tugendsame Jungfer Anna Maria Urfferin, des Ehrsamen und bescheidenen Johann Michael Urffers des Ackermanns mit weÿl. Frauen Anna Maria Veidtin seines geweßener Ehefrau seelig ehelich erzeugter tochter alß hochzeiterin mit assistentz Meister Johann Thomas Däublers des Schuhmachers und burgers allhier – So gewesen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den Ersten februarii Anno 1771 – [unterzeichnet] + Johann Daniel Brickmanns des Hochzeiters Handzeichen, + Jfr. Anna Maria Ufferin der hochzeiterin Handzeichen
Mariage, Strasbourg (réf. f° 14)
Anno 1771 Sonntags den 10. Februarii sind nach vorgergegangenen gewohnl. Proclamation in unßerer Kirche Zu Wolfsheim folgende Zweÿ Paar ehel. eingesegnet worden, Erstl. Johann Daniel Brüggmann, der verwittibte Schirmer und Tagner in Straßburg, und Jgfr. Anna Maria, Johann Michael Urffer des burgers und Ackersmanns zu Hanhofen ehel. Tochter [unterzeichnet] x handzeichen des hochzeiters, x handzeichen der hochzeiterin (i 17)
Inventaire après le décès d’Anne Marie Urfer qui délaisse pour héritiers ses frères et sœurs. Jean Daniel Brickmann n’est plus journal mais marchand de coton. La maison est estimée 600 livres strasbourgeoises. Les biens propres du mari s’élèvent à 361 livres, ceux des héritiers à 296 livres et ceux de la communauté à 275 livres une fois les dettes défalquées
1791 (20.4.), Not. Mayer (6 E 41, 443) n° 274 – acp 3 (vol. 6)
Inventarium über Weÿl. Fraun Annæ Mariæ gebohrner Urfer, Hn Johann Daniel Brickmann des baumwollenhändlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefraun Verlassenschafft – nach ihrem den 8.ten aprilis dieses laufenden 1791.sten Jahrs erfolgten absterben hier Zeitlichen verlaßen hat. Welche Verlassenschafft auf Ansuchen und begehren erstgedacht des hinterbliebenen Wittibers sowohl als der Defunctæ seel. gleich nach gegenwärtigem Eingang ordentlich benamster Erben (…) inventirt und ersucht durch ihn den Wittiber und deßen in erster Ehe erzeigte tochter Catharina Elisabetha Brickmann – So geschehen allhier zu Straßburg in hernach inventirten behaußung auf Mittwoch den 20. Apriis Anno 1791.
Denominatio hæredum. Die Defuncta seel. hat ab intestato zu ihren wahren und ohngezweiffelten Erben hinterlassen als 1.mo Fraun Barbaram geb. Urfer, Isac Georg des wollenwebers und burgers zu Bischweiler Ehefrauen ad hoc Verbeistandet mit Christian Urfer dem Wollenweber und burger zu gedachtem Bischweiler dem hiesigen mit Erb, 2.do Michael Urfer dem Seiler meister und burger Zu Bischweiler, 3.tio Christian Urfer den Wollenweber Alle dreÿ der Defunctæ seel. leibliche Geschwisterde und deroselben zu gleichen Antheilen und Erbs portionen hinterlaßene Erben
Eigenthum ane einer behaußung so theilbar. Nemlich eine Behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg ane dem Pflanz baadergaß einseit neben weÿl. Martin Rauchen Erben, anderseit neben N Jost dem Rothgerber, hinten auf N. Daßau den Weißgerber stoßend gelegen, so außer hernach inventirtem Passiv Capital und dem jährlich abzurichtenden Vingtieme und Einquartirungs Gelder freÿ ledig und eigen. Und ist solche behaußung samt Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten durch Hn Michael Gruber dem Maurermeister, und H Joh: Valentin Haaß den Zimmermeister beeden burgers dahier auf vorhergenmachte besichtigung Zufolg deroselben schriftlich verfaßten eigenhändig unterschriebener, und in gegenwärtigem Inventarii Concept beÿliegenden Abschatzung de dato 20. aprilis anno 1791. den heutifgen wahren Werth nach æstimirt und angeschlagen worden, um und für eine summa von 1200 gulden, hier 2400 lib. Über diese behaußung besagt eine in allhieisger Cantzleÿ Contract stub Verfertigte Pergamentene Kauffverschreibung Sub dato 22.ten Novembris Anno 1784.
