43, rue du Faubourg de Pierre (ancien n° 45)


Rue du Faubourg de Pierre n° 43 (ancien n° 45) – II 108 (Blondel), N 226 (cadastre)


Le numéro 43 à l’angle de la rue des Cigognes

Située à côté du poêle des Jardiniers du Faubourg de Pierre, la maison doit de 1599 à 1768 un loyer communal de 6 sous pour un auvent. Les héritiers du jardinier Thiébaut Hoh la vendent en 1680 au teinturier Jean Frédéric Verius qui y établit son atelier à quatre chaudrons murés (1691). La maison comprend alors un bâtiment avant, un bâtiment latéral, une grange et une écurie. Frédéric Verius passe en 1693 un accord avec son voisin le poêle des Jardiniers ; il est notamment autorisé sous conditions à conserver des jours. Sa veuve, Marguerite Hohlwein, continue d’exploiter la teinturerie trente ans (1711-1742). La maison comprend en 1742 un rez-de-chaussée et un étage, la teinturerie et la calandre se trouvent dans le bâtiment à droite de la cour. La valeur minimale de la maison augmente de moitié entre 1742 et 1755 alors qu’elle appartient au jardinier et cocher aisé Jean Georges Rinck. L’auvent est supprimé en 1768, une arcade est transformée en boutique en 1780. La maison à deux étages devient l’auberge au Soleil au début du XIX° siècle.


Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 7

L’Atlas des alignements signale un rez-de-chaussée et un premier étage en maçonnerie et un deuxième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la maison se trouve de part et d’autre du repère (j) qui forme l’angle de l’impasse. La façade sur rue comprend la porte et trois fenêtres au rez-de-chaussée, quatre fenêtres au premier étage et trois fenêtres au deuxième. La toiture a trois niveaux de greniers. Les bâtiments et les clôtures le long de l’impasse sont figurés entre les repères (i) et (j). La première cour (Z) se trouve à l’arrière du bâtiment sur rue (3-4), le bâtiment (2-3), sans doute l’ancienne teinturerie, occupe la droite de la cour, la clôture (1-4) la partie gauche. Le bâtiment à deux étages (1-2) se retrouve dans la cour suivante (Y) entre (5-6). L’appentis (3-5) lui est accolé vers le nord, la clôture (1-6) sépare la cour de l’impasse. Le bâtiment (1-2) au fond de la cour se retrouve dans la troisième cour (X) entre (3-4). Le côté nord (2-3) et le côté sud (1-4) dépendent des propriétés voisines. Le fond de la cour est occupé par le bâtiment (1-2) dont la porte cochère fait face à celle du bâtiment précédent. Ce bâtiment (1-2) figure entre (3-4) dans la cour (V) qui est un jardin dans lequel se trouve la gloriette intitulée Ilot 1.

7 Cour Z



Cours Z, X, Y et V
Plan correspondant

Henri Geofroi Rœderer reconstruit en 1856 la maison dont le revenu passe de 342 à 389 francs. D’après le cadastre, les bâtiments sont entièrement détruits lors du siège de 1870. Le propriétaire vend le sol à la Ville qui y établit la rue des Cigognes. Une partie du numéro 43 repose sur l’ancien terrain du n° 45.


Plans des Ponts-et-Chaussées en 1823 (ADBR, cote 2 SP 52) et en 1851 (ADBR, cote 5 K 123)

mars 2015

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1680 à 1874 (voir ensuite le n° 43). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Thiébaut Hoh, jardinier, et (1625) Aurélie Ohl – luthériens
1680 v Frédéric Verius, teinturier, et (1680) Ursule Rothaan, veuve du boulanger Jean Jacques Schranckenmüller puis (1691) Marguerite Hohlwein – luthériens
1742 h Jean Michel Wentzel, meunier, et (1715) Anne Marie Verius – luthériens
1747 v Jean Georges Rinck, jardinier et cocher, et (1728) Marguerite Renchert d’abord (1711) femme de Laurent Drens, puis (1757) Anne Marie Fleischmann – luthériens
1758 h Marguerite Rinck et (1749) Jean Jacques Westermann, charretier, puis (1757) Jean Martin Schwind, tonnelier – luthériens
1780 h Marguerite Barbe Schwind femme (1777) de Jean Frédéric Zisig, sellier – luthériens
1833 h Marguerite Madeleine Zisig femme (1804) de Jean Frédéric Dierstein, sellier puis aubergiste
1837 v Henri Geofroi Rœderer, aubergiste, et (1822) Marguerite Salomé Schwartz puis (1830) Dorothée Helmstetter
1870* v Charles Friedel, négociant

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 950 livres en 1690, 900 livres en 1711, 1 000 livres en 1741, 750 livres en 1755, 1 500 livres en 1774 et en 1780.

(1765, Liste Blondel) II 108, Jean Martin Schwindt
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61)Schwind Wittib, 4 toises, 0 pied et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 226, Ziesig, Jean Frédéric – maison, sol, jardin – 14,9 ares, puis Roederer Henri Geoffroi cabaretier

Locations

1774, Philippe Jacques Brida, tonnelier
1848 Vincent Marchetti, figuriste, et Thérèse Brusseler

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Livres des communaux

1562, Livre des loyers communaux, cote VII 1446 (Zinßbuch D)
Un loyer de 3 sous est porté en 1599 au registre après que les préposés au bâtiment et les Trois de la Tour aux Deniers ont autorisé le jardinier Thiébaut Hoh à placer un auvent de 27 pieds de long sur 6 pieds de saillie

Item iij ß d gibt Hohen Thiebolt der gartner Inn Steinstraß neben der gartner Stub von seinem Wetterdach Ihm Von B vnd 3 bewilligt 27 schuh lang und 6 schuh herauß. Act. 11.t decembr. 1599
(rub.) Jetzt Er noch 6 ß. 2. Martÿ 1627
Neü 352

1587, Livre des communaux, cote VII 1450
L’enquête constate que la maison du jardinier Thiébaut Hoh comprend un auvent de 29 pieds et demi en saillie de 6 pieds, une porte de cave inclinée de 6 pieds et demi de large en saillie de 5 pieds et deux marches en pierre de 5 pieds de long en saillie de 2 pieds devant sa maison

(f° 457-v) Wider vornen an Steinstraßen.
Diebold Hoch der Garttner hatt an seinem Hauß ein Wettertach xxix= schu lang, vj schu herauß, Ein lehende Kellerthüer vi= schu breÿt v schu herauß, Vor der Haußthüer Zwen steinene Tritt v schu lang, ij schu herauß, Bessert & xv ß vj d

1652, Livre des loyers communaux, cote VII 1461 (1652-1672)
Le loyer du registre D est porté au nom de Thiébaut Hoh le jeune

(f° 352-v)
diebold Hoh junior Gartner in Steinstraß, Soll gemeiner Statt, Vom wetterdach neben der Zunfftstuben daselbsten Jahrs Vf Weihnachten 6 ß d
Alt. d. f. 175
New fol. 295
[in margine, biffé :] vid. f. 533
(Quittungen 1656-1672)

1673, Livre des loyers communaux, cote VII 1465 (1673-1741)
Même loyer dans le registre suivant. Le nouveau contribuable est Frédéric Verius

(f° 295)
Diebold Hoh, Junior, Gartner ane Steinstraß, Soll vom Wetterdach neben der Zunfft Stuben, alda, vff Weÿenachten ([corrigé en] Joh. Baptæ), 6 ß
St. Zinnßb. p. 352
ietzt Friderich Verius

(Quittungen 1673-1741)
Neuzb fol 77-b

1741, Livre des loyers communaux, cote VII 1470 (1741-1802)
Même loyer dans le registre suivant. Le nouveau contribuable est Georges Rinck. Le dernier loyer date de 1768, l’auvent est ensuite supprimé

alzb. 295
Friderich Verius Soll vom Wetterdach an seiner neben der Gartner Stuben in der Steinstraß Liegenden behaußung Jahrs auf Johannis Baptistæ 6 ß
ist hinweggemacht
(Quittungen, 1741-1768)
Georg Rinck

Protocole des Quinze

1716, Protocole des Quinze (2 R 120)
Les Grands maîtres des feux soumettent aux Quinze une affaire concernant le mur en galandure de Frédéric Verius

(f° 143-v) Sambstags den 20.ten Junÿ. pt° riegalwand
G. nôe weÿl. herrn Friderich Verius geweßten burgers und färbers hinderlaßener wittib Vogt Ambrosius Korn deß burger und Kieffers prod. Extractum auß der Verordneten Obernfeürherrn Memoriali, bittet wegen aufferbawten riegelwandt augenschein, et factâ relatione ihro den begangenen fehler Zu pardonniren, und ihro im baw fort zu fahren gn. Zu willfahren. Erkanndt, ahne die Herren XV.rn Meister gewießen.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1780, Préposés au bâtiment (VII 1419)
La veuve de Martin Schwind est autorisée à transformer une arcade en boutique

(f° 40) Dienstags den 4. Aprilis 1780. Weil. Martin Schwind Wittib – Idem [Mr Vogt der zimmermann] nôe. weiland Martin Schwind Wittib bittet zu erlauben ane dero behausung ane der Steinstraas gelegen in die facade ein bogen zu einem Laden zu machen. Erkannt, Willfahrt.

1783, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Jean Frédéric Zisig est autorisé à réparer son crépi et à repeindre la maison selon le règlement

(f° 322-v) Dienstags den 29. Julii 1783. Joh: Friderich Ziesig, Sattler – Hr. Lingenhölin, der Maurer, nôe Mr Johann Friderich Ziesig, des Sattlers, bittet zu erlauben an deßen behaußung in der Steinstras gelegen, den bestich ausbeßern und die façade nach Ordnung mit Oelfarb anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

Description de la maison

  • 1691 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment latéral, cour, grange, écurie, un jardin et une cave solivée, quatre chaudrons murés. Le tout estimé à la somme de 1 900 florins
  • 1711 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une échoppe, cave solivée, teinturerie, bâtiment du milieu, bâtiment arrière, calandre, séchoir, écurie et puits. Le tout estimé à la somme de 1 800 florins
  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine et vestibule, cour, puits et cave solivée, au premier étage chambre à coucher, cuisine, vestibule, chambre pour l’officier, trois chambres sous les combles à deux pignons en bois, greniers dallés. A droite de la cour, un bâtiment latéral où se trouvent les chaudrons à teindre, derrière la calandre, une vieille écurie en mauvais état et une grange. Le tout estimé à la somme de 2 000 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Faubourg de Pierres

nouveau N° / ancien N° : 59 / 30
Ziesich
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois médiocre état

(Légende)

Ponts et Chaussées

1823 (ADBR, cote 2 SP 52) N° 30 Auberge au Soleil.
Rez de chaussée & 1° Etage en pierre encore bon. 2. Etage en bois pas mauvais
1851 (ADBR, cote 5 K 123) N° 30, Roederer Henri Geoff.
2 E. B. M. (2 étages, construction en bois, construction médiocre)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 67 case 3

Roederer Henri Geoffroi, cabaretier à Strasbourg

N 226, maison, sol et jardin, faubourg de pierre 30
Contenance : 14,90
Revenu total : 349,75 (342 et 7,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
Folio de destination : Démolit.
Année de sortie : 1856
portes et fenêtres ordinaires : 1 / 1
fenêtres du 3° et au-dessus : 60 / 48

N 226, Maison
Revenu total : 396,75 (389 et 7,75)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
Folio de provenance : Nlle Con.
Année d’entrée : 1856
portes et fenêtres ordinaires : 1 / 1
fenêtres du 3° et au-dessus : 94 / 75

Augmentations – Roederer Henri Geofroi f° 67, N 226, Maison, revenu 389, Reconstruction, imposable en 1856, imposée en 1856
Diminutions – Roederer Henri Geoffroi f° 67, N 226, Maison, revenu 342, Reconstruction, en 1856

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 285 case 2

Roederer Henri, Strasbourg
1870 Friedel, Charles, Négociant

N 226, maison, sol, Faubourg de Pierre 45
Contenance : 14,90
Revenu total : 396,75 (389 et 7,75)
Folio de provenance :
Folio de destination : zerstört
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 1 / 1
fenêtres du 3° et au-dessus : 94 / 75

N 226, sol, Faubourg de Pierre 45
Contenance : 14,90
Revenu total : 7,75
Folio de destination : 241, 285

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton II, Rue 44 Fauxbourg de Pierre (p. 52)
(maison n°) 30

Pr. – Ziesig, frederic, Sellier – Tanneurs
lo. – Froschhammer, frederic, Sellier – Tanneurs
lo. – Müller, Samuel, Cordier – Moresse
lo. – Ohri, Michel, Voiturier – Jardiniers
lo. – Roether Anne Marie
lo. – Fournier, Marguerite et sa sœur – Manantes


Relevé d’actes

Les héritiers de Paul Heydel donnent quittance au jardinier Thiébaut Hoh et à sa femme Aurélie Ohl

1644 (30. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 67
Erschienen diebolt hoh der iüng. Gartner ahne Steinstraß und Aurelia Ohlin sein eheliche hausfraw, und Sie Aurelia mit beÿstand H Hannß von Trienbach E. E. groß. Rhats ietzigen Beÿsitzers, und Bastian Rinckhen deß iüngern Gartners ahne Steinstraß beed. alß ihrer hierzu erbettener nechster Verwanther
haben in gegensein H Hannß Rielen alt. groß. Rhats Verwanthen alß Vogts Frawen Annæ von Fridolßheim, Weÿl. H Paul Heÿdelß geweßenen Schaffners Zu St. Marx nunmehr seel. nachgelaßener wittibin, mit beÿstand Paul Heÿdelß ihres Sohns, bekannt, daß Sie beÿde Eheleuth die ienige 50 Pfund pfenning, welche gedachter H Heÿdel, vermög der auch in der Cancelleÿ Contractstuben d. j. sept: a° 1624. vffgerichteter und heut dato cassirte obligation sein Dieboldt hohen Vatter nunmehr weÿl. Diebolt hohen geweßenen Gartnern ahne Steinstraß fürgelühen und Sie beÿde Eheleuth übernohmen haben
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt, Schewr, Ställ, Bronnen, Gart. mit allen deren Gebäwen alhie ahne Steinstraß neben obgedacht. H. Trienbach ein und anderseit neben der Gartner Zunfftstuben hind. vff H Johann Preßlers deß Apotheckhers Gart. stoßend gelegen, Zuvor umb 50. lib. mehrgemeldts H Trienbachß Kindern erster Ehe, und dann umb 50. lb weÿl. Vrban Börß. Gartners ahne Steinstraß seel. Kindern

Thiébaut Hoh épouse en 1625 Aurélie Ohl, fille de jardinier. Thiébaut Hoh, père du futur époux, assure lors du contrat de mariage l’habitation des nouveaux mariés dans sa maison, la même qui reviendra à son fils Thiébaut Hoh d’après l’inventaire de 1679. Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
(Copia der Eheberedung) zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Diebold Hohen dem Jüngern gartners Ane Steinstraß Burgern Zu Straßburg ane Einem, So dann der Ehren und tugendreichen Jungfrawen Aureliæ Ohlin, weÿland Ohl Michels des ältern gartners Ane Steinstraß seeligen nachgelaßener ehelicher dochter Am Andern Theil (…) mit Wißen, Willen Vnndt gehelle (…) auff Ihr der Jungfrau hochzeiterin seithen Wolff Von Bers Ihres geordneten Vogts herrn hannß Von Triembach Ihres Schwagers, Ohl Michels, Wolff Ohlen, Undt hannß Ohlen Ihrer dreÿ gebrüderen, aller fünff gartner Ane Steinstraß
Und damit Fürs Fünffte sich die new Versprochenen Eheleuthe mit Zeitlicher Nahrung desto beßer halten, ernehren Und Vßbringen möchten, hatt diebold hohe des hochzeiters Vatter, Ihme seinem Sohn dem hochzeiter Zur ehestewr zu geben bewilligt (…)
Ferners Vnndt Zum Sechsten hat gedachter diebold Hohe des Hochzeiters Vatter auch Versprochen, Sie beede Ehegemecht Zu sich in seine behaußung Zu nehmen, Vnndt denselben seine hinder behaußung benebent dem halben gartten Vnnd hoff Zu Verleühen, alle Viertel Jahr Vmb dreÿ Pfund 15 schilling – So beschehen und Zugegen in des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg vff einer Ehrsamen Zunfftstub der gartner Ane Steinstraß dem Süben Zehenden Maÿ Anno 1625. Valentinus Bilger Not.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 46)
1625. Dom. Exaudi. Diebold Hoh d. Jung, diebold Hohen d. Eltern v. gartners Sohn, v. J. Aurelia Ohl Michels des gartners Tochter. Copulitio 7. Junÿ (i 25)

Marie Trenss donne quittance au jardinier Thiébaut Hoh et à Agnès femme du maréchal ferrant Thiébaut Frühinsholtz

1648 (24. April.), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 247
Erschienen H Diebold Hoh d. iung Gartner ahne Steinstraß für sich selbst. und Diebold Frühinsholtz d. huffschmid alß Ehevogt Agneß hohin an einem,
So dann diebold Rhiel d: iung Gartner und. wagner alß Ehevogt Mariæ Trennßin am andern theil
haben bekannt freÿ gutwillig offentlich veriähen, Nach dem Sie Maria Trennßin von Weÿl. Martin Hannßlers ihres vorig. Ehemanns seel. Verlassenschafft ihr lebenlang iährlich 6. lib 5 ß Zu genieß. und deßweg. die ienige 250. lib. Capital so die Statt Straßburg (…)

Le jardinier Thiébaut Hoh le jeune hypothèque la maison au profit de Marie Burger femme du jardin Paul Heydel. Située à côté du poêle des Jardiniers du Faubourg de Pierre, la maison doit un loyer communal de 6 sous pour un auvent

1650 (18. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 311
Erschienen H Diebolt Hoh der iung. Gartner ahne Steinstraß
hatt in gegensein Paul Heÿdelß Gartners alda alß Ehevogts Mariæ Burgerin – schuldig seÿen 50. lib von weÿl. Urban Börsch. Gartnern ahne Steinstraß ihr Mariæ vorig. Hauß würth seel. am 17. martÿ a° 1638. ihme hoh. vorgelüh. und in deß. Verlassenschafft Abtheilung ihro Mariæ assignirt word. seind (…)
Underpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Stall, Gart. mit allen deren Gebäw, alhie an Steinstraß neben H Hannß von Trienbach ein: und anderseit neben der Gartner Stuben, hind. vff weÿl. H Johann Preßlers deß Apotheckhers seel. Garten stoßend gelegen, davon gehnd iahrs 6 ß Allmendgelts von einem wetterdächlin gemeiner Statt, so ist diße Behaußung auch noch verhafftet umb 50. lib. besagts H Trienbachß Kindern (…)

Autre hypothèque entre les mêmes

1666 (10. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 176-v
Erschienen H Diebold hoh d. Jüng. Gartner ahne Steinstraß
in gegensein Paul Heÿdels Gartners alda alß Ehevogts Mariæ Burgerin – schuldig seÿe 125. lb, alberaÿt theilß am 25. martÿ a° 1637. und 6. 8.br. a° 1640. diebold weÿl. Urban Börßen gewesenen Gartnern ahne Steinstraß ihr Mariæ damahlig. Ehemann nunmehr seel. theilß am 4. april a° 1641. durch Sie Mariam, ihme hohen bahr gelühenen Gelts
Unterpfand sein soll Eine Behaußung mit allen deren Gebäwen Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie ahne Steinstraß. neben der Gartner Zunfftstuben geleg. so Zuvor umb 50. lib. weÿl. H Hannß von Trienbach geweßenen Fünffzehners seel. Kindern, Item umb 50. lib. obgedachts Urban Börß. seel. Kindern, Item umb 50. lb obgemeltem heÿdel für sein Person verhafftet, Item Zween Ackher Feldts an einem Stückh im Rubenfeld Schiltigheim Banns (…)

Aurélie Ohl meurt en 1679 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants. Le veuf fait abandon de presque tous ses biens à ses enfants en considération de son grand âge. L’inventaire mentionne deux titres de la maison, l’un dressé en 1454 et l’autre en 1498. Thiébaut Hoh, père du veuf, a en outre passé en 1583 une convention avec le poêle des Jardiniers voisin. La masse propre au veuf s’élève à 110 livres, celle des héritiers à 453 livres. L’actif de la communauté s’élève à 191 livres, le passif à 464 livres

