6, rue du Brochet


Rue du Brochet n° 6 – X 222 (Blondel), O 855 (cadastre) puis section 33 n° 10

Démolie en 1962

Brochet (1  Fi 77, 51 – Falkenstein)
La ruelle du Brochet vers 1940 (photographiée par Falkenstein, AMS cote 1 Fi 77 n° 51)
Le n° 6 est la maison juste derrière les seaux (à deux portes et deux fenêtres, un seul étage),
le n° 4 est la maison suivante (une porte et une fenêtre, deux étages)

La maison appartient quant au domaine direct à l’hospice des Orphelins, les propriétaires de la maison en détiennent le domaine utile et paient une rente emphythéotique de 6 sous 2 deniers à la Saint-Nicolas, ensuite 1 franc 25 centimes. Petite maison sans jardin, c’est la deuxième du côté sud de la ruelle, à l’arrière de la maison numéro 221 qui s’ouvre sur le quai des Fleurs.

Un seul billet d’estimation est conservé, celui de l’inventaire de 1744 : une maison dans cette ville de Strasbourg rue du Brochet d’un côté Philippe Muterer garçon batelier, d’autre Madeleine Spætt revendeuse, derrière Jacques Cammerer, boisselier, dans laquelle maison il y a au rez-de-chaussée un petit poêle, vestibule où se trouve un fourneau, petite cour où se trouve la chambre à soldats, petite cave solivée, au premier une chambre à coucher, petite cuisine, vestibule, vieux petit comble, toit couvert de tuiles simples, grenier dallé et deux pignons en bois, avec toutes les appartenances.

D’après l’Atlas des alignements (1829) la maison a un rez-de-chaussée et premier étage mauvais en bois et petite avance

août 2011

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1685 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Martin Doss, garçon batelier, et (1649) Anne Marie Barthel – luthériens
1688 Jean Jacques Barthel, batelier, et Anne Marie Giessbrecht – luthériens
1691 v Léonard Huber, vannier, et Elisabeth Lingelser – catholiques
1732 h Jean Altherr, cordonnier, et (1709) Marie Eve Huber – catholiques
1737 v André Fleck, batelier, et (1726) Anne Marie Winterlin veuve de Christophe Ichert, tailleur d’habits – luthériens
1744 André Fleck, batelier, seul propriétaire – luthérien
1756 h Jean Michel Schrœder, orfèvre, et (1755) Marie Madeleine Hitschler – luthériens
1761 v Jean Frédéric Roser, fabricant de boutons, et (1752) Anne Marie Husser – luthériens
1808 h Jean Frédéric Fritschmann, pêcheur, et (1798) Marie Dorothée Rosser
1834 v Jean Christophe Schnaidt, chargeur, et Madeleine Hohl
1867 h Jean Schnaidt
1879 Barbe Wendling
1881 Louis Etienne Striebinger, entrepreneur en bâtiment
1892 Jean Bühler, maçon
1897 Charles Hammer, serrurier
1903 Charles Hammer et sa femme en communauté de biens
1929 Joseph Wiedemann et son épouse
1933 Alfred Klein artiste
1938 Charles Dœry et son épouse
1939 Emile Jean Sitter et son épouse
1948 Marie Paule Vauthier épouse divorcée de Joseph Goetz

Liste Blondel (1765) : X 222, Jean Frédéric Roser
Cadastre napoléonien : O 855, Schnaud, Jean Christophe, rue du Brochet 17, maison sol, 0,72 are

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

indique les différents ménages qui habitent une maison en 1789, aussi bien le propriétaire (Pr.) que les locataires (loc.) en mentionnant la tribu dont ils font partie
Canton IX, Rue 344 Rue du Brochet (f° 486)

n° 17
Pr. – Roser Anne Marie – Maréchaux

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 277 case 1

Schnaidt, Jean Christophe, journalier rue du brochet N° 17
O 855 – R. du brochet
maison, sol – 0.72 ares – revenu, maison 22 maison et sol 22.37
10 portes et fenêtres

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1031 case 2

Schnaidt Christophe journalier
1867 Schnaidt Jean
1879 Wendling Barbara frl.
1881 Striebinger Ludwig Stephan, Bauunternehmer
92/93 Bühler Johann Maurer
1897/98 Hammer Karl, Schloßer
O 855 – R. du brochet, 6
maison, sol – 0.72 ares – revenu, maison 22 maison et sol 22.37
10 portes et fenêtres, puis 14 – 14 – 11

Cadastre allemand, registre 30

Parcelle : section 33 n° 10, anct. : O 855
Lieu-dit : Hechtengasse, Hs. N° 6 – Rue du Brochet – Hechtengasse – Rue du Brochet
Nature : Hf, Whs. u. NG.
Contenance : 0.59
Revenu : 400, 700

(Propriétaire) compte 473 (biffé)
Grombach Hypolit
gelöscht 1908

(Propriétaire) compte 501
Hammer Karl
1903 Hammer Karl und Ehefrau in Gg.
1929 Wiedemann Joseph chauffeur et son épouse
1933 Klein Alfred artiste
rayé 1936

(Propriétaire) compte 5786 (en 1936)
Striff René et son épouse
1938 Doery Charles & son épouse
1939 Sitter Emile Jean & son épouse
1948 Vauthier Marie Paule épouse divorcée de Joseph Goetz
4123

Dossier de la police du bâtiment (cote 233 MW 316)

La Police du Bâtiment demande en 1880 au propriétaire de remplacer des éléments de colombage défectueux. Elle demande en 1887 des améliorations intérieures. En 1891, le propriétaire fait des travaux de transformation au rez-de-chaussée et au premier étage. Les combles sont endommagées par un incendie (1894) puis remises en état.
Le dossier fait état des demandes habituelles : ravalement, rapports de la Commission des logements.
Une seule demande de pose d’enseigne, déposée en 1933 par le cordonnier Mathieu Blum.
En 1947, la famille Schaeffer dont le logement est insalubre est évacuée. Le rapport de 1961 indique que la maison est inoccupée depuis 1952. Comme elle est en mauvais état et qu’un éboulement a déjà eu lieu, la Ville prend un arrêté de péril. Le propriétaire vend la maison à la Ville qui possède ou est en passe de posséder les bâtiments voisins. La maison est démolie en 1962.

Sommaire
  • 1880 – Délabrement de l’immeuble : deux piliers du colombage sont brisés
  • 1887 – La Police du Bâtiment demande des transformations à l’intérieur de l’immeuble – Les réparations sont terminées, juin 1888
  • 1890 – La Police du Bâtiment met de demeure le propriétaire, Louis Steinberger domicilié 22 rue Brûlée de ravaler la maison – Le propriétaire a quitté la ville pour Paris le 4 juin 1890. Le locataire principal est le sieur Zivi, domicilié 8 fossé des Tanneurs – Avril 1891, Nouvelle mise de demeure adressée au nouveau propriétaire, Jean Bühler, domicilié dans la maison
  • 1891 – Le maître maçon A. Metzger domicilié 3 rue du Brochet demande au nom du propriétaire, Jean Bühler, l’autorisation de transformer la maison d’après le plan joint – Autorisation de modifier la construction au rez-de-chaussée et au premier étage, 4 mai 1891 – Les visites lors de la construction montrent que la cheminée n’est pas réglementaire – Travaux terminés, mai 1891 – Plan joint
  • 1894 – Un incendie a endommagé la maison dans la nuit du 10 juillet 1894 – Les architectes et entrepreneurs en bâtiment A. et P. Brion sont chargés de remettre la maison en état – Autorisation de reconstruire les combles incendiées, 17 août 1894 – Plan
  • 1899 – La Police du Bâtiment met de demeure le propriétaire, Charles Hammer domicilié 5 rue des Balayeurs, de ravaler la maison – 1900, nouvelle mise en demeure au sieur Hammer domicilié 2 rue neuve Fritz – Repeint, octobre 1900
  • 1907 – La Police du Bâtiment met de demeure le propriétaire, Charles Hammer domicilié 2 rue neuve Fritz, de ravaler la maison – Ravalé, octobre 1907
  • 1904 – Visite des lieux (commission des logements)
    1909 – Idem. Les latrines devront être raccordées aux canalisations avant mai 1910 – Travaux en cours, juin 1910
  • 1911 – Plainte d’un locataire – La pièce sur rue au rez-de-chaussée ne devra plus servir de chambre à coucher à moins d’y ouvrir une fenêtre
    1912 – Nouveau rapport de la commission des logements en deux points
    1915 – Nouveau rapport de la commission des logements en sept points
    1916 – Compte rendu de la Commission militaire des logements
  • 1933 – Mathieu Blum, cordonnier, demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation, 25 mars 1933
  • 1947 – P. Vauthier, domicilié 6 quai Saint-Thomas, demande l’autorisation de percer une fenêtre sur cour – Accord
  • 1947 – Un locataire se plaint que la gouttière fuit – Rapport de la Police du Bâtiment : le logement est insalubre mais il n’y a pas danger d’écroulement – 1948, la famille Schaeffer a été évacuée
  • 1952 – Un soupirail est dépourvu de grille et présente un danger pour les passants ; un enfant y est tombé – Objections du propriétaire
  • 1961 – Rapport de la Police du Bâtiment : la partie inférieure du pignon de l’immeuble s’effondre sur l’atelier de M. Wickert situé sur un terrain municipal 34 rue de Zurich – Esquisse
  • 1961 – Arrêté de péril – Le propriétaire, Marie Paula Vauthier, réside à Colmar chez sa sœur. La mairie de Colmar envoie un certificat de notification – Report de l’expertise contradictoire, octobre 1961 – Rapport d’expertise, octobre 1961 – Marie Paule Vauthier s’engage à vendre la maison à la ville
  • 1962 – Janvier, la Conseil municipal a décidé d’acquérir l’immeuble Vauthier – Mai, la maison a été démolie

Relevé d’actes

Martin Doss, garçon batelier natif de Freistett en pays de Bade, épouse en 1649 Anne Marie Barthel fille du garçon batelier Jean Barthel

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 15 n° 12)
1649 – Dominica 1. & 2. Trinit. Martin Dooß Von Freÿstätt der Schiffknecht: Jacob dooß. des Schiffknechts und Burgers daselbst hinderlaßener Ehelicher sohn, und Jungfr. Anna Maria Hans Barthels des Schiffmanns und Burgers alhie hinderlaßene eheliche Tochter. Copul. Montag d. 4. Junÿ horâ X. Wilh. (i 18)

Martin Doss, garçon batelier natif de Freistett en pays de Bade devient bourgeois
1649 – 4° Livre de bourgeoisie, p. 260
Martin Dooß der schiff Knecht Vonn freÿstett, Empfangt das burgerrecht Von seiner haußfraw Anna Maria Weilandt Hanß Barthels deß Schiff Knechts Vndt burgers alhier seel. Nachgelaßenen dochter Vmb 4. GoldtR. Ist ledigen standts geweßt wil Zu E. E. Zunfft der Enckern dienen Jur. den 20 Junÿ 1649.

