Police du Bâtiment (10, rue des Veaux)


Dossier de la Police du Bâtiment (cote 709 W 55)

On trouvera ci-dessous une transcription du dossier. Seules ont été écartées les quittances.

Veaux 10 schéma 1957
Schéma qui illustre le rapport de 1957 après qu’un pan de mur s’est écroulé

Sommaire
  • (I) 1877 – L’entreprise Weyer demande au nom de G. Hepp, propriétaire, l’autorisation de repeindre les façades
  • (II) 1883 – La même demande l’autorisation de réparer la façade sur la ruelle de l’Abreuvoir et de poser des écarteurs pour éviter que les roues des charrettes n’abîment le mur – Autorisation sous condition
  • (III) 1885 – L’entreprise de construction Adolphe Weyer demande au nom du propriétaire Gustave Hepp à remplacer les mansardes par un étage. La Police du Bâtiment fait remarquer que le long de la ruelle de l’Abreuvoir le bâtiment empiète de 3 mètres sur l’alignement légal proposé en 1854. Le propriétaire pourra construire en s’engageant à renoncer à un éventuel dédommagement si la ville voulait acquérir l’immeuble en partie ou en totalité. Permis de construire
    Suivi des travaux :
    avril 1885 : rehaussement sur la façade vers l’Ill
    mai 1885 : le mur extérieur vers l’Ill est terminé, celui vers la cour est en construction – le gros œuvre est terminé
    juin 1885 : travaux de plâtrerie (murs et plafonds)
    juillet 1885 : aménagement intérieur presque terminé
    août 1885 : aménagement intérieur terminé. Aucune objection
  • (IV) 1886 – Marie Wolff demande à déplacer son enseigne du 9, rue des Charpentiers au 10, rue des Veaux – Autorisation – La hauteur minimale n’est pas respectée, la Police du Bâtiment demande qu’on change sa position – L’enseigne est rehaussée
  • (V) 1891-1895 – Mai 1891 : la Police du Bâtiment demande au propriétaire de ravaler la façade. Il demande un délai pour pouvoir repeindre en même temps la façade arrière.
    Avril 1892 : nouvelle demande de délai pour ne repeindre qu’après que la Ville aura terminé de construire la passerelle
    Juillet 1893 : le rez de chaussée a été ravalé mais pas les étages. Nouvelle demande de délai, après que la Ville aura terminé les travaux – Octobre : le pont est terminé mais les façades ne sont pas repeintes – Le propriétaire obtient de l’inspecteur Ott un délai jusqu’en juin 1894
    1894 : juin, pas de travaux – août : la façade rue des Veaux est repeinte, celle ruelle de l’Abreuvoir reçoit un nouveau crépi – Septembre : les façades sont repeintes à l’huile mais pas la façade sur l’Ill.
    1895 : avril, pas de travaux – Mai, la façade sur l’Ill est repeinte
  • (VI) 1894 – Transformations : le propriétaire Hepp demande à pouvoir transformer un magasin en appartement dans la ruelle de l’Abreuvoir, il s’agit de fermer deux fenêtres cintrées et de les remplacer par une fenêtre à croisées, de rehausser la porte et de poser des volets – Permis de construire
  • (VII) 1894 – Autorisation, accordée après que les travaux ont été exécutés, de recrépir et de repeindre les façades et d’entretenir le soubassement vers la ruelle de l’Abreuvoir
  • (VIII) 1896 – L’agent immobilier Neubert demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – Le bénéficiaire tarde à verser les droits – 1897, Neubert retire l’enseigne
  • (IX) 1900 – Le propriétaire demande l’autorisation de transformer les ouvertures du rez de chaussée pour y faire deux vitrines – Les piliers au coin de la maison dépassent de l’alignement – Plans et autorisation le 12 juillet 1900
    Suivi des travaux – Août : la façade a de nouvelles ouvertures, elle a été étayée
    Septembre, les vitrines ont été posées, il reste à peindre
    Novembre, les transformations sont achevées
  • (X) 1900 – Charles Ludringer demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons. Une expertise montre que le local ne correspond pas aux prescriptions
  • (XI) 1901 – Le même demande le droit d’apposer une enseigne plate (aucune autorisation n’est nécessaire) et une enseigne perpendiculaire pour laquelle la Police du Bâtiment délivre une autorisation
  • (XII) 1901 – La Police du Bâtiment enjoint la propriétaire de ravaler les façades. Le propriétaire répond que les travaux ont déjà été faits. La Police du Bâtiment observe que la façade sur la ruelle de l’Abreuvoir reste à rénover. Délais supplémentaires, travaux faits en juillet 1902
  • (XIII) 1905 – Charles Ludringer demande l’autorisation de débiter de la bière en bouteilles. La Police du Bâtiment répond par une liste des aménagements nécessaires
  • (XIV) 1905 – Un locataire se plaint de la mauvaise odeur que dégagent les latrines. Une visite des lieux montre qu’il n’y a pas de chasse d’eau ni d’aération : il faudra raccorder les latrines aux canalisations et prévoir une aération. – La commission des logements demande le raccord aux canalisations et la suppression d’une porte en bois qui donne sur une cheminée. La porte en bois est remplacée par une porte en fer (février 1906) après mise en demeure au propriétaire.
  • (XV) Dossiers de la Commission du logement
    1905 – Sur le raccord des latrines aux canalisations
    1907 – Rapport sur l’humidité de l’appartement Glatzle au rez de chaussée
    1909 – Les locataires de la maison arrière se plaignent que la chasse d’eau des latrines ne fonctionne pas et qu’ils doivent apporter l’eau de la buanderie – Affaire réglée
    1915 – Rapport de la Commission militaire des logements
  • (XVI) 1907 – Le tailleur pour dames Kadlez demande le droit d’apposer une enseigne perpendiculaire. Autorisation le 17 juin 1907. Posée en avril 1908
  • (XVII) 1908 – Notification de ravaler les façades – Le propriétaire Gustave Hepp demande un délai – Le délai est accordé jusqu’en 1909 – Nouvelle demande de délai – Accordé jusqu’en 1910 – Les façades sont ravalées, septembre 1911
  • (XVIII) 1909 – Le professeur de langues Léon Hertenberger a fait apposer une enseigne perpendiculaire, la Police du Bâtiment demande qu’il régularise la situation. Les droits ne sont pas payés. Rappels de la part de la Police du Bâtiment. L’enseigne perpendiculaire a été transformée en enseigne plate qui n’est pas imposable
  • (XIX) 1910 – Le propriétaire demande l’autorisation de rénover le crépi. Autorisation – L’entrepreneur demande l’autorisation de poser un échafaudage pour pouvoir recrépir les façades. Litige sur les droits à verser
  • (XX) 1910 – L’entrepreneur Arnheiter repeint des façades sans autorisation – Demande et autorisation. La Police du Bâtiment relève qu’il faudra déplacer l’échafaudage qui n’est pas assez long pour qu’il soit possible de repeindre toute la façace. L’entrepreneur demande plusieurs autorisations successives pour des échafaudages de différentes longueur
  • (XXI) 1911 – Le propriétaire du n° 12, Charles Maurer, se plaint que des fragments du mur de son voisin tombent dans sa propriété – La Police du Bâtiment notifie de propriétaire de remettre le mur en état – Gustave Hepp demande un délai – Le crépi a été remis en état, septembre 1912
  • (XXII) 1913 – Charles Philipp, magnétiseur, demande le droit d’apposer une enseigne perpendiculaire – Autorisation – Le délai de validité est dépassé
  • (XXIII) 1915 – Recherche du maître couvreur Eugène Strub qui habite désormais dans le ressort de Wissembourg (Cléebourg) : il doit à la ville de Strasbourg deux années de droit d’enseigne perpendiculaire – 1916, la Police du Bâtiment demande à G. Hepp, le propriétaire, de faire retirer l’enseigne
  • (XXIV) 1925 – Joseph Florence demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons – Accord
  • (XXVI) 1935 – On a signalé à la Police du Bâtiment qu’un garage a été installé sans autorisation dans la cour de l’immeuble – Janvier 1936, les travaux vont commencer, affaire classée
  • (XXVII) 1936-1937 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de ravaler la façade – Les héritiers allèguent un manque de fonds – La Police du Bâtiment accorde un délai d’un an – 1937, L’entrepreneur Guckert demande l’autorisation de dresser un échafaudage pour repeindre la façade de la maison – Autorisation
  • (XXVIII) 1941 – L’entrepreneur Olland demande à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer le toit
  • (XXIX) 1944-1946 – L’immeuble a été partiellement ou fortement endommagé lors des bombardements aériens des 11 août et 25 septembre 1944. Demandes de certificat de sinistré : Mme Vve Kibort copropriétaire, Mme Cécile Graffstein, M. Hermann Fingerhut, Mme Marguerite Rosenberger, M. Alfred Schwab, M. Albert Aeschelmann
  • (XXX) 1946 – Les locataires se plaignent que des caves sont inondées depuis deux années sans que la propriétaire, Mme Kibord, intervienne – Rapport de la Police du Bâtiment – Une autre locataire se plaint que son logement est humide à cause d’une gouttière – La Police du Bâtiment demande au gérant de l’immeuble de faire faire les réparations urgentes – La toiture est réparée
  • (XXXI) 1948 – Nouvelles plaintes concernant l’humidité des appartements – La Police du Bâtiment constate que l’architecte Wolff a déposé un dossier au M. R. U.
  • (XXXII) 1951 – Une locataire se plaint de l’humidité due à une gouttière en mauvais état – La Police du Bâtiment constate que les faits allégués sont vrais et demande au propriétaire de procéder aux réparations. – La co-propriétaire, Mme Loeb, répond qu’on lui a dit que les travaux étaient pris en charge par le Syndicat de Reconstruction – Echange de courriers avec le M.R.U. qui a remis l’affaire aux soins de l’Association Syndicale de Reconstruction – L’Association Syndicale de Reconstruction ne procède pas aux travaux : le gérant allègue que la Ville avait décidé que l’immeuble serait démoli. Octobre 1952 : aucun arrêté municipal n’a statué sur la démolition, le document allégué est un arrêté interministériel qui définit un périmètre de reconstruction. Le propriétaire envisage d’affecter les indemnités à la construction d’une maison d’habitation à un autre endroit de la ville avec l’accord des services municipaux
  • (XXXIII) 1947-1955 – La Police du Bâtiment constate qu’une enseigne est posée sans autorisation – Lucien Cunigel, ferblantier, demande à poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est retirée en 1955
  • (XXXIV) 1954-1955 – La Police du Bâtiment constate qu’on a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Le teinturier Klotz demande le droit d’apposer une enseigne perpendiculaire – Autorisation – 1955, les enseignes sont démontées
  • (XXXV) 1955 – Feu de cheminée : rapport des pompiers
  • (XXXVI) 1954 – Rapport des architectes Mewes et Koenig concernant l’« Ilot rue des Veaux » : immeubles Burghard (16 rue des Veaux), Loeb-Hepp (10 rue des Veaux) et Schmolka (rue de la Croix). Les avant-projets ont été revus parce que les propriétaires ne souhaitent pas compléter la somme versée au titre de dommages de guerres par des fonds propres : on prévoit un étage de moins – Plans transmis à la Police du Bâtiment – Observations – Plans de situation – Dossier resté en suspens, 1956
  • (XXXVII) 1955 – Nouvelle plainte : fuite de la gouttière dans le bâtiment qui longe la ruelle de l’Abreuvoir et qui a été épargné par les bombardements – Rapport de la Police du Bâtiment – Lettre à la co-propriétaire et mandataire – On décide lors d’une réunion sur les lieux que les propriétaires prendront en charge une partie des réparations
  • (XXXVIII) 1954-1956 – Les architectes signalent que l’immeuble menace ruine en novembre 1954 – Réunion et un courrier de la délégation régionale du ministère (M.L.R.), 1955 – Les architectes présentent un projet de reconstruction – La co-propriétaire dépose une demande de permis de construire (février 1956), les services municipaux émettent un avis favorable (avril 1956) avant que les architectes ne transmettent le dossier au M.L.R. pour obtenir le financement au titre des dommages de guerre.
  • (XXXIX) 1956 – Lettre des copropriétaires qui déclinent toute responsabilité en cas d’accident. La Ville projette d’acquérir l’immeuble. Rapport : la partie sinistrée par faits de guerre est inhabitée (entrée et arrière gauche), pour le reste, l’état ne justifie pas un arrêté de péril. – Extrait de procès verbal des Commissions : la ville décide d’acheter l’immeuble
  • (XL) 1957 – Février : La Division I envisage de démolir l’immeuble arrière pour mieux pouvoir aménager l’école en construction sur le terrain contigu et propose de prendre un arrêté de péril. Quelques jours après, un mur s’écroule dans l’aile latérale qui est désaffectée mais contient l’escalier donnant accès aux logements de l’immeuble sur l’Ill – Arrêté de péril concernant la partie latérale vers le n° 12 et le corps de bâtiments face à l’Ill – L’entreprise Schoettel est autorisée à aménager un tunnel de protection le long de la ruelle de l’Abreuvoir pendant les travaux de démolition – Août, l’immeuble est démoli et les vestiges ont disparu
  • (XLI) 1958 – La Division I écrit à la Division V : le pignon de l’immeuble municipal présenterait un danger pour les enfants de l’école voisine – Une visite des lieux par la Police du Bâtiment établit que l’immeuble ne met en danger ni les passants ni les habitants

Transcriptions

(I)

Unterzeichnete Wittwe Adolphe Weyer Bauunternehmerin zu Strasburg in der Nußbaumgasse N° 1 ist von Herrn Hepp Eigenthümer des Hauses N° 10 in der Kalbsgasse und Tränckgäßchen N° 1 beauftragt, den Anstrich der Facaden dieses Hauses auszubesern und anzutreichen. Wozu Sie hochachtungsvoll um Erlaubniß bittet
Fr. Wwe A. Weyer
An den Herrn Bürgermeisterei-Verwalter Hochgebohren Hier, Strassburg den 19.ten September 1877
[in margine, Stempel :] Stadt-Bauamt Straßburg, N° 2829, 1877-21.7

Strassenwesen. – Baufluchten.
Bürgermeisterei Strassburg – Bau-Amt – te Canton
Frau Wittwe Weyer für H. Hepp Gesuchsteller. Ermæcht. N° 2703
Bericht des städtischen Wegemeister über das Gesuch vom 19.ten september 1877 wodurch Frau Wittwe Weyer im Nahem des H. Hepp begehrt den Bestrich der Facaden des Hauses Kalbsgasse N° 10 et Nebenfacade gegen dem Tränkgäßchen N° 1 gelegen zu repariren und anzustreichen.
Diese zwei Facaden stehen im Alignement und haben keinen Ueberhang.
Straßburg den 21.ten September 1877
der städtische Wegemeister J. A. Birckicht
In Erwägung daß die zwei Facaden dieses Eigenthums im Alignement stehen, und keinen Ueberhang haben, so ist der Beschluß N° 1659 in Anwendung zu bringen. Der Stadtarchitect
Genehmigt. Der Bürgermeisterei-Verwalter – Back

(II)

Unterzeichnete Wittwe Adolphe Weyer Bauunternehmerin zu Strassburg in der Nußbaumgasse N° 1 ist von Herrn Hepp Eigenthümer des Hauses N° 10 in der Kalbsgasse beauftragt den Anstrich von der Facaden in dem Tränckgäßchen zu repariren und anzutreichen. Auch will Herr Hepp an der Façade in dem Tränckgäßchen (weill von den Räder der Karren die Mauer verdorben wird) Eißen anmachen für Radabweißer, ungefähr 0,50 m vom Boden und 0,25 Vorsprung – 4 Stück
Wofür Sie hochachtungsvoll um Erlaubniß bittet. Strassburg den 21. Februar 1883
Fr. Wwe A. Weyer
An den Herrn Bürgermeisterei-Verwalter Hochgebohren Hier
[Schéma]
[in margine, Stempel :] Stadt-Bauamt Straßburg, N° 3701, 3. III. 83
Die Radabweißer müßen auf dem Boden angebracht werden, bitte deshalb das Gesuch umzuändern. Roederer 24. III. 83

(III)

Unterzeichnete Wittwe Adolphe Weyer Bauunternehmerin in der Nussbaumgasse N° 1 ist von Herrn Gustave Hepp, Eigenthümer des Hauses N° 10 in der Kalbsgasse beauftragt auf dem Gebäude im Hof und gegen der Ill gelegen, die Mansarden wegzumachen nach beigelegter Zeichnung, und senkrecht herzustellen, ebenfalls nach genannter Zeichnung. Wofür Sie hochachtungsvoll um Erlaubniß bittet
Strassburg den 23. Februar 1885
Fr. Wwe A. Weyer
An den Herrn Bürgermeisterei-Verwalter Hochgebohren Hier

[in fine :] M. Mayer zur gef. Feststellung, wie weit das betreffende haus von der Ill entfernt ist ? Str. 25/2 85
Gegen die Illfluß steht das Gebäude in der Fluchtlinie dagegen schneidet dieselbe im Tränkgäßchen an 3,00 mtr in das Grundstück ein. Str. 25/2 85 Meyer

ad III-b 6659
Verf.
A) An die Bauunternehmerin Frau Wittwe A. Weyer Nussbaumgasse N° 1
Anläßlich Ihres Baugesuches vom 23.ten vorigen Mts, betreffend die Erhöhung des Hinterhauses auf dem Grundstück des herrn G. Hepp an der Kalbsgasse N° 10 um ein drittes Stockwerk, werden Sie ergebenst benachrichtiget, daß das betreffende Haus um etwa 3,0 Meter die für das Tränkgäßchen gesetzlich festgestellte Fluchtlinie überragt, so daß auf Grund des Artikels 5 des Bürgermeisters-Beschlusses vom 6. Mai 1856 betreffend die städtische Bauordnung, die Ausführung des Projektes, wie hermit geschieht, versagt werden muß.
Hinsichtlich der gesetzlichen Fluchtlinie nehme ich noch Bezug auf den Präfektural-Beschluß vom 11. März 1854, wonach für das Tränkgäßchen eine weitere Fluchtlinie projektirt ist, welche z. B. in das besagte Haus um etwa 5,0 Meter einschneiden würde, die Feststellung dieser Linie ist jedoch nach Maßgabe des letztern Beschlußes los auf Weiteres vorbehalten.
Die eingemesten* Zeichnungen folgen in der Anlage zurück.
+ + +
2) Nach 4 Wochen
Straßb. den 3. März 1885, Der Bürgermeisterei-Verwalter

pr. 27/3 85
N° III-b 6773
Auf mein Baugesuch vom 23. vorigen Monats (im Namen von Frau Wittwe Adolphe Weyer) haben Sie mir am 3. März zurück geantwortet und mein Gesuch versagt ; wegen der projectirten Fluchtlinie vom Tränkgäßchen, über welche, das gesagte Gebäude überragt. Ich beehre mich nochmals ergebenst mit demselben Gesuch mich an Sie zu richten, um Ihnen anzuzeigen, daß an dem Giebel der an das Tränkgäßchen gränzt, keine Veränderung vorgenommen und ausgeführt werden soll, (Nach gegebener Ansicht auf die Zeichnung) auch soll alles, die ganze sonstige Arbeit, nur wieder mit demselben alten Holz, von welchem die Mansarden wirklich gebaut sind, wieder hergestellt werden, und nicht in massivem Mauerwerk, diese Veränderung kann dem Gebäude in keinen Fall eine Verstärkerung geben. Sollte die festgesetzte projectirte Fluchtlinie dieses Gäßschens einmal in Auführung gelangen, so wird von der Mehrwerthung dieses dritten Stockwerkes Von Seite des Eigenthümers kein Schadenersatz verlangt werden können.
Um Genehmigung meines hier aufgeführten Antrags bittet ergebenst, Straßburg den 10. März 1885, Gustave Hepp
An den Herrn Bürgermeisterei-Verwalter Hochgebohren Hier

pro art : da nach vorstehendem Schreiben der Eigenthümer H. Gustav Hepp bei etwa eintretender Expropriation eines Theils seines Grundstückes zwecks Durchführung des für das Tränckgäßchen feststgesetzten Fluchtlinie keinen Schadenersatz für das aufzusetzende dritte Stockwerk beanspruchen will, so soll nach Rücksprache mit dem herrn Bürgermeisterei-Verwalter Stempel die Genehmigung zur Ausführung des Projektes ertheilt werden, zumal die beabsichtigte Erhöhung, somit sie die Giebelwand am Tränckgäßchen betrifft, eine geringfügige ist.
Strassb. den 24. März 1885, der Bauinspektor, Nebelung
Gesehen, der Bürgermeister-Verwalter

Bauschein, N° III-b 6773
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Herr Gustav Hepp, Kalbsgasse N° 10
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Tränkgäßchen N° 3
Baugebühren im Betrage von 24 M. 16 bezahlt am, 30/3 85
Herrn Mayer zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen. 30/3 85
[in margine :] Kenntniß genommen, Str. 30/3 85
[in margine :] H. Stieffel zur gef. Revision Str. 16/4 85 Nebelung
[in margine :] ab 30.3.85
Bei vorgenommener Revision

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 23. Februar 1885 betreffend die Erhöhung des Wohnhauses um ein Stockwerk auf dem Grundstück am Tränkgäßchen N° 3 (Hinterhaus des Grundstücks Kalbsgasse N° 10) ;
In Erwägung, daß das zu erhöhende Gebäude mit seiner gegen die Ill gelegenen Längswand in der gesetzlichen festgestellte Fluchtlinie steht ;
In Erwägung, daß die südwestliche Giebelwand des Hauses um etwa 3,0 Meter die für das Tränkgäßchen gesetzlich festgestellte Fluchtlinie überragt ;
Nach Einsicht des Schreibens vom 10. ds. Mts., wonach sich der Eigenthümer Herr Gustav Hepp verpflichtet für das aufzuführende Stockwerk keinen Schadenersatz bei etwaiger Erwerbung des Grundstückes oder eines Theiles derselben Seitens der Stadtgemeinde Straßburg zwecks Durchführung der gesetzlich festgestellten Fluchtlinie am Tränkgäßchen zu verlangen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Gustav Hepp vom 23. Februar ds. J. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden, revidirten Zeichnungen unter folgenden Bedingungen genehmigt :
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
* 2) Die Unterstützung der jetzigen Kehlbalken des Dachgeschosses am Fuße der aufliegenden Sperre muß äußert sorgfältig und fest ausgeführt werden.
* 3) Alles Holzwerk muß von den Innenflächen der Schornsteinen mindestens 23 Centimeter entfernt bleiben.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten beziehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von vierundzwanzig Mark 16 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 24. März 1885
Der Bürgermeisterei-Verwalter, Nebelung
[in fine :] mund 24.3.85

[in margine :]
Revision nichts zu bemerken gefunden, mit der Erhöhung gegen die Ill ist bereits begonnen worden. Str. 18/4 85, Stieffel
H. Stieffel zur gef. Revision, Str. 4/5 85, Nebelung
Der Rohbau der Umfassungsmauer gegen die Ill ist fertig, mit der Erhöhung der Hoffrontwand wird begonnen, baupolizeiliches nichts zu erinnern. Str. 7/5. 85, Stieffel
H. Stieffel zur gef. Revision, Str. 21/5 85, Nebelung
Rohbau fertig, baupolizeiliches nichts zu bemerken gefunden. Str. 21/5. 85, Stieffel
H. Stieffel zur gef. Revision, Str. 22/6 85, Nebelung
Innere Wände und Decken bereits verputzt, baupolizeiliches nichts zu bemerken gefunden. Str. 22/6.85 Stieffel
H. Stieffel zur gef. Revision, Str. 22/7 85, Nebelung
Innerer Ausbau nahezu vollendet, baupolizeiliches nichts zu bemerken gefunden. Str. 22/7. 85 Stieffel
H. Stieffel zur gef. Revision, Str. 22/8 85, Nebelung
Innerer Ausbau ist vollendet, baupolizeiliches nichts zu bemerken gefunden. Str. 22/8. 85 Stieffel
Ad acta, Str. 22/8 85 Nebelung

(IV)

Strassburg Elsass den 19. Juni 1886
An das kaiserliche Bürgermeisteramt Strassburg (Els)
Einem Wohllöblichen Bürgermeister: Amt zeige ich hierdurch an, daß ich meine Wohnung von Zimmerleutgasse N° 9 nach der Calbsgasse N° 10 verlegt habe.
Gleichzeitig leiste ich um die Erlaubniß, das an dem Hause Zimmerleutgasse N° 9 angebrachte vorstehende Schild an dem Hause Calbsgasse N° 10 anbrigen zu dürfen.
Achtungsvoll zeichnet Maria Wolff

III-b 10 559
Vrf.
1) Fräulein Maria Wolff, Kalbsgasse N°10
Bevor Ihr Baugesuch vom 19. Juni ds. Js. betreffend die Anbringung eines Firmeschilds an der Straßenfluchtwand des Hauses Kalbsgasse N°10, diesseits erledigt werden kann, wollen Sie gefälligt das Gesuch auf 40 Pfenning Stempelpapier geschrieben hieselbst verlegen und zugleich angeben, wie hoch über dem Bürgersteige der Schild angebracht werden und wie weit dasselbe in die Straße ragen soll.
+ + +
2) Nach 14 Tage
Strßbg. den 22. Juni 1886
der Bürgermstr. Verwalter, Nebelung
[in fine :] md. 22/5 86 – ab 22/5 86 – Cf. III-b 10 610

Strassburg Elsass den 23. Juni 1886
An das Wohllöbliche Bürgermeisteramt Strassburg
Einem Wohllöblichen Amte theile die ergebensgt Unterzeichnete hierdurch mit, daß sie ihre Wohnung von der Zimmerleutgasse 9 nach der Kalbsgasse N° 10 verlegt hat.
Gleichzeitig bittet Unterzeichnete um die Erlaubniß, ihr bisher in der Straßenflucht der Zimmerleutgasse angebrachtes vorstehendes Schild in gleicher Höhe also 3 Meter über dem Bürgersteig an dem Hause Calbsgasse N° 10 befestigen zu dürfen.
Hochachtungsvoll zeichnet Maria Wolff
[in margine, Stempel :] Bürgmstamt Strassburg Pr : 25.6’86, III-b 10 610

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 10 610
Name des Antragstellers : Fräulein Maria Wolff, Kalbsgasse N°10
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse N°10
Baugebühr im Betrage von – M 80 Pfg. bezahlt am 6/7 86
Herrn Bauführer Mayer, zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen. 6/7 86
[in fine :] Kenntniß genommen. Das Querschild ist nur in einer Höhe von 2,40 Mr über dem Bürgersteig angebracht. Mündliche Aufforderung zur Abänderung blieben bis heute erfolglos. Str. 8/7 86 Mayer
[in fine :] ab 6/7 86

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 23. Juni 1886
betreffend die Anbringung eines Querschildes an der Straßenfluchtwand des Hauses Kalbsgasse N° 10
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprunges handelt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Fräulein Maria Wolff, vom 23. Juni ds. Js. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den anbei zurückfolgenden, revidirten Zeichnungen unter folgenden Bedingungen genehmigt.
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
* 2) Das anzubringende Querschild muß mit seinem niedrigstem Theile mindestens 3,0 Meter über dem Bürgersteige angebracht werden. Deshalbe darf höchstens 80 Centimeter über die nackte Mauer vorragen.
* 3) Für die Anbringung des Schildes ist eine Gebühr von achtzig Pfennige jährlich an die Stadtkasse zu zahlen. Die Zahlung der Gebühr hat ohne jeden Einspruch zu erfolgen, wenn nicht die Beseitigung des Schildes vor dem 15. April jedes Jahres dem städtischen Baupolizeiamte schriftlich oder mündlich angezeigt ist.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlte Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 28. Juni 1886.
Der Bürgermeisterei-Verwalter, Nebelung
[in margine :] mnd. 22/6 86

[in margine :] III-b 10 711, Vrf
1) Fräulein Maria Wolff, Kalbsgasse N°10
Nach amtlicher Feststellung ist das Querschild an der Straßenfluchtwand des Hauses Kalbsgasse N° 10 nur 2,40 Meter über dem Bürgersteige angebracht, anstatt daß mit der Unterkant desselben die vorgeschriebene Höhe von 3,0 Meter eingehalten werden wäre.
Da der mündlichen Aufforderung des verdienenden* Beamten zur Abstellung des gedachten Wampels* bisher nicht nachgekommen ist, so werden Sie im Hinblick auf die Bedingung des Artikels 1 Ziffer 2 des Ermächtigungs-Beschlusses III-b 10 610 vom 28. Juni ds. Js. hiermit ergebenst aufgefordert, bei Vermeidung von Weiterungen der betreffende Schild binnen vierzehn Tagen nach Empfang ds. Schreibens entsprechend höher also mindestens 3,0 Meter über dem Bürgersteige anzubringen.
+ + +
2) Zustellungsurkude beigefügt
+ + +
3) Nach 14 Tagen
Strßbg. den 8. Juli 1886, der Brgrmstr. Verwalter J. V. Nebelung
md. 8/7 86, ab 8/7 86