1680 (29.1.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 1) f° 1
Inventarium und Abtheilung über Fr. Aureliæ Hohin H Dieboldt Hohen Garttners in Steinstraß haußfr. seel. Verlassenschafft
Inventarium und beschreibung Aller derienig. hab Nahrung vnd Güttere, Ligend. Vahrend. so Weÿl. die Ehren: und Tugendsame Fraw Aurelia Hohin gebohrne Ohlin, des Ehrenvest und Achtbahren herrn diebold Hohen Garttners ane Steinstraß, burgers Zu Straßburg geweßenen Eheliche haußfr. seel. nach ihrem den 24. 7.br des nechstabgewichenen 1679.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen – Actum und angefangen Donnerstags den 29.ten Januarÿ Anno 1680.
Die Abgeleibte Fraw seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. Erstlich diebold, Mariam und Annam die hohen, weÿl. diebold hohen des Jüngern Sohns, gewesenen Gartters ane Steinstraß burgers Zu Straßburg seel. hinderlaßene dreÿ Kinder Zu einen Fünfften Stammtheil, in dero nahmen Zugegen der Ehrengeachte Jacob von Fridolßheim diebolds Sohn G. U. W. burger alhie, derselbe geschw. Vogt, 2. Ferner Mariam David und Margaretham des Ehrenhafften Mr hannß Jacob Kauthen der Ehren: und Tugendsamen Frawen Aurelia Hohin in Erster Ehe Ehelich erzeugte dreÿ Kinder, deren geschworner Theilvogt der Ehrsame Georg Hohe Garttner in Steinstr: burger alhie, welcher Zugegen mit assistentz obgedachts Mr hannß Jacob Kauthen deß Vatters, Zum andern Stammtheil. 3. Weiter Andream Hohen Garttner ane Steinstraß burger alhie für sich sebsten, so Zugeg. Zum dritten. 4. Item David, Aureliam v. Mariam, weÿl. David Hohen des Jüngens Sohns geweßenen G. in Ststr. burgers alhie hinderlaßen Eheliche Kinder, in welcher nahmen gegenwärtig der Ehrenhaffte David hohe deß älter Sohn ebenmäßig G. in Ststr. burger alhie derselben geordnet und geschworner Theil Vogt, Zum Vierten, 5. So dann den Ehrengeachten hannß Hohen gleicher Gestalt Gartnern in Steinstr. und alhiesig. Burgern Zum übrigen fünfften Stammtheÿl für sich selbsten, beÿ dießem geschäfft Zugegen. Vnd also alle der Kinder vnd Enckel
Copia der Eheberedung – (…) dem Süben Zehenden Maÿ Anno 1625. Valentinus Bilger Not.
Vergleich Vber vorstehende Eheberedung Zwischendem H Wittiber, wie auch denen gesampten Erben vnd dero Geschwornen Vögten getroffen und auffgericht. Zuwißen seÿe hiemit; deme es Zuwißen von nöthen, demnach Zwaar in hievorbeschriebener Eheberedung, sonderlich aber dem 2. 3. 4. und 7.ten puncten, wie und welcher gestalten diese Verlassenschafft inventirt und beschrieben werden solle, genugsam versehen, mann auch, nachdeme die Nahrung durchauß Zu papeÿr Gebracht worden, nach Anleÿtung des Andern punctens Zu ersuchung bederseiths Unveränderter Substantiren schreiten wollen und aber in mangel der darzu benöthigten Theil register und Vogteÿ Rechnungen, Zu erwünschtem Scopo nicht gelangen können, Vnder deßen aber so wohl dam hern wittiber als auch gesampten Erben v. dero Geschwornen Vögten /:in ansehung Er H Wittiber ohne dem als ein alter Mann den Ackerbaw und eigene haußhaltung Zu übergeben, vndt sich allen mit etwas wenigen Mobilien und 6. Ackern Veldts auß und abweisen Zulaßen, die übrige gantz Verlassenschafft tam active quam passive aber denen Erben abzutretten, sich gutwillig resoluirt und selbst anerbotten:/ nicht thunlich sein beduncket, mit Anwendung Vieler Vncösten obberührter Documenta ane hand Zubringen (…), Actum Donnerstags den 12.ten Februarÿ A°1680.

In einer alhier in der Statt Straßburg Vorstatt Steinstraß neben der Garttner Zunfftstub gelegener, vnd in dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung befund. worden, wie volgt.
Erstlich Ane haußrath und vahrend. haab. In der Cammern A, In d. obern Stuben, In der Stub Cammern
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Item hauß, hoff, hoffstatt, Scheür Ställ vnd gartten, sampt allen dero gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten vnd gerechtigkeiten gelegen alhie in der statt Straßb. und dero Vorstatt Steinstraß, einseith neben der Garttner Zunfftstuben, anderseith neben hannß David von Trienbach Garttnern in bemelter Steinstraß zum theil v. zum theil neb. j. allmend gäßl. hind. ausf Weÿl. H Johann Georg Lempen des Apotheckers seel. Wittib und Erben Gartten stoßendt, davon Gehnt Jahrs 6 ß d Zinß von einem Wettertächlin auff der Statt Straßburg Pfenningthurn. Ferner 4. lb d gelts Jährlich Zinßes in 2.en posten a 4 pro Ct° alle Jahr auff Annunc. Mariæ und den 1. 7.bris Paul Heideln dem ältern Garttnern alhier, in hauptgutt lößig mit 100. lb. sonst ledig eÿgen, und ist dieße behaußung über obspecificirte beschwerden hiehero angeschlagen per 500. lb. Darüber melden 2. Lateinische perg. brieff mit des bischofflichen hoff Zu Straßburg anhangenden Insigeln verwahrt, deren der eine datirt den 15. April. 1454. sub N° 13. der andere aber geben den 16. Martÿ 1498. sub. N° 14. Darbeÿ ein perg. Vertrags brieff zwischen der Garttner ane Steinstraß Zunfftstuben vnd weÿl. H Diebold hohen des Wers. Vattern auffgerichtet mit deß Kleinen Raths der St. Str. anhangendem Insigel verwahrt de dato 26. Januarÿ 1583. auch mit altem N° 13. signirt ubd Jetztmahls darbeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. deß Hn Wittibers unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 7, Sa. der Früchten 4, Sa. des Hn Wittibers ohnveränderten Silbergeschirrs 4, Sa. Baarschafft 25, Sa. Beßerung 1, Sa. Blumen vffm Veldt 1, Sa. Eigenthumbs ane liegende güthern, (wÿdumb) 52, Sa. beßerung ane lehengüthern (Wÿdumb) 14, Summa summarum 110 lb, darunder Eÿgenthumb 44, Wÿdumb 66
Der Erben Unverändert Gutt, Sa. haußraths 82, Sa. Vaß und bütten 3 Sa. Früchten 29, Sa. Pferdt 21, Sa. Schiff und geschirr Zum Ackerbaw 7, Sa. Stroh und booßen 4, Sa. geschleißter hanffs 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Gudener ring 4, Sa. baarschafft 149, Sa. Blumen vffm veldt 6, ß Eÿgenthumbs ane einer behaußung 500, Sa. Eÿgener liegende güther 340, Sa. beßerung 42, Summa summarum 1204. lb – Schulden 750 lb, Nach deren Abzug 453 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 564 lb

Les héritiers Hoh vendent quelques mois plus tard la maison 950 livres au teinturier Frédéric Verius

1680 (13.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 349-v
(Pfund Zohlbahr. 950. lb) Jacob Von Fridolßheim diebolds Sohn gartner underwagner, alß Vogt Diebolds, Mariæ, und Annæ der Hohen, weÿland diebold Hohen deß Jüngern Sohns geweßenen Gartners ahne Steinstraß nunmehr seel. nachgelaßeneer dreÿer Kinder, ferner Georg Hohe Gartner daselbst, alß vogt Mariæ, Davidts und Margarethæ, hanß Jacob Kauthen deß Wagners, mit weÿl. Aurelia Hohin deßen geweßenen und abgeleibten Eheweib nunmehr seel. ehelich erziehlter Kinder, mit beÿstand erstgemeldt ihres eheleiblichen Vatters, Weiters Andres Hohe Gartner ahne Steinstraß für sich selbsten, Mehr David Hohe deß ältern sohn auch Gartner ahne Steinstras alß Vogt Davids, Aureliæ, und Mariæ weÿl. David Hohen deß Jüngern Sohns gewesenen Gartners daselbst ehelich erziehlter und nachgelaßener Kinder, So dann Hannß Hohe der Würth uff der Gartner zunfftstub in Steinstraß für sich selbsten, /:alle weÿl. Aureliæ Hohin gebohrner Ohlin, nunmehr seel. hochgelehrte Kinder und Enckhel:/ mit beÿstand H. Diebold Hohen Gartners ahne Steinstras dero resp. eheleiblichen Vatters und Großvatters
in gegensein Friderich Verius deß Schwartz: und Schönfärbers, mit assistentz Gisbrecht Verius deß Salpetersieders und Annæ Mariæ deßen Eheweibs, seiner Eltern
Hauß, hoff, hoffstatt Scheur, Ställ und Garten mit allen deren Gebäuwen begriffen weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Steinstraß anderseit neben der Gartner Zunfftstub daselbst, anderseit neben Hannß David Von Trienbach Gartnern in Steinstraß, hinden uff weÿl. herrn Johann Georg Lempen deß Apotheckers nunmehr seel. nachgelaßene Erben et cons. stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 6 ß zinnß Von einem Wetterdächlein der Statt Straßburg, Item 4. lb geldts iährlichen Zinnßen in Zweÿen Posten widerlößig mit 100. lb Paul Heÿdel dem ältern Gartnern ahne Steinstraß – umb 850 lb
[in margine :] (…) in gegensein Kauffend: und schuldbekennenden Friderich Verius gewesten Schwartz und Schönfärbers allhier hinterl. Wittib, Margarethæ geb. Holweinin (quittung) Actum den 28.ten Augusti 1731.

Frédéric Verius se marie la même année avec Ursule Rothaan, veuve du boulanger Jean Jacques Schranckenmüller : célébration, inventaire des apports où figurent la maison de l’épouse et celle que vient d’acheter le mari

Mariage, cathédrale (luth. f° 83-v, n° 38) 1680. Dom: XI post Trin. Zum 2. mahl Friderich Verius der Schwartz und Schönferber, Gißbrecht Verius Salpetersieders u. burgers alhier ehel. Sohn, Ursula Weiland hans Jacob Schranckenmüllers Gewesenen Weißbecken u. Burgers alhier nachgelaß. W. Donnerst. den 2*ten 7.br: Münster (i 85)

1680 (14. 8.bris), Me Theus (Philippe Henri, 59 not 14) n° 478
Inventarium vndt beschreibung aller undt Jeder haab, Nahrung Undt gütter, so d. Ehrenhafft Herr Friderich Verius, Schwartz Undt Schönferber auch burger alhier, Undt die Ehren: Und Tugendtsame Fraw Ursula Schranckenmüllerin geborne Rothänin, beede Eheleutt einander in d. ohnlängst mitt einander angetrettenen Ehestandt für unverändert Zugebracht haben, Welche Zue Verhütung all sonst übernacht etwann entstehend. streits, Wie Von beed. Eheleutten Ein Jedes das seinige in deß andern Undt hernachgemeltter beed. herrn Vögtte v. deß Ehemann seiner leiblichen Mutter – Actum Straßburg in fernerem beÿsein der Ehrenvest Fürsichtig, Weiß und Vorgeachten herrn Johann Jacob Jundten, Weißbeckers ihr d. frawen geschworenen annoch ohnentledigten, Undt H. Sebastian Schranckenmüllers Pastetenbecken v. E.E. Sibner Gerichts altten Beÿsitzers als der frawen ihres döchterleins Mariæ Elisabethæ Schranckenmüllerin geschwornen Vogts, beed. Burgere allhier, den 12. undt 14. 8.bris Anno 1680.

In einer d. Statt Straßburg Vorstatt ane Steinstraßen gelegenen und durch d. Ehemann Vor d. Ehe erkauffte behaußung ist befunden worden wie folgt
Ahne Haußrhat und Kleÿdern, In d. Cammern oben auff, In d. nebens Cammer, Im Haußöhrn, In d. obern Stuben, In d. obern stub Cammer, Im obern Haußöhrn, In d. undern Stub, In d. Kuch, Im Haußöhrn, Im hindern Cämmerlin, In dem nebens Cämmerlin, Im Keller
Eigenthum an einer Behaußung (Fr.) Item hauß v. hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, rechten, zugehörd. v. gerechtigkeit. gelegen alhier Zue Straßb. ane dem Roßmarckt so ein eck am Kleinen Roßmarckt ist, eins. v. anders. neben weÿland H Joh. Carl Stratzen geweßenen specereÿ händlers und burgers alhie seel. hinderlaßenen Erben, hinden auf (-) d. Kachler v. burger alhier stoßendt, dauon gehen jährlich auf Joh. Bapt: v. weÿhenacht. 3. lb d bodenzinß dem Stifft Jung. St. Peter alhier. Sonst über jetzgemeltte beschwerd freÿ, ledig v. eigen, v. dißmalen beÿ dem durch die 3 geschworne H. Werckmeistere beÿ voriger Inventat. beschehenen Anschlag gelaßen, nemblich 500. lb daran aber gebürt Jhro Fr. Ursulæ allein 132. lb. Und ihrem döchterlein 367 lb, daran aber hatt die Mutter neb. mehrern 2/3.theil eitt lebens Zuegenießen thun 244. lb., d. übrige 1/3.theil ist dem döchterlein pro Legitima gehörig v. dahero hernach d. passiv schuld beÿgesetzt befindlich thut 122 lb. Darüber besagt i. altter teutscher p.gam. Kauffbr. mit d. Statt straßb. anhangendem Contract Insigel v.wahrt dat. d. 5. x.bris A° 1612. not. mit altten Nris 62 v. 2. Dabeÿ noch 5. altte pgam. abgelößte Zinß V. Kauffbr. alle auch mit alttem Nr. 2. not.
(M.) Item hauß, hoff, hoffstatt, Scheür Ställ v. gartten, mit allen deren gebäwen, begriffen, Weitten, Zugehörd. Rechten V. gerechtigkeiten geleg. alhie in d. vorstatt Steinstraß, eins. neben d. Gartner Zunfftstuben daselbst, anders. neben hannß David von Trienbach Garthner ane Steinstraß. hind. auf Weÿl. H Johann Georg Lempen deß Apotheckers nunmehr seel. nachgelaßene Erben & Consorten stoßendt. Davon gehen jährl. 6 ß d Zinß Von i. Wetterdächlin d. Statt Straßb. Mehr 4. lb d gelts jährlich Zinßes in 2.en posten widerlößig mit 100. lb d Paul Heÿdeln dem ältern Gartnern ane Steinstraß. Ferner H Balthasar Böbeln S. S. Theologiæ D. et Profess. beÿ allhießig. hochlöbl. universität dene Er Verius gewieß. umb 25. lb. Item Abraham Heÿdeln d. Gartners U. Wagnern soll mann in Capital 50. lb, Weitters Paul Heidels deß jüngern Kindern an die Er gleichergestalt geweß. 50. lb, Mehr obgedachtem Paul Heÿdeln an den Er Verius auch gewieß. 100. lb,Item denen samptlich. Hohischen interessent. Kauffschillings Rest in Cap. 425. lb Nemblich Jacob von Fridelßh. Georg hohe Und Dauid Hohe allen 3.en Vögtlich. weiße, So dann Gießbrecht Verius dem Salpetersiedern V. burgern alhier sein Frid. Vattern soll lan so Er Zu Erlag deß Angelts à 4. pro Cto Zue v.zinß. hergelieh. 200 lb. Sonsten über vorangeregte Beschwerden und restrenden Kauffschilling freÿ ledig und eig. aber über gemeltte beschwerd. dißmahl. ferner nicht æstimirt. Über gemeltte Behaußung ist Vorhand. i. teütsch p.gam. kauffbr. mit d. Statt Straß. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt dat. d. 13. t Maÿ A° 1680.. Die über gedachte Behaußung besagende altte Brieffliche Documents haben die v.käuffere annoch biß Zue Völliger befriedigung Verwahrlich in hand.
Des Ehemanns Vermögen, haußraths 26, Werckzeugs zur ferbereÿ gehörig 103, Sa. Pferdt 30, Summa summarum 159 lb – Schulden aus der Nahrung zu bezahlend 137 lb – Des Manns restirende Nahrung 21 lb
Der Ehefrauen Vermögen, haußraths 255, Früchten 19, Wein und lähre faß 94, Goldenen Ringen 19, Silber geschirr und Geschmeids 179, baarschafft 257, Sa. Rindviehs 80, Pfenningzinß hauptgüter 105, Sa. Activ Schulden 70 lb, Summa summarum 1588 lb – schulden nechstbeschriebener passiv Schulden 317 lb, der Fr. ihr restirend. Zugebrachtes Vermögen 1271 lb
Der Wÿdemb So Sie Fr. Ursula Rothanin von ihrem vorigen Ehelich hauß Würth H. Hannß Jacob Schrabckenmüllern geweßenen Weißbecken und burgers alhier die tag ihres lebens Zugenieß hatt, 630. lb

Frédéric Verius et sa femme Ursule hypothèquent la maison au profit d’Arnaut Eschenbruch, chanoine du chapitre de Saint-Pierre-le-Jeune, et de Jean Thiébaut Reiss, receveur du même chapitre. En marge, quittance délivrée à la veuve du débiteur, Marguerite Holwein.

1680 (30. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 693
Friderich Verius der Schwartz und schönfärber und Ursula sein Eheweib und zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herren Johann Georg Heckhers und herrn Hannß Schellen beÿder alß auß E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein deß Hoch Ehrwürdig und wohlgelehrten herren Arnoldi Eschenbruchs Canonici und Scholastici deß Stiffts Jungen St. Peter und herrn Johann Theobald Raÿsen deß Jüngern alß Schaffners daselbst – schuldig seÿen 350 lb
unterpfand, hauß, hoff, hoffstatt Scheur, Stallung und Garten mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten allhier in der Vorstatt Steinstras, einseit neben der Gartner Zunfftstub daselbst anderseit neben hannß David von Trienbach Garthern hinden uff weÿl. herrn Johann Georg Lempen deß apotheckers nunmehr seel. nachgelaßene Erben stoßend gelegen, davon gehend iahrs 6. ß Zinnß Von einem Wetter dächlin der Statt Straßburg
[in margine :] (…) in gegensein hierinn bem. Verius des Schuldners nun seel. nachgelaßener Wittib Nahmens Margaretha gebohrner Hohlweinin (quittung) act. d. 14. Martÿ 1715.

Frédéric Verius et sa femme Ursule hypothèquent la maison au profit des enfants de Jean Philippe Gretzinger

1681 (30.5.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 257
Friderich Verius der Schwartz und Schönfärber und Ursula sein Eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstandt Herrn Christoph Schüblers Not. undt Herrn Hannß Schellen beÿdter alß auß E.E. Großen Rhats mittel ahne stat nechste Verwanther hierzu deputirter
in gegensein Herrn Stephan Gretzingers des Knöpffmachers alß Vogts Weÿl. Hannß Philipp Gretzingers nunmehr seel. nachgelaßene Kinder – schuldig seÿen 200 lb
unterpfand, hauß, hoff, hoffstatt, Schewr, Stallung undt Garten, mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier in der Vorstatt Steinstraß einseit neben der Gartner Zunfftstub daselbst, anderseit neben hannß Davidt Von Trienbach hinden uff Weÿl. herrn Johann Georg Lempen des Apotheckers nunmehr seel. nachgelaßene erben stoßend gelegen, davon gehendt Jahrs 6. ß Zinnß Von einem Wetterdächlein der Statt Straßburg
[in margine :] (…) in gegensein Margarethæ Holweinin, deß hierin gemeldten debitoris ietzmahliger haußfrauen (quittung), Act. d. 28.ten Jul. 1698

Ursule Rothaan meurt en 1691 en délaissant une fille issue de son premier mariage. Les experts estiment la maison 950 livres. La masse propre au veuf présente un déficit de 9 livres, celle des héritiers s’élève à 643 livres. L’actif de la communauté s’élève à 508 livres, le passif à 556 livres

1691 (5. 7.bris), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 14) n° 40
Inventarium und beschreibung aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güthere, so Weÿl. die Ehrn: und tugendsame fraw Ursula Veriusin, gebohrne Rothhanin, deß Ehrengeachten H. Friderich Verÿ, Schwartz: und Schönferbers, burgers alhier Zu Straßburg, geweßene Eheliche haußfr. nunmehr seel. nach ihrem den 3.ten Augusti Jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlassensch. auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: und tugendsamen frawen Mariæ Elisabethæ Böschetin, gebohrner Schranckenmüllerin, des Ehrenhafften Meister Martin Böschets, Weißbecken und burgers alhier Zu Straßburg Ehelicher haußfrawen als der Abgeleibten fr. seel. in Erster Ehe mit weÿl. dem Ehrenhafften hannß Jacob Schranckenmüllern Weißb. v. b. alhier Ehelich erzeugter dochter v. ab intestato nachgelaßener eintziger Erbin, beÿständlich erstgedachtes Ihres haußwürths und deß Ehrenvest und rechtsgelehrten herrn Jacob Christoph Pantrions Notÿ. publ: et Jur: – Actum Mittwochs den 5.ten 7.bris Anno 1691.

