Pierre Justet, maître d’armes, et (1778) Gertrude Barbier – catholiques
Pierre Justet naît à Murviel près de Montpellier, fils du négociant Jacques Justet et d’Anne de Loustal. Ancien maître d’armes au régiment de Grenoble, il épouse en 1778 Gertrude Barbier, fille d’un inspecteur des fortifications. Il devient bourgeois la même année et tributaire à la Mauresse en promettant de ne pas tenir salle d’armes ni prendre d’élève. Il devient cependant maître d’armes avec l’assentiment de Jean François Neuville, lui aussi maître d’armes. Quand ce dernier meurt, les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent en avril 1784 Pierre Justet et Joseph Pierre Henriquel dit Dupont à tenir salle d’armes.
Devenu négociant, Pierre Justet meurt le 16 novembre 1821.
Maison en propriété
1778-1784, rue du Coin brûlé (IV 210, actuel 5, rue du Fossé des Tanneurs)
1791-1792, Vieux marché aux vins, bien national (III 67)
Maison en location
1793, appartement dans l’hôtel de Darmstadt
1824, rue de l’Ecrevisse n° 1
Enfants
- Marie Françoise épouse (1799) le chef de brigade Jean François Thérèse Barbier
- Barbe épouse (1804) l’adjudant Jean Gardier
Signature au bas du contrat de mariage (1778)
Pierre Justet devient tributaire à la Mauresse le 31 août 1778 après avoir accédé à la bourgeoisie (les registres manquent entre 1777 et 1783)
1789, Registres annuels de la Taille (VII 1282) f° 179
Justé, Pet. jur. 31. Aug. 1778 – 2 lb 2 ß
Fils d’un négociant de Murviel près de Montpellier, le maître d’armes Pierre Justet épouse en 1778 Gertrude Barbier, fille d’un inspecteur des fortifications : contrat de mariage, célébration
1778 (25. 7.br), Not. Laquiante (6 E 41, 1068) n° 37
Contrat de mariage, communauté partageable par moitié – Sr Pierre Justé maître d’armes demeurant à Strasbourg, fils majeur de feu Jacques Justé, bourgeois de Mierville en Languedoc et de Anne de Loustal
Dlle Gertrude Barbier fille mineure du Sr Dominique Barbier, Inspecteur des lignes de la Queiche demeurant à Strasbourg, et De Marguerite Winter
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 172-v)
Anno Domini 1778 die vero 28 Septembris (…) sacro matrimonii vinculo Conjuncti fuerunt in facie Ecclesiæ Petrus Juste oriundus ex montpellier in Legione rei tormentariæ Gratianopolitanæ inclitum instructor plené dimissus filius Legitimus et majorennis defuncti Jacobi Juste et superstitis Annæ de Lusteau Conjugum in montpellier ad sanctum Laurentium hujatum Commorans et Gertrudis Barbier filia legitima et minorennis dominici Barbier Regii fortalitiorum per alsatiam delineatoris et margarithæ Wind conjugum, oriunda ex Landau diœcesis spirensis modo ratione domicilii parochiana nostra (signé) pierre justet, gertrude Barbier
Pierre Henri Dupont (Joseph Pierre Henriquel dit Dupont), secrétaire du théâtre français et maître d’armes de l’université de Nancy, sollicite le 3 avril 1784 auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un le droit de tenir une salle d’armes comme autrefois le sieur Neuville et ensuite le sieur Justet dit Montpellier. Suivant l’avis des avocats généraux Hold et Fischer, l’assemblée renvoie l’affaire aux administrateurs de l’université pour compétence.
Le maître d’armes Pierre Justet demande le 5 avril en son nom et en celui de son frère Antoine Justet, maître d’armes à Besançon, le privilège exclusif de tenir une salle d’armes à Strasbourg en promettant de servir une rente à la veuve du maître d’armes Jean François Neuville.