H.Mayer zur gef. Supervision*, Str. 22/7 86 Nebelung
Das Querschild ist nunmehr vorschriftsmäßiger Weise erhöht worden, baupolizeilich nichts zu erinnern, Str. 23/7 86
Ad acta, Str 24/7 86 Nebelung

(V)

Aufforderungsschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 893
Name des aufzufordernden Eigenthümers : Herr Gustav Hepp, Kalbsgasse 10
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Kalbsgasse 10 (Ecke Tränkgäschen)
Polizei-Revier I
[in margine :] cf. III-b 1259 – ab 8/5 91

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche 80 Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des von der Kaiserlichen Polizei-Direktion aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Nach Einsicht der vom Herrn Bezirkspräsident erlassenen Polizeiverordnung vom 10. November 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündingungen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Der Eigenthümer des Hauses an der Kalbsgasse 10, Herr Gustav Hepp, wird hiermit aufgefordert, allen von der Straße und dem Tränkgäschen aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneten Hauses vor dem 1. Oktober dieses Jahres auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Falls an dem Hause Inschriften vorhanden sind, müssen dieselben beseitigt oder nach Massgabe der Polizeiverordnung vom 10. November 1887 erneuert werden.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstreichen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgend welche Hindernisse gegen die Ausführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom Eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen ; die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschließliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des I Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthümer gefälligt zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligt zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 4. Mai 1891
Der Bürgermeister. gez. Back

Straßburg, 9. Juni 1891
An das löbl. Bürgermeisteramt
Bezugnehmend auf die Aufforderung betreffend das Anstreichen meines Hauses Kalbsgasse 10, möchte ich das wohllöbliche Bürgermeisteramt höflichst ersuchen mir bis nächstes Frühjahr gefälligs Verzögerung geben zu wollen, da ich gesonnen bin zur selbigen Zeit, die hintere Façade (Illseite) ebenfalls anstreichen zu lassen.
einer gefl. Gewährung meines Bitte gerne entgegen sehend, zeichnet
Hochachtungsvollst & ergebenst, Gustave Hepp, 10. Kalbsgasse
[in fine :] H. Merten 10/6 91
[in margine :] Bürgmst. Amt Strassburg Pr : 19.6.91, B A-b 1259

[verso] Die Straßenfluchtwand dieses Gebäudes hat ein nicht so unsauberes Aussehen ; ein Aufschieb um 1. Jahr zu deren Auffrischung dürfte jedoch gewährt werden. 12/6 91 Mertens
Strassburg, den 12. Juni 1891 – III-b 1259
Verf.
1) Es ist eine Frist bis zum 1. Juni 1892 zu bewilligen
+ + +
2) Am 1/4 92 – Der Bürgermeister J. V.
geschr. 13.6.91 – ab 13.6.91

N. B. A-b 401
H. Adis 1/4 92
Noch nicht aufgefrischt 22/4 92
Strassburg, den 23. April 1892 – N° B A-b 401
Verf.
1) Durch Formblatt zu erinnern
+ + +
2) Am 1/6 92 – der Bgstr. J. A. 13/4
[in fine :] ab 26/4
cf. B. A-b 715

Straßburg, 28 April 1892
Herrn Bürgermeister Back, hochwolgeb.
Im Besitze der Auforderung das Haus N° 10 Kalbsgasse auffrischen zu lassen und die mir heute zugekommen, möchte ich den Herrn Bürgermeister um einen Aufschub bitten, bis zur Vollendung der neuen Brücke.
Die Umgrabung des Tränckgasschen wurde mehr oder weniger dieser Auffrischung nachtheilig sein.
Auf den Beschluss des Herrn Bürgermeisters wartend, zeichnet
Achtungsvollst, Gustave Hepp, 10. Kalbsgasse, Eigenthümer
[in margine :] Bürgmst. Amt Strassburg Pr : 28.4.92, B A-b 715
[in fine :] H. Adis 29/7

Die Außenseite ist noch nicht so unsauber, so kann eine nochmalige Frist befürwortet werden.
Von Herstellung einer neuen Brücke in der Nähe u. Aufgraben des anliegenden Tränkgäschen ist mir nichts bekannt, auch nichts sichtbar. 3/5 92

Strßbg. den 3. Mai 1892 B A-b 715
Vrf.
1) Es ist eine Frist los zum 2. Juni 1893 zu bewilligen.
+ + +
2) Am 1/4 93, dr Brmstr J. A. 3/5
[in fine :] ab 4/5 92

B A-b 1019, H. Adis ¼ 93
Noch nichts aufgefrischt 6/4 93
S. Umschlag

B A-b 1019 – Anstrich des Hauses Kalbsgasse 10, Hr. G. Hepp
Str. 7/4 93, Verf.
1) Zu erinnern
+ + +
2) An 1/6 93, D. Brgmstr. J. A. 6/4
[in margine :] geschr. 8. IV. 93 – ab 10/4 93
H. Adis 1/6 93

Das Erdgeschoss ist wohl aufgefrischt worden, dagegen die drei Stockwerke besagten Eckhauses nicht, welche sehr unsauber sind u. der Auffrischung bedürfig wären. 11/7 93
Bitte vorgeladen, H. Roederer 11/7
Brief ab

Strassburg, den 12. Juli 1893
Herr Wergin, welcher in Abwesenheit seines Schwagers – Hn. Hepp – auf die Vorladung erschienen ist, erklärt, daß er die Straßenfluchtwand des betr. Hauses will auffrischen lassen, bittet jedoch um Aufschub bis die dort in Ausführung begriffene Brücke vollendet ist.
Vorgeladen, genehmigt und unterschrieben : Wergin – Zur Beglaubigung, Roederer, Städt. Bauführer
[Plan de situation : Tränkgäschen)

Kann das betreffende Haus durch den Bau der neuen Brücke im Zuge des Tränkgäßchens Noth leiden ? – H. Adis 13/7
Nach Mitteilung des bei der örtl. Revision anerstanden städt. Bauaufsehers Hr. Marcks, welcher die Beaufsichtigung der daselbst neu zu erstellenden Gehbrück hat, soll nach Fertigstellung dieser Brücke auch noch das ganze Tränkgäßchen aufgerissen u. im Niveau der Brücke am Leinpfad etwa 1,50 m höher gelegt werden, welche Arbeiten in etwa 2 Monaten fertig gestellt würden. Da nun das ganze Anwesen des Hr. Hepp, wie ich heute erfahren, linkerseits längs dem Tränkgäschen an der Kalbsgasse bis zum Leinepfad sich erstreckt, u. aus 3 Häuser mit Garten besteht, deren hinteren beiden Häuser noch unsauberer aussehen, als das Eckhaus an der Kalbsgasse, das zuerst allein gemeint war, u. wohl das Ganze aufzufrischen nöthig wird, wurde die herzustellende Auffrischung der betreff. Außenseiten wohl nicht gerade Noth leiden, jedoch immerhin für H. Hepp rathsamer erschienen, diese Arbeiten erst nach Fertigstellung des Brücken- u. Straßenbaus ausführen zu dürfen. 17/7 93

Strasg. den 19. Juli 1893, B A-b 2446
Vrf.
1) Es ist ein frist los nach Fertigstellung der Brücke zu bewilligen
+ + +
2) Am 1/10 93, der Bgmstr. 17/7
[in fine :] gescht. 19.7.93, E. K. – ab 20.7.93
H. Adis 2/10 93
Beide Außenseiten noch nicht aufgefrischt der Brückensteeg ist fertig gestellt u. bereits dem öffentl. Verkehr übergeben. 25/10 93
Zu erinnern, H. Reber 27/10

[Polycopié manuscrit rempli à la main]
Verf.
1) Herrn Gustav Hepp, Hier, Kalbsgasse N° 10
Ich erinnere Sie ergebenst an die baldige Erledigung meines Schreibens B A-b 2446 vom 19. Juli ds. Js. betreffend Auffrischung Ihres Hauses Kalbsgasse N° 10.
Die erforderliche Arbeiten wollen Sie bei Vermeidung der strafrechtlichen Verfolgung binnen 2 Wochen nach Empfang dieses Schreibens ausführen lassen.
+ + +
2) Zustellungsurkunde beizufügen
+ + +
3) Nach 2 Wochen
Der Bürgermeister J. A. 27/10
[in fine :] geschr. 2/11 93 – ab 2/11 9. – H. Adis 16/11 93, umstehend

[verso] H. Hepp hat das letzte Erinnerungsschreiben vom 31/10 unter B. A-b 3482 an Hr. Baurath Ott gesandt, hierauf soll Letztere durch Hr. Bauinspektor Paulssen mündlich dem H. Hepp eine Frist zugesagt haben, bis die nun aufzuführende Mauern welche zurückversetzt werden sollen, an der nun erbauten Fußgängerbrücke daselbst durch die Stadt wieder erstellt sein werden.
Dies die Aussage des H. Hepp als Rechtfertigung. 17/11 93

Strassburg, den 18. November 1893, B A-b 3482
Verf.
1) Es ist eine Frist bis zum 1. Juni 1894 zu bewiligen
+ + +
2) Am 1/4 94, der Bgstr. J. A. 17/11
[in fine :] ab 21/11 93 B. A-b 274
Noch nicht aufgefrischt, Frist 1/6 94 – 6/4.94

Strassburg, den 7. April 1894, B. A-b 274
Verfg.
1) Zu erinnern.
+ + +
2) Am 1/6 94, der Bgstr. J. A. 6/4
[in fine :] ab 3.4 94 – H. Adis 1/6.94

Noch nicht aufgefrischt, jedoch Verputzausbesserung z. Z. in Ausführung. 5/6. 94
H. Adis 5/7 94

Anstrichs-Erneuerung der Außenseite Kalbsgasse 10 fertig gestellt Verputzausbesserungen der Außenseite am Tränckgäschen fertig gestellt, Anstrichs-arbeiten daselbst noch nicht begonnen. 6/7 94
H. Adis 6/8 94

[page suivante]
Anstrichs-Erneuerung der betreff. Außenseite Kalbsgasse ist z. Z. in Ausführung. 14/8. 94 It.
H. Adis 14/9 94

Anstrichs-Erneuerung der Außenseiten Kalbsgasse 10, sowie am Tränkgäschen entlang in Oelfarbe ist bereits fertig gestellt, dagegen dürfte auch die noch unsauber aussehende Wasserseite daselbst eine Auffrischung erhalten, was voraussichtlich nicht mehr erfolgen wird, da die übrigen Arbeiten schon seit weniger Zeit fertig gestellt sind. 15/9 94 Ir.
H. Adis 15/10 94
B. A-b 295

Seither nichts geschehen. 18/10 94
Wegen der Wasserseite am 1/4 95 nichts ergeben 18.10 – umstehend

[verso]
Die Wasserseite ist noch nicht aufgefrischt. Endtermin 1/4 95 – 6/4 95 It.

Strassburg den 1. April 1895, B. A-b 295
Verf.
1) Zu erinnern.
+ + +
2) Am 1/5 95, der Bgstr. J. A. 6/4
[in fine :] geschr. 3/4 95 – ab 3/4 95
H. Adis 11/4.94

Es hat nunmehr auch die Wasserseite Neuanstrich in Oelfarbe erhalten u. ist nun nichts mehr zu erinnern. 2/5 95 It ;
Z. d. A. 2/5
Erledigt

(VII)

[Polycopié manuscrit complété à la main]
N° B. A-b 2345
Am 4. Juni 1894 habe ich durch Augenschein festgestellt, daß auf dem Grundstück des Herrn Hepp Kalbsgasse 10 u. Tränkgäschen durch den Unternehmer Herrn Klein nachstehende Arbeiten ohne amtliche Bauerlaubniß ausgeführt werden : Ausbesserung des Mörtelverputzes der Straßenfluchtwand daselbst – 5/6 94

Strassburg, den 5. Juni 1894
Verf.
1) Herrn J. u. E. Klein, Baugeschäft hier, Fritzgasse 9
Nach diesseitiger Feststellung lassen Sie ohne meine Genehmigung auf dem Grundstücke an der Kalbsgasse 10 u. Tränkgäschen den Mörtelverputz der Straßenfluchtwand daselbst ausbessern.
Im Hinblicke auf die Vorschriften der städtischen Bauordnung vom 30. September 1891 wollen Sie bei Vermeidung von Weiterungen das Versaumte durch Vorlage eines auf 40 Pfennig Stempelpapier geschriebenen Baugesuchs binnen acht Tagen nach Zustellung dieses Schreibens nachholen.
+ + +
2) Zustellungsurkude beizufügen
+ + +
3) Nach 8 Tagen. Der Bürgermeister, J. A. 5/6
[in margine :] geschr. 6/6 94 ab 6/6 94
cf. B. A-b 2388

[in margine :] Bürgmst. Amt Strassburg Pr : 8.6.94, B A-b 2388
Strassburg den 8. Juni 1894
Herrn Bürgermeister Hochwohlgeboren Hier
Wir unterzeichnete bauunternehmer J. & E. Klein Fritzgasse N° 9 haben die Ehre Sie hiermit ergebenst zu bitten, uns die Genehmigung zu ertheilen an dem Eigenthum des Hn Hepp an der Kalbsgasse 10 u. Tränkgäschen den Mörtelverputz der Façaden daselbst auszubessern und anzustreichen.
Hochachtungsvoll zeichnet für ([Stempel] J. & E. Klein -8 JUN. 1894 Strassburg) A. Nidschelm
[in margine :] Die stellenweise Verputzausbesserungen sind inzwischen fertig gestellt worden. Außerdem ist daselbst im Tränkgäschen entlang der Haussockel in Cement Länge von 24,00 m 80 c bezw. 1,00 u. hoch erneuert werden ebenfalls fertiggestellt 12/6 71 – Roderer 9/6 – Umseitig

Baugebühren – Ausbesserg. des Mörtelputzes an der Straßenfluchtwänden 0,80
Erneuerung des Haussockels längs des Tränkgäschens 24,00 zu 0,20 : 4,80, zusammen 5,60 Mk
Genehm. beschl. beigef., 13/6

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. B A-b 2388
Name des Antragstellers : Hn Hn. J. und E. Klein, Bauunternehmer, Fritzgasse 9
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Tränkgäschen Ecke Kalbsgasse 10
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 25/6 94
Herrn Bauführer Adis zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg, den 25. Juni 1894, Der Bauinspektor
Kenntniß genommen 26/6 94 – ab 25/6 94

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 8. Juni 1894 betreffend Ausbesserung des Mörtelverputzes an den Straßenfluchtwänden des Hn. Hepp gehörenden Hauses an dem Tränkgäschen Ecke Kalbsgasse 10 ;
In Erwägung, daß die betreffenden Arbeiten bereits ohne Genehmigung in Angriff genommen worden sind, und daß längst des Tränkgäßchens der Haussockel in einer Länge von 24,00 lfd. Metern vollständig erneuert worden ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Hn Hn. J. und E. Klein vom 8. Juni dis. Jhrs. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten beziehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von fünf Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 14. Juni 1894
Der Bürgermeister, J. A. 15/6
[in margine :] Geschr. 14/6 94

[in margine :] H. Adis 26/7 94
Die Verputzausbesserungs-Arbeiten sind fertig gestellt, Anstrichs-Erneuerung z. Z. in Ausführung. 14/8 94
Erledigt – Z. d. A. 14/8

(VI)

Straßburg den 9.ten April 1894
Herrn Bürgermeister Hochwohlgeborne, Hier
Ich unterzeichneter G. Hepp Eigenthümer des Hauses an der Ecke des Tränkgäßchen und Kalbsgasse 10 habe die Ehre Sie hiermit ergebenst zu bitten, mir die Genehmigung zu ertheilen in dem Haus nach dem Tränkgäßchen führend die im Erdgeschoß befindliche Magazin zu einer Wohnung nach beigefügten Zeichnungen umzubauen, wozu an der Façade folgende Umänderungen ausgeführt werden sollen. Die zwei gegenwärtigen mit A bezeichneten Kreutzstöcke, sowie die mit B bezeichnete Thüre sind zu erhöhen. Die drei gegenwärtigen Bogenfenster zuzumauern, an der mit G bezeichneten Stelle ein Kreuzstock auszubrechen, sowie das mit D bezeichnete Thürchen zu erhöhen. In sämmtlichen Oeffnungen werden holz Dübeln eingemauert zur Befestigung der Futter und Bekleidungen. Die Fenster werden mit zusammenlegbaren Läden versehen u. die Thüren nach innen aufgehend angebracht.
Hochachtungsvoll, Gustave Hepp
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg Pr : 10.4.94, bd-b 1408
[in margine :] H. Röderer 10/4
Baugebühren : Im Erdgeschoß : Erhöhung von 2 Fenstern je 0,80 = 1,60
Erhöhung von 1. Thüre, 0,80
Schließen von 3 Bogenfenstern je 0,80 : 2,40
Brechung eines Fensters: 2,00
Brechung einer Thüre : 2,40, zusammen 9,20 Mk.
Genehm. Beschl. beigef.
12/4

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. III-b 1408
Name des Antragstellers : Hn. G. Hepp Eigenthümer, Kalbsgasse 10
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Tränckgäßschen 1 Ecke Kalbsgasse 10
Baugebühren im Betrage von 9 M. 20 bezahlt am 24./4
Mittheilung an die Abtheilung II abgegeben 24/4
Herrn Bauführer Voelckel zur gefälligen Kenntnißnahme.
Straßburg, den 24. April 1894, Der Bauinspektor
[in fine :] ab 24/4 94
Kenntnis genommen, 26/4. 94

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 9. April 1894 betreffend bauliche Umänderungen im Hause am Tränckgäßschen 1 Ecke Kalbsgasse 10 ;
In Erwägung, daß die geplanten Umbauten in dem Seitengebäude längs des Tränckgäßchens ausgeführt werden sollen :
In Erwägung, daß die Straßenfluchtwand des betreffeden Gebäudes über die gesetzl. Fluchtlinie ragt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des hn. G. Hepp vom 9. April dß. Jhrs. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgeden, geprüften Zeichnungen unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt (4. Blatt Zeichnungen).
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Ist der Umbau in seinen Mauern sowie in Dach und Balkenlage vollendet, so hat laut des Artikels 46 der Bauordnung der Bauherr oder sein Vertreter ihn bei dem Bürgermeisteramte schriftlich zur Rohbauabnahme anzumelden, damit vor Beginn der Verputzarbeiten die amtliche Prüfung des Umbaues vorgenommen und die vorschriftsmäßige Ausführung bescheinigt werden kann.
3) Nach Fertigstellung des Umbaues ist in Gemäßheit des nach Artikels 47 der Bauordnung mindestens 14 Tage vor seiner Benutzung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme, vor deren Vollzuge die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig ist, einzureichen.
4) Die Treppenstufen und Kratzeisen dürfen vor die gesetzliche Fluchtlinie keinesfalls weiter vorspringen als die anschließenden Sockel.
5) Der Schornstein müß von Grund auf mit mindestens 10 Centimeter starken Wandungen gemauert sein oder mit feuersicherem Unterbau ruhen. Balkenanlagen und sonstiges Holzwerk müssen von den Innenwandungen der Schornsteine überall mindestens 22 Centimeter entfernt bleiben.
* 6) In die Straßenfluchtwand längs des Tränckgäßchens darf zu den Fenster: und Thürgestellen nur Tannenholz von höchstens 17 Centimeter Stärke verwendet werden.
Zur Schließung der Bogenfenster darf nur leichterer Baustoff verwendet werden, Mauerwerk ist nicht zulässig.
7) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Neun Mark 20 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 13. April 1894 – Der Bürgermeister, J. A., 12/4
[in margine :] H. Voelckel 26/8.94
Die Trennungswänden fertiggestellt, die Fensteroeffnungen sind aus gebrochen und die Fenster eingesetzt. Die Gipserarbeiten in Ausführung begriffen. Nichts zu bemerken. 28/5 94 – H. Voelckel 28/6 94
Die Gipserarbeiten fertiggestellt, die Schreinerarbeiten in Angriff genommen. 29/6 94 – H. Voelckel 30/7 94 (umstehend)
Die Schreinerarbeiten fertiggestellt, die Malerrarbeiten in Angriff genommen. 31/7 94 – H. Voelckel 31/8
Die Malerrarbeiten in Ausführung begriffen, 4/9 94 – H. Voelckel 5/10 94
Z. den Akten Str. 5/10 94

[Plan sur claque] – Eigenthum von Herrn Gustave Hepp in der Kalbsgasse N° 10, gezeichnet auf 1 / 100
[Tampon] N° III-b 6773 24.3.85

Project zur Umänderung eines Erdgeschosses im Eigenthum des Hrrn. Hepp Ecke der Kalbsgasse N° 10 & des Tränkgaesschen – Gegenwärtiger Zustand – Ansicht
Tränckgaesschen
[Tampon] Städt. Baupolizei Straßburg, B. A-c 1408 13.4.94

Project zur Umänderung eines Erdgeschosses im Eigenthum des Hrrn. Hrpp Ecke der Kalbsgasse N° 10 & des Tränkgaesschen – Zukünftiger Zustand – Ansicht
Tränckgaesschen
[Tampon] Städt. Baupolizei Straßburg, B. A-c 1408 13.4.94

(VIII)

Straßburg den 1. April 1896
An das Bürgermeisteramt, Hier
Erlaube mir ganz ergebenst anzuzeigen daß ich ein Doppelschild mit folgender Aufschrift :
Commissions & Stellenvermittlungs-Bureau
Kauf u. Verkauf von Häusern, Liegenschaften
Wirtschaften u. Geschäften aller Art
an dem Hause Kalbsgaße N° 10 (Eigentum von Herrn Hepp) anbringen habe laßen.
Hochachtend !
Emile Neubert, Geschäftsagent
[in margine :] Bürgmst. Amt Strassburg Pr : 1 -4 -96, B A-b 1726

[verso]
Strassburg den 7. April 1896 B.A-b 1726
Verf.
1) Herrn Emil Neubert, Geschäftsagent, Hier Kalbsgasse N° 10
Der Gesuch vom 1. ds. Mts betreffend die Anbringung eines Doppelschildes am Hause Kalbsgasse N° 10 erhalten Sie gefl. den gesetzlichen Bestimmungen entsprechend auf 40 Pfennig Stempelpapier geschrieben an mich einreichen.
+ + +
2) Nach 8 Tagen. Der Bgstr. J. A.
[in margine :] Geschr. 8.4.96 – ab 8.4.96
cf. B. A-b 1817

(Stempelpapier – Situationsplan)
Straßburg den 10. April 1896
An das Bürgermeisteramt, Hier
Erlaube mir hierdurch dem Bürgermeisteramt ganz ergebenst anzuzeigen daß ich in der Kalbsgaße N° 10 ein Doppelschild mit folgender Aufschrift angebracht habe wie lautet :
Commissions & Stellenvermittlungs-Bureau
Kauf u. Verkauf von Häusern, Liegenschaften
Wirtschaften u. Geschäften aller Art
an dem Hause Kalbsgaße N° 10 (Eigentum von Herrn Hepp) anbringen habe laßen.
Hochachtungsvoll
Emile Neubert, Geschäftsagent
[in margine :] Bürgmst. Amt Strassburg Pr : 11 -4 -96, B A-b 1817
[in margine :] zwei Rundschilder in Hangform 60 cm hoch sind 3,40 m hoch mit 35 cm Vorsprung an der Hausecke nach obiger Skizze angebracht. Trottoir an der Kalbsgasse 1,15 m Straßenbreite der Tränckgäschen (ganz asphaltirt) 3,80 m. ohne Trottoir

15/4. 96 It
H. Roederer 11/4
Baugeb., Anbg. eines Schildes 0,80 – Bausch. beigef. 21/4

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr B. A-b 1817
Name des Antragstellers : Herr E Neubert, Geschäftsagent, Kalbsgasse N° 10
Durch die Kaiserliche Polizei-Direktion
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse 10
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 18.6.96 M.
Herrn Bauführer Adis zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg, den 18. Juni 1896, Der Bauinspektor.
[in fine :] Kenntniss genommen 18/6 96 It. – ab 18.6.96
[in fine :] gemahnt 9.5.96

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 10. April 1896
betreffend die Anbringung eines Querschildes an der Straßenfluchtwand des Hauses an der Kalbsgasse 10 ;
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt ;
In Erwäg., daß der Bürgersteig daselbst eine Breite von 1,15 Metern hat ;
In Erwäg., daß besagtes Schild bereits angebracht ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Hn E. Neuber vom 10.ten April dss. Jhrs. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauverordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bedingungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Für die Anbringung des Querschildes ist eine Gebühr von achtzig Pfennig jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung der Schilder dem städtischen Baupolizeiamte schriftlich oder mündlich angezeigt ist.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehnungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlte Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 22 April 1896.
Der Bürgermeister, J. A. 21.4

[in margine :]
Ist das Schild schon angebracht ? H. Adis 26/5
Das Eck-Doppelt-Querschild ist noch vorhanden. Baugebühren ? 28/5.96 It.
Nochmals mahnen 28/5
Gemahnt, 28.5.96
Ist das Schild noch vorhanden ? H. Adis 12/6
Das Doppelschild ist noch unverändert vorhanden. Einen persönl. Vorladung dürfte sich empfehlen. 13/6 96 It.
Bitte vorgeladen, H. Steffge 25/6
Vorgel. 17/6
Ist der Schild noch vorhanden ? H. Adis 18/6
Das Eck-Doppelt-Querschild ist noch vorhanden u. nichts zu erinnern. 1/7 96 It.
Erl.
Z. d. A. 1/7

Straßburg den 21. Januar 1897
An das Wohllöbliche Bürgermeister-Amt, Hieselbst
Dem Wohllöblichen Bürgermeisteramt mache ich hiermit die gehorsamste Anzeige, daß ich am 18. d. Mts mein an der Ecke des Hauses Kalbsgasse N° 10 angebracht gewesenes Geschäftsschild eingezogen habe.
Inhaber eines Stellenvermittlungs- und Geschäftsbureau
Emile Neubert, Geschäftsagent
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing : 25. JAN-1897
[in fine :] H. Adis 26/1 97
Besagtes Doppelschild ist beseitigt. Abmeldung in der Steuerliste erledigt. 29/1. 97 It.
Erl – Z. d. A. 29/1

(X)

N° V-a 6178
Bürgermeisteramt Straßburg – Baupolizei-Amt
Umschlag zu dem Schreiben des H. Bgmstrs. vom 24 ten November 1900 Nr. II. 6644
betreffend : Gesuch des Carl Ludringer um Erteilen der Erlaubniß zur Fortführung des Wein- und Branntweinausschankes im Hause Kalbsgasse Nr 10
[in fine :] Eilt ! – H. Nyssen 26/11 00
Das für Wirtschaftszweck benützte Lokal entspricht nicht den Ministerialvorschriften vom 24/3 1890. Dasselbe hat nur einen Flächeninhalt von 20,70 qm und eine lichte Höhe von 3,00. Die auf der beiliegenden Zeichnung angegebene Abtrittsanlagen sind noch nicht ausgeführt. 7/12

[verso]
Straßbg. den 8 Dezember 1900 V 6178
1) Gutachten
Die für dem Ausschank bestimmten Räume im Erdgeschoß der Hauß  » Kalbsgasse N° 10  » entsprechen insofern nicht den Ministerialvorschriften vom 24 März 1890, als der Größte von ihnen anstatt der vorgeschriebenen 25 qm nur eine Grundfläche von 20,70 qm hat, sowie deß die lichte Höhe nicht 3,50 sondern nur 3,0 m beträgt. Die Abtrittsanlagen sind noch nicht ausgeführt, es wurde ein zweiter Abtritt vorzusehen sein, dessen Zugang von dem Zugange zum geplanten Abtritte thunlichst zu trennen wäre.
+ + +
2) C. S. dem Herrn Bürgermeister dahier
mit beizufügtem Gutachten gehorsamst wieder vorzulegen
+ + +
3) Z. d. A. Das Stadtbauamt 7/12
[in fine :] mdt. 8.12.1900 – ab 11/12

(XI)

Strassburg i/E 25. October 1901
An das Hochlöbliche Bürgermeisteramt Hier
Ich Unterzeichneter Karl Ludringer, wohnhaft zu Strassburg Kalbsgasse N° 10, beabsichtige an meinem Geschäft Kalbsgasse 10 ein Flachschild in Holz in der Größe von circa 75 + 55 cm anzubringen sowie ein (Quer) Blechschild von circa 40 + 40 cm mit nachstehender Aufschrift und bitte Höflichts um Genehmigung.
I. Glasweiser Ausschank / von / Ober Elsässer Weissweine / diverse Rothweine / bessese Branntweine & Liqueure / Kaffee, Punsch, Groh. Glühwein / Flaschenbier / Über die Strasse / Lieferungen ins Haus
II. Weinhalle
Hochachtungsvoll, Carl Ludringer
[In margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing : 25. OKT.-1901 – V-a 5220
[in fine :] H. Adis 26/10 – umstehend
Es soll ein kleines 3 c dickes Holzschild glatt an der Wand ohne weiteren Vorsprung angebracht werden, wozu eine diesseitige Erlaubniß nicht erforderlich ist.
Dagegen soll noch eine Eisenblech- Querschild mit 60 c. Vorsprung 3,00 m hoch angebracht werden. Trottoir 1,15 m Somit Kostenwerth unter 20 M – H. Köhler 31/10

Bauschein / Werth bis zu 20 Mark
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 5220
Name des Antragstellers : Karl Ludringer, Kalbsgasse N° 10
Durch die Kaiserliche Polizei-Direktion
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : (idem)
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 7/11
Herrn Bauführer Adis, zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 7.11.1901, Der Bauinspektor
[in fine :] ab. 7/11

[in fine :] Kenntnis genommen. Noch kein Querschild angebracht. 8/11 01 – H. Adis 9/11
Ein Querschild ist 3,00 m hoch gut angebracht. 10/12. 01
Erl. Z. d. A. 10/12

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 25. Oktober 1901 betreffend die Anbringung eines Querschildes an der Straßenfluchtwand des Hauses Kalbsgasse N° 10 ;
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt ;
In Erwägung, daß der Bürgersteig vor dem betreffenden Hause eine Breite von 1,15 m hat ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Karl Ludringer vom 25. Oktober 1901 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden sollen.
2) Das neu anzubringende Querschild muß mindestens 50 Centimeter von der Fassung des Bürgersteigs, 65 Centimeter von der Nachbargrenze und 2 Meter von der öffentlichen Wandlaterne entfernt bleiben und wenigstens 3 Meter hoch über der Straßenfläche angebracht werden. Sein Flächeninhalt darf 0,50 Quadratmeter, das Vortreten vor die Wand 65 Centimeter nicht überschreiten.
3) Für die Anbringung des Schildes ist eine Gebühr von achtzig Pfennigen jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung des Schildes dem städtischen Baupolizeiamte schriftlich oder mündich angezeigt ist.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 2. Nov. 1901 – Der Bürgermeister, J. A., 2/11
[in fine :] mdt. 4/11. 01
Baugebühren : Anbringung eines Schildes 0,80 Mk

(IX)

Baugesuch
Unterzeichneter Eigenthümer Hepp Gustav hat die Ehre um Erlaubniß nachzusuchen an seinem Eigenthum Kalbsgasse N° 10 zwei Schaufenster nach beiliegenden Zeichnungen anbringen zu dürfen.
Mit Hochachtung
Gustave Hepp
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Straßburg, den 28. Juni 1900
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing : 30. JUN 1900, V-a 3777
[in margine :] pr. 30/6 00, In den Einlauf 30/6
H. Köhler 2/7
Schrb. beigef. 7/7 W. K.