Daniel Doss, fils de Martin et d’Anne Barthel, infirme et incapable d’exercer un métier passe un contrat d’alimentation au profit de son tuteur Jean Jacques Barthel, batelier, et de sa femme Anne Marie Giessbrecht en leur cédant sa part de maison

1688 (16.Xbr) Chambre des Contrats, vol. 559 f° 646
(Leibgeding) Daniel Doß, weÿl. Martin doßen gewesenen Schiffknechts, und Annæ gebohrner Barthelin, beede nunmehr seel. ehelich Erzielter sohn, bereits 25. Jahr alt, mit beÿstand der Ehrenvest Fürsichtig und weißen herrn Johann Gumbrechts und Hn Johann Georg Ehrlin, beede alß auß EE Großen Raths Mittel sonstens an Contactus minorum ins gemein, hierzu aber vermög bescheids vom 4.ten Xbr hierzu insonderheit Deputierter an einem, (si go. daniel dooß)
So dann hans Jacob Barthel der Schiffmann, und Anna Maria, gebohrne Gießbrechtin, deßen eheliche Haußfrau, Sein deßen bißherig. Vogt und Vogtfrau an andern theÿl, (si. HB, m)
haben angezeigt und bekandt, demnach Er doß weg. mangels an der hand kein handwerk erlernen könne, Alß hätten Sie Vogt und Vogtssohn, iedoch auff obged. E.E. Großen Raths d.d. ergangenen Erkandnus folgends leibgeding auffrichtig und rdlich mit einander auffgerichtet,
Nemblich und zum ersten, so versprech. Sie beede Eheleuthe alß Vogt und Vogtsfrau ins gesambt oder nach einen od. deß anderen hintritt, d. letstlebende Ihne doßen so lang er leben wird noch ferner /:dann Sie Ihne bereits ein d. Vierdte jahr beÿ sich gehabt und erhalt.;/ beÿ sich zu behalten und Zu Verpflegen (…)
solte sich aber begeben daß d. Vogts sohn Ihrer beed. tod erleb. solte, so soll auff solch. fall, für all diejenige was Sie beede Eheleuthe entwed. biß dahero an Ihne gewandt, oder ferner biß dahin, es seÿe über kurtz oder lang, verwend. werd. Ihnen allein d. übrige was hiernach nicht specificiert ist verbleichen, deren vogts solch. aber sein Erblehens Gerechtigkeit auff einer am hechten gäßlein gelegen und in deßen Vätterlich. Inventario beschriebenen behaußung, wie auch seine Kleidung, weiß gezeug und bett zurück gegeb. und überlaß. solle Endlich ist hierbeÿ zuwißen daß weil. d. besagte hauß Erblehen deß. dominium directum dem waisenhauß gehörig ist, und aber deß. dominium utile auff d. erstgemeldt. fall auch mit begeb. würde (…) Act. angefang. d.16.ten X.br 1688. vollendet d. 17.ten Jan 1689

Inventaire après le décès d’Anne Marie Giessbrecht veuve de Jean Jacques Barthel, batelier, qui possède une maison au Pont-aux-Chats
1713 (17.2.) Me Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 1) n° 24
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab undt Nahrung so die Tugendsahme Fraw Anna Maria Barthelin gebohrner Gießbrechtin Weÿlandt deß Ehrsamen und bescheidenen Hanß Jacob Barthels geweßenen Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg nachgelaßene wittib beede nunmehr seel. nach ihrem den 24. Januarÿ dießes Lauffenden 1713.t Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen und begehren deß Ehren Vesten und Wohl Vorgeachten herrn Georg Jacob Buben Vornehmen Handelßmann und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Susannæ Barthelin und Anna Maria Heckerin gebohrner Barthelin beÿständlich deß Ehrsamen und bescheidenen Hannß Jacob Heckers Schiffmann und burgers allhier Ihres Ehemanns, beede der Verstorbenen seel. hinderlaßene Kinder und ab intestato Erben, fleißig inventirt – So beschehen allhier in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Freÿtags den 17. februarÿ A° 1713.
In einer allhier ane der Crauttenaw gelegenen undt in die Verlassenschafft Eigenthümlich gehörig. behaußung sich Volgend. maßen befund.
In der Officier Stub, In der Cammer A, In der Wohnstuben, Im hauß öhren
Eigenthumb ahne einer behaußung, ane dem Katzensteeg (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 31, Sa. Silbers 3 ß, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 125, Summa summarum 156 lb, Schulden 21 lb, Nach deren Abzug 135 lb – Beschluß und verstallungs Summa 135 lb

Anne Marie Giessbrecht veuve de Jean Jacques Barthel, batelier, vend la maison à Léonard Huber, vannier et manant

1691 (26.2.) Chambre des Contrats, vol. 563 f° 167-v
Anna Maria gebohrne Gießbrechtin weÿl. hans Jacob Barthelß gewesenen Schiffmanns nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Lienhard Bößen, deß Schiffmanns Ihres Vogts, So dann H. Johann Carl Baldner der Schiff Zimmermann, alß Vogt ged. Barthels nachgelaßener dreÿ Kinder
in gegensein Lienhard Hubers, deß Körbmachers und Schirms Verwanthen mit beÿstand H. Jacob Böhm deß Maurers und Burgers allhier, mit Consens deß waisenhauß allhier, welchen /:salv. titt:/ H Jacob Wencker alter Ammeister und XIII.er alß Pfleger hierbeÿ persönlich anzeigte – auff die beÿ HHn Räth und XXI. am – Obrigkeitlich ergangene permission
die erblehen gerechtigkeit und beßerung vff einer behaußung allhier in der Vorstatt Krautenau ohnfern der alßo genandten Hechtenbrucken, im Gäßlein, einseit neben Melchior Binder dem Krempen zum theil und zum theil neb. hans Jacob Valentin dem zoller am Wighaüßel, and.seit neb. Philipß Quetschel dem Schneid. hinden auff Daniel von Zabern den Schiffmann stoßend gelegen, darvon das dominium directum obged. waißenhauß gehörig und demselben Jährlich in recognitionem eiusd. 6 ß 6 d Zum Erbzinß gereicht werd. müße – geschehen umb 125 pfund
[in margine :] (…) in gegensein hierinn ged. H. Lienhard Hubers der jetzmahligen E.E. Kl. raths beÿsitzers alß Kaüffers (quittung), den 4. Martÿ A° 1694

Léonard Huber, vannier natif de Reiten au canton de Lucerne en Suisse et sa femme Elisabeth Lingelser native de Fegersheim deviennent bourgeois. Ils ont alors trois enfants.
1692 – 3° Livre de bourgeoisie f° 1101
Leonhard Huber der Körbmacher Von Reiten in dem Lucerner gebiet gelegen, Weÿl. Leonhard hubers des geweßenen taglöhners daselbst hinterlaß: sohn, erkaufft das burgerrecht Vor sich und Elisabeth Lingelserin Von Vegersen gebürtig, seine haußfr: p. 2 goldR. 16 ß. so bereits auf dem Pfenningth: erlegt worden, Wegen ihrer 3. Kinder mit nahmen Maria Eva, Maria Magdalena und Frantz Joseph bleibt es beÿ ordnung, Vnd werden Zu E.E. Zunfft der Zimmerleuth dienen. Jur: d 29. 9.br 1692.