Les administrateurs de l’université rendent le 10 avril leur rapport. Ils commencent par rappeler qu’il revient au Magistrat d’autoriser les salles d’armes dans la ville comme le stipule un arrêt rendu par le Conseil d’Etat le 6 mai 1756. Le Magistrat a été amené par deux fois depuis le début du siècle à décider d’autoriser deux maîtres d’armes à exercer plutôt qu’un seul. En 1728, le maître d’armes Duval a tenté d’empêcher Antoine Efantin d’exercer. Les administrateurs ont alors jugé qu’un seul maître d’armes ne suffisait pas au grand nombre d’élèves, d’autant que la concurrence favoriserait l’émulation. Les maîtres d’armes devraient être bourgeois et promettre obéissance au Magistrat, en contrepartie il serait interdit à tout autre de tenir une salle d’armes publique ou privée. En 1756, Martin a voulu empêcher Neuville d’exercer en alléguant qu’en 1740 Jean Laigle dit le Blanc n’y avait pas été autorisé parce qu’un seul maître d’armes était suffisant. L’enquête a montré que Martin et Neuville se partageaient trente-quatre élèves sans compter les leçons privées. Les administrateurs ont alors jugé nécessaire d’autoriser deux maîtres d’armes, ce qui favoriserait l’émulation.
Les administrateurs ont reconnu en 1775 le bourgeois Neuville seul maître d’armes à pouvoir exercer quand un sergent d’artillerie et un caporal de grenadiers ont sollicité une autorisation.
Comme aujourd’hui le nombre d’élèves à beaucoup augmenté et que l’escrime fait partie de l’éducation courante, les administrateurs estiment qu’il est souhaitable d’autoriser deux maîtres d’armes à exercer. Henri Dupont a bonne réputation. Quant à Pierre Justet, il a promis de ne pas tenir salle d’armes ni prendre d’élève en devenant bourgeois en 1778. Les registres ne permettent pas de savoir quand il a commencé à exercer avec l’assentiment de Neuville. Les administrateurs proposent d’accorder à titre révocable à Pierre Justet et Henri Dupont le droit exclusif de tenir salle d’armes à condition de promettre obéissance au Magistrat et de verser chacun par moitié à la veuve Neuville une rente de 100 livres réversible en faveur de ses enfants tant qu’ils seront célibataires.
1784, Conseillers et XXI (1 R 267)
der Fechtmeister Sr Dupont begehrte Erlaubniß eine offentliche Fechtschule allhier zu errichten wird an die Hh Scholarchen zur untersuchen verwießen. 112. Sr Justet Fechtmeister begehrt privil. exclusivum. 116. beede erhalten Erlaubniß alhier Fechtschuhlen zu halten unter gewißen bedingung. 120.
(p. 112) Sambstag den 3. Aprilis 1784.
Claus nomine Sr Pierre Henrique Dupont, des b. und Secretarii der Frantzösischen Schaubühn alhier, wie auch Fechtmeisters der Academie Zu Nancy Imploranten, prod. unterthäniges memoriale samt beÿlag sub litteris A u. B. und bitten, wir geruheten zu erkennen, daß ihme so wie vorhin Sr Neuville, nachgehends aber Sr Justet dit Montpellier erlaubt seÿe, in der Fecht Kunst Unterricht zu geben und zu diesem Ende einen offenen Saal zu halten.
nach angesehenen diesem Memoriali und angehörtem Gutachten der HH. General advocaten Holdt und Fischer, welche dafür gehalten, daß, d dem Vernehmen nach dieses begehren von dem H. Justet, So Montpellier bestritten werde, die Sache eine nähere beleuchtung zu erheischen scheine, welche dann von d.en hochverordneten Hh. Scholarchen als deputati nati beÿ denen in das Fach der Wißenschaften einschlagende geschäfften erwartet werden möge.
Ist vermittelst angestelter Umfrag die berichts Einholung von denen Hh. Scholarchen einmuthiglich Erkannt und genehmigt worden. Deputati H. Rth. Pfeffinger, H. Rth Marchall.
(p. 116) Montag den 5. Aprilis 1784.
Wilhelm nôe Sr Pierre Justet, des hießig. burgers und Fechtmeisters für sich und in nahmen Sr Anton Justet des Fechtmeisters b* Zu Besançon producirt unterthäniges Memoriale samt beÿlag sub Nis. 1-6 inclusive und bitten pt° privilegii exclusivi Fechtschule halten zu dörfen. Wir geruheten ihm und seinem bruder mit dem Privilegio exclusivo öffentlich fechtschule alhier halten Zu dörfen unter dem anerbieten gnädig Zu willfahren, daß Sie das [*] neulich verstorbenen Jean François Neuville geweßenen Br. und Fechtmeisters alhier Wittib und ihren dreÿ Kindern [ad dies] vitæ versprochen jährl. Gehalt Werckthätig [-]u durch einen öffentlichen Contract verbünd. wollen [-]tes Gutachten des Hn General advcaten Holdt, d [-] begehen völlig connexe Sachen des Sr Dupont [-] die Hh. Scholarchen, als deputati nati wäre [lacune p. 117]
(p. 120) Sambstag den 10. Aprilis 1784.
