Christophe Güntzer, syndic royal, et (1672) Marguerite Ursule Saladin, (1681) Marguerite Wencker
Fils du marchand Thiébaut Güntzer, Christophe Güntzer naît en 1636 (acte). Après des études de droit, il devient secrétaire des Treize en 1675. Il est l’un des signataires de la Capitulation de septembre 1681. Louis XIV le récompense de ses services en le nommant début octobre 1681 syndic et directeur de la Chancellerie puis en lui attribuant en 1682 les revenus de la Chambre des Contrats et la succession vacante d’Anne Glissmann. Il reçoit en 1684 la moitié du village de Plobsheim et son beau frère Jean Nicolas Kempffer qui a épousé Agnès Wencker l’autre moitié. A la mort de Louvois en 1691, le préteur royal fait part au ministre de ses griefs contre le syndic. Le même dossier contient deux mémoires du chef des travaux Jean Güntzer contre son frère.
Christophe Güntzer épouse en 1672 Marguerite Ursule Saladin, fille de pharmacien, puis en 1681 Marguerite Wencker, dont la mère a épousé en secondes noces (1667) l’ammestre Dominique Dietrich. Christophe Güntzer se convertit au catholicisme en 1685, Marguerite Wencker reste luthérienne. Ses fonctions de syndic royal sont redéfinies de fait quand le roi crée en 1685 la charge de préteur royal, attribuée à Ulric Obrecht. Il meurt en décembre 1695 et sera inhumé dans l’église Saint-Etienne.
Sa veuve Marguerite Wencker quitte Strasbourg en 1698. Elle épouse en secondes noces en 1707 le stettmestre Jean Jacques Wurmser de Vendenheim dont elle aura un fils. Elle meurt en 1735.
Maisons en propriété
Rue des Serruriers (VII 422, actuel n° 28)
Domaine du Breuscheck ou Schnelling, hors la porte Blanche
Maison propre à Marguerite Wencker (1707), quai Saint-Nicolas (VIII 61, actuel n° 3)
Enfants
Enfants issus de Marguerite Ursule Saladin, morte le 14 décembre 1680
- Marguerite Ursule, née le 9 septembre 1676 (acte), morte le 11 décembre 1678 (acte)
- Christophe, né le 26 octobre 1677 (acte)
lieutenant de cavalerie, marié en 1698 avec Marie Dorothée Gretzinger puis en 1739 avec Marie Sibille Wahl (voir notice)
Enfants issus de Marguerite Wencker
- Marguerite, née le 16 septembre 1682 (acte), morte en bas-âge
- Salomé, baptisée le 2 septembre 1685 (acte) selon le rite luthérien puis en février 1686 (acte) selon le rite catholique
mariée en 1705 à Bâle avec Léopold Melchior de Rothberg, maréchal au service du margrave de Bade Durlach (acte) - Jean, baptisé le 18 juillet 1690 (acte), appelé aussi Jean Chrétien d’après la prénom de son parrain
conseiller intime du margrave de Bade Durlach et bailli de la préfecture de Hochberg, marié avec Frédérique Louise de Bobenhaussen (1)
Enfant de Marguerite Wencker remariée en 1707 (acte) avec Jean Jacques Wurmser de Vendenheim
- Jacques Régnard, baptisé le 16 septembre 1707 (acte), établi à Schweighouse en Haute-Alsace en 1744
Marié en 1729 à Mulhouse avec Anne Marie Waldner de Freundstein, mort le 26 août 1783 à Schliengen (d’après genealogieonline)
Signature de Christophe Güntzer au bas du baptême catholique de sa fille (1686)
Fils du marchand Thiébaut Güntzer, le juriste Christophe Güntzer épouse en 1672 Marguerite Ursule, fille du pharmacien Jean Charles Saladin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 33) 1672 – Dom. 1 & 2 Advent, den 1 v. 8. Xbr. H. Christoph Güntzer J. U. Dctus und beÿ hiesig. Cancelleÿ Commissarius H. dieboldt Güntzers burgers v. handelßmanns ehelich. Sohn, Jfr. Margaretha Ursula H Johann Carl Salatins Apotheckers vndt E. E. groß. Raths alt. beisitzers eheliche tochter, Eingesegnet St. thomæ den 12. xbr.(i 18)
Marguerite Ursule Saladin meurt en décembre 1680
Sépulture, Saint-Thomas (luth. p. 778) 1680. fr. Margaretha Ursula Güntzerin geb. Saladinin H Christoph Güntzers XIII Secretarÿ hfr. starb Ihres alters 30 Jahr den 14. Xbr manente* 4. v. wardt den 16. begrab. Zu St. Galli (i 339
Christophe Güntzer se remarie en octobre 1681 avec Marguerite Wencker, fille de feu Jean Wencker, marchand et l’un des Trois de la Tour aux Deniers et de Marguerite Kügler qui a épousé en secondes noces l’ammestre Dominique Dietrich : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Hoch Edel gestreng undt Hochgelehrten Herrn Christoph Güntzern J. Cti Hochverdienten Consiliario beÿ allhiesiger Königlichen Freÿen Statt Straßburg alß dem Herrn Bräutigams an Einem, So dann der Edlen, Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Margaretha Wenckerin deß Weÿland Edel, Wohl Ehrenvest und Hochachtbaren Herrn Johann Wenckers geweßenen alten Hochmeritirten dreÿers deß allhiesigen Pfenningthurns auch Vornehmen Handelßmanns und burgers zu ermeltem Straßburg mit der Edlen und hoch tugendbegabten frawen Margaretha Wenckerin gebohrner Küglerin seiner hinderpliebenen fraw Wittib, anjetzo deß Hoch Edlen, Gestreng, Fürsichtig, Hochweiß undt Hochgelehrten Herrn Dominici Dietrichs alten Hochmeritirten Ammeisters und dreÿ Zeheners deß beständigen Geheimen Regiments und Scholarchen Zu mehrberührtem Straßburg, Hochgeliebter Ehegemahlin Ehelich Erzeugten Tochter, alßder Jungfraw Hochzeitterin, am andern theil – Beschehen und verhandelt in der Königlichen freien Statt Straßburg Sambstags den Ersten Octobris Anno 1681.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 17, n° 28)
1681 – Domin XVIII et XIX Trin. Hr. Christoph Güntzer S. V. Dndus und alhiesiger Statt wohlmeritirter Consiliarius und Jungfr. Margaretha, weÿland Hrn Johann Wenckers Vornehmen Burgers und handelßmanns wie auch beÿ alhiesiger löblichen Stat Pfenningthurns wohlbestellten Dreÿers nachgelaßene eheliche tochter. Cop. d. xxvii viii.br Zu St. Niclaus (i 18)
Procl. Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 81, n° 580), 1681 – 18 et 19 Trin., d. 2 v. 9 octobr. Der wohl Edel Gestreng undt Hochgelehrte H. Christoph Güntzer dieser löbl. Statt Straßb. wohlverdiente Consiliarius undt Rath, Jfr. Margaretha, weÿl. H. Johann Wenckers geweßenen vornehmen burgers handelßmanns v. Dreÿers deß Pfenningthurns allhier hinterlassene eheliche tochter. Cop. zu St. Niclaus (i 51)
Inventaire des apports en mariage de Marguerite Wencker
1684 (13.7.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 7) n° 100
Inventarium und beschreibung, der Jenigen Mobilien, so die Wohl Edle, Viel ehren und hoch tugendbegabte Fraw Margaretha Güntzerin gebohrne Wenckerin, Zu dem hoch Edlen, Gestreng und Hochgelehrten, Herrn Christoph Güntzern, Juris Consulto, Ihro Königl. Maÿesthäth in Franckhreich, wie auch der Statt Straßburg hochverordneten Syndico und Raht, ihrem hochgeehrten Eheherrn, in die Ehe gebracht, welche der ursachen, allweilen in vordelermeldter beeder Ehegemächde mit einander auffgerichteten Ehepactis außtrucklichen versehen, daß einem jeden deroselben seine in die Ehe gebrachte Nahrung unverändert sein und bleiben – Actum in beÿsein der Viel Ehren und tugendreich. Frawen Salome Rosenzweigin gebohrner Güntzerin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Georg Rosenzweigs, Pastetenbeckhs und burgers alhier Eheliebstin obhochedel ermelts herrn Syndici eheleiblicher Fr. Schwester, Donnerstag den 13.t Julÿ Anno 1684
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 280, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 121, Sa. Guldener Ketten, Armband Ring Perlein und and. dergleich. Geschmeids 602, Sa. baarschafft 69, Summa summarum 1074 lb
Christophe Güntzer vend des effets mobiliers à sa femme. L’acte est dressé en présence de sa sœur Salomé Güntzer, femme du pâtissier Jean Georges Rosenzweig
1684 (18.7.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 7) n° 101
Verkauff und Looß Register, inhaltend alles das Jenige was abe verschiedenen, dem Hoch Edel Gestreng und hochgelehrten Herrn Christoph Güntzern, Juris Consulto, Ihro Königl. Maÿesthäth in Franckhreich und alhießiger löbl. Statt Straßburg hochverordnetem Syndico und Rath, Zuständigen haußräthichen Mobilien erlößt, (…) die eingegangene Looßung der wohl Edlen Viel Ehren und hoch tugendbegabten Frawen Margarethæ Güntzerin gebohrner Wenckerin, obhochedelbemeldts herrn Syndici Fraw Eheliebsten. – Actum in beÿsein Salome Rosenzweigin gebohrner Güntzerin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Georg Rosenzweigs Pastetenbeckh und burgers alhie Fr. Eheliebstin obhochedel benahmbsten herrn Syndici eheleiblicher Fr. Schwester den 18.t 19.t und 20.t Julÿ A° 1684
Christophe Güntzer se convertit en 1685.
