23, rue des Serruriers


Rue des Serruriers n° 23 – VII 425 (Blondel), P 1065 puis section 13 parcelle 7 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Charles Frédéric Œsinger (1843) – Démolie, terrain réuni à la voie publique (1935)


La maison avant sa démolition, vers 1932 (AMS, cote 1 Fi 27 n° 6)

La maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment du milieu et un bâtiment arrière (voir la vente de 1684) appartient au XVII° siècle au marchand Michel Buisson puis à l’orfèvre Jean Frédéric Barbette qui passe en 1669 avec son voisin le maître de poste Jean Balthasar Kraut un accord relatif au mur mitoyen de leurs maisons arrière. Le marchand Jean Nicolas Hoffer qui devient propriétaire en 1684 quitte la ville. Ses créanciers saisissent la maison et la vendent en 1687 au tonnelier Sébastien Riesenmann. Sa veuve Esther Hess se remarie avec l’orfèvre Théophile Goll qui l’abandonne. Elle fait faire par le maître maçon Michel Gack divers travaux dont elle se plaint auprès du conseil des Maçons qui la déboutent de ses demandes successives. Le Petit Sénat rend le 2 juillet 1696 une sentence (citée à l’acte de 1751) relative aux droits attachés à la maison et à celle située à l’ouest. Le voisin André Altenburger loue le rez-de-chaussée pour agrandir sa boutique et ouvre une porte de communication entre les deux maisons de 1708 à 1712. Esther Hess meurt en léguant la propriété d’une somme à la fabrique Saint-Nicolas. Le marchand Jean Claude Coquard passe en 1733 un accord qui modifie celui de 1669. Devenue propriétaire par décision judiciaire en 1751, la fabrique Saint-Nicolas passe en 1751 un accord qui modifie celui de 1696 et en 1784 un autre qui modifie ceux de 1669 et de 1733. Déjà locataire de la maison, François Daniel Œsinger s’en rend propriétaire en 1784 et en transmet la propriété à son fils puis à son petit-fils.

172 Elévations a-c-(d)
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 172

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la troisième à droite du repère (b) : trois fenêtres puis une porte cochère au rez-de-chaussée, cinq fenêtres à chacun des deux étages et autant de lucarnes qui doivent correspondre à un étage mansardé. La première cour E représente le bâtiment sur rue (1-4) et le bâtiment (2-3) entre deux cours. Le bâtiment (3-4) au rez-de-chaussée en forme de remise occupe le côté est de la cour, la propriété voisine (1-2) le côté ouest. La deuxième cour N représente le bâtiment du milieu (3-4), le bâtiment arrière (1-2) à un seul étage et le côté est (2-3) et ouest de la cour.
Charles Frédéric Œsinger acquiert en 1829 la maison voisine qui porte le n° 24 et les reconstruit d’un seul tenant en 1843.
La maison porte d’abord le n° 25 (1784-1857) puis le n° 23.


Cour avant E et cour arrière N

Le marchand de meubles Zeiss qui vient d’acheter la maison fait poser en 1899 une nouvelle devanture. Il fait couvrir en 1924 la cour arrière d’un toit vitré. La Ville de Strasbourg acquiert au début des années 1930 la maison dont le terrain est réuni à la voie publique pour faire place à l’actuelle rue de la Division Leclerc.


Nouvelles devantures en 1899 – Coupe du toit vitré et plan de la parcelle en 1924 La partie formant un redent sur la rue correspond à l’ancien n° 24.
(dossier de la Police du Bâtiment)

février 2018

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1621 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Michel Buisson, marchand et (1629) Marie Jacquemin – luthériens
Frédéric Barbette, orfèvre, et (1655) Marguerite Passage puis (1667) Anne Mida – luthériens
1684 v Nicolas Hoffer, marchand, et (1685) Marie Hélène Grimm – luthériens
1687 adj Corps des Marchands
1689 h Sébastien Riesenmann, tonnelier, et (1686) Marie Esther Hess veuve du capitaine Balthasar Dürr – luthériens
1694 h Théophile Goll, orfèvre, et (1694) Marie Esther Hess veuve du capitaine Balthasar Dürr et du tonnelier Sébastien Riesenmann – luthériens
puis l’héritière en fidéicommis Anne Marie Hess épouse du notaire et receveur de la douane Jean Charles Leopard
1714 v Claude Coquard, marchand parfumeur, et (1701) Marguerite Bartel – catholiques
1738 v Jean Daniel Wetzel, marchand, et (1715) Madeleine Salomé Gambs
1751 adj Fabrique Saint-Nicolas
1784 v François Daniel Œsinger, marchand, et (1760) Caroline Salomé Greuhm – luthériens
1812 h Charles Frédéric Œsinger, marchand, et (1793) Marie Esther Petzel
1816 h Charles Frédéric Œsinger, négociant, et (1824) Amélie Frédérique Zimmer
1895* h Henri Œsinger, ingénieur
1900* v Frédéric Zeiss Friedrich, marchand de meubles, et Sophie Zeiss
1933* v Ville de Strasbourg pour ses chemins, places publiques et cours d’eau

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 375 livres en 1714, 3 000 livres en 1749

(1765, Liste Blondel) VII 424, Fondation de St Nicolas
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1065, Oesinger, Charles Frédéric, propriétaire – maison, sol, cour, magasin – 3 ares / n.c. non impos. 1844

Locations

1695, Pierre Pelé dit Beaulieu, maître à danser
1695, Daniel Theurer, maître de billard
1698, veuve de Lalanne
1698, Simon Terrain, marchand de vins
1699, Pierre Tranchard, maître à danser
1700, Hubert Rouyers, marchand
1701, (cave) Jacques Vanesme, traiteur au Lion d’or
1702, 1713, Charles Dubourg, tailleur
1702, 1710, 1711, Joseph Pronsal, perruquier
1704, (cave) Jeanne Barbe Defau femme du casernier Gaspard Renard
1705, Pierre Guillemin, employé dans l’extraordinaire des guerres
1708, André Altenburger, orfèvre (voisin, voir la porte de communication)
1708, François César Niceron, employé dans les affaires du Roi
1711, (cave) Jean Adam Müller l’aîné, marchand
1712, (cave) Sébastien Eckel, vitrier
1720, (cave) Mathias Breslé, tonnelier
1727, (cave) Jean Georges Feigler, marchand
1760, 1777, François Daniel Œsinger, marchand (ensuite propriétaire)
1808, Georges Adam Petzel et Marie Ester Jahreis

Livres des communaux

1709, Livre des loyers communaux VII 1465 (1673-1741) f° 205
Le loyer dû par André Altenburger pour la porte qu’ont autorisée les préposés aux affaires foncières est porté dans le registre de 1709 à 1712, date à laquelle elle a été supprimée

Herr Andreas Altenburger, der Silberarbeiter soll von einer /:6 ½ schuh hoch v. 2 schuh 9. Z. breiten:/ thür, welche Er in Herrn Theophili Gollen in der Schloßergaß liegende behaußung brechen laßen, damit Er in die untere Stub, welche Er zu einer werckstatt machen will, kommen kan, jahrs auf Michaelis und A° 1709. I.mo l. Prot. de 1708. folio 115, 1 lb
(Quittungen, 1709-1712)
ist wid. zugemaurt worden

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1708, Préposés aux affaires foncières (VII 1383)
André Altenburger qui a loué une boutique dans la maison voisine appartenant à Théophile Goll pour agrandir la sienne demande l’autorisation d’ouvrir une communication entre les deux bâtiments. Les préposés se rendent sur place. Ils autorisent l’ouverture moyennant un loyer annuel d’une livre

(f° 112-v) Dienstags den 2. Octobris 1708. herr Andreas Altenburger pt° eines durchbruchs – Herr Andreas Altenburger der Silberarbeiter berichtet MGHh. daß Er Von herrn Theophili Gollen deß Goldarbeiters Verlaßener haußfrauen seiner Nachbarin einen in Ihrer in der Schloßergaßen neben seinem hauß ligenden behausung befindlichen Laden gelehnt hatte, damit Er solchen Zu einer Werckstatt neben der seinigen die Ihme Zu klein seÿe, machen könte, alldieweilen Er aber solche, Wann Ihme nicht erlaubt werden solte eine thür auß seiner Werckstatt darin Zubrechen nicht gebrauchen könte, alß Wolte Er MGHh. underthänig ersucht haben Ihme solchen durchbruch gegen erlag eines billigen jährlichen Zinnßes gnd. Zu vergönnen, Herrn Gollen hfr. ist solches zufriden und Verspricht Er diesen erlaubenden durchbruch sobalden Er diesen Laden quittiren werden wider Zumauren zu laßen. Erk. Soll ein augenschein in loco eingenommen werden.
(f° 114-v) Dienstags den 9. Octobris 1708. herr Andreas Altenburger pt° eines durchbruchs – Augenschein eingenommen in Herrn Theophili Gollen des Goldarbeiters Verlaßener hfr. in der Schloßer gaßen gelegener behausung, in deren auff gedachte gaß herauß stehende stuben, welche herr Andreas Altenburger, der Silberarbeiter gelehnt und willens ist mit MGHh. permission eine thür auß seiner behausung umb auß seiner Werckstatt darein zu kommen und eine Werckstatt darein zumachen, 6 ½ schuhe hoch und 2. schuhe 9. Zoll breit durchbrechen und Verfertigen Zulaßen. Erk. Bedacht
(f° 115) Eod. Die. herr Andreas Altenburger pt° eines durchbruchs – Wegen dieses eingenommenen augenscheins ist Erk. Wurd Herrn Andreas Altenburger erlaubt die Verlangte Thür in der bemelten Höhe und breite durchbrechen zu laßen, wann Er dem Pfenningthurn jährlichen auff Michaelis und A° 1709. zum ersten mahl 1. lb d. Zinß davon Zuerlegen Versprech. würdt. Promisit.

1785, Préposés aux affaires foncières (VII 1421)
Le menuisier Osterrieth est autorisé à réparer la maison de Jean Daniel Œsinger rue des Serruriers

(f° 287) Dienstags den 31. Maji 1785. – H. Joh: Daniel Ösinger, Handelsm:
Mr. Osterrieth, der Zimmermann, noê. Herrn Joh: Daniel Ösinger, des Handelßmanns, bittet zu erlauben deßen behausung in der Schloßer Gaß gelegen ausbeßern zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Serruriers

nouveau N° / ancien N° : 12 / 25
Oesinger
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 384 case 2

Oessinger / Oesinger, Frédéric Charles

P 1065, magasin, maison et cour, sol, Rue des serruriers 25
Contenance : 4,65
Revenu total : 442,42 (440 et 2,42)
Folio de provenance : N. C. 384
Folio de destination :
Année d’entrée :1848
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 61
fenêtres du 3° et au-dessus : 10
1846, Augmentations – Oesinger Ch.les f° 384, P 1065, Maison, revenu 440, nlle. constr., achevée en 1843, imposable en 1846, imposée en 1846

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 356 case 1

Oesinger, Frédéric Charles
1871, Oesinger Friderich Karl Söhn, Nutznießerin die Mutter
1874, Oesinger Carl Friedrich Kinder deren Mutter Nutzniesserin
95/96, Oesinger Heinrich, Ingenieur
1900, Zeiss Friedrich, Möbelhändler und Zeiss Sophie

P 1065, maison, sol, Rue des Serruriers 23
Contenance : 4,65
Revenu total : 442,42 (440 et 2,42)
Folio de provenance : (384)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 61
fenêtres du 3° et au-dessus : 10

Cadastre allemand, registre 29 p. 147 case 7

Parcelle, section 13, n° 7 – autrefois P 1065
Canton : Schlossergasse Hs N° 23 / Rue des Francs-Bourgeois (1747, 2119)
Désignation : Hf, Whs – Sol, maison
Contenance : 4,75 (3,68)
Revenu : 4900 – 7000
Remarques : 1935 d. p. 147 c. 10 / d p 147 c 10 – d p 154 c 1, d p 147 c 8

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1933), compte 1369
Zeiss Sophie und Zeiss Theodor Friedrich
rayé 1933

(Propriétaire à partir de l’exercice 1933), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1935), compte 1386
Strassburg d. Gemeind. f. ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1909 Stadt Strassburg für ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1952 Ville de Strasbourg pour ses chemins, places publ. et cours d’eau
(32)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 240 Rue des Serruriers (p. 390)

25
Pr. Oesinger, François Dan. Negt. – Miroir
loc. Oesinger, François Daniell, Ltié – Bateliers
loc. Oesinger, Char. Fred. Negt.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schlossergasse (Seite 152)

(Haus Nr.) 23
Zeiss, Fabrikant. 1
Zeiss Eigentümerin. E 2
Schmutz, Metzger. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 849 W 267)

Rue des Serruriers 23 (1894-1927)

Le marchand de meubles Zeiss qui vient d’acheter la maison fait poser en 1899 une nouvelle devanture. Il fait couvrir en 1924 la cour arrière d’un toit vitré.

Sommaire
  • 1894 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du sieur Œsinger l’autorisation de faire une prise de 7 mètres pour dix becs – Autorisation
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire Œsinger de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée – Travaux terminés, janvier 1899
  • 1899 – Propriétaire de la maison sise 23, rue des Serruriers, F. Zeiss demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour faire une nouvelle devanture – Autorisation de poser une devanture, autorisation d’occuper la voie publique – Travaux terminés, novembre 1899 – Dessins signés par l’entrepreneur Th. Wagner (rue de la Fontaine) – Quittance pour un pilier, une baie et un store
  • 1900 – Le magasin de meubles A. Zeiss (23, rue des Serruriers et 5, rue de la Chaîne) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
    La Police du Bâtiment constate que l’enseigne est posée à moins de 10 centimètres de la maison voisine. Anne Kuhn écrit au nom du voisin qu’il a donné son accord – Dossier classé, mai 1900
  • 1904 – A. Zeiss déclare qu’il a retiré son enseigne et qu’il souhaite poser un drapeau (Möbelhaus A. Zeiss im I. Stock, Meubles Zeiss au premier étage) – La Police du Bâtiment objecte que la saillie dépasse les dimensions autorisées
  • 1913 – Dossier suite à un courrier du commissaire de police. J. Gross (demeurant 15, rue de la Toussaint) demande l’autorisation de poser une enseigne pour l’agence Floritas – Autorisation – L’enseigne est posée, juin 1913
  • 1924 – Le marchand de meubles Zeiss a l’intention de couvrir d’un toit vitré la cour à la hauteur du premier étage entre le bâtiment du milieu et le bâtiment arrière pour y installer un atelier de menuiserie – Autorisation, entrepreneur Ernest Diebold (5, rue des Mineurs) – Le toit vitré est posé, décembre 1925 – Dessin
  • 1925 (avril) – La Police du Bâtiment constate que le Journal de l’Est a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation
    1925 (septembre) – Le Journal de l’Est demande à la préfecture l’autorisation de transférer son enseigne de la place Broglie, emplacement de la Banque de France – Le préfet transmet le dossier au maire – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1927 – Dossier suite à un courrier de la Division II – La veuve Zeiss demande l’autorisation de faire des réparations – La Police du Bâtiment demande au propriétaire Zeiss de réparer le tuyau de descente pour éviter que l’eau ne pénètre dans le bâtiment voisin (n° 21) qui appartient à la Ville
  • Commission contre les logements insalubres. 1904 – Ferdinand Flubacher, propriétaire de la maison voisine (n° 25), demande à la Police du Bâtiment d’inspecter le pignon mitoyen qui est en mauvais état
    1905 – Le maire écrit à la Division III que les travaux de canalisation seront désormais dirigés par la Police du Bâtiment
    1903 – La veuve Mathon se plaint que son logement est humide et que de mauvaises odeurs entrent quand elle ouvre les fenêtres
    1904-1905 – Remarques relatives aux cabinets d’aisance – Le délai accordé pour raccorder les cabinets aux canalisations est prolongé
    1905 – Les logements et les cabinets d’aisance sont en bon état
    1915, Commission des logements militaires, rien à signaler

Relevé d’actes

D’après les tenants et aboutissants des maisons voisines (1636, 1646), la maison appartient au marchand Michel Buisson. Fils du marchand Joseph Buisson, Michel Buisson épouse en 1629 Marie Jacquemin, fille de l’orfèvre Samuel Jacquemin : contrat de mariage, célébration

1629 (12.3.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56)
(Eheberedung) Zwüschen dem Ehrengeachten vnndt fürnehmen H. Michael Buison, deß Ehrenvesten vnndt fürnehmen Herren Joseph Buison, handelßmanns vndt burgers Zu Straßburg ehelichem Sohn Ane einem
So dann der Ehren: vnndt tugendreichen Jungfrauwen Mariæ Schacminin, deß auch wolachtbaren vnd fürnehnemen Herrn Samuel Jacmins goldtarbeiters vndt burgers Zue Straßburg mit weÿland der ehren vnd tugendreichen frauwen Marien Bittodin seiner ehelichen haußfrauwen seeligen ehelichen erzeugter dochter Am Anderen theÿll
Beschehen vndt verhandelt in deß heÿligen Reichß freÿen statt Straßburg Dienstags den 12. Martÿ Inn dem Jahr deß herrn alß man Zalt 1629.

