Jean Meissenbach, taillandier, et (1720) Catherine Elisabeth Stædel – luthériens


Fils du taillandier Jean Meissenbach et de sa femme Anne Catherine Baur, Jean Meissenbach apprend le métier de forgeron auprès de son père, voyage pendant cinq ans puis entre en apprentissage en 1715 chez Jacques Litsch. Il obtient en 1716 des Quinze une dispense qui lui permet de faire son chef d’œuvre sans terminer ce nouvel apprentissage. Le Corps des taillandiers exige en 1717 que Jean Meissenbach devenu maître présente un certificat d’apprentissage ; les Quinze déboute le Corps de sa demande en estimant qu’il agit par malignité. Les dissensions continuent la même année quand le corps de métier envoie à Jean Meissenbach un compagnon qui se montre insolent.
Jean Meissenbach épouse le 7 novembre 1720 Catherine Elisabeth Stædel, fille de libraire ; il meurt le 12 mars 1728. La veuve se remarie en 1730 avec Jean Nicolas Klauer, marchand originaire de Francfort, et meurt à l’hôpital le premier septembre 1739.

Maison en propriété
Rue du Coin brûlé (IV 209-210, actuel 5, rue du Fossé des Tanneurs)

Enfants

  • Catherine Elisabeth († 1739)
  • Susanne Madeleine, admise à l’Hôpital en 1785


Signature au bas du contrat de mariage (1720, AMS 19 Not 5 n° 18)


Anne Catherine veuve de Jean Meissenbach présente le 9 mai 1716 une requête par laquelle elle demande que le corps des taillandiers autorise son fils célibataire Jean Meissenbach qui n’a pas terminé sa formation à exercer le métier de taillandier pour pouvoir l’entretenir. Jean Meissenbach a appris le métier auprès de son père pendant deux ans, il a ensuite voyagé cinq ans avant d’entrer en apprentissage moyennant 60 florins chez le taillandier Jacques Litsch pour trois ans dont à peine une année est écoulée. La mère demande que les trois années d’apprentissage soient réduites à une seule en ajoutant que Jacques Litsch a essayé de porter les 60 florins à 100 florins. Le corps de métier estime que la demande de la mère est fondée puisque Jean Meissenbach a appris le métier chez son père et que le corps de métier l’aurait reçu maître sans reprendre l’apprentissage. Les Quinze accordent le 16 mai la dispense en réduisant à un an l’apprentissage chez Jacques Litsch qui devra se contenter des 30 florins qui lui ont déjà été versés. Jean Meissenbach obtient le 6 juin une expédition du jugement. La mère s’adresse le premier août aux Quinze parce que Jacques Litsch refuse de mettre fin à l’apprentissage.

1716, Protocole des Quinze (2 R 120)
(f°108) Sambstag den 9.ten Maÿ.
Noë Annæ Catharinæ Weÿl. Johann Meÿßenbachs des Bohrenmachers wittib pro filio Ca. E. E. Mstrschafft der Bohrenmacher obermeister prod. demüthiges ansuchen und bitten. Sch: cit. præs. bittet deput. Erkandt, ut modo [Obere Handwercks herren].

