37, rue du Faubourg National
Rue du Faubourg National n° 37
I 345 (Blondel) – P 344-345, P 93 à partir de 1872, puis section 48 parcelle 64 (cadastre)
La maison en mai 2014 et en 1942 (dossier de la Police du Bâtiment)
La maison fait l’angle occidantal du Faubourg Blanc et de la rue Sainte-Aurélie. Elle appartient dans la deuxième moitié du XVII° siècle au receveur de l’auberge des Pauvres passants et à ses héritiers. Un maréchal ferrant l’acquiert en 1729 et y établit sa forge. Il est autorisé à établir sur le communal devant sa maison un embatoir et un plateau à ferrer surmonté d’un auvent, agrandi une dizaine d’années plus tard ; tous sont supprimés en 1768. Les directeurs fonciers refusent en 1789 au propriétaire l’autorisation de réparer sa maison qui dépasse largement des nouveaux alignements tracés par Blondel. L’atelier de maréchal ferrant est remplacé par une boulangerie dans les années 1840.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 99
D’après la description de 1735, la maison a un rez-de-chaussée et deux étages, un hangar où se trouve la boutique de forgeron. C’est la même disposition des lieux que décrit l’Atlas des alignements (rez-de-chaussée et deux étages médiocres en bois, années 1820) et que montrent les élévations préparatoires au plan-relief de 1830. La façade sur rue se trouve de part et d’autre du repère (a), à gauche celle rue Sainte-Aurélie et à droite celle rue du Faubourg Blanc où se trouvent les portes d’entrée. La maison se prolonge au-delà du repère (b) par la boutique de maréchal ferrant à simple rez-de-chaussée comme l’indique explicitement le plan établi en 1823 par les Ponts-et-Chaussées. La cour (M) qui fait partie de la maison voisine permet de voir entre (2) et (3) le mur pignon de la boutique de maréchal ferrant. La maison est détruite pendant le siège de 1870.
Cour C,
Plan des Ponts et Chaussées (1823, ADBR cote 2 SP 52)
La ligne horizontale qui traverse le plan des Ponts-et-Chaussées figure l’alignement légal, repris des projets de Blondel. Les destructions de 1870 sont l’occasion pour la ville de réaliser cet alignement, représenté en ligne à hachures sur le plan cadastral. La nouvelle parcelle P 93 qui borde la rue correspond à l’ancienne parcelle P 394 (2, rue Sainte-Aurélie). La nouvelle maison qu’on y construit reprend le n° 37 qui désignait auparavant le bâtiment des parcelles 344 et 345 réunies au domaine public. Les surfaces lavées en rose sur le plan de 1875 sont d’anciennes partie des parcelles disparues.
La nouvelle maison à rez-de-chaussée et quatre étages, surmontée de mansardes, est terminée en 1875 en suivant les nouveaux alignements après un échange de terrains avec la Ville. Les locaux sont occupés par une pharmacie à partir du début du XX° siècle. La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. La devanture de la pharmacie prend son aspect actuel en 1963, un auvent sépare depuis lors le rez-de-chaussée de l’entresol.
Extrait du plan cadastral de 1837 (section P)
Plan des terrains échangés en 1874 (dossier de la Police du Bâtiment)
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1650 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Jean Schmidt, maréchal ferrant, et Marie Zollfort – luthériens | ||
1650 | v | Abraham von Fridolsheim, jardinier, et (1603) Marguerite von Simbsheim – luthériens |
h | Erasme Schad, receveur, et (1633) Anne von Fridolsheim puis (1659) Marthe Ulmann remariée (1674) à Marcel Schenck, receveur, puis (1679) à Jean Henri Metzger pour moitié à Anne Marguerite Schad, et (1655) Jean Georges Artopœus, pasteur et à la veuve – luthériens |
|
1713 | h | Georges Riess, marchand, et (1694) Marie Dorothée Schad – luthériens |
1729 | adj | Jean André Klein, maréchal ferrant, et (1725) Anne Barbe Eckert, remariée (1735) au maréchal ferrant Jean Daniel Person – luthériens |
1772 | h | Marie Barbe Person et (1772) Jean Pierre Führer, maréchal ferrant – luthériens |
1832 | h | Daniel Führer, maréchal ferrant, et (1802) Anne Œsinger 1843 Jean-Daniel Firer, boulanger, et Barbe Firer, nu-propriétaires |
1858* | Jean Isidore Redon | |
1873* | Albert Eugène Engelmann, pasteur | |
1933* | Frédéric Conrad son épouse née Engelmann et copropriétaires | |
1945* | Albert Paul Ferdinand Engelmann et copropriétaires |
(1765, Liste Blondel)
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 344, Führer, Daniel, boulanger – maison, sol, cour – 0,9 are
P 345, Führer, Daniel, boulanger – maison, sol, cour – 0,76 are
Livres des communaux
Les registres reportent les loyers que les directeurs fonciers ont établis. Ils s’éteignent en 1768 quand les objets imposés (plateau à ferrer, embatoir) sont supprimés
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 503-v
Andres Klein der Huffschmid soll von einem 19. schuh breit und 10. schuh weit von Seiner Schmid heraus auf pfählen stehenden Wetterdach, eine beschlag pritsch und radgrub darunder zumachen, Jahrs auf Martini undt laut Prot: de 1729. fol: 128-b et 230-b A° 1730. I.mo, 1 lb
Daniel Person
1730-1736
derselbe solle ferner Von erlängerung obigen Wetterdachs jahrs auf Martini und A° 1738. I.mo L. Prot. de A° 1737. fol: 156, 1 lb
1740, 1741
Neuzb fol 11
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 11
alzb. 503-b
Daniel Berson Soll von einem 19. schuh breit und 10. schuh weit von seiner Schmidt heraus auf pfahlen stehenden wetter dach, eine beschlag pritsch und radgrub darunder zumachen Jahrs auf Martini, 1 lb
Ferner von erlängerung obigen wetterdachs Jahrs auf Martini, 1 lb
(Quittungen 1741-1738)
ist den 20. Apr: 1768 hinweg gemacht worden
Directeurs fonciers (Bauherren)
1729, Directeurs fonciers (VII 1393)
André Klein est autorisé à placer devant sa maison un embatoir et au-dessus du plateau à ferrer un auvent de 19 pieds sur 10, moyennant un loyer annuel d’une livre
(f° 222-v) Dienstags den 4.t Octobr. 1723. Andreas Klein – Andtres Klein der huffschmid bitt Mghhn. umb erlaubnus vor Seiner beÿ St. Aurelien liegenden Wohnung eine Radgrub und über die beschlag pritsch ein Wetterdach machen Zu laßen. Ekk. wird ein Augenschein beliebt
(f° 228-v) Sambstags den 27. Octobris 1729. wurden nachfolgende Augenschein eingenommen. Andres Klein der Schmidt. An Andres Kleinen des Hueffschmidts Hauß in der Weisen Thurnstraß, welcher umb erlaubnuß gebetten ein 19. schuhe breites Wetterdach, 10 schuhe weit Von seiner schmiden Herauß Auf Pfähl Zumachen, darunter er eine Beschlagpritsch und Radgrub haben möge.
(f° 230-v) Dienstags den 8. 9.bris 1729. Andres Klein wegen Wetterdachs. Andres Klein dem Schmidt ist in seinem begehren, wegen suchenden 19. schuhe lang und 10 schuhe breiten Wetterdachs, Willfahrt, daß er jährlichen auf Martini und A° 1730. I.mo I. lt. Zinß Zahlen solle.
1737, Directeurs fonciers (VII 1397)
Daniel Person est autorisé à agrandir de 11 pieds et demi l’auvent au-dessus du plateau à ferrer
(f° 156) Mittwoch den 25. Septembris 1737. seynd folgende Augenschein eingenommen worden. Daniel Berson. Beÿ Daniel Berson dem Hueffschmid in der Weisen Thurn straß, welcher sein 10. schuhe breit oder tieffes Wetterdach über der beschlag Pritsch, in der Nemblichen tieffe oder breite an dem Hauß umb 15. schuhe, gegen der gaß 11 ½ schuhe Zu Ver Längern willens, und deßwegen umb erlaubnus gebetten. Erkant Gegen 1. lb d Zinß Willfahrt, wie er Von dem Andern Wetterdach auch gibt Vid. Statt Zinßb. fol: 503.
1789, Directeurs fonciers (VII 1423)
La femme Nagel demande au nom du maréchal ferrant Jean Führer l’autorisation de repeindre la maison. Les directeurs fonciers refusent parce que la maison dépasse beaucoup de l’alignement. Ils confirment leur décision suite à une nouvelle requête.
(f° 281-v) Dienstags den 9.ten Junii 1789. Johannes Führer pt° anstreichen – Die verwittibte Frau Nagelin durch ihren palis erscheinend nahmens Johannes Führer des Schmidts bittet gehorsam um erlaubnus deßen in der weisen thurn straß gelegenes mit N° 81 bezeichnetes Haus anstreichen Zu dörfen. Erkannt, Augenschein
(f° 287-v) Dienstags den 16.ten Junii 1789. Wurden die den 13. hujus aingenommene Augenschein abgehandelt und dabeÿ erkannt wie folgt. Johannes Führer pt° anstreichen – In der weisen thurn straß an Johannes Führer des Schmidts behaußung, allwo derselbe solche anzustreichen begehrt, da derselbe mit seiner alten behaußung und schmiedte nach dem angenommenen Alignement nun Vieles hieneinrucken soll. Erkannt, ab und an das Alignement Verwießen.
(f° 294-v) Dienstags den 23.ten Junii 1789. Johannes Führer pt° reparation und anstreichen seiner behaußung -Johannes Führer der Schmidt bittet nochmalen unterthänig um erlaubnus seine in der weisen thurn straß gelegene Behaußung accomodiren und anstreichen Zu dörffen, da es ihm ohnmöglich falls mit seinem haus, daß er als ein jünger anfänger zu erbauen außer stand, zurück Zu fahren, und den ihm Zu seinem Handwerck nöthigen platz Zu Verliehren. Erkannt, nochmahlen ab und an das Alignement Verwießen.
Description de la maison
Les experts de la Ville estiment la maison 350 livres en 1689, 435 livres en 1712 et 560 livres en 1735. Cette dernière estimation est reprise lors de l’inventaire de 1759, ce qui indique qu’il n’y a pas eu de grands travaux dans la maison.
- 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, une cuisine, au premier étage poêles, chambres, vestibule, cuisine, l’étage supérieur comprend trois chambres dont la chambre à soldats, un hangar qui abrite en partie l’atelier de forgeron, à côté le travail, devant la maison le plateau à ferrer, une remise à charbon, une cave solivée, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins
Atlas des alignements
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg Blanc
nouveau N° / ancien N° : 43 / 22
Führer
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 30 case 1
Les deux parcelles P 344 et 345 sont réunies en une seule par une rectification de 1852
Führer, Daniel, boulanger
1858 Redon, Jean Isidore faubourg national 22 à Strasbourg
P 344, sol, maison et cour, faub. National 22.bis
Contenance : 0,90
Revenu total : 144,49 (144 et 0,49)
Folio de provenance : rectif.
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie : 1852
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 344, sol, maison et cour, faub. National 22
Contenance : 0,76, total 1,66
Revenu total : 144,49 (144 et 0,49)
Folio de provenance : rectif.
Folio de destination :
Année d’entrée :
Année de sortie : 1852
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 29 case 4
Führer, Daniel, boulanger
Oppermann, Jean Régnard
P 345, sol, maison, bât. et cour, faub. National 22
Contenance : 0,76
Revenu total : 0,39
Folio de provenance : avec 344
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 39 case 1
Redon Jean Isidore
P 344, maison, faubourg national 37
Contenance : 1,66
Revenu total : 100,76 (100 et 0,76)
Folio de provenance : (30)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 344, sol
Contenance : 0,90
Revenu total : 0,47 (80,86)
P 345, sol
Contenance : 0,76
Revenu: 0,39
1871, Diminutions. Maisons détruites pendant le blocus – Zerstörung des Hauses in Folge der Blokade – Redon Jean f° 39, P 344, revenu 100
Cadastre napoléonien, registre 24 f° 44 case 2
Engelmann Albert Eugen, Pfarrer
P 93, Hofraum, Haus, Weißthurmstraße 37
Contenance : 0,85
Revenu total : 350 (350 et 0,44)
Folio de provenance :
Folio de destination :
Année d’entrée : 1878 Neubau
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36 / 29
fenêtres du 3° et au-dessus : 17 / 14
Jahrgang 1878, Zugang – Engelmann Albert Eugen f° 44-II, P 93, Haus, Reinertrag 350, Neubau, vollendet 1875, steuerbar 1878, besteuert 1878
Cadastre allemand, registre 31 p. 121 case 6
Parcelle, section 48, n° 64 – autrefois P 93
Canton : Weißturmstraße Hs. N° 37, Aureliengasse N° 2 – Rue du Faubourg National 37, Reu Ste. Aurélie 2
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,74
Revenu : 2300 – 2800
Remarques :
(Propriétaire), compte 2110
Engelmann Albert Eugen Wwe
1933 Conrad Frédéric son épouse née Engelmann et copropriétaires
1945 Engelmann Albert Paul Ferdinand u. Miteigentümer
(1331)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton I, Rue 6, Rue du fauxbourg Blanc (p. 6)
(maison n°) 18
Pr. Führer, J. Pierre, Maréchal – Maréchaux
loc. Person, M. Salomé – Maréchaux
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Weissthurmstrasse (S. 196
(Haus Nr) 37
Lams, Apotheker. 012
Ferntheil, stat.-Assist. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 789 W 84)
Le propriétaire reconstruit en 1875 sa maison d’après le nouvel alignement en échangeant des terrains avec la Ville. Le nouveau bâtiment a un rez-de-chaussée et quatre étages surmontés de mansardes. Les locaux sont oaccupés par une pharmacie à partir du début du XX° siècle (Gustave Lams en 1906, Camille Dahlet en 1941, Pierre Bachoffner de 1948 à 1986 puis Marc Joly). La maison est légèrement endommagée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Le pharmacien transforme en 1963 le rez-de-chaussée qui prend son aspect actuel, en plaçant notamment une marquise au niveau de l’entresol.
