27, quai des Bateliers


Quai des Bateliers n° 27 – IX 186 (Blondel), O 657 puis section 22 n° 14 (cadastre)

IX 186 (façade sur quai)IX 186 (côté vers la ruelle)
Façade sur le quai et sur la ruelle (juin 2008)
Millésime 1608 et initiales P F, au premier étage à l’angle vers le quai (avril 2018)

La maison qui fait le coin du quai des Bateliers et de l’impasse des Trois-Gâteaux est reconstruite vers 1614 par Philippe Fiedel, tonnelier et marchand de vinaigre, qui paie un nouveau loyer pour des auvents. Elle appartient ensuite à des bateliers puis prend l’enseigne du bateau de Francfort (zum Franckfurter Schiff) vers 1750 quand elle appartient à Jean Michel Klopffer, prévôt des musiciens en Basse Alsace.

209 Elévations u'-c''
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 209
Façades vers le quai (u’-x’) puis vers la ruelle (x’-c’’)

Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue, la maison se trouve de part et d’autre du repère (v’). Son aspect est celui qu’on peut voir de nos jours : la porte surmontée d’une fenêtre à chacun des deux étages occupe la la partie orientale, une fenêtre au rez-de-chaussée et deux fenêtres à chaque étage s’ouvrent dans la partie occidentale qui ne suit pas le même alignement. La façade vers la ruelle, entre les repères (x’) et (y’), comprend une porte (transformée en fenêtre depuis lors) et deux fenêtres à chaque étage. La petite cour (L’) s’ouvre par la porte (1)-(2) qui figure déjà sur les élévations de la rue, la façade (2)-(3) forme l’arrière du bâtiment sur le quai. On voit entre (3) et (4) la partie en retour du bâtiment puis la maison voisine vers le sud entre (4) et (5).

209 Cour L'
Cour L’

On agrandit les lucarnes (1884), répare une sablière (1897), transforme des fenêtres en devanture et perce une porte d’entrée (1904). Des transformations projetées entre 1908 et 1911 ne sont pas réalisées, notamment parce qu’il a un moment été question d’exproprier la maison lors de la reconstruction de l’église Sainte-Madeleine. Le maison, inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1937, est endommagée lors des bombardements aériens des 11 août et 25 septembre 1944. Elle est remise en état en 1956.

juin 2008

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1680 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Daniel Hetzel
h Jean Jacques Hetzel, batelier, et (1675) Anne Marie veuve de Jean Georges Lux puis (1683) Anne Véronique Winther – luthériens
1706 v Isaac Bitto, marchand de poudre et greffier à l’accise, et (1687) Anne Marie Faust – luthériens
1741 adj Jean Frédéric Heupel, receveur de l’Orphelinat, et Françoise Weimer puis (1755) Anne Marie Horrer veuve de Jean Frédéric Brisset – luthérien converti et catholiques
1745 v Jean Michel Klopffer, musicien de la ville puis cabaretier, et (1713) Catherine Salomé Bronner – luthériens
1761 v Orphelinat
1763 v Philippe Schropp, cabaretier, et (1762) Marie Salomé Schwartzrucker puis (1774) Catherine Marguerite Hartschmidt – luthériens
1769 v Jean Georges Walther, cabaretier, et (1756) Marguerite Salomé Kesselmeyer – luthériens
1783 adj Jean Martin Schwing, blanchisseur à la la Robertsau, et (1730) Anne Barbe Schmidt puis (1744) Catherine Elisabeth Murmann – luthériens
1797 h Marie Elisabeth Schwing veuve de Philippe Jacques Blind, mégissier (1769) – luthériens
h Marie Madeleine Schwing femme a. (1803) de Jean Louis Lanaud, maître tailleur à l’armée, b. (1823) de Joseph Zübelé, facteur de la poste aux lettres et c. (1827) de Jean Georges Ruch, praticien
1843 v Victor Zabern greffier du juge de paix
1848* Marguerite Elisabeth Ritzenthaler
1849* Jean Frédéric Schaeffer, boucher
1885* Jean Charles Nussbaum, peintre
1906* Adolphe Biefer
1935* Eugène Joseph Acker, négociant

(1765, Liste Blondel) IX 186, Jean Michel Klopffer
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 657, Ruch, Jean Georges, huissier (corrige : Rusch) quai des Bateliers 16 – maison, sol – 0,94 are

Locations

1704, Jean Michel Trawitz
1751, Mathias Koch, aubergiste
1759, Jean Henri Simon Klopffer fils et Marie Dorothée Artzner
1771, Leonard Henry Klopffer, aubergiste, et Dorothée Marguerite Artzner
1790, Philippe Jacques Strohl, aubergiste
1823, Jean Diemand

Localisation sur le plan Blondel (1765)
La maison se trouve au coin gauche d’une impasse, au premier tiers à partir de la gauche du plan.

Localisation sur le plan préparatoire de 1830
La maison est située entre les repères v’, x’ et y’ (en haut à gauche).

Livres des communaux

Etat de 1587 (cote VII 1450 f° 400) [Identification provisoire]

Oben beÿ der Newen Brucken den Staden hinab dem guldinen Thurn Zu.
Hanß Rhot Der Schiffmann hatt ein Hauß darinn sizt Hanß Balthasar Crauß der Panzermacher, Vndt hatt Zweÿ Wettertächer übereinander, Jedes xxxij schu lang, iii= schu heraus, Bessert viij ß d.
[in margine :] Dises Hauß haben Wolff Letzius des Schiffzimmermanns selligen Erben an einer Schuld genommen.

(traduction) En descendant le quai, depuis le Pont neuf jusqu’à la Tour d’or
Jean Roth, batelier, a une maison qui est occupée par Jean Balthasar Krauss, fabricant de cuirasses, et qui a deux auvents l’un au-dessus de l’autre, de 22 pieds de longueur et de 4 pieds et demi de saillie, il doit 8 sols – deniers
[in margine :] Cette maison a été cédée aux héritiers du charpentier de bateaux Wolff Letzius en règlement d’une dette

Une rente perpétuelle est assise à partir de 1603 sur la maison pour un égout qui rejoint la rivière. Une autre à partir de 1614 pour plusieurs auvents de la maison que Philippe Fiedel (tonnelier et marchand de vinaigre) vient de construire. La première subsiste en l’an 10 (1802), la deuxième s’éteint en 1746 quand le propriétaire retire les auvents. Les Directeurs fonciers permettent de poser une marche sur le communal contrat de vente la maison en 1746 mais le projet ne sera pas réalisé.

Registre D (VII 1446, Zinßbuch D)

( f° 178-v) Item v ß d gibt Philips Fÿdel der Küeffer von einem newen dolen So Jhme von Bawherren und dreÿeren bewilligt worden von seiner behausung unden am Staden beim Seidenfaden durch das allmend hindurch In die breusch zu mach. gefället vff weÿhenachten 1603. Zum erst. mal. Actum 18. Novembris 1602
(rub.) bleibt. 8. Martÿ 1627
Neü 224

(traduction) Item, 5 sols – deniers que donne le tonnelier Philippe Fiedel pour un nouvel égout que les Directeurs fonciers et les Trois l’ont autorisé à faire de sa maison en bas du quai vers le Fil de soie jusqu’à la Bruche en traversant le communal, devront être réglés pour la première fois à Noël 1603. Fait le 18 novembre 1602
(à l’encre rouge), en vigueur, 8 mars 1627
Nouveau registre f° 224

Registre D (VII 1446, Zinßbuch D)

( f° 192) Item iij ß d soll geben Philips Fÿdel der Eßig händler von etlichen wetterdächlein, so ihme an sein newgebawene behausung, zu beschirmung des gebels gewiligt worden, vnd gefallt vff Adolffi 1615. Zum erstenmal. Act. 7.ten Junÿ Anno 1614 /und.halb d. naach beneben
(rub.) Jetz Daniel Fidell. biß 8. Martÿ 1627
Neü 224

(traduction) Item, 3 sols – deniers que donne le marchand de vinaigre Philippe Fiedel pour plusieurs auvents qu’on l’a autorisé à faire pour protéger le pignon de la maison qu’il vient de construire, devront être réglés pour la première fois à la Saint Adolphe 1615. Fait le 7 juin 1614 ([ajout] au-dessous du chenal à côté de)
(à l’encre rouge), maintenant Daniel Fiedel, valable 8 mars 1627
Nouveau registre f° 224

Registre VII 1461 (1652-1672)

( f° 224-v) Daniel Hetzel, Soll gemeiner Statt Von einem dolen ahm staden neben dem Hänfergäßel Jahrs vf weihnachten 5 ß d
Alt. d. f. 178
New fol. 195

Idem Vom Wetterdächel ahm hauß beÿ dem Seÿdenfaden Jahrs vf Adolphi 6 ß d
Alt. d. f. 192
New fol. 195
1653-1672

(traduction) Daniel Hetzel doit à la Ville pour un égout sur le quai à côté de la ruelle des Chanvriers chaque année à Noël, 5 sols
Ancien registre D f° 178 – Nouveau registre folio 195
De même pour l’auvent à la maison proche le Fil de soie, chaque année à la saint Adolphe 6 sols
Ancien registre D f° 195 – Nouveau registre folio 195
(quittances) 1653-1672

Registre VII 1465 (1673-1741)

(f° 195-v) H. Daniel Hetzel, soll von einem dolen am Staden neben dem Hänffergäßel vff Weÿhenachten ([corrigé en] Adolphi) 5 ß
Ferners vom Wetterdächel am Hauß beÿm Seidenfaden vff Adolphi d. 29. aug: 6 ß
St. Zinßb. p. 224, alt. D. folio 192
jetzt Johann Jacob Hetzel
Jetzt H. Isaac Bitto Vid. 281
([biffé] jetzt Herr D. Joh: Braun
1673-1676

Weiter soll Er vom außstoß des haußes an der Newenbrucken, Jahrs uff Jacobi und 1677 primo, 16 ß
Prot. 1676. p. 195 – diser posten ist fol. 232. eingetrag.
1677-1712

Er soll ferner vom platz auf dem mittlern wahl an dem Metzgerthor ein pulverhütt darauff zusetzen auff Urbani ([corrigé en] Adolphi), und wie hernacher folio 611 zusehen ist A° 1714. I.mo, 1 lb
jetzt Herr Dr Johannes Braun
Jetzt H. Johann Daniel Gambs
1714-1741
Neuzb fol 716 und 755-b

(traduction) Daniel Hetzel doit à la Ville pour un égout sur le quai à côté de la ruelle des Chanvriers chaque année à Noël ([corrigé en], à la Saint Adolphe) 5 sols
En outre pour l’auvent à la maison proche le Fil de soie, chaque année à la saint Adolphe, le 29 août, 6 sols
Registre de Storck p. 224, Ancien registre D f° 192
maintenant Jean Jacques Hetzel – maintenant Sr Isaac Bitto voir aussi f° 281 – ([biffé] maintenant sieur Dr Jean Braun)
(quittances) 1672-1673
Plus pour l’encorbellement de la maison au Pont neuf, chaque année à la saint Jacques pour la première fois en 1677, 16 sols, d’après le Protocole de 1676 page 195 – cet article est porté au folio 232
(quittances) 1677-1712 (…)

Registre VII 1472 (1741-1802) f° 716

alzb. 195-b
Isaac Bitto, solle von einem dolen am Staden neben dem Hänffer gäßel Jahrs auf Adolphi (id est 29. Aug.) 5 ß
Ferner vom Wetterdächel am Hauß beÿm Seidenfaden auf Adolphi, 6 ß
1740-1745

Ferner Von einer 6. schuhe lang und i. schuh breiten staffel Vor ged. Hauß, jahrs auf Sim: et Jud: und Laut Prot. de A° 1745. fol: 127.b A° 1746. I.mo hatt die staffel nicht gemacht
It. d. 26. May 1746. Von I. Posten 5. ß und Von Letzten Posten für 9. Monat Marzahl 4. ß 6 d mit auffkündung dießer 6. ß weil er die Wetterdächlein hinwegthut
1747-1791 (5 ß)
1792-an 10
C. 341

jetzt H. Johann Friderich Heüpel schaffner des Waißenhauß Vom 26. apr. 1741 an, bleibt termin. Adolph.
jetzt H. Joh: Michael Klopffer
Johann Philipp Schropp
Fr. Margaretha Walterin Wb.
Johann Jacob Schwing in der Rup.
Elisabeth Blindin

(traduction) [in margine :] Reg. des rentes communales folio 195-b
Isaac Bitto doit pour un égout sur le quai à côté de la ruelle des Chanvriers chaque année à la Saint Adolphe (càd. le 29 août) 5 sols
En outre pour l’auvent à la maison proche le Fil de soie à la saint Adolphe, 6 sols
En outre pour une marche de 6 pieds de long et 1 pied de large devant ladite maison à la saint Simon et Jude d’après le protocole de l’année 1745 folio 127-b, pour la première fois en 1746 – il n’a pas établi la marche
Item, le 26 mai 1746 du premier article 5 sols et du dernier article pour 9 mois la somme de 4 sols 6 deniers en dénonçant ces 6 sols parce qu’il retire l’auvent
(quittances 1747-an 10) – Nouveau registre, 341

maintenant Sr Jean Frédéric Heupel, receveur de l’Orphelinat à partir du 26 avril 1741, toujours à la saint Adolphe
maintenant sieur Jean Michel Klopffer
Jean Philippe Schropp
dame veuve Marguerite Walter
Jean Jacques Schwing de la Robertsau
Elisabeth Blind

Atlas des alignements

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Bâteliers

nouveau N° / ancien N° : 94 / 16
Blind
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois et avance en partie
(Légende)

Description de la maison

D’après les différents billets d’estimation, ici particulièrement nombreux, joints aux inventaires après décès (traduction des billets transcrits parmi les relevés d’actes). Le billet d’estimation de 1740 est le plus précis.

Billet d’estimation du 8 février 1740. (…) la maison comporte au rez-de-chaussée un poële, vestibule, cave voûtée, cour, puits et fourneau à cuire, au-dessus au premier une chambre, cuisine, vestibule, au deuxième de même une chambre, cuisine et le vestibule, plus haut sous les combles deux pièces, grenier dallé, deux pignons en bois, charpente de combles en assez bon état, avec toutes ses appartenances (estimée) à trois mille florins

Billet d’estimation du 17 février 1761. (…) l’auberge comporte une salle d’hôte et cuisine, en outre deux poëles, deux chambres et deux cuisines et plusieurs dépenses, au-dessus les combles couverts de tuiles plates, a aussi une petite cave solivée, cour et puits, avec toutes ses appartenances (estimée) à 2 400 florins

Billet d’estimation du 6 novembre 1771. (…) la maison comporte une salle d’hôte, en outre plusieurs dépenses et cuisine, au-dessus les combles couverts de tuiles plates, il y a aussi une cave solivée, cour et puits, avec toutes ses appartenances (estimée) à 2 400 florins

Billet d’estimation du 22 novembre 1787. (…) la maison comporte une salle d’hôte, cinq poëles, deux cuisines et plusieurs chambres, au-dessus les combles couverts de tuiles plates, il y a aussi une cave solivée, petite cour et puits, avec toutes ses appartenances (estimée) à 2 000 florins

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 196 case 4

Buch Jean Georges huissier quai des bateliers
Zabern Victor Greffier du Juge de paix, rue de la mésange 11 (subst. pr. 1845)
Ritzenthaler, Marguerite Elisabeth veuve quai des bateliers n° 16 (subst. pr. 1848)
Schaeffer Jean Frédéric boucher, subst. 1849

maison, Quai des bateliers 16
Contenance : 0,94
Revenu total : 99,49
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 907 case 2

Schaeffer Jean Frédéric boucher
1885 Nussbaum Johann Karl, Maler

maison, Quai des bateliers 27
Contenance : 0,94
Revenu total : 99,49
Folio de provenance : (196)
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre allemand, registre 30 p. 280 case 4

Parcelle, section, 22 n° 14 – autrefois O 657
Canton : Schiffleutstaden Hs. Nr. 27
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,91
Revenu : 1400 – 1500 – 1300
Remarques : 1906 Neubau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1932), compte 908
Nussbaum Joh. Karl Ehefrau
1906 Biefer Adolph
rayé 1932

(Propriétaire à partir de l’exercice 1935), compte 275
Christmann Adolph Ehefrau
1912 Christmann Cristian u. Christmann Emil Adolf
1930 Acker Eugène Joseph négociant et son épouse
(539)

Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace p. 478-479
Maison : façades et toiture (Inv. MH : 10 septembre 1937)

A l’angle formé par le quai et la rue des Trois-Gâteaux, cette maison de la Renaissance présente un mur pignon latéral très élevé portant la trace de remaniements dans son pan-de-bois lacunaire, au demeurant fort simple. L’une des deux portes du rez de chaussée pourrait être une fenêtre à congés en remploi. Les deux étages sont identiques quant à la distribution des ouvertures : une paire de baies encadrées de colonnettes à droite et à gauche, une fenêtre unique ; leurs consoles en feuille d’acanthe délimitent le champ des allèges formées de chaises curules échancrées.
Sur le poteau du premier étage (XIX° siècle), un écu donne la date de 160. (?) accompagnée d’un monogramme.

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 315 Quai des Bateliers (p. 500)
(maison n°) 16

loc. – Cossat Philippe – Fribourg
loc. – Germont, garçon imprimeur – Privilégié
loc. – Rosenthal, Officier retiré –
loc. – Schwing – Manant

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende

    Martin Schwing, 31, Bonnetier, Strasb.
    Marie Schwing, 30, epouse, id.
    Jn. Fréd. Blessig, 47, Cabaretier, id.
    Marg: Sal: Blessig, 19, fille, id.
    Mad: Hinck, Servante, id.
    Joseph Kauffmann, 30 Journalier, id.
    Anne Mie. Kauffmann, 34, épouse, id.
    Mad: Kauffmann, 15, soeur, id.

Plan du projet établi par l’architecte Nadler en 1908 pour transformer la maison (projet non réalisé)

Directeurs fonciers (Bauherren)

  • (I) Jean Frédéric Heupel demande l’autorisation de bâtir au-dessous de l’encorbellement. Les préposés refusent parce que la rue est trop étroite et que l’Œuvre Notre Dame qui possède une grange à proximité s’y oppose. Nouveau refus après une deuxième demande un mois plus tard.
  • (II) 1777 – Le pignon menace ruine : réparation immédiate
  • (III) 1782 – Un débiteur dont la créance est garantie sur la maison souhaite qu’elle ne soit pas vendue ni son alignement reculé comme la Ville l’a prévu : la Ville maintient sa décision de faire reculer la maison
  • (IV) 1783 – Le pignon vers la ruelle menace ruine ; on le démolit et on le reconstruit avec interdiction de toucher au double encorbellement
  • (V) 1786 – Sur la demande de reconstruire le pignon en bois vers la ruelle et de réparer l’encorbellement, la Ville oppose un refus en renvoyant à la décision de 1783

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 899 W 148)

Le propriétaire fait agrandir les lucarnes en 1884. Une sablière qui s’est déplacée est réparée en 1897. On transforme des fenêtres en devanture et on perce une porte d’entrée en 1904. Des transformations projetées entre 1908 et 1911 ne sont pas réalisées, notamment parce qu’il a un moment été question d’exproprier la maison lors de la reconstruction de l’église Sainte-Madeleine. Les travaux de réfection (1911) mettent au jour un pan de bois en croix de Saint-André.
Les locaux sont occupés par un gaufrier (1907), un épicier (1908), une compagnie d’assurances (1911) et une herboristerie (1940).
Le maison est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1937. Elle est endommagée lors des bombardements aériens des 11 août et 25 septembre 1944. Le bâtiment protégé au titre des monuments historiques prend du retard ne sera remis en état qu’en 1956.

Sommaire
  • (I) 1884 – Demande pour agrandir les lucarnes – Rapport de l’ingénieur – Autorisation – Les travaux sont finis en août 1884
    Demande pour remplacer une cheminée et pour établir des latrines – Permis le 23 juillet – Travaux finis en septembre 1884
  • (II) 1885 – Demande d’établir un embranchement de gaz vers la maison pour le locataire M. Roland – Autorisation
  • (III) 1890 – Un voisin se plaint que la porte de la cour empêche de passer par la ruelle des trois gâteaux quand elle est ouverte et que l’eau qui sort de la cour représente un danger quand elle gèle. La Police du Bâtiment fait une visite des lieux, expose ses recommandations. Le propriétaire remédie au problème en rehaussant le seuil de la porte de la cour.
  • (IV) 1893 – Entretien du crépi, peinture à l’huile sur les façades extérieures : demande et autorisation
  • (V) 1897 – Rapport sur le mur extérieur dont la sablière s’est déplacée vers l’extérieur, on recommande de procéder à des travaux bien que le mur ne présente pas de danger – Travaux (réfection du mur, nouveau crépi) : demande et autorisation – Litige sur des travaux réalisés sans autorisation et sur l’occupation de la voie publique : la Police du Bâtiment convient que le règlement n’a pas été enfreint
  • (VI) 1898 – Peinture des façades, demande pour poser des échelles sur la voie publique – Autorisation
  • (VII) 1899-1918 – Etat de la maison. 1899 : Commission contre les logements insalubres
    1899 : Demande pour pratiquer un jour pour éclairer la cage d’escalier. Travaux non réalisés en 1900
    1906 : Maison et latrines en bon état
    1916 : Le Commission militaire constate que la maison est en bon état
  • (VIII) 1902 – Pose d’échelles sur la voie publique devant la maison : demande et autorisation – Prolongation du délai : demande et autorisation
  • (IX) 1904 – Transformation des fenêtres en vitrines de magasin, percée d’une porte d’entrée, crépi et peinture des façades : demande et autorisation
  • (X) 1907 – Pose d’une enseigne, Charles Fischer, gaufrier : demande et autorisation pour une dimension moindre
  • (XI) 1908-1911 : Transformations dans la maison : abaisser le plancher du rez de chaussée et creuser la cave, installer des toilettes dans la cour pour pouvoir ouvrir un débit de boissons. Permis accordé le 4 juin 1908. Seules les toilettes sont bâties pendant le délai de validité.
    Nouveau permis de construire pour les travaux d’abaissement le 11 juin 1909. Le délai de validité se termine sans que les travaux aient été réalisés (le propriétaire mentionne que la raison tient à ce qu’on n’avait pas décidé si la maison serait expropriée lors de la reconstruction de l’église Sainte-Madeleine).
    Nouveau permis de construire pour les travaux d’abaissement le 14 juin 1910. Le délai de validité se termine sans que les travaux aient été réalisés. Dossier classé le 17 novembre 1911.
  • (XII) 1908 – Pose d’une enseigne, Emile Guckert, épicier : demande et autorisation pour une dimension moindre
  • (XIII) 1911 – Enseigne pour la compagnie d’assurances d’Adolphe Biefer : demande, refus
  • (XIV) 1911 – Demande pour remettre en état le crépi et pour peindre les façades sur le quai et sur la ruelle. Autorisation. – Juin : on met au jour un pan de bois en croix de Saint-André : courrier à l’architecte Beblo – Demande pour poser un échafaudage, autorisation – La Police du Bâtiment constate que le délai est dépassé, nouvelle demande pour poser un échafaudage, nouvelle autorisation – Classé en août 1911
  • (XV) 1923 – Demande de poser des échafaudages sur la voie publique pour repeindre la façade. Demande déposée à la Préfecture et à la mairie. Autorisation
  • (XVI) 1937 – Réfection des façades : demande pour installer un échafaudage. Autorisation
  • (XVII) 1937 – Inscription sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques
  • (XVIII) 1940-1941 – Herboristerie Suisse, demande d’apposer une inscription sur la vitrine. Autorisation et discussion sur la croix rouge qui ne doit pas apparaître – Retrait de l’enseigne
  • (XIX) 1946 – Certificats de sinistré
  • (XX) 1949 – Correspondance au sujet des réparations à la façade de l’immeuble entre le propriétaire, Eugène Acker, et le Service des Monuments historiques.
  • 1949 – Demande pour reconstruire le mur de clôture de la courette rue des Trois gâteaux – Autorisation – Plans
  • 1954, 1955 – Correspondance au sujet de l’étai provisoire de la façade – Litiges sur les sommes allouées au titre de dommages de guerre – Dossier classé le 15 juin 1955 parce que le danger semble être écarté
  • 1956 – Remise en état
  • 1957 – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1978 – Le faîtage de la toiture est en mauvais état
  • 1979 – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation de peindre façades et menuiseries extérieures
  • 1980 – Les travaux de ravalement sont terminés – Demande de subvention
  • 1994 – Demande pour travaux de ravalement et de couverture – Autorisation – Travaux achevés en septembre 1995 – Demande de subvention

Relevé d’actes

Le tonnelier Daniel Fidel vend la maison au batelier Jacques Steffan en cédant ses prétensions envers la veuve de Philippe Fidel et ses demi-frères et sœurs

1628 (17. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 671-v
(Protocollat. fol. 194) Erschienen h Daniel Fietell Kieffer burger Zu Straßb. (verkaufft)
Jacob Steffen, dem Siffman Alhie
hoff hauß hoffstatt sampt einem brunnen v. Allen Ihren gebewen & gelegen nit wendig der Newen Brucken Am Staden, einseit neben Jacob Meÿer des Leisten schneÿders s. erben, And. seit ein Eck Am hanffgäßlein hinden vff Philipß Fitells see. Erben stoßend, dauon gend 2 lb 10 ß vff Johannis Bptstæ einem Vicariat Im Münster Von dißen 2 lb 10 ß gebürt dem Stifft S. Niclauß in Vndis 7 ß 2 d Ablößig mit 50 Pfund, Mehr Zwen gld. gelts vff Mariæ Verkhindung stend in hauptgut Abzulößen mit 40 gd. Straßb. Werung Samuel Baumgartners s. erben, Mehr 3 ß vff Adolffi von einem thul od. heimlichen gemach In die Breisch gehend, Item 5 ß d von dem Weterdächlin der St. St: Allmendt gelt Vnd dann Vmb 1126. R 3 ß 2 d Weilandt Philippß Fidells seligen Witwen Vnd sein des Verkäuffers stieffgeschwistrig. daran man Jährlich vff Weÿhenachten vnd 1631. Zum ersten mahl 150. R. nachgehends Alle Jahr vf gemelt Zeit 150. R. hie Zwischen Aber gebührlichen Zuverzinßen Sunst eÿgen, Vnd ist diser Kauff vber obgehördte beschwerden, so der Kheuffer vff sich genommen Zugangen Vnd beschehen für vnd Vmb 1461 gld
vide Accord in Reg. 1627. fol. 240.

Anne Véronique, veuve de Jean Jacques Hetzel, loue pour trois ans un appartement aux 2° et 3° étage de la maison au sergent communal Jean Michel Trawitz

1704 (17.4.) Chambre des Contrats, vol. 577 f° 198-v
weÿl. Joh: Jacob Hetzels geweßenen schiffmanns wittib Anna Veronica mit beÿstand Hn Joh: Christoph Straußen materialisten ihres Vogts (si go. Anna Veronica Hätzlerin widib)
in gegensein Joh: Michael Trawitzs rathsbotten
entlehnt, in ihrer in wÿdem habender behaußung ahm Staden allhier gelegen, auf dem zweÿten boden eine stueb, Cammer, Kuchen u. Haußehren auf erwehntem boden, Item zwo Cammeren darüber sambt dem Haußehren vor solchen Cammerern einen fruchtkasten nahmentlich den öbersten u. dann einen unterschlag im Keller, auf 3 jahr lang anfangend auf Annunciat: Mariæ 1704 – um einen jährlichen Zinß nemlich 14 pfund

Inventaire après le décès d’Anne Véronique Winther, veuve de Jean Jacques Hetzel batelier. Ses héritiers sont ses quatre enfants issus de son mari. La succession comprend deux maisons, celle quai des Bateliers est la maison mortuaire. La succession est chargée de dettes mais elle est bénéficiaire
1705 (27.1.) Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 69) n° 620

Inventarium und beschreibung aller derjenig. Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿlandt die Viel Ehren: und Tugendsame Fraw Anna Veronica Hetzelin, gebohrne Wintherin weÿland des Ehrenvest und vorgeachten Herrn Johann Jacob Hetzels geweßenen vornehmen Schiffmannn und burgers allhier zu Straßburg seeligen hinterbliebene Fraw wittib nunmehr auch seelige, nach ihrem Sontags den 28. decembris des verwichenen 1704.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Simon Gnollen, vornehmen handelsmanns und burgers alhier zu Straßburg als geschwornen Vogts Johann Jacobs, welcher zu Baßel die handlung ergreiffet, Johann Daniels, so die Paßmentirer handtierung erlernet, Johann Andreas und Catharinæ Salome, welche beede beÿ ihrer lieben Mutter seelig biß an ihr seeliges Ende verharret, aller Hetzel, und d. verstorbenen Frawen seelig. mit obehren erwehntem Herrn Johann Jacob Hetzeln ihrem gewesenen haußwürth seeligen, ehelich erziehlter 4. Kind. und ab intestato verlaßener Erben inventirt, durch den Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Christoph Straußen vornehmen Handelsmann und burgern allhier der Frawen seelig. gewesenen H. Curatorem nicht weniger ob ehrenerwehnten herrn Gnollen der Kinder Herrn Vogten, und die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Annam Margaretham gebohrne Hetzelin, deßelben Fraw Eheliebste, Fraw Annam Mariam Fischerin gebohren Hetzelin, Weÿland herrn Johann Fischers gewesenen vornehmen handelsmann und burgers allhier hinderlaßene Fr. wittib, Fraw Salome Kipßin gebohrne Hetzelin herrn Johann Friderich Kipßen des Paßmentirers und Seidenhändlers auch burgers allhier Fraw Eheliebste und dann Fraw Annam Margaretham Hermännin gebohrne Bodemerin weÿland des Ehrenvest und großachtbahrn Herrn Johann Christoph Hermanns gewesenen handelsmanns und burgers allhier seel. hinderlaßene Fraw wittib, alle dreÿ der abgeleibt. Fr. seel. Fraw geschweihen, welche seithero mit der Verlassenschafft umbgegangen – Actum in fernerem beÿsein des Wohl ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Winthers, der Statt Straßburg wohlbestellten Holtz Verwalthers, der Frawen seelig. eheleiblich. herrn Bruders und d. Viel Ehren und Tugendsamen Frawen Margarethæ Ursulæ Wintherin gebohrner Birnin, herrn Simon Winthers des Schiffmanns und burgers allhier Frawen Eheliebstin, der Frawen seel. Geschweihen auff dienstag den 27.ten Januarÿ A° 1705.