In einer allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Steinstraß gelegener, vnd in dieße Verlassenschafft gehöriger behaußung befund. word. wie volgt.
Eÿgenthumb ane einer behaußung (E.) Item hauß und hoffstatt mit allen dero gebäwen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Straßb. ane dem Roßmarck einseith ists ein Eck an gedachtem Roßmarckh, and.seith neben Niclaus Pfaffen dem buchbinder, hind. auf Andres Hindermeÿer den Kachler stoßend gelegen. Davon gehen Jährlich auf Johannis Baptistæ und Weÿhenachten 3. lb d. boden Zinnß dem Stifft Jung. St. Peter alhier, sonst freÿ, ledig eÿgen und hiehero angeschlagen umb 500. lb. daran Gebührt Fr. Mariæ Elisabethæ Böschetin der Erbin vermög dero Groß Vätterlich. theil Registers de Anno 1674. fol: 16.a vorauß eigenthümlich 102 lb. Ferner ist wegen deß in dießer behaußung Gemachten Bachoffen abzunehmblich Ziehen verglichen worden 10, Summa dießer beeder posten ist 112 lb, restiret noch 387 lb. Daran ist der frawen seel. ein dritter theil Gebührig geweßen, thut so deßorths außzuwerffen 129. 6. 7 1/3. Am übrigen Zweÿten theil hat dieselbe widumb zwo Tertzen wÿdumbs weiß genoß. v. ist die übrige tertz der Erbin wegen dero Vätterlicher Legitimæ Zuständig. Darüber besagt ein alter teütscher Pergam. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangendem Contract Insigel verwahrt datirt den 5. x.bris anno 1612. mit alten Nris 2. et 62. Dabeÿ noch 5. alte abgelößte Perg. Zinß v. Kauffbr. alle auch mit altem N° 2. signirt.
(W.) Item hauß hoff, hoffstatt, Scheür, Ställ v. Gartten, mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten, gelegen alhier in der Vorstatt Steinstraß, 1. seith neben der Gartner Zunfftstub daselbst, 2.seith neben H hannß david von Triembach dem Gartner hinden auff H Lempen deß Apotheckers Gartten stoßend. Davon geh. Jährlichen 6 ß d. Zinnß von einem Wetterdächlein Gemeiner Statt. Mehr 4. lb d. Gelts widerlößig in Capital mit 100. lb d. weÿl. Paul Heÿdels deß ältern seel. Erben, Weiters ist dieße behaußung Verhafftet Abraham heÿdeln G. U. W. umb 50. lb. Ferner Paul Heÿdels deß Jüngern Kindern umb 150. lb., Item dem Stifft zum Jungen S. Peter alhie umb 350. lb. So dann H. Stephan Gretzingern dem Knöpffmacher v. Seidenhändlen alhier umb 75. lb d. Capital, Sonsten ffreÿ ledig eigen, Vnd über gedachte beschwerden hiehero durch der Statt Straßburg geschworne Werckleüth Angeschlagen umb 219. Welcher gestalten der Wr. dieße behaußung von den hohischen Erben erkaufft, meldet j. teutscher perg: Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verw: datirt den 13. Maÿ aô 1680. Dabeÿ noch und. schiedene alte perg: Kauff: v. abgelöste Zinnßbrieff.
– Abschatzung freitags d 7. 7.bris 1691. Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheidten Meister fridrich Berius burger Undt schwartz ferber behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Steinstraß Ein seits Neben hannß dauit Von grünbach dem gartner ander Seits Neben der E. E. Zunfft der gartner in der stein straß hinden auff H: Andres Leumben dem Apothecker Stoßent, Welche forder hauß Neben gebeüg hoff scheur stallung mit Samt ein garten ein gebälckter Keller Undt Vier eingemaurte farb Keßel auch aller übrigen begriff Recht Vnd gerechtigkeit Wie solches durch die geordnete Werckleut in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß vnd Wërt nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Ein Tausent Neun Hundtert Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckhleut, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs, Johannes Berga Werck Meister des Maurhoffs.
Ergäntzung deß Wittibers ermanglend. Unveränderten Gutts. Auß dem durch Hn Notm: Philipp Heinrich Theum über die Zugebrachte Nahrung in aô 1680. auffgerichtetem Inventario.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Wittibers unveränderte Nahr. Sa. Werckzeugs Zur ferbereÿ gehörig 50, Sa. Eigenthumbs an einer behausung 219, Sa. der Schuld 75, Ergäntzung &, Summa summarum 344 lb – Schulden 353 lb, Übertreffen also deß Wittibers unveränderte passiva, vorherbeschriebene desselben gantze unveränderte Activ Nahrung dem anschlag nach nemblichen 9 lb
Der Erbin Unverändert Vermög. Sa. haußraths 62, Sa. Leerer Vaß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener ring 11, Sa. Eigenthums ane einer behauß. 129, Sa. der Schulden 37, Ergäntzung (782, Abgang 322, Rest) 460, Summa summarum 718 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 643 lb
Theilbahr Gutt. Sa. haußraths 23, Sa. Werckzeugs und Gemachter arbeit Zur ferbereÿ gehörig 49, Sa. Frucht 2, Sa. Leerer Vaß 4, Sa. Pferdts auch Schiff und geschirr Zum fuhrwerckhs gehörig 22, Sa. Häw 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. der bawcösten 10, Sa. Schulden 392, Summa summarum 508 lb – Schulden 556 lb. Übertreffen also die theilbahre passiv Schulden, vorherbeschriebene Gantze theilbare Verlassenschafft dem Anschlag nach umb 48 lb – Conclusio 815. lb
Wÿdumb, Welchen die Abgeleibte von Weÿ. H. hannß Jacob Schranckenmüllern Geweßenen Weißbeck und burgern alhier Zu Straßburg, Ihrem Ersten haußwürth seel. ad dies vitæ genoß. wavon das Eigenthumb auff die dochter v. Erbin erwachß. 172 lb
Copia der Heuraths: Verschreibung, perge Prot: C. fol: 266.b et seqq.
Copia Letzten willens Cassation, p.ge in Proth: C. fol: 268.b ert seqq.

Le veuf se remarie avec Marguerite Hohlwein, fille de cordier, qui fait dresser l’inventaire de ses apports
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 32-v)

1691 Domin: XXIV. post Trinit. et Dom: i. Adventus proclamati sunt Friderich Verius der schwartz u. schönfärber v. burger alhier Vndt Jfr. Margaretha hrn Dietrich hohlwein deß Seÿlers v. burgers alhier ehl. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 5. 10.bris [unterzeichnet] Friderich Veriß als hoch zeider, Margreda holweinin als hoch zeiterin (i 35)

Inventaire des apports dressé dans la maison du mari au Faubourg de Pierre
1692 (3.1.), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 30) n° 293
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so die Ehren: und Tugendsahme Fraw Margaretha Veriußin, gebohrne Hohlweinin, Zu dem Ehrengeachten Meister Friderich Verius, dem Schwartz und Schönfärbern, auch burgern allhier zue Straßburg ihrem geliebten haußwürth in die Ehe gebracht, welche der ursachen allweilen in ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteter Eheberedung außtrucklich. versehen, daß einem jedem derselben seine in die Ehe Zubringende Nahrung unverändert sein, auch was davon stehend. Ehe verändert werden wird, künfftig mit gebührenden billichen wehrt wid. erstattet und ergäntzt werd. solle, inventit durch Sie die Fr. selbsten mit beÿstand der Viel Ehren und Tugendsamen Frauen Mariæ hohlweinin gebohrner Huberin, des Ehrenvest und Vorgeachten herrn Dietrich Hohlweins Seilers und burgers allhier ehelicher haußfrau dero eheleiblichen Mutter in gegensein obgedacht ihres haußwürths geäugt und gezeigt – Actum Straßburg den 3.ten Januarÿ A° 1692.

In einer in d. Statt Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegener, vnd von beeden Eheleüth. bewohnten behaußung befund. word. wie volgt.
Abzug in dieses Inventarium Gehörig. Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 54, Sa. baarschafft 51, Summa summarum 104 lb
Der Frauen Vorhingehabte Nahrung Hie Vorspecificirte, Sa. der Frauen Vorhingehabte, haußraths 91, Sa. Silbers 2, Sa. Guldene Ring 17, Sa. baarschafft 6, Summa summarum 117 lb
Summa summarum 228 lb – Haussteuren 19 lb Daran gebührt der Frauen vor ein dritten Theil 6 lb
Des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung anbelangend ([biffé] Werckzeug Zum Schwartz und Schönferber handwerck gehörig 75 lb)

Frédéric Verius hypothèque sa teinturerie au profit de sa belle-fille Marie Elisabeth Schranckenmüller et de son mari Martin Bœschet

1693 (25.5.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 414
Friderich Verius, der Schwartz und Schönfärber, mit beÿstand H. Dietrich Hohlwein, deß Seÿlers, seines Schwehervatters, an einem
So dann Martin Böschet der Weißbeck, alß Ehevogt Mariæ Elisabethæ gebohrne Schranckenmüllerin, mit beÿstand Hn Jacob Christoph Pantrion Notarÿ Publ. am andern theil
demnach Sein Verius erste haußfrau Ursula gebohrne Rothhanin sel. todes verblich. und Er Verius weg. der guths Ergäntzung eine Zimlicher Summ in abrechnungs schuldig verblieben, darüber Sie sich über abzug besagt. 100 lb auff 272 Pfund mit einander verglich. (…)
dafür in specie Und.pfand sein solle deß debitoris Färbhauß sambt all. gebaüen Und Zugehördt, allhier in d. Vorstatt Steinstraß, einseit neb. hans David von Trienbach den garttner, and.seit neb. der Garttner Zunfftstub, hind. auff H. Andreæ Lampen, deß apotheckers und E.E. großen Raths beÿsitzers Gartten stoßend gelegen, darvon geh. jährlich 6 ß d bodenzinß der Statt Pfenningthurn
[in margine :] (…) in gegensein Margarethæ gebohrne Hohlweinin hierinn ged. Friderich Verius des Debitoris ehelicher haußfrauen mit beÿstand hans Jacob Verius, des Sattlers ihres Schwagers an statt ihres Ehevogts (cassirt), den 27. mart. 1699

Accord passé entre le poêle des Jardiniers et Frédéric Verius, annexé à l’inventaire de 1711. Frédéric Verius est autorisé à conserver les jours qu’il a ouverts vers la propriété voisine sans cependant pouvoir y suspendre quoi que ce soit. La clôture en lattes devra suivre une ligne droite. Les deux parties s’accordent quant aux chenaux qui recueillent l’eau de pluie. Le toit du poêle, couvert de tuiles creuses, ne devra pas porter préjudice à celui de Verius, couvert de tuiles plates.

1696 (3. Xbris), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 91) Joint au n° 836 du 14. déc. 1711
In Sachen E. E. Zunfft der Gartner ahne Steinstraß und H Johann David Von Trienbach, vnsers Rhats jetzmahligen beÿsitzers, Clägern, contra Friderich Ferius, den Färber und burger alhie, becl. ist beÿ eingenommenen augenschein durch vermittlung vnßers Rhats Deputirter, H Johann Roßers und H Johann Jacob Kiehl, volgender güthlicher vergleich getroffen, auch demselben getreulich nach zugeleben mit mund und hand angelobt vnd versprechen Worden.
Nämblichen vnd Zum Ersten so solle Zwar beclagter seine in seiner Trückeneÿ auff bede cläger gehende liechter offen Zu laßen berechtigt, dannoch aber in das künfftige ferners nichts Vor dießelbige Hinauß vber der Clägern Grund Vnd Boden Zu Hencken, sondern solche mit latten alßo daß mann mit dem Kopff nicht durch kommen Kan, Zu Zumachen schuldig, auch im fall einer oder ander von Clägern ins künfftig auff seinem grund vndt boden bawen, vnd den baw vor des Beclagten Liechtern aufführen wolte, solches Ihnen zuthun vnverwehrt seÿe.
Zweÿtens betreffent des beclagten auff seithen der Zunfft stehende diehlenwand in dem garten, solle dieselbige wiederumb gerad vnd nach der schnur gesetzt Werden.
Drittens solle derjenige steinern Nach, so auff der Zunfft Maur ligt, so lang vnd viel der beclagte das waßer von seinem Tach darein richtet, ins gemein, das vberzwerche Nächel aber von dem Färber, alß welcher der Zunfft reegen waßer Zu empfangen schuldig, allein auff seinen costen jederzeit vnterhalten werden, solte aber der Färber künfftig hien daß waßer von seinem Tach nicht mehr in der Zunfft Nach leÿten, solle er von deßen unterhaltung befreÿet, vnd allein das vber zwerche Nächel Zu erhalten, oder wenigsten seinen baw alßo, daß der Zunfft Waßer in sein Färbers hauß den abfall haben könne einzurichten schuldig seÿe.
Viertens vnd letztens solle die zunfft jhr Hohlzigeltach, welches auff das Färber breitdach stoßet jederzeit daß dardurch des Färbers behaußung Kein schaden geschehen möchte, in guthem stand zu erhalten Verbunden seÿe. Comp. exp:
Actum Donnerstags d. 29.t 9.bris. Lect: et Conf. beÿ E. E. Kl. Rhat Montags d. 3. Xbris A° 1696 – Johann Friderich Ösinger E. E. Kl. Rhats referens.

Frédéric Verius meurt en 1711 en délaissant cinq enfants mineurs. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre à la veuve est de 581 livres, celle des héritiers présente un déficit de 183 livres. L’actif de la succession s’élève à 888 livres, le passif à 722 livres. Les héritiers s’accordent sur les sommes qui ont servi à construire la teinturerie

1711 (14. Xbris), Me Lang (Jean Régnard, 29 Not 91) n° 836
Inventarium und beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿl. d. Ehren und Vorgeachte Hr Friderich Verius, geweßener Schwartz: und Schönfärb. auch burg. allhier zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem den 8.t Julÿ dießes Zu end lauffenden 1711.t jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen v.laßen, Welche Verlassenschafft auf freundliches ansuch. erfordern und begehren d. Ehren und Tugendsamen frauen Margarethæ Wimmerlinin gebohrner Veriusin des Ehren und vorgeacht. Hn Johann Friderich Wimmerlins Weißgerbers u. burgers allhie ehelicher haußfrauen mit beÿstand deßelb. wie auch des Ehren: u: Vorgeachten H Frantz Verius Kammachers und burg. allhie als geschwornen Vogts Jgfrau Annæ Mariæ, Annæ Barbaræ, Friderichs, Johann Michaels und Mariæ Elisabethæ dießer fünff letztere aller noch ledig. standts allßo aller sechs des abgeleibt. Hn Verius seel. mit hermachgemelt. seiner hind.bliebenen Wittib ehelich erziehlt. Töcht. u. Söhne, auch ab intestato zu gleich. Antheilen Verlaßener Erb. inventirt, durch die viel Ehren und Tugendsame Frau Margaretham Veriusin geb. Hohlweinin, die hind.bliebene wittib mit assistentz des Ehren und Vorgeacht. Hn Ambrosius Kornen, Kieffers u. burgers allhier ihres geordnet. Curatoris wie auch die beede ältiste Töcht. (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg den 14.ten Decembris Anno 1711.

In einer in der statt Straßburg in d. Vorstatt Steinstraß gelegen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befund. worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In d. Stub Cammer, Im obern haußöhren, In des Officiers Cammer, In d. Magd Cammer, Ins Knecht Cammer, In d. Wohnstub
Ergäntzung d. Wittib ohnveränderten. Nach besag Inventarÿ (…) dh. mich Notm. Joh: Reinhard Langen in Anno 1692. gefertiget (…)
Ergäntzung d. Erben ohnveränderten Guths. Laut Inventarÿ über Weÿland Frawen Ursulæ Veriusin gebohrner Rothannin, des abgeleibten seel. ersterer haußfrawen auch seel. Verlaßenschafft durch H. Johann Heinrich Langen seniorem Not. publicum in Ano 1691. auffgerichtet (…)
Eigenthumb ane einer behaußung (E.) Eine behaußung, hoff, hoffstatt, Scheür, Ställ und Garthen mit aller deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörd. recht. und Gerechtigkeit. geleg. allhier in Straßburg in der Vorstatt Steinstraß, eins. neben E. E. Zunfft der Gartner allda zunfftstuben, anders. neben weÿland herrn hannß David von Trienbach Gartners ane Steinstraß und .E .E Kleinen Raths alt. beÿsitzer seel. hinderbliebener Wittib hinden auff herrn Andreß Lampen vornehmen Apotheckers und des beständig. Regiments der herren XV. allhier Assessoris Garthen stoßend, davon gehen jährlich. 6. ß d Zinnß von einem Wetterdächlein allhießig. Statt Straßburg Pfenningthurn in haubtguth gerechnet pro 120. lb, Mehr ist dieße behaußung verhafftet Hn Abraham Hÿdeln Gartnern underwagnern und E. E. Kleinen Raths alt. beÿsitzern in Capital umb 50. lb. Mehr hrn. Johann Paul Reißeißen, Goldarbeitern und burger, allhier als gewesenem Ehevogt Fr. Mariæ Magdalenæ Reißeißin gebohrner Heÿdelin in Capital umb 150. lb. Weiter dem Stifft Zum Jung. St Peter allhier in haubtg. umb 350. lb. Summa dießer auff vorherg. behaußung und Garth. stehender beschwährden ist 562. lb. sonsten ist dieße behaußung und Garthen freÿ ledig und eigen und theils durch (die Werckmeistere) den 4. Decembris A° 1711. theils aber und so viel in specie den Gart. betrifft durch herrn Johann Hugen E. E. Kleine Raths alt. beÿsitzer und herrn Johann hohen beede Gartnere ane Steinstraß und geschworne Schätzer allda den 13. bemelt. Monats Decembris über besagte darauff stehende beschwährd. angeschlagen pro 438. lb. Allweilen aer wehrend. dießer Ehe auff solcher behaußung weÿland Herrn Paul Heÿdels des ältern gewesenen Gartners Unterwagnern seel Erben ane Capital 100 lb. Mehr herrn Stephan Gretzingern dem Knöpffmachern und Seidenhändlern allhier Vögtlicher weiße Cap. 75 lb bezahlt, auch über dießes wehrender dießer Ehe das Färbhauß und hinderhauß vom boden auff new gebawen worden davor der Baw Costen den 3.ten Decembris 1712. obwohlen es ein mehrern anbetroffen dannoch sammenthafft zu setzen beliebet worden auff 250. lb. Welche 3. posten so als eine theilbahre beßerung auff solch d. Erben ohnverändert behaußung Zurechnen, dahero hernach fol: (-) fac: (-) auch und. d. theilbaren verlassenschafft d.gestalt eingetrag. befindlich, und dißorths abzuzieh. sammenthaft antrifft 425. lb. Als bleiben ane obigem haußanschlag den Erben vor ohnverändert einzutragen mehr nicht übrig als 13 lb.
Wie aber der abgeleibte seelig dieße behauß. von denen Hohisch. Erben erkaufft, darüb. sagt i. teutsch. pergam: Kauffbrieff mit d. statt straßb. anhang.dem Cancelleÿ Contract Innsigel mit jetzigem N° 3 signirt, darbeÿ noch und.schiedene alte pergamentener Kauff und abgelößte Zinnßbrieff.
– Abschatzung den 4° Decembris 1711. Weÿland deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Friderich ferius ferber seel. hinder laßene fraw wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Stein straß gelegen, einseith neben E. E. Zunfft der Gartner, ein Eckh ein allmend gäßel, hinden auff S. T. Herrn XV.r Lemppen Garten stoßendt, welche behaußung Laden, Gebälckter Keller, Farb hauß, Mittel gebaw, hindergebaw, Mang, die häng, Stallung, hoff, hoffstatt und brunnen, sambt aller Jrer rechten und Gerechtigkeit durch der Statt Straßburg Geschworne Werckmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. Vor und umb. Eintaußend und Achthundert Gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 48, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. guldener Ring 15, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthumbs ane liegende güthern 75, Sa. ligende lehengüther 2, Sa. Schulden 50, Ergäntzung (407, abzuziehen 32, verbleibt) 375, Summa summarum 581 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung. Sa. haußraths 22, Sa. lähren Vaß 3, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 13, Ergäntzung (311, abzuziehen 485, zu ergäntzen schuldig 174), Summa summarum 40 lb – Schulden 224 lb, Conferendo übertreffen der Erben unveränderte Passiv Schulden deroselben ohnveränderte Activ Nahrung umb 183. lb
Das gemein Verändert und Theilbar Guth. Sa. haußraths 125, Sa. Schiff und geschirr Zum Ackerbau gehörig 11, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit zur färbereÿ gehörig 51, ß Meels 5, Sa. Saamens auf dem Veldt 2, Sa. Tabacks 8, Sa. Viehes 7, Sa. häus, Stroh, booßen und beßerung 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. goldenen Ring 3, Sa. lehenguths 1, Sa.beßerung auf der Erben ohnveränderten behaußung 425n Sa. Schulden 238, Summa summarum 888 lb – Passiv Schulden 722 lb, Nach deren Abzug 166 lb
Beschluß summa 693 lb davon aber abgezogen wird, der Erben zu bezahlend. Schulden rest 128, So wird ane dießes Inventarÿ gantz Verlassenschafft annoch per rest übrig verbleiben 563 lb
Copia der heuraths verschreibung. – zwischen dem Ehrengeachten Meister Friderich Verius, Schwartz und Schönfärbern, auch burgern allhier Zu Straßburg als dem braütigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Margarethæ Hohlweinin, deß Ehrenvest und Vorgeachten herrn dietrich Hohlweins des ältern Seÿlers und hiebevor E. E. Stattgerichts allhier beÿsitzers ehelich erziehlter Tochter als der Jungfer hochzeiterin am andern theil – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Sambstag den 3. tags des Monaths Novembris newen Calenders im Jahr als mann nach Christi unßers einigen Erlößers und Seeligmachers geburth Zahlte 1691. Johann Reinhard Lang Notarius juratus
Copia Codicilli – Im Jahr 1711 (…) auff Mittwoch den 8. Monatstag Julÿ Nachmittag Zwischen dreÿ und Vier Uhren in einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß ligenden dem Herren Codicillirer eigenthümlich zuständigen behaußung dero understen Stuben mit den fenstern in die Steinstraß sehend (…) Persönlich erschienen der Ehren und vorgeachte herr Friderich Verius Schwartz und Schönfärber auch burger allhier Zu Straßburg, zwar Krancken und schwachen Leibs auf einem bette sitzend (…) Johann Reinhard Lang Notarius juratus
– Verglichene Puncten wegen Herrn Friderich Verius des Schwartz und Schönfärbers seel. Verlassenschafft Inventation.
der blu* do der Frau Wittib wegen ihrer Mütterlicher ligenden güther gebührig war (…)
die Frau Wittib hat sich resoluirt und ercläret, ane statt der jenigen Kleÿdung und weißen gezeugs so dieselbe in die ehegebracht sich mit der jenig. Kleÿdung (…)
wegen der jenigen Baw Cösten, so die Fraw wittib vor dem hindern baw auffzuführen, wie auch (das) alte Farbhauß new auff zu(füh)ren gefordert, davon die Baw Costen von dem Farbhauß vermög eines buchs in quarto sich beloffen auf 369. R 8 d.
dazu noch Herrn Bindenschuchs des Zimmermanns Zedul kommet welcher antrifft 191. R 2 ß 3 d, davon aber demselben bereits 90. fl. bezahlt, so unter vorstehenden 369. fl. 8. s begriffen, ist verglichen, daß obwohlen ein weit mehrers ane des verstorbenen seel. Färbhauß gewendet worden, und noch nichts von dem hindern baw new auffzuführen gerechnet, dannoch umb allerseits in fried und einigkeit von einander zukommen, vor alle die jenige baw Costen, so wehrender Ehe ane des abgeleibten Herrn Verius seeligen hauß verwendet worden, sie mögen nahmen wie sie wollen, bevorab auch da unter des Zimmermanns Zedul verschiedene posten begriffen, so nur flickhweck seind, sammenthafft 250 Pfund pfenning vor den Erben in die theilbare Verlassenschafft guth zuthun und als eine theilbare beßerung auff der Erben ohnveränderten behaußung eingetragen werden solle.
Was mann Frauen Mariæ Elisabethæ Böschettin gebohrner Schranckenmüllerin, Martin Böschets des Weißbecken und burgers allhier haußfrawen des herrn Verius seel. Stieff Tochter wehrend. Ehe vor Mütterlich guth bezahlt, dahero deßen Erben Ergäntzung abzuziehen ist verglichen, in allhießiger Cancelleÿ Contractstuben nachzusehen. Welches alles also verglichen in mein Notarÿ wohnbehaußung Sambstags den 3. Xbris 1712.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres)
1714, VII 1175 – Livres de la Taille f° 92
(Tucher, F. N° 1331) Weÿl. Friedrich Verÿ deß geweßenen Schwartz und Schönfärber auch burgers alhier Verlassenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv. ist fol. 132, 563. lb. 10. ß, die machen 1100. fl. verstallte nur 1000. fl. alßo Zu wenig 100. fl.
Worvon der Nachtrag, alß von ohnverändertem Guht gerechnet wird auff acht Jahr in duplo macht à 6 ß., 2 lb 8 ß
Und auff sechs Jahr in simplo trifft à 3 ß, 18 ß
Extat das Stallgelt pro 1713. et 1714., 5 lb 14 ß
Angesetzte Straff, wegen übertrettener Gebott 1 lb
Gebott, 8 ß
Abhandlung 15 ß 6 d, Summa 11. lb
dt. 3° Septembris 1714.