[Polycopié manuscrit rempli à la main]
V-a 3777 Strassburg, den – Juli 1900
Verf.
1) An Herrn Gust. Hepp, Hier Kalbsgasse 10
Bevor das Baugesuch vom 28. Juni 1900 betreffend den Umbau des Erdgeschosses an Ihrem Hause Kalbsgasse 10, Ecke Tränkgäßchen diesseits erledigt werden kann, wollen Sie gefälligt den Bestimmungen der Bauordnung vom 30. November 1891 gemäß, die anbei zurückfolgenden Zeichnungen den nachstehenden Prüfungsbemerkungen entsprechend abändern bezw. ergänzen lassen :
1) Das Gebäude steht an der Seite nach dem Tränkgäßchen 1,00 m über die Fluchtlinie. Massive Befestigungsarbeiten sind an allen vor der Fluchtlinie liegenden Bautheilen unzulässig.
2) Bei Wiedervorlage des Planes ist die Schnittzeichnung zu vervollständigen und eine statische Berechnung der Eisenkonstruktion vorzulegen.
Die zweite Ausfertigung der Zeichnung wird nach Wiedervorlage des abgeänderten, alsbald zur Vervollständigung ausgehändigt werden.
+ + +
2) Nach 14 Tagen
Das Stadtbauamt

[verso]
Str. 7.7.00
Der Fall liegt ähnlich wie bei Schauffler Gewerbslaube N° 91 Ecke der Spießgasse, es ragen über die gesetzliche Fluchtlinie nur die auf den Eckpfeiler aufzulegenden Enden der eisernen Doppelt-Träger, so daß eher einer Schwächung als Verstärkerung des frgl. Pfeilers bewirkt werden wird.
Die Erlaubnis ist zu ertheilen.
Der Bgrmstr. J. A. – 7/7
H. Köhler 10/7 – Bausch. beigef. 11/7 W. K.
Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 3777 – Stempel 1 Mark
Name des Antragstellers : Gustav Hepp, Hier, Kalbsgasse 10
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : (idem)
gebühren im Betrage von 54 M. 40 bezahlt am 20/7
Mittheilung an die Abtheilung II abgegeben, 28/7
Herrn Bauführer Nyssen, zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 20. Juli 1900, Der Bauinspektor, J. A.
[in fine :] ab. 20/7
[in fine :] Kenntnis genommen 20/7
1. Zu mahnen, 2. Nach 14 Tagen, Strassburg den 18.7.00

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 28. Juni 1900 betreffend die Herstellung einer Schaufensteranlage am Hause des Herrn Gustav Hepp an der Kalbsgasse N° 10 Ecke Tränkgäßchen ;
In Erwägung, daß das Haus an der Kalbsgasse in der gesetzl. Fluchtlinie liegt, im Tränkgäßchen dagegen vor dieselbe vorragt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Gustav Hepp vom 28. Juni 1900 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter, nach den dabei zurückfolgenden, geprüften Zeichnungen unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt. (1 Blatt Zeichnungen)
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramt den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Ist der Bau in seinen Mauern u. Eisentheilen vollendet, so hat laut des Artikels 46 der Bauordnung der Bauherr oder sein Vertreter ihn bei dem Bürgermeisteramte schriftlich zur Rohbauabnahme anzumelden, damit vor Beginn der Verputzarbeiten die amtliche Prüfung des Baues vorgenommen und die vorschriftsmäßige Ausführung bescheinigt werden kann.
3) Nach Fertigstellung des Baues ist in Gemäßheit des nach Artikels 47 der Bauordnung 14 Tage vor seiner Benutzung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme, vor deren Vollzuge die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig ist, einzureichen.
4) Treppenstufen und Kratzeisen dürfen vor die gesetzliche Fluchtlinie keinesfalls weiter vorspringen als die anschließenden Sockel. Die Oeffnungen im Bürgersteig dürfen höchstens 20 Centimeter vom Sockel ab vorspringen und müssen in der Oberfläche des Bürgersteiges mit Eisenstäben oder mit eisernen Gittern von höchstens 3 Centimetern Maschenweite sorgfältig und fest überdeckt werden.
5) Die Fenster- und Thüröffnungen in den gemauerten Wänden müssen mit feuersicheren Baustoffen abgedeckt werden.
6) Für die Beanspruchung der zu Verwendung kommender Baustoffe sind die Angaben des Artikels 35 der Bauordnung zu beachten.
7) Die Auflager für die eisernen Träger sind aus hartem Quadersteinen herzustellen, der Auflagerdruck ist mittelst gußeiserner Unterlagsplatten gleichmäßig zu verteilen.
* 8) Die Auflagerung der eisernen Unterzüge auf den über die Fluchtlinie ragenden Eckpfeiler am Tränkgäßchen wird außnahmsweise genehmigt.
9) Die Gasleitungen innerhalb der Gebäude sind aus Eisen herzustellen und haben im übrigen den Vorschriften des Artikels 24 der Bauordnung zu entsprechen.
10) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Vierundfünftzig Mark 40 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 12. Juli 1900 – Der Bürgermeister, J. A., 11/7
Baugebühren : 4 Pfeilerumbauten à 4,00 = 16,00 M
6 Oeffnungen für Verkaufsraum à 4,80 = 28,80
2 Verschlüsse von Verkaufsladen mit vertretender Schaufensterbekleidung à 4,80 = 9,60, zus.54,40 M

[in margine :]
Noch nicht begonnen 21/7 N. – H. Nyssen 14/8
Mit dem Ausbrechen und Unterfangen der Straßenfluchtwände ist begonnen 14/8 – H. Nyssen 25/9
Die Schaufensterbekleidungen sind angebracht und sämmtliche Arbeiten bis auf den Anstrich fertigestellt. 29/9 – N. 20/10
Die Umbauarbeiten sind fertiggestellt. Erledigt 26/11
Zu den Akten 26/10 [sic]

(Plans) – Project zur Umänderung eines Erdgeschosses im Eigenthum des Hrrn. Hepp Ecke der Kalbsgasse N° 10 & des Tränkgaesschen – Gegenwärtiger Zustand – Ansicht
[Tampon] Städt. Baupolizei Straßburg, V-a 3777 12.7.1900

(XII)

Aufforderungsschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2246
Name des aufzufordernden Eigenthümers : Hepp Gustav Kalbsgasse 10
Lage des in Betracht kommenden Hauses : Kalbsgasse 10
I. Polizei-Revier
Verf. 3024

Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekrets vom 26. Märtz 1852, welcher also lautet
 » Die Außenseite der Häuser ist beständig in einem sauberen Zustande zu erhalten. Dieselben müssen auf die von der Gemeindebehörde an den Eigenthümer zu erlassende Aufforderung mindestens einmal alle zehn Jahre abgerieben, angestrichen oder getüncht werden,
Die Zuwiderhandelnden sind zu Geldstrafe, welche 80 Mark nicht übersteigen darf, zu verurtheilten.  »
Nach Einsicht der Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Nach Einsicht des von der Kaiserlichen Polizei-Direktion aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden ;
Nach Einsicht der vom Herrn Bezirkspräsident erlassenen Polizeiverordnung vom 10. November 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündingungen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Die Eigenthümerin des Hauses an der Kalbsgasse 10, Herr Hepp Gustav, wird hiermit aufgefordert, allen von der Straße aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneten Hauses vor dem 1. Oktober dieses Jahres auffrischen zu lassen, widrigenfalls gegen ihn das Strafverfahren eingeletet werden wird.
Falls an dem Hause Inschriften vorhanden sind, müssen dieselben beseitigt oder nach Massgabe der Polizeiverordnung vom 10. November 1887 erneuert werden.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung giebt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstreichen oder Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein theilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerüstes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden.
Artikel 3 – Sollten irgend welche Hindernisse gegen die Ausführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom Eigenthümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen ; die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschließliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstrichen oder Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
Artikel 5 – Gegenwärtiger Beschluß wird dem Herrn Polizei-Kommissar des I. Reviers mit dem Ersuchen übersandt, den Beschluß dem Eigenthümer gefälligt zuzustellen, sowie den Vollzug der darin enthaltenen Bestimmungen gefälligst zu veranlassen.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 11. Mai 1901
Der Bürgermeister, J. A. 8/5
[in fine :] mdt 13.5.1901 – ab 15/5

An das Bürgermeister Amt der Stadt Straßburg, hier
In Erwiederung Ihres Schreibens V-a 2246 vom 11. Mai d. J. theile ergebenst mit, dass das Erdgeschoss /das vorigen Herbst neu eingerichtet/ auf die Kalbsgasse hin, dieser Tage frisch gestrichen und fertig gemacht wird.
Die anderen Seiten betreffend, ist die gewöhnliche Frist noch nicht erloschen.
Achtungsvoll, Gustave Hepp, 10. Kalbsgasse
12 Juni 1901
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing : 13 JUN 1901, V-a 3024

[in fine :] Für H. Adis – H. Nyssen 14/6
Mit dem Erneuern des Anstrichts am Hause Kalbsgasse 10 ist noch nicht begonnen worden. 17/6 – H. Nyssen 8/7
Der Anstrich ist noch nicht erneuert. 11/7 – H. Adis 1/8
Noch wie vor, 8/8 01 – H. Adis 8/10
Noch wie vor 12/10 01

Strassburg, den 12. Oktober 1901, V-a 3024
Verf.
1) Nach den Hinderungsgründen zu fragen.
+ + +
2) Nach 14 Tg.
Das Stadbauamt, J. V. 12/10
mdt. 14.10.01 – ab 15/10
Verb. 5114

An das Bürgermeister Amt der Stadt Strassburg i. El., hier
Ich habe den Brief V-a 2246 vom 11 Mai 1901 am 12.ten Juni beantwortet und diesem Begehren Folge geleistet. Die darin angegebenen Malerarbeiten sind seit Ende Juli fertig.
Wundere mich einen Brief als Aufforderung V-a 3034 am 15 October zu erhalten, wahrscheinlich Irrthumsweise.
Achtungsvoll, Gustave Hepp, 10. Kalbsgasse
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing : 19 OKT. 1901, V-a 5114
H. Adis 21/10, umstehend

[verso]
Die große Facade an der Kalbsgasse 10 ist aufgefrischt. Die Wasserseite noch sauber. Es wäre nur noch die große unsaubere Außenseite am Tränkgäschen aufzufrischen, was Hr Hepp der vorgeschrittenen Jahreszeit wegen im nächsten Frühjahr aufzufrischen verspricht, wozu ihm Frist bis 1. Juni befürwertet wird. 22/10
[in fine :] H. Köhler 23/10
Schreib. ums. 26/10

V-a 5114, Strassburg , den 28. Oktober 01
Verfg.
1. An Herrn Gustav Hepp, Hier, Kalbsgasse 10
Auf die Eingabe vom 19. d. Mts. betreffend Auffrischung der Außenseiten Ihres Hauses Kalbsgasse 10, theile ich Ihnen ergebenst mit, daß die Seite nach dem Tränckgäschen sehr unsauber ist und infolge dessen aufgefrischt werden muß.
Da nach Art. 1 des Aufforderungsscheines V-a 2246 vom 11.5.01 alle von der Straße aus sichtbaren Außenseiten aufzufrischen waren, so ersuche ich Sie ergebenst die noch auszuführenden Arbeiten bis zum 1. Juni 1902 bewirken zu lassen.
Am 1/4 02
Der Brgmstr. J. A., 28/12
mdt. 28/10 – ab 29/10
V-a 1675, H. Adis 2.4.02

Umschlag zu V-a 1675, Kalbsgasse, Hepp
Noch nicht aufgefrischt. Termin 1/6. 02
12/6. 02
Strassburg, den 13. Juni 1902 V-a 3539
Verf.
1) Es ist nach den Hinderungsgründen zu fragen.
+ + +
2) Nach 14 Tg.
Das Stadbauamt, J. V. 21/6
mdt. 27/6 – ab 27/6
verb/ 3532

[Polycopié manuscrit complété à la main]
Bürgermeister-Amt der Stadt Strassburg i. Els., V-a N° 3532
Strassburg i. Els., den 23. Juni 1902
Laut diesseitigen Beschlusses V-a 1675 vom 28. Oktober 1901 sind Sie aufgefordert worden, die Außenseiten des Hauses an der Kalbsgasse N° 10 bi zum 1. Juni ds. Js. aufzufrischen zu lassen. Da Sie nach amtliche Feststellung dieser Aufforderung bisher noch nicht nachgekommen sind, so wollen Sie gefälligst binnen vierzehn Tagen nach Empfang dieses Schreibens die etwaigen Hinderungsgründen mittheilen.
Der Bürgermeister J. A.
An Herrn G. Hepp, Kalbsgasse 10, Hier

[verso] Den Malermeister Arnheiter erscheint u. erklärt, daß die Außenseiten des fraglichen Hauses innerhalb 3 Wochen aufgefrischt werden. Strassbg. 2/7. 02
Beglaubigt,
V-a 3582, 2/7 02
H Adis 25/7
Die Stockwerke sind abgewaschen, das Erdgeschoß ausgebessert & nun gestrichen worden. 30/7 02.
Erl.
Zu den Akten, Str. den 30.7.02, der Bürgmstr. J. A.

(XIII)

1905 – Charles Ludringer demande l’autorisation de débiter de la bière en bouteilles. La Police du Bâtiment répond par une liste des aménagements nécessaires.

N° V-a 522, pr. d. 4.2.05
Bürgermeisteramt Straßburg – Baupolizei-Amt
Umschlag zu dem Schreiben der Abteilung II vom 1 ten Februar 1905 Nr. II-a 464
betreffend : Gesuch des Karl Ludringer um Erteilung der Erlaubniß zum Ausschank von Flaschenbier im Hause Kalbsgasse 10

Strassburg, den 8.ten Februar 1905
Die aus einem Pissoir und einem Abtritt bestehende Bedürfnisanstalt auf dem Grundstücke  » Kalbsgasse N° 10  » befindet sich an einem Raum des Erdgeschosses mit einer Fensteröffnung nach dem Tränkgäßchen. Die betreffenden Anlagen sind ohne Wasserspülung. Die Genehmigung zum Auschank von Bier wurde von der Erfüllung der nachstehenden Bedingungen abhängig zu machen sein :
1) Es ist ein besonderer Abtritt für des weibliche Geschecht anzulegen & der Zugang zu demselben ist von dem Zugang zu dem übrigen Teile der Bedürfnisanstalt tunlichst zu trennen.
2) Alle Anlagen der Bedürfnisanstalt sind mit Wasserspülung zu versehen und an die städtische Kanalisation anzuschließen.
3) Die Wände der einzelnen Räume sind zu gipsen und mit Ölfarbe zu streichen.
Der Stadtbauinspektor, 8/2

V-a 522, Str. 9. Februar 1905
1. K. H. der Abteilung II
unter Bezugnahme auf das beigefügte Gutachten erg. übersandt.
2. Z. d. A. – Abt. V-a, d. Beigd.
[in margine :] mdt. 9/2.05 – ab 9.2.05

(XIV)

1905 – Un locataire se plaint de la mauvaise odeur que dégagent les latrines. Une visite des lieux montre qu’il n’y a pas de chasse d’eau ni d’aération : il faudra raccorder les latrines aux canalisations et prévoir une aération.
La commission des logements demande le raccord aux canalisations et de supprimer une porte en bois qui donne sur une cheminée. La porte en bois est remplacée par une porte en fer (février 1906) après mise en demeure au propriétaire.

A. Roessel, Kalbsgasse 10, Straßburg i. E.
Strassburg i/Els. den 27. September 1905
An das Stadtbau-Amt, Hier
Da die Aborte des Vorderhauses Kalbsgasse N° 10 (Eigenthümer Herrn Hepp) gar keine Ventilation haben die Schilter derselben mit ganz gewöhnlichem Blech doublirt & ohne Verschlußkapfeln versehen sind, so dringt der Geruch zu sehr in meine Wohnung.
Ich ersuche daher das Stadtbauamt die Aborte des Hauses Kalbsgasse N° 10 einer genauer Revision zu unterwerfen um diesem Uebelstande baldigst Abhilfe zu schaffen. Hochachtend, A. Roessel, Kalbsgasse 10, 2° Etage, Vorderhaus
[in margine :] Bürgermeisteramt, Strassburg i. Els. Eingang 30 Sept. 1905, V-a J. Nr 5675
[in fine :] Klein 2/10

Bei der Besichtigung ist festgestellt worden, daß der Abtrittsraum nicht entlüftet, der Abtritt keine Wasserspülung u. keine Verschlußklappe hat und die Abtrittgrube nicht entlüftet ist. Der Eigentümer dürfte aufzufordern sein, den Abtrittraum ausreichend entlüften u. das Abtritt an die Kanalisation anschließen zu lassen. Kl. 13/10
[in margine :] Eilt ! H. Schaffner – 13/10

V-a 5675, Strassburg den 17. Oktober 1905
G. K. dem Stadtbauamt
Zur gefl. Äusserung ergebenst übersandt ob die Kalbsgasse kanalisirt bez.w. obschon dortseits wegen Anschluß der Aborte gegen dem Eigentümer des Hauses N° 10 vorgegangen wird.
Der Bürgermeister I.A.
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 18. OKT 1905, BA J. Nr. 5933

[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 21. OKT 1905, V-a J. Nr. 5675
Strassburg den 19. Oktober 1905
Gk
Die Kalbsgasse ist kanalisirt. Wegen des Anschlusses der Aborte ist diesseits nichts geschehen.
Stadtbauamt
[in margine, au crayon :] Wohnungsamt !

V-a 5675, Strassburg den 4 November 1905
G. K. der Abteilung III-b
mit dem Ersuchen um gefl. Ausserung erg. übersandt, ob nicht von Seiten der Wohnungs: Kommission der Anschluß der Aborte an die Kanalisation verlangt werden kann.
Evtl. ersuche ich des Weiten zu veranlassen, da durch nur eine vorschriftsmäßige Entlüftung der Aborte verlangt werden könnte.
Abteilug V-a, der Beigeordnete
[in fine :] Vrl*. Term. 14 Tage (20.11.05)

III-b A 255 Strassburg, 11 November 1905
Urschriftlich ergebenst zurück
Der Eigentümer ist durch die Wohnungskommission zum Abortanschluß aufgefordert worden. Die Erledigung wird z. Zt. mitgeteilt werden. Im Hause wurde weiter festgestellt :
In der Wohnung Neumann v. H. I. St. ist der Kamin im Gang durch eine Holztüre geschlossen. Bezüglich dieser feuerfegfährlichen Anlage ersuche ich ergebenst das Weitere zu veranlassen und mir von der Erledigung gefälligst Mitteilung zu machen.
Abteilung III-b

V-a 5675 (pr. 14/11 – Klein 14/11)
Bei der Besichtigung ist festgestellt worden, daß im I. Stock des Vorderhauses eine Schornsteinöffnung mit einer Holztüre abgeschlossen ist. Der Eigentümer Hepp dürfte aufzufordern, die betr. Öffnung mit einer eisernen Türe abschließen zu lassen. Kl 28/11

Eilt ! H. Schaffner 28/11

V-a 5675 Strassburg, 2. Dezember 1905
1) An Herrn Hepp Eigentümer, Kalbsgasse 10
Nach diess. Feststellung ist im I. Stock des Vorderhauses Ihres Anwesens Kalbsgase 10 eine Schornsteinöffnung mit einer Holztüre abgeschlossen.
Unter Bezugnahme auf die Vorschriften des § 32-I Ziffer 4, wonach die Reinigungsöffnungen mit eisernen in Holze schlagenden Türen oder Schiebern dicht abzuschließen sind, fordere ich Sie hierdurch auf, das Erforderliche umgehend zu veranlassen
+ + +
2. Nach 8 Tagen
Der Brgmstr. J. A. 1/12
[in margine :] mdt. 2/12 – ab 4/12 05 – Klein 12/12

Die Türe an der Schaufensteröffnung ist noch nicht abgeändert. Der Eigentümer erklärte, daß die Abänderung einem Schlossermeister übertragen worden ist. Kl.29/12
H. Klein 19/1
Die eiserne Türe ist noch nicht angebracht. Der Eigentümer dürfte zu erinnern sein. Kl. 6/2

V-a 959 Strassburg, den 10. Febr. 1906
1. An Herrn Hepp, Eigentümer
Ich erinnere Sie hierdurch an die Erledigung meines Schreibens V-a 5675 vom 2. v. M. betr. Anbringung einer eisernen in Falze schlagenden Türe oder Schieber am Schornstein in Ihrem Anwesen Kalbsgasse 10 innerhalb 14 Tage, widrigenfalls ich mir weitere Schritte vorbehalten müßte.
Der Brgmstr. I. A., 9/2
2. Nach 14 Tagen
[in margine :] mdt 10/2 – ab 10/2 06

H. Klein 24/2
Die eiserne Türe ist angebracht. Erl. Kl. 9/3
Zu den Akten Str. 10.3.1906, Der Brgsmstr. J. A.

(XVI)

Strassburg, den 4. Juni 1907
An ein titl. Stadtbauamt
Der ergebenst Unterzeichnete sucht durch Gegenwärtiges um die Erlaubniß nach am Hause Kalbsgasse 10, ein Schild mit der Aufschrift :  » Joh. Kadlez, Wiener Damenschneider, erste Etage rechts « , anbringen zu dürfen.
Um Bescheid ergebenst bittend, zeichnet hochachend
Joh. Kadlez, Damenschneider
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 7-JUN 1907, V-a J. Nr 4470
Straßburg, Kalbsgasse 10-I

H. Adis 8/6
Es soll ein Querschild angebracht werden. Trottoir 1.20 m breit. Kostenwert unter 20 M. 14/6 Adis
H. Köhler 14/6

Bauschein / Werth bis zu 20 Mark
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 4470
Name des Antragstellers : Joh. Kadlez, Damenschneider, Hier, Kalbsgasse 10-I
Durch die Kaiserliche Polizei-Direktion
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse 10
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 26.9.07
Herrn Bauführer Adis, zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 30. September 1907, Der Bauinspektor
[in fine :] 1. Zu mahnen 2. Nach 14 Tagen, Strassburg, den 29.6.07
ab. 7/11
Kenntnis genommen. Noch kein Querschild vorhanden. 8/10 Adis

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 7. Juni 1907 betreffend die Anbringung eines Querschildes an der Straßenfluchtwand des Hauses Kalbsgasse N° 10 ;
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt ;
In Erwägung, daß der Bürgersteig vor dem betreffenden Hause 1,20 m breit ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des § 5 der Bauordnung vom 1. September 1904 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden sollen.
2) Das neu anzubringende Querschild muß mindestens 50 Centimeter von der Fassung des Bürgersteigs, 65 Centimeter von der Nachbargrenze und 2 Meter von der öffentlichen Wandlaterne entfernt bleiben und wenigstens 3 Meter hoch über der Straßenfläche angebracht werden. Sein Flächeninhalt darf 0,50 Quadratmeter, das Vortreten vor die Wand 70 Zentimeter nicht überschreiten.
3) Für die Anbringung des Schildes ist eine Gebühr von achtzig Pfennigen jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
4) Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung des Schildes dem Baupolizeiamte schriftlich oder mündich angezeigt ist.
* 5) Die Genehmigung erstreckt sich – – – [lediglich auf die Anbringung des Schildes. Die Genehmigung für die Aufschrift ist beim Kaiserlichen Polizei-Präsidium] nachzusuchen.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 18 Juni 1907 – Der Bürgermeister, J. A., 17/6
Gebühren : Anbringung eines Querschildes 0,80 M
[in fine :] mdt. 19/6
Baugebühren geschrieben 19.6.07

G. B. V-a 4470, pr. 26.9.07
Die Baugebühren sind heute eingezogen worden. Der Stadtrechner J. A.26.9.07 – H. Diemer 26/9

[in margine :] Ist das Schild schon angebracht ? H. Adis 1/8.07
Noch kein Querschild vorhanden. Wegen Baugebühr mündl. erinnert. 6/8 Ad. – H. Schaffner 6/8
Baugebühr ist bis jetzt nicht einbezahlt worden. 24/8

V-a 4470, Str. den 2 6/8
G. K. Der Stadtkasse, Hier
Zur gefälligen zwangsweisen Beitreibung der Baugebühren ergebenst übersandt. Bauschein liegt bei. Der Bürgermeister, J. A. 26/8
[in margine, Stempel :] Stadtkasse Strassburg i. E. Eing. 29. AUG 1907

H. Adis 2/11
Noch kein Querschild vorhanden. 6/11 Ad.
H. Adis 2/12
Noch wie vor 4/12 Ad.
H. Adis 6/1
Noch wie vor 6/1 Ad.
H. Adis 2/3
Für Herr Adis, H. Klein 7.3
Ein Querschild ist gut angebracht. 9/4 Ad.
Zu den Akten, Str. 11.4.1908, Der Brgmstr. J. A.