In einer in der Statt Straßburg jenseit des Staadens gelegenen undt in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie Volgt
Ane Hölzten: und Schreinwerckh, Auff d. oberst. bühn, In d. Wohnstuben, In d. Stub Cammer, Im haußöhren Vor d. Wohnstuben, In d. Kuch
Eigenthumb ane Häußern. Erstl. i. Hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörd. undt Gerechtigkeiten, gelegen in d. Statt Straßb. hind. dem gemeinen Baum, Zum Roßbaum: od. Flachs genandt, im Roßbaum gäßlein (…)
beÿ der Verstorbenen fr. Eheliebsten seelig Verlassenschafft Inventation den 18.ten 7.bris anno 1703. æstimirt, gelaßen worden
It. ein hauß, hoffstatt und höfflein mit allen deroselben begriffen, weithen, recht. und Gerechtigkeit., gelegen ebenmäßig in der Statt Straßburg ane dem Schiffleuthstad. eins. ein Eckh am Hanffgäßlein ands. neb. hannß Adam Walther dem Schuemach und burg. allhier, hind. auff hannß Georg Fritschmann d. Schreiner stoßend davon geh. jährlich 2. lb 10. ß Zinnß Herrn Gabriel Tripolitano dem weÿbischoff jeweilen auff Johannis Baptistæ daran aber 7 ß 2 d dem Closter Sti. Matthæi et Nicolai in Undis gebühren lößig in haubtguth mit 50 lb. Und dann 11. ß d bod. zinß d. Statt Straßb. Pfenningthurn, vor dem Thörlein und Wetterdächlein, jahrs auff Adolphi sonst üb. dieße beschwärdte freÿ ledig und eig. und wie in Weÿl. Hrn Johann Jacob Hetzels der Verstorbenen Frn. Haußwürths seel. h.laßenschafft Inventario fol. 129. fac j.ma durch die herren Werckmeistere alßo auch dißorths wied. umb angeschlagen pro 528 lb. Daran hiehero 5/7.te theil gehörig betragen 377 lb. Darüber sagt j. teutsch. perg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel corroboriret datirt d. 18.ten decembris A° 1641. mit altem N° 2 marquirt. Dabeÿ noch j. teutscher pergam: Kauffbrieff mit vorermeltem Cancelleÿ contract Insigel bekräfftiget, datirt d. 17. decembris A° 1628. mit alt. Nis. 1. 2. 3. er 15. beede ab. mit jetzigem N° 13. notirt
Wÿdemb, Welchen die abgeleibte Fraw seelige von Weÿlandt Herrn Johann Jacob Hetzeln ihrem haußwürth eingangsgemeldt seel: Zeit lebens genoß. (…) und dann deßelben behaußung hoffstatt und höfflein mit allen ihren gebäuwen, begriffen, weith., rechten, Zugehörd. und Gerechtigkeiten allhier ane dem Schiffleuth staden einseith ein Eckh am Hanffgäßlein anderseith neben hannß Adam Walther dem Schuemach. und burgern allhier, hind. auff hannß Georg Fritschmann den Schreinern stoßend, davon gehen jährlich. 2. lb 10. ß Zinnß Herrn Gabriel Tripolitano (…)
Abzug in dießes Inventarium, Sa. hausraths 108, Sa. Meels 3, Sa. Rindviehs 10, Sa. Schiff und geschirr Zum Schiff fahren gehörig 81, Sa. Wein und lähren Vaß 10, Sa. Silbers 7, Sa. Guldener Ring 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 594, Sa. Eigenthum ane Reeb gütheren 5, Sa. Eigenthums ane häußern 484, Sa. Schulden 196, Summa summarum 1508 lb – Sa. der Schulden 1255 lb, Nach deren Abzug 252 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1389 lb
Copia Testamenti, in dem Jahr 1704 – auff Donnerstag den 18. Decembris, in einer ane dem Schiffleuth Staden gelegenen Von der Frawen Disponentin theils in Eigenthumbs und theils in Wÿdembs weißen bewohneten behaußung, dero undern stuben auff die gaß sehend (…) die Viel Ehren und tugendsahme Fraw Anna Veronica Hetzlerin gebohrne Wintherin, weÿland des Ehrenvest und Vorgeachten Herrn Johann Jacob Hetzels geweßenen Vornehmen Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, Zwar kranckh und schwachen Leibes, auff einem Bette Ligend jedoch von der Gnade deß grund gütigen Gottes annoch guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstands – Johann Reinhardt Lang, Notarius juratus

Jean Jacques Hetzel, batelier, se marie en premières noces avec Anne Marie veuve de Jean Georges Lux, batelier (1675) et en secondes noces avec Anne Véronique Winter, fille de batelier (1683)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 104), 1675 (W. d. 6. Maÿ) Dom. Jubilate et Cantate, Johann Jacob Hetzel Burger undt der Schiffmann alhier, Herrn Daniel Hetzels Burgers undt Handelßmanns wie auch E. Ehrs. Großen Raths Alten Beÿsitzers eheleiblicher Sohn, Undt fraw Anna Maria Wld. Hanß Georg Luxen des Burgers undt Schiffmanns allhie hinterlassene Wittib (i 102)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 163), 1683 (W.) Dom. IX. et X. Trinit. Hanß Jacob Hetzel der Schiffmann Wittwer v. B. alhier, vndt Jf. Anna Veronica Hanß Ulrich Winters Schiffmanns undt Burgers alhier ehel. Tochter (i 102)

Vente par les héritiers Helck à Isaac Bitto, marchand
1706 (1.7.) Chambre des Contrats, vol. 579 f° 482-v

Anna Maria geb. Hetzelin Joh. Helcken schiffmanns Haußfr: beÿständlich deßelben, Item Joh. Jacob Lichteißen Kauffhauß bedienten alß vogt Daniel helcken jun: schiffmanns kinds, Item Simon Knoll specerirer alß vogt weÿl. Joh. Jacob Hötzels KK lezter ehe
in gegensein H. Isaac Bitto handelsmanns
Hauß Hoffstatt Höfflein u. bronnen sambt allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten nicht weniger die Britsch vor dem hauß doch ohn einige condition, maßen die verk. deßwegen durchauß u. ansprüchig seÿn wollen, allhier ahm Staden, einseit ist ein eck ahm hanffgässlein anderseit neben adam Walther schuem: hinten auf Georg fritschmann stoßend gelegen, darvon gehen jährlichen 2 lb 10 d einem Vicariat im münster ablößig mit 50 lb, Item 3 ß jährlichen von einem Thuelen u. von etlichen Wetter tächlein jährlichen 5 ß, Item 7 ß bodenzinß jährlichen der Carthauß – um (1000) 1000 pfund

Hypothèque par Isaac Bitto, marchand de poudre et greffier de l’accise
1737 (5.10.) Chambre des Contrats, vol. 611 f° 678-v

Isaac Bitto der Pulverhändtler Schreiber in hiesiger Umbgelt wie auch deßen mit weÿl. Anna Maria geb. Faustin erzeugte 6 kinder, Isaac Bitto lediger Pulverhändtler, Jfr. Anna Maria, Maria Salome, Johann Friedrich lediger Pulverhändtler, Johann Daniel lediger Silberarbeiter und Susanna Margaretha die Bitto
in gegensein hiesigen Blatterhaußes schaffners H. Lt. Johann Thomas Frölich, schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten am Schiffleuthstaden, einseits ist ein eck am Hanffgäßel anderseit neben Johann Adam Walter dem Schuemacher hinten auff weÿl. Daniel Ott kieffers wittib und Erben – in zweÿen posten hiesiger Stadt Pfenning Thurn 11 ß ane bodenzinß – als ein während sein Bitto des vatters ehestand erkaufft: mithin theilbares guth

Inventaire après le décès d’Isaac Bitto, ancien marchand de poudre et employé à l’accise (Umgelt). L’inventaire de sa femme prédécédée dont il a eu les cinq enfants qui sont ses héritiers n’est pas conservé. La succession est largement obérée de dettes (4500 livres strasbourgeoises), ce qui explique que la maison soint vendue aux enchères par les créanciers.
1740 (6.2.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 237) n° 110

Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahr. v. güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenveste v. wohl Vorachtbare Herr Isaac Bitto, der geweßene Pulverhändtler v. bediente in allhies. Umbgeld v. b. allh. zu Str. nunmehr seel. nach seinem den 30.ten 8.bris des Zurück gelegten 1739. Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. ableiben Zeitl. Verlaßen – So geschehen allh. in d. Königl. fr. St. Str. auff Sambstag den 6.ten februarii Anno 1740.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt, 1. den Ehrengeachten Herrn Isaac Bitto, den ledigen Pulverhändlern, 2. Herrn Johann Friderich Bitto, ebenmäßigen ledigen Pulverhändlern, 3. Jungfr. Mariam Salome Bittoin, annoch ledigen stands, 4. Herrn Johann Daniel Bitto, den ledigen Silber arbeiter, So dann 5. Jungfr. Susannam Margaretham Bittoin, gelicherweiß ledigen stands, Alle des Verstorbenen seel. mit weÿl. der Ehren v. tugendsamen fr. Anna Maria geb. Faustin seiner gewes. Ehefr. seel. ehel. erzeugter nach toidt Verlaßener Söhne v. Töchter v. ab intestato Erben alle Majorennes, dahero ohnbevögtigt, v. allein so Viel die dreÿ Jüngern Kinder berührt, beyßtänd. mit dem Ehrengeachten Meister Johann Georg Bimmlern dem Schneiders v. b. allh.

In einer allh. zu Str: ane dem Schiffleuth Staden gelegenen in dieße Verl. eigenthümbl. gehörigen beh: folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane einer behausung und Grundplatz. Ein Hauß, hoffstatt, höfflein v. bronnen sambt einem deren Gebäuen, begriffen, weithen Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten gelegen allhier am Schiffleuth Staden einseit ist ein Eck am Hanff Gäßel anderseit neben Adam Waltern dem Schuhmachern hinden auff Johann Daniel Otten den Kiefern, stoßend davon mann Jährl. von einem duhlen 3. ß d v. Von etl. wetter dächl. 5. ß d. vorhin anjetzo aber 11. ß d. St. Str. Pfgth. deßgleichen 7. ß 2. ß bodenzß dem stifft Carthauß zu geben pflichtig, sonst außer den darauff hafftenden und hernach passiv eingetragenen Capitalien freÿ ledig eigen v. vermög der von denen herrn Werckmeistern beschehene und mit dem Notario Zum Concept eingeschickten Abschatzung de dato 8.ten febr. 1740. æstimirt v. angeschlagen worden pro 1500. lb, Davon abgezogen obgenande Boden: undt andere Zinnß welche zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 36. lb 6. 8. Nach abzug deren ane dem Anschlag annoch außzuwerffen 1463 lb 13 ß 4. Hierüber bes. ein teutscher perg. Kauffbr. in allh. C.C. Stub gef. v. mit deren ang. Ins. verw. datirt 1.ten Junii 1706. Ferner j. alter perg. Kffbr. allda ged. de dato 18. Xbr. 1641.
– Abschatzung dem: 8. febr. 1740. auff begehren weilandt deß wohll Achtbahren und beschietenen Hn Isack Bittong deß gewëßenen Pulffer händtlerß seel. hinder laßenen Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg am schieffleüth Statten gelegen, eins eitß ein Eck in der rebëcken gaßen anderseitß Neben Atam Walter dem schumacher, hinden auff Meister Otto deß geweßenen Küfers Seel. Erben Stoßent welche behausung unden ein Stuben Hauß Ehren gewölbten Keller Hoff bronen und bauch offen, oben dar über ihm Ersten stock ein Stuben Cammer Kuchen Hauß Ehren, ihm Zweiten Stock wiedterum ein Stuben Cammer Kuchen und daß Hauß Ehren, oben under dem tach Zweÿ Cammern besetzte bienen Zweÿ holtzre gebell auch Ziemlich guten tach stull sambt aller gerechtig Keidt wie solches wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistren sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen Vor und Umb Dreÿ Tausent Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistren [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und Bau Meister, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Item der halbe theil vor unvertheilt von einem Platz Grund darauff vorhin eune mit herrn Johann Jacob Birckeln dem Specirern v. b. allh. gemeinschafftl. Pulvermühl gestanden, welche aber, ohnlängsten dh. ihne Verunglücket und abgebrand, s. einem Platz garten darauff, Zwischen dem Fischer v. Juden thor, hinden auff das Becken wäldlein stoßend (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 38, Sa. waaren 83, Sa. Eigenth. ane jr. beh. 1478, Summa summarum 1600 lb – Sa. Schulden 6100 lb – die passiva die Verl. übersteigen umb 4500 lb, Conclusio finalis Inventarÿ

Isaac bitto, marchand, épouse Anne Marie Faust, fille d’aubergiste

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 2-v, n° 2), Auff heut alß den 16. Novembr. 1687. ist von mir (…) eingesegnet word H. Isaac Bitto der ledige Handelßmann, weÿl. H. Isaac Bitto gewesenen Handelßmanns und Großen Raths verwandten nach gelaßener ehelich. Sohn, und Jgf. Anna Maria weÿl. H. Johann Jacob Fausten gewesenen burgers undt Gastgebers nachgelaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Jsaac Bitto als hochzeitter, J Anna Maria Faustin als Hochzeiterin, Mattheus Halbeck genandt Böhm alß deß H Hochzeiters Vogt, Michael Faust der hoch Zeiterin Vogt (i 5)

Adjudication sur les héritiers Bitto au profit de Jean Frédéric Heupel, receveur de l’Orphelinat
1741 [s.d.] Chambre des Contrats, vol. 615 f° 629-v

Ganthkauff, Donnerstag d. 27. apr. 1741, Insachen des Stiffts blatterhaußes contra Johann Daniel Bitto und Consorten
ist der beklagt. behausung, höflein und hoffstatt gelegen am Schiffleuthstaden
einseits ist ein eck am hanffgäßlein anderseit neben Adam Walther dem schuhmacher hinten auf Johann Daniel Ott den kieffer stoßend, davon man jährlich von einem duhlen und etlichen Wetter dächlein 11 ß dem Pfenningthurn und dem Stifft Carthauß 7 ß 2 ane bodenzinß zu reichen pflichtig
ferner die unvertheilte helffte von und ane einem Platz grund darauff vorhin eine gemein Pulver Mühl gestanden samt einem Platz Garten darauff ebenfalls ein Garten häußlein gebaut geweßen, ohngefehr anderth. acker groß gelegen außerhalb hießiger Statt zwischen dem Juden und FischerThor hinter dem becken Wäldlein, einseits neben H. Johann Leonhard Kuff dem handelsmann anderseit neben dem Waßer von welchem gantzen platz in der darauff gestandenen abgebranden Pulver Mühl man der zinßmeistereÿ 2 lt 10 allmend zinß abzurichten pflichtig,
an H. Johann Friedrich Heüppel dem Waÿßenschaffner umb 2600 R adjuducirt worden

Inventaire après le décès d’Anne Marie Horrer, femme en secondes noces de Jean Frédéric Heupel, receveur à l’Orphelinat catholique. Jean Frédéric Heupel, fils de Georges Frédéric Heupel, professeur au Gymnase, et de Marie Jacqueline Faust, se convertit en 1726 et épouse en premières noces Marie Françoise Weimer qui devient bourgeoise en 1728. Anne Marie Horrer, sa deuxième femme, est veuve de Jean Frédéric Brisset, bailli de Bergzabern. L’inventaire est dressé à la recette de l’Orphelinat.

1757 (24.8.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 579), n° 17
Inventarium über Weiland der Edeln, Hoch Ehren: und Tugendreichen Fraun Annä Mariä Heupelin gebohrner Horrerin der Edeln, Wohl Ehrenvesten und Wohlgelehrten H. Johann Friderich Heupel, des hiesigen löbl. Stifts Waisenhauses wohlverordneten Schaffners und vornehmen burgers allhier Fr. Eheliebstin nunmehr seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 22.ten Julii dieses lauffenden 1757.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren der Edeln, Hoch Ehren und Zugebrachtn Fraun Annä Elisabethä gebohrner Gollin weiland S.T. H: Johann Georg Horrers des gewesenen Königl. Raths, Schatzmeisters und einnehmers derer Siegel Gelder von der beÿ dem Königl. hohen Rath zu Colmar errichtete, Canzleÿ seel. hinterbliebener Frau Wittib und dißorts seel. verstorbener Frau Schaffnerin leiblicher Frau Mutter, als ab intestato nach tod verlaßener einziger Erbin, beÿständlich ihres Tochtermannns S.T. H. Lt. Johann Frantz Cajetan Ackers, E. löbl. Policeÿ Gerichts wohlverdienten Actuarii und burgers hieselbst, fleißig inventirt und ersucht, durch dieselbige gleich wie auch Stephan den hinterbliebeneen H. Wittiber, auf zuvorhin ane sie beederseis und Mariam Barbaram Jörgerin die Dienstmagd von Scheid, Lauterburger Amts Gebürtig, beschehene gebührene Anerinnern

So geschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg, und der ane der Uttengaß gegen dem Closter Zur Reuerin Stæ Mariæ Magdalenæ hinüber gelegenen des hiesigen löbl. Stifts Waisenhauses Schaffneÿ behaußung – auff Mittwoch den 24. augsmonat im Jahr Christi 1757 /:In expeditione unterschrieben : Frantz Heinrich Dautel Notarius juratus mit Handzug:/
Copia der Eheberedung (…)
Bericht und respective Declaration in gegenwärtiges Verlassenschaffts Inventarium – Alß beÿ gegenwärtig Verlassenschaffts Inventur vorher copialiter einverleibte Eheberedung in samtlicher Interessenten Gegenwart abgelesen worden, und bevor man zur würcklichen beschreibung der Verlassenschafft geschritten, hat der hinterbliebene Herr Wittiber auf mein des Notarii befragen in gegenwart eingangs wohlermelter Frau Erbin, dero Herrn beÿstands und des Hn Deputati, wie auch seiner gebiebten dato hier anwesenden ehe leiblichen Fr. Tochter erster Ehe S.T. Frauen Mariä Annä gebohrner Heupelin, S.T. Herrn Beati Ignatii Lachausse p.t. Ihre hochfürtl. durchlaucht des heiligen Römischen Reichs Fürsten zu Bruntrut und Bischoffen zu Baßel hochverordneten Hofraths und Leibmedici Ehegattin erkläret, und unter seiner gegebenen Handtreu affirmirt, daß ihm, wegen in seiner ersten Ehe in unterschiedlichen malen, insonderhait aber durch das Greinelische falliment zugestossenen grosen Verlust, Zur Zeit aber sich mit seiner dißortigen seel. Verstorbenen Zweÿten Ehegattin vermählet, nichts mehr ane eigenthümlichem Guth übrig geblieben, auch anjetzo nicht das mindeste eigenthümlich besitze, ingleichem daß wehrender dieser Zweÿten Ehe ane theilbarer Nahrung, so ihm Krafft angezogener Eheberedung allein eigenthümlich zuzuschreiben wäre, gar nichts errungen noch gewonnen worden, mithin einig und allein seine verstorbene Frau Eheliebstin seel. dato existirendes Guth diesem Inventario einzuverleiben seÿe, zu noch merheres bekräfftigung deßen Er annoch ferner declarirt, und hier außtrucklich gemeldet haben wolle, daß, wann Er über Kurz oder lang dieses zeitliche mit dem ewigen verwechseln würde, alles dasjenige, was als dann ane zeitliche Nahrung, es seÿe beweglich oder unbeweglich, so als von ihm hinterlaßen, und als seiner Frau tochter oder anderwärtigen Erben, anfällig erachtet werden Könte, vorhanden seÿn solte, Keineswegs sothaner seiner Frau Erbin oder erben gebührig, sondern einig und allein dere hiesigen löbl. Stifft Waisenhaus, als ein wahrhafftes Eigenthum Zuständig seÿe, und deselben auch also ohne Wiederspruch eigenthümlich gelaßen, und zugeschrieben werden solle – Actum Straßburg den 24. augusti 1757.
Eigenthum ane einer Behausung (in der Stadt Lauterburg)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Verstorbenen Fr: Schaffnerin seel. Fr. Mutter und Erbin anfälligen Vermögen, Sa. Hausraths 205, Sa. Flachs, Hanff, und Bärthels 365, Sa. Chaise 20,Sa. Kuhen 5, Sa. Silbergeschirrs 114, Sa. Goldener Ring 7, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 280, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Sa. Schulden 631, Summa summarum 2378 lb, Schulden 155 lb, Nach deren Abzug 2222 lb – Stall Summ 1958 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Verlassenschafft zugeltend 55 lb

Jean Frédéric Heupel se convertit
Jésuites, reg. de conversions (AST 305, p. 142) D Joa. Frid. Heupel Argent. 1726. Mart. 15

Marie Françoise Weimer devient bourgeoise par son mari
4° Livre de bourgeoisie f° 945
fr. Maria Francisca Weimerin erhalt d. br. von H. Johann Friderich Heüpel ihrem ehemann umb die terz d. alt. bs. will beÿ EE Zunfft d: encker dienen Prom: d: 12.ten Junÿ 1728.

Jean Frédéric Heupel se remarie avec Anne Marie Horrer, veuve du bailli de Bergzabern

1755 (22.5.) Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 586) n° 2
(Eheberedung) der wohl Edle, Großachtbahr und wohlgelehrte Herr Johann Friderich Heupel, der löblichen Stiftung des Waÿsenhauses wohlverdienter Schaffner und vornehme burger allhier zu Straßburg Wittiber als Hochzeiter ane einem,
Sodann die Wohledle und tugendreiche Frau Anna Maria gebohrne Horrerin, weÿland S.T. Herrn Johann Friderich Brisset gewesenen wohlverordneten Stadt: und Amtschreibers zu Berg Zabern, seel. hinterbliebene Frau Wittib zu Lauterburg wohnhaft als hochzeiterin – Geschehen alhier zu Straßburg donnerstags den 22. Maÿ anni 1755. [unterzeichnet] Johann Friderich Heupel, A: M: Brisset

Mariage, Saint-Laurent (cath.), Die 26 Maÿ anni 1755 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Dns Joannes fridericus Heupel orphanotrophii hujatis œconomus defunctæ Dnæ Mariæ Franciscæ Weimer viduus parochianus noster et dna Anna Maria Horrer Argentinensis vidua defuncti Dni Joannis friderici Bryset olim satrapiæ et urbis Bergzabern protoscribæ a pluribus annis in Lauterburg commorans (signé) Joannes Fridericus Heupel, anna maria Horrer (i 175)

Vente par Jean Frédéric Heupel, receveur de l’Orphelinat à Jean Michel Klopffer musicien de la ville
1745 (9.10.) Chambre des Contrats, vol. 619 f° 716-v

H. Johann Friedrich Heupel der Waÿßenschaffner
in gegensein H. Johann Michael Klopffer der Stadt musici
eine behausung hofflein und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten am Schiffleuthstaden, einseits ist ein eck am hanffgäßlein, anderseit neben Georg Christoph Häberlin dem Kuttler hinten auf Georg Eckart den schiffmann – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines dohlens und von einem wetterdächlein 11 ß, so dann dem Stifft Carthauß 7 ß 2 ane bodenzinß – als ein am 27. apr. 1741 ane der ganth erhaltenes guth, (um) 1650 pfund

Le nouveau propriétaire est musicien de la Ville, Strasbourgeois de naissance mais fils de manant. Il acquiert le droit de bourgeoisie à l’époque de son mariage. Il habite comme locataire ou propriétaire différentes maisons avant d’acquérir celle quai des Bateliers où il ouvrira l’auberge au Bateau de Francfort
Jean Michel Klopffer épouse Catherine Salomé Brunner

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 8), Dominica XXIII. et XXIV post Trinit. proclamati sunt H. Johann Michael Klopffer der ledige statt Musicant weÿl. H. Johann Michael Klopffer gewesenen Schloßers, Uhrenmachers und Burgers allhier nachgelaßener Ehl. Sohn, und Jfr. Catharina Salome H. Lorentz Brunner deß Schreiners und burgers alhier ehl. Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 29.t Nov. durch mich M. Johann David Büttner Pastorem Neo-Petrinum [unterzeichnet] Johann Michell klopfferr Alß hochzeiter, Catharin saloma bronnerin als hochzeiterin (i 11)

1713 (2. 9.bris), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 30)
Inventarium über Herrn Johann Michael Klopffers, Statt Musici alhier habende eigenthümliche Nahrung – welche auff deßen freündlichen ansuch. erfordern und begehren, auß Ursachen selbiger fürderlich beÿ Unßern Gnädigen Obrigheit vmb das burgerrecht einzukommen, Vorhabens, und der ordnung gemäß Sein Vermög. zu dociren schuldig ist – Actum in der Königlich. Statt Straßburg donnerstags den 2.ten Novembris 1713.

In der Meelwag alhier zu Straßburg Auff dem Thomas Plan gelegen Ist befunden worden wie volgt
Sa. hausraths 68, Sa. Silbers 41, Sa. Goldener Ring 37, Sa. baarschafft 261, Sa. Instrumenta Zur Music gehörig 123, Summa summarum 531 lb

4° Livre de bourgeoisie, f° 802
Joh: Michael Klopffer der musicant Von hier, Weÿl. Joh: Michael Klopffer gew: schloßers sohn, emp: das burgerrecht gratis, Wird Zur Mörin dienen. J. d. 21 Dito [Februarÿ 1714]

Inventaire des apports
1714 (3.8.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 32)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung so der Ehrenvest und Kunsterfahrene Herr Johann Michael Klopffer vornehmer Musicant, und die Ehren: und tugendsame fraw Catharina Salome gebohrne Bronnerin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, Crafft ihrer miteinand. auffgericheter Eheberedung alß ein unverändert Guth den Ehestand zugebracht – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg, in fernerer Gegenwarth des Ehren vorgeachten und Kunstreich. Herrn Lorentz Klopffers Großuhrenmachers und burgers alhier, des Ehemanns bruders und erbettenen beÿstands, So dann des auch Ehren vorgeachten und Achtbahren herrn Lorentz Bronners Schreiners undt burgers alhier der Ehefrauen Geliebten Vatters, Freÿtags den 3.to Aug: 1714

Auff dem HH. Speicher auff dem Roßmarckt gelegen und einer daselbst befindlichen wohnung hat sich befund. wie volget
Eigenthumb ane einer behaußung (F.) It. 1/3. theil Vor Ungetheilt Von und ane hauß höfflein und hoffstatt in d. Schiltsgaßen am Roßmarckt
Wÿdemb, So H. Lorentz Bronner Schreiner und burger alhier der Ehefrauen Vatter Zeit lebens zugenießen hat. Laut des über Weÿland Frawen Annæ Catharinæ Bronnerin gebohrner Kährlerin, der Frauen Mutter seel. Verlassenschafft den 27. Martÿ 1694. auffgerichteten Inventarÿ (…)
Haussteuren 26 lb
Series rubricarum, des Ehemanns unverändert Guths, Sa. hausratha 135, Sa. Silbers 48, Sa. Goldener Ring 5, Sa. Instrumenten und bücher Zur Music gehörig 232, Sa. der baarschafft 370, Summa summarum 792 lb
der Ehefrauwen Zugebrachte Nahr., Sa. Mobiliorum 106, Sa. Silbers 18, Sa. Goldener Ring 24, Sa. baarschafft 75, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung – Summa summarum 232 lb

Jean Michel Klopffer, musicien et aubergiste à l’Oie d’or (à l’angle de la place Saint-Etienne et de la rue des Pucelles) devient tributaire chez les Fribourgeois en 1740. Comme il n’a pas appris le métier d’aubergiste, il a dû demander dispense auprès des XV.
Fribourgeois (XI 166) – Dienstags den 10.ten Maji A° 1740
(f° 107-v) Neu Zünfftiger – Johann Michael Klopffer der Musicus und Nunmahliger würth Zur goldenen Gannß undt burger allhier, producirt Statt Stall Schein de dato 22.ten Martii 1740. mit bitten Ihne dießorts Leib züfftig zu recipiren.
Erkannt, weilen die würtschafft nicht Erlernt, dahero den Weinschanck Von Gn. Herren denen XV.rn dispens. Erhalten, daß Ihme gegen Erlag der 12. lb. 14. ß sambt der Dispensat. zu willfahren. dedit nebst 6 ß Stubeng. pro hoc Anno et juravit auff die Ordnung.
[in margine :] dt. 12. lb 10. ß Zfft geb. – 6 ß St.Gb. – 4 ß Prot. G.

Hypothèque par Jean Michel Klopffer musicien de la ville

1746 (1.3.) Chambre des Contrats, vol. 620 f° 160-v
H. Johann Michael Klopffer der Stadt Musicus und Catharina Salome geb. Bronnerin mit beÿstand Johann Frantz Carlin des kieffers und Zacharias Matheus des schreiners beede ihrer geschwistrig kinder
in gegensein Johann Theobald Helck des biersieders als vogts Johann Philipp Brandhoffer, zu reparation hiernach beschriebener behausung, 450 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis am Schiffleuthstaden einseits ist ein eck am Hanffgäßlein anderseit neben Georg Christoph Häberlin dem Kuttler hinten auf Johann Georg Eckart den schiffmann – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines dohlens und wetterdächleins 11 ß, so dann dem Stifft Carthauß 7 ß 2 d ane bodenzinß – als ein am 9. oct. jüngst erkaufftes guth

Hypothèque par Jean Michel Klopffer musicien de la ville

1746 (30.6.) Chambre des Contrats, vol. 620 f° 491
H. Johann Michael Klopffer der stadt Musicus und Catharina Salome geb. Bronnerin mit beÿstand Zacharias Matheus des schreiners und Johann Friedrich Carlin des kieffers beede ihrer vettern (si. go) (si. +)
in gegensein H. XIII secretarÿ Johann Joachim Carol – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt cum appertinentis am Schiffleuthstaden einseits ist ein eck am Hanffgäßlein anderseit neben Georg Christoph Häberlin dem Kuttler hinten auf Johann Georg Eckart den schiffmann – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen eines dohlens und wetterdächleins 11 ß, so dann dem Stifft Carthauß 7 ß ane bodenzinß – als ein am 9. oct. jüngst erkaufftes guth

Inventaire après décès de Catherine Salomé née Bronner femme de Jean Michel Klopffer musicien de la ville, prévôt de la confrérie des musiciens en Basse Alsace et aubergiste à l’enseigne du Bateau de Francfort

1750 (28.Xbris) Me Lichtenberger (6 E 41, 326) n° 589
Inventarium über Weÿland der viel Ehren und tugendsahmen Frauen Catharinæ Salome Klopfferin geb. Bronnerin herrn Michael Klopffers berühmten stadt Musici und Wohlverordneten Schultheißen beÿ Er. löbl. bruderschafft derer Musicanten und Spielleuthen im Untern Elsaß auch Gastgebers zum franckfurther Schiff geweßener Ehegattin nun seel. Verlassenschafft, nach ihrem den 20. junÿ dieses annoch wehrenden 1750.ten Jahres aus dießem zeitlichen Weltleben genommenen tödlichen hintritt hier zeitlichen verlaßen
Denominatio haeredum, die abgeleibte Frau seel. hat ab intestato zu ihren rechtsmäßigen Erben verlaßen alß 1. Weÿland Frauen Maria Magdalena geb. Klopferin mit auch weÿland Johann Daniel Wißand dem geweßenen geschwornen Holtzlegers alhier ihrem Ehemann erzeugter dreÿ Kinder nahmentlich und 1) Johann Daniel Wißand p.t. quintæ Classis Discipulum, 2) Mariam Magdalenam Wißandin und 3) Catharinam Salome Wißandin deroselben liebe Enckelein, zu deren Nahmen hierbeÿ erschienen Johann Daniel Baumgartner Leinenweber und Siegrist zu St Aurelien dero geschwornen wie auch herr Johann Georg Haußer der Handelsmann dero beÿ dem vätterlichen succession Geschäfft ernannt gewordenen und annoch ohnentledigter Streit Vogt, 2. Herrn Johann Georg Klopffer verheuratheter und allhier ohnverburgerten Musicum sich dermahlen in London auffhaltend, Weßhalben in deßen Nahmen hierbeÿ gegenwärtig ware S.T. Herr Johann Friedrich Teutsch Es. En. großen Raths alter und E.E. kleinen Raths dermahliger beÿsitzer, 3. Jungfrau Catharinam Margaretham Klopfferin beÿständlich Herrn Andreä Müllers des leedigen Glasers, 4. Jungfer Mariam Salome Klopfferin und dann 5.to H. Heinrich Simeon Klopffer leedigen Keller, diese beÿde letztere mit Herrn Johann Georg Specht dem Bürstenbinder bevögtiget
Copia der Eheberedung vor Not. Pantrion d. 27. 8.bris 1713
Copia des Codicilli reciproci an eodem d. 19.9*.bris 1713

