8, place Broglie


Place Broglie n° 8 – III 271 (Blondel), N 409 puis section 68 parcelle 72 (cadastre)

Reconstruite en 1607 par le tonnelier Michel Kermann – Nouvelle façade en 1780 par le tailleur Jean Hummel
Démolie en 1923 pour agrandir la Banque de France


Place Broglie au début du XX° siècle. Le n° 8 est la troisième maison après le bâtiment néoclassique de la Banque de France sur la gauche (image BNU, Numistral)
Angle de la rue de Bischheim où se trouvait le n° 8 (novembre 2015)

1725 Marché aux Chevaux-Nuée Bleue

La maison à l’angle du Marché aux chevaux et de la rue de l’Evêque est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve de Frédéric Decker. Elle a un encorbellement de vingt pieds de long et deux galeries en bois l’une au-dessus de l’autre vers le Marché, un encorbellement de trente pieds de long rue de l’Evêque (rue de Bischheim). Le tonnelier Michel Kermann la fait reconstruire en 1607. Les préposés refusent qu’il conserve deux encorbellements vers le marché aux Chevaux : la nouvelle maison ne devra avoir qu’un encorbellement à chaque façade mais ils autorisent une galerie vers le marché. Elle appartient ensuite au marchand Laurent Meyer (1664-1684). Le tonnelier Tobie Gundelwein aligne en 1694 la façade avec celle de son voisin qui l’a avancée d’un pied et demi. Le chaudronnier Michel Schwartz loue puis vend (1705) la maison à Philippe Louis Künast, avocat et procureur au Grand Sénat, dont la veuve reste propriétaire jusqu’à sa mort en 1740 à l’âge de quatre-vingt-sept ans. Sur le plan-relief ci-contre (1727), la maison est la dernière de l’ensemble de trois à l’arrière du bâtiment en saillie au milieu de l’image. Les préposés autorisent en 1741 le cartier Pierre Lachapelle à agrandir la marche devant son arcade pour qu’elle soit aussi longue que la façade, en supprimant la porte de cave. Propriétaire pendant quatre ans de la maison, le tapissier Anselme Rondouin la vend en 1747 à Jean Antoine Jaquemin qui y suspend l’enseigne au Grand comte de Saxe. La maison revient par adjudication judiciaire en 1750 à son créancier, l’orfèvre Jean Louis Imlin. Les préposés autorisent en 1771 le tisseur de bas André Windesheim à reconstruire la façade suivant l’alignement à condition de supprimer l’encorbellement dans la rue de l’Evêque : l’affaire ne semble pas avoir de suite. Le tailleur Jean Hummel achète la maison en 1780 et acquiert la même année un terrain communal à l’avant pour pouvoir la reconstruire, à condition d’en arrondir l’angle et ne pas toucher à l’encorbellement dans la ruelle.

Canton III, Marché aux Chevaux-Nuée Bleue57, Plan (sud)
Plan Blondel (1765, ADBR cote 2 L Plan 5) – Plan pour le plan-relief (1830)


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 57 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à trois étages en maçonnerie et quatrième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la place se trouve à gauche du repère (l) : rez-de-chaussée à deux arcades, trois étages à trois fenêtres chacun surmontés d’un demi-toit. La façade (l-m) vers la ruelle comprend une porte, quatre étages à fenêtres irrégulièrement disposées et un étage sous combles.
La maison porte d’abord le n° 9 (1784-1857) puis le n° 8.

Employé à la recette générale, Jacques Klein acquiert en 1805 la maison qui sera vendue en 1840 par ses petits-enfants au marchand de vins Joseph Fritsch originaire de Kogenheim. D’après le rapport d’experts dressé en 1839, le bâtiment construit en pierre et partie en galandure comprend au rez-de-chaussée une boutique et une cuisine, au premier étage deux pièces et une cuisine, au deuxième étage de même, au troisième étage trois pièces et une cuisine, au quatrième étage quatre pièces et une cuisine, enfin six chambres aux mansardes. Joseph Fritsch agrandit en 1860 la maison dont la façade sur la place gagne un étage comme on peut le voir sur la photographie ci-dessus. Il y exploite un cabaret qu’il loue en 1860 à Eugène Hackenspieler puis en 1867 à Jean Fornès.
Le restaurant porte en 1905 l’enseigne Au prince royal (Zum deutschen Kronprinz). La Banque de France achète la maison et la fait démolir en 1923 pour agrandir son bâtiment.

janvier 2022

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Frédéric Decker, fripier, et (v. 1562) Catherine puis (1574) Catherine, veuve du remueur de grains Loup Burckhard – luthériens
v Michel Kermann, serrurier, et (1598) Susanne Hutter, remariée (1628) avec le prédicateur Georges Fischbach
1634 v (⅓) Jean Jacques Seupel, orfèvre, et (1625) Euphrosine von Botzheim – luthériens
(⅔) David Geiger, marchand, et (1620) Anne Zetzner – luthériens
1664 v Laurent Meyer, marchand, et (1653) Marie Salomé Geiger – luthériens
1684 v Tobie Gundelwein, tonnelier, et (1684) Anne Marie Rohner puis (1686) Apollonie Schnitzler – luthériens
1699 v Michel Schwartz, chaudronnier, et (1680) Sara Voltz – luthériens
1705 v Philippe Louis Künast, avocat et procureur au Grand Sénat, et (1687) Salomé Saltzmann – luthériens
1740 h Jean Michel Zentgraff, juriste et procureur au Grand Sénat, et (1717) Salomé Künast – luthériens
1741 v Pierre Lachapelle, cartier, et (1711) Elisabeth Delhée – catholiques
1742 v Anselme Rondouin, tapissier, et (1736) Catherine Dorothée Reineri puis (1743) Anne Claire Damisson – catholiques
1747 v Jean Antoine Jaquemin dit la Fontaine, cafetier, et (1735) Marie Anne Nicole Lambert, veuve du sergent Abdon Sonners, puis (1737) Marie Anne Prefosse – catholiques
1750 adj Jean Louis Imlin, orfèvre, et (1721) Anne Salomé Boch – luthériens
1765 v André Windesheim, tisseur de bas, et (1762) Marie Madeleine Wittmann, d’abord (1739) femme du couvreur en ardoises Jean Urie Reichard – luthériens
1780 h Jean Hummel, tailleur, et (1774) Marie Catherine Reichard, (1799) Christine Bentz, veuve du marchand de grains Jean Henri Hertenstein, puis (1804) Salomé Leonhard, veuve du farinier Thiébaut Duringer – luthériens
1805 v Jacques Klein, employé à la recette générale, et (1785) Marie Anne Fender – catholiques
1837 h Frédéric Joseph Solms, employé des droits réunis, et (1807) Marie Thérèse Klein
1839 h Edouard de Solms, consul du roi de Wurtemberg, et (1839) Adrienne Olympe de Bentzon
1840 v Joseph Fritsch, marchand de vins, et (1839) Marie Jeannette Kœssler, d’abord (1836) femme d’Aloyse Rohmer
1883* v Raphael Weil, rentier, et Emilie Weil
1890* v Michel Wallrapp, restaurateur, et Barbe Salcher
1921* v Banque de France

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 900 livres en 1764, 1000 livres en 1779

(1765, Liste Blondel) III 271, au Sr Immeling
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wintersheim, 7 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 409, Klein, Jacques, veuve – maison, sol – 0,54 are / Fritsch Joseph / Solms Frédéric Joseph

Locations

1703, Philippe Louis Künast, avocat et procureur au Grand Sénat (futur propriétaire)
1767, Nicolas Derose, perruquier, et (1738) Jeanne Lassia
1781, (boutique) Jean Knoderer, maître sellier
1789, François Antoine Brunelot dit Duchemin, perruquier
1796, Nicolas Davion, conducteur de l’artillerie
1860, (cabaret) Eugène Hackenspieler
1867, (cabaret) Jean Fornès, aubergiste

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 260
La veuve de Frédéric Decker a une maison qui donne en partie dans la rue de l’Evêque et en partie sur le Marché aux chevaux. Elle règle 5 sols 4 deniers pour la façade rue de l’Evêque, à savoir un encorbellement (30 pieds de long, la saillie faisant à chaque extrémité 20 pouces et au milieu 3 pieds), deux plates-formes (3 pieds ½ de long, saillie de 2 pieds 3 pouces), en outre deux plates-formes (2 pieds ½ de long, saillie de 1 pieds ½), un autre encorbellement (31 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds), trois chenaux en bois.
Elle règle 16 sols pour la façade Marché aux chevaux, à savoir un encorbellement (20 pieds de long, saillie de 2 pieds ½), deux galeries en bois l’une au-dessus de l’autre de mêmes dimensions (saille de 3 pieds comme l’encorbellement), une porte de cave inclinée (7 pieds de large saillie de 3 pieds) quatre plates-formes en pierre devant la porte (9 pieds de long, saillie de 4 pieds)

Anderseitt Bischoffs gaßen
Friderich Deckhers selligen Wittwe hatt in Bischofs gassen an Ihrem hauß ein Vsstoß xxx schu lang, an beeden Enden Jedem xx Zoll, Vnd In mitten iij schu herauß, Mehr Zwen steinen Tritt iii+ schu lang, ij schu iij Zoll herauß, Mehr Zwen steinen Tritt ij schu lang, i+ schu herauß, Aber mahl ein Vsstoß xxxi+ schu lang, iij schu herauß, sampt iij hültzinenn Näechen, Bessert für das Niessen, xiij ß iiij d

Aber am Roßmarckt
Friderich Deckhers selligen hauß hatt auch vornen gegen dem Roßmarckh hienauß ein Ausstoß xx schu lang, ii+ schu herauß, Darüber noch Zwen hültzine Gänge Über einander beede also lang, Wie der Vsstoß iii+ schu herauß, Mehr Vnden am Hauß ein lehenende Kellerthüer vij schu breÿt, iij schu herauß, Vndt dann Vor der haußthüeren Vier steinen Tritt ix schu lang, iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, xvj ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1607, Préposés au bâtiment (VII 1322)
Le serrurier Michel Kermann a l’intention de reconstruire sa maison au Marché aux Chevaux. Les préposés l’autorisent le 11 février à ériger une baraque pour y abriter sa chaux le temps des travaux.
Michel Kermann qui a en partie démoli sa maison demande le 9 avril l’autorisation de reconstruire l’encorbellement dans la rue de l’Evêque et les deux encorbellements vers le marché aux Chevaux pour qu’elle ne devienne pas trop petite. Bien que les voisins du marché aux Chevaux aient eux aussi deux encorbellements superposés, les préposés n’en autorisent qu’un à chaque façade. Le pétitionnaire pourra cependant remplacer le deuxième encorbellement par une galerie. Il proteste que la menuiserie est déjà préparée mais les préposés maintiennent leur avis. Les préposés constatent le 17 juillet que Michel Kermann a fait faire deux galeries superposées vers la place et cinq auvents dans la ruelle. Le propriétaire devra faire démolir la deuxième galerie et payer un cens pour les auvents. Il introduit une nouvelle requête pour conserver la galerie et diminuer le cens mais accepte le 31 octobre d’obtempérér à la décision des Quinze.

Michel Kerman der schloßer vffm Roßmarck – Hans Schwartz der Zimmermann
(f° 14-v) Mittwoch 11. Febr. – Michel Kerman schloßer vffm Roßmr. sagt seÿ willens Zu bawen, hab er kein platz sein kalck stend Zuleg. so lige es vffm Rossmarckt nit sicher bittet deshalb Ihm 2 Monatlang ein hütt vor seiner thier an d. Lannderen Zu gönnen vffzuschlagen, darin Zusamlen. Erk. Ist Ihm willfahrt solls dielen lang vnd halb dÿlen brait, bedanckt sichs, beyts nit leng. weder wie gehört.

(f° 49) d. 9. Aprilis – Michel Kerman der schloßer Im Eckhauß an d. bischoffsgaß vffm Roßmarck muß sein alt hauß bawen vnd Ist theils abgebrochen, der bittet Ihme seine 3. alte vberheng so er gehabt von newem Zumachen widerumb Zu gestatten, wolte etlich alte balcken ligen lassen nemlich den vberhang In die Bischoffs gaß hinein, so 3 schuh minus 3 Zoll heraus ghet, So dann die 2 vberheng gegen dem Rossmarck vber einander, deren Jeder auch 3 schuh herauß ghnet, dan sonst Ihm sein hauß gar Zu Eng bitt derhalb gar freündtlich wie gebetten,
Ist darvon geredt, Ob wol seine nachbaren gegen dem Roßmarck auch 2 vberheng vber einand. haben, Jedoch weil es gar ein vbelstandt, soll mann Ihme die Zwen vberheng dem einen In die gaß, den Andern gegend em Roßmarch Zulassen, vnd an statt des dritten vberhangs einen gang für herauß so offen wie ein gang, aber kein vberhang & vnd das er mit dem vberhang In der gaß weiter nit herauß fahre weder dahinden sein Nachbarn d. Ist vff 7. od. 8. Zoll hinein weiche. Its Ihm anzeigt, Der beschwert sich vnd gehebt sich gar vbel, Es seie schon alles gezÿmert, vnd seÿ nur vffzuschlag., könns nit mehr ändern, hab nit gewußt dß. er ansuch. müße, bitt vmb gotts willen Ihm Zugestatten, uts.
Ist wider vmbgefragt vnd was sein begeren In die gaß anlangt, mag ers In gotts namen machen wie Vorhin, Aber den 3. Überhang oben In d. höhe Ist nochmals abgeschlagen, doch mag er anstatt desselben einen gang machen, vnd weil der Zimmerman Ihnen Zu solchen costen Verursacht mag er sich an demselben erholen, oder der veränderung halb vergleichen, der bittet abermalen vmb gottes willen Ihnen als ein Armen handwercksman Zu bedencken & Aber et bleibt wie gehört.

(f° 100-v) Freitag 17.t Julÿ – Michel Kerman schloßer – Hans Schwartz
Demnach Michel Kerman d. schuemacher In dem eckhauß an der bischofs gassen vff dem Roßmarck wie hieuornen fol. 49 Zufünd. beÿ B vnd 3 Zween vberheng vnd einen gang gegen der Almend erholten, Aber er Zwen gäng vbereinand. gemacht hat, so Ihm vff damalig. Augenschein rund abgeschlagen worden, vnd solchs den B fürkommen seind sie vff den Augenschein gefahren, vnd desselb also befunden, vnd das niemand wed. der Zimmerman daran schuldig, Item so hat er auch an seinen gebel In die bischoffs gaß fünff wetterdächlin vber einand. gemacht, so die herren beduncken Zu groß od. breit sein.
Derhalb dißmal davon geredt, vnd Erkandt, den obersten gang widerum abzuschneiden, vnd weilen die 5 wetterdächlein vngefragt so brait gemacht, Ist darvon geredt ob man nit Zinß druff schlagen, od. vfflegen soll, dieselben wider abzubrechen, Seind etlich der meinung weil sie nur Zu beschirmung des gebels vorm Regen, vnd Zu kein Andern brauch gemacht, dieselben bleiben zu lassen, ohne Zinß, aber es Ist durchs mehr erkhandt vff solche ein leidenlichen Zinß Jedes & d thut 2 ß 6 d Zuschlagen, vnd weil der Zimmerman hanns Schwartz hieuor von B vnd 3 verwahrnt vnd Ihme zu Gesprochen worden, vnd er vber verpott dissen Schloßer Zu solchen costen gebracht, Ist demselben Zu straff 10 h d vffgelegt worden
der schloßer bittet gantz vnderthenig für den Zinß der 2 ß 6 d, wolle solche 5 dächlin In etwas schmäler machen, Sein vatter aber der etwas vnbescheidener od. trotzig. wortt gebraucht, mit vermelden In Vttengaß seien armens* hauß gerings herumb eben so groß & Ist vff solchs beÿ vorig. bescheidt gelassen.

(f° 104) Montag den 20. Julÿ 607. – Hans Schwartz Zimmerman vbergibt Supplication, setzt dß. Ihme wegen Michel Kermans des schloßers 5. Wetterdächlin Ihme 5 h d besserung vff gelegt, so ihme Zu schwer, habs nit gewusst d. vnrecht vnd bitt vmb Nachlaß, abdretten.
Erkandt, Ist ihm angezeigt es seie Ihm 10 h d nit wegen der Wetterdächlin sond. wegen des baws den er vffs Almend ungefragt, vnd als Ihm bevohlen densemben Zu verändern, denselben nit geändert, dessen aber unangesehen für Zu steh. Zu bedacht gezogen word. Woll mans deb B. fürbring.

(f° 155) Donstag 22.ten octobris – Michel Kermans schloßers Supplication vmb Nachlassung der 5 plapert von den wetterdächlin Zu Zinß, vnd vmb Zulassung des obersten gangs Ist abgelesen, vnd Erkandt souil den gang anlangt, soll er beÿ 5 h d denelben abschneiden vnd wegthun wie hieuor Erkandt, die Wetterdächlin soll er gemelten Zinß von denselben von jed. 6 d geben od.mag sie wider hinweg thun, od. In gemeiner braide mach. – vnd. fo: 160.
Hans Schwartzen Zimmermans Supplication so gemelt. Kerman der baw vber verbott gemacht deßhalb Ihme 10 h d obgefordert worden, vnd vmb Nachlaß gebetten, Ist abgelesen vnd darvon geredt, das man Ihm des halb soll nachlaß ds. vbrige halb 5 h d soll er erleg. vnd bezalen.

(f° 157) Sambstag 24. Octobris – Hans Schwartzen Zimmerman seind 5 h d abgefordert wegen michel Kermans baw wie hieuornen Zusehen, solls In 8 tag. Erlegen, der schwört das ers nit habe, bittet vmb gnad. Ist Ihm anzeigt wan de In 6 tag 3 h bringt soll Ihm besserer bescheid. werd. der will sein Vermög thun (Zaltt 3 h d den 4 9.br. 307)

(f° 160) Sambstag 31.t Octob. – Michel Kerman dem schloßer Ist angezeigt beÿ 5 h d sein oberst. gang so er wid. ordnung gemacht, abschneiden soll, deßgleichen von den 5 wetterdächlin soll er 2 ß 6 d Zinß solang er solche behaltet. d. Ists Zufind. Wills In 14 tag wegschneid.

1694, Préposés au bâtiment (VII 1376)
Les préposés autorisent le 8 octobre 1694 le tonnelier Tobie Gundelwein à aligner sa façade avec celle de son voisin Pierre Lizan qui l’a avancée d’un pied et demi.
Tobie Gundelwein demande quelques jours plus tard l’autorisation d’enclore un terrain communal ruelle de l’Evêque. L’affaire est renvoyée à la session suivante mais n’a pas de suite.

(f° 56-v) Mittwoch den 7. ejusdem [Julÿ] – Tobias Gundelwein Ca. Pierre Licent (Lizan)
Tobias Gundelwein Ca. Pierre Licent den Frantzösischen Schreiner, Klagt daß er 1 ½ schuh mit seiner Maur, neben sein Gundelweins hauß vff dem roßmarckt, herauß fahre, und ihme den prospect benehme. Auff Zuvor eingenommenen augenschein, Erkandt, soll ihme auch erlaubt sein, mit seiner Maur soweit auff daß Allmendt Zufahren, daß sie der andern gleich Werde, wegen der Gemeinen Maur aber sollen beede Werckmeister einen augenschein einnehmen und MHH. referiren

(f° 81) Dienstags den 5. Ejusdem [Octobris] – Tobias Gundelwein
Augenschein eingenommen an Tobiæ Gundelweins, des Küeffers Eck behaußung, an der Bischoffs: gaßen, alwo in gedachter gassen unter seinem Überhang Er mit seinem hauß 31. schuhe in der länge und 1. schuhe in der breite auff das allmend herauß Zufahren Verlangt. Erk. Bedacht.

(f° 81-v) Montag den 11. Octobris – Tobias Gundelwein
Ingleichem ist Tobiæ Gundelwein mit einzäunung des Allmends an seinem Hauß an der Bischoffs gaßen, gebettener maßen willfahrt worden, und solle der Zinnß den Er jährlichen davon Zuentrichten haben würd, beÿ nächster session reguliren werd.

1741, Préposés au bâtiment (VII 1399)
Les préposés autorisent le cartier Pierre la Chapelle à agrandir la marche devant son arcade pour qu’elle soit aussi longue que la maison. Il s’engage à supprimer la porte de cave qui dépasse cette marche.

(f° 125) Dienstags den 30. Ejusdem [May] – Pierre la Chapelle
Pierre la Chapelle der Kartenmacher bittet umb erlaubnus die Zweÿ steinere stafflen Vor der thür seines erkaufften Eckhaußes an der Bischoffsgaß auf dem Roßmarck, an seinem bogen Hin so breit das hauß ist, Zu Continuiren, offerirt Hingegen die noch etliche schuhe Vor die stafflen Hervorgehende Kellerthür Hinweg Zuthun. Erkannt auf solche weiß Willfahrt.

1747, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Les préposés refusent que le cafetier Jean Antoine Jacquemin construise à l’aplomb de son encorbellement.

(f° 171) Eodem die 24. Octobris 1747. Augenschein eingenommen worden – Jean Antoine Jacquemin
An Jean Antoine Jacquemin des Caffetier Hauß auff den Roßmarck, oder dermahlen Neüen Kornmarck am Eck der Bischoffsgaß, welcher um erlaubnus gebetten unter seinem 18. schuhe Lang, und 15. Zoll tieffen Überhang, soweil derselbe Herauß Gehet, Vorzubauen. Erkannt, begehren Abgeleint.

1771, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le maître maçon Marc Sporer demande le 16 avril au nom d’André Windesheim l’autorisation de renconstruire la façade suivant l’alignement. Les préposés acceptent à condition que le propriétaire supprime l’encorbellement dans la rue de l’Evêque. Ils se tiennent à leur décision quand le propriétaire réitère sa demande quelques jours plus tard.

(f° 79-v) Dienstags den 16. Aprilis 1771 – Marx Sporer nôe. Andres Windesheim
Mr Marx Sporer, der Maurer nôe. Andres Windesheim des Strumpfwebers, bittet zu erlauben an deßen behausung ane dem Roß Marckt gelegen, so das Eck in die dasige bischoffs Gaß machet, eine neue façade der Flucht gegen dem Roß Marckt nach aufbauen zu dörfen.
Erkannt, Würde der Überhang in der Bischoffs Gaß Zugleich weggemacht werden Willfahrt, widrigen falls mit seinem begehren abgewiesen.

(f° 82-v) Dienstags den 23. Aprilis 1771 – Andres Windesheim
Andres Windesheim, der Strumpffweber, bittet nochmalen ihme zu erlauben an seinem Haus am Eck des Roßmarckts: und Bischoff Gaß gelegen, nur die façade gegen dem Rosmarckt aufbauen Zu dörfen und den Überhang in die Bischoffsgaß dermalen noch zulaßen.
Erkannt, abgewiesen und soll es beÿ der den 16. Aprilis jüngst ergangenen Erkanntnus sein verbleiben haben.

1780, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Les préposés cèdent en mai 1780 au tailleur Jean Hummel un terrain de 2 toises 1 pied 3 pouces carrés devant sa maison pour pouvoir la reconstruire. La propriétaire devra arrondir l’angle et ne pas toucher à l’encorbellement dans la ruelle (voir aussi plus bas l’obligation passée par Jean Hummel pour régler les frais de construction).

(f° 38) Dienstag den 4. Aprilis 1780 – Mr Johannes Hummel, Schneider
Mr Andreas Stahl, der Maurer, nôe. Meister Johannes Hummel, des Schneiders, bittet Zu erlauben an deßen Behausung ane dem Roß Marckt am Eck der Bischoffs Gaß gelegen, die vordere façade gegen dem Roß Marckt dem Alignement nach aufzuführen, den Überhang aber in der Bischoffs Gaß zu laßen.
Erkannt, Mit dem Anhang Willfahrt, daßjenige Stück, so er dem Alignement nach gegen dem Roß Marckt herausfahret nach der Flucht in dem Gäßel vom boden aufzuführen, das Eck zu arrondiren und den Überhang in der Bischoffs Gaß im geringsten nicht zu berühren.

(f° 67) Dienstags den 23.sten Maji 1780. – Johannes Hummel
Herr Bauinspector Boudhors Zufolg Decret vom 14.ten Martii jüngst producirt Notte von dem an Meister Johannes Hummel den burger und schneidermeister überlaßenen Allmend zufolg welchem selbiger mit seinem auf dem Broglie gelegenen hauß beÿ erbauung deßelben nach dem ihme gegebenen Allignement 2. Claffter 1. schuh 3. Zoll quadrat meß auf das Allmend des dritten Cantons herausgefahren weswegen derselbe das Claffter zu 24 Livres gerechnet die summ von 53 Livres zu zahlen. Erkannt, Verzeichnus.

1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Les préposés refusent à Jean Hummel l’autorisation d’ouvrir des croisées dans l’encorbellement vers la ruelle et de le peindre

(f° 304-v) Dienstags den 3. Julii 1787. – Johann Hummel, Schneider
Mr Kraufen, des Maurers Wittib, nôe Johann Hummel, des Schneiders, bittet zu erlauben an seiner Behausung an dem Roß Marckt gelegen, an dem daran auff der Bischoffs Gaß befindlichen Überhang etliche Kreutzstöck einsetzen auch denselben ausbeßern und anstreichen Zu laßen. Erkannt, abweisung.