Ergäntzung der Erben während dieser Ehe abgegangenen unveränderten Guts (von einem verkauften acker im Bischweiler bann)
Ergäntzung des Wittibers Stante hoc matrimonio abgegangenen unveränderten Vermögens, Zufolg über Weÿl. Fraun Annæ Barbaræ geb. Eckin sein des hinterbliebenen Wittibr in erster Ehe gewesene Ehefrau Verlassenschafft unterm 16. Januarii 1771 errichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Eheberedung
des Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 122, Sa. Ergäntzung 238, Summa summarum 361 lib
der Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. Ergäntzung 296 lib
Endlich wird auch das gemein und theilbare guth beschrieben, Sa. hausraths 337, Sa. Waaren 682, Sa. silbers 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2400, Sa. activ Schuld 14, Summa summarum 3443 lib – Schulden 3168 lib, Nach deren Abzug 275 lib
Conclusio finalis 933 lib
Abschatzung Einer behaußung. Nemlich eine behaußung und Hofstadt mit all deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß gelegen, Hn Johann Daniel Brickmann dem baumwollenhändlern und burger dahier gehörig, ist durch uns unterschriebenen hierzu in Specie nach vorher beschehene besichtigung dem wahren Werth nach angeschlagen und geschätzt worden für und um die Summ Von Ein tausend zweÿ hundert gulden sage 1200 R. Straßburg den 20.ten aprilis anno 1791 [unterzeichnet] Johann Michael Gruber Maurers Mstr, Joh: Valentin Haaß Zimmermeister
Jean Daniel Brickmann se remarie une nouvelle fois avec une luthérienne, Catherine Elisabeth Siebold de Bischwiller : contrat de mariage, célébration
1791 (29. 8.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 403, acp 8 (15)
Eheberedung – persönlich erschienen H Johann Daniel Brickmann baumwoll fabricant Wittiber und Activ: burger allhier als hochzeiter an einem,
und Catharina Elisabetha Sieboldin, weiland Jacob Siebold gewesenen Metzgers in bischweiler mit frauen Margaretha gebohrner Rothin ehelich erzeugte tochter so großjährigen alters, beÿständlich H Johann Gottfried Redslobs des Seidenhändlers und burgers alhier (…) andern theils – Straßburg den 29. Octobris 1791
Mariage, Strasbourg (réf. f° 11)
Im Jahr 1791, Sonntags den 9 und 16 Octobris , wurden in der Reformirten Kirche allhier proclamirt, und Montags den 17. Ejusdem, Nachmittags um vier Uhr in derselben Kirche ehelich eingesegnet, Herr Johann Daniel Grüggmann, Wittwer burger und Baumwollhändler von hier, reformirter Religion, 53 Jahr alt, und Jungfrau Catharina Elisabetha Seÿbold, weiland Jakob Seÿbold burgers und Wagners zu Bischweiler hinterlassene eheliche tochter evangelisch. lutherischer Religion, 28. Jahr alt [unterzeichnet] + handzeichen des hochzeiters, welcher des Schreibens unerfahren, x handzeichen der hochzeiterin, ebenfalls des Schreibens unerfahren (i 88)
Jean Daniel Brickmann vend pour 4 000 livres la maison à l’aubergiste Conrad Daschmann et à sa femme Ursule Schweinberger
1797 (2 floreal 5), Strasbourg 9 (30 nouv. cote), M° Bossenius n° 67 – Enregistrement de Strasbourg, acp 50 F° 97-v du 9 flor. 5
bürger Johann Daniel Brickmann, Baum Wollhändler allhier
in gegensein bürgers Konrad Daschmann, Wirts allhier und Fraun Ursulä gebohrner Schweinbergerin (si., +)