(f° 122-v) Sambstag den 16.ten Maÿ – Anna Catharina Meÿßenbachin pro filio Johann Meÿßenbach Ca. E. E. Mscht. der Bohrenmacher pt° Mstrrechts
Iidem [Obere Handwercks herren] per Eund. [Secretarium] ferner, daß Anna Catharina Meÿßenbachin wegen ihres sohns Johann Meÿßenbach Ca. E. E. Mscht. der Bohrenmacher gegenwärtiges Memorial übergeben, dahin gehendt, daß gedachter ihr sohn der ledige, und noch ohnausgelernte Bohrenmacher zu treibung seines Vatters seel. profession, auch zu unterhaltung seiner alten Mutter, sich Von dem schloßer handwerck, worauff er in die 5. jahr lang gereißt, Zu Mstr Jacob Litsch dem burger und Bohrenmacher auff 3 jahr lang umb 60. fl lehrgeldt aufdingen laßen, an Welcher Zeit aber noch nicht gar ein jahr vefloßen, mit unth. bitte, die 3 jahr in eines, Welches recht die meisters söhne ohne daß vor frembden haben, dispensando gn. zu moderiren, deme der sohn beÿ der deputation beÿgesetzt, daß mstr. Johann Jacob Litsch ihme anfangs Wochentlich ein piecelein lohn Zu geben Versprochen, nachgehendts aber Vor die 3. jahr 100 fl. gefordert, und endlichen es beÿ 60. fl. gelaßen hette, und gienge daß erste jahr auff Joh:is Bapt. Zu endt, auff welches nôe der Mstrschafft Johann Bapt. Jetzhauß, und Johann Peter Berger geantwortet, daß sie der implorantin nicht Zu wider weren, sonderlichen 1° da dero sohn beÿ seinem Vatter schon 2 jahr geschafft, ehe er sich Zum schloßer handwerck begeben, 2° er eines Meisters sohn were, den der Vatter außgelernt geben könte Wann er Wolte, 3° Wann er Zuvor, ehe er Zu Mstr. Listen gekommen, sich beÿ der Mstrschafft angemeldet hette, sie ihn gleich recipirt, und ihme daß meister recht gratis gegeben hetten. Worauff man die implorantin befragt, ob sie schon etwaß ahne lehrgelt bezahlt habe, und Wie viel ? habe sie bedütten, daß sie bereits 30. fl. erlegt hette, die sie gern dahindten laßen Wolte, Wann nur ihr sohn nach Verfließung eines jahrs das mstr recht bekomme.
Die Heren Deputirte hielten davor, daß beÿ ihme Johann Meÿßenbach gratis dispensirt und die lehr Zeit ahn statt 3 jahr auff ein jahr gesetzt, und wann der termin auff Johannis vorbeÿ seÿe, auch er Meÿßenbach præstanda præstirt haben werde, er alß dann beÿ der mstrschafft auffgenommen, und alß ein meister passirt werden auch Mstr Litsch ahne statt 60. fl. sich mit der helffte der 30 fl. contentiren solte, die genehmhaltung zu MGHherren stellend. Erkandt, beliebt.

(f° 135-v) Sambstag den 6.ten Juny. – Johann Meÿßenbach Ca. E. E. Mscht. der Bohrenmacher pt° Bescheids
Iidem [Obere Handwercks herren] per Eund. [Secretarium] ferner, daß Johann Meÿßenbachs auch umb communication deß jüngst ergangenen bescheids Ca. E. E. Mscht. der Bohrenmacher so willfahrt Worden, gebetten, welcher Zu papÿr gebracht worden, wie folgt
Bescheid. Sambstags den 16. ten Maÿ 1716.
In sachen Johann Meÿßenbachs deß ledigen Bohrenmachers Imploranten an einem, entgegen undt wider E. E. Mscht. der Bohrenmacher Imploraten am andern theil, ist pt° der lehrzeit erkandt, wird beÿ Imploranten trifftiger und erheblicher ursachen halben, sonderlich, da deßen Vatter in der Statt diensten gestorben, undt der sohn Zuvor, ehe daß schloßer handwerck erlernt, beÿ ihme dem Vatter auff den Bohrenmacher handtwerck eine lange zeit geschafft, gratis dispensirt, dergestalten, daß ane statt der dreÿ Jahr, auff die er zu meister Hannß Jacob Litsch den Bohrenmacher allhier eingeschrieben worden, es beÿ einem jahr gelaßen und wann auff Johannis Bapt. nächst kommendt dieße Zeit Vorbeÿ sein, und er der Implorant præstanda præstirt haben wird, er alß dann beÿ der Meisterschafft auffgenommen und alß ein meister passirt, auch, Von ihme Litschen, anestatt der Versprochenen 60 guldten lehrgeldts mehr nicht alß die bereits empfangene helfte der dreÿßig guldten prætendirt, und abgefordert werden sollte. Zu Mghherren stellendt, ob dißer bescheidt obstehender maßen expedirt undt dem Imploranten zugestallt werden solle. Erkandt, quoad sic.

(f° 155) Sambstag den 1.ten Augusti – Johann Meÿßenbach pt° Looß sprechens
R. nôe Annæ Catharinæ Meister Johann Meÿßenbachs wittib pro filio Ca. Meister Johann Jacob Litschen den Bohrenmacher Ewer Gnaden haben Erkandt, solle es mit implorantin sohn beÿ ihr sein Verbleibens haben, und wann ein jahr Vorbeÿ, auf præstanda præstirt, er zu einem meister angenommen werden, Welches E. E. Gericht de facto respectirt, Weilen aber citatus den imploranten nicht looß sprechen will, alß bittet ihn hierzu obrigkeits an zu halten, ref. exp. G. cit. præs. bittet deput. R. Weilen hierinn schon gesprochen, alß setzts. Erkandt Obere Handwercks herren.