Sommaire
- 1875 (février) – Le propriétaire Engelmann a l’intention de reconstruire sa maison suivant le nouvel alignement figuré par les lettres ABKL. La Ville achète 31,28 m² de terrain délimité par les lettres CDEB du côté de la rue Sainte-Aurélie et le propriétaire 19,22 m² de terrain délimité par les lettres BFGHIKB du côté de la rue du Faubourg National. Le bâtiment projeté a un rez-de-chaussée et quatre étages surmontés de mansardes.
Rapport de l’agent-voyer – Plan du service d’arpentage
Bericht des städtischen Wegemeisters über das Gesuch vom 3.ten Februar 1875 wodurch H Wagner im Namen des H. Engelmann Eigentümer, begehrt sein altes Haus an der Ecke der Weißthurmstraße N° 37 und der St. Aureliengasse (o) abzubrechen, und durch ein neues Gebäuder zu ersetzen, laut dem, auf dem Gesuche gezeichnete Durchschnitt.
Laut dem modificirten und genehmigten Hauptalignementplan, steht das Eigenthum des H. Engelmann gegen der St. Aureliengasse vorwärts und gegen der Weißthurmstraße rückwärts demselben. Das zubefolgende Alignement für de Neubau gegen der St. Aureliengasse ist auf dem hier beigefügten Plane, durch die rothe Linie ABKL angegeben, durch welches die Stadt den Ankauf eines Terrain, welcher durch die Buchstaben CDEB bezeichnet ist, zu machen hat, von eine Fläche von 31 m 28 c zu 130.00 der Meter, macht 4066.40.
Hingegen hat H. Engelmann gegen der Weißthurmstraße von der Stadt den Ankauf eines Terrain, welcher durch die Buchstaben BFGHIKB bezeichnet ist, zumachen hat, von einer Fläche von 19 m 22 c Quadratmeter zu 30.00, 576.60. Für Façadenrecht auf eine Länge von 12 m 60 c zu 100.00 der Meter macht 1260.00 (zusammen) 1836.60.
Bleibt die Summe von 2229.80, Sage 2230.00 welche due Stadt an H. Engelmann zu bezahlen hat.
Der aufzuführende Neubau besteht in einem Erdgeschoß und vier Stockwerken im Mauerverbund, Mansarde darüber. Die Straßenbreite vor diesem Eigenthum gegen der Weißthurmstraße ist auf mehr als 10 Meter festgesetzt und gegen der St. Aureliengasse auf 8,00 Meter wovon die Façadelänge welche für die Nebenseiten erbault ist, nicht erreicht und für die begehrte Façadehöhe von 18 m 70 nicht übersteigt.
Es befinden sich Dohlen und Trottoirs in diesen Straßen.
Straßburg den 5.ten Februar 1875. - 1875 (septembre) – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du plombier Lettner l’autorisation de faire cinq becs pour le compte du propriétaire, Engelmann
- 1885 – La Ville notifie le propriétaire, Albert Engelmann (domicilié sur place) de faire ravaler les façades – Le propriétaire demande un délai parce qu’il a l’intention de modifier le rez-de-chaussée à la fin de l’année – Travaux terminés, juillet 1886
- 1886 – Le sieur Lorentz est autorisé à suspendre des brosses et des balais sur la voie publique devant le 37, Faubourg National
- 1887 – Le propriétaire Albert Engelmann demande l’autorisation d’ouvrir le trottoir de la rue Sainte-Aurélie pour poser une canalisation
- 1902 – Le maire notifie Barbe Engelmann (domiciliée 6 rue Geiler) de faire ravaler les façades – En septembre, le peintre Ch. Werner demande à la préfecture l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation de poser un échafaudage devant le 37, Faubourg National et 2, rue Sainte-Aurélie, prolongée un mois plus tard – Travaux terminés, octobre 1902
- 1906 – Le pharmacien Gustave Lams (Pharmacie Sainte-Aurélie) demande l’autorisation de poser une lanterne à sa porte d’entrée – Autorisation de poser un bec de gaz
1908 – Le même est autorisé à poser une enseigne perpendiculaire. Il retire la lanterne - 1915 – Commission des logements militaires, rien à signaler. Propriétaire, le pasteur Engelmann
- 1941 – Camille Dahlet, pharmacien nommé par l’administration, qui a rouvert la pharmacie fermée depuis l’évacuation en septembre 1939, a l’intention de ravaler sa devanture et, si le propriétaire est d’accord, toute la façade en rendant leur couleur naturelle aux piliers en grès entre les devantures, en repeignant la devanture en bois ainsi que l’enseigne
L’entrepreneur en bâtiment Luft-Simon (5-a rue de Rosheim) est autorisé à occuper la voie publique pour réparer le balcon – Ferdinand Peter (25 rue de la Plainde-des-Boucheres) est autorisé à occuper la voie publique pour crépir le socle. – Juin 1942, Camille Dahlet est autorisé à poser une enseigne conforme à la protection antiaérienne – Août 1942, la devanture a été repeinte
1942 (décembre) – Autorisation de poser une enseigne lumineuse (entrepreneur, Bosch, propriétaire, le docteur Engelmann par son gérant le notaire Meyer) – Schéma, photographie - 1946 – Certificats de sinistré, maison en partie sinistrée par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. Albert Peterle (2° étage dont le logement est très peu endommagé mais le mur mitoyen se fissure de plus en plus)
- 1948 – Le pharmacien Pierre Bachoffner est autorisé à remplacer l’enseigne par une nouvelle au néon
1950 – Le conseil en publicité Raymond Lussan demande l’autorisation de poser des plaques publicitaires pour le compte de son client dans plusieurs pharmacies – Autorisation - 1951 – Le pharmacien Pierre Bachoffner signale que des briques de la corniche sont tombées à plusieurs reprises sans que le gérant de la maison (Philippe Ulrich, 27 rue de la Haute-Montée) ni l’architecte (Misbach, 6, rue des Arquebusiers) n’aient encore pris de mesures.
Rapport de la Ville : Cette corniche en bois s’est détachée de la maçonnerie, son bois étant en état de décomposition, il existe un danger permanent d’écroulement partiel de la corniche. La stabilité de la maçonnerie en briques composant la corniche dont le jointoiement est devenu défectueux par suite des intempéries se trouve de même compromise.
La Ville s’adresse au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme auquel le gérant l’a renvoyé puisqu’il s’agit de dommages de guerre
Juillet, nouvelle lettre du pharmacien, nouvelle lettre de la Ville au Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme – Travaux terminés, novembre 1951
1951 (septembre) – L’entreprise Albert Simon (5, rue de Rosheim) et autorisée à occuper la voie publique devant la pharmacie - 1951 (novembre) – Le pharmacien Pierre Bachoffner est autorisé à poser une enseigne plate au néon (libellé, Pharmacie)
- 1964 – La pharmacie Sainte-Aurélie est autorisée à occuper la voie publique – Travaux terminés, mars 1964
- 1963 – Le pharmacien Pierre Bachoffner dépose une demande de permis de construire pour transformer la magasin. Propriétaire, Louis Hirschler, 8, rue des Pères à Saverne – Dessins. Entrepreneur, Les Ateliers du mobilier, Auguste Meyer (6, rue de la Tour à Kœnigshoffen)
Copie du bail passé en 1961 entre le propriétaire et le pharmacien : rez-de-chaussée, entresol, deux caves, un appartement au deuxième étage et deux pièces mansardées
Autorisation des Ponts-et-Chaussées – Arrêté portant permis de construire, janvier 1964 – Les travaux sont réalisés par l’entreprise Stiegler – Travaux terminés, juin 1964 – Les anciennes enseignes sont remplacées par de nouvelles, dessin – Autorisation de poser deux croix lumineuses et trois enseignes au néon en lettres détachées – Les enseignes sont posées, août 1964 - 1986 – Le nouveau pharmacien, Marc Joly, informe la Police du Bâtiment qu’il prend à sa charge les redevances des enseignes
- 1985 – La Police du Bâtiment écrit au propriétaire, Lucie Hirschler (rue Grandidier à Saverne) pour l’inciter à faire ravaler les façades. Marilène Bohn, héritière de la propriétaire décédée en octobre 1985, demande un délai
1897 – L’entreprise Sodreba (73 route de Lyon à Illkirch-Graffenstaden) est autorisée à occuper la voie publique – Travaux terminés, décembre - 1990 – L’entreprise Rupp (48, avenue de Suisse à Illzach) est autorisée à poser une benne dans une case de stationnement
- 1994 – Les établissements Fluorest (1, route de Brumath à Eckwersheim) demandent au nom de la Pharmacie l’autorisation de remplacer une enseigne (croix) par une nouvelle – Photographie – Autorisation
- [Concerne une autre maison] 1956 – Le grossiste en vins Geyl-Bastian (à Vendenheim) demande l’autorisation de poser un lambrequin à plusieurs épiceries dont celle du sieur Staub (Epicerie Copal, 37 Faubourg National) – Autorisation
Relevé d’actes
Marie Zollfort veuve du maréchal ferrant Jean Schmidt et son fils Adam Schmidt, meunier à Wasselonne, vendent la maison 312 livres au Quinze Abraham von Fridolsheim, assisté de son fils Thiébaut von Fridolßheim et de son gendre Jean Erasme Schad, receveur de l’auberge des Pauvres passants.