Marguerite Holwein continue à exploiter la teinturerie. Ses employés sont inscrits jusqu’en 1738 dans le registre ouvert en 1719.

Registre d’inscription des employés (cote XI 80, Drapiers) Einschreibbuch
(f° 75) Joh: Friderich Verius des Schönferbers Wittib.
Sebastian Huckh von Meltz außm Seergantzerlandt d. 30 Julÿ 1719.
Peter Birßon Von Hohfelden d. 15 8.br 1724
Anthoni Batz Von Hirschberg in Böhmen eod: die
Joh: Schmidt von Blau d. 11 Aprilis 1728.
Rudolph Ehrenfried Alenfeld auß fewesleben d 20 april 1732
Friderich Kammüller von Cander in breußgaw eod. die
Eugidi Hopff von Nirrenberg den 11.den Decembris 1735.
hannß Paulus Ragerer, v. New Eding d 30 7.br 1736
Joh: Gottfried Zimmerhäckel Von Rocklitz in Saxen d. 8.ten Julÿ 1737
Mathias Hadenmann v. Schlettstatt d 8. Jan. 1738.
Andreas Dorn v. Backenau aus d. Wurtemb. d 28 7.bris 1738

Marguerite Holwein meurt trente ans après son mari, en 1742 en délaissant quatre filles ou leurs représentants. Les experts estiment la maison 1 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 857 livres, le passif à 382 livres.

1742 (7.5.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 32) n° 660
Inventarium über weÿland Frauen Margarethæ Veriußin gebohrner Hohlweinin, weÿl. Johann Friderich Verius gewesenen Schwartz und Schönfärbers auch burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1742. – nach ihrem den 23. Aprilis dieses Jahrs genommenem tödlichem hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen und begehren der Verstorbenen seel. mit ihrem vorgemelten Ehemann seel. ehelich erzeugter und ab intestato Zu Erben Verlaßener Töchter und Enckel – So beschehen Straßburg in gegensein herrn Ambrosÿ Kornen des ältern Kieffer und burgers allhier, der Frau seel. gewesenen Geschwornen Vogts auf Montag den 7. Maÿ Anno 1742.
Die Verstorbene seel: hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1. Weÿl. Frauen Margarethæ Wimmerlinin gebohrner Veriußin herrn Joh: Friderich Wimmerlin, weißgerbers und burgers allhier gewesener Ehegattin seel. nachgelaßenee fünff eheliche Kinder nahmentlich Frau Catharinam Margaretham Hellbein gebohrne Wimmerlinin Johann Samuel Hellbe, Schuhmachers und burgers allhie Ehegattin, so mit beÿstand ihres Ehemanns zugegen war, Jgf. Mariam Barbaram Wimmerlinin so mit beÿstand herrn Johann Daniel Stöber Notarii publici et Practici allhier anwesend war, Johann Friderich Wimmerlin, Sattlergesellen dermahlen auff der Wanderschafft sich befindend, Jgfr. Annam Mariam Wimmerlinin und Mariam Elisabetham Wimmerlinin, davon die dreÿ letztere bevögtiget mit herrn Georg Jacob Knollen Rothgerber und Lederbereiter auch burgern allhier so sich auch hiebeÿ eingefunden und vorgedachten herrn Notarium Stöber Zu seinem Assistenten angesprochen hatte.
2. Frau Annam Mariam Wentzelin gebohrne Veriußin herrn Johann Michael Wentzeln müllers Zu Mittelbergheim und burgers allhier zu Straßburg Ehegattin, so nebst dero Ehemann hiebeÿ erschienen.
3. Frau Mariam Barbaram Orriin gebohrne Veriußin, herrn Jacob Orrÿ, Leinenweber und barchet Krämers auch burgers allhier Ehegattin so nebst deren Ehemann dießem Geschäfft abgewart.
4. Frau Mariam Elisabetham Würtzin gebohrne Veriußin herrn Bernhard Würtzen, Schuhmacher und beÿsitzers allhier Ehegattin, so nebst deren Ehemann dieser Inventation beÿgewohnt
Alle Vier der Verstorbenen seel: mit Eingangs gedachtem ihrem Ehemann seel. ehelich erzeugte Töchtere und Enckel auch Zu gleichen Stammtheilen Verlaßene Erben.

Höltzen und Schreinwerck. In der gesellen Cammer, In der nebens Cammer, Vor gedachter Cammer, In der obern Stub Cammer, In der obern Stub, In dem hauß Ehren, In der officiers Gemach, In der untrn Wohnstub, In der Kuchen, In dem hauß Ehren, In dem Keller
(f° 9) Eigenthum ane einer behaußung. Eine behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställ und Garthen mit aller deren Gebäuwen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier in Straßburg in der Vorstatt Steinstraß, einseith neben E. E. Zunfft Stub der Gartner allda, ander Seith Vornenhero neben einem gemeinschaftlichen Gäßel, die übrige länge neben Johann Daniel Schweighäußer dem Sattler, hinden auff den Lampenischen Garthen stosend, davon gehen Jährlichen auf Joh. Bapt: 6. ß d von einem Wetterdächlein allhießiger Statt Pfenningthurn, sonsten ist dieße behausung und Gerechtigk. freÿ, ledig und eigen, und theils durch die allhiesig geschworne Werckmeistere laut deren schrifftlichen Abschatzung de dato 10. May A° 1742. theils aber und so viel in specie den Garthen betrifft durch herrn Michael Baur, geschwornen Schätzer beÿ EE Zunfft der Gartner ane Steinstraß den 12. besagten Monats angeschlagen worden vor 1060 lb. Davon abgezogen Vorgemelte darauff hafftende beschwerden, so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 12. lb. So Verbleibet ane dem Anschlag übrig 1048. lb. Darüber besagt ein teutsch. pergam: Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhang. C C Inns Verw. datirt den 13. May A° 1680 mit a. N° 3 notirt, außweißend wie der Erben Vatter seel. solche behaußung Von denen hohischen Erben erkaufft.
– Abschatzung dem 10. Maÿ 1742. Auff begehren weillandt der Weill: Ehr und tugendsamen frau Margrehta feriusin der gewëßenen fërberin seel. hinderlaßener Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, in der Stein Straßen gelegen, ein seitß Neben der gartner Stuben, anderseitß an Meister schweighauser dem Satler, hinden auff H Ameister Lempen seel: Erben Stoßent, wëlche behausung unden ein gangß ein stube, Kuchen, hauß Ehren der hoff und bronen ein getrëmbter Keller oben ihm Ersten Stock, ein Stuben Cammer, Kuchen, hauß Ehren ein Cammer Vor dem officier, under dem tach 3: Cammern der dach stull mit Zweÿ höltzern gëblen besetzte bienen, ihm hoff rëchter handt, daß seiten gebau darinnen undten die farb Këßell hind. daran die Mang und der Stall welches sëhr alt und baufellig. die scheur mit einen Vierten theill sambt aller gerechtig Keit wie solches turch der statt Straßburg geschwornen werck Meistere sich in der besichtigung befundten, und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Umb. Zweÿ Tausent Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg Geschwornen, wërck Meistere. [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohnere, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Hierauff Wird nun die Verlassenschafft, Wie sie solche in hernach inventirter behaußung befunden Vor und an sich selbsten beschrieben. Sa. Haußraths 193, Sa. Sein und Faß 30, Sa. Pferd und Karch 10, Sa. Anschlags der blumen auf dem feld 5, Sa. Silbers 13, Sa. goldene Ring 9, Sa. baarschafft 429, Sa. Pfenningzinß hauptguths 75, Sa. Anschlags der behaußung 4048, Sa. Anschlags der liegende Güther 25, Sa. Activ Schulden 17, Summa summarum 1857. lb – Schulden 382 lb, Über deren Abzug 1475 lb
– Anlangend die behaußung. Demnach die ane der Steinstraß gelegene Farb behausung Zum Zweÿten mahl Versteigert worden, so ist selbige herrn Johann Michael Wentzel dem Müller Zu Mittelbergheim und Frauen Annæ Mariæ gebohrner Veriußin beeden Eheleuthen und burgern allhier alß dißorthigem Tochtermann und Tochter als letzt und meistbietenden in der Steigerung Verblieben, auch ihnen den 3. Augusti A° 1742. in allhiesiger Cantzleÿ Contract Stub zugeschrieben worden um 4610. fl. oder 2305. lb

Les héritiers cèdent leurs part de maison à leur sœur Anne Marie Verius et à son mari Jean Michel Wentzel, bourgeois de Strasbourg, pour lors meunier à Mittelbergheim

1742 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 383
Fr. Barbara geb. Veriußin Jacob Orry des leinenwebers ehefrau, mehr Fr. Maria Elisabetha geb. Veriußin Bernhard Würtz des schuhmachers ehefrau, so dann Georg Daniel Knoll der rothgerger als vogt Johann Friedrich Wimmerlins des weißgerbers mit weÿl. Fr. Margaretha geb. Veriußin seiner ehefrau erzeugter dreÿ minorennen kinder Anna Maria, Maria Elisabetha und Johann Friedrich der Wimmerlin, ferner Fr. Anna Margaretha geb. Wimmerlin Samuel Hellwig des schuhmachers ehefrau, Jfr. Maria Barbara Wimmerlin beÿständlich ged. Wimmerlins ihres vatters
in gegensein Johann Michael Wentzels des müllers von Mittelbergheim und burgers allhier und Annæ Mariæ geb. Veriußin (laut) erkanntnus vom 28. julÿ jüngst obrigkeitlich confirmirter versteigerung
dreÿ vierte theil vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder und hinderhauß, scheur, stallung, garten, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Vorstatt Steinstraß, einseit neben der Gartner daselbst zunfft stub, anderseit ist ein eck am Allmend, hinten mit dem garten auf Lempischen garten, von solcher gantzen behausung gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 6 ß ane bodenzinß – jedem Veriußischen verkäufer zu einer quart, den Wimmelinischen samtlichen geschwistrigen zum dritten quart und der käufferin zur übrigen quart als respectivé mütterlich und großmütterlichen erben – umb 1778 pfund

Jean Michel Wentzel et Anne Marie Verius hypothèquent le même jour la maison au profit de leur belle-sœur et sœur respective, Marie Elisabeth Verius femme du cordonnier Bernard Würtz

1742 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 386-v
Johann Michael Wentzels der müller von Mittelbergheim und Anna Maria geb. Veriußin mit beÿstand ihres schwagers Jacob Orry des leinenwebers und ihres vettern Samuel Hellwig des schuhmacher [unterzeichnet] HMW
in gegensein ihrer respectivé schwester und schwägerin Fr. Mariæ Elisabethæ geb. Veriußin, Bernhard Würtz des schuhmachers ehefrau – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, scheur, stallung, garten, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Steinstraß, einseit neben der Gartner daselbst zunfft stub, anderseit ist ein eck am Allmend, hinten mit dem garten auf Lempischen garten – von solcher gantzen behausung gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 6 ß ane bodenzinß – als ein theils anheute erkaufft theils ererbtes guth

Fils de préposé à la Grue, le meunier Michel Wentzel épouse Anne Marie Verius en 1715. Il acquiert le droit de vanner le grain en 1743 à la tribu de la Lanterne dont il dépend et cotise la même année à la tribu des Boulangers pour jouir du droit de farine et de semoule
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 18, f° VII)

1715. Festo Pentecostes et SS Trinitatis proclamati sunt. Michael Wenzel der ledige Müller und Burger Johann Wentzel deß Sinners am Gran und Burgers allhier ehel. Sohn und Jgf. Anna Maria weÿl. H Friderich Verius gewesenen Schwartz und Schönfärbers und Burgers allhier nechgel. Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 19.ten Junÿ [unterzeichnet] HMW, Anna Maria Veriusin als hoh Zeitrin (i 23)

1743, Protocole de la Lanterne (XI 211)
Heüth dato den 4. Apr. 1743. Wurdte H, Ph. Jacob Lauth das in aô 1742. gewesten Zunfftmeisters rechnung (…) abgehört
Solchenmach Ist h. Johann Michael Schwentzel dem Müller daß Wannenrecht des gekörns halben accordirt worden gegen Erlag der gebühr.
hatt auch seine stuben gelter mit 3. lt. 18 ß Erlegt

1743, Protocole des Boulangers (XI 10)
Dienstags den 25. Junÿ ist gerichtlich verhandelt worden
Geltzünfftiger (dt. 3. lb. d) – Johann Michael Schwentzell, der miller undt jetzige Meelmann und burger dahier, so beÿ E. E. Zunfft der Lucern leibzünfftig, erscheint, bittet umb das Grieß und Meel recht, will dahier Geltzünfftig werdten. Erkandt kan ihme nach ordnung gegen der gebühr willfahrt seÿn.

Jean Michel Wentzel (ici Schwentzel) et Anne Marie Verius meurent tous deux en 1746 en délaissant deux enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire de 1742. L’actif de la succession s’élève à 2 004 livres, le passif à 762 livres.