Léonard Huber et Elisabeth Lingelser habitent Strasbourg depuis 1682 d’abord paroisse Saint-Laurent puis paroisse Saint-Etienne après qu’ils ont acheté la maison
– Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 16), d. 18 8.bris 1682, Infans Anna Maria, obstetrix Luth:
Patrini – Joannes Roos von Tallen ditius trib., Anna Christina hugin filia Francisci Hugin hindersäs von groß graggaw
Parentes – Leonhart Huober, Elisabeth N :
Patria – Von fe*heimb (i 12)
– Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 52), 10.mo eiusdem [9.bris] 1683, Baptizatus, joannes udalricus
Parentes – Leonardus Hueber et Elisabetha hueberin
Patrini – Joannes udalricus Cärl et Margaritha Durikam (i 31)
– NB. Lacune mars-mai 1685
– Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 304), Decembr., 1° Huius fuit baptizata maria Magdalena Leonardi Hueber et Elisabethæ Lincksin commorantiu. in civitate filia legitima Patrinus est Nicolaus Leib Vntguth Incola Et Matrina Maria Magdalena Beckin argentinensis (signé, o marcke du perre) (i 158)
– Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 345), 1690 – Die 12 octobris Franciscus Josephus Leonardi Hueber Incola Ciuitatis et Elizabethæ Linckserin filius legitimus. Patrinus fuit Dnus Franciscus Ignatius streit de Immendingen, Matrina Dna B. Maria Alamia Von Helsenhem (signé, x signum Patris) (i 180)
– Baptême, Saint-Etienne (cath. p. 65), Hodie 27 May anni 1693 (…) baptizatus est joannes Michael filius legitimus leonhardi hueber et Elisabethæ Lingliserin Conjugum ciuius Argentinensium. Patrinus fuit Michael Beck et Pudiac virgo Ester Bercktoldin Matrina (signé, + signum Patris) (i 69)
– Sépulture, Saint-Etienne (cath. p. 82), Hodie 22 Nouembris Anni 1693 (…) sepultus est Franciscus Josephus hueber trium Annorum natus filius legitimus Leonardi Hueber Civis et Elisabethæ Lingliher Coniugum Argentinentium. Patrinus fuit Elias Neübauer Civis huius eiusdem civitatis Matrina vero Maria Eva Schülerin (i 112)
– Baptême, Saint-Etienne (cath. p. 89), Hodie 11 Augusti anni 1695 (…) baptizata est Maria Salome filia legitima leonardi Hueber Civis huius civitatis et Elisabethæ Lingserin Coniugum. Patrinus fuit Elias Neübauer Civis huius eiusdem civitatis Matrina vero Maria Eva Schülerin (i 93)
– Sépulture, Saint-Etienne (cath. p. 112), 13 Decembris anni 1696 (…) sepultus est in cœmetrio Sti. Stephani intra Argentina Joannes Michael filuis legitimus Leonardi Hueber Civis argentinensis et Elisabethæ Lingliser Coniugum Infans trium annorum (i 139)
– Baptême, Saint-Etienne (cath. p. 160, n° 1457), Octava die Maÿ anni 1700 baptizata ad stum Stephanu. Maria Ester filia legitima Leonardi Hueber Civis argentinensis et Elizabethæ Lingleserin Coniugum. Patrinus fuit Joseph Schuster civis argent. Matrina vero Maria Ester Schubechllerin (i 167)
– Sépulture, Saint-Etienne (cath. p. 97-v), Hodie 28 Martÿ anni 1710 (…) sepulta Maria Esther Hueberin pridie defuncta legitima filia Leonardi Hueber Civis hujus urbis et Elisabethæ Lingelserin Conjugum ætatis suæ novem annorum solo pœnitentiæ Sacramento munita, Testes fuere Elias Neübauer et antonius Richard cives argentinenses (i 104)

Les deux filles aînées de Léonard Huber, Marie Eve et Marie Madeleine, achètent le droit de bourgeoisie 1705 – 3° Livre de bourgeoisie f° 1254
Jf. Maria Eva Vnd Maria Magdalena beede Leonhard Hubers des Korbmachers allhier töchter erkauffen das burgerrecht p. 2. goldR. 16. ß Vnd werden beÿ E.E. Zunfft der Zimmerleuth dienen, Jur. d. 22. Dito. [Aprilis] 1705

François Nicolas Raumkist épouse Marie Madeleine Huber
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 139-v), Hodie die 24 februarÿ Anno 1715 (…) sacro matrimonii vinculo copulati Franciscus Nicolaus Raumküst, et Maria Magdalena Hueberin juvenes Argentinensis ambo parochiani mei, coram testibus Leonhardo Hueber patre sponsæ et Joanne petro Meÿer, et Adamo Raumküst sponsi patre, (signé) Frantz Nicolauß Raumküst, + signum sponsæ, leonhart huber, Adam Raumkist (i 142)

François Nicolas Raumkist, ouvrier en tabac natif de Strasbourg, acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Marie Madeleine Huber
1715 – 4° Livre de bourgeoisie p. 812
Frantz Niclauß Raumküst, der tabackmacher Von hier Adam Raumküst tabackmachers sohn, emp: das burgerrecht Von seiner Fr: Maria Magdalena Huberin, p. 2. goldR. 16. ß. Wird Zur Mörin dienen. J. d. 29. Dito [Aprilis] 1715.

Inventaire après le décès de Marie Madeleine Hueber femme de François Nicolas Raumkist, ouvrier en tabac. Elle laisse une fille. Le couple habite la maison des parents de l’épouse.

1720 (23.5.) Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 116) n° 1056
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und Tugendsame Fr: Maria Magdalena Raumküstin gebohrne Hueberin, des Ehrengeachten Mr Frantz Niclaus Raumküsts Tabackmachers und burgers allhier eheliche Haußwürthin, nach deme dieselbe den 9.ten X.bris des nächst hingelegten 1719.ten Jahrs seelig Verschieden, Zeitlichen hinder sich verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Mstr. Johann Altherrn, Schuhmachers u. burgers allhier als geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ Reginæ Raumküstin, der abgeleibten seel. mit Vorgedachtem Ihrem hinderbliebenen Wittiber ehelich erziehlten noch lebenden ältisten Töchterleins, so dann im nahmen Frantz Joseph Raumküsts der Verstorbenen seeligen, gleichfalls mit Ihme dem wittiber ehelich erzeugten und nach tod Verlaßenen Söhnleins, welches aber den 20.ten febr. dieses lauffenden 1720.sten Jahrs dießes irdische auch gesegnet sein des Wittibers selbsten als welcher daselbe geerbt, inventirt, durch Ihne den wittiber wie auch die Ehren und tugendsahme Fr. Mariam Elisabetham Huberin gebohrne Lingsin, des Ehrenvest, wohl Vorgeacht u. weißen Hn Leonhard Huebers Korbmachers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers Ehe Frau, der abgeleibten seel. eheleibliche Mutter (…) geäugt und gezeigt – so beschehen in Straßburg in fernern beÿsein Vor ehrengedachten Hn Leonhard Hubers der Verstorbenen seeligen eheleiblichen Vatters, auff Donnerstag den 23.ten Maÿ A° 1720.
Bericht ane statt der Eheberedung (keine Eheberedung)
In einer allhier zu Straßburg und deren Vorstatt Krautenaw ohnfern der hechten bruck gelegenen zum theil der Verstorbenen seel. geliebten Eltern zuständig theils aber in einer nechst darbeÿ gelegenen Von Ihme dem Wittiber bewohnenden behaußung, befunden word. wie volgt
Abzug dießen Inventarium, der Erben ohnverändert Guth, Sa. hausraths 32, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 1, Summa summarum 35 lb
Das theilbahre Guth, Sa. hausraths 12 lb, Hiervon solten nun wieder abgezogen werden nachfolgende Schulden 50 lb,, In Vergleichung, Mehr theilbahre Schuld als Theilbare guth 38 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 17 lb

Léonard Huber meurt en 1730 et sa femme Elisabeth Lingelser en 1732. L’inventaire après le décès n’est pas conservé ni mentionné dans un répertoire connu. D’après les ventes ci-dessous, les conjoints Huber laissent deux héritières, Marie Salomé femme de Jean Michel Kleinpeter, batelier, et Eve femme de Jean Altherr, cordonnier.

– Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 42
Anno Domini 1730 die 29 novembris horâ tertiâ matutinâ mortuus est Leonhardus Hueber conjux legitimus Elisabethæ Linckslerin sacramentis Eucharistiæ et extremæ unctionis munitus prope octogenarius et die 30 ejusdem mensis et anni (…) in Cimeterio extra portam Lanionum vulgo Kurbau dicto sepultus fuit præsentibus testibus Joanne Alther sutore et Joanne Michaele Huhie sutore etiam (signé) Johannes altherr, Johann Michel huck
– Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 79)
Anno Domini 1732 die 11 Julii hora nona Serotina mortua est Elisabetha Linguin ætatis suæ 75 circiter annorum sacramentis Eucharistiæ et Extremæ unctionis munita Vidua Leonardi Hueber Ciuis dum viveret (…) in Cæmeterio ante portam Lanionum vulgo Kurbau dicto die 13 eiusdem Mensis et anni Sepulta fuit præsentibus testibus Joanne Aldher Ciue et sutore et Joanne Aldher Clerico filio primi (signé) Johannes altherr, Johannes altherr

Marie Salomé Huber femme de Jean Michel Kleinpeter, batelier, vend la moitié de maison qu’elle a héritée de ses parents à sa sœur Marie Eve Huber femme de Jean Altherr, cordonnier

1732 (26.9.) Chambre des Contrats, vol. 606 f° 415
Fr. Maria Salome geb. Huberin Johann Michael Kleinpetter des Schiffers
in gegensein ihrer schwester, Johannes Altherr des Schuemachers und Evæ geb. Huberin
die ohnvertheilte helffte des dominÿ utili Einer Behausung höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der vorstatt Krauttenau im hechtengäßlein beÿ der hechtenbruck, einseit neben weÿl. Christoph Späth gewesten Grempen Erben anderseit neben weÿl. N. Gaÿot gewesten Maurers wittib hinten auff die Pflaumische Erben und Johann Jacob Kammerer den wannenmacher – dem hießigen weÿßenhauß als domino directo besagten haußes in recognitionem dominy directi 6 ß 3 ahne lehenzinß – als ein von ihren verstorbenen Eltern erblich erhaltenes guth zur helffte zum übrigen halben theil aber Altherrischer Ehefrau, als ihrer Miterbin zugehörig – um 90 pfund

Inventaire après le décès de Marie Eve Huber femme de Jean Altherr dressé dans leur maison quai Saint-Nicolas
1749 (23.6.) Me Hess (J. Jacques, 6 E 41, 1273) n° 162
Inventarium über Weÿland der Ehr: und tugendsamen Frawen Mariæ Evæ gebohrner Huberin des Ehrsamen Johannes Altherr Schuhmachers und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehelichen Hausfrawen seeligen Verlassenschafft – nach ihrem am 10.ten Januarÿ Jüngst genommenen tödlichen hintrit, hie Zeitlichen verlaßen – So beschen Straßburg den 23.sten Junÿ anno 1749.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Kinder und rechtsmäßigen Erben Verlaßen wie folgt 1° Barbaram des Ehrsahmen Meister Frantz Müller schuhmachers und burgers allhier Eheliche haußfrau, 2° Johannem Pfarrh. der Königlichen Pfareÿ Zu Weitersweiler im untern Elßas, 3° Leonhardum, Leedigen schuhmacher dermahlen Grenadierer unter dem löblichen frantzösischem infanterie regiment la tour de pain in der besatzung der Hauptstatt Lille frantzösischen flandern gelegen
behausung am Staden zwischen der Geist und schindbrucken
– Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 109), Hodie die 20 Maÿ Anni 1709 (…) intronizati fuerunt Joannes Alther ex pago Engerieden principatus Sanctgallensis oriundus et Maria Eva Hueberin filia Leonhardi Hueber civis hujus urbis, (signé) Johannes altherr, + signum sponsæ (i 111)
– Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 183), Anno Domini 1750 die 4 mensis martii mortuus est joannes altherr civis et sutor, viduus mariæ evæ huberin, (…) sepultus est in cœmeterio ecclesiæ ejusdem loci præsentibus testibus Reverendo admodum Dno joonne baptistâ altherr persbÿtero et parocho in weittersweiller defuncto filio et martino altherr defuncti filio (signé) Jean alther, Mardin alther (i 99)