In einer ane dem Schiffleuth Staden gelegenen dieser verl. zuständiger behausung
Eigenthumb ane Einer Behausung – Neml. Eine Würths behausung zum Franckfurther Schiff genandt höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen deroselben begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten ane dem Schiffleuth staden einseits ist ein eck Eck am Hanff Gäßlein anderseit neben Georg Christoph Häberlin dem Cuttler hinten auf Johann Georg Eckert den Schiffmann stoßend, davon gibt man Jährlichen Löbl. Stadt Straßbg. Pfenningthurn auf Adolphi oder den 29. Augusti wegen eines dohlen 5 ß bodenzinß, auch solle wie der hiernach allegirte Kauffbrieff meldet dem löbl. Stifft Charthauß alhier 7 ß 2 d bodenzinß davon fällig seÿn, so aber an dißorthige possessores noch niemahlen gefordert und also auch nicht abgerichtet worden, (laut) unterem 24. dec. 1750 Abschatzungs scheins æstimirt und angeschlagen worden vor und um 2600 R oder 1300 lb, davon dann der löbl. Stadt Pfenningthurn zu reichende bodenzinß in gerechnetem doppeltem Capital abzuziehen mit 10 lb, Und solchem nach annoch außzuwerffen ist 1290 lb – darüber besagt ein Kffbrieff in allh. C.C. Stub gefertiget datirt d. 9. oct. 1745
Ergäntzung, Inventarium illatorum durch herrn Not. Jacob Christoph Pantrion unterm 3. aug. anno 1714
Norma hujus inventarii, des herrn Wittibers ohnverändert Vermögens, hausrath 14 lb, Instrumentorum und bücher zur Music gehörig 25 lb, Silbers 2 lb, goldene ringe 3 lb, Schulden 265 lb, Ergäntzung 503 lb, Summa summarum 814 lb
der Erben ohnverändert Nahrung, hausrath 41 lb, Silbers 4 lb, goldene ringe 18 lb, Ergäntzung per rest 719 lb, summa summarum 784 lb, Schulden 265 lb, Nach solchem abzug 519 lb
die theilbare Verlassenschafft, hausrath 217 lb, Instrumentorum und bücher 81 lb, Weins und leerer Faß 117 lb, Silbers 28 lb, goldene ringe 6 lb, baarschafft 48 lb, behausung 1290 lb, Summa summarum 1789 lb, Schulden 3657 lb, Compensando, theilbares passiv onus 1867 lb – Endliches passiv onus loco der Stall summa 533 lb

Hypothèque par Jean Michel Klopffer musicien de la ville et son gendre André Müller, vitrier
1751 (16.11.) Chambre des Contrats, vol. 625 f° 555

H. Johann Michael Klopffer der stadt musicus und deßen tochtermann Andreas Müller des glasers
in gegensein Jfr. Annæ Margarethæ Haffnerin mit beÿstand ihres bruders Isaac Haffner des rathsbotten – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt am Schiffleuthstaden einseits ist ein eck am Hanffgäßlein, anderseit neben Georg Christian Häberlin dem kuttler, hinten auf Johann Georg Eckart den schiffmann
Er Müller zum unterpfand, 2/3 theil vor unvertheilt ane einer behausung und hoffstatt ane der Tucher stub gaß, einseits neben Arbogast Reuber den weinhändler anderseit in den Gerber graben leitenden steeg hinten auf diesen graben

Bail par Jean Michel Klopffer musicien de la ville et aubergiste à Mathias Koch aubergiste
1751 (6.4.) Chambre des Contrats, vol. 625 f° 170-v

H. Johann Michael Klopffer der Stadt: Musicus auch gastgeber
in gegensein Mathias Koch des gastgebers
entlehnt, in einer des verlehners theils eigenthümlich gehörig theils wÿdums weis genießenden am Schiffleuthstaden gelegen zum Franckfurter schiff genannte gastbehaußung, den gantzen keller, die kuche darneben, ein höfflein mit einem gumpbronnen, die gast:stub auf dem ersten stock, eine große stub, stub kammer und kuchen samt einem nebens kämmerlein, 10 stäfflen höher wieder ein kämmerlein, auff dem 3t stock eine kammer worein man 3 bett stellen kan, ein steeg:kämmerlein worinnen man fleisch machen kan und auff dem 4t stock eine große bühn – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst künfftigen Johannis Baptistæ (um) 120 gulden jährlichen zins

Jean Michel Klopffer, ancien cabaretier, loue l’auberge à son fils Henri Simon Klopffer qui y exerce son activité depuis deux ans
1759 (20.7.) Me Laquiante (6 E 41, 1008), Bail de 6 années consecutives a commencer a la St Michel prochaine

Sr Jean Michel Klopfer ancien cabaretier de cette ville
au Sr Jean Henri Simon Klopfer son fils et De Marie Dorothée Altznerine
un appartement dans La maison a luy appartenante audit Strasbourg Sciz sur le quay des pecheurs a laquelle pend pour enseigne le Batteau de franckfort consistant ledit appartement au rez de chaussée en un poele et cuisine au premier étage en un grand poele et chambre y attenant en une Cuisine et un autre petit poele huit marches plus haut en un petit poele au troisième etage en une grande chambre Lambrissée et une autre grande chambre a côté, L’usage commun du grenier de la cour Du puit et de la Buanderie et Enfin l’usage exclusif de la Cave en entier tels que lesd. preneurs et preneuse ont occupé le tout jusqu’icy depuis quelques années à l’exeption de la chambre lambrissée qu’ils n’avoient pas cy devant
(charges, clauses et conditions) que le Sr bailleur aura droit de cuire ou faire cuire des mets sa soupe au feu des preneurs quand il y aura de la place pour cet effet, (pour) 300 livres tournois

Henri Simon Klopffer, aubergiste au Bateau de Francfort, est prié de se faire recevoir à la tribu des Fribourgeois. Il doit demander dispense à cause de son âge. Il devient tributaire deux mois plus tard.
Fribourgeois (XI 168) – 1.te Gericht de a° 1757. Dienstags den 22.ten deß Monaths Februarÿ in A° 1757.
(f° 3) Heinrich Simon Klopffer, der Würth Zum Franckhfurter Schiff citirt, solle zufolg E.E. Gerichts Erkandtnuß vom 29.ten Dec. jüngst Extr. Gn. Herren derer XV. Memorialis produciren vndt in conformitæt deßen, sich dermahlen Leibzüfftig machen. Ille præsens producirt ahne statt deßen die getruckter Würths-Umbgeldt Ordnung de A° 1679. Undt bescheinet dardurch daß er den weinschanckh von Gn. Hhn. denen XV.n Erhalten, weilen aber derßelbe den bescheid wegen gesuchter Dispensat: ætatis noch nicht hat, Allß ist diese Sache wiederumb ad proximam außgesetzt worden
2.te Gericht de a° 1757. Samstags den 16.ten deß Monaths Aprilis in A° 1757.
(f° 7-v) Neuz. – Heinrich Simon Klopffer der Würth Zum Franckhfurter Schiff, citiret, soll Extractum Gn. Herren derer XV.n produciren undt dardurch bescheinen auff waß arth er die Dispensationem wegen abgehendtem alter Erhalten vnd in conformitæt deßen, die angesetzte Dispensations: undt Zunfft: Gebühr Abstatten, Undt sich Leibzünfftig machen.
Ille præsens produciret das sub dato 29.ten Dec. in A° 1756: dießorts producirte undt ein deme sub dato 15. Martji 1757. annectirte Attestatum, Krafft deßen dem Citato proveniâ ætatis, 2. lb d zwischen Löblicher Statt vndt Er. E. Zunfft theilbahr angesetztet worden, Undt bittet Receptionem.
Hierauff ist Erkandt worden, daß der Citatus gegen Erlag der Ihme proveniâ ætatis angesetzten 2. lb d Undt der ordinarj gebühr der 6. lb 14. ß d wie auch pro A° 1756 et 1757 schuldigen Stubengeldts, so à 6 ß s 12 ß d Mithien Zusammen 9. lb 6. ß d außmachet Alß ein Leibzünfftiger Zu recipiren Und demßelben das Zunfft: Undr würths: Recht Zu conferiren seÿe, Ille Zahlt dato auff Abschlag 4. ln 10. ß d und verspricht den rest mit 4. ln 16 ß herrn Zunfft meistern Zu überbringen, welcher auch dato auff die Ordnung die Neu Zünfftige betreffendt, dato angelobet hat.

Inventaire après décès de Jean Michel Klopffer ancien musicien de la ville et prévôt de la conférie des musiciens en Basse Alsace
1761 (14.2.) Me Schweighæuser (6 E 41, 552) n° 95

Inventarium über weÿl. des Ehren: und vorachtbahren Herrn Michael Klopffer gewesten Stadt: Musici und wohlverordneten Schultheißen beÿ einer Löbl. bruderschafft derer Musicanten und Spielleuthe im Unteren: Elsaß Verlassenschafft, nach seinem den 5. endstehenden Monaths und Jahrs jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt ; auff ansuchen des abgeleibten seel. mit längst weÿl. Fr. Catharinæ Salome geb. bronnerin seiner Ehefrau erzeugten Kinder
der abgeleibte hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1. Weÿl. Fraun Maria Magdalena Wißandin geb. Klopfferin mit auch weÿl. Johann Daniel Wißand des geschwornen holtzleger dreÿ Kinder mit nahmen 1) Johann Daniel Wißand leedigen Silber Arbeiter-Gesellen so majorennis, 2) Jfr: Mariam Magdalenam Wißandin und 3. Jfr. Catharinam Salome Wißandin, Welche zweÿ letztere mit Mstr: Johann Daniel baumgarthner dem Leinenweber und Siegristen zu St Aurelien (bevögtigt), 2. herrn Johann Georg Klopffer verheuratheten und allhier ohnverburgerten musicum auch hier ohnwißendt wo sich derselbe dermahlen aufhaltet hiebeÿ gegenwärtig war S.T. herr Johann Jacob Kips J.V.Ltus E.E. großen Raths alter und E.E. Kleinen Raths dermahlig wohlverdienter beÿsitzer, 3. Frau Catharinam Margaretham Müllerin geb. Klopfferin Mstr. Andreas Müllerin des Glaßers Ehefrau, 4. Frau Mariam Salome dießelbachin geb. Klopfferin H. Nicolaus anthoni dießelbach des Musici Ehefrau, 5. herr Johann Heinrich Simeon Klopffer den Gastgeber, Alle samt des abgeleibten mit auch weÿl. fr: Catharina Salome geb. bronnerin erzeugte Kinder

in einer ane dem Schiffleuth-staaden gelegen zum fr.forter Schiff genannten in dieße Verlassenschafft gehörigen behausung
Eigenthum an einer behausung. Neml. Eine Gast-behausung zum Franckforter Schiff genandt höfflein und hoff-statt mit allen übrigen derselben begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane dem Schiffleuth staaden, 1.s ist ein Eck am hanff-gäßlein 2.s neben Ezechiel Schlegel dem Schiff-mann hinten auf anthoni Fäßler dem Schiff-mann – hiesigen Stadt Pfenning Thurn auf Adolphi oder den 29. aug. wegen einem dohlen 5 ß ane bodenzinß auch solle wie der hernach allegirte Kaufbrieff meldet dem löbl. Stifft Charthaus allhier 7 ß 2 d. ane bodenzinß, (laut) abschatzung vom 17. feb. 1761 aestimirt und angeschlagen worden vor und um 2400 R oder 1200 lb, davon dem hiesigen Stadt Pfenning Thurn zu reichende ane bodenzinß, der 5 ß in gerechnetem doppeltem Capital abzuziehen mit 10 lt, Und solchem nach hier annoch auszuwerfen ist 119 lt, darüber besagt Kaufbrieff C.C. Stub datirt den 9. oct. 1745
– Abschatzung vom 17.ten februarius 1761, Auff begehren Waÿlandt Herrn Michael Klopffer Seligen hinterlassenen Erben, ist eine Gast herrberg allhier In der Statt Straßburg am Schiffleuth Staden gelegen zum franckfurter Schiff genant es. Neben dem Allment as. Ezechiel Schlögel und hi. auf Anthonj Fölßeler stoßent, solche Gast herrberg bestehet jn einer Gast Stub, und Küchen, Ferner jn zweÿ Stuben, zweÿ StubKammern und zweÿ Küchen und Etliche haußKammern darüber ist der dachstuhl mit breitziegen belegt, hat auch ein Kleinen Getrembten Käller hoff und brunnen vor und umb 2400 gulden, [unterzeichnet] Werner, Hueber
Wÿdum Welche der Abgeleibte aus weÿl. Catharina Salome Klopffer geb. Bronnerin Verlassenschafft lebtägig genoßen hat, in anno 1750 aufgerichetten Inventarÿ vor Not. Johann Friedrich Lichtenberger und den 31. mart. 1751 summarischen Calculi
hausrath 3 lb, Instrumenten und bücher zur Music 3 lb, behausung 1190 lb, Wÿdum 24 lb, schulden 8 lb, Summa summarum 1205 lb – Schulden 2418 lb, Passiv onus 1212 lb

Vente par la fondation des Orphelins à Philippe Schropp aubergiste
1763 (22.11.) Chambre des Contrats, vol. 637 f° 619-v

innahmen löbl. Stifft Waÿßenhaußes deßen schaffner H. Johann Friedrich Heupel
in gegensein H. Johann Philipp Schropp des gastegebers
die zum Franckfurter schiff genannte gast behausung, höfflein und hoffstatt mit allen übrigen deroselben zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Schiffleuthstaden einseits ist ein eck ane dem Hanffgäßlein, anderseit neben Ezechiel Schlegel des schiffmanns wb. und erben hinten auff Antoni Feßler den schiffmann – davon gibt man d. löbl: Stadt Pfenning Thurn auf Adolphi wegen einem dohlen 5 ß und stifft Carthauß auff Johannis Baptistæ 7 ß 2 d ane bodenzinß – als ein den 26. 9.br. 1761 angenommenes guth, (um) 1050, 150 capitalien, 600 pfund

Hypothèque par Jean Philippe Schropp aubergiste et Marie Salomé Schwartzrucker
1766 (18.9.) Chambre des Contrats, vol. 640 f° 536-v

Johann Philipp Schropp der wirth und Maria Salome geb. Schwartzruckerin mit beÿstand Johann Krieg des weinstichers und Philipp Jacob Zeyßolph des müntzbotten
in gegensein Christian Wilhelm Gutjahr dem goldarbeiter alß vogt weÿl. Johann Kuglers des Stattkupfferschmitts 4 kinder Johann Georg, Johann, Margarethæ Salome und Joseph der Kugler, schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem schiffleuthstaden
einseit ist ein eck ane dem Hannfgäßlein anderseit neben Ezechiel Schlegel hinten auf Antoni Fäßler den schifmacher

Inventaire de faillite de Jean Philippe Schropp et de sa femme Marie Salomé Schwartzrucker. Les conjoints vendent ensuite la maison qui est leur principale richesse. Jean Philippe Schopp deviendra ensuite employé à l’accise (Umgelt). Sa femme meurt en 1774 en laissant trois enfants. Il se remarie la même année avec Catherine Marguerite Hartschmidt, veuve de l’aubergiste Jean Frédéric Ulrich.
1768 (28.10.) Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 272) n° 1130-b

Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Ehrengeachte Herr Johann Philipp Schropp, der Gastgeber Zum Franckfurter Schiff und die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Maria Salome gebohrne Schwartzruckerin, beede Eheleuthe und burgere dahier au Straßburg dermalen eigenthümlichen besitzen und dahingegen passivé zu bezahlen schuldig sind, welche der Ursachen, alldieweilen die Ehefrau bereits beÿ E.E. Kleinen Rath zu Salvirung ihres ohnveränderten in die Ehe gebrachten Vermögen um das Beneficium Cessionis der Ehemann aber pro obtinendo flebili Beneficio Cessionis unterthänige Ansuchung gethan – So geschehen allhier zu Straßburg auff Sambstag den 28. Octobris anno 1768., In Præsentia S.T. Herrn Johann Heinrich Faust J.U. Lt. E:E: kleinen Raths und Verschiedener anderer hoher Gerichtstellen dieser Löblichen Statt bestverdienten Advocati et Procuratoris Ordinarii auch vornehmen burgers allhier, der Ehefrauen hiezu erbettenen herrn beÿstands

In einer allhier zu Straßburg ane dem Schiffleuth Staden gelegenen Zum Franckforter Schiff genanden hiernach beschriebenen Wirths behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane einer behaußung. Nehml. eine Gastbeh. Zum Franckforter Schiff genand, höfflein und hoffstatt, mit allen übrigen deroselben Zugehörden, Weithen, begriffen, Rechten und Gerechtig keiten gelegen allhier ane dem Schiffleuthstaden, einseit ist ein Eck ane dem hangffgäßl. anders. neben Ezechiel Schlegel des geweßenen hiesigen burgers und Schiffmanns wittib und Erben, hinten auff Anthoni Fäßler den Schiffmann stoßend, davon gibt man jährl. Löbl. Stadt Pfenningthurn auff Adolphi Wegen einem dohlen 5 ß. und Löbl. Stifft Carthaus auff Joh. Bapt: 7. ß 2 d ane bodenzß. sonsten aber außer denen darauff hafftenden und hernach eingetragenen Passiv Cap. ledig eigen, so hier ohnpræjudicirlich Vor freÿ ledig und eigen angesetzte worden um 1700 ln, Erwehnten dohlen Zß. Zu doppeltem Cap. gerechnet antreffend 10., Und obiger Bodenzß. auff gleiche Art betragend 14. 3. 4, Beedes Zusammen 14. 3. 4, Davon abgezogen so Verbleiben ane dem Anschlag der beh. annoch übrig 1675. 16. 8.
Ergäntzung der Ehefrauen abgegangenen ohnveränderten Guths, Nach Anleitung des über beeder Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachter Nahrungen durch Hn Notm. Philipp Marbach in Anno 1762. gefertigten Invii.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefrauen unverändert Guth, Sa. hausraths 112, Sa. Silber Geschmeids 3, Sa. Activ Schulden 50, Sa. Ergäntzungs Rests 354, Summa summarum 520 lb,
des Ehemanns unverändert und theilbahr Nahrung, Sa. hausraths 140, Sa. Wein und leerer Faß 30, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. Goldener Rings 1, Sa. der beh. 1675, Sa. Activ schulden 35, Summa summarum 1899 lb – Schulden auß, 3260 lb, Compensando übersteigen die Passiva die gesamte Activ Nahrung um 1360 lb
Copia der Eheberedung (…)

Vente par Jean Philippe Schropp aubergiste et Marie Salomé Schwartzrucker à Jean Georges Walther aubergiste et Marguerite Salomé Kesselmeyer
1769 (5.10.) Chambre des Contrats, vol. 643 f° 693 v

Johann Philipp Schropp der gastgeber und Maria Salome geb. Schwartzruckerin
in gegensein Johann Georg Walther des gastgebers und Margarethæ Salome geb. Keßelmeyerin
die zum Franckfurterschiff genannte gastbehaußung, höfflein und hoffstatt mit allen übrigen zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Schifferleuthstaden
einseit ist ein eck am Haffgäßlein anderseit neben Ezechiel Schlegel gew. schiffmann wb. und erben hinten auf Antoni Fäßler des schiffmanns – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn auf Adolphi wegen einem dohlen 5 ß und löbl. Stifft Carthaus auf Johannis Baptisti 7 ß 2 s ane bodenzinß – als ein d. 22. 9br. 1763 erkauftes guth – um 1050, 150, 300 verhafftet, geschehen um 500 pfund

Bail de Jean Georges Walther aubergiste à Léonard Henri Klopffer aubergiste
1771 (7.7b) Me Lacombe (6 E 41, 143), Bail

Jean Georges Walter aubergiste, bail de 3 années années consécutives qui commenceront à courir à la St Michel prochaine
à Leonard Henry Klopffer, aubergiste, et Dorothée Marguerite Artzer
la maison à lui apartenante sur le quai des Batteliers ou pend pour enseigne le batteau de franfort avec toutes ses appartenances et dépendances, (pour) 170 florins ou 340 livres tournois

Inventaire après décès de Jean Georges Walther aubergiste au Bateau de Francfort
1771 (12.11.) Me J. Daniel Ensfelder (6 E 41, 627) n° 11, signé Elles

Inventarium über Weiland Herrn Johann Georg Walthers geweßenen Gastgebers zum Franckfurther Schiff nunmehr seeligen Verlassenschafft, nach seinem den 23. sept. jüngsthin jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen hat, auf Ansuchen frauen Margarethæ Salome Waltherin geb. Kößelmeÿerin dißorths hinterbliebener Wittib mit beÿhülff herrn Philipp Jacob Dietsch Schwartzbecken ihres ane Vogtsstatt erbettenen beÿstands
Benennung der Erben, Des Verstorbenen seel. ab intestato verlassenen rechtsmäßigen Erben seind seine mit der Wittib erziehlte Kinder alß 1. Johann Georg so das 12. Jahr seines Alters zurückgelegt, 2. Margaretha Salome so 1 ¼ Jahr alt und dann 3. Ein Posthumus mit welchem die Wittib in dem 7. Monath schwanger ist, In deren Nahmen zugegen ware herr Samuel Hetzel hiesiger burger und Rothgerben als derenselben Vogt
Bericht, kein Inventarium illatorum
Copia der Eheberedung, der Ehrsam und bescheidene Hr Johann Georg Walther der Ledige würt zur Sonnen und Ackersmanns zu Illkirch weÿland Theobald Walther auch würths und burgers daselbsten mit weÿl. Agnes auch einer gebohrener Waltherin Sohn mit beÿstand herrn Johann Walthers deß bierbrauers zu denen Mühlen und burgers allhier Seines eheleiblichen bruders, So dann die tugendbegabte Jungfrau Margaretha Salome Kößelmeÿerin weÿland herrn Samuel Kößelmeÿers des Gastgebers zum goldenen Schwahnen mit weÿland Frauen Anna Maria geb. Bahmeÿerin tochter Erster Ehe mit beÿstand herrn Johann Jacob Strohmeÿers der Zeit würth und Gastgebers zu ermeldten goldenen schwahnen so dann Frauen Maria Magdalena geb. Kochin beede Eheleut als der Jungfrauen brauth geehrter Stieff Eltern, den 1. sept. 175-, Not. Philipp Jacob Marbach

In einer ane dem Schiffleuth Staden gelegener zum franckfurther Schiff genannter in gegenwärtiger Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen Gast behausung hat sich befunden
Eigenthum ane einer behausung, Nemlichen eine zum Franckfurther Schiff genannte Gast behausung, höflein und hoffstadt mit allen deren übrigen zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier am Schiffleuth: Staden gelegen es. ist ein Eck am hänfer: Gäßlein as. neben H. Jacob Eckert dem Schiffmann und hinten auf H. Andreas Fäßler stoßend, davon giebt man Jährlich Löbl. Stadt Straßburg Pfenningthurn auf Adolphi wegen einem dohlen 5 ß und Löbl. Stifft Carthaus auf Joh: Bapt: 7 ß 5 s ane bodenzinns, (lt.) Abschatzungs Scheins de dato 6. nov. 1771 æstimirt und angeschlagen worden vor 1200 lb, Werden nun vorgedachte beschwerden à 5. p Cto zu doppeltem Cap. gerechnet abgezogen mit 24 lb, So bleibt übrig 1175 lb – Über diese behausung besagt ein in C.C. Stub Kauffbrieff belehrend wie beede Ehepersohnen sothanes Würthshaus von H. Johann Philipp Schropp dem Wirth und deßen Ehefrauen Maria Salome geb. Schwarzruckerin käuflich an sich gebracht haben, ferner ein Kauffbrieff aus C.C. Stub de dato 9. oct. 1745 Und ein dergleichen Kauffbrieff de dato 22. nov. 1763
– Abschatzung Vom 6:t Nber 1771, Auff begehren Weil. Georg Walter ist eine gast herberg zum guldenen Schieff genant alhier in der Statt Strasburg an dem Schiffleit Staden gelegen Einseits Neben Jacob Eckert anderseits Neben Einem allment geslein und hienden auff Andreas Fesler stoßent gelegen, solche behausung besteht und einer gast stuben Ferner in Etlichen Stuben Kamern und Kichen dar jber ist Der dach stuhl mit breitzieglein belegt, hat auch ein getrembten Keller Hoff und brunen, vor und umb 2400 gulden, [unterzeichnet] Werner, Hueber
Eigenthum ane liegende gütheren Illkircher banns
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib unveränderten Vermögens, hausrath 23 lb, Silbers und deren Geschmeids 4 lb, goldene ringe 7 lb, Schuld 75 lb, Ergäntzung 1343 lb, Summa summarum 1453 lb,
derer Beneficial Erben ohnverändert und die theilbare Nahrung verzeichnet, hausrath 152 lb, Silbers und deren Geschmeids 4 lb, leere faßen 5 lb, behausung 1175 lb, liegende güther 65 lb, Schuld 5 lb, Summa summarum 1408 lb, Schulden 3342 lb, Passiv onus 1933 lb – Endliche Passiv onus locco der Stall summa 480 lb
den 27. feb. 1772 hat dießithige Wittib des nach der Inventur nemlich den 8. Jenner jüngst zur Welt gebohrnen Posthumi Namens Philipp Jacob gehöriges Göttel und geschenckt Geld angegeben

Jean Georges Walther, aubergiste à Illkirch, épouse Anne Marguerite Kesselmeyer, fille d’un aubergiste strasbourgeois

Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 139, n° 29)
Dienstag d. 5. Oct. Seind nach Zweÿmahliger Außruffung als Dom. XV et XVI. Trin. Zu Illkirch in den Ehestand eingesegnet worden, Johann Georg Walther, Gastgeber v. burger zu Illkirch weÿl. diebold Walthers gew. Gastgebers v. burgers zu Illkirch hinterl. Ehl. Sohn, v. Jfr. Anna Margaretha Kesselmeÿerin, weÿl. Hn Samuel Kesselmeÿers gew. Gastgebers v. burgers allh. hinterl. Ehl. Tochter (i 141, reg. Illkirch en déficit)

Bail par Marguerite Salomé Kesselmeyer veuve de Jean Georges Walther aubergiste à Jean Henri Klopffer aubergiste
1772 (18.2.) Me Lacombe (6 E 41, 145) Bail

Marguerite Salomé Kesselmeyer veuve de Jean Georges Walter aubergiste assitée de Philipp Jacob Dietsch boulanger en qualité de seule propriétaire de la masse de son mary ; pour 3 années consécutives à commencer aux fetes de paques prochaines
à Jean Henry Klopfer et Dorothée Marie Artzer, ledit Sr Klopffer cabaretier
la maison appartenant à ladite De Kesselmeyer sur le quai des batteliers ou pend pour enseigne le batteau de franck fort avec toutes ses appartenances et dépendances sans rien reserver, laquelle maison fait partie de la masse des biens délaissés par led. feu son mary, (pour) 170 florins ou 340 livres tournois par an

Reconnaissance après adjudication par Catherine Elisabeth Murrmann femme de Jean Martin Schwing blanchisseur à la Robertsau
1783 (25.4.) Chambre des Contrats, vol. 657 f° 190

Fr. Catharina Elisabetha Schwingin geb. Murrmännin H. Johann Martin Schwing des bleichers in der Ruprechtsau ehegattin unter assistentz H. Johann Jacob Schwing ihres leiblichen sohns und Johann Gottfried Schwing des gastgebers ihres tochtermanns mit ihrem ehemann so unter dem 16. dieses die zum Franckfurter schiff geschildet ane dem Schiffleuthstaden gelegenen behausung samt zubehör ane der ganth als letzt und meistbietenden um 1610 ane sich gebracht und worauff H. Lt. Johann Rudolph Dinckel alß ersterer hypothecarius 1500 gulden stehen hat

Inventaire des biens de Jean Geoffroi Schwing aubergiste à l’enseigne du Bateau de Francfort et de Marie Madeleine née Schwing
1783 (6.7.br) Me Lederlin (6 E 41, 905) n° 240

Inventarium über Johann Gottfried Schwing des wirths zum Frankfurter schiff und deßen ehefrau Mariæ Magdalenæ geb. Schwingin beede dermalen besitzende activ nahrungen und zu bezalende passiv schulden
in einer ane dem Schifleuthstaden gelegen zum Frankfurter schiff geschildeten gastbehausung
der ehefrau ohnverändertes guth, hausrath 81 lt, silbers 4 lt, gold 3 lt, activ schulden 50 lt, ergäntzung 197 lt, summa summarum 337 lt,
des manns ohnverändertes guth, hausrath 98 lt, wein und faß 21 lt, activ schulden 126 lt, summa summarum 246 lt, passiv schulden 727 lt, passiv onus 481 lt

Inventaire après décès de Jean Martin Schwing blanchisseur à la Robertsau et marguiller de la paroisse protestante
1787 (25.10.) Me Zimmer (6 E 41, 1429) n° 803

Inventarium über Weiland H. Johann Martin Schwing gewesenen bleichers und Kirchenpflegers der Evangelischen Gemeinde in Ruprechtsau Verlassenschafft, nach seinem den 17. sept. 1787 jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen hat, auf Ansuchen Fraun Catharinæ Elisabethæ geb. Murrmännin des Verstorbenen hinterbliebenen Wittib beiständlich H. Johann Conrad Hüttner des Müllers in Ruprechtsau
der verstorbene hat ab intestato zu seinen einigen Erben hinterlassen, 1. Weil. Frn. Maria Salome Schwingin mit auch weil. H. Friedrich Daniel Schröder des Goldarbeiters erzeugt einigen noch lebenden Sohn Namens Hr. Friedrich Christian Schröder den Goldarbeiter, 2. Johann Daniel Schwing den Gastgeber zum Jäger in R.au, 3. H. Johann Friedrich Schwing den Goldarbeiter, Gemelte Fr. Schröder und bede Söhne in erster ehe mit auch weiland Fr. Anna Barbara geb. Schmidtin ehel. erzeugte Kinder, (f° 5) 4. H. Johann Jacob Schwing den bleicher und burger in R.au, 5. Fr. Maria Elisabetha geb. Schwingin weiland H. Philipp Blind des Weisgerbers hinterbliebenen Wittib so beiständlich Mr. Michael Fuchs des Ackersmanns und brs. in R.au, 6. Fr. Sophia Dorothea geb. Schwingin Mr Philipp Heinrich Klein des strumpfwebers und burgers zu Straßburg Ehefrau, 7. Fr. Anna Magdalena geb. Schwingin H. Johann Gottfried Schwing des Gastgebern Ehefrau, 8. Fr. Anna Margaretha geb. Schwingin Mr Johann Friedrich Roos des Seilers Ehefrau, 9. Johann Michael Schwing den ledigen Weisgerber so majorennis, so dann 10. Johann Martin Schwing den ledigen strumpfweber so abwesend in deßen Namen zugegen gewesen Hr. Joh: Martin Bürckel der Ohlmann deßen geordnet und geschworener Vogt, Erwehnter Sieben leztern sein des Verstorbenen in 2.ter und lezter Ehe mit Frn. Catharina Elisabetha geb. Murrmännin deßen wittib erzeugte Kinder
Copia der Eheberedung, zwischen dem wohlehren und vorachtbaren Herrn Johann Martin Schwingen Wittiber bleicher und alten Obermeistern in Ruprechtsau So dann der viel Ehren und tugendgezierten Jgfr: Maria Elisabetha Murrmännin weil. H. Johann Jacob Murrmanns geweßten wohlverdienten Pfarrers und treueifrigen Seelsorgers der evangelischen Gemeinde zu Oberhoffen Hochfürstl. Hessen Hanau Lichtenbergischer Herrschafft mit Fraun Maria Elisabetha geb. Adamin Tochter, den 15. jan. 1744 Not. Joh: Daniel Lang dem ältern
In einer in Ruprechtsau und deren untern Au gelegenen nicht hiehero gehörigen bleich behaußung befunden
(f° 6) Eigenthum ane einer Gastbehausung zu Straßburg, Nemblich die Gastbehausung zum Frankfurter Schiff genannt gelegen in der Statt Straßburg an dem Schiffleuth staden 1.s ist ein Eck eines cul d sac, 2.s neben Jacob Eckert den Schiffmann und hinten auf H. Antoni Feßler den ebenmäßigen Schiffmann stoßend, davon gibt man jährlich Löbl. stadt Pfenningthurn 5 ß ane bodenzinß, (laut) Abschatzung Zeduls vom 22. 9.bris 1787 angeschlagen zu 1000 lb, Wann nun berührter behausung der 5 ß zu doppeltem Capital gerechnet hievon abgezogen wird mit 10 So verbleibt an solchen Anschlag annoch übrig 990 lb, Über diese behausung besagt ein Ganth Kauffbrieff datirt den 16. apr. 1783
Ergäntzung, Vermög Inv.ii Conc. durch H. Not. Johann Daniel Lang seniorem in A° 1746 angefangen und durch mich Not. A° 1763 geschloßen
– Abschatzung Vom 22.t Novembre 1787, Auff begeren Weÿland Herr johann Martin schwing dem geweßenen bleicher ist eine gastbehausung alhier in der statt strasburg am schiffluth staden das franckfurter schiff genant gelegen Ein seÿts neben Meister Keß dem Wascher anderseÿts Ein Eck auf das allmend und hinten auf hr feßler stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer Gaststube, ferner in fünff stuben, zweÿ Küchen und Etlichen Kamern, darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt hat auch Ein getrembter Keller gleiner Hoff und brunnen, vor und umb 2000 gulden, [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner W:Mstr
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Wittib unveränderten Vermögen, Schulden 25 lb, Ergäntzung 1674 lb, Summa summarum 1699 lb
der Erben unverändert und das theilbare Guth unter einer Mass beschrieben worden, weilen die hinterbliebene Wittib sich hiereÿ erklärte, wie daß Sie auf die theilbare Nahrung wißend und wohlbedächtlich Verzug gethan, hausrath 60 lb, Silbers 9 lb, Golds 1 lb, behausung 990 lb, liegende güther 278 lb, Pfenningzinßes und deßen hauptguths 2350 lb, summa summarum 3689 lb, Schulden 3598 lb, In Vergleichung 91 lb – Stall summ 1794 lb
– Auf Ansuchen Johann Gottfried Schwing des Gastgebers im gasthaus zun franckfurter schiff und burgers in Straßburg welcher sein domicilium in besagter behaußung erwählet
Und hiermit weÿl. herrn Johann Martin Schwing des geweßten bleichers in der Ruprechtsau und burgers zu Straßburg Fraun Wittib Elisabetha geb. Murrmännin wie auch deßen Erben und Erben vogt significiret und declariret, daß weilen Requirent vor einige tagen einen versuch gemacht in der Stadt und Veste Kehl eine gelegenheitliche Verbesserung seines glücks zu probiren, und in deßen per afterlehnung des gedachten gasthauß zum franckfurter schiff an andere ehrbare und rechtshaffene Wirths leute weiters zu verlehenen mithin keines wegs gesonen, von der ihme coram herrn Notario Regio Lacombe von gedachten schwingischen eheleuten und respective schwiegereltern passirten lehnung abzustehen oder sich der desfalls ihme zuständiger rechten zu begeben
Requirent hiemit sich wieder alle nachtheiligs unternehmungen von seiten der Requisiten welche gemeldte Lehnungs: rechten einigen eingriff thin könnten bestens approbirt unter gemachter erbietung wegen dem des halben denen requisiten zugut kommen den mietzinnß ihnen auf ersters begehren mehrerer und nach wunsch hinlangliche Sicherheit zu verschaffen sub merito hujus oblati protestiret (…)
Anbeÿ will auch frau Maria Magdalena Schwingin erstgenannten Johann Gottfried Schwingen ehefrau in der qualitæt als miterbin weiland Johann Martin Schwing ihres Vaters Verlassenschafft declarirt haben wie deß sie ihren antheil an der in gemelten schwingen Vaters Verlassenschafft gehörigen samtliche liegenden gütern an wen, unter welchen bedingungen und um welchen preiß die übrige miterben für gut finden werden, solche güter im unvertheiltem erb abzutretten und eigenthümlich überlassen
Signifié et délivré pour copie aux veuve et héritiers de feu Sr Jean Martin Schwing vivant blanchisseur a la Rubrechtsau le 11. fev. 1788

Jean Martin Schwing, blanchisseur, se marie en premières noces (1730) avec Anne Barbe Schmidt, fille d’un aubergiste à Bischoffsheim en Bade, qui devient bourgeoise la même année et en secondes noces (1744) avec Catherine Elisabeth Murrmann, fille de pasteur, qui devient bourgeoise la même année.