Répertoire des Jésuites (1 AST 305, p. 267) Le Sr Quinser sindic de la Ville, 1685
Le syndic royal Christophe Güntzer meurt le 11 décembre 1695. Il est inhumé dans l’église Saint-Etienne.
Sépulture, Saint-Etienne (cath. p. 106)
1695. Die Decimâ quartâ Decembris Anni 1695 (…) sepultus est prænobilis dns. Christophorus Küntzer syndicus Regius Cuiutatis Argentinensis sacris Ecclesiæ munitus sacramentis, Juxta Cornu Epistolæ In (-)o, Maritus prænobilis foeminæ Dominæ Margaritæ Wenckerin, mortuus die undecima præfati mensis, (-) fuere Dnus Nicolaus Kempffer (i 133)
Christophe Güntzer meurt le 11 décembre 1695 en délaissant un fils Christophe de son premier mariage avec Marguerite Ursule Saladin et deux enfants issus de la veuve, Salomé et Jean Chrétien. Le notaire fait précéder la description des effets par un avertissement où il déclare que malgré ses demandes il n’a pas eu à sa disposition tous les documents qui lui auraient été nécessaires et qu’il a trouvé des irrégularités dans l’inventaire dressé après la mort de Marguerite Ursule Saladin, de sorte qu’il ne peut garantir que son inventaire soit exact. Outre la maison rue des Serruriers et les immeubles hors la porte Blanche, la succession comprend un moulin à Wilbolsheim, le château et des terres à Plobsheim, les villages de Plobsheim et de Schweighouse près de Haguenau. Les biens de la veuve s’élèvent à 2 642 livres, ceux des héritiers à 8 398 livres, l’actif de la communauté à 39 173 livres, le passif à 11 016 livres.
Une grosse incomplète se trouve parmi les actes de Jean Régnard Lang (cote 29 Not 41)
1696 (23.1.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 32, grosse)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Gütter, Ligender und Vahrender, verändert: und Unveränderter, so weÿlandt der Hoch Edel Gestrenge und Hochgelehrte Herr Christoph Güntzer Vortrefflicher Juris Consultus, Königlicher Maÿestäth in Franckreich vnd der Statt Straßburg Rath und Syndicus auch Cancelleÿ Director allhier, nunmehr seel. nach Seinem Sontags den 11. Monatstag Decembris Newen Calenders der Zurück gelegten 1695.sten Jahrs beschehenen tödtlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Edel Wohl Ehrenvesten Kunstreichen undt Hochachtbaren Herren Heinrich Ströhlins berühmten apotheckers und Vornehmen Burgers in Straßburg alß geschwornen Vogts, Ferner des Hoch Edlen Vesten und Hochgelehrten Herrn Johann Michael Brackenhoffers Hochmeritirten Ambtmanns der Pflegd Illkirch als erbettenen Herrn Curatoris /:der aber ohnpäßlichkeit halber abweßend war:/ deß Hoch Edlen undt Vesten Herren Christoph Güntzers des Herren Syndici in Erster Ehe mit Weÿl. der Hoch Edlen Viel Ehren: undt Tugendreichen Frawen Margaretha Ursula Güntzerin gebohrner Saladinin nunmehr seel: ehelich erzeugten vnd nachgelaßenen Herren Sohns, und Zwar der Anweßender geschworner Herr Vormund mit Zuziehung des Hoch Edlen Vesten und Hochgelehrten Herren H. Friderich Ösingers J. V. Ddi undt E: E: Kleinen Raths beÿ obgdachter Löbl. Statt Straßburg Hoch Verdienten Referendarÿ alß Hierzu erbettenen Herrn Assistenten.
Weiter der Wohl Edel Vest und Hochgelehrten Herren Johann David Ehrhardts J. V. Ddi wohlverdienten Schuhlschaffners, auch deß Collegÿ Wilhelmitanj Schaffners alß geschwornen Tutoris Jungfrawen Salome, und Herren Johann Christians der Güntzer, Hernach benembster Fraw Wittib, mit Hoch Edelermeltem Herren Syndico in dießer Leztern und andern Ehe erzeugten Eheleiblichen Sohns undt Jungfraw Tochter alle dreÿ deß Herren Syndici seel. ab intestato nachgelaßener Erben Inventirt und Ersucht durch die Hoch Edle, Hoch Ehren und Tugendbegabte Fraw Margaretham Güntzerin gebohrne Wenckerin die hinderbliebene hochbetrübte Frau Wittib, beÿständlich deß Hoch Edel Vest und Hochgelehrten Herren Christoph Melchior Sachßen J.V. Dris und E: E: Großen Raths jetzmahligen Assessoris Ihres geschwornen herren Vogts – Actum und angefangen in der Königl. Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Hoch Edel Gestrengen Fürsichtig Hochweiß und Hochgelehrten Herrn Jacob Wenckers, mehrgemelter Löblicher Statt Straßburg alten Hochverdienten, Ammeisters und dreÿ Zeheners von Hoch Edelgemelter Fraw Wittiben alß Ihres Herren Vatters seel. Herr Bruder, was also Ihr nächster Herr Anverwanther, welches der seelige Herr Syndicus beÿ Lebzeiten an seine Frau Ehegemahlin begehrt hierzu insonderheit erbetten. So dann deß Hoch Edel Gestrengen undt Hochgelehrten Herren Johann Nicolai Kempffers J. Cti und der Königlichen freÿen Reichs Ritterschafft des Untern Elsaßes Raths und Syndici, Ihres Hoch Ehrten Herrn Schwagers, auff seithen deß Jüngern Herren Sohns und Jungfrauw Tochter ehe Sie obbenelter maßen bevögtigt geweßenen hierzu insonderheit erbettenen Herren Beÿstand, Montags den 23.ten Monathstag Januarÿ Anno 1696.
Declaratio deß Zu dießem Geschäfft requirirten Inventir schreibers. Zu wißen, alß gegenwärtige Güntzerische Verlaßenschafft Zu consigniren, Ich der geschworne Inventir schreiber, von Hochge Ehrter Güntzerischer Fraw Wittiben und übrigen sambtlichen hochansehnlichen Herren Erbs Interessenten more solito bin requirirt worden, daß ich so balden ane denen mir vorgelehten Documenten ersehen, es werde ein formblich Inventarium Zu begreiffen, wegen ermanglenden Schuldbuchs und benöthigter genugsamer Nachricht da zugleich das über Weÿl. Frawen Margarethä Ursulä Güntzerin gebohrner Saladinin, Sein des Herrn Syndici seel. erster Haußfrawen auch Seel. Verlaßenschafft hiebevor Verfaßte Inventarium auch einige Mängel entdecket, zimlich schwer fast ohnmöglich sein, Zu dem ende dann ich öffters beÿ gehaltenen conferenzien mehrere nachricht Verlangt weilen aber nichts erfolgt, mich gemüßiget befunden meine Declaration damahlen öffters in maßen auch letzmahlen geschickt, dergestalten auß Zustellen und Zu erklähren, wafern in dießem Inventario wegen ohngenugsamer Nachricht ein: und andere Post anderst daß es hette sein sollen were eingetragen, daran Zu Viel oder zu wenig gesetzt oder gar außgelaßen beede worden, daß dardurch Keinen Theil an seiner erweißlichen beßeren geachtsame, das geringste nicht benommen weniger præjudicirt, sondern einem jeden sein habendes beßeres recht vorbehalten, auch der auß mangel genugsamen berichts hierbeÿ etwa eingeschlichene fehler mit dem Inventir schreiber ebenmäßig nicht ruf gebürdet noch schädlich sein solle, umb so da weniger umb so viel mehr mann in hoffnung gestanden daß in erfolgter Revision und hervor gekommenen mehreren Documenten alles corrigirt und Verbeßert werden Könne, welcher sothaner Declaration allhier ferner zu gedencken, weilen Sie beÿ denen conferenzien öffters wiederhohlet worden, ich für nöthig erachtet habe.
Zweÿtens Herr Johann Philipp Rohner der Scribent hat dießes Inventarium auß dem Vergriffenen Concept mundirt und damit Viel Sextern angefüllt demnach aber derselbe Vor Vertigung deßen, von hier Verzogen, habe noch d. benöthigte selbsten, mit eigener hand eingeschrieben, so zur Nachricht berichten sollen.