Marie Eve Huber femme de Jean Altherr, cordonnier, vend la maison à André Fleck, batelier, et à sa femme Anne Marie Winterlin

1737 (13.7.) Chambre des Contrats, vol. 611 f° 467
Fr. Maria Eva geb. Huberin Johann Altherr des Schuhmachers ehefrau beÿständlich ihres ehevogts
in gegensein Andreä Fleck der Schiffmanns und Annä Mariä geb. Winterlinin, mit genehmhaltung hiesigen weÿßenhauß als Domini Directi hiernach beschriebenen haußes
die erblehens: gerechtigkeit oder das das dominium utile Einer Behausung, höffleins und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krautenau im hechten gäßlein beÿ der Hechten bruck einseit neben weÿl. Christoph Späth des grempen Erben anderseit neben weÿl. N. Gayot Maurers erben hinten auff die Pflaumischen Erben und Johann Jacob Kammerer den wannenmacher – obged. Wohnhauß in recognitione Domini Directi 6 ß 3 ahne Erblehenzinß – ihr Altherrin als ein theils von ihren Eltern ererbt theils ihrer Schwester Maria Salome geb. Huberin Johann Michael Kleinpetter des Schiffers ehefrau am 26. sept. 1732 erkaufftes guth – umb 300 pfund

Inventaire des apports d’Anne Marie Winterlin lors de son mariage avec André Fleck
1732 (31.10.) Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 40) n° 1192
Inventarium über der Tugendsahmen Frauen Annæ Mariæ geb. Winterlingin zu Andreæ Flecken dem Schiffknecht und burgern alhier zu Straßburg ihrem Ehemann vor ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrung – Vor geraumer Zeit in den Ehestand würcklich gebracht und Krafft dero mit einander auffgerichteten Eheberedung ihro und ihre Erben als ein ohnverändert und Vorbehaltenen guth mithien die Ergäntzung des Künfftigen Abgangs derselben expresse reservirt, conditionirt und bedungen – So beschehen Straßburg den 31.ten Octobris Anno 1732.
Sa. hausraths 61 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 16 lb, Summa summarum 79 lb
Zuwißen daß auff heut dato zu end gemeldt vor mit unterschriebenem offenbahren und geschwornenm Notario persönlich kommen und erschienen ist, die Ehren und tugendsahme fraw Anna Maria Winterlingin gebohrne Rauscherin, weÿland Meister Johann Georg Winterling geweßenen weisgerbers und burgers allhier nachgelaßene Wittib anzeigend wie daß ihr ältesto Tochter Anna Catharina Winterlingin so noch ledigen standts in Viel und mancherleÿ weeg beÿ 350 fl. gekostet und alßo ihrer jüngern tochter frau Anna Maria Fleckin gebohrner Winterlingin Andreas Flecken des Schiffmanns und burgers alhier Ehefrau in nicht geringen Nachstand dadurch gesetzt würde, alß wolte sie frau Anna Maria Winterligin gebohrne Rauscherin zu gleichhaltung ihrer beeder töchter (…) den 9.ten Maÿ Anno 1736.

Mariage de Jean Christophe Ichard, tailleur d’habits, et d’Anne Marie Winterlin veuve de Laurent Brand, maçon et tailleur de pierres
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 86-v)
1720 – d. 13. Nov. sind Ehelich eingesegnet word. Johann Christoph Ichard der ledige Schneider undt Burger allhier Weiland Johann Jacob Ichards gewesenen Schneiders Undt Burgers allhier nachgelaßener Ehelicher sohn Undt Anna Maria Weiland Lorentz Brandten geweßenen Maurers Undt Steinhauers allhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Johan grist stoff ychart als hoh zeitter, anna Maria Windterlin als hott Zietin

Mariage d’André Fleck, garçon batelier, et d’Anne Marie Winterlin veuve de Jean Christophe Ichard, marchand de cuir
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 114-v)
1726 – Eod. tempore seind proclamirt v. copulirt worden [domin. Remin: et Oculi seindt außgeruffen und darauff Mittwochs den 27. mart. ehelich eingesegnet worden] Andreas Fleck der ledige Schiff Knecht v. burger allhier H. Johann Friderich Flecken geweßenen burgers v. Lederhändlers allhier Nachgel. ehel. Sohn, und fraw Anna Maria gebohrne Winderlin Johann Christoph Ichards geweßenen burgers Undt Schneiders allhier Nachgel. wittwe [unterzeichnet] x Ist deß Hochzeiters Zeichen, Anna Maria Windterlin als hott Zietin

Inventaire après le décès d’Anne Marie Winterlin femme d’André Fleck, batelier, auparavant veuve de Christophe Ichert, tailleur d’habits. Elle laisse une fille issue de son premier mariage, Anne Marie Ichert femme de Jean Pierre Mægerlé, chanvrier

1744 (7.5.) Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 36) n° 743
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Mariæ Fleckin gebohrner Winterlinin, Andres Flecken, des Schiffknechts und burgers allhier zu Straßburg nunmahligen frantzösischen Schiff Soldaten gewesener Ehegattin nunmehr seel. Verlassenschafft – Nach ihrem den 26. Aprilis dießes jahrs beschehenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen und Begehren Frauen Annæ Mariæ Mägelin gebohrner Ichertin, Johann Peter Mägele, deß Hänffer und burgers allhier Ehegattin, als der Frau seel. in erster Ehe mit weÿl. Christoph Ichert, geweßenen Schneider und burgern allhier, erzeugter Tochter und ab intestato nachgelaßener einiger Erbon – so beschehen in fernerem gegenseÿn Herrn Mathiß Kochen Notarÿ publici et Practici des Wittibers erbettenen herrn beÿstandts (…) Straßburg auf Donnerstag den 7 Maÿ Anno 1744
Copia der Eheberedung
Behaußung so theilbar (T.) Nemlichen die Erblehens Gerechtigkeit oder das dominium utile einer behaußung, höfflein und hoffstatt auch allen übrigen deren Gebäuen begriffen, Weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten in allhiesiger Vorstatt Krautenau ane dem hechtengäßlein beÿ der hechtenbruck, ein Seith neben Christoph Späthen des Grempen Erben, anderseit neben Philipp Muterer dem Schiff Knecht gelegen hinden auf die Pflaumische Erben und Joh: Jacob Kammerer den wannenmacher, stoßend davon gibt man Jährlichen auff Nicolai allhiesigem Waißenhauß in Recognitionem Dominÿ directi 6 ß 3 d Ehrschätzigen Erblehen Zinnß, welche behaußung durch die allhiesig. geschwornen Werckmeistere laut Abschatzungs Zeduls vom 5. Junÿ 1744. als freÿ ledig und eigen angeschlagen worden vor 250. lb, davon abgezogen Vorgemelte beschwerde so ohnvergreifflichen zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 12 lb 10 ß, So wäre ane dem hauß Anschlag hier annoch auß zu werffen 237 lb, Darüber ist vorhanden ein teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhang. Cantzleÿ contract Innsiegel Verwahret, dedato 13. Julÿ Anno 1737. außweißend wie das Dominum utile solcher behaußung Von beeden Eheleuthen erkaufft worden. Ferner ein dergleichen Kauffbrieff da dato 26. Sept. A° 1732.
– Abschatzung dem: 5. Junÿ: 1744. auff begehren deß wohll achtbahren und bescheitenen Meister andreaß flëck, dem schieff Knëcht, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, in dem hechten gäßlein gelegen ein seitß Neben Pflip Muterer schiff Knecht, anderseitß an Magtalena spättin der grëmpin, hindten auff Jackop Cammerer dem Wanen Macher stoßent, welche behausung, unden ein Stubell hauß Ehren darinen der herdt, höffell darinen die soltaten Cammer Kleiner getrëmbter Keller, oben dar über eine stuben Cammer Küchell hauß Ehren, ein Kleiner alter tachstull daß tach mit ein fachen breidt Ziglen belegt ein besetzte bienen Zweÿ holtzer gebell sambt aller gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Wërckmeister sich in der besichtigung befundten und Jëtzigen Preÿß nach an geschlagen wierd Vor und Umb 500 Gulten, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung, vermög Inventarÿ inAnno 1732 durch Herrn Christoph Michael Hoffmann aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, deß Wittibers unverändert Vermögen betr. Sa. hausraths 4, Sa. Activ schuld 35, Summa summarum 39 lb
der Erbin unverändert mütterlich Guth beschrieben, Sa. hausraths 24, Sa. Goldener Ring 14 ß Sa. Installation (249, Abzug 72, Rest) 177, Summa summarum 202 lb, Schuld 35 lb, Nach deren Abzug 167 lb
die gemeine und theilbare Verlassenschafft, Sa. hausraths 12, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Anschlags der behaußung 237, Summa summarum 252 lb, Schulden 255 lb, In Compensatione, theilbar Passiv onus der Stall tax nach 2 lb – Stall Summ 205 lb
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten andreæ Flecken ledigen Schiffmann und burgern alhier alß bräutigam, So dann der Ehren und tugendsahmen frauen Annæ Mariæ Ichertin gebohrner Winterlingin, Weÿl. Meister Christoph Ichert gewesten Schneiders und burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßenee wittib alß hochzeiterin – auff seithen des Hochzeiters Johann Friderich Fleck und Hr Johann Michael Schröders des Goldarbeiters seines respectivé Leiblichen bruders und Schwagers, ane der Frau Hochzeiterin seithen aber Hr Johann Jacob Limburger und Johann Daniel Osterried Schuhmachers, so dann frauen Annæ Mariæ Winterlingin gebohrner Rauscherin deri leiblichen Mutter aller Verburgerte Persohnen allhier – beschehen den 20. Martÿ anno 1726, Christoph Michael Hoffmann Notarius juratus

La fille d’Anne Marie Fleck cède à son beau-père André Fleck ses droits sur la maison. André Fleck mandate son frère Jean Frédéric Fleck pour agir en son nom.