(XVIII)

[Polycopié dactylographié sur papier à lettres imprimé]
Bürgermeister-Amt der Stadt Strassburg i. Els., Baupolizei-Amt, V-a N° 4584
Strassburg i. Els., den 24. September 1909
Nach diesseitiger Feststellung haben Sie ohne baupolizeiliche Genehmigung am Hause Tränkgäßchen N° 1 ein Querschild anbringen lassen.
Auf Grund der Vorschriften der städtischen Bauordnung ersuche ich Sie hiemit ergebenst, innerhalb 8 Tagen ein entsprechendes Gesuch vorzulegen.
Der Bürgermeister J. A. Emerich
Herrn Leon Hertenberger, Sprachlehrer Hier, Tränkgäßchen 1

[verso] V-a 4723, pr. 30/4
Es erscheint der Unterzeichnete & bittet nachträglich um die amtl. Genehmigung zur Belassung des angebrachten Querschildes am Tränkgäßchen N° 1. Straßbg. d. 30/9 09, Léon Hertenberger
Begl. 30/9 – Adis 30/9
Ein kleines Querschild ist 3,00 m hoch mit 50 c Vorsprung angebracht verbleibt über Nacht. Kein Trottoir vorhanden. Kein Fuhrweg, nur Gehweg 2,80 m breit. Kostenwert unter 20 M. Wiederrufl. befürwortet. 6/11 Ad. – H. Deutschmann 6/10

Bauschein
Werth bis zu 20 Mark
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 4723
Name des Antragstellers : Leon Hertenberger, Hier, Tränkgäßchen 1
Durch das Kaiserliche Polizei-Präsidium
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : [supra]
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 10.3.10
[in fine :] 1. Zu mahnen, 2. Nach 14 Tagen, Strassburg, den 10.11.09 – ab 10/11

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 30. September 1909
betreffend die Anbringung eines Querschildes am Hause Tränkgäßchen N° 1 für Herrn Leon Hertenberger ;
In Erwägung, daß es sich um die bereits erfolgte Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt ;
In Erwägung, daß vor dem betreffenden Hause kein Bürgersteig vorhanden ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Leon Hertenberger vom 30. September 1909 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
* 1) Das neu angebrachte Querschild ist innerhalb 8 Tagen so abzuändern, daß das Vortreten vor die Wand 25 Zentimeter nicht überschreitet.
2) Für die Anbringung des Schildes ist eine Gebühr von achtzig Pfennigen jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
3) Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung des Schildes dem Baupolizeiamte schriftlich oder mündich angezeigt ist.
4) Diese Genehmigung erstreckt sich lediglich auf die Anbringung des Schildes. Die Genehmigung für die Aufschrift ist beim Kaiserlichen Polizei-Präsidium nachzusuchen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 9. Oktober 1909 – Der Bürgermeister, J. A., 7/10
Baugebühren : Anbringung eines Querschildes 0,80 M
[in fine :] mdt. 30/7
Baugebührenschein geschrieben am 29.7.08

[in margine :]
Z. N. Gebühren für Bauschen V-a 4723 sind noch nicht bezahlt. 14/12
V-a 4723, Str. den 14. XII. 09
Vfg.
1) Beiliegeder Zwangsbeitreibungsbeschluß ist der Stadtkasse zum Vollzug abzugeben.
+ +
2) Nach 6 Wochen.
Der Bgstr. J. A. 14/12 – ab 16/12
H. Schaffner 31/1 – H. Weber 31/1
Laut Nachfrage bei der Stadtkasse sind die Gebühren noch nicht eingegangen. Dieselbe geht neben Zwangsweise vor. 31/1 – H. Schaffner 21/1 – H. Weber 22/2

Laut Nachfrage bei der Stadtkasse sind die Gebühren noch nicht eingegangen. 24/2
Ist das Schild noch vorhanden ? H. Adis 24/2
Besagter Querschild ist z. Z. noch vorhanden. Hr. Hertenberger wohnt noch da. 5/3 Ad. – H. Schaffner 5/3

V-a 1149, Str. -/3.10
1. An Herrn Leon Hertenberger, Hier, Tränkgässchen 1
Hierdurch ersuche ich Sie die Baugebühr im Betrage von 0,80 für ein Querschild an der Straßenfluchtwand des Hauses Tränkgässchen 1 binnen 8 Tagen an die Stadtkasse zu entrichten, widrigenfalls das Schild zwangsweise beseitigt wird.
+ + +
2) Nach 8 Tagen
Der Bgstr. J. A. 10/3 – mdt. 12/3. 10 – ab 12/3.10
[Idem, exemplaire à envoyer, image 9770]

Baugebühren im Betrage von 0,80 M bezahlt am 10/3 – H. Adis 15/3
Kennt. gen. & eingetr. das Querschild mit 50 c Vorsprung ist noch unverändert vorhanden. 16/3 Ad.
Wegen der Abänderung. H. Deutschmann 16/3

V-a 1149 Str. 29./ 10.
1. Herrn Leon Hertenberger, Hier, Tränkgässchen 1
Ich erinnere Sie hiemit an die Erfüllung der Bedingung unter Ziffer 1 des Bauscheins V-a 4723 vom 9. Oktober v. J. betreffend die Anbringung eines Querschildes am Hause Tränkgaeschen N° 1 und ersuche Sie ergebenst, das Erforderliche nunmehr innerhalb 8 Tagen zu veranlassen, widrigenfalls Sie Weiterungen zu gewärtigen haben.
+ +
2) Nach 8 Tagen
Der Brgmstr. J. A., 26/3
[in margine :] ab 4/4 10
Siehe V-a 1149 v. 6/4.10

[Idem, exemplaire à envoyer]
[verso] Str. den 6/4 10
Es erscheint Herr Hertenberger u. gibt an, daß das Schild flach an die Wand angebracht worden ist ; er bittet um besichtigung.
Z. Begl., Diemer – H. Adis 6/4.10

Besag das Querschild ist umgedreht & flach an die Fluchtwand, ohne Vorsprung, angebracht worden, somit künftig (für 1910) steuerfrei. Steuer Rolle für 1910 berichtigt. 8/4 Ad.
Zu den Akten, Str. 8/4 1910, Der Brgmstr. J. A.

(XIX)

Strassburg, den 7. März 1910
An das Bürgermeisteramt Hier
Unterzeichneter ersucht das Bürgermeisteramt um Erlaubniss, den Verputz der Fassade an seinem Eigentum Kalbsgasse 10 ausbessern zu dürfen.
Hochachtungsvoll, Gustav Hepp, 10 rue des Veaux
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 10 MRZ 1910, V-a J. Nr 1087
[in fine :] H. Deutschmann 12/3

Bauschein
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 1087
Name des Antragstellers : Gustav Hepp, Hier. Kalbsgasse 10
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : (ut supra)
Baugebühren im Betrage von M. 80 Pfg. bezahlt am 6.4.10
1) Herrn Bauführer Klein zur gefälligen Kenntnisnahme und Bauprüfung.
Straßburg den 7. April 1910, Der Bauinspektor

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 10. März 1910 betreffend die Ausbesserung des Fassadenputzes am Hause Kalbsgasse N° 10 für Herrn Gustav Hepp ;
Artikel 1. Das Gesuch des Gustav Hepp vom 10. März 1910 wird vorbehaltlich etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Ins besondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 1. September 1904 verpflichtet, dem Bürgermeisteramt den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seile und Bankeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
Die Verwendung von Hängegerüsten ist jedoch nach den Vorschriften des § 20 der Unfallversicherungsvorschriften der Südwestlichen Baugewerks-Hausgenossenschaft (Ausgabe 1907) nur für kleinere Verputzarbeiten zulässig.
3) Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermelde-Anlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphennetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphendirektion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen § 318 des Reichsstrafgesetzbuches verwiesen.
4) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 15. März 1910 – Der Bürgermeister, J. A., 14/3
Baugebühren : Ausbesserung des Fassadenputzes, 0,80 M
Baugebühren geschrieben am 16.3.1910
[in fine :] mdt. 16/3

[in margine :] Noch nicht in Ausführung, 26/4
H. Mey 2/5
Noch nicht beg. In 10 Tagen. 11/5 10 – H. Mey 21/5
Noch nicht beg. 24/5 10 – H. Mey 30/5
Die Verputzausbesserungen sind zum Teil schon erfolgt. In 8 Tagen, 2/6. 10 – H. Mey 9/6
Faßt folgenden Beschluß :
[verso de la première page] Z. Zt. werden die Malerarbeiten ausgeführt. Wegen des Verputzes Erl. d. 14/6. 10
Z. d. Akten 14/6
Zu den Akten, Str. 15.6.1910, Der Brgmstr. J. A.

Albert Metzger, Bauunternehmer, Strassburg
Strassburg, den 11 Juli 1910
An das Kaiserliche Polizei Revier I
Unterzeichneter ersucht gefgst., um Erlaubniß ein Leitergerüst aufzustellen an die Fassade des Hauses Kalbsgasse 10 und Ecke Tränckgässchen zum ausbessern des Verputzes, von heute ab.
Hochachtungsvoll, A. Metzger
[in margine, Stempel :] Pol. Rev. Eing 11/7, J. Nr. 7438
K. G. gehorsamst vorgelegt. Erlaubnis ist diesseits erteilt worden. Strassburg, den 11.7.10, Revier I

[in margine, Stempel :] Kais. Polizei Präsidium, Eing. 12. JUL 1910, Straßburg i. Els, II 6994
6994, Strassburg, den 14. Juli 1910
Betr. Baupolizei, Urschriftlich dem Bürgermeisteramte hier mit dem Ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt. Der Polizei-Präsident.

[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els, Eingang 15 JUL 1910, V-a J. Nr 3149 pr. 15/7 10
Eilt ! H. Mey 15/7
Bausch. beigef. Kl. 22/7
Obige Angaben sind anzurechnen. 19/7
Eilt ! Schaffner 19/7
H. Klein 20/7 10

Bauschein N° V-a 3149
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : A. Metzger, Hier, Ballhausgasse 17
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse 10
Baugebühren im Betrage von 1 M. 28 bezahlt am 30.8.10

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 11. Juli 1910
betreffend die Aufstellg. eines Leitergerüstes am Hause Kalbsgasse 10 u. Ecke Tränkgäßchen zum Ausbessern des Verputzes ;
Nach Einsicht des Schreibens des Kais. Polizei-Präsidiums II 6994 vom 14. Juli 1910 wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführungen auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 11. Juli 10 in Benutzung genommen ist.
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des H. A. Metzger v. 11. Juli 10 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruch-Rechte dritter nach den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1. Die Benutzung des Straßengeländes in enem Umfang von
8,00 . 0,80 m = 6,40 qm ist auf die Zeitdauer von einer Woche festgesetzt, und zwar vom 11.ten Juli 10 bis 17.ten Juli 1910. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche nach Maßgabe des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2. Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist vor Ablauf der alten Genehmigung eine neue Genehmigung einzuholen.
3. Die Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4. Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Teilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5. Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6. Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgeländern und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seile und Bankeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
7. Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
8. Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten das Feuermeldekabel freigelegt oder die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphnetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen des § 318 des Reichs-Strafgesetzbuches verwiesen.
9. In Straßen mit Asphalt- oder Holzfahrbahnen dürfen die Bäume von Standgerüsten (Gerüstbäume, Gerüststangen etc.) und die Pfosten von Bauzäunen nicht in den befestigten Straßenbelag eingelassen werden, sie müssen vielmehr in anderer weise auf geeigneten Unterlagen (Schwellen, Schuhe oder sonstige Hilfsmittel) sicher gegen Ausweichen befestigt werden.
10. Es sind geeignete Schuzvorrichtungen zu treffen daß die auf der Straße vor dem Neubau befindlichen Bäume nicht beschädigt werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von zwei Mark 28 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Straßburg den 10. Juli 1910, Der Bürgermeister, I. A., 23/7
Baugebühren geschrieben am 27.7.10

Gebühren : 1) Straßenbenutzung 6,40 qm . 0,20 M = 1,28 M 2) Verputzausbesserung : 1,00 M, zus. 2,28 M
mdt. 27/7 Kl
[in margine :] Unvorgeladen erscheint J. Metzger & giebt an, daß 1 M für Verputzausbesserg. zu viel angesetzt ist, da für Verputzausbesserg. er mit Bausch. V-a 1087 die Genehmig. erhielt. Begl. Klemp., A. Metzger, 8/8
Bitte Vorgang* V-a 1087 – 8/8
H. Schaffner 8/8
V-a 1087 geh. beigef. Kl. 8/8

V-a 3149, Str. 24/8 10
Notiz : Es trifft zu, daß mit dem Bausch. V-a 1087 die Verputzausbesserung mit 1 M verrechnet u. die Stempelgebühr erhoben wurde. Kl. 20/8

V. A. Es ist ein neuer Gebührenschein für 1 Woche mit 6,40 qm . 0,20 M = 1,28 M als Stempelfrei der erste Benutzung unter selbiger Gebühren auszustellen u. Bauschein entsprechend zu ändern. + +
2. Nach 14 Tagen. Der Brgmstr. J.A., 23/8 – Kl. 23/8

Baugebührenschein geschrieben am 25/8
Bausch. berichtigt Kl. 26/8
Gebühren bezahlt am 30/8
Z. d. A., Str. 5.9.10, der Bgstr. J. A.

(XX)

V-a G. B.
Mr Arnheiter, Malergeschäft hier, läßt z. Zt. am Hause Kalbsg. N° 10 (Front Illseite) Neuanstrich auf dem bereits hergestellten Hängegerüste vornehmen. Neuanstrich gehört zu größeren Arbeiten und dürfte hiezu die Erlaubnis nachzusuchen sein. Durch den kleinen, mit hoher Mauer umgebenen, jetzt bepflanzten Garten, läßt sich nicht leicht eine andere Gerüstart anbringen. Die Benutzung des Hängegerüstes kann ich in diesem Falle befürwerten. 2/6. 10
Eilt ! H. Köhler 2/6
Not. Nach § 2-c der B. O. vom 8. IV. 10 besteht nur Anzeigepflicht. K. 2/6

V-a 2534 Str. 2/6.10
1) Frau Wwe. Arnheiter, Malergeschäft Hier
Nach diesseitiger Feststellung lassen Sie an dem Hause Kalbsgasse 10, die Front nach der Ill neu anstreichen, ohne der in § 2 der Bauordnung vom 8. April 1910 vorgeschriebenen Anzeigepflicht genügt zu haben.
Ich ersuche Sie hiermit ergebenst fernerhin in ähnliche Fällen rechtzeitig 1 Woche vor Beginn der Arbeiten schriftliche Anzeige zu erstatten, unter Angabe der Probe, mit welcher der Anstrich ersetzen.*
Die Verwendung von Hängegerüste will ich im vorliegenden Falle mit Rücksicht auf die örtlichen Verhältnisse, ausnahmsweise gestatten, jedoch sind folgende Vorschriften zu beachten. [Reste du paragraphe polycopié] Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittels Seile und Baukeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
+ + +
2) Nach Abgang H. Mey – Der Brgmstr. J. A. 2/6
mdt 3/VI – ab 6/6.10

Das Hängegerüst ist jetzt beseitigt 2/6
Z. V.) Ferner wird im Tränkgässchen Straßengelände benutzt indem ein Leitergerüst aufgestellt ist. 8/6. 10
H. Schaffner 9/6
Eilt ! H. Klempt
s. V-a 2610

Wwe. J. Arnheiter, 11 Finkweiler
Strassburg, den 6. Juni 1910
An das Kaiserliche Polizei-Revir I, Hier
[in margine :] I. Rev. Eing. 7/9, J. No 6347
Zum Anstreichen der Fasade Kalbsgasse 10 im Tränkgässchen ersuche ich an das Kaiserliche Polizei-Revier I die Erlaubnis zum Anbringen eines Leitergerüstes vom 7. Juni bis 11 Juni. Daselbe hat eine Länge von 10.00 m auf eine Breite von 0,80 m.
Hochachtungsvoll, Vve. J. Arnheiter, Marthe Arnheiter

[in fine :] K. G. gehorsamst vorgelegt. Erlaubnis ist diesseits erteilt worden. Strassburg, den 7.6.10., Revier I
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eing. 8-JUN 1910, Straßburg i. Els.
[verso] II- 5659
Strassburg, den 8. Juni 1910
Betr. Baupolizei, Urschriftlich dem Bürgermeisteramte hier mit dem Ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt. Der Polizei-Präsident.
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 10. JUN 1910, V-a J. Nr 2610
H. Schaffner 10/6.10
[in fine :] H. Klempt 11.6.10
s. Umschlag

Umschlag zu V-a 2610
Notiz : Nach Rüchsprache mit H. Mey kommt beim Anstrich dieses Hauses eine Gesamtfrontlänge von 35-40 m in Betracht.
Nach dem Gesuch hat das Leitergerüst (nicht Fassadenlänge) eine Länge von 10 m x 0,80 m für 5 Tage.
Es ist nun nicht anzunehmen, daß eine 35-40 m lange Front in 5 Tagen hergestellt wird ; es wird ein 3-4 maliges Versetzen des 10 m langen Gerüstes stattfinden. Kl. 14/6
Eilt !
Vorerst H. Mey zu Feststellg. & Bericht wann nun die Versetzungen des Gerüstes stattfinden. 14/6 10
Das Hinter & Mittelgebäude sind im Neuanstrich fertiggestellt. Die Gerüste sind beseitigt. Front Kalbsg. Ecke Tränkgässchen wird wohl erst später erneuert werden. Wegen der Straßenbenutzung siehe Skizze. Die Benutzung wäre in jedem Falle als erste Benutzung anzusehen. 21/6 10.

[Schéma] I. erste Ben. am 7/6 aufgestellt, am 13.6. beseitigt, 10,00
II. erste Ben. am 13/6 aufgestellt, am 18.6. beseitigt, 16,00
Front Kalbsgasse, Front Tränkgäßchen
Ist jetzt im Bausch. v-a 2704 berechnet

NB. Lt. Nachfrage beim I. Pol. Rev. ist die Weiterbenutzung für 10,00 . 0,80 m für eine zweite Woche wohl nachgesucht, es kommt aber nach den beiden Genehmigungen ein Betrag von 2,60 m von hier aus zur Erhebung : I. Benutzg. 8,00 qm . 0,20 = 1,00 M statt 32,00 qm . 0,30 + 1. 0.10 M = 9,60 M welcher tatsächlich erhoben werden müßte
Eilt ! H. Schaffner 21/6 – H. Klempt 21/6
Bauch. beigef. 25/6

Bauschein N° V-a 2610
Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Frau Ww. Arnheiter Hier, Finkweiler 11
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse 10 Front Tränkgässchen
Baugebühren im Betrage von 1 M 60 d. bezahlt am 16.8.10
[in margine :] 1. Zu mahnen 2. Nach 14 Tagen, Strassburg den 24.7.10
[in margine :] ab 30/7, gez. N.
[in margine :] Gebühren bezahlt am 26/8

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 6 Juni 1910 betreffend Aufstellung eines Leitergerüstes am Hause Kalbsgasse 10 Front Tränkgässchen ;
Nach Einsicht des Schreibens des Kais. Polizei-Präsidiums II 5659 vom 8. Juni 1910 wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführungen auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 7. Juni 10 in Benutzung genommen ist,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Frau Ww. Arnheiter vom 6 Juni 1910 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruch-Rechte Dritter nach den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1. Die Benutzung des Straßengeländes in einem Umfang von
10,00 . 0,80 = 8,00 qm
ist auf die Zeitdauer von einer Woche festgestelt, und zwar vom 7.ten Juni bis 13.ten Juni 1910. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche nach Maßgabe des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2. Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist vor Ablauf der alten Genehmigung eine neue Genehmigung einzuholen.
3. Die Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4. Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Teilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5. Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6. Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seile und Bankeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
7. Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
8. Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphnetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen des § 318 des Reichs-Strafgesetzbuches verwiesen.
9. In Straßen mit Asphalt- oder Holzfahrbahnen dürfen die Bäume von Standgerüsten (Gerüstbäume, Gerüststangen etc.) und die Pfosten von Bauzäunen nicht in den befestigten Straßenbelag eingelassen werden, sie müssen vielmehr in anderer weise auf geeigneten Unterlagen (Schwellen, Schuhe oder sonstige Hilfsmittel) sicher gegen Ausweichen befestigt werden.
10. Es sind geeignete Schutzvorrichtungen zu treffen daß die auf der Straße vor dem Neubau befindlichen Bäume nicht beschädigt werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Einer Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Straßburg den 14. Juni 1910, Der Bürgermeister, I. A., 28/6
Gebühren 8,00 qm . 0,20 M = 1,60 M
Baugebühren geschrieben am 30.6.10
[in margine :] mdt 2/7. 10
[in margine :] Z. d. A., Sbr. 19.8.10, der Bgstr. J. A.

Wwe. J. Arnheiter, 11 Finkweiler
Strassburg, den 13. Juni 1910
An das Kaiserliche Polizei-Revir I, Hier – zu V-a 2704
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eing. 14-JUN 1910, Straßburg i. Els., II 5841
Zum Anstreichen der Fasade Kalbsgasse 10 im Tränkgässchen ersuche ich an das Kaiserliche Polizei-Revier I die Erlaubnis zum Anbringen eines Leitergerüstes vom 13. Juni bis 18 Juni. Daselbe hat eine Länge von 18 m auf eine Breite von 0,80 m.
Hochachtungsvoll, Vve. J. Arnheiter, Marthe Arnheiter

[in fine :] K. G. gehorsamst vorgelegt. Die Erteilung der Erlaubnis stehen Bedenken hier nicht entgegen. Strassburg, den 13.6.10., Revier I
[verso]
Kais. Polizei-Präsidium N° 5841 Betrifft : Baupolizei
Strassburg, den 14. Juni 1910
Urschriftlich dem Bürgermeisteramt, Hier
Das anliegende Gesuch mit dem Ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt.
Die verkehrspolizeiliche Erlaubniß ist für die beantragte Fläche von 18 m Länge und 0,80 m Breite unter folgende Bedingungen für die Zeit bis 18. d. Mts erteilt worden (Seit 13 d. Mts in Benutz.)
das angrenzende nicht in Benutzung stehende Straßengelände ist von Bauschutt, Steinen pp. stets frei zu halten.
Der Polizei-Präsident I. A., Petin
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 16-JUN. 1910, V-a J. Nr. 2704
[in fine :] H. Schaffner 16/6 – Bauschein beigefügt 17/VI – H. Grunder 17/6

Bauschein N° V-a 2704
Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Frau Ww. Arnheiter Hier, Finkweiler 11
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse 10 (Front Tränkgässchen)
Baugebühren im Betrage von 2 M 8 d. bezahlt am 16.8.10

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 13 Juni 1910 betreffend Aufstellung eines Leitergerüstes am Hause Kalbsgasse 10 (Front Tränkgässchen)
Nach Einsicht des Schreibens des Kais. Polizei-Präsidiums II 5841 vom 14. Juni 1910 wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführungen auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 13. Juni 10 in Benutzung genommen ist,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Frau Wwe J. Arnheiter Finkweiler 11 vom 13 Juni 1910 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruch-Rechte Dritter nach den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1. Die Benutzung des Straßengeländes in einem Umfang von
18,00 . 0,80 = 14,40 qm
ist auf die Zeitdauer von einer Woche festgestelt, und zwar vom 13.ten Juni bis 19.ten Juni 1910. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche nach Maßgabe des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2. Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist vor Ablauf der alten Genehmigung eine neue Genehmigung einzuholen.
3. Die Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4. Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Teilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5. Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6. Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seile und Bankeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
7. Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
8. Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphnetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen des § 318 des Reichs-Strafgesetzbuches verwiesen.
9. In Straßen mit Asphalt- oder Holzfahrbahnen dürfen die Bäume von Standgerüsten (Gerüstbäume, Gerüststangen etc.) und die Pfosten von Bauzäunen nicht in den befestigten Straßenbelag eingelassen werden, sie müssen vielmehr in anderer weise auf geeigneten Unterlagen (Schwellen, Schuhe oder sonstige Hilfsmittel) sicher gegen Ausweichen befestigt werden.
10. Es sind geeignete Schutzvorrichtungen zu treffen daß die auf der Straße vor dem Neubau befindlichen Bäume nicht beschädigt werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von zwei Mark 88 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Straßburg den 21. Juni 1910, Der Bürgermeister, I. A., 20/6
Gebühren 14,40 qm . 0,20 M = 8,88 M
Baugebühren geschrieben am 21.6.10
[in margine :] mdt 21/7. 10

[in margine :] Eilt !
Wird Straßengelände noch benutzt ? H. Mey 21/6
Nein 23/6
H. Schaffner 25/6
1. Zu mahnen, 2. Nach 14 Tagen, Strassburg den 29.7.10
Gebühren bezahlt am 16/8
Z. d. A., Sbr. 19.8.10, der Bgstr. J. A.

Wwe. J. Arnheiter, 11 Finkweiler
Strassburg, den 14 August 1910
An das Kaiserliche Polizei-Revir I, Hier
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eing. 14-JUN 1910, Straßburg i. Els., II 5841
Zum Anstreichen der Fasade Kalbsgasse 10 ecke Tränkgässchen ersuche ich an das Kaiserliche Polizei-Revier I die Erlaubnis zum Anbringen eines Leitergerüstes vom 25 August bis 8 September. Dasselbe hat eine Länge von 28 m auf eine Breite von 0,80 m.
Hochachtungsvoll, Vve. J. Arnheiter, Marthe Arnheiter
[in margine : Pol. Revier 24/8, N° 9057]
[in fine :] K. G. gehorsamst vorgelegt. Die Erteilung der Erlaubnis stehen Bedenken hier nicht entgegen. Strassburg, den 24.8.10., Revier I

[verso]
Kais. Polizei-Präsidium N° 8778 Betrifft : Baupolizei
Strassburg, den 26.8.1910
Urschriftlich dem Bürgermeisteramt, Hier
Das anliegende Gesuch mit dem Ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt.
Die verkehrspolizeiliche Erlaubniß ist für die beantragte Fläche von 28 m Länge und 0,80 m Breite unter folgende Bedingungen für die Zeit bis 8.9. d. J. erteilt worden ;
das angrenzende nicht in Benutzung stehende Straßengelände ist von Bauschutt, Steinen pp. stets frei zu halten.
Der Polizei-Präsident I. A., Petin
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 28-AUG. 1910, V-a J. Nr. 4033 pr. 30/8
[in fine :] Eilt ! Klein – Mey 30/8
Wird benutzt wie beantragt
Eilt ! H. Diemer 31/8

Bauschein N° V-a 4033
Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Wwe J. Arnheiter Hier, Finkweiler N° 11
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Kalbsgasse 10 Ecke Tränkgässchen
Baugebühren im Betrage von 6 M 72 d. bezahlt am 16.10.10

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 24. August 1910 betreffend Aufstellung eines Leitergerüstes vor dem Hause Kalbsgasse N° 10 ;
Nach Einsicht des Schreibens des Kais. Polizei-Präsidiums II 8770 vom 26. August 1910 wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführungen auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 25. August 1910 in Benutzung genommen ist,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Frau Wwe Arnheiter vom 24. August 1910 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruch-Rechte Dritter nach den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1. Die Benutzung des Straßengeländes in einem Umfang von
28,00 . 0,80 = 22,40 qm
ist auf die Zeitdauer von zwei Wochen festgestelt, und zwar vom 25.ten August bis 7.ten September 1910. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche nach Maßgabe des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2. Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist vor Ablauf der alten Genehmigung eine neue Genehmigung einzuholen.
3. Die Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4. Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Teilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5. Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6. Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seile und Bankeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
7. Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
8. Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphnetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen des § 318 des Reichs-Strafgesetzbuches verwiesen.
9. In Straßen mit Asphalt- oder Holzfahrbahnen dürfen die Bäume von Standgerüsten (Gerüstbäume, Gerüststangen etc.) und die Pfosten von Bauzäunen nicht in den befestigten Straßenbelag eingelassen werden, sie müssen vielmehr in anderer weise auf geeigneten Unterlagen (Schwellen, Schuhe oder sonstige Hilfsmittel) sicher gegen Ausweichen befestigt werden.
10. Es sind geeignete Schutzvorrichtungen zu treffen daß die auf der Straße vor dem Neubau befindlichen Bäume nicht beschädigt werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von sechs Mark 72 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Straßburg den 5. September 1910, Der Bürgermeister, I. V.
Gebühren 22,40 . (0,20 + 0,10) = 6,72 M
Baugebühren geschrieben am 6.9.10
[in margine :] mdt 21/7. 10

[in margine :] Wird Straßengelände weiter benutzt ? für H. Mey 7/9 H. Grothe
Straßengelände wird nicht mehr weiter benutzt Gr. 14/9 10. – H. Weber gebühr 15/9
1. Zu mahnen, 2. Nach 14 Tagen, Strassburg den 8.10.10 – Ab 8/10
Gebühren bezahlt am 12/10
Z. d. A., Sbr. 20.10.10, der Bgstr. J. A.