Eine behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg an der Pflanzbader: Gaß N° 21, einseit neben bürger Frantz Rauch, Baumwollhändler, anderseit neben bürger Jost Rothgerber, hinten auf bürger Daßau Weisgerber, stosend gelegen, so außer deren National Auflagen auch 2000 livres darauf hafftenden und bürgerun Maria Katharinaa gebohrner Baumann, dermal bürgers Michael Schaub Kiefers allhier Ehefrau bebürigen hauptguth, des Verkäufers Versicherung Zufolg ledig und eigen seÿn solle, auch ihme q. /:Br. Brickmann u. deßen nunmehro enteseelten Ehefraun Anna Maria gebohrner Urffer:/ ausweislich der in der Kantzleÿ Contract Stube den 22.ten Novembris 1784 passirten Verschreibung, von Fraun Maria Salome gebohrner Michelbach, bürgers Johann Leonhard Giettelmann, handelsmanns allhier Ehefrau eigenthümlich Zugeschrieben worden – um 4000 livres [unterzeichnet] Conrad Daschmann (lat.), Fraun Ursulæ + Dachmann gebohrner Schweinbergerin selbstgemachtes handzeichen
Conrad Daschmann, originaire de Mayence, épouse en 1790 Anne Marie Lieb fille d’un tisserand : contrat de mariage, célébration
1790 (5.5.), M° Bremsinger (6 E 41, 1534) n° 51
Eheberedung – herr Conrad Daschmann der ledige großjährige Hn Andres Daschmann des burgers und Würth zu Mainz mit Catharina N ehelich erzeugter Sohn
So dann die Ehren und tugendsame Jfr Maria Anna Liebin H. Joseph Lieb burgers und leinenwebers allhier mit Fr. Maria Elisabetha Stautacherin ehelich erzeugte Tochter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 43)
Anno Domini 1791 die 7 februarii (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Conradus Daschmann ex Rostheim Doœcesis Moguntinæ Oriundus, Andreæ Daschmann Civis ibidem et Defunctæ Catharinæ Daschmännin filius Majorennis Solutus et Legitimus, Parochianus a duobus annis noster, ex una, accedente Patris ejus Consensu, et Anna Maria Lieb soluta Majorennis filia Legitima Josephi Lieb Civis et Lini Textoris et Anna Elisabetha Staudacher matrimonio consentientium Parochiana nosrea ex altera (signé) daschmann, Liebin (i 27)
Marie Anne Lieb meurt en 1795
1795 (15 ther. 3) Strasbourg 13 (3, nouvelle cote 4), M° Bremsinger n° 248 – Enregistrement de Strasbourg, acp 36 F° 108 du 21 ther. 3
Inventarium über Weÿl. der Ehr: und tugendsamen Maria Anna Liebin, Conrad Daschmann des bürgers und Caffée Sieders Ehefrau, nach ihrem vorigen Monath Vendemiaire aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlich nach sich gelasen, auf Ansuchen des Wittibers
Benennung der Erben. Die Verstorbene hat zu ihrem rechtsmäßigen Erben ihre mit dem Wittiber seel. erzeugte dreÿ Kindern Nahmentlich 1. Magdalena si etwas über 2 Jahr alt, 2. Elisabetha so 15 Monath alt und 3. Johannes, welcher 6 wochen alt ist, zum Vogt ernannt bürger Jacob Dinckelmann bürger und Sattlermeister allhier
angefangen im Sterbhauß den 25. brumaire 3
der Kinder unverändert vermögen, hausrath 811 lb, activ schulden 272 lb, summa summarum 1083 lb, Ergäntzung der Kinder 89 lb
Theibare Nahrung, hausrath 123 lb, schulden aus dem Erb zu bezahlen 142 lb, Compensando 29 lb
Eheberedung, vor mir Notario den 5. maÿ 1790 errichtet (…)
Conrad Daschmann épouse Marie Ursule Schweinberger veuve de Pierre Magnin
Mariage, Strasbourg (n° 130) Cejourd’hui 28 Brumaire de l’année troisième de la République françoise une et indivisible (…) d’une part Conrad André Daschmann, Caffetier agé de 30 ans domicilié en cette commune depuis six ans, natif de Kostheim sur le Mayn en Allemagne fils légitime d’André Daschmann vigneron audit lieu et d’Elisabeth N. Veuf de Marie Lieb de l’autre et Marie Ursule Schweinberger, agée de 43 ans domiciliés en cette commune depuis douze ans, native de Zell dit Wiesenthal Département du Haut rhin, fille légitime de feu Veit Schweinberger, maréchal audit lieu et de feue Hélène Gambser, veuve de Pierre Magnin Capitaine (i 70)
Devenue veuve, Ursule Schweinberger se remarie avec Jean Hartmann en 1812
1812 (13.8.), Strasbourg 5 (36), M° F. Grimmer n° 7796 – Enregistrement de Strasbourg, acp 120 F° 81-v du 14.8.