Description de la maison

  • 1779 (billet d’estimation traduit) La maison comprend quatre poêles, quatre cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2000 florins
  • 1839 (Rapport d’experts)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue du marché aux Chevaux

nouveau N° / ancien N° : 17 / 9
Klein
Rez de chaussée et 3 étages en maçonnerie le 4° étage en bois bon état
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 112 case 1

Fritsch Joseph à Strasbourg

N 409, maison, sol, marché aux chevaux 9
Contenance : 0,54
Revenu total : 189,28 (189 et 0,28)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 11

Cadastre napoléonien, registre f° 22 f° 674 case 2

Fritsch Joseph – (1746)
1883 Weill Raphael Rentner
1890/1 Wallrapp, Michel, Gastwirt und Ehefrau Barbara geb. Salcher in Gg.
(ancien folio 422)

N 409, maison, sol, Place du Broglie 8
Contenance : 0,54
Revenu total : 189,28 (189 et 0,28)
Folio de provenance : (112)
Folio de destination : 422
Année d’entrée :
Année de sortie : 1863
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 11

N 409, maison
Revenu total : 354,28 (354 et 0,28)
Folio de provenance : 422
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1863
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 26 / 21
fenêtres du 3° et au-dessus : 14/11
1863, Augmentations – Fritsch Joseph f° 422, N 409, maison, revenu 354, augmentation de construction, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863
Diminutions – Fritsch Joseph f° 422, N 409, maison, revenu 189, augmentation de construction, supp. en 1863, voir les augmentations

N 487, sol [rue de Bischheim n° 1]
Contenance : 0,48 (total 1,02)
Revenu total : 354,53 (354 et 0,53)
Folio de provenance : 634-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1877

Cadastre allemand, registre 32 folio 548 case 5

Parcelle, section 68, n° 72 – autrefois N 409, 487
Canton : Broglie Platz Hs. N° 8 – Place Broglie
Désignation : Hf, Whs u. N. G. – 1019, 1398, 2311
Contenance : 1,00 (0,43) – Reinertrag 5,00 (2,15)
Revenu : 4600 / 2500
Remarques : 1923 démolition
1929 dim. p. 559 c. 3. et d* sect. 64 parc. 47 [impasse de Bischheim, voie publique]
1942 S 549 F. 3 [place Broglie n° 5]

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1921), compte 3651
Wallrapp Michael u. Ehefrau
1914 Wallrapp Michael Wittwe geb. Salcher
gelöscht 1921

(Propriétaire à partir de l’exercice 1921), compte 1676
Banque de France à Paris

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 3, Rue 76 du Marché aux Chevaux

9
Pr. Hommel Jean Tailleur – Tailleurs
Loc. Mr Kellermann Capt. au Regt de Salm Salm

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 76 Marché aux Chevaux f° 95

9
Pr. Hommel Jean, tailleur – Tailleur
lo: Kellermann Capt. au Rgt de Salm Salm

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Broglieplatz (Seite 18)

(Haus Nr.) 8
Ganter, Wirt Zum deutschen Kronprinz. 0123
Göller, Garderobiere. 4
Griesa, Chorsänger. 4
Loegel, Koch. 4
Schurrer, Kellner 4

Annuaire d’adresses 1920, p. 56 (i 31) Place Broglie
8
[Wallrapp M., P.]
Heitz C., aubergiste. 0123
(Les annuaires suivants ne mentionnent plus l’adresse)


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve Frédéric Decker.
Le fripier Frédéric Decker achète le 12 février 1561 le droit de bourgeoisie

1561, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p.
Friderich Decker ein Althgewend. hatt d. burgkrecht Kaufft und dient Zur Mörin uff Mittwoch den 12.ten Februarÿ A° Lxj.

Il fait baptiser des enfants de sa femme Catherine à Saint-Pierre-le-Jeune à partir de 1564.
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 95) 1564. Dominica Paschatis. P. Friderich Decker, m. Catharina, I. Maria (i 52)
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 149) 1565. Dominica Trinit. P. Friderich Decker altgewend. m. Katharina, I. Andreas. Compat. Martzolff Meÿgel schaffner Zum Jung. S. Peter, Caspar N. der bader im Reÿff Bad, Eva Schotten Jacobs v. tochter (i 80)

Le gourmet Frédéric Decker se (re)marie en 1574 avec Catherine, veuve du remueur de grains Loup Burckhard
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 209, n° 4)
1574. Dominica Prima post Trinitatis. Friderich Decker der weinsticher vnnd Catharina Wolff Burckharts des Kornwerffers nachgelaßene wittwe. Eingesegnet Montag den 21. Junÿ Außgang auß der braut hauß (i 109)

La maison appartient au début du XVII° siècle au serrurier Michel Kermann qui épouse en 1598 Susanne, fille du boulanger Conrad Hutter

Mariage, cathédrale (luth. p. 31)
1598. Dominica Septuagesima. Michael Kerman der schloßer, Susanna Conradt Huter des Becken n: g: tochter (i 18)

Michel Kermann et Susanne Hutter hypothèquent la maison au profit des enfants du pêcheur Frédéric von Hipsheim

1607 (vj. tag Maÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 191-v
(P. fol. 197.) Erschienen Michell Kerman der schloßer burger Zu Straßburg vnd Susanna Hutterin sein Eheliche haußfrauw
Haben sich & obligirt vnd verschrib. gegen herrn Frantz Beüring Alß vogt Hannß Jacobs vnd Susannen vonn Hipßh. weÿland Friderich von hüpßh. des fischers selig. khindern Zu Zinßen ij lb x ß d Abloßig mit 50 pfundt Pfenning Straßburger
Von vnd abe hauß hoffestatt mit allen Ihren gebeüwen & gelegen Am großen Roßmarck, einseit neben Georg Bruners des Schreiners Anderseit neben der Bischoffs gaß, hinden vff Jacob Eckman dem schloßer, Vorn vffs Allmendt gegen dem Roßmarck dauon gendt xij ß d boden Zinß dem Stifft Zum Jungen Peter, Mehr für ein schuldt 20 pfund & hauptgutt Barbaren Neberschmidtin Zuerlegen schuldig, Sunst eÿden, So dann für ein schuldt 60 pfund d Zu Zielen Zuerlegen David Köler dem schuomacher alhie von dem sie erkhaufft

Michel Kermann et Susanne Hutter hypothèquent la maison reconstruite à neuf au profit de la veuve et des enfants de l’assesseur des Treize Jean Beinheim. Jean Kerman, père du débiteur, se porte garant.

1608 (2. Martÿ), Chancellerie, vol. 377 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 11-v
Schuldbekantnus Weilant Herrn Hannß Beinheims seligen Wittiben vnd erben vmb 150. lb.
Erschienen M. Michael Kermann der Schloßer, vnnd Susanna Huterin sein eheliche haußfrauw
haben in gegenwertigkheit des Ehrenvesten fürsichtigen und Weisen Herrn Heinrich Baumgarters alt Ammeisters Alß geschwornenn Vogts frauwen Ursulæ Hammererin Weiland Herrn Hannß Beinheims geweßenen 13.ers s. wittib Jacob Beinheims, Wachtschreibers für sich selbsten, Wernhard Gambßen Eheuogt Ursula Beinheimin, Joseph Junthen Stattschreibers Vogts, Hannß Beinheims mit Ottilia Fuchßen in Jetziger ehe vnd Jacob Lampen verordneter vber d. Brenholtz alß Vogt ermelten Hannß Beinheims in vorig. ehe mit Jacoben Heldin ehelichen erzielter Kinder – schuldig worden 150 pfund
Zum vnderpfand verlegt vnd eingesetzt, Ihr eigenthümliche new vffgebawene behaußung, sampt aller derselben Zugehördt, weiten, begriffen, rechten vnd gerechtigkheiten alhie In dißer Statt Vffm Roßmarck an der Bischoffsgaßen gelegen, einseit neben Georg Brunnern dem schreiner, anderseit ein eck, hinden vff gedachten Brunnern vnd Jacob Eckman schuemachern stoßend, dauon soll man noch am Kauffschilling von voriger nunmehr abgebrochener behaußung herrührend 40 pfund pfenning so aber vff Weÿhenachten nechst Khünfftig vnd Weÿhenachten 1609. bezahlt werden müßen, Weiter gehet Jährlichen von diß. behaußung 8 schilling Zwen Kappen bodenzinß vff Weÿhenachten, dem Stifft Zum Jungen St. Peter, Item j lb d Barbaræ Nepperschmidin Pfründerin In der Samlung Zum thurn vff Martini lößig mit 200 lb, So dann 2 lb 10 ß Frantz Peÿring dem Schaffnern In Schaffnersweiß vff Ostern, loßig mit 550. lb sonsten ledig vnd eigen
Und Zu noch mehrer sicherheit Ist auch Hiebeneb. erschienen, sein Schuldbekenners Vatter Hannß Kerman der schuemacher vnd hat für sich vnd seine Erben für obgemente Summ, dauon verfallende Interesse vnnd vncosten, da einiger vffgieng, bürg, selbst schuldner vnd Zahler Zusein
[in margine :] Erschienen H Jacob Beinheim fünffzehen Schreyber für sich selbsten, werner Gambs und h Cristians Textoris Rhat schreyber bede schwagerlicher weÿß vnd alle trey In namen der vberig. Beinheÿmischen erben vnd haben in gegenwertigkheit Michael Kerman des Stattschlossers bekant (…) Mittwoch en 13.Martii a° 1616.

Michel Kermann est élu serrurier municipal le 21 septembre 1611. Les Conseillers et les Vingt-et-Un confirment la nomination deux jours plus tard. Les préposés rédigent une nouvelle version du règlement qu’il devra appliquer. La veuve de son précécesseur Léonard Beck continue d’occuper la serrurerie jusqu’à Noël. Michel Kermann prête serment le 12 janvier 1612.
1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Stattschmidt electus Michel Körman. 181. 182. Michel Kerman. 184. 189.
(f° 181-v) Sambstag 21. Septemb. – Stattschmidt
Vmv das Stattschlosser Ampt haben sich geschrieben geben so von Bawh. vns bevohlen Zubedencken vnd ein vßschutz Zumachen
x Hanns Veit
x Michel Körman – Electus beÿ Rhat XXI 23. Sept. ao. 1611
x Hanns Roth
Kilian Meÿ
Damian Maurer, beim dieffenkeller
Seind die 3 in der vßschutz verordnet so mit wen sie wolt. Montags den 23. Sept. Ist Michel Körman von Rhat XXI Zum Stattschlosser verordnet worden vnd hat geschworen daßelbsten.

(f° 182-v) Mittwoch 24. Sept. – Michel Körman so zum Stattschlosser angenommen von Rheth XXI Sagt er seie heruff gewissen worden, die Ordnung zu schwören, dem Ist antzeigt man wöll die Ordnung gern Zuvor verbessern, vnd ein Newe ordnung mach. solte sich noch ein tag 8 od 14 duld. Inmittelst Könne LB wittib die angefangene Arbeit vollends vßmachen der wills gern thun.

(f° 184) Sambstags den 28. Septembr. – Stattschmidt Michel Kerman
dem Stattlonherrn ist angezeigt worden, was für werck nun Zumachen sein werd, das soll er dem nüwen schmidt Zukommen laßen, was aber lienhard Beck. witwe In der schmidt Zu machen hatt, dasselb soll er* wittwe fertig laßen.

(f° 189-v) Mittwoch den 9. Octobr. – Michel Kerman New Stattschlosser wolt gern vff Ziehen lasse sich aber des gestorbenen wittib vornemmen sie woll vor weihnacht. nit vß Ziehen das wer Ime beschwerlich, da er gern vor Weÿhnacht. In Zieh. wolte, Ist Ihm antzeigt man wölls B fürbingen.

1612, Préposés au bâtiment (VII 1327)
Stattschloßers Michel Kermann Rechnung. 3. New Stattschloßer. 4.
(f° 4) Mittwoch den 15.ten Januar – (…) dem Statt schuemacher Ist sein Ordnung für gelesen dar bitt vmb Copeÿ mag etwan wider anhalten, glück und heÿl.

Michel Kermann et Susanne Hutter rédigent un codicille dans la serrurerie municipale. Il y est question de leur maison à l’angle de la Grand rue et de la rue Sainte-Barbe et d’un martinet hors la porte des Juifs.
1624 (8. Oct.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 58, B) f° 79
Codicill Vnd leste willen deß Ehrengeachten vnd fürnehmen Herrn Michael Kerman Statt schloßers vnd frauwen Susannen Huotterin beeden Ehegemächt
1624. Auff Freÿtag den 8. Octobris (…)
Zum fünfften dieweÿl sie beede Ehegemächd Eine schloßer behausung So Ein Eckhauß In d. Statt Straßburg Ane der obernstraßen Ane sanct Barbarn gaßen gelegen (…)
Und letsten weÿl beede Ehegemächt In werender Ihrer Ehe vsserhalben d. Statt Straßburg vor dem Judenthor nahe beÿ dem schießrein ein neuwe hammerschmidt, vff grund vnnd boden der Statt Straßburg Zuständig (…)
Vnnd seind hieuorgeschribene ding Zugagen vnnd beschehen Inn deß heÿligen Reichß freÿen Statt Straßburg derselbigen schlossereÿ behaußung Ane dem Inneren Juden thurn gelegen So beede Ehegemächt bewohnen, deren obern großen stubenn vff beeden seitten gegen d. gassenn sehendt
(Minute, Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) n° 276)

Les préposés nomment Michel Kermann le jeune serrurier municipal le 24 mars 1626 après la mort de son père quelques semaines auparavant.
1626, Préposés au bâtiment (VII 1341)
(f° 63-v) Freÿt. 24. Martÿ – Wegen anderwertlicher bestellung deß Stattschloßer diensts, ahn Statt Michel Kermanß der vor etliche wochen Zu Todt gefallen, zu vorderst auß dem Ämpterbüchlein die Jenige so sich darumb geschrieben geben demnach auch Hanß Michell Kermanß des Verfallenen Sohns Zwo Underschiedmiche deßelben vbergebene supplicationes, ab. deß. Und ob wohl ein Jeder der sich darumb geschrieben geben darzu tüchtig, d. Jedoch Kerman mit allerhand Vorrath schon gefäst, den vberigen allererst gelt darzu möchte vorgestreckt werden. Erkant Michell Kerman p. maiora angenommen. Soll beschickt vnd Ihme angezeigt werden

Les enfants et héritiers de Michel Kermann passent une obligation au profit de l’assesseur des Quinze Loup Thierry Zorn.
1626 (19. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 498-v
Erschienen hannß Michael Jetziger Zeit St: Schloßer hannß Erhardt Auch schloßer die Kermann, daß gleichen Isaac Dattler Als ehevogt Susannæ Kermennin, diße dreÿ Alle für sich selbst, Mehr h. Davidt Geÿger Alß Vogt hannß Martin, hanß Jacob, hannß Carle Vnd Christoffel All Khermen Wie auch Barbara Kermenin Weÿland Michell Kerman geweßenen St: Schloßers s. hinderlaßene Khindern, deßgleich herr Bernhard Wanner Als vogt Susanna Wÿland Michell Kermans s. witt.
haben bekhandt Vnd in Gegenwärtigkeit Hn Ruprecht Reichardt Als Schaffner des Wol Edlen Vnd gestrengen Wolff Dietherich Zornen Fünfzehners offentlich Verÿehen – schuldig seÿent 350 pfund (…)

Partage des biens délaissés par Michel Kermann entre la veuve Susanne Hutter et les huit enfants qui ont pour tuteur le marchand David Geyer (Geiger).
1626 (5. Dec.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 50) n° 1429
Zuwißen alß nach tödlichen Ableiben weÿlandt des Ehrenhafften vnd fürnehmen Michael Kermanns geweßenen burgers und Stattschloßers alhier zu Straßburg seligen alle deßelbigen hinderlaßene haab, Nahrung und gütter, In beÿsein dar Zu gehörigen Personen ordentlichen Inventirt æstimirt angeschlag. beschrieben und darüber Zweÿ gleichförmige Inventaria verfertiget vnd vfgericht worden, daß hierauff und solchem nach vf hieund. gemelt datum die ehren und tugendreiche frauw Susanna Hueterin die wittib mit beÿstandt der Ehrenvest und fürgeachten H Leonhard Wanners handelsmanns vnd burgers Ihres geschwornen Curatoris vnd herrn Johann Jacob Meÿers wohlverordneteen dreÿers Ane d. St. St. Müntz Ihres günstigen herren vnd erpettenen beÿstands Ane einem
Ferner Johann Michell Kerman Jetziger Zeitt Statt schloßer vnd burger Zu Straßburg, mehr Johann Erhard Kerman auch schloßer und burger daselbsten beede für sich selbsten, Item fr. Susanna Kermänin mit beÿstand Isaac Dattlers burgers Zu Straßburg Ihres haußwürths, Weiter Fr. Barbara Kermänin mit beÿstand hanß Knoderers Metzigers vnd burg. in wolbesagter St. St. Ihres ehemanns, So dann d. Ehrenvest und fürgeachten H David Geiger handelßmann und burger Zu Straßburg als geschworner vogt hanß Martin, hannß Jacoben, hanß Carlen und Christoff Kermänner alle acht geschwüsterde und obehren gemeldt Michael Kermans seeligen mit obgedachter seiner hind.laßener wittib eheliche erzeugte Kinder und nechste seiner hind.laßene erben am Andern theill, In beÿsein Meister hanß Zittelin geschwornen d. St. St. Keüfflers (…) Actum und angefangen Inn Straßburg Mittwochs den 5. Decembris Inn dem Jar des H als man Zalte 1626.

La veuve (Susanne Hutter) se remarie en 1628 avec le prédicateur Georges Fischbach, originaire de Petschau en Bohême (aujourd’hui Bečov nad Teplou). Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent que le mariage ait lieu à Bischoffsheim à la Haute-Montée en Bade
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 86)
1628. Dom. Trinitatis 8. Junÿ. Herr Georgius Fischbach von Pötschaw in Bohemen H Caspari Fischbachs gewesenen Evangelischen Predigers daselbsten ehelicher Sohn v. Grävlicher Leiningischer Præceptor v. Hoffprediger vnd Susanna Michael Kermans seelig. gewesenen Stattschlossers nachgelaßene Wittwe. cop. 16.t Junÿ Zu Bischen Zum hohensteg (i 45)

1628 Conseillers et XXI (1 R 110)
(f° 107) 11. Jun. – Susanna Hans Michael Kermans wittib
Susanna, weÿland Hans Michell Kermans gewesenen Statt Schloßers wittib, hatt sich verheurathet mit M. Georg Fischbach, Leininigischen Hoffprediger, vnd will biß künftigen Montag ihre hochzeit Zue Bischen Zum hohen steg halten. bitt vmb gnädige vergünstigung. Erkannt Willfahrt, Herr Brackenhoffer, H. Ermelhauß.

Jean Charles Kermann vend un tiers de la maison à l’orfèvre Jean Jacques Seupel, les deux autres tiers appartenant à ses frères Jean Jacques et Christophe

1634 (4. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 696-v
(Protocollat. fol. 137.) Erschienen hanß Carol Kehrman
hatt in gegensein hanß Jacob Seüpels deß goldt Arbeiters auch burgers alhie (verkaufft)
einer dritentheil ihme für vngetheilt gebürendt An hauß und hoffstat, auch allen Andern ihren gebäwen, Alhie vffm Roßmarckht ist einseit ein Eck An der Bischoffs gaß and.seit neben Georg Brunner dem schreiner hinden vf Tobias Gundelwein den küeffer stoßend gelegen, dauon die vbrige zwen drite theil hanß Jacob vnd Christoff den Kermännern sein V.käufers brüdern Zustendig, von welcher gantzen behausung Jährlich gefallt j Kapp bod: zinß dem Stifft Jungen S. Peter Vnd were diser kauff vber 1/3. dises Bod. Zinses so d. käuffer vber sich genommen geschehen per 350. fl. à 15. bz.

Fils de l’assesseur au Grand Sénat Jean Seupel, l’orfèvre Jean Jacques Seupel épouse en 1625 Euphrosine, fille de Conrad von Botzheim
Mariage, cathédrale (luth. p. 168)
1624. Dominica 70. 24. Janu. Johan Jacob Seypel d goltarbeiter, h. Johann Seypel beysitzers des grosen Raths, sohn, vnd J. Ephrosina H Johan Conrad von botzheim e. tochter, eingesegnet zinstag 10. febr. (i 89)

Anne et Dorothée Seupel donnent quittance à Anne Marie Seupel des 52 livres que leur a léguées leur père Jean Jacques et qui sont garanties sur la maison à l’angle du Marché aux chevaux et de la rue de l’Evêque

1663 (2. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 547
Erschienen Jfr. Anna Seüpelin mit assistentz Daniel Dietrichs deß Silberarbeiters ihres Curatoris Vnd Christoph Goltbach der Würtzkrämer alß Ehevogt Dorotheæ Seuplerin, ihr Jfr. Annæ eheleiblich. Schwester
in gegensein Jfr. Annæ Mariæ Seüpelin mit assistentz H Caroli Römers U.I.D. & Advocati ihres Curatoris
bekannt, deß Jenen beede Schwestern von Ihro Jgf. Annæ Mariæ die Jenige 50. lib welche weÿl. H hannß Jacob Seupel der goltarbeiter deroselben Vatter nunmehr seel. in seinem vffherichteten Testamento § Zum Zehenden ihnen beed. Schwestern legirt gahabt, Und sie deßwegen nach besag deß stattgerichts Execution büchlins de dato 2. sept. a° 1644 in specie vff die Seupelische Behaußung am Roßmarckh an der Bischoffsgaßen gelegen, versichert word. Zu genüg. empfang.

Euprosine Seupel femme du bailli de Marmoutier Jean Thiébaut Hügel et sa sœur Anne Marie vendent au marchand de vins Laurent Meyer un tiers de la maison dont les deux autres tiers appartiennent déjà à sa femme

1664 (16. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 295-v
(Prot. fol. 19. fac. 2) Erschienen der Ehrenvest- hochgelehrt H Carolus Römer V.I.D. & Advocatus alß H Johann Theobald Hügel wangisch. Amptmanns Zu Maurßmünster Frawen Euprosinæ Seupelin Ehevogts, vermög seines sub dato Straßburg den 4/14.ten Martÿ Jüngsthien eigenhändig /:alß H Laurentius Treutel Notarius deme, seiner Anzeig nach, sein H. Hügels handschrifft wohlbekannt seÿe, hiebeÿ Zugeg. solche dafür recogniscirte:/ gefertigten Gewaltscheins hierzu constituirter Mandatarius, so dann Jungfr. Anna Maria Seupelin, ihr Fr. Euphrosinæ eheleibliche Schwester, mit assistentz obernannts H. Dr Römers ihres Curatoris
in gegensein H Lorentz Meÿers deß Weinhändlers mit beÿstand obemelts H. Not. Treutels
Einen tritten theil ihnen beÿd. Schwestern für ohnvertheilt gebührend ahne einer Behaußung auch allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am Roßmarckh einseit neben lienhard Gaßen dem Musquetierer, and.seit ist ein Eckh an der Bischoffsgaß. hind. vff weÿl. H. Stephan Kleinle gewesenen Schaffners zum weiß. Rößel nunmehr seel. nachgelaßenen Erben stoßend geleg., ahne Welcher Behaußung die übrige Zwo tertz dem Käuffer vorhien ehevögtlich. weiße gebühren, Und gehen von dem gantz. hauß iährlich vff Thomæ Apostol. 8 ß u. 2. Cappen bodenzinß dem Stifft zum Jung. St. Peter (…) über die tertz ahne gemeltem bodenzinß (übernohmen) – zugang. umb 100 pfund
[in margine :] Erschienen Herr Bartholomæus Hopffer dem Contrefaiter alß Ehevogt frawen Annæ Mariæ Seuplin, hatt in gegensein Michael Keckhen deß Kieffers alß Vogts Lorentz Meÿers deß hierinngedachten Käuffers /:hierbeÿ zugegen:/ eheleiblicher Kinder (quittung) Actum den 12. Julÿ A° 1673

Fils du marchand Laurent Meyer, Laurent Meyer épouse en 1653 Marie Salomé, fille du marchand David Geiger
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 61-v n° 30)
1653. Eâdem Dominicâ [IIX. Trinitatis] Herr Lorentz Meÿer der Handelsmann Herrn Lorentz Meÿers des Handelsmanns vnd gewesenen burgers alhier hinderlaßener Ehelicher Sohn und Jungfr. Maria Salome H David Geÿers gewesenen burgers vnd Handelsmanns alhie hinterlaßene eheliche tochter. Copulanbantur Zinst. d. 9. Augusti Zum JSPeter (i 73 – Procl. cathédrale f° 555-a n° 10 i 304)

Fils de l’ancien consul Matthieu Geiger, le marchand David Geiger épouse en 1620 Anne, fille de l’assesseur des Quinze Lazare Zetzner. Leur fille Marie Salomé naît en 1630.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 311)
1620. Dominica 70. Herr David Geiger, Herren Mathæi Geiger Altt Ammeisters selig Sohn, J. Anna Herrn Lazari Zetzners gewesenen Fünffzehners Eheliche dochter. Eingesegnet Montag 28. Feb. (i 160)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 100) 1620. Dominica V. Epiphan: den 6. febr. David geyger des Ehreuesten fürsichtig und wollweissen herrn Mattheus geyger Alten Ammeisters sohn, vnd J Anna des Ehrenvesten fürsichtig frommen vnd weissen herrn Lazari Zetzners gewesenen XV. e. tochter, eingesegnet zum Jung. S Peter montag den 28. febr. (i 55)

Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 304)
1630. Dom. XVII Trinit 10. VII.bris P. David Geiger d. handelßmann, M. Anna Zetznerin, I. Maria Salome (i 155)

Les créanciers de David Geiger passent avec sa fille et unique héritière Marie Salomé un accord par lequel ils lui cèdent les deux tiers de la maison à l’angle du Marché aux chevaux et de la rue de l’Evêque

1665 (15. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 640-v
Erschienen Weÿl. David Geigers geweßenen handelßmanns nunmehr seel: versicherte Creditores, benantlich. der Edel- Fürsichtig hochweÿß herr Johann Reichßhoffer dißer Statt ietzregirend. Ammaÿster für sich selbst. Ferners der Edel- Fürsichtig- hoch weÿß hochgelehrt H. Dominicus Dietrich dißer Statt alter Ammaÿster und Treÿ Zehener, alß Johann Theobald Steinen von Itzstein vermög seines sub dato 31.en Aug. a° 1652. (…) Gewaltscheins gevollmächtigter Befelchhaber, Mehr H Emanuel Waldeckh d. Goltarbeiter, Philipp Fidel der Küeffer, Gabriel Fidel Küeffer, Paul Windisch d. Kübler, hannß Böß der Schiffmann, hannß Fabian der Schneider, hannß Wagner weißbeckh, H Gabriel Waldeckh d. Goltarbeiter, Henrich Waldeckh d. Goltarbeiter, diße alß weÿl. Georg Freuderers deß Goltschmidts seel. beneficirte Erben an einem,
So dann Fr. Maria Salome Geigerin, eingangß gedachts David Geigers eheliche und einige dochter, mit assistentz der Ehrenvest- Fürsichtig- und weÿsen H Johann Peter Schmidts und H Johann Leonhard Fröreißens beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel hierzu ahne Vogts statt, insonderheit Deputirter, wie auch deß Edel- From- und wohlweÿsen H Eliä Brackenhoffers dißer Statt Fünffzeheners, Mehr deß Edel- hochgelehrten H Friderich Deckhers V.I.S & Pandect. Professoris ihres Advocati, Ferners H Johann Zängels deß handelßmanns ihres Schwagers und H Laurentÿ Treutels Notarÿ am andern theil

Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, daß beÿde Parten über die Jenig streittigkeit darinn sie bißhero langwirig und costbahrlich geschwebt, haben sich folgender Gestalt mit einander gütlich verglich., Nemlich und Zum Ersten, So solle (…) die Geigerische dochter den Geigerischen Herren Creditoren 100 Pfund in bahrem Geld erlegen (…)
Fürs andere sollen denen Geigerischen Herren Creditoren die Jenige ein sechßte theil, und ahne einem sechßten theil ein fünffter theil ahne hauß hoffstatt und höfflin Zwen Kramgäden und anderen Gebäwen Rechten und Zugehördten alhie im kleinen Predig. Gäßlein geleg. Jedoch mit denen darauff hafftenden und hiehero pro rato gehörigen Beschwährden, welche haußantheil der Geigerischen dochter bißhero eigenthümlich Zugestand. gehörig sein dieselbe auch deß ratum der hinderständig. haußzinnß, sich nach Abzug der wider Zinnß und baw costen find. wird für sich Zu erheben haben,
Hingeg. und Trittens, sollen der Geigerisch. dochter die Jenige Zween tritte theil so denen Geigerischen Creditoren bißhero ahne hauß hoffstatt und deren Gebäwen rechten und Zugehördten alhie am Roßmarckh am Eckh der Bischoffsgaß. geleg. Gleichwohlen mit deren vff solch. Behaußung hafftend. und hiehero p. rato gehörig Beschwährden hiernfüro Zusteh., zum Vierden (…)

Anne Salomé (Meyer, voir l’acte suivant) femme du drapier Jean Martin Lutz hypothèque un quart de la maison au profit du parcheminier Jean Georges Hauff

1680 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 186-v
Johann Martin Lutz der tuchmacher undt Anna Salome beÿdte Eheleuthe, undt Sie Anna Salome insonderheit mit beÿstandt H. Johann Zengels des Handelsmanns undt Peter Bölers deß Kieffers, Ihres resp. Vattern und Schwagers, alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein Johann Georg Hauffen des Pergamenters – schuldig seÿen 10. lb
unterpfand, der vierdte theÿl Von und ahne Einer behausung hoffstatt mit allen deren gebäwen undt zugehördten alhier auff dem Roßmarckh einseit ist ein Eckh ahne der bischoffsgaß, anderseit neben (-) Windisch dem Kübler hinden (-) stoßend gelegen

Anne Marie Meyer femme du tonnelier Pierre Bœhler, Anne Salomé Meyer femme du tisserand Jean Martin Lutz ainsi que les mineurs Jean Georges et Marie Madeleine Meyer vendent la maison au tonnelier Tobie Gundelwein le jeune

1684 (10.3.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 106
Anna Maria Meÿerin, Peter Böhlers deß Kieffers Eheweib, Weiters Anna Salome Meÿerin, Johann Martin Lutzen deß wollenwebers Eheweib mit assistentz erstgemelts ihres Ehevogts und dann eingangs besagter Böhler alß Vogt hannß Georgs und Mariæ Magdalenæ der ledigen Meÿerischen geschwisterd
in gegensein Tobiæ Gundelweins deß Jüngern Kieffers
Eine behaußung mit allen deren Gebäuwen, begriffenn weithern Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier am Roßmarckh einseit neben (-) anderseit ist ein Eckh ahn der Bischoffs gaß hinden auff die brandische wittib stoßend gelegen davon gehend jährlichen uff Thomæ Apostoli 8 ß und 2. Cappen Bodenzinß dem Stifft iungenSt. Peter – umb 350 lb

L’acquéreur hypothèque quinze jours plus tard la maison au profit de la fille mineure du secrétaire Jacques Böller pour en régler le prix d’achat.

1684 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 147
Tobias Gundelwein der Jüngere Kieffer
in gegensein deß Edel from und wohlweÿsen herrn Johann Daniel Braunen deß beständigen Regiments der Herren fünffzehn alß Vogts Jungfr. Cleophe Susannä und Salome weÿl. Herrn Johann Böllers geweßenen Schirmbgerichts Schreibers nunmehr seel. nachgelaßener döchter – schuldig seÿe 350 lb Ihme Zu dem Ende daß derselbe damit nach beschriebene behaußung erkauffen und bahr bezahlen können
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, und zugehördten alhier am Roßmarckh einseit neben (-) anderseit ist ein Eckh an der Bischoffs Gaß hinden uff die Brandische Wittib stoßend gelegen, davon gehend iährlichen uff Thomæ apostoli 8 ß und 2. Cappen Bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter
[in margine :] diese Verschreibung ist wider zurück gegangen, mithien wider Cassirt worden

Fils du tonnelier Tobie Gundelwein l’aîné, Tobie Gundelwein épouse en 1684 Anne Marie, fille du marchand Jean Régnard Rohner
Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 109 n° 655)
1684. Dom. Miser. & Jubil. 16 & 23 April. Tobias Gundelwein Junior, der ledige Küffer, H. Tobiæ Gudelweins des ältern Küffers und burgers alhier ehelicher Sohn. Jgfr. Anna Maria, weÿl. H. Johann Reinhard Rochners, gewesenen burgers und handelsmanns alhier hinderlaßene eheliche tochter Cop. St. Thomæ (i 56)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. p. 122, n° V) 1684. Dom. Misericordias. Zum 2 mahl Tobias Gundelwein der junger Kieffer Tobiæ Gudelwein des eltern auch Kieffers und Burgers alhier ehel. S. Jfr. Anna Maria Weiland hr. Joh: Reinhard Rohners gewesenen Specierers u. Burgers alhier nachgel. ehel. T. Donnerst. den 27.ten Aprilis St. Thoman (i 123)

Tobie Gundelwein et sa femme Anne Marie Roner hypothèquent la maison au profit de Jean Philippe Braun assesseur des Treize. En marge, quittances remises en 1697 à Apollonie Schnitzler, deuxième femme de Gundelwein et en 1699 à Michel Schwartz.

1684 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 166
Tobias Gundelwein der Jüngere Kieffer und Jungfr. Anna Maria Ronerin seine Verlobte, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand herrn Johann Philipp Marolff Procuratoris ihres Curatoris
in gegensein deß Edel- fürsichtig und hochweÿsen herren Johann Philipps Braunen deß geheimen Regiments der herren dreÿ Zehn – schuldig seÿe, 525. fl. à 15. batzen, Ihnen Zu dem Ende bahr gelühenen Gelds, daß dieselbe nachgemelte behaußung erkauffen und biß uff 175. fl bezahlen können
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier am Rosmarckh einseit neben weÿl. Georg Brandten Wittib, anderseit ist ein Eckh an der Bischoffs Gaß, hinden uff gedachte Wittib stoßend gelegen, davon gehend iährlichen uff Thomæ Apostoli 8 ß Undt 2. Cappen bodenzinß dem Stifft Jungen St. Peter
ferner sollen in specie Unterpfand sein 141. lb 13. ß 4 d. so Johann Caspar Schütz der Specirirer Von seiner alhier under der großen Erbslauben gelegenen behaußung, Ihro Annæ Mariæ Rönerin schuldig
[in margine :] (…) der in vorgemeldter haubt verschreibung gemeldten Jfr. Annæ Mariæ Ronerin nachmalig Gundelweinisch. haußfrauen nun seel. Erben der hierin gemeldt. Obligationis correalis (…), persönlich erschienen Appolonia gebohrne Schnitzlerin des debitoris ietzmahlige haußfrau und zwar dieselbe mit beÿstand H. Joh: Michael Seitz Consigne am Spitahlthor und H. Jacob Christoph Pantrion Notarÿ Publici Ihrer Vettern, die hat sich auch für solche Schuld verbürgt (…) zum Und.pfand verlegt daßelb. ohnvertheilt. dritten theil an einer behaußung und dero Zugehördt. allhier in d. Vorstatt Krautenau einseit neb. David Gori dem ältern Gartenmann, and.seit neb. Hans Wolffgang Löfflern dem Schneid. hind. auff das Zuchthauß stoßend gelegen – Act. d. 12.ten 8.bris 1697, in fernern beÿsein obgem. Ronerisch. Erben in spec. Georg Jacob Tillig, deß Sattlers alß Ehevogt Mariæ Salome Ronerin und alß Vogts weÿl. Marthæ Ronerin mit H. Joh: Sigismund Breÿ d. Diaconi zu St. Aurelien ehelich erziehlter 3. Kinder, Hn Johann Philipp Rohners deß ledig. Scribent für sich und im nahmen übrig. Erb.
[in margine, f° 167-v :] (…) in gegensein Michael Schwartzen des kupfferschmids als ietzig. besitzers der hievor beschriebenen auff dem Roßmarck an der Bischoffsgaß gelegenen Behaußung – den 27. Martÿ 1699.

Tobie Gundelwein se remarie en 1686 avec Apollonie Schnitzler, fille du pasteur de Sainte-Aurélie
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 199)
1686. Tobias Gundelwein d. Kieffer vnd Burg. allhie, vnd jungfr. Apollonia mein Magistri johnnis jacobi Schnitzlers eltisten tochter, (-) Junÿ (i 102)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. p. 140-v, n° V) 1686. Com. Rogationum Zum 2 mahl Tobias Gundelwein der junger Kieffer vnd Burger allhie, Jgfr. Appollonia Hr. M. Joh: Jacob Schnitzlers Pfarrers zu S Aurelien v. Canonici beÿ dem Colleg. Stifft Zu S Thoman ehel. T. Mittw. den 5. Junÿ St. Aurelien (i 142)

Tobie Gundelwein et Apollonie Schnitzler hypothèquent la maison au profit des trois enfants mineurs de l’aubergiste Jean Bilger

1696 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 315-v
Tobias Gundelwein der Kieffer und fr. Apollonia geb. Schnitzlerin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Johann Michael Seitzen des dollmetsch am Spitahlthor Vnd Daniel Schnitzlers des Hueffschmids beeder ihrer Vettern
in gegensein H. Hans Jacob Bilgers des Würths als Vogts Weÿl. Johann Bilgers gewesenen Würths zu Speÿer seel. Nachgelaßene 3. Kinder – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren gebaüen, begriffen, Weithen zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier am Roßmarckt einseit neben Pierre Lusan dem Schreiner anderseit ist ein Eck an der Bischoffs gaß, hind. auff die brandische Wittib stoßend gelegen, dar Von gehend Jährlich auff Thomæ Apostolj 8 ß und 2. Cappen bodenzinß

Tonnelier à Ribeauvillé, Tobie Gundelwein sollicite le poste de tonnelier à la Grue pour remplacer Jean Rinck, démissionnaire. La tribu des Tonneliers le renvoie aux Quinze
1705, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 358) Dienstags den 24. Martÿ Anno 1705. – Tobias Gundelwein Kieffer Von Rapolßweÿhr stehet Vor und bittet Ihnen als einen Grahnkieffer ahne statt Johann Rincken, weilen derselbe gar resigniren wolte auff und anzunehmen. Erkandt, solle die sach beÿ Gn. Herren den XV. suchen.

Même affaire devant les Quinze. Bourgeois de Strasbourg, Tobie Gundelwein a été un temps au service de Birckenfeld à Ribeauvillé. La commission interroge Jean Rinck sur ses intentions, il finit par déclarer qu’il résigne ses fonctions au profit de Tobie Gundelwein que les Quinze nomment pour le remplacer. Il prête serment le 2 mai.
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 101-v) Sambstags den 28. Marty 1705. – Tobias Gundelwein pt° Grankieffers stell
G. noîe Tobiæ Gundelweins Burgers und Kieffers alhier, prod. Extractum aus E. E. Zunfft der Kieffer Gerichts Memoriali und bittet wie inhalts, umb Grankieffers zu werden. Erk. an die Obere Ungeltshh. gewießen.

(f° 103-v) Freÿtags den 3. Aprilis 1705. – Tobias Gundelwein pt° Grankieffers stell
Iidem [Obere Ungeltsherren] per Herrn Friden, es habe Tobias Gundelwein der Kieffer und burger alhie, einen Extractum aus E. E. Zunfft der Kieffer Gerichts Memoriali vom 24. Marty producirt und gebetten, daß Er zu einem Gran Kieffer ane statt Johann Rincken, so resigniren wolle, angenommen werden möchte, Aus welchem Extractu Zu ersehen, daß Er beÿ besagtem Zunfftgericht dergleichen petitum gethan, welches Ihne aber an Mgherren Verwießen habe.
Worauff man vor nöthig erachtet gedachten Rincken darüber Zu vernehmen, Ob Er seine stelle über geben wolle ? der Zwar anfangs hæsitirt, Endlichen aber sich dahin erklärt, daß weilen es am Gran ungleich hergehe, undt auch Jungen wein verkauffen, Er seinen Grandienst resigniren wolle, vnd solches dem Gundelwein gern gönnen möge. Weilen nun derselbe ein Burger und Kieffer seÿe, vnd sich nur einer Zeit lang als Fürstl. Bürckenfeldischer Hoff Kieffer Zu Rappoltzweÿer auffgehalten, anietzo aber wieder hier wohnhaft seÿe, so habe man davor gehalten, daß Ihme in seinem begehren willfahrt werden könte, iedoch daß Er vor Mghherren das gewohnl. Jurament ablegen solte. Erkandt, gefolgt.

(f° 129-v) Sambstags den 2. May. – Tobias Gundelwein so ohnlängst Zu einem Grankieffers angenommen worden, wurde eingelaßen vnd herauff die Ordnung geschwohren.

Tobie Gundelwein et Apollonie Schnitzler font dresser un état de leur fortune en présence de leurs créanciers à la Krutenau dans la maison à la Clé. La masse propre à la femme s’élève à 1 220 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 260 livres, le passif de 1 314 livres.
1706 (29. 9.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 8)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Tobias Gundelwein, der Küffer und Apollonia Schnitzlerin, beede Eheleuth und burgere zu Straßburg, anietzo tam active quam passive eÿgenthümblich besitzen, welche, weil nun die nahrung Zimmlich in abgang gerathen, und zu beförchten, daß die frau wegen ihres zugebrachten ohnveränderten guts Zu Kurtz Kommen mögte, sie um das beneficium cessionis beÿ rath Zu ergreiffen einen vogt gezogen, nemblich dem Ehrengeachte herrn Johann Michael Dürren dem Schuhmacher und burgern allhier (…) Geschehen vff notification vnd respectivé præsentia etlicher Creditoren, in Straßburg den 29.ten Novembr. 1706.

In einer in der Statt Straßburg Vorstatt Crautenau gelegenen Zum Schlüßel genannten behaußung befunden worden
Höltz: und Schreinwerck. In der Stub Cammer, In der Wohnstub, In dem haußöhr
Ergäntzung der frawen ohnveränderten Guths. Innhalts des über deroselben in dem Ehestand gebrachter Nahrung auffgerichteten und durch Herrn Notarium Johann Christoph Stöffel außgefertigten Inventarÿ de Anno 1686.
der frawen, 1. haußrath 52, 2. ergäntzung 1117, 3. Activi 50, Summa 1220 lb
deß manns vnd theilbar, 1. haußrath 73, 2. werckzeug 1, 3. Activi 185, Summa 260 lb – Schulden 1314 lb, Schulden last 1054 lb

Tobie Gundelwein vend la maison au chaudronnier Michel Schwartz

1699 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 170
Tobias Gundelwein, der Küffer, mit beÿstand H. Jacob Christoph Pantrion Notarii Publici, wie auch Andreæ Gundelweins des Küffers seines brud.
in gegensein Michael Schwartzen, deß Kupfferschmids mit beÿstand Hn Johannis Marbachs E:E: kleinen Raths Procuratoris
Eine behaußung mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehörden, recht., und Gerechtigkeit. allhier am Roßmarckt, einseit neben Pierre Lizant dem Schreiner, anderseit ist Ein Eck an der Bischoffsgaß hind. auff ged. Lizant stoßend geleg. darvon gehend jährlich auff Thomæ Apostoli 8 ß d Und 2. Capaunen bodenzinß dem Stifft Jung. St. Peter, so seÿe solche behausung auch noch Umb 87 lb und 312 pfund (verhafftet), geschehen umb 224 pfund – Pro Nota, Es soll und. den Kauff auch gehören, was zu dem hauß gehört, und H. Notarius Redwitz ohnbewillichen weiß darauß getrag., alß Fenster, od. was sich darin find. möchte

Michel Schwartz loue la maison à Philippe Louis Künast, avocat et procureur au Grand Sénat.

1703 (25. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 409
Michel Schwartz Kupferschmid
in gegensein H. Philipp Ludwig Künasts Advocati u. Procuratoris beÿ E.E. Großen Raths
entlehnt, seine behaußung auf dem Roßmarckt einseith ist en eck ahn der Bischoffsgaßen anderseit neben Pierre Lison schreinern, hinten auf die arnoldische haußfr: stoßend gelegen, auf dreÿ jahr lang anfangend auf Joh. Bapt: 1703, um einen jährlichen Zinß nemlich 27 pfund

Michel Schwartz vend la maison à Philippe Louis Künast (locataire, voir plus haut)

1705 (5. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 871
(1000) Michel Schwartz Kupferschmidt
in gegensein Hn Philipp Ludwig Künasts Procuratoris u. Advocati beÿ E.E. Großen Rath
eine behaußung mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier ahm Rossmarckt ahn der Bischoffsgass einseit neben Pierre Lizant dem schreinern anders. ist ein eck ahn der Bischoffsgass hinten auf gedachten Lizant stoßend gelegen, davon gehen jährlichen auf Thomæ Apostoli 8 ß d u. 2 Capaunen bodenzinß dem Stift jungen St. Peter – um 1000 pfund

Fils du marchand Balthasar Louis Künast, Philippe Louis Künast épouse en 1687 Salomé, fille du docteur en médecine Jean Raoul Saltzmann.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2, n° 3)
1687. H. Philipp Ludwig Künast J. U. Candidatus undt beÿ E.E. Grosen Rath procurator undt Advocat weÿl. H Balthasar Ludwig Künasts gewesenen handelßmanns undt E. E. Groß. Raths alt. Beÿsitzers hinterlaßener ehelicher Sohn, Undt Jfr. Salome weÿl. H Johann Rudolph Saltzmans Med. Doct. et practici auch beÿ löbl. Universität professor phÿs. und Assessoris Med. facult. undt des Collegiat stiffts St. Thomæ Can. Sen. hinterlassene eheliche tochter, d. 19. undr 26. octobr. 1687. porclamirt, und darauff den 29.t Ejusdel Copulirt word. Zu St. Thomæ in Straßburg [unterzeichnet] Philipp Ludwig Künast als bräutigam, Salome Saltzmänin (i 4)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Philippe Louis Künast procureur au Grand Sénat.
1687 Conseillers et XXI (1 R 170) – H. Philipp Ludwig Künast E. E. gr. Raths procurator. 231. 245.

Philippe Louis Künast meurt en 1717 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans la maison au Marché aux Chevaux. L’actif de la succession s’élève à 1 129 livres, le passif à 4 042 livres. – Ouvrages écrits par Philippe Louis Künast

1717 (26.2.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 24) n° 603
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung vnd güthere, Liegender v. Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Ehrenveste Rechtsgelehrte V. Großachtbahre H. Philipp Ludwig Künast gewesener Wohlbestellter Procurator und Advocatus ordinarius beÿ E.E. großen Raths V. andern Gerichtsstellen allhier in Straßb. nunmehr seelig nach seinem den d. 3.ten Januarÿ dießen instehenden 1717 Jahrs aus dießer welt genommenen tödtlichen hintritt Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren der viel Ehren und tugendbegabten Jgfr. Salome Künastin deß Verstorbenen H. seelig. mit hernach bemelter seiner hinterbliebenen Fr. W. ehelich erzeugter v. hinderlaßener Tochter, beÿständlich deß Wohl Ehrenvesten v. Großachtbahren H Johann Heinrich Künast, deroselben geschwornen Curatoris (…), die Viel Ehren vnd tugendreiche Fr. Salome gebohrne Saltzmännin die dißorts Wb. beÿständlich deß Ehrenvesten, Wohlgelehrten vnd Großachtbahrn H M. Israel Dieterlin wohlbestellt. præceptoris inferioris Gymnasÿ ihres geschwornen vogts (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg, Freÿtag den 26. febr. A° 1717.

Bericht daß Beederseits Ergäntzungen unverändertnn Guths ersucht, sondern die gantze Verlaßenschaffts Massam tam active quam passive die Fr. Wittib übernommen v. auch deroselben von der Jgfr. tochter Ihrem H Vogt solcher gestalt. Cedirt und überlaßen worden. (…) dieweilen dann H Joh: Heinrich Künasten als Curator Jgfr. Salome Künastin (…) Actum Straßburg Sambstag den 27.ten Febr. Anno 1717.
Eigenthumb ahne einer behaußung. Eine Behaußung mit allen deren gebäuen, begriffen, Weith. rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg am Roßmarck ahne der Bischoffs gaß 1.s neben Bier Bligan dem Schreiner, 2. s ist ein Eck an d. bischoffs gaßen, hind. auff gedachtß Lisan stoßend davon geh. Jahrs auff Thomæ Apostoli dem Stifft J: St: Peter allhier bod. Zinß 8 ß d in gelt v 2. Kappen, Ferners 12 lb 10 ß d Zinß à 5. p. Ct° ST. H. Joh: Saltzmann Wohlverordneten Saltz Verwaltern alhier so in hauptguth abzulößen mit 250 lb. Sonsten freÿ Ledig und eigen Vnd über solche beschwerden dh. der St. Straßb. Werckmeistere Vermög Ihres Zu dem Concept gelüffert schrifftl. Abschatzung sub dato den (-) febr. A° 1717 annoch angeschlagen p. (-). Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffverschreibung in allh. C. C. stub gefertigt und mit dero angh. Kl. Cantzleÿ Secret Ins. verwahrt datirt d 26. 9.bris A° 1705. Ferners i. ältere dito an gedachten Orth Verfertiget so datirt d. 26. Martÿ 1699.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 204, Sa. der Bibliothec 150, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 91, Sa. Goldener Ring und Geschmucks 108, Sa. der Baarschafft 41, Sa. Eigenthumbs ahne einer behauß. 518, Sa. der Schuld 15, Summa summarum 1129 lb – Schulden 4042, Compesando 2912 lb
Wann aber die Fr. Wittib sich resoluirt, Wie vorher fol: (-) auß dem Bericht Zu sehen alle frembde Passiva Zu bezahlen, welche sich auff 985 lb 6 ß 8 s belauffen, als Wird Ihro ahne Ihrer Nahrung mehr nicht übrig Verbleiben Welches auch die Verstallungs und beschluß Summam dießen Inventarÿ formiert nemblichen 144 lb

Les préposés de la Taille déclarent aux Quinze que Philippe Louis Künast réglait depuis 1688 ses impôts sur une assiette de 7 400 livres mais que, ses affaires ayant périclité, l’inventaire établit que la somme taillable n’est que de 144 livres. Ils demandent s’ils doivent réclamer les deux dernières années d’impôts non réglés. Les Quinze déclarent que la somme que constate l’inventaire servira d’assiette.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 175) Sambstag d. 10. Aprilis 1717. – weÿl. H Philipp Ludwig Künasten W. und Erben pt° Stallgelt
Obere Stall herren laßen per me proponiren, Es hetten weÿl. H. Philipp Ludwig Künasten geweßenen procuratoris allhier hinderlaßener Wittib und Erbin Vogt, denen H. dreÿen des Stalls ein Memoriale præsentirt, und darin exponirt, daß ged. H. Künast seith A° 1688. das jährliche Stall geld auff dem Fueß Von 7400 fl. bezalt, sich aber nach und nach so Verzehrt daß deßen Verlaßenschaffts Inventarium außweiße daß die Verstallungs Summ nur 144. lb weil aber Zweÿ Jahr Stallgeld anoch außstehen, alß bäthen sie deßen gn. Nachlaß in Consideration der defunctus lange Zeit weil Zu viel Verstallet, wie solches nun an tag, die H dreÿ des Stalls hetten aber dieses nicht über sich nehmen wollen, sondern dann Ober Stallherren solches communicirt. Alß man von der Sach geredet, habe man davor gehalten daß die Imploranten in so weith Zu willfahren, daß sie das Stallgeldt für die 2 Jahr nicht auff dem Fueß der 7400 fl. sondern der außgestellenen Summ Zu entrichten, also 8. fl. für beede Jahr Zu bezahlen hätten, die genehmhaltung Zu MGhh. stellend Erkandt bedacht geliebt.