Jean Meissenbach s’adresse le 6 mars 1717 aux Quinze parce que le Corps des taillandiers qui l’empêche d’avoir des clients et ne lui envoie pas de compagnon enfreint le jugement que les Quinze ont rendu l’année précédente. Lors de l’enquête, Jean Meissenbach ajoute que le Corps des taillandiers a envoyé un courrier au siège du corps de métier à Nuremberg en le diffamant parce qu’il n’a pas de certificat de compagnon. Le Corps des taillandiers nie avoir expédié un tel courrier mais que comme Jean Meissenbach n’a pas de certificat de compagnon ceux qu’il pourrait engager ne le considèrent pas comme un bon maître dont le certificat n’aurait aucune valeur. Jean Meissenbach produit une lettre du corps de Nuremberg en date du 3 mars 1716 d’après laquelle il n’entend pas lui faire de difficulté. Le Corps des taillandiers présente une lettre du même corps en date du 16 octobre 1716 qui expose que nul n’a jamais été admis à faire son chef d’œuvre après trois ans d’apprentissage sans avoir été compagnon. Le maître du corps déclare que Jean Meissenbach doit présenter un certificat d’apprentissage. La commission d’enquête répond que le corps de métier aurait dû déclarer que le certificat est nécessaire avant que les Quinze ne prononcent leur jugement l’année précédente. Elle relève que le corps de métier a déclaré n’avoir pas écrit à Nuremberg puis a produit une réponse du corps de Nuremberg. Elle estime que le Corps des taillandiers agit par pure malignité et le condamne à 10 livres d’amende et à rembourser les frais de procédure à Jean Meissenbach qu’elle devra tenir pour un honnête maître en lui envoyant des compagnons et en lui fournissant des clients. Le maître du corps de métier sera passible d’une peine d’emprisonnement s’il n’exécute pas le jugement.
Jean Meissenbach déclare le 25 septembre 1717 aux Quinze que le corps de métier n’a pas exécuté le jugement et qu’il retire son agrément à Jean Baptiste Jetzhaus qui est partisan de l’exécuter. Lors de l’enquête, le corps de métier répond qu’il applique le jugement puisqu’il considère Jean Meissenbach comme un maître honnête et qu’il a récemment envoyé un compagnon que Jean Meissenbach a battu au lieu de signer son certificat  quant à Jean Baptiste Jetzhaus, il a été injurié par un Mulhousien et doit régler l’affaire pour être à nouveau considéré comme un maître honnête. Jean Meissenbach répond que le compagnon s’est montré insolent et n’a pas observé les usages. Jean Baptiste Jetzhaus présente quant à lui une lettre du Muhousien Jean Georges Schelle. La commission d’enquête est d’avis que le compagnon qu’a envoyé Jacques Litsch devra aller saluer dans les 24 heures Jean Meissenbach, lequel devra demander à Nuremberg un certificat d’apprentissage en joignant à sa requête une recommandation du corps de métier. Jean Baptiste Jetzhaus aura deux mois pour régler l’affaire d’injures. Les Quinze ratifient le 4 décembre la proposition de la commission.

1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 107) Sambstag d. 6. Marty 1717 – Johann Meißenbach Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher
Saltz. nôe Johann Meißenbachs Bohrenmacher Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher Obermeister Johann Jacob Litsch Weil Cit. Mghh. bescheidt schnur strackh in allem Zu Wieder leben, und Principalen Weder Kundschafft Ziehen, noch demselben Gesellen Zuschicken, alß bitt Deput. und beÿ hoher Straff denen Cit. anzubefehlen Mghh. bescheid in allem nachzugeleben Ref. Exp.
Goll bitt Zu untersuchung der Sach Deput. Erk. Ober Handwerck herren.