Copia der Zwischen Eingangs Hoch Edelermemten beeden Ehe Persohnen auffgerichteten Heuraths Verschreibung – zwischen dem Hoch Edel gestreng undt Hochgelehrten Herrn Christoph Güntzern J. Cti Hochverdienten Consiliario beÿ allhiesiger Königlichen Freÿen Statt Straßburg alß dem Herrn Bräutigams an Einem, So dann der Edlen, Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Margaretha Wenckerin deß Weÿland Edel, Wohl Ehrenvest und Hochachtbaren Herrn Johann Wenckers geweßenen alten Hochmeritirten dreÿers deß allhiesigen Pfenningthurns auch Vornehmen Handelßmanns und burgers zu ermeltem Straßburg mit der Edlen und hoch tugendbegabten frawen Margaretha Wenckerin gebohrner Küglerin seiner hinderpliebenen fraw Wittib, anjetzo deß Hoch Edlen, Gestreng, Fürsichtig, Hochweiß undt Hochgelehrten Herrn Dominici Dietrichs alten Hochmeritirten Ammeisters und dreÿ Zeheners deß beständigen Geheimen Regiments und Scholarchen Zu mehrberührtem Straßburg, Hochgeliebter Ehegemahlin Ehelich Erzeugten Tochter, alßder Jungfraw Hochzeitterin, am andern theil – Beschehen und verhandelt in der Königlichen freien Statt Straßburg Sambstags den Ersten Octobris Anno 1681. – Beschehen und Verhandelt in der Königlichen. Freÿen Statt Straßburg, Sambstags den ersten Octobris Anno 16[8]1.
Der Fraw Wittib unverändert Vermögen. In einer in der Statt Straßburg, in der Schloßergaßen gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung ist befunden worden wie volgt, Sa. Haußraths 68, Sa. Silber geschirrs und Geschmeids 164, Sa. Guldiner Ketten, Ring, Perlen, Armband und dergleichen Geschmeids 404, Sa. Baarschafft 1377, Ergäntzung der Fraw Wittib Unveränderten Guths. Vermög der Jenigen Verzeichnuß waß Fraw Syndicußin von Margaretha Dietrichin gebohrner Küglerin Ihrer Lieben fraw Mutter, in außweißung Vätterlichen Guths in Anno 1683. gelieffert worden durch Herrn Andream Schmiden Notarium publ. gefertiget (…) 1782 lib, Summa summarum 3796 lb – gehet ab 1154 lb, Nach deren Abzug 2642 lb
Hierauff wird nun auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Haußraths 262, Sa. Rüstung und gewehr 69, Bibliotheca 75, Sa. Silbers 199, Sa. Guldene Ketten 384, Sa. Baarschafft
(f° 77) Eÿgenthumb ane einer Behaußung und Hoff vnd einer Mühle, der Erben unverändert.
Das so genandte Schaumanns Brühl (…)
Die sogenandte Schnellings Mühl (…)
Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung und Mühlen 1642 lib, Sa. Wein Zinß von Eigenthümlichen Liegenden Güttern 750
(f° 83) Mannliche Reichs Lehen. Schnellings Mühl
Sa. Mannlichen Reichs Lehen 310
(f° 89-v) Eigenthum ane Liegenden güttern, 200 lib
(f° 92-v) Gülth von liegenden güttern 45 lib
(f° 93) Ergäntzung der Erben unveränderte, Guths. Inhalt Inventarÿ über Weÿland Frawen Margarethä Ursulä Güntzerin gebohrner Saladinin des Herrn Syndici ersterer Haußfrawen seel. Verlaßenschafft durch Weÿl. Herrn David Ösingern jun: Notarium in Anno 1681 vergriffen und nach dessen seel. absterben durch Herrn Daniel Rohren Notarium in Anno 1691. außgefertiget, 11 176 lb, Sa. abzugs 3442, Rest 7733 lb, Summa summarum 11 927 lb – Schulden 3529, Nach solchem abzug 8398
(f° 144) Endlichen wird auch das Gemein verändert und Theilbare Guth beschrieben, Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, auff der Truckeneÿ, In der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der Magd Cammer, In deß Herrn Sohns Stub, In der Obern Ercker Stub, In der Nebens Cammer, in der Andern Obern Ercker Stuben, In er Nebens Cammer, In des Laquayen Gemach, Vor dießen Gemachen, In deß Herrn Syndici seel. Stub, In der Nebens Cammer, In der Küche, Im Haußöhren, In der Gesind: Stub, In der Herrn Syndiicußin, In dem Frantzösischen Gemach, In H. Carben Gemach, In d. Bütten Keller, In dem gewolb – Auff des Hrn Sundici Schlößlin – Auff der Mühl,
Sa. haußraths, 1585, Sa. Gutsch und Pferdt 147, Sa. Garten gewächß 50, Sa. Geflügel Und Rind Viehes so Zu Plobsheim befindlich 37, Sa. Früchte auff dem Kasten 203, Sa. Wein und Vaß 1931, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1622, Sa. Guldener Ring, Kleinodien, Perlen Armband und dergelichen Geschmeids 2098, Sa. Baarschafft 9874, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 6832
(f° 279-v) Eÿgenthumb ane Schlößern Heußern, Mahl Mühlen Ziegeloffen und dergleichen
(f° 279-v) Erstlichen ein Schlößel
(f° 280) Walck: Mühl außer der Statt
(f° 281) Mühl Zu Wibelßheim
(f° 284-v) Das Schloß Zu Plobßheim, Summa 2954
(f° 293-v) Eÿgenthumb ane Liegenden Güttern als Gärten Veld acker und Matten, Summa 1915
(f° 300-v) Eÿgenthumb ane dem Dorff Plobßheim (…) nullum
(f° 301-v) Eÿgenthumb ane dem Dorff Schweighaußen (…) Summa 4500
Sa. Zehend und Gülten von eigenthümblichen Liegenden Güttern fallend, Zu Melsheim 918, Summa summarum 39 173 – Schulden 11 016, Theilbar Guth 28 141 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 48 567 lb
Sa. der Pfenningzinß hauptgüter in die Wÿdemb Verfangenschaft gehörig 1597 lb
(f° 378) Eigenthumb ane einer Behaußung in die Wÿdembs Verfangenschaft gehörig. Eine Behaußung, Hoff, Hoffstatt, und Bronnen mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, rechten Zugehördten undt Gerechtigkeiten in der Statt Straßburg in der Schloßergaßen, einseit neben der Spiegler Zunfft stuben, anderseit neben Weÿl. H. Johann Ludwig Zeÿßolffs geweßenen Handelßmanns undt burgers allhier seel nachgelaßener Fraw wittib undt Erben gelegen und Hinten auff Weÿl. Herrn Johann Friderich Würtzen Handelßmann und der Statt Straßburg Stall Wohlverordneten alten dreÿern stoßend, so freÿ ledig und eigen und wie solche beÿ Weÿland Frawen Margarethä Ottin gebohrner Saldinin seel. Verlaßenschafft ins looß gebracht worden angeschlagen umb 1500. lb
Sa. Hievorbeschriebener gantzen Wÿdembs Ergäntzung Ist 5971 lb, Abzuziehen 2442, Nach solchem abzug 3542 lb, Zweiffelhaffte Schulden, so der Erben unverändert 534, Summa summarum hievor beschriebener gantzer Wÿdembs Verfangenschaft 9369 lb
(f° 473) Der beeden Herren Söhne und Jungfrau Tochter Pfetter Göttel und Geschenckt Geldt
Marguerite Wencker cède sa part et celle que ses deux enfants peuvent avoir au village de Plobsheim et au moulin de Wibolsheim à Jean Nicolas Kempffer qui en est déjà propriétaire pour moitié
1701 (2.8.) Me Bidier Dutil (6 E 41, 13)
Vente 2 aoust 1701 – fut presente Margueritte guntzer née wenker Ve de feu Monsieur Christophle guntzer En son vivant sindic de lad° Ville tant en son nom que comme mere et tutrice naturelle de ses Enfans mineurs dud. deffunt et delle, Assistéé du sieur Christophe Rosenzweig Licencié ès Loix (avoir vendu, ceddé)
A Monsieur Me Nicolas Kempfer Cons. du Roy en son cons. souverain d’Alsace
tous les droits, noms, raisons, actions Et pretentions qu’elle Et sesd. Enfans comme heritiers dud. deffunt leur pere peuuent auoit pour leur part En la terre Et Village de plobsheim scitués En cette prouince, Laquelle terre et village Sa Majesté a fait don aud. deffunt sieur Guntzer Et aud. S Kempfer En communs par ses lettres de don dattées de versailles au mois d’auril 1684 enregistrées aud. con.el souuerain le 15 may Ensuivant En quoy que la part de lad° Dame V° et de sesd. enfans En lad° terre et village de plobsheim puisse consister, monter Et valoir, sans rien retenir ny excepter de ce qui pouroit appartenir aud. deffunt, a elle Et a leurs enfans que ce qui peut reuenur au Sr christohle guntzer fils aisné dud. deffunt et de feue dame marie margueritte Ursule saladine sa premiere femme seulemt.
Vene En outre lad° dame veufue Enlad° qualité (…) sa part qui luy peut appartenir Et a sesd. Enfans au moulin, maison Et heritages En dependans scitué a Wibolsheim acquis en commun Et par moitié Entre led. deffunt Sr guntzer Et led. S Kempffer de feue la dame de Ratzenhaussen Ehenwir par contrat En datte du (-) passé deuant (-) pareillement sans rien reserue excepté ce qui peut pareillement appartenir et reuenir aud. Sr guntzer fils aisné dud. deffunt et de la dame saladine sa premiere femme pour sa part comme l’vn des heritiers dud. deffunt Sr. son pere – moyennant 10 000 liures tournois – fait et passé aud. Strasbourg le deuxie. aoust 1701 (signé) Margaretha Güntzerin, Jean Nicola Kempfer
Jean Régnard Lang est chargé de dresser le partage de la succession en lieu et place d’Etienne Corneille Saltzmann, devenu receveur de la fondation Saint-Marc. Marguerite Wencker a épousé entre temps le stettmestre Jean Jacques Wurmser de Vendenheim en 1707. La maison rue des Serruriers a été attribuée au fils aîné Christophe Güntzer pour sa part d’héritage maternel. Les immeubles à partager sont le domaine dit Breuscheck ou Schnelling hors la porte Blanche, les villages de Plobsheim et de Schweighouse. Les biens de Plobsheim donnés par le Roi en 1684 sont considérés non comme un bien de la communauté mais comme un bien propre de Christophe Guntzer, de même que les biens d’Anne Glissmann, veuve de Balthasar Kraut, donnés par le Roi en 1682.