Mariage, cathédrale (luth. p. 271)
1629. Dica 4. Trinit. 28. Junÿ. Michel Büisson der Handelsmann, Joseph Buisson des handelsmann sohn und Maria H. Samuel Jackmin des goltarbeiters tochter, eingesegnet montag 13. julÿ (i 140)

La maison appartient ensuite à l’orfèvre Frédéric Barbette qui épouse en 1655 Marguerite Passage, fille d’un orfèvre de Sainte-Marie-aux-Mines devenu mamant de Strasbourg

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 249)
1655 – Domin. Voc. Incend.* et Exaudi 20. et 27. Maÿ, Herr Friderich Barbett goldarbeiter Und burger alhier und Jungfr. Margaretha H. Heinrich Baßusche (von Markirch) gold. vnd dratarbeiters vnd Schirmsverwant. alhie eheliche Tochter. Copul. beÿ St. Claus Montag 28. Maÿ (i 267)

1655 (26.5.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 23) n° 14
Inventarium Über Jungfrauen Margarethæ Passagin Zu H. Friderich Barbetten, Goldarbeithern vndt burgern alhier Zu Straßburg in die Ehe Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet 1655 – Jungfrauw Margretha Passagin, deß Ehrengeachten vnd Kunstreicjen herrn Heinrich Passage Goldareithers von Maria Kirch, anietzo aber Schirms Verwanthen alhier Zu Straßburg eheleibliche Tochter, dem auch Ehrengeachten vnd Kunstreichen Herrn Friderich Barbetten, ebenmeßig Goldarbeithern vndt burgern alhier Ihrem geliebten hern Hochzeitern als /.Crafft Ihrer mitt einander auffgerichteten Eheberedung./ sein unverändert Guth in den Ehestand Zugebracht – So geschehen auff Sambstag den 26.ten Maÿ A° 1655
Sa. Haußraths 181, Sa. Silber geschmeids 54, Sa. Guldenen Ring 32, Sa. der Baarschafft 23, Summa summarum 391 lb

Registre des biens échus à Marguerite Passage dans la succession de son père dont elle est héritière pour un tiers
1655 (24. 8.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 23) n° 31
Special Theil Register darinnen Waß Frawen Margarethæ Passagin, Herrn Friderich Barbetts, Gold Arbeithers Undt Burgers Zu Straßburg ehelicher haußfrau, In weÿl. H Heinrich Passage deß ältern, Traadt: undt Goldtarbeithers, hiebeuor Burgers Zu Maria Kirch nachgehendts aber Schirms Verwanthen Zu Straßburg ihres lieben Vatters seel. Verlaßenschafft Abtheilung erblichen Zugefallen Zubefind. 1655.
(…) deßgleichen die auch Ehern vndt Viel tugendsame Fraw Elisabetha Passage, deß Ehrwürdig vnd wohlgelehrten herrn Gerhardi Schoppÿ, Pfarrherrens Zu Seltz ehelich geliebte haußfrau, vnd mit beÿstandt deßelben Ihres geliebten Herren, vndt dann d. Erbahre vndt Bescheÿdene Heinrich Passage d. Jünger, auch Goldt arbeither, so noch ledigen standts, dahero mit hülff vnd beÿstandt deß Ehrengeachten vnd vorachtbahrn herrn David Johann Andreßen, handelßmanns vndt Burgers alhie seines geliebten Herrn Vetters, alle dreÿ geschwüsterdt, vnd deß ietz abgeleibten seel. mit auch weÿl. d. Ehren: vndt Viel tugendsamen frau Susanna Daufffin seiner hfrn. seel. ehelich erzielte inder vnd ab intestato hind.laßene Erben – So beschehen in Straßburg auff Mittwoch vnd Donnerstag den vier: und fünff und Zwantzigsten monaths tag Octobris Im Jahr deß herrn 1655.
Die Behausung vnd Ligende Güether Zue Maria Kirch betreffendt

Frédéric Barbette se remarie en 1667 avec Anne Mida, fille d’un tailleur de diamants
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 278-v, n° 28)
1667. domin. 24 et 25. Trin. 17 et 24. 9.br. Herr Fridericus Barbeth goldtarbeiter und Burg. alhier, vnd Jungfrau Anna, weÿl. H. Jonas Midather deß gewesenen demant schneider vnd Burger alhier eheliche Tochter. Copul. ad. D. Nic. 28. 9.bris post preces Hebdomad. (i 297)

Anne Mida fait dresser l’inventaire des biens qu’elle apporte en mariage
1668 (19.8.), Not. Oesinger (David, 37 Not 20) n° 5
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder Haab vnndt Nahrung, So die Ehren und tugendreiche Fr. Anna Mida dem Ehrenvesten vorgeachten vnndt Kunstreichen H. Friderich Barbet burger undt Goldtarbeitern alhie Zu Straßburg, In den Ehestand Zugebracht – So beschehen in Straßburg Mittwoch den 19. Augusti Anno 1668.
In Einer behaußung Inn der Statt Straßburg In d. Schloßergaß. gelegenen behausung Ist befundt. word. wie volgt
Sa. Haußraths 479, Sa. Silber geschmeids 79, Sa. guldener Ring 52, Sa. der Baarschafft 96, Sa. Ligender güether 14, Sa. der schuld 37, Summa summarum 759 lb

Le maître de poste Jean Balthasar Kraut (propriétaire de la maison qui portera ensuite le n° 21) passe un accord avec Frédéric Barbette relatif au mur de leurs maisons arrière. Le mur est mitoyen comme le prouvent les fenêtres aveugles qui s‘y trouvent. Frédéric Barbette accorde à son voisin la tolérance d’une petite fenêtre et d’un chenal qu’il y a pratiqués.

1669 (5. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 536 n° 518-v
Erschienen H Johann Balthasar Kraut der Postmaÿster an einem,
So dann H Friderich Barbette der Golt Arbeiter am andern theil,
Zeigten an und bekannten freÿ guthwillig offentlichen daß die Jenige Maur, welche Zwischen ihren benachbarten hinder häußern alhie resp. in Ober Straß und Schloßergaßen gelegen stehet, Zwischen derenselben häußer inmaß die blindfenster Zu erkennen geben gemeÿn seÿe, und für und für, also gemaÿn sein und bleiben solle. Dieweil aber H Postmaÿster Kraut vff H Barbette freundnachbahrliche Gönnung in solche gemeine Maur ein stechfenster in seine Behaußung gerichtet, und seinen steinern Nooch vff solches gemeine Maur gelegt hatt, So solle beÿdes daß stechfenster und daß d. Nooch vff der gantzen Maur ligt, keine Gerechtigkeit der Krautischen: und dienstbarkeit der Barbetisch. Behaußung nimmermehr sein, noch von Jemand. ietzo od. ins künfftig dafür angesehn angezogen od. gehalten werd., sondern hiemit und in Krafft dißer Schrifft so lang es bleibt, ein nudum precarius und bloße freundnachbahrliche Gönnung declarirt

Frédéric Barbette hypothèque la maison au profit de la veuve de Frédéric Hammerer

1679 (9.1.), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 5
Herr Friderich Barbett der Goltarbeiter
in gegensein Herrn Johann Jacob Schneiders dreÿers deß Vmbgelts alß curatoris frawen Annæ Magdalenæ herrn Friderich Hammerers geweßenen Registratoris nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin – schuldig seÿe 100 lb
unterpfand, hauß hoff hoffstatt mit allen deren Gebäwen, allhier in der Schloßergaß, einseit neben weÿland herrn Johann Ludwig Zeißolffs deß handelßmanns nunmehr seel. nachgelaßener wittibin und Erben, anderseit neben Conrad Weber dem Schreiner hinden uff herren Johann Balthasar Krauten dem Postmeÿsters und E.E. Großen Rhats beÿsitzern, Zum theil und theils uff der Schmid Zunfftstub stoßend gelegen

Frédéric Barbette hypothèque la maison au profit de la paroisse réformée de Wolfisheim

1680 (17. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 713-v
Herr Friderich Barbett der Goltarbeiter
in gegensein herren Johann Jacob Saltzmanns und herren Johann Niclaus Herffen beÿdter handelßmänner im nahmen der Reformirter Kirch Zu Wolffißheim – schuldig seÿe 150. lb
unterpfand, hauß hoff, hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen und zugehördten alhier in der Schloßergaßen einseit neben Conrad Weber de Schreiner, anderseit neben H. Johann Ludwig Zeißolffs deß handelsmanns nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, hinden uff der Schmid Zunfftstub Zum theil, und theils uff herren Johann Balthasar Krauten Fünffzehner stoßend gelegen

Frédéric Barbette et le tuteur de ses enfants vendent la maison au marchand Nicolas Hoffer

1684 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 25
Herr Johann Friderich Barbett der Goltarbeÿter, mit beÿstandt Herrn Johann Jacob Saltzmanns des handelsmanns seiner Kinder Vogts
in gegensein Herrn Nicolai Hoffers deß Handelsmanns, mit beÿstand Herrn Daniel Wurtzen des Handelsmanns
Eine Vordere mittlere und hindere behaußung, mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, zugehördten, Rechten undt gerechtigkeiten alhier in der Schloßergaß, einseit neben der Zeißolffischen Wittibin, anderseit neben Johann Michael Braunen dem Schneider hinden uff die Schmidtstub Zum theÿl und Zum theÿl uff Herrn Johann Balthasar Krauten XV. stoßend gelegen, welche behaußung umb 300. fl (so dann umb 200 Rfl. verhafftet), umb 1300 fl.

Originaire de Mulhouse, Nicolas Hoffer épouse en 1685 Marie Hélène Grimm, fille de marchand.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 145-v, n° 14)
1682 – Zum 2 mahl H. Niclauß Hoffer handelsm: und Burger alhier, Weiland hr Mathiæ Hoffers, Predigers zu Mülhaußen in der Schweitz nachgelaß: ehel. S. Jfr. Maria Helena, Weiland H. Johann Martin Grimmers handelßm. u. Burgers alhier nachgelaß. ehel. T., Mittwoch den 14.ten Maji Zur Predigern (i 102)

Nicolas Hoffer devient bourgeois quelques mois après son mariage
1682, 4° Livre de bourgeoisie p. 489
H. Niclaus Hoffer Von Mühl haußen der Specereÿ händler empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Maria Helena Grimmin p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist ledigen standts gewesen undt wirdt Zum Spiegel dienen. Jur. 9.t. dito [aug. 1682.]

Nicolas Hoffer hypothèque la maison au profit du marchand Jacques Hosser l’aîné

1684 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 186
Niclaus Hoffer der Handelßmann
in gegensein H. Jacob Hoßers deß ältern auch handelßmanns – schuldig seÿe 1000 stück Gulden in guten Reichß Guldnern
unterpfand, Ein Vordere: mittlere: und hindere: behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Schloßer Gaß, einseit neben der Zeißolffischen Wittibin, anderseit neben Johann Michael Braunen dem Schneider hinden zum theil uff die Schmid Zunfft stub und zum theil uff herrn Johann Balthasar Krauten fünff Zehner stoßend gelegen

Nicolas Hoffer hypothèque la maison au profit du marchand Jérémie Schreiber

1686 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 221-v
H. Niclaus Hofer, der handelßmann
in gegensein H. Jeremiæ Schreibers auch handelßmanns – schuldig seÿe 800 Reichsdaler
unterpfand, Eine Vordere, Mittlere, und Hindere behaußung, mit allen deren Gebäuen, begriffen, und Gerechtigkeiten, allhier in der Schloßergaß, einseit neben der Zeisolffischen wittib, anderseit Johann Michael Braunen dem schneider, hind. uff die Schmid Stub Zum theÿl, und Zum theÿl auff H. XV. Johann Balthasar Krauten stoßend gelegen

Nicolas Hoffer quitte la ville en y laissant des créanciers. Par sa décision du 6 septembre 1687, le Grand Sénat attribue la maison au Corps des Marchands qui la vend au tonnelier Sébastien Riesenmann

1689 (19.3.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 167-v
/:tit:/ H. Johann Christoph Kellermann Prevot des Marchands und E.E. Großen Raths Beÿsitzer allhier, mit beÿstand Hn Johann Georg Bembergs, deß Handelßmanns, ged. Corps des Marchands beÿsitzers, alß auch deßen Mittel hierzu insonderheit deputiert
in gegensein Sebastian Risemann deß Kieffers bekandt, demnach Johann Niclaus Hoffer gewesener handelßmanns von hier außgetretten und zimbliche Schulden hinterlaßen darüber die Sach ad concursum Creditorum gerathen, welcher vermög E. E. Großen Raths Erkandnuß vom 6. 9.br. 1687 an obged. Corps des Marchands zu güthlichem verglich. verwiesen worden. Und aber in sein Hoffers Activ Nahrung under andern annoch die unden beschriebene Behaußung sich befunden, Alß habe Er H. Prevost und beÿsitzer ged. Corps des Marchands krafft habend. Commission auch mit genehmhaltung und consens unden benahmster auff vorbedittener behaußung in specie oder auch in genere Versicherte Creditoren
Eine Behaußung, bestehend in einem Vorder: Mittler: und hinderhauß sambt Zweÿen höfflein, Bronnen und allen deren Gebäuen Rechten Begriffen und Zugehördten, allhier in der Schloßergaß einseit neben Weÿl. H. Johann Ludwig Zeÿsolffs gewesenen handelßmann hinderlaßener Fr. Wittib und Erben anderseit neben Weÿl. Michael Braunen gewesenen Schneiders nachgelaßener Wittib und Erben zum theÿl und zum theÿl neben H. Johann Balthasar Krauten XV. hinden auff erstged. Hn XV. Krauten zum theil, und theÿls auff die Schmid stub stoßend gelegen, welche Behaußung umb 150 lb Capital (Ferner umb 100 pfund Capital, mehr umb 200 lb Capital, So dann umb 450 pfund Capital verhafftet), dann ob wol H. Jeremias Schreiber der Handelßmann umb 800. Rdhl. in Spec. H. Matern Melcker auch handelßmanns aber umb 780 lb Capital in genere, wie auch Maria Magdalena gebohrne Grimmin, sein Hoffers haußfr. sowol expresse alß tacite darauff versichert, so hätten doch Sie Schreiber, Melcker und Hofferische haußfrau sich deßwegen beÿ ged. Corps aller ansprach an dieße behaußung begeben Ist demnach dießer Verkauff und Kauff welcher von Michaelis 1688 da der accord geschloßen worden auß und angeh. solle für freÿ ledig und eÿgen zugegangen und geschehen umb 1000 Pfund
[in margine :] (…) in gegensein /:tit:/ Hrn Johann Sebastian Gambsen, J.U. Ddi und des beständigen Regiments der Hhn. Fünffzehen beÿsitzern alß Vogts Fr. Mariæ Esther, gebohrner Heßin, deß hierinn gem. Hn Riesenmanns nunmehr seel. Hinderlaßener Wittib (quittung), den 30. Januar. 1694.

Sébastien Riesenmann se marie en 1686 avec Marie Esther Hess qui a épouse en premières noces le capitaine Balthasar Dürr en 1679
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 145-v, n° 41)
1686 – Dom: 24. Trin. Zum 2 mahl Johann Sebastian Riesenmann Kiefer und weinhändler, Heinrich Risenmann Kiefers und Burgers alhier ehel. S. Fr. Maria Esther, Weiland Hr. Balthasar Friderich Dürren gewesenen hauptmann beÿ hiesiger Guarnison nachgelaßene W. Mittwoch den 4. 10.er N. Kirch (i 147)

Mariage, Temple-Neuf (luth.)
1679 – Dom. Trma* Zum 2 mhl Herr Balthasar Durr der erste* beÿ hiesiger Statt Quarnison, Jgf. Esther weiland Hr. Philipp Heßen gewesenen Ver* * im mehrern hospital alhier auch Burgers nachgelaßene ehel. T. Donnerstags den 13.ten Martÿ, Mstr. (i 64)

Les nouveaux mariés font chacun dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Marie Sophie de Kirchheim rue des Charpentiers. Ceux du mari s’élèvent à 94 livres, ceux de la femme à 1 163 livres
1686 (27. Xbr), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 5) N° 29
Inventarium über deß Ehrngeacht und achtbahrn H Johann Sebastian Rießenmanns Küeffers undt wein händlers burgers Zu Straßburg Zu der wohl Ehren und Viel tugendreichen frawen Mariæ Esther Rießenmännin gebohrner Heßin seiner Lieben Ehegemahlin inn den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1686. – alß Krafft ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung ein unverändert Guth inn den Ehestand zugebracht – Actum Freÿtags den 27.te Decembris Anno 1686.
Inn einer alhie inn der Statt Straßburg inn der Zimmer leüth Gaß Gelegenen frawen Mariæ Sophiæ Von Kirchheim wittib eigenthümlich gehörig behaußung ist befunden worden wie volgt
Sa. Kleidung vnd weißen gezeugs 65, Sa. deß weins 1, Sa. Silbers 1, Sa. der guldenen ring 19, Sa. der bahrschafft 83, Summa summarum 170 lb – Schulden auß der Nahrung zu bezahltend 75, Nach deren Abzug 94 lb

1686 (27. Xbr), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 5) N° 30
Inventarium über der Wohl Ehren vndt Viel tugendreichen frawen Mariæ Ester Rießenmännin Gebohrner Heßin burgerin zu Straßburg zu dem Ehrengeacht und achtbahren H Johann Sebastian Rießenmanns Küeffern undt weinhändlern burgern alhier Ihrem Lieben Ehemann inn den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Annp 1686. – alß Krafft ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung ein unverändert Guth inn den Ehestand zugebracht – Actum Freÿtags den 27.te Decembris Anno 1686.
Inn einer alhie inn der Statt Straßburg inn der Zimmer leüth Gaß Gelegenen frawen Mariæ Sophiæ Von Kirchheim wittib eigenthümlich gehörig behaußung ist befunden worden wie folgt
Sa. haußraths 579, Sa. der früchten und Meels 146, Sa. deß weins vndt vaß 11, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 79, Sa. der guldenen ring 65, Sa. der bahrschafft 59, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 21, Sa. der Schulden 200, Summa summarum 1164 lb – Schulden auß der Nahrung zu bezahltend 16 ß, Nach deren Abzug 1163 lb

Marie Esther Hess se remarie en 1694 avec l’orfèvre Théophile Goll
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 29 v°, n° 5)
Heute Mittwochs den 24. Mertz st. n. 1694. seind (…) copulirt und eingesegnet worden H. Theophilus Goll der leedige Goldschmid alhier H. Johann Adam Gollen Utriusque juris D. Adv: et Procur. bey E.E. Großen Rath alhier ehelicher Sohn, und fraw Maria Esther, weÿl. Johann Sebastian Riessenmannß geweßenen Burgerß und Weinhändlerß alhier nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Theophilus Goll als Hochzeiter, Mari Estder Rißenmännin hochzeiterin (i 31)

L’orfèvre Théophile Goll a voyagé pendant dix ans et vien de rentrer de France. Son père obtient en son nom auprès des Quinze une dispense pour pouvoir passer son chef d’œuvre alors que deux autres candidats sont déjà inscrits
1693, Protocole des Quinze (2 R 97)
Theophilus Goll Ca. E. E. Zunfft zur Steltzen
(f° 89) Sambst. den 16. Maÿ – Theophilus Goll, der Silberarbeiter gesell, per D. Gollen, cit. per schedam E. E. Zunfft d. Steltzen Zunft meister, weilen gegenwärtiger mein sohn 10. jahr gereißt und nunmehro beÿ seiner Widerkunfft auß Franckreich sein Meisterstück zu machen Willens, citirte aber auß Keiner Andern Ursach als weilen bereits Zweÿ Zum Meisterstück zu machen eingeschrieben ihn ohn Mghh. erlaubnuß Nicht admittiren Können, als bitt er umb gn. dispensation, dieweilen er sich länger Nicht außhalten laßen Kann, Und sein Zeit wohl dreÿ mahl Verarbeitet hatt.
Künast Weilen All den des principalen nicht dispensiren Können und sonsten Nichts Wieder Gegner einzuwenden Wißen, als der seine Zeit mehr als Viel außgestanden, als setzen sie es Zu Mghh. D. Goll setzts gleich Falls. Erk. dispensando Willfahrt.

Marie Esther Hess fait dresser l’inventaire de ses apports dans lequel figure la maison rue des Serruriers. Une note porte qu’elle a fait aménager à ses frais le rez-de-chaussée en partie en atelier d’orfèvre et en partie en local de la douane française

1694 (5.5.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 1)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, nahrung und Güter, liegend und vahrender, so der Ehren und tugendbegabten frawen Mariä Esther gebohrner Heßin eÿgenthümblich zuständig und zu dem wohl Ehrenvest und Kunstreichen Herrn Theophilo Gollen, vornehmen Silberarbeiter und burgern allhier zu Straßburg Ihrem nunmahligen Eheherrn, Krafft Ihrer beeder auffgerichteter heüraths verschreibung alß ein ohnverändert Gut in die Ehe zugebracht – Actum in fernerem beÿwesen und authorität der hoch wohl Edel vest, fromb fürsichtig, hochgelehrten und hochweißen herrn Johann Sebastian Gambßens des beständigen Regiments der herren XV. hoh ansehnichen beÿsitzers, herrn Johann Jacob Schatzens Jur: Pract: und herrn Johann Adam Gollen J. U. Dr in Straßburg denen 4. und 5.ten Maÿ 1694.