(p. 165) Sambstag d. 3. Aprilis 1717 – Johann Meißenbach Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher pt° parition bescheidts
Iidem [Obere Handwerck herren] per Eundem [Secretarium] laßen ferner referiren, daß Johann Meißenbach der burger undt Bohrenmacher allhier Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher Obermeister Johann Jacob Litsch et Cons. geklagt, daß Sie Mghh. bescheidt vom 16. May 1716 nicht nachgeleben, Ihme Klagern Keine Gesellen Zuschicken, auch Ihme nicht Zur Kundschafft Ziehen wolten, mit unterth. bitt herinn gnädig Zu remediren. Auff geschehene Remission habe man die Parthen ferner angehört, die Kläger dieses beÿgefügt daß die Meisterschafft in das Reich geschrieben und Ihne allenthalben Verschreÿen hette, damit man Ihne Weil er den Gesellenstand nicht habe in den Reich nirgend mehr passiren möchte, auff welches er Litsch und Benedic Bronner der Bohrenmacher Gesell Von Olten Geantwortet, daß die Meisterschafft nicht in das Reich geschrieben habe, müßten aber gestehen, daß Sie Ihne Keine Gesell Zuschickheten, Weil Er nach Handwerckhs brauch den Gesellenstand von der Hauptlad Zu Nürenberg nicht habe, auch die Frembde Gesellen undt Meister Ihne deßwegen nicht als einen Rechtschaffenen Meister erkennen, und wann ein Gesell von Ihme Kläger einen gruß an ein ander orth brächte, selbiger nicht nur Kein geschenckh bekommen würde sondern auch darüber sich abstraffen laßen müßte. Auff welches hin Kläger gegenwärtiges Schreiben Von E. E. Meisterschafft Zu Nürenberg vom 3. Martÿ 1716. producirt , auß welchem Zu sehen daß alldasige Meisterschafft Ihme nicht in den weeg legen wollen und wäre solche Wiederwärthigkeit einzig und allein von hiesiger Meisterschafft wieder ihne haltende animosität entstand.
Auff welches hin Beklagte ein anderes Schreiben von Gemelter Meisterschafft Zu Nürenberg vom 16. 8.bris 171* Vorgelegt, aus welchem erhellet daß hiesige Meisterschafft der Bohrenmacher d. 8. ged. monaths 8.bris an die Nürenberger sch(öffen) geschrieben habe und berichtet ged. Nürnebergische Meisterschafft, daß auff Ihren handwerck nie erhöret word. daß einer nach 3. Jähriger Lehrzeit ohne erstehung einiger Gesellen Jahr so gleich wäre Zu Verfertigung des Meisterstücks Zu gelaßen werd. und Könne weder ein solcher Meister noch seinen Gesellen und gelernte auff dem Handwerck passirt [p. 167] werden &. Deme Litsch noch dieses beÿgesetzt daß Sie mehr von Ihme Meißenbach nicht verlangten alß daß er seinen Gesellen stand vorlegen solte, befragt ob es dann ohnumbgänglich nothwendig daß ein jeder Bohrenmacher so Meister werden will, ged. Gesellenstand haben müßte, hätten sie mit ja geantwortet. Ferner befragt warumb sie solches Wieder Ihme Meißenbach ehe und bevor er Zum Meisterstück admittirt word. nicht eingewendet ? habe er Litsch Vorgemeldet, daß er damahl nicht, sondern Jetzhauß und Meister Berger beÿ der Deputation gewesen wäre, und habe Meißenbach die Meisterschafft mit der unwahrheit berichtet, daß nemlich Er schon zweÿ Jahr beÿ seinem vatter gearbeitet habe, Welches aber jetzund gantz anderst sich befinde.
Alß man das Protocoll de A° 1716. vom 16. Maÿ da Meißenbach dispensando Zu dem Meisterstück admittiret worden auff geschlagen, habe man gefunden, daß damahl die Meisterschafft Kein jotta Von dem Gesell stand gedacht, und wan sie Zu selbiger Zeit die heutige opposition formirt hätte, Mghh. Ihren bescheid auch anderst würden eingerichtet haben, Weßwegen man auff seithen der Hh. Depp. Vermerckt daß die Meisterschafft Ihne Meißenbach auß purer mißgunst und neid zu chagriniren suchen und Weil selbige Vorgegeben, daß Sie Wieder den Meißenbach nicht in das Reich geschrieben, da doch das wiedrige aus dem von Ihnen selbst vorgelegten Antwortschreiben Von der hauptlad Zu Nürenberg erhelle, so vermeine man daß die Meisterschafft dahien Zue condemniren seÿe, daß Sie Ihne Kläger beÿ 10. lb straaff in allen stücken alß einen Rechtschaffenen und Redlichen Meister zu consideriren, Ihme nicht nur aillein die Gesell Zu Zuschicken, sondern Ihne auch je Zuweilen Zur Kundschafft Zu Ziehen und Ihme in dem geringsten nichts in den weeg Zu legen schuldig seÿen sollen, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend.
Erkandt, bedacht beliebt, mit dem anhang daß auff erheischenden fall sie beklagte Ihme Kl. den quæstionirten Gesell stand auff Ihren uncosten verschaffen, 2.do alle biß dato auffgeloffene uncosten den Kläger Zu refundiren anbeÿ beÿ thurn straff diesem Mghh. bescheid Stricte nachgeleben sollen.