(XVII)

Aufforderungsschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg. B.-Nr- V-a 3183
Name des aufzufordernden Eigentümers : Hepp Gustav, Hier, Kalbsgasse 10
Lage des in Betracht kommenden Hauses : (ut supra)
I. Polizei-Revier
[in margine :] siehen V-a 3183
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
In Anbetracht des Artikels 5 des Kaiserlichen Dekretes vom 26. März 1852 ;
Nach Einsicht des Kaiserlichen Erlasses vom 22. Juni 1854, welcher vorbezeichnetes Dekret auf die Stadt Straßburg ausdehnt ;
Auf grund des §17 der Bauordnung vom 1. September 1904 welcher folgenden Wortlaut hat :
 » 1. Die von der Straße sichtbaren Seiten der Gebäude sind beständig in sauberem Zustand zu erhalten.
2. Auf Aufforderung des Bürgermeisters müssen sie abgewaschen, angestrichen oder getüncht werden. Die Aufforderung enthält zugleich die Erlaubnis zur Vornahme der darin bezeichneten Arbeiten.
3. Die Auffrischung muß mindestens alle 10 Jahren einmal geschehen.  »
Nach Einsicht der von dem Herrn Bezirkspräsidenten erlassenen Polizeiverordnung vom 10. november 1887, betreffend die öffentliche Anbringung von Aufschriften und Ankündigugen,
Nach Einsicht der von dem kaiserlichen Polizei-Präsidium aufgestellten Verzeichnisses derjenigen Häuser, welche sich in einem unsauberen Zustande befinden,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Der Eigentümer des Hauses an der Kalbsgasse 10, Herr Gustav Hepp wird hiermit aufgefordert, alle von der Straße aus sichtbaren Außenseiten vorbezeichneten Hauses vor dem 1. Oktober dieses Jahres auffrischen zu lassen, widrigenfalls das Strafverfahren eingeleitet werden müßte. Falls an dem Hause Inschriften vorhanden sind müssen dieselben beseitigt oder nach Maßgabe der Polizeiverordnung vom 10. November 1887 erneuert werden.
Artikel 2 – Vorstehende Aufforderung gibt dem Eigenthümer nur die Berechtigung zur Auffrischung der äußeren Hausflächen durch Abreiben, Anstreichen und Tünchen derselben. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit, sei es nur ein teilweises Erneuern des Mörtelbewurfes, oder sei es die Benutzung von Straßengelände zum Aufstellen eines Gerütes und dergleichen mehr, muß eine besondere Genehmigung bei der zuständigen Behörde eingeholt werden
Artikel 3 – Sollten irgend welche Hindernisse gegen die Ausführung vorstehender Aufforderung bestehen, so sind diese vom Eigentümer vor dem 1. Juli dieses Jahres beim Bürgermeisteramte auf schriftlichem Wege geltend zu machen ; die Entscheidung hierüber bleibt dem Bürgermeisteramte vorbehalten.
Artikel 4 – Die ausschließliche Auffrischung der Häuser durch Abreiben, Anstreichen und Tünchen unterliegt der Erhebung von Baugebühren nicht.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 27. Mai 1908
Der Bürgermeister J. A. 25/5
[in margine :] mdt. 27/5 K. – ab 30/5.08, Kl – gez. Dr. E. 25/5

Strassburg, den 24. Juni 1908
An das wohllöbliche Bürgermeisteramt, Hier
Bedauere der Aufforderung (3183) betreffend Anstreichen der Aussenseiten meines Hauses Kalbsgasse 10 auf ersten October nicht nachkommen zu könnnen.
Ich habe durch den Anschluß an die Kanalisation grössere Ausgaben, die ich nun zu decken haben und möchte daher bitten mir eine Frist von einem Jahre zur Auffrischung gewähren zu wollen.
Achtungsvoll, Gustave Hepp, 10 Kalbsgasse
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i Els Eingang : 25 JUN 1908, V-a J.N. 3183
[in margine :] h. Klein 26/4.08
[in fine :] die Außenseiten des Hauses sind nicht sehr unsauber. 13/7 – Kl. 13/7

[verso] V-a 3183 Straßburg, den 24. Juli 08
Vf.
1) Herrn Hepp ist durch Formblatt eine Frist bis zum 1. Juli 1909 zu bewilligen
+ + +
2. W. Vorl. am 1.7.09
Der Brgsmst. J. A., 20/7
[in margine :] mdt 25/9 – ab 27/7/08
H. Mey 1/7
[Stempel :] Noch nicht aufgefrischt den 5. Juli 09
5/7 – H. Hauss 6/7
ab. 14/7
Siehe V-a 3350

Strassburg, den 24. Juli 1909
An das wohllöbli. Bürgermeisteramt, Bau-Polizei-Amt, Hier
In Antwort Ihres Schreibens vom 13. Juli N° 3350 wegen Hausanstreichen, muss ich Ihnen sagen, dass dieses mir rein unmöglich ist, da ich im Augenblick 5. meiner grossen Wohnungen leer stehen habe, und wofür die Stadt: Steuern doch erhoben werden.
Achtungsvoll, Gustave Hepp, 10 Kalbsgasse
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i Els Eingang : 26 JUL 1909, V-a J.N. 3350
[in margine :] H. Mey 26/7
[in fine :] da die Außenseiten des Hauses nicht sehr unsauber sind dürfte eine letzt Frist bis Frühjahr 1910 zu bewilligen sein. 28/7.09 – H. Kl. 29/7

[verso] V-a 3350 St. 30./7.09
Verfg.
1) Herrn Hepp ist die Fristbewilligung bis zum 1. April 1910 durch Formblatt mitzuteilen
+ + +
2. W. V. 1.4.1910
Der Brgsmst. J. A., 30/7
[in margine :] ab 31/7
H. Mey 1/4
[Stempel :] Noch nicht aufgefrischt den 29. April 1910
29/4

V-a 2251/10, St. 26.5.10
1. H. Hepp wurde heute durch Formblatt erinnert, den Neuanstrich binnen 4 wochen ausführen zu lassen
2. Nach 4. Wochen
der Brgstr. I.A. – 25/5
[in fine :] ab 28/5 – H. Mey 28/6
[in fine :] Die Verputzarbeiten sind beendet. Der Anstrich wird demnächste erfolgen, 30/7.10
[verso] [Stempel :] Ist die Auffrischung erfolgt ? Herrn Meÿ, Str. 23. Aug. 1911
[Stempel :] Die Auffrischung ist erfolgt. Erledigt, Str. den 29. Sept. 1911
Zu den Akten, Str. 6.10.1911, Der Brgmstr. J.A.

(XXI)

C. Maurer, Kalbsgasse 12, Strassburg i. E.
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i Els Eingang : 26 FEB 1911, V-a J.Nr. 1240 – pr. 27/2.11 – p. Klein 27/2
Strassburg, den 25. Februar 1911
Hochlöbliches Baupolizeiamt, hier
Ich beziehe mich auf die mündliche Unterredung mit Ihrem Herrn Klein Anfang des Monats & erlaube mir hierdurch einen hochwohllöblichen Baupolizeiamt ganz ergebenst folgende Mitteilung zu machen :
Mein Eigentum grenzt auf der einen Seite an das Haus N° 10, woran sich eine große Rückwand nach meinem Hof zu befindet. Diese Wand ist in einem derartig schlechten Zustand, daß sie von Tag zu Tag & ganz besonders bei Regenwetter oder beim geringsten Wind abtröckelt & kleinere & größere Stücke in meinem Hof & auf mein angrenzendes Zinkdach wirft. Schon leidet darunter das Letztere sehr net*, außerdem sind meine Mieter beständig der Gefahr ausgesetzt verletzt zu werden, wenn sie den Hof passiren.
Schon seit vielen Jahren habe ich meinem Nachbar dutzentmal höflich gebeten, er möchte mir doch den Gefallen tun & die Wand gründlich & sauber im Stand setzen zu lassen, aber es ist alles umsonst. Ich habe daher keinen andern Ausweg mehr gefunden, als mich an das hochlöbliche Baupolizeiamt zu wenden. Um mit meinem Nachbar in Frieden auszukommen hätte ich ja gern von diesem Schritt abgesehen, aber ich könnte mich meinen Mietern gegenüber nicht verantworten.
Wohl darf ich bitten, daß ein Herr Sachverständiger die Sache in Augenschein nimmt & der Eigentümer von N° 10 aufgefordert wird, endlich einmal diesem Zustand ein Ende zu machen. Mit der Bitte dem letzten von meinem Gesuch keine Kenntnis zu geben zeichne ich im Voraus verbindlichst denkend,
mit vorzüglicher Hochachtung,
Maurer

[verso] Der Mörtelputz der an der Nachbargrenze stehenden Gebäude auf dem Grundstück an der Kalbsgasse N° 10, Eigentum des Hn Hepp, löst sich ab und fällt in den Hof und auf die Dächer der Seitengebäude des Anwesens an der Kalbsgasse N° 12.
Der Eigenthümer Hepp wäre aufzuforden, die nötige Ausbesserungen zu veranlassen. – Kl. 15/3
H. Kieffer 16/7 – Ges. 16/3 – H. Roth 17/3

V-a 1240 – Str. 23. III. 11
1) An Herrn Hepp, hier – Kalbsgasse 10
Nach diesseitiger Veststellung löst sich der Mörtelputz an der Giebelmauer ihres Hauses an der Kalbsgasse N° 10 ab und fällt in den Hof und auf die Dächer der Seitengebäude des Anwesens an der Kalbsgasse N° 12. Ich ersuche Sie daher erg. die nötigen Ausbesserungen innerhalb 14 Tagen gefl. zu veranlassen.
+ + +
2) Eine Abschrift an Herrn Maurer Kalbsgasse 12 z. g. K.

[in fine :] Noch nichts geschehen. Zum erinnern – Kl. 19/4
H. Schaffner 19/4 – H. L 20/4

[verso] V-a 1240 – Strasbg. den 27. April 1911
1) An Herrn Hepp, hier – Kalbsgasse 10
Die Erledigung meines Schreibens V-a 1240 vom 23. v. M., betreffend Ausbesserung des Mörtelputzes an der Giebelmauer ihres Hauses an der Kalbsgasse N° 10 bringe ich Ihnen hierdurch ergebenst in Erinnerung, mit dem Ersuchen, das Erforderliche gefälligst alsbald zu veranlassen, widrigenfalls ich mir weitere Schritte vorbehalten müßte.
2) Nach 2 Wochen
der Brgmst. 28/4
munt. Jakobi 3. Mai – ab 4/5 – Klein 18/5
Verb. mit V-a 1697

Strassburg, den 17. Mai 1911
An das Bürgermeisteramt, Hier
Unter Bezugnahme auf das Schreiben vom 28. März 1911 (V-a Nr 1240), teile ich dem Bürgermeisteramte mit, dass ich die Ausbesserungen des Moertelputzes an der Giebelmauer des Hauses Kalbsgasse 10, in diesem Jahre nicht mehr vornehmen kann, da ich noch von vorigem Jahre viel zu zahlen habe. Ersuche daher das Bürgermeisteramt um Fristverlaengerung von einem Jahr.
Hochachtungsvoll, Gustave Hepp, Eigentümer Kalbsgasse 10
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i Els Eingang : 19 Mai 1911, V-a J.Nr 2697 – pr. 19*5 11
[in margine :] H. Klein 19/5
[in fine :] Mit Rücksicht auf die geltend gemachten Gründe dürfte eine Frist bis 1 April 1912 zu erteilen sein. Kl. 1/6
H. Schaffner 1/6 – Ges. 1/6

[verso] V-a 2697 – Str. 6/6. 11
1) An Herrn Hepp, hier – Kalbsgasse 10
Auf Ihre Zuschrift vom 17. v. M. bewillige ich Ihnen, mit Rücksicht von Ihnen geltend gemahten Gründen zur Ausbesserung der Giebelmauer Ihres Hauses Kalbsgasse 10 Frist bis 1. April 1912, erwarte aber bestimmt daß als dann die arbeiten ausgeführt werden.
+ +
2) Abschrift an Herrn Maurer, hier Kalbsgasse 12 z. gefl. Kenntnisnahme
+ +
3) W. v. 1.4.1912
D. B. I.A. 3/6
[in margine :] mdt. 73/3 M. J – ab 8/6. 11 -b G. Klein ¼
[in fine :] Die vorgeschriebenen Arbeiten sind noch nicht ausgeführt. Kl.
Albert Metzger, Bauunternehmer, 17 Ballhausgasse, Strassburg

(XXII)

An die Baupolizei-Verwaltung, hier, Brandgasse 17
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt STRASSBURG i Els Eingang : 8-SEP-1913, V- Br. 1429-H
Unterzeichneter erlaubt sich andurch um die Erlaubnis, zum aushägen eines Schilds 60 x 45 cm nachzusuchen.
Mit aller Ergebenheit
Karl Philipp, Magnetiseur
Kalbsgasse 10-II
Strassburg, den 6. September 1913
[in fine :] Klein 11/9
der Bürgersteig ist 1,20 m breit. Kostenwert unter 20 M., Kl. 15/9

Bauschein
Werth bis zu 20 Mark
– Baupolizeiamt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V 1429-H
Name des Antragstellers : Karl Philipp, Hier, Kalbsgasse 10
Durch das Kaiserliche Polizei-Präsidium
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : [idem]
Baugebühren im Betrage von 1 M. – bezahlt am 29.9.13 – 16/10
Herrn Bauführer Koessler, zur Kenntnißnahme. Straßburg den 14. Oktober 1913, Der Stadtbaurat, i. d.
[in fine :] Noch nicht angebracht, 18/10 K – desgleichen wie vor, 16/11 K

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 8. September 1913
betreffend die Anbringung eines Querschildes am Hause Kalbsgasse 10 für Herrn Karl Philipp,
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung beweglicher Vorsprünge handelt ;
In Erwägung, daß der Bürgersteig vor dem betreffenden Hause 1,20 Meter breit ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Karl Philipp vom 8. September 1913 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchsrechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des § 5 der Bauordnung vom 8. April 1910 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden sollen.
2) Das neu anzubringende Querschild muß mindestens 50 Zentimeter von der Fassung des Bürgersteigs, 60 Zentimeter von der Nachbargrenze und 2 Meter von der öffentlichen Wandlaterne entfernt bleiben und wenigstens 3 Meter hoch über der Straßenfläche angebracht weden. Sein Flächeninhalt darf 0,60 Quadratmeter, das Vortreten vor die Wand 0,70 Meter nicht überschreiten.
3) Für die Anbringung des Schildes ist eine Gebühr von Einer Mark jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
4) Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung des Schildes dem Baupolizeiamte schriftlich oder mündich angezeigt ist.
Die Genehmigung für die Aufschrift ist auch beim Kaiserlichen Polizei-Präsidium nachzusuchen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Einer Mark – Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 14. September 1913 – Der Bürgermeister, J. A., 24/9/3
Baugebühren : Anbringung eines Querschildes 1,00 M
[in fine :] mdt. 25/9

[in margine :] Noch nicht angebracht, 8/1 K
Wie vor 27/4 K
Wie vor 3/7 K
Endtermin
1) desgleichen wie vor, 2) Verjährt, 9/10 K – Haber 4/10

V 1429-H
1) Die Verjährung des Bauscheins wurde dem Herrn Karl Philipp p. Formblatt mitgeteilt.
+ +
2) Nach 2 Monaten zur Kontrolle
d. Brgmstr. J. A, 10/13 – abs 2/10

Bürgermeister-Amt der Stadt Strassburg i. Els. C Nr 1429. H
Strassburg i. Els. den 10. Oktober 1914

Der am 24. September 1913 ausgestellte Bauschein V 1429 H betreffend die Anbringung eines Querschildes am Hause Kalbsgasse 10 hat nach § 4 der Bauordnung vom 8. April 1910 die Gültigkeit verloren, da das Querschild bis jetzt noch nicht angebracht wurde.
Auf Grund des oben erwähnten Bauscheins darf die Anbringung des Querschildes nicht mehr erfolgen.
Der Bürgermeister I. A.

Herrn Karl Philipp, Hier, Kalbsgasse 10
[in fine :] Brief zurück, da Adressat nach Ausweis verzogen ist., 14/11
Z. d. A., 14/10, der Bmstr. I.A.

(XXIII)

Strassburg den 11/6 1915
Einwohner-Meldeamt des Polizeipräsidiums, Hier
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eing. 13 JUN 1915, Straßburg i. Els.
Die gesuchte Person ist seit 16.11.14 von der Kalbsgasse 10 nach Weissenburg ab gemeldet.
Strassburg i. Els. den 14.6.15
Einwohner-Meldeamt, 15/6
[in margine, Stempel :] I. Rev. Eing. J.-No 6321
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eing. 16 JUN 1915, Straßburg i. Els.

G. L. Strub ist aus dem Befelsbereich ausgewichen und soll sich in Hasenmühle bei Weissenburg aufhalten, Strassburg 15.6.15, Revier I.
[verso] Urschriftlich nebst 1 Anl.
ergebenst zurückgesandt, Strassburg i. Els. den 16.6.15
Kaiserl. Polizei-Präsidium, Einwohner-Meldeamt
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg Eingang 18 Jun 1915

Stadtkasse Strassburg i. Els
Schriftwechsel bei Zwangsvollstreckungen im Ersuchungswege
Rechnungsjahr 1915
Die Steuerkasse Weissenburg wird ergebenst ersucht, von den umseitig genannten Schuldnern die angegebenen Betrage im Wege der Zwangsvollstreckung einzuziehen und hierher zu übersenden. Die Genehmigung ist von dem Bürgermeister erteilt soweit die Mahnung nicht erfolgt ist, bitte ich dieselbe zu bewirken.
Straßburg, den 18.2.1916
Der Stadtrechner
[in fine :] Unbetreiblich, laut Anlage, Weissenburg, den 27. Mai 1916. Der Rentmeister

(Lfnd. Nummer des Rechn.-Reg.) 489
(Name und Wohnort der Schuldner) Strub Eugen in Hasenmühle b. Weissenburg, früher hier Kalbsgasse 10
(Gegenstand) Straßenpolizei gebühren pro 1914 N° 852 : 0,80 M, pro 1915 N° 839 : 0,80 M, nicht gemahnt
(Datum der gütlichen Mahnung) 31/8.15

Weissenburg 21.2.16, G. K. der Stadtkasse Straßburg
mit dem Ersuchen ergebenst zurückgesandt den Schuldner vorerst mahnen zu wollen und die Spalte 7 entsprechend auszufüllen, Steuerkasse
[in fine :] Gm. 26/4
[au crayon] befindet sich im Civilgefangener Lager in Rastatt

Herrn Strub Eugen
Restverzeichis I Nr 392, Kleeburg, Hasselmühle
Zahlbefehl
Rechnungsjahr 1915 – Strassburg Straßengebühren 1914,1915, 1,60 M
binnen 8 Tagen an die nebenbezeichnete Kasse zu bezahlen, widrigenfalls dieser Betrag im Wege der Zwangsvollstreckung, insbesondere durch Pfändung und Versteigerung von beweglichen Sachen und Ernten oder durch Pfändung von Forderungen beigetrieben werden wird.
Weißenburg, den 19.5.16. Der Rentmeister
[verso] Adressat Strub als Franzose internirt in Holzmünden, der Steuervollzieher

V – Strassburg den 29.5.16
1) G. R. am V. z. K. und mit der Bitte um Mitteilung, was weiter in der Sachen geschehen soll
2) Rollenvermerk
Der Stadtrechner
Das Querschild ist noch vorhanden, laut Adreßbuch ist G. Hepp, Rentner wohnhaft dortselbst als Eigentümer des Anwesens, aufzufordern das Querschild beseitigen zu lassen. Die fälligen Gebühren dürften sodann, unter den obwaltenden Umständen abzusetzen sein. 3/6 K. – Str. 12

V – Str. den 24. August 1916
1) An Herrn G. Hepp, Rentner, Hier, Kalbsgasse 10.
Nach diesseitiger Feststellung befindet sich das Querschild des Dachdeckenmeisters Eugen Strub noch an der Straßenfluchtwand Ihres Hauses an der Kalbsgasse Nr. 10. Als Eigentümer dieses Hauses fordere ich Sie hierdurch erg. auf, das Querschild gefälligst innerhalb 14 Tagen zu beseitigen, widrigenfalls die Baugebühren für des Rechnungsjahr 1916 von Ihnen für das Schild zu zahlen sind.
1) G. R.
2) der Stadtkasse mit dem Bemerken, daß die Absetzung am Schlusse des Rechnungsjahrs mit dem übrigen nicht beizutreiben Gebühren erfolgt, z. K. u. entg. Notiznahme
+ +
3) nach 14 Tagen
d. Bürgmstr. J. A. 23/8

[in fine :] Str. 28.8.16 A° Gesehen. 2) Rollenvermerk, 3) Notiz z. d. Stind., der Stadtrechner
[in fine :] Kößer 13/9/16
[in fine :] das Querschild wurde beseitigt, Rolle berichtiget 14/9

[verso] Im Verzeichnis der Absetzungen w. 21/11. 16 V 2676 H mitaufgenommen, 21/11
Z. d. A. 21/11.16

(XXIV)

V No. 1366/25, pr. le 8/4/1925
Dossier
de la II° Division du 5 avril 1925 II 946, Préfecture de Police du 3 avril 1925 J.-No. I 1810 concernant : la demande de M. Florence Joseph 10, rue des Veaux afin d’être autorisé à exploiter le débit de boissons dans l’immeuble 10, rue des Veaux
[in fine :] Mr Koessler, Kl. 9/4
Str. 15/4/25
1°) Transmis à la V° division
L’état du local destiné à la dégustation de boissons au comptoir est conforme aux conditions exigées pour la sécurité publique
2°) Au dossier, 14/4 K
P. d. B.

(XV)

Kalbsgasse 10, Hepp i. H.
III-b A 255
Baupol. fragt an ob von Seiten d. W. K. der Anschl. erzwungen werden kann
1 der Abort liegt im Treppenhaus* ohne Entlüftung
2 In der Wohnung Neumann v. H. I. St. ist der Kamin im Gang durch eine Holztüre geschlossen. – 10.11.05, Kl.

Kanzleischreiben auf V-a 5675
Ur. erg. zurück der Eig. ist d. S. W. K. zum Abortanschluß aufgefordert worden. Im Hause wurde weiter festgestellt : (2) bezüglich dieser feuergef. Anlage ersuche ich erg. das Weitere zu veranlassen und mir von d. hol*. gef. Mitteilung zu machen
Auff. zu 1. die Aborte sind an die Kan. anzuschl. vor Beginn tr.

W. V. 25. XII. 05
[in fine :] zu 1. erl., Wolf, zu 2. 13.11.05
Kl., N. n. erl. 30.12.05

1 Emm* (-), 2. W. V. 25. II. 06
zu wr* 3.1.06
[verso] d. B. A übersendet Ber. d. Gnlsekr. Zimer* mit der Anfrage ob gewartet werden kann
1° Auf B. A. 92.
Es muß auf Anschluß der Aborte bestanden werden, doch stehet einer Frist bis zum 1. April seitens der W. K. Keine Bedenken entgegen doch ersuche ich eine etwaige Frist infolge etw. weiteren Beschwernus widerruflich zu gewähren.
2. W.V. 25. IV. 06
19. I. 16, Abtlg III
[in fine :] zu *rt 20.1.06

d. B. A. hat einnert, 25. IV. 06, Kl
N. n. erl. 27. IV. 06, Kl
W. V. 25. VI. 06
Wie vor 23.6.06, W.V. 25.10.06

[page suivante] Kalbsgasse 10, Hepp i. h.
Aborte noch nicht angeschl. keine B. A. in Arb. 5.12.06, Kl
W.V. 25. IV. 07

Beschwerde begründet
Die Wohnung liegt im Erdgeschoss nach dem engen Tränckgäßchen. Im Hofzimmer ist der Hausschwamm an der Wand.
1. Die Wohnung Glatzle ist vollständig auszutrocknen. Das Zimmer nach dem Hof darf bis daß der Hausschwamm gründlich beseitigt ist nicht mehr zum Schlafen benutzt werden. Im Mittelzimmer ist durch Herstellung eines weiteren Fensters eine größere Lüftungsgelegenheit zu schaffen.
Die feuchten Aussenwänder sind mit 2 m hohen 5 cm von der Wand abstehenden Getäfel zu versehen. Der Lüfteraum zwischen Getäfel und Wand ist mit der Außenluft in Verbindung zu setzen. 22. III. 07 Kl.

1. Auff. 2. XW. V. 25. V. 07
md. 28.3.07, ab 30.
[in fine :] N. n. erl. 25. IV. 06 Kl
d. B.A. hat erinnert 25. IV. 06, Kl
W.V. 25. VI. 06

Wie vor 23.6.06, Kl.
W. V. 25.10.06
[verso] Eine Bes. mit d. Eig. und d. Bauunt. Peter ergab der Eig. wird die arbeiten ausführen oder ev. des mittl. Zimmer nicht eher z. Schlafen waren. 8. IV. 07, Kl.
W.V. 25. III. 07
W.V. 25. III. 08
das mittele Zimmer ist leer 1.8.07 Kl

Mitteilung an die Wohnungskommission
Die Wohnung Kalbsgasse 10, Parterre, Eingang im Tränckgäßchen
Mieter Schuhmacher Glatzle
Hauseigentümer Rentner G. Hepp, ist ungesund.
Mängel : Feuchte Wände in den nach dem Tränckgäßchen zu gelegenen Zimmeren, Schwammbildung in einem nach dem Hofe zu gelegenen Zimmer
Der Armenpfleger, Otto Seydel

Wohnungs-Aufsicht, Straßburg, den 16. III. 1907
Kalbsgasse 10, Eigentümer, Hepp i. H.
Durong II. St., Abortverhältnis

Wohnungs-Aufsicht, Straßburg, den 5. I. 1909, N° 443
Kalbsgasse 10, Eigentümer, Hepp i. H.
Beschwerde durch Glatzle Mittelbau, Beschwerde über Feuchtigkeit
[au crayon] n. mehr Mauerschwamm – B*oden hinten zu feuchte Wände

[Lettre dactylographiée]
Strassburg, den 20. Februar 09.
An Die Wohnungscommission in Strassburg
Hiermit bitten wir die wohllöbliche Wohnungscommission in Strassburg den Eigenthümer des Hauses Kalbsgasse 10 gefälligst zu veranlassen, die Closetwasserleitung in Betrieb zu sezten. Diesselbe ist seit Monaten abgestellt. Herr Hepp har vor 2 Tagen die Leitung im Vorderhause in Betrieb gesetzt und zwar auf Veranl[a]ssung des Herrn Kirsten dem die Fäkalien bis beinahe in die Wohnung gedrungen sind.
Dagegen lässt Herr Hepp die Closetwasserleitung im Hinterhaus d. h. auf der Wasserseite sowie im Tränkgässchen abgestellt und sind wir seit 3 Monaten gezwungen das Wasser von der Küche in das Closet zu tragen.
Unterm andern befindet sich eine Familie im Hause auf der Wasserseite, die so viel wir wissen 180 Mk. vierteljährlich bezahlt. Dieselbe hat allerdings zum 1. Juli desswegen gekündigt & wird aus diesem Grunde noch keine Anzeige gemacht haben.
Wir bitten also dringend unserm Ersuchen nachzukommen und zeichen mit
Hochachtung
Die Bewohner der Hinterhäuser

Kalbsgasse 10, Eig. Hepp i. H. – II-b A 653
Beschw. einliegend.
1. die Abwasserleitung ist in Betrieb zu setzen Auffordern nicht nötig, da der Eig. Erledigung verspricht. 7. IV 09, Kl.
W.V. 25.6.09
Erl. nicht mehr zubeanst., 15.7.09
W.V. 25.6.13
Neu Rev. – Geg. n. z. beanst. 11/12 13

Kalbsgasse 10, Eig. Hepp i./h.
Rev. d. Mil. Wohnungsk.
Gegenw. n. zu beanst.
7. Juni 15, D.U.A. 4

z. St.
z. d. A.

[in fine :] Gelegentlich der allgem. Wirtschaftsbes. wurde festgestellt, daß in der Wirtschaft im Erdgeschoss das Gläserspülkasten nicht an die Wasserleitung angeschlossen ist. Zu fordern ist
Der Gläserspülkasten ist an die Wasserleitung anzuschließen
4.8.16, f. N.* A. IV, J. Hug

1. Auff. 2. Frist 4 Wochen, W. v. 1.10.16
mdt & ab 5.8.16
an Daniel Karcher

Es ist ein neuer Gläserspülkasten mit Wasserleitung und Anchluß an die Kanalisation errichtet worden. Sonst nichts mehr zu beanstanden, 12.10.16 f. N.* A. IV, J. Hug
z. St – z. d. A.