Behaußung, so die Fraw in die Ehe gebracht. It: ein vorder: mitler vnd hind. behaußung, mit allen deren Gebäwen begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in d. schloßer gaßen gelegen 1.s fraw Genove der Zeißolfischen Fr. Wittib, anderseit neben Johann Adam Führer dem Schneid. Zum theil und zum theil neben H. Johann Bernhard dem Goldarbeiter, hind. Zum theil vf die Schneid. stub und Zum theil vf herrn fünffzehener Johann Balthasar Krauten seel. Erben stoßend, und ist solche behaußung beÿ dier Inventation Zwar ohne præjuditz nemblich mit d. condition, daß wann wehrend ehe dießlebe v.kaufft werden würd d. fraw d. Gewinn und v.lust zu wachsen solle, angeschlagen worden vmb 4000. fl. 2000 lb. davon Gehen Jahrs auf den 4.ten Maÿ 35. lb d Zinß Herrn fünffzehener Johann Sebastian Gambs sonsten stehen i, haubt Gut nach Innhalt d. einen in alg. C. C. st. auffgerichtet. v.schreib. datirt vom 4. Maÿ 1694. abzulösen mit 1750. fl. machen hieher 875. lb à 4 C° Gerechnet, Über solchen abzug v.bleibt der æstimation nach noch außzuwerffen (875), Darüber vorhanden j. t. p. Kbr. m. d. St. St. C. C. Ins. vw. datirt den 19.tr, Martÿ 1689. mit N° 1 signirt
NB. es hat die fraw abstehendes hauß an ein und andern orth und sond.lich untern in dem Saal Zu bequemlichkeit der Goldschmiden und des frantzösischen Zolls auff ihren eigenen lasten einrichten und bawen laßen, welche Baw Kosten alhie nicht abgezogen, dargegen ihro auch deßwegen ahn Ihrem ohnveränderten hauß nichts abgezogen sollen, und werden dahero auch die Unkosten Zedel alhier nicht eingetragen.
Bericht ane statt des herren In die Ehe Gebrachten Vermögens. Alhier würd davon dieser bericht erstattet daß, obwohlen herr Theophilen Goll etwaß werckzeug und Kleidung in diese seine ehe Gebracht, er dennoch muste nicht dauor inventiren laßen, dergestalten daß solches alles seinen Jetzo Zugebracht v.mögen Künfftighin auf begebenden fall alß ein theilbar Guth gehalten und nichts Ihme darvor ergäntzt werden solle (…)
Abrechnung Zwischen /:tit:/ Herrn XV. Gambßen und Fraw Gollin geb. Heßin

Marie Esther Goll qui a accepté la succession de feu son mari Jean Sébastien Riesenmann hypothèque la maison au profit de son beau père le tonnelier Jean Henri Riesenmann

1694 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 339
Fr. Maria Ester geb. Heßin Hn Theophili Gollen, deß Silberarbeiters Haußfrau
/:tit:/ Hn. Johann Sebastian Gambßen, deß beständigen Regiments der Hn XV. Beÿsitzers, demnach Sie Maria Ester, alß weÿl. Johann Sebastian Risenmanns, deß Kieffers und Weinhändlers seel. hinderlaßene wittib, erstged. Ihres gewesenen Ehemanns seel. verlaßene Nahrung cum benefico legis et Inventarÿ active et passive übernommen, alß seÿe Sie Riesenmännische wittib jetzt Gollische Haußfrau Ihme Edelged. Hn XV. Gambßen schuldig worden , Erstlich 281 Pfund (…) Für d. Andere 200 pfund (…) und dann heut dato 400 pfund, damit H. Johann Henrich Riesenmann Kieffern allhier Ihren Schweher umb diejenige 800 fl. welche derselbe seinem Sohn zu erkauffung der in der Schloßergaß gelegen hernach beschriebenen behaußung vormahls gelühen, und Sie des Sohns wittib, vermög beÿ angetrettener jung riesenmännischer verlassenschafft beschehenen vergleichs, demselben wieder zu erstatten versprochen (…)
für die völlige Summ der 875 lb d die bedittene behaußung mit allen deren gebaüen, rechten und zugehördten hypothecirt sein, welche gelegen allhier in der Schloßergaß einseit neben weÿl. Hn Johann Ludwig Zeißolffs, gewesenen Handelßmanns seel. wittib und erben, anderseit neben Johann Adam Fischer dem Schneider, zum theil und zum theil neben Hn Johann Bernhard dem Goldarbeiter, hind. auff weÿl. H. XV. Johann Balthasar Krauten seel. Erben stoßend gelegen

Théophile Goll et Marie Esther Hess hypothèquent la maison au profit de Jean Bechtold, administrateur du sel

1694 (29.6.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 431
H. Theophilus Goll, der Silberarbeiter und fr. Maria Esther geb. Heßin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Hn Johann Carl Leopards, Not. Publ. und Haußherrn im Zollkeller, und Hn Johannes Engelhards, deß Tuchscheerers ihres respectivé Schwagers und Vettern
Hn Johannis Bechtolds, Saltzverwalthers, und alten dreÿers des Umbgelds – schuldig seÿen, 250 pfund
unterpfand, eine behaußung bestehend in einem vorder: Mittler: und hinderhauß sambt zween darzwischen gelegenen höffen, allhier in der Schloßergaß, einseit neben weÿl. H. Johann Ludwig Zeißolffs gewesenen Handelßmanns seel. Wittib und Erben, anderseit neben Johann Adam Fischer dem Schneider, zum theil und Zum theil neben Hn Johann Bernhard dem Goldarbeiter hinten auff weÿl. Hn. XV. Johann Balthasar Krauthen seel. Erben stoßend gelegen

Théophile Goll loue une partie de la maison au maître à danser Pierre Pelé dit Beaulieu

1695 (19.7.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 463
Theophile Goll Orfevre et bourgeois de cette ville (signé) Theophilus Goll
bail au Sr Pierre Pelé dt. Beaulieu maistre a danser manant de cette ville (signé) piere pelé
dans la maison de la demeure dud. Bailleur Scituée en cette ville rüe de serruriers, les appartements et commodités Suivantes, Sçavoir la poret cochere et cour libre pour l’utilité du Sr Goll et du Sr Beaulieu, Plus la cour et la cuisine sur le derriere communes, Plus une escurie et un grenier non communs, Plus deux chambres un peëlle et une cuisine, plus sur le devant de la première cour un poelle une chambre et un cabinet, Plus sur la rüe une chambre libre pour le passage d’une chambre à cheminée appartenant audt. Beaulieu et un grenier et une cave, Scavoir la petite que le dt. Goll luy doit fournir sans aucune communication de ce qui est mentionné cy dessus, Le dt. Sr Goll laisse aussy le passage libre des galleries aboutissant à son logement tant par haut que par bas, Ce présent bail fait pour trois années levées et consécutives à commancer à la St Michel de l’année courrante 1698 moyenant la somme de 280 livres par chacun an

Théophile Goll loue une autre partie de la maison au maître de billard Daniel Theurer

1695 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 477
H. Theophilus Goll, der Silberarbeiter
in gegensein H Daniel Theurers deß biliard Meisters
entlehnt, in Sein Gollen an der Schloßergaß gelegenen wohn behaußung Einen Saal und. auff den bod. samt den daran gelegenen Magazin, wie auch einen gewolbt. Cämmerlin, Ferner im Stall platz Zu einem Pferd auch Platz zu heu für ein pferd und dann platz im Keller für etlich Ohmen wein zuleg. alles auff dreÿ jahr lang von Michaelis dieß jahrs anzufang. umb einen jährlich. Zinß nemblich 40 pfund
darbeÿ hat d. Verleiher versproch., den im Saal stehende und. schlag weg zuthun, auch eine thür vom Saal ins Magazin, nicht wenig. ein fenster beim offen durch brech. setz. zu laßen auff seinen Costen
[in margine :] hierinn gemelten Daniel Theurer an einem, So dann Ludwig Schleÿ, der Schneidern und Schirms Verwanthe allhier am andern theil, haben angezeigt und bekandt, d. Sie weg. d. hierin getroffenen lehnung mit consens deß Verleihers einen contract und societät mit einand. getroffen dergestalt d. d. hierin verlehnt Saal und Ubrige bequemlichkeit die lehnungs Zeit Ihnen beed. ins gemein Zugebrauch. sein Und ieweder die helffte am Zinß beÿschieß. solle, mit dem Anhang d. Er Schleÿ wie ach Er Theurer in d. Saal alßobald Zeÿ biliard und den Zugehörig. lüffern – den 1. 7.bris 1697

Marie Esther Goll assistée du notaire Jean Charles Leopard (son beau frère) loue une partie de sa maison à la veuve de Lalanne

1698 (18.8.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 528-v
Marie Ester Goll, née Hessin assistée du Sr Jean Charl Leopard, Notaire et Receveur du poid de la ville, son Curateur,
bail à Mad. la veufve de la Lanne
dans la maison de sa demeure sur le devant un poëlle cuisine et boutique tout en bas, le tout de trois mois en trois mois, à raison de 10 escus par quartier

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison au marchand de vins Simon Terrain

1698 (24. 8.bre), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 681
De Marie Esther Goll née Hessin assistée du Sr Jean Charl Leopard l’ainé Receveur des poids de la ville son Curateur
bail au Sr Simon Terrain, marchand de vin
Une maison Scize en cette ville rüe des Serruriers /:Schloßergaß:/ tenante d’un coste à Dlle Genoveufue Zeisolff veufve, d’autre à André Altenburger aboutissant par derriere aux heritiers du feu Sr Jean Balthasar Kraut cy devant Assesseur de Messr. les Quinze avec tous ses appartements et commodités, à la reserue de ce qui s’en suit Scavoir la boutique et le poelle y joignant, le petit poelle qui est proche les billiards, la salle ou sont les billiards, une cuisine d’en bas contre la boutique, Plus trois caves et une chambre proche les greniers, et le grenier la dessus, avec un autre grenier pour le charbon, Ce bail estant fait pour un ans à commencer au premier Novembre de l’année courrante – pour 400 livres tournois
Il sera permis à la Bailleuse de se servir de la cuisine de l’essive, et des galleries de la maison pour blanchir et secher ses linges, au contraire il luy sera defendu de vendre aucun vin, à la reserve de tenir une petite bouteille de brandevin pour le vendre en hyver

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison au maître à danser Pierre Tranchard

1699 (17. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 529
Delle Ester Goll née Hessin assistée du Sr Baudoin Lieutenant de Cavallerie
bail au Sr Pierre Tranchard, maistre à danser
dans la maison de la demeure de ladte. Dle. scize dans cette ville de Strasbourgn rue de Serruriers appelée Schlossergas, les appartements et commodités suivantes, Scavoir, sur le devant une chambre a feu, une sale que le Bailleuse a promis de faire blanchir, Plus dans le milieu du logis une cuisine qui sera commune, un poelle et une petite chambre à feu, un petit cabinet qui est sur la petite escurie y comprise, la cuisine d’en bas commune pour faire l’essive, encore une petite cave et un grenier, le tout pour trois années à commencer à Noël de l’année presente, à raison de 200 livres tournois faisant 50 livres de Strasbourg

Femme séparée de Théophile Goll, Marie Esther Hess se plaint devant le Conseil des maçons du maître maçon Michel Gack qui a construit une cheminée qui tire mal. Le maître maçon objecte qu’il a suivi les ordres de Théophile Goll qui a dû être satisfait du travail puisqu’il l’a payé en décembre 1696. Après avoir commis deux maîtres maçons pour examiner la cheminée, le Conseil conclut que les travaux ont été faits d’après les indications du mari et que la demanderesse devra payer au maître maçon sa nouvelle facture. Michel Gack se plaint trois mois plus tard en septembre qu’il n’a toujours pas été payé. Adam Goll déclare en novembre que la veuve est satisfaite de la précédente décision mais présente une nouvelle plainte relative aux dalles posées dans le séchoir. Michel Gack répond qu’il a dû reprendre quatre ans auparavant le travail suite à la plainte d’un voisin et que les dalles ont pu se desceller à cause du poids des pots d’orangers que la plaignante y entrepose. Le Conseil déclare qu’aucun maître maçon ne peut garantir si longtemps que les dalles qui supportent des objet lourds ne se descellent pas.

1700 (23.3.), Protocole de la tribu des Maçons (XI 233)
Herrn Theophili Gollen geschiedene Haußfrau Clagt contra Meister Michael Gackhen
(f° 155) Diengstags den 23.ten Martÿ 1700 – Herrn Theophili Gollen geschiedene Haußfraw Clagt contra Meister Michael Gackhen den Maurer, daß Vor Vier Jahren beclagter Ihro ein frantzösisch Cammin gemacht, und in ein anders eingeführt, daß es continuirlich rauchtet, und weilen Sie Ihme Vor andere arbeith noch dreÿ thaler schuldig, so will Sie Ihn so lang nicht bezahlen biß beclagter Ihro solch Camin Verbeßere und Zurecht macht, bitt also Ihne Gackhen darzu anzuhalten.
R. sagt, es habe der Fraw Clägerin Mann ein solches Cammin also haben wollen und Ihme Volgen müßen, Zue deme wehre es Ihme auch schon lengstens mit 10. fl. bezahlt worden, und wann es Ihrem geschiedenen Ehe Mann nicht also beliebig geweßen wehre, würde Er Ihm seinen Zedul am 10. Xbr. 1696. nicht bezahlt haben, Verhofft daß Clägerin Zur bezahlung seiner forderung angehalten werden würdt.
Erkandt daß Herr Stebler Vnd Herrr Logel auff den augenschein gehen, und wider referiren sollen, wie Sie es befunden, als dann ferner ergehen solle w. recht sein würdt.

(f° 157-v) Dienstag den 8. Junÿ 1700 – Bescheid
In Sachen herrn Johann Theophili Gollen geschiedener haußfrawen Clägerin, Contra Meister Hans Michael Gackhen den Maurer und Steinhawer, auch burgern allhier, beclagten ist uff herrn Johann Heinrich Stäblers und H. Johann Carol Logels, beeder am 23. Martÿ nechsthien abgeordneten Deputirten eingenommenen Augenschein und darüber abgelegten relation, auch beclagtem Zugemuthete undt würckhlich abgelegte handtrew, daß H. Goll solches streitige Camin also hatt haben wollen, Erkandt, daß fraw Clägerin, Ihne beclagten umb noch restirende forderung ohne ferneren vorenthalt Zu bezahlen schuldig, die bißherige Costen aber compenirt sein solle,.

(f° 161) Dienstags den 7. Septembris – Meister Hannß Michael Gack, der Maurer und Steinhawer, belagt sich, daß herrn Johann Theophili Gollen, geschiedene Hausfraw dem beÿ dießem löbl. Gericht, am 8. Junÿ nechstien ergangenen bescheidt bißhero keine parition geleistet, und als Er Sie Vor Ihr Gnd. den Regierenden H. Ammeister citiren laßen, so ist daselbsten die sach am 28. Julÿ nuperi, weilen Sie beclagte einen andern Augenschein begert, wider Vor dießes Löbl. Gericht remittirt worden, derowegen Er ihro Zuerscheinen Vorgebieten laßen, und weilen Sie außgeblieben und nicht erschienen, alß bittet Er Ihme behülfflich Zu sein, daß Er Zu seiner bezahlung gelang. möchte.
Erkandt, weilen citirte nicht erschienen und auch keinen andern augenschein begert hatt, daß es beÿ obigem bescheidt Vom 8. Junÿ sein ohngeändertes Verbleiben haben solle.

(f° 161) Dienstags den 9. Novembris 1700. – erschienen herrn Johann Theophili Gollen, geschiedene Hausfraw, per Herrn Joh: Adam Gollen Dd. und Procuratorem, Ca. Meister Hannß Michael Gackhen,den Maurer, sagte daß Sie mit Vorigem bescheidt so weith Zufrieden, weilen beclagter handtrew darüber abgelegt, so müßte Sie Ihro dann wehr und wohl geschehen laßen und davon weiters nichts mehr gedencken, de novo aber hette eine andere Clag, d. Er beclagter Ihro auch eine trückheneÿ mit blatten belegt, die Zwar lang genug geweßen wehren, Er hette aber dieselbe Verkürtzert und gebachene Stein dar Zwischen eingelegt, d. Ihro ein solches höchst schädlich wehre, wolte doch keine weitläuffigkeit weiters begehren, als wann beclagter dießer newen Clage wegen, sich mit dem Vorigen in güthlichen Vergleich einließe und setzte.
R. sagt, daß es schon Vier Jahr daß solches geschehen v, und hette der eine Nachbar sich darwider beschwert, und dahero hatt es anderst eingeichtet werden müßen, wie Er dann solches auch Verkütt und dabeÿ gethan was Recht geweßen, neben deme hette Sie Clägerin, das gänglein oder trückenneÿ mit Pomerantzen Kübel bäumen und anderen beschwert, daß sich die Stein Wohl umb etwas möchten Von einander gethan haben, daß das undere gebälck oder Rigelwandt umb etwas schaden gelitten und ist fraw Gollin dazumahlen mit Ihme Zufriden geweßen, und solche newe Clag Vormahls nicht gehabt, also aller erst dadurch habe, und es also E. E. Gerichts übergeben haben will. Warauff
Erkandt, weilen Kein Maurer uf Vier Jahr wegen einer solchen trückheneÿ, in specie wegen der Verküttung so seithero underlaßen worden, nicht garantiren kahn, und auch umb andere ursachen willen, die sach dahin vermittelt worden, daß Gackh dafür Zustehen, nicht schuldig, Vor überige der Vorigen sach ist, die Fr. Gollin dahien condemnirt worden, d. Sie Gackhen Vor seine forderung und außgelegte uncosten annoch 3. fl. Zuerlegen schuldig sein soll.