1746 (17.6.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 365) n° 226
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Michael Schwentzels, des Meelmanns und der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Schwentzelin gebohrne Veriußin beede geweßener Eheleuthe nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1746. – als dieselbe und Zwar Er der Man zuerst nemblich dienstags den 15.ten Februarÿ die Frau aber zuletzt nemlich Sontag den 12.ten Junÿ dieses Lauffenden 1746.sten Jahrs dießes Zeitlichen mit dem Ewigen Verwechßelt – So beschehen den Straßburg auf Freÿtag den 17.ten Junÿ Anno 1746.
Beede in Gott ruhende Eheleuth nun seelige haben zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen Wie folgt. 1. frau Annam Mariam Seltzin gebohrne Schwentzelin hannß Georg Seltz Rothgerbers und burgers zu Mittelbergheim eheliche haußfrau, welche allhier ohnverburgert dahero in Ihrem Nahmen aus E. E. Kleinen Raths Mittel Krafft Extractus Memorialis vom 15. hujus Zu dießem Geschäfft in specie deputiret worden, S. T. Herr Georg Friedrich Roggenbach, Gastgeber und Vor Ehrengedachten Kleinen Raths jetzig Wohlverdienter beÿsitzer welcher mit und beneben seiner Principalin und dero Ehevogten selbst in Persohn dem geschäfft abwartete. So dann
2. Johann Michael Schwentzel deßen geordneter Vogt Herr Christian Seltzen der Seltzer der Seÿler und burger allhier welcher zwar das gewohnliche Juramentum noch nicht abgelegt aber Von Ihro Gnaden den Regierenden herrn Ammaÿster zufolg unterm 15. hujus Mensis et Anni ertheilten Scheins permission erhalten, der Inventation vorzunehmen dahero Er auch im Nahmen seines Vogts Sohns sich in persohn beÿ dem geschäfft eingefunden, Alßo beede der in Gott seeligen entschlaffen Eheleuthe ehelich mit einander erziehlte Sohn und tochter und ab intestato zu zweÿen gleichen portionen und Stammtheilern Verlaßenen Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eigetragenen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung und Liegende Güethern im dorff Mittelbergheim gelegen (…)
Eigenthumb ane einer behaußung und Garthen allhier Zu Straßburg. Eine behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställ und Garthen, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß, einseit neben E. E. Zunfft der Garthner Zunfft Stub allda anderseit Vornen neben einem Gemeinschaftlichen Gäßel und die übrige Länge neben Benjamin Bößinger dem Metzger hinden auff herrn Clementz Reiffen des holtzhändlers Garthen stoßend, davon gehen Jährlichen auff Johannis Baptistæ 6 ß d Zinnß Von einem Wetterdächlein allhießiger Statt Pfenningthurn sonsten freÿ Ledig eigen und ist die behaußung mit deren Zugehörden durch die allhießig geschworne Herren Werckmeistere, der Garthen aber durch herrn Michael Baur, geschwornen Schätzer beÿ E: E: Zunfft der Garthner ane Steinstraß den 10.ten et 12.ten Maji Anno 1742. in dem über Weÿland Frauen Margarethä Veriußin gebohrner Hohlweinin, auch Weÿland herrn Johann Friedrich Verius geweßenen Schwartz: und Schönfärbers, auch burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib der Verstorbenen, Frauen seel. eheleiblicher Mutter ebenmäßig seel. Verlassenschafft, durch herrn Johann Philipp Lichtenberger Notarium publicum und berühmbten Practicum in Anno 1742. auffgerichteten Inventario fol: 51. fac: 2.da über obgemelten Allmend Zinnß angeschlagen auch dießmahlen, weilen seithero nicht das geringste darinnen meliorirt oder gebauen worden, wieder dabeÿ gelaßen pro 1048. Hierüber besagt ein Teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract stub gefertiget und mit dero anhangendem Insigel verwahret datirt den 13.ten Maji Anno 1680. mit altem N° 3. signirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia des Abgeleibten Manns seeligen Vor mir Notario aufgerichteter Dispositionis inter Liberos – Copia Dispositionis inter Liberos
Sa. haußraths 219, Sa. Bohnen und Gekörns 3, Sa. Lährer Vaß 8, Sa. Silbers 13, Sa. Goldener Ring 14, Sa. baarschafft 34, Sa. Eigenthums ane einer behaußung zu Straßburg 1048, Sa. Eigenthums ane liegende güthern Zu Mittelbergheim 650, Sa. beßerung ane Lehen güthern 18 ß, Sa. Schulden 12, Summa summarum 2004 lb – Schulden 762 lb, Nach deren Abzug 1241 lb, Gantze Verlassenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ – Stall summ 1143 lb

Les héritiers Wentzel vendent la maison au jardinier Jean Georges Rinck et à sa femme Marguerite Renchert

1747 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 190
Johann Georg Seltz der rothgerber von Mittelbergheim als ehevogt und mandatarius Fr. Anna Maria geb. Schwentzelin und Christian Seltzer der seÿler und burger alhier als vogt Johann Michael Schwentzel vorgedachten Seltzischen ehefrau bruders
in gegensein Johann Georg Rinck G.A.St. und Margarethæ gebohrner Renchertin, versteigerung
eine behausung, hoff, scheur, stallung, hoffstatt und garten mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und rechten ane der Vorstatt Steinstraß, einseit neben E.E. Zunfft der Gartner daselbst, einseit ist ein Eck ane einem gemeinen gäßlein, hinten auff auff Clemens Reiff dem holtzhändler – davon gibt mann auff Johannis Baptistä hiesigen Stadt Pfenning Thurn wegen des wetterdächleins 6 ß – denen Schwentzelischen geschwisterden als ein elterlich erbguth – um 3005 pfund

Marguerite Renchert épouse en 1711 Jean Drenss qui meurt en 1727.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 24)
1711. d 22. Apr. seind Ehelich eingesegnet word. Lorentz drentz der ledige Gartner H Johannes drentzen des Burgers und gartners auch E. E. Kleinen Raths beÿsitzers Ehelicher Sohn und Jungfr. Margaretha Weiland Andreas Rencherts gewesenen Burgers Und Gartners allhier nachgelaßener Eheliche Tochter [unterzeichnet] Lorentz drenß alß hohzeitter, M diese buchstaben setzt die Jfr. hochzeiterin (i 26)

1728, Me Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 637
Inventarium über Lorentzen Drennßen gewes. GVW. seel. Verl.

Marguerite Renchert se remarie en 1728 avec le jardinier Jean Georges Rinck : contrat de mariage, célébration
1728 (21.2.), Me Mader (6 E 41, 694)
(Eheberedung) zwischen dem Ersam und bescheidenen Johann Georg Rincken dem Ledigen Garthner, des Ehrengeachten herrn Johann Rincken Land Gutschers und burgers allhier Zu Straßburg mit weÿland der Tugendsamen frauen Maria Rinckin gebohrner Kaufferin seiner geweßenen Haußfrau seel. Ehelich erzeugtem Sohn alß dem bräutigam ane Einem,
So dann der Tugendbegabte Frauen Margarethä Drenßin gebohrner Renchertin Weÿland des Ehrsamen Lorentz Drenßen geweßenen Garthners unter Wagner und burgers allhier nunmehr seel. hinterlaßenen Wittib alß der frau Hochzeiterin am andern theil
So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Sambstag den 21. Februarÿ aô 1728. [unterzeichnet] + Johann Georg Rincken handzeichen, Margaretha renchrin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 124)
1728. Domin: III et IV Trinit: seind außgeruffen und Mittwochs darauff als den 23. Junÿ Ehelich eingesegnet worden Johann Georg Rinck der ledige gartner vndt Burger alhier hannß Rincken deß hiesigen Gartners undt Burgers Ehel. Sohn undt fraw Margaretha gebohrnee Rencherdin Vnd Lorentz. drentzen geweßenen Gartners vndt Burgers allhier Nachgel. wittwe [unterzeichnet] + dießes ist deß Zeÿchen deß hochzeiters, Maretha rencherin als horin, (i 126, proclamation, Sainte-Aurélie, luth. f° 116-b)

Marguerite Rinck, femme du jardinier et cocher de campagne Jean Georges Rinck meurt en 1755 en délaissant pour unique héritière sa fille issue de son deuxième mariage. La succession comprend trois maisons dont celle à côté du poêle des Jardiniers au Faubourg de Pierre. Les experts estiment la maison 1 750 livres. La masse propre au veuf est de 1 607 livres, celle des héritiers de 434 livres. L’actif de la succession s’élève à 8 439 livres, le passif à 1 500 livres.

1755 (11.11.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1165) n° 938
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und Tugendsamen Frauen Margarethä Rinckin gebohrner Renchertin des wohl Ehrenachtbaren H. Johann Georg Rinck des Land Kutschers, Garthners ane Steinstraß und burgers allhier zu Straßburg geweßter Ehefrauen seel. Verlassenschafft auffgerichtet in Anno 1755. – nach ihrem Samstags den 13.ten Septembris dießes zu End eilenden 1755.gsten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt, zeitl. verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sein H. Johann Georg Rincken, des Hinterbliebenen Wrs. wie auch der viel Ehren und tugendsamen Frauen Margarethæ Westermännin geb. Rinckin, Hn Johann Jacob Westermann, des Fuhrmanns und brs allhier Frauen Eheliebstin, der abgeleibten seelig mit gesagtem dero Wr ehelich erzeugter Frauen tochter und ab intestato verlaßener universel Erbin, beÿständlich dero Ehemanns, inventirt – So beschehen Straßburg Dienstags den 11.ten Novembris et sqq. A° 1755.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen und in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt
(f° 13) Eigenthum ane häußern (W.) Nemlich der halbe theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung beÿ der Vorstatt im grünen bruch (…)
(T.) Erstl. die helffte Vor ohnvertheilt Von und ane der droben fol: (-) et seq : beschriebenen behaußung
(f° 13-v) (T.) It. Eine behaußung sampt Zweÿen Seiten gebäuden in der Vorstatt Steinstraß (…)
(f° 14) (T.) It. Eine Vordere und hintere Behaußung, Scheur, Stallung, hoff, hoffstatt und Garthen mit allen anderen gebäwen, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auch ane der Steinstraß 1.s neben E. E. Zunfft derer G A St Str. 2.s. neben einem nicht durch gehenden gäßlein ein eck außmachend zum theil und zum theil neben H Benjamin Bößinger dem Metzger hinten auff Hn Clementz Reÿff deß holtzhändlers Garthen stoßend gelegen, und hat man Wegen deß Weterdachs der Stadt Pfenningthurn jährl. auf Johannis Bap.æ. 6 ß zu reichen Es seind aber solche häußer und deren Zugehörden, soviel die gebäude und hoff betr. Von dem H Lohner und deren herren Werckmeistern nach Vorangeregter Abschatzung Verzeichnnus Vor freÿ leedig und eÿgen angeschlagen worden um 1750 lb. Der Garten aber so ohngefähr 1 ½ Vrz. groß, durch die herren Inventir Schätzer pro 26. 6, (zusammen) 1776 lb 5 ß. Woran aber erwehnte real beschwährde zu doppeltem Capital gerechnet 12. lb. Und hievon abgezogen wird, so restiren außzuwerffen 1764. lb. Hierüber meldet ein teutscher perg. Kfbr. in alhießiger C. C. Stb. errichtet mit dero anhangendem Ins. Verwahret sub dato 18.ten Martÿ a° 1747. mit Lit. C. bemerckt. Ferner ein dergl. perg. Kauffbr. daselbsten errichtet und mit der anhangendem Ins. Versehen, datirt den 13.ten Maÿ A° 1680. mit altem N. 3. bemerckt und dermahlen nach beschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen.
Ergäntzung der Wb. abgegangenen ohnveränderten guths. Nach anleitung der über beeder geweßter Eheleuth einander in der Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch weil. H Notarium Philipp Jacob Mader seel. den 9. Julÿ 1728. Vergriffenn und Verfertigten Invÿ
Wÿdem Welchen die abgeleibte seel. Von auch Weil. Lorentz trenß dem geweßten gvw. und b. allhier ihrem erstern Ehemann seel. biß ane dero Todt genoßen. In Crafft Codicilli Reciproci so Sie bede im Leben geweßte Eheleuth Vor auch weÿl. Hn Notario Johann Heinrich Lang seel. und gezeugen den 28.ten Augusti A° 1723. gestifftet hat Er Ihro seine samtl. verlassenschafft Zum lebtägigen Wÿdembs genuß legirt, da Er nun seiner eheleibl. Vatter weil. H. Johann Drenß, gvw. und E.E. Kl. Raths geweßten beÿsitzer Zum universal Erben Verlaßen, dießer aber nur das jenige was dem sohn Vor rückständige mütterl. legitimam und übrig. mütterl. Guth gebührte, vor seine Erbschafft sich reservirt, alles übrige aber serselbe Ihro des Sohns Wb. Vermög des den 28. Januarÿ 1728. getroffenen Vergleichß eigenthümlich cedirt und überlaßen
Abzug gegenwärtigen Invii. des Wrs. Vermögens. Sa. Antheils an 1.r behaußung 443, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 234, Sa. beßerung ane lehengüthern 4 ß, Sa. activ Schulden 27, Sa. Ergäntzung per rest 902, Summa summarum 1607 lb
Dießemnach wird auch der Erbin ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. Kleidung und w. gezeugs 41, Sa. Eigenthums ane liegende güther 324, Sa. beßerung ane lehengüthern 1, Sa. Ergäntzung per rest 66, Summa summarum 434 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar guth verzeichnet, Sa. hausraths 246, Sa. Schiff und geschirr zum Fuhrwesen wie auch Feld und Ackerbaw gehörig 98, Sa. Pferdt samt deren geschirr 344, Sa. Früchten in der scheur 219, Sa. zwiebel und Knoblauchs 3, Sa. Heu und Ohmets 100, Sa. Tabacks 82, Sa. beßerung im hoff und auff dem Feld 13, Sa. blumen auff dem Feld 19, Sa. weins und Faß 276, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 8, Sa. goldener Ring 3, Sa. baarschafft 300, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2635, Sa. Eigenthums an häußern 3777, Sa. Eigenthums an liegende gütheren 56, Sa. beßerung ane lehengüthern o, Sa. der activ schulden 251, Summa summarum 8439 lb – Schulden 1500 lb, Nach deren Abzug 6938 lb
Beschluß summ 9107 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in der Königl. Stadt Straßburg auff Sambstag den 21. Monaths tag Februarÿ A° 1728, Philipp Jacob Mader, Not. publ.
Copia Codicilli – persönlich kommen und erschienen, die viel Ehren und tugendsamen Frau Margaretha Rinckin gebohrne Renchertin des wohl Ehrengeachten herrn Georg Rinck landkutschers wie auch Garthners ane Steinstraß und burgers allhier Zu Straßburg Ehegattin, etwas ohmpäßlich dannoch aber durch die Gnade Gottes beÿ perfecten richtigen sinnen (…) Samstag den 18.ten Januarii Anno 1765. abends zwischen 6 und 7. Uhr, beÿ zweÿen hellbrennenden liechtern – Johann Daniel Stöber, Notarius

Jean Georges Rinck se remarie un an et demi plus tard avec Anne Marie Fleischmann, fille d’un aubergiste de Schiltigheim : contrat de mariage par lequel l’époux assure l’habitation viagère à sa femme, célébration

1757 (22.3.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 561
Eheberedung zwischen dem Ehrenachtbaren Herrn Johann Georg Rinck dem Wr. Landkutscher, GaStStr und burgern alhie alß hochzeiter ane einem beÿständl. H Georg Wilhelm Kratz deß handelßmanns und b. dahier
So dann der Ehren und tugendsahmen Annä Mariæ Fleischmännin, H Andreæ Fleischmann b. und Adlerwürths zu Schiltigh. mit Fr. Anna Maria geb. Käßborerin ehelich erzeugten tochter als der Jgfr. brauth unter assistentz solch ihres Vatters ane dem andern theil

7.mo hat der hochzeiter seiner geliebten Jgfr. braut zu gestanden und Verwilligt wann Er dem willen gottes nach Vor ihme mit todt abgienge es seÿe gleich mit oder ohne hinterlaßung ehelicher leibes Erben, daß Sie sodann seine allhie zu Straßburg ane der Steinstraß bewohnende behaußung hoff, hoffstatt, Scheür, Stallung und Garthen mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten zugehörden, Rechten und gerechtigkeit, so Zwischen ihme und seiner Fr: tochter Voriger Ehe annoch gemeinschafftlich und ohnvertheilt die Zeit ihres lebens zu bewohnen zu nutzen und Zu genießen berechtiget (…) Im fall aber Sie die tochter oder dero Erben die ihro gehörige mütterl. tertz ane solcher behaußung und dero zugehörden Ihro der Jgfr. brauth und alß derjenigen Wb. solchergestalten nicht in lebägigen wÿdembs besitz und genuß laßen wolte, so solle Sie die Jgfr. brauth anestatt solcher der tochter gehörigen mütterl. tertz sein des Herrn hochzeiters ohnvertheilte zwo tertzen ane denen neben der Garthner Zunfft stub hinter einander stehenden häußern, Scheur, Stallung und Garthen auch allen deren übrigen gebäuden begriffen weiten zugehörden und gerechtigkeiten, so nebst jener behaußung gegen männigl. leedig und eigen lebtägig zu genießen berechtiget seÿe – So beschehen Straßburg Dienstags den 22.ten Martÿ Anno 1757 [unterzeichnet] x Johann Georg Rinck des hochzeiters hand zeichen, Anna Maria Fleischmännun als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 214-v, n° 12)
1757. Sonnt. III. Trinit. sind auf Gn. Erlaubniß Gnädig. Hn Regirend. Ammeisters Kiehn I. et II simul proclamirt und Eodem d. 26. Junii in Sponsi haus copulirt word. H Johann Georg Rinck, Landfuhrmann u. burger h. l. wittwer u. Jgfraw Maria, Hn Andreas Fleischmanns wirths u. burgers Zu Schiltigheim ehel. filia [unterzeichnet] + sponsi signum, Anna Maria fleischmännin (i 219)

Inventaire des apports

1757 (29. 8.bris), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1173) n° 1063
Inventarium über des Wohl Ehrenachtbaren H. Johann Georg Rinck, Landkutschers und Garthners ane Steinstraß und der viel Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Mariä Rinckin gebohrner Fleischmännin, beeder und burgern allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1757. – in Ihren den 26.ten Junÿ jüngst angetrettenen Ehestand zugebracht, welche der Ursachen alldieweilen in Ihrer vor mir Notario den 22.ten Martÿ dießes jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 4.to wohlbedächtlich abgeredet und verglichen, daß alles dasjenige so sie ane zeitl. Haab und Nahrung einander in den Ehestand zubringen werden einem jeeden und seinen Erben ein ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle – So beschehen in fernerem beÿwesen des Ehren und vorachtbaren H Andreä Fleischmann, Gastgebers Zum Adler und brs. Zu Schiltigh. der Ehefrauen Eheleibl. Vatters Straßburg Sambstags den 29. 8.bris et seqq. Ano 1757.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen dem Ehemann und deßen Frauen tochter zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 8) Eigenthum ane häußern und Gärthen so zwischen dem Ehemann und deßen Fr. tochter Voriger Ehe gemeinschafftlich. Nembl. die helffte Vor ohnvertheilt von und ane der Vorbeschriebener behaußung allhier zu Straßburg dero Vorstatt im grünen bruch (…)
Item Eine behaußung sampt Zweÿen Seiten gebäuden in der Vorstatt Steinstraß (…)
Item Eine Vordere und hintere Behaußung, Scheur, Stallung, hoff, hoffstatt und Garthen mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auch ane der Steinstraß 1.s neben E. E. Zunfft der G A St Str. 2.s. neben j.m nicht durch gehenden Gäßlein, ein eck außmachend Zum theil und Zum theil neben Hn Benjamin Bößinger, dem Metzger, hinten auff Hn Clementz Reÿf deß holtzhändlers Garthen stosend gelegen, und hat man wegen deß Wetterdachs der Stadt Pfenningthurn jährl. auf Joh: Bapt.æ. 6 ß Zß. zu reichen, sonsten seind solche häußer und deren Zugehörden freÿ, leedig und eigen. Hierüber meldet j. teutscher perg. Kfbr. in alhiesig. C. C. Stb. gefr. mit dero anh. Ins. Verwahret sub dato 18.ten Martÿ A° 1747. mit Lit. C. bemerckt. Ferner ein dergl. perg. Kfbr. daselbsten errichtet und mit der anhangendem Ins. Versehen, datirt den 13.ten Maÿ A° 1680. mit altem N. 3. bemerckt und dermahlen nach beschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen.
(M.) Antheil ane einer Behaußung. Nembl. der halbe theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung allhier zu Straßburg dero Vorstatt im grünen bruch (…)
(f° 15) Wÿdem Welchen der Ehemann Von weÿl. Fr. Margaretha Rinckin geb. Renchertin seiner erstern Ehefr. seel. lebtägig zu genießen berechtiget. In Krafft des Von Ihro der erstern Ehefr. seel. Vor mir Notario den 18.. Januarÿ A° 1755. geordneter Codicilli §° 2.do hat Sie dero Wittiber dem dißortigen Ehemann den lebtägigen genuß und Nießbrauch ihrer nach tod Verlaßender Haab, Nahrung und güther (…) und begreifft solher Wÿdem außweißlich deß von mir Notario den 12.te Aprilis et seqq. 1756. Vergriffenen Vergleich und Abtheilung Concepti in sich. Antheil ane häußern und Gärthen
Zwen dritte theil (…) am Grünen bruch (…)
It. Zween dritte theil ane der Fr. Tochter mütterl. tertz zu Straßb. dero Vorstatt ane Steinstraß (…)
It. Zween dritte theil ane der Fr. tochter mütterl. tertz Vor ohnvertheilt Von und ane einer behausung Scheur, Stallung, hoff, hoffstätten und Garthen auch allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auch ane der Steinstraß 1.s neben E. E. Zunfft der Garthner ane Steinstraß, so auch oben mit mehrern beschrieben.
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns eigenthümlich gutt, Sa. haußraths 378, Sa. Schiff und geschirr zum fuhrweßen feld und Ackerbau wie auch Pferd samt deren geschirr selben gehörig 1803, Sa. Rind Viehs 18, Sa. Häbers 800, Sa. heu ohmet und strohes 375, Sa. früchten in der Scheur 176, Sa. Tabacks 84, Sa. beßerung im hoff und auf dem feld 124, Sa. Wein und faß 1070, Sa. Silbers 2, Sa. der baarschafft 1500, Antheil ane einer behaußung o, Eigenthum von Häußern und gärten so zwischen o, Eigenthum ane Liegenden güthern o, Beßerung ane lehengüthern o, Sa. Activorum 27, Summa summarum 6312. lb – Schulden 1298 lb,
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 105, Sa. Silbers 18, Sa. goldener ring 36, Sa. der baarschafft 309, Eigenthumb ane liegenden güthern o, Summa summarum 468 lb

Jean Georges Rinck meurt en 1758 en délaissant pour unique héritière sa fille issue de sa première femme. La masse propre à la veuve est de 512 livres, celle des héritiers de 7 668 livres. L’actif de la succession s’élève à 5 931 livres, le passif à 5 441 livres.