1744 (8.5.) Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 36), Joint au n° 743 du 7 mai 1744
Zuwißen seÿ hiemit demnach beÿ Weÿl. Frauen Annæ Mariæ Fleckin gebohrner Winterlinin, Andres Flecken, des hier verburgerten Königlichen Schiff Soldaten gewesener Ehegattin seel. Verlassenschafft Inventation überlegt worden, daß nicht nothsam wäre, wann die in die theilbare Nahrung gehörige Erblehens Gerechtigkeit oder Dominium utile einer behaußung, höfflein und hoffstatt, auch allen übrigen deren Gebäuen begriffen, Weithen, zugehörden und Gerechtigkeiter in allhiesiger Vorstatt Krautenau ane dem hechtengäßlein beÿ der hechtenbruck, ein Seith neben Christoph Späthen des Grempen Erben, ander Seith neben Philipp Muterer dem Schiff Knecht gelegen, hinden auf die Pflaumische Erben und Johann Jacob Kammerer den wannenmacher, stoßend, davon allhiesigem Waißenhauß in Recognitionem Dominÿ directi Jährlichen auff Nicolai 6 ß 3 d ehrschätzigen Erblehen Zinnß abzurichten seind, zwischen dem wittiber als Stieffvatter und Frauen Annæ Mariæ Megerlinin gebohrner Ichertin, Johann Peter Mägele, deß Hänffer und burgers allhier Ehegattin, als der Frau seel. tochter und Verlaßener einiger Erbin gemeinschafftlich laßen wolte, in deme die Gemeinschafft, weilen der wittiber sich nicht hier aufhalten Kan, sondern wider Zu der Schiffbruck begeben muß, viele Verdrießlichkeit nach sich ziehen würde, alß wurde Verglichen, daß solche Erblehens Gerechtigkeit der behaußung
dem Wittiber und stieffvatter um den Preiß der 600 Gulden Wie solche nach dem Kauffbrieff vom 13. Julÿ 1737. erkaufft worden, daran der wittiber nach der Eheberedung um Zwo tertzen und die Erben um die übrige tertz participit eigenthümlich entschlagen und überlaßen werden solle, wie dann die Tochter und Erbin ihren dritten theil mit consens ihres ehemanns ihrem stieffvatter ohne abbruch wegen des Erblehen zinnßes um 200 Gulden übergibt, jedoch weilen Sie erst 22. Jahr alt, mit vorbehalt obrig Keitlicher confirmation, alß welche die tochter auf ihre Un Kosten Zu suchen sich anerbotten, sobalden um die confirmation erfolgt seÿn wird, soll die nötige contract Verschreibung in der Contract stub vorgenommen von dem wittiber die Un Kosten und laudemium nebst Pfundzoll bezahlt (…) Weilen der Wittiber nicht auß warten Kan, biß dieses Zustand gebracht werden wird, als will er Zugleich seinem bruder Johann Friderich Fleck, burgern allhier authorisirt und bevollmächtiget haben diesen angenommenen dritten theil haußes in seinem nahmen in der Contract stub zuschreiben zu laßen – signatum Straßburg den achten May anno 1744 [unterzeichnet] Andres flech, Annamaria mägelin, Johan Pötter mägelin

Jean Frédéric Fleck, ouvrier casernier, passe au nom de son frère André Fleck une obligation au profit de Christophe Fleck, ouvrier batelier, en hypothéquant la maison

1745 (9.1.) Chambre des Contrats, vol. 619 f° 22
Johann Friedrich Fleck der Cazernen knecht als mandatarius seines bruders Andreas Fleck des schiffknechts
in gegensein H. Johann Lorentz des gastgebers als mandatarius Christoph Fleck des schiffknechts – schuldig seÿe 225 pfund
nach vorherig beÿ des stiffts Waÿßenhauß als domini directi hiernach beschriebener behausung H. Pfleger consens, verlegt eine behausung, höfflein und hoffstatt in der Vorstatt Krautenau ane dem hechtengäßlein, einseit neben Christoph Späth des krempen erben anderseit neben Philipp Muderer dem schiffknecht hinten auff die Pflaumischen erben und Johann Jacob Kammerer den wannenmacher – 6 ß 3 dem ermelten Stifft ane Erblehenzinß

André Fleck, ouvrier batelier, hypothèque sa maison au profit de Marie Catherine Bauer

1751 (12.10.) Chambre des Contrats, vol. 625 f° 502-v
Andreas Fleck der schiffknecht
in gegensein Mariä Catharinä Baurin der burgerin mit beÿstand Andreas Hamm des schuhmachers – schuldig seÿe 25 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der vorstatt Krautenau ane dem Hechten gäßlein einseit neben Christoph Spätt des krempen erben anderseit neben Philipp Muderer dem schiffknecht hinten auff die Pfläumischen erben und Jacob Kämmerer den wannenmacher – nach vorherigen beÿ dem Stifft Wayßenhauß als domini directi, ane erblehenzinß 6 ß 3 d

André Fleck et Christophe Fleck, frères et ouvriers bateliers, hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Bender

1752 (20.11.) Chambre des Contrats, vol. 626 f° 556-v
Andreas und Christoph die Fleck gebrüdere schiffknecht
in gegensein Frantz Joseph Klinger des policeÿ garde als vogt Maria Magdalena Benderin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, das das dominium utile oder die erbelehnungs gerechtigkeit einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Vorstatt Krautenau ane dem Hechtengäßlein einseit neben Christoph Spät des krempen erben anderseit neben Philipp Muderer dem schiffknecht hinten auff die Pflaumischen erben und Jacob Kammerer dem wannenmacher

André Fleck et Christophe Fleck, frères et ouvriers bateliers, hypothèquent la maison au profit de Jean Geofroi Walther, marchand, et de Frédéric Daniel Schrœder, orfèvre

1754 (12.2.) Chambre des Contrats, vol. 628 f° 86-v
Andreas und Christoph die Fleck gebrüder schiffkneckte
in gegensein H. Johann Gottfried Walther des handelsmanns und H. Friedrich Daniel Schröder des goldarbeiters – schuldig seÿen ihme Walther 25 pfund und ihme Schröder 50 pfund
unterpfand, nach vorherigen beÿ des Stiffts Waÿßehaußes als domini directi hiernach beschriebener behausung ; das dominium utile oder erblehnung gerechtigkeit einer behausung, höfflein und hoffstatt in der Vorstatt Krautenau ane dem Hechtengäßlein einseit neben den Spatischen erben anderseit neben Philipp Muderer dem schiffknecht hinten auff die Pflumischen erben und Jacob Kammerer den wannenmacher – ermelten Stifft 6 ß 3 d erbelehenzinß

Christophe Fleck, ouvrier batelier, hypothèque la maison au profit de Frédéric Daniel Schrœder, orfèvre

1755 (16. Xbr.) Me Langheinrich (6 E 41, 743) n° 105
Christoph Fleck Schiff Knecht Von hier gebürtig
in gegensein Hn Friedrich Daniel Schröders Gold Arbeiters, daß Er Christoph Fleck ane Ihme baar geluhen und zu bezahlung deßen was Er gedachtem H. Schröder selbsten (…) – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, das Dominum utile oder die Erblehnungs Gerechtigkeit einer behaußung höffleins und hoffstatt allhier ane der Crautenau in dem sogenandten hechtengäßlein, einseit neben den Späthischen Erben anderseit neben Philipp Muderer dem Schiffknecht hinten auff die Pflaumische Erben und Jacob Kammerer den Wannenmacher stoßend gelegen, davon gibt man jährlichen dem Stift Waÿßenhauß in recognitionem Dominÿ Directi 6 ß 3 d ane Erblehen zinns

Christophe Fleck, ouvrier batelier, hypothèque la maison au profit de Frédéric Daniel Schrœder, orfèvre

1755 (18.12.) Chambre des Contrats, vol. 629 f° 389-v
H. Johann Daniel Langheinrich notarius publicus juratus als mandatarius Christoph Fleck des schiffknechts
in gegensein H. Friedrich Daniel Schröder des goldarbeiters – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, das das dominium utile oder ise erbehnungs gerechtigkeit einer behausung cum appertinentis in der vorstatt Krautenau im Hechtengäßlein einseit neben den Spätischen erben anderseit neben Philipp Muderer dem schiffnknecht hinten auff die Pflaumischen erben – dem stifft Waÿßenhauß in recognitione domini directi 6 ß 3 p ane eblehenzinß

Inventaire après le décès de Frédéric Fleck, ouvrier batelier célibataire. Il laisse pour héritiers les enfants que sa sœur Catherine Fleck a eus avec Jean Michel Schrœder, orfèvre