Mariage, Robertsau (luth. f° 53-v n° 4)
Dienstag den 14.ten Febr. 1730 seind auff Obrigkeit. Erlaubnuß, nach Zweÿmaliger ordentlicher Außruffung, Ehelich eingesegnet worden Johann Martin Schwing der ledige bleicher und burger allhier, Hn Joh: Martin Schwingen, gewesenen bleichers und burgers wie auch Gerichtsmanns allhier, geweßener Ehelicher Sohn, und Jgfr. Anna Barbara, Johann Martin Schmieden gewesenen Würths und Gastgebers zu Bischen Zum Hohen Steeg hinterlassene Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Martin Schwing als Hochzeiter, Anna Barbara Schmidtin als hochzeiterin (i 51)

4° Livre de bourgeoisie, f° 956
Anna Barbara Schmidtin von Bischoffsheim geb. erhalt d. b. von ihrem ehemann Johann Martin Schwingen umb die terz d. alt. b. will beÿ EE: Zunfft der tucher dienen Jur d: 17.ten april 1730.

Mariage, Robertsau (luth. f° 214 n° 325), Dienstag den 28.ten Jan. 1744 seind auff Obrigkeitliche Erlaubnuß, nach gewohnlicher Außruffung, Ehelich eingesegnet worden H. Joh: Martin Schwing der Wittiber, Bleicher und alte Obermeister allhier, Und Jgf. Catharina Elisabetha weÿl. H. Joh: Jacob Murrmanns gewesenen Pfarrers zu Oberhoffen und Fr. Catharinä Elisabeth geb. Adamiin Vxoris hinterlaßen Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Martin Schwing als Hochzeiter, Catharina Elisabetha Murmanin als Hochzeiterin, Joh: Leonhard Schwind als brudter (i 211)

Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284), p. 167
frau Catharina Elisabetha Wurmännin Von Reitweiler gebürtig erhalt das burger Recht Von ihrem Ehemann Johann Martin Schwing dem burger allhier um den alten burgerschilling und will dienen beÿ E.E. Zunfft der tucher promis. eod. [6.ten Maÿ 1744]

Cession par les héritiers à Catherine Elisabeth née Murrmann veuve de Jean Martin Schwing
1788 (3.7.), Joint à Me Zimmer (6 E 41, 1429) n° 803

Cessio Übergab und Annahm des in diese Verlassenschafft gehörigen Eigenthumbs ane einer Gastbehausung und zugehörden – Vor mir erschienen 1. Weiland Frn. Mariä Salome Schwingin mit auch weil. H. Friedrich Daniel Schröder des Goldarbeiters erzeugt und noch lebenden Sohn Hr. Friedrich Christian Schröder der Goldarbeiter, 2. br. Johann Daniel Schwing der Gastgeber zum Jäger in Ruprechts Au, 3. H. Johann Friedrich Schwing der Goldarbeiter, 4. H. Johann Jacob Schwing der burger und bleicher in Ruprechts: Au, 5. Frau Maria Elisabetha geb. Schwingin weiland H. Philipp Blind des Weisgerbers hinterbliebene Wittib beiständlich Mr. Johann Georg Vix des Practici, 6. Frau Sophia Dorothea geb. Schwingin Mr Philipp Heinrich Klein des Strumpfwebers und burgers allhier Ehefrau, 7. Ht Johann Georg Rößel Notarius publicus und Practicus mand. noe. Fr. Annæ Magdalenæ geb. Schwingin H. Johann Gottfried Schwing des Gastgebern Ehefrau, 8. Namens Fr. Anna Margaretha geb. Schwingin Mr Johann Friedrich Roos der Seiler ihr Ehemann, 9. hr. Johann Michael Schwing der ledige Weisgerber so majorennis zu seÿn declarirte, So dann 10. hr. Johann Friedrich Reumann der burger und bek in Ruprechts: Au als geordnet und geschworener Vogt Johann Martin Schwing des ledigen Strumpfwebers, alle weiland H. Johann Martin Schwing des bleichers und Kirchenpflegers der Evangelischen Gemeinde in Ruprechtsau in zween Ehen erzeugte Kinder und der verstorbenen ältern Tochter Sohn als ab intestato zu 10 gleichen theilen nachgelaßene Beneficial: Erben
in gegensein Fraun Catharinæ Elisabethæ Schwingin geb. Murrmännin sein des verstorbenen hinterbliebenen und von H. Johann Conrad Hüttner dem Müllers in Ruprechts: Au verbeiständeter Wittib
die in eingangs gedachte Verlassenschafft gehörige Gastbehausung zum Frankfurter Schiff genannt, samt allen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg an dem Schiffleut: Staden einseit ist ein Eck eines Cul d sac, anderseit neben Jacob Ekert den Schiffmann und hinten auf H. Antoni Fäßler den ebenmäßigen Schiffmann stoßend, so auser 5 ß die man jährlich Löbl. stadt Pfenningthurn ane bodenzinß zu entrichten hat und 750 lb Capital frei ledig und eigen, (um) 1800 gulden oder 900 lb

Bail par Catherine Elisabeth née Murrmann veuve de Jean Martin Schwing à Philippe Jacques Strohl aubergiste au nom duquel son beau-père Jean Kuntz consigne à la Porte des pêcheurs
1790 (4.12.) Chambre des Contrats, vol. 664 f° 267-v

Fr. Catharina Elisabetha verwittibte Schwingin geb. Murmännin beÿständlich Johann Jacob Schwing des bleichers in der Ruprechtsau ihres sohns
in gegensein H. Johannes Kuntz des zollers am fischerthor – ihme Kuntz so vor seinen tochtermann Philipp Jacob Strohl den gastgeber
verlehnt, die gantze wirthsbehaußung zum Franckfurter schiff geschildet am Schiffleuth staden, bloß eine kammer im 3.ten stock deren außsicht zum theil auff die straß theils in einem gäßlein geht davon ausgenohmen – auff 3 nacheinander folgenden jahren auff künfftigen weÿhnachten anfangend, (um) 150 gu/jahr

Les enfants et héritiers de Catherine Elisabeth Murrmann veuve de Jean Martin Schwing sont cités lors de la convention entre ses enfants héritiers passée en l’an XII

1804 (30 prairial 12), Strasbourg 10 (18), Me Zimmer n° 294, 2020 – Enregistrement de Strasbourg, acp 92 f° 77 du 6 mess. 12
erschienen die von weÿl. Fr. Catharina Elisabetha geb. Murrmann längst weÿl. H. Johann Martin Schwing bleichers in der Ruprechtsau Wittib mit ihrem Ehemann erzeugte Kinder und Erben als H. Johann Jacob Schwing bleicher in Ruprechtsau wohnhaft, 2. frau Maria Elisabetha geb. Schwing weÿl. br. Philipp blind Weisgerbers Wittib, 3. fr. Sophia Dorothea Schwing des bs. Philipp Heinrich Klein Strumpffwebers Ehefrau, 4. Fr. Anna Magdalena geb. Schwing weÿl. H. Johann Gottfried Schwing gastgebers Wittib, 5. Frau Anna Margaretha geb. Schwing weÿl. bu. Johann Friedrich Roos Silberarbeiters Wittib, 6. Johann Michael Schwing Weisgerber und 7. Johann Martin Schwing Strumpffweber – vor unterschriebenen den 10. mart. 1791 Disposition
activ mass 4975 fr, (davon 4891 fr, activ schulden) schulden 275 fr, Nach deren abzug 4632 fr

La veuve Catherine Elisabeth Murmann cède la maison à sa fille Marie Elisabeth Schwing veuve de Philippe Jacques Blind, mégissier qu’elle a épousé en 1769 et qui est mort en 1775 (inventaire après décès n° 383, Me Zimmer le 15 novembre 1775)
1797 (11 fructidor 5), Strasbourg 9 (rép. 1), Me Dinckel n° 1490 et Enregistrement de Strasbourg, acp 54 F° 13-v du 14 fru. 5

Catherine Elisabeth Murmann Ve Schwing (Catharina Elisabetha Schwing geb. Murmann zu Nutzen Maria Elisabetha Schwing verwittibte Blind nebst consens dero Kinder)
à Marie Elisabeth Schwing Ve Blind sa fille
une maison quai des Bateliers n° 16 pour 6000 francs

Contrat de mariage passé entre le mégissier Philippe Jacques Blind et Marie Elisabeth Schwing. Le mari donne en jouissance sa maison fossé des tanneurs

1769 (17.7.), Me Zimmer (6 E 41, 1444) n° 83
(Eheberedung) persönlich erschienen Herr Philipp Jacob Blind, der leedige Weißgerber alhier, weÿl. H. Joh: Georg Blind gewesenen Weißgerbers und burgers dahier mit Fr. Anna Maria geb. Heckmännin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Sohn als bräutigam ane einem
Und Jungfr: Maria Elisabetha Schwingin, H. Johann Martin Schwing, des blaichers und Kirchenpflegers der Evangelischen Gemeinde in Ruprechtsau mit Fr. Catharina Elisabetha gebohr. Murmännin ehelich erzeugte tochter als hochzeiterin ane dem andern theil
Achtens, hat Er der bräutigam Ihro der Jungfer hochzeiterin Zu einem Wÿdem bestimmet und verschrieben die demeseilben eigenthümlich zuständige behaußung gelegen alhier zu Straßburg ane dem Gerbergraben einseit neben N. Walter dem zimmergesellen alhier, anderseit neben Kuttlerischer Wittib und hinten auff Mstr. Johannes Blind den Kiefer und burger alhier stosend, so außer 300 lb. d. Capital freÿ, leedig und eigen, welche behaußung samt Zugehörden Sie die Jungfrau hochzeiterin, es mögen Kinder aus dieser ehe erzeugt vorhanden seÿn oder nicht, die tag ihres lebens ruhiglich zu besitzen berechtiget
[unterzeichnet] Philipp Jacob Blind als hochzeiter, Maria Elisabetha Schwingein als hochzeiterin

Mariage, Robertsau (luth. f° 544)
Mittwoch den 2. Augst 1769 sind (…) copulirt und eingesegnet worden Herr Philipp Jacob Blind der burger und weißgerber in Straßburg und Jungfrau Maria Elisabeth Schwingin. Parentes sponsi H. J. Georg Blind gewesener burger und weißgerber in Straßburg und frau Anna Maria Hüttmännin uxor, Parentes sponsæ H. Johann Martin Schwing alter Obermeister, bleicher und Kirchenpfleger allhier und fr. Catharina Elisabeth Murrmännin uxor [unterzeichnet] phillipp Jacob blind als hochzeiter, Maria Elisabetha Schwingin als hochzeitterin (i 283 – proclamation Saint-Pierre-le-Vieux, f° 78-v, i. 82)

Inventaire des apports de Philippe Jacques Blind et de Marie Elisabeth Schwing

1770 (15.1.), Me Zimmer (6 E 41, 1414) n° 235
Inventarium über Herrn Philipp Jacob Blind des Weisgerbers und Fr. Mariä Elisabethä gebohrner Schwingin, beeder Ehepersonen und burgere alhier zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – vermög dererselben den 17. Julii Anno 1769 vor mir Notario aufgerichteten Eheberedung §. 3.tio in diese Ihrer Ehe einander vor unverändert zugehörig – So geschehen alhier zu Straßburg in beÿsein Herrn Johann Martin Schwing des blaichers und Kirchenpflegers in Ruprechtsau des Fr. Requirentin H. Vatters und hierzu erbettenen beÿstand auf Montag den 15. Januarÿ Anno 1770

In einer allhier zu Straßburg ane dem Gerbergraben gelegenen und dem Ehemann eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 6) Eigenthum ane einer behausung
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. hausraths 125, Sa. Waar und werckzeug zum Weißgerber und Leimsieder handwerck gehörig 588, Sa. leeren Faß 4, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids, Sa. Eigenthums ene einer behausung 1200, Sa. Schulden 129, Summa summarum 2068 lb – ane den haussteuren 42 lb, (im Summa) 2111 lb – Schulden 625 lb, Detrahendo verbleibt 1486 lb
der Ehefraun in die ehe gebracht Guth, Sa. hausraths 134, Sa. Früchten 21, Sa. Silbers 21, Sa. Goldenen Rings 18, Sa. baarschafft 157, Summa summarum 352 lb,, hälfte ane denen Haussteuren 42 lb, Der Ehefraun völlig in die Ehe gebracht Guth 395 lb

Contrat de mariage de Madeleine Schwing avec Louis Lanaux. Elle sera légataire universelle de sa tante Marie Elisabeth Schwing qui est la sœur de sa mère Anne Madeleine Schwing femme de Jean Geofroi Schwing. La maison revient donc à une petite-fille de Catherine Elisabeth Murmann
1803 (27 fructidor 11), Strasbourg 1 (25), Me Lacombe n° 3877 – Enregistrement de Strasbourg, acp 88 f° 200-v du 30 fru. 11

Contrat de mariage – C. Louis Lanaud maître tailleur suivant le premier bataillon du train d’artillerie demeurant a Strasbourg, agé de 24 ans natif d’ajacio en corce fils de Claude Lanaud et de Perine dencloi anien*
Madeleine Schwing native de Strasbourg, agée de 19 ans fille de Godefroi Schwing et de Madeleine Schwing (signe Lanaud, chving)

Elisabethe Blind veuve Lanaud loue la maison au cordonnier Jean Diemand
1823 (25. 9.br), Enregistrement de Strasbourg, ssp 50 acte ssp du 16 courant

Je sousignée Elisabethe Blind veuve Lanaud de Strasbourg
donne par les présentes bail à Jean Diemant cordonnier en cette ville
le premier Etage et le Rez de chaussée de ma maison y située quai des bateliers N° 16 et pour quatre années à dater d’huy qui expireront à pareil jour de l’année 1827 le tout moyennant un loyer annuel de 336 francs

Contrat de mariage de Madeleine Schwing veuve Lanaux avec Joseph Antoine Zübele
1823 (25.11.) Strasbourg 14 (77), Me Lex n° 1501 – Enregistrement de Strasbourg, acp 165 F° 136 du 26.11.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié

Joseph Antoine Zübele, facteur de la poste aux lettres veuf en premières noces d’Evon Olive Tantec sans enfant
Madeleine Schwing veuve de Nicolas Lanaux maître tailleur au 1er régiment d’artillerie à pied en garnison à Strasbourg

Mariage, Strasbourg, n° 411, le 3 décembre 1823, Joseph Antoine Zübelé, Majeur, né le 9 février 1784 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, facteur à la poste aux lettres, veuf de Jeanne Olive Dautecte décédée en cette ville le 24 Juillet 1822, fils de feu François Joseph Zübelé nourrisseur de vaches, et de feue Anne Marie Kieffer
et Anne Madeleine Schwing, Majeure d’ans née le 25 Mai 1784 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, Veuve de Jean Louis Lanneaux, Maître tailleur au premier régiment d’artillerie à pied décédé à Douai (Nord) le 28 Décembre 1821, fille de feu Jean Geofroi Schwing, Aubergiste, et de feu Anne Madeleine née Schwing (signé) Joseph Antoni Zübelé, An Magdalena Schving veuve Lanaud (i 20)

Contrat de mariage de Madeleine Schwing veuve Lanaux et Zübele avec Jean Georges Ruch
1827 (8.9.) Strasbourg 8 (44), Me G. Grimmer – Enregistrement de Strasbourg, acp 185 F° 116-v du 15.9. n° 1805, Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié

Jean Georges Ruch, praticien majeur demeurant à Strasbourg fils de Jean Georges, sellier, et Barbe Hollaender à Bouxwiller
Marie Madeleine Schwing veuve en premières noces de Jean Louis Lanau, maître tailleur, en secondes de Joseph Zübélé, facteur de la poste aux lettres

Victor Zabern greffier de la justice de paix acquiert par adjudication suite à expropriation forcée la maison saisie par le créancier Jean Martin Heckmann
1843 (28.8. ) Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 405 (2631) – Tribunal de Première Instance

Ce jourd’hui 11 Septembre 1843 a été présenté en ce bureau pour être transcrit le jugement d’expropriation forcée dont le teneur suit – Le Tribunal Civil de Première Instance de l’arrondissement de Strasbourg (…) a rendu le jugement d’adjudication dont la teneur suit. Cahier des charges de la vente par expropriation forcée de la maison saisie sur le Sieur Jean Georges Ruch ancien huissier et Dame Marie Madeleine Schwing conjoints à Strasbourg. M. Schnéegans licencié en droit avoué du Sieur Jean Martin Heckmann chef de bataillon d’artillerie en retraite demeurant et domicilié à Strasbourg, déclare que son client est créancier du Sr Jean Georges Ruch ancien huissier demeurant en la même ville et de dame Marie Madeleine Schwing son épouse solidaire d’une somme principale de 8000 francs en vertu d’un acte obligatoire passé devant Me Hatt le 7 Mai 1831, plus la somme de 423 francs pour intérêts arriérés dudit capital calculés jusqu’au 7 Juin courant. Que faute par lesdits conjoints débiteurs d’avoir satisfait au commandement en paiement de ladite créance que le susdit créanciers leur a fait signifier par exploit du 27 mars dernier, me sieur Heckman par procès verbal de l’huissier Seinguerlet du dix Mai suivant, Que ce procès verbal de saisie réelle a été dénoncé aux parties saisies par exploit du 19 mois de mai.
Désignation de l’Immeuble saisi – Une maison sise à Strasbourg quai des bateliers numéro 16 section LL Numéro 16, d’un côté le Sr Gandois employé de l’octroi de l’autre la ruelle ses trois gateaux. Cette maison consiste en un rez de chaussée et deux étages elle a deux entrées dont l’une sur le quai des bateliers et l’autre dans la ruelle ses trois gateaux, elle consiste le maçonnerie et charpente, Canton Est de la ville de Strasbourg, arrondissement du même nom. Elle sera vendue et adjugée au plus offrant et dernier enchérisseur sous les Clauses et conditions suivantes (…) Mise à prix 2 000 francs
Adjudication, L’an 1843 le 25 août à l’audience publique, adjugé à Me Stoeber avoué à la somme de 13 150 francs
Déclaration de command, L’an 1843, le 28 août, pour et au nom du sieur Victor Zabern greffier de la justice de paix du canton Nord de Strasbourg

Acte de mariage de l’acquéreur, Victor Zabern, avec Marie Elisabeth Hansmetzger

Mariage, Strasbourg, n° 313 – Du 6 août 1840, Victor Zabern, majeur né hors le mariage le 5 Avril 1810 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Greffier de la justice de paix du Canton Nord, fils de feu Marguerite Salomé Zabern, non mariée, native de Strasbourg décédée en cette ville le 23 Décembre 1821, et de Marie Elisabeth Hansmetzger mineure née en légitime mariage le 13 février 1821 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg fille de Jacques Hansmetzger, ancien Cafétier domicilié à Strasbourg et de feu Marie Emanuel Beutelstetter décédée en cette ville le 20 Juin 1825, produit ladite épouse un acte de consentement de son père au présent mariage passé devant le Magistrat de Baden le 22 Juin dernier (en présence de) Jean Philippe Beutelstetter agé de 50 ans, tisserand, oncle de l’épouse, Frédéric Hansmetzger agé de 37 ans, serrurier, oncle de l’épouse (signé) Victor Zabern, Marie Elisabeth Hansmetzger (i 25)

Accord entre Madeleine Schwing et son mari au sujet de la maison adjugée qui faisait partie de ses apports réservés

1843 (20. 9.br), Strasbourg 11 (37), Me Keller n° 2458
Vente et transport – M. Jean Georges Ruch, ancien huissier demeurant à Strasbourg d’une part et De Madeleine Schwing épouse assistée de mondit Sr Ruch demeurant avec lui en la dite Ville d’autre part
lesquels ont dit et fait ce qui suit, aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Guillaume Grimmer le 8 septembre 1827 les comparans se sont mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquets faisant réserve de leurs apports respectifs présents et futurs. (…) La De Ruch a ensuite recueilli durant son mariage dans la succession de de De Elisabeth Schwing veuve Blind sa tante qui l’avait instituée héritière universelle par testament reçu Meyer le 24 Juillet 1810 une maison sise en cette ville quai des bateliers N° 16. Cette maison ayant été expropriée devant le Tribunal Civil de Strasbourg a été adjugée le 25 août 1843 à M Zabern, greffier de la justice de paix du canton nord de cette ville moyennant le prix de 13 150 francs, lequel a été absorbé (…)


Directeurs fonciers

(I)

Directeurs fonciers (cote VII 1401)
(f° 113-v) Donnerstags den 19. Augusti 1745. H. Joh: Friderich Heupel – An Herrn Johann Friderich Heüpels des Waißenschaffners hauß am Staden welches Vorhin denen Bittoischen Erben gehöret und auf einer seithen fornen gerads auffgeführet, auf der anderen seithen aber einen Überhang hat, welchen Herr Heüpel Unterbauen, und auch gerad auffbauen möchte. Weilen aber die Gaß allda Ziemblich schmahl, und Man Von seithen des Frauenhaußes, wegen deßen allda Habenden Haußes und Scheür sich opponiret, Als ist das begehren abgelaint.
(f° 120-v Sambstags den 18. ejudsem [Septembris 1745] . H. Joh: Friderich Heupel – Ist nochmahliger augenschein eingenommen worden an Herrn Johann Friderich Heüpels des Waißenschaffners Hauß am Staden Unterhalb der Neuen bruck, welcher sein am 19. augusti Letzthin gethanes begehren nochmahls wiederholet, daß jhme Nemlich möchte erlaubt werden unten dem Überhang zugleich Heraußzufahren und zubauen. Erkannt nochmahls abgeschlagen.

(Traduction) Jeudi 19° août 1745. Sr Jean Frédéric Heupel – Le sieur Jean Frédéric Heupel, receveur à l’Orphelinat, souhaite construire à l’aplomb sa maison qui appartenait auparavant aux héritiers Bitto et qui est construite à l’aplomb vers l’avant mais a un encorbellement de l’autre côté. Comme la rue est assez étroite à cet endroit et que l’Œuvre Notre Dame qui y a une maison et une grange s’y oppose, la demande est refusée.
Samedi 18° septembre 1745. Sr Jean Frédéric Heupel – On est retourné sur le quai au-dessous du Pont neuf inspecter la maison du sieur Jean Frédéric Heupel, receveur à l’Orphelinat, qui a présenté à nouveau sa demande du 19 août dernier d’après laquelle il souhaite qu’on l’autorise à construire au-dessous de son encorbellement en avançant sur le communal. Décision, nouveau refus.

(II)

1777 (25.9.br) VII 1417 Bauherren f° 282-v
Weil. N. Walther geweßenen Wirths Wittib – Auf gethane Anzeig, daß an der Gast behausung zum franckfurter Schiff am Schiffleuth Staaden gelegen der Gäbel so schadhaft seÿe, daß der Einsturz zu beförchten, wurde Erkannt : Seÿen die Werckmeister abzuordnen den Gäbel zu examiniren, sofort befinden den Umständen nach den Eigenthümer anzuhalten den Gäbel repariren zu lassen, in Entstehung deßen und sofern es die Nothurft erfordert, denselben durch gemeiner Stadt Werckleuth auf des Eigenthümers Kösten stützen zu laßen

(Traduction) Après qu’on a rapporté que le pignon de l’auberge au bateau de Francfort sise quai des Bateliers est tellement endommagé qu’on peut craindre qu’il ne s’écroule, on a rendu la décision suivante : les experts devront examiner le pignon et dire aussitôt au propriétaire de le faire réparer si son état l’exige, et le cas échéant de le faire étayer par les employés de la ville aux frais du propriétaire en fonction de sa réponse et de la nécessité

(III)

1782 (29.1.) VII 1420 Bauherren f° 14-v
Würths Haus zum Franckfurter Schiff – Herr Schafner Marbach noe. Löblichen Stifts Waÿsenhauses, trägt Meinen Gnädigen Herren vor : daß Löbliches Stift auf das Würths Haus zum Franckfurter Schiff genannt am Schiffleuth Staden unterhalb der neuen bruck gelegen ein Capital von 600 Gulden stehen habe, welche 600 R annoch beträchtliche Summen vorgehen, weilen nun dermalen daß Haus versteigt werden solle, so habe Er um Ausweisung wollen gebetten haben, ob dieselbe auf dem alten Fundament bleiben könne, weilen sonsten, wann dasselbe zurück weichen müßte, Löbliches Stift Gefahr laufe das darauf stehen habende Capital der 600 R zu verlieren, Nach eingesehenem Haupt Plan hat sich gewiesen, daß berührte behausung zurück gesetzt werden solle, da nun die Passage alda sehr schmal, mithin die höchste Notwendigkeit es erfordern, den dasige Weeg breiter zu machen, als wurde Erkannt : Seÿe dem Herrn Imploranten Ausweisung zu ertheilen, daß besagte behausung nach ausweis des Plans zurück gesetzt werden müße

(Traduction) Auberge au Bateau de Francfort – Le receveur Marbach, au nom de la Fondation des Orphelins, rapporte au Magistrat que la Fondation a prêté 600 florins de capital garantis sur l’auberge au Bateau de Francfort sise quai des Bateliers en aval du Pont Neuf, qu’il reste une partie considérable de ce capital de 600 florins à rembourser, et comme il est question de vendre la maison par adjudication, il demande qu’on juge si elle pourrait conserver ses anciennes fondations puisqu’il est à craindre que la fondation ne perde son capital de 600 florins s’il fallait la reculer. Après consultation des plans, il appert que ladite maison devra être reculée puisque le chemin y est très étroit et qu’il est de la plus haute nécesité d’élargir la rue, on a rendu la décision suivante : on devra communiquer au requérant le jugement que ladite maison devra être reculée d’après les indications du plan

(IV)

1783 (2.7.br) VII 1420 Bauherren f° 341-v
Gottfridt Schwing Würth – Mr Joseph Schrötter der Maurer noe. Gottfridt Schwing des Gastgebers zum Franckfurther Schiffs, bittet zu erlauben die Giebel Maurer an besagter seiner Gast behausung am Schiffleuthstaden in dem Nebens Gäßel um Unglück zu verhüten, abbrechen und von Zimmer: und Maurer Arbeit wieder neu aufbauen zu laßen, wobei berichtet wurde, daß diese behausung einen doppelten Überhang habe. Erkannt : Augenschein
f° 352-v, den 17. Septembris 1783 – Gottfridt Schwing Würth – An Gottfridt Schwing, des Würths behausung am Schiffleuthstaden zum Franckfurther Schiff genant, woselbsten der in dasiges Gäßel gehende den Einsturz drohende Giebel ab zu brechen und wieder neu auf zu bauen Ansuchung gethan worden. Erkannt : Willfahrt doch am Überhang gegen dem Staden nichts zu machen

(Traduction) Geofroi Schwing, aubergiste – Le maçon Joseph Schroetter, au nom de Geofroi Schwing, aubergiste au Bateau de Francfort, demande l’autorisation de démolir le mur pignon de ladite auberge dans la ruelle qui donne sur la quai des Bateliers pour éviter un accident et de le faire reconstruire en charpente et en maçonnerie ; on a rapporté que cette maison avait un double encorbellement. Décision : visite des lieux
(le 17 septembre) Concernant la demande de démolir et de reconstruire le pignon qui menace de s’écrouler dans la ruelle à la maison de l’aubergiste Geofroi Schwing au Bateau de Francfort sis quai des Bateliers. Décision : accord mais sans toucher à l’encorbellement vers le quai

(V)

1786 (31.1.) VII 1422 Bauherren f° 12-v
Behausung zum Franckfurter Schiff, Gottfried Schwing , Würth – Idem [Mr Vogt der Zimmermann] bittet um Ausweisung den Überhang an der behausung zum Franckfurter Schiff am Schiffleuth Staden gelegen zu unterfangen und den höltzernen Giebel gegen dem Gäßel neu aufzuführen. Erkannt, Augenschein
(f° 19-v) Freitags den 3. februarii 1786. Gottfried Schwing pt° Gastbehausung zum Franckforther Schiff – Am Schiffleuth Staden an der Gastbehausung zum Franckforther Schiff geschildet Wegen Unterfangung des daran befindlichen Überhangs, und Aufführung des in dem Gäßel befindlichen Giebels und durchziehung eines neuen Balckens in den Überhang. Erkannt, Ab: und Verweisung an die auf den 17. Septembris 1783. eingenommenen Augenschein ergangene Erkanntnus