1650 (11. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 494
(Prot. fol. 84) Erschienen Maria Zollfortin, weÿl. hannß Schmidt deß Schmidts und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Bernhard Waldten deß Schneiders und Burgers alhie, wie auch Georg Heroldts von Waßlenheim, beeder ihrer Vögten, So dann Adam Schmid der Müller von Waßlenheim, ihr Mariæ eheleiblich. Sohn,
haben in gegensein H Abraham von Fridolßheim Fünffzeheners mit beÿstand H Diebolts von Fridolßheim EE. Kleinen Rhats Beÿsitzers und H Johann Erasmi Schad. Schaffners der Ellenden Herberg seines resp: Sohns und dochtermanns
hauß, hoffstatt, höfflein, Scheur und Stall mit allen deren Gebawen & alhier vor dem Zollthor under Wagnern oberhalb der Elend. Herbergen, ist einseit ein Eckh ahne St. Aurelien Gaß., anderseit neben obgemeldtem Bernhard Waldten, hinden hannß Rhiel. Gartnern under Wagnern stoßend gelegen, für gantz freÿ ledig und eigen, sintemahlen die vff der verkaufften Behaußung gehafftete Beschwärdten durch den H Käuffern vom Kauffschilling bezahlt und dadurch solche Gerechtigkeiten ahne sich gelößt word. seind wie in H Johann Heinrich Meÿers Protocollo de a° 1587. fol. 167. fac. 2. in d. Cancelleÿ Cotrat stuben registrand. de a° 1639. fol. 365 und in registrand. de a° 1650. fol. 495. fac. 2. & fol. 497 zu befind. Und were dißer Verkauff und Kauff geschehen umb 312. lib
Abraham von Fridolsheim a épousé en 1603 Marguerite fille de Mathias von Simbsheim
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 6)
1603 Den 21. Junÿ sind eingesägnet word. Abraham Von Fridolsheim H. Dieboldt Von Fridolsheim des * rathherren und Kirchenpflegers Sohn, vnd Margreta Mathes von Simbsen des gartners tochter (i 4)
Le receveur Jean Erasme Schad, originaire de Spire, épouse Anne von Fridolsheim en 1633 puis Marthe Ulmann en 1659. Il devient bourgeois quelques semaines après son premier mariage. La propriété ultérieure indique que la maison est échue pour moitié à la fille d’Anne von Fridolsheim et pour moitié à la fille en secondes noces de Jean Erasme Schad
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 92, n° 8)
1633. den 22.t Julÿ Seind nach Ordentlicher ausruffung ehelich eingesegnet Worden Johannes Erasmus Schad Schaffner in der Ellenden Herberg, Herrn M Abrahami Schadæj S. gewesenen Rectoris Zu Speÿr nachgelaßener ehelicher Sohn, Undt J. Anna, Herrn Abrahams Von Fridolsheim, des beständig. Regiments fünffzehners Undt Kirchenpflegers alhie eheliche tochter (i 48)
1633, 4° Livre de bourgeoisie p. 132
Johann Eraßmus Schadens Schaffner In der Ellendt herberg Empfangt d. Burgrecht von Jungfr. Anna H Abraham von friedelsheim XV.r dochter Wull In den Garttneren Und. wagnern dienen, den 1. August. A° 1633
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 134, n° 3)
1659. Dienst. den 25. Jan. H Johann Erasmus Schadt Schaffner in der elenden Herberg alhie, wie auch beÿ der Fabric dieser Kirchen Zu St: Aurelien undt Jgf. Martha, Mr. hannß Ulman des Wagners und Burgers alhiue Eheliche Tochter. Nota. den 10.ten 10.bris A° 1658. hat dieser hochzeiter beÿ H. Räth und XXI. erhalten, in d. Elenden Herberg sich mit seiner Jfr. hochzeiterin copuliren zulaßen, so der Pastor huius loci Versichert (i 70)
Anne Marguerite Schad, fille du premier mariage de Jean Erasme Schad, épouse en 1655 Jean Georges Artopœus, pasteur de Kolbsheim
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 130)
1655. H. M. Johann Georgius Artopoeus pfarrer Zu Kolbsheim, J. Anna Margaretha Joh: Erasmi Schaden schaff.s tocht., 7. Aug. Zu St. Aurelien
Marthe Ulmann, veuve de Jean Erasme Schad, se remarie en 1674 avec Marcel Schenck, receveur à Sainte-Marguerite et Sainte-Agnès puis en 1679 avec Jean Henri Metzger, l’un des XXI.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 170)
1674. Donnerst. den 30.ten April. St: Aurel: H Marcellus Schenck, Schaffner Zu St Margrethen Undt Fr Martha, H Johann Erasmi Schaden, Schaffners in d. Elend Herberg (i 88)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 184)
1679 d. 25. 7.bris d. Edel: Wohlehren Veste, Fürsichtig, v. Wohlweise H. Joh: Heinrich Metzger deß bestendig. regiments der Herren XXI. Und Kirchenpfleger bey der Kirch Zum Alt. St. Peter, Fr. Martha H Joh: Marcelli schencken schaffners Zu St Marharethen hinterlassene wittib (i 185)
Proclamation, Sainte-Aurélie (luth. p. 185) 1679. Donnerst. den 25. 7.bris Alten St Peter, H Joh: Heinrich Metzger XXI.er undt Fr. Martha H. Johann Marcelli Schencken Schaffners Zu St Margrethen nachgelaßene wittib. (i 95)
Jean Henri Metzger, troisième mari de Marthe Ulmann, meurt en 1689. La veuve est propriétaire de la moitié de la maison au Faubourg Blanc dont l’autre moitié appartient aux enfants de Jean Georges Artopœus. Les experts l’estiment 350 livres
1689 (12. 8.br), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 11) n° 21
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung v. güttere, so weÿl: der Wohl Edel, Ehren vest fromb, fürsichtig V. hochweiße Herr Johann Heinrich Metzger, gewes. Wohlansehnlicher XV.r deß beständigen Regiments burg. alhie Zue Straßb. nunmehr seel. nach seinem den 27. Augusti Jüngsthien aus dießem Mühseeligen leben genommenen tödlichen Ableib. Zeitlichen verlaßen, welche verlassensch. auf frl. ansuchen, erfordern v. begehren des inn Gott ruhenden H. XV.n in Erster Ehe mit auch weÿl. der Viel Ehren v. Tugendreichen fr. Magdalenæ gebohrner Hunererin seel erzeugter H. Söhn v. fr. döchtere, auch deroselben Ehe: v. geschwornenn Vögten, (…), ersucht v. Inventirt durch die Edel, Viel Ehren v. Tugendreiche fraw Marthan Metzgerin gebohrne Ulmännin die hinterbliebene wittib mit assistentz deß ehrenvest v. Wohlgeachten H. Mathæi Lamprechts, weinhändlers v. burgers alhie, Ihres geordnet und geschworenen Vogts – Actum inn der königlichen freÿ. St. Straßb. Mittwochs d. 12. 8.bris A° 1689.
Der in gott seel. verschiedene H. Fünffzehner hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Fr. Dorotheam Kermännin gebohrne Metzgerin weÿl. H. Andreæ Kermanns geweßenen Statt Schloßers v. burgers alhie Zu Straßb. seel. nachgelaßene Wittib so mit assitentz deß Wohl ehrenvest v. Großachtbahrn H Andreæ Kauffmanns alten 3.ers auff der St. Stalls v. vornehmen burgers alhier deroselben zu dießen geschäfft geordnet und geschworenen Theil Vogts dem gescha&fft beÿgewohnt. 2. den Ehrenvest v. weißen H. Johann Philipp Metzgern, holtzhändlern v. E: E: Kleinen rhats alhier alten beÿsitzern, welcher vor sich selbsten Zuegegen, 3. H. Johann Friderich Metzgern Küeffern v. alhießigen burger, welcher dem geschäfft ebenmäßig in Persohn abgewart, 4. die Viel Ehren v. Tugendreiche Fr. Mariam Salome Ulrichin gebohrne Metzgerin, deß Ehrenvest v. weisen H. Daniel Ulrichs, Schiffmanns v. E: E: Kleinen Rhats assessoris ehelich geliebte haußfr. mit beÿstand deßelben ihres geliebten haußwürths, 5. H. Johann Heinrich Metzgern so noch Ledigen Standts v. sich d. Zeit im Königlich frantzösischen diensten enhaltet inn deßen nahmen aber Zugeg. der Ehrenvest fürsichtig v. wohlweiße H Frantz Rudolph Mollinger E: E: Wohlweßen Großen Rhats beÿsitzer, als deßelben geschwornener Curator. Alle deß Verstorbenen Herrn seel. inn Erster ehe erzeugte Kin. Jedes zue 1/5. theil berührend.
Nota. Vom 3. 9.br 1689 biß Zu end der Inventation, war gesampter Erben wegen als assistent Zugegen H. Joh: Frid: Redwitz Nots: publ:
Copia der heüraths Verschreib. p.ge in Protocollo C. fol 230.b et seqq.
In einer alhie Zue Straßb: in der Vorstatt under Wagner ohnfern dem Closter St. Marx gelegener, hiehero gehöriger v. hernach beschriebener behaußung befund. word. wie Volgt.
(f° 17-v) Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf dem obern Kasten, Auf dem Undern Kasten, Vf d. hindern bühn, In d. obern Eckstub., In d. Stub Cammer, Im obern haußöhren, In d. Cammer A, In d. Cammer B, In d. Cammer C, In d. Cammer D, In d. Cammer E, Im ober hindern Stuben Vor dießer Stüblein, In der Stub Cammer, Im hind. stübl., Vor dießel Stübl., Auf dem Gang, In d. magd Cammer, In d. undern Groß. Eck stub., In d. Stub Cammer, In d. undern wohnstub, In der Täglich. Kuch., Im haußöhren,, In d. vordern Kuch., In d. bauch küch. Im Keller, Im gartten
(f° 31) Eÿgenthumb ane Häußern. (E.) Item hauß, hoffstatt, hoff und hinderhauß ane der Judengaß
(f° 31-v) (E.) Item eine behauß. im Kagenecker bruch
(E.) Item hauß, höfflein Vnd hoffstatt sampt einem hinderhauß ane dem Alten Weinmarckh
(W.) Item d: halbe theil ane hauß hoffstatt höfflein Scheür und Stall, mit allen andern dero gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden undt Gerechtigkeiten, gelegen alhier in der St. St. Vorstatt Underwagner Oberhalb der Elenden herberg eins. ists ein Eckh ane St. Aureliæ gaß, anderseith neben Michel Heÿdeln G. UW. hinden auff Jacob Fürckel den Tagner stoßend so freÿ ledig eigen, Vnd ist die Gantze behaußung durch alhiesi ge schworene Werckmeistere Lauth überreichter Abschatz. gewürdiget für 700 R. Thut der anhiehero gehörige halbe theil 175. lb. Die übrige helffte ist weÿl. H. Joh: Georg Artopoei Geweßten Pfarrherrens Zu St. Wilhelm seel. Erben gehörig. Darüber sagt 1. Teutsch. perg: Kbr. mit d. St. St. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verw. datirt den 11. Maÿ ao. 1650. mit altem N° 31. notirt und darbeÿ gelaß. darbeÿ noch 8. alte perg. brieff.
(f° 37-v) Eÿgenthumb Zweÿer Holtz Plätz (E.) Ihten Zween holzplätz Vor d. Erben unveränderter ane dem Kagenecker bruoch gelegener behaußung
Abschatzung Sambstags d. 15. 8.bris 1689. Weillandt deß Wohl Edlen Vnd hiochweißen herrn Johann Heinrich Metziger deß bestendigen Regen Ments der herrn XV.en hoch ansehnlicher beÿsitzer See: hinderlaßene fraw Wüttib Vnd Erben behaußung allhier in der Statt Straßburg die wohn behaußung in dem Kagen Eckher bruoch (…)
Die Vinffte behaußung alhier in der Weißen thurn Straß, ein Eckh ane der St: Aurellia Gaßen, Ein seitzes Neben Martin Kauffer dem Jengern Gartner Anderseitzes Neben H: schierlein Vnd höfflein, auch aller dero begriff recht Vnd gerechtig Keit Wie solches durch der darzu in sunderheit Verordnete Werckhleithe befunden Vnd dem Jetzigen preiß Vnd Wehrt nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Siben hundert Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs, Johannes Berga Werck Meister des Maurhoffs.
(f° 49) Ergäntzung der Fraw Wittib ermanglenden Unveränderten guttes. Vermög deß über beÿder Geweßter Ehegatten in die ehe gebrachte Mobilia Und Vahrende haab durch weÿl. H. David Ösingern den Jüngern Notm: seel. den 5. febr. ao. 1680 auffgerichten und under Johann Caspar Francken auch Notarÿ subscription außgefertigten Inventarÿ
(f° 62) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 137, Sa. Weins und leerer Vaß 20, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 72, Sa. Guldener ring 46, Sa. baarsch. 161, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 175, Sa. eigenthümlicher Liegende gütter 320, Sa. beßerung ane lehengüthern 6, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 163, Sa. Gülth von liegenden güthern 13, Sa. Ergäntzung Rest 354, Summa summarum 1469 lb – Schulden 70, der Fr Wittib restirend unverändert Vermög. 1398 lb. Pro Nota. Under dießer summa ist begriffen der Fraw Wittib mit vorgemeltem Hn Johann Erasmo Schaden in deßen Zweÿten Ehe erzeugten beÿd. Kind. Vätterlich. Gutt, welches Sie Aber noch Zur Zeit Wÿdumbs weiß zugenießen hat
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 232, Sa. leerer Vaß 3, Sa. Silber geschiffs und Geschmeids 143, Sa. Guldener Ring 58, Sa. baarschafft 9, Sa. Pferdt 3, Sa. Schiff und geschirr zum Fuhrwerckh gehörig 4, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 1230, Sa. Eigenthums zweÿer holtzplätz 150, Sa. eigener liegende güther 140, Sa. beßerung ane l. lehengutt 1, Sa. frucht Gültten von liegende güthern 20, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1197, Sa. Ergäntzung 241, Summa summarum 2998 lb – Schulden 980 lb, Nach Abzug deren 2455 lb