Autres mentions de Philippe Louis Künast dans les registres des Quinze et ceux des Conseillers et des Vingt-et-Un
1687 Conseillers et XXI (1 R 170) – H. Philipp Ludwig Künast E. E. gr. Raths procurator. 231. 245.
1688 XV (2 R 92) – Philipp Ludwig Künast umb compensation Pfenningthurn Capitalien gegen Umbgeldts Extantzen, 305, 307
1690, XV (2 R 94) – Herr Philipp Ludwig Künast als geweßener Greffier beÿ dem Corps des Marchands pt° Appointements, 56, 68 a et b, 108
1702, Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 57) n° 522
Philipp Ludwig Künast Jurium Practicus auch E. E. Großen Rahts und anderer höheren gerichts stellen wohlmeritirter Advocatus und Procurator ordinarius

Salomé Künast devient propriétaire de la maison en 1740 à la mort de sa mère âgée de 87 ans

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1719-1755, f° 112)
1740, Freÿt. d. 23. Sept. Vormittag ein Vierthel Vor 10 uhr ist in Ihren Erlößer J. X.sanfft u. selig eingeschlaffen Fr Salome Künastin gebohrne Saltzmännin weyl. S. T. H. Philipp Ludwig Künasten E. E. gr. Raths u. and.er gerichts stellen Procuratoris u. Advocati ordinarii hinterlaßene gewesene wittwe, Ihres alters 87 jahr 3 monath u. 3. wochen, wurde Sont. darauff ehrl. Zur erden bestattet auff d. gottesacker St. Galli [unterzeichnet] M. Johannes Michaël Zentgraff . S. Theol. Stud. als Enckel (i 116)

La maison revient à Salomé Künast qui épouse en 1717 le juriste Jean Michel Zentgraff, fils du docteur en théologie Jean Joachim Zentgraff
Mariage, cathédrale (luth. f° 299-v, n° 1283)
1717. Mittwoch den 29.ten 7.br Seind nach 2. mahl. Proclamation ehelich copuliert worden H Joh. Mich. Zentgraff U. J. Lic. und Procurator vicarius beÿ E. E. Gr. Rath, weÿl. H. Johann Joachim Zentgraffen S. S. Theol. D. und Prof. P. O. auch Kirchen Conv. Præsidis und decan. Capituli Thomani hinterl. ehel. Sohn, und J Salome weÿl. H Philipp Ludwig Künast gewesenen Advocati und Procuratoris beÿ E. E. Gr. Rath auch anderen Gerichtstellen hinterl. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Michael Zentgraff J. Dus als hochzeiter, Salome Künastin als Hochzeiterin (i 299)

Jean Michel Zentgraff et Salomé Künast font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Marché aux Chevaux qui appartient à la mère de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 1294 livres, ceux de la femme à 491 livres.
1717 (23. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 24) n° 629
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, So der Hoch Edle, hochgelehrte undt Großachtbahre Herr Johann Michael Zentgraff J. U. Ltus undt beÿ E. E. Großen Raths Procuratur wohlmeritirter Vicarius und die Wohl Edle, Viel Ehren und tugendreiche fraw Salome gebohrne Künastin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, und sich deren jeedes nach anzeig Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert Vorbehalten hat (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg in beÿseÿn und persönlicher Gegenwarth S. T. Herrn M. Israel Dieterlins Wohlbestellten Præeptoris inferioris Gymnasÿ als der Ehefr. Fraw mutter geschwornen Curatoris vnd herrn Heinrich Künasten der Ehefr. geschwornen Vogts, Dienstags den 23.ten 9.bris Anno 1717.

In einer in der Statt Straßburg ahne dem Roß Marck gelegenen der Ehefr. Fr. Mutter eigenthümlich zuständigen und Von Ihnen beeden Eheleuthen bewohnenden behaußung befunden worden wie folget
Wÿdumb, Welchen S. T. fraw Anna Dorothea Zentgraffin gebohrne Sebitziußin, Von Weÿl. S. T. Herrn Joh: Joachim Zentgraffen geweßenen SS. Theologiæ Doctore und beÿ hiesigem Wohl Ehrwürdigen Kirchen Convent Præside ihrem Eheherrn see. Zeit lebens zugenießen hat, davon das Eigenthum dem dißorthigen Eheh. Zuständig ist
Wÿdumb Welchen S. T. Hr Johann Ulrich Geisler Præceptor Sup: Gÿmnasÿ von weÿland S. T. Fraw Ursula Elisabetha Geißlerin gebohrner Zentgraffin seiner verstorbenen, Fr. Eheliebstin seel. ad dies vitæ Zu genießen befugt ist
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemann in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 43, Sa. lährer faß 13, Sa. der Bibliothec, 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 28, Sa. Goldener Ring und Geschmucks 60, Sa. der baarschafft 23, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1019, Sa. der Schulden 66, Summa summarum 1264 lb – Schulden 86, Compensando verbleibt 1178 lb, Darzu ist zu legen die Ihme gebührige helffte ahne denen haussteuren thun 116, Des Eheherren samptlich Eigenthümlich. Vermögen 1294 lb
Der Ehefraun in die Ehe gebrachte Samptliche Eigenthümbl. Nahrung, Sa. haußraths 109, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 41, Sa. Goldene Ring Ketten, Peerlein und dergleich. Geschmucks 120, Sa. der Baarschafft 54, Summa summarum 325 lb – Hierzu Zu legen die Ihro gebührige helffte ahne denen haussteuren antreffen 16 lb, der Ehefrauen in die Ehe gebrachte samptl. eigenth. Nahrung 491 lb

Jean Michel Zentgraff meurt en 1724 en délaissant trois enfants. La masse propre à la veuve est de 427 livres, celle des héritiers de 1 552 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 017 livres, le passif à 1 370 livres.
1725 (17.1.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 1) n° 66 (1436)
Inventarium vndt beschreibung aller vnd Jeder, liegendt vndt vahrender Haab Nahrung Undt Güttere, Schulden vndt gegenschulden überahl nichts davon ausgenommen, so weÿl. der Hoch Edle Hochgelehrte Vndt großachtbare H. Johann Michael Zentgraff, J.U. Ddus beÿ E.E. groß. Rath alhier geweß: procurator vicarius Undt burger alhier nunmehr seel. nach seinem den 6.ten Octobris abgelegten 1724.sten Jahrs aus dießer Zeit vndt welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato zu endt stehend auf freundl. ansuch. vndt begehren deß wohl Edlen, Wohl Ehrwürdig vndt wohlgelehrten herrn M. Joh: Joachim Zentgraff præceptoris Classici Superioris Gymnasÿ vndt burgers alhier alß geordnet und geschwornen Vogts Joh: Michaels, Joh: Philippßen undt Susannæ Salome der Zentgraffen des abgeleibten Herrn seel. mit der hinterbliebenen wittib hernach benambßt ehelich erzeugtet Kindere und ab intestato Zu 3. gleichen antheilern nachgelaßener Erben ersucht und inventirt, nach deme die hinterblieb: wittib Fr. Salome Zentgräffin gebohrner Künastin mit assistentz u. beÿstand des höch Edlen Hoch vnd rechtsgelehrt. H. Joh: Ernst Schwerdt J. U. Ddi v. burg. alhie ihres Erbettenen Curatoris (…) Actum Straßburg d. 17. Januarÿ Anno 1725.
perge fol. 33.b Copia Codicilli reciproci, So dann fol. 38. befindet sich i. Exemplar Ihrer Eheberedung

In einer alhier Zu Straßb. auff dem Roßmarck ane der bischoffs gaß gelegenen nicht hiehero gehörig behauß. befunden word. alß volgt
Holtz vnd Schreinw. Auff der obern bühn, In d. obern Cammer, Im obern haußöhren, In d. obern Stub Cammer, In d. obern Stub, In der Untern Stuben (…)
Series rubricarum. Der Fr. W. ohnv. Vermög. Sa. haußraths 54, Sa. leerer vaß 12 ß, Sa. Silber v. geschirr 16. Sa. gold. ring v. dgl. geschmeids 47, Sa. baarschafft 13, Sa. Schuld 105, Sa. Ergäntzung 188, Summa summarum 427 lb
der Erben ohnv. Nahrung, Sa. haußraths 101, Sa. Vaß 6, Sa. anschlags d. Bibliothec 6, Sa. Silber und geschmeids 13, Sa. gold. r. vnd geschirr 30, Sa. bahrschafft 3, Sa. Pfenn. Z. haubtg. 248, Ergäntzung 1146, Summa summarum 1657 lb – Schulden 105, bleibt 1552 lb
theilbare Nahrung, Sa. haußraths 33, Sa. wein vnd vaß 68, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 12, Sa. gold.Ring und dergl. geschirrd 19, Sa.bahrschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptgutt 359n Sa. schuld 501, Summa summarum 1017 lb – Schulden 1370, Übertreffen also die theilbahre Passiva die theilbare Verlaßenschafft vmb 353 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1625 lb
Ergäntzung der Erben abgegangenen ohnv. Guths, durch J Johann Adam Ösinger Not. publ. jur. v. burg. alhier sub dato 23. 9.br. 1717 Verfertiget
Wÿdumb, Welchen s.t. H M. Joh: Ulrich Geißler præceptor classicus super: Gylnasu von weÿl. s. t. frawen Ursulæ Elisabethæ Geißlerin gebohrner Zentgraffin seiner verstorbenen fraw Liebstin seel. ad dies vitæ Zu genieß. befugt (…) Inhalt Abtheilungs concept über derselben Verlaßenschafft durch ged. H. Not. Lang in A° 1702 vergriffen
(f° 33) Wÿdumbs Verfangenschaft Jfr. Anna Dorothea Zentgräffin des Verstorbenen Herrn seel. annoch ledige Jfr. Schwester, hat von weg. der ihro von Ihren H Vatter weÿl. S T. Herr Johann Joachim Zentgraff S. S Theologiæ Doctore et professore beÿ alhiesiger löbl. universität auch Einem Wohl Ehrwürdig. Kirch. convent hochverdient. præsiden
Copia Codicilli reciproci – 1718. (…) auff Mittwoch den 2. Februarÿ abends Zwischen 6 und 7 Uhren (…) persönlich kommen und erschienen seind der wohl Edel Veste und hochgelehrte herr Johann Michael Zentgraff V: J: Ltus und E. E. Großen Rath auch andere Gerichtstellen wohlbestellten vice procurator und die Edle, Viel Ehren und wohl tugendreiche fraw Salome gebohrner Künastin beede Ehelich Vermählte Persohnen (…) Johann Adam Ösinger Nots. juratus publ.

Salomé Künast fait vendre des effets mobiliers devant la maison
1741 (11.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 12) n° 568
Verkauff Register über diejenige Haußräthliche Posten welche Frau Maria Salome gebohrene Künastin, S.T. Hr. Lt. Johann Michael Zentgraffs hinterlaßene Frau Wittib, durch Hr Johann Georg Lederlins des Käufflers Ehefrau vor einer behaußung auff dem Roßmarck ane der Bischoffs gaß gelegen offentlich feÿl bieten, und verkauffen laßen auffgericht den 11.ten Aprilis A° 1741.

Registre des recettes et dépenses après la mort de Salomé Künast dont l’inventaire est dressé à Barr en 1783.
1783, Not. Roederer (6 E 41, 914) n° n° 20
Schluß Rechnung Mein Johann Daniel Schaaff dermalig. Not° jur. publ. Zu Straßburg, als vermög der am 5. Martÿ jüngst Zu Barr über die Verlaßenschafft weil. Fr. Salome gebohrner Künastin, Längst weil. H. Lt. Johann Michael Zentgraff, gewes. Proc: vic: dahier Zu Straßburg hinterbliebener Wittib unter samt. Erben gepflogene Abrechnung bestellten Mandat.ii, Inhaltend Was gedachter Verlaßenschafft wegen seit gemeltem 5.ten Martÿ ane damals angesezt geweßenen Activ: und Passiv: Posten bis dato eingenommen und ausgegeben habe.

Salomé Künast meurt à Barr à l’âge de 91 ans le 3 février 1783
Sépulture, Barr (luth. reg. 1780-1787, f° 114-v)
Im Jahr 1783 Montags den 3. Februarÿ Vmorgens zwischen Ein und zweÿ Uhr starb allhier und ward Mittwochs darauf den 5. ejusdem auf Christliche Weise mit Erlaubnus Gnädiger Obeigkeit Zu Gocksweiler Zur Erden bestattet weÿl. frau Salome geborne Künastin weÿl. Herrn Johann Michael Zentgraf beeder Rechten Licentiati und wohlbestellten Procuatoris der Stadt Straßburg ab A° 1717 d. 29.Sept. bis ad A. 1727 d. 6. Octobris im Leben geweßt Ehefrau. Parentes weÿl. der hoch und Wohlgelehrte Herr Philipp Ludwig Künast E E Grossen Rath advocatus et Procurator Ordinarius und weÿl. Frau Salome geborne Saltzmännin Ihr alter ward 91 Jahr 5 Monat weniger sien Tage (i 115)

Salomé Künast veuve de Jean Michel Zentgraff vend la maison au cartier Pierre Lachapelle et à sa femme Elisabeth Delhée moyennant 1 500 livres : vente provisoire devant notaire, acte définitif à la Chambre des Contrats

1741 (11 mars), Not. Papelier (41 Not 5) n° 20
fut present Damoiselle Salomé Zentgrave née Kunaste veuve de feu Sieur Jean Michel Zentgrav en son vivant Licentié en droit et bourgeois de cette ville, jelle assistée du Sieur Jean Brackenhofffer Notaire juré et bourgeois de cette ville, laquelle a (vendu)
au Sieur Pierre La Chapelle Cartier et bourgeois de lad° Ville
Une Maison avec tous ses Bastimens, Droits, dépendances et appartenances y compris les Chantiers dans la Cave, et la petite porte de Cuivre du fourneau et le Contoire au second estage dans le poël:/ scituée au marché aux chevaux de cette ville tenant d’un costé à ma veuve de feu Jean Jacques Willhelm en son vivant Cabaretier à la Cicogne et bourgeois de lad° ville de l’autre qui fait le coin à la rüe d’Evêque, aboutissant par derrière à Jean Sontag traitteur et bourgeois en cette ville, dont on paye annuellement au Jour de la fete de S Thomas au Chapitre de S Pierre le Jeune en cette ville 32 sols et deux Chapons rente foncière et surplus suivant l’affirmation de la demoiselle vendeuse faite en foy de serment, franche, libre, quitte de toutes hypothèques et autres charges – moyennant le prix et somme de 6000 livres tournois (…) s’oblige de payer a lad. Dlle vendeuse si tot que le present Contrat de vente sera enregistré au greffe de la Chambre des Contrats qui doit se faire dans quinze jours de ce Jourd’huy 2000 livres tournois
(signé) Salome Zentgraffin, + marque du sieur Pierre La Chapele

1741 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 208
Fr. Salome geb. Künastin weÿl. H. Lt. Michael Zentgraff gewesten advocati und Proc. vicarÿ wittib so ohnbevögtiget mit beÿstand H. Not. Johannes Brackenhoffer
in gegensein Pierre La Chapelle des Kartenmachers und Elisabeth geb. Delay
eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Roßmarckt ane der Bischoffsgaß, einseit ist ein eck, anderseit neben der Wilhelmerischen wittib, hinten auff Sontag den schneider – samt einem kupffernen offen: Keßel und thürlein und denen in dem keller befindlichen liegerlingen – davon gibt man dem stifft zum jungen St Peter 8 ß und 2 Cappen ane erblehenungzinß – ihro als ein von ihren eltern ererbtes guth – um 1500 pfund oder 6000 livres tournois

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du banquier Jean Daniel Stædel pour en régler le prix d’achat

1741 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 209-v
Pierre La Chapelle der Kartenmacher und Elisabeth geb. Delhée mit beÿstand ihres bruders David Benoit des Kartenmachers und H. Johann Jacob Giesing des handelsmanns
in gegensein H. Johann Daniel Städels Banquier – schuldig seÿen 500 pfund zu erkauffung hiernach beschriebener behausung
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung und hoffstatt cum appertinentis ane dem Roßmarckt ane der Bischoffsgaß, einseit ist ein eck, anderseit neben der Wilhelmerischen wittib, hinten auff Sontag den schneider – davon gibt man dem stifft zum jungen St Peter 8 ß und 2 Cappen ane erblehenungzinß
mehr eine behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt und übrigen zugehörden ane dem Roßmarckt, einseit neben Peter Pflug dem Stadtlohner anderseit neben NN hinten auff den Rindshäutergraben

Originaire de Lyon, le cartier Pierre Lachapelle épouse en 1711 Elisabeth Delhée, native de Verdun, fille de Jacques Delhée, habitant à Metz, et de sa femme Jeanne Royer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 230)
Die 28 Mensis Novembris aô 1711 (…) Sacro matrimonii vinculo copulati sunt honesti adolescentes scilicet Petrus La chapelle Lugdunensis ac Cartharum fabricator et pudica virgo Elizabetha Delay verdunensis ac filia defuncti Jacobi delhay metensis ac etiam Cartahrum fabricatoris et Joannæ Royeyr verdunensis, Testes huiusce matrimonÿ fuerunt dauid Benoy, de Bellriue ditionis Bernensis in Helvetia et tutelaris huiati ac cartharû fabricator et Nicolay Bertier Cuis ac mercator huiatis (signé) o signum sponsi, lisabet delhé (i 10)

Ils passent un contrat après leur mariage (d’autres actes qui les concernent seront traités à la notice d’une autre maison)
1715 (26 juin), Not. Humbourg (6 E 41, 37)
Conventions matrimoniales – furent presens Pierre La Chapelle Bourgeois de Lyon étably en cette ville et Elisabeth Delhée sa femme de Luy authorisés à L’effet des presentes, Lesquels ont respectivement dit et declaré Que n’ayant pas fait rediger Leurs pactions matrimoniales par escrit par devant Notaires et Voulant neanmoins Les executer de part et d’autre (…)
être communs en tous biens qu’ils acquereroient Constant leur mariage aux us et coutumes de France a sçauoir Chacun pour une moityé (…) Fait et passé à Strasbourg Ce 26° de Juin 1715 (signé) x marque de Pierre La Chapelle, lisabet delhee

Pierre Lachapelle et Elisabeth Delhée revendent un an plus tard la maison au tapissier Anselme Rondouin moyennant 1 650 livres

1742 (1.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 257
Pierre La Chapelle der Kartenmacher und Elisabeth geb. Delhée
in gegensein Anselme Rondouin des tapezierers
eine behausung und hoffstatt mit allen derosleben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ane dem Roßmarckt ane der Bischoffsgaß einseit ist ein Eck, anderseit neben der Wilhelmischen wittib, hinten auff Sontag den schneider – samt einem Kupffernen ofen: keßel und thürlein und denen in dem keller befindlichen Liegerlingen – davon gibt man auff Thomä Apostoli dem stifft jungen St Peter 8 ß und zween cappen Erblehenzinß – als ein am 24. Aprilis 1741 erkaufftes guth – um 750 und 500 pfund (verhafftet, geschehen um) 400 pfund

Le tapissier Anselme Rondouin natif de Strasbourg achète le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1734, 4° Livre de bourgeoisie p. 1011
Anselm Rondovin d Leedige tapizier Von hier geb. erhalt d. b. umb d: neuen b: will beÿ E E Zunfft Zum spiegel dienen Jur. d: 3.ten Julÿ 1734.

Fils de l’entrepreneur Urbain Rondouin, Anselme Rondouin épouse en 1736 Catherine Dorothée Reineri, fille du conseiller Jean François Reineri : contrat de mariage, célébration
1736 (30. 9.br), Not. Humbourg (6 E 41, 56)
Contrat de mariage – furent presens Le Sieur Anselme Rondoüin marchand tapissier Bourgeois de cette ville y demeurant fils majeur d’ans du Sieur Urbain Rondoüin Entrepreneur des ouvrages du Roy en cette Province d’Alsace et de Damle Marguerite Assenet Son Epouse faisant, stipulant et agissant pour luy et en son nom du consentement desdits sieur et dam.le ses pere et mere presens d’une part
Et le Sieur Jean François Reinerÿ Conseiller au magistrat de cette dite ville et Damle Catherine Dorothée Dolhopff Son Epouse, faisant, stipulant et agissant pour dem.le Catherine Dorothée Reinery leur fille presente de son bon gré et consentement d’autre part
Fait lû et passé ausiy Strasbourg le 30° novembre 1736 (signé) Anselme Rondouin, dorothé reineri

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 112)
Hodie 7 Januarÿ Anni 1737 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Dnus Anselmus Rondouin filius Dni. Urbani Rondouin architecti et Margaritæ Assenette ex parochia Sti Stephani Hujus urbis et pudica virgo Catharina Dorothea Reineri filia Dni Joannis Francisci Reineri Senatus Majoris hujus urbis assessoris et Dnæ Catharinæ Dorotheæ Dolhoffin Conjugum parochiana nostra (signé) Anseme rondoüin, Catharina d.reineri (i 59)

Catherine Dorothée Reineri meurt en 1739 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans la maison Petit place des Cordeliers. L’actif de la succession s’élève à 644 livres, le passif à 851 livres.
1739 (3.6.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 701) n° 201
Inventarium unndt beschreibung all der Jennigen Haab, vnndt Nahrung, Schulden in vnndt auß dem Erb, nichts davon außgenommen, reservirt noch vorbehalten, So Weÿl. die Viel Ehrn: undt tugendbegabte Catharina Dorothea gebohrne Reinerÿ deß Ehr unndt Vorgeachten Hn Anselm Rondouin tapizierers vnndt burgers alhier zu Straßb. gew. haußfr. seel. nach Ihrem den 12.ten Martÿ Jüngsthin aus dießer welth genommenen tödtlich. hinscheiden hier Zeitl. verlaßen,welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuch. erfordern, vnnd begehren tit. die Viel Ehren, wohlgeacht, und wohlweiß. Hn Joh: Frantz Anthoni Bourst beÿsitzern E.E. Kl. Raths, undt burgers dahier, alß Margarethæ Dorotheæ Theresiæ, vnndt Mariæ Franciscæ mit dem hinterbl. Wittwer Ehel. Erziehlter Zweÿer döchterlein undt dießorts ab intestato nachgelaßene Erbin Verordnet, vnndt geschw. Vogdts Inventirt – So gescheh. in auch beÿs. tit. Fr. Catharin Dorotheæ Dolhopffin der abgelebten Fr. seel. Mutter und dann Fr. Margareth Assonet deß H. Wittibers Mutter, zu Straßb. auff Mittwoch d. 3. Junÿ a° 1739.
Copia der Eheberedung, vide inferius
Bericht dieße Verlaßenschafft betreffendt. Wie auß obbeschriebener Eheber. vndt deren articulis 3. 4. et 5. mit mehrem Ersichtlich, haben die abgelegte Fr. seel. vnd der hinterl. Wittiber deren Zubringend. oder Etwan wehrender Ehe Ererbende Nahrung Sich für ohnverändert, vnndt der abgeh. Posten Ergäntzung beederseiths reservirt vnndt vorbehalten, weillen aber dem gegebenen bericht nach Sie Kein ordentl. Inventarium illatorum auffrichten laßen (…)
In Einer alhier zu Straßburg auff dem Barrfüßer Platz gelegen, H Petit dem Sattler und burg. alhier gehörig. behaußung Erfunden worden, alß folgen thuet
In der untern Cammer, In der obern Stuben, In der Cammer
Abzug in gegenwärtiges Inventarium gehörig, Sa. Hausraths 134, Sa. Tapezereÿ waaren 70, Sa. Silbers 7, Sa. Goldener Ring 6, Sa. activorum 425, Summa summarum 644. lb – Schulden 851. lb, Übertreffen alßo vorstehende Passiva die samtliche Verlaßenschafft umb 207. lb
Copie du Contrat de mariage (…) 30. 9.bre 1736, Humbourg Not. Royal

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 250 florins (125 livres) sur un total de 700 florins
1739, Livres de la Taille (VII 1178) f° 383
Spiegel F. N° 7911 – Weÿl. Fr. Catharinæ Dorotheæ gebohrner Reinerÿin Anselm Rondouin Tapetzierers und Burgers alhier Ehel. haußrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schmidt.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 59.b 348. 17. 7.
die machen 700. fl. Verstallte nur 500 fl. Zu wenig 250. fl.
Nachtrag auf fünff Jahr alß lang Er burger in duplo à 12 ß, th. 3 lb
Und auff vier Jahr i, simplo à 6 ß – 1 lb 4 ß
Ext. Stallgeltt pro 1739- 2. lb 2 ß
Gebott, 2 ß 4 d
Abhandlung, 12 ß 6 s – Summa 7 lb 10
Auff bitten von denen herren dreÿ nachgelaßen 1 lb 4 ß, rest 5 lb 16 ß 10 d
dt. 17° Junÿ 1739.

Anselme Rondouin se remarie en 1743 avec Anne Claire Damisson, fille du marchand Denis Damisson à Landau : contrat de mariage à Landau, proclamation à Strasbourg
Copie du Contrat de mariage. Par devant le Notaire Royal immatriculé au Conseil souverain d’Alsace résidant a Landau soussigné furent présens Le Sieur Anselme Rondouin bourgeois mesure tapissier demeurant à Strasbourg de présent en cette ville de Landau assisté du sieur Jean Rondouin Entrepreneur des Ouvrages pour le roy audit Strasbourg, Et Demoiselle Anne Claire Damisson fille de feu Le sieur Joseph Denis Damisson vivant bourgeois Marchand audit Landau et de Damoiselle Françoise Fangouin de la place de ses père et mère assitée de ladite Demoiselle Françoise faugouin de la place sa mere et du Sieur Jean Lauge bourgeois mesure demeurant en cette ville son beau père d’autre part – Fait et passé en la demeure dudit Sieur Lauge ce 10 decembre 1742 – Streicher

Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 243)
Anno 1743 die 4 Januarÿ tribus proclamationibus in Ecclesia nostra publice factis ac nullo detecto impedimento Dnm. Anselmum Rondouin civem argentinensem et aulæorum opificem parochianum nostrum dimisi ad Dnm Colin parochum in Landau quaternum per cum matrimonio Jungi valeat cum pudica virgine Maria Clara Damson ejus parochiana (i 127)

Anne Claire Damisson (Damson) devient bourgeoise par son mari le 25 février 1743.
1743, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 120
Fr. Anna Clara Damson Von Landau gebürtig, erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Anselmo Rondouvin dem burger und tapezierer allhier um den alten burger schilling, und will beÿ E.E. Zunfft Zum spiegel dienen promis. eod. [25.ten februari 1743]

Anne Claire Damisson fait dresser l’inventaire de ses apports (1 128 livres) dans la maison de son mari.