(Traduction) Maison au Bateau de Francfort, Geofroi Schwing – Le même [le charpentier Vogt] demande l’autorisation d’étayer l’encorbellement à la maison au Bateau de Francfort sise quai des Bateliers et de construire à neuf le pignon en bois vers la ruelle. Décision : visite des lieux
(f° 19-v) Vendredi 3 février 1786 – Geofroi Schwing, concernant l’auberge au Bateau de Francfort – Sur la demande d’étayer l’encorbellement à l’auberge au Bateau de Francfort sise quai des Bateliers, de construire le pignon vers la ruelle et de mettre une nouvelle poutre à l’encorbellement. Décision, refus, voir la décision rendue après la visite des lieux le 17 septembre 1783


Dossier de la Police du Bâtiment

(I)

1884 – Demande pour agrandir les lucarnes – Rapport de l’ingénieur – Autorisation – Les travaux sont finis en août 1884
Demande pour remplacer une cheminée et pour établir des latrines – Permis le 23 juillet – Travaux finis en septembre 1884

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[Formulaire manuscrit polycopié rempli à la main]
Baukreis Straßburg, J. N° 2623
Die Kaiserliche Polizei Direktionsredaktur* term. 30.ten Mai 1884 N° 1-5053 Gesuch des Archit. Klein zu hier betreffend Vergrößerung der 4. ersten Dachfenster des Hauses Schiffleutstaden N° 27
1) 5/6 1884 N° 206

Straßburg, den 6.ten Juni 1884
Brm. dem Herrn Kreis-Ingenieur zu Straßburg mit 1 Anlage unter folgendem Bericht gehorsamst zurückgereicht :
Haus N° 27 Schiffleutstaden steht vor der genehmigten Alignementslinie N° 26-27 gemäß Hauptalignementsplan und besteht aus massivem Erdgeschoß und 2 Stockwerken in Fachwerk, die bloß zum Theil einen Ueberbau bilden da gemäß der Bestimmungen vom 6. Mai 1862 über die Bauveränderungen hierüber keine genaue Vorschrift besteht, so stelle ich dem Bau$ anheim hierüber Entscheidung zu treffen, die Erweiterung der Dachfenster gesta$ nanndten kann.
Das Haus selbst ist noch in zimlich gutem Zustande.
Der Wegemeister Deutscher
[in fine, Stempel :] Kreis-Ingenieur, Landkreis Straßburg, 2679 – 8/6.84
[in fine :] br. m. Pol. dir. 12/6.84

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[Formulaire manuscrit polycopié rempli à la main]
J. N° 1926
Die Polizeidirektion ertheilt untern 19.ten Juni 1884 N° I-5402 die nachgesagte Ermächtigung
Straßburg den 2.sten Juni 1884
Brm. sr. dem Wegemeister Herrn Deutscher zu : hier zur Kenntnißnahme, Mittheilung an den Concessionar Ueberwachung und seinerzeitige, contradiktorischen Befundaufnahme
Der Kreis-Ingenieur Pfersdorff
[in margine :] Pr. d. 30/6 1884, J. N° 246

Befund-Protokoll
Der unterzeichnete Wegemeister zu Straßburg hat sich heute (im Beisein des mitunterzeichneten Concessionars) auf Schiffleut Staden begeben um eine Besichtigung der auf Grund der Concession vom 19.ten Juni 1884 ausgeführte Vergrößerung vom 4 Dachfenstern am Haus N° 27 vorzunehmen und dabei constatirt, daß diese nach dem genehmigten Plane vergrößert worden sind.
[in fine, Stempel :] Kreis-Ingenieur, Landkreis Straßburg, 4406, 21/9. 84

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Abschrift
Strassburg den 19. Juni 1884
Auf Ihr Gesuch vom 19. v. M. erhalten Sie hiermit die Erlaubniß am Hause des Herrn Nussbaum Schiffleutstaden 27 die vier ersten Dachfenster abzubrechen und durch vier neue Fenster von 1,10 m. Höhe und 0,90 M Breite zu ersetzen.
Der Polizeidirector
An die Herren Bauunternehmer J u. E Klein, hier

Abschrift hiervon übersende ich ergebenst zur Kenntnißnahme mit Bezug auf der term. Schreiben vom 12. dm N° 2679.
Der Polizeidirector, J. A.
[in fine, Stempel :] Kreis-Ingenieur, Landkreis Straßburg, 4406, 21/9. 84
An Herrn Kreis-Ingenieur

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N° III-b 5339
Polizei-Direktion
dom 19. Juni 1884 N° 1 5402
Erlaubnißertheilung H. J. u. E. Klein am Hause des p. Nussbaum Schiffleuthstaden 27 vier Dachfenster abzubrechen und durch neue Fenster zu ersetzen.

[in fine :]
1) An Baugebühren sind zu erhalten
Abbruch und Erweiterung von Dachfenstern 4. 0,80 M = 3,00 Mark
2) Gesehen*
Strasb. den 24 Juni 1884, der Bürgermeister-Verwalter

[in fine :] Baugebühren bezahlt, 27/6 84
Herrn Maÿer zur gefl. Kenntnissnahme, 27/6 84
Kenntniß genommen, 28/6, Mayer
ab, 27.6.84
H. Mayer zur gef. Revsn – Str 28/7 84 Nebelung
Die Dachfenster sind neu angebracht, baupolizeilich nichts zu erinnern. Str. 4/8 84, Mayer
[in fine :] ad acta, Str 4/8 84, Huber

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Straßburg den 19.ten Juli 1884
Herrn Bürgermeisterei-Verwalter, hochwohlgeboren, Hier
Wir Endes unterzeichnete Bauunternehmer J. & E. Klein Fritzgasse 9 im Namen von Herrn Nussbaum Eigenthümer des Hauses Schiffleutstaden N° 27 haben die Ehre Sie hiermit ergebenst zu bitten, uns die Erlaubniß zu ertheilen, um an obengenanntem Hause im Hofe folgende Anbauung vorzunehmen 1) im Erdgeschoß und in den 4 Stockwerke ein Abtritt zu errichten, wozu die Anlage einer Abtrittsgrube ebenfalls im Hof, 2) in der Küche ein Schornstein abzubrechen und neu aufzuführen, wie auf beigefügten Zeichnungen Roth angegeben und nach denselben Maaßen auszuführen.
In der Hoffnung daß Sie unser Begehren genehmigt gewähren wollen, Zeichnen Achtungsvoll, für [Stempel] (Les fils de J. Klein, Architectes-Entrepreneurs, Rue Fritz 9, Strasbourg), Nidschelm
[in margine, Stempel :] Bürgmst. Amt Strassburg, Pr. 22-7-84

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[Permis de construire]
Bauschein N° III-b 5497
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Herrn Bauunternehmer J & E Klein, Fritzgasse N° 9
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden N° 27 (Dreiweckengäßchen)
Baugebühren im Betrag von 1 M 60 d bezahlet am 26/7 84
Herrn Maÿer, zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen. 26/7 84
[in fine :] Kenntnis genommen 26/7 84
[in fine :] ab 26.7.84
[in fine :] In baupolizeilicher Hinsicht Nichts zu erinnern gefunden, mithin
ad acta, Str. 11/9 84

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 19. Juli 1884
betreffend die Ausführung eines Schornsteines und die Herstellung einer Abtrittsanlage mit Grube pp auf dem Grundstücke des Herrn Nussbaum am Schiffleutstaden N° 27 bezw. am Dreiweckengäßchen,
In Erwägung, daß die Baulichkeiten hinter der gesetzlichen Fluchtlinie ausgeführt werden sollen ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Herrn J & E Klein, Fritzgasse vom 19. ds. Mts. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden, revidirten Zeichnungen unter folgenden Bedingungen genehmigt : (2 Blatt Zeichnungen)
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
* 2) Die inneren Schornsteinwandungen müssen von allem Holzwerk mindestens 23 Centimeter entfernt bleiben.
* 3) Die Abtrittsanlage ist den Vorschriften der Bürgermeisterbeschlusse vom 4. November 1857 und 2 October 1858 gemäß herzustellen.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von einer Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlte Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 23 Juli 1884 – Der Bürgermeisterei-Verwalter, uz$ Nebelung
[in margine :] mnd. 24.7.84

+ +
Eigentum von Hrn Nussbaum, Schiffleutstaden N° 27
Legende
A. Neu zu errichtender Schornstein
B. Neu zu errichtender Abtritt
C. Neu zu errichtender Abtrittgrube
D. Gebäude mit Erdgeschoss und Vier Stockwerke
E. Erdgeschoss und 2. Stockwerk
Maasstab 0,02 c/m p. Meter
Straßburg den 19. Juli 1884
[in fine, tampon :] Les fils de J. Klein, Architectes-Entrepreneurs, Rue Fritz 9, Strasbourg
[in margine, Stempel :] Städt. Baupolizei-Amt Straßburg, N° III-b 5497, 23.7.84

+ +
Eigentum von Hrn Nussbaum, Schiffleutstaden N° 27
Gegenwärtige Eintheilung
Maasstab 0,02 c/m p. Meter
Straßburg den 19. Juli 1884
[in fine, tampon :] Les fils de J. Klein, Architectes-Entrepreneurs, Rue Fritz 9, Strasbourg
[in margine, Stempel :] Städt. Baupolizei-Amt Straßburg, N° III-b 5497, 23.7.84

(II)

1885 – Demande d’établir un embranchement de gaz vers la maison pour le locataire M. Roland – Autorisation

Straßburg, den 22. August 1885
An den Herrn Bürgermeister der Stadt Strassburg
Herrn Bedicam Gasinstallateur verlangt dass für Herrn Roland eine Gasabzweigung vor dem Hause gelegen Schiffleutstaden 27 dessen Miether er ist für etwa 5 Flammen hergestellt werden möge. Die Breite der Strasse beträgt 7,50 Mtr. Ich ersuche ergebenst um gütige Genehmigung zur Aufgrabung des Bodens vorbezeichneter Stelle.
Mit aller Hochachtung
Der Director der Gasanstalt
[in margine, Stempel :] Bürgmst Amt Strassburg, Pr. 23.8.-83

[Autorisation]
Bauschein N° III-b 8089
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Herr Gasanstalts-Direktor Weill-Götz
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27
Baugebühren im Betrag von 3 M 00 d bezahlet am 5/9 85
Herrn Maÿer, zur gefälligen Kenntnißnahme vorzulegen. 5/9 85
[in fine :] Kenntnis genommen 5/9 85 Mayer
[in fine :] ab : 5/9 85
[in fine :] H.Mayer zur gef. Revision, Str. 26/9 85
[in fine :] Die Gasabzweigung ist fertig und die Straße wieder hergestellt, Str. 23/10 85, Str. 24/10 85 Mayer
[in fine :] ad acta, Str. 24/10 85

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 22. August 1885
betreffend die Herstellung einer Gasabzweigung vor dem Grundstücke des Herrn Roland am Schiffleutstaden 27,
In Erwägung, daß in vorbenannter Straße sich eine Gashauptleitung befindet ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch der Herrn Gasanstalts-Direktor Weill-Götz vom 22. ds. Mts. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter folgenden Bedingungen genehmigt :
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
2) Die innerhalb des Straßengebietes vorzunehmenden Arbeiten mit Ausschluß der unter 3) angeführten Straßenbefestigungsarbeiten sind durch Arbeiter der Gasgesellschaft auszuführen und müssen derart gefördert werden, daß sie am selben Tage vor Einbruch der Nacht beendet sind, wenn nicht bei besonderen Schwierigkeiten eine Verlängerung dieser Frist von Amtswegen genehmigt ist.
3) Die Wiederherstellung der Straßenbefestigung – der Fahrbahn sowohl wie des Trottoirs – hat durch städtische Unternehmer zu geschehen, es liegt jedoch dem Antragsteller ob, dieselben von der Ausführung der Arbeiten rechtzeitig in Kenntnis zu setzen.
4) Nach Maßgabe des Artikels 18 des speziellen Lastenheftes bleibt die Gasgesellschaft der Stadtgemeinde gegenüber für alle mit der Anlage des Gasrohrabzweigung verbundenen Ausführungen auf dem Straßengebiete ein Jahr hindurch verantwortlich, während dieser Zeit hat die Gasgesellschaft die Kosten der nothwendig werdenden Reparaturen zu tragen, hingegen bleiben der Gesellschaft etwaige Rückansprüche an den betreffenden städtichen Unternehmer vorbehalten.
5) Auf Grund der bürgermeisteramtlichen Verordnung vom 27. Juli 1885 ist die Gaszweigleitung in der Straße möglichst nahe am betreffenden Hause mit einem Sicherheitshahne zu versehen, dessen Lage bezw. Ort nöthigenfalls am Hause in leicht erkennbarer Weise besonders zu bezeichnen ist.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von drei Mark – Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlte Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 24 August 1885 – Der Bürgermeisterei-Verwalter
[in margine :] mdt. 24/8 85

(III)

1890 – Un voisin se plaint que la porte de la cour empêche de passer par la ruelle des trois gâteaux quand elle est ouverte et que l’eau qui sort de la cour représente un danger quand elle gèle. La Police du Bâtiment fait une visite des lieux, expose ses recommandations. Le propriétaire remédie au problème en rehaussant le seuil de la porte de la cour.

Straßburg den 4 Oktober 1890
An das Bürgermeisteramt Strassburg
Erlaube mir ergebenst folgendes Gesuch.
An dem Herrn Malermeister Nussbaum gehörigen Hause, Schiffleutstaden N° 27, geht eine Thüre vom Hofe auf den Bürgersteig des drei-Weckelgäßchens. Diese Thüre steht den größten theil des tages offen so daß man um durchgehen zu können, jedesmal genöthigt ist entweder die Thure zu zumachen oder derselben auszuweichen. Es könnte einem auch beim durchgehen vorkommen daß gerade die thüre mehr oder weniger heftig aufgestoßen und man dadurch verletzt wird.
Derselbe Hof ist auch höher gelegen als der Bürgersteig und ist keine geignete [sic] Rinne vorhanden um zu verhüten daß das Waßer vom Hofe auf die Straße läuft ; wird dann im Winter Waßer in den Hof geschüttet so läuft dasselbe auf den Bürgersteig und gefriert was schon mehrmals Unfälle verursacht hat.
Obschon ich den Haußeigenthümer wiederholt hierauf aufmerksam gemacht habe, so will derselbe doch die nöthigen Veränderungen nicht machen laßen.
Ich erlaube mir daher mich an das Bürgermeisteramt zu wenden mit der ergebenen Bitte das Nöthige veranlaßen zu wollen damit diesem Uebelstande abgeholfen wird.
Mit aller Hochachtung
Wwe. Kastner, Dreiwecken-gasse 3
[in fine :] III-b 2494
J. N. Bei der Besichtigung am 16 Oktober dss. Js. war weder die betreffende Thür offen noch floß Wasser vom Hofe des Grundstücks Schiffleutstaden N° 27 über das Trottoir, 17/10
[in margine, Stempel :] Bürgmst Amt Strassburg, Pr. 6.10.90, III-b 2494

+ +
Straßbg den 28. Oktober 1890 III-b 2494
1. Herrn Malermeister K. Nussbaum, Schiffleutstaden N° 44 bis
Bei der infolge eingegangenen Beschwerde diesseits veranlaßten Ortsbesichtigung auf Ihrem Eckgrundstück Schiffleutstaden N° 27 hat sich in baupolizeilicher Hinsicht zu bemerken gefunden, daß die nach außen aufschlagende Hofthür in geöffnetem Zustande den Bürgersteig im Dreiweckengäßchen völlig versperrt, sowie daß das beim Reinigen des Hofes ablaufende Spülwasser hinter der bezeichneten Hofthür hindurch über den öffentlichen Bürgersteig nach dem Straßendohlen abfließt, welcher Mißstand im vergangenen Winter durch Gefrieren des Wassers auf dem Bürgersteig bereits einen Unfall zur Folge gehabt haben soll.
Ich ersuche Sie daher ergebenst im allgemeinen Interesse behufs Abhülfe der in verkehrspolizeilicher Hinsicht überaus lästigen Zustände um gef. Beachtung der nachstehenden Maßnahmen :
1) Die betreffende Hofthür ist so wenig wie möglich zu benutzen, im Benutzungsfalle aber ist sie nur nach allerdringendstem Erforderniß geöffnet zu halten.
2) Das vom Hofe abfließende Wasser ist etwa durch Hebung der Hofthürschwelle nach der auf dem Hofe neben der Hofthür befindlichen Dohlen: Einfallöffnung zu leiten.
2. Auf 4 Wochen
Der Brgmstr., 27/10
[in fine :] geschr. 29.10.90 – ab 30/10 90
[in margine :] Strbg. 1/12 90 – Übelstand ist durch Hebung der Thürschwelle beseitigt, Z. d. A., Str. 1/12 90

(IV)

1893 – Entretien du crépi, peinture à l’huile sur les façades extérieures : demande et autorisation

Strassburg, den 8 April 1893
N° H A-b 1153, p. 10/4 93
Unterzeichneter Eigenthümer des Hauses Schiffleutstaden N° 27, beehrt sich den ergebenen Antrag zu stellen, die Façade desselben erneuern zu lassen resp. neuen Oelfarbenanstrich und bittet um baldgefällige Genehmigung.
Hochachtungsvoll, Ch. Nussbaum (Vater, Krautenau N° 2, Maler)
An das Kaiserliche Kreis-Bau-Amt
[in margine :] Verputzausbesserung und mit$ Unterbau
[in margine :] Irrläufer !
[in margine :] Wird auch Verputz erneuert ?, H. Adis 10/4
[in margine :] Die Arbeiten sind noch nicht begonnen. Die ganz unbedeutende *llenreiche Verputzausbesserung wird erforderlich sein. 21/4.93
[in fine :] Baugebühren umstehend

Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. B. A-b 1153
Name des Antragstellers : Ch. Nussbaum, Vater, Maler, Krautenau N° 2 (Eigenthümer)
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden N° 27
[in margine :] Verputzausbesserung in Oelfarbanstrich fertig gestellt
Herrn Bauführer Adis zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 30/5. 1893, Der Bauinspektor
[in fine :] ab. 30./5.93
[in fine :] Kenntnis genommen 31/5. 93
– Beschluß. Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 8.ten April 1893
betreffend die theilweise Ausbesserung des Mörtelverputzes an der Straßenfluchtwand des Hauses Schiffleutstaden N° 27 ;
In Erwägung, daß es sich um theilweise Ausbesserung des Mörtelverputzes an der Straßenfluchtwand handelt,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Hn. Nussbaum vom 8. April ds. Jrs. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 17. April 1893 – Der Bürgermeister, J. A., 14/7
[in fine :] Geschr. 18. IV. 93, E. K.
[in margine :] H. Adis 30/6 93
[in margine :] Mörtelverputzausbesserungen sammt Oelfarbstrich der beiden Außenseiten sind fertig gestellt u. nichts zu erinnern. 4/4 93
[in fine :] Z. d. A., 4/7 93

(V)

1897 – Rapport sur le mur extérieur dont la sablière s’est déplacée vers l’extérieur, on recommande de procéder à des travaux bien que le mur ne présente pas de danger – Travaux (réfection du mur, nouveau crépi) : demande et autorisation – Litige sur des travaux réalisés sans autorisation et sur l’occupation de la voie publique : la Police du Bâtiment convient que le règlement n’a pas été enfreint

V-a 4491
An der nah dem Dreiweckengäßchen zugelegenen Fluchtwand des Hauses am Schiffleutstaden 27, welches vom I. Stock ab aus Fachwerk besteht, hat sich die Fußschwelle im I. Stock nach Außen gedruckt, in Folge dessen sich der in der Mitte besagter Fluchtwand befindliche Schornstein am Fußboden nunmehr in 5 cm Abstand von der Wand befindet ; dieser Abstand verjüngt sich nach der Decke zu, wo derselbe aufhört. Im II. Stock ist nichts zu bemerken. Obwohl eine Gefahr z. Zeit ausgeschlossen ist, ist eine Abstreifung und Geraderichtung der Wand, schon zur Beruhigung der Einwohner erforderlich. Herr Bauunternehmer E. Klein nimmt das Erforderliche sofort vor. 5/8
H. Nyssen, 5/8

+ +
An den Herren Bürgermeister hochwohlgeboren der Stadt Strassburg
Beehre mich, Sie hiermit um die Genehmigung für die Ausbesserung des Putzens, sowie Rechstelllung der Wand am Haus Schiffleutstaden N° 27 Ecke der Drei Wecken Gässchen ergebenst zu bitten.
Hochachtungs voll, E. Klein
Strassburg den 5 August 1897
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els., Eing: 5- AUG-1897
[in fine :] $ Steffgen 7/8
Bsch. bgfgt. 9/8

+ +
Bauschein
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 4514
Name des Antragstellers : E. Klein Bauunternehmer Hier
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27 Ecke des Dreiweckengäßchens
Baugebühren im Betrage von – M 80 d bezahlt am 17/8
Mittheilung an die Abtheilung II abgegeben, 17/8
Herrn Bauführer Nyssen zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 17/8 1897, Der Bauinspektor
[in fine :] Kenntnis genommen 18/8 97
[in fine :] ab. 17/8 97
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 5. Aug. 1897
betreffend die Geraderichtung der Straßenfluchtwand des Hauses am Dreiweckengäßchen Eck Schiffleutstaden 27 sowie Ausbesserung des Verputzes ;
In Erwägung, daß es sich um die Ausführung von Sicherheitsarbeiten handelt,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn E. Klein vom 5. Aug. d. J. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramt den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Nach Fertigstellung der Arbeiten ist in Gemäßheit des Artikels 47 der Bauordnung mindestens 14 Tage vor seiner Benutzung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme, vor deren Vollzuge die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig, einzureichen.
3) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallsicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, dem Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
– Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen und wird gegenwärtiger Beschluß gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlte Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit, wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage des Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 10 Aug. 1897 – Der Bürgermeister
[in margine :] geschr. 12.8.97
[in margine :] Mit den Ausbesserungsarbeiten ist begonnen 19/8 97 – H. Nyssen 20.9.97
Die Ausbesserungsarbeiten sind fertiggestellt. Erledigt.
Z. d. A 21/9 97 – 21/9

+ +
[Formulaire manuscrit, polycopié rempli à la main]
V-a 5179
Am 20. August 1897 habe ich durch Augenschein festgestellt, daß auf dem Grundstücke des Herrn Maler Nußbaum Schiffleuthstaden 27, Ecke Dreiweckengäßchen durch den Unternehmer Herrn Klein & Sohn nachstehende Arbeiten ohne amtliche Bauerlaubniß ausgeführt worden sind. : Ausbesserung des Mörtelverputzens der Straßenfluchtwand daselbst sowie Benutzung des Straßengeländes für Gerüstaufstellung im Größe von 8,00 x 1,00 = 8,00 qm. vom 18/8-21/8 = 4 Tage

Verfg.
Straßburg den 15. August 1897
1) An Herrn Nussbaum Malermeister Hier Schiffleuthstaden 44-bis
Nach diesseitiger Feststellung haben Sie ohne meine Ermächtigung auf dem Grundstücke am Schiffleuthstaden 27 Ecke Dreiweckengäßchen den Mörtelverputz der Straßenfluchtwand daselbst ausbessern lassen sowie Straßengelände für Gerüstaufstellung im Größe von 8,00 qm. vom 18/8 – 21/8 ein $ genommen.
Im Hinblick auf die Vorschriften der Bauordnung vom 30. Nov. 1891 wollen Sie bei Vermeidung von Weiterungen das Versäumte durch Vorlage eines auf 40 Pfg Stempelpapier geschriebenen Baugesuchs binnen 8 Tagen nach Empfang dieses Schreibens nachholen
2) Zustellungsurkunde beizufügen
3) Nach 8 Tagen
D. Brgstr. I. A. 15/9
[in margine :] $ 17/9 97
[in fine :] Verb. mit 5260

+ +
[Papier à lettres imprimé]
E. Klein 5, Viehgasse
Strassburg i/E. den 18 September 1897
Herrn Bürgermeister, Hochwohlgeboren Hier.
Antwortend auf Ihres werthen Schreibens vom 16. Sept. 1897 unter N° V-a 5179 beehre ich mich Ihnen ergebenst zu bemerken, daß der Bauschein N° V-a 1514 lautet und die Geraderichtung der Straßenwand des Hauses Ecke Dreiweckengäßchen, Ecke Schiffleutstaden 27 (sowie Ausbesserung des Verputzes etc etc
Das Straßengelände haben wir nur vorübergehend benutzt
Hochwachtungsvoll, E. Klein
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els., Eing: 19-SEP-1897, V-a 5260
[in fine :] H. Nyssen 20/9

[verso]
Das Straßengelände ist wie Herr Klein angiebt nur vorübergehend benutzt worden. Die Arbeiten sind von einem Bockgerüst und von Bocken aus fertiggestellt worden.
Erledigt. – 25/9 97
Z. d. A 25/9

(VI)

1898 – Peinture des façades, demande pour poser des échelles sur la voie publique – Autorisation

[Papier libre, tampon de l’entrepreneur]
An das Stadtbauamt, Hier
Im Auftrag des Herrn Ch Nussbaum Eigenthümer Schiffleutstaden N° 35 Bittet unterzeichneter mit der Genehmigung zum anstrich der Façaden des oben benanten Hauses auf Leitern (nicht Leitergerüste) zu gewaehren.
Nussbaum malermeister, Jungferngasse 3
[in margine :] V-a 5267, pr. 24/8.98
[in fine :] Bausch. beigef., K. 27/8
[in fine :] Stempelmarke eingereicht 24/8 98 – Stempelmarke entnommen 24/8.98
Anbei Eine Marke zu eine Mark

+ +
Bauschein N° V-a 5267
Stempel 1 Mark
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
Straßburg den 30. August 1898
Name des Antragstellers : Chr. Nussbaum Malermeister, Jungferngasse 3
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27
Baugebühren im Betrage von – M 80 d bezahlt am 30/9. 98
Herrn Bauführer Adis zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 3/9 1898, Der Bauinspektor J.A.
[in fine :] ab. 3/9. 98
[in fine :] Kenntnis genommen

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 23. Aug. 1898,
betreffend die Erneuerung des Anstrichs der Straßenfluchtwand am Hause Schiffleutstaden 27 auf Leitern ;
In Erwägung, daß das Straßengelände nur durch Aufstellen von Leitern benutzt wird ; Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Nussbaum vom 23. Aug. d. Js. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist bei Vermeidung gerichtlicher Verfolgung verpflichtet, dem städtichen Baupolizei-Amte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden.
2) Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigenthümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die tarifmäßigen Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlte Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit wenn mit den genehmigten Arbeiten nicht binnen Jahresfrist – vom Tage der Aushändigung an gerechnet – begonnen ist.
Der Bürgermeister, Back
Baugebühren : Benutzung des Straßengeländes zur Aufstellung von Leitern = 0,80 Mrk
[in margine :] geschr. 30.8.98

Die Neuanstrichs-Arbeiten sind noch nicht begonnen 16/9. 98 – H. Adis 17/10
Die Neuanstrichs-Arbeiten sind fertig gestellt. Dieselben sind durch einzelnen bewegl. Leitern ausgeführt worden. Nichts zu erinnern. 22/10.98 – Erl.
Zu den Akten, Str. 22/10 98

(VIII)

1902 – Pose d’échelles sur la voie publique devant la maison : demande et autorisation – Prolongation du délai : demande et autorisation

A. Wagner, Strassburg i. E.
Strassburg, den 14. Mai 1902
An die Kaiserl. Polizei-direktion, Hier
Unterzeichneter ersucht hiermit ergebenst um die Erlaubniß am dienstag den 20. ds. am Hause Schiffleutstaden N° 27 ein Leitergerüst stellen zu dürfen. Dasselbe ist 10,00 . 0,80 groß und bleibt 8 Tage stehen.
Gefl. Genehmigung entgegenstehend zeichne,
Hochachtend
[in margine :] II. 6262, zu V-a 2946
Kais. Polizei-Direktion, eing. 15.MAI 1902, Strassburg i.E.

+ +
II 6067, Betrifft : Baupolizei
Straßburg den 20.5. 1902
Urschriftlich dem Bürgermeisteramt, Hier
Das anliegende Gesuch mit dem Ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt.
Die verkehrspolizeiliche Erlaubnis ist für die beantragte Fläche und Zeitdauer v. 22. – 30.5.02 ertheilt unter folgenden Bedingungen : das angrenzende nicht in Benutzung stehende Straßengelände ist von Bauschutt, Steinen pp. stets frei zu halten
Der Polizei-Präsident I. A., Schlössingk
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 21 MAI 1902 V-a 2946
[in fine :] H. Klein 21/5
[in fine :] bausch. beigef. 28/5. 02, Kl.

+ +
Bauschein, V-a 2946
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, Straßburg, den 26 Mai 1902
Name des Antragstellers : A. Wagner Malermeister Hier, Seelosgasse 21 ;
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27 ;
Baugebühren im Betrage von 1 M. 60 bezahlt am 5/9 02
Herrn Bauführer Adis zur gefälligen Kenntnißnahme, Straßburg den 6. Juni 1902, Der Bauinspektor
[in fine :] Kenntnis genommen
[in margine :] ab 5/6
[in fine :] verl. 3258

Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 14. Mai 1902
betreffend die Benutzung von Straßengelände zur Aufstellung eines Leitergerüstes am Hause Schiffleutstaden 27 ;
Nach Einsicht des Schreibens der Kaiserl. Polizei-Direktion II 6262 vom 20. Mai 1902, wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführung auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 22. ds. Mts in Benuztung genommen ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Hrn A. Wagner vom 14. Mai 1902 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Die Benutzung des Straßengeländes in einem Umfange von 10,00 . 0,80 = 8,00 qm ist auf die Zeitdauer von einer Woche festgestetzt und zwar vom 22.ten bis 30.ten Mai 1902. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche nach Maßgabe des Artikels 36 der Bauordnung vom 30. November 1891 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2) Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist von Neuem eine bezügliche Fristverlängerung zu beantragen.
3) Die etwaige Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des Artikels 36 der Bauordnung vom 30. November 1891 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4) Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Theilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5) Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6) Die auf Hängegerüsten beschäftigten Arbeiter sind je an einem Seile so zu befestigen, daß sie bei etwaigem Zusammenbruch des Gerüstes Keinen Schaden nehmen können.
7) Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Eine Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Der Bürgermeister, I. A., 24/5
Gebühren : Straßenbenutzung 8,00 . 0,20 = 1,60 Mk
[in margine :] mdt. 27/5

+ +
A. Wagner, Strassburg i. E., Seelosgasse 21
Strassburg, den 4. Juni 1902, II. 6262, zu V-a 2946
An das Polizei Revier II, Hier
Unterzeichneter ersucht hiermit ergebenst, die Genehmigung für das Gerüst am Hause Schiffleutstaden N° 27 um 14 Tage zu verlängern.
Hochachtend
[in margine :] Kais. Polizei-Direktion, eing. 5- JUN 1902,Strassburg i.E. – II 7149 – zu 3258, Eing. 4.6.02 J. N. 7845
[in margine :] Eilt
[in margine :] $ Erl., 5/6 – Beigefügt 5/6 02

Br. gehorsamst vorgelegt. Dem Antrag stehen diesseits Bedenken nicht entgegen. Letzte Erlaubniß reichte bis zum 30.2.1902. Ar. wurde für I Mal verwarnt. Länge 14 Meter Breite 0,80 Meter. – Pol. Rev. II, 4/6

+ +
– [imprimé complété]
II 7149, Betrifft : Baupolizei
Straßburg den 5. Juni 1902
Urschriftlich dem Bürgermeisteramt, Hier
Das anliegende Gesuch mit dem ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt.
Die unter dem 20. Mai Nr II 6262 erteilte verkehrspolizeiliche Erlaubnis ist für die beantragte Fläche für die Zeit bis 19. Juni unter folgenden Bedingungen verlängert : a) das angrenzende nicht in Benutzung stehende Straßengelände ist von Bauschutt, Steinen pp. stets frei zu halten ;
Der Polizei-Präsident I. A., Schlössingk
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing: -7 JUN 1902, V-a 3258
[in fine :] Eilt !
[in margine :] Köhler 10/6
[in fine :] Bausch. beigef., 12/6 W. K.