Die Theilbahre Verlassenschafft, Sa. haußraths 96, Sa. Wahren Zum Holtzhandel gehörig 196, Sa. früchten 122, Sa. Wein und Leeren Vaß 42, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 27, Sa. baarschafft 109, Sa. Viehes 47, Sa. Schiff und geschirr Zum Fuhrwerckh 21, Sa. hanff 4, Sa. tabacks 9, Sa. Krautt, rüben & 8, Sa. häw, stroh und booß. 13, Sa. blumen auf den Veldt 3, Sa. Schulden 84, Summa summarum 787 lb – Schulden 1173 lb, die Theilbare passiva übertreffen das Theilbare Gutt umb 385 lb
Der Wittib Eÿgenthumblich gutt 1448 lb, Ferner hat dieselbe von dreÿen underschiedenen Eheherrn Wÿdumb weiß genießen als Von Weÿl. Hn Joh: Erasmo Schad. Geweßenen Schaffner der elenden herberg alhier, 57, Item Von Weÿl. H Joh: Marcello Schencken Geweßenen Schaffners Zu St Margarethen v. Agneßen allhier Ihrem Zweÿten haußwürth 400, Item so dann gebühret ihro von dem Jetz verstorbenen herrn fünffzehner seel. 350. lb, Summa der Fraw Wittib gesampten Wÿdumbs nahrungen thut 807. lb, Belaufft sich also der Fraw wittib Gantze substantz ane Eigenthum v Wÿdums auff 2255 lb
Beschluß Summa dießes Inventarÿ, Conclusio finalis Inventarÿ 5163 lb
(f° 70) Wÿdumb Welchen die Fraw wittib Von Weÿl. H Joh: Marcello Schencken, geweßenen Schaffnern deß Closters St Margarethæ und Agneßen burgern alhier Ihrem Zweÿten Eheherrn seell. ad dies vitæ geneüßt, nach dero Absterben aber auff H. Johann Marcellum Schencken Knöpffmachern und burgern alhier, undt Jgf. Annam Evam Schenckin beÿde Geschwüsterde eigenthümlich Zurückfallet
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgütter so der Fr. wittib unverändert 70 ln
Ungewiße und zum theil für Verlohren geachte Activ Schulden der fr. W. unverändert 122 lb, Zweiffelhaffte Capitalia so der Erben unverändert 554 lb, Ungewiße Schulden in der Erben unveränderte nahrung zugelttend 118 lb, Zweiffelhaffte und zum theil für verlohren geachte theilbare Activ Schulden 114 lb,
L’inventaire des apports du menuisier Frédéric Ring et d’Anne Catherine Artopœus mentionne que Jean Georges Artopœus, pasteur à Saint-Guillaume, a délaissé cinq enfants auxquels écherront les biens dont jouit en viager Marthe Ulmann, veuve de Jean Erasme Schad, remariée à Jean Henri Metzger. L’inventaire incomplet ne décrit pas les maisons
1690, Me Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 14) n° 1
Inventarium und beschreibung der Jenig. Haab Nahrung und Gütter, so der Ehrengeachte Meister Friderich Ring, Schreiner und b. allhier, und die Viel Ehren: und tugendsame Fr. Anna Catharina Ringin gebohrne Artopoeußin, bede Eheleuth und burgere zu Straßb. einander in den Ehestand zugebracht, und vermög mit einander aufgerichteter Eheberedung sich für unverändert voebehalten haben [date illisible]
In Einer in der Statt Straßb. in der dorlßgaßen gelegen nicht hieher gehörig. behaußung
Vermög Inventarÿ über weÿl. frawen Annæ Margarethæ Artopoeusin gebohrne Schadin auch weÿl. H M. Johann Georg Artopoei geweßenen Pfarrers Zu St Wilhelm seel. hinderlaßener fr. wittib auch sel. V.lassenschafft, in A° 1684. dh. H Joh: Christoph Stoffeln Notm. aufgerichtet hatt der H. V* ane Gottelgeld (…)
Abzug in dießen Inventarium gehörig. Des Manns Vermögen, Ss. Haußraths 135, Werckzeugs, Schiff und geschirrs 54, Silbergeschirr und Geschmeidts 31, Guldener Ring 5, Baarschafft 8, Pfenningzinß hauptgüter 287, Eigenthums ane Häußern 59, Summa summarum 582 lb
Der Frawen Nahrung, Sa. Hausraths 109, Bibliothecæ 7, Silbergeschmeids 16, Guldener Ring 12, Baarschafft 24, Pfenningzinß hauptgüter 70, Eigenthums ane Häußern 48, Eigenth. ane liegende Güttern 123., Schuld d. Fr. Guthzugeltend 3, Summa summarum 415 lb
Wÿdemb so fraw Martha Metzgerin gebohrne Uhlmännin weÿl. H Joh: Heinrich Metzgers XV. sel. hinderlaßene fr. Wittib ad dies vitæ Zugenüeß. Vermög einer Von H. Joh. Christoph Stöffeln Not. gefertigter außweiß und lüfferung hatt obgemelte der Artopoeisch. Kind. Fr. Stieffgroß Mutter ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenieß. 57 lb. Daran Gebührt Jedem weÿl. H. M. Joh: Georg Artopoei, Pfarrh. Zu St. Wilhelm seel. hinderplibenen 5 Kindern alß auch fr. Annæ Catharinæ Ringin gebohrner Artopoeußin H Friderich Ring. des Schreiners haußfr. so Ihro nach der fr. wÿdembs Nießerin todfall vor einen fünfften theil zufallet 11 lb
Anne Ursule Artopœus, sœur de la précédente, meurt en 1706, veuve de l’aiguilletier Jean Paul Stuber. Elle délaisse deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue de la Lie. La succession comprend un cinquième de la moitié de la maison au Faubourg Blanc
1706 (20.7.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 16) n° 611
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung so weÿland die Ehren und tugendsahme fraw Anna Ursula Stuberin gebohrne Artopoeußin auch weÿland deß Ehr: und vorgeachten herrn Johann Paul Stuber geweßenen Nadler und burgers allhier zu Straßburg hinderbliebene wittib beede nunmehr Seel. nach Ihreù den 22.ten Junÿ instehenden 1706.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und Begehren deß Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Ludwig Stuber Paßmentirers und burgers allhier zu ermeltem Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs und Johann Pauli beeder der Abgeleibten Frawen mit vorermeltem Ihrem verstorbenen Ehemann Verl. ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nachgelaßeneer Erben fleißig inventirt und ersucht durch die Viel Ehren und tugendreichee fraw Dorotheam Stuberin gebohrne Steinweilerin der Kinder Großmutter beÿ welcher sich dieselbiger biß dato auffgehalten – so beschehen in der Königlichen freÿen statt Straßburg in fernerm gegensein deß Ehrengeachten herrn Johann Friderich Meÿer Glaßer und burgers allhier der Verstorbenenn Fraw Seel. Schwagers dienstags den 20. Julÿ Anno 1706.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Trußengaß gelehen in gegenwärtige Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
In der Cammer An Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im Haußöhren, In der Cammer B, In der Cammer C im vordern hauß, Im Keller, In der Werckstatt
Eÿgenthumb ahne einer behaußung. Item ein Fünffter Theil für unvertheilt von und ane einem halben Theil ane hauß, hoffstatt, höfflein, Scheür und Stall, mit allen andern deren gebawen begriffen weithen rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg, oberhalb der Elenden herberg, ane St. Aurelien gaßen, ein seith ists ein Eck ane bemelter gaßen, Anderseith neben Weÿl. herrn Mathis Rothen geweßenen gartners underwagnern Seel: Kindern anderer Ehe, hinden auff weÿland herrn hannß Rhielen geweßenen Fünff Zehners deß beständigen Regiments seel. Erben stoßend, so leedig und eigen, und ist der hiehero gehörige antheÿl, gleich wie in der verstorbenen Manns seel. Verlassenschaffts Inventario De Anno 1704. æstimirt per 43 lb 15 ß d. Vber die gantze behaußung besagt ein Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insigel verwahrt datirt den 11. Maÿ Anno 1650. mit alt. N° 31 notirt. Dabeÿ auch noch acht alte Pergamentene brieff. Welche ist gesambt Weÿl. herrn Fünffzehners Johann Heinrich Metzigers seel. Fraw Wittib, als der Wittib stieff groß Muter in handen haben solle.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, 1. Sa. Hausraths 97, 2. Sa. Wahren und Werckzeigs Zum Nadler handwerck gehörig 153, 3. Sa. Früchten und meels 15, 4. Sa. Weins und leerer Vaß 3, 5. Sa. Dürrfleisch v. Ancken 3, 6. Sa. Silben geschirr und Geschmeids 15, 7. Sa. guldener Ring 6, 8. Sa. baarschafft 38, 9. Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 43, 1. Sa. Pfenningzinß hauptgütern 20, 11. Sa. Schuld in das Erb Zugeltend 1, Summa summarum 399 lb – Schulden 15, Nach deren Abzug 383 lb
Wÿdembs Verfangenschaft. Vermög einer von Herrn Notario Johann Christoph Stöffeln Seel. gefertigten außweiß und lüfferung hat fraw martha metzgerin gebohrne Uhlmännin, weÿl. herrn Johann Heinrich metzgers deß beständigen regiments der herren fünffzehen geweßenen beÿsitzers Seel. fraw Wittib der Kinder v. Erben Stieffgroßmutter ad dies vitæ wÿdumbsweiße zugenießen benantlich 57 lb
617, Verkauff: und Looß Registerlein, den 18. Augusti et seqq. Anno 1706
Marthe Ulmann meurt en 1706, veuve en premières noces de Jean Erasme Schad dont elle a eu une fille Marie Dorothée et en troisièmes noces de Jean Henri Metzger. L’inventaire est dressé dans la maison au Faubourg Blanc dont elle possède la moitié et les héritiers Artopoeus l’autre moitié. L’actif de la succession s’élève à 2057 livres, le passif à 69 livres
1706 (20.7.), Me Rohr (Daniel, 46 Not 16) n° 611
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so Weÿl. die Ehren und Tugendreiche fraw Martha Metzgerin gebohrne Uhlmännin auch Weÿl. deß Wohl Edel Vest, fromb, fürsichtig und hochweißen herrn Johann Heinrich Metzgers geweßenen fünff Zehners deß beständigen Regiments alhier nunmehr beeder seel. nachgelaßene fr. wittib, nach Ihrem den 30.ten Septembr. Jüngsthien aus dießer Welt genommenen tödlichen Ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche verlassenschafft auf Erfordern, ansuchen und begehren der Viel Ehren und tugendreichen fr. Mariæ Dorotheæ Rießin gebohrner Schadin deß Ehren Vesten Hn Georg Rießen Vornehmen handelßmanns und burgers alhier Zu Straßburg Eheliche haußfr. Als der in Gott Ruhenden fr. XV.in in Erster Ehe mit Weÿl. H. Joh: Erasmo Schaden geweßenem Schaffnern der Elenden Herberg alhie Ehel. erzeugter dr. v. ab intestato nachgelaßener eintziger Erbin, beÿständlich deßelben Ihres haußwürths, Vorgenommen, Ersucht und inventirt – Actum Straßb. Dienstags den 1.ten Novembrisis Anno 1712.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Weißenthurn straß gelegener und in diese Verlassenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie volgt.
In der Cammer A, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im Haußöhren
Wÿdumb Welchen die Verstorbene Fr. XV.in seel. Von Weÿl. H Marcello Schencken, geweßenen Schaffnern Zu St Margarethæ und Agneßen Ihrem Zweÿten Hauß Würth seel. ad dies vitæ Henoßen, davon das Eÿgenthumb Auff hernachgemelte Schenckische Erbens Erben Gefallen (…)
Wÿdumb Welchen die in Gott ruhende fraw Fünffzehnerin von Weÿl. herrn Johann Erasmo Schaden, geweßenen Schaffnern der Elenden Herberg, Ihrem Geweßenen Erstern Eheherrn seel. Zeit Lebens Genoßen Wavon das Eigenthumb nunmehro auff hernachgemelte Artopoeusische Interessenten Zurück Gefallen und denselben Zu Verstallen Zu zuschreiben. (…) nach besag des über deßelben Verlassenschafft in Anno 1673. auffgerichteten Inventarÿ fol: 99.b befunden, daß deßelben dochter Erster Ehe Frawen annæ Margarethæ Schadin H. Lt. Johann Georg Artopoei, Pfarrherrens Zu St. Wilhelm Eheliebste (…) vor Vätterlich Gutt dem Stalltax nach Gebührig (…) Vnd ist dißer Wÿdum nunmehr auff Ihro Fr. Annæ Margarethæ Artopoeusin seel. Kindern und Enckel eigenthümlich Zurückgefallen und participiren daran
1. /:tit:/ Fraw anna Margaretha, gebohrne Artopoeusin, weÿl. deß Wohl ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Mri. Johann Ludwig Engelhards Geweßenen Wohlverdienten v. treweiffer (…)
Wÿdumb, Welche die fr. Fünffzehnerin seel. von weÿl. Tit: H Johann Heinrich Metzgern Gewesten XV.rn deß beständigen Regiments Ihrem dritten Eheherrn seel. ad dies vitæ genoßen (…) Dißer Wÿdumb ist nunmehr auff Volgend Interessenten Zurück gefallen
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Item der halbe theil für ungetheilt von und ane hauß hoffstatt höfflein Scheür und Stall, sampt allen andern dero Gebäwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden undt Gerechtigkeiten, Gelegen alhier in der St. St. Vorstatt Underwagnern, Oberhalb der Elenden herberg, einseith ists ein Eck ane St. Aureliæ gaß, 2. seith neben Michel Heÿdel dem Gartner hinden auff Jacob Bürckel den Tagner stoßend, so freÿ ledig eigen, Vnd ist die Gantze behaußung durch der St. St. Geschworene Werckleuthe vermög einem apud Conceptum befindlichen Abschatzung vom 22. 9.br. a° 1712. æstimirt pro 435 lb. Thut der daran hiehero gehörige halbe theil 217. 10. Die übrige helffte ist weÿl. H. Joh: Georg Artopoei Geweßenen Pfarrherrens Zu St. Wilhelm seel. Erben gehörig. Darüber sagt 1. teütsch. perg: Kbr. mit der Statt Straßburg Anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verw. datirt d. 11. Maÿ ao. 1650. mit altem N° 31. notirt. Wobeÿ noch acht alte perg. brieffe.