1745 (8.7.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 476) n° 304
Inventarium über der Ehren und tugendsamen Frauen Annä Clarä Roundouin gebohrne Dameson zu dem Ehren und Vorgeachten Hn Anselme Rondouin dem Tapezierer und burger allhier zu Straßburg, als ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – und sich vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten hat
So geschehen in der königl. Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn des ehrenvest v. Kunsterfahrenen herrn Johann Friderich Senckeißen des Silberarbeiters v. burgers allhier als der Ehefrauen hierzu erbettenen beÿstandts auff Donnerstag d. 8.ten des Monats Julii A° 1743.
In einer allhier zu Straßburg an dem Roß: oder neuen Kornmarck gel. Ihme Ehem. eigenthüml. gehörigen behaußung ist befunden word. als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 337, Sa. Silber Geschirrs 142, Sa. Goldenen ring 65, Sa. Baarschafft 584, Summa summarum 1128. lb

Anselme Rondouin meurt en 1782 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de la Nuée Bleue. La masse propre à la veuve est de 1 259 livres, celle des héritiers de 2 803 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 675 livres et le passif à 8 321 livres.
1782 (26.3.), Not. Zimmer (6 E 41, 1428) n° 542
Inventaire des Biens delaissés par feu le Sieur Anselme Rondouin vivant Maître Tapissier et bourgeois de cette Ville de Strasbourg – apres son deced arrivé en lad. Ville el 26 Janvier 1782. Lesquels Biens ont été inventoriés à la requete de Dlle Anne Claire Rondoüin née D’Amisson, Veuve dud. defunt assistée du sieur Ignace Lex, Licentié és Loix – Fait et passé a Strasbourg ce 26 Mars 1782.
Feu le S. Anselme Rondouin a delaissé pour ses seuls et uniques héritiers ab intestat scavoir 1° Le S Jean Alexis Rondouin sois Inspecteur des Ponts et Chaussées de cette Province d’Alsace demeurant ordinairement à Colmar, 2.do D° Marie Simulin née Rondouin Epouse du S Chrétien Simulin, Officier retiré residant ordinairement à Diedesfeld pres de Landau dans la Jurisdiction de l’Eveché de Spire. Lesd. Sieur Rondouin et lad. De Simulin fils et fille dud. fue S. Rondouin procréés avec Dle Anne Claire née D’amisson veuve dud défunt

Trouvés dans une Maison Sçise en cette ville de Strasbourg Ruë de le Nue-bleue appartenante à lad. succession
Meubles et effets. Au Rez de chaussée, Au Second Etage, Au premier Etage, Dans la Cuisine
Propriété d’une Maison. Scavoir une Maison et cour avec ses apparten. et dependances Scituée en cette ville de Strasbourg rue de la nuée bleue, d’un côté l’Hotel du Grand Doyen, de l’autre la De veuve Lang et par derrière la Dame veuve Rondouin née Vialy, lad. Maison franche et quitte de toutes Charges et hypothèques à l’Exception d’une somme principale de 3000. li. portée ci-dessous au Chapitre des Dettes passives pour laquelle elle est affectée, lad. Maison estimée par les Experts jurés de cette ville, suivant leur billet d’estimation du 2° May 1782 produit et joint au présent Inventaire à la Somme de 6000. La Propriété de lad. Maison est constatée par acte passé à la Chambre des Contrats de cette ville le 2° Octobre 1747.
– Abschatzung Vom 2.ten Maÿ 1782. Auf begeren Weÿland Herr Antzhelm Rondoin dem geweßenen Tabzeierer ist Eine behausung alhier in der statt straßburg in der Blauwolcken gas gelegen Ein seÿts neben der Provoté anderer seÿts neben Madame Lang und Hinten auf Madame Rondoin stoßend gelegen solche behausung bestehet in Etlicher stuben Zweÿ Kichen Zweÿ fransoisch. Camin Kammerin und Etlichen Hauskammern darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter Keller gleiner Hoff und brunen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister und Vorhero beschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigem wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden, Vor und um, Dreÿ Thausen gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr.
Usufruit et Jouissance. en vertu d’un acte passé devant Me La Combe Notaire Roial le 29 fevrier 1780. feu le S. Anselme Rondouin et De Anne Claire née D’Amisson présentement sa veuve ont promis et assuré au S Jean Alexis Rondouin leur fils pour Dot et avancement de leurs hoiries futures, Un Bien de Campagne qu’ils possedoient dans la Banlieue de Kittolsheim, Baillage de la Prefecture de Haguenau (…)
Observation concernant la Succession de feu le Sr Rondouin. Par le Contrat de mariage transcrit (…)
Etat Sommaire du présent Inventaire – Biens propres à la Dlle Veuve, Total des effets 39, Total de la Dette active 1000, Total du Remploi 4000, Total général 5039 Livres
Remploi des Biens propres aux héritiers, 11.215 livres – Dettes passives 1000 livres, Deduction faite 11.215 Livres
Biens de la Communauté, Total des Meubles 703, Total de la Propriété d’une Maison 6000, Total général 6703 Livres – Dettes passives 33.234 Livres, Excedent des Dettes passives sur la masse active 26.530 livres
Les dettes passives excedent la totalité des biens de cette succession de la somme de 10.276 Livres
Pour former celle du Stall il y auroit encore a deduire le somme de 3000 livres prix fixé du Bien de Campagne de Kittolsheim mais comme la Dlle Veuve n’a que la jouissance de ce Bien pendant sa vie et que ce prix n’est également pas suffisant pour remplir ce vuide, il a été jugé inutil d’en faire la detraction, cy Pour Mémoire
Copie du Contrat de mariage. (…) Fait et passé en la demeure dudit Sieur Lauge ce 10 decembre 1742 – Streicher

Anselme Rondouin vend la maison au cafetier Jean Antoine Jaquemin et à sa femme Anne Marie Prefosse

1747 (29.9.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 668-v
Anselme Rondouin der tapezirer
in gegensein Jean Antoine Jaquemin des Caffetier und Marie Anne geb. Prefosse
eine behausung und hoffstatt mit allen deoselben begriffen, weithen, Zugehörden und Eechten ane dem Roßmarckt, einseit ist ein Eck ane der Bischoffsgaß, anderseit neben der Wilhelmischen wittib, hinten auff N. Sontag dem schneider – davon gibt man auff Thomä Apostoli dem Stifft jungen St Peter 8 ß und zween Cappen – als ein am 1. Junÿ 1742 erkaufftes guth – um 2500 pfund

Originaire de Lauterbourg, Jean Antoine Jaquemin épouse en 1735 Marie Anne Nicole Lambert, fille du fripier strasbourgeois Claude François Lambert, veuve du sergent Abdon Sonners : contrat de mariage, célébration
1735 (1. 8.bre), Not. Lhanneur de Chantelou (6 E 41, 990)
Mariage du 1° 8.bre 1735 – furent presens sieur Jean Antoine Jacquemin natif de Lauterbourg en basse alsace, fils mineur agé de vingt un ans de deffunt Sr Antoine Jacquemin dit lafontaine vivant garde magasin des Bois aux troupes du Roy en lad° place, et de Demoiselle Marie Margueritte Jominy son Epouse ses pere et mere, lad° Delle presente et de Son Consentement, stipulant led. S. Jacquemin sous L’authotité de sad° mere pour luy et en son nom d’une part
et Demoiselle Marie Anne Nicole Lambert veuve du Sieur Abdon Sonners vivant sergent de la Compagnie de Molain au Batt.on de Valenceau Regiment de Royal artillerie, duquel est issue une fille vivante agée d’environ un an nommée Marie Catherine, lad° Delle fille mineure agée de 21 ans ou environ de deffunt Sr Claude François Lambert vivant marchand frippier en cette ville et Marie Elisabeth Duflos Mary et femme ses père et mère natifve de la Parroisse de Ste Croix a Aras en Flandre, stipulante sous L’authotité et du Consentement de sad° mere a ce presente pour elle et en son nom d’autre part
Comme il y a un enfant vivant né du premier mariage de lad° future Epouse avec led. deffunt sieur Abdon Sonners, il a été convenu et accordé entre lesd. futur époux que led. enfant sera par Eux adopté et regardé Comme provenant de leur futur mariage
+ marque du futur époux, m.a. lambert

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 90-v)
Hodie 3. die octobris anni 1735 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Honestus adolescens Joannes Antonius Jacquemain filius legitimus Ant. Jacquemain in Prædicta Parochiâ S. Joannis [intra argentinam] commorans, et pudica virgo Maria Anna Lamber filia Legitima Claudii Lamber Parochiana nostra (signé) + signum sponsi, marianne lambert (i 96)

Le manant Jean Antoine Jaquemin obtient des Quinze le droit de vendre au détail
1735, Protocole des Quinze (2 R 143)
(f° 431) Sambstag d. 8. Octobris 1735 – Christ. nôe Antoine Jacquemin Schirmer Cit. E. E. Zunfft Zur Mörin Zunfft Mr. bitt Ihme dispensando ex gratia das Frantz. Krempen Recht gnädig gedeÿen Zu laßen. Gug. bitt deput. Erkant, Deput. Willfahrt

(f° 456) Sambstag d. 19. Novembris 1735 – Antoine Jacquemin Ca. E. E. Zunfft Zur Mörin
Iidem [Obere Handwerckh herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium] Referiren, Antoine Jacquemin der Schirmer habe in einem den 8. Octobris jüngst contra E. E. Zunfft Zur Mörin gehaltenen Recess Unterthänig gebetten Ihme dispensando das Frantz. Krempen Recht gnädig gedeÿen Zu laßen. Auff geschehene Remission habe er sein petitum widerhohlt,
Nahmens der E. Zunfft aber H Frantz Anthoni Kellermann der Zunfftmeister das begehren Zu MGHh. Erkantnus gestellet dahero man davor gehalten, daß dem Imploranten in seinem begehren dispensando Zu Willfahren seÿe. Die genehmhaltung Zu MGhh. stellend. Erkandt, Willfahrt.

(f° 474) Sambstag d. 26. Novembris 1735 – Obere Handwerck Herren laßen durch Hn Secret. Kleinclaus referiren, daß diejenige bescheid deren Comm. dießen morgen begehrt und willfahrt worden, bereits wie folgt zu papier gebracht seÿe,
Bescheid. Sambstag den 19. Nov. 1735 – In Sachen Antoine Jacquemin des Schirmers, Imploranten, ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfftmeister, Imploraten gethanes Unterthäniges ansuchen und bitten Ihme dispensando das Frantz. Krempen Recht gnädig gedeÿen Zu laßen, des Appellaten darüber angehörte Verantwortung, gebettene bewilligte und beschehene Deput. Ist der Herren Deputirten abgelegten Relation nach erkandt, Wird dem Imploranten in seinem begehren dispensando Willfahrt.

Jean Antoine Jacquemin dit la Fontaine se remarie en 1737 avec Marie Anne Prefosse, fille de l’aubergiste Jean André Prefosse : contrat de mariage, célébration
1737 (3 juin), Not. Humbourg (6 E 41, 57)
Mariage – furent presens Le Sieur Jean Antoine Jacquemain dit La fontaine Employé pour le Roy Bourgeois de la Citadelle de cette ville de Strasbourg, fils de feu Le Sr Antoine Jacquemain dit La fontaine en son vivant Garde-Magazin à Lauterbourg et de Dam.le Marie Marguerite Jominy a present sa Veuve, faisant stipulant et agissant pour luy et en son nom et du consentement de Lad. Damle sa mere presente d’une part
et Demoiselle Marie Anne Prefosse, fille de feu Jean André Prefosse auberge à l’aigle d’or quartier de St Nicolas en cette ville et de Dam.le Anne Marie Ans son Epouse, faisant, stipulant et agissant pour Elle et en son nom sous L’authotité et du Consentement desdits ses Pere et mere aussy presens d’autre part
(signé) lafontaine, Marianne Prefose

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 114)
Hodie 17 mensis junii anni 1737 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Honesti adolescentes joannes Antonius Jacquemin Ex parochiâ arcis argentinensis viduus Mariæ Annæ Nicolæ Lambert et Maria Anna Prefosse, filia Andreæ Prefosse cauponis et Annæ Mariæ Anzen conjugum parochiana Nostra (signé) + nota sponsi, Marianne Prefosse (i 119)

Jean Antoine Jacquemin est cité à comparaître au conseil des Fribourgeois parce qu’il loge des hôtes. Il cotise à la tribu pour en avoir le droit
1743, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 189-v) Dienstags den 17.ten Dec: A° 1743. Neu Zudiener
Anthoine Jacquemin der hiesige Schirmer, citirt weilen derßelbe seine beede Gebrüder nebst einem Chirurgien und Commis de l’Armée beÿ sich in Cost Zu haben, so von* Gn. Herren denen XV. die Erlaubnus erhalten, umb sich derenthalben alß ein Zudiener dießorts Zünfftig Zu machen.
Ille declariret dato daß Er verschiedene Chirurgiens Zufolg hochgedachter Erkanntnus beÿ sich in Cost habe, Bittet dahero pro Recept.
Erk. derßelbe wirdt gegen Erlag der 3. lb 4 ß d als Zudienen recipiret, undt Ihme anbeÿ Niemandten, alß seinen Kostgängern, die ordentliche Speiß und tränckh undt Zwar Sein Extr* Zugeben verbotten und solle fürdersambß burger und dißorts Leibzünfftig werden

Jean Antoine Jacquemin demande aux Quinze l’autorisation d’héberger des employés du roi. Sa femme présente un certificat d’après lequel la tribu des Fribourgeois le recevra à titre de cotisant dès qu’il aura l’aval des Quinze. Les Quinze accordent l’autorisation au tarif ordinaire.
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
(p. 548) Sambstag d. 7. Xbris 1743 – Fuchß nôe Jean Antoine Jacquemin Employé aux Travaux du Roy und Schirmer bitt Unterth. vmb Erlaubnus Commis des vivres und dergleichen in Cost nehmen Zu dörffen. Erkand, an die Ober Ungelt Heren Verwiesen.

(p. 582) Sambstag d. 14. Xbris 1743 – Weithers laßen Iidem [Obere Umbgelt Herren] per Eundem [Secretarium Kleinclaus] referiren, daß Jean Antoine Jacquemin, Employé aux Travaux du Roy und Schirmer allhier, den 7. hûs per recessum Vnderth. gebetten Ihme Zu erlauben, Commis des vivres und dergleichen in Kost nehmen Zu dörffen. Auß geschehene Wisung seÿe des Imploranten Ehefraw erschienen, welche petitum wiederhohlet, dero man aber die Außweise gegeben einen Schein Von E. E. Zunfft der Freÿburger Vorzulegen, welches Sie auch diesen morgen gethan laut deßen attestirt daß der Implorant, wann er die Erlaubnus so ersucht beÿ Mgh erhalten haben wird, Er beÿ ged. E. Zunfft alß ein Zudiener angenommen werden sollen Werde Ihme also Zu Willfahren sein bitt willfahrt, gegen erlag der ordentlichen Gebühr.

Jean Antoine Jacquemin et Marie Anne Prefosse hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Jean Louis Imlin

1747 (29.9.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 670
Jean Antoine Jaquemin der Caffetier und Marie Anne geb. Prefosse
in gegensein H. Johann Ludwig Immelin des silberarbeiters E.E. großen Raths beÿsitzers – schuldig zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung 1750 lb
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung und hoffstatt ane dem Roßmarckt einseit ist ein Eck ane der Bischoffsgaß, anderseit neben der Wilhelmischen wittib, hinten auff N. Sontag dem schneider – davon gibt man 8 ß und zween cappen zinß

Jean Antoine Jacquemin demande à la tribu des Fribourgeois un certificat pour devenir bourgeois
1747, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 369) Donnerstags den 28.ten Sept: A° 1747. – Sr Antoine Jacquemin der Caffetier auff dem Roß Marckh und bißheriger Schirmer, stehet vor vndt bittet, weilen er allhier burger Zu werden, undt dießorts mit dem Leib sich Zünfftig Zu machen, gesonnen, Ihme deßwegen mit dem behörigen Zunfftschein Zu willfahren.
Hierauff ist erkandt worden, daß demselben an seinem gesuch zu willfahren jedoch mit der condition daß Er von der Profession der würth nicht Zu profitiren berechtiget seÿn solle. prom.

Jusqu’à présent manants, le cafetier Jean Antoine Jacquemin et sa femme Marie Anne Prefosse achètent le droit de bourgeoisie le 30 septembre 1747
1747, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 312
Jean Antoine Jacquemin der bißherige schirmer u. Caffetier allhier u. deßen Ehefrau Maria Anna geb. Prevosse Erhalten das burgerrecht ein jedes umb den neuen burger schilling ihre Zweÿ KKr aber Johann Heinrich u. Margaretha werden beÿ ord: gelaßen wollen beÿ E: E: Zunfft der Freÿburger dienen, jur. et prom. eod. [30. 7.bris 1747]

Jean Antoine Jacquemin devient tributaire chez les Fribourgeois. L’acte rappelle qu’il n’a pas le droit d’exercer le métier d’aubergiste.
1747, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 371) Donnerstags den 16.ten Nov. – Jean Anth: Jacquemin dermahliger Caffet. auff dem Roß Marckh, und burger allhier, der vormahliger Schirms Verwanthe undt Zudiener beÿ dießer Ehrs: Zunfft, prof. burger: urkundt de dato 2. und 14. oct: 1747. Zu parition gericht bescheids vom 17.ten Dec: 1743. alß da Er wegen Haltung Kostgänger alß Zudiener gegen Erlag der 3. lb d dießorts recipirt worden undt bittet Ihme dermahlen Leibzünfftig anzunehmen.
Hierauff Erkandt worden, daß derselbe über die allschon Entrichtete 3 lb d annoch 2 lb 4 ß d Zu erlegen schuldig dabeÿ aber Ihme weder eine Auberge zu halten noch wein oder Eßen verkauffen, oder sonsten wieder ordnung Zu handelen, beÿ straffe Verbotten seÿn solle. Ded. prom: et jur: auff die ordn. eodem.

Jean Antoine Jacquemin hypothèque la maison au profit du médecin Jean Germain Dufort

1748 (10 janvier), Not. Humbourg (6 E 41, 79)
Obligation – fut present le Sr Jean Antoine Jacquemain Bourgeois Marchand Caffetier de cette ville y demeurant marché aux chevaux Paroisse St Pierre le Jeunne (devoir)
à Mr Jean Germain Dufort Medecin du Roy demeurant en cette ville place et Paroisse St Etienne, la comme de 1200 livres
hypothéqué, une maison à lui appartenante en propriété et qu’jl a acquise jl y a environ trois mois du Sr Rondouin Tapissier Bourgeois de cette d° ville, Scituée marché aux chevaux ayant pour enseigne au Grand comte de Saxe faisant coin à la rue d° Bischoffs gass d’une part et le Cabaret du Bec de l’autre, laquelle maison jl a declaré être affectée et hypothéquée au Sr Imlin orfèvre pour la somme de 7000 livres au reste franche et quitte

Jean Antoine Jacquemin dit la Fontaine et sa femme Marie Anne Prefosse font dresser un inventaire de leurs biens dans la maison au Marché aux Chevaux. La masse propre à la femme s’élève à 450 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 2 904 livres, le passif de 4 395 livres.

1749 (21.7.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 958) n° 5
Inventarium über Sr Jean Antoine Jacquemain dit la fontaine des Caffetiers, und die Ehren: und tugendsame Fr. Marie Anne gebohrne Prefose beede Eheleuthe und Burgerr allhier tam active quam passive dermahlen besizende Nahrung auffgerichtet Anno 1749. – weilen die Ehefr. Ihr in denen Ehepactis benandten Vermögen, beneben deme was sie währender Ehe ererbt, Zu Salviren gedencket, auff deroselben Ansuchen, erfordern und begehren inventirt, durch sie die Ehefrau und Zwar mit assistentz S. T. H. Johannes Schimmelpfenning J: P: allhier (…) So beschehen Straßburg auff Montag den 21. Julÿ Anno 1749.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt ane der Bischoffs gaß gelegenen und hernach beschriebenen behausung folgender maßen befunden worden
Eigenthumb ane einer behausung. Nehml. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier ane dem Roßmarckt einseith ist ein Eck an der Bischoffs gaß anderseith neben H. Johannes Klein dem Gastgeber und burgern allhier, hinten auff eben denselben stoßend, davon gibt mann Jahrs auff Thomæ Apostoli dem Stifft Jungen St. Peter 8. ß und Zween Cappen ane Erblehnungs Zinnß, sosten aber außer den darauff hafftenden Passiv Capitalien freÿ leedig und eigen. Und ist solche umb den Kauffschilling ohnpræjudicirlichen beliebter maßen hierauß Zu werffen pro 2500 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub verfertigter Kauffbrieff mit dero anhangendem Insiegel verwahrt de dato 29. Septemb. 1747.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Ehefrauen unverändertes Vermögen, so alleilig in hernach beschriebener Zum theil Zuerfordern habendes Activ schulden 450 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns unverändert und Theilbares beschrieben, Sa. hausraths 267 lb, Sa. Silbers 136 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 2500 lb, Summa summarum 2904 lb – Schulden 4395 lb, Des Ehemanns ohnverändert theilbar Passiv onus 1490 lb
Copia der Eheberedung (…) le 3. juin 1737 collationné Humbourg (Joint original sur parchemin)
Designatio Derjenigen Effecten, welche In sachen Contra sieur Lafontaine den Caffetier allhier Zur Ganth abgeholt worden, In Sachen Herrn Roth, des Rittmeisters unter dem Königlichen Husaren Regiment Ferari
(Accord avec les créanciers)

La maison est vendue par adjudication judiciaire le 10 mars 1750 à l’orfèvre Jean Louis Imlin, l’un des créanciers (voir plus haut l’obligation). La maison est estimée à la somme de 900 livres lors de l’inventaire dressé en 1764 après la mort de Jean Louis Imlin.

Georges Frédéric Imlin rachète de ses frères et sœurs les parts de la maison au Marché aux Chevaux

1765 (29.8.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 568
auf ansuchen H. Georg Friedrich Keller des silberarbeiters, nachstehende erbscession vor H Joh. Daniel Langheinrich Notario am 17. Augusti 1765
zu weÿl. H. Rathh. Johann Ludwig Imlins Verlaßenschafts erörterung, H. Johann Ludwig Imlin der silber arbeiter und dermahliger dreÿer auf löbl. Statt Stall, H. Philipp Jacob Hummel der handelsmann als geordneter theilvogt weÿl. H. Johann Daniel Imlin des silberarbeiters nachgelaßene dreÿ kinder, H. Philipp Jacob Imlin, Medicinæ doctor und Fr. Maria Salome Kellerin geb. Imlinin unter assistentz ihres Ehemanns H. Georg Friedrich Keller des handelsmanns
Georg Friedrich Keller des silberarbeiters ihres miterbem (für) ihne Georg Friedrich Imlin
eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, Begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem Roßmarck, 1.s. ein Eck ane der Bischoffs gaß 2. s. neben dem sogenanten würths hauß Zum Schnabel, hinten auf Johannes Sontag den Schneider stoßend, davon gibt man Jährl. Löbl. Stifft Jung. St. Peter allh. ane Erblehen Zinnß 8. ß d in Gelt und 2. Kappen in feder – um 3000 gulden

Georges Frédéric Imlin revend un mois plus tard la maison au tisseur de bas André Windesheim et à sa femme Marie Madeleine Wittmann moyennant 1 500 livres.

1765 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 636
H. Georg Friedrich Imlin der silberarbeiter
in gegensein Andreas Windesheim des strumpffwebers und Mariæ Magdalenæ geb. Wittmännin
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Roßmarckt, einseit neben H. Wilhelm dem gastgeber, anderseit ist ein Eck ane dem Bischoffsgaß, hinten auff H. Johann Sontag – davn gibt man dem stifft Jungen St Peter 8 ß in geld und 2 cappen in federn ane ewigen zinß – um 750 lb (verpfändet, geschehen um) 750 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du tailleur Jean Nicolas Megré

1765 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 638
Andreas Windesheim der strumpffweber und Maria Magdalena geb. Wittmännin mit beÿstand Johann Jacob Kaÿßer des kieffers und Johann Daniel Reit des fastenspeishändlers
in gegensein Johann Nicolaus Megré des schneiders – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis auf dem Roßmarckt, einseit neben H. Wilhelm dem gastgeber, anderseit ist ein Eck ane dem Bischoffsgaß, hinten auff H. Johann Sontag

Fille du tanneur Jean Wittmann de Barr, Marie Madeleine Wittmann épouse en premières noces le 12 mai 1739 Jean Urie Reichard, couvreur en ardoises originaire de Vettéravie (Stathen) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de 1745, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam: und bescheidenen Johann Urias Reichard, dem ledigen Schifferdecker von Stathen aus der Wetterau gebürtig, weÿland Johann Heinrich Reichard geweßenen Schifferdeckers und burgers daselbesten nachgelaßenem ehelichem Sohn, als dem hochzeiter ane einem, So dann Jungfrauen Mariä Magdalenä Wittmännin, Johann Philipp Wittmanns des Rothgerbers und burgers allher zu Barr, ehelicher tochter, als der Jungfer hochzeiterin am andern theil (…) unterschrieben Barr den 2. Maji Anno 1739, J. D. Richshoffer ambstschreibereÿ substitutus

Mariage, Barr (luth. n° 8)
1739. Dienstags d. 12. Maji wurden allhier auff Obrigkeitl. Erlaubnus nach 2 maliger Proclamation ehelich copulirt und eingesegnet, Joh: Urias Reichard der ledige Schifferdecker von Stathen auß der Wetterau gebürtig, weÿl. H. Joh: Heinr: Reichard des geweßenen Schifferdeckers daselbst nachgel. ehel. Sohn und Jungfr. Mar. Marg. Wittmännin Mstr Joh: Wittmanns b. u. Rothgerbers allhier ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Urias Reichard als hozeiter, Maria Magdalena Wittmännin als hochzeiterin (i 136)

Jean Urie Reichard et Marie Madeleine « Mittmann » achètent le droit de bourgeoisie en janvier 1745 en apportant deux enfants.
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 192
Johann Urias Reichardt der Schifferdecker Von Stadten in der wetterau gebürtig und seine Ehefrau Maria Magdalena gebohrne Mittmännin Von Barr erhalten das burgerrecht jedes um den alten burger schilling und wollen dienen beÿ E. E. Zunfft der Maurer, Ihre 2. Kinder aber Maria Catharina und Ph. Heinrich werd. beÿ Ordnung gelasen, jur. et promis. eod. [11. Jan. 1745]

Jean Urie Reichard et Marie Madeleine Wittmann font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif dans une maison Grande rue de la Grange. La masse propre à la femme est de 448 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 50 livres, le passif à 562 livres.
1748 (3.12.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 958) n° 2
Inventarium über Meister Johann Uriä Reichards, des Schifferdeckers und Fr. Mariä Magdalenä gebohrner Wittmännin, beeder Ehepersonen und burgere allhier, anjetzo habende Activ und passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1748. – welche der Ursachen, allweilen die Ehef: Ihr Zugebrachtes und wehrender Ehe ererbtes in denen Ehepactis sich Vor ohnverändert Vorbehaltenes Guth zu salviren gedencket, auf deroselben auf ansuchen, Erfordern und begehren, und Zwar die Ehefr: mit assistentz des Wohl Ehren und Rechts gelehrten herrn Johann Schimmelpfenning Jur: Pract: allhier (…) So beschehen allhier Zu Straßburg den 3. Decembris Anno 1748.