+ +
Bauschein, V-a 3258
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, Straßburg, den 13 Juni 1902
Name des Antragstellers : A. Wagner Hier, Seelosgasse 21.
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27.
Baugebühren im Betrage von 1 M. 60 bezahlt am 30/6 1902
Herrn Bauführer Adis zur gefälligen Kenntnißnahme, Straßburg den 1.7. 1902, Der Bauinspektor
[in fine :] Kenntnis genommen
[in margine :] ab 30/6
[in fine :] Das Leitergerüst ist beseitigt, das Neuanstrich fertig gestellt, 3/7 02
Erl. – Zu den Akten, Str. 3/4 1902, d. Bgst. J. A.

Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 4. Juni 1902
betreffend die weitere Benutzung von Straßengelände zur Aufstellung eines Leitergerüstes am Hause Schiffleutstaden 27 ;
Nach Einsicht des Schreibens der Kaiserl. Polizei-Direktion II 7149 vom 5. Juni 1902, wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführung auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 31. Mai weiter in Benuztung genommen ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn A. Wagner vom 4. Juni 1902 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen nachträglich genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Die Benutzung des Straßengeländes in einem Umfange von 8,00 qm ist auf die Zeitdauer von zwei Wochen festgestetzt und zwar vom 31.ten Mai bis 13.ten Juni 1902. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche nach Maßgabe des Artikels 36 der Bauordnung vom 30. November 1891 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2) Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist von Neuem eine bezügliche Fristverlängerung zu beantragen.
3) Die etwaige Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des Artikels 36 der Bauordnung vom 30. November 1891 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4) Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Theilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5) Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6) Die auf Hängegerüsten beschäftigten Arbeiter sind je an einem Seile so zu befestigen, daß sie bei etwaigem Zusammenbruch des Gerüstes keinen Schaden nehmen können.
7) Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Einer Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Der Bürgermeister, I. A., 12/6
Gebühren : 8,00 . 0,20 = 1,60 M
[in margine :] mdt. 18.6.02

(IX)

1904 – Transformation des fenêtres en vitrines de magasin, percée d’une porte d’entrée, crépi et peinture des façades : demande et autorisation

Albert Nadler, Architekt, Judengasse N° 27, Strassburg i. E.
Strassburg, den 18. Januar 1904
An das Bürgermeisteramt, Hier
Der Unterzeichnete beabsichtigt in seinem Eigentum Schiffleutstaden N° 27 die folgenden Umbauarbeiten, lt. den anliegenden in Doppel ausgefertigten Plänen, herstellen zu lassen.
Alles nach den Bestimmungen der städt. Bauordnung Seite 11 Artikel H A 1.2 a-d.
Die Fensterbrüstungen der 3 bestehenden Fenster in der Seitengasse, am Staden werden herausgebrochen, & so Schaufenster für einen Laden hergestellt.
Eine Ladeneingangsthür musste neu herausgebrochen werden. Die Stufen zum Laden liegen im Haus u. hinter der Gebäudeflucht. Ein seitens$ Fenster im Vorbau des Hauseingangs wird wieder aufgebrochen oder Schacht in der Ecke (Schutz gegen Verunreinigungen) entfernt.
Eine perspectivische Ansicht läßt eine wesentliche Aenderung an dem hübschen alten Haus kaum bemerken.
Das Erdgeschoss wird von Aussen im Putz & Anstrich ergänzt.
Mit der erg. Bitte um gef. baldige Ertheilung der Bauerlaubnis, zeichnet mit Hochachtung
[Stempel] Adolf Biefer, Schiffleutstaden 27, Strassburg i/Els. – [unterzeichnet] Subdirektor, Schiffleutstaden N° 27
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eing : 18. JAN 04 – V-a 631
[in margine :] H. Köhler 19/1
[in margine :] vorgeladen, das Schaufenster darf nicht breiter als 1,80 m werden. 16/1, K
[in margine :] Zeichnungen heute abgeändert 28/1 K

+ +
Bauschein
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 631
Name des Antragstellers : Adolf Biefer, Hier, Schiffleutstaden 27
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : (Schiffleutstaden 27)
Baugebühren im Betrage von 32 M. 80 bezahlt am 8/2 04
Mitteilung an die Abteilung III-b abgegeben 9/2.04
Mitteilung an das Kaiserliche Polizei-Präsidium abgegeben.
1) Herrn Bauführer Kössler zur gefälligen Kenntnisnahme.
Straßburg den 9.2.1904, Der Bauinspektor
[in fine :] ab 8/5 04 – Kenntniß genommen den 10/2

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 18. Januar 1904, betreffend die Herstellung einer Schaufensteranlage am Hause des Herrn Adolf Biefer am Schiffleutstaden 27 ;
In Erwägung, daß das Haus über die gesetzliche Fluchtlinie vorragt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Adolf Biefer vom 18. Januar 1904 wird vorbehaltlich etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden Zeichnungen unter den in der Bauordnung vom 30. November 1891 enthaltenen Bestimmungen genehmigt. (1 Blatt Zeichnungen)
Ins besondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramt den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Nach Fertigstellung des Umbaues ist in Gemäßheit des Artikels 47 der Bauordnung mindestens 14 Tage vor seiner Benutzung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme, vor deren Vollzuge die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig ist einzureichen.
3) Die Treppe, Stufen und Kratzeisen dürfen vor die gesetzliche Fluchtlinie keinenfalls weiter vorspringen als die anschließenden Sockel.
4) Für die Beanspruchung der zur Verwendung kommender Baustoffe sind die Angaben des Artikels 32$ der Bauordnung zu beachten.
5) Die Gasleitungen innerhalb der Gebäude sind aus Eisen herzustellen und haben im Uebrigen den Vorschriften des Artikels 24 der Bauordnung zu entsprechen.
* 6) Da das Gebäude über die gesetzliche Fluchtlinie vorragt, muß die Ausführung nach den Vorschriften des Artikels 4 der Bauordnung erfolgen.
7) Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermelde-Anlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphennetzes gefährdert werden könne, die Feuerwache beziehnungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen § 318 des Reichsstrafgesetzbuches verwiesen.
8 ) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Zweiunddreissig Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 29. Jan. 1904 – Der Bürgermeister, J. A., 28/1
Baugebühren : 1 Pfeilerumbau, 4,00 M
5 Oeffnungen für einen Verkaufsraum à 4,80 = 24,00 M
1 Verschluß 4,80, zus. 32,80 M
Baugebühren geschrieben am 30.1.04
[in fine :] mdt. 22.04

[in margine :] Noch nicht begonnen, den 12/2, K – H. Kössler 4/3
desgleichen wie vor den 9/3, K. – H. Kössler 30/3
desgleichen wie vor den 6/4, K. – H. Kössler 27/4
desgleichen wie vor den 29/4, K. – H. Kössler 20/5
desgleichen wie vor den 25/5, K. – H. Kössler
Noch nicht begonnen, den 5/7, K – H. Kössler 26/7
desgleichen wie vor den 6/8, K. – H. Kössler 27/8
desgleichen wie vor den 21/9, K. – H. Kössler 12/10
desgleichen wie vor den 28/10, K. – H. Kössler 18/11
Sämmtliche Arbeiten sind fertig gestellt den 25/11
Erledigt
Zu den Akten, Str. 25/11 1904, d. Bgstr. J. A.
siehe V-a 705/05

+ + Plans
Projekt für den Umbau des Erdgeschosses zu einem Verkaufsladen im Hause des Herrn Adolf Biefer (Subdirector), Schiffleutstaden N° 27 Hier
Ansicht – Keller Grundriss – Erdgeschoss Grundriss – Schnitt
Das Fenster ist zugemauert, wird wieder aufgebrochen – a a a a Heutige Fensterbrüstung & die Thüre werden einfach ausgebrochen
[in margine, Stempel :] Albert Nadler, Architekt, Judengasse N° 27, Straßburg i. E., 18.1.04
[in margine, Stempel :] Städt. Baupolizei-Amt Straßburg, V-a 631, 29.1.04

+ +
A. Daul, Bauunternehmer, Strassburg i. E.
Strassburg i. E. den 9. Februar 1905
An das Bürgermeisteramt der Stadt Strassburg i/E
In dem der Laden des Hauses Schiffleutstaden 27 auf dem 15 crt. vermietet ist, so bittet der unterzeichnete ganz höfl. das löbliche Bürgermeisteramt um Festsetzung des Tages an welchem die diesbezügliche Abnahme der vorgenommenen Umbauten derelbst stattfinden kann.
Hochachtugsvoll, A. Daul
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 10 FEB. 1905, V-a J. Nr.705
[in fine :] H. Huber 13/2.05

[verso]
Strassburg den 16. Februar 1905. V-a 705
Verf.
1. Herrn A. Daul, Bauunternehmer, Hier, Schiffleutstaden 20
Auf Ihr gefl. Schreiben vom 9. d. Mt. teile ich Ihnen ergebenst mit, daß bei der am 24. November 1904 stattgehabte Gebrauchs-Abnahme der Schaufensteranlage am Hause des Herrn Biefer am Schiffleutstaden 27 Mängel in baupolizeilicher Hinsicht nicht bemerkt worden sind.
2. Z. d. Akten
d. Bgstr. J. A. – 14/2
[in margine :] mdt. 18/2.05 – ab 18/2 05

(VII)

1899-1918 – Etat de la maison. 1899 : Commission contre les logements insalubres
1899 : Demande pour pratiquer un jour pour éclairer la cage d’escalier. Travaux non réalisés en 1900
1906 : Maison et latrines en bon état
1916 : La Commission militaire constate que la maison est en bon état

Commission gegen die ungesunden Wohnungen
Schiffleutstaden N° 27
Erdgeschoß
Name, Beruf und Wohnung des Eigenthümers : Nussbaum Malermeister
Name, Beruf und Wohnung des Miethers : Ziegler
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els, Eing : 28. MRZ 1899, III 1279
1° étg. Bolard, 4 St. 1 K. 2 Person 480 Mark
2° étg. Meyer, 2 St. 1 K. 5 Person 400 Mark
3° étg. Lehmann

[verso] Beschluß des Unterauschusses :
Die Stiege ist finster. Es kann Abhilfe getroffen werden in dem man Oberlicht vergrößern wird.
Das Haus ist sonst gut gehalten

+ +
Straßburg den 1. Mai 1899 – III 1279
1) Herrn Malermeister Nussbaum, Schiffleutstaden 27
Bei amtlicher Besichtigung Ihres Wohnhauses am Schiffleutstaden 27 wurde festgestellt, daß das Treppenhaus schlecht beleuchtet ist, daß Unglücksfälle zu befürchten sind.
Im Interesse der Bewohner Ihres Hauses ersuche ich Sie ergebenst innerhalb vier Wochen nach Zustellung dieses Schreibens durch ausreichende Vergrößerung des vorhandenen Oberlichtes Abhilfe schaffen zu wollen.
D. Brgmstr.
2) Am 1. VI. 99
[in fine :] mdt 4.5. – ab 5.5.99

G.B. Nichts geschehen dringend nothwendig daß Abhülfe geschaffen wird. Str. 30. VI. 99
[in margine, au crayon :] Erinnern, unter der Bedrohung von Zwangsverfahren

+ +
[Polycopié manuscrit rempli à la main]
Strassburg den 5 VIII 1899
1) An Herrn Malermeister Nussbaum, Schiffleutstaden 27
Ich erinnere Sie ergebenst an die baldige Erledigung meines Schreibens III 1279 vom 1. Mai ds. Js., betreffend die Vergrößerung des vorhandenen Oberlichtes im Treppenhaus Ihres Hauses Schiffleutstaden 27.
Die erforderlichen Arbeiten wollen Sie binnen 3 Wochen nach Zustellung dieses Schreibens ausführen lassen, widrigenfalls das Zwangsverfahren gegen Sie eingeleitet müßte.
D. Brgmstr. J. A.
2) Am 22 VIII 99
[in margine :] mdt 7.8. – ab 8.8.99

+ +
Bürgermeister-Amt der Stadt Strassburg i. Els.
Strassburg i. Els., den 5. August 1899
Ich erinnere Sie ergebenst an die baldige Erledigung meines Schreibens III 1279 vom 1. Mai ds. Js., betreffend die Vergrößerung des vorhandenen Oberlichtes im Treppenhaus Ihres Hauses Schiffleutstaden 27.
Die erforderlichen Arbeiten wollen Sie binnen 3 Wochen nach Zustellung dieses Schreibens ausführen lassen, widrigenfalls das Zwangsverfahren gegen Sie eingeleitet müßte.
Der Bürgermeister, J. A.
An Herrn Malermeister Nussbaum, Schiffleutstaden 27

[verso] Straßbg. 2. I. 1900 – III 3145
An Herrn Malermeister Nussbaum, Hier, Schiffleutstaden 27
Die Kommission gegen die unges. Wohnungen hat nach nochmaligen Besichtigung Ihres Wohnhauses Schiffleutstaden 27 beschlossen, daß von der verlangten Vergrößerung des vorhandenen Oberlichtes im Treppenhaus abgesehen werden kann.
D. Brgmstr. J. A.
[in margine :] mdt. 22/I 1900 – ab 23.

+ +
Schiffleutstaden 27
Kiefer i. H.
III-b B 97
Wohnh. gt Aborte gt., 14.3.06, Kl.

zus
zdA
DB

+ +
[Dactylographie]
Haus Schiffleutstaden 27
Eigentümer : Biefer, daselbst
Strassburg den 8.7.15
Befund bei der Besichtigung am 6. cr.
Das Haus befindet sich in gutem Zustand
Nr. B 465
Der militär Wohnungsausschuss, Bezirk 1, gez. Böhle
W/V am 1.7.16

[in fine :] 12.7.16
Das Haus befindet sich in gutem Zustand.
Für U.A. I
1) z. St. 2) z. d. A.

Bes. aufgr. Mittlg. d. Polizei betr. Tierhaltg.
Angeblich wurden die Kaninchen des Eigent. inzwischen abgeschlachtet. 23.2.18
1) z. St. 2) z. d. A. – a. d. F. G. K, J.A. – ob St A. d. K.

(X)

1907 – Pose d’une enseigne, Charles Fischer, gaufrier : demande et autorisation pour une dimension moindre

Gesuch um Anbringen einer Firmatafel
Ganz ergebenst Unterzeichneter, Karl Fischer, Waffelbäckerei hier, Schiffleutstaden 27, bittet das Städtische Bau-Polizei-Amt um gütige Erlaubnis der Unterbringung einer schräg abstehenden hölzernen Firmatafel 50 cm hoch 1 M breit [Schema] oberhalb der Laden- bezw. Hauseinganges folgenden Inhaltes :
Fabrikation & Verkauf der Elsässer Waffeln auf der Pariser Austellung unter Gaufre d’Alsace mit der goldenen Medaille
In Ehrerbietung, C. Fischer
Strassburg i/E den 20. März 1907
An das Städtische Bau Polizei Amt, Strassburg i/E Brandgasse N° 17
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 21. MRZ 1907, V-a J. Nr. 2134
[in margine :] H. Adis 22/3
[in margine :] Es soll ein kleineres Holz-Doppelschild angebracht werden. Trottoir 60 c. breit. Kostenwert unter 20 M 23/3 – H. Deutschmann 23/3

+ +
Bauschein
Werth bis zu 20 Mark
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2134
Name des Antragstellers : Carl Fischer, Hier, Schiffleutstaden 27
Durch die Kaiserliche Polizei-Direktion
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27
Baugebühren im Betrage von 1 M. 60 bezahlt am 5/4.07
Herrn Bauführer Adis, zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 10.4.1907, Der Bauinspektor
[in fine :] Kenntnis genommen & eingetragen. Noch kein Schild vorhanden, 17/4 J.t.d. – H. Adis 1/6
Ein Doppelschild ist gut angebracht. 1/6 Ad.
[verso] Zu den Akten, Str. 15. VI. 1907, Der Brgmstr. J. A.

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 21. März 1907
betreffend die Anbringung eines Doppelschildes am Hause Schiffleutstaden 27 für Herrn Carl Fischer ;
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt ;
In Erwägung, daß der Bürgersteig von dem betreffenden Hause 0,60 Meter breit ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Carl Fischer vom 21. März 1907 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des § 5 der Bauordnung vom 1. September 1904 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden sollen.
2) Das neu anzubringende Doppelschild muß mindestens 35 Zentimeter von der Fassung des Bürgersteigs und 2 Meter von der öffentlichen Wandlaterne entfernt bleiben und wenigstens 3 Meter hoch über der Straßenfläche angebracht weden. Das Vortreten vor die Wand 25 Centimeter nicht überschreiten.
3) Für die Anbringung des Schildes ist eine Gebühr von je achtzig Pfennigen jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
4) Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung des Schildes dem Baupolizeiamte schriftlich oder mündich angezeigt ist.
* 5) Diese Genehmigung erstreckt sich lediglich auf die Anbringung des Schildes. Die Genehmigung für die Aufschrift ist beim Kaiserlichen Polizei-Präsidium nachzusuchen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von eine Mark 60 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 25. März 1907 – Der Bürgermeister, J. A., 23/3
Baugebühren : Anbringung eines Doppelschildes 1,60 M
[in fine :] mdt. 26/3
Baugebührenschein geschrieben am 26.3.07

(XI)

1908-1911 : Transformations dans la maison : abaisser le plancher du rez de chaussée et creuser la cave, installer des toilettes dans la cour pour pouvoir ouvrir un débit de boissons. Permis accordé le 4 juin 1908. Seules les toilettes sont bâties pendant le délai de validité.
Nouveau permis de construire pour les travaux d’abaissement le 11 juin 1909. Le délai de validité se termine sans que les travaux aient été réalisés (le propriétaire mentionne que la raison tient à ce qu’on n’avait pas décidé si la maison serait expropriée lors de la reconstruction de l’église Sainte-Madeleine).
Nouveau permis de construire pour les travaux d’abaissement le 14 juin 1910. Le délai de validité se termine sans que les travaux aient été réalisés. Dossier classé le 17 novembre 1911.

[Dactylographie]
Adolf Biefer, Schiffleutstaden 27, Straßburg
Strassburg, den 9. April 1908.
An das Bürgermeisteramt, Abteilung : Baupolizei, Hier
Der Unterzeichnete beabsichtigt in seinem alten, aus den verschiedensten Architekturwerken bekannten Strassburger Haus Schiffleutstaden 27, einen Weinausschank, oder ein andres Geschäft einrichten zu lassen.
Dafür muss, um im 2 Erdgeschoss eine vorgeschriebene Höhe zu erreichen, von 3,50 M, das hölzerne Gebälk heruntergelassen und der Keller entsprechend tiefer ausgeschachtet werden.
Da ich diesen Weinausschank zu einer Art « Bar » entwickeln dürfte, so soll im Höfchen das Pissoir u. das Damen- & Herren-Abort getrennt angelegt werden.
Mit der ergebensten Bitte um baldgefällige Bauerlaubnis, zeichen
mit vorzüglicher Hochachtung !
2 Pläne
[in margine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : -9 APR 1908, V-a Nr. + +
[in margine, Stempel] Stadtbauamt Strassburg Pr : 11 APR 1908
[in fine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 16 APR 1908, V-a Nr. + +
[in fine : tampon complété à la main] Strassburg, den 11. April 1908
a. H. g. g. R Dem Stadtbauamt, Hier
zur gfl. Aeusserung bezüglich der gesetzlichen Fluchtlinie ergebenst übersandt, Der Bürgermeister, J. A. [Stempel] Emerich
Not. $ 3 Tage

[in fine :] N 175, Straßburg, den 14. April 1908
das Grundstück Schiffleutstaden N° 27 liegt bis zu 3 Meter über die gesetzliche Fluchtlinie vor.
Die Fassade hat architektonische Wert und möchten wir deren Erhaltung befürworten. Stadtbauamt

[in fine :]
1. Hofgröße im Verhältnis Stützarbeiten vor$ $$
1. Werde Haus ansehen.
2. W.V. in 6 Tagen. 18/6

[verso] 1. Das Haus hat tatsächlich kunstgeschichtl. Wert. Die Arbeiten sind, wenn keine technische Bedenken verlangen, zu genehmigen.
[in fine :] Eilt ! 1) H. Söhner, 2) H. Köhler, 7/5

Tel. vorgeladen, K. 8/5

Eine Ausfertigung der Zeichnung zur Abänderung zurück erhalten, str. 9.5. 1908, C. Nadler
zur beglaub. Köhler, 9/5
H. Stadelhofer wird etwa gebaut. 15/5
Es wird nicht gebaut. 20/5

[in fine :] siehe zu V-a 2392

+ +
Baugeschäft Carl Nadler, Nachfolger von G. Mayer (Schoop & Mayer) Strassburg i. E. Hinter den Mauern 1
Strassburg i. E. den 18. Mai 1908
An das Bürgermeister-Amt, Abt: Baupolizei-Amt, Hier
Betreff. Umbauprojekt des Hrn. A. Biefer Schiffleutstaden 27
Bezugnehmend auf meine Eingabe vom April 1908, erlaube mit Ihnen ganz ergebenst mitzuteilen, daß ich auf dem eingereichten Projekt mit Eingangstüre von der Dreiweckengaße aus bestehen muß. Solle dieses in bezug auf Pissoir u. Abtrittanlage für Wirtschaftszwecke nicht genehmigt werden, so verzichte ich auf eine Ausschankstelle und würde diesen Laden für andere Zwecke benutzen und nach dem 2.ten Projekt umbauen.
NB. Bei event. Ausschankstelle, würde ich die hinteren Hofausgangstüre u. Hofküchentüre nur für Faßeinbringung benutzen.
Ihrer gef. Rückäußerung gerne entgegen sehend zeichnet
Hochachtend, C. Nadler
[in margine :] Einlauf, 19/5 K.
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 19 MAI 1908, zu V-a J. Nr. 2392
[in fine :] H. Köhler 20/5

[verso]
V-a 2392 Strassbg. 23 Mai 1908
1) Herrn Karl Nadler, Baugeschäft, Hier
Auf das Schreiben vom 18. d. Mt. erwidere ich ergebenst, daß ich die Genehmigung zum Umbau des über die gesetzl. Fluchtlinie vorragenden Wohnhauses des Herrn Ad. Biefer am Schiffleutstaden N° 27 in der geplanten Weise ausnahmsweise gestatten will. Falls eine Weinausschankstelle eingerichtet werden soll, sind jedoch die Zugänge zur Küche u. den Bedürfnisanstalten für beide Geschlechter von einander zu trennen, die Beleuchtung und Lüftung der Küche muß den Vorschriften des § 42 der Bauordnung entsprechen, das Pissoir muß eine Breite von mnd. 1,30 m, die Abtritte eine solche von mind. 0,90 m erhalten. Falls die Wand zwischen Küche und Treppe aus Brettern besteht, ist dieselbe in jedem Falle mit beiderseitigem Verputz zu versehen.
Die anbei zurückfolgenden Ausfertigung der Zeichnung ist entsprechend abzuändern, deßgl. die 2.te Ausfertigung derselben, welche sich bei dem dießs. Akten befindet.
Vorerst darf nicht umgebaut werden
* * *
2) Nach 14 Tagen
Der Bgrmstr. J. A. 22/5
[in fine :] mdt. 25/5 – ab 27/5 08

Z. V.
Die abgeändeten Zeichnungen wurden heute wieder vorgelegt. D. 29/5/08
1) H. Söhner, 2) H. Köhler, 29/5
Not. – $ aus $ mit Rück$ die K $ sellen nocht $ genommen$ 30/5

+ +
Bauschein
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2392
Name des Antragstellers : Adolf Biefer auch Karl Nadler, Baugeschäft, Hier.
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27
Baugebühren im Betrage von 8 M. – bezahlt am 9.6.08
Mitteilung an die Abteilung III-b abgegeben 9/6
Mitteilung an das Kaiserliche Polizei-Präsidium abzugeben. – Mitteilung ab am 9/6 – H. 5/6
1) Herrn Bauführer Stadelhofer zur gefälligen Kenntnisnahme und Bauprüfung.
Straßburg den 10.3.1908, Der Bauinspektor

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 9. April bezw. 18. u. 29. Mai 1908, betreffend die Tieferlegung des Ladengebälks über dem Keller und des Kellerbodens, sowie Herstellung eines Abtritts im Eigentum des Herrn Adolf Biefer am Schiffleutstaden N° 27 ;
In Erwägung, daß das Haus über die gesetzliche Fluchtlinie vorragt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Adolf Biefer vom 9. April bezw. 18. u. 29. Mai 1908 wird vorbehaltlich etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach den anbei zurückfolgenden Zeichnungen unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen genehmigt. (1 Blatt Zeichnungen)
Ins besondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 1. September 1904 verpflichtet, dem Bürgermeisteramt den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Ist der Umbau in seinen Mauern, Eisentheilen pp. und Balkenlagen vollendet, so is nach § 8 der Bauordnung bei dem Bürgermeisteramte schriftlich die Rohbauabnahme zu beantragen. Mit den verputzarbeiten darf erst nach der Rohbauabnahme begonnen werden.
3) Nach Fertigstellung des Umbaues ist nach § 9 der Bauordnung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme einzureichen.
Vor Ausstellung des Gebrauchabnahmescheines ist die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig.
4) Treppenstufen und Kratzeisen dürfen vor die gesetzliche Fluchtlinie keinesfalls weiter vorspringen als die anschließenden Sockel. Die Öffnungen im Bürgersteig dürfen höchstens 20 Zentimetern vom Sockel ab vorspringen und müssen in der Oberfläche des Bürgersteiges mit Eisenstäben oder mit eisernen Gittern von höchstens zwei Zentimetern Maschenweite sorgfältig und fest überdeckt werden.
5) Die Fenster- und Türöffnungen in den gemauerten Wänden müssen mit feuersicheren Baustoffen abgedeckt werden.
6) Die Schornsteine müssen von Grund auf mit mindestens 10 Zentimeter starken Wandungen gemauert sein oder auf feuersicherem Unterbau ruhen. Balkenanlagen und sonstiges Holzwerk müssen von den Innenwandungen der Schornsteine überall mindestens 22 Zentimeter entfernt bleiben.
7) Für die Beanspruchung der zu Verwendung kommenden Baustoffe sind die Angaben des Artikels 35 der Bauordnung zu beachten.
* Falls die Wand zwischen Küche und Treppe aus Brettern besteht ist dieselbe mit beiderseitigem Verputz zu versehen.
* 8 ) Die Genehmigung zum Umbau des über die gesetzliche Fluchtlinie vorragenden Gebäudes erfolgt ausnahmsweise mit Rücksicht auf den kunstgeschichtlichen Wert deßelben.
9) Die Gasleitungen innerhalb der Gebäude sind aus Eisen herzustellen und haben im Uebrigen den Vorschriften des Artikels 24 der Bauordnung zu entsprechen.
10) Alle vom betreffenden Grunstücke kommenden Regen- und Haushaltungswasser sind unterirdisch durch undurchlässige Zweigdohlen nach dem Straßendohlen abzuleiten. Die Ausführung der unterirdischen Entwässerungsanlage unterliegt einer besonderen Erlaubnis, welche vor Beginn der Arbeiten im Straßenkörper beantragt und erteilt sein muß.
11) Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermelde-Anlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphennetzes gefährdert werden könne, die Feuerwache beziehnungsweise die Kaiserliche Telegraphendirektion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen § 318 des Reichsstrafgesetzbuches verwiesen.
12) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von acht Mark 00 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 4. Juni 1908 – Der Bürgermeister, J. A., 3/6 – 5/6.08
Baugebühren : 1 Oeffnung für einen Verkaufsraum umzubauen 4,80 M
1 Verschluß 2,40,
Innere Umbauarbeiten 0,80, zus. 8,00 M
Baugebühren geschrieben am 4.5.08

[in marginibus :] Noch nicht begonnen. 17/6 St. – H. Stadelhofer 8/7.08
Die Kanalisationsarbeiten werden z. Zt. ausgeführt. 11/7 St. – H. Stadelhofer 2/8
Es würde nur der eine Abort hergestellt. Die übrigen projektirten Umbauarbeiten sollen erst später ausgeführt werden. 5/8 – H. Stadelhofer 5/11
Es wurde nicht weiter gebaut. 6/11 – H. Stadelhofer 6/1
Desgl. wie vor. 9/1 – H. Stadelhofer 1/3
Desgl. 2/3
verb. mit V-a 2558

[Plans]
Wohnhaus des Hrn. Adolf Biefer Schiffleutstaden N° 27
Für Tieferlegen des Ladengebälks über Keller und des Kellerbodens, sowie Erstellung von einer eventl. Abtrittanlage im Hof.
M : 1 : 100
Situation – Grundriss des Erdgeschosses – Grundriss vom I/ Stock – Schnitt A.-B. (Alter Fussboden, Neuer Fussboden)
Strassburg, den 5. April 1908
[in margine, Stempel :] Carl Nadler, Baugeschäft, Nachfolger von G. Mayer (Schoop & Mayer) Straßburg i. E.
[in margine, Stempel :] Städt. Baupolizei-Amt Straßburg, V-a 2392, 4.6.08

Bateliers n° 27 (quai des) – Plan Nadler, projet de 1908

+ +
Antrag auf Verlängerung einer Baubewilligung, Bauschein N° V-a 2392 v. 4.6.1908
Mit höflicher Bezugnahme auf die Rücksprache, welche ich heute in dieser Sache mit unserem sehr verehrten herrn Bürgermeister Dr Schwander zu pflegen die Ehre hatte, bitte ich Sie hierdurch, die durch Bauschein N° V-a 2392 gefälligst erteilte Baubewilligung, in Abänderung des Artikels 4, um ein weiteres Jahr verlängern zu wollen.
Grund der bisherigen Nichtausführung des beabsichtigten Umbaues war die Unsicherheit ob das in Frage kommende Gebaüde – Schiffleutstaden N° 27 – bei dem Neubau der St. Magdalenenkirche stehen bleiben werde oder nicht.
Da oberwähnte Baubewilligung ihr Gültigkeit mit dem 4. Juni 1909 verlieren würde, wäre ich Ihnen dankbar, wenn Sie mir die erbetene Verlängerung der Bewilligung vor dem 4. Juni 1909 gütigst zukommen lassen wollten. Mit vorzüglicher Hochachtung. – Adolf Biefer – Straßburg den 25. Mai 1909
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
[in fine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 25 MAI 1909, V-a Nr. 2558
[in margine :] Verlängerung kann nur durch Aufstellen eines neuen Bauscheins erfolgen. 26/5 – H. Schaffner 26/5

V-a 2558 Str. 1. Juni 09
1) An Herrn Adolf Biefer, Hier Schiffleutstaden 27
Auf die gefl. Zuschrift vom 25. v. M. erwidere ich Ihnen ergebenst, daß die Gültigkeit der Bauscheine grundsätzlich nicht verlängert wird (§ 4 Ziffer 4 des B.O.) ([surcharge :] kann).
Eine Verlängerung kann nur ([surcharge :] höchstens) durch Ausstellen eines neuen Bauscheines erfolgen u. sind die Baugebühren u. Stempel erneut zu entrichten. Einem diesbezüglichen Antrag sehe ich daher entgegen. Auf Grund des Bauscheins V-a 2392 vom 4. Juni 1908 darf nach dem 9. Juni d. J. (Tag der Verjährung) nicht mehr gebaut werden.
+ + +
2) W. Vorl. 9.6.09
Der Brgmstr. J. A., 24/5
[in margine :] mdt. 2/6 09 Kl – ab 3/6 09 – Eilt !
[in fine :] Verb. mit V-a 2710