1756 (11.2.) Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 711) n° 194
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten Christoph Fleck des leedigen Schiff Knechts, auch weÿl. Hn Friderich Flecken des geweßenen Schreibers in allhießiger Einquartirung und burgers allhier zu Straßburg längst seel. nachgelaßenen Sohns nun auch seel. Verlassenschafft – alß derselbe Dienstag den 30.ten Xbris des zurückgelegten 1755.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt – durch Hn Friderich Daniel Schröder den Goldarbeiter und burgers allhier den einen Beneficial Erben, weilen der Verstorbene seel. biß an sein tödlichen Ableiben beÿ Ihme in Cost und Losament gewesen – So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 11.ten februarÿ A° 1756.
Der Verstorbene seelig hat per Testamentum Zu Beneficial Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo H. Friderich Daniel Schröder den Goldarbeiter und burgern alhier so dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 2.do Hn Joh: Michael Schröder den ebenmäßigen Goldarbeiter und burgern allhier so In Persohn zu gegen war, So dann 3.tio Jgfr. Mariam Dorotheam Schröderin so majorennis und ohnbevögtigt, dahero mit assistentz Hn Joh: Paul Dietrichs Schneiders und burgers allhier dießer Inventation abgewarthet, Alßo alle 3. weÿl. frauen Catharinä Schröderin gebohrne Fleckin mit weÿl. Hn Joh: Michael Schröder dem geweßenen Gold Arbeiter und burgern allhier seel. ehelich erziehlte Kinder und per testamentum zu 3. gleichlingen Portionen und Stammtheilern Verlaßene Erben, welche aber diese Verlassenschafft anderer gestalt nicht als cum beneficio Legis et Inventarÿ anzutretten sich hierbeÿ außtrucklichen erklähret
Copia Testamenti nuncupativi, p.ge unter dnen Letzten willen N° 134
Eigenthum ane einer behaußung. Nemblichen die Erblehnungs Gerechtigkeit einer Kleinen behaußung höfflein und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen weith. rechten zugehörden und Gerechtig Keiten gelegen allhier zu Straßburg in dem so genandten hechtengäßlein einseith neben frau Späthin der Grempin anderseith neben N. Mauderer dem Schiff Knecht hinten zum theil auf Pflaumische Erben und zum theil auf Joh: Jacob Kammerer deb Wannenmacher stoßend, davon gibt man Jährlich dem stifft Waÿßenhauß in recognitionem dominÿ directi 6. ß 3. d. sonsten außer denen unter denen passivis eingetragenen Capitalien freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 26.ten Januarÿ 1756. æstimirt pro 250. lb. Abgezogen obgemelte darauff hafftende beschwerde, so zu doppeltem Capital gerechnet entrifft 12. lb 10. ß, So verbelibt ane dem Anschlag solcher behaußung annoch per rest übrig 237. 10. Hierüber besagt ein in allh. C C Stub aufgerichteter teutsch. perg. Kauffbr. mit deroselben anh. Insieg. Verwahrt datirt d. 13.t Julÿ 1737.
Sa. hausraths 17, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 237, Summa summarum 254 lb, Schulden aus der Verlassenschafft Zubezahlend 330 lb, Mehr Schulden als Nahrung 75 lb

Contrat de mariage entre Jean Michel Schrœder, orfèvre, et Marie Madeleine Hitschler fille de marchand. Ils acquièrent par adjudication la maison de leur oncle en 1758

1755 (28.7.) Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 96
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeacht: auch Kunsterfahren Hr Joh: Michael Schröder dem ledigen Gold Arbeiter weÿl. hn Joh: Michael Schröders des geweßenen Gold Arbeiters und burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßenen ehelich erziehlen sohn
So dann der Ehren und tugendgezierten Jgfr. Mariä Magdalenæ Hitschlerin weÿl. Hn Joh: Nicolaj Hitschlers des geweßenen Handels Manns und burgers allhier seel. nachgelaßener Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Schrötter als hochzeiter, Maria Magdalena Hitschlerin hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 335, n° 24), 1755 – Mittwoch d. 27. Aug seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H. Joh. Michael Schröder der ledige Goldarbeiter weÿl. H. Johann Michael Schröders Goldarbeiters u. b. allhier ehl. Sohn undt Jfr Maria Magdalena weÿl. H. Nicolaus Hitschlers Handelsm. u. b. allh. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Schröter als hochzeiter, maria magdalena hitschlerin als hochzeiterin
Procl., Saint-Guillaume (luth. f° 199 n° 12), A° 1755 d. 27.t. aug. Seind in der Neuen Kirche (…) ehelig copulirt und eingesegnet worden, H. Johann Michael Schröder, Lediger Goldarbeiter u. b. allhier, weÿl. H. Johann Michael Schröders geweßten Goldarbeiters u. b. allhier u. Catharina Fleckin nachgelaßener ehl. Sohn, Jungfrau Maria Magdalena, weÿl. H. Nicolai Hitschlers geweßten Handelsmanns u. burgers allhie u. Mariæ Magdalenæ Ringlerin ehel. Tochter

Inventaire des apports de Jean Michel Schrœder, orfèvre, et de Marie Madeleine Hitschler, dressé dans leur habitation Grand rue en face de la rue du Bouclier
1756 (12.4.) Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 711) n° 203
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Michael Schröder Goldarbeiters und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenæ Schröderin geb. Hitschlerin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – da nun beede Erstgedachte Eheleuth Vermög der Vor mir unterschriebenen Notario den 28.sten Julÿ 1756.sten Jahrs errichteten Heuraths Verschreibung Ihre Zubringende und wehrneder ehe ererbende Nahrungen sich Vor unverändert vorbehalten – so beschehen in Straßburg auf Montag den 12.ten Aprilis anno 1756.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gegen der Schilt gaß über gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. Hßraths 68, Sa. Werckzeugs und Wahren zur Goldarbeiter profession gehörig 78, Summa summarum 146 lb, Schulden 50, Nach solchem abzug 96, helffte ane der haussteuren 26, (Summa) 123 lb
der Frauen in die ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 278, Sa. Silbers 32, Sa. Goldener Ring 42, Sa. baarschafft 90, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 250, Sa. Schuld 30, Summa summarum 723, helffte ane der haussteuren 26, (Summa) 750 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 874 lb

Inventaire après le décès de Jean Michel Schrœder, orfèvre qui possède alors une maison Grand rue de la grange
1775 (6. 7.bris) Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 734) n° 945
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten und Kunsterfahrnen H. Johann Michael Schrötters geweßenen Gold Arbeiters und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft – als derselbe Samstags den 8.ten Julÿ dießes lauffenden 1775.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt nach solch seinem aus dießer welt genommenen seel. hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren des Ehrenvest und Wohl Vorachtbahren H. Johann Jacob Ulrich Schiffmanns und E.E. großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Hn Joh: Michael Schrötters Phil. Stud: so bereits 18. Jahr alt, Friderich Jacobs so bald 16 Jahr alt und die Gold Arbeiter profession ergreifft, Joh: Nicolai so 12 Jahr alt, Mariä Salome so 9 ½ Jahr alt und Joh: Daniel so in Künfftigem Monath Octobris das 4.te Jahr zu rucklegt, alle 5. des Verstorbenen seel. mit hernachgemelte seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben – durch die Ehren und tugendsahme frau Mariam Magdalenam Schroetterin geb. Hitschlerin die hinterbliebene Wittib beÿständlich des Ehrenvest und Wohlachtbahren Hn Joh: Jacob Hitschler des hießig geschwornen Wechßel courtier und burgers Ihres gel. Hn bruders (…) geäugt und gezeigt
In einer alhier zu Strasburg an der grosen Stadelgaß gelegenen in diese Verlassenschafft gehörige und hernach beschriebener behausung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum an einer behausung. (T.) Nemlich eine behausung, Hof und hofstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weiten, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg an der grosen Stadelgaß (…)
Ergäntzung der Wittib Wehrender ehe abgegangenen unverändert Guths, Zufolg Inventarÿ A° 1756 durch mich unterschriebenen Notm. aufgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der hinterbliebenen wittib unverändert Vermögen, Sa. hausraths 26, Sa. Silbers 7, Sa. Goldengeschmeids 5, Sa. baarschafft 8, Sa. Schuld 90, Erg. Rest 418, Summa summarum 556 lb
der Kinder und Erben unverändert und theilbare Vermögen unter einem titul beschrieben, maßen die Wittib declarirt, daß Sie auf die theilbahre Nahrung renunciere und solche denen Erben tam active quam passive allein überlaße, Sa. hausraths 43, Sa. Werckzeug und Wahr zur Goldarbeiter profession gehörig 12, Sa. Silbers 3, Sa. goldener Rings und Geschmeids 11, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 400, Summa summarum 470 lb, Sa. Schulden 2448 lb, Compensando erhället daß die Schulden (…) solche beede Activ Nahrungen dem Stalltax nach übertreffen um 1978 lb – Mehr Schulden als Nahrung dem Stalltax nach 1421 lb
Copia Heuraths Verschreibung
Copia in A° 1756 aufgerichteten Codicillj

Jean Michel Schrœder vend la maison à Jean Frédéric Roser, fabricant de boutons, et à Anne Marie Husser

1761 (17.4.) Chambre des Contrats, vol. 635 f° 172-v
H. Johann Michael Schröder der goldarbeiter
in gegensein Johann Friedrich Roßer des zinn versilbert pferdzeug und knopff machers und Anna Maria geb. Hußerin
das dominium utile oder die erblehens gerechtigkeit einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der vorstatt Krautenau ane dem Hechtengäßlein einseit neben weÿl. Christoph Späthen dem krempen wittib und erben anderseit neben Philipp Muderer dem schiffknecht hinten auff die Pflaumischen erben und Jacob Kammerer – dem stifft Waÿßenhauß 6 ß 3 p erblehenzinß – als ein den 5. oct. 1758 ane der ganth erkaufftes guth – um 275 pf

Contrat de mariage entre Frédéric Roser, fabricant de boutons, et d’Anne Marie Husser, fille de batelier
1752 (1.2.) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 425) n° 201
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Friderich Roßer, dem Ledigen Versilbert Pferdzeug: und Knöpffmacher, Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren Herrn Julÿ Roßers des geweßenen Schloßers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen hinterlassenem mit der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Maria Salome gebohrne Grießbachin ehelich erzeugtem Sohn
So dann der Viel Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Anna Maria Hußerin Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Hußers des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier mit auch weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Susanna gebohrner Wurthin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehler tochter
[unterzeichnet] Johann Friderich Roser als Hochzeiter, Anna Maria Huserin als hochzeiterin, Johann Daniel wurth als Vogt