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison au marchand Hubert Rouyers

1700 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 211-v
Mad. Ester Marie Goll née Hessin assistée de Mons. Baudoin, Lieutenant de Cavallerie
bail au Sr Hubert Rouyers, marchand et manant de cette ville (signé) Hubert Rouyers
dans la maison de sa demeure Scize en cette ville rue des Serruriers, les appartemants et commodités Suivantes, Scavoir Une boutique d’en bas, un poëlle et une cuisine, le tout tenant ensemble, Plus un cabinet joignant à la salle du billard, avec un petit cabinet tenant a la grande cuisine et la grande cuisine commune pour faire la laissive, ensuite deux petites caves, depuis la sale avec les trois billards qui y sont, avec le jeu du trou madame, y compris quatorze masses, Scavoir trois grandes et onze petites, ensuite une douzaine de billes, Ce présent bail fait pour un an à commancer du dizieme jour du mois d’Avril qui vient à raison de 160 florins ou 80 livres de Strasbourg

Marie Esther Goll loue une cave à Jacques Vanesme, traiteur au Lion d’or

1701 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 439
De Esther Goll née Hæssin assistée du Sr Jean Charl Leopard l’ainé son Curateur
bail au Sr Jacques Vanem, traitteur au Lyon d’or
Une cave Scavoir la plus grande audessous de la maison de sa demeure Scize en cette ville rue des Serruriers /:Schlossergass:/ avec six gros tonneaux, pour trois années consécutifes à commencer à S. Michel de l’année courrante – pour un loyer annuel de 20 escus faisant 15 livres de Strasbourg

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison au tailleur Charles Dubourg

1702 (19. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 427
Dame Marie Ester Gol née Hessin assistée du Sr Jean frederic Redwitz Notaire son Curateur
bail à Charles dubourg mre Tailleur d’habit
dans sa maison sçize icy rüe nommée Schlossergaß tenant d’un côté à Altenbourguer orfeure de l’autre à Madame Genevieve Zeisolphin par derrière au poele des Mareschaux les appartements et commodités suiuants, Sçavoir dans le corps de logis du milieu tous les appartements d’embas, de plus la cuisine à côté en outre un grenier sur le derriere et une caue le tout occupé actuellement par le preneur pour trois années à commencer à la St Michel de cette année – La propriétaire se reserue la permission /:pour le Sr Joseph Bronsal perruquier à ce présent et acceptant:/ de faire sa lessive dans la susd.te cuisine – pour un loyer annuel de 100 livres tournois

Marie Esther Goll loue une autre partie de sa maison au perruquier Joseph Pronsal

1702 (19. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 428
Gollin comme dessus assistée de son Curateur comme dessus [Dame Marie Ester Gol née Hessin assistée du Sr Jean frederic Redwitz Notaire son Curateur]
bail au Sr Joseph Bronsal perruquier (si fr. pronsal)
dans sa maison comme dessus [sçize icy rüe nommée Schlossergaß tenant d’un côté à Altenbourguer orfeure de l’autre à Madame Genevieve Zeisolphin par derrière au poele des Mareschaux] les appartements et commodités suiuants, Sçavoir une boutique d’embas sur le deuant un poele attenant plus la cuisine aussy attenant, En outre une petite chambre sur le derriere et une petite caue le tout occupé actuellement par le preneur, Pour deux ans à commencer au premier Decembre de cette année – pour 45 ecus faisant 33 lb valeur de Strasbourg

Marie Esther Goll loue une cave à Jeanne Barbe Defau femme du casernier Gaspard Renard

1704 (29. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 655
Delle Marie Ester Hess femme de Theophile Goll orfeure separée d’auec Luy assistée du Sr Jean Frédéric Redwitz Notaire son Curateur
bail à Delle Jeanne Barbe Defau femme du Sr Caspar Renard Casernier
une Caue de deuant dans sa maison Sçituée icy rüe des serruriers toute entiere, pour un an à Commençer à Noel 1704 – pour un loyer annuel de 54 livres tournois

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison à Pierre Guillemin, employé dans l’extraordinaire des guerres

1705 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 689
Dlle Marie Ester Goll née Hess assistée du Sr Jean Frederic Redwitz Not: son curateur
bail au Sr Pierre Guillemin employé dans l’extraordinaire des guerres
dans sa maison sçituée icy ruë des serruriers les appartements et commodités suiuvantes, Sçavoir le premier etage sur le deuant tout entier, Item une portion de caue et un grenier au dessus de L’Ecurie, auec la permission de faire le lessiue dans la Cuisine pour un an à Commençer à la St Michel 1705 – pour un loyer annuel de 150 livres tournois

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison à son voisin l’orfèvre André Altenburger en l’autorisant à ouvrir une porte dans le mur qui sépare les deux maisons

1708 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 436
Maria Ester Gollin geb. Heßin so Unbevögtigt mit beÿstand Balthasar Rafflauffs bedienten in der Holzscheüren allhier
in gegensein hrn andres Altenburgers Silberarbeiter
verlühen in ihr fr. Gollin allhier in der Schloßergaßen einseit neben Ihme Entlehner anderseit neben dem Zeisolffischen Hauß gelegenen Hauß, nachfolgende Gemach und Gelegenheiten, Nemlich das Undere große gemach auf lincken seiten davon mann in d. hauß gehet, so biß dato abgetheilt War, die Separation aber von Ihr Gollin weggethan word. sambt dem darbeÿ befindlichen in d. hoff sehend Küchlein Maßen solche hn Pronsal Peruquenmacher seithero in lehnung gehabt, so dann Platz im vordern Hoff zum holtz so viel als er Entlehner wird legen können, auff 4 Jahr lang anfangend auff Michaelis 1708 – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
Auch ist verglichen, 1. daß Ihme Entlehner erlaubt sein solle durch die Maur, welche seinen lad. und obged. entlehntes gemach separiret, eine thür auff seinen Costen zumachen damit er durch ged. seinen laden in bem. gemach ohngehindert gehen kan, 2. Wan obged. Separation welche Sie verleiherin hin weggethan aber doch noch auff d. bühnen stehen hat Er H. Endlehner zu seinem Gebrauch Verlangen solte, daß sie Gollin in solche Ihme ohn verzüglich ohne einige entgeld abfolgen laßen solle Umb sich deren in ged. entlehnten Gemach zeit wehrender lehnung zu bedienen, 3. Im fall obged. auß in Wehrende lehnung solte Verkaufen werden (…)

Marie Esther Goll loue une partie de sa maison à François César Niceron, employé dans les affaires du Roi

1708 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 501-v
Maria Ester Gollin beÿständlich H. Joh: Carl Leopards haußh. im Zollkeller weilen ohnbevögtigt
in gegensein H. François Cesar Niceron employé pour les affaires du Roy
in ihrem hauß allhier in der Schlossergaß diejenige gemach so Hr Dubours ingehabt nemlichen zweÿ Stuben ein Cämmerlein in der mitten gelegenheit im Keller oben auf platz zu holtz und einen Kasten wäsch zu hencken und verspricht die verleiherin ihm eine Kuch machen zu laßen, auf 2 jahr lang anfangend auf Mich. 1708 um einen jährlichen zinß nemblich 130 fl.

Nouveau bail au profit du perruquier Joseph Pronsal

1710 (ut supra [23.10.]), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 636-v
Marie Ester Hess assistée du S Daniel Pfeffinger etudiant en Theologie n’ayant point de Curateur (signé) Maria Ester gollin
bail à Joseph Pronsal perruquier
dans sa maison Sçituée icy ruë des serruriers dans le corps de logis au milieu tant le bas une caue au dessous un grenier sur le derrière de la maison et le permission d’entrer dans la cuisine Commune pour la Lessive, pour 3 années à Comançer a La St Michel passée – pour un loyer annuel de 200 livres tournois

Nouveau bail au profit du même

1711 (26.10.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 613-v
Marie Ester Goll assistée du Sr Jean Charle Leopard
bail à Joseph Pronçal perruquier
sa Cave sur le derrière de la maison sçituée in der schlosser gas avec 6 gros tonneaux pour 6 ans à commencer du 15 Nov. 1711 – pour un loyer annuel de 70 livres tournois

Marie Esther Goll loue une cave au marchand Jean Adam Müller l’aîné

1711 (ut supra [26.10.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 614
[ut immediate supra] Marie Ester Goll assistée du Sr Jean Charles Leopard
in gegensein Joh. Adam Müllers sen: handelsmanns
in ihrem hauß allhier in der Schlosser [verso de page] den vörder Keller ohn Vass, auf 6 jahr lang anfangend von heut dato ahn, es soll dem entlehner erlaubt seÿn den brunnen im hoff zu brauchen, um einen jährlichen zinß 12 ß

Marie Esther Goll loue une cave au vitrier Sébastien Eckel

1712 (ut ante [26.7.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 525-v
Esther Gollin geb. Hessin beÿständlich H. Ludwig Mena U.J.Ddi auch Procuratoris beÿ E Kleinen Raths weilen unbevögtigt
in gegensein Sebastian Eckels glaßers
entlehnt, in ihrem hauß alhier und der Schlossergass den vordern Keller ohn vass, auff 5 Jahr lang anfangend ahm 26. oct. nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Nouveau bail au profit du tailleur Charles du Bourg

1713 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 299
Dlle Ester Hess femme de Theophilus Golle assistée du Sr Jean Bernard Hennenberg greffier au petit Senat d’icy
bail à Charles du Bourg tailleur
dans sa maison sçituée icy rüe des serruriers tenant d’un côté à Mr Brackenhoffer d’autre – La boutique sur la rue auec La Cuisine attenante, Item un petit poele sur le derrière, Item une chambre au second etage au grneier dans le corps de Logis sur le derrière, Item une place dans La caue séparée pour 3 ans a commancer à la St Jean 1713, Item la permission de faire La lesiue dans La cuisine – pour un loyer annuel de 220 livres tournois

Marie Esther Goll meurt en 1714 en délaissant pour héritière sa sœur Anne Marie Hess épouse du notaire et receveur de la douane Jean Charles Leopard mais seulement à titre de fidéicommis, la propriété devant revenir à la fabrique Saint-Nicolas. Les experts estiment la maison 1375 livres. L’actif de la succession s’élève à 1658 livres, le passif à 385 livres et les différents legs à 585, de sorte que l’héritière jouira d’une somme de 452 livres.

1714 (27.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 31)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. die Viel Ehren: und tugendreiche Fraw Esther Gollin gebohrne Heßin, Herrn Theophili Gollen, des von hier verzogenen Silber arbeiters geschiedene Ehefraw nunmehr seel: nach ihrem Montags den 19.ten Martÿ Jüngsthin, aus dießem mühsamen leben genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren, des Wohl Ehrenvest und vorachtbahren Herrn Johann Carol Leopardts, wohlverordneten beampten im Zollkeller und burgers alhier, alß Ehevogten der auch Viel Ehren und tugendreichen Frawen Annæ Mariæ Leopardin gebohrne Heßin, so der abgeleibten seel: leibliche Schwester, und dahero ab intestato rechtsmäßigen Erbin wäre, es ist aber dieselbige Crafft hernach inserirten Testamenti Zwar Zur Erbin instituirt worden, doch nur also das Sie allein von der ererbten Massa das Jährliche interesse genießen, nach dero todt aber die Pfarr Kirch Zu St. Niclaus alhier Ihro in solcher Erbschafft de meliori substituirt sein solle, alldieweilen aber Sie Fraw Leopardin bekandter blödigkeiten halber nicht außgehen: noch beÿ dießem geschäfft erscheinen Können, alß hat sie gedachtem ihrem Herrn Eheliebsten deßwegen in optima forma Commission ertheilt
Actum Straßburg in fernerer Gegenwart H. Johann Georg Wolff, Metzgers und burgers alhier und beÿ vorgecahhter Kirch Zu St Niclaus geordneten fabric Pflegers, dienstags den 27. Martÿ 1714.

In einer alhie zu Straßburg In der Schloßergaßen gelegener: und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung Ist befunden Worden wie volgt
Hausrath, In der bühnen, In des officiers Knecht Cammer, Im haußöhren, In der Wohnstuben, In des officiers Stub
Eigenthumb ane einer behaußung. Ein Vord: mittler Und hind.hauß, s. 2. höfflein, bronnen Und allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörd. und gerechtigkeiten, geleg. alhier zu Straßburg in der Schloßergaßen, eins: neben Mons. Himmler dem Peruquenmacher, ands. neben H. Eliæ Brackenhoffern, Cancelleÿ verwanthen, hinden Zum theil vff die Schmid Zunfft stub, und zum theil auff die Papellierische fraw Wittib, davon gehen Jährlich. 35. lb d. zinß à 4. pro Cento Hern Johann Sebastian Gambßen alten Ammeistern & vff den 6.ten Maÿ, ablößig in Capital mit 875 lb. Sonsten freÿ ledig und eigen, durch die Geschwornene Werckmeistere alhier Vermög überschickten Schatz Zeduls æstimirt pro 1375. Über vorstehende behaußung besagt 1. t. Perg: Kauffbrieff mit d. Statt Straßburg anhang: Cancelleÿ Contractstuben Insigel dedato 19. Martÿ Anno: 1689, Ferners ein alt. Perg: dito mit diot de dato 25. Jan: 1684
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 124, Sa. der leeren Vaß 41, Sa. des Silbers 10, Sa. des Guldenen rings 17, Sa. des Pfenningzinß hauptguths 89, Sa. des Eigenthums ane eiiner behaußung 1375, Summa summarum1658 lb – Sa. der Schulden 385 lb, Nach solchem abzug verbleibt 1373 lb
Legata ad pias causas 525 lb, Restiret 848 lb, Legata, So die Erbin zu genießen 452 lb – Beschluß summa 1373 lb
Copia Testamenti Clausi, beschehen Sontags den 11. octobris Anno 1711, [unterzeichnet] Estdergollin – Jacob Christoph Pantrion, Notarius publicus
Copia Nach Disposition

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les légataires non bourgeois doivent régler un droit de détraction
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 72-v
(Steltz, F. N° 1227) Weÿl. Fr. Ester gebohrner Heßin Theophili Gollen des von hier verzogenen Silberarbeiters geschiedener Ehefrauen, burgerin alhier Verlassenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 67, 1373. lb. 14 ß 3 d, die machen 2700. fl, dieselbe verstallte hingegen 3000. fl.
Abzug. Die frembd und alhier ohnverburgert Legatarÿ sollen von 85. lb. der Abzug mit 8. lb
dt. 23. april. 1714

Anne Marie Hess assistée de son mari Jean Charles Leopard vend la maison 3 625 livres au marchand Jean Claude Coquard

1714 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 639
(3625) frau Anna Maria geb. heßin beÿständlich H. Joh: Carl Leopardt beampten im Zollkeller ihres mariti
in gegensein Jean Claude Coquardt handelsmanns und burgers
eine behausung bestehend in einem vorder: mittel: und hinter: hauß sambt zweÿen höfflein brunnen und allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier in der Schlossergass, einseit neben himmler dem peruquenmacher anderseit neben H. Eliæ Brackenhoffern hinten theils auf die Schmidt zunftstueb theils auf Papelische frau wittib – um 3625 pfund

Originaire de Voray en Franche-Comté, le marchand parfumeur Claude Coquard épouse en 1701 Marguerite Bartel native de Henridorf près de Phalsbourg ; contrat de mariage, célébration
1701 (17.6.), Not. Contz (6 E 41, 32)
(Traité de Mariage 17 juin 1701) furent presens En personne Claude Coquard Marchand Parfumeur en Cette ville dud. Strasbourg Majeur et usant de ses droits natif de Vorests en Franche conté fils de Denis Coquard, Entrep.r des fortificâons et de Marie therese rodolfe sa mere, d’une part
Et d’autre Marguerite Bartel fille maieure Et Usant de ses serrages natife de aridolfe proche phalsbourg file de Jean Bartel fermier d’aridolfe et d’anne Corby sa mere
Lesd. parties ont declaré qu’Elles portoient En mariage sçavoir Led. Jean Claude Coquard sa Marchandise et Boutique de la Valeur et Estimation de 200 livres
Et la de Marguerite Bartel En biens en fins Scitues a aridolfe La valeur de 300 livres et en Argent comptant la somme de 363 livres (signé) Jean Claude Cocquard, + marque de la future épouse, x marque de Jean Bartel
(acte du 6. juin) Jean Bartel marchand en cette ville travaillant dans les Viures a cédé à Marguerite Bartel sa sœur sa part et portion des droits successifs competant dans les successions de leurs feux père et mère à henrÿdolff dans la Lorraine allemande

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 21)
Die 21 Junÿ 1701 honestus Juuenis Joannes Claudius Cocard et Margarita Bertel ex Henrydorff in Lotharingia (…) Matrimonio iuncti sunt (signé) Jean Claude Coquard, + signum sponsæ (i 13)

Jean Claude Coquard et Marguerite Bartel qui ont alors quatre enfants deviennent bourgeois le 6 septembre 1714 à la veille d’acheter la maison
1714, 3° Livre de bourgeoisie p. 1295
Jean Claude Coccard auß Franche Comté der Handelsmann Weil: Denis Coccard Entreprenneurs des fortifications daselbst hint. Sohn Vnd sein Fr: Margareth Bartel V. Pfaltzburg erkauffen das burgerrecht p. 6. Gold fl. 16. ß, bringen 4 Kinder mit so beÿ ordnung gelaßen worden, wird zum Spiegel dienen, Jur. d. 6. 7.bris 1714.

Jean Claude Coquard loue une cave au tonnelier Mathias Breslé

1720 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 293
H. Jean Claude Coquard Kauffmann
in gegensein H. Mathiß Breßle des Küffers
entlehnt, In sein H. Coquard allhier ahne der Schlossergaß neben dem zeÿsolffischen hauß ligenden wohnhauß den unter dem vor deren hauß befindlich. und auf die gaß gehend. Keller sambt 8 stück faß beÿ 374 ohmen haltend und denen liegerlingen, auff 6 jahr lang anfangend Joh. Bapt. 1720 – um einen jährlichen Zinß nemlich 22 pfund

Jean Claude Coquard loue une cave au marchand Jean Georges Feigler

1727 (30.9.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 552-v
H. Claude Coquard handelsmann
in gegensein H. Johann Georg Feigler auch handelsmanns
entlehnt, In seiner allhier ahn der Schloßergaß einseit neben H. XXI. Elias Brackenhoffer anderseit neben himmler dem peruquenmacher gelegenen behausung Einem gewölbten Keller unter dem Vorderhauß auff die gaß sehend sambt 8 darinn befindlichen 400 ohmen haltenden Faßen und dero Liegerlingen – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend von allererst verfloßenen Michaelis – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Le marchand Philippe Hammerer qui vient d’acheter la maison qui portera ultérieurement le n° 21 passe avec Jean Claude Coquard un accord relatif aux ouvertures dans le mur qui sépare leurs deux propriétés. Philippe Hammerer conserve le droit d’ouvrir douze fenêtres vers la propriété Coquart en les garnissant d’un grillage sans qu’elles puissent être assombries par une nouvelle construction. Jean Claude Coquard devra par contre murer deux fenêtres qui donnent dans la propriété Hammerer

1733 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 347
H. Philipp Hammerer der handelsmann an einem
und Jean Claude Coquard auch handelsmann am andern theil
demnach H Hammerer in seiner am 14. hujus von weÿl. Johann Bernhard goldarbeiter Tochter und Enckeln erkaufft: neben ihm Coquard gelegene Behausung und zwar in der zwischen ihme H. Hammerer und ged. H. Coquard gemeinschaftlichen beede häußer scheidenden Maur 12 in sein Coquard vordern hoff sehende Fenster hat, denen zweÿ in der Bauch Kuchen und eines in der profeÿ unten auff dem boden, Ferner eine stiege hoch in der Kuchen vier und in einer daran liegenden Kammer zweÿ, so dann in der zwo stiegen hoch liegenden Kuchen ein Fenster und zweÿ Stechfensterlein sich befinden, als haben sie sich dießer 12 Fenster halben für sich beederseits Erben und die jeweiligen eigenthums besitzere ihr beeder häußer, dergestatlten vereinbaret, daß ged. 12 Fenster in der höhe und breitte wie sie anjetzo sind zu allen zeithen jure und titulo servitutis verbleiben, jedoch von seithen H. Hammerers vergremßt und vergittert weder höher noch breitter gemacht aber auch durch die proprietaris Coquardischen haußes weeder durch gegenbau, verstellung noch in andre weiß verfinstert werden sollen, dahingegen diejenige zweÿ fenster und der vorschuß so sich in einer eine stiege hoch in Coquardischen hauß liegenden in deßen hindern hoff gehenden stub befinden, und in sein H. Hammerers hindern hoff sehen, abgebrochen und zugemaurt und ahne die stell erwehnter zweÿer fenster ein einiges in der höhe von der stub decke angerechnet 4 schuh und in der breitte zweÿ und einen halben schueh habendes und zwar von der Riegelwandt ged. Stueb 6 schueh ent:ferntes fenster, in die gleiche Maur eingebrachten und auff H. Hammerers uncösten verfertiget, vergrembßt und vergittertn aber weder durch ihn noch seine nachkommende auff keine weiß verbauen oder sonst verfinstert werden solle, hinwieder aber sollen zweÿ in der neben erstgemeldter stueb gelegenen kleinen Camin Kammer befindliche in besagten H. Hammerers hindern hoff sehende kleine fenster auff dießes letztern costen gäntzlich zugemaurt werden und verbleiben. das jenige 4 schueh 7 zoll hohe, und 2 schuh 7 zoll breitte fenster aber so sich in einer kleinen neben erstged. Camin Kammer gelegenen Stueb befindet soll in jetzigem stand ohnverändert gelaßen jedoch durch H. Hammerer vergittert und ohnverfinstert zu allen zeithen gelaßen werden – H Hammerer ihme H Coquard 30 pfund