(p. 499) Sambstag d. 25. Sept. 1717 – Johann Meißenbach Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher
Saltz. nôe Joh. Meißenbachs und Joh: Baptista Jetzhauß beede burger undt Bohrenmacher allhier contra die Meisterschafft der Bohrenmacher weilen Citati in sachen contra Johann Meißenbach Mghh. bescheid in dem Monath Martÿ jüngst ergangen nicht pariren, und sie Klagenden Jetzhauß der Ursachen, Weil er ged. bescheid parition leisten will , gleichfalls vor untüchtig erkennen wollen, alß setzt man solche Wiederspenstigkeit Zu Obrigkeitlicher Anthung, und bitt parition Sub arctiori anzubefehlen. Goll Citatus præsens, bitt Zu mehrerm bericht Deputationem. Saltz. mogs leid. Erkandt, Ober Handwerck herren.

(p. 577) Sambstag d. 4. Xbris 1717. – Johann Meißenbach und Joh: Baptista Jetzhauß Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher
Obere Handwerck herren per Eundem [Secretarium] laßen ferner referiren, daß Johann Meißenbach und Joh: Baptista Jetzhauß beede burger undt Bohrenmacher allhier Ca. E. E. Meisterschafft der Bohrenmacher Clagt, und berichtet daß beklagte Mghh. bescheid nicht pariren, und sie Klagende Jetzhauß der Ursachen, Weyl er ged. bescheid parition leisten will, gleichfalls vor untüchtig erkennen wollen, setzten anbeÿ solche Wiederspenstigkeit Zu Obrigkeitlicher Anthung, mit bitt parition Sub arctiori anzubefehlen.
Auff geschehene Remission habe man die Parthen ferner angehört undt habe Meißenbach beÿgefügt, daß beklagte Ihme kein gesindt zuschicketen. Nomine E. E. Meisterschafft seÿen erschienen Joh: Peter Berger und Joh: Jacob Litsch, welche geantwortet daß Sie Mghh. Erktnuß bißhero nachgelebt, und den Gegner vor ein Rechtschaffenen Meister erkannt, Wie sie Ihme dann erst kürtzlich einen Gesellen Zugeschickt, allein wolle derselbige nicht g. der Meisterschafft halten, hätten Ihme auch ohnlängst einen Gesell von Olthen gebürtig, umb Ihme die Kundschafft Zu unterschreiben Zu gewießen, aber ane statt daß er Ihme die Kundschafft unterschrieben, habe Er ihne bluthig geschlagen. den Jetzhauß belangend so seÿe derselbige von einem Mühlhaußer Meister gescholten, undt Könten sie ihne nicht vor redlich erkennen biß er die Sach mit dem Injurianten werde außgemacht haben.
Meißenbach replicirt, Er habe den Gesellen nicht bluthig geschlagen, derselbe seÿe gantz trotzig in sein hauß gekommen, habe sein Brieff fuder auff den Tisch gelegt, sagend Er Meißenbach solle jetzundt die Kundschafft daraus nehmen undt unterschreiben, welches Er aber nicht thun wollen, den Gesellen dahien anweißend er solle Ihne die Kundschafft durch den Ältisten Gesellen nach Handwerckhs brauch Zuschicken, wölte sie alßdann unterschreiben. Der Gesell aber habe sein brieff Fueder genommen, und seÿe im trotz davon gegangen die Meisterschafft betreffend, so lebten Sie Ihme in allem Zu leÿd Wie dann erst ohnlängst Meister Litsch einen Fremden Gesellen in Arbeith genommen, Welcher allen Meistern außer Ihme beÿ seiner Ankunfft den Gruß überbracht.
Jetzhauß Vermeldete, daß die Meisterschafft ihne nicht Weil er gescholten, sondern ursachen er der Meißenbach laut Mghh. Erkantnuß Vor einen Rechtschaffenen Meister erkenne, Vor untüchtig hielten, welches Zu ersehen auß einem Antwort Schreiben an Meister Litsch von dem Mullheußer Meister nahmens Joh: Georg Schelle unter dem dato 15. Xbris 1716. abgeleßen.
Auff seithen der Hh. Depp. habe man davor gehalten, daß Meister Litsch seinen bereiths habenden Gesell soferne derselb nicht innerhalb 24. stund Ihme, Meißenbach den gruß bringen würde, abzuschaffen schuldig sein solle. Indeßen Meißenbach gehalten sein, ane E. E. Meisterschafft Zu Nürenberg umb seinen Gesell stand außzuwürckhen, zu schreiben, die Meisterschafft aber sein begehren mit einen Kräfftigen Vorschrifft Zu Secundiren. Den Jetzhauß belangend, so werde Ihme nur Zeit von Zweÿ Monath anzusetzen sein, umb seine sach mit denen Injurianten coram judice competente außzumachen, indeßen ihne das hoffrecht gedeÿen. Die genehmhaltung Zu MGhh. stellend. Erkandt bedacht beliebt.