Contrat de mariage – Jean Hartmann chargeur à la douane veuf de Madeleine Voltz
Ursule Schweinberger veuve sans enfant de Conrad Daschmann cabaretier
Mariage, Strasbourg (n° 340)
Acte de mariage, le 18 août 1812, Jean Népomucène Hartmann, majeur d’ans, né le 17 Mai 1754 à Brudershof en Bavière domicilié à Strasbourg, Journal, veuf de Marie Madeleine Voltz décédée en cette ville le 3 avril dernier, fils de feu Simon Hartmann cultivateur à Brudershof et de feu Barbe Waldmann
et Marie Ursule Schweinberger, majeure d’ans née le 16. septembre 1751 à Zell en wissenthal ci-devant prncipauté de Donaueschingen, domiciliée à Strasbourg veuve en secondes noces de Conrad André Daschmann, marqueur, décédé en cette ville le 5 avril de l’année dernière, fille de feu Veit Schweinberger, forgeron, et de feue Hélène Gambser (i 37)
Conrad Daschmann vend la maison au mineur Joseph Lehmann, employé dans les fourrages pour 4 938 francs
1810 (9.4.), Strasbourg 12 (30), M° Wengler n° 4713 – Enregistrement de Strasbourg, acp 114 f° 112 du 12.4.
Conrad Daschmann ci devant cabaretier domicilié rue du bain aux plantes n° 21 et Ursule Schweinberger
à Laurent Meyer négociant et Joseph Lehmann employé dans les fourrages ce dernier sous l’assistance d’Isidore Lehmann ci devant garde magasin des fourages attendu que Joseph Lehmann est encore mineur
une maison et trefond avec toutes ses appartenances, droits et dépendances, quatre fourneaux dont trois de fer de fonte et un de fer étamé, sise à Strasbourg rue du bain aux plantes n° 21, d’un côté le Sr Rauch marchand de coton, d’autre le Sr Jost tanneur, devant la rue et derrière le Sr Cuntz baigneur – acquis de Jean Daniel Bruckmann marchand de coton, par acte M° Bossenius le 2 floréal 5, ledit Bruckmann en a fait acquisition de Marie Salomé Giettelmann née Michelbach à la Chambre des Contrats le 22 jan. 1784 – pour 4938 francs ou 5000 livres
Joseph Lehmann, juif natif de Bischheim, épousera en 1813 Rose Bernheim veuve de Benoit Bernheim
1813 (14.10.), Strasbourg 7 (50), M° Stoeber jeune n° 244 – Enregistrement de Strasbourg, acp 123 F° 145-v du 22.10.
Contrat de mariage – Joseph Lehmann savonnier fils de Léonard Lehmann propriétaire et de Jeannette Disbeck
Rose Bernheim veuve de Benoit Bernheim négociant assitée de Nathan Simon Levy commerçant à Bollweiler (Haut Rhin) son beau père
Mariage, Strasbourg (n° 356)
Acte de mariage le 18 Octobre 1813, Joseph Lehmann mineur d’ans né en légitime mariage le 15 août 1790 à Bischheim au Saum domicilié de droit à Strasbourg, Commis-marchand, fils de Léonard Lehmann, négociant et de Jeannette Dispeck conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentans, et Rose Bernheim majeure d’ans, née en légitime mariage le 29 mars 1789 à Pfastatt département au Haut-Rhin domiciliée à Strasbourg veuve de Benoît Bernheim, négociant décédé en cette ville le 19 mars de l’année dernière, fille de feu Schaüe Bernheim, négociant et de Beylen Weyl (signé) Joseph Lehmann, Roß bernheim (i 37)
Joseph Lehmann vend la maison à Jean Geoffroi Schæffer pour 5 000 francs
1811 (12.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 35), M° Bossenius n° 3331 – Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 121-v du 13.12.