– Abschatzung den 22.ten Novembris 1712. Weÿland der Tugendsamen Fraw S.T. XV.erin Marthanna Metzgerin seel. ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg in der Weißenthurn straßen Gelegen, Ein Eckh an der St. Aurelien Gaß einseith neben herrn Michel heidel Gartner, anderseith Barbara Schedtel taglehnerin stoßend, Welche behaußung, Scheur, Stallung, hoff, hoffstatt, sambt aller Ihrer recht: und Gerechtigkeit durch der Statt Straßburg Geschworene Werckmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. Vor und umb Acht hundert und Siebenzig Gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg Geschworne Werckhleuthe, Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 131, Sa. Früchten 59, Weins und leeren Vaßen 40, Sa. Tabacks 10, Sa. Stroh 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 130, Sa. Guldener ring 33, Sa. baarsch. 100, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 217, Sa. Eigenthümlicher Liegende gütter 325, Sa. beßerung ane lehengüthern 4, Sa. Jährlichen Fruchtgültten von liegende gütern 19, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 288, Sa. Schulden 686, Summa summarum 2057 – Schulden 69 lb, Nach Abzug solcher 1987 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2781 lb
Zweiffelhaffte Schulden in das Erb Zugeltend 503 lb
Les héritiers Artopœus vendent leur moitié de la maison à Marie Dorothée Schad femme du marchand Georges Riess, déjà propriétaire de l’autre moitié héritée de sa mère
1713 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 347
(537) Fr: anna Marg: Engelhartin Wittib geb. Artopœusin beÿständlich H. Philipp Joseph Mollingers E.E. G. Raths beÿsitzers ihres Curatoris, Item frau Anna Salome Leonhardtin wittib geb. Artopœusin beÿständlich H. M. Ißrael Dieterlins practici auf Gymn: weilen unbevögtigt, Item Anna Cath: geb. Artopœusin beÿständlich Joh: frid: Meÿers glaßers ihres mariti, Item hr. M Georg Christoph Artopœus Collaborator Septimæ Classis, Item Johann Ludwig Stuber paßm: alß vogt weÿl. Joh: Paulus Stubers 2 KK
in gegensein frauen Mariæ Dorotheæ geb. Schadtin beÿständlich Georg Rieß handelsmanns ihres mariti
die helfte für unvertheilt ahn hauß hoff hoffstatt scheur darneben mit allen begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier in der weißenthurn straß ahn St Aurelien gass, einseit neben Michel heÿdel anderseit ist ein eck hinten auf Schöttel wittib – um 537 pfund
Les acquéreurs hypothèquent la maison au profit de l’hôpital bourgeois
1713 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 424-v
Georg Rieß handelsmann und Maria Magdalena geb. Schadin beÿständlich H. M. Georg Christoph Artopaeus Collab: 7.mæ Curiæ und Sebastian Schmidt wagners
in gegensein S.T. H. Joh: Theobaldt Reiß alten Ammeisters XIII.ers, alß Mitpfleger deß mehrern hospitals beneben H. Joh: Martin Schlitzweg Schaffnern – schuldig seÿen 70 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: in der weißenthurnstraß, einseit ist ein eck ahn St Aurelien gass anderseit neben Michel heÿdel hinten auch auf ihn
Georges Riess originaire de Spire devient bourgeois en 1694 et épouse Marie Dorothée Schad
1694, 3° Livre de bourgeoisie p. 1131
Georg Rieß der ledige handelßmann von Speÿr, weil. Joh: Georg Riesen auch gewes. handelßmanns daselbst hinterl. Ehl. sohn empfangt das burgerrecht gratis Vnd wird Zu E.E. Zunfft Zum spiegel dienen. Jur: d. 19. Ejusd: [Junÿ] 1694.
Inventaire de leurs apports, dressé dans une maison au Vieux-Marché-aux-Poissons
1695 (31.5.), Me Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 24) n° 15
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen Haab undt Nahrung, so der Wohl Ehrenveste undt Vorgeachte Herr Georg Rieß Handelßmann undt die Viel Ehren und Tugendbegabte fraw Maria Dorothea Rießin gebohrne Schadin einander in den Ehestand Zugebracht, undt Vermög auffgerichteter Eheberedung sich für unverändert Vorbehalten haben – Actum in der Königlichen freÿen statt Straßburg in fernerem gegenseit deß Hoch Edel Vest from fürsichtig Hochweiß auch Ehrenvesten wohlgelehrten undt Großachtbahren Herrn Herrn Andreæ Brackenhoffers deß beständigen Regiments der Hh: XV.rn Hochansehnlichen beÿsitzers, Welcher alß der Frawen noch ohnentledigter Herr Curator, beneben der Edlen, Viel Ehren v. Tugendreichen Fr. Marthæ Metzgerin gebohrnen Uhlmännin, Wittiben, der frawen Vielgeliebten Muttern auf seithen der Haußfrawen, So dann H. Sebastian Rießen, beÿ deß H Amstrs. Audientz Wohlverordneten Procuratoris des alß deß Herrn Anverwandter undt beÿstandts hierbeÿ erschienen auff dienstags den 31. Maÿ Anno 1695.
In Einer auff dem Fischmarckh gelegenen dem Hoch Ehrwürdigen undt Hochgelehrten Herrn Sebastian Schmidin S.S. Theologiæ Dorctori undt Hochansehnlichen Præsidi beÿ löbl. Kirchen Convent allhier Eigenthümlich gehörigen behaußung ist befund. worden wie Volgt
Abzug gegenwärtigen Inventarii. deß Herrn In den Ehestandt gebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 154, Sa. Wahren Im Gewerb 6397, Sa. Silber Geschmeidts 37, Sa. Guldener Ring 41, Sa. baarschafft 566, Sa. Schulden 2686, Summa summarum 9882 – Schulden 7365 lb, Nach solchem abzug 2517 lb
der Frawen In die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 209, Sa. Silber Geschmeids 13, Sa. Guldener Ring 46, Sa. baarschafft 558, Summa summarum 827 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3344 lb
Le mariage ne semble pas avoir eu lieu à Strasbourg. Un enfant est baptisé en 1696
Baptême, Temple-Neuf (luth. f° 316-v, n° 1530)
1696. den 16. Xbr. Wurde gebohren V. Sont. d. 16. ejusdem getaufft Kindt, Johann Georgius, Eltt. Hr Georg Rieß d. B. V. Hinterlassen alhie V. fr. Mar. Dorothea gebohrne Schadin ehel. [unterzeichnet] Georg Rieß alß vatter (i 324)
Georges Riess et Dorothée Schad hypothèquent la maison au profit des enfants Spielmann
1716 (17. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 684
Georg Rieß handelsmann und Maria Dorothea geb. Schadin beÿständlich Georg Christoph Artopoeus præceptors septimæ Curiæ und Sebastian Schmidt Wagners
in gegensein H. Daniel Ernst Braun Exs: und H. Joh: Ernst Spielmanns U.J.Ddi und Œconomie Cancellariæ alß vögten Spielmännischer Frauen wittib KK – schuldig seÿen 624 pfund
unterpfand, ihre behausung c. appert: allhier in der Aurelie gass, einseit neben Michel Heÿdel anderseit neben – hinten auch auff Sie
Comme l’indiquent les actes ultérieurs, la maison est exposée aux enchères judiciaires le 11 août 1729. Les acquéreurs sont le maréchal ferrant Jean André Klein et Anne Barbe Eckert qui hypothèquent la maison au profit du boulanger Jean Jacques Lauth
1729 (28.12.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 576-v
Johann Andreas Klein der hueffschmidt und Anna Barbara geb. Eckertin mit beÿstand ihres vatters Johann Jacob Eckert des haußfeurers und ihres bruders Georg Eckert des ledigen hausfeurers
in gegensein Johann Jacob Lauth des weißbecken – 500 pfund zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, eine am 11. augusti jüngst ahne allhießiger ganth erkaufft und aus jetzigem vorschuß größten theils bezahlte dermahlen Schmidt: behausung scheur höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt ahne weißenthurn straß, einseit ist ein eck ahn St Aureliæ gaß anderseit neben Michael heÿdel dem g.u.w. hinten auff Andreas Schöttel den tagner – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen der Schlagbritsch und Rädergrueb 1 lb ane bodenzinß
Deuxième hypothèque passée le même jour, au profit du teinturier Samuel Hohlwein
1729 (28.12.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 578
Johann Andreas Klein der hueffschmidt und Anna Barbara geb. Eckertin mit beÿstand ihres vatters Johann Jacob Eckert des haußfeurers und ihres bruders Georg Eckert des ledigen hausfeurers
in gegensein Samuel Hohlwein des Schwartzfärbers schuldig seÿen 300 pfund zu abführung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, eine am 11. augusti jüngst ahne allhießiger ganth erkaufft und aus jetzigem vorschuß zum theil bezahlte dermahlige Schmidt: behausung scheur höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt ahne weißenthurn straß, einseit ist ein eck ahn St Aureliæ gaß anderseit neben Michael heÿdel dem g.u.w. hinten auff Andreas Schöttel den tagner – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen der Schlagbritsch und Rädergrueb 1 lb ane bodenzinß
Jean André Klein, fils de maréchal ferrant, épouse en 1725 Anne Barbe Eckert, fille de fournier : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrsahmen und bescheidenen Meister Johann Andreaß Kleinen Leediger hueffschmidt Von hier gebürtig, Weÿland herrn Friderich Kleinen auch gewesenen hueffschmidts und burgers allhier seeligen mit auch Weÿlandt der Ehren und tugendsahmen fraw Barbara gebohrner Baurin, ehelich erzeugten und nachgelaßenen Sohne, als hochzeitern ane einem, so dann der Ehren und tugendhafften Jungfrauen Annæ Barbaræ gebohrner Eckertin, herrn Johann Jacob Eckerts haußfeurers mit frau Anna Maria gebohrner Hügelin Ehelich erzeigten tochter als der hochzeiterin – Sonntag abendts den Eilfften Februarÿ Anno 1725 – Johann Adam Ößinger, Notarius juratus
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 107)
Eodem die [Mittw. d. 11.ten Aprilis 1725] wurden nach 2. mal. proclamation hier Zu St. Aurelien Ehl. copulirt Und Eingesegnet worden, Johann Andreas Klein lediger Huefschmitt und burger alhie, weil: Johann Friderich Kleinen Huefschmitts Und burgers alhier nachgel. Ehl. Sohn, Und Jgfr. Anna Barbara, Johann Jacob Eckhardts burgers und Schwartz: becken alh. Ehl. tochter [unterzeichnet] Johan andres Klein als hzeitder, Anna Barbara Eckertin, als Hochzeiterin (i 108)
Jean André Klein meurt en 1735 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à 560 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 177 livres, celle du défunt à 64 livres. L’actif de la communauté s’élève à 811 livres, le passif à 1129 livres
1735 (4.4.), Me Lobstein (Jean, 31 Not 42) n° 943
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿland der Ehren und Vorgeachte Meister Johann Andreas Klein, der geweßene Hueffschmid burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Mittwochs den 12.ten Januarÿ dießes Lauffenden 1735.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch. seinem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehren und Wohlvorgeacht. Meister Johann David Kleinen des Hueffschmids und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Andreä und Johann Jacobs der Kleinen des Verstorbenen seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Zweÿer Kinder und ab intestato Verlaßener Rechtsmäßiger Erben ersucht und inventirt durch die Ehren und tugendsahme Frau Annam Barbaram Kleinin gebohrne Eckartin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren und Wohlvorgeachten Meister Johann Jacob Eckarts des Schwartzbecken und burgers alhier Ihres eheleiblichen Vatters und erbettenen beÿstandts – So beschehen in Straßburg, auf Montag den 4.ten Aprilis Anno 1735.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurn straß gelegenen und in diese Verlassenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie volgt.