Marguerite Bartel meurt en 1741 en délaissant deux fils. L’inventaire est dressé grand rue dans une maison face à l’auberge au Cep de vigne
1743 (24.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 5) n° 108
Inventarium über Weÿl. Frn. Margarethæ Coquard gebohrner Barthelin Sr Jean Claude Coquard deß handelsmanns undt burgers dahier gewester Ehefrau seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 20. Januarÿ deß abgelegten 1741. Jahrs zu Plamon genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf Ansuchen dero ab intestato nachbenambster Herrn Erben, nahmentlich Jacques Coquard Capitaine unter dem regiment royal Baviere so unverburgert undt absens in deßen Nahmen herr Johann Georg Bauer Schuhmacher E.E. großen Raths alten und E:E: Kl. Raths jetzmahligen beÿsitzers alß auß Ehren gedachten Kleinen Raths Mittlen hierzu insonderheit abgeordneten Herrns, 2.tens herrn Jacques Louis Coquard greffier in allhießiger Einquartierung undt burger dahier – Actum Straßburg auff Sambstag den 24.ten aug. und zwar in absentia deß herrn wittibers

Inn Eine dahier in der langen Straß geg. der Gastherrberg Zum Reebstockh über gelegene behaußung hat sich befunden wie volgt
Norma. Copia der Eheberedung – Copia E.E. Großen Raths beschieds vom 17. aug. 1743 diese Verlassenschaffts Inventation betrefend
Volgt nun die beschreibung dieser Verlaßenschafft ahne und vor sich selbst, Sa. effecten undt hausraths 100, Sa. Krämer und bebell* wahren 19, Summa summarum 119 lb – Schulden (beede Herren Erben zu Ergäntzen prætendiren) 140 lb, Übertreffen also beedereits Ergäntzungs Posten diese Verlassenschafft dem Werth anschlag nach umb 20 lb – Summa der Stall Summ 154 lb
Eheberedungs Copeÿ (…) à Strasbourg le 17 Juin 1700 – Contz, not. royal

Jean Claude Coquard et Marguerite Bartel vendent la maison 3 375 livres à Jean Daniel Wetzel, assesseur des Quinze

1738 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 693-v
H. Jean Claude Coquard der handelsmann und Fr. Margaretha geb. Bardel
in gegensein S.T. H. Ein und Zwantzigers Johann Daniel Wetzel
Eine Behausung bestehend in Vorder: Mittel: und hinder gebäuden zweÿen höffen, Bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Schloßer gaß, einseit neben weÿl. S.T. H. Ammeister Elias Brackenhoffer seel. Erben, anderseit theils neben Fr. Maria Elisabetha geb. Bernhardin Johann Andreas Möstel des goldarbeiters ehefrau theils H. Philipp Hammerer dem handelsmann hinten theils H. Johann Caspar von Hatsel Ecuyer Lieutenant Bailly du Grand baillage de Haguenau theils die Schmidts zunfft stub – dieselbe gegen obgedachtem H. Hammerers behausung mit der servitute Luminum et ne Luminibus officiatur vermög der in hiesiger C. C. Stub am 24. julÿ 1733 errichteten verschreibung beladen, als ein am 7. sept. 1714 erkaufftes guth – um 2750 pfund ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 625 pfund

Fils du secrétaire de la Tour aux deniers, le marchand Jean Daniel Wetzel épouse en 1715 Madeleine Salomé Gambs, fille du secrétaire des Treize
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 23, XXiiI)
1715 – Dominica XXII et XXIII post Trinit. proclamati sunt H. Johann Daniel Wezel der ledige handels Mann und Burger allhier H. Johann Georg Wezel, Hochmeritirten Secretarÿ auff allhiesiger Statt Pfenningthurn ehel. Sohn und Jfr. Magdalena Salome weÿl. H. Paul Gottfried Gambs U.I. Doctorj und beÿ dem Geheimen Collegio der Hh XIII. gewesenen hochmeritirt. Secretarÿ nachgel. Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 27. Nov. [unterzeichnet] Johann Daniel Wetzel als hochzeither, Magdalen Salome Gambßin als hochzeitherin (i 27)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports place des Cordeliers dans la Tour aux deniers. Les apports du mari s’élèvent à 2 352 livres, ceux de la femme à 1 254 livres
1716 (22.4.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 39) n° 1313
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Wohl Ehrenveste und Wohlvorgeachte Herr Johann Daniel Wetzel handelsmann und die viel Ehern undt tugendbegabte Frau Magdalena Salome geb. Gambßin, beede Ehepersohnen und burgere allhier einander in den Ehestand zugebracht und Vermög außgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hatten – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg den 22. Aprilis 1716.

In einer allhier Zu Straßburg nahe dem Baarfueßer platz gelegenen und zu der Statt Pfenningthurn gehörigen behausung sich volgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ Des Herrn unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 248, Sa. Pferds 25, Sa. Silbers 96, Sa. Goldener Ring 168, Sa. baarschafft 1812, Summa summarum 2352 lb
Der Frauen eÿgenthümbliche Nahrung, Sa. haußraths 203, Sa. Silbers 88, Sa. Goldener Ring 393, Sa. baarschafft 69, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 500, Summa summarum 1254 lb

Jean Daniel Wetzel est élu assesseur des Vingt-et-Un en 1737, des Quinze en 1739, prévôt à la tribu des Drapiers en 1740 et marguillier en 1743.
1737, Conseillers et XXI (1 R 220)
Zu einem Ein und Zwantziger Wird H. Johann Daniel Wetzel erwöhlt. 588
1739, Conseillers et XXI (1 R 222)
Zu einem Fünfzehner Wird H. XXI. Johann Daniel Wetzel erwöhlt. 495.
1740, Conseillers et XXI (1 R 223)
Zu einem Ober Herrn beÿ E. E. Zunfft der tucher Wird H. XV. Wetzel erwöhlt. 107.
1743, Conseillers et XXI (1 R 226)
Zu einem Ober Kirchen: Pfleger Wird H. XV. Johann Daniel Wetzel erwöhlt. 262.

Jean Daniel Wetzel meurt en avril 1749 en délaissant dix enfants. Les experts estiment la maison 5000 livres. La masse propre à la veuve est de 5 358 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 3733 livres, le passif de 13 415 livres

1749 (4.8.), Not. Lang le jeune (Jean Daniel, 26 Not 1) n° 11
Inventarium über Weÿland des hoch Edelgebohrnen, Fromb, Fürsichtig und hochweißen herrn Johann Daniel Wetzels des beständigen Regiments derer herren XV.en geweßten hochverdienten Mitglieds löbl. Stiffts der Carthauß hochansehnl. Pflegers der Evangelischen Gemeinde zum Jungen St. Peter hoch verordneten Oberkirchen pflegers und E. E. Zunfft der Tuchen hochbiethender H. Oberherrn nunmehr seeligen Verlassenschafft – nachdeme dem Allweißen Rath Schluß Gottes zufolg, den 1.ten aprilis jüngsthien, von dem lieben Gott aus dießer Zeitlichkeit in die seelige Ewigkeit abgefordert worden, Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der hoch Edelgebohrnen und hoch tugendgezierten Fr. Magdalenæ Salome Wetzelin, gebohrner Gambsin des seelig Verstorbenen Hn XV.ers hinterlaßener Frau Wittib mit zuziehung des hoch Edel gebohrnen Gestreng, Fürichtig und hochweißen H. Friderich Kornmanns des beständigen geheimen Regiments derer Herren XIII.rn hochmeritirten Assessoris, ihres hierzu erbettenen Hn Assistenten, nicht weniger des seel. Hn. XV.ers mit hoch Edel gedachter seiner Frauen Eheliebstin und nunmal. Wittib ehelich erzeugter Herren Söhne, Frauen und Jgfr. töchtere, insonderheit S. T. Hn Johann Georg Wetzels wohlbestellten Secretarii adjuncti beÿ löbl. Policeÿ Gericht auch Substituti ordinarii auff löbl. Cancelleÿ und burgers allhier des ältern Hn Sohns Sowohl im Nahmen seines als geschwornen Vogts der annoch minderjährigen H: Sohns und Jgfr. töchter seines Geschwisterde (…) durch Sie die hinterbliebene Fraw Wittib und die muthjahre Hh. Söhnen, Frauen und Jgfr. Töchter selbsten wie auch Susannam Knollin von Carlsruh gebürtig, die dienstmagd im hauß (geäugt und gezeigt) – so beschehen zu Straßburg auff Montag den 4.ten Aug. et Seqq. diebus A° 1749.
Des seelig Verstorbenen Hn XV. mit eingangs hoch Edelermelter seiner hinterbliebener Fr. Wittib ehelich erzeugte herren Söhne Frauen und Jungfrauen töchtere seind folgende, Salvis ubique titulis, 1. Herr Johann Georg Wetzel beÿ löbl. Policeÿ Gericht wohlbestellter Secretarius Adjunctus und löbl. Cancelleÿ Substitutus ordinarius, 2. Frau Magdalenam Salome, weÿl. S.T. Hn Johann Paul Gambßen geweßten Handelsmanns und E: E: kleinen Raths alten wohlverdienten Assessoris nun seel. hinterbliebene Frau Wittib so mit assistentz H. Johann Kürßners Vornehmen Handelsmanns und wohlgedachten E. Kleinen Raths nunmaligen wohlansehnl. beÿsitzers dem Geschäfft persönl. abwartete, 3. H. Johann Daniel Wetzel, lediger Handelsmann zu Leipzig wohnhaft, so abweßend, 4. Frau Cæcilia Felicitas Wetzelin, S.T. Hn Johann Ritters Junioris Vornehmen handelsmanns und wohlbestellten Caissier des Allmoßens beÿ löbl. Policeÿ Gericht allhier, frau Eheliebstin, so mit beÿstand solch ihres eheh. persönlich zugegen, 5. Jungfrau Maria Elisabetha Wetzelin, 6. Herr Gerhard Friderich Wetzel, geweßter permier Lieutenant unter dem hochlöbl. Regiment Royal Suedois, so beede gleichfalls persönlich zugegen waren, Vorherige Sechß alle majorennes ihrer rechten genießend und daher ohnbevögtigt, 7. Jungfrau Ludovica Dorothea Wetzelin, 8. Jungfrau Maria Sophia Wetzelin, 9. Herr Gottfried Wetzel, Philosophiæ Cultor und 10. Jungfrau Margaretha Salome Wetzelin, Dieße Vier letztere minorennes und deßhalben mit obwohl gedachtem dero ältern Hn Bruder Hn Secretario Johann Georg Wetzel bevögtiget, so bereits den 16.ten Aprilis Jüngsthin beÿ E. Löbl. Vogteÿgerichts eingeschrieben auch beÿ E.E. Großen Rath eodem die confirmirt worden,

In einer allhier ane der Schloßer Gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behausung befunden worden, wie folgt
(f° 10-v) Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der undern bühn, Auff dem gang daselbsten, In dem hindern Stockwerck und deßen appartements, Auff dem gang mittlern Stockwercks, In dem Schlaffzimmer mittlern Stockwercks, In dem Zimmer darneben, In dern obern Camin Cammer nembl. Stockwercks, In der Stuben darneben, In dem vordern Stockwercks und deßen obern Zimmern, In dem undern Camin zimmer mittlern Stockwercks, In der Wohnstuben, In der Kuchen, In dem Saal, In dem Keller
(f° 21-v) Eigenthum ane Häußern in und außerhalb der Statt gelegen. (T.) Erstlichen eine behaußung, bestehendt in vorder, mittel und hinder Gebäuden, zween Höffen, bronnen und Hoffstätt, mit allen übrigen deroselben Gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. zu Straßburg ane der Schloßer Gaß, einseit neben weÿl. S.T. Hn Eliæ Brackenhoffers gewesten hochverdienten Ammeisters und XIII.ers seel. Erben, anders. Zum theil neben H. Betzel, dem Silberträher, zum theil neben H. Johann Philipp Hammerers gewesten Handelsmanns seel. Wittib und Erben hinden theils auff H. von Flachßlanden hochfürstl. bischöfflichen Hoffraths Præsidenten Zu Zabern behausung und theils auff E. E. Zunfft der Schmidt zunfft stube stoßend, so über hernach und denen Passivis befindlich darauff hafftende Capitalien eigen, doch ist dieselbe gegen der Hammererischen behaußung mit der Servitute Luminum et ne Luminibus officiatur, vermög besonderer in allhießiger Cancelleÿ Contract Stuben am 24.ten julÿ 1733. errichteten Verschreibung beladen, und ist solche durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftlicher Abschatzung vom 8.ten hujus æstimirt und angeschlagen worden zu 6000 Gulden oder 3000 lb. Deßwegen vorhanden eine pergamentener in allh. Cancelleÿ contract stuben gefertigte Kauff Verschreibung weißend wie Anna Maria gebohrne Heßin H. Johann Carl Leopards, geweßten beampten im Zollkeller Ehefrau solche behaußung ane H. Jean Claude Coquard den geweßten handels M. allh. nun seel. Verkauffte, mit gemelter Contract Stuben anhangendem Innsiegel Versehen de dato 7.ten 7.bris 1714. Wie aber der seelig Verstorbene Herr XV. solche behaußung von gemeltem Hn Jean Claude Coquard ane sich erkauffet hat, weißet ein teutscher pergamentener in gemelter Contract Stuben gefertigter Kauffbrieff, mit deroselben anhangedem Innsiegel corroboriret datirt den 23. Xbris 1738.
(T.) Item eine behausung vor dem Fischer thor (…)
(f° 23) Garthen. Nemlichen ein Garthen außerhalb dem Fischerthor jenseith der Aubruck
(f° 31) Ergäntzung, Vermög Inventarii durch weÿl. H. Notarium Daniel Rohr auch seel. den 22.ten Aprilis 1716. auffgerichtet
(f° 40) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Eheberedung
Der Frau wittib ohnverändertes Vermögen, Sa. hausraths 90, Sa. lährer Faß 1, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 18, Sa. Goldener Ring 199, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 19*5, Sa. Gülth von liegenden güthern 757, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung (4151, Abzug, 3, Nach deren Abgang) 4147, Summa summarum 5560 lb, Schulden 201, Nach deren Abzug 5358 lb
Pro Nota. Es seind auch beÿ mehr wohlgedachter Fr. Maria Elisabetha Sonntagin gebohrner Von Stökken Ihro der Frau Wittib in Anno 1737. Verstorbene Frauen Mutter seel. Verlaßenschafft abtheilung verschiedene Posten (…) Ferner auff Frauen Anna Catharina gebohrne Sontagin H Jean Claude Demougé Ambtmanns der Graffschafft Harburg und Herrschafft Reichenweÿr Frauen Eheliebstin, Weiter auff Hn Johann Jacob Sonntags ihres letztern Ehehn. seel. gesambten herren v. frauen Erben
die übrige Rubricen und Effecten, Sie rühren gleich Von des Hn XV.ers seel. ohnveränderter oder theilbarer Nahrung her, in Ansehung die Frau Wittib auff dieße letztere Vorbehaltlich ihrer ohnveränderte Guths Ergäntzung und ander prætensionen bereits renunciret hat, beliebter Kürtze halben unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 249, Sa. lährer Vaß 3, Sa. Silbers 41, Sa. Golden geschmeids 9, Sa. Eigenthum ane Häußern 3300, Sa. Eigenthums ane einem Garthen 100, Sa. Erblehens 17, Sa. Schulden 13, Summa summarum 3733 lb, Schulden 13 415 lb, Theilbar Passiv onus 9681 lb – Endlicher Schulden Rest 4322 lb