Laurent Meyer négociant domicilié rue du Fil n° 3 & Joseph Lehmann savonnier demeurant rue St Marc n° 21 majeur
à Jean Geofroi Schaeffer propriétaire grand rue n° 5
une maison avec tous ses droits, appartenances et dépendances sise en cette ville rue du bain aux plantes n° 21, d’un côté celle des héritiers Rauch d’autre celle du Sr Jost tanneur derrière propriété du Sr Cuntz baigneur – cédé par Conrad Daschmann et Ursule Schweinberger par acte M° Wengler le 9 avril 1810 trans. au bureau des hypothèques vol. 52 n° 22, ledit Daschmann a acquis ladite maison devant le souss. le 2 floréal 5 de Jean Daniel Brickmann marchand de coton qui en a fait acquisition de Marie Salomé Gietelmann née Michelbach par acte à la Chambre des Contrats le 22 nov. 1784 – pour 5000 francs
Jean Geoffroi Schæffer est incrit à la tribu du Miroir en 1758 en se déclarant marchand de fer
1768 (18.1.), Miroir (XI 279), (f° 3) Montags, den 18. Januarii 1768
Eodem bei gehaltenem Kaufgericht, E. Leibzünftiger – Hr Johann Gottfried Schäffer jun: des weil. H. Joh: Carl Schäffer, dißorts leibzünfftig gewesenen Eisenhändlers und burgers allhier hinterl. ehl. Sohn, stehet Vorn producirt Schein erlernter Handlung Von denen Hh. Kellner und Städel Zu Franckfurt am Maÿn den 8.ten Aprilis 1760. ertheilt, und Stallschein Vom heutigen Tag mit bitte, ihn gegen Erlag der gewohnlichen Gebühr leibzünfftig als Handelsmanns anzunehmen.
Nach eingesehenen producten und daraufhin gehaltener Umfrag, Erkannt, gegen Erlag ein Pfund Pfenning willfahrt, prom. eod. und declarirt, den Eisenhandel zu führen. Wobey ihm beditten worden, wann er wegen erlernter Materialhandlung in Zukunft die Specereihandlung treiben wollten er deßfals Vor Gg. Hh. die XV. zu Verweisen seÿe.
Il se marie l’année suivante avec Marie Elisabeth Strohmeyer fille de marchand : contrat de mariage, célébration
1769 (28. 9.bris), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 365
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenvest und Vorachtbahren Herren Joh: Gottfried Schäffer dem leedigen Handelsmann, Weÿland Herrn Johann Carl Schäffers des auch geweßenen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg seel. mit frauen Maria Salome gebohrner Hutschenreutherin ehelich erzeugtem Hn Sohn als dem Hn Bräutigam, beÿständlich Herrn Joh: Heinrich Krafft auch handelsmanns und burgers allhier seines geliebten Hn Schwagers ane einem,
So dann der Viel Ehr und tugendgezierten Jungfer Mariä Elisabethä Strohmeÿerin, Herrn Philipp Georg Strohmeÿers auch Handelsmanns und burgers allhier mit frauen Maria Elisabetha geb. Heimin ehelich erzeugten Jungfer tochter als der Jungfer hochzeiterin beÿständlich dießes Ihres geliebten Hn Vatters ane dem andern theil – So beschehen in Straßb. auf dienstag den 28. 9.bre 1769 [unterzeichnet] Johann Gottfried Schäffer als Hochzeiter, Maria Elisabetha Stromeÿerin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 161)
Im Jahr Christi 1770, Sonntags den 25. Februarii abends nach Vier Uhr (…) aug gegebene schrifftl. Erlaubnus des Regierenden Hn. Ammeisters de die 16.ten febr. 1770. in allhiesiger Prediger: Kirch ehelich mit einander copulirt und eingesegnet H. Johann Gottfriedt Schäfer, lediger Handelsmann von hier gebürtig, weÿl. Hn Johann Carl Schäfers gewesenen Handelsmanns und burgers allhier, und deßen hinterlassenr Wittib Fr. Maria Salome gb. Hutschenreuterin, ehl. erzeugter Sohn, und Jgf. Maria Elisabetha Strohmeÿerin Hn Philipp Georg Strohmeÿers, handelsmanns und burgers allhier und deßen Ehegattin Fr. Maria Elisabetha gb. Heimin ehl. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Schäffer als Hochzeiter, Maria Elisabetha Stromeÿerin als hochzeiterin (i 169)
Inventaire des apports dressé dans une maison rue des Tonneliers. Le mari apporte 1592 livres, la femme 1054