10. rue des Veaux, Kalbsgasse 10 – A 653
Au mois de janvier 1925 Hirsch Angèle agée de 2 ans a été atteinte de la Diphtérie, 8.10.23

(XXVI)

10, rue des Veaux, propr. Loeb, même maison – 5/11/35
D’après une communication tél. émanant d’un locataire, on aurait installé dans la cour de l’immeuble sis au N° 10 rue des Veaux un garage sans autorisation qui ne répond pas aux prescriptions en vigueur
à M. Weiss p., M. Bill

Strbg. le 28/11.35
1) Inspection a eu lieu en presence de Mr. Greiner
Le garage est aménagé dans une remise. Les travaux suivants sont à exécuter.
Le plafond en bois au dessus du garage devra être crépi ou revêtu d’un matériau incombustible.
Le propriétaire Mr. Loeb a promis de faire exécuter les travaux respectifs
2) Statistique inscrit
3) A représenter le 20./12
[in margine :] 20.12. 35

[verso] Strbg. le 21/1 36.
1) Les travaux mentionnés dans mon rapport du 28./11. 35 ne sont pas encore exécutés. D’après pourparlers avec Mr Loeb, les travaux seront exécutés immédiatement.
2) A Représenter le 10/2

Str. 10/2.36 à M. Bill
Strbg. le 12/2. 36
1) Le plafond en bois au dessus du garage est revêtu d’asbeste.
2) Statistique inscrit
3) à classer

(IXXVI)

E. 1411 – Strasbourg, le 2 novembre 1937
Monsieur le Commissaire du I. Arrondissement de Police en Ville
Monsieur,
Par la présente je vous prie de me bien vouloir donner la permission de construire un échafaudage pour repeindre la facade de la maison 10, rue des Veaux, en Ville, propriétaire Monsieur Loeb, professeur de musique.
P. Gruckert, Entreprise de Peinture, 1 rue du Parchemin
Délai : 15 jours, du 4 IX au 18 Novembre 1937
dimension 25,00 x 0,80

[verso]
Soit transmis à Monsieur le Commissaire Central avec avis favorable Ci joint frs 5
Strasbourg le 2 Novembre 1937, Le Commissaire de Police, Eichler
[in margine, tampon :] Préfecture du Bas-Rhin, 3. NOV. 1937
[in margine, tampon :] Police d’Etat de Strasbourg, Commissariat central, Entrée le 3. NOV. 1937, N° CC IV 4492 / 37
[tampon] Transmis avec avis conforme à Monsieur le Préfet du Bas-Rhin, Section administrative de la Police d’Etat, ci-joint 5 frs, Strasbourg le 3. Nov. 1937 – Le Commissaire central

N° 3500 / S / 37 – Date d’entrée 5/11
Autorisation de la Direction de Police du 4/11 N° A 1411 concernant l’occupation de la voie publique pour entrepôt de matériaux, échafaudages, palissades etc. Rue des Veaux N° 10, Entrepreneur P. Gruckert, 1 rue du Parchemin (…)

Strasbourg le 13.11.1937
Autorisation pour occupation de la voie publique
(…) total 47,20 francs

Strasbourg le 10/8/36 – V 2295 S / 36, 10 rue des Veaux
1° Les héritiers de Monsieur Hepp, 10 rue des Veaux, Strasbourg
Auf Ihr am 6. ds. Mts eingegangenes Schreiben teile ich Ihnen hierdurch mit dass Ihnen in Anbetracht des geltend gemachten Grunde ausnahmswese eine Frist bis zum 1. Juli 1937 zur Auffrischung der Fassaden Ihres Anwesens 10 rue des Veaux gewährt wird.
2° à représ. le 15/7/36
L.M. p.d.
[in margine :] Fait le 12/8/, Exp. le 12/5

Str. le 11/8/37, Pas exécuté, à représ. le 15/10/37
16. Nov 1397 [tampon] 1) Pas encore exécuté 2) à repr. le 15-4-38
Str. le 23/6/68, Les travaux sont exécutés. à la stat. à classer

[Dactylographié] Die Erben des Monsieur Hepp, Kalbsgasse Nr 10
Strasbourg, 5 août 1938
Monsieur le Maire
Bestätige den Empfang des Briefes vom 30. Juli 1936. Möchte dem hochverehrten Herrn Bürgermeister die Mitteilung machen, dass die Erben des verstorbenen Monsieur Gustave Hepp Anwesen Kalbsgasse 10 sich zur Zeit ausser Stande befinden, durch die unmögliche Mietsgesetzgebung, die den Ertrag des Gebäudes unerhört herunter drückt, auff der andern Seite die Steuer und die Stadtabgaben nicht Schritt halten und herauf geseztzt wurden, die gewünschten Auffrischung und Neubemalung des Gebäudes jetzt nicht durchführen zu können. Wollen sie diese Mitteilung wolwollend zur Kenntnis nehmen.
Im Auftrage der Erben des verst., zeichnet mit vorzüglicher Hochachtung, Léon Loeb

[in margine, tampon :] Mairie de Strasbourg, 5 août 36 S
[in margine, tampon :] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 6 août 1936, V N° 2295 S / 36
[in fine :] 6/8/36, A° Précédent, 2° M. Greiner – délai d’un an

[Formulaire bilingue à remplir]
Ville de Strasbourg, Strbg. le 30. juil. 1936
Arrêté – Verordung
V No. 2295 S / 36
Le Maire de la Ville de Strasbourg,
Vu le § 19 du Règlement des Constructions de la Ville de Strasbourg, ordonne à Monsieur Hepp G. les héritiers, propriétaire de la maison Rue des Veaux Nr 10 à faire restaurer, au plus tard jusqu’au 1er octobre prochain, les façades de l’immeuble ainsi que toutes les parties visibles de la rue
Rue des Veaux, Rue de l’Abreuvoir, y compris la façade vers l’Ill.
Avant l’exécution de ces travaux, une demande en autorisation avec indication de la couleur choisie devra être adressée à la Mairie (Police du Bâtiment). L’emploi de couleurs criardes ou celles qui pourraient porter atteinte au cachet local est interdit.
Le Maire, p. d.
[Copié] 28 JUIL 1936, [exp.] 1. AOUT 1936
à repr. le 1 oct 1936

(XXVIII)

N° 2870 / S – Date d’entrée 15.1.41
Concernant l’occupation de la voie publique pour entrepôt de matériaux, échafaudages, palissades etc. Kalbsgasse N° 10, Entrepreneur Alois Olland, Dachdeckerei, Dreizehnergraben N° 29

Strasbourg le 18.1. / 6.2.1941
Autorisation pour occupation de la voie publique
(…) total 5,10 francs

Dachdeckerei und Klempnerei, Alois Olland jun., Straßburg, ([biffé] Fischerstaden 10) Dreizehnergraben Nr 29
Strassburg, den 13. Januar 1941
An die Baupolizei, Strassburg / Els., Schlossplatz
Betr. Genehmigung zur Aufstellung eines Baugerüstes in der Tränkgässchen
Am Anwesen Kalbsgasse Nr. 10 haben wir eine Dachreparatur auszuführen, und zwar an der Front des Hauses welche in die Tränkgasse / Tränkgässchen zieht.
Da wir zur Ausführung der Arbeiten ein Gerüst von 10 Mtr. Höhe (0.50 Mtr. breit) aufstellen müssen auf einer Front von 17 Mtr., bitten wir um Ihre Genehmigung zur Aufstellung des Gerüstes in der Tränkgasse /gässchen welch Letztere eine Breite von 2,50 Mtr. aufweist.
Voraussichtliche Dauer der Arbeiten : 14 Tage (ab 20/1 41)
Wir danken im voraus für ihre Genehmigung.
Heil Hitler !
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg, 16. JAN 1941 Baupolizei V. Nr 2870 / S
[in fine :] Gebührenabrechnung bgt. 18/1.41

(XXIX)

Police du Bâtiment 5837, Strasbourg, le 10-9-46
Demande de certificat de sinistré
Motif : impôt solidarité, Mme Vve Kibort, copropriétaire demande un certificat de sinistré pour son immeuble situé au n° 10 rue des Veaux à Strasbourg endommagé lors du bombardement aérien du 11-8-44 (rendu inhabitable ou complètement détruit ?)
[verso] Stbr. le 13/9 1) L’immeuble en question a été partiellement détruit. 2) Le certif. peut être délivré. 3) A Classer

Police du Bâtiment 5891, Strasbourg, le 25-9-46
Demande de certificat de sinistré
Motif : Carte de sinistré, Mme Graffstein Cécile demande un certificat de sinistré pour son domicile situé au n° 10 rue des Veaux à Strasbourg endommagé lors du bombardement aérien du 25-9-44 – partiellement endommagé

Police du Bâtiment 3751, Strasbourg, le 28/11.45
Demande de constat
Motif : Prime, Fingerhut Hermann demande un constat pour l’immeuble situé au n° 10 rue des Veaux à Strasbourg endommagé lors du bombardement aérien du 11-8-44 – fortement endommagé

Police du Bâtiment 284, Strasbourg, le 18-7-45
Demande de certificat de sinistré
Vve Marguerite Rosenberger demande un certificat de sinistré pour son domicile situé au n° 10 rue des Veaux I° étage à Strasbourg endommagé lors du bombardement aérien du 11-8-44 (rendu inhabitable d’après la liste des M.O.)
Certificat délivré

Police du Bâtiment 5563, Strasbourg, le 18/7 46
Demande de certificat de sinistré
Motif : Schwab Alfred demande un certificat de sinistré pour son domicile situé au n° 10 rue des Veaux à Strasbourg endommagé lors du bombardement aérien du 25-9-44 (rendu inhabitable ou complètement détruit ?)
Strbg le 24/7 1) Le logement est partiellement détruit, 2) A classer

Police du Bâtiment 5190, Strasbourg, le 2-5-46
Demande de certificat de sinistré
Motif : Aeschlimann Albert demande un certificat de sinistré pour son domicile situé au n° 10 (II) rue des Veaux à Strbg endommagé lors du bombardement aérien du 11-8-44 (complètement détruit)
Strasbourg le 8 mai 1) L’immeuble 10, rue des Veaux a été complètement détruit, 2) A classer

(XXX)

Straßburg den 9* II. 46
An das Gesundheits-Amt, Strasbourg
Da unsere Eigentumerin Mme Vve Kibord den dringlichsten Wünschen der Hausverlehner nicht nachkommt, noch vielmehr sich persönlich die einfachsten, aber nötigen Reparaturen in Augenschein nimmt, sind wir gezwungen uns an das  » Gesundheits-Amt  » zu wenden, mit der Bitte sich doch einmal den Vorderkeller anzusehen, wo annähernd jetzt schon im 2. Jahre das Wasser über ½ m hoch steht.
Diese gesundheitsschädlichen Zustande spotten jeder Beschreibung. Keine Wunder, dass der Schwamm an den Wänden wächst. Unter diesen Umständen können wir der Eigentümerin die volle Miete nicht mehr bezahlen.
Wir bitten darum das Gesundheits-Amt strenge Massnahmen gegen Sie zu ergreifen, denn eines schönen Tages liegen wir infolge der Feuchtigkeit, alle im Keller begraben.
Die bedrohten Mieter der Kalbsgasse N° 10
Schlingermann, Mme Florence, Mme Gillmann
[in margine, tampon :] Ville de Strasbourg, 13 MARS 1946, Hyg.

(brouillon du même courrier)
17 mai 46 – V 108, 10 rue des Veaux, plaintes de Mme Gillmann
1) Madame Vve Kibord, 17, rue Déserte, Strasbourg
A la suite d’une plainte il a été constaté par la Police du Bâtiment, que l’eau souterraine inonde sur une hauteur d’environ 80 cm la cave de votre immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg et provoque de l’humidité dans les murs en élévation du rez de chaussée dans le logement de Mmes Florence et Gillmann, étant donné que ni ces murs, ni le sol de la cave ne sont pourvus d’une isolation efficace. Cette situation est tout à fait intenable au point de vue hygiène.
Me référant aux prescriptions du Règlement des Constructions de la Ville de Strasbourg à ce sujet, je vous invite par la présente à vous mettre en rapport direct avec le service municipal de la Voie publique et des Egouts, afin de mettre à sec la cave en question.
+ +
2) Après 6 semaines – 10/7
L.M. p. d.
Fait le 17/5/46, Exp. le 21.5.46

[in fine :] 11 JUIL 1946 M. Hoffman
Strbg. le 18/7 1946
1) La cave a été mise a sec par la Voie publique des Egouts
2) A classer

N° 108, 10 rue des Veaux, Plainte : Mme Gillmann
Strbg. le 27/4. 46
Une inspection sur place a eu lieu. Il a été constaté que l’eau souterraine inonde sur une hauteur de 0,80 M la cave et provoque de l’humidité dans les murs en élévation du rez de chaussée dans le logement de la plaignante.
Les murs ne sont pas pourvus d’une couche isolatrice.
Mme Vve Kibort demeurant 17, rue Déserte est à inviter a se mettre en rapport direct avec le service Municipal de la voie publique et des égouts, pour mettre la cave en question à sec.

Strasbourg den 30.7.46
An die Baupolizei, Strassbourg

Da die Eigentümerin Mme Vve Kibort, 17 Seelosgasse schon seit 2 Jahre die nötigsten Reparaturarbeiten im Haus resp. Wohnung nicht ausführen lässt u. der Winter schon bald wieder vor der Türe steht u. trotzdem der vorige Winter nicht so streng war, haben wir dort eine unerträgliche Kälte ausgestanden. Auf unser mehrmahliges Schreiben, doch bitte Abänderung zu schaffen, hat Sie einfach nicht reagirt. Wie sehen uns daher veranlast, uns an die werte Adresse der  » Bau-Polizei  » zu wenden, um dies anzuzeigen. In der Hoffnung, das uns von Ihrer Seite Gehör geschenckt wird, grüsst sehr ergebenst
Mme Vve Schlingermann, 10 rue des Veaux, I. Etage
[verso]
Str. le 20-9-46
Au cours de l’inspection il a été constaté que cet immeuble est dans un état assez négligé et qu’il y existent egalement de dégâts qui proviennent de faits de guerre.
La présente plainte de la locataire, qui est pleinement fondée, est partie surtout sur l’état défectueux des volets de son logement, sur la toiture non étanche au dessus des W.C. et sur l’état endommagé de quelques plafonds d’où des morceaux de plâtre se sont détachés à plusieurs reprises que le ménage dans cette situation est mis en danger.
Afin de rémédier à cet état de chose, la propriétaire est à inviter à faire procéder aux réparations qui s’imposent – M Marco
V . 231 – Strasbourg, le 11 déc. 1946
1° M. Schreiner, Gérant – 34. rue de la Ière Armée, Strasbourg
Il a été constaté par la P. d. B. lors d’une nouvelle inspection de l’immeuble 10 rue des Veaux à Strasbourg dont vous êtes le gérant que les travaux de réparation imposés par une lettre N° F 231 du 25-9-46 n’ont pas été exécutés jusqu’à présent.
J’ai donc l’honneur de vous rappeler pour la dernière fois à faire procéder d’urgence à la réfection de l’immeuble en question afin [de] vous éviter des poursuites pénales conformément aux lois et règlements en vigueur.
– –
2°) A repr. dans 1 mois (13/1)
L.M. p. d.
Remis le 11/12/46, Copié le 12/12/46, Expédié le 13/12/46

[in fine :] Str. le 20-1-47
1) La réparation de la toiture est partiellement faite. 2) a repre le 20-3-47
2) 2/5/47 Les dégâts sont provisoirement réparés. A la statistique, 2) à classer

V . 231 – Strasbourg, le 11 déc. 1946
1° M. Schreiner, Gérant – 34. rue de la Ière Armée, E.V.
La Police du Bâtiment vient d’être saisie d’une plainte des locataires de votre immeuble 10 rue des Veaux à Strasbourg. Au cours de son inspection, il a été constaté que cet immeuble est mal entretenu : ainsi les volets du logement de Mme Vve Schlingermann au 1er étage sont défectueux, la toiture du dessus des W.C. n’est pas étanche et des morceaux de plâtre de quelques plafonds de ce logement se sont détachés à plusieurs reprises, conséquence la sécurité des locataires n’est plus garantie.
Me référant aux prescriptions respectives du Règlement des Constructions de la Ville de Strasbourg à ce sujet, je vous invite par la présente à procéder d’urgence aux travaux de réparation nécessaires afin d’éviter des acccidents et des inconvénients.
– –
2°) A repr. dans 2 mois (27/11)
L.M. p. d.
Remis le 25/9/46, Copié le 25/9/46, Expédié le 27/9
Str. le 25/11/46 à M. Siffert
Str. le 11.12.47, 1) Jusqu’à présent aucune réparation n’a été faite, 2) à repr. le 1-2-47 – M. Marco rappel

(XXXI)

Strasbourg, le 23.1.1948
Monsieur Schaal, Directeur de l’office d’hygiène
[in margine, tampon :] Ville de Strasbourg, 31 JANV 1948 – Hyg. N° 304
Monsieur,
Les locataires soussignés de la maison 10 rue des Veaux à Strasbourg ont l’honneur de vous signaler la situation vraiment non hygiènique de l’immeuble qu’ils habitent en vous priant d’apporter le remède qui s’impose dans la mesure du possible.
Cette maison est, depuis des années, des plus humide sans que les réparations les plus élémentaires soient effectuées. Une enquête approfondie vous permettrait certainement de vous assurer de la véracité des faits.
En espérant que vous voudriez bien donner à la présente requête la suite qu’elle comporte, nous vous prions d’agréér, Monsieur le Directeur, l’assurance de notre plus parfaite considération.
Senentz Charles, Briem Emile, Caroline Iltis, Mme Vve Florence, Albert Aeschelmann, Rosenberger Marguerite

[in fine :] 2/2. 48, Transmis à la Police du Bâtiment pour attribution – Hyg
3. FEV 1948, Sieffert

[verso]
V-1225 – Str. le 18.7.47
10, rue des Veaux
1) L’immeuble en question a été inspecté à plusieurs reprises à la suite de plaintes analogues. Les dégâts qui existent à l’extérieur comme à l’intérieur proviennent en général par des bombardements.
D’après les renseignements récents de la part des locataires, l’architecte Wolff a été chargé de constituer à cet effet un dossier pour le M. R. U.
En conséquence une intervention par la P. d. B. est à présent inutile.
2) provis. à classer

(XXXII)

Strasbourg den 8.4.51
An die Baupolizei Strasbourg, rue de Bouxwiller
Da alles bitten von uns Mietern, sowie auch von der Eigentümerin Mme Vve Loeb keine Beachtung beim « Aufbau » findet, sind wir gezwungen uns jetzt an die Baupolizei zu wenden.
Hier im Anwesen, Kalbsgasse N° 10, welches sich auch an einer Seite des kleinen Gäschens nach dem Staden zu hinzieht, wären einige Meter Dachrinne, welche vom Terror beschädiget ist, zu ersetzen. Diese Sache hätte schon vor 7 Jahren in die Schnellmassnahmen gehört u. ist bis auf den heutigen Tag noch nicht gemacht. Durch die anhaltende Regenperiode läuft ständig das Wasser auf einen kleinen Mauervorsprung wo wir unser W. C. u. eine andere Familie im parterre Mme Gillmann auch ein W. C. u. noch ein Zimmer hat, welches sie infolge eindringen des Wassers von der Dachrinne her, nicht benutzen kann, u. die Miete bezahlen muß.
Mit jedem Tag weicht nun das Mauerwerk u. der Diehlenboden mehr auf, so das an eine Benutzung des W.C. unter Lebensgefahr nicht mehr zu denken ist. Mit Schrecken sehen wir dem unaufhaltsamen Einsturz entgegen, was über kurz oder lang nicht mehr anzuhalten ist. Im Interesse der Allgemeinheit bitten wir die  » Baupolizei  » sich doch allen verfügbaren Mitteln mit der  » Reconstruction  » zu beständigen, damit dies Übel abgewendet* wird.
Mr Cunigel, Ferblantier, der hier im Hause sein Atelier hat, hat sich schon s. J. bei der  » Reconstruction  » um die Reparatur beworben.
Mit sehr verbindlichem Dank, Charlotte Schlingermann

V-2216
10. rue des Veaux. Plainte : Mme Ch. Schlingermann – 24 AVR 1951
La plainte est fondée.
La gouttière de l’immeuble 10, rue des Veaux donnant sur la ruelle de l’Abreuvoir est défectueuse.
L’eau de pluie se déverse sur la partie du bandeau en retrait sur la façade du rez de chaussée et s’infiltre à travers le mur de la façade dans le logement au 1er étage ainsi qu’à travers le plafond du logement situé au rez de chaussée.
Une grande partie du plancher du logement au 1er étage est pourri.
La propriétaire de l’immeuble Mme Vve Loeb demeure : 7 rue des Voges à Molsheim est à inviter à faire réparer la gouttière ainsi que la partie du plancher défectueuse du logement du 1er étage
M. Seyller, V.

30 avril 51
1) 2216, Madame Loeb, 7 rue des Vosges, Molsheim (Bas-Rhin)
Objet : Votre immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg
A la suite d’une plainte dont j’ai été saisi, j’ai fait procéder à une inspection dans votre immeuble susvisé.
Il a été constaté que la plainte est bien fondée. En effet, la gouttière de votre immeuble donnant sur la ruelle de l’Abreuvoir est défectueuse, de sorte que l’eau de pluie se déverse sur la partie du bandeau en retrait sur la façade du rez de chaussée et s’infiltre à travers le mur de la façade dans le logement au 1er étage ainsi qu’à travers le plafond du logement situé au rez de chaussée. Une grande partie du plancher du logement au 1er étage est pourrie.
Afin de remédier à cet état de choses intenable, contraire aux règlements en vigueur, je vous invite à faire procéder dans un délai d’un mois à compter de la date de réception de la présente lettre, aux travaux de réparation qui s’imposent.
2° A informer la pétitionnaire par formulaire.
3° A repr. dans 1 mois
L.M. p.d.
signé Guri

[in fine :] 7/6 – 7. JUIN 1951, après 1 mois
5 JUIL 1951, M. Hoffmann : contrôle
Strbg. le 7/7 1951. 1) Les travaux imposés ne sont pas exécutés. 2) à repr. le 25/8.1951
Strabg. le 29/8. 51 1° L’état des choses est inchangé, 2) à représenter 25/8/52
29/8/1952, L’état des choses est inchangé

14 SEP 1951
1) 2216, Madame Loeb, 7 rue des Vosges, Molsheim (Bas-Rhin)
Objet : Votre immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg
Je vous rappelle ma lettre V/2215 du 30 avril 1951 par laquelle je vous ai invité à prendre toutes les dispositions utiles en vue de faire réparer la gouttière de votre immeuble donnant sur la ruelle de l’Abreuvoir.
Or, il a été constaté que malgré le laps de temps relativement long écoulé depuis cette date, vous n’avez pas encore donné suite à mon injonction et que les travaux de réparation qui s’imposent, pourtant bien pressants, ne sont pas encore entamés.
Je vous mets par conséquent en demeure de faire procéder d’urgence aux travaux de réparations nécessaires en la circonstance, afin de ne pas compromettre l’habitabilité des logements au rez de chaussée et au premier étage de l’immeuble susvisé et je vous fixe un dernier délai d’un mois à compter de la date de réception de la présente lettre pour l’exécution de ces travaux.
Si aucune suite ne devait être donnée de votre part à la présente mise en demeure dans le délai imparti, je me verrai contraint d’appliquer les sanctions pénales prévues par la loi.
2° A reproduire dans 1 mois
L.M. p.d.
[Tampon] Fait le 12.8.51, Exp. le 14. SEP 1951

Veuve Léon Loeb, Molsheim, rue des Vosges – Molsheim le 25 sept. 51
Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg, Hôtel de Ville
Monsieur,
Après réception de votre honorée du 14 sept. j’ai averti une deuxième fois le Commissariat 29, quai des Alpes. Etant membre du Syndicat de Reconstruction, ces messieurs m’ont assuré que je n’avais absolument pas à m’occuper de quoi que ce soit vu que les travaux de réparations commenceraient sous peu. Ayant assistée à l’assemblé générale de l’association Syndicale de Reconstruction, il était question de la rue des Veaux avec 4 immeubles pour la fin de l’année.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma très haute considération.
Mme Veuve Léon Loeb, professeur de musique
[Tampon] Mairie de la ville de Strasbourg, Entrée 26 SEP 1951

12 OCT 1951
1°) Le Maire de la Ville de Strasbourg – Service de la Police du Bâtiment
à Monsieur le Chef de la Subdivision de Strasbourg du MRU, 29, quai des Alpes, Strasbourg
2216
Objet : Travaux de réparation à faire exécuter dans l’mmeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg – Règlement de dommages de guerre
A la suite d’une plainte introduite par un locataire de l’immeuble susvisé j’ai fait procéder à une inspection des lieux.
Il a été constaté que la gouttière de l’immeuble donnant sur la ruelle de l’Abreuvoir est très défectueuse.
Il s’ensuit que les eaux de pluie se déversent sur la partie du bandeau en retrait sur la façade du rez de chaussée et s’infiltrent à travers le mur dans le logement situé au rez de chaussée. Une grande partie du plancher du logement au Ier étage est pourrie.
Afin de remédier à cet état de choses, j’ai invité la propriétaire de l’immeuble, Mme Vve Léon LOEB demeurant 7, rue des Vosges à Molsheim à deux reprises déjà, mais sans résultat, à faire exécuter les travaux de réparation qui s’imposent pour conserver les logements à l’habitation.
Or, par sa lettre du 25 septembre écoulé, Mme LOEB me fait connaître que l’Association Syndicale de Reconstruction, dont elle est membre, prendrait toutes les dispositions utiles en vue de l’exécution des travaux de réfection, sans que son intervention soit nécessaire, et que ces travaux seront entamés à titre de dommages de guerre avec ceux d’autres immeubles de la rue des Veaux pour la fin de l’année.
J’ai donc l’honneur de vous prier de bien vouloir donner les instructions nécessaires pour que la liquidation du dossier soit activée en vue d’une proche mise en chantier des travaux.
2°) A reproduire dans 1 mois.
L.M. p. d., signé Guri
[Tampon] Fait le 8.10.51, Exp. le 12 OCT 1951
[in fine :] 10 NOV 1951 – 12/11 M. Hoffmann, contrôle

V 2216 ([corrigé en] V 2057/52) – 10 rue des Veaux
Strbg. le 15/11 51, 1° Les travaux de réparations imposés ne sont pas encore exécutés, 2) à repr. le 20/12.1951
Strbg. le 17/12.51, 1° Les travaux imposés ne sont pas encore exécutés, 2) à repr. le 15/1.52
Strbg. le 17/1.52, 1° Rapport comme le 17/12 51. L’état des choses s’est aggravé à tel point que le logement devient insalubre à l’habitation. 2) à rappeler / M. Seyller

9 FEV 1952
1°) Le Maire de la Ville de Strasbourg – Service de la Police du Bâtiment
à Monsieur le Chef de la Subdivision de Strasbourg du MRU, Cité administrative, Strasbourg
V 2057/52
Objet : Immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg
Travaux de réparation – Règlement de dommages de guerre
Par ma lettre V/2216 du 12 octobre 1951, je vous ai prié de prendre toutes les dispositions utiles pour parer aux nombreux inconvénients constatés dans l’immeuble susvisé, devant permettre de conserver les logements à l’habitation en précédant [sic] aux travaux de réparation qui s’imposent. Etant donné que ces travaux ne sont pas encore entamés, malgré une impérieuse nécessité, j’ai l’honneur de vous prier à nouveau de bien vouloir donner les instructions nécessaires afin que ces travaux soient exécutés sans plus de retard.
2°) A reproduire dans 1 mois.
L.M. p. d.
[Tampon] Fait le 7.2.52, Exp. le 9. FEV 1952

Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme – Délégation départementale du Bas-Rhin
Strasbourg le 23.2.51 – Référence 876 / III, WI / GJ
Le Chef de la Subdivision de Strasbourg
à Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg, Service de la Police du Bâtiment, 16 rue de Bouxwiller, Strasbourg
Objet : immeuble 10 rue des Veaux, dossier 255 / z
Réf. V : 2057 / 52 du 9.2.52

Monsieur le Maire,
L’immeuble 10, rue des Veaux, propriété KIBORT Lucie – HEPP, est englobé dans un périmètre de reconstruction homologué par l’arrêté préfectoral 895/011/11/3 du 26.2.51. La priorité de reconstruction et de financement a été accordée par le même arrêté. Nos services ont précédé à la vérification de l’expertise de l’architecte ; la créance a été retenue au montant de 31.782.000 Frs.
L’Association Syndicale de Reconstruction de Strasbourg a été chargée de la reconstruction de ce secteur dont l’étude est confiée à l’architecte Deuchler.
Vue ces considérations et les pouvoirs donnés par le propriétaire à l’A.S.R., nos services ne peuvent intervenir dans la liquidation des dommages intéressant l’ensemble des bâtiments démolis ou réparables sis 10. rue des Veaux.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments distingués.
Le Chef de la Subdivision, M.R.U. de Strasbourg, Willer
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg, Entrée 26 FEV 1952
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 27 FEV 1952, V N° 2057