1758 (6. 9.bris), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1176) n° 1121
Inventarium über Weÿland des Ehren und Vorachtbaren H. Johann Georg Rinck, des geweßten Land Kutschers, GaStStr. und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet in A° 1758. – nach seinem Donnerstags den 19.ten 8.bris dißes zu end eilenden 1758.sten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendsamen Fraun Annä Mariä Rinckin gebohrner Fleischmännin der hinterbliebenen Fr. wittib unter assistentz Hn Andreä Fleischmanns Gastgebers Zum Adler und burgers zu Schiltigheim ihres Eheleiblichen Vaters wie auch unter fernerer assistenz S. T° H Frantz Heinrich D’autel, Notarÿ publici und berühmten Practici, und dan der Viel Ehren und tugendsamen Fr. Margarethä gebohrner Rinckin dermahlen H Johann Martin Schwind des jüngern Kiefers und burgers allhier Ehefr. des Entseelten seel. mit auch weÿl. Fr. Margaretha Rincklin gebohrner Renchertin seiner den 13. 7.bris A° 1755. Verstorbenen Ehefr. seel. ehelich erzielthen Fr. tochter und ab intestato verlaßener universal Erbin, die nebst dero Ehemann und deßen eheleibl. Vater H Johann Martin Schwind deß ältern Kiefer meisters und burgers auch hiebeÿ erschienen – So beschehen und angefanen Straßburg Montags den 6. 9.bris A0 1758.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen und zum theil in dieße Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der großen Kammer, In dem Camin Zimmer
(f° 15) Eigenthum ane häußern und Gärthen. (E.) Nembl. 5/6.te theil Vor ohnvertheilt von und ane der Vorbeschriebener behaußung allhier zu Straßburg dero Vorstatt im grünen bruch (…)
(E.) 2/3 theil vor ohnvertheilt Von und ane Einer behaußung sampt Zweÿen Seiten gebäuden in der Vorstatt Steinstraß (…)
(E.) It. Zween dritte theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer Vorderen und hinteren Behaußung, Scheur, Stallung, hoff, hoffstädte und Garthen, auch allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auch ane der Stein Straß 1.s neben E. E. Zunfft der G A St Str. 2.s. neben einem nicht durch gehenden Gäßlein, ein Eck außmachend Zum theil und Zum theil neben Hn Benjamin Bößinger, dem Metzger, hinten auf Hn Clementz Reÿf. deß holtzhändlers Garthen stosend gelegen, und hat man wegen deß Wetterdachs der Stadt Pfenningthurn jährl. auf Johannis Bapt.æ. 6 ß zu reichen. Es seins aber solche häußer und deren Zugehörden, soviel due gebäude und hoff betr., Von den H Lohner und den Werck Meistern nach Vorangeregter Abschatzung Verzeichnus Vor freÿ, leedig und eigen angeschlagen worden Vor 1750. lb. Der Garten aber so ohngefähr 1 ½ Vrtz groß durch den H. Inventir Schätzer um 22 lb 10 ß, zusammen 1772 lb 10 ß. Wann aber erwehnte real beschwährde zu doppeltem Capital gerechnet anlangend 12. lb Und hievon abgezogen wird so restiren 1760. lb 10 ß. Machen dießortige 2/3 theil 1173. lb 13 4. Und die übrige tertz ist ebenfalls der Fr. Tochter und Erbin vor mütterl. Guth gehörig, wovon aber der Stockwerk seel. zween dritte theil wÿdems weiß genoßen hat. Über solche häußer und deren Zugehörden meldet j. teutscher perg. Kfbr. in alhiesig. C. C. Stb. errichtet mit dero anh. Ins. Verwahret sub dato 18.ten Martÿ A° 1747. mit Lit. C. bemerckt, wobeÿ es auch anietzo verblieben. Ferner j.n dergl. perg. Kfbr. daselbsten errichtet und mit dero anh. Ins. Versehen, datirt den 13.ten Maÿ A° 1680. mit altem N. 3. bezeichnet und dermahlen nach beschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen.
(f° 37) Ergäntzung der Fr. Wittib ermanglenden Unveränderten Guths, Nach Anleitung der über beeder geweßten Eheleuthen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 29.ten 8.bris A° 1757. aufgerichteten Inventarÿ
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Der Frauen Wittib unverändert Vermögen Sa. haußraths 48, Sa. Silbern Geschmeids 12, Sa. Goldener Ring und Goldstucks 15,Sa. baarschafft 5, Sa. Eigenthums ane liegenden Güthern 116, Sa. Ergäntzung 315, Summa summarum 512. lb
Dießemnach wrd auch der Frauen Tochter und Erbin ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 252, Sa. Rindviehs 15, Sa. Wein und faß 465, Sa. Silbern Geschmeids 18 ß, Sa. Eigenthums ane Häußern und Gärthen 2952, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 397, Sa. beßerung ane lehengüthern 1, Sa. Activorum 22, Erg. 4868, Summa summarum 8980 lb – Schulden 1311, Nach deren Abzug 7668. lb
Endlichen folgt auch das gemein verändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 58, Sa. Fuhrwercks 612, Sa. Schiff und geschirr zum Feld und Ackerbau gehörig 114, Sa. Pferd samt deren Geschirr zum Ackerbau gehörig 67, Sa. Pferd gezeugs, Ketten und eißen 106, Sa. Weins und Faß 55, Sa. Früchten auf dem Kast wie auch Meel 292, Sa. Früchten in der Scheur 135, Sa. heu und strohes 1619, Sa. Zwiblen und Knoblauchs 12, Sa. Tabacks 317, Sa. beßerung im hoff und auf dem feld 8, Sa. blumen auf dem feld 38, Sa. Silbern Geschmeids 8, Sa. Goldener Ring 4, Sa. baarschafft 2313, Sa. Eigenthums ane Liegenden güthern 133, Sa. Beßerung ane lehengüthern 15, Sa. Activorum 34, Summa summarum 5931 lb – Schulden 5441 lb, Nach deren Abzug 490 lb
Beschluß summa 11 171 lb
Widem Welchen der Entseelte seelig von weiland Frauen Margaretha Rinckin geb. Renchertin, seines am 15. 8.bris A° 1755 Verstorbenen erstern Ehefraun seel. lebtägig genoßen hat. In Kraft des Von Ihro der Ersten Ehefrau seelig vor mir Not. den 18.ten Januarÿ A° 1755 geordneten Codicilli §° 2.do (…). Antheil ane Häußern und Gärthen. Ertslich zween dritte theil (…)
Item zween dritte theil (…)
Item 2/3.te theil ane der Fr. tochter ein Verl. tertz vor ohnvertheilt von und ane 1.r vorder und hinter Behaußung, Scheur, Stallung, hoff, hoffstätten und Garthen, auch allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auch ane der Steinstraß 1.s neben E. E. Zunfft der Garthner Ane Steinstraß maßen solches eben mit mehrerm beschrieben und werfen auch diese der Frau tochter mit widem verfangen geweßte zwen neunte theil ane dem oben fol (-) inwendig gesehten 1760. lb, 291 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Straßburg Dienstags den 22. Martÿ Anni 1757
Copia Codicilli – der Ehren und vorachtbare herr Johann Georg Rinck Landkutscher Garthner ane Steinstraß und burger allhier (…) in seine ane der Steinstraß gelegene wwohnbe[haußung], welche, wir in deßen hintern bedsondern Stublein mit den Fenstern in den hoff aussehend, zwar krancken dannenhero zu bette liegenden Leibs (…) – Sonntags den 8. Octobris Anno 1758.

La veuve remariée à Georges Henri Steinbach vend des chevaux et des chariots qui dépendent de la succession de son premier mari
1760 (16.5.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 716) n° 344
Abtheilung der zwischen Fraun Annä Mariä Steinbachin gebohrner Fleischmännin Hn. Georg Heinrich Steinbachs Metzgers und burgers allhier zu Straßburg Ehefrauen als weÿl. Hn Joh: Georg Rincken geweßenen Landgutschers und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib und Hn Joh: Jacob Kamm dem Leedigen Bereuther von hier gebürtig
Gemeinschaftlicher Pferd und Fuhrwercks. So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 16.ten Maÿ et seq. A° 1760

Les biens de Jean Georges Rinck reviennent alors à sa fille Marguerite qui épouse en 1749 le charretier Jean Jacques Westermann originaire de Schiltigheim : contrat de mariage, célébration

Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Hn Johann Jacob Westermann, Fuhrmann und burgern allhier Zu Straßburg sonsten zu Schiltigheim wohnhaft, alß hochzeiter, mit assistentz seines eheleiblich. Vatters Hn Johann Jacob Westermanns deß ältern, Fuhrmanns und burgers Zu Schiltigheim ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsahmen Jgfr: Margaretha Rinckin, Hn Georg Rinck deß Land Kutschers und GaStStr. und bs. dahier mit fr. Margaretha gebohrner Renchertin ehelich erzeugter tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin, beÿständlich ihres eheleiblich. Vatters wie auch Hn Georg Wilhelm Kratz deß handelßmanns und burgers dahier ane dem andern theil – Actum Straßburg Mittwochß den 4.ten Junÿ A° 1749. [unterzeichnet] Johann Jacob Wester Mann als hochzeiter, Margaretha Ricnkin als höchzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 195)
1749. Mittw. d. 10. 7.br seind nach 2.mahl. ordentl. proclamation copulirt worden H. Joh: Jacob Westermann, der Verwittibte Landfuhr verwalter und burger allhier u. Jgf. Margaretha Hn Joh: Georg Rinck des Land Kutscher Verwalters u. b. h. l. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Westermann als hochzeiter, malentha Rinckin al Hößrin (i 199)

Inventaire des apports de l’épouse, dressé dans la maison de ses parents au Faubourg de Pierre
1749 (18. 7.bris), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1150) n° 643
Inventarium über der Ehren: und tugendsamen Fr. Margarethä Westermännin gebohrner Rinckin, des Ehrengeachten H. Johann Jacob Westermann, Fuhrmanns u. burgers allhier zu Straßburg ehel. haußfrauen zu demselben in den Ehestand gebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1749. – in ihren angetrettenen Ehestand zugebracht Welche der Ursachen, all dieweilen in ihr beeder Eheleuthe Vor mir Notario den 4.ten Junÿ jüngst, aufgerichteten Eheberedung §° 3.tio ausdruckhlichen enthalten, daß einem jeden u. seinen Erben deßen in die Ehe bringendes Vermögen vor ohnverändert verbleiben solle (…) – So beschehen in fernerem beÿwesen Hn Georg Rinck des Lehn Kutschers u. GaStStr. Wie auch Fr. Margarethæ Rinckin, gebohrner Rencherin, beeder Eheleuthe u. burgere allhier, der Ehefr. geliebter Eltern, Straßburg Donnerstags den 18.t 7.bris A° 1749.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen der Ehefr. geliebter Eltern zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt.
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. Haußraths 295, Sa. Rind viehs 24, Sa. silbergeschmeids 30, Sa. goldenen Ring 87, Sa. baarschafft 1032., Summa summarum 1468 lb – Und wann dazu gerechnet wird die helffte ane hernach beschriebenen haussteuren antreffende 93 lb, So begreifft eingangs gemelter Frauen Westermännn in die Ehe gebrachtes Vermögen dießes Inventarÿ Anschlag nach in sich 1562. lb

Inventaire des apports du mari, dressé l’année suivante dans la maison des parents de la femme
1750 (18.7.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1153) n° 693
Inventarium über des Ehrengeachten H. Johann Jacob Westermanns, des Fuhrmanns und bs. allhier zu Straßburg, seiner Fr. Eheliebstin Fr. Margarethä geb. Rinckin in den Ehestand zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1750. – in ihren den 10. Septembris des abgewichenen 1749.sten Jahrs angetrettenen Ehestand zugebracht, welche der Ursachen, alldieweilen in ihr beeder Eheleuthe Vor mir Notario den 4.ten Junÿ solchen Jahrs aufgerichteten Eheberedung §° 3.tio ausdruckhlichen enthalten, daß einem jeeden und seinen Erben deßen in die Ehe bringendes Vermögen vor ohnverändert verbleiben solle (…) – So beschehen Sambstags den 18.t Julÿ Anno 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Steinstraß neben der Garthner Zunfftstub gelegenen der Ehefr. Eltern zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt.
Eigenthumb ane häußern und anderen Posten so Zwischen Ihme Hn Westermann, seinem H Vatter und H Bruder gemeinschafftlich. Nemblichen die Gastherberg Zum Pflug genannt, sampt jr. gegen über stehenden behaußung (…) Zu Adolßhoffen
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Sa. Haußraths 396, Sa. Schiff und geschirr wie auch Pferdt s. deren Geschirrs Zum Fuhrweßen gehörig 750, Sa. Fruchten 194, Sa. hew 50, Sa. Weins 430, Sa. tabacs 56, Sa. Silbergeschirrs 45, Sa. goldener Ring 4, Sa. der baarschafft 921, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 93, Sa. Pfenningzinß hauptgüter auch Activ schulden so zwischen dem Ehemann & 138, Sa. Eigenthumbs ane häußern und anderen posten 1001, Sa. Eigenthum ane liegenden güthern o, Sa. beßerung ane lehengüthern o, Sa. der Schulden in die Nahrung geltend 74, Summa summarum 4156 lb – Schulden 1101 lb, Nach deren Abzug 3054 lb

Inventaire des biens du charretier Jean Jacques Westermann et de sa femme, dressé pour cause de dettes
1756 (20.2.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1169) n° 1007
Inventarium über Johann Jacob Westermann des Fuhrmanns und Frauen Margarethä Westermännin gebohrner Rinckin beeder Eheleuthen und burgeren alhier zu Straßburg dermahlen besitzende Nahrung und zu bezahlen habende passiv Schulden auffgerichtet in Anno 1756. – welche der Ursachen, alldieweilen sein des Ehemanns Nahrung zimlich mit passiv-schulden beladen und dahero die Ehefr. gemüßiget ist um salvirung ihres ohnveränderten und eigenthümlichen Guets halben beÿ E. E. Kl. Rath um das Beneficium Cessionis unterthänig einzukommen, auf deroselben unter assistentz S. T. Herrn Johann Heinrich Thenn Not. publ. und Practici den Sie ane Vogts statt zudero H Assistenten hierzu anhesprochen freundl. ansuchen, erfordern und begehren inventirt und ersucht – So beschehen Straßburg Freÿtags den 20.ten Februarÿ a seq. A° 1756

In einer allhier zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß gelegenen in der Ehefr. mütterl. theilbare Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Ehefrauen ermangelnden ohnveränderten Guths. Nach anleitung des über deroselben dem Ehemann in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch mich Notarium Donnerstags den 18.ten 7.bris 1749 auffgerichteten Invÿ
Eigenthum ane häußern und anderer Posten, so zwischen dem ehemann seinem vatter und bruder gemeinschafftlich. Nemlich die Gastherberg Zum Pflug genannt (…) zu Adelshoffen (…)
(f° 18-v) Der Ehefrauen mütterlich Guth betreffend. So ist weil. Frauen Margarethæ Rinckin geb. Renckerin H Johann Georg Rinck des landkutschers GaStSt und bs allhier Zu Straßburg geweßter Ehefrauen, der dießoertigen Ihrer eheleibl. Mutter seel. Verlassenschafft den 11.ten 9.bris et seqq. 1705. durch mich Notarium inventirt auch ein vollständig Inventarium darüber verfertiget worden Inhalt deßen Ihr der Ehefrauen mütterliche Erbschafft selbigen Invÿ respe. anschlag nach in sich begreiffe
(f° 19) Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Der Ehefrau ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 257, Sa. Silbers 23, Sa. Goldenen Rings 47, Sa. der baarschafft 26, Sa. Rindviehs 20, Sa. Eigenthumbs ane liegende güthern o, Sa. Activ Schulden 150, Ergäntzungs rest 1062, Summa summarum 1676 lb
Dießemnach wird alles übrige, es seÿe gleich von dem Ehemann in die Ehe gebracht oder währender Ehe erkaufft und angeschafft worden in deme die Ehefrau auf das theilbare tam active quam passive renunciret, unter i. Titul als in des Ehemanns Nahrung gehörig, beschrieben, Sa. haußraths 216, Sa. Schiff und geschirr zum Fuhrwesen wie auch feld und Ackerbau gehörig 81, Sa. Pferd samt deren geschirr 273, Sa. Wein, brandenwein und faß 303, Sa. tabacks 83, Sa. Heu und Strohes 26, Sa. beßerung im hof 11, Sa. bluhmen auf dem feld 5, Sa. Silbers 21, Sa. Goldenen Ringlleins 3, Sa. Eigenthums ane häußern 1001, Sa. Eigenthums ane liegenden Güthern 705, Sa. beßerung ane lehengüthern o, Summa summarum 2732
Und wann dazu gerechnet wird die helffte den hernacher beschriebenen Posten weche der Ehemann von seinem verstorbenen Söhnlein erster ehe Ererbt 24 l, (zusammen) 2756
Schulden 7814. Des Ehemanns passiv onus nach zur Zeit 5057 lb
Copia der Eheberedung. (…) So beschehen Straßburg Mittwochs den 4.ten Junÿ Anno 1749, Johann Daniel Stöber

Veuve, Marguerite Rinck se remarie avec le tonnelier Jean Martin Schwind : contrat de mariage, célébration
1757 (2.6.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 574
Eheberedung zwischen dem Ehrenachtbaren Johann Martin Schwind, dem leedigen Kiefer Hn Johann Martin Schwind, Kiefer Meisters und Weinhändlers Wie auch burgers allhier, mit Frn Dorothea Elisabetha gebohrner Reebhanin, ehelich erzeugter Sohn alß dem hochzeiter, mit assistentz gemeltten seines Vatters ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Margarethä Westermännin geb. Rinckin, weÿl. Johann Jacob Westermann geweßen Fuhrmanns und b. dahier seel. hinterlaßener W. alß der Fr. hochzeiterin mit beÿstand S. T. H. Notarÿ Johann Heinrich Thenn ane dem andern theil gepflogen – So beschehen Straßburg Donnerstags den 2. Junÿ Anno 1775 [unterzeichnet] Johann Mmartin Schwindt alß hochzeiter, Margaretha Westermannin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 215, n° 17)
1757. Mont. XI et XII. Trin. pclam.u. Mittw. d. 31. Augusti p.missu dni Consulis Regentis Kiehn domi copul. Joh: Martin Schwind, lediger Kiefer u. b. h. l. H. Joh: Martin Schwind, Kiefers u. burgers a. Weinhändlers h. l. ehel. sohn und Fr. Margaretha geb. Rinckin weÿl. Hn Joh: Jacob Westermann ges. Landfuhrmanns u. b. h. l. hinterl. wittwe [unterzeichnet] Johann Martin Schwindt Alß Hochzeiter, Margaretha Westermännin Als hochzeitein (i 219)

Jean Martin Schwind s’inscrit à la tribu des Tonneliers en juin 1757
1757, Tonneliers (XI 396)
Dienstags den 7. Junÿ 1757. (f° 93) Joh: Martin Schwind jun. wird auff prod. Schein von d. Statt Stall von 6.t hujus Zu einem Leibzünfftigen angenommen und Zahlet als i. Zünfftigen Sohn 1 lb 1 ß, p. feur Eÿmer 10 ß, p. prot. 3 ß, p. findl. 2 ß

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que possédent ensemble l’épouse et son père

1758 (3.3.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1176) n° 1123
Inventarium über des Ehrenachtbaren Johann Martin Schwind, des jüngern Kieffers und der Ehren und tugendsamen Frauen Margarethæ Schwindin, geb. Rinckin beeder Eheleuthe u. brn. allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1758. – alldieweilen in Ihrer vor mir Notario den 2. Junÿ selbigen Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 4.to wohlbedächtlich abgeredet und verglichen worden, daß eines jedem in die Ehe bringendes Vermögen Ihme und seinen Erben vor ohnverändert verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿseÿn H Johann Martin Schwind des ältern Kieffer meisters und Weinhändlers auch burgers alhier des Ehemanns ehelibl. Vatters und S. T. H. Johann Heinrich Thenn Notarii Publ. und Practici, der Ehefr. erbettenen Herrn Assistenten, Straßburg Freÿtags den 3.ten Martÿ anno 1738.