+ +
Ad V-a N. 2558 Strassburg 3. Juni 1909
Antrag auf Ausstellung eines neuen Bauscheines
Heute in den Besitz Ihrer geehrten Zuschrift vom 1 ds. gelangend, beehre ich mich hierdurch die gefällige Ausstellung eines neuen Bauscheines für weiteres Jahr an Stelle desjenigen V-a 2392 vom 4. Juni 1908 zu beantragen indem ich mich erbötig mache die dadurch erneut entstehende Baugebühr nebst Stempel zu zahlen.
Mit vorzüglicher Hochachtung
Adolf Biefer – Straßburg den 25. Mai 1909
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
[in margine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 4 JUNI 1909, V-a J. Nr. 2710, pr. 7/6

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Bauschein
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2710
Name des Antragstellers : Adolf Biefer, Hier Schiffleutstaden 27.
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : (Schiffleutstaden 27)
Baugebühren im Betrage von 8 M. – bezahlt am 16.6.09
Mitteilung an die Abteilung III-b abgegeben am 16/6
Mitteilung an das Kaiserliche Polizei-Präsidium abzugeben. – Mitteilung ab am 16/6 – H. 5/6
1) Herrn Bauführer Stadelhofer zur gefälligen Kenntnisnahme und Bauprüfung.
Straßburg den 21. Juni 1908, Der Bauinspektor

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 3. Juni 1909, betreffend die Tieferlegung des Ladengebälks über dem Keller und des Kellerbodens im Eigentum des Herrn Adolf Biefer am Schiffleutstaden N° 27 ;
In Erwägung, daß das Haus über die gesetzliche Fluchtlinie vorragt ;
In Erwägung, daß es sich um die Erneuerung der mit Bauschein V-a 2392 vom 4. Juni 1908 erteilte Genehmigung handelt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Ad. Biefer vom 3. Juni 1909 wird vorbehaltlich etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach der mit Bauschein V-a 2392 vom 4. Juni 1908 genehmigten Zeichnung unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Ins besondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des Artikels 44 der Bauordnung vom 30. November 1891 verpflichtet, dem Bürgermeisteramt den Beginn der Bauarbeiten anzuzeigen.
2) Ist der Umbau in seinen Mauern, Eisentheilen pp. und Balkenlagen vollendet, so ist nach § 8 der Bauordnung bei dem Bürgermeisteramte schriftlich die Rohbauabnahme zu beantragen. Mit den verputzarbeiten darf erst nach der Rohbauabnahme begonnen werden.
3) Nach Fertigstellung des Umbaues ist nach § 9 der Bauordnung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme einzureichen.
Vor Ausstellung des Gebrauchabnahmescheines ist die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig.
4) Treppenstufen und Kratzeisen dürfen vor die gesetzliche Fluchtlinie keinesfalls weiter vorspringen als die anschließenden Sockel. Die Öffnungen im Bürgersteig dürfen höchstens 20 Zentimetern vom Sockel ab vorspringen und müssen in der Oberfläche des Bürgersteiges mit Eisenstäben oder mit eisernen Gittern von höchstens zwei Zentimetern Maschenweite sorgfältig und fest überdeckt werden.
5) Die Fenster- und Türöffnungen in den gemauerten Wänden müssen mit feuersicheren Baustoffen abgedeckt werden.
6) Die Schornsteine müssen von Grund auf mit mindestens 10 Zentimeter starken Wandungen gemauert sein oder auf feuersicherem Unterbau ruhen. Balkenanlagen und sonstiges Holzwerk müssen von den Innenwandungen der Schornsteine überall mindestens 22 Zentimeter entfernt bleiben.
7) Für die Beanspruchung der zu Verwendung kommender Baustoffe sind die Angaben des Artikels 35 der Bauordnung zu beachten.
* Falls die Wand zwischen Küche und Treppe aus Brettern besteht ist dieselbe mit beiderseitigem Verputz zu versehen.
* 8 ) Die Genehmigung zum Umbau des über die gesetzliche Fluchtlinie vorragenden Gebäudes erfolgt ausnahmsweise mit Rücksicht auf den kunstgeschichtlichen Wert deßelben.
9) Die Gasleitungen innerhalb der Gebäude sind aus Eisen herzustellen und haben im Uebrigen den Vorschriften des Artikels 24 der Bauordnung zu entsprechen.
10) Alle vom betreffenden Grundstücke kommenden Regen- und Haushaltungswasser sind unterirdisch durch undurchlässige Zweigdohlen nach dem Straßendohlen abzuleiten. Die Ausführung der unterirdischen Entwässerungsanlage unterliegt einer besonderen Erlaubnis, welche vor Beginn der Arbeiten im Straßenkörper beantragt und erteilt sein muß.
11) Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermelde-Anlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphennetzes gefährdert werden könne, die Feuerwache beziehnungsweise die Kaiserliche Telegraphendirektion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen § 318 des Reichsstrafgesetzbuches verwiesen.
12) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von acht Mark 00 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 11. Juni 1909 – Der Bürgermeister, J. A., 3/6 – 10/6
Baugebühren : 1 Oeffnung für einen Verkaufsraum umzubauen 4,80 M
1 Verschluß 2,40,
Innere Umbauarbeiten 0,80, zus. 8,00 M
Baugebühren geschrieben am 12.6.09
[in fine :] mdt. 14/6

[in fine :] Noch nicht begonnen. 28/6 St – H. Stadelhofer 28/7
Noch nicht begonnen. 30/7 St – H. Stadelhofer 30/8
Noch nicht begonnen. 6/9 St – H. Stadelhofer 16/10
Desgl. 28/10 – H. Stadelhofer 29/12
Noch nicht begonnen. 7/1 St – H. Stadelhofer 1/3
Noch nicht begonnen. 7/3 St – H. Stadelhofer 7/6
Nb. verj.
verb. mit V-a 2575

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betr. Bauschein Nr V-a 2710 Strassburg, 7. Juni 1910
Antrag auf Ausstellung eines neuen Bauscheines, Schiffleutstaden 27
Verschiedene Umstände im letzten Jahre und die nun seit einiger Zeit und heute noch bestehenden Aussperrungsverhältnisse im Baugewerbe ließen mich leider nicht dazu kommen, die mir mit Bauschein N° V-a 2710 vom 11. Juni 190 gütigst erteilte Baubewilligung in dem vorgeschriebenen Jahr auszunutzen.
Ich beehre mich daher hierdurch die gefällige Ausstellung eines neuen Bauscheines an Stelle desjenigen N° V-a 2710 zu beantragen indem ich mich bereit erkläre die dadurch entstehende Baugebühren nebst Stempel zu zahlen.
Mit vorzüglicher Hochachtung, Adolf Biefer
An das Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg
[in margine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 8 JUN 1909, V-a J. Nr. 2575
[in margine :] H. Stadelhofer 8/6
Es wäre ein neuer Bauschein auszustellen, 11/6
1) H. Söhner 13/6 – 2) H. Köhler 11/6

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Bauschein
– Stempel 1 Mark
Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2775
Name des Antragstellers, Name des Eigentümers : Adolf Biefer, Hier Schiffleutstaden 27.
Name des Planfertigers : Karl Nadler, Baugeschäft
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Str.
Straße : Schiffleutstaden 27
Baugebühren im Betrage von 8 Mk. 50 Pfg. bezahlt am 26.6.10
Mitteilung an das Kaiserliche Polizei-Präsidium abzugeben. ab 22/6
1) Herrn Bauführer Stadelhofer zur gefälligen Kenntnisnahme und Bauprüfung.
Straßburg den 23. Juni 1910, Der Bauinspektor

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei :
Nach Einsicht des Gesuches vom 7. Juni 1910, betreffend die Tieferlegung des Ladengebälks über dem Keller und des Kellerfußbodens im Eigentum des Herrn Adolf Biefer am Schiffleutstaden 27 ;
In Erwägung, daß das Haus über die gesetzl. Fluchtlinie vorragt ;
In Erwägung, daß es sich um die Erneuerung der mit Bauschein V-a 2392 vom 4. Juni 1908 bezw. V-a 2710 vom 11. Juni 1909 erteilte Genehmigung handelt ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Ad. Biefer vom 7. Juni 1910 wird vorbehaltlich etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter nach der mit Bauschei V-a 2392 vom 4. Juni 1908 genehmigten Zeichnung unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Ins besondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des § 5 der Bauordnung vom 8. Apr. 1910 verpflichtet, dem Bürgermeister mindestens 3 Tage vor Baubeginn unter Angabe des Tages und der Nummer des Bauscheines schriftlich Anzeige zu erstatten, wann mit den Bauarbeiten begonnen werden soll. Spätestens herbei ist der bauausführende Unternehmer und der Bauleiter zu bezeichnen.
2) Ist der Umbau in seinen Mauern, Eisenkonstruktionen vollendet, so is nach § 8 der Bauordnung bei dem Bürgermeisteramte schriftlich die Rohbauabnahme zu beantragen. Mit den Verputzarbeiten darf erst nach der Rohbauabnahme begonnen werden.
3) Nach Fertigstellung des Umbaues ist nach § 9 der Bauordnung beim Bürgermeisteramte ein schriftlicher Antrag auf Gebrauchabnahme einzureichen.
Vor Ausstellung des Gebrauchabnahmescheines ist die Benutzung der betreffenden Baulichkeiten unzulässig und strafbar.
4) Treppenstufen und Kratzeisen dürfen vor die gesetzliche Fluchtlinie keinesfalls weiter vorspringen als die anschließenden Sockel. Die Öffnungen im Bürgersteig dürfen höchstens 20 Zentimetern vom Sockel ab vorspringen und müssen in der Oberfläche des Bürgersteiges mit Eisenstäben oder mit eisernen Gittern von höchstens zwei Zentimetern Maschenweite sorgfältig und fest überdeckt werden.
5) Die Fenster- und Türöffnungen in den gemauerten Wänden müssen mit feuersicheren Baustoffen abgedeckt werden.
6) Die Schornsteine müssen von Grund auf gemauert oder von Mauerwerk umgeben sein oder auf feuersicherem Unterbau ruhen. Gemauerte Schornsteine müssen eine Wangenstärke von mindestens 10 Zentimeter, an Nachbargrenzen eine solche von mindestens 25 Zentimeter ohne Verputz gerechnet erhalten. Das Mauerwerk muß durchweg mit vollen Zugen hergestellt, innen glatt verputzt und auf der Außenseite geputzt oder über Dach ausgeführt werden. Balkenanlagen und sonstiges Holzwerk müssen von den Innenwandungen der Schornsteine überall mindestens 22 Zentimeter entfernt bleiben.
7) Für die Beanspruchung der zu Verwendung kommender Baustoffe sind die Angaben des Artikels 35 der Bauordnung zu beachten.
* 8 ) Die Kellerdecke ist in Eisen und Stein oder Beton herzustellen.
* 9) Falls die Wand zwischen Küche u. Treppe aus Bretten besteht, ist dieselbe mit beiderseitigem Verputz zu versehen.
* 10) Die Genehmigung zum Umbau des über die gesetzliche Fluchtlinie vorragende Gebäudes erfolgt ausnahmsweise mit Rücksicht auf den kunstgeschichtlichen Wert desselben.
11) Bei der Aufstellung von Feuerungsanlagen sind die Vorschriften der §§ 35 und 36 der Bauordnung zu beachten.
12) Bei der Herstellung von Gasleitungen sind die Vorschriften des § 39 der Bauordnung zu beachen.
13) Die Kellertreppe muß in Stein oder Beton hergestellt werden.
14) Alle vom betreffenden Grunstücke kommenden Regen- und Haushaltungswasser sind unterirdisch durch undurchlässige Zweigdohlen nach dem Straßendohlen abzuleiten. Die Ausführung der unterirdischen Entwässerungsanlage unterliegt einer besonderen Erlaubnis, welche vor Beginn der Arbeiten im Straßenkörper beantragt und erteilt sein muß.
15) Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermelde-Anlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphennetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphendirektion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen § 318 des Reichsstrafgesetzbuches verwiesen.
16) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Ihre Gültigkeit ist davon abhängig, daß sie nicht auf Grund unrichtiger oder unvollständiger Unterlagen erteilt ist. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Acht Mark 50 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen ; gegenwärtiger Beschluß tritt erst nach Einzahlung der Baugebühren in Kraft und wird dann ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, d. h. wenn mit dem Bau selbst (Betoniren, Mauern…) nicht innerhalb eines Jahres, vom Tage der Aushändigung an gerechnet, angefangen worden ist oder wenn der Bau nachdem er begonnen war, länger als ein Jahr liegen bleibt.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 14. Juni 1910, Der Bürgermeister I. A. – 14/6
Baugebühren : 1 Oeffnung für einen Verkaufsraum umzubauen 5,00 M
1 Verschluß 2,50
Innere Umbauarbeiten 1,00, zus. 8,50 M
Baugebühren geschrieben am 16.6.1910
[in fine :] mdt. 16/6

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V-a Umbau des Hauses Schiffleutst. 27
Noch nicht begonnen 28/6 – H. Stadelhofer 28/8
Die Umbauarbeiten wurden nicht ausgeführt. Der Bauschein ist verjährt, 30/8
H. Diemer 30/8 – H. Hahn 31/8

[verso]
V-a 4261 / II
Str. 4 Sept 1911
1) An Herrn Adolf Biefer, Hier Schiffleutstaden 27
Der am 15. Juni 1910 ausgestellte Bauschein V-a 2575 betreffend die Tieferlegung des Ladengebälkes über dem Keller sowie des Kellerfußbodens auf Ihrem Grundstück am Schiffleutstaden 27 hat nach § 4 der B. O. vom 1. September 1904 und 8. April 1910 die Gültigkeit verloren, da mit den Umbauarbeiten bis jetzt noch nicht begonnen wurde.
Auf Grund oben erwähnten Bauscheins dürfen die Bauarbeiten nicht mehr zur Ausführung gelangen.
2) Nach 2 Monaten ob gebaut wird.
D. Brgmstr. J. A., 2/11
[in margine :] mdt. 5/9.11 – ab 5/9.11
[in fine :] H. Stadelhofer 6/11
Es wird nicht gebaut. Erl. St. 15/11 – 15/11
Zu den Akten, Str. 17.11.1911, Der Brgmstr. J. A.

(XII)

1908 – Pose d’une enseigne, Emile Guckert, épicier : demande et autorisation pour une dimension moindre

[Dactylographié]
Abschrift : Straßburg den 9. Juli 1908
1.) Zeige hiermit dem Bürgermeisteramt an, daß wir am 1. August im Hause Schiffleutstaden Nr. 27 eine Spezerei: und Gemüse: Handlung eröffnen werden.
2.) Bitte auch gleichzeitig die Erlaubnis um das Anbringen eines Schildes an dem betreffenden Lokal.
Achtungsvoll
gez. Emile Guckert

Straßburg, den 10. Juli 1908
H. H. der Abteilung V-a, Hier
zur weiteren Veranlassung in Bezug auf Punkt 2 vorstehender Eingabe.
Der Bürgermeister J. A.
[in margine :] V-a 4456, pr. 21/7.08
[in fine :] H. Adis 21/7.08
[in fine :] Es soll ein Holzflachschild angebracht werden. Trottoir 60 c. breit. Nutzungskosten unter 20 M, 25/7 Ad. – H. Deutschmann 25/7

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Bauschein
Werth bis zu 20 Mark
– Bürgermeisteramt der Stadt Straßburg, B.-Nr. V-a 2134
Name des Antragstellers : Emil Guckert, Hier, Schiffleutstaden 27
Durch das Kaiserliche Polizei-Präsidium
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : [supra]
Baugebühren im Betrage von – M. 80 bezahlt am 1.8.08
Herrn Bauführer Adis, zur gefälligen Kenntnißnahme. Straßburg den 7. August 1908, Der Bauinspektor
[in fine :] Kenntnis genommen & eingetragen. Ein Holzflachschild ist an dem über 16 c vorspringenden Unterhange über 3,00 m hoch gut angebracht & jährl. mit 80 d. steuerpflichtig 10/8 Ad.
[in fine :] Zu den Akten, Str. 10.8.08, Der Brgmstr. J. A.

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 9. Juli 1908
betreffend die Anbringung eines Querschildes am Hause Schiffleutstaden 27 für Herrn Emil Guckert ;
In Erwägung, daß es sich um die Anbringung eines beweglichen Vorsprungs handelt ;
In Erwägung, daß der Bürgersteig von dem betreffenden Hause 0,60 Meter breit ist ;
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Emil Guckert vom 9. Juli 1908 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruchs-Rechte Dritter unter den in der Bauordnung vom 1. September 1904 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des § 5 der Bauordnung vom 1. September 1904 verpflichtet, dem Bürgermeisteramte schriftliche oder mündliche Anzeige von dem Tage zu erstatten, an welchem die genehmigten Arbeiten in Angriff genommen werden sollen.
2) Für die Anbringung des Schildes ist, falls das Vortreten des Schildes mehr als 16 cm beträgt, eine Gebühr von achtzig Pfennigen jährlich an die Stadtkasse zu zahlen.
3) Die Entrichtung dieser Gebühr muß ohne jeden Einspruch erfolgen, wenn nicht vor dem 15. April jedes Jahres die Beseitigung des Schildes dem Baupolizeiamte schriftlich oder mündich angezeigt ist.
4) Diese Genehmigung erstreckt sich lediglich auf die Anbringung des Schildes. Die Genehmigung für die Aufschrift ist beim Kaiserlichen Polizei-Präsidium nachzusuchen.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Arbeiten beschränkt. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß eine neue Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach den Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von – Mark 80 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nur gegen Vorlage der Quittung über die eingezahlten Baugebühren ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, vom Tage der Aushändigung an gerechnet.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 28. Juli 1908 – Der Bürgermeister, J. A., 23/3
Baugebühren : Anbringung eines Flachschildes 0,80 M
[in fine :] mdt. 30/7
Baugebührenschein geschrieben am 29.7.08

(XIII)

1911 – Enseigne pour la compagnie d’assurances d’Adolphe Biefer : demande, refus

[Lettre dactylographiée sur papier à lettres imprimé]
Versicherungs-Gesellschaft « Thuringia » in Erfurt
Inhaber : Adolf Biefer, Sub-Direktor
Strassburg i. E., den 8. August 1911
An das Städtische Bau-Polizei-Amt, Straßburg i/Els, Brandgasse N. 17
Unterzeichneter beabsichtigt an seinem Hause Schiffleutstaden 27 hier ein Blechschild anzubringen an der Seite des Dreiweckengässchens nach beiliegender Skizze und Modell für Ausführung. Grösse 1,60 x 1,10 m und bittet um diesbezügliche baldige Genehmigung.
Etwaigen Bescheid wollen Sie an Herrn Leopold Schillio Malermeister in Strassburg, Drachengasse N. 8 gehen lassen ; demselben ist die Ausfuhrung übertragen.
Hochachtungsvoll !
[in margine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 10 AUG 1911, V-a Nr. 3957
[in fine :] H. Stadelhofer 10/8
[in fine :] Das alte Holzfachwerkshauß an dem Schild angebracht werden soll wurde erst kürzlich nach den Angaben des Herrn Stadtbaurat Beblo aufgefrischt. Das fragl. Schild wurde das Aussehen des Hauses, daß in seinem jetzigen Zustand ein Schmuck für den ganzen Staden ist, sehr ungünstig beeinträchtigen. Die Genehmigung dürfte nicht erteilt werden. St. 11/8

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V-a 3957 Strasbg. 14.8.1911
G. R. m. Anl. dem Stadtbauamt, z. Ä in ästhetischer Beziehung, V-a
[in margine, Stempel] Stadtbauamt Strassburg Eing : 14 AUG 1911
[in margine, Stempel] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 18 AUG 1911, V-a Nr. 3957
[in margine :] Eilt !
[in fine :] 19/8.11 – 12/8 – H. T. 18/8

Für die Genehmigung ist eine Wiedervorlage des Schildes unerläßlich da inliegende Vorschlag ästhetisch nicht befriedigt.
Hochbauamt
[in margine :] Z. N. der Schild im kleinen Maßstab liegt bei, dieser Schild genügt nicht in ästhetischer Hinsicht, es soll ein Abänderungsvorschlag gemacht werden. H. Deutschmann 21/8

V-a 3957 St. 23/8. 11
1) Herrn Leopold Schillio, Malermeister, Hier, Drachengasse 8
Auf das am 10. d. M. hier eingegangene Gesuch betreffend die Anbringung eines Flachschildes am Hause des Herrn Adolf Biefer am Schiffleutstaden N° 27, Seite Dreiweckengäßchen, teile ich Ihnen ergebenst mit, daß die Genehmigung auf Grund meiner Verordnung zum Schutze des Ortsbildes von Strassburg und zur Ergäntzung der Bauordnung vom 8.4.10 dazu nicht erteilt werden kann, da das Schild in der geplanten Ausführung ästhetisch unschön wirken würde.
Das Schild darf daher nicht angebracht werden.
Ich ersuche Sie ergebenst mit einem anderen Vorschlag unter Vorlage einer farbigen Skizze, eventuel im Einvernehmen mit dem städtischen Hochbauamt H. Stdtart. Beblo in dessen Vtr Architekt Dauchy* zu unterbreiten
+ + +
2) Abschrift an Herrn Adolf Biefer, Subdirektor Schiffleutstaden 27 z. g. K.
+ + +
3) Nach 8 Tagen – der Brgmstr. J. A. – 22/8
[in margine :] mdt 23/8.11 – ab 24/8.11
[in fine :] Stadelhofer 2/9
Das Schild wurde nicht angebracht, 5/9 – Kössler 8/10
desgleichen wie vor, 6/10 – Koessler 6/11
desgleichen wie vor, 7/11 – Koessler 7/12
Das Schild wurde nicht angebracht, 9/12 – Kössler 2/2
desgleichen wie vor, 13/2
Str. 13.2.12 Einstweilen Zu den Akten, der Brgmstr. J. A., 15/2

[Image de l’enseigne]

(XIV)

1911 – Demande pour remettre en état le crépi et pour peindre les façades sur le quai et sur la ruelle. Autorisation. – Juin : on met au jour un pan de bois en croix de Saint-André : courrier à l’architecte Beblo – Demande pour poser un échafaudage, autorisation – La Police du Bâtiment constate que le délai est dépassé, nouvelle demande pour poser un échafaudage, nouvelle autorisation – Classé en août 1911

Baugeschäft Carl Nadler, Nachfolger von G. Mayer (Schoop & Mayer) Strassburg i. E. Hinter den Mauern 1
Strassburg i. E. den 26. April 1911
Betreff Haus des Hrn Biefer Schiffleutstaden N° 27
Möchte Sie höfl. bitten mir die Erlaubnis zu erteilen für obige Fenstern am Schiffleutstaden und Dreiweckengäßchen den Vorzug teilweise auszubessern und die Fenster sammt Holzwerk neu zu streichen. Betreff farbenton wollen sie nur dann Ihren Vertreuten benennen, damit ich mit dem Herrn dann alles besprechen und Farbenmuster anlegen kann.
Hochachtungsvoll, p. C. Nadler
An das Bürgermeister-Amt Hier
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang : 21. APR. 1911, V-a Nr. 2375, pr. 27/4.11
[in margine :] eilt : – 27/4
[in fine :] H. Beblo oder H. Knäuble*, 26/4

[verso] V-a 2375
Strasbg. 28.4.1911
Eilt : G.R. dem Stadtbauamt z. A. in ästhetischer Beziehung [unterzeichnet] V-a
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang :13 MAI 1911, V-a Nr. 2375
[in margine :] Stadtbauamt Strassburg Pr : 2-MAI 1911

Strßbg. 3.12.11
Ortsbesichtigung hat am 11 d. M. stattgefunden. Herr Nadler hat sich bereit erklärt, die unter Verputz liegenden Holzfachwerkteile zunächst freizulegen, damit festgestellt werden kann, ob der Zustand derselben eine stilgerechte Wiederherstellung gestattet. Ich werde weiterhin mit Herrn Nadler in der Sache in Fühlung bleiben. – H. Beblo
[in margine :] Deutschmann 16/5

Bauschein
– (Stempel 1 Mark)
Baupolitzeiamt der Stadt Straßburg B. Nr. V-a 2375
Name des Antragstellers : Carl Nadler, Baugeschäft, Hier
Name des Eigentümers : A. Biefer, Hier
Name des Planfertigers, Name des Bauleiters, Name des Unternehmers : Carl Nadler, Baugeschäft, Hier
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes :
Straße : Schiffleutstaden 27
Baugebühren im Betrage von 2 M – d. bezahlt am 27.5.1911
Abschrift des Bauscheins an das Kaiserliche Polizei-Präsidium abzugeben. 27/5
1) Herrn Bauführer Stadelhofer zur gefälligen Kenntnisnahme und Bauprüfung
Straßburg den 31 Mai 1911, Der Stadtbaurat
[in fine :] Die Putzausbesserung ist fertiggestellt. St. 19/4 – Erl. 19/7
[in fine :] Zu den Akten, Str. 21.7.1911, Der Brgmstr. J.A.

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg,
Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei ;
Nach Einsicht des Gesuches vom 26. April 1911, betreffend die Ausbesserung des Fassadenputzes und Neuanstrich des Herrn A. Biefer am Schiffleutstaden N° 27,
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn A. Biefer vom 26. April 1911 wird unbeschadet der Privatrechte Dritter, auch derjenigen der Stadt Straßburg, unter den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen sowie den folgenden Bedingungen genehmigt.
1) Antragsteller ist im Hinblicke auf die Vorschriften des § 5 der Bauordnung vom 8. Apr. 1910 verpflichtet, dem Bürgermeister mindestens 3 Tage vor Baubeginn unter Angabe des Tages und der Nummer des Bauscheines schriftlich Anzeige zu erstatten, wann mit den Bauarbeiten begonnen werden soll.
[Polycopié violet] 2) Hängerüste sind auf allen Seiten mit Brüsungsgeländern und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten fortgenommen werden, sobald die einzelne Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seilen und Baukeisen an der zu bearbeitender Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
Die Verwendung von Hängegerüsten ist jedoch nach den Vorschriften des § 20 der Unfallversicherungsvorschriften der Südwestlichen Baugewerks-Hausgenossenschaft (Ausgabe 1907) nur für kleinere Verputzarbeiten zulässig
3) Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphennetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehnungsweise die Kaiserliche Telegraphendirektion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen § 318 des Reichsstrafgesetzbuches verwiesen.
4) Nach Maßgabe der Bestimmungen des Artikels 22 des Bauunfallversicherungsgesetzes vom 11. Juli 1887 muß über Bauarbeiten irgend welcher Art, welche in Selbstunternehmung ausgeführt werden, den Bürgermeisteramte für den Fall, daß zur Ausführung der Arbeit – einzeln genommen – mehr als sechs Arbeitstage verwendet worden sind, binnen drei Tagen nach Ablauf eines Monats bei Vermeidung der dort vorgesehenen Strafe eine Nachweisung nach dem vorgeschriebenen Formblatt eingereicht werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten, beziehungsweise in den zurückgegebenen Zeichnungen dargestellten Arbeiten beschränkt. Ihre Gültigkeit ist davon abhängig, daß sie nicht auf Grund unrichtiger oder unvollständiger Unterlagen erteilt ist. Für jede weitere beabsichtigte Arbeit oder Abweichung muß wieder Genehmigung eingeholt werden.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von Zwei Mark – Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen ; gegenwärtiger Beschluß tritt erst nach Einzahlung der Baugebühren in Kraft und wird dann ausgehändigt.
Artikel 4. Vorstehender Beschluß verliert seine Gültigkeit durch einjährigen Nichtgebrauch, d. h. wenn mit dem Bau selbst (Betoniren, Mauern…) nicht innerhalb eines Jahres, vom Tage der Aushändigung an gerechnet, angefangen worden ist oder wenn der Bau nachdem er begonnen war, länger als ein Jahr liegen bleibt.
So geschehen auf dem Stadthause zu Straßburg den 9.* Mai 1911 – Der Bürgermeister, J. A., 18/7
Baugebühren : Ausbesserung des Fassadenputzes 1,00 M
Neuanstrich der Fassade 1,00 M : 2,00 M
Baugebühren geschrieben am 22.5.1911
[in fine :] mdt. 22/5
[in fine :] eilt sehr !

[in margine :] Am 9/6. 11. ging an das Bauamt eine Anfrage ab, ob eine Behilfe zum Anstrich pp. gewährt werden kann, da es sich um ein für das Ortsbild hervorragend wichtiges Haus handelt. 9/6 – Stadelhofer 9/6.11.
Der Fassadenputz wird zurzeit außgebessert. 10/6
Siehe Bericht des Stadtb. v. 12/6 11.

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[Lettre dacylographiée – courrier à l’architecte Beblo à propos d’un pan de bois en croix de Saint-André]
V-a 2375 Straßburg, den 9. Juni 1911
1) Bem. – Herr Subdirektor Adolf Biefer, Schiffleutstaden 27, frischt z. Zt. das für das Ortsbild hervorragend wichtige Haus Ecke Dreiweckengäßchen auf. Bei der Entfernung der Tünche hat sich interessantes Holzwerk (Andreaskreuze) gezeigt. Er beabichtigt, das Haus in weiss zu tünchen und das Holzwerk in braun hervorzuheben. Falls jedoch das Hochbauamt, das, wie er erklärt, mit ihm in Verhandlung steht, bezw. die Kunstkommission eine besondere Bemalung des Hauses verlangt so bittet er, die eventl. Mehrkosten auf die Stadt zu übernehmen.
2) G. R.
dem Bauamt zur baldigen eingehenden Ä. Derartige Beihilfen können nur ganz ausnahmsweise bewilligt werden.
[in margine :] Stadtbauamt Strassburg Pr : 1. JUN 1911
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang :13 JUN 1911, V-a Nr. 2375, pr. 14/6.11
[in fine :] eilt – Strßbg. d. 12.6.11

[in fine :] Zu den Akten, Str. Gegen die beabsichtigte Ausführungsart ist nichts einzuwenden. Ich würde empfehlen, daß Herr Biefer angewiesen wird mit mir wegen der Bestimmung der Farben in Verwendung zu bleiben – Beblo
[in fine :] Eilt !

[verso] Eilt !
V-a 2375 Str. 15.6.11
1) An Herrn Adof Biefer, Subdirektor, hier, Schiffleutstaden 27
Bezüglich der Auffrischung der Fassade Thors Hauses Schiffleutstaden 27 Ecke Dreiweckengäßchen, ersuche ich ergebenst wegen der bestimmung der Farben sich mit Herrn Stadtbaurat Beblo Brandgasse 4 III. Stock gefl. in Verbindung zu setzen.
2) Abschrift an Herrn Nadler
3) Nach 8 Tagen
d. B. J.A., 15/6 – 15/6
[in margine :] ad 182 : mdt. 16/6.11 – ab 19.6.11
[in fine :] H. Stadelhofer 27/6
[in fine :] das Haus wird z. Zeit aufgefrischt, 4/7 – 1/7 – Stadelhofer – 15/7
[in fine :] Die Auffrischung ist fertig gestellt, Erl. 19/7
[in fine :] Zu den Akten, Str. 21.7.1911, Der Brgmstr. J.A.