15 MAR 1952
1°) Le Maire de la Ville de Strasbourg – Service de la Police du Bâtiment
à Monsieur LAMBERIGTHS, Commissaire de l’Association Syndicale de Reconstruction de Strasbourg-Ville, Cité administrative, Bâtiment K, Strasbourg
2057/52
Objet : Travaux de réparation à faire exécuter dans l’immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg – Règlement de dommages de guerre
J’ai l’honneur de vous faire parvenir sous ce pli copie de ma lettre V N° 2216 du 12-10-1952 adressée à M. le Chef de la Circonscription de Strasbourg du MRU.
Etant donné que la situation s’est aggravée à tel point que les logements situés au rez de chaussée et au 1er étage deviennent insalubres et inhabitables et considérant que l’Association Syndicale de Reconstruction est responsable de tout accident ou préjudice causés à un tiers par suite de l’état défectueux de l’immeuble, je vous signale ce cas en vue d’une mise en chantier rapide des travaux qui s’imposent.
2°) A repr. dans 6 sem.
L.M. p. d.
[Tampon] Fait le 13.3.52, Exp. le 15. MAR 1952
[in fine :] le 2/5.52 1) Les travaux imposés ne sont pas encore exécutés, 2) à repr. le 7/6.1952
le 7/6.52 1) Rapport comme le 2/5. 52, 2) à repr. le 10/7. 52
le 17/7.52 1) Les travaux imposés ne sont pas encore exécutés, 2) à rapporter

11 AOU 1952
1°) Le Maire de la Ville de Strasbourg – Service de la Police du Bâtiment
à Monsieur LAMBERIGTHS, Commissaire de l’Association Syndicale de Reconstruction de Strasbourg-Ville, Cité administrative, Bâtiment K, Strasbourg
2057
Objet : Travaux de réparation à faire exécuter dans l’immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg – Règlement de dommages de guerre
Par ma lettre V / 2057 du 13 mars 1952, je vous ai signalé qu’il y avait nécessité urgente de mettre en chantier des travaux de réparation de l’immeuble susvisé étant donné que la situation au point de vue de l’habitabilité s’aggrave sans cesse.
Or, il vient d’être constaté que les travaux de réparation nécessaires devant conserver les logements à l’habitation ne sont pas encore commencés.
En conséquence, j’ai l’honneur de vous prier à nouveau de bien vouloir donner les instructions nécessaires pour que les travaux nécessaires soient entamés sans plus tarder.
2°) A reproduire dans 6 sem.
L.M. p. d., signé Guri
[Tampon] Fait le 7.8.52, Exp. le 11 AOU 1952

V 2057 – Immeuble 10 rue des Veaux, E. V.
Rapport
Descente sur les lieux ce jour à 11 h. Etaient présent MMr. Eiller, P. d. b., Charlier, id., Sauer, id.,
Lamberigths, MRU, Erny, id., Sprauer, id., Goering, id.,
Mewes, architecte rec., Koenig, id.
Après discussion menée sur place, il a été décidé de renvoyer cette affaire à l’ass. synd. de Reconst. pour compétence. L’arrêté municipal du 3.2.51 ([ajout au crayon rouge] ?) étant toujours en vigueur, il appartiendra au MRU d’engager ses responsabilités quant à la décision y relative – V

Groupement des Associations Syndicales de Reconstruction de Strasbourg-Ville et environs – Bureaux : Cité administratice, Bâtiment K
M. Lamberigts, Commissaire à la Reconstruction
à Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg, Police du Bâtiment, 16 rue de Bouxwiller, Strasbourg
Objet : immeuble 10 rue des Veaux – Héritiers HEPP (LOEB mandataire)
Monsieur le Maire,
Par lettre N° 2057 du 11 août 1952 vous avez bien voulu attirer mon attention sur l’urgence des réparations à effectuer dans l’immeuble sinistré 10 rue des Veaux.
Or le 7 Novembre 1951, M. Deuschler, Architecte, chargé à l’époque de cette reconstruction m’avait fait connaître que par arrêté du 3.2.1951 le Service de l’Urbanisme de la Ville de Strasbourg avait décidé la démolition totale de cet immeuble et qu’il ne pouvait plus être question d’y effectuer des travaux de réparation.
En conséquence, j’ai l’honneur de vous demander de bien vouloir faire vérifier si cette assertion est exacte et dans l’affirmative, m’adresser copie de l’arrêté susvisé.
Dans le cas contraire, j’examinerai, s’il y a possibilité de faire effectuer les travaux de réparation rapidement.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments distingués.
Pour le Commissaire et par délégation
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 9 SEP 1952, V N° 2057

[verso] Police du Bâtiment V – 2057
Strasbourg le 27 septembre 1952
Transmis – contre renvoi
à la Division VI – Service VI E
à titre d’information avec prière de me faire connaître s’il est exact que votre service VI E a pris un arrêté portant démolition de cet immeuble.
Dans l’affirmative, vous voudrez bien me faire connaître où en est cette affaire, attendu que l’état actuel de cet immeuble ne saurait se prolonger
Police du Bâtiment
[Tampon] Direction des travaux municipaux 29 SEP 1952, DIC. CI E n° 07
Service VI E entrée 1.10.52 VI E N° 725
Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 3 OCT 1952 V N° 2057

VI E – 728, Strasbourg le 1er octobre 1952
Fait retour – avec les annexes à la Division V
La partie sinistrée de l’immeuble 10, Rue des Veaux se trouve dans un périmètre de reconstruction pris en considération et déclaré d’utilité publique et d’urgence par arrêté interministériel du 3.2.51 dont copie est en votre possession. D’après les dispositions prévues dans ce périmètre, l’immeuble en question ne peut plus être reconstruit dans son ancien volume.
La reconstruction de l’immeuble en question est de la compétence du M.R. U. Aucun arrêté municipal n’a été pris de notre part en ce qui concerne la démolition des vestiges.
VI, p. i.
[in fine :] 30-12-52, à repr. dans 15 jours (avis au sujet du transport du DG)
8 JUIN 1953 – après 1 mois – p. o. 8/7
7/7/53, après 2 mois – 7/9

COPIE
I. Log. N° 1738 – Strasbourg, le -9 OCT 1952
A la Division VI, par la Division V
L’Association Syndicale de Remembrement de Strasbourg-Ville demande pour le compte des adhérents
1) Société Générale Commerciale de l’Est
2) Mme LEVY Mariette et Mlle. LEVY Alice
3) M. KUNTZMANN Paul et
4) M. KUHN Paul
l’autorisation d’employer les indemnités afférentes à la maison d’habitation sinsitrée à Strasbourg 10, rue des Veaux, bâtiment 1, à la reconstruction d’une maison d’habitation à Strasbourg, et je vous prie de me faire savoir si vous n’avez pas d’objection à former quant au transfert envisagé.
I. Log. Signé : Fix
Strasbourg le 14 OCT 1952
1°) A écrire sur l’original : VU et fait suivre à la Division VI, 2°) A classer ([corrigé en] A repr. dans 15 jours – 13.10.52
[verso] V 2106 30-10-52
1) Vi copie de l’avs VI-E 762 du 16. 10. 52
2) A écrire sur l’original : vu et transmis à la division I-Log
La plus grande partie de l’immeuble se trouve en dehors du périmètre bleu. J’émets un avis favorable à la demande de transfert sous réserve que ce transfert soit utilisé pour la reconstitution de la maison située en dehors du périmètre bleu qui se trouve actuellement dans un état compromettant son habitabilité. La remise en état de cette partie de la maison N° 10 rue des Veaux doit être assurée.
3) Après 15 jours
[Tampon] Fait le 30-10-52 – Exp. 3 NOV 1952
[in fine :] 17 NOV 1952 après 15 jours – 2/12
3/12/52 après 4 semaines
10 JAN 1953 après 2 mois
12 MAR 1953 après 2 mois
11-5-53 après 4 semaines – 11/6

COPIE
EI 762 – A la Division I-LOG. – par la Division V –
Objet : Immeuble sinistré 10, rue des Veaux à Strasbourg – Transfert des indemnités de D.G.
Référ : I. Log. N° 1738 du 9 octobre 1952.
L’immeuble sinsitré en question se trouve dans un périmètre de reconstruction approuvé par arrêté interministériel du 3.2.1951, ainsi que dans un périmètre de remembrement.
Nous n’avons pas d’objection de principe à faire valoir à l’encontre de l’emploi des indemnités de D.G. afférentes à cet immeuble tel que l’envisagent les propriétaires, sous réserve que le permis de construire puisse être accordé pour la maison à reconstituer.
Le terrain rue des Veaux devra être laissé à la disposition de l’Association Syndicale de Remembrement de Strasbourg-Ville.
VI, p. i., signé : Laforgue

[verso] V-2106, Strasbourg le –
2) Vu et transmis à la Division I-Log
La plus grande partie de l’immeuble se trouve en dehors du périmètre bleu. J’émets un avis favorable à la demande de transfert sous réserve que ce transfert soit utilisé pour la reconstitution de la maison située en dehors du périmètre bleu qui se trouve actuellement dans un état compromettant son habitabilité. La remise en état de cette partie de la maison N° 10 rue des Veaux doit être assurée.
3) Après 15 jours
[Tampon] Fait le 30-10-52 – Exp. [en blanc, le texte entier barré]

(XXXIII)

1947 – La Police du Bâtiment constate qu’on a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – J. Cunigel, ferblantier, demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation

YA 44966 – Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg – Service de la Police du Bâtiment, Strasbourg (Votre réf. : V- 975 / S)
Par la présente j’ai l’honneur de solliciter de votre bienveillande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire sur la façade de l’immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg. Dimensions de l’enseigne : 0,40 x 0,30
J. Cunigel, 10, rue des Veaux

Ville de Strasbourg – Police du Bâtiment
Arrêté portant autorisation de poser des saillies mobiles – V. 875 S
Le Maire de la ville de Strasbourg,
Vu les lois et ordonnances concernant la Police du bâtiment,
Vu la demande présentée en date du 15.10.47 par Mr Cunigel J. Ferblantier, 10, rue des Veaux concernant la pose d’une enseigne perpendiculaire en saillie sur la façade de l’immeuble 10, rue des Veaux
Arrête :
Art. 1er, Mr Cunigel est autorisé à titre précaire à poser une enseigne perpendiculaire susvisé(e) aux conditions indiquées dans le Règlement des constructions de la Ville de Strasbourg du 8 avril 1910 et de l’Arrêté du Maire en date du 25 juin 1936 et sous réserve des droits de tiers y compris ceux de la ville de Strasbourg.
L’objet en saillie sur l’alignement sera distant de 50 cm au moins de la bordure du trottoir, de 60 cm des limites voisines et de 2 m des lanternes d’éclairage public ; il ne pourra être placé à moins de 3,50 m au-dessus du trottoir. La saillie sur le mur ne dépassera pas 1 m, la surface est limitée à 1,00 m².
Les droits de voirie à verser annuellement à la Recette-Perception s’élèvent à 200.- frs. (Double taxe, l’enseigne est posée à une dist. inf. à 3 m 60 au-dessus du sol)
Cette somme sera perçue pour chaque exercice courant si la suppression de l’objet n’a pas été déclarée verbalement ou par écrit avant le 15 janvier au service de la Police du bâtiment.
Art. 2 – Seuls les travaux énoncés ci-dessus sont compris dans la présente autorisation. En cas de modification, une nouvelle demande devra être adressée à la Police du bâtiment.
Art. 3 – D’après le tarif en vigueur, un droit fixe et unique de 200- frs est à verser à la Caisse de la Police du Bâtiment pour l’établissement de la présente autorisation.
Art. 4 – La validité du présent arrêté expire au bout d’un an, compté à partir du jour de la remise au pétitionnaire, si les travaux autorisés n’ont pas été mis en exécution.
Art. 5 – Si les besoins des services publics, cas dont l’administration municipale sera seule juge, exigeraient la modification ou la suppression de tout ou partie des enseignes ou ouvrages en saillie, le permissionnaire ou ses ayant-droit seront tenus de se soumettre aux prescriptions de l’administration municipale sans avoir droit à aucune indemnité.
Strasbourg le 24.10.47
Le Maire, p. d.
1) Autorisation, 2) Caisse, 3) L’enseigne en question est posée et inscrite à la cartothèque, 4) A classer
Remis le 24/10/47, Copié le 24/10/47, Expédié le 31 oct 1947

Ville de Strasbourg, V N° 975-I – Strasbourg le 8.10.1947
Mr Cunigel J. Ferblantier, 10, rue des Veaux
Avis
Il a été constaté par l’agent de contrôle de la Police du Bâtiment que vous avez posé sans autorisation préalable sur la façade de la maison sis 10, rue des Veaux une enseigne perpendiculaire.
En vous rendant attentif aux prescriptions du § 1 du Règlement de Voirie de la ville de Strasbourg et à l’art. 4. de l’arrêté du Maire du 25 juin 1935, vous êtes invité à présenter dans le délai d’une semaine la demande en obtention de l’autorisation requise sur papier timbré, en y indiquant les dimensions exactes de ladite enseigne.
Police du Bâtiment
Remis le 8/10/47, Copié le 8/10/47, Expédié le 10.10.1947
II. à repr. le 1.11.47

Strasbourg, le 27.8.55
Ville de Strasbourg, Police du Bâtiment, 10 rue de Bouxwiller
Messieurs, Par la présente je vous informe que tous mes enseignes sont demontées et me considère liberé du montant de la taxe et ceci à partir de ce jour.
Veuillez agrées Messieurs l’expression de mes sentiment distinguées
Cunigel Lucien 6 rue du Parchemin Strasbourg
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg Entrée 30 AOUT 1955
Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 31 AOUT 1955, V N°

[verso] Strasbourg le 6.9.1955
1) L’enseigne en question est enlevée, 2) La redevance pour 1955 est acquittée, 3) La cartothèque est rectifiée, 4) A classer

(XXXIV)

1954-1955 – La Police du Bâtiment constate qu’on a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Le teinturier Klotz demande le droit d’apposer une enseigne perpendiculaire – Autorisation – 1955 : les enseignes sont démontées
Ville de Strasbourg – Strasbourg le 25 février 1954
N° 1669 S – Ets. Klotz, Teinturerie, 21, rue des Carmes, Strasbourg-Neudorf
Avis
Il a été constaté par l’agent de contrôle de la Police du Bâtiment que vous avez posé sans autorisation préalable sur la façade de la maison située 10 rue des Veaux l’enseigne perpendiculaire.
En vous rendant attentif aux prescriptions du § 1 du Règlement de Voirie de la ville de Strasbourg et à l’art. 4. de l’arrêté du Maire du 25 juin 1935, vous êtes invité à présenter dans le délai d’une semaine la demande en obtention de l’autorisation requise sur papier libre, en y indiquant les dimensions exactes de ladite enseigne.
Police du Bâtiment
II. à repr. le 25.3.54
[Tampon] Fait le 27.2.54, Exp. le 1 MAR 1954

Klotz, votre teinturier, Usines et bureaux, Strasbourg-Neudorf
Strasbourg, le 5 Mars 1954
à la Ville de Strasbourg, Police du Bâtiment
Messieurs,
Nous vous prions de bien vouloir nous accorder l’autorisation d’apposer
une enseigne perpendiculaire de 60 x 50 cm
à notre dépôt de teinturerie N° 10 rue des Veaux.
Vous en remerciant d’avance, nous vous présentons, Messieurs, nos salutations distinguées.
Secrétariat
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg Entrée 6 MAR 1954
Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 8 MARS 1954, V N° 1669 S

Ville de Strasbourg – Police du Bâtiment
Arrêté portant autorisation de poser des saillies mobiles – V. 1669 S
Le Maire de la ville de Strasbourg,
Vu les lois et ordonnances concernant la Police du bâtiment,
Vu la demande présentée en date du 5 mars 1954 par Ets. Klotz 21, rue des Carmes, Strasbourg-Neudorf concernant la pose d’une enseigne perpendiculaire en saillie sur la façade de l’immeuble 10, rue des Veaux
Arrête :
Art. 1er, Les Ets. Klotz est autorisé à titre précaire à poser une enseigne perpendiculaire susvisé(e) aux conditions indiquées dans le Règlement des constructions de la Ville de Strasbourg du 8 avril 1910 et de l’Arrêté du Maire en date du 25 juin 1936 et sous réserve des droits de tiers y compris ceux de la ville de Strasbourg.
L’objet en saillie sur l’alignement sera distant de 50 cm au moins de la bordure du trottoir, de 60 cm des limites voisines et de 2 m des lanternes d’éclairage public ; il ne pourra être placé à moins de 3,50 m au-dessus du trottoir. La saillie sur le mur ne dépassera pas 1 m, la surface est limitée à 1,00 m².
Les droits de voirie à verser annuellement à la Recette-Perception s’élèvent à 500.- fr. (Double taxe, l’enseigne est posée à une dist. inf. à 3 m 50 au-dessus du sol)
Cette somme sera perçue pour chaque exercice courant si la suppression de l’objet n’a pas été déclarée verbalement ou par écrit avant le 15 janvier au service de la Police du bâtiment.
Art. 2 – Seuls les travaux énoncés ci-dessus sont compris dans la présente autorisation. En cas de modification, une nouvelle demande devra être adressée à la Police du bâtiment.
Art. 3 – D’après le tarif en vigueur, un droit fixe et unique de 200- frs est à verser à la Caisse de la Police du Bâtiment pour l’établissement de la présente autorisation.
Art. 4 – La validité du présent arrêté expire au bout d’un an, compté à partir du jour de la remise au pétitionnaire, si les travaux autorisés n’ont pas été mis en exécution.
Art. 5 – Si les besoins des services publics, cas dont l’administration municipale sera seule juge, exigeraient la modification ou la suppression de tout ou partie des enseignes ou ouvrages en saillie, le permissionnaire ou ses ayant-droit seront tenus de se soumettre aux prescriptions de l’administration municipale sans avoir droit à aucune indemnité.
Strasbourg le 11 MARS 1954
Le Maire, p. d.
1) Autorisation, 2) Comptabilité, 3) L’enseigne est posée et inscrite à la cartothèque, 4) A repr. le 9.4.54 conc. le droit fixe et unique
Remis le 11 MARS 1954, Copié le 12-3-54, Expédié le 16 MARS 1954

V 1669 S – Strasbourg le 9 avril
1) Le droit fixe a été acquitté 2) A classer

Klotz, votre teinturier, Siège social, rue des Carmes Strasbourg-Neudorf
Police du Bâtiment, 16 rue de Bouxwiller, Strasbourg
Strasbourg, le 30 août 1955
Concernant dépôt de Teinturerie Klotz rue des Veaux 10
Messieurs,
Nous avons l’honneur de vous informer que le magasin sis à
Strasbourg, rue des Veaux 10
et dont les droits pour enseigne faisaient l’objet de votre AVIS DE PAIEMENT N& 1801 CHAP. IV. ART. 8 RECETTES 1955, a été fermé.
Nous vous prions de ben vouloir en prendre note et vous présentons, Messieurs, nos salutations distinguées.
Secrétariat – Jean Klotz
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg Entrée 31 AOUT 1955
Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 1 SEP 1955

[verso] Strasbourg le 6.9.1955
1) L’enseigne en question est enlevée, 2) La redevance pour 1955 est acquittée, 3) La cartothèque est rectifiée, 4) A classer

1955 – Rapport de feu de cheminée dans une cuisine au premier étage

(XXXV)

Copie – Rapport de feu de cheminée
Rapport du Sergent-chef Voltz
Date, lundi le 17 janvier 1955
Feu de cheminée, cuisine
Lieu du sinistre, Strasbourg, rue des Veaux N° 10, Etage, Ier, sans indication de détail
(Corps sortis) Caserne Finckwiller, (Appelés) Ligne III, station 16, 21 h. 30, (Engins emmenés) F.P. 25, E. M. 30
Arrivée des premiers secours à 21 h 33
Feu attaqué à 21 h 34 au moyen de fleur de soufre par nous-mêmes
Sinistré Mme Loeb, assuré oui
Propriétaire L. Loeb, 7, rue des Vosges Molsheim
La cheminée a été ramonée en présence des sapeurs ; elle est en bon état
(Police faite par) la Police
Derniers secours retirés à 21 h 54.
Compte rendu – Dans le comble la portière de la cheminée fait défaut
Copie transmise à la Police du Bâtiment
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 20 JAN 1955

(XXXVI)

1954 – Dossier sur  » l’Ilot rue des Veaux  » que les architectes Mewes et Koenig sont chargés de reconstruire : immeubles Burghard (16 rue des Veaux), Loeb-Hepp (10 rue des Veaux) et Schmolka (rue de la Croix) – Dossier resté en suspens, 1956

Mewes et Koenig, Architectes diplômés par le gouvernement – Strasbourg le 21 octobre 1954
Messieurs MEWES & KOENIG, Architecte D.P.L.G., 6, rue des Veaux, Strasbourg
à
Monsieur GRESSET, Commissaire à la Reconstruction
Monsieur DOPFF, Architecte en Chef de la Ville de Strasbourg
Monsieur CHARLIER, Police du Bâtiment de la Ville de Strasbourg
Monsieur WEILER, Inspecteur Départemental de l’Habitation et de l’Urbanisme
Monsieur STEINLEN, Directeur du Remembrement
Objet : Ilot rue des Veaux
Monsieur,
Ayant été chargés de la reconstruction d’un certain nombre de bâtiments groupés sous la dénomination  » Ilot rue des Veaux « , nous avons procédé aux études nécessaires depuis plus de deux ans.
Pendant ce temps, le lot s’est réduit aux immeubles BURGHARD, LOEB-HEPP et SCHMOLKA.
Madame KIBORT demande à opérer un transfert de ses dommages, mais est assez réticente quant au paiemennt de nos honoraires concernant l’établissement de son avant-projet.
Nous avons été incités à respecter une certaine hauteur de corniche, puis pour les immeubles BURGHARD et LOEB-HEPP on nous a demandé d’étudier un projet comportant le reculement des façades latérales ouest pour l’immeuble BURGHARD et est pour l’immeuble LOEB-HEPP.
On nous a indiqué que l’immeuble SCHMOLKA devait être enfin cosntruit sur le square à créer entre la rue de la croix et la rue des Veaux.
Le résultat de ces études est que pour les immeuble BURGHARD et LOEB-HEPP nous ne pouvons satisfaire à ces données, car le coût de la construction dépasse les crédits alloués par l’estimation des dommages.
Nous nous permettons de vous rappeler que ces dommages s’établissent de la façon suivante :
IMMEUBLE BURGHARD
Valeur 1939, francs 603,974,–
Valeur C.A.D., Juin 1954, francs 10.267.558,–
IMMEUBLE LOEB-HEPP
Valeur 1939, francs 397.654,–
Valeur C.A.D., Juin 1954, francs 6.760.118,–
IMMEUBLE SCHMOLKA
Valeur 1939, francs 415.066,–
Valeur C.A.D., Juin 1954, francs 7.066.373,–
Aucun de ces trois propriétaires n’est disposé à parfaire la somme qu’il était nécessaire de prévoir pour exécuter le projet tel qu’il avait été conçu.
En conséquence, afin de rester dans les limites des crédits alloués, nous avons été amenés à supprimer un étage dans les bâtiments BURGHARD et LOEB-HEPP et de ne prévoir également qu’un étage dans le bâtiment SCHMOLKA.
Des combles ne seront pas aménagés mais pourront éventuellement être distribués sur le même plan que le premier étage.
Ce sont ces nouveaux projets que nous avons l’honneur de soumettre par la présente à votre appréciation afin que toutes les instances énumérées en tête de cette lettre puissent nous communiquer leurs observations avant que nous ne passions aux dessins d’exécution.
Nous estimons en effet que d’avoir établi trois variantes d’avant projet et un projet complet à 2 centimètres par mètre pour l’immeuble BURGHARD constituent pour nous des dépenses que nous ne pouvons continuer de faire.
Nous vous serions reconnaissants, après un examen de ces avant-projets, de provoquer une réunion générale des destinataires de cette lettre au cours de laquelle nous pourrions recueillir en leur présence toutes les observations et être certains ainsi que le projet définitif sera approuvé par eux.
Les dépenses à prévoir sont les suivantes, non compris les fondations :
IMMEUBLE BURGHARD
1.083 m3 à 6.600,– francs, 7.147.800.-
701 m3 combles à 3.800,– francs, 2.663.800- [total] 9.811.600,-
IMMEUBLE LOEB-HEPP
704 m3 à 6.600,– francs, 4.646.400.-
701 m3 combles à 3.800,– francs, 2.082.400- [total] 6.728.800,-
IMMEUBLE SCHMOLKA
744 m3 à 6.600,– francs, 4.910.400.-
294 m3 combles à 3.800,– francs, 1.117.200- [total] 6.027.600,-
Veuillez agréer, Messieurs, mes sentiments distingués
(signé Ch. Mewes)
En annexe : 1 plan
1 plan BURGHARD
1 plan LOEB-HEPP
1 plan SCHMOLKA

Mewes et Koenig, Architectes diplômés par le gouvernement – Strasbourg le 9 novembre 1954
Monsieur Charlier, Police du Bâtiment de la Ville de Strasbourg, Rue de Bouxwiller
XIV./2. 144 ER.
Objet : Ilot rue des Veaux.
Monsieur,
Comme suite à notre conversation téléphonique et en complément de notre lettre N° XIV./2.050 du 21 octobre 1954. nous avons l’honneur de vous envoyer ci-inclus les plans de situation des immeubles
LOEB-HEPP, 10, rue des Veaux
BURGHARD, 16, rue des Veaux
SCHMOLKA, rue de la Croix
Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments distingués (signé Koenig)
div. annexes
[Plans de situation]

VI A / 613 Strasbourg le 30 Octobre 1954
A la Police du Bâtiment – par la Div. VI
Au point de vue aspect les remarques suivantes sont à faire :
1° Conc. Propriété de M. SCHMOLKA – rue de la Croix
La façade sur rue serait à modifier en supprimant la lucarne sur la toiture dans l’axe de la maison.
Elle sera à remplacer soit par une lucarne analogue aux deux projetées, soit en englobant ces trois lucarnes dans un seul élément formant une bande horizontale.
2° Conc. Propriété de MM. LOEB-HEPP et BURGHARD, 10 et 16, rue des Veaux
Il serait indiqué de donner plus de hauteur à la façade sur rue aux deux maisons projetées. Du point de vue économique il ne serait pas plus cher de remplacer la partie basse et presque verticale de la toiture à la Mansard par un mur massif de 25 cm d’épaisseur et de mettre la corniche principale à la hauteur du plancher haut du deuxième étage.
Les deux maisons se terminent par des murs mitoyens vers la propriété de la Ville, solution qui pourrait être acceptée si la Ville construisait sur la mitoyenneté. Ce cas ne se présentant pas, les deux pignons seront visibles et ne rehausseraient pas l’aspect de la rue.
VI -A
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 2 NOV 1954, V N° 2220
[Tampon] Division des Travaux municipaux, 30 OCT 1954

V – 2220 Strasbourg le 13 NOV 1954
Transmis à nouveau – contre renvoi – à la Division VI
en me référant à l’avis ci-dessus du Service VI a. Il s’agit de prendre position d’une façon définitive et de prendre une décision s’il y a lieu de tolérer les deux murs-pignons.
[Tampon] Division des Travaux municipaux, 5 NOV 1954
[Tampon] Service VI E, Entrée 16.11.54, VI E N° 1239

VI E – 1239 Strasbourg, le 2 Décembre 1954.
Fait retour- avec le dossier
à la Division V
En me référant à la réunion qui s’est tenue dans le bureau de M. l’Inspecteur Départemental de l’Urbanisme en date du 19 Novembre dernier à laquelle vous avez assisté. Il a été décidé que M. GRESSET du M.L.R. soumettra la solution adoptée aux propriétaires pour accord. Jusqu’à présent aucune réponse ne m’est encore parvenue.
VI p.i. (signé Laforgue)
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 6 DEC 1954, V N° 2253
[in fine :] 9-12-54 à repr. dans 4 semaines (nouveaux projets)
12-1-55, après 4 semaines
17 FEV 1955, après 4 semaines
24 MARS 1955, après 4 semaines
10-5-55, après 2 mois
14/10/55, après 3 mois
17 JAN 1956, après 3 mois

(XXXVII)

1955 – Nouvelle plainte : fuite de la gouttière dans le bâtiment le long de la ruelle de l’Abreuvoir, épargné par les bombardements – Rapport de la Police du Bâtiment – Lettre à la co-propriétaire et mandataire – On décide lors d’une réunion sur les lieux que les propriétaires prendront en charge une partie des réparations.