Ferner Wurde von denen hochverordneten Hh. Scholarchen folgendes abgestattet. GGHH
Es haben E. G. geruhet die untersuchung des begehrs deren Zweÿen Fechtmeister, deren der eine nahmens Dupont die Erlaubniß eine öffentliche Fechtschuhl alhier zu halten begehrt, der andre aber nahmens Pierre Justet, ein Monopolum alhier einzuführen trachtet und allein mit außschließung aller andern diese Kunst alhier zu exerciren verlangt, denen Herren Scholarchen aufzutragen. Nun ist ohnstreitig, daß En. hochlöbl. Magistrat allein Zu kommt die Erlaubniß Zu ertheilen eine öffentliche Fechtschul alhier Zu halten, dieses Recht ist demselben a terminis durch ein arrêt des Königl. Staatraths vom 6. Maÿ 1756. bestätigt worden, darin es heißt, fait S M. défense à Siccard & a tous autres de tenir salle d’armes a Strasbourg sans y être autorisés par le Magistrat de lad° ville.
Es ist nicht weniger ohnlaugbar, daß Em hochlöbl. Magistrat freÿstehet einen oder zweÿ Fechtmeister anzunehmen, die Frage, ob einer oder zween anzunehmen, ist aber in diesem Saeculo von denen Hh. Scholarchen Zweÿmal nehmlich in annis 1728. und 1756. gründlichen untersucht, und von E. G. jedesmal dahin erörtert worden, daß es dem publico fürträglicher wäre Zweÿen zu erlauben öffentliche fechtschul alhier zu halten.
In Anno 1728. wolte einer nahmens Duval verhindern, daß ein andrer nahmens Antoine Efantin nicht angenommen werden möchte.
Nach eingeholtem Gutachten der Hh Scholarchen welches dahingieng, daß wegen der großen Anzahl Scholaren ein Fechtmeister in hießiger Stadt nicht sufficient wäre, und die jugend beßer instruirt würde, wann zweÿ vorhanden, in deme mehrere aemulation unter ihnen seÿn würde, wurde auf anspruch Hn Gen. adv. Scheffmacher ahn H. Prætori regio gefolgt und von E. G. Vorfahrer erkannt
1° daß obgenannten beÿden Fechtmeistern allhier in dieser Stadt Fechtschuhl zu halten erlaubt
2° denenselben, sobald ihnen möglich in hießiges burgerrecht sich haben begeben, auch Es Löbl. Magistrat juridiction sich zu submittiren und deßen gebotten und Verbotten den schuldigen Gehorsam handtreulich zu versprechen injungirt.
3° Allen andren Personen in der Fecht Kunst weder publice, noch privatim alhier schul zu halten, wie nicht weniger
4° denen hießigen burgern und Schirmern zu dergleichen unerlaubten Informationen Platz und Gelegenheit in ihren Häußern zu verlehnen beÿ Obrigkeitliches Straf verbotten.
5° Es löbl. Policeÿ gericht ein wachsamen Aug darüber zu haben und die darwieder handlende Delinquenten nach der gebühr abzustraffen die Commission aufgetragen werden solle.