1770 (21.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 729) n° 779
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Vorachtbahren Herrn Johann Gottfried Schäffers Vornehmen Handelsmanns und der Viel Ehr und tugendgezierten frauen Mariä Elisabethä Schäfferin gebr. Strohmeÿerin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – sich Vemög der Vor mir unterschriebenem Notario den 28.ten 9.bris 1769 mit einander aufgerichteten Heuraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in præsentia Hn. Philipp Georg Strehmeÿers Vornehme handelsmanns und burgers allhier der Ehefrauen gel. H. Vatters auf Sambstag den 21.ten Julÿ A° 1770*
In eine allhier Zu Straßburg ane der Kieffer Gaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behausung befunden worden Wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Herrn in die Ehe gebracht Vermögens, Sa. haußraths 321, Sa. Handlung 1067, Sa. Silbers 11, Sa. goldenen Ring 81, Sa. baarschafft 18, Summa summarum 1502 lb, Darzu ferner beizurechnen die Ihme gebührige Helffte an denen Haussteuren 90 lb, Des Herrn in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 1592. lb
Diesemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 238, Sa. silbers 38, Sa. goldenen Ring 168, Sa. baarschafft 518, Summa summarum 963 lb, Darzugelegt die Ihro der Ehefrauen gebührige Helffte ane denen Haussteuren 90 lb, Macht demnach der Frauen völlig in die Ehe gebrachtes eigenthümliches Vermögen 1054 lb
Haussteuren 181 lb
Inventaire après le décès de Jean Geoffroi Schæffer qui délaisse pour seul héritier son fils Chrétien Henri Schæffer, maréchal des camps et armées du Roi. La succession comprend six maisons dont celle rue du Bain-aux-Plantes
1818 (3.8.), Strasbourg 8 (24), M° Roessel n° 5716 – Enregistrement de Strasbourg. acp 139 F° 183-v du 4.8.
Inventaire de la succession de Jean Géofroi Schaeffer, propriétaire décédé le 2 mars dernier, à la requête de Chrétien Henri Schaeffer, maréchal des camps et armées du Roi, chevalier de l’ordre royal du mérite militaire, seul et unique héritier de son père procréé en légitime mariage avec Marie Elisabeth Stromeyer sa veuve – Contrat de mariage devant Not. Langheinrich le 28 nov. 1769
dans une maison située grand’rue n° 5
mobilier 801 fr, garde robe 112 fr, créances 11 643 fr, ensemble 12 556 fr
immeuble, 1. une maison située à Strasbourg grand’rue n° 5 entre la rue du miroir (…)
2. une maison avec cour aisances et dépendances située à Strasbourg rue de la Fontaine n° 5 (…)
3. une maison avec aisances et dépendances située à Strasbourg rue du Bain aux Plantes n° 21, d’un côté celle du Sr Braunwald tonnelier d’autre celle du Sr Jost tanneur derrière la propriété Sr Kuntz – Un nommé Hürst en est locataire, estimée 5000 fr, acquis de Laurent Meyer négociant et Joseph Lehmann savonnier par acte passé devant M° Bossenius le 12 dec. 1811 transcrit au bureau des hypothèques vol. 6 n° 88, Meyer et Lehmann ont acquis ladite maison de Conrad Daschmann cabaretier, par acte M° Wengler le 9 avril 1810 à Daschmann transmise par Jean Daniel Brickmann marchand de coton par acte M° Bossenius le 2 floreal 5 acquis par Brickmann de Marie Salomé Michelbach femme de Jean Léonard Giettelmann, par acte passé à la Chambre des Contrats le 20 nov. 1784 estimée 5000 fr
4. une maison située à Strasbourg au Marais Vert n° 82 (…)
5. une maison à Illkirch estimée 1200 fr
6. une maison avec aisances et dépendances située à Strasbourg quai des Pêcheurs rue de la Carpe n° 16 (…)
terres à Gugenheim 600 fr, corps de biens à Willgottheim 1200 fr, Illkirch 1440 fr, corps de biens à Graffenstaden 3220 fr, terres à Illkirch 360 fr, ensemble (enreg., 53 320 fr) 65 664 fr, passif 34 739 francs
Consentement à mariage donné par une locataire
1823 (11.11.), Strasbourg 3 (70), M° Schreider n° 1742 – Enregistrement de Strasbourg, acp 165 F° 89 du 12.11.