In einer allhier zu Straßburg dero Vorstatt Steinstraß gelegenen Zwischen der Ehefr. und Ihrem Vatter gemeinschafften behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane Häußern und Gärthen, so Zwischen der Ehefr. und Ihrem H Vater gemeinschaftlich
Die helffte vor ohnvertheilt von und ane 1.er behaußung zu Straßburg dero Vorstatt im grünen bruch (…)
Item I.r behaußung sampt Zweÿen seiten gebäuden in der Vorstatt Steinstraß (…)
Item eine Vordere und hintere Behaußung, Scheur Stallung Hoff Hoffstatt und Garthen mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg auch ane der Steinstraß 1.s neben E. E. Zunfft der Garthner ane der Steinstraß 2.s. neben I. nicht durch gehenden gäßlein, ein eck außmachet, zum theil, und zum theil neben H Benjamin Bößinger dem Metzger hinten aff Hn Clementz Reiff deß holtzhändlers Garthen stoßend gelegen, und hat man Wegen deß Wetter Tachs der Stadt Pfenningthurn jährl. auf Johannis Baptistæ. 6 ß Zinnß zureichen, sonsten seind solche Häußer und dero zugehörden freÿ, leedig und eigen. Hierüber bes. I. teutsch. perg. Kfbr. in allh. C. C. Stb. gef. mit dero anhgd. Ins. verw. sub dato 18.ten Martÿ Anno 1747. mit Lit. C. bemerckt. Ferner I. dergl. perg. Kfbr. daselbsten errichtet und mit der anhgd. Ins. versehen, datirt den 13.ten Maÿ Anno 1680. mit altem N. 3. bemerckt.
Nechstbesagte Häußer und dero Zugehörden hat ebenfalls der Vater mit der Mutter seelig erkauffet, derowegen Ihro der Ehefrauen ane solchem und der obigen helffte der erstern behaußung, die Mütterl. tertz erb und eigenthümlich zugekommen, wie wohlen der Vater seelig zween dritte theil hieran Crafft mütterl. Codicilli lebtägig zu genießen hat. Beÿ welchem auch vor angeführte Kauffverschreibung in gemeinschaftlicher Verwahrung sich befunden.
Widem Verfangenschaft Welche Herr Johann Georg Rinck der Land Kutscher gastr. und burger allhier der Ehefrauen Vater lebtägig zu genießen hat. In Krafft des von nunmehro weiland Frauen Margaretha Rinckin gebohrner Renchertin, der dießortiger Ehefrauen Mutter seelig den 18.ten Januarÿ 1755. vor mir Notario und Gezeugen gestiffteten Codicilli §° 2.do (…). Antheil ane Häußern und Gärthen. 2/3.te theil ane der mütterl. tertz von und ane der droben fol : (-) eingetragenen helffte ane dem grünen bruch gelegenen behaußung Und Zween dritte theil ane der mütterl. ane denen auch droben beschriebenen ane der Steinstraß gelegenen Häußern und Gärthen.
Abzug Gegenwärtigen Invÿ. Des Ehemanns eingebracht Guth. Sa. des Haußraths Post 12, Sa. Silbers 16, Summa summarum 28. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 332, Sa. Schiff und geschirr Zum Feld und Ackerbau gehörig 2, Sa. Pferdt sampt deren Geschirr wie auch Rindviehe und Schweinlein 20, Sa. Früchten auf der Kast 32, Sa. Tabacks 9, Sa. Blumen auf dem feld 6, Sa. silbern Geschmeids 36, Sa. Goldener ring 38, Sa. baarschafft 26, Eigenthum ane Häußern und Gärthen o, Eigenthum ane liegende güthern o, Beßerung ane lehengüthern o, Schulden 5, Summa summarum 509 lb

Marguerite Rinck hypothèque la maison au profit du courtier Jean Henri Büchel

1773 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 647 n° 481
Margaretha geb. Rinckin H. Johann Martin Schwind des weinhändlers Ehefrau
in gegensein H. Johann Heinrich Büchel des geschwornen courtier – schuldig seÿen 400 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden zu Straßburg dero vorstadt Steinstraß einseit neben der Zunfft stub der gartner ane steinstraß, anderseit neben eine gäßlein, hinten auff den Clementische, garten – der Ehefrauen von ihren eltern seel. ererbt mithin in die Ehe gebrachtes guth

Martin Schwind le jeune et Marguerite Rinck louent une partie de leur maison au tonnelier Philippe Jacques Brida

1774 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 352
H. Martin Schwind der jüngeren kieffer und Margaretha geb. Rinckin
in gegensein Mr Philipp Jacob Brida des kieffers
lehnungs weiße, in einer den mitlehneren in specie eigenthümlich zuständig zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß gelegenen behausung, die untere vordere wohnung bestehend in einer stub, kuchen nebst dabeÿ befindliche werckstatt, item der vordere halben keller, die eßig kammer samt dazu gehörige küche, oben eine kammer, eine bühn, ferner im hoff ein kämmerlein umb die spähnen dahin zu legen, mehr 220 ohmen wein faß in zehn stück mit eißen gebunden item 120 ohmen eßig faß in fünff stück mit eißen gebunden – auff 5 jahren dreÿ monath auff instehenen Michaelis anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 56 gulden

Jean Martin Schwind meurt en 1774 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison 1500 livres. La masse propre à la veuve est de 8 639 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 590 livres, le passif à 6 212 livres.

1774 (22.11.), Me Stoeber l’aîné (6 E 41, 1220) n° 1854
Inventarium über Weiland des Ehrenachtbarn Herrn Joh: Martin Schwind des jüngern gew. Kiefermeisters u. brs. allhier zu Straßburg nunmehr seelig Verl. auffgerichtet Anno 1774. – nach seinem Montags den 24.ten Octobris dieses zu end eilenden 1774.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen welche Verl. auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsahmen Fraun Margarethä Schwindin geb. Rinckin der hinterbliebenen Wb. beÿständlich S. T. H. Johann Heinrich Thenn Notÿ publici und berühmten practici den Sie ane Vogtstatt zu ihrem beÿstand hierzu angesprochen wie auch des Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Martin Schwind des ältern Kiefermeisters u. Weinhändlers auch brs. allhier des abgeleibten selig eheleiblichen H Vaters als geordnet und geschworenen Vogts der tugendsamen Jgfr. Margarethä Barbaræ Schwindin, des Verstorbenen selig mit ihro der Frn. Wb. erzeugten Jgfr. tochter als ab intestato verlaßener universal Erbin, welche den 23. 7.bris A 1748. Zur Welt gebohren worden, inventirt – So geschehen Straßburg Mittwochs den 22.ten Novembris et seqq. A. 1774.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß nechst alldortiger Gartner Zunfft stub gelegener und in diese Verlassenschafft gehörigen dannenhero hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthum ane einer behaußung und Garthen. (W.) Nemlichen ein vorder und hindere behaußung, Scheur, Stallung, Hof, Hoffstatt und Garthen auch allen deren Gebäwen, begriffenn Weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß I.s neben E. E. Zunfft der GsStSt. 2.s neben I. nicht durch gehenden Gäßlein ein Eck ausmachend zum theil und zum theil neben H Benjamin Bösinger dem ältern Metzger hinten auf weil. H. Clements Reif des gew. holtzhändlers u. brs. dahier selig. Wb. Garthen stoßend gelegen, so über den Vingt. ledig eigen und (durch die Werckmeistere) ausweislich deßen Zu mein Notarÿ Concept übergebenen Abschatzung Zeduls vom 15.t Februarÿ 1775. angeschlagen worden soviel die Gebäude betrifft vor 1500. Der Garthen aber so ohngefähr 1 ½ Vierzel groß durch eingangs gemelten H Inventir Schätzer um 1530 lb. Über solche häußer u. deren Zugehörden meldet I. deutsche perg. Kfgr. in allh. CC Stb errichtet mit dero anhang. Ins. verw. sub dato 18.ten Martÿ 1747. mit Lit. C. vermerckt. Ferner i. dergl. perg. Kfbr. daselbsten errichtet m. dero anhang. Ins. verw. datirt den 13. Mÿ A° 1680. mit altem N. 3. bezeichnet u. dermalen nach geschehener besichtigung wieder dabeÿ gelaßen.
Ergäntzung der Fraun Wb. ermanglenden ohnveränderten Guts. Nach Anleitung des über beeder geweßter Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 3.ten Martÿ et seq. A° 1758. verfertigten Inventarÿ
Wÿdums Verfangenschaft, Welche Frau Anna Maria gebohrne Fleischmännin vormals weil. H. Johann Georg Rinck gew. Landkutschers gaststr. u. brs allhier der dißortigen Frn Wb. Vaters selig hinterbliebene Wb dermalen H Georg Heinrich Steinbach des Metzgers u. brs. alhier Ehefrau lebtägig zu genießen hat, und Zwar In Krafft der Zwischen ihme dem H. Vater selig und Ihro der Fraun Wÿdums nießerin den 22.t Martÿ 1757. Vor mir Notario passirten Eheberedung §° 7.mo hat Er ihro in wÿdems genuß zugestanden und verwilliget seine allhier zu Straßburg ane der Steinstraß gelegene Wohn behaußung Hof, Hoffstatt Scheur, Stallung und Garten mit allen deren Gebäwen, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, so Zwischen denenselben und seiner Fraun tochter als dißortiger Wb. gemeinschaftlich und ohnvertheilt war, solche die Zeit ihres Lebens zu bewohnen, Zu nutzen und zu genießen
Norma hujus inventarii, Der Fraw Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 103, Sa. Silbern Geschmeids 2, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Leerer Faß 38, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1000, Sa. Eigenthums ane i. behaußung u. Garthen 1530, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 1090, Sa. beßerung ane lehengüthern 5, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzungsrest 5736, Summa summarum 9561 lb – Schulden 922 lb, Nach deren Abzug 8639 lb
Dießemnach wird alles übrige vorhandene es seÿe gleich von dem Verstorbenen selig in die Ehe gebracht oder während derselben angeschafft worden, unter einem titul als in des Verstorbenen selig Verlassenschafft gehörig und respectivé daraus Zu bezahlend consignirt und beschrieben, Sa. hausraths 54, Sa. Schiff und geschirr Zum Feld und ackerbau gehörig 5, Sa. Weins und Faß 47, Sa. Tabacs 46, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 225, Sa. Eigenthums ane einem Feldstück 50, Sa. Eigenthums ane Reebgüthern 76, Sa. Activorum 129, Summa summarum 590 lb – Schulden 6212 lb, Des Verstorbenen selig passiv onus 5722 lb – Stall Summ 2916 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen den 2.ten Junÿ A° 1757., Joh: Daniel Stöber

Marguerite Rinck hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Riedel veuve du pasteur Philippe Frédéric Leonhard

1775 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 649 n° 196-v
Fr. Margaretha Schwindin geb. Rinckin weÿl. H. Johann Martin Schwind des jüngeren kieffers wittib beÿstädlich H. Johann Heinrich Thenn Notarii publici jurati ac practici
in gegensein Fr. Mariæ Salome Leonhardin geb. Riedelin weÿl. H. Pfarrer Philipp Friedrich Leonard wittib und H. Johann Heinrich Büchel des wexelcourtiers – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine behausung samt zugehörden zu Straßburg dero vorstadt Steinstraß, einseit neben der g. ane Steinstraß Zunfftstub, anderseit neben einem Allmendgäßlein, hinten auff den Clementzischen garten

Marguerite Rinck meurt en délaissant une fille issue de son premier mariage et une autre de son deuxième. La succession comprend deux maisons. Les experts estiment celle à côté du poêle des Jardiniers 1 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 9 753 livres, le passif à 5 655 livres.

1780 (28.6.), Me Stoeber (6 E 41, 1240) n° 188
Inventarium über weÿl. Fraun Margaretha Schwindin geb. Rinckin auch weÿl. H. Johann Martin Schwind des jüngern gewesten Kiefermeisters Wb. verlassenschafft, nach ihrem den 12. junÿ jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt
die abgeleibte Fr Schwind hat zufolg Testamenti nuncupativi zu Erben verlaßen wie folgt 1. Fr Catharina Bleßigin geb. Westermännin Johann Peter Bleßig des Gastgebers dermalen aber Reuters unter dem Cavalerie Regiment Royal allemand verlaßenen Ehefrau als der abgeleibte in erster Ehe mit weÿl. H. Johann Jacob Westermann dem Fuhrmann erzeugte tochter und zwar nur in legitimam das ist in die tertz des erstern haptteils (…) In die übrige zwo tertzen aber deroselben samtlich erzeugende KKr davon das jetzt lebende sich nennet Catharina Margaretha deren geordneter und geschworener vogt ist Not. H. Philipp Jacob Greiß Nots. pubs und Secretarius beÿ allhies. Ammeister haußaudienz, so dann 2. Fr. Margaretha Barbara Zißigin geb. Schwindin H. Johann Friedrich Ziesig des Sattlers Ehegattin als der verstorbenen in drittter ehe mit weÿl. H. Martin Schwind dem jüngern Kiefer erzielte tochter, und zwar nur in legitimam das ist in die tertz des zweÿen hauptteils (…) davon das jetzt lebende sich Margaretha Magdalena nennet deren geordneter und geschworener vogt ist H. Georg Heinrich Steinbach des Metzgers

In einer zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß in der alldortigen Gartner Stub gelegenen und in dießer Verlassenschafft gehörigen derowegen hiernach beschriebener behausung
(f° 7-v) Eigenthum an häußern und Gärten. Näml. eine vordere und hindere behausung samt scheur Stallung hof hoffstätten und Garten mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg dero Vorstadt SteinStras einseit neben E. E. Zunft der G. alda Zftstub anderseit neben einem nicht durchgehenden Gäßlein ein Eck ausmachend zum theil und zum theil neben H. Benjamin Bösinger dem älten Metzger hinten auf weÿl. H. Clemens Reiff des gewesten holtzhändlers Wittib Erben Garten, ausweisl. deren zu mein Notarii Concept über gebenen Abschatzung zeduls vom 18. julÿ 1780 taxirt worden pro 1500, der Garten aber so ungefehr 1 ½ Viertzel gros 30, zusammen 1530, Über solche behausung besagen zweÿ Kauffverschreibungen in der C.Cstb. datirt den 18. martÿ 1747 der zweÿte vom 13. maÿ 1680
Und dann eine Gastbehausung zum hirtzhorn geschildet bestehend in Vorder und hinderhaus hof bronnen stallung und Scheur Stallung [sic] samt 3. schöpffen mit denen dazu gehörigen dreÿ Gärten auch allen übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg dero Vorstadt Steinstraß 1.s. neben weÿl. Mr Johann Kuntz des Weißbecken erben 2.s. neben H. Johann Friedrich Sigfrid dem kübler hinten auf den Clemenzischen Garten – davon auf Joh. Bapt. und Weyhenachten dem Mehrren hosp. 1 lb 13 ß 4, ferner denen Edlen von Müllenheim 2 lb 14 ß 8 d zum hohen Altan 5 ß und Unsterer löbl: Stadt Pfenning Thurn 5 ß an ewigen fürwährenden und ehrschätzigen zinsen zu reichen hat, (durch die Werckmeistere vermög) abschatzung zeduls vor 3000, die Gärten aber ohngefehr 3 Vierzel ausmachend 40, Macht bedes 3040, Abgezogen vorherige sammenthafft 4 lt 18 ß ausmachende Real beschwerden zu doppeltem Capital gerechnet anlangend 196, So restiren auszuwerfen 2844 lb, hierüber meldet Kauffbrieff in der C. C. Stb. datirt den 7. 8.br 1776
liegende güther (9 stück), beßerung ane lehengüthern (10 stück)
Norma hujus inventarii. Sa. hausraths 120 lb, Sa. lärer Faß 32 lb, Sa. silbers 6 ß, Sa. Golds 7 lb, Sa. tabacks 30 lb, Sa. blumen auf dem feld 20 lb, Sa. häusern 4374 lb, Sa. liegenden güther 230 lb, Sa. beßerung ane lehengüthern 2 lb, Sa. capitalien 4700 lb, Sa. activorum 236 lb, Summa summarum 9753 lb – Schulden 5655 lb, Restirende verlassenschafft 4098 lb, Stall summ 2921 lb
Testament, in der eine steg hoch befindlichen Wohn: stub – 8. junÿ 1780, Not. Johann Daniel Stöber

La fille issue du premier mariage cède ses parts de la maison à sa sœur Marguerite Barbe Schwind femme du sellier Jean Frédéric Zisig

1782 (15. Nov.), Me Stoeber (6 E 41, 1240), Joint au n° 188 du 28 juin 1780 (transcrit à la Chambre des Contrats, vol. 657 f°178-v, 16 avril 1783)
Verkauf und Erlös Register wie auch Vergleich Abtheil: und Erörterung weÿl. Fraun Margarethæ Schwindin geb. Rinckin auch weÿl. H. Johann Martin Schwind des jüngern gewesten Kiefermeisters Wb. verlassenschafft
(f° 19) Cessio und Übergab der behausung neben der Gartner Zunfftstub gelegen
Erschienen Fr Catharina Bleßigin geb. Westermännin Johann Peter Bleßig des Reuters unter Löbl. Regiment Royal allemand verlaßene Ehefrau beiständlich H. Johann Daniel Kuhff des geschwornen Courtier, ferner H. Georg Heinrich Steinbach der Metzger als geschworner vogt ihr Fr. Bleßigin nach todt verlaßender Kinder, So dann H. Philipp Jacob Greiß Nots. pubs und Secretarius beÿ des Regierenden H. Ammeisters haußaudienz als beeidigter Vormund Fr. Margaretha Barbara Zißigin geb. Schwindin H. Johann Friedrich Ziesig des Sattlers Ehegattin nach todt verlaßender Kinder
ersterwehnter Fr. Zisichin
ihr Fr. Bleßigin 6t theil, Bleßigischer Kinder zween sechste theil und Zisigischer Kinder 3/6 theil als sammenthalft 5/6 für unvertheilt an einer vorderen und hinderen behausung samt scheur Stallung hof hoffstätten und Garten mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg dero Vorstadt Stein Stras einseit neben E. E. Zunftstub der G. alda anderseit neben einem nicht durchgehenden Gäßlein ein Eck ausmachend zum theil und zum theil neben H. Benjamin Bösinger des älten Metzgers Erben hinten auf weÿl. H. Clemens Reif des gewesten holtzhändlers Wittib Erben Garten – um 7700 gulden als um welchen Preis der Cessionnariæ Ehemann selbige den 14. aug. jüngst an sich ersteigt – den 15. Novembris 1782

Jean Jacques Zisich demande que son fils Jean Frédéric soit exempté de la troisième année de compagnonnage pour pouvoir reprendre son atelier. La tribu argue que l’affaire n’est pas de sa compétence. Les Quinze accordent la dispense.
1770, Protocole des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
(f° 646-v) Montags den 11. Junii 1770. Johann Jacob Ziesich der Sattler, stellet der Ehrsamen Meisterschafft vor, daß zwar sein ältester Sohn, Joh: Friderich Ziesich, anstatt der nach dem Articul erforderlichen dreÿ Wanderjahre nur darum zweÿ Jahr ausserhalb zubringen können, weilen er denselben zu seiner Hülfe anhero aber zurück berufen müßen, Und da er der älteste Meister wäre, der auf seine Lebens Zeit oder Kräfte, wenig Rechnung mehr machen könte und doch die Fortsetzung seiner Werckstätt, der famille halben, nöthig erscheine, so wolle derselbe hoffen und bitten, die ehrsame Meisterschafft werde diesem seinen Sohn um die annoch fehlende Wanderzeit in Ansehung der verwaltende Umstände günstig dispensiren und Zum Meisterstück admittiren.
Erkannt, So viel Ursachen auch der Wahrheit gemäß Zu begünstigung seines begehrens vorligen, so stehe es doch nicht beÿ der Meisterschafft ihme darinnen zu willfahren, sondern er seÿe dißorts ab: und sein Sohn an die Ordnung zu verweisen.
(f° 652) Donnerstags den 21.ten Novembris 1770. Dato wurde referirt, daß Johann Friderich Ziesich, Mr Joh: Jacob Ziesichs ehelicher Sohn beÿ gnädigen heren den XV.er auf handwercks bescheid vom 11.ten Junii um die fehlende Wanderzeit gegen 3. lb Dispensation erhalten habe.