In anno 1756. Wolte Martin dem Neuville die aufnahm streit machen unter dem Vorwand, es wäre in aô 740. auf deßen opposition wieder die aufnahm des genannten Jean Laigle dit le [Blanc] decidirt worden, daß Zweÿ Fechtmeister nicht nöthig und dieser deshalben mit seinem begehren abgewießen worden. Allda die Sache näher examinirt worden, wurde befunden, daß in aô 1740. die Hhn Scholarchen des Martins bücher sich haben vorlegen laßen, und daraus ersehen, daß in den letzten jahren einen Monath in den andern gerechnet, derselbe von 20. bis 21. Scholaren zu 4 und 2 livres des Monats gehabt und also nur des Monats etlich und dreißig gulden bezahlt davon er sich und seiner famille nebst einem prevôt de salle erhalten und alle bürgerliche beschwerden abrichten solte, dahingegen in aô 1756. Martin 15. Scholaren und Neuville 19. jedem zu 6. liv. gehabt. In rücksicht dieses unterschieds, wie auch in betrachtung deßen, daß unter dießen 34. Scholaren die [p. 123] privat lectionen nicht begriffen, wie nicht weniger, daß wann nur ein fechtmeister, die Scholaren Keine wahl haben, Keine aemulation vorhanden, und daß derselbe nach seinem willen die gebühren von denen Scholaren abforden Könne, Wurde durch eine große Mehrheit der Stimmen dem voto Hn Prætoris Regii beÿgepflichtet und dem Neuville in seinem begehren willfahrt, so lang es Em. löbl Magistrat beliebig seÿn und derselbe dem Publico satisfaction geben werde, jedannoch unter der bedingung, daß er sich in das burgerrecht begeben wolle.
Er ist zwar wahr, daß in aô 1775. E. G. erkannt haben, daß Neuville außschließlichen anderer beÿ seinem recht eine fechtschul allhier halten Zu können, solche manutenirt werden, allein damalen wolten eines nahmens Grenier sergeant d’artillerie, welcher, da sein Regiment ausgezogen, zurückgeblieben und ein Caporal des Grenadiers d’Anhalt fechtschul alhier halten, worein E. G. zum præjuditz eines burgers nicht willigen Könnten.
In Betrachtung alles obigen haben die Hh. Scholarchen darvor gehalten, daß Henri Dupont, als welcher von jedermann das beste zeugnis hat, in seinem begehren unter denen in A. 1728. in gleichmäßigem fall angeregten Conditionen um so da mehr Zu willfahren, als die Anzal derer Scholaren sich heutigen tages sehr vermehret, und die Fecht Kunst ein theil der jetzigen Erziehung ausmacht, auch der genannte Pierre Justet in A. 1778. von E. E. Großen Rath unter der condition zum br. angenommen worden, daß er sich reversiren solte, Kein öffentliche fechtschul alhier zu halten und Keine Scholaren, so unter E. G. gerichtsbarkeit angesessen, zu instruiren, nebst deme auch in Keinem [p 124] protocollo zu finden, wie und auf was weis gedachter Justet Zu einem öffentlichen Fechtmeister angenommen worden. Weilen aber dieser Justet schon seit sechs Jahren alhier burger worden und seine Kunst mit Vergünstigung des Neuville exercirt auch der wittib und ihren Kindern, einen jährlichen gehalt von 100 livres versprochen, wann er sein privilegium exclusivum erhalten würde, so haben die Hh. Scholarchen Zufolg des angenommenen principi, daß dem publico fürträglich seÿn würde Zweÿ als nur einen Fechtmeister zu haben, erachtet, daß beÿden Fechtmeistern, nehmlich Pierre Justet und Henri Dupont, so lang es E. G. belieben wird, erlaubt seÿn solle eine ordentliche Fechtschul alhier zu halten, unter dem oblato von seiten Sr. Dupont ane denen 100. lib. welche Sr Justet, der wittib Neuville und nach ihrem tod, ihren Kindern jährlich zu zahlen versprochen, die helfte beÿzutragen. Nachdeme hierauf von denen Hh, Scholarchen, H. Stettmeister von Falckenhaÿn, welcher nôe H. Cancellarii von Berckheim der deputation beÿgewohnt, annoch beigesetzt, daß dieße den Neuvillischen Kundern zu reichende pension, fals ihr Muter versterben solte, nur so lang als dieselbe ledig verbleiben würden, und ohne daß unter ihnen das jus accrescendi statt haben möge, Zu verstehen seÿe.
Und die Hh General advocaten Heldt und Fischer die Confirmation dieses bedachts Mghh. auch aus dem Gesichts punct angerathen, daß die ernennung Zweener Fechtmeistern das einzige Mittel seÿe, dem unterricht der Regiments Meister einhalt zu thun.