1712 (2.5.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 93) n° 845
(General Theilbuch) Zuwißen und Kundt seÿe hiemit, demnach auff tödliches Ableiben Weÿlandt des hoch Edel Gestreng und hochgelehrten Herrn Christoph Güntzers gewesenen vortrefflichen Juris Consulti, Königlicher Maÿestäth in Franckreich und allhießiger Löbl. Statt Straßburg Raths und Syndici, auch hochverdienten Directoris allhießiger Cancelleÿ nunmehr seelig, welches den 11. Decembris neuen Calenders A° 1695. beschehen deßelben Verlaßenschafft durch weÿland S.T. Herrn Stephanum Cornelium Saltzmann gewesenen Notarium publicum auch E. Löbl. Policeÿ Gerichts und E: E: kleinen Raths alten Assessorem anietzo seeligen in beÿsein der in dem Inventario und deßen Introitu gemeldeter hochansehnlicher Interessenten den 23.ten Januarÿ et seqq. A° 1696 inventirt, daß darauffhin noch vor außfertigung des Inventarÿ und Zwar den 10. Februarÿ et seqq. diebus A° 1696. in sein Herrn Notarÿ Saltzmanns seelig. beÿsein mit außlieffer: verkauff: abtheil: und erörterung verschiedene von dem Herrn Syndico seeligen Verlaßener, theils eigenthümlicher: theils Wÿdembs, weilen und sonderlich der Mobilien ein anfang gemacht und Zimblich weit aduanciret, der überrest aber, und in specie die immobilia damahlen außgesetzet, und nachgehends das Inventarium über des Herrn Syndici seeligen Verlaßenschafft, mit gewißer von Ihme gethaner in besagtem Inventario fol: 5. fac. j.ma et 2.da befindlicher declaration, nicht weniger über die außgeliefferte Wÿdembs Rubricen in gleichem die verkauffte und vertheilte Mobilia gebührende lieffer: und Verkauff Register, auch Designationes, durch vorehren berührten herrn Notarium Saltzmann seeligen außgefertiget, und weilen die Güntzerische Fraw wittib, darüberhin den 23.ten Aprilis Anno 1698. vor hier verreÿßet, und allererst vor einigen wenigen Jahren sich wieder hieher verfüget, als seins erwehnte noch übrig verbliebene und außgesetzte Rubrices, biß dahin durchgehends ohnvertheilt und ohnerörtert anstehen verblieben, Sintemahlen aber auff solch mehr hochedel angezogenen herren Syndici seeligen hinderlaßener Fraw wittib hernach hochedel allegiret wider anhero kunfft, mann dießes geschäfft vollends in richtigkeit Zubringen, ane seithen hochansehnlicher Interessenten sie vorgenommen Herr Notarius Saltzmann der hierzu gebrauchte Inventir Notarius aber mittler weile Zu einem Schaffner des Stiffts Zu St Marx allhier eligiret worden, und derselbe in deme beÿ dießem Geschäfft es noch viel mühe und arbeit erfordert, selbiges vollends in stand Zubringen und zuerörtern, seines tragenden Schaffner Ambts halben sich excusiret, und darauffhin die hoch Edel gebohrne Fraw Fraw Margaretha gebohrne Wenckerin offt hochdel erwehnten herrn Syndici seeligen hindelaßene Fraw Wittib, mit beÿstand des hochwohl gebohrnen herrn herrn Johann Jacob Wormbßers von Vendenheim, allhießiger löblich. Statt Straßburg höchstverdienten Stättmeisters und E. hochlöbl. Collegÿ der herren Fünffzehen allhie höchstansehnlichen beÿsitzers, auch höchs verordneten Cancellarÿ beÿ allhießiger Löblich. Universität, dero Ehe Junckern, ane einem,
So dann der hoch Edel Vest Fromb Fürsichtig, vorhochlöblich berührten beständigen Geheimen Regiments der Herren Fünff Zehen allhier jetztmahliger hochmeritirter beÿsitzer des Herrn Syndici seeligen, mit der Wohl Edel Viel Ehren und hoch tugendbegabten Frawen Margaretha Ursula Güntzerin gebohrner Saladinin, deßen ersterer Frawen Eheliebsten seeligen ehelich erziehlter Herr Sohn, vor sich selbsten, mit assistentz des hoch Edel, Vest und hochgelehrten herrn Johann Friderich Ösingers, hochberühmten Juris Consulti auch E. E. Kleinen Raths allhier hochverdienten Referendarÿ und vornehmen burgers allhier, weiter die hoch Edelgebohrne Fraw Fraw Salome von Rohtberg gebohrne Güntzein, mit beÿhülff des wohlgelehrten Herrn Herrn Leopold Melchior von Rohrberg, dero Junckern Ehegemahl und dann des hoch Edel Gebohrnen herrn Johann Christian Güntzers, welcher dißmahlen abwesend, geordnete herr Curator der Wohl Edel, Vest und hochgelehrte Herr Johann David Erhard, J. U. Ltus und Schaffner beÿ allhießiger hohen Schuel auch burger allhier mit Zuziehung des hoch Edel Vest und hochgelehrten herrn Johann Carl Fausten, J. U. Lti und hochberühmten Practici, auch E. E. Kleinen Rahts und verschiedener hoher Gerichtsstellen allhier wohlbestellten Advocatj et Procuratoris ordinarÿ dero hierzu erbettenen herrn Assistenten, dieße beede des herrn Syndici seeligen in letzter Ehe mit hievorn hochedel angeregter jetzmahliger Frawen Margaretha Wormbßerin von Vendenheim gebohrner Wenckerin ehelich erzeugte herr Sohn und Fraw Tochter, mithin alle dreÿ des tödlich verblichenen herrn Syndici seeligen ab intestato verlaßene herren und Fraw Erbin ane dem andern theil, mit approbation und ratification hevor ehrenbedeuteten herrn Stephani Cornelÿ Saltzmanns meines werthgelehrten herrn Schwagers nun seeligen mich Notarium Johann Reinhardt Langen ratione officÿ mei, requirirt, mich dießes Gescha&ffts Zum Verziehen und selbiges in richtigen stand zusetzen (…), Straßburg den 2. Maÿ Anno 1712.
Crafft Revisions über des Herrn Syndici see. Verlaßenschafft durch mich Notarium Johann Reinhardt Lang in Anno 1711 auffgerichtet
(In Hn XV. Güntzers) Eigenthum ane einer behaußung in den Wÿdemb gehörig. Die in der Schloßergaß allhier gelegen dem Hrn sohn erster ehe vor Mütterlich guth gebührige behaußung deren in der Revision fol: 146. fac. 2.da andung*, ist demselben bereits längsten umb damit nach belieben Zuschalten, eingeraumt worden.