In einer allhier zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen, und von beeden Eingangs gemelten Eheleuthen Lehnungs weiß bewohnenden behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum an einer Behausung und Mahl Mühl zu Barr. (F.)
Ergäntzung der Ehefrauen währener ihrer Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach besag designationis in Anno 1740. durch vorhero offtgedachten H Ambtschreiber Schmidt Zu Barr
Series rubricarum hujus Inventarÿ.
Copia der Eheberedung (…) Barr den 2. Maji Anno 1739
Beschreibung der Ehefrauen unverändertes vermögen, Sa. hausraths 55 lb, Sa. goldenen Rings 10 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung und Mahlmühl 86 lb, Sa. Eigenthums ane einem Reeb Stuck 20 lb, Sa. schulden 100 lb, Ergäntzung (199 lb, Rest) 176 lb, Summa summarum 448 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbares vermögens Sub una massa bechrieben, Sa. hausraths 47 lb, Sa. Silbers 2 lb, Summa summarum 50 lb – Schulden 562 lb, In vergleichung 512 lb

Le couvreur d’ardoises Jean Urie Reichard n’a pas assez de travail pour nourrir sa famille. Il rachète les outils de l’amidonnier Matthias Blaser qui a quitté la ville. La maîtrise des amidonniers lui fait grief d’enfreindre le règlement qui stipule qu’il faut avoir appris le métier deux ans chez un maître pour pouvoir l’exercer. La commission constate que le travail de couvreur manque effectivement, elle propose que Jean Urie Reichard soit admis en apprentissage puis en soit aussitôt libéré en acquittant les taxes habituelles. Les Quinze ratifient la proposition.
1751, Protocole des Quinze (2 R 160)
Joh: Urias Reichard der Schifferdecker contra Meisterschafft der Amlungmacher
(p. 275) Sambstags d. 25. Septembris – Faust nôe Joh: Urias Reichard, burger und Schifferdecker Ca die Amlungmacher, prod. Memor. juncto petito, mit beÿl. N° 1, und Weilen der Implorant nicht ohne nahrung seÿn Kan, als bezieht sich auff contenta producti, und bitt ihme ob ferias magnas biß austrag der sach, ohne præjuditz gnädig Zu erlauben, daß er amlung und poudremachen dörffe. Pastorius gegner hat sein handwerck, bitt nach ordnung cop: et T. O. Faust laßt in ppli. beedes Zu, bitt wie vor, Pastorius, ut modo, Erk. cop. und deppôn.

(p. 313) Sambstag d. 20. Novembris – Idem [Faust] nôe Joh: Urias Reichard Ca die Amlungmacher bitt similiter [communication sententiæ], Erk. similiter [willfahrt].

(p. 317) Sambstag d. 20. Novembris – Obere Handwercks Hhn laßen per Eundem [Secretarium] referiren, es habe Joh: Urias Reichart, der burger und Schifferdecker, beÿ MGHhn d. 25. 7.bris jüngst Ca. E. E. Handwercks der Amlungmacher Obermeister ein unterth. Memoriale, mit beÿl. Sub N° 1 übergeben, und darinn vorgestellt, was maßen er Zwar seines handwercks ein Schifferdecker seÿe, auff seiner profession aber so wenig zu arbeithen habe, daß er sich und die seinige nicht ernehren Könne, Nun habe er sich Zwar beÿ denen Amlungmachern angemeldet, daß, weilen er des ausgetrettenen Mathis Blaßers hauß entlehnet und deßen Schiff und geschirr an sich erkauffet, Er als ein Amlungmacher angenommen werden möge, Weilen aber Imploratsches handwerck von MGhh. einen artickel erhalten, vermög welches ein jeder, der das handwerck treiben will, zweÿ Jahr beÿ einem Amlungmacher lernen müße, mithin ihme, dem Imploranten, in seinem begehren nicht hat willfahrt werden können, als habe er sich gezwungen an dießelbe des unterth. Imploranten gehorsamstes bitten, Sie gnädig geruheten, dispensando von dem 5. Artickel derer Amlungmacher, zu erkennen, daß der Implorant gegen erlag der gebühr in das Corps derer Amlungmacher auffzunehmen seÿe.
Nôe Imploratischen Handwercks habe man umb deppôn gebetten, Auff geschehene weißung habe des Imploranten Ehefrau, in abweßenheit des mariti, præsens, contenta mémorialis et petito wiederhohlt, auff seithen derer Imploranten seÿen Vorgestanden Joh: Michael Ell, als Ober: Carl Fünffschilling, als unter: und Hanß Georg Weiß, alß beÿsitzmeister, welche sambtlich gebetten, dem Imploranten mit seinem begehren, als wieder Ihre artickel lauffend, ref. exp. abzweißen,
die Hhn. deputirte hätten befunden, daß die Schifferdeckereÿ allhier nicht einmahl ein handwerck ausmache, und allhier sehr selten getrieben zu werden pflege, mithin Implorant in einem nahrungsloßen Zustand sich vorgegebenermaßen würcklich befinde, Zu dem Ende sie deßen begehren als gratiable angesehen, und dafür gehalten, daß der Implorant, nachdeme derselbe bey Imploratischer Meisterschafft in die Lehr eingeschrieben, sogleich aber auch wieder außgethan seÿn wird, beÿde præstitis præstandis, gegen erlag 3. lb d pro dispensatione, die helffte Löbl. Statt, die anderre helffte Imploratischer Meisterschafft heimfällig, auch præstirung der geordnetem Meister aufnahms gebühr in die Meisterschafft der Amlungmacher dispensando, ref. exp. auff: und anzunehmen seÿe, die confirmation Zu MGHh. stallend. Erk. bedacht gefolgt.

Fils du tailleur Jean Jacques Windesheim de Barr, le fabricant de bas André Windesheim épouse en 1762 Marie Madeleine Wittmann, veuve de Jean Urie Reichard : contrat de mariage auquel est jointe une convention sous seing privé, célébration
1762 (25 Jenner), Not. Haering (6 E 41, 1377) n° 285
Ehevertrag Zwischen dem Ehrbaren Andrea Windesheim dem ledigen Strumpff weber und der Tugendsamen frawen Maria Magdalena Richardin Gebohrne Wittmännin
[unterzeichnet] Andreas Windesheim, Maria Magdalena Wittmännin
Erschienen H. Andreas Windesheim leediger Strumpffweber Meister, weiland Mr Johann Jacob Windesheim geweßenen Schneiders und burgers zu Barr Straßburgischer Herrschafft seeligen mit Frau Margaretha geb. Reißingerin, H Johann Philipp Wittmann, Rothgerbers und bs. alda derzeit Ehefrau, ehelich erzeugter Sohn als Hochzeiter, beiständlich H. Balthasar Hartmann Seÿffert des Strumpffwebers und bs. alhier, an einem
So dann Fr: Maria Magdalena Richardin geb. Wittmännin weil. Johann Urias Richard geweßenen Schifferdeckers und bs. alh. hinterbl. Wb. als braut, mit beÿhülffe H Andreas Wittmann Schneider Mr und H Heinrich Leonhard Fröreißen Kieffers und Weinhändlers beeder burgere alhier an dem andern theil
Straßburg Montags den 28. Jenner 1762 [unterzeichnet] Andreas Windesheim als hoch Zeiter, Maria Magdalena Richardin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 223, n° 5)
1762. Eodem [Mittwoch] den 10. Febr. seind nach geschehener Zweÿmahlig. proclamation auff vorbemeldte Sontäge IV. ,nach Epiphan. vndt Septuag. ehelich eingesegnet worden Andreas Windeßheim der ledige strumpfstricker vnd burger alhie weÿl. Johann Jacob Windesheim geweßenen Schneiders vndt burgers Zu Barr hinderlaßener ehel. Sohn, Und Fr. Maria Magdalena weÿl. Urias Richard gewesenen Schiffendeckers vndt burgers alhier hinderlaßene Wittib [unterzeichnet] Andreas Windesheim als Hochzeiter, Maria Magdalena Richardin als hochzeiterin (i 117 – Procl. Temple Neuf i 403))

Nouveau dépôt du contrat de mariage
1775 (13.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 449
Deponirte Eheberedung H. Andreä Windisheim Strumpffwebers und Fr. Mariä Magdalenä Richardin geb. Wittmännin vom 25. Jan: 1762. beÿ mir deponirt und ein Schein deßwegen gegeben vom 13. febr: 1775.

Inventaire dressé dans la maison d’André Windesheim après la mort du perruquier Nicolas Derose, originaire de Colroy-la-Grande près de Saint-Dié.

1767 (18.7.), Not. Anrich (6 E 41, 1498) n° 47
Inventarium über Weiland Hrn. Nicolas Derose geweßenen Perruckenmachers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet anno 1767 – nach seinem Donnerstags d. 22.ten January dieses laufenden 1767.ten Jahrs aus dießer Zeit und welt genommenen tödlichen hintritt Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf erfordern und begehren Fraun Johannæ Derose geborner Lassia, des abgelebten seel. hinterbliebene Wittib so von H. Dominico Antonio Gallino dem practicanten hieselbsten verbeÿstandet (…) So Geschehen Zu Straßburg in einer ane dem Roßmarckt gelegenen H. Andres Wintersheim dem Strumpfstricker eigenthümlich Zuständiger und dißorts Zum theil lehnungsweiße inhabender Behausung, auf samstag den 18. July Anno 1767.
Des abgelebten seeligen ab intestato zurückgelassene Erben seind 1.mo François Nicolas Derose so majoris ætatis, 2.do Jacques Derose so 24 Jahr alt, infolglichen den hiesigen Statuten nach emancipirt, beede sein des abgelebten seel. mit eingangs ermeldeter frauen Johanna Derose gebohrner Lassia deßen hinterbliebener Wittib ehel. erzeugte KK. und weilen dieselbe noch dermalen allhier ohnverburgert, so ist mit denen selben præsens geweßen der wohl edle und vorachtbahre Herr H. Johann Melchior Ziegler Es. En. Kl. Raths dahier wohlverdienten beÿsitzer
Sa. hausraths 52 lb, Sa. Schulden 12 lb, Summa summarum 64 lb – Schulden 66 lb, Passiv onus loco der Stall summ 2 lb
da nun die hinterbliebene Wittib vermög der hievor copialiter eingetragenen Eheberedung vor zugebacht guth §° 3.tio 1000 livres oder 250 lb und vor Mogengaab §° 4.ti 400 livres oder 100 lb, Zusammen 350 lb zu erfordern, alß wird an gegenwärtiger Verlaßenschaft denen dißortigen Kindern nichts, sondern diße Verlaßenschafft der hinterbliebenen Wittib tam active quam passive völlig zu und anheim zu schreiben seÿn.
Copia der vor H. Laquiante d. 14. Februarÿ 1738 errichteten Eheberedung – furent presebs le sieur Nicolas Derose M° Perruquier privilégié en cette ville fils majeur d’ans de deffunt Nicolas Derose vivant laboureur à Coroy la grande Val de St Diez Diocese de Toul et de Marguerithe Idou sa femme a present sa veuve assisté de sa mere pour Ce Comparante pour lui et en son nom d’une part, Et Demoiselle Jeanne Lassia aussy fille majeure jouissante de ses droits de deffunt Joseph Lassiat vivant habitant de Fouchy et de Jeanne Mathieu sa femme present sa veuve assistée de pareillement de saditte Mere pour Ce aussy Comparante stipulant pour elle et en son nom d’autre part

André Windesheim demande aux Quinze d’annuler l’amende que lui a infligé la maîtrise des faiseurs de bas. La commission qui constate que la maîtrise a outrepassé ses droits annule la décision mais renvoie André Windesheim à la maîtrise puiqu’il a enfreint le règlement.
1776, Protocole des Quinze (2 R 187)
(f° 15) Sambstags den 20. Januarii 1776. – Osterrieth nôe Andres Windesheim in âis Ca. E. E. Meisterschafft der Strumpffweber Obermr. auch in aîs prod. appellations Klag junctis petitis et evocatione bitt unth. Depu. Claus bitt Copiam et T. O. obt.

(f° 38-v) Sambstags den 3.ten Februarii 1776. – Idem [Osterrieth] nôe Andres Windesheim in âis Ca. E. E. Meisterschafft der Strumpffweber Obermr. auch in aîs erholt appellaôns Klag vom 20. Januarii jüngst Claus es gebührt dem Anwald an Zweÿen pièces Zu seinen Exceptionen bitt ad proximam. Ille laßt Zu ad proximam.

(f° 52-v) Sambstags den 10.ten Februarii 1776. – Idem [Osterrieth] nôe Andres Windesheim in âis Ca. E. E. Meisterschafft der Strumpffweber Obermr. auch in aîs will Vorlegung gg.scher Exceptionum Vernehmen, Claus producirt solche junctis petitis et eventuale evocatione samt beÿl. Lit. A & B Osterrieth bitt Copiam & Deputatio Claus puncto Copiæ setzt, puncto Deputaôis ut ante. Erkandt, Copia et Depuatio Zugelaßen.

(f° 129) Sambstags den 9.ten Martii 1776. – Idem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem referiren es habe Andres Windesheim der Strumpffweber den 23.ten Xbis 1775. einen widrigen Handwerck bescheid vom 10.ten Julii gedachten Jahrs vermög welches derselbe mit seinem begehren ab und an gehörigen Richter verwießen, und wegen über angebrachter Klag in die Handwercks uncosten Condemnirt worden, und auf verzeichnete appellation Contra E. E. Meisterschafft der Strumpffweber Obermeister den 20.ten Januarii jüngst seine unterthänige appellations Klag übergeben, junctis petitis et Evocatione MGhh. geruheten in rechten Zu erkennen und auszusprechen, daß in erster Instantz übel geurthelt wohl appellirt worden einfolglich daß die sententia a qua Zu cassiren und Zu annulliren, und anderwährtig Zu erkenen und aus Zu sprechen seÿe, daß das objectum litis als eine Handwercks sache Zu achten, welche in erster Instantz abgehandelt, oder wann E. E Meisterschafft dasselbe als propriam causam hatte ansehen wollen, an MGhh. Hätte verwißen werden solle reserv: Exp. und die Haupt sache nunmehro evocirend Zu verordnen daß appellat. dicta qualitate schuldig und gehalten seÿ, quæstionirten billet von fünffzehen gulden dem appellanten nebst den empfangenen dreÿ gulden baar geld Zurück Zu geben idque in Termino ordinis sub ipsa executione refusis expensis [f° 130-v] tam prima quam hujus Instantiæ expensis die ahndung MGhh. anheim stellend.
Hierwider und diesem entgegen habe appellatische Meisterschafft in exceptionibus gebetten MGhh geruheten Zu erkennen und auszusprechen daß gegner mit seiner appellations Klag und übrigen begehren schlechterdingen ref. exp. von hier ab und an E. E. Kleinen Rath, allwo diese lis bereits pendens ist, zu verweißen seÿe, wo aber MGh. das principale Zu evociren geruhen solten, Zu verordnen, daß in primo Instantia wohlgesprochen, übel aber apppellirt worden, evocando aber, daß gegner schuldig und gehalten seÿe den betrag des billet quæstionis un Termino Ordinis mit 15. fl. Zu bezahlen isque sub ipss executione, ref. Exp.
Auf geschehene weißung habe der appellant, præsens contenta memorialis et petiti widerhohlt.
Noê appellatischer Meisterschafft seÿe erschienen Johann Heinrich Kuhff, als ober meister welcher sich auf den Innhalt seiner exceptiones bezogen.
Nach deme die Hr. Deputirte dieße streit sach gründlich untersucht hätten sie befunden, daß abermahlen in dem methodo procedendi appellatische Meisterschafft wider ordnung gehandelt, indem sie ohne achtung auf Ihre habende ordnung und artickel Zu haben, mit dem appellanten gleichsam Transigirt, und dadurch gemeine Stadt, Spann derselben straffwürdig ist, um den antheil der Ihro gebührigen straff bringen wollen, wie sie solches in ansegung Meister Bilgers auch gethan, weßwegen die Hn Deputirte der meinung seÿn wollen, daß auf die Hauptklag, puncto des über 15 ß besagenden billets, evocando Rechtsprechend zu erkennen seÿe, daß daßelbe propter incompententium und wider ordnung extoquirt anzusehen, mithin gäntzlich Zu Zernichten, Zugleich aber auch zu verordnen seÿe, daß die sache in sofern der appellant wider ordnung gehandelt hat, vor appellatischer handwerck gebracht, und daselbst auditis partibus gesprochen werde was rechens compensatis expensis. Erkand, bedacht confirmirt.

André Windesheim meurt en octobre 1779 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 1000 livres. La masse propre à la veuve est de 1 066 livres. L’actif de l’héritier et de la communauté s’élève à 1 682 livres, le passif à 2 260 livres.

1779 (11.10.), Not. Übersaal (6 E 41, 653) n° 17
Inventarium über Weiland Meister Andreas Windesheim, des gewesenen Strumpfwebers und Burgers allhier zu Straßburg Vermögens Nachlaßenschaft aufgerichtet im Jahr 1779 – nach seinem Samstags den 2.ten dieses laufenden Weinmonaths erfolgten Ableben, hinterlaßen hat. Solche wurde an heutigem hernachgemeltem tag auf freundliches Ansuchen sowohl der hinterbliebenen Wittwe Fraun Mariä Magdalenä gebohrner Wittmännin, beiständlich Hn Joh. Philipp Graffenauers, J. U. Lti. Advocati et Procuratoris vicarii bei E. E. Grosen Rath und anderen hohen Gerichtsstellen dieser Stadt, als auch dsn dem Von dem Abgelebten hinterlaßenen Sohn und Universal Erben Richterlich ernannten Vogts (…) durch die Wittwe und den Sohn, desgleichen die eede gesellen Antoine L’amoureux von Ste Marie aux Mines und Joh. Michael Dißler von Honnenweyer sodann die dienstmagt Catharina Schwartzin von hier gebürtig (geäugt und gezeigt) So geschehen alhier zu Straßburg in einer an dem Roßmarckt und der Bischoffsgaß gegen dem Broglio über gelegenen, in diese Verlaßenschaft gehörig und hieunten beschriebener Behausung auf donnerstag den 7.den und Montag den 11.ten Octobris im Jahr 1779.
Der Abgelebte hat mit Eingangsgedachter seiner hinterbliebenen Wittwe ehelich erzeuget und ab intestato Zum Universal Erben hinterlaßen Georg Friedrich Windesheim, den Strumpfweber Gesellen, so d. 11. Junii jüngstin das 16.de Jahr seines Alters zurückgelegt. Deßen vogt ist Hr Joh. Friedrich Brehmer der Schreiner Meister und burger dahier

(f° 5-v) Eigenthum an einer Behausung. (T.) Nämlich eine Behausung und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden und Rchten, gelegen alh. Zu Straßburg an dem Roßmarckt, eins. neben N. Stahl dem Schwerdfeger, anders. das Eck an dem Bischoffsgaß ausmachend, hinten auf S.T. H. Johann Leonhard Fröreißen J. Ctum und Referenten bei E.E. Kleinen Rath stoßend, wovon man jährlich dem hochlöbl. Collegiat Stift zum jungen S. Peter alhier an Erblehnungs Zinns 8 ß. ib Geld und 2. Cappen in Federn oder dafür 6. ß 8 d. in geld zu liefern schuldig, worauf auch noch die Zwey hieunten passive eingetragene Capitalien haften, so aber übrigens frei, ledig, eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben schriftlich ausgefertigter und bei dieses Inventarii Concepto verwahrlich befindlicher Abschatzung de dato 7. 8.bris 1779 angeschlagen worden Vor 2000 fl. oder 1000 lb. Wird nun hievon abgezogen obgemelter Geld und Cappen zinß zusammen 14 ß 8 d betragend, so in doppeltem Capital à 5. pC° gerechnet antrifft 29 lb 6 ß 8 d. So verbleiben an solchem Hauß Anschlag hier in Auswurf zu bringen annoch übrig, 970 lb. Worüber vorhanden I. teutsch. perg. Kaufbrief in alhies. C. C. Stb gefertigt u. mit derselben aufgetrucktem gröserem Insieg. verwahret, datirt d. 25. 7.bris 1765. Und ein älterer teutsch. perg. Ganth-Kaufbrieff mit E. E. Kl. Raths anhangd. Insieg. versehen und von H. Actuario Beguin unterschrieben de dato 10. Martii 1750.
(f° 9) Ergänzung der Wittwe währender Ehe ererbten aber abgegangenen Guts. Nach Inhalt Theil-Registers besagend dasjenige, was der diesortigen Wittwe bei Abtheim- und Erörterung Weil. Joh: Philipp Wittmann, des gewes. burgers und Rothgerbers zu Barr, ihres Vaters seel. Verlaßnschaft vor die hälffte erblich anheimgefallen, durch H. Schäffer den dasigen Ambtschreiber den 1.sten Decembr: 1773 errichtet
Series rubricarum hujus Inventarii. Declaratio und Bericht über gegenwärtige Verlaßenschaft. Wie der 5.te §.us des vorher copeilich einverleibten Ehevertrags ausweiset, haben beede geweßte Ehepersohnen ein unverändert Gut und eine Ergäntzung des davon stehender Ehe abgehenden stipulirt, es declarirte aber die hinterbliebene Wittwe, auf mein des Notarii befragen, daß über das beedereits zusammen gebrachte Vermögen kein Inventarium errichtet worden (…)
(f° 15) Der hinterbliebenen Wittwe eigenthümlichen unveränderten Vermögens. Sa. hausraths 20, Sa. Pfennings zins Hauptgüter 150, Sa. Schulden 25, Sa. Ergäntzung (1486, Abzug 514, Rest) 971, Summa summarum 1166 lb – Schulden aus der Wittwe unveränderter nahrung 100 lb, Nach deren Abzug 1066 lb
Solchemnach wird auch des Sohns und Beneficial erben unverändert und das Theilbare Guth und zwar aus der, in der hieoben eigetragenen Delaration und bericht enthaltenen Ursache, unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 42, Sa. Waar und Werckzeugs zur Strumpfstricker Profession gehörig 290, Sa. Silbers 12, Sa. goldener Ring 16 ß, Sa. Eigenthum ane einer Behausung 970, Sa. Schulden 365, Summa summarum 1682 – Schulden 2260, des Beneficial Erben Passiv: Onus 578 lb Stall Summa 256 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 58 lb
Ehevertrag (…) den 25 Januarÿ 1762, Häring Notarius publicus juratus
Verkauf und erlöß register, 14 Decembris 1779, die behausung öffentlich versteigt und H Johann Hummel des schneidermeisters als als letzt und meistbietenden um 1805 lb
– Abschatzung Vom 7 octobre 1779. Auf begeren Maria Magdalena Windersheimin gebohrene Wittmännin als beÿstand Herrn graffenauer ist Eine behausung alhier in der statt strasburg auf dem Roßmarck gelegen, Ein seÿts Ein eck auf die bischofsgas ander seÿts neben Herr stahl dem schwerdfeger und hinten auf Herrn Referend Freÿreiß stoßend gelegen solche behausung bestehet in Vier stuben Vier Küchen und Etlichen Kameren darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehene besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Zweÿ tausend gulden [unterzeichnet] Huber, Kaltner Wkmr

Marie Madeleine Wittmann meurt en 1788 en délaissant trois enfants de son premier mariage et un du second qu’elle réduit à la légitime. L’inventaire est dressé dans la maison Schlatterer près du moulin Zorn. L’actif de la succession s’élève à 500 livres, le passif à 56 livres.
1788 (9.Xbr), Not. Lauth (6 E 41, 650) n° 171
Inventarium über Weiland Fraun Mariä Magdalenä Windesheimin geborne Wittmännin auch weiland Meister Andreas Windesheim, geweßenen Strumpffwebers und burgers alhier Zu Straßburg nachgelaßene Wittwe Verlaßenschafft errichtet Anno 1788 – nach ihrem den 22.ten Novembris jüngst erfolgten Absterben hinterlaßen hat (…) Geschehen alhier Zu Straßburg in einer am Finckweiler ohnweit der Zornen Mühl neben dem Mühlgäßlein gelegenen mit N° 24 bezeichneten denen Schlattererischen Eheleuten eigenthümlich zuständigen becken behausung, auf Dienstag den 9. Decembris Anno 1788.
Der verstorbenen seel. Zufolg hernach eingeschriebenen Verschloßen geweßenen Testament instituirte Erben sind 1. Fr. Maria Catharina Hummelin, gebohrne Reichardin Johannes Hummel des Schneider Meisters und brs alh: Ehefr. in den ersten Fünften Stammtheil, 2. Frau Maria Salome geborne Reichardin, so an Christian Wilhelm Gersdorf den frippier und br. alhier Verheurathet ist, in den zweÿten Fünften Stammtheil. In deren beider Nahmen bei diesem Geschäfft Zugegen war hr Philipp Ludwig Übersaal Not.s publicus und berühmter practicus, als denselben erbettene assistent (…), 3° Hr Johann Andreas Reichard S.S. Theol. Candid: alhier in den dritten Fünften Stammtheil, welcher diesem Geschäfft persönlich beiwohnt und seine Interesse beobachtet, 4° Friedrich Windesheim, leedigen Strumpffweber, so major: und ebenfalls disorts Zugegen war und seine Rechten zu besorgen, in den ihm der Rechten nach gebührigen Pflichttheil, das ist die Helfte eines Fünften Stammtheils, So dann 5° Frau Margaretha Barbara geborne Reichardin Johann Caspar Schlatterer des Schwartzbecken und brs alh. Ehegattin und Zwar diese nicht nur in einen Fünften Stammtheil sondern auch noch in die nach Abzug erstgemelten Pflichttheils übrig bleibende Vermögenschaft
Copia der Defunctæ den 20. sept. 1788 verschloßen errichteten und eodem die bei mir Notario deponirten testaments
Hierauff folgt nun Beschreibung dieser Verlassenschafft, Sa. hausraths 33 lb, Sa. Silbergeschmeids 19 ß, Sa. Goldenen Rings 16 ß, Sa. Schulden 465 lb, Summa summarum 500 lb – Schulden 56 lb, Detrahendo 444 lb, Nach abzug Prælegats 410 lb – Beschluß und Stallsumm 444 lb