Madeleine Salomé Gambs meurt en 1781 en délaissant huit enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans une maison place des Moulins qui appartient à l’une des héritières. L’actif de la succession s’élève à 406 livres, le passif à 240 livres.
1781 (17.12.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 968) n° 339
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und Tugendbegabten Fraun Magdalena Salome Wetzelin gebohrner Gambsin Weÿl. S. T. H. Johann Daniel Wetzel geweßenen XV.ers des beständigen Regiments Hochansehlichen Beÿsitzers wie auch vornehmen burgers allhier längst seel. hinterlaßener Fr. Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1781. – nach Ihrem den 17. Novembris dießen zu End lauffeden 1781.sten Jahrs genommenen tödlichen hientritt, Zeichnung – So geschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 17. Decembris Anno 1781.
Diie Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1.mo Weÿl. H. Johann Georg Wetzel geweßenen E. löbl. Policeÿ Gerichts Actuarÿ und Cantzelisten Ordinarÿ wie auch burgers allhier mit Fr. Mariä Dorotheä gebohrner Waltherin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte zweÿ Söhne, Nahmentlich H. Georg Daniel Wetzel, Major unter dem Königlichen Regiment Colmar und Hr Carl Friedrich Wetzel, der allhießige Cantzelist, bede ledigen Standts dannoch aber Majorennis, Welche dießer Inventur persönlich abgewartet und ihr Interesse selbsten besorget, in dem Ersten,
2. Weÿl. Fr. Magdalenæ Salome Outersoom gebohrner Wetzelin H. von Outersoom hauptmann unter dem Königlichen regiment Anhalt geweßener Fr. Eheliebstin so sich ohnfern Hagenau auf ihrem daselbstigen habenden Guth auffgehalten, mit längst Weÿl. Hrn Johann Paul Gambs geweßenen alten beÿsitzers E. E. Kleinen Raths und burgers allhier ihrem ersteren Eheherrn seel. erzeugter eintziger Sohn Nahmens S. T. H. Johann Daniel Gambs, Groß Major unter dem frantzösischen Königlichen Regiment Bourbonné, so mit S. T. Fr. Maria Felicitas gebohrner Lehé Verheurathet und auf Vorgedachtem Guth sich häußlich befindet, Und weilen derselbe sich beÿ gedachtem Regiment in America auffhaltet mithin abweßend, so ist beÿ dießem Verlaßenschafft geschäfft in deßen Nahmen erschienen der Ehren und Großachtbare Hr Johann Michael Hirschel, der Fischkäuffer und burger allhier als (…) abgeordneter H. deputatus (…) In den Zweÿten
3.tio Weÿl. Hn. Johann Daniel Wetzel geweßenen handelsmanns und burgers zu Dantzig mit auch Weÿl. Fr. Dorothea Christiana Schmidtin seiner geweßenen Ehegattin hinterlaßene ehelich erzielhte sechs Kinder Nahmentlichen Johann Friedrich, Dorothea Sophia, Christiana Carolina, Carl August, Johann David und Christian Gottlieb, so sambtlch majorennis seÿn sollen, so ohnverburgert In welcher Nahmen Vorgemelter Hr Deputatus ebenfalls deroselben Interesse observirt, In den dritten,
4.to Fr. Cæciliæ Felicitas Ritterin gebohrne Wetzelin, Weÿl. H. Johannes Ritter, des Allmoßen Caissier und burgers allhier hinterlaßene Wittib, beÿständlichen H. Friedrich Wilhelm Ritter des Unterschreibers in allhiesigem Waÿßenhauß, deroselben eheleibl. Sohns, welcher dann mit und beneben ihrem assistenten dieser Inventur in Persohn beÿgewohnt, in den Vierdten,
5.to Weÿl. Fr. Mariä Elisabethä Froschhammerin gebohrner Wetzelin, mit auch Weÿl. Mr Johannes Froschhammer des geweßenen Langmeßerschmidts und burgers allhier geweßener Ehefr. seel. in Zweÿter Ehe ehelich erzeugter eintziger Sohn Nahmens Frantz Jacob Froschhammer, so minorennis, deßentwegen dann dießem Geschäfft beÿgewohnt Johannes Froschhammer der Spengler und burger alhier, deßen geordnet und geschwohrner Vogt in den Fünfften,
6.to Fr. Ludovicam Dorotheam Stibritzin gebohrner Wetzelin, S. T. H. von Stibritz, Obrist Lieutenants unter dem Königlichen Regiment Von Anhalt Fr. Ehebiebstin, in dero Nahmen ist beÿ dießer Inventur erschienen H. Notarius Johann Philipp Ludwig Übersaal, (…) in den Sechsten,
7.mo Jungfrau Mariam Sophiam Wetzelin, so Großjährig in dero Nahmen als mündlich constutuirter Mandatarius hiebeÿ erschienen S. T. H. Joh. Michael Bühler, J. V. Ltus und Actuarius alhießigen löbl. Policeÿ Gerichts, (…) in den Siebenden, So dann
8.vo Weÿl. H. Gottfried Wetzel geweßenen Ambtchaffners zu Barr und burgers allhier, mit Fr. Margarethä gebohrner Dieboldin ehelich erzeugte Vier Minorennen Kinder, Nahmentlichen Margaretha, Sophia, Henrica, Wilhelmina und Carolina, deßentwegen hiebeÿ gegenwärtig war S. T. Mathias Ambrosius Mogg des beständigen Regiments derer Hh. Räth und XXI. hochansehlicher beÿsitzer, als deroselben geordnet und geschworener Vogt, welcher derp Interesse observirt, in den letzten und Achten Stamm Theil, Alle Acht aber von der Verstorbenen seel. Zurückgelaßene eheliche erziehlte Kinder, Enckel und ab intestato den Stämmen nach hinterlaßen Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Plönel gelegen und von Fr. Ritterin der einen Erbin bewohnenden behausung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 51 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 250 lb, Sa. Gülth von liegenden güthern 100 lb, Sa. Schulden &, Summa summarum 406 lb – Schulden 240 lb, Compensando 165 lb
Beÿ beschluß dann habe berichtlichen beÿzusetzen, daß die jenigen Erben als (…) so sich beÿ lebzeiten Ihrer Verstorbenen Fr. Mutter seel. verheurathet haben nach anzeig der übrigen Erben verschiedenes Ehesteurlicher weiß sollen erhalten haben, welches Sie dißorts zu Conferiren hätten
Copia Letzten Willens Verordnung
n° 340, Verkauf und Erlöß Register über Fr. Ceciliam felicitam Ritterin geb. Wetzel H. Johannes Ritter Wittib, den 16. apr. 1782

Liquidation de la succession
1786 (11.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1515) n° 24
Vergleich: Abteil: Ausweis: und Erörterungs Concept über Weiland S.T. Fraun Magdalenæ Salome Wetzelin gebohrne Gambsin, auch längst weiland S.T. Herrn Johann Daniel Wetzels, des beständigen Regiments Gnädiger Herren der Fünffzehner gewesenen hochansehnlichen beisitzers und burgers alhier zu Straßburg hinterbliebener Frau Wittib seelig Verlassenschaft
nachdeme vorernannte Fr. Fünffzehnerin Wetzelin den 17. Novembris 1781. das Zeitliche mit dem Ewigen seelig verwechselt hatte, und deroselben Verlassenschafft den 17. Decembris erstgedachten Jahrs durch weiland herrn Notarium Georg Friderich Nenter ordnungsmäßig inventirt, auch das darüber errichetet Inventarium den 9. Novembris 1782. auf Löblicher Stadt Stall und den 13. ejusdem mensis et anni bei Einem Löblichen Vogteigericht producirt und abgehandelt ware (…)
Der verstorbenen Frau Fünffzehnerin mit obgedachtem ihrem Eheherrn seelig ehelich erzeugte Kinder und derselben Enckel als ab intestato Erben sind, 1° Weiland herrn Johann Georg Wetzel gewesenen Allmend Secretarii und Kanzellisten mit frau Maria Dorothe gebohrner Walterin ehelich erzeugte bede Söhne mit Namen a) Herr Georg Daniel Wetzel Hauptmann unter dem Königl. frantzösischen Provincial Regiment Kolmar und Ritter des hohen Königlichenen Ordens vom Kriegs verdienst und b) Herr Carl Friderich Wetzel, Juris Candidatus, Welche bede großjährige Enkel Zwar einen achten Stammtheil an dieser Erbschaft zu fordern gehabt, da sie aber zufolg des vor mir Notario den 28.ten Maji 1785. passirten Actus auf die gros mütterliche Erbschaft renunciret mithin ihren Anteil denen übrigen Mit Erben überlaßen haben, als ist diese Succession unter nachgemelten Stämmen dermalen in sieben theile anzuteilen.
2. Weiland Fraun Magdalenä Salome Ourersoon gebohrner Wetzelin herrn N. Outersoon des hauptmanns unter dem Königlich frantzösischen Regiment Anhalt gewesener Frau Eheliebstin mit ihrem ersten Eheherrn weiland herrn Johann Paul Gambs Es. En. Kleinen Raths gewesener beisitzer und burger alhier ehelich erzeugt und hinterlassener einiger Sohn S.T. Herr Johann Daniel Gambs Obrist Lieutenant des Königlichen frantzösischen Fusgänger Regiment Auvergne und Ritter des hohen königlichenen St. Ludwig Ordens als Enkel vor einen siebenden Stammtheil, deßen Mandatarius ist nachgenannter herr Secretarius Friderich Wilhelm Ritter vermög einer vor denen herren Lefevre und Debayser beden Königlichenn Notariis Zu Lille in Flandern den 10. Maji 1785 passirten (Vollmacht),
3° Weiland herrn Johann Daniel Wetzel des gewesenen handelsmanns und burgers zu Danzig des verstorbenen Sohns mit auch weiland Frau Dorothea Christiana gebohrner Schmidtin seelig ehelich erzeugt und hinterlassenen sechs Kinder namentlich a) herr Johann Friderich Wetzel, b) Jungfrau Dorothea Sophia Wetzelin, c) Jungfrau Christiana Carolina, d) Herr Carl August, e) Herr Johann David und f) Herr Christian Gottlieb, diesen sechs Wetzelschen Enklen und vor einen siebenden Stammtheil Erben wurde Herr Notarius Philipp Ludwig Übersaal den 11. Decembris 1784. bei Einem Löblichen Vogteigericht zum Curatore ernannt,
4° Weiland Frau Cæciliæ Felicitas Ritterin gebohrne Wetzelin, auch weiland herrn Johannes Ritters des gewesenen Allmosen Caissier und burgers alhier hinterbliebener wittib vor einen siebenden Stammtheil, welche nach ihrer Frau Mutter der Erblaßerin und Zwar den 29. Januarii vorigen 1785.sten Jahrs verstorben und nachgenannte sechs Kinder zu erben hinterlassen welche jure representationis dero Stelle tretten als, a) Frau Magdalen Felicitas Lichtenbergerin gebohrne Ritterin weiland herrn Johannes Lichtenberger des gewesenen handelsmanns und burgers alhier seelig hinterbliebene Frau Wittib beiständlich nachbenannter Herrn Secretarii Friderich Wilhelm Ritters ihres anwesenden Herrn bruders, b) S.T. Frau Johanna Christiana Sophia von Nostitz gebohrne Ritterin S.T. Herrn Wenzeslai von Nostitz Kaiserlichen Hauptmanns Frau Eheliebstin, deroselben Mandatarius ist erstgedachter ihr Herr bruder Friderich Wilhelm Ritter, c) Frau Ludovica Carolina Wagnerin gebohrne Ritterin herrn Johannes Wagner des küblermeisters und burgers allhier Ehegattin, d) Herr Friderich Wilhelm Ritter, Secretarius des Löblichen Stifts Waisenhauses und burgers alhier, e) Herr Johann Michael Ritter der ledige Goldarbeitergesell so majorennis und sich dermalen in der Fremde befindet, f) Herr Mag. Gerhard Heinrich Ritter, dermaliger Secretarius S.T. Herrn Pfäffel, hofrath und Directore der Königlichenen Schule zu Colmar,
5° Weiland Fraun Mariæ Elisabethæ Froschhammerin gebohrne Wetzelin der abgeleibten tochter, mit auch weiland Meister Johannes Froschhammer dem gewesenen Langmesserschmidt und hiesigen burger ehelich erzeugt und hinterlassener einiger sohn Frantz Jacob Froschhammer, so minorennis, desselben dermaliger geordnet und geschworener Vogt ist Johann Heinrich Kiefer der Schwartzbecker und burger hieselbt, 6° Frau Ludovica Dorothea von Stiebritz gebohrne Wetzelin, weiland S.T. Herrn Johann August Phil. von Stiebritz des gewesenen Obrist-Lieutenant des löblichen Regiments Anhalt, Ritters des hohen Königlichenen Ordens von Kriegs-Verdienst und Adelichen burgers alhier seelih hinterbliebene Frau Wittib beiständlich Vorbenamsten Herrn Secretarii Friderich Wilhelm Ritters, 7. S.T. Jungfrau Maria Sophia Wetzelin, welche großjährigen Alters und ihre Rechten genieset als Tochter unter assistentz erstgedachten herrn Secretarii Ritters, So dann 8. Weiland S.T. Herrn Gottfried Wetzel, des gewesenen Amtschaffners der herrschafft Barr und burgers hieselbst der Fraun Erblasserin verstorbenen Sohns mit Frau Margaretha gebohrner Dieboldin ehelich erzeugt und hinterlassene Vier Töchter mit Nahmen a) Jungfrau Margaretha Sophia Wetzelin, b) Jungfrau Henrica, c) Jungfrau Wilhelmina und d) Jungfrau Carolina Wetzelin, derselben geordnet und geschworener Herr ordinari Vogt ist S. T. Herrn Matthias Ambrosius Mogg, vortrefflicher J. Ctus und des beständigen Regiments Gnädiger Herrn der fünffzehen hochansehnliches Mitglied, zur Erörterung gegenwärtigen Geschäfts aber wurde derenselben herr Notarius Johann Daniel Schaaff von Seiten eines Löblichen Vogteigerichts zum Theilvogt nominirt

La fabrique Saint-Nicolas à laquelle a été attribuée la maison de la masse Wetzel passe un accord avec les propriétaires de la maison voisine (la petite maison qui sera réunie à la plus grande en 1829) Antoine Hetzel et Marie Madeleine Winter pour modifier les droits établis en 1696 par décision du Petit Sénat

1751 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 111-v
der Kirch zu St. Nicolaus fabric schaffner H. Johann Saum der weinhändler ane einem
Fr. Maria Magdalena geb. Winterin H. Antoni Hetzel des silberdrehers Eheliebstin am anderen theil
anzeigend demnach ged. Kirch ohnlängst die in weÿl. S. T. H. XV. Johann Daniel Wetzels credit massam gebührende ane der Schloßergaß einseit neben weÿl. S. T. H. Ammeister Elias Brackenhoffers erben, anderseit neben ihro Fr. Hetzelin gelegenen behausung ane der ganth adjudicirt worden und deren H. Ober: und Pfleger sothane behausung zu bauen gesinnet seind daran aber weg. einiger von seiten Hetzelischen haußes habend und in einem beÿ E. E. kleinen Raths am 2. julÿ 1696 unter beede häußer damalige besitzer getroffenen vergleich enthaltener gerechtigkeiten verhindert werden, als haben die Parthen nachstehenden gütlichen vergleich verabschiedet
1. so solle die in des Hetzelischen haußes unterem stock sich befindende zweÿ fenster, so in der fabric hauß gehen nach innhalt erst allegirten vergleich nicht verbaut noch verstellet werden,
2. dieweilen unten in dem Hetzelischen hauß ein fenster in der fabric hauß hoff gehend befindlich, welches durch den schatten des neuen haußen verfinstert so solle solche fenster etwaß erhöhet und erweitert werden, damit es wenigstens eben so viel liecht als anjetzo gegen und demnach
3. so in des Hetzelischen haußes zweÿtem stock zweÿ fenster befinden so in die küchen gehen deren eines durch den bau verlohren wird wie auch die helffte des auf die gaß gehenden seiten fensters, als hat sich der H. fabric Schaffner verpflichtet, ane statt des auff dem boden in Hetzelischen haußes Eß gehenden zwerch: fenstern ein ordentliches steinernes fenster:gestell setzen zu laßen dreÿ schuh und 6 zoll hoch in der jetzigen breite, mit diesem vorbehalt jedannoch daß durch den gang außen über dem fenster so breit das fenster und der gang ist eine öffnung gehauen werde mit einem eisernen gegitter belegt, damit das liecht dadurch auf das fenster fallen konne, nebst deme soll kein Kepffer über diesem fenster stehen der das leicht vermündern oder auffhalten könte auch soll das kleine nebens fenster wie es anjetzo ist verbleiben,
4. in der kuchen auf dem 1. stock solle ein steinernes fenster gestell gesetzt werden von 4 ½ schuh hoch und ½ schuh breit damit das licht so durch den vorhabenden bau vermindert wird hierdurch wieder ersetzt werde,
5. solle beÿ verbauung des einen fensters in der zweÿten kuche das andere bleibende in gleicher form höhe und weithe wie dasjenige so in des ersten stocks küche kommt vollkommen seÿn,
6. solle im dritten stock ein nemliches gestell gleicher hohe und weithe anstatt des auff die gaß gehenden halben fensters gesetzt werden allwo jetzund ein kleines fenster ist so in den hoff gehet damit das liecht so dadurch verlohren wird wieder ersetzt werde,
Endlich wurde annoch verabschiedet, daß alle fenstergestell mit eisernen stang. vergrembßet alle dißfalls baucösten von seiten der kirch bestritten und Hetzelische Eheleuthe in allen gäntzlich schadloß gehalten werden sollen

La fabrique Saint-Nicolas loue la maison au marchand François Daniel Œsinger

1760 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 60-v
H. Johann Philipp Richßhoffer der handelsmann als fabric pfleger der kirch zu St Nicolaus
in gegensein H. Frantz Daniel Oesinger des handelsmanns
entlehnt, eine ermelter fabric ane der Schloßergaß gelegene behausung, auff 9 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden Johannis Baptistæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 200 pfund

Nouveau bail entre les mêmes

1777 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 335-v
Johann Daniel Heÿ der banquier als fabric pfleger der kirch zu St Nicolaus
in gegensein H. Franz Daniel Oesinger des handelsmanns
lehnungs weiß, eine sothaner fabric eigenthümlich zuständig ane der Schloßergaß gelegene behausung nichts davon außgenohmen – auff 9 nacheinander folgenden jahren von verwichenen Johannis Baptistæ tag anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 400 gulden

La fabrique Saint-Nicolas passe avec son voisin Jean Georges Schertz un accord qui modifie celui de 1733. Le pignon mitoyen du bâtiment du milieu qui appartient à la fabrique appartiendra désormais à la fabrique seule. Le sieur Schertz est autorisé à fermer des ouvertures existantes. La fabrique cède à Schertz un petit terrain qui lui a été attribué suite à l’inspection du 30 septembre de la même année. Le mur entre le susdit pignon et la maison Flaxlanden restera mitoyen comme auparavant. La fabrique aura le droit de conserver dans sa cour avant depuis le bâtiment du milieu un auvent ou un bâtiment à demi-toit mais sans balcon. Les douze fenêtres stipulées dans l’accord de 1733 seront ramenées à cinq. Le sieur Schertz a le droit de conserver une fenêtre qui se trouve entre le pignon susdit et le bâtiment du milieu de la fabrique.