Lüfferung der Fraw Wittib Morgengab – Außweißung der Frawen Stättmeisterin gebührig. Wÿdembs (…)
(f° 48) (In alle) Vergleichung der Schnellings: und Walckmühl auch mitzuvertheilen verglichener eigenthümlich ligend Güether(…)
(f° 51) (In alle) Eigenthumb ane dem dorff Plobßheim, so theilbar
Protocollum Über dasjenige (…) als ich zu dießem Geschäfft gezogen, jeweils Verhandelt worden, angefangen den 20. Martÿ Anno 1711
Freÿtags den 20. Martÿ A° 1711 ist in præsentia S.T. Frawen Margarethæ Wormbßerin von Vendenheim gebohrner Wenckerin, weÿland herrn Christoph Güntzers geweßenen J. C.ti, Königlicher auch hießiger Löbl. Statt Straßburg Raths und Syndici et Directoris Cancellariæ nunmehr seeligen hinterbliebener Fraw wittib mit beÿstand herrn Johann Jacob Wormbßers von Vendenheim, allhießiger Statt Stättmeisters auch des beständigen geheimen Regiments der herrn XV. hochansehnlichen Assessoris, auch beÿ allhießiger löbl. Universität Cancelleÿ dero Ehe Junckern, Herrn Johann Christoph Günters, vorhochlöbl. erwehnten Collegÿ derer Hern XV. jetzigen beÿsitzers als vor hochedelgeberührten Herrn Syndici Güntzers seel. Herrn Sohns erster Ehe, mit beÿstand Herrn Johann Friderich Ösingers J. U. Lti und E.E. Kleinen Raths Referendarÿ, Frauen Salome von Rohtberg gebohrner Güntzerin der Fraw Tochter letzter Ehe mit assistentz Herrn Leopold Melchior von Rohtberg derer Junckern Ehegemahls, herrn Johann David Erhards J.U. Ddus und Schaffners der Hohen Schulen allhier als geschwornenen Curatoris herrn Johann Christian Güntzers des Herrn Sohns letzter Ehe, so dißmahlen abwesend, mit beÿhülff herrn Johann Carl Fausten J.U. Lti und E.E. Kleinen Raths auch verschiedenen höherer Gerichtstellen allhier Advocati et Procuratoris ordinarÿ und dann Herrn Stephani Cornelÿ Saltzmanns, Notarÿ Publici et Academici auch jetzmahligen Schaffners des Stiffts St. Marx allhier als zu obhochedelgezogenen Herrn Syndici Güntzers seel. Inventations und abtheilungs Geschäfft hiebevor bereits requirirten Notarÿ
Freÿtags den 27.ten Martÿ A° 1711 ist in præsentia hievorn hoch und wohledel auch ehrenerwehnter Herrn und Frawen volgendes verhandelt
(42) Ist wegen der behaußung in der Schloßer gaß, so dem Herrn Sohn erster Ehe als Mütterlich Guth gehörig verglichen, weilen derselbe den Stall in dem hauß selbsten gebawen, daß ane statt der in dem Inventario fol : 468.a demselben wegen erwehnter behaußung und der Mühl d. angewandt. baw Costen halb. deßelb. Wÿdembs Ergäntzung abgezogen 714 lb, in deme fr der Mühl halben, alß welche d. Erben ins gesambt gehörig, nichts a parte sich abziehen Zulaß. der Mütterlich behaußung halben allein abgezog. werd. solle 175 lb
(43) wegen des dorffs Plobsheim ward angebracht, daß mann ane seithen der herrn Sohns erster Ehe das dubium gehabt, daß wegen des §° 4.ti der Eheberedung mit der Fr. Stättmeisterin getroffen, da wegen der Donationum welch auf ein oder anderer seith bescheh., die reservation gethan word., daß einem jeden der beeden Ehegemächs solche Donationes gleich anderem herren in die Ehe gebrachtem und wehrender Ehe ererbtem auch Legats: und in ander der gleichen weiße überkommenden Nahrung ein ohnverändert und vorbehalten Guth sein auch was davon wehrend. Ehe verändert werden wird widerumb gebührend ergäntzet und ersetzet werd. soll, daß dahero weilen das dorff Plobßheim ein Königlichen Geschenck und dem herrn Syndico seel. geschehen seÿe, dießes dorff Zu des Herrn Syndici seel. helfft, als ein Ihme oder deßen Erben vor ohnverändert gehöriges guth, gleich der vor Frawen Anna Krautin gebohrner Glißmännin, weÿl. herrn Balthasar Krauten geweßenen XXI.ers des beständig. geheimen Regiments allhier seel. hinderbliebener Fraw wittib in Anno 1682. Crafft ebenmäßig erhaltener Königlicher Donation erbeten Nahrung, darüber durch weÿlandt herrn Christoph Schüblern Notarium und E. E. großen Raths Assessorem seeligen den 13. und 14. Novembris dicti Anni 1682. ein formblich Inventarium auffgerichtet word. Zuhalten seÿe, deßhalben auch derselbe mit eingangs hochedel erwehntem herrn von Rohtberg und dießer mit seines herrn Schwagern, Herrn Johann Christian Güntzers herrn Assistenten, selbige aber samtlch mit anfangs hochdedel berümhten Herrn Referendario Ösingern conferirt, und weilen dann darauffhin Zwischen allenseiths hochansehnlichen herrn und Frawen Interessenten reifflichen überleget und in consideration gezogen worden daß 1. es nicht von des herrn Syndico seel. seithen und Linien hero, wie die wort der Eheberedung lauten, eine Schanckung sondern vielmehr 2. ein remuneration der Ihro Königl. Maÿ. von hochedelgedachtem herrn Syndici seel. geleisteter trewer dienste seÿe und dann 3. weilen der damahligen Fraw wittib und Jetzmahlig Frawn Stättmeisterin gleichfalls die jenige Schanckung, so in wehrend. ehe von verschiedenen großen herren
Marguerite Wencker fait donation de ses biens à ses trois enfants, Salomé Güntzer épouse de Léopold Melchior de Rothberg, maréchal au service du margrave de Bade Durlach, Jean de Güntzer, conseiller intime du margrave de Bade Durlach et bailli de la préfecture de Hochberg, et Jacques Régnard Wormser de Vendenheim (établi à Schweighouse en Haute-Alsace en 1744)
1732 (31.7.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 39) n° 366
Abtheil: Außweiß und Vergleichung Frauen Stättmeisterin Margarethæ Wormbßerin gebohrner Wenckerin, Ihren beeden herren Söhnen und Frauen tochter freÿwillig übergebene Nahrung, Vom 31. Julÿ et seqq: 1732.
Zuwißen seÿe Hiermit, wie daß auff hernachgemeldtes datum die hochwohlgeborne Frau Frau Margaretha Wormbßerin von Vendenheim gebohrne Wenckerin, weÿl. des hochwohlgebornen herrn herrn Johann Jacob Wormßers von Vendenheim, allhießiger Verordneten Stättmeister und des Geheimen beständigen Regiments derer herren Fünffzehen höchstansehnlichen Beÿsitzers, auch höchst meritirten Cancellarÿ beÿ allhießiges löbl. Universitæt nunmehr seeligen hinderbliebene Frau Wittib, mich unterschriebenen geschwornen Notarium Zu sich in dero Wohn behaußung ane dem Staden ohnfern dem Gouuernement gelegen beruffen und kommen laßen, woselbsten dieselbe freÿ offentlich angezeigt und bekand, was maßen Sie das Jenige Testamentum solenne in scriptis, So dieselbe den 22. Aprilis Anno 1729. Vor damals anweßend gewesenen Herren Gezeugen und mir Notario auffgerichtet, Zusambt der am 12. Julÿ 1727 unter dero eigenhändigen unterschrifft und beÿgestellten gewohnlichem Pittschafft verrichteten Nach Disposition, dero beeden herren Söhnen und Frauen tochter, benantlicher der hochwohlgebornen Frauen Frauen Salome Von Rothberg, gebohrner Von Güntzer, des hochwohl gebornen herrn, herrn Leopold Melchior Von Rothberg, hoch Fürstl. Marggräfflich Baden Durlachischen höchstmeritirten Ober Marschallen Frauen Ehegemahlin, Mehr dem hochwohlgebornen, Herrn Herrn Johann Von Güntzer, hochfürstlich Marggräfflich Baden Durlachischem höchst Verordnetem geheimen hoff Rath und Landvogten der Herrschafft Hochberg und dann dem hochwohlgebornen Herrn Herrn Jacob Reinhard Wormbßer von Vendenheim, gestrigen Tages in copÿs Vor und anlesen laßen
Nomination à la fonction de syndic – Attribution de revenus – Don du village de Plobsheim
1681, AMS, série VI 489 (Syndic)
Le Roi nomme le 9 octobre 1681 Christophe Güntzer syndic de la Ville et directeur de la Chancellerie en le confirmant dans ses anciens emplois. Il aura pour mission de veiller à ce que la Ville ne prenne pas de décision contraire au service du Roi.
Aujourd’huy IX° du Mois d’Octobre 1681. Le Roy estant à Bayon desirant traitter favorablement le Sieur Guntzer Conseiller de la ville de Strasbourg, en consideration de ce qu’il a porté la parolle de la part du Magistrat de ladite ville, lorsqu’elle s’est soubmise en l’obeissance de sa Majesté et de l’affection qu’il a fait paroistre en cette occasion pour son service et le bien general de ladite ville. Sa Majesté la retenu, ordonné et étably en la charge de Syndic et Directeur de la Chancellerie de ladite ville de Strasbourg, pour en cette qualité assister à toutes les assemblées que fera le Magistrat de ladite ville, tenir la main à ce qu’il ne se passe rien qui puisse estre contraire en service de Sa Majesté, et au bien general de ladite ville, proposer et regler avec ledit Magistrat la suppression des offices et charges de ladite ville selon le besoin qu’Elle en pourra auoir pour en augmenter les revenus, jouïr de tous des droicts de ladite chancellerie, et des honneurs, auctorités, prerogatives, gages et emoluments, dont ont jouy ceux qui en ont esté ci deuant pourveus. Veult aussy Sa Majesté que ledit Sieur Guntzer soit aussi continué dans les mesmes employs qu’il a eu jusques à present dans ledit Magistrat, lesquels Sa Majesté luy a confirmés ; et qu’il reçoive à cause desdits emplois les appointemens, que ledit Magistrat a accostumé de luy faire payer, sans qu’il y puisse este apporté aucune diminution ny difficulté, le tout sans tirer a conséquence. Mandant Sa Majesté au Sieur Marquis de Chamilly Gouuerneur de ladite ville de Strasbourg et au Sieur de la Grange Intendant en Alsace, de receuoir le serment du dit sieur Guntzer, à cause de ladite Chancellerie, de le mettre et instituer, ou faire mettre et instituer en possession d’icelle, et de tout le contenu au présent brevet, lequel Sa Majesté pour temoignage de sa volonté a signé de sa main et fait contresigner par moy son Conseiller, Secretaire d’Estat et de ses Commandemens et Finances. (signé) Louis, Tellier
U.C.G. Corp. E. Lad. 9. fasc. 8.a N° 1
1682, Protocole des Treize (3 R 39)
Après la mort d’Anne Gliessmann (veuve octogénaire d’un officier, remariée avec le maître de poste Balthasar Krauth) qui n’a laissé aucun héritier connu, la Ville a fait mettre sous scellés puis inventorier la succession vacante. Selon la tradition, ses biens devraient revenir à la fondation Saint-Marc, le syndic Christophe Güntzer propose cependant que le Trésor de la Ville en bénéficie et en attribue une partie à la nouvelle aumône, à la maison de force et au paiement des arriérés dus au docteur Bebel, le reliquat étant attribué à la fondation Saint-Marc. L’ammestre Stædel propose d’ajouter la fondation Saint-Guillaume en faveur des étudiants. Le conseil adopte la proposition du syndic.