Jean Frédéric Zisich s’inscrit à la tribu des Tanneurs
1774, Protocole des Tanneurs (XI 359)

Montags den 12.ten Decembris 1774
(f° 162-v) Meister Johann Friderich Ziesich, der Sattler, langt einen von löblicher Statt Stall unterem 6.ten Maÿ 1774. überkommenen Schein seines Anmeldens vor und bittet ihn nach solcher Ordnung als einen Leibzünfftigen zu recipiren.
Erkannt, Gegen Erlag der Gebühr (dd. 2. lb, Findlinghauß 6 ß)

Jean Frédéric Zisich épouse en 1777 Marguerite Barbe Schwind : contrat de mariage, célébration
1777 (24.4.), Me Fické (6 E 41, 774) n° 276
(Eheberedung) erschienen der Wohl Ehren und achtbare Herr Johann Friedrich Ziesich, der leedige Sattler, herrn Johann Jacob Ziesich des ebenmäßigen Sattlers und burgers alhie Zu Straßburg mit fraun Maria Catharina gebohrner Baldnerin, ehelich erzeugter Sohn, eines,
und anderntheils die Viel Ehren und tugendbegabte Jgfr Margaretha Barbara Schwindin, Weiland herrn Johann Martin Schwind des gewesenen Kiefers Weinhändlers und burgers alhier mit Fraun Margaretha gebohrner Rinckin ehelich erzeugt nachgelaßene Jgfr. tochter, unter assistentz und Verbeistandet herrn Johann Martin Schwind des Weinhändlers und burgers alhie ihres geliebten herrn Großvaters und geordneten Vogts agirend – Auf Donnerstag den 24.ten Aprilis 1777. [unterzeichnet] Johann Friderich Zisich als hochzeiter, Margeda Barbara Schwindin als Hochzeiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 62)
In dießem 1777. Jahr Dienstag den 17. Junÿ mittag um vier uhren sind nach der Zweÿmal vorher Dom: II. und III. post Trin: nacheinander geschehener proclamation ehelich eingesegnet worden Johann Friderich Zißich lediger burger und sattler alhier Johann Jacob Zißich burgers und sattlers alhier ehel. Sohn mit Jgfr. Margaretha Barbara Schindin weÿl. Johann Martin Schwind geweßt. burgers und Kieffers alhier hinterlaßener ehelich. dochter [unterzeichnet] Johann Friderich Zisich als Hochzeiter, Margreda Barbara Schwindin al Hochzeiterin (i 64)

Inventaire des apports dressé dans une maison en location au Faubourg de Pierre
1777 (8.7.), Me Fické (J. Charles, 6 E 41, 770) n° 650
Inventarium über des wohlehren und achtbaren Herrn Johann Friedrich Ziesich des Sattlers, und der viel Ehren und tugendsamen fraun Margarethæ Barbaræ gebohrner Schwindin, beeder Ehepersonen einander vor unverändert zu: und eingegebrachte Vermögens Haabschaften, auffgerichtet im Jahr 1777. – in ihren, den 17. Junii jüngst angetrettenen Ehestand einander vor unverändert zu und eingebracht haben – So beschehen Straßburg in fernerer Gegenwart Herrn Johann Martin Schwind des Weinhändlers und burgers alh. der Ehefraun geliebter Herrn Großvatters und hierzu erbettenen beÿsitzers auf Dienstag den 8.ten Julii 1777.

In einer alhier Zu Straßburg in der Vorstadt Steinstraß gelegener hierorts Zum theil entlehnter behaußung hat sich befunden als (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachter Vermögenschaft, Sa. haußraths 88, Sa. des Werckzeugs zur Sattler Profession gehörig 9, Sa. der Waaren und des Leders Zur Sattler Profession gehörig 302, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 24, Sa. goldener Ring 34, Sa. baarschafft 157, Sa. Schulden 12, Summa summarum 629 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen eingebrachte Vermögens Haabschafft beschrieben, Sa. Haußraths 166, Sa. Silbers 20, Sa. goldener Ring 49, Sa. baarschafft 406, Summa summarum 643 lb – Haussteuren 80 lb

Les héritiers de Jean Frédéric Zisig cédent leurs parts de maison qui porte l’enseigne au Soleil à leur cohéritière Marguerite Madeleine Zisig épouse de l’aubergiste Jean Frédéric Dierstein

1833 (23.3.), Strasbourg 8 (nouv. cote 52), Me G. Grimmer n° 4330 – Enregistrement de Strasbourg, acp 216 F° 128-v du 28.3.
Liquidation et partage – 1. Jean Frédéric Zisig, fils sellier carrossier, 2. Marguerite Madeleine Zisig épouse de Jean Frédéric Dierstein, aubergiste, héritiers pour moitié de Marguerite Barbe Schwind épouse de Jean Frédéric Zisig le jeune, sellier à Strasbourg décédé il y a plus de trente ans leur mère, petit enfants et héritiers et ledit Zisig cessionnaire de 1. Caroline Salomé Helmstedter veuve de David Baumann, négociant, 2. Catherine Madeleine Grün veuve de Philippe Jacques Barbenes, aubergiste, 3. Caroline Grün épouse de Daniel Drensz, ancien épicier, 4. Louise Frédérique Grün épouse de Jean Windesheim, négociant à Strasbourg pour les 4/8 ou la moitié avenue à ces quatre dames dans la succession de Jean Zisig, leur oncle sellier carrossier décédé le 29 mai 1833 par représentation de Catherine Salomé Zisig leur mère veuve en premières noces de Jean Jacques Helmstedter décédée veuve en secondes noces de Frédéric Grün les deux aubergistes par transport reçu Me Weigel le 18 juillet 1832
à Jean Frédéric, abandonnements lesdits droits immeubles de la succession de Jean Zisig
à Mme Drensz, abandonnements, toute la maison à l’enseigne du Soleil pour 18 400 fr
1° observation, succession de la De Schwind. Une maison-auberge portant l’enseigne au Soleil consistant en quatre bâtiments avec cour & jardin située à Strasbourg Faubourg de Pierre n° 30, d’un côté une ruelle où la maison forme coin et M. Lipp brasseur, d’autre la veuve Kuntz, devant le Faubourg de Pierre, derrière M. Meyer marchand de bois – estimée 18 400 fr, appartient à la défunte pour en avoir recueilli 1/6 dans la succession de Marguerite Rinck veuve de Jean Martin Schwind le jeune sa mère et acquis 5/6 des héritiers légataires de cette dernière devant Me Stoeber le 15 novembre 1782
2° observation, succession Zisig, inventaire dressé par le soussigné le 2 juin 1832, la moitié de la communauté avec Susanne Marie Krieg, immeubles, 5. une maison & dépendances située à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 112 d’un côté M Diebold & Jean Frédéric Zisig d’autre la maison ci après désignée devant ladite rue derrière la rue St Thomas pour 25 000 fr,
6. & en une autre une maison avec boulangerie, aisances & dépendances située également à Strasbourg rue des Petites Boucheries n° 111 d’un côté la maison précédente d’autre Mde Wiedenmeyer devant ladite rue derrière la rue St Thomas évaluée 12 000 fr
remplois, dépendant de la succession Zisig, 2. un bâtiment servant de remise situé à Strasbourg au Faubourg de Pierre d’un côté le S. Lobstein d’autre Sr Boersch jardinier cultivateur devant une cour derrière la rue de la Soupe à l’Eau, évaluée 1500 fr
masse à partager elle se compose 1. de la maison auberge pour 18 400 fr, 2. des droits mobiliers et immobiliers de la succession de Zisig 36 778 fr

Le sellier Jean Frédéric Dierstein épouse en 1804 Marguerite Madeleine Zisich
Mariage, Strasbourg (n° 91)

Du 13° jour du mois de nivose l’an XII de la République française. Acte de mariage de Jean Frédéric Dierstein, agé de 23 ans, sellier, né en cette ville le 22 septembre 1780, y domicilié, fils légitime et mineur de Pierre Dierstein, employé de la Maison de Ville, & de Catherine Dahl
Et de Marguerite Madeleine Zisich, agée de 26 ans, née en cette ville le 12 novembre 1777, y domiciliée, fille légitime de Jean Frédéric Zisich, ci devant sellier, ci présent, et de feue Marguerite Barbe Schwind – (signé) Johann Friderich Dierstein, Magdalena Zießigin (i 48)

Jean Frédéric Dierstein et Marguerite Madeleine Zisig vendent l’auberge au Solei à l’aubergiste Henri Geofroi Rœderer et à Dorothée Helmstetter

1837 (26.1.), Strasbourg 8 (65), Me G. Grimmer n° 5895 – Enregistrement de Strasbourg, acp 247 F° 58-v du 1.2.
Jean Frédéric Dierstein, aubergiste, et Marguerite Madeleine Zisig à Strasbourg
à Henri Geofroi Roederer, aubergiste, et Dorothée Helmstetter
une maison auberge portant l’enseigne au Soleil composé de quatre bâtiments avec cour, puits, écuries, étables à porcs & un jardin de la contenance de 10 ares environ dans lequel se trouvent deux gloriettes ensemble tous autres droits, appartenances, & dépendances situé à Strasbourg Fauxbourg de Pierre n° 30, d’un côté une ruelle où la maison forme le coin & le Sr Lipp brasseur, d’autre la veuve du Sr Kuntz, devant la rue du Faubourg, derrière le Sr Meyer marchand de bois – et les fourneaux en fonte, un chaudron à lessive en cuivre, quatre pots économiques dont deux en fonte et deux en cuivre (…) – avenu à la venderesse par abandonnement et partage entre elle son frère Jean Frédéric Zisig fils sellier carrossier, Me Grimmer soussigné le 23 mars 1833 – de la succession de Marguerite Barbe Schwind décédée épouse de Jean Frédéric Zisig le jeune, sellier, mère commune de la De Dierstein et Sr Zisig, seuls héritiers, la De Zisig née Schwind héritière pour 1/6 de sa mère Marguerite Rinck veuve de Jean Martin Schwing, tonnelier, et acquisition de 5/6 devant Me Stoeber le 15 novembre 1782 – pour 30 000 francs

Fils de pasteur, l’aubergiste Henri Geofroi Rœderer épouse en 1822 Marguerite Salomé Schwartz, fille d’un meunier de Wasselonne
1822 (15.2.), Strasbourg 8 (33), Me Roessel n° 8319 – Enregistrement de Strasbourg, acp 156 F° 55-v du 15.2.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Geoffroi Roederer, brasseur à Strasbourg fils de feu Jean David Roederer, pasteur à Scharrachbergheim, et de Catherine Salomé Leicht
Marguerite Salomé Schwartz fille majeure de Michel Schwartz, meunier à Wasselonne, et de Salomé Ebel
8318, fantôme, Consentement du 14.2. (acp 156 F° 55 du 15.2.), Catherine Salomé Leicht veuve de Jean David Roederer pasteur, au mariage de Henri Geoffroi Roederer, brasseur, se propose de contracter avec Mlle Schwartz de Wasselonne

Marguerite Salomé Schwartz meurt en 1830 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé à la Krutenau à l’auberge à l’Etoile
1830 (14.7.), Strasbourg 2 (70), Me Weigel n° 6629 – Enregistrement de Strasbourg, acp 200 F° 66 du 19.7.
Inventaire de la succession de Marguerite Salomée Schwartz femme de Henri Geoffroi Roederer, brasseur à Strasbourg, décédée le 12 juin 1830 à Wasselonne ou elle était en visite – à la requête de 1. le veuf tuteur de Charles Roederer né le 20 juin 1824 – en présence de Michel Schwartz, meunier à Wasselonne subrogé tuteur

dans une maison ou pend l’enseigne à l’Etoile au quartier dit de la Krutenau
Contrat de mariage passé devant Me Roessel le 14 février 1822
apports du requétant, la maison et toutes ses dépendances sise à Strasbourg place d’Armes connue sous l’enseigne à la Pomme de pin, d’un côté la De veuve Grün, d’autre la brasserie au Loup et au fossé des Tanneurs, par derrière en partie le communal en partie la maison Hervé – acquise de Daniel Baer, cafetier et de Marguerite Salomé Knecht par adjudication au Tribunal Civil en date du 9 octobre 1817, transcrit au bureau des hypothèques volume 98 n° 111
meubles 18 100 fr, total des apports 63 100 fr, passif 37 344 fr
communauté indemnité à communauté 1607 fr, loyer 528 fr, créances 3320 fr, numéraire 300 fr
dans une chambre au premier étage éclairée sur la rue de la maison à l’Etoile à la Krutenau, dans la chambre à côté, dans le corridor, dans une cuisine servant de chambre aux servantes, dans une petite chambre donnant sur le corridor, dans une chambre sur le derrière donnant sur une ruelle, au grenier, dans la chambre au linge sale, dans la chambre des garçons, au rez de chaussée, dans la cuisine, tonneaux dans une cave à la Citadelle, dans une cave rue des Juifs, dans la cave de la maison rue de la Krutenau n° (-) mobilier et bierre 25 465 fr, dettes actives 3320 fr, actif de la communauté 33 921 fr – passif 31 948 fr, propre du défunt, terres à Westhoffen 1100 fr, mobilier garde robe 375 fr, ensemble des biens propres 2675 fr

Henri Geoffroi Rœderer se remarie avec Dorothée Helmstetter veuve du marchand de coton Thiébaut Ruhlmann. Ils font dresser l’inventaire de leurs apports quelques années plus tard

1830 (15.10.), Strasbourg 2 (71), Me Weigel n° 6723 – Enregistrement de Strasbourg, acp 201 F° 65-v du 23.10.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Henri Geoffroi Roederer, brasseur, fils de feu Jean Daniel Roederer, pasteur à Scharrachbergheim, et de Catherine Salomé Leicht, veuf de Salomé Schwartz avec laquelle il a procréé un fils nommé Charles
Dorothée Helmstetter veuve de Thiébaut Ruhlmann, marchand de coton, fille de Jean Jacques Helmstetter, propriétaire, et Anne Marie Lauth de Pfaffenhoffen

1835 (15.1.) Strasbourg, Me Weigel, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 229 F° 137-v du 16.1.
Inventaire des apports de Henri Geoffroy Roederer, brasseur, et Dorothée Helmstetter – Contrat de mariage Me Weigel le 15 octobre 1830

La mère de Henri Geoffroi Rœderer meurt chez son fils
1842 (16.6.), Strasbourg 6 (70), Me Striffler n° 1220
(Inventaire de la succession de Catherine Salomé Leicht veuve de Jean David Roederer)
A la requête de 1° M. Henri Geoffroi Roederer, aubergiste, 2° M. Henri Théophile Roederer, cafetier, 3° Mme Catherine Salomé Roederer épouse autorisée et assistée de de M Jean Jacques Reumann, propriétaire, Tous domiciliés à Strasbourg. Habiles à se dire & porter héritiers chacun pour un quart de De Catherine Salomé Leicht leur mère décédée veuve de Mr Jean David Roederer, en son vivant pasteur à Scharrachbergheim, elle domiciliés à Strasbourg, 4. M Philippe Balthasar Herrenschneider, pasteur du culte protestant, demeurant à Strasbourg agisant tant en son nom et personne que comme père et tuteur légal et naturel de Emile Alphonse, Charles Constantin, Jules Leopold, Frédéric Guillaume et Wilhelmine Herrenschneider, les cinq enfants mineurs issus de son mariage avec De Wilhelmine Roederer et habiles à se dire par représentation de leur mère héritiers pour le dernier quart de ladite dame Roederer leur ayeule maternelle

dans la maison mortuaire rue du faubourg de Pierres N° 30 où elle est décédée le 7 de ce mois
meubles 122, argent comptant 365, déclarations actives 257
Titres et papiers, un extrait du greffe du Tribunal de Strasbourg du 29 juin 1838 contenant renonciation par Mme Rein sœur consanguine des enfants Roederer à la succession de son père
contrat de mariage des époux Roederer defuns passé devant Me Zimmer notaire à Strasbourg le 5 novembre 1788

Henri Geoffroi Rœderer et Dorothée Helmstetter hypothèquent la maison au profit de Georges Frédéric Decker

1842 (21.12.), Strasbourg 9 (89), Me Becker n° 1810
Obligation – Furent présents, M Henri Geoffroi Roederer, aubergiste, & Dame Dorothée Helmstetter, son épouse de lui dûment autorisée, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont par les présentes reconnu devoir
à M Georges Frédéric Decker, propriétaire demeurant à Strasbourg, la somme de 8000 francs
hypothèquent, Une maison auberge portant l’enseigne au Soleil, composée de quatre bâtimens avec cour, puitsn écuries, étables à porcs et un jardin de la contenance de dix ares environ, autres appartenances & dépendances, le tout situé à Strasbourg faubourg de Pierre n° 30, tenant d’un côté à une ruelle où la maison forme le coin et à la propriété du Sieur Lipp brasseur, de l’autre à la veuve du Sr Kuntz par devant à la rue du faubourg et par derrière la propriété du Sr Meyer marchand de bois. Les époux Roederer déclarent que la maison & dépendancess qu’ils viennent d’hypothéquer appartenait autrefois à Dame Marguerite Barbe Schwind décédée épouse de M. Jean Frédéric Zisig le jeune, vivant sellier à Strasbourg, laquelle était devenue propriétaire d’un sixième dudit immeuble comme héritière pour pareille portion de sa mère Dame Marguerite Rinck veuve de M Jean Martin Schwind le jeune en son vivant tonnelier à Strasbourg et des cinq sixièmes restans comme les ayant acquis des autres ayans droits & représentations desdits époux Schwind aux termes d’un acte passé devant Me Stoeber notaire à Strasbourg le 15 novembre 1782. Le prix de cette acquisition a été en partie assigné aux enfants ci après nommés de ladite Dame Zisig et pour le surplus décompté de sa part héréditaire dans la succession de sa mère ainsi qu’il résulte d’un acte contenant liquidation générale de cette succession dressée par ledit notaire Stoeber le 20 février 1783, le toit ainsi qu’il a été déclaré lors du cette ville du 26 janvier 1837.
Après le décès de la Dame Zisig née Schwind l’immeuble en question fut attribué à Dame Marguerite Madeleine Zisig épouse de M Jean Frédéric Dierstein, aubergiste à Strasbourg ainsi qu’il est constaté par un acte dressé par M Grimmer notaire à Strasbourg le 23 mars 1833 contenant partage de la succession de feu la Dame Zisig entre ses deux enfants & seuls héritiers, ladite Dame Dierstein et M Jean Frédéric Zisig fils, sellier carrossier à Strasbourg, cette attribution eut lieu à la charge d’une soulte de 5 francs dont M Zisig a donné quittance. Enfin lesdits époux Dierstein vendirent ledit immeuble aux conjoints Roederer comparants par acte passé devant ledit notaire Grimmer le 26 janvier 1837 transcrit au bureau des hypothèques le 1 février suivant volume 315 numéro 78 et inscrit d’office Volume 258 Numéro 378. Le prix de vente stipulé audit acte était de 30 000 francs (…)

Nouvelle obligation entre les mêmes

1848 (9.2.), Strasbourg 6 (77), Me Striffler n° 3758
Obligation – Furent présents, Mr Henri Geoffroi Roederer, aubergiste, et Dame Dorothée Helmstetter son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes domicilié & demeurans ensemble à Strasbourg faubourg de Pierres N° 30, lesquels ont par les présentes reconnu devoir
à Me Georges Frédéric Decker, propriétaire, domicilié et demeurant à Strasbourg vieux marché aux grains N° 12, la somme de 10 000 francs
Une maison auberge portant l’enseigne au soleil, composée de quatre bâtimens avec cour, écurie, un jardin de la contenance de 10 ares et dépendances, le tout situé à Strasbourg faubourg de Pierre n° 30, tenant d’un côté à un cul de sac dont la maison forme le coin et le Sieur Lipp brasseur de l’autre à la veuve Kuntz & par derrière le Sr Meyer. Cet immeuble a été acquis par les époux Roederer de Mr Jean Frédéric Dierstein aubergiste etd e De Marguerite Madeleine Zisig conjoints demeurans à Strasbourg, par contrat passé devant M Louis Leopold Guillaume Grimmer notaire à Strasbourg le 26 janvier 1837 transcrit au bureau des hypothèques le 1 février suivant volume 315 numéro 78 et inscrit d’office Volume 258 Numéro 378. Cette acquisition a été faite pour 30 000 francs (…)

Inventaire après décès d’une locataire, Thérèse Brusseler femme du figuriste Vincent Marchetti

1848 (20. 7.br), Strasbourg 6 (77), Me Striffler n° 3953
Inventaire de la succession de Thérèse Brusseler femme de Vincent Marchetti
L’an 1848 le 20 septembre, à la requête 1° du Sr Vincent Marchetti, figuriste demeurant à Strasbourg, agisant 1° à cause de la communauté légale qui a existé entre lui et De Thérèse Brusseler sa femme décédée à Strasbourg le 13 mai dernier, 2° en qualité de légataire universel de ladite défunte aux termes de son testament olographe en date du 11 avril dernier (…) 2° de De Marie Anne Hammel veuve de feu le Sr Joseph Brusseler rentier demeurant à Strasbourg où elle est domiciliée, En qualité d’héritière à réserve pour un quart de la défunte sa fille
au domicile de la défunte au faubourg de Pierres n° 30
déclarations actives 800, déclarations passives a) à la charge de la succession 72, b) à la charge de la communauté 388
effets mobiliers 557

Le marchand Charles Friedel vend le terrain des numéros 45 et 47 à la Ville

1873 (21.3.), Maire
Verkauf durch Karl Friedel Kaufmann in Straßburg
an die Stadt Straßburg
von 2654 Q Meter in der Steinstraße N° 45 und 47 zur Erweiterung der Straße dienend für 130.000 Franken zahlbar nach transcription
acp 615 (3 Q 30 330) f° 7-v du 24.3.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.