La veuve d’André Windesheim et le tuteur de son fils vendent la maison au tailleur Jean Hummel et à sa femme Marie Catherine Reichard (fille de la venderesse) moyennant 1 505 livres

1780 (28.2.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 89-v
Fr. Maria Magdalena geb. Wittmännin weÿl. Andreas Windesheim des strumpffwebers wittib, Johann Friedrich Brehner der schreiner meister als geordneter und geschworener vogt sein Windesheim mit ermelter wittib erzeugten kinds
in gegensein Johannes Hummel des schneidermeisters und Mariæ Catharinæ geb. Reichardin unter assistentz Johann Michael Megret des schneider meisters und Johann Jacob Kaÿßer des kieffer meisters, als letzt und meistbietenden
eine behausung und hoffstatt mit allen denen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Roßmarckt, einseit neben N. Stahl dem schwerdtfeger, anderseit ist ein Eck ane der bischoffsgaß, hinten auff ST. H. Referendar Johann Leonhard Fröereißen – davon gibt man d. Colleg. Stifft Jungen St Peter 8 schilling erblehnungs zinnß, so dann dahin jährlich 2 Cappen in federn in toto 200 gulden beladen – um 3010 gulden worunter die capital summen begriffen

Fils du manant Jean Hummel, Jean Hummel fait son apprentissage chez le tailleur Samuel Kempffer d’avril 1764 à avril 1767. Il s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en juin 1767.
1764, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 347 (1753-1763)
(f° 186) Donnerstags den 24.ten Maÿ 1764. – Herr Samuel Kämpffer nimbt Zum Lehrjungen an Johannes Hummel, Weÿl. Johannes Hummel, gewesenen Schirmers allhier ehelichen Sohn auf dreÿ Jare, anfangenst den 3. Aprilis 1764 und auf besagte Zeit 1767. sich endigend, gibt 60. fl. Kostgeld, de eine helffte davon gleich und die andere helffte mitten der Lehrzeit der Jung leidet alle Uncosten (dt. 10 ß, Fdhß 6 d)

(f° 238) Donnerstags den 4.ten Junÿ 1767. – H. Samuel Kämpfferlaßt seinem Lehrjungen Johannes Hummel der Lehrzeit loßsprechen (dt. 10. ß, fdhß 9 d)

(f° 239-v) Donnerstags den 4.ten Junÿ 1767. – Johannes Hummel, leediger Schirmers Sohn Von hier, laßt sich Zur Zeit und Meisterstück einschreiben. (dt 1 lb 5 ß)

Jean Hummel demande une dispense aux Quinze pour pouvoir présenter son chef d’œuvre l’année même. La commission constate que le pétitionnaire a omis de faire sa demande à temps, même si c’est faute de moyens financiers. Elle renvoie Jean Hummel au règlement qui fixe le nombre des examens annuels mais lui accorde une dispense pour présenter son chef d’œuvre une fois marié.
1774, Protocole des Quinze (2 R 185)
Johannes Hummel Contra E. E. Zunfft der Schneider
(p. 576) Sambstags den 3.ten Septembris 1774 – Osterrieth nôe Johannes Hummel des Leedigen Schneider gesellen, und Hieigen Schirmers sohns, Contra E. E. Zunfft der Schneider H. Zunfftmeister producirt Memoriale Juncto petito samt beÿlag sub litt. A pt° admissione Zum Meisterstück, Claus hat kein gebott erhalten, und vermuthlich erscheint H Zunfftmeister deßwegen nicht weilen er das gebott erst gestern abends erhalten, bitt daher nochmal verkünden Zu laßen, allenfalls Copiam et Termino ordinis, Osterrieth weilen das gericht erst gestern gehalten worden, so ist ob Instantes ferias daß gebott auch noch angelegt worden willfahrt übrigens mit gebettener copia und Termino Ordinis. Erkandt Copia und Terminus ordinis Zugelaßen.

(p. 604) Sambstags den 17. Septembris 1774. – Osterrieth nôe Johannes Hummel in aîsContra E. E. Zunfft der Schneider H. Zunfftmr auch in aîs erholt Memoriale vom 3.ten hujus und bitt Deputationem. Claus producirt unthh. Exceptiones juncto petito bitt similiter. Erkandt, Deputatio.

(p. 619) Sambstags den 24. Septembris 1774. – Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen per Eundem [H Secretarium Stædel] referiren, es Habe Johannes Hummel der Leedige schneider Contra EE Zunfft der schneider den dritten dieses ein unterthäniges Memoriale mit beÿlag sub Littera A übergeben, Juncto petito MGGhh.Geruheten Ihme Dispensando von der Ordnung Zu erlauben das Meisterstück alsobald Zu verfertigen.
Dießem entgegen habe Implortischer Zunfft H. Zunfftmeister In Exceptionibus vom 17.ten hujus gebetten Imploranten mit seinem Begehren ref. Exp. ab: und an die ordnung Zu verweißen. Auf geschehene Weißung habe der Implorant præsens, contenta Memorialis et petiti widerhohlt.
Nôe Imploratischer Zunfft seÿen vorgestanden H Johann Daniel Senckeisen, als Zunfftmeister, so dann Johann Martin Fuchß und Johann Conrad Stiebel, beede Schneider meistere, welche ihren Exceptionibus annoch beÿgesetzt, daß die eingeführte ordnung, vermög welcher alle jahr vier worunter Zweÿ frembde Zum Meisterstück nach maßgab der einschreibung in die Muthjahr gelaßen worden, ohne den gäntzlichen umsturtz der ohnehin so sehr übersetzten Meisterschafft nicht geändert werden Könne, Es seÿe des Imploranten eigene Schuld, daß er, da [-] Meisterstück aufgerufen worden solch [-] wollen er müße jetzt seine Z[eit wieder] warthen.
Auf seithen der Herren Deputirten habe man befunden, daß wie bereits allegirt, Implorant sich selbst Zu Zuschreiben habe, daß er nicht Zum meisterstück gelaßen worden, weilen er aus Mangel der mittel nicht im stand ware, solches Zu verfertigen, da nun die ordnung gantz Clar, daß nur sechs des Jahrs Zum Meisterstück gelaßen werden, besagter numeris aber bereits erfüllt, als Hätten Sie keiner andern Meinung seÿn können, als das der Implorant mit seinem begehren refus: expens: ab und an die ordnung zu verweißen seÿe. Nach gehaltener umfrag, Ist Erkandt, daß der Implorant Zwar mit seinem begehren, pt° dermahligen verfertigung des Meisterstücks Refusis Expensis abzuweißen, demalben aber Zu erlauben seÿe, das Meisterstück im verheuratheten stand, wann die ordnung als ein frembder wird an Ihn gekommen seÿe Dispensando verfertigen Zu dörffen.

1775, Protocole des Quinze (2 R 186)
(f° 8) Sambstags den 21.ten Januarii 1775. – Idem [Claus] nôe Johannes Hummel des ledigen schneider gesellen und hiesigen schirmer sohns, dieser ist als der 6.te supernumerarius laut mitegehenden Extractus ehrengesagten Gerichts Memorialis angenommen worden, bitt ut ante, Erkannt ut ante [bitt dise admission gnädig zu ratificiren und setzt. Erkandt, wird diese admission obrigkeitlci ratificirt]

Fils du revendeur manant Jean Hummel, Jean Hummel épouse en 1774 Marie Catherine Reichard, fille d’Urie Reichard : contrat de mariage, célébration
1774 (3.6.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 5
Eheberedung – persönlich erschienen seÿen der Ehrsam und bescheidene Johannes Hummel leediger Schneider, weiland Johannes Hummel, gewesenen Gimplers und Schirmers allhier Zu Str. mit Frauen Maria Salome gebohrner Birckelin, ehelich erzeugter Sohn, beÿständlichen S. T. Herren Johann Georg Lauth Med: Hocherfahrnen Dris berühmten Practici, E: E: Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers und Vornehmen Burgers allhier, als Hochzeiter, ane einem,
Sodann die Ehr: und Tugendsame Jungfer Maria Catharina Reichardin, weiland Hn Urias Reichard gewesenen Schiferdeckers und Burgers allhier ehelich mit Frauen Maria Magdalena gebohrnee Widtmännin erziehlte Tochter, unter verbeÿstandung S. T. H. Johann Jacob Kipß, J. V. Lti und E. E. Großen Raths alten wohlverdienten Beÿsitzers, auch Vornehmen Burgers dahier als Hochzeiterin am andern Theil
Straßburg den 3. Junÿ Anno 1774 [unterzeichnet] Johannes Hummel als Hochzeiter, Maria Catharina reichartin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 78-v)
Im Jahr 1774 Dienstags den 18. Octobris nachmittag nach gehaltener Abendpredigt umb vier uhr wurden nach vorhergegangenen gewohnlichen proclamationen (…) in unserer Prediger: Kirch offentlich vor den unterschriebenen Zeugen ehelich copuliert und Christlch eingesegnet Johannes Hummel lediger Schneider und burger Von hier, weÿl. Johannes Hummels gewesenen Gimplers und Schirmers allhier, und Maria Salome gebohrner Bürckelin ehelich erzeugter Sohn und Jgfr Maria Catharina Reichardtin weÿl. Johann Urias Reichards gewesenen Schifferdecker und burgers allhier und Fr. Maria Magdalena gebohrner Wiedmännin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johannes Hummel Als hochzeiter, Maria Catharina Reichartin als hochzeiterin (i 131)

Marie Catherine Reichard fait dresser l’état des biens (151 livres) qu’elle apporte en mariage
1774 (26. 8.bris), Not. Lauth (6 E 41, 646) n° 13
Verzeichnus Alles desjenigen, was Frau Maria Catharina Hummelin gebohrne Reichardin, zu Herrn Johannes Hummel dem Schneider und Burgern allhier zu Straßburg, ihrem Ehemann in den den 19.ten Octobris dieses laufenden 1774.sten Jahr angetrettenen Ehestand, von deroselben Elltern Namens Fraun Maria Magdalena geborner Widtmännin und Herrn Andreas Windesheim dem Strumpff Weber und burgern dahier, als besagter Ehefrauen Stieffvater, Zufolg der vor mir unterschriebenen geschwornen Notario den 3. Junii besagten 1774.sten Jahrs aufgerichteten Ehe-Beredung §° 5.t° (…) So beschehen Straßburg auf Mittwoch den 26.ten Octobris Anno 1774.
Hausrath, baarschafft, Summa 151 lb

Jean Hummel devient bourgeois par sa femme : inscription à la bourgeoisie, registre de traitement des demandes
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 116
Johannes Hummel der schneider von hier geb. erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Maria Catharina weÿl. Johann Urias Reichardt gewesenen Schifferdeckers und burgers allhier hinterl. ehelich. tochter, umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der schneider. Jur. eod. [14. 9.br. 1774]

(VI 286 bis, p. 142) Schneider N° 5.a, dt. 28 Sept 1774.
Joh: Hummel der leedige Schneider gesell Von hier geb. weÿl. Joh: Hummel gew. Schirmers ehel. Sohn Verlobt an jgf. Catharina Reichardin wey. Joh: urias reichard gew. b. u. Schifferdeckers alhie ehl. tochter
die Schein geben an der ehl. geburt, aug. conf. die gehörige statt stall caution geleist deßen Ehefrau stall gebühr in richtigkeit
400 fl baar geldt hat er dargezalt deßen Eigenthumb mit Eÿd erhärtet, auch 100 fl. 4 ß beym b. Prot. deponirt.
Impl. bittet E G unterthänig ihn a sponsæ um d. a. b. ß des b. rechts gnedigst Zuverströst.
a Sponsa um d. a. b. ß.

Jean Hummel et Marie Catherine Reichard hypothèquent la maison au profit de Samuel Silberrad, secrétaire des Treize

1780 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 225
Johannes Hummel des schneidermeister und Maria Catharina geb. Reichardin unter assistentz Johann Philipp Goll des altgewänders und Johann Jacob Kaÿßer des kieffer meisters
H. Lt. Samuel Silberad des geheimen collegii der H. XIII secretarii, 1000 gu, zum bau hiernach beschriebenen behausung
unterpfand, anfangs gedachte behausung samt zugehörden ane dem Roßmarckt, einseit neben N. Stahl dem schwerdtfeger, anderseit ist ein Eck ane der bischoffsgaß, hinten auff ST. H. Referendar Johann Leonhard Fröereißen – davon gibt man d. Colleg. Stifft Jungen St Peter 8 ß ane erblehnungs zinnß, so dann dahin jährlich 2 Cappen in federn-als ein unterm 28. Februarÿ jüngsthin von Windesheimischer wittib und erben erkaufftes haus

Jean Hummel hypothèque la maison au profit de l’enseignant Philippe Jacques Engel pour en régler les frais de construction

1780 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 354-v
Johannes Hummel der schneidermeister
in gegensein H. M. Philipp Jacob Engel des pædagogen Collegii Wilhelmitanii und vice freÿ prediger, zum bau hiernach beschriebenen behausung schuldig seÿen 200 gulden
unterpfand, anfangs gedachte behausung samt Zugehörden ane dem Roßmarckt, einseit neben N. Stahl dem schwerdtfeger, anderseit ist ein Eck ane der Bischoffsgaß, hinten auff S.T. H. Refer. Johann Leonhard Fröreißen

Jean Hummel loue une boutique au maître sellier Jean Knoderer

1781 (29.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1080) n° 51
Lehnung auf 3 nacheinander folgenden jahren so auf künfftigen Mariä Verkündigung ihren anfang nehmen – Johann Hummel Schneidermeister
in gegensein H Johannes Knoderer Sattlermeisters
den laden lincker hand des eingangs in sein des H. Verlehners eigenthümlich zuständigen und auf dem Roßmarck allhier gelegenen behausung – um einen jährlichen Zinß nemlich 80 livres tournois
[in fine :] annulirt, 5. apr. 1783

Jean Hummel et Marie Catherine Reichard hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Michel Wild

1784 (25.11.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 431
Johannes Hummel der schneider meister und Maria Catharina geb. Reichardin unter assistentz H. Johann Michel Megré des schneider meisters und Friedrich Kerlin des paßmentirers
in gegensein H. Johann Michael Wild des handelsmanns – schuldig seÿen 500 gulden
unterpfand, eine behausung bestehend aus vorder und hinter hauß mit allen deren übrigen begriffen auff dem Roßmarckt am eck der Bischoffsgaß, einseit neben Mr Knoderer dem sattler, anderseit neben denselben und H. Mag. Geÿler

L’inventaire des biens qu’a délaissés le perruquier François Antoine Brunelot dit Duchemin après avoir quitté Strasbourg est dressé dans la maison Hummel

1789 (19.6.), Not. Schaaff (6 E 41, 918) n° 128
Inventarium über Frantz Antoni Brunlot genannt Duchemin, des von hier absentirten ledigen Burgers und Perruquenmacher Meisters zurügelassenes Activ: und Passiv Vermögen, auffgerichtet Anno 1789 – der vor ohngefähr einem Jahr von hier sich absentirte ledige Burger (…) in Gefolg Erkanntnus Ihro Gnaden des Regirenden H. Ammeisters vom 17. May 1788. auff ansuchen Mr. Johann Hummels des Schneiders und Burgers dahier, durch den Greffier Löblicher Ammeister hauß audientz verzeichnet und ged. Er. Hr Hummel als Gardien darüber constituirt worden, anheute aber auf Ansuchen H Lt. Johann Joseph Bitschnau Proc. Vicarÿ und burgers hieselbst als (…) Curator massæ
So geschehen alhier Zu Straßburg in einer daselbst ane dem Roßmarckt gelegenen offt vorgeanntem Mr Hummel eigenthümlich zuständigen in diesorts Zum theil lehnungs weise inne gehabten behausung, aug Freitag den 19. Junÿ 1789.
Schulden aus der Nahrung Zu bezahlend. It. fordert Mr Johannes Hummel der burg. und Schneider alhier ane Hauß Zinß seit Michaelis 1787. bis 20.° May 1788 für 8. Monat à 25 lb des Jahrs 16. 11. 6.
Sa. hausräthlichen mobilien 40 lb, Sa. Pfenningzinß hauptuths 50 lb, Summa summarum 90 lb – Schulden 103 lb, mehr schulden dann guth 12 lb

Jean Hummel et Marie Catherine Reichard hypothèquent la maison au profit de Marguerite Salomé Bruder

1792 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 666 n° 372 enreg. 25.5. F°
H. Johannes Hummel der schneider und Maria Catharina Reichardin unter assistentz Philipp Jacob Keller des glasers und Simon Schäfer des schirmers
in gegensein H. Johann Daniel Ensfelder notarius publicus juratus ac practicus namens seiner curandin Jfr Margarethæ Salome Bruderin, schuldig seÿen 1200 gulden
unterpfand, eine ane dem Roßmarckt, mit N° 9 bezeichnete behausung, einseit ist ein Eck ane der Bischoffsgas, anderseit neben H. Knoderer dem sattler, hinten auff M Geÿler

Vente des effets qui appartenaient à feu Nicolas Davion, conducteur de l’artillerie natif de Paris, locataire de la maison Hummel

1796 (29 fruct. 4), Strasbourg 3 (18), Not. Übersaal n° 499
Verkauf und Erloes: Register die von dem weiland bürger Nicolas Davion gewenenen Conducteur de l’Artillerie von Paris Département de la seine gebürtig, so den 28. Fructidor vom 3 Jahr in dem alhiesigen militarischen Hospital gestorben hinterlassenen effecten, welche sich in der behaußung des bürgers Johann Hummel Schneiders allhier auf dem Roßmarckt N° 9 auf dem vierten Stock in einem Wandkasten befunden, auf Ansuchen des bürgers Johann Martin Hosch als Curatoris des Verstorbenen hinterlaßenen massæ
activ masse 25 lb, bezahlt 25 lb

Jean Hummel loue une partie de sa maison

1796 (sans date), ssp, Enregistrement de Strasbourg, acp 40 f° 17-v du 18 ger 4
Bail de 3 ans – Jean Hummel
Cit. Mathieu fré*
deux parties de maison place de l’égalité N° 9
à commencer le 1 frimaire* 3 et finir le 1 frimaire* 6

Jean Hummel se remarie en 1799 avec Christine Bentz, veuve du marchand de grains Jean Henri Hertenstein
Mariage, Strasbourg (n° 245)
Cejourd’hui 10° Floréal l’an VII de la République française et indivisible. (…) pour contracter mariage, d’une part Jean Hummel, agé de 51 ans, marchand de grains, né et domicilié en cette Commune, fils de feu Jean Hummel, apprêteur de tabac, & de feüe Marie Salomé Bürckel, veuf de Marie Catherine Reichard, d’autre part Christine Bentz âgée de 45 ans, née et domiciliée en cette Commune, fille de feu Jean Bentz, journalier, et de feuë Christine Riehl, veuve de Jean Henry Hertenstein, marchand de grains en cette Commune (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 22 janvier 1748 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 2 juin 1753 (…) 3° de l’acte de décès de Marie Catherine Reichard portant qu’elle est morte en cette Commune le 21 Ventôse dernier, 4° de l’acte de décès de Jean Henri Hertenstein portant qu’il est mort en cette Commune le 24 Vendémiaire an V (signé) Johannes hummel, Christina Bentzin (i 129)

Christine Bentz meurt le premier août 1805
Décès, Strasbourg (n° 1396)
Du 14° jour du mois de Thermidor l’an XII de la République française à 10 heures du matin. Acte de décès de Christine Bentz décédée hier 13 thermidor à deux heures de relevée, âgée de 49 ans, née en cette ville, demeurant place de l’égalité N° 9, fille légitime de feu Jean Bentz, paveur, avec feuë Christine Fritsch, Epouse en secondes noces de Jean Hummel, marchand de vins. Sur la déclaration à moi faite par ledit Jean Hummel âgé de 57 ans (…) époux de la défunte (i 128)

Veuf sans enfant, Jean Hummel se remarie avec Salomé Leonhard, native d’Eckbolsheim, veuve du farinier Thiébaut Duringer
1804 (12 brumaire 13), Strasbourg 2 (22), Not. Knobloch n° 2332
Contrat de mariage – Jean Hummel propriétaire veuf sans enfant
Salomé née Leonhard veuve de Thiébault Duringer, farinier, assitée de Jean André Haberman cafetier
Enregistrement, acp 94 F° 88 du 14 brum. 13

Mariage, Strasbourg (n° 33)
Du 17° jour du mois de Brumaire l’an XIII de la République française. Acte de mariage de Jean Hummel, agé de 56 ans, propriétaire, né cette ville le 22 janvier 1748, y domicilié, fils légitime de feu Jean Hummel, apprêteur de tabac, & de feüe Marie Salomé Bürckel, veuf en secondes noces de Christine Bentz morte en cette ville le 13 thermidor dernier
Et ed Salomé Lienhardt, agée de 57 ans, domiciliée en cette ville depuis 28 ans, née à Eckbolsheim, Département du Bas Rhin le 15 février 1757, fille légitime de feu Michel Lienhardt, Cabaretier audit lieu, avec feüe Anne Marie Scheer, veuve de Thiébaut Düringer, farinier, mort en cette ville le 21 nivôse an IX (signé) Jean ummel, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 30)

Jean Hummel et Salomée Leonhard vendent la maison à Jacques Klein, employé à la recette générale du département

1805 (19 messidor 13), Strasbourg 2 (23), Not. Knobloch n° 2584
Jean Hummel propriétaire et Salomée née Leonhard assitée de Gervais Staebler homme de lettres
à Jacques Klein Employé à la recette générale du département du Bas rhin
une maison sise en cette ville marché aux Chevaux marquée du n° 9, y compris onze fourneaux et trois petits trumeaux et autres appartenances et dépendances faisant le coin de la rue de l’Eveque, d’un côté le Sr Hochdörffer le boucher, d’autre ladite rue de l’Eveque, devant ledit marché et la maison ci après désignée,
Plus une maison sise en ladite rue de l’Eveque attenant a la susdite Maison marquée n° 1, d’un côté la susdite Maison, d’autre le Sr Schubler, derrière ledit Sr Hochdörffer devant ladite rue de l’Eveque – moyennant 10.000 francs
Enregistrement, acp 97 F° 20-v du 20 mess. 13

Originaire d’Albé près de Villé, Jean Jacques Klein épouse en 1785 Marie Anne Fender, fille de Michel Fender, bourgeois de Schæffersheim : contrat de mariage (à remarquer que le nom de l’épouse y est différent), célébration
1785 (8.12.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 60
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsame Johann Jacob Klein, lediger Tabackbereiter, weiland Joseph Klein, des gewesenen burgers und Reebmans in Erlenbach im Weiler Thal seel. mit Frau Maria Barbara gebohrner Dielensägerin ehelich erzeugter Sohn, welcher majorennis zu seÿn declariret, und von dem mütterlichen Consens zu gegenwärtiger Verlöbnus caviret, als hochzeiter, ane einem
So dann Anna Maria Vetterin, weiland Michael Vetter des gewesenen Burgers zu Schäffersheim, mit auch weiland Catharina gebohrner Athessin erzeugte Tochter, beiständlich Antoni Meÿer des Kutschers und burgers alhier, als hochzeiterin an dem andern Theil
den 8. Decembris Nachmittag im Jahr 1785. [unterzeichnet] Jacob Klein als hochzeider, Maria anna fetrin hochzeidrin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 641)
Hodie 6. februarii anni 1786 (…) S. matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Jacobus Klein miles Dimissus à Legione pedestri alsatica filius majorennis defuncti Josephi Klein Civis et vinitoris dum viveret in Ehrlenbach parochiæ weiller et Superstitis Barbaræ Dillenseger quondam conjugum ibidem, ratione domicilii Parochianus noster Et Maria Anna Fender filia majorennis defuncti Joannis Michaelis Fender et defunctæ Catharinæ wolgemuth ex Schæffersheim, ratione domicilii Parochiana nostra, testes aderant (…) Ludovicus Klein sponsi frater (signé) Jacob Klein, Maria Anna fenterin (i 277)

Jean Jacques Klein meurt en 1809 en délaissant deux filles

1809 (6.3.), Strasbourg 3 (32), Not. Übersaal n° 1111, 4752
Inventaire de la succession de Jean Jacques Klein, employé à la recette générale du Département du Bas Rhin – à la requête d’Anne Marie Vetter la veuve, Marie Barbe Rose Klein fille majeure, Marie Thérèse Klein épouse de Frédéric Joseph Solms employé dans les droits réunis, ses enfants seules et uniques héritières de leur père décédé le 22 février courant
dans une maison située en cette ville marché aux chevaux n° 9 faisant partie de la présente succession
Contrat de mariage par le soussigné notaire le 8 décembre 1785

meubles 896 fr, garde robe 63 fr, argenterie 10 fr
Propriété de deux Maisons. Prémièrement une maison située en cette ville marché aux chevaux n° 9 avec tous droits appartenances et dépendances, d’un côté faisant le coin de la rue de l’Eveque, d’autre la maison du Sr Hochdoerfer, boucher, devant ledit marché, derrière maison ci après désignée, Rapporte annuellement en loyer M Delaliauderie Inspecteur des postes du premier étage 140 fr, Le Sr Thirion épicier au rez de chaussée et du second étage 200 fr, Le troisième était occupé par la veuve 130 fr, Jean Daeschner tailleur d’habits du 4° étage 120 fr, total 590 fr en principal 11.800 fr
Plus une maison située en cette ville rue de l’Eveque n° 1, d’un côté la susdite maison, d’autre celle du Sr Schübler homme de lettres, devant ladite rue, derrière la propriété du Sr Hochdoerfer, produit annuellement la Dlle Seligmann paie du rez de chaussée 48 fr, la veuve Schaal du premier étage 40 fr et Jean Koenig journalier du troisième étage 40 fr, total 120 fr en capital 2560 fr
La propriété de ces deux maisons constatée par acte reçu Knobloch notaire le 19 messidor 13, transcrit au bureau des hypothèques volume vol. 25 n° 11, achetés de Jean Hummel et Salomé Leonhard, total des immeubles 14.360 francs
dettes actives 1300 fr, total de l’actif 16.565 fr, passif 9526 fr, reste 7039 fr
Enregistrement, acp 110 F° 72-v du 6.3.