Deux jours plus tard, le beau-fils de la défunte revendique la succession en arguant des nombreuses dépenses occasionnées par la défunte. L’ammestre donne lecture de l’inventaire qui se monte à plus de 3 600 livres. On renvoie l’affaire à la commission compétente qui propose une répartition de la fortune en remettant la décision finale au moment où le syndic sera de retour. Moins de deux semaines plus tard, le 2 décembre, le syndic Güntzer présente un brevet par lequel le Roi lui fait don de la succession vacante qui revient en tant que telle au souverain.
Le 7 décembre, Obrecht rapporte que le marquis de Louvois lui a dit qu’en nommant le syndic Güntzer à la Chancellerie, le Roi lui a non seulement attribué les revenus de celle-ci mais aussi ceux de la Chambre des Contrats. Güntzer a bien proposé de passer un accord avec le Magistrat mais celui-ci se montre réticent et préfère s’en remettre aux vœux du Roi. Les Treize décident par conséquent de remettre à Christophe Güntzer d’une part les revenus de la Chambre des Contrats et d’autre part la succession Gliessmann.
(p. 429) Sambstags den 14. Novembris 1682. Fr. Anna Gließmännin Verlaßenschafft betr.
Herr Syndicus Güntzer proponirt ferner, Es seÿe auch am 8. huius Frau Anna gebohrne Gließmännin, weÿ: Herrn XXI. Balthasar Krauthen seel: hinterlaßene Wittib gestorben undt Habe ansehnliche mittel Verlaßen, welche, weilen Sie niemalen offenbaren wollen, wer Ihre Eltern gewesen seÿen, Vermuthlich ja glaublich dieselbe niemalen gekant noch wer Sie gewesen selbsten gewußt hatt, indeme Sie in dem Krieg herumber gefahren, Von einem officier Zum andern gekommen, und sich endlichen an gemelten herrn XXI. Verheürathet, welchem Sie 9000. R. meist baar geld Zugebracht, weilen nun dieselbe ohne testament und Letsten Willens disposition also ohne rechtsmäßigen Erben Verstorben, alß habe E. E. Raht gleich nach dem todfall deroselben nahrung Versecretiren und inventiren laßen, es habe aber des Stifft St. Marx Von langen jahren hero die caduc güther alhier geerbt und prætendire diese Erbschafft auch, stellet derowegen Zu MGhh. ob Sie dieselbe dem Fisco oder gedachtem Stifft adjudiciren wollen, Er an seinem orth halte darfür, man solte die deliberation beschleüningen, damit nicht ein hoherer lust darzu bekäme und selbige MGhh. gar entzogen würde, das Stifft St. Marx habe Zwar keine constitution wegen einziehnung der Caduc Güther, sondern seÿe ein bloße gewohnheit bißhero gewesen, also daß diese Erbschafft dem Fisco gehörig, und von demselben dem Newen Allmusen, dem Arbeithauß, Herrn Dr. Bebeln und anderen, wegen außständigen besoldungen, geholffen werden Könte, Weilen aber auch zu consideriren, daß das Stifft St. Marx mit Armen sehr obruirt, und gemeiner Statt innerhalb Zehen und Zwölff Jahren 32 000. Gulden beÿgetragen, alß hätte mann deßelbe hiervon nicht gäntzlichen außzuschließen, sondern Von dieser Erbschafft dem Arbeithauß Ein tausend thaler Zu einem Capital, dem Newen Allmusen ein gewißes, Herrn Dr Bebeln Ein hundert ducaten Zu andern besoldungen ein gewißes aus das residuum dem Allmusen Zu St. Marx zukommen zu laßen.
Herr Dr. Schrag ist gleicher meinung und sagt es seÿe des (st)iffts Zu St. Marx jura wegen einziehung der caduc Gütter in Actis Sÿmburg Böcklerin acurate deducirt.
H Ar. Städel folgts und stellet Zu MGHh. ob Sie den Alumnis Zu St. Wilhelm auch etwas darvon Zukommen laßen wolten ?
Erk. herrn Sÿndico Güntzern gefolgt.
(p. 431) Montags den 16. Novembris 1682. Herrn XV. Johann Balthasar Kraut wegen der Gließmännischen Verlaßenschafft
Lect. Unterthäniges Memoriale und Bitten herrn XV. Johann Balthasar Krauthen, umb überlaßung eines erglöcklichen Von seiner Stieffmutter Frauen Annæ, geborner Gließmännin seel. Von E. E. Raht versecretirten und inventirten Verlaßenschafft, in ansehung des erlittenen nachtheils ane der errungenschafft in seines Vatters seel. mit Ihro beseßenen Ehe, des großen geld, so Sie Von dem Krauthischen hauß ane Jahrgeld und Wÿdumbs Zinßen empfangen, der Guthathen so Er Ihro innerhalb dreÿzehen jahren erwiesen, der Vielfaltigen Ihme von derselben beschehenen Versprechungen, der Ihrentwegen in seinem hauße erlittenen beschwehrlichkeiten, und der Verferttigung so vieler Leid Kleider für seine starcke haußhaltung, und Ihme deßen warinnen dero humor gefehlet, nicht allzusehr entgelten Zulaßen sintemahlen seine theils keine Kinder, sonderlichen beÿ dem Verlohrenen Post ampt, Zu seiner Zeit, solches wohl vonnöthen haben werden, und die Einziehung dieser Verlaßenschafft dem Gemeinen Weesen doch nicht auß allen nöthen werde helffen können.
Der Regierende Herr Ar. berichtet, daß die inventation am Verwichenen Sambstag bereits Vollendet worden und herr Rathschreiber Ihme einen extractum auß dem Concept des Inventarÿ zugestellet habe, welcher verlesen ward und sich krafft deßelben die gantze nahrung auff 3615. lb 10. ß 8 d belieffen daran aber 12. Posten so an diese Verlaßenschafft prætendirt werden annectirt und von E. E. Raths Deputirten zu MGHh. Verordnung außgesetzt worden seind.
Erk. An die V.O. Herren gewiesen
(p. 442) Donnerstags den 26. Novembris 1682. Herrn XXI. Krautens W. Verlaßenschafft betr.
Die Verordnete Herren ließen durch Herrn Sr Schragen referiren, daß Sie von Herrn XV. Johann Balthasar Krauthen Memorial, wegen der an Annæ Gließmännin seiner Stieffmutter, Verlaßenschafft formirenden prætension geendet und darfür gehalten hätten, daß mann in dem hauptweesen nichts Vornehmen Könte, es wäre dann Herr Syndicus Güntzer Zugegen, woviel aber die repartition anbelangte, könte dieselbe indeßen wohl exequirt werden, und Zwar folgender gestalten, daß dem Arbeits hauß 1000. Rchtr. E. Löbl. Policeÿ Gericht Zu behueff des Newen Allmusens 500. R., Herr Balthasar Beblen SS Theolog: Dri und Professori zu abrichtung der in Vorigen Sommer Ihme Zuerkandten addition 300. R., herrn Dr Ulrich Obrechten, Zu bezahlung seines wegen Fünff jahrlang versehenen professione Eloquentiæ ruckständigen salarÿ 250. R. darvon zugestellt, und das residuum der bißherigen observantz nach, das Allmusen Zu St. Marx immittirt werde, jedoch mit dem beding, daß daßelbe von seinem Früchten Vorrath dem Stifft Zu St. Wilhelm Zu Verpflegung der Alumnorum Fünffzig Fierten früchten halb Waitzen und Korn dargegen Zukommen laße, Von den übrigen prætensionen aber, welche sowohl Herr XV. Krauth seinem Memorial inserirt,alß E. E. Großen Rahts Deputirte dem übergebenen extractu Inventarÿ annectirt, solte in herrn Syndici Güntzers præsentz gehandelt und ein resolution gefaßt werden.
Erk. Bedacht beliebt und soll also exequirt werden.
(p. 470) Montags den 7. Decembris 1682. der verstorbenen fr. XXI.r Krauthen Verlaßenschafft würdt herrn Syndico Güntzern von Ihro Königl. Maÿt. verehrt
Der Regirende Herr Ar. proponirt, Es habe Ihme Herr Syndicus Güntzer ein Königl. brevet in originali cum copia insinuiret, Krafft deßen Ihr Königl. Maÿt. Ihme die jenige Haab und nahrung, sowohl liegende alß Vahrende, welche der ohnlängst alhier Verstorbenen Kräutischen Wittib zugehört, und Ihro Maÿt. durch das Recht ermanglender Erben heimbgefallen, in ansehung seiner gelaisteten diensten Verehrt haben, mit bitt solches E. E. Raht Zu notificiern und dem Protocollo zu inseriren, es seÿe auch bereits alda proponirt und Erkannt worden, daß das Brevet alß ein Königl. befelch Zu respectiren, zu insuiren, zu enregistriren und MGHh. den XIII. alß beÿ denen bereits von dieser Verlaßenschafft ein und anders verhandelt worden, zu communiciren seÿe.