Jean Meissenbach épouse le 7 novembre 1720 Catherine Elisabeth Stædel, fille de libraire : contrat de mariage, célébration

1720 (25. 8.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 18
Eheberedung – zwischen dem Ehren und wohlvorgeacht H. Johann Maißenbach dem ledigen Zeüg und bohrenschmid auch burger alhier alß bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfer Catharinæ Elisabethæ, weÿland des Wohl Ehren Vesten fürsichtig und weußen H. Josiæ Städels gewesten buchtruckers und E. E. Großen Raths vormahligen beÿsitzers auch vornehmen burgers alhier nunmehr seel. hinterlaßener ehelichen Tochter alß Jungfer hochzeiterin andern theils
So beschehen, verhandelt in dießer königlichen Statt Straßburg den 25. Octobris Anno 1720
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden [exemplaire signé joint à l’inventaire)

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 331-v, n° 1360)
Mitts. d. 7. 9.bris 1720. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet Worden Joh: Meißenbach der Ledige Zeug schmidt v. b. alhiern Weÿl. Joh: Meißenbachs Gewes. b. Zeug schmidts nachgelaßener ehl. Sohn v. Jgfr. Cathar. Elisabeth weÿl. H. Josias Städels, gewesenen buchhändlers auch E. E. Großen Raths beÿsitzers nachgel. ehl. tochter [unterzeichnet] Johannes Meißenbach als hochzeiter, Catharina Elisabetha Städelin als hochzeiterin (i 331)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 127 livres, ceux de la femme à 422 livres.

1721 (11.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 11) n° 422
Inventarium über Hn Johannis Maißenbach des Zeüg: und Bohrenschmids und frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrner Städelin, beeder Eheleuthe und bürgere allhier Zu Straßburg, einander für unverändert in den Ehestand zusammen gebrachter Nahrung, auffgerichtet Anno 1721. – u. crafft der mit einander auffgerichteter Eheberedung ihnen u. ihren Erben als ein unverändert Vorbehalten Guth mithin in Ergäntzung des Künfftigen Abgangs Expresse conditionirt und bedungen – So beschehen Strasb. in fernerem beÿseÿn auff seiten des Ehemanns Hn Daniel Kipßen jun. des tuchscherers u. burgers alhier seines ohnentledigten Vogts, so dann auf seiten der Ehefrauen S. T. Hn Abrahamb Städel Wohlmeritirten commissarÿ alhier deroselven leibl. H. Bruders, Dienstag den 11. febr. Anno 1721
Sa. haußraths 216 (M 85, F 130), Werckzeug wie auch Schiff und geschirr zum Bohrenmacher handwerck gehörig (M 18), Sa. Silbers 26 (M 15, F 11), Sa.Goldener Rind (F 15), Sa. baarschafft 118 (M 8, F 110), Summa summarum des Manns sambtlich eingebrachtes Vermögen 127 lb
Sa. Pfenningzinß hauptgüter (F 150), Schulden (F 4) Summa summarum der Frauen & 422 lb – Haussteuren 67 lb

Jean Meissenbach meurt le 12 mars 1728 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre à la veuve est de 747 livres. L’actif de la communauté s’élève à 657 livres, le passif à 829 livres.

1728 (9. 7.bris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 29) n° 913
Inventarium über Weÿl. des Ehren und Vorgeachten Hn. Johann Meißenbach des geweßenen Zeüg: und Bohrenschmidts auch burgers alhier zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1728. – nach seinem am 12.ten Martÿ Jungsthien genommenen tödl. hientritt hie Zeitlichen verlaßen, wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H, Johann Daniel Bleÿfuß des Säcklers und burgers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Catharinæ Elisabethæ und Susannæ Magdalenæ beÿder Meißenbachin so der Verstorbene seel. mit seiner hinterbliebenen wittib ehel. erziehlt und ab intestato Zu Zwen gleiche portionen und antheÿlern Zu Erben Verlaßen heut dato ordnungs mäßig inventirt und ersucht durch die Viel Ehren: und tugendreiche Fraw Catharinam Elisabetham Meißenbachin gebohrne Städelin die hinterbliebene Wittib mit hülff und beÿstand H Johann Jacob Schingen des Goldarbeiters und burgers alhier Ihres geordneten Curatoris – So beschehen Straßburg den 9.ten Septembris 1728.