1784 (20.1.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 18-v
H. Lt. Christian Mülberger Eines Ehrsamen kleinen Raths procurator et advocatus ordinarius und H. Rathh. Philipp Jacob Kammerer, beede als fabrick pfleger der evangelischen lutherischen pfarrkirch zu St Nicolaus, vor und innahmen des hoh und wohlehrwürdigen presbyteris sothaner pfarr ane einem
und H. Johann Georg Schertz der handelsmann am anderen theil
daß sie in betracht der Zwistigkeiten so in ansehung der Bau änderung der ehemalig Hammerischen, nachgehends Mivillischen modo ermelten H. Schertz zuständigen behausung, so neben dem gedachter fabrick Zu St Nicolaus zuständiges Hauß gelegen entstanden, auch Vier verschiedene Augenscheinen Anlaß gegeben, die solche selbst aber durch ebendieselben nicht satt sam in das helle gesetzt worden, dahero ohne kostspiltige Process schwerlich entschieden werden könne, so haben sich die Herren Pflegere gedachter Fabrique und die gegen herren Schertz sagende gütliche und gefällige Gesinnungen Zu Zeigen folgender maßen mit Ihme herrn Schertz verglichen als
1. Soll der Giebel des mittleren der Fabrick gehörigen Gebäudes so durch die Augenscheine vom 22. und 24. Novembris jüngsthin als gemeinschafftlich declarirt worden, und 38 schuh 4 Zoll frantzösischer meß lang und durch beede höhe der Fabrick geendiget ist, hiermit für immer als eigen der Fabrick zuerkant seÿn und verbleiben,
dahingegen 2. soll Herrn Schertz erlaubt seÿn, durch den längst dem besagten obigen Gäbel eigenen daran zu bauen gesonnenen Gäbel das fenster und die übrige in Herrn Schertz hof gehende öffnungen zu verbauen, als worunter das in der den 24. Julÿ 1733 errichtete transaction Articulo 2.do beschriebene fenster, mitbegriffen ist, jedoch mit dießem beding daß beede Partheÿen ein jeder nur in seinem eigenen und nicht in seines Nachbars Gäbel etwas legen darf, welche beede gäbel von ungleicher dicke sind, sich aber durch das umgebundene unterscheiden,
3. Tritt die Fabrick aus freundschafftlichen gesinnungen das zwischen mehrgedachtem Gäbel und ehemalig Mivillischer maur sich vorgefundene Plätzlein oder zwischen raum so vermög Augenschein vom 30. Septembris jüngsthin als der Fabrick eigen declarirt worden, hiemit an H. Schertz eigenthümlich, als deßfalls man sich auf den in dißortigen kirchen memorial d. 12. Novembris letzthin abgefaßten entschluß, als wovon ihme H. Schetz ein außzug eingehändiget worden,
4. Weilen aber durch diese veränderungen einer in dem Fabrick hauß befindlichen dach Kammer das licht benommen wird, so verpflichet sich Herr Schertz in besagter kammer durch der Fabrick werckleuthe durch Erbauung eines dachfensters auff seine Kösten ein licht wieder herzustellen,
5. Soll die Maur welche von Herrn von Flaxlanden Behausung bis an den nunmehro der Fabrick zuerkannten eigenen Gäbel, welcher 28 frantzösische schuh im Liecht lang ist zwischen beeden transigirenden Partheÿen, wie ehedeßen gemeinschafftlich seÿn und verbleiben, aber auch vermög oballegirter transaction von 1733 Articulo 3° in Herrn Schertz hinterhoff sehendes fenster seiner seits einmalen verbauen noch sonsten verfinstern werden,
6. Ohneracht nun man nach reiffender Sache Überlegung gefunden, daß durch obige bedingnußen der Fabrick kein Nachtheil erwachßet, so erkennet nichts desto weniger Herr Schertz, daß ihme solche zu großem vortheil gereichen, und will daher seiner seits für die Ihme erwiesene Gefälligkeiten auff das beneficium des augenscheins vom 22. Novembris jüngsth als wodurch das Wetterdach so sich in dem vorderen hoff des der Fabrick zuständigen haußes befindet, condemnirt worden verzicht thun, dergestalten das die Fabrick zu allerzeiten das recht haben solle ein wetterdach oder sonstiges Gebäu mit einem schiefen dach, und nicht mit einem balcon gedeckt, von der Fabrick Mittelhauß angerechnet gegen Herrn Hetzels hauß ziehend von 13 ½ frantzösischen Schuh lang und 12 ¾ schuh hoch zu haben auch sollen die dreÿ Köpffen laut durch beederseitige mauren unterschriebenen und approbirten Plan vom 1. Octobris jüngsthin wieder zu benutzung der Fabrick [auf die nemliche Art und weiß wie solche Vorhin geweßenen wieder gesetzt und das Wetterdach (…)] von der oberfläche des bodens angerechnet auf 10 schuh 4 zoll gesetzt und das Wetterdach ebenfalls wieder darauff gelegt werden, ferner hat man sich vereinbart daß statt vorhin laut oballegirten plan und titre Articul 1° in diesem Gäbel sich befindlich geweßene 12 fenster und öffnungen nunmehr Herr Schertz nur 5 in dieser maur zu errichten habe und zwar eines von der Oberfläche des bodens der Fabrick angerechnet 6 ½ schuh frantzösisch meß bis an das licht entferntes dreÿ schuh ein zoll frantzösischer meß in die höhe und breite im Liecht habendes und an Herrn Hetzels hauß stoßendes fenster, ferner zweÿ fenster im ersten und wieder zweÿ im zweÿten stockwerck, jedes dießer 4 letzteren dreÿ frantzösische Schuh 1 zoll breit und 5 und ein halben Schuh hoch im Licht gemacht werden sollen, obangeregte 5 fenster sollen aber zu keinen Zeiten weder vermehrt noch vergrößert noch sonsten verändert, aber auch von seiten der Fabrick weder durch gegen gebäud verstellung noch in andere weiße nach anleitung des tituli de anno 1733 Articulo 1° verfinstern aber durch Herrn Schertz vergrembßt und gehöriger weiße vergittert werden,
Ferner da Herr Schertz durch seinen nunmehrigen bau zwischen dießem gäbel und dem mittelgebäud der Fabrick gehörigen Hauß eine öffnung von der Oberfläche des bodens angerechnet, von 15 frantzösischen Schuh auff 4 Schuh breit übrig läßt, als soll dieße öffnung oder zwischen raum welcher dem der Fabrick gehörigen hoff mehrere lufft verschafft, einmahlen von beederseit verbaut, verstellet noch verfinstert auch die maur nicht über 15 frantzösischen schuh erhöhet werden, dieße in diesem gantzen 6.ten Artickel enthaltenen Veränderungen sollen auff alleinige Kosten Herrn Schertz geschehen, diese mauer aber 17 schuh frantzösischer meß lang von der Fabrick mittelhauß angerechnet, biß an Herrn Hetzels hauß wie ehedeßen noch mehr erwehntem tituli de Anno 1733 gemeinschafftlich bleiben.
[daß diese sub signatura privata geschehene und errichtete transaction in zeit acht Tag in Löblicher Cantzleÿ Contract stub soll protocollirt werden, Straßburg den 14. Decembris 1783. Mülberger als fabriqu Pfleger, Jacob Kammerer als fabrick Pfleger, Joh: Nicolaus Pasquay – transaction sous seing privé, cote 94 Z 59]

La fabrique Saint-Nicolas vend la maison 5000 livres au marchand François Daniel Œsinger et à sa femme Caroline Salomé Greuhm

1784 (26.4.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 162-v
H. Johann Schreibeißen der weinhändler als Kirchen pfleger und H. Lt. Christian Mülberger EE. kleinen raths procurator et advocatus ordinarius als fabrick pfleger der evangelischen lutherischen Pfarrkirchen zu St Nicolaus – nahmens der hochwohlehrwürdigen presbÿterii besagten pfarrkirchen zu St Nicolaus
in gegensein H. Frantz Daniel Öesinger des handelsmanns und Carolinæ Salome geb. Greuhmin unter assistentz Johann Saltzmann des hochfürstlich Leiningischen hoffraths und Philipp Reinbold des Pfarrers der evangelischen gemeinde zu Fürtenheim
die ermelten fabrick bißhero zuständig gewesene behausung aus vorder mittel und hinter gebäud, vorder und hinter hoff, bronnen, hoffstatt, stallung bestehend mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Schloßergaß, einseit neben Ferdinand Kolb dem handelsmann, anderseit neben theils H. Hetzel dem kunstdreher zum theil H. Schertz dem handelsmann, hinten auff theils freÿh. von Flachßlanden theils E. E. Zunfft stub der Schmidt – um 10 000 gulden

Fils d’un conseiller à la régence de Linange-Hardenbourg, le marchand François Daniel Œsinger épouse en 1760 Caroline Salomé Greuhm, fille d’un conseiller à la chancellerie de Linange-Hardenbourg : contrat de mariage, célébration
1760 (4.6), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 332
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Edlen und Großachtbahren Herrn Frantz Daniel Oesinger, Vornehmen Ledigen handelsmann und burgern allhier Weÿland des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten Herrn Francisci Oesingers geweßenen Weitnerühmten Juris Consulti, hochgräfflich Leininen hartenburgischen hochansehnlichen Regierungs Raths und Vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen, mit der hoch Edlen, hoch Ehren und hoch tugendbegabten Frauen Magdalena Dorothea gebohrner Fridericiin ehelich erzeugtem herrn Sohn
so dann der wohl Edlen und hoch tugendgezierten Jungfrauen Carolina Salome Greuhmin Weÿland des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten herrn Johann Heinrich Greuhmen, geweßenen vortrefflichen Juris Consulti hochgräfflich Leiningen Hartenburgischen hochansehnlichen Cammer Raths und E. E. großen Raths wohlmeritirten alten beÿsitzers nunmehr seel. mit der hoch Edlen, hoch Ehren und hoch tugendbegabten Fraun Agnes gebohrner Fridericiin ehelich erzielter Jungfer tochter
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 4. tag des Monatgs Junÿ in dem Jahr als mann nach des gnadenreichen Geburth Unßers Einigen Erlößers Jesu Christo Zahlte 1760 [unterzeichnet] Frantz Daniel Oesinger Alas Brautigam, Carolina Salome Greümin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 380, n° 1413)
1760 – Mittwochs den 18. Junÿ wurden nach ordentlicher Proclamation ehelich eingesegnet Herr Frantz Danjel Oesinger der ledige Handelsmann und burger allhie weÿl. S.T. H. Francisci Oesingers, hocherfahrenen Juris consulti auch hochgräffl: Leining. Hartenburg: Regierungs Raths u. b. allhier ehel. Tochter und Jgfr. Carolina Salome Greuhmin weÿl. S.T. Herrn Johann Henrich Greuhmen Juris consulti und Hochgräffl. Leining. Hartenburg: Kammer Raths und burgers allhier ehel: Tochter [unterzeichnet] Frantz Daniel Oesinger als Breuttigam, Carolina Salome Greumin als Hochzeiterin, Philipp Friderich Oesinger oncle als zeug (i 385)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Serruriers. Les apports du mari s’élèvent à 10 050 livres, ceux de la femme à 2 079 livres
1761 (16.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 398) n° 876
Inventarium über des Wohl Edlen und hochachtbahren herrn Frantz Daniel Ösingers Vornehmen Handelsmanns und der Wohl Edlen und wohltugendbegabten Frauen Carolinæ Salome Ösingerin gebohrener Greuhmin beeder Ehe persohnen einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1761 – welches des ursachen, alldeiweilen in Ihr beeder Ehepersohnen miteinander aufgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und Ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in beÿsein Frauen Magdalenä Dorotheä Ösingerin gebohrner Fridericiin Weÿland herrn Francisci Oësingers geweßenen Weitberühmten Juris Consulti, hochgräfflich Leiningen Hartenburgerischen hochansehnlichen Regierungs Raths und vornehmen burgers allhier nunmehrseeligen hinterlaßener Frau Wittib, des Eheherrn hochgeehrter Frau Mutter und der hoch Edlen und hoch tugendbegabten Frauen Agnes Greuhmin gebohrner Fridericiin, Weÿland des Hoch Edelgeborhnen und hochgelehrten Herrn Johann Heinrich Greuhmen, geweßenen Vortrefflichen Juris Consulti, hochgräfflich Leiningen Hartenburgischen hochansehnlichen Cammer Raths und E. E. großen Raths allhier Wohlmeritirten Assessoris seeligen hinderlaßener Frau Wittib der Ehefrauen hochgehrter Frau Mutter, auff Freÿtag den 16. Januarÿ Anno 1761.

In einer ane der Schloßergaß gelegenen in diese zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 876 lb, handlung und Gewerbs samt denen darzu zugehörden Werckern 7500 lb, Bibliothec 50 lb, Wein und Faß 763 lb, Silbergeschmeids 242 lb, Goldener ring 240 lb, baarschafft 15 lb, Pfenningzinß hauptgüter 50 lb, Summa summarum 9737 lb, haussteur 313 lb, völlige Guth 10 050 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, hausrath 253 lb, Silbergeschirr 39 lb, Goldene ringe 669 lb, baarschafft 805 lb, Summa summarum 1766 lb, haussteur 313 lb, völlig Vermögen 2079 lb – Beschluss summa 12 130 lb

François Daniel Œsinger demande aux Quinze de souscrire un abonnement à la Taille et à être dispensé d’un éventuel inventaire. Les préposés de la Taille donnent leur accord dans les conditions habituelles à l’abonnement sur le pied de 12 000 florins qui leur paraît proportionné à la fortune du pétitionnaire. Ils s’opposent cependant à la dispense d’inventaire parce que cela contrevient à la coutume en assurant que l’inventaire ne donnera pas lieu à verser des arriérés.
1782, Protocole des Quinze (2 R 192)
H. Frantz Daniel Ösinger pt° Abonnement
(p. 321) Sambstags den 23.sten Novembris 1782. Wilhelm nôe H. Frantz Daniel Ösinger des burgers und handelsmanns producirt unterthäniges memoriale und bitten puncto abonnement des Stallgelts. Erkandt, Obere Stallherren.

(p. 368) Sambstags den 14.ten Decembris 1782. Obere Stallh. lassen per me referiren, es habe H. Frantz Daniel Ösinger der hiesige burger und handelsmann und deßen Ehefrau den 23.sten 9.bris jüngst ein unterthäniges memoriale übergeben und darinn gebetten MGHh. geruheten Ihnen auf Zehen Jahr ein abonnement auf löbl. Stadt Stall auf dem fuß von 12.000 fl. haubt guth Zu gestatten und vermittelst dessen dieselbe beÿ eines sowohl als beÿ des andern absterben von verfertigung eines verlaßenschaffts Inventarii in ansehung löbl. Stadt Stall Zu befreÿen.
auf verordnete Deputation und deßfalls angestelte untersuchung haben die H. Deputirte Zwaar keinen anstand gefunden denen Imploranten in ansehung des abonnement selbst günstig zu seÿn da die anerbottene summ ihren glücks umständen angemessen Zu seÿn scheinet, was aber die befreÿung von errichtung und vorlegung des Inventarii auf sich begebenden todtfall betrifft, haben sie solches um so unzuläßiger ansehen müßen als solches wider die bisherige observantz und ordnung laufet, dahero sie der meinung seÿn wollen, daß beeden Imploranten mit einem Zehnjährigen abonnement auf löbl. Stadt Stall auf dem Fuß von 12.000 fl. haubtguth dergestalt Zu willfahren seÿe, daß derselbe über abzug des bereits bezahlten ihre Stallgebühren sogleich baar erlegen, falls selbigen auch währendem abonnement etwas Donations legat oder wÿdums weiße Zufallen solte solches angeben und obig fixirten Stall summa beÿzusetzen seÿn, auch sich eräugneten todtfall des ein oder des anderen dero verlaßenschafft Inventarium jedoch ohne zu beförchtende recherche oder nachtrag denen H. dreÿ Löbl. Stadt Stall Vorzulegen schuldig seÿn sollen. Erkandt, bedacht confirmirt.

François Daniel Œsinger meurt en 1790 en délaissant deux fils. La masse propre à la veuve est de 11 056 florins, celle des héritiers de 67 515 florins. L’actif de la communauté s’élève à 99 468 florins, le passif à 155 473 florins.

1791 (27.1.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 642) n° 347
Inventarium über Weiland Herrn Frantz Daniel Oesinger geweßenen Handelsmanns und burgers alhier zu Straßburg seeligen Verlaßsenschafft, auffgerichtet Im Jahr 1791 – nach seinem den 9.ten Christmonat 1790. genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen hat, welche Verlassenschafft auf begehren sowohl der hinterbliebenen Fraun Wittib Fraun Carolina Salome gebohrner Greuhm unter assistentz Herrn Friderich Carl Greuhm hochfürstlich Leiningischen Hof Raths als auch des Herrn Defuncti mit erstbesagter Fraun Wittib ehelich erzeugter Zween herrn Söhne und ab intestato hinterlaßener Erben namentlich Herrn Frantz Daniel Oesinger J.V. Lti und Herrn Carl Friderich Oesinger leedigen Handelsmanns, beede majorennes ordnungsmäßig inventirt – So geschehen zu Straßburg den 27. Januarii im Jahr 1791.

Eigenthum ane einer behaußung. Nemlich eine behaußung aus Vorder Mittel und Hinter Gebäud, Vorder und Hinter Hof, brunnen, hoffstatt, und Stallung bestehend mit allen deren übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg an der Schloßer Gaß einseit neben Hn Nicolas Pasquay anderseit neben H. Hetzel dem Kunstdreher und Zum theil neben Herrn Schertz dem handelsmann hinten Zum theil auf Herrn von Flachsland und Z. th. auf die Schmidstub stoßend gelegen, ledig und eigen mit keinen Real beschwerde beladen, solche ist allerseiths beliebter maßen in ohnnachtheiligen Anschlag Zu bringen vor 10 000 fl. Darüber ist vorhanden ein pergamentener in hiesiger C.C . Stub gefertigter Kauffbrieff dedato 26. Aprilis 1784. Ferner Zween dergleichen Kaufbriefe vom 17.d. Sept. 1714. und 23.sten Dec: 1738.
Ergäntzung, Nach Anleitung des über den Ehegatten zugebrachtes Vermögen unterm 16. January 1761. durch Weiland Hn Notarium Johann Rudolph Dinckel errichteten Inventarii
Eigenthum ane Gewerbs läden (E.) Nemlich der aus des Herrn Defuncti verstorbenen H. Bruders seel. Verlaßenschafft ererbte antheil ane denen auf dem Alten Kornmarckt dahier gelegenen Läden, so in Vier Vornen gegen der großen Gewerbslaub hinüber und Vier hinten daran gelegenen Läden samt zugehörden, Weithen, begriffen, Rechten und Gerechtigkeiten bestehet, angeschlagen vor 5750. fl.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Heuraths Verschreibung, Abschrifft des vätterlichen letzten Willens
Der Frau Wittib unverändertes Vermögen. Sa. Hausraths 374, Sa. Weins und derer fäßer 105, Sa. Silbers 78, Sa. Goldenen Ringen 1003, Sa. Zehend antheils 111, Sa. Schuld 700, Sa. der Ergäntzung 8683, Summa summarum 11 056 fl.
Diesemnach wird auch der Herren Erben unverändertes Vermögen verzeichnet. Sa. Hausraths 1218, Sa. Weins und Fäßer 102, Sa. Silbers 676, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 70, Sa. Zehend Antheils 2908, Sa. Gütgüther 3300, Sa. Gewerbsläden 5750, Sa. Capitalien 100, Sa. Ergäntzung 54 088, Summa summarum 68 215 fl. – Schuld 700 fl. Nach deren Abzug 67 515 fl.
Endlichen wird auch die gemein verändert und theilbar Vermögenschaft verzeichnet, Sa. hausraths 3329, Sa. Weins und Fäßer 1978, Sa. Früchten 176, Sa. Silbers 1040, Sa. Goldener Ring 243, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 10 000, Sa. Hammers im Klingenthal, der Matten, des Fuhrwercks, der Waaren und Werckzeugs der Activ schuld. und baarschafft 82 700, Summa summarum 99 468 fl. – Schulden 155 473 fl, Theilbar Passiv onus 56 004 fl.
Das Großmütterliche Substitutions Guth betreffend. Weiland frau Magdalena Dorothea Oesingerin gebohrne Fridericiin auch Weiland Herrn Frantz Oesingers gewesenen Gräflich Leiningischen dachsburgischen Regierungs Raths und b. zu Straßburg seel. hinterbliebene frau Wittib der dißortigen Hh. Söhne frau Großmutter hat in ihrem verschloßen errichteten beÿ H. Not. Johann Rudolph Dinckel hinterlegten testament §° 22° verordnet (…), Straßburg den 31. January 1791.
Copia der Eheberedung (…) auf Mittwoch den 4. tags des Monats Junÿ in dem jahr 1760., Johann Rudolph Dinckel

Le fils aîné François Daniel Œsinger épouse en 1795 Elisabeth Sophie Kuhn, fille de marchand

1795 (4 frimaire 4), Strasbourg, Not. Ensfelder n° 207
Eheberedung – Erschienen seÿe, der burger Frantz Daniel Oesinger, Erster Secretaire des Policeÿ Bureau der hiesigen Municipalitäts Verwaltung, Weiland des burgers Frantz Daniel Oesinger gewesenen hiesigen handelsmann mit der burgerin Carolina Salome gebohrner Greuhm ehelich erzeugter lediger aber großjähriger und seiner Rechten genießenden Sohn als bräutigam ane einem theil
So dann Jungfrau Elisabetha Sophia Kuhn, des burgers Frantz Kuhn ebenmäßigen hiesigen Handelsmanns mit der burgerin Margaretha Sophia gebohrner Spielmann ehelich erzeugte tochter unter berathung H. Beistand ihres Vaters als Jungfer Braut am andern Theil – Straßburg den 4. frimaire im Vierdten Jahr der in Einheit und Unvertrennlichkeit besteheden Francken Republik. [unterzeichnet] Franç. Dl. Oesinger, l’ainé, Elisabeth Sophie Kuhn
Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 26 du 6 frimaire 4 (revenu 2000 livres)