(p. 470) Montags den 7. Decembris 1682. Herrn Syndico Güntzern werden die Contract Stuben gefäll zu seinem salario verlaßen
Herr Dr Obrecht berichtet, daß der Herr Intendant Ihne Zu sich beruffen laßen und Ihme ein schreiben, welches Ihr Excell. der Herr Marquis de Louvois an Ihn abgelaßen vorgelesen, darinnen werde gemeldet, daß Ihr Excell. Ihro Königl. Maÿt. die jenige differentz, so sich zwischen MGHh. und Herrn Syndico Güntzern, der Contract stuben gefälle halben eraignet, Vorgetragen und Ihr Maÿt. dero Erklärung darüber dahien außgestellet habe, daß Sie, Herrn Syndico Güntzern, alß Sie Ihme die Cancelleÿ Verehret, beneben den Cancelleÿ gefällen, auch die Contract Stuben gefäll Zugenießen gegeben habe, mit befelch, daß der herr Intendant die hand darüber halten solle, damit demselben also nachgelebet würde. Es habe der Herr Syndicus Ihme gestern beditten, daß Er sich mit MGHh. deßwegen Zuvergleichen und den jenigen, welche auß der Contract Stuben salarirt würden, solche Ihre salaria von selbigen gefällen zukommen zulaßen, gesinnet gewesen, weilen Er aber Vernommen, daß MGHh. keinen lust darzu gehabt hätten, und lieber Ihro Königl. Maÿt. decisum zuvertretten sich resolviret, alß hielte Er sich an den erhaltenen Königl. bescheid, und wäre nicht gesinnet im geringsten darvon abzuweichen, noch das wenigste darvon nachzulaßen. Er habe denselben gefragt, wie es mit dem jenigen so bereits von der Krauthischen Verlaßenschafft dem arbeit hauß, dem Newen Allmusen, und den 200. lb. welche Herrn Dr Bebeln und Ihme würcklichen gelüffert worden, zuhalten sein werde ? Er habe geantworttet, es müßte das jenige so von besagter Erbschafft hinweg gethan werden, wider in natura darzu gelüffert werden, außgenommen, die 200. lb welche MGhh. weilen Sie die verfallene salaria doch Zubezahen schuldig seÿen, Ihme vom Pfenningthurn refundiren müßten. Gab darauff MGHh. zuerkennen, daß Sie sich, wann Sie in dieser sachen etwas vorzunehmen gedächten, wohl vorsehen solten, sintemalen der Herr Intendant Ihme Zuverstehen gegeben hätte, daß es am Königl. Hoff über alle maßen übel auffgenommen, für einen eingriff in die souverainität gehalten, und die jenige, so darzu gerathen, mit der Zeit einen bösen lohn darfür bekommen dörfften, und bate es nicht übel Zu deüten, wann Er und seine Herren Collegæ mit rahten oder feder ansetzen in dergleichen sachen etwas an sich hielten, in betrachtung, weilen lieb und lebens straff darauß stünde, und mann also balden criminaliter tractiret auch entweder gar nicht oder doch gar späth und nach empfangenem schimpff Zu seiner Verantworttung admittirt würde.
Erk. Soll sowohl dem Königl. brevet wegen der Krauthischen Verlaßenschafft, alß dero wegen der Contract Stuben gefäll ertheilten Erklärung in aller underthänigkeit nachgelobet, das von der Krauthischen Verlaßenschafft hinweg gethane in natura restituirt und die 200. lb von Pfenningthurn herrn Syndico Güntzern refundirt werden.
1684, Bibliothèque nationale de France, F-21219 (58)
Louis XIV fait don du village de Plobsheim à Christophe Güntzer, syndic royal de Strasbourg, et à son beau frère Jean Nicolas Kempffer, syndic de la Noblesse de Basse-Alsace en récompense de leurs services. Le village relève de la souveraineté du Roi qui peut en disposer puisqu’il n’a fait l’objet d’aucune déclaration par un ayant-droit.
Louis par la grace de Dieu Roy de France et de Navarre a tous presens et avenir Salut.
Desirans temoigner a nos chers et bien amés Les sieurs Christophe Guntzer sindic en nôtre ville de Strasbourg et Jean Nicolas Kempffer son beau frère sindic de la Noblesse de la basse alsace la satisfaction que nous avons des services qu’ils nous ont rendus avec beaucoup d’assiduité et d’affection dans touttes les occasions qui s’en sont offertes et les convier de nous les continuer et voulans pour ces considerations les gratiffier et traitter favorablement, scavoir faisons que pour ces causes et autres a ce nous mouvans et de nôtre grace specialle, pleine jouissance et autorité Royalle nous [avons] ausdits Sieurs Güntzer et Kempfer donné et octroyé donnons et octroyons par ces presentes signées de nôtre main La terre et village de Plobsheim scituée en nôtre pays d’alsace prez de nôtre ville de Strasbourg, a nous Echus et acquis en conséquence du Traité de Münster confirmé par celui de Nimegue, lequel village est de nôtre Domaine et souveraineté et dont l’entiere disposition nous appartient acause que jusqu’à present, Nous n’en navons fait aucune Reunion expresse au Domaine de nôtre Couronne et que nos Receveurs et comptables, n’ont rendus aucun compte a nos Chambres des Comptes des fruits ny du fond suivant nos ordonnances et selon aussy que lad. terre se consiste de touttes parts, et tout ainsy qu’en ont jouy cy devant ou pu Jouir les possesseurs d’jcelle sans aucune chose en reserver ny Retenir, ensemble ce qui en pourroit avoir été demembré ou alliené par Vente ou autrement en telle sorte et manière que ce puisse être, sans en avoir eû la permission en bonne forme des seigneurs souverains et directs, et au préjudice des loix, usages et coutumes du Royaume et qui sont observées dans le pays dalsace, mettans et Subrogeant pour cet effet lesdits Sr Güntzer et Kempffer dans nos droits, Raisons et actions pour du tout en jouir par Eux et leurs Hoirs à toujours et en disposer par Vente ou autrement comme de chose a eux appartenant égallement en propre, pleinement, paisiblement et perpetuellement, à la charge toutefois de rembourser seulemt. le prix de l’engagement dudt. village de Plobsheim a ceux a qui il appartiendra, si donnons en mandement a nous amez et feaux les gens tenans nôtre Conseil supérieur d’alsace seant a Brisack, que ces presentes ils ayent a faire enregistrer et du contenu d’jcelles jouir et user lesdits sieurs Güntzer et Kempffer leurs hoirs successeurs et ayans cause, pleinement, paisiblement et perpetuellement Cessant et faisant Cesser tous troubles et empechemens au contraire, Car tel est nôtre plaisir et affin que ce soit chose ferme et stable à toujours, Nous avons fait mettre notre Scel a cesd. presentes sauf en autre chose nôtre droit et l’autruy en touttes. Donné a Versailles au mois d’avril lan de grace mil six cents quatre vingt quatre et de nôtre regne le quarantième
signé Louis
et sur le replis Par le Roy le Tellier, et a côté Visa le Tellier pour Don et, signé Le Tellier et scellé du grand Sceau de Cire verte en lac de soy rouge et verte
Enregistré suivant l’arrêt du Conseil du dix huitieme May 1684.
Relevés de baptêmes, mariages et sépultures
Baptême, cathédrale (luth. p. 60-v)
1636. Donnerstag 1. 10.bris. Parens, H Thieboldt güntzer der handelsmann v. margreth
Infans, Christoph
Comp. Philipp Jacob Kniebs H Ambrosius Knibs s.
und J Martha, H. Hans güntzler e. tochter (i 65)
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 458, n° 707)
1676. Eodem [Donnerstag den 14. sept.]
Inf. Margaretha Ursula
par. H. Christoph Güntzer, Secretarius
fr. Margaretha Ursula Saladinin
patr. H Johann Jacob Frid, Reipubl. Syndicus
Fr. Anna Eleonora Bernholdin gebohrne Zornin, Stättmeisterin
Fr. Margaretha, weÿ: H D. Marx Otto Advocati hfr
gebohr. den 9 Sept. u. also bald genothtaufft p.pastorem (i 176)
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 494, n° 842)
1677. Montag den 29. Octobr.
Inf. Christoph
par. H. Christoph Güntzer, XIII Secretarius undt J. U. Ddus
fr. Margaretha Ursula Saladinin
patr. H Franciscus Reisseissen, Regirender Ammeister v. XIIIner
H. Johann Ulrich Frid, Reipubl. Syndicus
Fr. Catharina H Joh: Leonhard Fröreissen XIII .ner hfr.
gebohren Freÿtag den 26 octobr. (i 194)
Sépulture, Saint-Thomas (luth. p. 761)
1678. Margaretha Ursula, H. Christoph Güntzers XIII Secretarÿ töchterl. von 2 Jahr, starb d. II. Xbr horâ 3. pomerid. v. wardt begraben d. 14. Zu St. Gall. ( i330)
Baptême, Saint-Thomas (luth. p. 627, n° 1404)
1682. Sambstags den 19. Sept.
Inf. Margretha
par. H. Christoph Güntzer, Syndicus Regius
fr. Margaretha Wenckerin
patr. H Johann Niclaus Kämpffer syndicus deß Ritterstands
Fr. Eleonora Zornin, weÿl. H von Bernhold gewesenen Stättmeister allhie hind.lassene Wittib
Fr. Margaretha Küglerin H Dominici Dietrich, Ammeisters allhie, XIII.ners v. Scholarchæ Eheliebste
gebohren mittwoch den 16. sept.. (i 261)
Baptême, Saint-Nicolas (luth. p. 127-v, n° 62)
1685. Domin. XI. Trinitat. 23. Augusti / 2. Septembr.
V. Herr Christophorus Güntzer, beÿ dieser Stat wohlverordneter Königlicher Syndicus
M. fr. Margaretha gebohrne Wenckerin
K. Salome
Pf. Hr. Johannes Dietrich
Göt. Fr. Rahel, Hn Joh: Georgÿ Graden, J V Doctor und Wohlmeritirten Advocati v Raths alhie eheliche Haußfraw
Fr. Agnes Hr Johann Nicolai Kempffer der Ritterschafft in dem vndern Elsaß wohlmeritirten Syndici und Raths eheliche Haußfraw.