La maison revient à Marie Thérèse Klein, moitié de ses parents et moitié dans la succession de sa sœur (voir la vente de 1839). Elle épouse en 1807 l’employé des droits réunis Frédéric Joseph Solms, originaire d’Oberlahnstein en Nassau-Usingue, dont les parents habitent à Molsheim : contrat de mariage par lequel les parents de la future épouse cèdent une maison à leur fille, célébration

1807 (17.11.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 541, 4028
Contrat de mariage – Sr Frédéric Joseph Solms, Employé dans les Droits réunis demeurant en cette ville, fils du Sr Chrétien Solms Fabricant de tabac domicilié à Molsheim avec D° Catherine Elisabeth Hergen
Dle Marie Thérèse Klein, fille du Sr Jacques Klein Employé a la recette générale du département du Bas Rhin, procréé avec D° Anne Marie Fender
les père et mère de la future épouse en considération du présent mariage ont déclaré céder à leur fille Marie Thérèse Klein une maison appartenant aux conjoints Klein avec tous droits appartenances et dépendances située en cette ville rue Schiltigheim N° 5 près du marché aux chevaux, d’un côté Michel Kappler maçon, d’autre Elisabeth Linck fille, par derrière sur le C. Heydel boulanger et la veuve Knapp, pour 4000 fr
Enregistrement, acp 104 F° 29-v du 18.11.

Mariage, Strasbourg (n° 363)
L’an 1807 le 18° jour du mois de novembre, sont comparus Frédéric Joseph Solms, âgé de 20 ans, emploïé dans les droits réunis, demeurant en cette ville depuis 15 mois, domicilié de droit à Molsheim, Département du Bas-Rhin, né à Oberlahnstein, païs de Nassau-Usingue le 11 avril 1787, fils mineur, assisté de Chrétien Solms, fabricant de tabac, et de Catherine Elisabeth Hergen, conjoints domiciliés à Molsheim, ses père et mère, et Anne Marie Thérèse Klein, âgée de 17 ans, née en cette ville le 13 mars 1790, y domiciliée, fille mineure assistée de Jacques Klein, emploïé a la recette générale du Département du Bas Rhin, et d’Anne Marie Fender, ses père et mère (signé) frederic Joseph Solms, Marie Therese Klein (i 9)

Marie Thérèse Klein hérite de la part de sa mère à sa mort en 1837
Registre de population, 600 MW 58, Place du Broglie N° 9, p. 441 (i 92)
Klein née Vetter, Marie, 1756, Propriétaire, Veuve, Krautergersheim – décédée En Décemb. 37
id. Rosine, 1784, Strasbourg – décédée le 22 fev. 1818
Solms, Frédéric Joseph, 1787, Epicier, Ep., Molsheim, (auparavant) quai Jean 56, Entré 1811
id. née Klein, Thérèse, 1787, Strasbourg – décédée en janv. 1839
id. Edouard, 1808, Strasbourg
id. Paul, 1809, Strasbourg
id. Marie Rose Virginie, 1813, Strasbourg
id. Frédéric Joseph, 1815, Strasbourg
id. Jacques, 1816, Strasbourg

Marie Thérèse Klein meurt en 1839 en délaissant neuf enfants

1839 (18.5.), Strasbourg 6 (63, nv. cote 66), Me Striffler n° 148
Inventaire à la requête de I. Frédéric Joseph Solms père propriétaire à cause de la communauté qui a existé entre entre lui et son épouse Marie Thérèse Klein, décédée 5 janvier dernier en son nom et et comme tuteur de 1. Charles Ignace Benoit Solms, 2. Marie Joséphine Albertine, 3. Marie Marie Louise Elise, 4. Marie Barbe Octavie, 5. Marie Henriette Fanny Solms les 5 enfants, II. Edouard de Solms, propriétaire à Paris réprésenté par Théodore Lobstein, avocat à Strasbourg, III. Charles Keller, notaire à la résidence de Strasbourg, représentant 1. Jacques Solms, commis négociant à Belmont (Etats Unis d’Amérique du Nord), 2. Frédéric Solms, artiste à Alger, 3. Virginie Solms, majeure à Philadelphie (Etats Unis d’Amérique du Nord), le Sr Lobstein encore subrogé tuteur, héritiers de leur mère Marie Thérèse Klein et de la succession d’Anne Marie Vetter leur grand mère décédée le 16 décembre 1837 dont mad. Solms était elle même unique héritière
une maison Place du Broglie n° 9
Enregistrement, acp 268 F° 82-v du 27.5.

L’un des enfants, l’artiste Frédéric Solms, provoque la licitation des deux maisons contiguës. Un rapport d’experts décrit avec précision la maison. L’acquéreur est l’un des cohéritiers, Edouard de Solms.

1839 (5.9.), Strasbourg 6 (63, nv. cote 66), Me Striffler
n° 181. Dépôt du cahier des charges, 4 juillet 1839 – Exposé. M. Frédéric Solms, artiste demeurant à Strasbourg a formé contre M. Frédéric Solms père, Propriétaire demeurant à Strasbourg, tant à cause de la communauté qui a existé entre entre lui & D° Marie Thérèse Klein son épouse décédée, que comme tuteur légal de Charles Ignace Benoit Solms, Marie Joséphine Albertine Solms, Marie Marie Louise Elise Solms, Marie Barbe Octavie Solms, Marie Henriette Fanny Solms, ses enfants mineurs issus de son mariage avec la défunte & contre Edouard de Solms, Propriétaire domicilié à Paris tant en son nom personnel que comme subrogé tuteur des mineurs, Jacques Solms, commis négociant & Dlle Virginie Solms sans Profession sous deux demeurant à Strasbourg, frères & sœurs dud. Frédéric Solms, une demande aux fins de licitation de deux maisons sises à Strasbourg (…) indivises entre le demandeur & des frères et sœurs dénommés ci-dessus, comme dépendant de la succession de lad. Marie Thérèse Klein femme Solms leur mère. (…) Enfin par jugement du tribunal civil de Strasbourg du 28 mai 1839, enregistré, ce rapport d’experts a été homologué & il a été ordonné que ces deux maisons seraient vendues par licitation dans les formes voules par la loi (…)
(Edouard de Solms)
Désignation des immeubles dont la licitation a été ordonnée. Maison Rue du Vieux Marché aux Chevaux place du Broglie n° 9
1° Une maison à rez de chaussée & trois étages, sise à Strasbourg Rue du Vieux Marché aux Chevaux place du Broglie n° 9 faisant le coin de ladite rue et de la rue de l’Evêque ou de Bischheim, tenant d’un côté à la propriété du Sr Kretschmann, faisant l’autre coin de la rue de Bischheim, apr devant la rue du Vieux Marché au Chevaux par derrière la maison ci après désignée
Maison rue de Bischheim N° 1
2° Une maison à rez de chaussée & deux étages sise également à Strasbourg Rue de Bischheim n° 1 tenant d’un côté à la maison désignée ci dessus dans laquelle il y a des ouvertures de communication, de l’autre celle du Sr Senger, cordonnier par devant la rue de Bischheim, apr derrière la propriété du Sr Kretschmann.
Etablissement de la propriété. Les héritiers Solms co licitants ci-dessus dénommés ont recueilli des deux maisons dans la succession de D° Marie Thérèse Klein leur mère décédée épouse de M. Frédéric Solms père propriétaire à Strasbourg, dont ils sont seuls héritiers chacun pour un 9° ainsi qu’il est constaté par l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de la D° Solms par M° Striffler notaire à Strasbourg qui en a la minute, en date au commencement du 18 mai 1839. Mad. Solms les avait elle-même recueilli partie dans la succession de M Jean Jacques Klein son père employé à la Recette générale du Bas Rhin dont elle était héritière conjointement avec Dlle Marie Barbe Rose Klein sa sœur germaine, ainsi qu’il est constaté par l’intitulé de l’inventaire dressé par M° Ubersaal notaire à Strasbourg le 6 mars 1809, partie dans la succession de lad. Marie Barbe Rose Klein sa sœur & pour le surplus dans celle de D° Anne Marie Vetter sa mère décédée veuve du Sr Jean Jacques Klein. Lesd. Sr & D° Klein avaient acquis lesd. immeubles pendant leur mariage de Jean Hummel, propriétaire, et Salomé Leonhard sa femme demeurant à Strasbourg au termes d’un contrat de vente reçu par Knobloch notaire à Strasbourg le 19 messidor an XIII. transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 23 du même mois volume 25 art. 11. Par leur contrat de mariage passé devant M° Ubersaal notaire à Strasbourg le 17 novembre 1807 les conjoints Solms se sont fait donation pour le cas de décès & en cas d’Existence d’enfans de l’usufruit viager de la moitié des biens composant la succession du prémourant,
Locations. La totalité de ces deux maisons moins le quatrième étage occupé par M Solms est loué à différentes personnes les loyers s’élèvent à 860 francs. Estimation de la maison place du Broglie 14.000, la maison rue de Bischheim 3000.
n° 215. Adjudication préparatoire, du 20 août 1839.la maison rue du Broglie portée à 14.100., celle de Bischheim n° à 3020. Le bloc des deux maisons a été ensuite offert aux amateurs au prix de 17.120 francs
n° 235. Adjudication définitive du 5 septembre 1839 (…) Définitivement adjugée à M° Lederlin pour 19 000 francs
N° 237. Déclaration de Command, 23 juillet – au nom d’Edouard de Solms

Du 25 juin 1839. n° 173. Dépôt des Pièces de la procédure pour la licitation de la maison Solms Place du Broglie 9. Extrait des minutes déposées au Greffe du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas Rhin. Rapport d’experts. L’an 1839 le 15 mai à trois heures de relevée nous soussignés Goerner Christophe Architecte, Brassel André, Propriétaire, Silberling Joseph Edmond, ancien notaire, Directeur de la Caisse ed libération des dettes hypothécaires, tous trois demeurant et domiciliés à Strasbourg, experts nommés par jugement rendu par le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23. avril 1839, entre Le sieur Frédéric Solms artiste demeurant à Strasbourg (…) en la maison rue du Vieux Marché aux Chevaux Place du Broglie n° 9 et celle rue de Bischheim n° 1 et avons reconnu que la maison place du Broglie composée savoir, Primo, d’une cave voutée et séparée en compartiments par des claires voies,
Secondo, d’un rez de chaussée ayant passage de communication aux étages supéreurs, une boutique, une cuisine, une pompe en bois,
Tertio, un premier Etage composé de deux Pièces dont l’une à alcôve et une Cuisine,
Quarto, second Etage composé également de deux pièces dont l’une à alcove et une cuisine
Quinto, troisième Etage composé de trois pièces et une cuisine,
Sexto, Quatrième étage quatre pièces et une cuisine et aux mansardes composées de six chambres, escaliers en bois conduisant d’un étage à l’autre.
La maison est en partie construite en Pierre et partie en galandure, elle a une petite porte de communication avec la maison ci après désignée, une entrée dans la rue de Bischheim et ses lieux d’aisance dans la maison ci après désignée.
Maison rue de Bischheim numéro un. Construite en galandure ayant cave solivée divisée en trois commpartiments, au rez de chaussée sont deux pièces, une cuisine et lieux d’aisance. Au premier Etage deux pièces et une cuisine. Au second Etage deux pièces et une cuisine. Le comble comportant une chambre & un grenier et couverts en tuiles doubles.
Nous avons reconnu que ces Immeubles ne sont point partageables en nature, d’après les droits des parties, que dès lors la confection de lots et impraticable. Nous avons procédé de suite à l’estimation des lots immeubles en prenant pour base la valeur vénale, nous avons estimé la maison place du Broglie numéro 9 à 14.000 francs. celle de la rue Bischheim numéro un à 3000 francs
Enregistrement, acp 271 F° 29 du 6.9.

Marie Thérèse Klein consent au mariage d’Edouard de Solms, consul général du roi de Wurtemberg en Afrique demeurant à Paris
1837 (24.6.), Strasbourg, Me Lacombe
Consentement par Marie Thérèse Klein, femme de Frédéric Joseph de Solms propriétaire à Paris, au mariage d’Edouard de Solms, consul général du roi de Wurtemberg en Afrique demeurant à Paris avec telle personne de son choix
Enregistrement, acp 251 F° 5 du 24.6.

Edouard de Solms, consul de Wurtemberg (° Strasbourg 8 février 1808, † Saint Domingue 10 avril 1857 f. de Frédéric Joseph Solms et Thérèse Klein) épouse le 26 août 1839 à Paris Adrienne Olympe de Bentzon (° 1820 f. Adrien Bentzon et Marie Virginie Clémendot) – séparés de biens le 16 juin 1848, † Paris 14 octobre 1887) Référence

Edouard de Solms vend quelques mois plus tard la maison à François Joseph Fritsch, marchand de vins à Kogenheim

1840 (22.2.), Strasbourg 12 (151), Me Noetinger n° 12.098
Théodore Lobstein, avocat à Strasbourg, mandataire d’Edouard de Solms, propriétaire demeurant actuellement à Lajonchère près Paris
à François Joseph Fritsch, marchand de vins à Kogenheim
1. une maison à rez de chaussée et trois étages sise à Strasbourg rue du Vieux Marché aux Chevaux place du Broglie n° 9 faisant le coin de ladite rue et de la rue de l’Evêque ou de Bischheim, la propriété Sr Kretschmann faisant l’autre coin de la rue de Bischheim, devant Vieux Marché au Chevaux, derrière la maison ci après désignée
2. une maison à rez de chaussée & deux étages sise à Strasbourg rue de Bischheim n° 1 d’un côté la maison désignée ci dessus dans laquelle il y a des ouvertures de communication, d’autre celle du Sr Senger, cordonnier, devant la rue de Bischheim, derrière la propriété du Sr Kretschmann – au vendeur par licitation entre les héritiers de Marie Thérèse Klein décédée épouse de Joseph Frédéric Solms, suivant adjudication devant M° Striffler le 5 septembre 1839. Mad. Solms l’a recueillie dans le partage de la succession de Jean Jacques Klein son père, employé à la Recette générale du Bas Rhin, dont elle était héritière conjointement avec Dlle Marie Barbe Rose Klein sa sœur germaine, suivant inventaire reçu M° Ubersaal le 6 mars 1809, partage de la succession de Marie Barbe Rose Klein sa sœur et le surplus dans celle d’Anne Marie Vetter sa mère veuve de Jean Jacques Klein – pour 19.000 francs
Enregistrement, acp 276 f° 18-v du 26.2.

Natif de Kogenheim Joseph Fritsch épouse en 1839 Marie Jeannette Kœssler, native de Nordhouse, veuve d’Aloyse Rohmer
Mariage, Kogenheim (n° 10)
Le 26° jour du mois d’octobre 1839. Acte de mariage de Joseph Fritsch, âgé de 36 ans, né à Kogenheim le 16 frimaire an XI de le République française suivant acte de naissance folio 4 N° 14, cultivateur domicilié à Kogenheim, fils légitime & majeur d’Ignace Fritsch, âgé de 66 ans, marchand de vins domicilié en cette commune ci présent et consentant, et de Françoise Andlauer, âgée de 64 ans, sans profession, domiciliée en cette commune, ci présente et consentante
Et de Marie Jeannette Koessler, veuve d’Aloyse Rohmer, sans profession, décédé le 16 mai 1838, âgée de 26 ans, née à Nordhausen, Bas-Rhin, le 29 août 1813 fille légitime & majeure de feu François Joseph Koessler, vivant cultivateur audit Nordhausen y décédé le 7 décembre 1827 et de Marie Madeleine Hirt, âgée de 64 ans, sans profession domiciliée à Nordhausen (…) l’exploit d’un acte respectueux notifié par elle à Marie Madeleine Hirt sa mère le 26 septembre 1839 à onze heures du matin par Monsieur Joseph Benjamin Pennarum notaire à Schlestadt (…) (signé) Joseph fritsch, M. Jeannette Kössler (i 6)

Natif de Kogenheim, Aloÿse Rohmer épouse Marie Jeannette Kœssler en 1836 à Illkirch
Mariage, Illkirch (n° 12)
Le 20° jour du mois de juin 1836 à quatre heures du soir. Acte de mariage de Aloÿse Rohmer, célibataire domicilié à Illkirch, né à Kogenheim (bas-rhin) le 17 nivose année XII de la République française, fils légitime de Joseph Rohmer, propriétaire âgé de 78 ans, domicilié à Kogenheim département du bas-rhin ci présent et consentant et de Marie Anne Rosenberger, sans profession, agée de 70 ans, domiciliée à Kogenheim (bas-rhin) ci présente et consentante
Et de Marie Jeannette Koessler, célibataire, domiciliée à Illkirch, âgée de 23 ans, née à Nordhausen (bas-rhin) le 29 août 1813 fille légitime de feu François Joseph Koessler, vivant laboureur Domicilié à Nordhausen, ÿ décédé le 7 décembre 1827 et de Marie Madeleine Hirt, âgée de 60 ans, sans profession domiciliée à Nordhausen (signé) Aloÿsius Rohmer, Jeannette Kössler (i 8)

Registre de population 600 MW 201 Place du Broglie N° 9, p. 520 (i 289)
Fritsch, François Joseph, 8 Xbr 1802, Kogenheim, Auberg. et propr., (à Str. depuis) May 1840, (réception à domicile) 10 août 40
id. née Koessler, Marie-Jeanne, 1815, Nordhausen

Le cabaretier François Joseph Fritsch loue une partie de sa maison dont le cabaret au cuisinier Eugène Hackenspieler

1860, Enregistrement de Strasbourg, ssp 132 (3 Q 31 631) f° 81 du 27.12.
du 27 décembre 1860. Bail – le Sr François Joseph Fritsch, cabaretier à Strasbourg, loue pour 3, six ou neuf années au choix des deux parties avec le droit respectif de chacune d’elles de se dénoncer un an avant l’expiration de trois ans, si le présent bail doit cesser, qui commencera le 25. Xbre 1860
au Sr Eugène Hackenspieler, cuisinier demeurant au ban de Strasbourg, au jardin dit Leyser
dans sa maison sise à Strasbourg place du Broglie N° 8
1° le rez-de-chaussée composé d’un salon de cabaret, d’une cave au-dessous, de la maison de devant er ses dépendances, la jouissance d’une cave au-dessous, de la maison de devant et ses dépendances, la jouissance de la buanderie avec les autres locataires de la dite maison
2° le 1° étage composé de trois pièces de devant et trois pièces de derrière, le bail est fait pour un loyer annuel de 1500 francs

François Joseph Fritsch loue la maison à l’aubergiste Jean Fornès en se réservant le troisième étage

1867, Enregistrement de Strasbourg, ssp 147 (3 Q 31 646) f° 64 du 5.10.
du 5 juillet 1867. Bail – entre les soussignés François Joseph Fritsch propriétaire de la maison sise à Strasbourg, place Broglie N° 8 faisant le coin de l’impasse de Bischheim
Jean Fornès aubergiste à Strasbourg
a été conclu le bail suivant, M. Fritsch loue par les présentes pour une durée de 15 années commençant le 24 juin 1867 pour finir à pareil jour 1882 au Sr Fornes ce acceptant
le rez de chaussée, le premier, le second et le quatrième étages avec cuisine de la maison ci-dessus désignée, le bailleur se réservant le troisième étage tel qu’il l’occupe aujourd’hui, avec droit de jouir de la buanderie et des greniers pour les besoins de son ménage, et avec un compartiment de cave dans la maison de derrière me reste devant faire partie du bail de M Fornes. Ce bail est fait moyennant un loyer annuel de 2700 francs

Joseph Fritsch meurt en 1877 en délaissant des héritiers collatéraux

1877 (31.5.), M° Schmitz n° 322
Inventarium 1) der Gütergemeinschaft, welche zwischen Maria Johanna Koessler in Strassburg wohnhaft und deme allda am 5. Januar 1877 verstorbenen Joseph Fritsch bestanden hat
2) des Nachlasses des genannten p. Fritsch, auf Ansuchen von I) der genanten W° Maria Johanna Koessler
II) der Geschwister des Erblassers resp. deren Repräsentanten als eintzige Erben des Verlebten als 1) Ignatz Fritsch, Eigenthümer zu Kogenheim (Benfeld), 2) die Kinder seines verlebteb Bruders Johann Fritsch, nämlich a) Johannes Fritsch, Buchhalter zu Paris, b) Alphons Eduard Fritsch, Adjudant zu Lille, c) Frantz Joseph Fritsch, Schutzmann zu Paris, 3) Gallus Fritsch, Eigenthümer zu Kogenheim, 4) Ferdinand Fritsch, Rentner, 5) Elisabeth Veronica Fritsch, W° von Louis Eduard Jehlen, Rentnerin beide letztere in Dijon, 6) Franzisca Fritsch, W° von Joseph Ehrhardt lebend Ackerer zu Kogenheim, 7) Anna Maria Fritsch gewerbslos zu Kogenheim, W° des allda verlebten Ackerers Xaver Meyer, 8) Barbara Fritsch, allda, W° von Xaver Koessler

Bemerkungen. Ein Ehevertrag wurde errichtet vor Notar Delabrousse in Benfeld am 26. october 1839, demselben zufolge hat der Verlebte in die Ehe gebracht M. 1360. und die Wittwe M. 2800. Nach Art. 5. haben sich die Brautleute die lebenlängliche Nutznießung ihres gesamten Vermögens geschenkt
Ersatzforderungen. A) des Verlebten für Einbrigen laut Ehevertrag 1360, B) der Wittwen a) für Einbringen 2800, b) dieselbe hat während der Ehe erhalten von ihren Geschwister & Onkel (ohne nähere Justification) 12.028, Summa 14.828
I) Gemeinschaft. Activ Masse, 1) Mobilien geschätzt zu M. 961, 2) Immobilien a) Ein Wohnhaus mit 3 Stockwerken in der alten Pferdemarktstrasse auf dem Broglieplatz alter N° 9 neuer N° 8, b) Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß zu Strassburg in der Bischheimerstrasse gelegen N° 1
Passiv Masse, 1) Reprisen des Nachlasses 1360, 2) Reprisen der Wittwe 14.828
II) Nachlass, derselbe besteht 1) in der ½ der Gemeinschafft, 2) in einer Ersatzforderung 1360, 3) in seine Kleider geschätzt zu 153
acp 665 (3 Q 30 380) f° 31-v du 4.6. n° 2196

Complément à l’inventaire, mentionnant des biens avenus par héritage au défunt
1877 (18.7.), M° Schmitz n° 368
Nachtrag zu dem am 31. Mai 1877 vor Notar Schmitz über den Nachlaß des zu Straßburg am 5. Jenner 1877 verstorbenen Joseph Fritsch sowie über die zwischen del verlebten mit seiner Wittwe Maria Johanna Koessler bestandenen Gütergemeinschaft errichteten Erbverziechnis
Laut Schenkung mit anticipirter Theilung hat errichtet vor Notar Zaepffel in Benfeld am 4. octobre 1842 hat Joseph Fritsch verschiedene Grundstücke erhalten, welche er während der Ehe verkauft und ein Gemeinschaffs immöbel. Aus dem Verkauf der Grundstück wurde erlöst 6240.
Ferner hat derselbe auch im Nachlass seiner Eltern verschiedene Mobilien ererbt im Werth von 110
acp 667 (3 Q 30 382) f° 92-v du 19.7. n° 2808

Le cohéritier Jean Fritsch cède ses droits à Gabriel Weill, commerçant à Benfeld
1877 (24.8.), M° Schmitz n° 405
Erbrechtenverkauf durch der Bevollmächtigten von Johannes Fritsch, Buchhalter zu Paris,
an Gabriel Weill, Kaufmann zu Benfeld
Aller Erbrechte welche dem Johannes Fritsch zustehen am Nachlass seines zu Strassburg verstorbenen Oheims Joseph Fritsch, Rentner, von welchem er Erbe ist zu einem ungetheilten Sechzehenteil, sowie diese Erbrechte bestätigt ist durch das vor Notar Schmitz am 31. Mai 1877 & 18. Juli 1877 errichtete Erbverziechnis – um 640 M
acp 668 (3 Q 30 383) f° 96 du 24.8.

Le propriétaire suivant (1883-1890 au cadastre) Raphael Weil, natif de Marmoutier, marié à Emilie Weil, meurt le 6 mai 1897. Sa veuve s’établit à Remiremont chez sa fille Aline femme du médecin Anatole David Güntzburger dit Kinsbourg d’après des actes de 1907.

Décès, Strasbourg (n° 1089)
Strassburg am 7. Mai 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Weinhändler Leopold Weil, wohnhaft zu Benfeld, Unter-Elsaß, und zeigte an, daß der Rentner Raphael Weil, 63 Jahre alt, israelitischer Religion, wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Maursmünster, Unter-Elsass, Ehemann von Emilie geborener Weil, Sohn der verstorbenen Eheleute David Weil, Rentner und Eva geborne Levy, zuletzt in Maursmünster wohnhaft, zu Strassburg Langstrasse 133 am 6. Mai des Jahres 1897 verstorben sei (i 34)

Propriétaire porté au cadastre en 1890, Michel Wallrapp est né à Iphofen en Bavière. Son fils Georges Frédéric Wallrapp naît en 1873 à Neu-Ulm de sa femme Barbe Salcher

Décès, Strasbourg (n° 909)
Strassburg am 18. Aprilis 1913. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Restaurateur Georg Wallrapp, wohnhaft du Strassburg, Schlossergasse 31. und zeigte an, daß der Restaurateur Michael Wallrapp, Ehemann von Barbara Wallrapp geborenen Salcher, 65 Jahre 6 Monate, katholischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Iphofen (Baÿern), Sohn der verstorbenen Eheleute Michael Wallrapp, Ackerer, und Katharina geborenen Hirz, beide zuletzt in Iphofen wohnhaft, zu Straßburg Schlossergasse 31. am 17. Aprilis des Jahres 1912 nachmittags um fünf Uhr verstorben sei (i 28)
dont Georges Frédéric Wallrapp, né le 4 octobre 1873 à Neu-Ulm, marié le 23. août 1904 avec Anne Catherine Bernhard (n° 887)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.