Consentement à mariage – Marie Reine Specht femme de Georges Pfeiffer, militaire licencié et absent sans nouvelles depuis dix ans demeurant rue du Bain aux Plantes n° 21 au mariage de Georges Pfeiffer musicien au premier régiment des canoniers marins à Toulon avec Camille Arnaud fils d’Honoré, drapier à Toulon département du Var
Chrétien Henri Schæffer vend pour 3 000 francs la maison à Xavier Radat et à Madeleine Lux
1828 (26.4.), Strasbourg 8 (nouv. cote 45), M° G. Grimmer n° 2181 – Enregistrement de Strasbourg, acp 189 F° 69-v du 5.5.
baron Chrétien Henri Schaeffer, maréchal de camp & armées du Roi, Grand officier de l’Ordre Royal de Chevalier de la Légion d’Honneur, chevalier du Mérite militaire commandant de l’ordre du Phénix et Chevalier de l’ordre de St Ferdinand de seconde classe résidant à Strasbourg
à Xavier Radat, sans état, et Madeleine Lux
une maison avec tous ses droits, aisances, appartenances, circonstances et dépendances sise à Strasbourg dans la rue du Bain aux Plantes sous n° 21, d’un côté celle du Sr Braunwald tonnelier, d’autre celle du Sr Jost tanneur, derrière la propriété du Sr Kuntz baigneur – recueilli dans la succession de Jean Geoffroi Schaeffer propriétaire et Marie Elisabeth Stromeyer dont il était seul et unique héritier, les époux Schaeffer l’ont acquise de Laurent Meyer, négociant, et Joseph Lehmann, savonnier par acte M° Bossenius le 12 décembre 1811, Meyer & Lehmann ont acquis la maison de Conrad Daschmann, cabaretier, par acte M° Wengler le 9 avril 1810, ledit Daschmann l’a acquise sur Jean Daniel Brickmann, marchand de coton, par acte M° Bossenius le 2 floréal 5, avenu à Brickmann par Marie Salomé Michelbach femme de Jean Léonard Giettelmann, commerçant par acte passé à la Chambre des Contrats le 20 nov. 1784 – pour 3000 francs
Xavier Radat et Madeleine Lux vendent pour 3 000 francs au boucher Baruch Weil et à Sophie Hallel
1829 (15.2.) Strasbourg 8 (46 nouv. cote), M° G. Grimmer n° 2604 – Enregistrement de Strasbourg, acp 193 F° 85 du 17.2.
Xavier Radat, sans profession, et Madeleine Lux
à Baruch Weil, boucher, et Sophie Hallel
une maison avec tous ses droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg dans la rue du Bain aux Plantes sous n° 21, d’un côté celle du Sr Braunwald tonnelier, d’autre celle du Sr Jost tanneur, derrière la propriété du Sr Kientz baigneur – acquis du baron Chrétien Henri Schaeffer, maréchal de camp des armées du roi, par acte passé devant M° G. Grimmer le 26 avril de l’année dernière 1828 transcrit au bureau des hypothèques 211 n° 119 – pour 3000 francs
Baruch Weil et Sophie Hallel vendent la maison au fabricant de cuirs Jean Daniel Friedel pour 2 500 francs
1829 (23.12.), Strasbourg 12 (113), M° Noetinger n° 1739 – Enregistrement de Strasbourg, acp 197 f° 141-v du 28.12.