Dießes Kindlein ist Zu hauß von der Hebamm nothgetaufft worden (i 137)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 167)
1686. Die 13. febr. Ss. vnctiones suppletæ sunt Infanti quâ in necessitate ab obstretrice Anna Ursula Rosin baptizata et nominata fuit Maria Salome mense (-) die (-) baptizata fuit. Parentes Prænob. D. Gintzer Syndicus Regius Civitatis Argent. (signé) Jacques Tarade, chatarina barbara de Maka geborne von Ichtersheim
Baptême, Saint-Etienne (cath. p. 31, n° 259)
Die 18 julii Anni 1690 (…) baptizatus est joannes filius legitimus illustris ac prænobilis Dominæ Margarithä Wenckerin, patrinus fuit serenissimus Dominus christianus principis palatinæ de (-)nheld locum tenens ipsius fuit prænobilis Baro Hermanus Zacharias de Wangen, item patrinus fuits Dominus jacobus de la grange intendens totius Alsatiæ brisgoiæ et sontgoiæ, matrina fuit prænobilis Domina Anna Catharina de Josten uxor illustris ac prænobilis Domin. cancellarii eposcopatus argentinensis (signé) Anna Catharina von Joosten gebohrne von Hunthum, Hermannus Zacharias B de Wangen
(Eheberedung) zwischen weÿland des wohlgebohrnen Herrn Herrn Arnolds von Rotberg & undt der Wohlgebohrnen Frawen, Frawen Julianæ Sophiæ gebohrner von Noetleben zu Buchstatt, hinderlaßenen Ehelichen Sohn Herrn Leopold Melchior von Rotberg, & Herrn zu Bammlach und Rheinweÿler, & an Einem, So dann zwischen weÿland des Hochwohlgebornen Herrn, Herrn Christoph Güntzer mit der Hoch Edelgebohrnen Frawen Frawen Margarethæ gebohrner Wencker ehelich erzeugter Tochter Fräwlin Salome Güntzer am Andern Theil – Baßel dem 15. Herbstmonath Im Jahr 1705
Joint à la donation de Marguerite Wencker, Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 39), n° 366 du 31 juillet 1732
Membre de l’Ordre badois de la Fidélité, numéro de matricule 2, ensuite (1722) au service de la cour de Hesse-Kassel (d’après Lars Adler, Die Ritter des markgräflich badischen Fidelitasordens oder Hausordens der Treue, 1715–1802)
Copia Heuraths Verschreibung – zwischen dem Wohlgebohrnen Herrn Herrn Johann Jacob Wormbßer Von Vendenheim, allhießiger Löbl. Statt Straßburg höchstmeritirten Stättmeistern undt jetzmahligem höchstverordnetem Cancellario beÿ der Universität daselbsten, an einem, So dann der hoch Edelgebohrnen frauen frawen Margarethæ gebohrner Wenckerin, Weÿland des hoch Edelgeborhnen Herrn Herrn Christoph Günthers, Ihro Königlichen Maÿestäth in Franckreich, auch wohlverordneter Statt Straßburg geweßenen hochverdienten Raths undt Syndici, auch Directoris Cancellariæ, nunmehr seeligem hinderbliebener fraw Wittib ane dem anden theil – Und ist dieße Heuraths Abrede ane sich selbsten in allhießiger Löblichen Statt Straßburg de, 2. Monaths Tag Decembris im Jahr deß Herrn alß man Zahlte 1706
Copie dans l’inventaire après décès de Jean Jacques Wormbser de Vendenheim, Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 110 et 109) n° 989 du 9 mars 1717.
Le préteur Jean Jacques Wurmser épouse Marguerite, veuve du syndic Jean Güntzer, tous deux de Strasbourg, le 4 janvier 1707 devant le pasteur de Kehl, voir BCGA n° 103)
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 135, n° 79)
Freytags den 16. Sept. 1707 ist von mir Pfarrern zu S. Niclauß in Straßburg dem wohlgebohrnen Herrn H Johann Jacob Wurmssern von Vendenheim, H Stettmeistern und XV. alhier und deßen ehelich Liebsten frawen Margaretha gebohrner Wenckerin, ein junger Sohn mit Nam Jacob Reinhard getaufft worden, daheim im hausse, an aller Hh Pfettern statt, hat es auß der tauffe geheben der wohlgebohrne Herr Johann Friderich von Dormentz und anstatt aller göttlen die wohlgebohrne fraw Maria Elisabeth von Bering gebohrne Wombserin von Vendenheim Wittib welche aush selbsten unterschrieben Johann Jacob wormbßer von vendenheim alß vatter, Johann Friderich von dorments, Maria Elisabetha von Bering gebohrne Wumbserin von Vendenheim, Leopold Melchior von Rotberg alß Pfetter, (-)ha dorothea Von dedtlingen Geborne Wormserin Als Goettel, Eleonora Elisabetha von Berckheim alls gettel
NB von dieser Tauffe siehe am ende dieses Buchs einen sonderbaren Actum Notarii.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. reg. C, p. 191-v, n° 10)
1735. Freitag d. 18. Mertz starb morgens um 4. uhr die Wohlgebohrne Fraw Fraw Margaretha Wurmserin von Vendenheim gebohrne Wenckerin, u. ist Sonnt. darauf d. 20. Mertz nach mittag um 4 uhr nach gehaltener Leich Sermon Zum J. St. Peter auf dem Gottesacker St. Helenen Zur erd bestattet Word. ihres alters 71. jahr, 4. monat wenig. 4. tage. [unterzeichnet] Johann von Güntzer alß Sohn, Jacob Reinhard Wurmser von Vendenheim alß Sohn (i 196)
Jean de Güntzer (1690-1752), conseiller intime du margrave de Bade Durlach et bailli de la préfecture de Hochberg, et Frédérique Louise de Bobenhaussen
Membre de l’Ordre badois de la Fidélité, numéro de matricule 8, participe à la fondation de la ville de Karlsruhe, nommé grand-bailli (Obervogt) de Karlsruhe (1718) puis bailli (Landvogt) de Hochberg (1724), conseiller intime du margrave (1726), se réfugie à Bâle avec le margrave Charles Guillaume, donne son congé en 1735 (d’après Lars Adler, Die Ritter des markgräflich badischen Fidelitasordens oder Hausordens der Treue, 1715–1802)
Maison en propriété à Strasbourg
1735, au Finckwiller (VIII 203, actuel 9, rue du Bain-Finkwiller)
Signature au bas de l’acte de 1715
(Jean Régnard Lang, 29 Not 93, 845)
Jean de Güntzer meurt dans la paroisse Saint-Louis de Strasbourg, son corps est inhumé dans la nef de l’église de Plobsheim dont il est co-seigneur
Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 247)
Anno 1752 die 17 mensis aprilis mortuus est prænobilis Dominus liber baro Joannes de guintzert minister regius, consiliarius principis margravii de Baden Dourlac, Eques ordinis fideliatis sacramentis pœnitentiæ eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus, cujus corpus die 19 ejusdem mensis et anni solito Exequiarum ritu ad ecclesiam parochialem delatum persolutis ibi precibus et suffragiis consuetis, a me infra scripto parocho funus deducente ulterius delatum fuit nempe ad ecclesiam loci dicti Blobsheim, in qua a R. D. parocho dictæ ecclesiæ sepultum fuit, præsentibus testibus domino maximiliano de guintzert centurione in Legione dicta Royal allemand, defuncti filio et D. Josephi henrico de la haye canonico regulari presbitero (signé) maximillien De Güntzer, Capitaine de Cavallerie au Regt. Royal allemand (i 133)
Sépulture, Plobsheim (cath.)
Anno 1752 die 19 Aprilis corpus Prænobilis Domini Joannis de Güntzer condomini terræ hujus pagi nec non Regis gallicæ in comitii administratoris ac quondam præfati supremi præfecturæ hogenburgensis Marchionatûs Durlacensis defuncti die 17 Ejudsem Mensis et anni, a Parochia ad Sanctum Ludovicum intra Argentinam huc delatum et à R. D. Parocho Ejusdem Parochiæ præsentatum, a me infra scripro Parocho in Plobsheim sepultum fuit in navi hujus Ecclesiæ (i 40)
Son fils Charles Guillaume Maximilien de Güntzer, capitaine de cavalerie, épouse en 1753 Françoise Sophie Joham de Mundolsheim, fille de stettmestre, et s’établit à Strasbourg