In der Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Schmid Knecht Cammer, In der Kuchen, Im haußöhren, In der stub Cammer, Im Keller, In der Werckstatt
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung hoffstatt, höfflein und Scheur, sambt allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, Rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg und dero Vorstadt Weißenthurnstraß, so einseit ein Eck ane St: Aurelien Gaß, anderseit neben Michael Heÿdel dem Garthner Unterwagnern, hinten auf Andreas Schöttel den taglöhner stoßend, davon reicht mann Jährl. auf Martini der Statt Straßburg Pfenningthurn 1 lb bodenzinß Von dem dach über der beschlag bruck, Sonsten für freÿ Ledig und eigen durch (die) Werckleuthe Laut Abschatzungs Zeduls Vom 10.ten Maÿ Anno 1735 angeschlagen per 560 lb, Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff mit E.E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insiegel bekräfftiget, de dato 11. Aug. Anno 1729.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, hausrath 26 lb, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ringe 1 lb, Sa. der baarschafft 5 lb, Sa. Schulden 50, Sa. der Erg. 82, Summa summarum 177 lb
Der Erben ohnverändert Nahrung, Sa. hausraths 23, Sa. der Erg. 91, Summa summarum 114 lb – Schulden 50 lb, Nach deren Abzug 64 lb
Theilbare Verlassenschafft, Sa. Haußraths 28, Sa. Werckzeug und gemachter Arbeit zum hueffschmid handwerck gehörig 71 lb, Sa. Frucht, 2, Sa. lährer Faß 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. baarschafft 22, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 560, Sa. Schulden 116 lb, Summa summarum 811 lb – Schulden 1129 lb, In Compensatione 318 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 177 lb
– Abschatzung den 10 Maÿ 1735. Auff begehren weiland deß achtbahren und vescheitenen Meister Andreas rein deß geweßenen schmidts, ist eine behaußung allhier in der statt straßburg in der Weißen thurn straßen gelegen, ein Eckh in die St Aurelien gaßen, ein seits neben michell heitell dem gartner, anderseits an andreas schöttel Stoßent, welche behaußung, Stuben, Küchen, oben darüber Stuben, Kammeren, Haußehren, Küchen, im obern Stock 3 Kammeren, eine darvon die soldaten Kammer nebens schopff, worunter Zum theill die würckstätt Von der schmitten, neben daran der noth stall, vor dem hauß die beschläg brücken, Kohlen bienen, und getrembter Keller, sambt aller gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen weckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen, Vor und umb Ein Tausent und Zweÿ Hundert gulden. [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hoffs
Copia der Eheberedung (…)- Sonntag abendts den Eilfften Februarÿ Anno 1725 – Johann Adam Ößinger, Notarius juratus
La veuve se remarie en 1735 avec le maréchal ferrant Jean Daniel Person
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 141-v, n° 6)
1735. Mittw. den 26. 8.bris sind nach zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt v. eingesegnet worden, Johann Daniel Person des ledigen Huffschmidt v. burger allhier, weÿl. Augustin Person gewesenen burgers und Huffschmidts allhier nachgelaßener ehl. Sohn, und Fr. Annæ Barbaræ geb. Eckhardtin weÿl. Johann Andreas Klein gewesenen burgers v. HuffSchmidts allhier hindelaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Daniel Persohn als hochzeiter, Anna Barbara Eckertin, als Hochzeiterin (i 145)
Jean Daniel Person meurt en 1759 en délaissant quatre filles. L’estimation de la maison est reprise de celle de 1735. La masse propre à la veuve présente un déficit de 350 livres. Les biens des héritiers sont estimés 276 livres. L’actif de la communauté s’élève à 570 livres, le passif à 463 livres
1759 (22.11.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 795) n° 187
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohl Vorachtbahren hr. Johann Daniel Persohn des geweßenen Hueffschmids und burgers dahier nun seel. Verlassenschafft errichtet, nach seinem den dienstag den 25. sept. 1759 Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, auf Ansuchen Fraun Annä Barbara Persohnin geb. Eckertin der hinterbliebenen Wittib beiständlich herrn Georg Eckards des haußfeurers und burgers alhier dero bruders
der abgeleibte seeliger hat ab intestato zu Erben Verlaßen wie folgt, 1. Frau Mariam Margaretham Bilgerin geb. Persohnin, H. Philipp Jacob Bilgers des Wagners haußfrau, 2. Jgf. Mariam Barbaram Persohnin so beÿ 21 Jahr alt dahero ohnbevögtigt und mit assistentz herrn Johann Persohn des hueffschmidts, 3. Jgfr. Mariam Salome und 4. Jgfr. Mariam Dorotheam die Persohnin deren beeden letßtern geordneten vogt ist vorbehahmbster herr Philipp Jacob Persohn dero Schwager, zu ihrem Theilvogt herr Johannes Persohn der hueffschmidt, Alßo alle 4 mit der Wittib erziehlter Kinder
Bericht, Es wurde neml. Vordersamst verglichen, daß da die hinterbliebene Wittib Ihren Sohn erster Ehe Johann Andream Klein den gewesenen leedigen Hueffschmid seel. vor ohngefehr acht Jahren geerbet, damals aber unterschiedenes sowohl wegen seiner langwierigen Kranckheit als auch darauff erfolgten todesfalls unkösten auff gegangen (…)
In einer alhier ane der Vorstadt Weißenthurnstraß gelegen und in dieße Verlassenschafft gehörige behaußung befunden
(f° 8) Antheil ane einer behausung, Nemblichen 2/3.te theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung und hoffstatt, höfflein und Scheuer sambt allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, rechten, zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg und dero Vorstadt Weißenthurnstraß so 1.s ein Eck ane St. Aurelien Gaß 2.s neben diebold Wunderer dem Gartner Unterwagnern hinten auf Andream Schöttel den tagner stoßend gelegen, Von der Völligen behaußung reicht man jährl. auf Martini der Statt Straßburg Pfenningthurn 2 lb bodenzinß Von dem dach über der beschlag bruck, die völlige behaußung in weil. Mr Joh: Andreä Kleinen des gewesenen hueffsch. Ihres Ersten Ehevogts seel. Verlassenschafft Inv. de A° 1735 dh. (die) Werckleuthe æstimirt worden, wobeÿ es auch dermahlen mit approb. der H. 3.er löbl. St. wieder gelaßen word. pro /:thun die hiehero gehörigen 2/3.te theil:/ 373, Über die völlige behaußung meldet ein Kauffbrieff mit E.E. Kleinen Raths Insiegel bekräfftiget de dato 11. aug. 1729, Ein dritter theil solcher behaußung ist der hinterbliebenen Wittib als ein in Ihrer ersten Ehemanns längst weil. Mr Johann Andreas Klein dem geweßenen Hueffschmid seel. theilbahre Nahrung gehörig geweßenes Guth zuständig, So dann hat dieselbe einen dritten theil Von Weil. andrea Klein dem geweßenen leedigen hueffschmid Ihren Sohn erster Ehe welcher auch dem Vatter seelig geerbet, Und paricipirt dero noch lebender Sohn 1. Ehe herr Johann Jacob Klein der leedige Keller den übrigen 1/3.ten theil sothaner behaußung wie hierunten beÿ dero Wÿdumb mit mehrerem zu sehen ist
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnverändert Guths, Vermög Inventarÿ über beeder zertrennter Ehepersohnen einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen dh. Not. Johann Lobstein meinem Vatter seel. in A° 1736 errichtet
(f° 16) Wÿdembs: Verfangenschafft So Mr Johann Bernhard Steinhilber der huffschmid von weil. Fraun Anna Margaretha geb. Hetzelin seiner i.sten Ehefrauen als des Verstorbenen Mutter seel. ad dies vitæ zu geniesen berechtiget, nach geendigten Genuß denen dißortigen Erben zu 1.m vierten theil eigenthümlich anheim fällt
Wÿdembs: Verfangenschafft. (…) Es ist aber unter solcher Summ begriffen der übrige dritte theil Vorheriger für 2 dritte theil Perge, der Wittib ohnverändert Vermögen eingetragener behaußung an der Weißenthurnstraß gelegen und die völlige behaußung för 560 lb in dießer Verlassenschafft Inv. angeschlagen, als wird für dißorthigen dritten theil in Auswurff kommen 186 lb (…), die völlige behaußung in vorbemeldem Kinder Vertrag ohnpræjudicirlich für 1100 lb ausgeworffen
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der hinterbliebenen Wittib ohnverändert Vermögen, hausrath 56 lb, Werckzeug zum hueffschmid handwerck gehörig 28 lb, lährer Faß 8 lb, silbers 11 ß, goldene ringe 1 lb, baarschafft 2 lb, behaußung 373 lb, Schulden 84 lb, Summa summarum 556 lb – Schulden 906 lb, In Compensatione 350 lb
der Erben ohnverändert Vermögen, hausrath 28 lb, lährer Faß 3 lb, Silbers 13 ß, goldene ringe 3 lb, Schuld 25 lb, Ergäntzungs Rests 240 lb, Summa summarum 301 lb – Schulden 25 lb, Nach solchem abzug 276 lb
des gemein verändert und theilbahr Vermögen, hausrath 35 lb, Werckzeug und gemachter Waar 20 lb, Weins 10 lb, silber 2 lb, Schulden 501 lb, Summa summarum 570 lb – Schulden 463 lb, Nach solchem abzug 106 lb – Stall summ 160 lb
Anne Barbe Eckert veuve de Jean Daniel Person hypothèque la maison au profit de la fille mineure de Jean Steitz
1762 (2.3.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 72-v
Annna Barbara geb. Eckertin weÿl. Johann Daniel Person des huffschmidtts
in gegensein Johann Jacob Klein des wirths als vogt weÿl. Johannes Steitzen des maurers tochter Margarethæ Salome Steitzin – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Aureliengaß, einseit ist ein eck ane ged. gaß, anderseit neben Diebold Wunderer, hinten auff Michel Schöttel den holtzkarcher
Anne Barbe Eckert assistée de son fils Jean Jacques Klein hypothèque la maison au profit du docteur en médecine Jean Georges Lauth
1766 (27.2.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 157-v
Barbara Personin geb. Eckertin beÿständlich ihres sohns Johann Jacob Klein des gastgebers
in gegensein H. Johann Georg Lauth, med. doctoris und practici – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St. Aureliengaß, einseit ist ein Eck ane St. Aureliengaß, anderseit neben Diebolt Wunderer, hinten auff Andres Schöttel
Marie Barbe Person épouse Jean Pierre Führer, maréchal ferrant originaire de Dettwiller. Lors du contrat de mariage, la mère lui fait donation de sa part de maison en s’en réservant la pleine jouissance sa vie durant
1772 (13.3.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 336
(Eheberedung) persönlich erschienen der Ehrengeachte Johann Peter Führer, der leedige hueffschmid weiland Mr Jacob Führer des auch geweßenen hueffschmids und burgers Zu Dettweÿler seel. nachgelaßener Sohn burgers Zu Dettweÿler seel. nachgelaßener Sohn, so zwar annoch bevögtigt, mit Friderich Lantz dem Ackersmann und burgern in gedachtem Dettweÿler, est ist aber sowohl in dießem als des hochzeiters noch lebenden Mutter Nahmen beÿ dießer heürath: Abrede erschienen Mr Jacob Führer der Hueffschmid und burger in gedachtem Dettweÿler, deßen bruder, welcher declarirte, daß Sie ihre einwilligung zu dießer heuraths Abrede und darauf erfolgenden Ehe geben und wofür Er caviert als Hochzeiter ane einemn
Und die Viel Ehren und tugendsamee Jgfr. Maria Barbara Persohnin weil. H. Johann Daniel Persohn des geweßenen hueffschmidts und b. dahier seel. nachgelaßener maiorennen tochter unter autorisation herrn Philipp Jacob Bilgers des Wagners v. b. dahier auch ohnentledigten Vogts als hochzeiterin ane dem andern theil
Sechstens hat Frau Anna Barbara Persohnin, gebohrne Eckardin, der Jgfr. hochzeiterin geliebte Mutter unter Assistentz Hn Johann Jacob Klein des Gastgebers und burgers dahier dero Sohns erster Ehe, deroselben eigenthümlichen cedirt, abgetretten und überlaßen die ihro gehörige zween dritte theil Vor ohnvertheilt Von: und ane einer behaußung und hoffstatt, höfflein und Scheuer, sambt allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg und dero Vorstatt Weißenthurnstraß, so I.s. ein Eck ane St. Aureliä Gaß, 2.s. neben diebold Wunderer dem Garthner Unterwagnern, hinten auf Andream Schöttel, den taglöhner stoßend, so außer denen darauf hafftenden Passiv: Capitalien, sonsten gegen männigl. freÿ leedig eigen. Vor und umb 733 Pfund, das ist die Völlige behaußung auf den fuß von 1100 lib gerechnet
Wobeÿ stipulirt worden, daß Sie die Mutter biß an Ihr seel. absterben in ruhigem besitz der Cedirter hauß Antheiler gelaßen, als dann aber die Jgfr. Hochzeiterin erst in die Possession derselben gesetzt werden solle – auf Freÿtag den 13. Martÿ anno 1772. [unterzeichnet] Johan Peter Führer als hochzeiterer, Maria Barbara Persohnin als hochzeiterin
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 129-v)
Anno 1772 Mitwoch den 17. Junÿ seind (…) in den Heil. Ehestand eingesegnet worden Johann Michael Führer der leedige Huffschmid allhie weÿl. Johann Jacob Führer geweßenen Huffschmlid und burger in dettweiler hinterl. ehel. Sohn und Jgf. Maria Barbara Personin Weÿl. Johann Danjel Person geweßenen burgers und Huffschmids allhie hinterl. ehel. tochter, [unterzeichnet] Johan Peter Führer alß hoch Zeiter, Maria Barbara Persohnin als hochzeiterin (i 136)
Jean Pierre Führer devient bourgeois quelques jours après son mariage. Le registre de traitement des demandes est conservé pour cette période
1772, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 61-v
Johann Peter Führer der huffschmidt von Dettweiler gebürtig erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Maria Barbara weÿl. Joh: Daniel Person gewesenen hueffschmidts und burgers allhier hinterlassener ehel. tochter umb den alten burger schilling will dienen beÿ E.E. Zunfft der Schmidt. Jur. den 27. Junÿ 1772.
(VI 286 bis, p. 370) Schmidt N° 13, den 4. Junÿ 1772
Johann Peter Führer der Ledige Hufschmidt von dettweiler in Hiesiger Provintz gebürtig
Verlobet mit Barbara weiland Joh. Daniel Persons des hiesigen gewesten burgers u. Hufschmidt hinterlassene Eheliche Tochter
Seine Scheine zeigen daß er Ehelich gebohren, u. Augspurgischer Confession zugethan, daß seiner Sponsæ stall gebühr in Richtigkeit, er seine gebührnde Stall Caution geleistet, und des zunft Rechts E.E. zunft der Schmidt vertröstet worden.
Laut attestatio von Amtschreiber u. Gericht zu dettweiler hat er an Vermögen, in Liegenden Gründen mehr den R 600. an Werth ererbet, über welcher unverpfändetes Eigenthum der den Eÿd erhärtet.
Implorant bittet E. G. Ihn a Sponsa um den A. B. ß. Gnädigst in allhiesiges burger Recht anzunehmen.
Receptus a Sponsa um den Alten Burger Schilling
Compagnon maréchal ferrant originaire de Dettwiller, Jean Pierre Führer produit son certificat d’apprentissage délivré à Bouxwiller en avril 1772 et demande à être reçu maître avant d’épouser la fille de feu le maréchal ferrant Jean Pierre Führer. Le corps de métier refuse, étant donné que le règlement prévoit qu’un étranger dans cette situation doit avoir fait une année d’épreuve. Jean Pierre Führer transmet la demande qu’il adresse aux Quinze au corps de métier qui projette de s’y opposer. Les Quinze accèdent à la demande du pétitionnaire aux conditions habituelles : Jean Pierre Führer devra épouser la fille du maître, régler les frais d’inscription et de clôture de l’année d’épreuve ainsi que les dépens et un droit de dispense
Protocole des maréchaux et des armuriers (XI 141)
(p. 116) Dienstags den 21. Aprilis 1772 – Johann Peter Führer der ledige Huefschmid Gesell, weil. Mr Jacob Führers des auch geweßenen Hueffschmids und burgers Zu Dettweÿler seel. nachgelaßener Sohn, stehet vor und bitt man wolle Ihme das Meisterrecht zu kommen laßen, maßen Er mit weil. Mr Johann Daniel Persohn, des geweßenen Huefschmids und burgers dahier seel. nachgelaßener tochter ehelichen versprochen, auch die Eheberedung mit Ihro d. 13. Martÿ 1772. vor mir Notario errichten laßen, producirt anbeÿ seinen Lehrbrieff sub dato Buchßweÿler d. 13. Aprilis 1772.