Baruch Weil, boucher, et Sophie Hallel
à Jean Daniel Friedel, fabricant de cuirs
une maison avec appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg dans la rue du Bain aux Plantes n° 21, d’un côté celle du Sr Braunwald tonnelier, d’autre la propriété du Sr Jost tanneur, derrière le Sr Kuntz baigneur – acquis sur Xavier Radat et Madeleine Lux, par acte passé devant M° G. Grimmer le 15 février 1829 transcrit au bureau des hypothèques volume 196 n° 63, Radat acquis du baron Chrétien Henri Schaeffer, maréchal de camp, par acte M° G. Grimmer le 26 avril 1828 transcrit au bureau des hypothèques volume 211n° 119 – pour 2500 francs
La femme de Jean Daniel Friedel, Dorothée Gœtzmann, est morte quelques années plus tôt. L’inventaire est dressé dans une d’autre maison rue du Bain aux Plantes
1825 (2.2.), Strasbourg 4 (60), M° Hatt n° 2133 du 5.1. – Enregistrement de Strasbourg, acp 171 F° 161-v du 3.2.
Inventaire de la succession de Dorothée née Goetzmann femme de Jean Daniel Friedel, tanneur décédée le 3 décembre dernier, à la requête du veuf père et tuteur légal des enfants a) Jean Daniel 9 ans, b) Jules Louis Goeffroi 8 ans 5 mois, c) Frédérique Sophie 6 ans, d) Charles 2 demi e) Louise 3 ans et demi, f) Julie 10 mois – en présence de Jean Jacques Kammerer, brasseur, subrogé tuteur
dans la maison du Bain aux Plantes n° 32
meubles : au premier étage dans la chambre donnant sur l’eau, dans la chambre à côté, dans le corridor, dans la chambre à coucher de M Friedel, dans la cuisine, Au second étage dans la chambre donnant sur l’eau, dans la chambre donnant sur la rue, dans la cave 5024 fr, argenterie 275 fr
une maison consistant en bâtiment de devant, latéraux et de derrière, cour, pompe, droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Bain aux Plantes n° 32, d’un côté en partie Sr Foerster en partie André Speckel tanneur, d’autre le coin de la ruelle appelée cour des Orfèvres, devant la rue du Bain aux Plantes, derrière la Bruche, estimée 9000 fr
propres au veuf, 4. une maison sise à Strasbourg du Bain aux Plantes n° 23, d’un côté le Sr Jost tanneur, d’autre le Sr Coutard gantier, derrière la rivière, devant la rue communale
5. une maison sise même rue n° 9, d’un côté la rue dite de l’Aimant, d’autre la veuve Nagel, derrière la même, provenant d de la succession de des père et mère
Titres et papiers, 1. abandon des maisons et marchandises par ses père et mère par acte s.s.p. en date du 30 mars 1811, Contrat de mariage le 13 oct. 1813, acquisition de la maison du Bain aux Plantes n° 32 par acte M° Wengler le 21 juin 1823
marchandises 19 900 fr, numéraire 2000 fr, créances 4057 fr ; total 40 256 fr
propre, garde robe 574 fr, bijoux 480 fr, reprises 6000 fr, total 7054 fr ; total de la masse 10 256 francs
Mariage, Strasbourg (n° 350)
Acte de mariage le 13 octobre 1813, Jean Daniel Friedel, majeur d’ans, né en légitime mariage le 16 août 1779 à Strasbourg domicilié à Strasbourg, Tanneur, fils de feu Jean Daniel Friedel, tanneur décédé en cette ville le 21 août 1811 et de Madeleine Louise Hemmet ci présente et consentante, et
Dorothée Goetzmann majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 Février 1789 à Rittershoffen domiciliée à Strasbourg fille de Jean Adam Goetzmann, cultivateur à Rittershoffen et de Marie Eve Humbert – (signé) Jean Anne Marie Friedel, Dorothée Goetzmann (i 34)