Mariage de Jean Frédéric Roser, boutonnier en étain, et d’Anne Marie Hauser, fille de batelier
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 179, n° 6)
ao. 1752. d. I.t Martÿ, Seind (…) ehelig copulirt und eingesegnet worden, Johann Friedrich Roßer lediger Zinn Versilberter Knöpf: und Pferdzeugmacher u. burger allhier weÿl. Mr. Julius Roßers geweßenen Schloßers u. burgers allhie, u. Mariæ Salome Grießbachin ehl. Sohn, Jungfrau Anna Maria Weÿl. Johann Haußers geweßten Schiffmanns u. burgers allhie u. Susannæ Wurthin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Roser Als Hochzeiter, Anna Maria Huserin als hochzerin

Inventaire des apports de Frédéric Roser, fabricant de boutons, et d’Anne Marie Husser. Il est dressé dans leur habitation rue Sainte-Hélène. L’épouse possède une part de maison quai aux Chevaux à la Krutenau et un bien à Altenheim en commun avec son frère Jean Husser
1752 (26.8.) Me Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 376) n° 494
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Friderich Roßers, Versilbert Pferdzeug und Knöpffmachers und der Viel Ehren und Tugendsahmen Frauen Annä Mariä Roßerin gebohrner Hußerin, beeder Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – Welche der Ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß ein jeden in die ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – so beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein der Ehren und Wohlvorachtbarn Herrn Johann Veit Hengel des Schneiders und burgers allhier des Ehemanns Schwagers und Herrn Johann Daniel Wurth des Schiffmanns und burgers allhier der Ehefrauen geschwornen Vogts auf sambstag den 26.ten augusti Anno 1752.
In einer alhier ane der Höllengaß gelegenen in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer behaußung
ane der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden
Antheil ane Liegende güthern, hernach beschriebene Liegende güther seind zwischen der Ehefrauen und Ihrem eheleiblichen Bruder Johann Hußer dem Ledigen Paßmentirer annoch gemeinschafftlich und ohnvertheilt, Acker Im Altenheimer bann
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. Werckzeugs und Wahr zum Versilbert Pferdzeug und Knöpffmachers gehörig 142, Sa. Silbers 7, Summa summarum 149 lb Schulden 125 lb, Detrahendo verbleibt 24, halbe theil ane denen haussteuren 20, Summa 45 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 67, Sa. silbers 4, Sa. Goldener Ring 17, Sa. baarschafft 65, Sa. pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. antheils ane einer behaußung Nihil, Sa. antheils ane Liegende güthern Nihil, Sa. Schulden 50, Summa summarum 354, halbe theil ane denen haussteuren 20, Summa 375 lb – Beschluß summa 420 lb

Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser hypothèque la maison au profit de Jean Léoanrd Roser et de Jean Pierre Roser tous deux cordonniers

1780 (29.4.) Chambre des Contrats, vol. 654 f° 182-v
Fr. Anna Maria Roßerin geb. Haußerin weÿl. Johann Friedrich Roßer des zinnknopffmachers wittib beÿständlich Johann Jacob Fuchß des älteren leinenwebers
in gegensein H. M. Johann Leonhard Roßer und H. Johann Peter Roßer des schuhmachers – schuldig seÿe M. Johann Leonhard Roßer 50 gulden und M. Johann Peter Roßer 50 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Hechtengäßlein beÿ der Hechtenbruck einseit neben Johannes Ottinger anderseit neben Philipp Weber dem schiffknecht hinten auff Jacob Kammerer den wannenmacher

Contrat de mariage de Jean Frédéric Fritschmann, pêcheur, et de Marie Dorothée Rosser

1798, 2 prairial 6 – Strasbourg, Me Übersaal n° 258 – Enregistrement de Strasbourg, acp 61 F° 4 du 2 prairial 6
(Eheberedung) der bürger Johann Friedrich Fritschmann, lediger Fischer, des brs. Jakob Fritschmann, auch fischers dahier, mit Sophia gebohrner Bär ehelich erzeugter Sohn
und Jungfrau Maria Dorothe Roßer des weiland brs. Joh: Friderich Roßer, gewesenen Zinn: Knopffmachers dahier mit Anna Maria gebohrner Haußer ehelich erziellte tochter beiständlich des bürgers Johann Daniel Hofseß, Kiefers alhier, ihres Schwagers
[unterzeichnet] Johann Friedrich Fritschmann, Maria Dorothea Roser

Inventaire après le décès d’Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser fabricant de boutons. Elle laisse quatre filles et un fils

1808 (25.4.) Strasbourg 12 (19), Me Wengler n° 3158 – Enregistrement de Strasbourg, acp 105 f° 97 du 27.4.
Inventaire de la succession d’Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser l’ainé fabricant de boutons décédée le 23 mars 1808 – à la requête d’Anne Marie Roser veuve de Jean Daniel Hoffsaess tonnelier, Marie Elisabeth Roser femme de Martin Barthel cocher, Catherine Madeleine Roser épouse de Jean Frédéric Kolb employé a l’hopital civil, Marie Dorothée Roser femme de Jean Frédéric Fritschmann pecheur, Marguerite Roser majeure, Jean Henri Birckel père tourneur curateur de Jean Frédéric Roser ouvrier d’artillerie dans la quatrième compagnie absent, héritiers de leur mère veuve de Jean Frédéric Roser fabricant de boutons d’étain attendu que le septième enfant Marie Salomé Roser n’a survécu a sa mère que jusqu’au 26 du même mois
dans la maison mortuaire sise à Strasbourg rue du brochet n° 7 – mobilier 1059 fr
immeuble, une petite maison a rez de chaussée et un étage petite cour avec trefons et ses autres appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue du brochet n° 17, d’un côté le Sr Schlick chirurgien à Soultz d’autre Mathieu Brisacher brouetteur devant rue derrière Jacques Fuchs tisserand et Thiebaut Hamm – chargé envers l’hospice des orphelins de cette ville d’une rente emphythéotique de 1 fr 25 – acquise de Jean Michel Schroeder orfèvre à la Chambre des Contrats le 14 avril 1761 – rapporte le rez de chaussée 20 fr, et le premier étage 25 fr, ensemble 900 fr
passif 747 fr (Liquidation n° 3420 du 18 août)

Les héritiers d’Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser, fabricant de boutons, cèdent leurs parts de maison à leur sœur Marie Dorothée Roser femme du pêcheur Jean Frédéric Fritschmann

1808 (1.7.) Strasbourg 12 (20), Me Wengler n° 3306 – Enregistrement de Strasbourg, acp 107 f° 6 du 2.7.
Anne Marie Roser veuve de Jean Daniel Hoffsaess tonnelier, Marie Elisabeth Roser femme de Martin Barthel cocher, Catherine Madeleine Roser épouse de Jean Frédéric Kolb employé a l’hopital civil, Marguerite Roser majeure et Sr Kolb fondé de pouvoir de de Jean Frédéric Roser ouvrier dans la quatrième compagnie des ouvriers d’artillerie attaché au service du parc de réserve de la cavalerie présentement a Hanovre en qualité d’héritiers pour un 6 de leur mere Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser fabricant de boutons
Jean Frédéric Fritschmann pêcheur et Marie Dorothée Roser
5/6 par indivis d’une maison a rez de chaussée et un étage petite cour tréfond avec toutes ses autres appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue du brochet n° 17, d’un côté le Sr Schlick chirurgien à Soultz d’autre Mathieu Brisacher brouetteur devant rue derrière en partie Jacques Fuchs tisserand et en partie Thiebaut Hamm – grevée envers l’hospice des Orphelins d’une rente emphytéotique de 1,25 fr – de la succession de leur mère dont un 6° appartient à la coacquéreuse comme héritière de sa mère – pour 1810 francs

Description dans l’Atlas des alignements

1829 (1197 W 37) Atlas des alignements, 4° arrondissement ou Canton est – Rue du Brochet
nouveau N° / ancien N° : 4 / 17
veuve Roser
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois et petite avance

Les héritiers de Marie Dorothée Roser femme de Jean Frédéric Fritschmann exposent la maison aux enchères puis la retirent de la vente

1833 (29.4.) Strasbourg 12 (129), Me Noetinger n° 5275, Cahier des Charges du 11.3. n° 5063 – Enregistrement de Strasbourg, acp 217 f° 93 du 6.5.
1. Jean Frédéric Fritschmann, journalier, 2. Sophie Fritschmann épouse de Jean Jacques Diehl sans profession, 3. Caroline Fritschmann, repasseuse
Désignation des immeubles à vendre, une maison à rez de chaussée et un étage, petite cour avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Brochet n° 17, d’un côté M Dalamo d’autre la veuve Ley devant la rue derrière Jacques Fuchs tisserand – Etablissement de la propriété, acquis par Jean Frédéric Fritschmann et feu Marie Dorothée Roser pendant le mariage 5/6 indivis des enfants héritiers d’Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser, fabricant de boutons d’étain, frères et sœurs de la défunte Me Wengler 1 juil. 1808, la De Fritschmann elle même a recueilli dans la succession de sa mère un 6°, par Contrat de mariage devant Me Ubersaal le 2 prairial 10, communauté universelle en sorte que la moitié de l’immeuble appartient au Sr Fritschmann l’autre moitié à la De Diehl et Caroline Fritschmann seules et uniques héritières de leur mère, mise à prix 1500 francs
le 2 avril n° 5167 à Sébastien Benoit Lott, perruquier rue du Brochet n° 11 pour 2450 fr – Retrait d’enchère

Les héritiers de Marie Dorothée Roser femme de Jean Frédéric Fritschmann vendent la maison à Jean Christophe Schnaidt, chargeur, et Madeleine Hohl