Ist vermittelst angestelter Umfrag auf den Antrag des auf der Oberbanck vorsitzenden Herrn Stettmeisters von Neuenstein obiger bedacht einmüthiglich confirmirt, ein- [p.125] folglich Erkannt, daß denen Implorirenden Fechtmeistern Pierre Justet, dit Montpellier, und Pierre Henri Dupont, beeden burgern allhier, allein erlaubt seÿn solle, Fechtschule zu halten und solches nicht nur unter der von ihnen angenommenen bedingung der Witwe Neuville gemeinschafftlich und jeder Zum halbscheide eine jährliche pension von 100 livres zu bezahlen, welche nach ihrem Absterben auf ihrer Töchter verfällig, und von solchen genoßen werden Könne, bis sie sich verheurathen werden, als in welchem fall der sich verheurathenden antheiler für erlöscht zu achten, sondern auch unter der ausdruckl. Injunction, daß sie sich Em. Löbl. Magistrat immer submittiren und deßen gebotten und Verbotten jederzeit den schuldigen Gehorsam leisten sollen. Wobeÿ annoch Erkannt, daß Em. Löbl. Policeÿ gericht anzuempfehlen ein Wachsames Aug zu haben, daß Keine andre Personen weder publice noch privatim in der Fechtkunst Schul halten und auch die hießige burger und schirmer zu solchen instructionen keinen platz und Gelegenheit in ihren häußern einraumen mögen, als weches unter obrigkeitl. ahndung hiemit wiederholt verbotten seÿn solle.
Pierre Justet habite au Vieux-Marché-aux-Chevaux (n° 1) en 1789
1789, Rôles de la contribution patriotique (VII 1295) – Mauresse
n° 243. III. Vieux marché aux Chev. 1, Justet, Sr Pierre, maitre d’armes
Leur fille Marie Françoise Justet épouse en 1799 le chef de brigade Jean François Thérèse Barbier
1799 (19 nivose 7), Strasbourg 6 (20), Not. Laquiante n° 2
Contrat de mariage – Cit. Jean François Therese Barbier, Chef de brigade du 2° régiment de hussards natif de la commune de Strasbourg fils majeur de Dominique Barbier Eclusier a Strasbourg et de la Cit. Marie Salomé Winter
Cit. Marie Françoise Justet, fille mineure du Cit. Pierre Justet, négociant, et de la cit. Gertrude Barbier
Enregistrement de Strasbourg, acp 65 F° 43 du 22 niv. 7
Barbe Justet épouse en 1804 Jean Gardier
1804 (28 vend. 13, Enregistrement de Strasbourg, ssp 18 n° 81, f° 7
Contrat de mariage entre Jean Gardier
et Barbe Justet de Strasbourg
Le survivant des futurs aura la jouissance des biens du prémourant
Molsheim le 6 frimaire XII
Pierre Justet meurt le 16 novembre 1821 en délaissant deux filles ou leur représentant. L’inventaire est dressé dans une maison rue de l’Ecrevisse
1821 (27.11.), Strasbourg 2 (50), Me Weigel n° 1417
Inventaire de la succession de Pierre Justet, rentier décédé le 16 novembre dernier – à la requête de 1. Gertrude Barbier la veuve, 2. Joseph Alios, capitaine en retraite officier de la Légion d’Honneur, mandataire de Fanny Justet épouse de M. le baron François Barbier maréchal de camp en retraite commandant de la Légion d’Honneur demeurant Molsheim sa fille, 3. Jean Gardier ancien adjudant de la place tuteur Mélanie Gardier issue de Barbe Justet, héritiers de leur père et grand père – en présence de Mathieu Joseph Massé ancien capitaine adjudant de la place subrogé tuteur
dans la maison mortuaire sise rue de l’Ecrevisse n° 1
dans une chambre au second éclairée sur la place du Broglie
Contrat de mariage reçu Laquiante le 27 septembre 1778 – garde robe 232 fr
meubles premièrement, dans la chambre à côté, dans la chambre à côté, cuisine, cave, 933 fr, numéraire 836 fr, créances 15.833 fr, ensemble 17.603 fr – passif 12.192 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 155 F° 26 du 1.12.
Antoine Justet, frère de Pierre Justet, épouse en 1791 Marie Josephe Giffard
1791 (27.4.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 142
Contrat de mariage – furent present le Sieur Antoine Justet, Maître d’armes natif de Monpelier fils du Sieur Jacque Justét negotiant a Mompelier et de Anne Marie Justet Majeur d’une part
et Demoiselle Marie Joseph Giffard fille de François Antoine Giffart Bourgeois d’orreur de cette ville et de Marie Eve née Eckert sous l’autorisation de Son Pere d’autre part – (signé) antoine Justet, Marie Josephe Giffard