In einem allhier Zu Straßburg ane dem gebranden End gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen und deßwegen hernacher beschriebenen behaußung befunden
Holtz und Schreinerwerck. Auff d. obern bühn, In der Cammer A, In der Magd Cammer, In der Stub Cammer, In der Wohn Stub, Im Haußöhen, Im untersten Haußöhen
(f° 10) Eÿgenthumb ane einer Behaußung So den Erben unverändert und theÿlbar. Ein Hauß, Hoff, und Hoffstatt mit allen deroßelben Gebawen, begriffen, weiten Zugehörten Recht. und Gerechtigkeiten allhier ane dem Barfüßer Platz beÿ dem Gebranden End 1. s. ist ein Eck ane der in dem Gerber: oder Rindshäuter Graben leitenden Stieg, 2.s. neben Hannß Jacob Stahl dem Jüngern weißgerber hinden auff gedachten Graben stoßend gelegen, ist annoch H. Daniel Bleÿfußen des Säcklers und burgers allhier töchterlein erster Ehe nahmens Mariæ Magdalenæ vor Mütter: und Großmütterlich Guth in Capital umb 250 lb. So dann Hn XV. Secretario Hennenberger ebenmäßig Verhafftet Vor 250. lb, Summa dießer onerum 500 lb. Sonsten so fern freÿ leedig und eigen. Und ist dieße behaußung durch der Statt Straßburg geordneten Ehl. Werckmeistere Vermög dero Zu mein des Notarÿ Concept überreichten schrifftlichen Abschatzung de dato 11.ten Septembris Anno 1728. über abzug obiger beschwerden æstimirt und angeschlagen worden vor 500. darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg größern cancleÿ contract Insigel verwahrt undt datirt d. 13.sten Martÿ A° 1724. mit lit. A. notirt. Ferner Ein ältere pergam: Kbrief mit dem anhangenem größern contrat Insigel bekräfftiget deßen datum den 15.ten Xbris A° 1684. mit altem litera A und newem lit. B. bemerckt,
Sa. haußraths 65 (W 15,E 26, T 26), Sa. Vaß Wein und Bütten (T 10), Sa. Silbers 12 (W 2, E 7, T 2), Sa. Goldener Ring (W 2), Sa. baarschafft (T 7), Sa. Wahren undt Werckzeugs Zum bohrenschmidt handwerck gehörig 68, Sa. Schulden (W 87, T 11), Summa summarum Theÿlbahren Verlaßenschafft 657 lb – Schulden 829 lb Conferendo 172 lb
Sa. Behaußung 500
Ergäntzung der Wittib obganganen unveränderten Vermögens, Nach ausweis Inventarÿ So Ich unterschriebene Notarius über beed. geweßener Eheleuth in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrungen unterm 11.ten Februarÿ Anno 1721. auffgerichtet 338, Summa summarum der Wittib Vermögens 747 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 575 lb
Abschatzung dem 11. Sept: 1728. Auff gebehren weillnd deß Ehren hafften undt bescheitenen Meister Johann Meÿßenbach geweßenen bohren Machs seel. hinder Laßene frau Wittib und Erben, ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg im brendenënd gelegen ein seÿts Neben hannß Jackob Stahl weiß gërber, ander seÿts ein Eck gegen dem Bier hauß Zum Weißen beren über gelegen und Zum theill auff dem Gerber graben stoßt wëlche behaußung Stuben Chammeren Kuchen Hauß Ehren Werckstatt mit einer bohren Macher Eß holtz Chammer höfflein und bronnen samt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werck Leüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß Nach angeschlagen wierdt vor und umb –Ein Tausent Gulten Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) den 15. Octobris Anno 1718 [unterzeichnet] Johannes Meÿßenbach als hochzeiter, Catharina Elisabetha Städelin als hochzeiterin [Copie de l’inventaire des apports]
Copia Codicilli Reciproci – 1723 (…) auff Freÿtag den 29. Octobris Vormittags Zwischen 9 und 10 Uhren in einer alhier zu Straßburg ane dem do genannten Gebranden End gelegenen hernach Vermelten herrn Mit Codicillatori eigenthümlich zuständigen behaußung dero Vorderen eckstuben die Fenstern zum theil auf das gebrande Endt zum theÿl aber gegen dem bierhauß zum weißen bären und auff dem baarfüßer platz außsehend (…) persönlich erschienen seind der Ehren und Vorgeachte herr Johann Meißenbach Zeüg: und Bohrenschmidt und mit ihm die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Catharina Elisabetha gebohrne Städelin beede Eheleuth und burgere alhier Er der Mann Zwar kranck und unpäßlich dannenhero auff einem bett liegend, Sie die Fraw aber gesund gehend und stehenden leibs (…) Christoph Michael Hoffmann

Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1713-1736, f° 79)
Freit. den 12. Martii nachmittags Zwischen 1. v. 2. starb H. Johannes Meÿsenbach burger und Cirkelschmidt hat gelebt 41. Jahr Weniger 2. Wochen 2. tag und ist Sonnt. den 14. ejusd. Zu St. Helenæ Christ. begraben Word. deßen seind folgenden Zeugen Abraham Stædel als Schwager, Johann Daniel Baur (i 81)

Catherine Elisabeth Stædel se remarie en 1730 avec Jean Nicolas Klauer, marchand originaire de Francfort

1730 (16. Xbr), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 75) n° 675
Heÿraths Abred Zwischen dem Ehrengeachten und Wohlvorgeachten H. Johann Niclaus Klauer dem ledigen Handelsmann Von Franckforth am Maÿn gebürtig, alß hochzeitern ane einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Frauen Catharinæ Elisabethæ Meißenbachin gebohrner Städelin, weÿl. Hn Johannes Maißenbachs geweßenen Zeüg und bohrenschmidts und burgers alhier nachgelaßener wittib alß Hochzeiterin am andern theÿl
So beschehen den 16. Decembris Anno 1730 [unterzeichnet] Johann Nicolaus Klauer als hochzeiter, Catharina ebisabetha meisenbachin als hochzeiterin

Catherine Elisabeth Stædel meurt à l’hôpital le premier septembre 1739

Sépulture, Hôpital (luth. 1733-1763, p. 106)
1739. Catharina Elisabetha Meisenbachin gebohrne Städelin, eine burgers Frau, von hier, starb d. 1. 7.bris (i 47)

Le marchand de toile Jean Daniel Baur rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent aux deux filles Meissenbach dont l’aînée est morte à l’hôpital

1739, Not. Marbach (Jean, 34 Not 4) n° 167
Rechnung Mein Johann Daniel Bauren Weiß Leinwand: Händlers und burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Catharinä Elisabethä und Susannä Magdalenä Meißenbachin, weÿl. Meister Johannes Meißenbachs geweßenen Bohrenmachers und Burgers allhier zu Straßb. mit auch weÿl. Fr. Elisabetha geb. Städelin, seiner geweßenen haußfrauen ehel. erzeugter Kinder, Inhaltend alles dasjenige was ich vom 25. Martÿ 1738 biß 1. 8.br. 1739 vor Catharinam Elisabetham die älteste Curandam so in allhießigem mehrern Hospitahl verstorben, eingenommen und hinwieder außgegeben habe.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient la demande du tuteur d’admettre à l’hôpital Susanne Madeleine Meissenbach qui est de faible constitution.

1740, Conseillers et XXI (1 R 223)
Weÿ: Johann Meÿßenbachs hinterlaßenes töchterlein Wird in das Waÿßenhauß auffgenommen. 212
(p. 211) Mittwoch d. 8. Junÿ – Mr. Mosseder nôe Weÿl. Johann Meÿßenbachs geweßenen burgers und bohrenmachers Kindts vogt gegenwärtigen Joh: Daniel Baur, burgers und handelßmanns prod. unterthäniges memoriale und bitten mit beÿlaage Sub N° 1-6 umb deßen gnad. aufnahm in das Waÿsenhauß, handelt Innhalts.
Ist Erkanndt, Wie des Imploranten Vogts Curanda nahmens Susanna Magdalena A° 1727 gebohren als ein Vatter und mutterlooßes burgers und deßen blöder und Kräncklicher Leibs Constitution halber, an die Hh. Pfleger des Waÿßenhaußes umb selbige darinn auffnehmen Zu laßen Verwiesen.
Deputati H. Rathh. Fischer, H. Rathh. Hügel.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un admettent Susanne Madeleine Meissenbach pensionnaire à l’hôpital

1785 Conseillers et XXI (1 R 268)
In dem meren Hospital werden aufgenommen Susanna Magd. Maÿsenbachin, 241
(p. 241) Montag den 14. Novembris 1785 – Auffnahm in den Hospital
Susanna Magdalenä Maÿsenbach, weil. Johannes Maÿsenbach gewesenen Bohrenmachers und b. Tochter


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.