1834 (16.1.) Strasbourg 12 (132), Me Noetinger n° 6053 – Enregistrement de Strasbourg, acp 222 f° 119-v du 21.1.
1. Jean Frédéric Fritschmann, journalier, 2. Sophie Fritschmann épouse de Jean Jacques Diehl sans profession, 3. Caroline Fritschmann, repasseuse
Jean Christophe Schnaidt, chargeur, et Madeleine Hohl
une maison à rez de chaussée et un étage, petite cour avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Brochet n° 17, d’un côté M Dalamo d’autre la veuve Ley devant la rue derrière Jacques Fuchs tisserand – acquis par Jean Frédéric Fritschmann et feu Marie Dorothée Roser pendant le mariage 5/6 indivis des enfants héritiers d’Anne Marie Hausser veuve de Jean Frédéric Roser, fabricant de boutons d’étain, frères et sœurs de la défunte Me Wengler 1 juil. 1808, la De Fritschmann elle même a recueilli dans la succession de sa mère un 6°, par Contrat de mariage devant Me Ubersaal le 2 prairial 10, communauté universelle en sorte que la moitié de l’immeuble appartient au Sr Fritschmann l’autre moitié à la De Diehl et Caroline Fritschmann seules et uniques héritières de leur mère – pour 1900 fr

* * * *

Dossier de la police du bâtiment, extraits (cote 233 MW 316)

1880 – Délabrement de l’immeuble : deux piliers du colombage sont brisés

Betrifft die Baufälligkeit des Hauses an der Hechtengasse 6

In dem aus Fachwerk bestehenden ersten Stock gegen die Straße zu sind zwei bis drei Pfosten gebrochen und die sie verbindenden Riegel morsch geworden.
Bericht des Stadtarchitekten betreffend die Baufälligkeit des Hauses Hechtengasse 6
Dieses Haus steht abwärts des Alignements. Um aller Gefahr vorzubeugen, bin Ich der Ansicht den Eigenthümer einzuladen in den allernächsten Tagen die gebrochene Pfosten und morschen Riegel in dem Fachwerk des ersten Stocks nach der Straße hin durch neue zu ersetzen. Straßburg den 9.ten November 1880.

1887 – La Police du Bâtiment demande des transformations intérieures – Les réparations sont terminées, juin 1888

II. Revier – Straßburg, den 30. Juni 1887 – I 6180
([Tampon] Kais. Polizeidirektion – Eingang – 1887)

Anzeige, betreffend ein baufälliges Haus Hechtengasse N° 6
Unterzeichneter zeigt ganz gehorsamst an, daß das Haus Hechtengasse N° 6, welches dem Herren Gross und Zivÿ, wohnhaft Gerbergraben N° 5, gehört in einem sehr gefährlichen Zustande sich befindet. Hauptmieter von dem Hause ist der Spezereihändler Peter Kapp welcher aber, so wie die andere bewohner des Hauses nur noch mit der größten Gefahr darin wohnen können.
Der Fußboden im ersten Stock ist in einem Zustande, daß er nur noch mit der größten Gefahr betreten werden kann.
Es wäre daher dringend erwünscht, daß genanntes Haus bald möglichst untersucht würde.
Przedwojezki, Schutzmann N° 42

[in margine :] Das Qn. Gebäude steht seit der letzten Zeit leer und sollte dasselbe bis auf Weiters geschlossen bleiben. Straßburg den 30. Juni 1887. Der Polizei Commissar
([Tampon] Bürgmst-Amt- Strassburg, Pr : 4. – 87)
[in margine :] III b 1127
Straßburg den 1. Juli 1887
Br. m. dem Bürgermeisteramt, hieselbst
Zur gefälligen Kenntniß nehme und weiteren Veranlassung ergebenst übersende, d. Polizeidirektor, Feichter

III-b 1127 – Vrf.
1) An die Herrn Gross & Zivy, Gerbergraben N° 5
Bei der auf polizeiliches Ansuchen diesorts veranlaßten Ortsbesichtigung auf Ihrem Grundstück an der Hechtengasse N° 6 fand sich zu bemerken, daß der bauliche Zustand des Wohnhauses im allgemeinen wie nicht ordnungsmäßiger ist, und daß ins besondere die nachstehende Mängel einer alsbaldigen Abhülfe bedürfen :
1. Die Fallthür der Kellertreppe an der Hoffluchtwand des Hauses ist sachgemäß auszubessern,
2. Die durch Faulniss zerstörten Balken der Kellerluke unter dem hinteren Theile des Geschäftslokals sind durch gesam*te Balken zu ersetzen,
3. Das im Ladenlokale befindliche Ofenrohr, welches von der Balkenecke theilweise nur 12 Centimeter entfernt ist, muß mindestens 25 Centimeter von derselben entfernt werden, auch muß der Ofenrohr im Zimmer hinter dem Laden wenisgtens 20 Centimeter von der Holzfachwerkswand entfern sein.
4. Die Hoffluchtwand des Hauptgebäudes ist neben der Hofthür gründlich auszubessern.
5. Die beschädigten Treppenstufen der Haustreppen sind durch neue Stufen zu ersetzen.
6. Im wohnzimmer an der Straßenfluchtwand im ersten Stock ist der Fußboden zu erneuern und die leicht schwenkende Balkendecke etwa durch* Einziehen von Subkonstruktionen ausreichend zu befestigen.
7. Der im 2.ten Stock des Seitengebäudes an der Holzfachwerkswand ansammelnde, metallem Rauchrohr ist zu beseitigen und der aus der im ersten Stockwerk befindlichen Feuerunsanlage kommende Rauch in einem vorschriftsmäßig ausgeführten Schornstein zu leiten.
8. Die Rauchrohrleitung des Ofens im zweiten Stockwerk ist theilweise zu erneuern.
9. Die Decken und Wände in der Wohnung des zweiten Stockwerks sind aufzufrischen.
Ich ersuche Sie ergebenst im allgemeinen Interesse die zur Beseitigung der vorstehend angeführten Mängel erforderlichen Arbeiten baldgefälligst ausführen zu lassen.
+ +
2) Zustellungsurkunde beizufügen*
+ +
3) Nach 4 Wochen
Straßburg den 13. Juli 1887, der brgmstr. IA. 12/7
[in fine :] md. 13/7 87, ab 14.7.87 H. Stieffel 11/8
[in fine :] die fragliche Mängel sind noch nicht beseitigt, Str. 18/8. 87 Stieffel

III-b 1338 – Vrf.
1) An die Herrn Gross & Zivy, Gerbergraben N° 5
Ich ersuche Sie ergebenst um alsbaldige Erledigung meines Verfügung III.b 127 vom 13.en Juli ds. js., betreffend die vorschriftsmäßige Instandsetzung des Wohnhauses auf Ihrem Grundstück an der Hechtengasse N° 6. Straßburg den 22. August 1887.
Der Brgsmtr. 18/8
2) Nach 3 Wochen
[in fine :] md. 22/8 87, ab 23/8 87
H. Stieffel 13/9
Die Mängel sind noch nicht beseitigt, es sind noch die Mängel 3. 8 & 9 zu beseitigen, Str. 24/9. 87 Stieffel
[in fine :] Stieffel 17/10
Die fraglichen Mängel sind noch nicht abgeändert, Str. 24/10. 87 Stieffel
H Stieffel 17/11
Die fraglichen Mängel 3, 8 & 9 sind noch nicht beseitigt, Str. 17/11 87, Stieffel
H. Stieffel 17/5
Die Mängel sind nunmehr beseitigt, Str. 4/6 88 Stieffel
Z. d. A., 4/6 88

1961 – Rapport de la Police du Bâtiment : la partie inférieure du pignon de l’immeuble d’effondre sur l’atelier de M. Wickert situé sur un terrain municipal 34 rue de Zurich – Esquisse

V. 1435. Rapport, conc. Immeuble 6, rue du Brochet, E.V.
24.8.61

L’immeuble 6, rue du Brochet, construit en bordure de ladite rue et comportant R + 1 + combles est inhabité depuis 1952. Cet immeuble vétuste à pans de bois avec remplissage de maçonnerie disloquée ne donne plus les garanties indispensables à la sécurité publique et quoique inoccupé les passants et les riverains sont exposés à un danger d’effondrement imminent. Des pans de murs se sont récemment écrasés sur l’immeuble voisin 34, Rue de Zurich à l’angle de la rue du Brochet, causant des dégâts.
Nous pouvons donc conclure que l’ancienneté de cet immeuble est ses défectuosités actuelles présentent un danger pemanent d’effondrement intéressant la sécurité publique.
L’arasement complet à bref délai serait à ordonner en frappant d’arrêté de péril ledit immeuble.
Propriétaire présumé (selon archives) : Mad. P. Vauthier, 6, Quai St Thomas, Strasbourg

1961 – Arrêté de péril

I – 123 Koe. / We.
Strasbourg le 29 JAN 1962
A la Division V
Concerne Immeuble 6, rue du Brochet
Référ. : Votre note V – 1435 du 4 janvier 1962.

Vu l’état particulièrement menaçant de l’immeuble 6, rue du Brochet, j’ai chargé la Division VI de procéder à l’adjudication de la démolition de cette propriété. Je pense qu’entretemps l’acte de vente constatant la mutation de l’immeuble au profit de la Ville sera signé et que les travaux pourront être exécutés sitôt après la conclusion du marché y relatif.
J’ai cependant toutes raisons d’admettre de la démolition de l’immeuble 6, rue du Brochet ne manquera pas d’entraîner l’effondremenrt de la propriété contiguë n° 4 que mes services sont également chargés d’acquérir. Or la réalisation de cette acquisition est susceptible de nécessiter des délais dont la durée ne saurait être appréciée, car le propriétaire semble résider en Amérique.
En conséquence, je vous prie de prescrire le cas échéant les mesures de police qui s’imposent en raison de l’état de cette propriété et de prévoir l’exécution d’office des travaux.
Vous voudrez par la même occasion vous prononcer également sur les incidences éventuelles des travaux de démolition sur les immeubles 2, rue du Brochet, en instance d’acquisition, et 8, rue du Brochet déjà propriété de la Ville
[signé, division] I


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.