Erkanndt, da E. E. Meisterschafft der Hueff und Waffenschmid 7. Articul clar vermag, daß ein frembder Gesell, so allhier Meister werden will und eines Meisters tochter heurathet, dannoch ein Jahr die Muthjahr verarbeiten solle, solches aber von dem Imploranten biß dato noch nicht geschehen, als ist er in seinem begehren ab und an solchem Articul verwießen worden.
(p. 118) Freÿtags den 8. Maÿ 1772. – Dato wurde diejenige Schrifft, so Joh: Peter Führer der Huefschmids Gesell von Dettweiler gebürtig puncto Dispensation des Muthjahrs, beÿ Gnädigen Hn denen Hn XV. angegeben, E. E. Meisterschafft abgeleßen und ist darauffhien in gehaltener Umfrag
Erkandt worden, daß die beede Ober Meister eine Deputation desfalls begehren und sich mündlich daselbst wider sein Führers petitum so viel möglich opponiren sollen.
Montags den 1. Junÿ 1772. – Joh. Peter Führer, der leedige Huefschmid Gesell, von Dettweiler gebürtig, stehet vor und producirt bescheid von Gnädigen Herren denen Herren XV. vom 23. Maÿ jüngsthien, vermög deßen E dispensando von dem Articul unter der bedingung, daß Er weiland Johann Daniel Persohns des geweßenen Huefschmids seel. nachgelaßene Tochter heurathe, so gleich in die Muthjahr einzuschreiben und wider daraus zu thun, quo facto derselbe gegen Ersetzung der Uncösten und Erlag 5 lb pro dispensatione halb löbl. Stadt und halb E. E. Meisterschafft heimbfällig zu dem Meisterrecht admittiren seÿe, will solchem bescheid parition leisten, bittet dahero Ihme das Meisterrecht Zukommen zu laßen.
Erkannt, willfahrt, und seind ihme sogleich die Articul vorgeleßen worden.
[in margine :] Eingeschriebener in die Muthjahr dt 1 lb, Auflaggeld dt 12. ß, Ausgethaner aus denen Muthjahren dt 1. lb, Auflaggeld dt 12. ß, Meister Recht dt 3. lb 10 ß, Auflaggeld dt 12. ß, Dispensation dt 3 lb, vor eine Schrifft dt 12 ß 8 d)
Leur inventaire des apports est dressé dans la maison au Faubourg Blanc qui ne figure pas parmi les biens de la femme comme le rapporte une note.
1773 (6.3.), Me Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 816) n° 641
Inventarium über des Ehrengeachten Meister Johann Peter Führers, des huefschmids und der Ehren und tugendsahmen Fr. Mariä Barbarä, gebohrner Persohnin, beder Eheleuthe und burgere dahier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen – welche der Ursachen, alldieweilen in ihr beeder Eheleuthe vor mit unterschriebenenm Notario d. 13.ten Mrtÿ letstabgewichenen 1772.ten Jahrs mit einander errichteter Heuraths verschreibung §° 3.tio expresse enthalten, daß eines jeeden in die ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿnd und bleiben solle – Actum alhier Zu Straßburg, in fernerem beÿseÿn Hn Johann Jacob Klein des Gastgebers und burgers alhie, der Ehefrauen Halbbruders und dießorths beÿstands, aud Sambstag d. 6. Martÿ 1773.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Weißenthurnstraß gelegenen und in dieße Nahrung dermalen noch nicht gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Silbers 16, Sa. haussteuren 13, belauffet sich also des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen 29. lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußrath 63, Sa. Werckzeugs und Eißens Zur huefschmidt Handwercks 88, Sa. Silbers und dergleichen Geschmleids 15, Sa. goldenen Rings 8, Sa. de baarschafft 4, Summa summarum 180 lb, Sa. haussteuren 13, der Ehefr. in die Ehe gebracht Guth 193 lb
Pro Nota. Es hat zwar Frau Anna Barbara Persohnin gebohrne Eckartin weil. Mr Johann Daniel Persohn des geweßenen Huefschmidts und burgers alhier hochgelehrte Wittib der Ehefr. eheleibliche Mutter in beeder Eheleuthe vor mir Notario d. 13. Martÿ 1772. errichteten Eheberedung paragrapho sexto Ihro der Ehel. eigenthüml. Cedirt, abgetretten und überlaßen die Ihro gehörig geweßene Zween dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung und und hoffstatt, höfflein und Scheuer, sambt allen übrigen deren Gebäuden, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Weißenthurnstraß, so einseit ein Eck ane St. Aureliä Gaß, anderseit neben diebold Wunderer dem Garthner Unterwagnern, hinten auf Andream Schöttel, den taglöhner stoßend gelegen für freÿ leedig eigen pro 733 Pfund, weilen aber in den solchen Puncten der Eheberedung versehen, daß Sie die Mutter biß an Ihr seel. absterben in ruhigem besitz der Cedirter hauß Antheiler gelaßen, als dann aber die Jgfr. Hochzeiterin erst in die Possession derselben gesetzt werden solle, als hat man solches hier nur berichts weiße melden wollen ohne solche 2/3.te theil haußes der Ehefr. ohnverändertem Vermögen beÿ Zusetzen und den nach dero Mutter und deßfals Zu bezahlen habenden Cessions Schilling davon wieder abzuziehen.
Beschluß Summa 223. lib
Jean Jacques Klein, seul héritier de son père, cède sa part de maison à sa mère
1773 (16.3.), Jean Frédéric Lobstein – Me Lobstein (Jean, 31 Not 42), Joint au n° 943 du 4 avril 1725
Zuwißen seÿe hiemit daß ane heut Zuend gesetztem dato bei weiland der Johann Andreä Klein des geweßenen Hueffschmids und burgers dahier Zu Straßburg längst seel. Verlassenschafft Inventur Concept dh. weil. Hn Not.um Johann Lobstein meinem Vatter seel. in a° 1735. gefertigt. Vor mit Notario als besitzern deßen gesamten Notariat Acten persönlich erschienen deßen nachgelaßener Sohn Hr. Johann Jacob Klein, den Gastgeber und burger dahier Zu Straßburg
der hat in gegensein Frn. Mariä Barbarä Persohnin geb. Eckardin weiland Mr Johann Daniel Persohn, des geweßten Huffschmids und burgers allhier seeligen nachgelaßener Wittibin seiner eheleiblich. Mutter angezeigt und bekand, Wie daß Er für sich seine Erben und Nachkommen Ihro in ohnvertheiltem Erb eigenthümlichen cedirt abgetretten und überlaßen habe
die Ihme für Vätterlich guth gehörigen dritten theil für ohnvertheilt Von und ane einer behaußung und hoffstatt, höfflein und Scheur, sambt allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg und dero Vorstatt Weißenthurnstraß, so einseith ein Eck ane St: Aureliä Gaß, anderseit neben diebold Wunderer dem Garthner Unterwagnern, hinten auf Andream Schöttel, den taglöhner stoßend, so außer denen darauf hafftenden Passiv: Capitalien, sonsten gegen männiglich freÿ leedig eigen. Dießem nach ist die Cession und Uberlaßung solcher dritte theil haußes, und woran Ihro der Cessionariæ die übrige Zween dritte theil als 1/3.te theil als ein in erster Ehe erlangt* theilbahr Guth und ein dritter theil als ein Von Johann Andreæ Klein ihrem schon in ao. 1752. Verstorbenenen sohn erster Ehe ererbt – umb 366 Pfund, das ist die Völlige behaußung auf den fuß Von 1100 lb gerechnet als auf welchen fuß selbige Vermög eines durch Weil. Hn. Not. Johann Lobstein seel. d. 17.ten 7.bris a° 1735. errichteten, d. 12. 8.bris ejusdem Anni beÿ E. Löbl. Vogteÿ Gericht abgehandelten und. d. 9. februarÿ 1739. beÿ E.E. Großen Rath confirmirten, so forth in allhießiger löbl. Cantzleÿ Contract stub enregistrirtem Kinder Vertrags berechnet worden – So beschehen allhier zu Straßburg (…) auf Sambstag den 16. Martii Anno 1773, Johann Friderich Lobstein, Notarius juratus
Jean Pierre Führer meurt en 1805 en délaisant deux enfants
1805 (14 floreal 13), Strasbourg 7 (21), Me Stoeber n° 2037, 6530 – Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 119-v du 19 flo 13
Inventaire de la succession de Jean Pierre Führer maréchal ferrant décédé le 24 brumaire 13 – à la requête de Marie Barbe Persohn la veuve assistée de Jacques Schaeff homme de loi, 1. Jean Daniel Führer maréchal ferrant, 2. Anne Barbe Führer fille mineure, en présence de Michel Hammerer maréchal ferrant tuteur subrogé, Contrat de mariage Me Lobstein le 13 mars 1772
Maison appartenante à la veuve en propre. Une maison avec cour grande boutique et toutes ses appartenances située au fauxbourg blanc n° 8*, d’un côté la rue Ste Aurelie d’autre les héritiers de feu Thiebault Wunderer fils de Jean aboutissant par derrière à Schwenzel journalier, cédée à la veuve par cession Me Lobstein le 6 mars 1773 et contrat de vente à la Chambre des subhastations le 11 août 1729
propres aux héritiers, habits 109 fr, remplacement 118 fr, total 227 fr, du à la veuve 200 fr, reste 27 fr
communauté, meubles 438 fr, outils de maréchal ferrant 254 fr, outils 20 fr et autres dettes actives 4947 fr, total 5762 fr – passif 3803 fr, reste 1960 fr
Marie Salomé Person meurt célibataire dans la maison en délaissant pour héritiers son frère et ses sœurs
1812 (13.5.), Strasbourg 4 (40), Me Stoeber n° 1763 – Enregistrement de Strasbourg, acp 119 F° 151-v du 16.5.
Inventaire de la succession de Marie Salomé Person fille majeure décédée le 3 du présent, à la requête de 1. Anne Barbe Person veuve de Jean Pierre Führer maréchal ferrant au faubourg Blanc n° 22 sa sœur germaine, 2. Frédéric Bilger charon au faubourg blanc n° 58 comme administrateur des biens des enfants mineurs Frédéric Bilger et Marguerite Bilger nés du mariage de Salomé Himberger par représentation de leur grand tante feu Marguerite Person femme de Frédéric Bilger, charron, sœur germaine de la défunte, testament nuncupatif Me Stoeber 28 avril dernier, 3. Marguerite Bilger femme de Michel Ammann maréchal ferrant au faubourg de Saverne n° 36, 4. Dorothée Person veuve de Frédéric Rothhahn baquetier demeurant rue du bain aux plantes n° 3 sœur germaine de la défunte, 5. Jacques Klein ancien caffetier frère utérin
dans une maison faubourg blanc n° 22
meubles 419 fr, bijoux 13 fr, créances 1901 fr, total 2334 fr, passif 350 fr, reste 1984 fr
Liquidation de la même succession
1812 (18.9.), Strasbourg 4 (41), Me Stoeber n° 2049
Liquidation de la succession de Marie Salomé Person fille majeure décédée le 3 mai dernier, à la requête d’Anne Barbe Person veuve de Jean Pierre Führer maréchal ferrant demeurant faubourg blanc n° 22 sœur germaine de la défunte, 2. Frédéric Bilge charron demeurant fauxbourg blanc n° 58 administrateur des bines de ses enfants Frédéric et Marguerite nés de Salomé Himberger par représentation de leur grand tante Marguerite Person femme de Frédéric Bilger charron sœur germaine de la défunte, établis par testament nuncupatif devant Me Stoeber le 28 avril dernier, 3. Marguerite Bilger femme de Michel Ammann maréchal ferrant au fauxbourg de Saverne n° 36, 4. Dorothée Person veuve de Frédéric Rothhahn baquetier rue du bain aux roses n° 3 sœur germaine ces deux derniers aussi en qualité de cessionnaires de Jacques Klein ancien caffetier à Strasbourg, frère utérin de la défunte, cession Me Stoeber le 23 mai 1812
vente de meubles le 19.5. dernier, total du numéraire 1193 fr, crédit 148 fr, dus 1301 fr, total 2643 fr, déduire 525 fr, reste 2118 fr
Barbe Person veuve de Pierre Firer meurt en 1832. Elle a institué son fils propriétaire de la moitié de la maison et ses petits-enfants nu-propriétaires
1832 (19.12.), Strasbourg 7 (85), Me Stoeber n° 14 475 – Enregistrement de Strasbourg, acp 214 F° 126 du 24.12.