Strasbourg, den 8.6.55
A la Police du Bâtiment, Strasbourg
Schon bereits im Jahre 1951 war ich gezwungen infolge Bombenbeschädigung in meiner Wohnung mich an Sie zu wenden. Während all dieser Jahre ist aber von der  » Reconstruction  » die Sache noch nicht in Stand gesetzt worden. Um ein Unglück zu vermeiden, dann die Mauer in dem kleinen Gässchen ist durch die Feuchtigkeit mürbe geworden u. droht stündlich einzustürzen, teile Ihnen dies mit, damit Sie die Reparation durch die Reconstruction beschleunigen möchten.
Charlotte Schlingenmann, 10-I rue des Veaux, Anwesen von Mme Vve Loeb, Prof. de Musique, Molsheim
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, – JUIN 1955, V N° 2250

V 2250, 10 rue des Veaux – Plainte : Schlingenmann
Strbg. le 28/6 55
La plainte est fondée.
La gouttière de l’immeuble 10 rue des Veaux donnant dans la ruelle de l’Abreuvoir est deffectueuse. Les eaux pluviales se déversent sur la partie du bandeau en retrait sur la façade dans le logement situé au 1° étage ainsi qu’à travers le plafond du r. d. ch. La poutre soutenante et appuyante encastrée dans la marche latérale de la façade de la ruelle de l’Abreuvoir est pourrie. La façade présente une incurvation assez prononcée entre le r. d. ch. et le 1° étage de sorte que l’écroulement de ladite façade pourrait se produire.
L’habitabilité des logements peut être conservée vu que les logements en question sont situés dans la maison arrière qui n’est presque pas endommagée par les faits de guerre, si les dégats mentionnés plus haut étaient exécutés.
Il y a lieu d’intervenir auprès de la Subdivision afin que les travaux de réparation nécessaires soient exécutés.
Propr. de l’immeuble est Mme Vve Loeb, 7 rue des Vosges à Molsheim
(signé V)
[in fine :] M. Seyller

(XXXVIII)

1954-1956 – Les architectes signalent que l’immeuble menace ruine en novembre 1954 – Réunion et un courrier de la délégation régionale du ministère (M.L.R.), 1955 – Les architectes présentent un projet de reconstruction – La co-propriétaire dépose une demande de permis de construire (février 1956), les services municipaux émettent un avis favorable (avril 1956) avant que les architectes ne transmettent le dossier au M.L.R. pour obtenir le financement au titre des dommages de guerre.

Mewes et Koenig, Architectes diplômés par le gouvernement – Strasbourg le 9 novembre 1954
Monsieur Laforge, Architecte en Chef de la Ville de Strasbourg, 14, rue de Lucerne, Strasbourg
XV./1. 078./ ER.
Objet : Ilot rue des Veaux – Immeuble : 10 rue des Veaux
Monsieur,
Nous avons l’honneur de vous remettre sous ce pli copie de notre lettre de ce jour à Monsieur le Chef de la Subdivision du M.R.L. – Strasbourg.
Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments distingués (signé Koenig)
1 annexe.

[in fine :] VI – Strasbourg, le 29 juin 1955
Transmis à ch. d. r. à la Division V
avec prière de me tenir au courant de ce qui a été décidé dans le présent cas.
VI, p. i. Laforgue
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 1 JUIL 1955, V N° 2253

Mewes et Koenig, Architectes diplômés par le gouvernement – Strasbourg le 9 novembre 1954
Monsieur le Chef de la Subdivision du M.R.L. – Cité Administrative, Strasbourg
XV./1. 077./ CEM./ ER.
Objet : Ilot rue des Veaux – Immeuble : 10 rue des Veaux
Monsieur,
Nous référant à diverses conversations, notamment à celle que nous avons eue avec Monsieur WEILER et d’ordre de notre cliente, Madame LOEB représentant les co-héritiers de l’immeuble rue des Veaux N° 10, nous avons l’honneur de vous signaler que cet immeuble menace ruine et que son habitation est dangereuse pour les occupants.
En conséquence, nous vous prions de provoquer un rendez-vous afin d’examiner les mesures à prendre.
Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments distingués (signé Koenig)
Copie de la présente à :
Monsieur l’Architecte en Chef de la Ville de Strasbourg,
Monsieur WEILER, Chef du Service de l’Urbanisme,
Monsieur le Chef de la Police du Bâtiment.

Mewes et Koenig, Architectes diplômés par le gouvernement – Strasbourg le 9 novembre 1954
Monsieur le Chef de la Police du Bâtiment, Rue de Bouxwiller Strasbourg
XV./1. 080./ ER.
Objet : Ilot rue des Veaux – Immeuble : 10 rue des Veaux
Monsieur,
Nous avons l’honneur de vous remettre sous ce pli copie de notre lettre de ce jour à Monsieur le Chef de la Subdivision du M.R.L. – Strasbourg.
Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments distingués (signé Koenig)
1 annexe.
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg, Entrée 29 JUIN 1955
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 30 JUIN 1955, V N° 2253, 4 juillet 1955

Ministère du Logement et de la Reconstruction – Strasbourg le 7 juillet 1955
Le Chef de la Subdivision de Strasbourg
à Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg, Service de la Police du Bâtiment, Strasbourg
Objet : Immeuble LOEB ; 10 rue des Veaux – P. J. : I
Monsieur le Maire,
Veuillez trouver ci-joint copie de la lettre adressée aux architectes Mewes et Koenig en réponse à leur demande d’intervention de nos services dans la remise en état d’habitabilité de l’immeuble 10, rue des Veaux.
Je vous prie de vouloir bien intervenir auprès du propriétaire dans le sens de notre lettre.
Recevez, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments distingués.
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg, Entrée 9 JUIL 1955
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 11 JUIL 1955, V N° 2253, 4 juillet

Le chef de la Subdivision de Strasbourg
à MM.MEWES – KOENIG, architectes, 6, rue des Veaux, Strasbourg
Objet : dossier 24.410 Z – immeuble LOEB, 10, rue des Veaux
Réf. : v. lettre du 28.6.55
Messieurs,
Vous nous demandez d’intervenir dans la remise en état de l’immeuble 10, rue des Veaux et de prendre connaissance de l’état actuel du bâtiment par un constat sur place. –
Or vous n’ignorez pas que la responsabilité envers les locataires incombe uniquement au propriétaire. En ce qui concerne les travaux de réparation au titre des dommages de guerre, toutes les dispositions ont été prises par notre Ministère pour assurer le financement, dès obtention du permis de construire : priorité, vérification de votre expertise et notification de la créance.
Il appartient donc au propriétaire de réaliser dans les meilleurs délais l’exécution des travaux indispensables à la sécurité des locataires.
Veuillez croire, Messieurs, à l’expression de mes sentiments distingués.
[Tampon] Direction des Travaux municipaux, 12 JUIL 1955
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 13 JUIL 1955, V N°
[Deuxième exemplaire : tampons de la Mairie et de la Police du Bâtiment]

Inspection des lieux le 19.8.55 à 9 h 30. Sont présents Mr Weiler, Inspecteur départemental de l’urbanisme, Mr Benne délégué adjoint M.L.R., Mr les architectes Mewes et Koenig, Madame Vve Loeb propriétaire de l’immeuble
Mr Benne delegué adjoint à demander à Mr Mewes et Koenig de présenter un nouveau devis, étant donné que l’architecte Mewes prétend que le financement retenu par le M.R.L. est insuffisant.
V – après 6 semaines
[in fine :] 2253
3/10/55, 1. Pas de travaux, devis à présenter par l’archit. ne nous est pas parvenu, 2. le 5/42/55 – V
13/12, 1. Pas de travaux, 2. le 20/4/56 – V

Mewes et Koenig, Architectes diplômés par le gouvernement – Strasbourg le 20 février 1956
Police du Bâtiment de la Ville de Strasbourg, Rue de Bouxwiller Strasbourg
Objet : Reconstruction et réparation de l’immeuble HEPP-LOEB, 10, rue des Veaux – Strasbourg
Messieurs,
Nous avons l’honneur de vous transmettre ci-inclus les pièces suivantes :
1 demande de permis de construire en 2 ex.
1 plan en 3 ex.
1 plan de situation en 3 ex.
1 devis descriptif en 3 ex.
1 devis estimatif en 3 ex.
1 bon pour permis de construire en 2 ex.
relatives à l’immeuble LOEB – HEPP
Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Messieurs, nos sentiments distingués
div. 1 annexes.
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg, Entrée 21 FEV 1956

Demande de permis de construire [formulaire imprimé rempli à la machine]
Département du Bas-Rhin, Commune de Strasbourg
Je soussigné LOEB Anne Veuve demeurant Molsheim / Bas-Rhin, 7, rue de Vosges
demande la délivrance du PERMIS DE CONSTRUIRE pour des travaux à entreprendre sur un terrain sis à Strasbourg, 10, rue des Veaux dont je suis propriétaire-mandataire.
Ces travaux, définis au dossier joint, consistent en :
Addition, surélévation ou transformation destinées à l’habitation ou à ses annexes
Nom et adresse de la personne chargée de la direction technique des travaux : Mewes & Koenig, architectes d.p.l.g., 6, rue des Veaux, Strasbourg
A Strasbourg, le 7.1.56. (signé A. Loeb)
Dépôt le 22. FEV 1956 n° 2253, Avis favorable donné le 5 AVR 1956

Liste des pièces composant le dossier :
1 demande de permis de construire en 2 ex.
1 plan en 3 exemplaires
1 plan de situation en 3 ex.
1 devis descriptif en 3 exempl.
1 devis estimatif en 3 ex.

Partie réservée au demandeur
1. Agissez-vous au nom d’une société (ou groupement), non
3. Quelle est votre profession ? aucune
4. La construction est destinée à (4) Location vide
5. Avez-vous recours à un architecte ? oui
6. Bénéficiez-vous de la législation sur les dommages de guerre ? oui
Demandez-vous la prime à la construction ? non
Le ou les logements auront-ils
8. Eau courante 1. Sur l’évier
9. Gaz et électricité
10. W.C. intérieur au logement
11. Tout à l’égout : oui
12. Chauffage central : non
13. Ascenseur, non, Vide-ordure, non

5 AVR 1956
V 2253, Messieurs MEWES & KOENIG, architectes 6 rue des Veaux, Strasbourg
messieurs,
J’ai l’honneur de vous retourner en annexe la demande de permis de construire avec plans et pièces à l’appui concernant la reconstruction et réparation, au titre de dommages de guerre, de l’immeuble 10, rue des Veaux appartenant à Mme Vve LOEB (succession de M. Gustave HEPP) en vous faisant connaître que l’examen du projet présenté n’a donné lieu à aucune objection.
J’émets donc un avis favorable à la délivrance du permis de construire au titre de reconstruction et vous prie de présenter le dossier complet au service compétent du M.R.L. accompagné de mon avis favorable.
Veuillez agréer, Messieurs, l’expression de mes sentiments distingués.
+ +
A repr. d. 2. mois
L.M. p.o.
[Tampon] Fait le 4 AVR 1956, Exp. le 5 AVR 1956

VI 168 Strasbourg le 10 mars 1956
Fait retour à la V° Division – par I
Le terrain en question se trouve dans l’alignement légal de la rue des Veaux. Il dépasse de 0,50 m à 2,40 m de l’alignement égal de la rue de l’Abreuvoir ; environ 85 m² tombent dans ladite rue. Les transformations sont projetées en arrière desdits alignements.
L’immeuble est raccordé à l’égout.
Pas d’objection à formuler contre l’exécution du projet.
VI (signé Laforgue)
[Tampon] Division des Domaines / Aff. imm., Entrée 14 MRZ 1956

I 453 B, Strasbourg le 22 MARS 1956
Fait retour – avec les annexes à la Division V
La partie de terrain dépassant de l’alignement légal étant encore surbâtie, nous renonçons à en demander, dès à présent, la cession à la Ville.
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 23 MARS 1956, V. N° 2253
[in fine :] Pas d’objection
N.B. Il s’agit en l’occurrence de travaux de réparation à titre de dommages de guerre – Ch. 27/3/56

V 2250 – 12 AOUT 1955
Madame Vve Loeb, 7 rue des Vosges, Molsheim (Bas-Rhin)
Objet : Votre immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg – Travaux de réparation à faire exécuter
Madame,
Mon attention ayant été appelée sur l’état défectueux de votre immeuble susvisé, j’ai fait procéder à une inspection des lieux.
Il a été constaté que la gouttière de l’immeuble donnant sur la ruelle de l’Abreuvoir est défectueuse. Les eaux pluviales se déversent sur la partie du bandeau en retrait sur la façade dans le logement situé au 1er étage ainsi qu’à travers le plafond du rez-de-chaussée. La poutre soutenante et appuyante encastrée dans la marge latérale de la façade de la ruelle de l’Abreuvoir est pourrie. La façade elle-même présente une incurvation assez prononcée entre le rez-de-chaussée et le 1er étage de sorte que l’écroulement de ladite façade pourrait se produire.
En application des dispositions des lois et règlements en vigueur et compte tenu de ce que l’Association Syndicale de Reconstruction de Strasbourg a été chargée de la reconstruction du secteur où est implanté l’immeuble considéré, je vous invite à vous mettre en rapport avec l’architecte M. DEUCHLER, chargé de l’étude de cette reconstruction en vue de l’exécution des travaux de réparation nécessaires.
Veuillez agréer, Madame, mes salutations distinguées.
[Tampon] 10 AOU 1955 – Exp. le 12 AOUT 1955

[verso] 2) A informer le pétitionnaire p. formulaire
3) A repr. dans 2 mois – 12/10
[in fine :] Inspection des lieux le 19.8.55 à 9 h 30. Sont présents Mr Weiler, Inspecteur départemental de l’urbanisme, Mr Benne délégué adjoint M.L.R., Mr les architectes Mewes et Koenig, Madame Vve Loeb propriétaire de l’immeuble
Il fut décidé qu’une partie de ces réparations seront à la charge de la propriétaire.
V – après 6 semaines

(XXXIX)

Madame Léon Loeb, 7, rue des Vosges, Molsheim
Molsheim, le 16 octobre 1956
Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg
Concerne : Immeuble en péril, Strasbourg, 10, rue des Veaux
Monsieur le Maire,
En ma qualité de mandataire des copropriétaires de l’immeuble : Strasbourg, 10, rue des Veaux, j’ai l’honneur de vous confirmer mes nombreuses déclarations au sujet de l’état d’insécurité de l’immeuble dont s’agit.
Les copropriétaires de l’immeuble n’entendent en aucun cas assumer une responsabilité quelconque en cas d’accident.
Vous n’ignorez pas qu’une partie de l’immeuble est sinistrée.
Une décision s’impose, car la situation actuelle ne peut durer. Une commission avait cependant visité l’immeuble l’année dernière.
Je vous le signale à toutes fins utiles
Et vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments très distingués
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg , Entrée 18. OCT. 1956
Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 19 OCT. 1956, V. No. 2436
[mentions au crayon] M. Sauer p. constat et rapport – acheté par la Ville

V 2436, Str. le –
Note : Il résulte d’un entretien téléphonique avec M. KOENIG (Div. 1) que les formalités concernant l’achat par la Ville, resp. la vente par les co-propriétaires de l’immeuble 10, rue des Veaux ne sont pas encore liquidées. Toutefois, pour compléter son dossier, la Div. I désire recevoir une copie du rapport fait à la suite de notre constat du 9 – 11 – 56.

1956 – La Police du Bâtiment fait un rapport sur l’état de l’immeuble : la partie avant vers la rue est habitée. La partie arrière gauche inhabitée est en partie effondrée
Extrait de procès verbal des Commissions : la ville décide d’acheter l’immeuble

9.11.56
Conc. : Immeuble 10, rue des Veaux, E.V.
Réf. : Lettre Loeb du 16.10.56
Rapport
1) ([biffé] Selon leur volonté, hyg. a participé à l’inspection faite par notre service)
Le N° 10, Rue des Veaux est partiellement sinistré par fait de guerre. En particulier, l’entrée et l’aile arrière gauche ont souffert des bombardements.
L’immeuble en bordure de la rue des veaux, ainsi que les façades longeant la ruelle qui conduit à la passerelle de l’Abreuvoir sont dans un état général tel qu’un écroulement partiel ou total n’est pas à craindre. Un arrêté de péril ne peut donc en aucune façon être délivré pour ces bâtiments.
Nous répétons que la partie arrière gauche inhabitée et partiellement effondrée présente des risques d’écroulement par suite des faits de guerre.
A titre de renseignements, voici les occupants
maison avant (rue des Veaux)
r. d. ch. – Jesel commerce débit de vin
1er – idem (inoccupé)
2 – Ch. Briehm 3 p. c. WC
3 – Vve Briehm, id
maison latérale (donnant sur la ruelle)
r. d. ch. – Vve Isenmann 3 p. c. WC cour
1er – Mme Graffstein 5 p. c. WC log.t
2 – Schmidt idem
3 – Wassemer / Kosenberger idem
maison postérieure (donnant sur la cour)
r. d. ch. – entrepôt (chauffage)
1er – Schlingermann 6 p. cuis
2 – Bendifalla id.
3 – Korich id.
2) Mons. Seyller pour répondre en ces termes à Hyg
[in fine :] M. Seyller 13/11

[verso]
V-2436, Strasbourg, le 10 DEC 1956 p. c.
2) a) Copie est transmise à la Division I à titre d’information et comme suite aux entretiens téléphoniques entre nos deux services.
V-2436, Strasbourg, le 10 DEC 1956 p. c.
b) Copie est transmise à la Division HYG. à titre d’information.
3) Madame Léon Loeb, 7 rue des Vosges, Molsheim (Bas-Rhin)
Objet : Immeuble 10, rue des Veaux à Strasbourg
Référ. : Votre lettre du 16.10.1956
Madame,
Me référant à votre lettre précitée, j’ai l’honneur de vous confirmer que l’immeuble a été acheté entretemps par la Ville de Strasbourg.
C’est donc le Service Municipal des – qui s’occupera de l’affaire que vous avez signalée.
Veuillez agréer, Madame, mes salutations distinguées.
+ +
A la statistique
+ +
A classer
L.M. p. o.

Extrait du procès verbal de la séance des Commissions du lundi 15 octobre 1956.
7° point de l’ordre du jour, Acquisition de l’immeuble N° 10, rue des Veaux
Adopté. A cette occation, M. BOOSZ demande pourquoi les locaux commerciaux ainsi que les logements du nouvel immeuble construit derrière la place de l’Homme de Fer (gratte-ciel) ne sont pas encore occupés (…)
[Tampon] Mairie de la Ville de Strasbourg , Entrée 17. OCT. 1956
Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment 19 OCT. 1956, V. No. 846 M

(XL)

1957 – Février : La Division I envisage de démolir l’immeuble arrière pour mieux pouvoir aménager l’école en construction sur le terrain contigu et propose de prendre un arrêté de péril. Quelques jours après, un mur s’écroule dans l’aile latérale qui est désaffectée mais contient l’escalier donnant accès aux logements de l’immeuble sur l’Ill. – Arrêté de péril concernant la partie latérale vers le n° 12 et le corps de bâtiments face à l’Ill – L’entreprise Schoettel est autorisée à aménager un tunnel de protection le long de la ruelle de l’Abreuvoir pendant les travaux de démolition – Août, l’immeuble est démoli et les vestiges ont disparu

I – 1588 Strasbourg, le 1 FEV 1957
A la Division V
Concerne : Immeuble 10, rue des Veaux
Référ. : Votre communication V 2436 du 10 décembre 1956.
L’immeuble 10, rue des Veaux qui a fait l’objet de votre rapport cité en marge, a été acquis entretemps par la Ville. Cette acquisition a été réalisée pour permettre un meilleur aménagement du quartier, en corrélation avec la construction de l’Ecole Louis Pasteur actuellement en chantier sur le terrain contigu.
Elle doit en outre être mise à profit pour réaliser d’une façon plus rationnelle les fondations de la nouvelle école. A cet effet le corps de bâtiment particulièrement défectueux donnant sur l’Ill devra être démoli en première urgence. Cette partie de l’immeuble pourra être évacuée pour la fin du mois de mars.
En vue de réduire la procédure de désaffectation des locaux d’habitation se trouvant dans ledit corps de bâtiment, je vous prie d’examiner si la démolition ne peut être documentée par un arrêté de péril. Dans l’affirmative, veuillez faire prendre l’arrêté en question
[Tampon], Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 2 FEV 1957

V 2436 – 12.2.57
Cc. Immeuble 10, rue des Veaux
réf. I – 1588 du 1.2.57
Rapport
Hier 11 Février, la div. I nous a mandé d’urgence sur les lieux pour constater l’écroulement d’un pan de mur. Le service d’architecture également convoqué ne s’est pas présenté.
En effet, un pan de mur d’env. 10 m² s’est écrasé dans la cour, comme indiqué en jaune sur le plan de situation ci-joint Des passants auraient pu être écrasés sous les masses chutées.
L’immeuble arrière faisant face sur l’Ill est encore partiellement habité (2 logts). Les locataires en question sont susceptibles d’être écavués prochainement selon les dires de la div. I.
En considérant l’état général dans lequel se trouvent ces bâtiments, plus ou moins touchés par faits de guerre, et dans le but d’éviter tout accident, il y aurait lieu d’établir un arrêté de péril, avec évacuation des locataires intéressés, surtout que l’aile partiellement écroulée contient la cage d’escalier desservant l’immeuble arrière. [signé] V
Adam p.p.c
Seyller

Ville de Strasbourg
Arrêté municipal
Immeuble menaçant partiellement ruine.
Interdiction d’habiter les parties menaçant ruine de l’immeuble municipal sis 10, rue des Veaux à Strasbourg
Le Maire de la Ville de Strasbourg, Officier de la Légion d’Honneur
VU l’article 97 de la loi municipale du 5 avril 1884,
VU les pouvoirs généraux de police qui me sont conférés par ladite loi,
CONSIDERANT que la partie latérale inhabitée du côté du N° 12 rue des Veaux s’est déjà écroulée partiellement et que le corps de bâtiment faisant face sur l’Ill (habité par deux familles) menacent ruine et présentent donc un danger pour la sécurité publique, de sorte qu’il faudra procéder à leur démolition ;
CONSIDERANT que le corps de bâtiment faisant face sur l’Ill est encore habité et que ses occupants se trouvent en péril ;
arrête
Article 1er – Il est fait interdiction à quiconque d’habiter la partie latérale du côté du N° 12 rue des Veaux ainsi que le corps de bâtiment faisant face sur l’Ill de l’immeuble municipal menaçant partiellement ruine sis à Strasbourg 10, rue des Veaux et appartenant à la Ville de Strasbourg.
Article 2 – Les occupants actuels du corps de bâtiment faisant face sur l’Ill devront le quitter avant le trente-et-un mars 1957.
Article 3 – Le présent arrêté sera notifié à tous les chefs de famille habitant les parties de l’immeuble en cause.
Il sera affiché en outre sur la façade principale de l’immeuble.
Article 4 – Dès évacuation des occupants les parties d’immeuble en cause sont à démolir.
Article 5 – Le Service Municipal des Domaines, le Service Intercommunal du Logement et le Service de la Police du Bâtiment sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Fait à Strasbourg, le 19 FEV 1957
Le Maire, p.d. (signé Guri) Adjoint

[verso] V-2436 Strasbourg, le 19 FEV 1957

A la Division I
Objet : Immeuble municipal menaçant partiellement ruine sis à Strasbourg 10, rue des Veaux.
Référ. : Votre transmission I-1588 du 1er février 1957.
Me référant à votre transmission précitée, je vous fais parvenir ci-joint une ampliation de mon arrêté de péril de ce jour, à toutes fins utiles,
Prière de me retourner le récépissé ci-joint après l’avoir dûment rempli et signé.
Par ce même courrier, j’ai transmis une ampliation de l’arrêté à la Division I-Log. Vous voudrez bien vous mettre directement en rapport avec ce service en ce qui concerne l’évacuation et le relogement des occupants.
3° Ampliation est transmise
a) à la Division I-Log à titre d’information et à toutes fins utiles de concert avec la Division I, en ce qui concerne l’évacuation et le relogement des occupants.
b) à la Division HYG à titre d’information
4° M. Haushalter pour notification et remise d’une ampliation de l’arrêté à tous les chefs de famille habitant le corps de bâtiment incriminé, pour affichage d’une ampliation à la porte principale dudit immeuble et pour en dresser procès verbaux.
5° M. Petri : à noter sur la liste des immeubles menaçant partiellement ruine.
6° A repr. dans 10 jours (récépissé I), ci joint
L.M. p.d.
[in fine :] 14/5/57, M. Koebel, travaux de démolition achevés ?

(Copie) Ville de Strasbourg – Strasbourg le 23 mai 1957
Autorisation
Comme suite à la demande en date du 23 avril 1957 et en conformité des dispositions de l’arrêté du 8-11-1869 sur la voirie municipale,
L’entreprise générale de Construction SCHOETTEL & C° 7, place St-Florent à Strasbourg-Cronenbourg, agissant pour le compte et sur les ordres de la Ville de Strasbourg, est autorisée à titre précaire et révocable et sous réserve des droits des tiers et de l’observation des conditions générales et particulières énumérées ci-après, à aménager un tunnel de protection sur la longueur de son chantier donnant sur la ruelle de l’Abreuvoir, pendant la durée des travaux de démolition du bâtiment arrière de l’immeuble situé 10, rue des Veaux à Strasbourg. Ce tunnel devra avoir une hauteur d’au moins 2,70 m et être éclairé efficacement de jour et de nuit. En vertu des dispositions de l’art. 29 du règlement de la circulation sur le territoire de la ville de Strasbourg du 6 décembre 1956, le stationnement des véhicules est interdit dans la rue des Veaux des deux côtés de la chaussée sur une longueur d’environ 26 m à partir du croisement rue des Sœurs et rue de l’Abreuvoir et en direction de la rue de la Pierre Large.
L’entreprise chargée des travaux devra mettre en place les panneaux règlementaires d’interdiction de stationnement.
[Suivent les conditions générales imprimées]
Le Maire p. d., Signé Schmitt
Copie transmise à la Division V (Police du Bâtiment) à toutes fins utiles.
[Tampon], Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 24 MAI 1957
[in margine] le 3.6.1957, Exempté des droits de voirie, 2) à repr. 30/6/57
1/7/57 à classer

V-2436
Objet : Immeuble municipal menaçant partiellement ruine sis à Strasbourg 10, rue des Veaux et destiné à la démolition
17.5.57 – 1) Les locaux de l’immeuble en question sont complètement évacués. L’Entreprise Schoettel est chargée de procéder à la démolition dont les travaux ne sont pas encore commencés. 2) le 4.7.57 – V, K.
3.7.57 – 1) Les démolitions en exécution se poursuivent au rez-de-ch. 2) le 4.8.57 – V, K.
27.8.57 – 1) Les anciens vestiges de l’immeuble vétuste ont disparu. Plus d’objection à faire. 2) A classer – V, K.

(XLI)

1958 – La Division I écrit à la Division V : le pignon de l’immeuble municipal présenterait un danger pour les enfants de l’école voisine – Une visite des lieux par la Police du Bâtiment établit que l’immeuble ne met en danger ni les passants ni les habitants

I – 293 Strasbourg le 28 MARS 1958
A la Division V
Concerne : Immeuble municipal 10, rue des Veaux
Selon note VI A/203 du 10 mars 1958, le pignon de l’immeuble 10, rue des Veaux donnant sur l’Ill présenterait un danger permanent pour les enfants et l’aménagement de la cour de l’école dans la partie comprise entre le bâtiment scolaire et la ruelle de l’Abreuvoir doit de ce fait être laissé en suspens jusqu’à la démolition de l’immeuble.
Je vous prie de faire procéder aux investigations nécessaires en vue de constater si l’état d’entretien du pignon en question s’est empiré depuis votre dernier contrôle et de vérifier si l’immeuble peut encore être maintenu sans mettre en péril passants et habitants.
[Tampon] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 29 MARS 1958, V. N° 2450
[in margine :] voir la cage d’escalier

le 23 mai 1958.
A la Division I
1° OBJET : Immeuble municipal 10, rue des Veaux à Strasbourg
Comme suite à votre transmission I n° 293 du 28 mars 1958, je vous fais savoir que l’immeuble en question se trouve dans un état de vétusté avancé, mais que ni le pignon donnant sur l’Ill ni l’escalier donnant accès aux logements se trouvent dans un état tel que la sécurité des occupants soit compromise.
L’immeuble peut donc encore être maintenu sans mettre en péril passants et habitants.
2° à repr. dans 4 mois
[Tampon] Fait le 23 MAI 1958, Exp. le 24 MAI 1958

Représenté le 20 SEP 1958
tournée de contrôle
22 SEP 1958 A) Situation inchangée, 2) A classer (10, rue des Veaux) – le 9/10


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.