+ +
Mitteilung
Carl Nadler, Baugeschäft, Nachfolger von G. Mayer (Schoop & Mayer)
Strassburg i. E. Hinter den Mauern 1, den 31. Mai 1911
das Kaiserliche Polizei-Präsidium, Hier
Der unterzeichnete Unternehmer C. Nadler bittet hiermit ergebenst um die Erlaubnis, am Hause Schiffleutstaden N° 27, zum Aufstellen eines Leitergerüstes den Bürgersteig auf 9,00 m Länge und 1,00 m Breite von heute bis 17. Juni d J. benutzen zu können,
Hochachtend, p. C. Nadler
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang :7 JUL 1911, V-a Nr. 2375
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eingang : – 1911

+ +
V-a 3002
Baugeschäft Carl Nadler, Nachfolger von G. Mayer (Schoop & Mayer) Strassburg i. E. Hinter den Mauern 1
Strassburg i. E. den 29. Mai 1911
Der unterzeichnete Unternehmer C. Nadler bezweckt zum Aufstellen eines Leitergerüstes am Hause des Hrn Biefer Ecke Schiffleutstaden 27 u. Dreiweckengäßchen die Straße vor dem Hause im Dreiweckengäßchen auf 9,00 m Länge und 1,00 m Breite von heute bis 17. Juni d J. abzusperren, und bittet hiermit ganz ergebenst um diesbezügliche Genehmigung.
Hochachtungsvoll, p. C. Nadler
An das Kaiserl. Polizei-Präsidium
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eingang : 29. MAI 1911 – II 5856

+ +
[Autorisation de poser un échafaudage, imprimé complété]
Kais. Polizei-Präsidium – II 5987, Betrifft : Baupolizei
Straßburg den 2. VI 1911
Urschriftlich dem Bürgermeisteramt, Hier
Das anliegende Gesuch mit dem Ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt.
Die verkehrspolizeiliche Erlaubnis ist für die Fläche von 9 m Länge und 1 m Breite unter folgenden Bedingung für die Zeit bis 17.6.11 erteilt worden (Seit 27. v. M. in Benutz.) : das angrenzende nicht in Benutzung stehende Straßengelände ist von Bauschutt, Steinen pp. stets frei zu halten :
Der Polizei-Präsident I. A. [Stempel :] Bostetter
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 7-JUN 1911, V-a Nr 3002, pr. 9/6
[in fine :] Eilt – H. Stadelhofer 9.6.11
[in fine :] das Straßengelände wird wie beantragt benutzt 13.6.
Eilt ! H. Schaffner 13/6
z. d. Gebühr 23/6

+ +
– [Permis de poser un échafaudage]
Stempelfrei, da erste Benutzung
Bauschein N° V-a 3002
– Baupolizeiamt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Carl Nadler, Baugeschäft, Hier, Hinter den Mauern N° 1
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden 27 Ecke Dreiweckengäßchen
Baugebühren im Betrage von 7 M 20 d. bezahlt am 23/6. 1911
[in fine :] Eilt ! Wird Straßengelände weiter benutzt ? Stadelhofer 20/6
[in fine :] Das Straßengelände wird weiter benutzt. Eilt, 23/6 – Stadelhofer 23/6
– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 29. bezw. 31.5. 1911, betreffend die Benutzung von Straßengelände zur Aufstellung eines Leitergerüstes vor dem Hause Schiffleutstaden 27 Ecke Dreiweckengäßchen ;
Nach Einsicht des Schreibens des Kais. Polizei-Präsidiums II 5987 vom 2.6. 1911 wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführungen auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 27.5.1911 in Benutzung genommen ist.
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Karl Nadler vom 29. bezw. 31.5. 1911 wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruch-Rechte dritter nach den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1. Die Benutzung des Straßengeländes in einem Umfang von 9,00 m . 1,00 m = 9,00 qm am Schiffleutstaden und 9,00 m . 1,00 m = 9,00 qm im Dreiweckengäßchen ist auf die Zeitdauer von drei Wochen festsetzt und zwar vom 27. Mai bis 16. Juni 1911. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2. Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist vor Ablauf der alten Genehmigung eine neue Genehmigung einzuholen.
3. Die Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4. Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Teilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5. Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6. Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittelst Seile und Baukeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
7. Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
8. Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphnetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen des § 318 des Reichs-Strafgesetzbuches verwiesen.
9. In Straßen mit Asphalt- oder Holzfahrbahnen dürfen die Bäume von Standgerüsten (Gerüstbäume, Gerüststangen, etc.) und die Pfosten von Bauzäunen nicht in den befestigten Straßenbelag eingelassen werden, sie müssen vielmehr in anderer weise auf geeigneten Unterlagen (Schwellen, Schuhe oder sonstige Hilfsmittel) sicher gegen Ausweichen befestigt werden.
10. Es sind geeignete Schutzvorrichtungen zu treffen daß die auf der Straße vor dem Neubau befindlichen Bäume nicht beschädigt werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von sieben Mark 20 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Straßburg den 16. Juni 1911, Der Bürgermeister, J. A., 15/6
Gebühren : 18,00 (0,20 + 2 . 0,10) = 7,20 M
Baugebühren geschrieben am 17.6.11
[in fine :] mdt. 19/6 1911, Saur

+ +
V-a 3002 Str. 26.6.11
1) An Herrn Carl Nadler, Baugeschäft, Hier, Hinter den Mauern 1
Wie dieseits festgestellt wurde, benutzen Sie vor dem Hause Schiffleutstaden Nr. 27, Ecke Dreiweckengäßchen Straßengelände seit dem 17. d. M. ohne Genehmigung weiter.
Ich ersuche daher erg. ein entsprechendes Gesuch unter Angabe des Umfangs und der Dauer der Weiter-Benutzung unverzüglich bei mir einzureichen sowie die bereitsfälligen Gebühren für die erstmalige Benutzung in Höhe von 7,20 M an die Stadtkasse einzureichen.
2) In 8 Tagen
d. B., J.A., 24/6
[in margine :] mdt. 27/6 – ab 28/6
[in fine :] Verb. mit V-a 3343

+ +
V-a 3343
Baugeschäft Carl Nadler, Nachfolger von G. Mayer (Schoop & Mayer) Strassburg i. E. Hinter den Mauern 1
Strassburg i. E. den 20. Juni 1911
An das Kaiserl. Polizei-Präsidium, Hier
Der unterzeichnete Unternehmer C. Nadler bittet hiermit ergebenst um die Erlaubnis, den Bürgersteig vor dem Eckhaus Schiffleutstaden und Dreiweckengäßchen auf 18,00 m x 1,00 m bis zum 10. Juli d. J. weiter benutzen zu dürfen.
Hochachtungsvoll, p. C. Nadler
[in margine, Stempel :] Kais. Polizei-Präsidium, Eing. : 22. JUN 1911 – II 5987-2

+ +
[Autorisation de poser un échafaudage, imprimé complété]
Kais. Polizei-Präsidium – II 5987-II, Betrifft : Baupolizei
Straßburg den 27. 6. 1911
Urschriftlich dem Bürgermeisteramt, Hier
Das anliegende Gesuch mit dem ersuchen um gefällige weitere Veranlassung ergebenst übersandt.
Die unterm 2.6.11 II 5987 erteilte verkehrspolizeiliche Erlaubnis ist für die Fläche von 18 m Länge und 1 m Breite unter folgenden Bedingung für die Zeit bis 10.7.11 verlängert worden : das angrenzende nicht in Benutzung stehende Straßengelände ist von Bauschutt, Steinen pp. stets frei zu halten :
Der Polizei-Präsident I. A.
[in margine :] Bürgermeisteramt Strassburg i. Els. Eingang 28. JUN 1911, V-a Nr 3343 pr. 29.6.11
[in fine :] Eilt – H. Schaffner 29/6.11 – H. Haas 29/6
[in fine :] Bauschein beigefügt 30/6

+ +
– [Permis de poser un échafaudage]
Stempel 1 Mark
Bauschein N° V-a 3343
– Baupolizeiamt der Stadt Straßburg
Name des Antragstellers : Karl Nadler, Baugeschäft, Hier
Lage des in Betracht kommenden Grundstückes : Schiffleutstaden Nr 27, Ecke Dreiweckengäßchen
Baugebühren im Betrage von 7 M 20 d. bezahlt am 11. 7. 1911
Herrn Bauführer Stadelhofer zur gefälligen Kenntnisnahme. Straßburg den 18. Juli 1911, Der Stadtbaurat
[in fine :] Es wird kein Straßengelände mehr benutzt. 20/7 – Stadelhofer 1/8
[in fine :] Es wird kein Straßengelände mehr benutzt. Erledigt, 3/8
[in fine :] Zu den Akten Str. 7.8. 1911, Der Brgmstr. J. A.

– Beschluß.
Der Bürgermeister der Stadt Straßburg, Auf Grund der Gesetze und Verordnungen, betreffend die städtische Baupolizei,
Nach Einsicht des Gesuches vom 20 Juni 1911, betreffend die Weiter Benutzung von Straßengelände zur Aufstellung eines Leitergerüstes vor dem Hause Schiffleutstaden 27, Ecke Dreiweckengäßchen ;
Nach Einsicht des Schreibens des Kais. Polizei-Präsidiums II 5987-II vom 27. Juni 1911 wonach die Genehmigung erteilt werden kann ;
In Erwägung, daß die beantragte Straßenbenutzung durch Bauausführungen auf dem vorbezeichneten Grundstücke bedingt wird ;
In Erwägung, daß das Straßengelände bereits seit dem 17. Juni d. J. in Weiter Benutzung genommen ist.
Faßt folgenden Beschluß :
Artikel 1. Das Gesuch des Herrn Karl Nadler vom 20 Juni d. J. wird vorbehaltlich der etwaigen Widerspruch-Rechte dritter nach den in der Bauordnung vom 8. April 1910 enthaltenen Bestimmungen nachträgl. genehmigt.
Insbesondere ist zu bemerken :
1. Die Weiter: Benutzung des Straßengeländes in enem Umfang von 18,00 m x 1,00 m = 18,00 qm ist auf die Zeitdauer von vier Wochen festsetzt und zwar vom 17. Juni 1911 bis 14. Juli 1911. Die Genehmigung hierzu wird auf jederzeitigen Widerruf erteilt, und hat eine etwaige Freilegung der benutzten Straßenfläche des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 auf behördliche Anordnung sofort und ohne Anspruch auf Schadenersatz zu erfolgen.
2. Bedarf es einer längeren Benutzung des Straßengeländes über den unter 1) angegebenen Termin hinaus, so ist vor Ablauf der alten Genehmigung eine neue Genehmigung einzuholen.
3. Die Aufstellung eines Stangengerüstes hat nach den Vorschriften des § 21 der Bauordnung vom 8. apr. 1910 zu erfolgen. Die Benutzung öffentlicher Einrichtungen, wie Verschlüsse der Wasser- und Gasleitungen, Brunnen, Laternen und dergleichen, darf durch Baugerüste und Bauzäune nicht beeinträchtigt werden.
4. Vor den Baugerüsten und Bauzäunen sind in Höhe von etwa 3 Metern sicher überdeckte, mit Brüstungen versehene Schutzdächer anzubringen. Die Baugerüste sind im Ganzen wie in den einzelnen Teilen fest herzustellen, auch derart zu stützen, daß gefährliche Verschiebungen oder Senkungen nicht vorkommen können. Die Gerüststänge sind mit dichten Brettlagen zu versehen.
5. Liegen die Gerüstgänge mehr als 3 Meter über dem Erdboden, so müssen sie außerdem Randbretter und Handleisten (Geländer) erhalten. Die Aufstellung von Windevorrichtungen ist nur auf Gerüsten zulässig, deren Tragfähigkeit in ganzer Höhe durch kunstgerechte Holzverbindung gesichert ist.
6. Hängegerüste sind auf allen Seiten mit Brüstungsgelände und Randbrettern zu versehen. Diese Einrichtungen dürfen auf der Innenseite der Gerüste, während der vom Hängegerüst aus vorzunehmenden Arbeiten, fortgenommen werden, sobald die einzelnen Böcke (Büge) des Gerüstes etwa mittels Seile und Baukeisen an der zu bearbeitenden Wand so befestigt sind, daß ein Abstoßen des Gerüstes von der betreffenden Wand ausgeschlossen ist.
7. Etwaige Beschädigungen des Bürgersteigs hat der Antragsteller beziehungsweise der Eigentümer auf seine Kosten wieder herstellen zu lassen.
8. Der Antragsteller ist verpflichtet, falls durch die Ausführung der geplanten Bauarbeiten die öffentliche Feuermeldeanlage oder die Leitungsdrähte des Telegraphnetzes gefährdert werden können, die Feuerwache beziehnungsweise die Kaiserliche Telegraphen-Direktion vor Beginn der Arbeiten zu benachrichtigen. Für den Fall der Unterlassung dieser Anzeige wird auf die Bestimmungen des § 318 des Reichs-Strafgesetzbuches verwiesen.
9. In Straßen mit Asphalt- oder Holzfahrbahnen dürfen die Bäume von Standgerüsten (Gerüstbäume, Gerüststangen, etc.) und die Pfosten von Bauzäunen nicht in den befestigten Straßenbelag eingelassen werden, sie müssen vielmehr in anderer weise auf geeigneten Unterlagen (Schwellen, Schuhe oder sonstige Hilfsmittel) sicher gegen Ausweichen befestigt werden.
10. Es sind geeignete Schutzvorrichtungen zu treffen daß die auf der Straße vor dem Neubau befindlichen Bäume nicht beschädigt werden.
Artikel 2. Vorstehende Genehmigung ist ausschließlich auf die oben erwähnten Straßenbenutzung beschränkt.
Artikel 3. Antragsteller hat die nach Gebührensätzen berechneten Baugebühren im Betrage von sieben Mark 20 Pfennig bei der Stadtkasse einzuzahlen, und wird gegenwärtiger Beschluß nach Einzahlung der Baugebühren ausgehändigt.
Straßburg den 4. Juli 1911, Der Bürgermeister, J. A., 4/7
Gebühren : 18,00 x 0,10 x 4 = 7,20 M
Baugebühren geschrieben am 6.7.11
[in fine :] mdt. 6/7

(XV)

1923 – Demande de poser des échafaudages sur la voie publique pour repeindre la façade. Demande déposée à la Préfecture et à la mairie. Autorisation

(30/8.23, I 6119)
Monsieur le directeur de police,
J’ai l’honneur de soumettre à Mr le directeur de Police la présente demande par laquelle je sollicite l’autorisation à placer un échafaudage devant la maison 27 quai des bateliers et Impasse des trois gâteaux pour la durée de quinze jours à partir d’aujourd’hui. Cet échafaudage doit avoir une longueur de 14 x 0,80.
Hegenhausser, rue St Maurice 9, entrepreneur en peinture
[in margine, tampon :] Préfecture du Bas-Rhin, Direction -, Entrée 30 aout 1923

[verso]
Soit transmis à la direction de Police sans objection.
Strasbourg le 30-VIII-1923

+ +
Préfecture du Bas-Rhin, Direction du Cabinet, Bureau de police administrative
Strasbourg, le 31 août 1923
Transmis à la mairie, en ville
J’ai l’honneur de vous transmettre la demande ci-jointe. Il est accordé de poser sur le trottoir ou sur la chaussée des matériaux de constructions ou un échafaudage pour la durée du 30 août au 13 septembre 1923.
L’emplacement doit avoir une longueur de quatorze et une largeur de 0,80 mètres.
La superficie qui n’est pas utilisée devra être entièrement laissée libre.
Le Directeur de cabinet
[in margine, tampon :] Mairie de Strasbourg, Entrée : 4 SEP 1923, V N° 120-H, pr. 6/9

+ +
Hegenhausser, Entrepreneur générale [sic] de Peinture, 9 rue St Maurice, Strasbourg
Strasbourg le 20.8.1923
An Baupolizei der Stadt Strasbourg
Ersuche höfl. um Genehmigung zur Aufstellung eines Leitergerüstes zum auffrischen des Oelfarbanstrichs am Hause Schiffleutstaden N° 27 auf die Dauer von obigem Datum bis zum 10. Septembre 23
13 – 14 x 0,80 m
Hochachtend
[in margine, tampon :] Mairie de Strasbourg, Entrée : 22 AOU 1923, V N° 120-H, pr. 25/8
[in margine :] M. May 28/8

[verso] Mr J. Hegenhausser, entreprise de peinture
[tampon rouge rempli à la main]
v 120-H Strasbourg le 3.9.1923, Timbre 1,25 frs
AUTORISATION.
Occupation de la Voie publique, 1° occupation affranchie de timbre
1) L’autorisation pour l’occupation de la voie publique est accordée pour une durée de trois semaines à partir du 20. VIII au 9. IX et sur une surface de 13,0 . 0,80 pour dresser des échafaudage Quai des Bateliers 27
Observations – Les prises d’eau ainsi que les rigoles et les regards d’égouts resteront libres.
Droits de voirie – 10,4 m² à 1,20 fs = 12,48
Peinture de la façade 2,80, Total 15,28
2) Expédier la note des droits de voirie 15,30 Frs
3) A présenter le 10. IX. 23
4) Au dossier
L.M., p. d. – 31/VIII
[in margine :] 4/9, 1697
[in fine :] Voir le dossier de la Préfecture du Bas-Rhin du 31/8 I 6119

1) Les droits de voirie ne sont pas payés
2) a) A rappeler, 2) Après 15 jours, Strasbourg le 5-I-24, Pol. du Bât

Les droits de voirie sont payés, le 7 II 23

(XVI)

1937 – Réfection des façades : demande pour installer un échafaudage. Autorisation

Strasbourg, le 13 octobre 1937
Monsieur le Préfet du Bas-Rhin
Monsieur,
Je soussigné WIDMER Ernest demeurant à Strasbourg 6, petite rue d’Austerlitz ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance l’autorisation pour installer un échafaudage devant l’immeuble 27, quai des bateliers, (coin impasse des trois gateaux),
Durée des travaux trois semaines
Dimensions : 10 metres de longueur au quai des bateliers et 10 metres de longueur dans l’impasse des trois gateaux.
Largeur 0,70 mtr.
Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de mes sentiments les plus respectueux
(E 1370) Joint la somme de – francs

[verso]
Transmis avec avis favorable vu que la circulation n’est gènée en rien
Strasbourg, le 13 octobre 1937
Le Commissaire de Police Barobes
[in fine, tampon :] Police d’Etat de Strasbourg, Commissariat central, Entrée 14 OCT 1937 – N. CC IV H 21/8/37

[Tampon] Transmis avec avis conforme à Monsieur le Préfet du Bas-Rhin, Section administrative de la Police d’Etat, Strasbourg le 14 oct. 1937. Le Commissaire central

+ +
N° 222 / S / 37 Date d’entrée 16/10
Autorisation de la Direction de Police du 15/10 N° E 1370
concernant l’occupation de la voie publique pour entrepôt de matériaux, échafaudages, palissades, etc. quai de Bateliers N° 27, Entrepreneur Ernest Widmer, Domicile 6, Pte. rue d’Austerlitz
Monsier Mey 16/10
V., p. o.
Strasbourg le 21 oct. 1937
Autorisation pour occupation de la voie publique
Immeuble Quai des bateliers N° 37
Propriétaire Eugène Acker
Occupation de la voie publique pour une durée de 3 semaines du 19.10.37 au 8.11.37 sur une surface de 20,00 . 8,00 m soit 16,00 m² à 2,40 frs : 38,40
Réparation du crépi de la façade 5,60
Peinture de la façade 5,60 – Total 49,60
N° du rôle 2173
Avis expédié le 22/10
A représenter le 9.11.37
[Tampon] Payé 27 oct 1937

(I)

(XVII)

1937 – Inscription sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques

Copie
N° 2180 Strasbourg, le 28 septembre 1937
1) Monsieur le Préfet du Bas-Rhin, en ville
J’ai l’honneur de vous accuser réception de votre lettre du 23 septembre 1937, Ire Division, 2e Bureau, N° 2087/2091/2093/2095/2113 par laquelle vous avez bien voulu me transmettre des ampliations des arrêtés de Monsieur le Ministre de l’Education Nationale en date des 10 et 14 septembre 1937 inscrivant sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques
a) la façade et la toiture de la maison sise 34, quai des Bateliers à Strasbourg, propriété de M. E. Unselt ;
b) les balcons sur façade et sur cour ainsi que le départ de l’escalier de la maison sise 40, quai des Bateliers à Strasbourg, propriété de M. Auguste Brion ;
c) la façade et la toiture de la maison sise 2, rue du Vieux-Marché-aux-Grains (ancienne chambre de la Taille et des Subhastations) à Strasbourg propriété de M. Weill, pharmacien,
d) la façade et la toiture de la maison sise 27, quai des Bateliers à Strasbourg, propriété de M. E. Acker, 10, quai des Pêcheurs à Strasbourg ;
e) la maison sise 36, quai des Bateliers à Strasbourg, propriété de M. Westphal, Pasteur à Zoutzendorf (Bas-Rhin) ;
f) les façades avec oriel et la toiture de la maison sise 9, place du Corbeau à Strasbourg, propriété de M. Eck, rue de l’Eglise à Ribeauvillé (Haut-Rhin) ;
g) la façade et la toiture de la maison sise 26, rue du Bain-aux-Plantes à Strasbourg, propriété de Mme. Vve. S. Schneider ;
h) la façade avec portail et la toiture avec lucarne de l’Hôtel sis 20, rue des Veaux (ancien Hôtel de Gayling d’Altheim) à Strasbourg propriété de M. Jos. Seyller.
2) Transmis à charge de renvoi – avec annexes – a) à la Division (VI A), b) à la V° Division à titre d’information.
x x
3) A inscrire sur l’inventaire supplémentaire
x x
4) A classer
L.M., p. d., signé Maechling

A 2017 Strasbourg, le 6 octobre 1937
Faire suivre à la Division V
après avoir pris connaissance
VI, signé : Apprill

(XVIII)

1940-1941 – Herboristerie Suisse, demande d’apposer une inscription sur la vitrine. Autorisation et discussion sur la croix rouge qui ne doit pas apparaître – Retrait de l’enseigne

Baupolizei – Straßburg-Stadt – V 2084 / S
Straßburg i. E., den 23. Januar 1941
1) Meldung
Am Hause Schiffleutstaden Nr 27 bestehen 2 Glastafelschilder (2 mr)
Eigentümer der Anlage ist Herr Kramer Schweizer Kräuterhaus wohnhaft Schiffleutstaden N° 27
Der Kontrollbeamte
2) Formularaufforderung an Herrn Kramer, zwecks Entfernung
3) Wiedervorlage in 4 Wochen
[in margine :] Ab 25/1/41
[in fine :] 25/2 Kontrolle

[verso] I 2084 / S
27/2.41 1) Die zwei Glastafelschilder sind entfernt, 2) Z. d. A.

+ +
V 2294 / S – 23/1.41
Schiffleutstaden N° 27, Schweizer Kräuterhaus
1) Die Beschriftungen sind noch nicht ausgeführt
2) W. V. in 4 Wochen
[in fine :] 27/2, Kontrolle

1) Die Beschriftungen der Schaufenster sind ausgeführt
2) Keine Bedenken
3) Z. d. A.

[verso] 2.1.1941
Baupolizei – Straßburg-Stadt – V 2294 / S
1) An das Schweizer Kräuterhaus Kramer, Strassburg Schiffleutstaden Nr 27
Die mit Schreiben vom 21.12.1940 beantragte Genehmigung zur Beschriftung Ihres Schaufensters Schiffleutstaden Nr 27, wird hiermit gemäß der vorgelegten Skizze erteilt mit der Maßgabe, daß das Wappen unter der Inschrift zu unterbleiben hat. Jedenfalls darf das internationale Rote-Kreuz-Zeichen nicht aufgemalt werden.
x x
2) W. -V. in 14 Tagen
Der Stadtkommissar J. A., Baupolizei Straßburg-Stadt
[in margine :] Gef : 2 I 41 – Ab : 4.1. Sch
[in fine :] 18/1 Kontrolle

+ +
Schweizer Kräuterhaus Kramer
Strassburg, den 21. Dezember 1940
An die Baupolizei Strassburg
Ich unterbreite Ihnen einen Entwurf betreffs der Schaufenster-Anschrift vom Schweizer Kräuterhaus Kramer Schiffleutstaden 27.
Ihren wohlwollenden Bescheid entgegensehend zeichnet mit Deutschem Gruss.
Schweizer Kräuterhaus Kramer
[in margine, Stempel :] Bürgermeisteramt Strassburg 28 DEZ 1940 Baupolizei V Nr 2294 / S

NB. Das Wappen unter der Anschrift hat am besten zu unterbleiben. Jedenfalls darf das internationale Rote Kreuz-Zeichen nicht angemalt werden.

V 2294 S – 2.1.1941
1) Antwort
Die mit Schreiben vom 21.12.40 beantragte Genehmigung zur Beschriftung Ihres Schaufensters Schiffleutstaden Nr 27, wird hiermit gemäss der vorgelegten Skizze erteilt mit der Maßgabe, dass das Wappen unter der Inschrift zu unterbleiben hat. Jedenfalls darf das internationale Rote-Kreuz-Zeichen nicht aufgemalt werden.
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2) W.V. in 14 Tagen
Baupolizei Straßburg-Stadt

[Skizze]

(XIX)

1946 – Certificats de sinistré

Police du Bâtiment 5535 – Strasbourg, le 17.7.46
Demande de certificat de sinistré
Motif : Impôt solidarité
Mr Acker Eugène demande un certificat de sinistré pour ses immeubles situé au n° 27, quai des Bateliers – 31 rue Krutenau endommagés lors du bombardement aérien du 11-8 et 25-9-44
(rendu inhabitable ou complètement détruit ?) – V. p.o.
[verso] V Strbg. le 18/7.47
1) L’immeuble 27 Quai des Bateliers a été partiellement détruit. Les travaux de reconstruction sont en cours ([in margine :] 11.8., 25.9.)
2) L’immeuble 31 rue de la Krautenau a été légèrement endommagé ([in margine :] 25.9.)
3) A classer – V. p. o.

Police du Bâtiment 5704 – Strasbourg, le 6-8-46
Demande de certificat de sinistré
Motif : Serv. des Sinistrés
Mme Vve Marie Schwab demande un certificat de sinistré pour son domicile situé au n° 27, quai des Bateliers III° étage à Strasbourg endommagé lors du bombardement aérien du 25-9-44.
(rendu inhabitable ou complètement détruit ?) – V. p.o.
[verso] 1) Le logement a été fortement endommagé 2) Le certificat est à délivrer, 3) à classer – V. p.o.

Police du Bâtiment 5770 – Strasbourg, le 23-8-46
Demande de certificat de sinistré
Motif : Serv. des Sinistrés
Schwab demande un certificat de sinistré pour son domicile situé au n° 27, quai des Bateliers à Strasbg endommagé lors du bombardement aérien du 11-8 et 25-9-44.
(rendu inhabitable ou complètement détruit ?) – V. p.o.
[in margine :] rue de Sélestat Strasbourg-Neudorf
[verso] Strbg. le 27/8.46 1) Le logement en question a été fortement endommagé 2) Le certif. peut être délivré, 3) à classer – V. p.o.

(XX)

1949 – Correspondance au sujet des réparations à la façade de l’immeuble entre le propriétaire, Eugène Acker, et le Service des Monuments historiques.

Entreprise de pompes funèbres Eugène Acker, Strasbourg, 10 Quai des Pêcheurs, Logement privé 3, Rue Herder
Strasbourg, le 29 Juin 1948
Service Police du Bâtiment, 16, rue de Bouxwiller Strasbourg
Monsieur,
J’ai l’honneur de vous faire parvenir ci-joint et à toutes fins utiles, copie d’une lettre que je viens d’adresser au Service des Monuments Historique [sic] à Strasbourg.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.
[in margine, tampon :] Mairie de la ville de Strasbourg (B.-Rh.) Entrée 30 juin 1948, V N°
[in margine, tampon :] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 1 juil 1948, V. N° 1487 – M. Marlier p. examen technique

+ +
Entreprise de pompes funèbres Eugène Acker, Strasbourg, 10 Quai des Pêcheurs, Logement privé 3, Rue Herder
Strasbourg, le 29 Juin 1948
Monsieur Fernand Guri, Chef d’agence du Bas-Rhin du Service des Monuments historiques, Palais du Rhin, Strasbourg
Monsieur,
Comme propriétaire de l’immeuble 27, Quai des Bateliers, classé  » Monument historique » et dependant donc en ce qui concerne sa conservation de vos services, je considère de mon devoir d’attirer votre attention sur une situation qui pourrait devenir desastreuse pour l’immeuble lui même et, en plus et à mon avis, représente un réel et constant danger pour les habitants et même pour les passants.
En effet, fortement endommagé pendant la guerre, l’immeuble a été extérieurement reparé dans une mesure qui permettait tout juste d’eviter son écroulement. Comme preuve que les travaux de refection ont été exécutés alors très sommairement, je vous signale le fait qu’aujourd’hui et déjà depuis les travaux, les eaux de pluie passent à plusieurs endroits à travers la toiture et, par les temps pluvieux de ce moment, scintent [sic] à travers les planchers jusqu’au prémier étage. Pour l’appréciation des dommages qui resultent fatalement de cette situation, que j’estime inténable, je me remets entièrement à votre competence éclairée.
J’ai, certes, toute la compréhension pour les difficultés du moment et aussi en ce qui concerne les charges debordantes de vos services, mais je dois vous rappeler, dans un interêt supérieur, une situation que sans doute vous connaissez. C’est l’aspect extérieur de l’immeuble en question qui se présente, non seulement, dans un etat de délabrement sans doute indigne d’un Monument Historique, mais qui représente, en plus, un réel danger pour le public. Je cite en particulier le soutenement provisoire du 1er étage par une poutre qui est placée sur le trottoir. Considérant le temps écoulé depuis le placement de cette poutre, indispensable sans contester, je suis tenté d’admettre que c’est du provisoire qui doit durer. J’attire votre attention sur la possibilité d’un accident de circulation à cet endroit très mouvementé et je me vois dans l’obligation, dès aujourd’hui, de décliner toutes responsabilités quant aux conséquences qui pourraient resulter d’un renversement accidentel de la poutre en question.
Je me répère en vous disant que j’estime de mon devoir de vous signaler cet état de chose, qui ne peut pas vous échapper, étant donné les nombreuses conversations que nous avons eu à ce sujet.
Je me remets à votre competence en vous priant de bien vouloir envisager des mesures susceptibles de remedier pour de bon à cet etat de chose, que vous devez estimer avec moi simplement comme inténable.
Dans cette attente, veuilez agréer, Monsieur, l’expression de ma considération très distinguée.

P.S. A toutes fins utiles, copie de cette lettre a été admise par le même courrier au service de la Police du Bâtiment.

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Copie
J. Schwab, architecte, 1 rue St. Maurice, Strasbourg
Strasbourg, le 3 septembre 1948
Monsieur le Directeur des Monuments historiques, Palais du Rhin, Place de la République, Strasbourg – Recommandée
Immeuble 27, Quai des Bâteliers
Propriétaire : M. Acker
Réf. à rappeler : 20-01-51 d
Monsieur le Directeur,
M. Acker, propriétaire de l’immeuble cité ci-dessus, vient de me trouver pour demander conseil du fait qu’il a peur que la façade de son immeuble ne tombe un de ces jours étant donné que cette dernière a été étayée provisoirement par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme.
Etant donné que lors de la remise en état de l’immeuble il a été convenu que les façades soient refaites par le Ministère des Beaux-Arts, je tiens à vous signaler ce danger pour dégager notre responsabilité.
Je vous prie donc de vouloir bien faire le nécessaire afin que remède soit apporté à ces dommages. Il serait d’autant plus souhaitable que les façades soient remises en état, étant donné que tout le reste des dommages de guerre a été remis en état.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de ma consideration très distinguée.
signé J. Schwab

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J. Schwab, architecte, 1 rue St. Maurice, Strasbourg
Strasbourg, le 3 septembre 1948
Monsieur le Maire de la Ville de Strasbourg, Service de la Police du Bâtiment, 16 rue de Bouxwiller, Strasbourg
concerne : Immeuble 27, Quai des Bâteliers
Propriétaire : M. Acker
Réf. à rappeler : 20-01-52 b
Monsieur le Maire,
A titre d’information, je vous envoie ci-joint copie de ma lettre recommandée de ce jour à la Direction des Monuments historiques à Strasbourg pour dégager notre entière responsabilité dans le cas d’un accident dudit immeuble.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de ma consideration très distinguée.
P.J. une copie de lettre.
– Destinat. – Archives – Client
[in margine, tampon :] Mairie de la ville de Strasbourg (B.-Rh.) Entrée 6 SEP 1948, V
[in margine, tampon :] Mairie de Strasbourg, Police du Bâtiment, 7 SEP 1948, V. N° 1487
[in margine :] La Police du Bâtiment est déjà intervenue à ce sujet, Précédent M Seyller


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