Charles Frédéric Œsinger épouse en 1793 Marie Esther Petzel, fille du secrétaire à la Chambre criminelle
1793 Strasbourg 3 (11), Not. Ensfelder, n° 172
persönlich kommen und erschienen seÿe der bürger Carl Friderich Oesinger, leediger aber großjähriger und seiner Rechten genießender Handelßmann, Weiland des burgers Frantz Daniel Ösinger gewesenen ebenmäßigen hiesigen handelsmanns mit der bürgerin Carolina Salome gebohrner Greühmin ehelich erzeugter Sohn alß bräutigam ane einem theil,
so dann Jungfrau Maria Ester Petzel des bürgers Georg Adam Petzel alten Verjicht actuarii dahier mit der bürgerin Maria Ester gebohrner Jahreiß ehelich erzeugte tochter unter beratung und beistand ihres Vaters als braut am andern theil
So geschehen (…) Straßburg auf Donnerstag den 4. Julÿ 1793

Marie Esther Petzel meurt en nivôse VI en délaissant un fils
1798 (19 floreal 6), Strasbourg 3 (20), Not. Übersaal n° 556
Inventarium über der Weÿl. bürgerin Maria Esther Oesinger geb. Petzel des burgers Carl Friedrich Oesinger handelsmanns Fr. eheliebste Nachlassenschafft, angefangen den 17. Germinal VI, nach ihrem den 2. nivose VI erfolgten Absterben – auf Ansuchen des Wittibers als vogts Carl Friedrich Oesinger so 4 Jahr alt der Verstorbenen mit dem Wittwer einigen Söhnleins und Universal Erbs in gegenwart burgers Mathias Ambrosius Mogg Rechtsgelehrten als beeidigten Tutoris ad hoc
in einer an der Schlosser gaß gelegenen behausung N° 25
bericht, den 16 julÿ 1793 geheurathet, kein theilbares Gut oder Errungenschafft ausgefallen
des Soehnleins und Universal Erben unverändert mütterlichenes Gut, hausrath 2348 li, silbers und Golds 517 li, angelegte Capitalien 3000 li, schulden 3000 li, Ergäntzung 5200 li, haussteur 103 li, summa summarum 14 170 li, des Wittwers lebtägigen Widum 9446 li
Copia der Eheberedung, Not. Joh: Daniel Ensfelder den 4. julÿ 1793 (…)
Enregistrement de Strasbourg, acp 60 F° 144-v du 19 flor. 6

Marie Ester Jahreis femme de Georges Adam Petzel, mère de la précédente, meurt quelques mois plus tard dans la maison

1798 (19 floreal 6), Strasbourg 3 (20), Not. Übersaal n° 555
Inventarium über der weÿl. bürgerin Maria Ester Petzel geb. Jahreiß des bürgers Georg Adam Petzel Rechtsgelehrten zu Straßburg Frau Eheliebste Vermögens Nachlassenschafft, angefangen den 16. Germinal VI, nach ihrem den 23. Pluviose VI erfolgten Absterben, auf Ansuchen des Wittibers bürger Carl Friedrich Oesinger handelsmanns als beeidigten Vogts Carl Friedrich Oesinger so 4 Jahr alt mit seiner den 2. Nivose VI verstorbenen Fr. Eheiebste der weÿl. bürgerin Maria Ester geb. Petzel erzeugten Söhnleins der Verstorbenen Enckels und Universal Erbens ab intestato

in einer an der Schlossergaß gelegenen behaußung N° 25
liegende güther, Bilwisheim, Achenheim, Doßenheim, Richstett, Woellenheim, Ittenheim, Innenheim, Pfuhlgriesheim, Bläsheim, Furchheim, Breuschwickersheim
Ewige zinnße, Straßburg der weÿl. br Joh: Daniel Reith gewesener Fastenspeishändler und dermalen der br. Mathäus Bourdot Kupferschmidt solle von einer behaußung N° 44 an der langen Straße gelegen das Eck an dem Müllergäßlein ausmachend jährlich auf Martini a St. oder den 21. Brumaire an bodenzinß Einer Livre und 10 sols
Bericht, Not. Langheinrich den 4. aug. 1764 Inventarium
des Enckels und Universal Erbens unverändertes Vermögen, hausrath 4273 li, Weins lärer Faesser und bütten 429 li, silbers und dergleichen Geschmeids 1622 li, gold. Ringe 743 li, baarschafft 800 li, liegende güther &&, Angelegte Capital 26 933 li, Activ schulden 3077 li, summa summarum 37 879 li, Ehesteur 8937 li, summa 46 816 livres
Copia der Ehe Contracts vor Notario Joh: Daniel Langheinrich den 9. apr. 1764 aufgerichtet, zwischen H. Georg Adam Petzel J.U.Lt u. der Stadt Straßburg Vicario beiständlich dem Vergicht: Protocollo H. Georg Adam Petzel handelsmanns mit weÿl. Fr. Anna Margaretha geb. Pfeffinger (sohn) So dann Jungfrau Maria Ester Jahreißin H Joh: Heinrich Jaheiß des Stifts Frauenhauses Oberschreibers und verschiedener Familien Schaffners mit Frau Maria Ester geb. Marbach tochter
Enregistrement de Strasbourg, acp 60 F° 144 du 19 floreal 6

Georges Adam Petzel meurt en 1808 en délaissant pour seul héritier son petit-fils Charles Frédéric Œsinger
1808 (30.12.), Strasbourg 10 (20), Not. Zimmer n° 392, 3855
Inventaire de la succession de Georges Adam Petzel – Charles Frédéric Oesinger négociant père tuteur naturel de Charles Frédéric son fils mineur de feue De Marie Esther née Petzel Lequel a déclaré qu’en sadite qualité que le Sr Georges Adam Petzel ayeul maternel de son fils mineur et ancien greffier criminel a Strasbourg est décédé le 24 octobre dernier, qu’il a délaissé pour seul unique héritier ab intestat ledit mineur
garde robe 407 fr, rente annuelle 1680 fr, ensemble 2087 fr, passif 537 fr, reste 1550 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 110 f° 7 du 30.12.

François Daniel Œsinger et Sophie Elisabeth Kuhn cèdent à Charles Frédéric Œsinger leur moitié de maison

1812 (21.1.), Strasbourg 10 (54), Not. Zimmer n° 3332, 5294
François Daniel Oesinger premier adjoint au maire et Sophie Elisabeth née Kuhn
à Charles Frédéric Oesinger négociant
la moitié par indivis dans une maison avec tous ses bâtiments, deux cours, écurie, puits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Serruriers n° 25, d’un côté celle de M Brackenhoffer maire, d’autre en partie M Schertz négociant derrière en partie la maison des enfants Saum ci devant Flaxland, en partie la brasserie Farny ci devant tribu des Maréchaux – échue de la succession de François Daniel Oesinger négociant et de Caroline Salomé Greuhm, Inventaire de la succession paternelle Me Ensfelder 27 jan. 1791, contrat de vente à la cidevant Chambre des Contrats le 24 avril 1784 – Remis 1. transaction passée à la Chambre des Contrats le 20 janvier 1784 relativement au pignon de ladite maison Oesinger et celle de M Schertz, 4. Chambre des Contrats 23 dec. 1738, 5. et Chambre des Contrats 7 sept. 1714 – pour 15 000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 f° 177 du 22.1.

Charles Frédéric Œsinger meurt en 1816 en délaissant pour seul héritier son fils issu de Marie Esther Petzel

1816 (15.11.), Strasbourg 10 (23), Not. Zimmer n° 617, 7471
Inventaire de la succession de Charles Frédéric Oesinger négociant décédé le 26 mai 1816 et de Marie Esther Petzel qui l’a précédé de nombre d’années – à la requête de Charles Frédéric Oesinger propriétaire fils seul et unique héritier
Mobilier – rez de chaussée : comptoir, chambre du cocher, chambre des soldats, buanderie, 1° étage pièce donnant sur la rue, deux pièces à alcove a côté, salle à manger sur le derrière, chambre à cheminée à côté, petite salle à manger sur le derrière, chambre à alcove à côté, chambre de la femme de charge, au corridor, chambre de la cuisinière, cuisine, deuxième étage 1° pièce sur le devant, chambre à alcove a côté, chambre à coucher sur le derrière, chambre à cheminée à côté, petit grenier, 1° pièce sur le derrière donnant sur la cour, chambre a cheminée à côté, au magasin
garde robe 2084 fr, (batterie de cuisine) 15 101 fr, vins tonneaux 2016 fr, argenterie bijoux 6267 fr, équipage chevaux 2376 fr, marchandises 44 232 fr, créances 40 973 fr, numéraire 1598 fr, rente censitique à Fürdenheim la moitié forment & seigle 1461 fr, ensemble 116 111 fr
Immeubles. Premièrement une maison avec tous ses bâtiments, deux cours, écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 25, d’un côté celle de M Brackenhoffer d’autre le Sr Schaeffer et Schertz derrière la maison des enfants Saum ci devant hôtel Flaxland, échu conjointement avec son frère François Daniel Oesinger adjoint au maire du chef de leurs père et mère suivant inventaire dressé par Ensfelder le 27 janvier 1791, il a acquis l’autre moitié indivise de son frère ainé par contrat reçu Zimmer & Wengler le 31 janvier 1812. La ausidte maison a été acquise à la Chambre des Contrats le 26 avril 1784. Occupée par le défunt estimée 24 000 francs
Plus la moitié par indivis de 22 petites boutiques et de deux cours contigues situées à Strasbourg entre les rue des Grandes Arcades et du vieux Marché aux Grains devant rue communale vers la Pharmacie Hecht, derrière la partie séparée desdites boutiques, échue ci devant à Marie Madeleine Dorothée Oesinger veuve de Pistoris appartenant aujourd’hui à Mad. Mathis née Pistoris sa fille et unique héritière, l’autre moitié indivise appartient aux trois enfants délaissés par François Daniel Oesinger adjoint au maire décédé le 12 juin 1814 du mariage d’Elisabeth Sophie Kuhn, estimées 1260 fr de revenu, en capital 25 200 fr. La totalité provient de la succession de François Oesinger conseiller de la Régence du Comte de Linange Dabo et Madeleine Dorothée née Friderici ayeuls du défunt suivant acte reçu Humbourg le 13 août 1750. Par le décès sans postérité de Jean Frédéric Oesinger conseiller aulique fils desdits ayeuls le père du défunt son oncle et ladite De veuve Pistoris sa tante sont devenus seuls propriétaires. Suivant partage pressé par le notaire Dinckel le 5 avril 1781, la partie vers la pharmacie Hecht échue au Sr Oesinger père celle vers la place d’armes à la De Pistoris, Ledit Sr Oesinger père fit abandon a ses enfants à titre d’avance d’hoirie de cette partie à lui échue au défunt suivant acte reçu Jean Frédéric Lung le 14 février 1784
Plus 2 cinquièmes d’une maison avec remise et petit jardin située à Strasbourg derrière la maison de force en face des ci devant casernes du quartier St Jean n° 7, 8 et 9, d’un côté la remise de M Saum d’autre le communal devant le chemin communal derrière le rempart de Ste Marguerite – louée partie à Mathias Wimenauer journalier, partie à Antoine Tribel meunier pour 100 fr. chacun, estimée 4000 fr, déduire capital d’une rente foncière de 80 c – acquis par contrat reçu Me Lex le 6 mai1813, après que François Joseph Matté vendeur l’a acquis par acte dresé par Me Lex le 24 novembre 1812, et vente Me Lex le 3 germinal 12
Plus une petite maison grange et petit jardin avec communauté de cour et de puits avec le n° 87 ci après, appartenances et dépendances située à la Ruprechtsau canton dit Oberau n° 86 entre Joseph Meyer et le jardin Reumann en partie n° 87 ci après désignée devant chaussée derrière Joseph Meyer – acquis Me Lex 7 vent. 12 ; occupée par Jean Bouchelin et Jacques Georger les deux journaliers chacun pour 40 fr. par an estimée 1600 fr chargée d’une rente foncière de 45 c
plus une petite maison et jardinet avec bâtiment latéral, communauté de cour et de puits avec le n° 86 désigné ci dessus appartenances & dépendances situé à la Ruprechtsau canton dit Oberau n° 87, d’un côté en partie le jardinier Reumann en partie n° 86 d’autre Joseph Meyer jardinier derrière ledit Joseph Meyer – acquis de la communauté de Jean Philippe Reinbold Me Zimmer 24 nivose 10 mais par acte Me Zimmer 13 juin 1806 M Reinbold a revendu sa part indivise à M Oesinger qui est devenu seul et unique propriétaire. Dans la première vente 24 nivose 6 Jean Pierre Boettiger tailleur et Barbe Reinöhl se sont réservés la jouissance gratuite de leur logement et des jardinets ce dont ils jouissent encore aujourd’hui évaluée à 50 fr/an, estimée 2000 francs
canton de Wasselonne : Furdenheim 1674 et 1316 fr, Hohengoeft Wasselonne Zeinheim Zehnacker 4392 fr, canton de Brumath une maison à Bilwisheim 500 fr, canton de Haguenau : Wittersheim 9180 fr, et 11 886 fr, canton d’Obernay : Krautergersheim, Innenheim, Bischoffsheim 1879 fr, usine à cuirs à Obernnay 31 400 fr
Boersch bâtiment usine 2550 fr, maison à Niederottrott 1850 fr, moulin à Oberottrott 28 000 fr, ensemble 151 426 fr
total de la succession de 267 493 fr, à déduire 19 028 fr, reste 248 454 fr, déduction faite 243 454 fr – héritage maternel 19 038 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 132 f° 12-v du 16.11.

Charles Frédéric Œsinger épouse en 1824 Amélie Frédérique Zimmer

1824 (26.10.), Strasbourg 9 (anc. cote 48), Me Hickel n° 1671
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Charles Frédéric Oesinger, propriétaire et négociant, fils de feu Charles Frédéric Oesinger, négociant, et de feu Marie Esther Petzel
Amélie Frédérique Zimmer, fille mineure née le 13 ventose 13 (4 mars 1805) de Georges Frédéric Zimmer, notaire, et de Marguerite Salomé née Gintzroth
Enregistrement de Strasbourg, acp 170 F° 75-v du 28.10.

Charles Frédéric Œsinger et Amélie Frédérique Zimmer hypothèquent la maison et leur part des Petites boutiques au profit de plusieurs créditeurs

1848 (31.3.), Strasbourg 3 (92), Not. Burtz n° 1122
Obligation – Ont comparu Mr Charles Frédéric Oesinger, négociant, et dame Amélie Frédérique Zimmer, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à 1° Dame Camille Adèle Quiot épouse dûment assistée et autorisée de Mr François Hippolyte Courrech, capitaine au deuxième bataillon de chasseurs à pied, demeurant à Strasbourg la somme de 10.000 francs
2° Mr Jean Frédéric Würtz, propriétaire et rentier demeurant et domicilié à Strasbourg la somme de 12.000 francs
3° Mr Charles Frédéric Perrin, architecte demeurant et domicilié en cette ville, celle de 16.000 francs, total 38.000 francs
hypothèque, 1. Une maison sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 25, avec bâtimens de derrière, cour, aisances, appartenances et dépendances entre Mr Kratz et Mr Noetinger, donnant par derrière sur deux propriétaires et par devant sur la rue des serruriers. Cet immeuble provient à M. Oesinger en partie d’héritage de feu son père Mr Charles Frédéric Oesinger, ainsi qu’il résulte d’un inventaire reçu par Me Zimmer, père, notaire à Strasbourg, à la date du 15 septembre 1816 et en partie d’acquisition faite par lui sur Frédéric Louis Schaeffer de Strasbourg aus termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par Me Noetinger notaire à Strasbourg le 26 novembre 1829.
2. Une partie divise de la propriété appelée petites boutiques de Strasbourg, sises en cette ville, rue des arcades, cette partie portant du côté des grandes arcades les numéros 4, 5 6, 7, 8 & 9 entre Mme Mathis et Mme Kessel et du côté opposé les numéros 34, 35, 36, 37, 38 & 39, entre les même voisins. Cette propriété provient également à Mr Oesinger d’héritage fait dans la succession de son père ainsi qu’il résulte de l’inventaire précité. M. et Mme Oesinger certifient que ces immeubles leur appartiennent en toute propriété et qu’ils ne sont grevés d’aucunes dettes, rentes, privilèges ni hypothèques.

Autre obligation passée quelques jours plus tard

1848 (27.4.), Strasbourg 3 (92), Not. Burtz n° 1132
Obligation – Ont comparu Mr Charles Frédéric Oesinger, négociant, et dame Amélie Frédérique Zimmer, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à 1° Mr Henri Helk, propriétaire, ancien brasseur, demeurant et domicilié à Strasbourg la somme de 11.000 francs
2° dame Marie Antoinette Lamasse demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Monsieur Jean Népomucène Wolff, vivant propriétaire ancien brasseur en cette ville la somme de 5.000 francs
3° Mr Alphonse Koehler, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme de 3.000 francs
4° Mr Léon Koehler, commis négociant demeurant et domicilié à Strasbourg pour lequel est ici présent stipule et accepte Mr Alphonse Koehler susnommé, 3.000 francs, total 22.000 francs
hypothèque, 1. Une maison sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 25, avec bâtimens de derrière, cour, aisances, appartenances et dépendances entre Mr Kratz et Mr Noetinger, donnant par derrière sur deux propriétaires et par devant sur la rue des serruriers. Cet immeuble appartient à M. Oesinger en partie d’héritage de feu son père Mr Charles Frédéric Oesinger, ainsi qu’il résulte d’un inventaire reçu par Me Zimmer, père, notaire à Strasbourg, à la date du 15 septembre 1816 et en partie d’acquisition faite par lui sur Frédéric Louis Schaeffer de Strasbourg aus termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par Me Noetinger notaire à Strasbourg le 26 novembre 1829.
2. Une partie divise de la propriété appelée petites boutiques de Strasbourg, sises en cette ville, rue des arcades, cette partie portant du côté des grandes arcades les numéros 4, 5 6, 7, 8, et 9 entre Mme Mathis et Mme Kessel et du côté opposé les numéros 34, 35, 36, 37, 38 et 39, entre les même voisins. Cette propriété provient également à Mr Oesinger d’héritage fait dans la succession de son père ainsi qu’il résulte de l’inventaire précité. M. et Mme Oesinger certifient que ces immeubles leur appartiennent en toute propriété et qu’ils ne sont grevés d’aucunes dettes, rentes, privilèges ni hypothèques à l’exception d’une somme de 38.000 francs due à divers créanciers en vertu d’une obligation passée devant Me Burtz soussigné le 31 mars dernier

Charles Frédéric Œsinger meurt en novembre 1864 en délaissant trois enfants

1865 (28.3.), Me Grimmer (minutes en déficit)
Notoriété constatant que Charles Frédéric Oesinger vivant propriétaire à Strasbourg est décédé le 4 novembre 1864, laissant pour héritiers Charles Louis, Eugène Charles et Marie Oesinger ses enfants
acp 541 (3 Q 30 256) f° 70 du 28.3.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.