Inventaire de la succession de Barbe Personne veuve de Pierre Firer, maréchal ferrant, décédée le 19 novembre 1832 – à la requête de 1. Jean Daniel Firer, maréchal ferrant, et Anne Oesinger, héritier légitime, tous deux tuteurs naturels et légaux de Philippe Firer, 2. Jean Daniel Firer, boulanger, Barbe Firer, majeure, Marie Louise Firer, majeure les trois derniers enfants de Jean Daniel Firer et Anne Oesinger, héritiers en nue propriété, par testament devant Me Stoeber le 3 novembre 1832 héritiers, les quatre enfants de son fils Jean Daniel Firer réduit par la loi à moitié
dans la maison mortuaire Faubourg National n° 22
3. une maison, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Faubourg National n° 22, d’un côté André Nessmann, d’autre le Sr Schwentzel fossoyeur, derrière le même – occupé par les héritiers Firer évaluée 7000 fr – 2/3 indivis ont été donnés à la défunte par sa mère Anne Barbe Eckard veuve de Jean Daniel Personne, maréchal ferrant, à l’art. 6 de leur contrat de mariage passé devant Jean Frédéric Lobstein le 13 mars 1772, la défunte acquis 1/3 de Jean Daniel Klein, aubergiste fils propriétaire en premières noces par la veuve Personne née Eckard
garde robe 40 fr, créances actives 1185 fr ; totalité de l’actif 8225 fr ; passif, pour mémoire
Daniel Führer a épousé en 1802 Anne Œsinger, fille d’un cultivateur d’Eckbolsheim : contrat de mariage, inventaire des apports
1802 (26 frimaire 11), Strasbourg 7 (29), Me Stoeber n° 1006 (3888) – Enregistrement de Strasbourg, acp 86 F° 104-v du 6 niv. 11
(Eheberedung) erschienen br. Daniel Führer, leediger hufschmid, bs. Johann Peter Führer, Hufschmids alhier mit fr. Anna Barbara geb. Personn erzeugter Sohn, unter Autorisation seines Vaters, als hochzeiter
und bn. Anna Oesinger die leedige bs. Lorentz Oesinger, Akkersmann Zu Eckbolsheim mit fr. Catharina Weltz erzeugte tochter, unter Autorisation ihres Vaters, als braut an andern theil – Straßburg den 26. frimaire im eilften Jahr [unterzeichnet] Daniel Firer als Hochzeiter, Anna Ößingerin
Inventaire des apports, sans doute dressé dans la maison des parents du marié
1804 (26 vent. 12), Strasbourg 7 (19), Me Stoeber n° 1934, 5482 – Enregistrement de Strasbourg, acp 90 F° 189-v du 6 germ. 12
Inventarium über diejenige sowohl fahrend als liegende haab und Nahrung welche burger Daniel Führer hufschmidt und Fr. Anna Oesinger seine Gattin einander in die Ehe gebracht, in ihrer vor mir Notario den 26. frimaire 11 aufgerichteten Eheberedung
in burgers Führers behausung an der weißenthurnstraß N° —
des Ehemanns vermögen 340 fr
der Ehefrau 125, 285, 190, 447 fr, haussteur 48 fr, der ehefrauen liegende güther 7 stück Eckbolsheimer bans
Les quatre nu-propriétaires se partagent la maison en deux parties qui reviennent respectivement à Jean Daniel Firer et Marie Louise Firer, tous deux célibataires. Marie Louise Firer s’engage à entretenir sa vie durant sa sœur Barbe. La partage convenu en allemand entre les parties est joint à l’acte notarié
1843 (10.5.), Strasbourg 13 (58), Me Arbogast n° 1302
Partage – furent présents 1° Le Sr Jean-Daniel Firer, boulanger, 2° Delle Barbe Firer, majeure d’ans, sans état, 3° Delle Marie Louise Firer, majeure d’ans sans état, 4° Et le St Philippe Firer autrefois fabricant de chandelles, Tous demeurant & domiciliés à Strasbourg
Lesquels ont dit qu’ils sont nu-propriétaires indivis, Chacun pour un quart, d’une maison à rez de chaussée & deux étages, avec bâtiment y attenant, comprenant boulangerie & habitation, petite cour derrière, sise à Strasbourg faubourg National N° 22, formant le coin de la Rue Ste Aurélie, d’un côté André Nesmann, d’autre Voltz jardinier. Duquel immeuble le Sr Jean Daniel Firer, propriétaire autrefois maréchal ferrant & De Anne Oesinger, conjoints à Strasbourg, leurs père et mère & le dernier vivant d’eux ont l’usufruit viager & gratuit. Lesquels droits de nue-propriété & d’usufruit résultent aux dits d’un testament public fait à leur profit, dans lesdites proportions, par Barbe Personne, veuve de Pierre Firern vivant maréchal ferrant en cette ville leur ayeule, mère et belle-mère par acte dresse par Me Stoeber jeune lors notaire en cette ville le 3 novembre 1832, enregistré. Que désirant sortir de l’indivision & partager cet immeuble entre eux de manière à en fixer dès à présent le sort pour l’époque de la cessation dudit usufruit, ils ont requise les soussigés notaires de dresser l’acte du partage qu’ils en ont fait en deux lots d’une égale valeur, des attributions qu’ils ont faites entre eux desdits lots & des soultes & droits résultant de ces attributions.
Partage de la Maison
Premier lot – Ce lot comprend la boulangerie établie dans l’aile gauche du bâtiment avec les deux habitations & le grenier au dessus. La chambre au second étage donnant sur le devant dans l’aile droite, qui fait le coin de la maison du côté de la Rue Ste Aurélie, la chambre à Côté de cette dernière, la moitié de la chambre à farine au dessus, la moitié des premiers greniers & la moitié de la Cave.
Second lot – Il comprend l’aile droite de la maison formant le coin de la Rue Ste Aurélie à l’exception des localités de cette partie comprises au premier lot, & se compose de la boutique avec chambre d’habitation, cuisine & chambre à bois au rez-de-chaussée, de tout le premier étage contenant chambre et cuisine, de la chambre au second étage donnant dans la Rue Ste Aurélie & de la moitié de la chambre à farine, de la moitié du grenier au dessus, du grenier supérieur en entier, de la moitié de la cave.
La cour, la fosse à fumier, les lieux d’aisances & le puits ainsi que tous les escaliers, corridor & passages de ladite maison seront communs entre les deux lots pour leur libre usage.
Ces lots ainsi formée ont été attribués, savoir
le premier lot à Jean Daniel Firer et le second à Marie Louise Firer, ce acceptants.
Clauses & conditions. 1° L’immeuble partagé étant grevé d’un capital de 2400 francs au profit de M. Rémond Thomas Alexandre Wagner, maître serrurier demeurant à Strasbourg (…), 2° Le Sr Jean Daniel Firer est chargé de désintéresser son frère Philippe Firer (…), 3° Le Dlle Marie-Louise Firer est chargée de désintéresser de la manière suivante sa sœur Barbe Firer de ses droits résultant du présent partage, Marie-Louise Firer s’oblige à loger, nourrir à sa table, vêtir, éclairer, chauffer la dite sa sœur sa vie durant, en un mot de l’entretenir convenablement, tant en état de santé que de maladie (…)
(Joint) Abtheilung vom Hauß. Daniel hat das theil mit der bekerei im ersten Stock mit den Zwei Wohnungen und ober drüber due bühn, im Eckhauß hat er im Zweÿten Stock die Kamer auf die Straß, darneben die halbe malkamer, darüber die hälfte von unteren bühnen den halben Keller, oben wie unten ist in beÿden theilen der durchgang gemeinschafflich, der abtritt mit der Mistgrub gemeinschafflich, der brunne Gemeinschaftlich.
Abtheilung vom Hauß. Louise hat das Eckhauß mit dem Kramladen stub und küchen und holßkamer, den Gantzen ersten stock Küche und Kamern, im Zweÿten stock die Kamer in die Aurelien Gaß die halbe Mehlkamer, oben drüber die halbe bühn, die obere bühn gantz, auser den Zimmer ist alles Gemeinschafflich, den holtzen Keller, der brunnen ist gemeinschafflich, der abtritt und Mistgrub Gem: und der durchgang mus frei sein.
Louise muß ihr ältere Schwester Barbara bei sich behalten sie ernähren und versorgen wan sie kranck wird verpflegen solte aber Louise heÿrathen und ihre Schwester nicht mehr wollen oder sie über halten so mus die der Barbara ein Schlafzimer im hauß geben und Jährlich zweÿ hundert Francken solte aber Louise vor der Barbara mit tod abgehen so har der nächste Erb die nämlche verpflichtung
Anne Œsinger veuve de Jean Daniel Firer, usufruitière de la maison, et ses deux enfants nu-propriétaires hypothèquent la maison au profit du serrurier Rémond Thomas Alexandre Wagner
1847 (8.5.), Strasbourg 13 (62), Me Arbogast n° 2641
Obligation – furent présents De Anne Oesiger Veuve de Jean Daniel Firer vivant propriétaire à Strasbourg, 2° M. Jean Daniel Firer, boulanger, 3° Melle Marie Louise Firer, majeure d’ans sans état tous demeurant et domiciliés à Strasbourg
devoir à M. Rémond Thomas Alexandre Wagner maître serrurier demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme de 600 francs
hypothèquent, Une maison à rez de chaussée et deux étages avec bâtiment y attenant comprenant boulangerie et habitation petite cour derrière, sise à Strasbourg faubourg national N° 22, formant le coin de la rue Ste Aurélie d’un côté André Nessmann, de l’autre Voltz jardinier. Les débiteurs déclarent que l’immeuble ci-dessus affecté appartient aux dits Jean Daniel Firer et Marie Louise Firer en nue propriété à chacun pour moitié et en usufruit à ladite Veuve Firer ainsi qu’il résulte 1° d’un partage dressé par ledit Me Arbogast le 10 mai 1843 (…), 2° Du testament public de Barbe Personne leur belle mère et ayeule Veuve de Pierre Firer vivant maréchal ferrant en cette ville reçu par M Stoeber jeune autrefois notaire à Strasbourg le 3 novembre 1832, ainsi qu’il est énoncé en l’inventaire de la succession de ladite défunte veuve Firer née Personne dressé par ledit Me Stoeber le 19 décembre 1832 deux tiers par indivis dudit immeuble lui ont été donnés par sa mère Anne Barbe Eckhard femme de Jean Daniel Personne de Strasbourg aux termes de l’article six de son contrat de mariage passé devant Me Jean Frédéric Lobstein, le 13. mars 1772, et elle a acquis l’autre tiers du dit immeuble de Jean Jacques Klein vivant aubergiste à Strasbourg fils procréé en premières noces par la susdite veuve Personne née Eckharf
Anne Œsinger veuve de Jean Daniel Firer, usufruitière de la maison, et ses deux enfants nu-propriétaires hypothèquent la maison au profit du commis négociant Charles Alphonse Ensfelder
1848 (6. Xbr), Strasbourg 2 (94), Me Roessel n° 2101
Obligation – furent présents 1) Dame Anne Oesiger, veuve de M. Jean Daniel Firer, propriétaire autrefois maréchal ferrant, 2) M. Jean Daniel Firer, boulanger, célibataire, 3) Melle Marie Louise Firer, majeure d’ans sans état, célibataire, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg
devoir à M. Charles Alphonse Ensfelder, commis négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme de 1000 francs
hypothèquent, Une maison à rez de chaussée & deux étages, avec bâtiment y attenant comprenant boulangerie & habitation, petite cour derrière, sise à Strasbourg faubourg national N° 22, formant le coin de la rue Ste Aurélie d’un côté André Nessmann, de l’autre lz Sr Voltz jardinier. Déclarent les débiteurs que cet immeuble avait éré légué aux Sr et Dle Firer comarans à Dlle Barbe Firer & à Philippe Firer fabricant de chandelles demeurant à Strasbourg en nue propriété à & Jean Daniel Firer père et à sa veuve comparante et au survivant d’eux en usufruit par Dame Barbe Personne veuve de M. Pierre Firer, vivant maréchal ferrant demeurant à Strasbourg leur aïeule, mère & belle mère aux termes d’un testament reçu par M Stoeber jeune alors notaire à Strasbourg le 3 novembre 1832, enregistré, Suivant acte reçu par Me Arbogast le 10 mai 1843 les quatre enfants Firer procédèrent entre eux au partage de la nue propriété de ladite maison. Par cet acte la boulangerie dans l’aile gauche du bâtiment avec les deux habitations, le grenier au dessus, la chambre du second étage donnant sur le devant dans l’aile droite et celle à côté, la moitié de la chambre à farine au dessus, la moitié des premiers greniers & de la Cave échurent à M. Firer comparant. L’aile droite de ladite maison sauf les localités comprises dans le premier lot, et dépendant de cette aile, la boutique avec chambre d’habitation, cuisine et bucher au rez-de-chaussée, tout le premier étage contenant chambre & cuisine, la chambre au second étage donnant dans la rue Ste Aurélie, la moitié de la chambre à farine au dessus, de la moitié du grenier, du grenier supérieur en entier & la moitié de la cave échurent à Dlle Firer comparante. La cour, la fosse à fumier, les lieux d’aisance, le puits, les escaliers, corridors, & passages de ladite maison restèrent communs entre les deux lots. Ce partage eut lieu à charge (…) 3) et sa sœur fut chargée de nourrir, loger, chauffer & habiller Barbe Firer sa vie durant. Déclarent les débiteurs que cette dernière est morte depuis et que ses droits se sont par suite éteints, que M Firer père est aussi décédé & que les droits d’usufruit de la veuve étant compris dans ladite constitution dhypothèque ne peuvent préjudicier à M Ensfelder